Podcast appearances and mentions of pierre bastien

Episode 741: April 18, 2025 playlist: Laibach, "Fedayeen (feat. RTV Slovenia Symphony Orchestra, Gallina Vocal Group, Navid Gohari)" (Alamut) 2025 Mute Joy Guidry, "Hold and Be Held" (Five Prayers) 2025 Jaid Immersion and Suss, "In The Far Away" (Nanocluster Vol. 3) 2025 ~Swim Cold Specks, "Venus in Pisces" (Light for the Midnight) 2025 Mute The Ex, "In The Rain" (If Your Mirror Breaks) 2025 [self-released] Miki Berenyi Trio, "Big I Am" (Tripla) 2025 Bella Union Mark Van Hoen, "Multiplex" (The Eternal Present) 2025 Dell'Orso Michael Hurley, "Tea" (Blue Hills) 2010 Mississippi Viz, "Hyperalom" (Danse des Larmes) 2025 Heat Crimes Eva Fernandez Suarez and Thomas Barriere, "Agua" (Adela) 2025 Morc Tapes House of Harm, "Can't Fight the Feeling" (Can't Fight the Feeling) 2025 [self-released] Pierre Bastien and Michel Banabila, "Le Système Déraille" (Nuits Sans Nuit) 2025 Pingipung Email podcast at brainwashed dot com to say who you are; what you like; what you want to hear; share pictures for the podcast of where you're from, your computer or MP3 player with or without the Brainwashed Podcast Playing; and win free music! We have no tracking information, no idea who's listening to these things so the more feedback that comes in, the more frequent podcasts will come. You will not be put on any spam list and your information will remain completely private and not farmed out to a third party. Thanks for your attention and thanks for listening.

A cura di Gigi Longo. Musiche: Umeko Ando, Jantra, Pierre Bastien and Michel Banabila, Location Location Location, Cristina Zavalloni e Michel Godard, Cristina Zavalloni e Manuel Magrini, Miriam Fornari, Minhwi Lee, Ayako Shinozaki, Paul Roland.

Le temps qu'il nous fautCe que peut la lenteur pour le mondeau MAIF Social Club, Parisdu 30 septembre 2023 au 24 février 2024Interview de AnneSophie Bérard, commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 27 septembre 2023, durée 11'22, © FranceFineArt.https://francefineart.com/https://francefineart.com/2023/10/07/3483_le-temps-qu-il-nous-faut_maif-social-club/communiqué de pressecommissariat : AnneSophie Bérardscénographe : Clémence Farrellartistes : Michel Blazy, Daniel Firman, Pierre Bastien, Julia Haumont, Lingzi Ji, Karine Giboulo, Julie C.Fortier, Arno Fabre, Duy Anh Nhan Duc, Kenji Kawakami, Lyes Hammadouche, Louise PressagerContempler, rêver, s'attarder, souffler… Nous voudrions tous avoir le temps de nous arrêter un peu ! Ces actions lentes et désintéressées sont d'ailleurs essentielles à la fertilisation de nos imaginaires. Mais il n'est pas toujours possible de les intégrer à la réalité de nos vies. Et c'est exactement le sujet qui nous intéresse dans l'exposition Le temps qu'il nous faut.Notre langage témoigne bien de la relation paradoxale que nous entretenons avec le temps : on le perd ou on le gagne, on le prend ou on le donne, on lui court après ou il nous rattrape… Entre besoins et désirs, potentialités et contraintes, volontés et capacités, chacun se confronte au délicat équilibre d'une vie justement remplie.L'exposition Le temps qu'il nous faut explore les paradoxes du temps à vivre, tiraillé entre le désir de multiplier les expériences et celui de s'aménager des pauses.Cette quête philosophique est aussi un sujet politique. Bâties sur la promesse d'une vie meilleure, nos sociétés modernes ont optimisé nos actions et nos usages pour rentabiliser notre temps. Mais en faisant de la croissance et de la productivité les seules valeurs de réussite, elles ont généré un phénomène d'accélération inédit, mettant en péril l'ensemble des écosystèmes et la manière dont nous faisons société.Régies par une équation temps/profit, nos productions et nos consommations massives ont entraîné une exploitation abusive des ressources. A l'échelle humaine, le sociologue allemand Hartmut Rosa compare ce phénomène à celui d'une « roue de hamster ». Coincés à l'intérieur de l'engrenage, nous ne courons plus vers quelque chose, mais seulement parce qu'il nous est impossible de nous arrêter. Cette crise de sens, associée à la pression économique et à la charge mentale, permet de mieux comprendre certains phénomènes récents : augmentation des burn-out, mouvement de la grande démission, émergence du quiet quitting (démission silencieuse)… Volontaires ou subis, ces processus de ralentissement révèlent que le rythme de nos vies ne nous convient plus.L'éloge de la décélération trouve dans ce contexte un écho singulier ! La voie/x du Slow, qui a émergé durant les années 1980, puise ses sources dans la Skholè de l'Antiquité grecque. Ce temps libre, totalement désintéressé, était consacré à la libre pensée. La philosophie est née grâce à lui ! C'est pourquoi nous croyons au rôle central de la rêverie et de l'imaginaire dans la construction du monde à venir. Nous pouvons y trouver des ressources collectives pour chercher un modèle plus juste et plus désirable. C'est en tout cas l'invitation que nous font les douze artistes présentés dans cette exposition : accepter les paradoxes du temps à vivre, dénoncer nos dérives frénétiques et imaginer ensemble un monde au ralenti où nous aurions tout simplement… le temps de vivre !AnneSophie Bérard, commissaire de l'exposition Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Archipel, 31ème édition ! Le festival international d'art sonore, de musiques de recherche et de création s'installe jusqu'au 9 avril à la Maison communale de Plainpalais à Genève. Gilles Soulhac a rencontré Pierre Bastien, musicien et inventeur d'orchestres automates. Il nous fait découvrir l'orchestre de Papier, une installation sonore à la Salle des veillées de la Salle communale de Plainpalais.  L'artiste, adepte de lutherie artisanale et inventeur d'orchestres mécaniques, travaille ici avec le papier. Utilisé de multiples manières, tantôt agité par un élément vibreur, tantôt tournant grâce à un petit moteur, ou encore roulé, formant des tuyaux, il crée un monde raffiné et mobile, qui se dévoile de manière inopinée et tout en délicatesse. Le papier est l'élément central de cet orchestre automatique de quatorze pièces. Sous l'action de sept souffleries et d'autant de ventilateurs, il bruisse, cliquette, danse et amplifie les sons.  

Solénoïde (30.05.2022) - Traversez en diagonale un panorama musical hexagonal ! Cette semaine marque le retour de la Grande Boucle Radiovisuelle qui met en avant le bouillonnement créatif de la scène musicale française. De touches ethniques en inflexions mélancoliques, de détournements folkloriques en électro hypnotique, des transitions sonores inopinées seront bel et bien programmées ! Un florilège d'expressions esthétiques qui nous fera voyager de Rouen à Paris, de Strasbourg à Marseille en passant par Nantes et Bordeaux.

La 1ère artiste est Emmanuelle Parrenin pour la sortie de son 3è album Targala, La Maison Qui n'En Est Pas Une (Johnkôôl Records). Emmanuelle Parrenin a toujours été une collecteuse de sons : elle apprend la musique de façon clandestine et instinctive en reproduisant sur un piano les mélodies qu'elle entend s'échapper de la maison familiale, où la musique résonne de partout : son père dirige le Quatuor Parrenin, et sa mère est professeure de harpe. En 1978, elle sort Maison rose, synthèse de dix ans de parcours folk et d'exploration des sonorités traditionnelles. En 1990, suite à un grave accident, elle devient sourde. Elle guérit en rééduquant ses oreilles par les sons de sa voix et la résonance de ses instruments. Au gré de ses voyages, elle collecte toutes sortes d'instruments de guérison et s'intéresse aux chants médecine et à toutes les techniques traditionnelles qui exploitent la dimension thérapeutique du son. En 2011, trente ans après Maison rose, elle enregistre Maison cube qui poursuit l'aventure folk telle qu'elle l'a toujours conçue : mâtinée de psychédélisme, de jazz et de chamanisme. Les années 2011-2012 marquent sa rencontre avec les musiques électroniques : Emmanuelle multiplie alors les collaborations avec des artistes comme Étienne Jaumet, Eat Gas, Vincent Segal, Pierre Bastien, Detlev Weinreich alias Tolouse Low Trax et et Colin Johnco, qui a produit l'album et qui fait des samples et effets...   Son chemin croise celui de Colin Johnco, en 2017, lors d'un concert où il est invité, au débotté, à mettre des effets sur les variations instrumentales d'Emmanuelle. De là, l'envie de créer ensemble prend forme et de rencontres en improvisations, ils dessinent peu à peu les contours d'un projet commun. Emmanuelle à la composition, aux instruments et à la voix, Colin aux effets et à la production. Le dernier chapitre de la trilogie des Maisons s'appelle Targala, la maison qui n'en est pas une. Inspirée en partie par son voyage aux portes du désert, où Emmanuelle s'est retrouvée bloquée au début du confinement. Elle finira par y devenir amie avec le paysage, les pierres et le sable, en constant changement. Un disque audacieux et hors du temps, qui nous emmène dans des méandres psychédéliques, pour revenir à des moments fragiles et acoustiques. Entre un plongeon sensoriel abyssal et une comptine murmurée au creux de l'oreille. On y retrouve Étienne Jaumet et Cosmic Neman du groupe Zombie Zombie, Eat G, Paulie Jan, Peter Combard, Léo Margue, Quentin Rollet, Gaspar Claus et Philippe Foch. Pour info, la réalisatrice Marie-Elise Beyne a fait un documentaire sur elle "D'une maison l'autre" qui a été projeté au festival FAME à Paris, à la Gaîté Lyrique. L'autre invitée s'appelle Lehna. Elle présente son album Ligne O (Inouïe Distribution). Une voix, des chansons qui évoquent Lhasa, Bird On A Wire, ou Joan Baez, dans un album chanté en anglais, en français et en espagnol. Lehna voyage. Sur son 1er opus, Valparaiso Bay, la compositrice-interprète s'accompagnait à la guitare, au violon et au charango. Cette fois-ci, elle s'est entourée d'une nuée de talentueux musiciens pour un album collectif. Cordes, cuivres, voix et percussions nous entrainent sur la ligne O, cette ligne de bus emblématique de la ville portuaire de Valparaiso au Chili, qui devient peu à peu une ligne d'horizon. Dans son écriture comme dans son interprétation, Lehna écarte tout artifice pour se concentrer sur l'émotion, le souffle, la main serrée très fort. Qu'elle chante en anglais, en espagnol, en français ou en roumain, elle nous parle de façon intime, pudique et vibrante à la fois. Il est question d'un être aimé, de la solitude, de la mémoire, de l'errance… Autant de préoccupations liées à une sincérité absolue. Le contraste entre une écriture folk dépouillée et la richesse des arrangements provoque une merveilleuse brèche dans le temps qui s'écoule. Lehna voyage et nous emmène sur la plus belle des lignes de bus : une ligne où les passagers conversent intensément et contemplent ensemble la beauté du monde.   Titres interprétés - La Rêvelinière, Live RFI Emmanuelle Parrenin - Cosecha, Live RFI Lehna voir le clip - Puise, extrait de l'album Targala, la maison n'en est pas une d'Emmanuelle Parredin - The Tide, Live RFI de Lehna - Entre Moi, Live RFI d'Emmanuelle Parrenin - Si Va Le Monde, extrait de l'album Ligne O de Lehna.   Musiciennes - Emmanuelle Parrenin, voix, épinette - Eat Gas, guitare, claviers - Lehna, voix, guitare, charango.   Son : Fabien Mugneret & Mathias Taylor.

Continuamos repasando la edición de 2021 del Festival Keroxen, celebrado en Santa Cruz de Tenerife, en el que escuchamos los directos de: Pierre Bastien, Monopoly Child Star Searchers, Muqata o Sun Araw Escuchar audio

Welcome adventurous listeners to the 19th episode of Anechoic Chamber. This is the second part of our two-part exposition of the work and thoughts of our guest Andrew McKenzie. Working since the 1970s, McKenzie is particularly known for his pioneering efforts to expand the vocabulary of recorded sound, which itself expanded into a mission to enhance all modalities of perception - this has been carried out with his flagship project The Hafler Trio as well as in collaboration with artists such as Clock DVA, The Anti Group, and Psychic TV. Though certainly not the only arrow in his McKenzie's quiver, his extensive performing and recording career has both informed, and been informed by, a host of other creative activities drawing upon knowledge from both techno-scientific and esoteric realms: working as a computer programmer before (as he reminds me) there were “pictures” on computer screens. Teaching Tibetan language and calligraphy (and some Sanskrit). Writing books, editing video, designing everything from graphics to instructional materials, and working as both a hypnotherapist and psychotherapist. One of his more recent and significant ventures, dubbed by him “complementary education,” fuses insights gleaned from all of these distinct experiences, and involves conducting 14-hour long sound workshops aimed at re-discovering the creative process in a world obsessed with nominalization (in other words, with the act of devaluing a process by conceptualizing it as a thing or object). After fruitful residencies in the Netherlands, Sweden, Iceland and elsewhere, McKenzie now resides in Estonia, from which he joined our host for the following conversation. This comes with the disclaimer that, despite capturing several hours worth of useful material for these next couple episodes, we still emerge with little more than a snapshot of a legitimately eclectic and evolving personality. Additional audio segues provided by Thomas Bey William Bailey intro music: Pierre Bastien, "Gypsy Rhythm" Artist link: linktr.ee/simply_superior Anechoic Chamber links Host: www.thomasbeywilliambailey.net Donate via Paypal: tbwb@protonmail.com

Welcome adventurous listeners to the 18th episode of Anechoic Chamber. This will be the first in a two-part exposition of the work and thoughts of our guest Andrew McKenzie. Working since the 1970s, McKenzie is particularly known for his pioneering efforts to expand the vocabulary of recorded sound, which itself expanded into a mission to enhance all modalities of perception - this has been carried out with his flagship project The Hafler Trio as well as in collaboration with artists such as Clock DVA, The Anti Group, and Psychic TV. Though certainly not the only arrow in his McKenzie's quiver, his extensive performing and recording career has both informed, and been informed by, a host of other creative activities drawing upon knowledge from both techno-scientific and esoteric realms: working as a computer programmer before (as he reminds me) there were “pictures” on computer screens. Teaching Tibetan language and calligraphy (and some Sanskrit). Writing books, editing video, designing everything from graphics to instructional materials, and working as both a hypnotherapist and psychotherapist. One of his more recent and significant ventures, dubbed by him “complementary education,” fuses insights gleaned from all of these distinct experiences, and involves conducting 14-hour long sound workshops aimed at re-discovering the creative process in a world obsessed with nominalization (in other words, with the act of devaluing a process by conceptualizing it as a thing or object). After fruitful residencies in the Netherlands, Sweden, Iceland and elsewhere, McKenzie now resides in Estonia, from which he joined our host for the following conversation. This comes with the disclaimer that, despite capturing several hours worth of useful material for these next couple episodes, we still emerge with little more than a snapshot of a legitimately eclectic and evolving personality. Additional audio segues provided by Thomas Bey William Bailey intro music: Pierre Bastien, "Caravan" and "Au Prado" Artist link: https://linktr.ee/simply_superior Anechoic Chamber links Host: http://www.thomasbeywilliambailey.net Donate via Paypal: tbwb@protonmail.com

In this installment of Mondo Jazz we check out the latest releases by the prolific French pianist Benoit Delbecq, the expanded version of Charles Mingus' 1974 legendary concert at Carnegie Hall, the textural work of Waxwing and the trio of Thomas Stronen, Ayumi Tanaka, Marthe Lea, and a couple of albums that may end up very high on the best of 2021 lists: the latest releases by Danilo Gallo and Tom Rainey. The playlist also features: Simon Moullier; Joel Frahm; Philippe Mouratoglou; Steve Argüelles; Pierre Bastien. Detailed playlist at https://spinitron.com/RFB/pl/13603965/Mondo-Jazz (from Simon Moullier onward). Happy listening!

Solénoïde (12.07.2021) - Prenez part à un voyage sonore insolite où vous serez conviés à découvrir les contrées imaginaires de PIERRE BASTIEN (le maestro des bande-sons "mécanoïdes"), PANTHA DU PRINCE (une figure singulière de la scène post techno), WOOB (un expert en post-electronica filmique) et AHLEUCHATISTAS, des acrobates de l'improvisation !

Come to the Caribbean    The Eloise TrioL'Ïle Fantastique -Série TV     Gene Levitt   1977Anna Macao   The Eloise TrioJe Suis Une Île    Halo MaudI Walked With a Zombie (Vaudou)   Jacques Tourneur   1943Die Die Die (Invocation - Zepaules)     Destiné Jeanleon    Haiti VaudouCoumbite (Suite no. 1)    Frantz CasseusAiguise l'aire de cette île    Pierre BastienLord of the Flies    Peter Brook   1963Pattes de mouches    Jean-Claude VannierLes gardes volent au secours du roi     Jean-Claude VannierFragment #2     MerzougaNarration    Count Ossie And The Mystic Revelation Of RastafariJamaica Day    FactionTales From Kiribati Island    Roberto Musci - Giovanni Venosta - Chris CutlerSavage Sea    The Pop GroupInaccessible Island   Nico MotteLes garçons sauvages    Bertrand Mandico   2017Zug Island   Kyle Hall & KeroLes Iles ("The Islands")    Lise Garnier   Phonetic Poetry On Spatialism    1962Island Of Woods    Ryuichi SakamotoJavan's Call   Darkstar    Foam Island

Programme de Pascal Deleuze, Pierre Bastien, Guillaume Séguron pour webSYNradio : « Rituel » Overdub. En avant première de leur concert au théâtre de la Carreterie à Avignon, nos trois artistes offrent aux auditeurs de webSYNradio un enregistrement overdub élaboré à partir des indications artistiques de Pascal Deleuze, initiateur du projet.

Straight out of South London is this week's Independent Music Podcast and Lewisham's favourite son Novelist, whose new EP has more than enough bangers to get us going this week. Elsewhere we have cinematic sounds from Israel's Markey Funk and the legendary Pere Ubu, danceable riddims from Portugal, blistering dubstep, and some stunning beautiful music from France. Tracklisting Novelist - Rowdy Riddim (self-release, UK) Markey Funk - The Old City (Som Recordings, Israel) Rien Virgule - Zanne Nel Velluto (Zam Zam Records, France) Von D ft. Blackout Ja - Dancehall Saga (Dub-Stuy, USA) Pere Ubu - The Road Ahead (Cherry Red Records, UK) Alex Figueira - Platanito (Music With Soul, Netherlands) Rui P. Andrade & Aires - Fuchsia Timelines (Colectivo Casa Amarela, Portugal) Odd Nosdam - FBT 14 (Home Assembly Music, UK) Tomaga & Pierre Bastien - Bandiera Di Carta (Other People, USA) Félicia Atkinson- Joan (Shelter Press, France)    Produced and Edited by Nick McCorriston. Hit him up for any and all audio work at nickamc.com and follow him on Twitter @nickamc  

What does a story sounds like? Is it possible to imagine a movie by listening to its soundtrack? Between the image in movement and the audience you can find Gianluca, a sound designer that tweaks your emotions and sensations creating soundscapes that let plot happen (@jean_soundesignstudio). The episode features: Jan Jelinek, Nadine Byrne, Visible Cloaks, Sun Araw, Simple Affections, Abyss X, Brinstaar, Ekkehard Ehlers, Pierre Bastien, Lucrecia Dalt, Solo Operator, Protect-U, Pilar Zeta, Objekt, Seth Graham, Holly Herndon, Miyako Koda, Benoit B, Kareem Lotfy, Autechre, Robert Wyatt and Mads Emil Nielsen.

The concept of this episode, compiled by our friend Stefan Rotter, can only be described by matching the artists' list with the explanation he provided us: “Constantly four tracks running (85%), it's like acoustic LSD and I never took it”. The episode features: Roberto Musci, Hanno Leichtmann, Vladislav Delay, Platform, Jon Hassel, Andrew Hill, Muta, Nick Mott, Eloping with the Sun, Luigi Nono, Chris Watson, The Dwarfs of East Agouza, Giuseppe Ielasi, Andrew Pekler, Jingzi Li, Luc Ferrari, Muslimgauze, Terre Thaemlitz, Rapoon, Gesellschaft Zur Emanzipation Des Samples, Jan Bang, Jay-dea Lopez, Takeshi Ueno, Kozutoki Umezo, Triorganico, Groupshow, Pierre Bastien, Akosh S Unit, Arthur Russell, Demdike Stare, Sun Ra, Philip Jeck, Janek Schaefer, Mike Cooper, Barbara Buchholz, Annette Vande Gorne, Moondog, Garry Bradbury, Marcel Duchamp, Bellows, Tim Hecker and more.

Nu Creative Methods (Lyon) 16'54'' Avec l'interview de Pierre Bastien, des extraits du LP du duo et d'une cassette italienne (ADN). Bernard Pruvost : saxos et divers, Pierre Bastien : contrebasse et divers.

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The fourth Serious Introspection episode @ IHME 2016 featured musician Pierre Bastien, curator Hamza Walker, and artists Päivi Raivio and Robin Ellis.

The release of the rather lovely new album by Japanese duo Lullatone (Soundtracks for Everyday Adventures) prompted us to seek out a selection of tracks either made with or inspired by toy instruments, clockwork machines and circuit bent toys. By … Continue reading →

Playliste de Pierre Bastien pour webSYNradio : avec Erik Satie, Brion Gysin, Allen Ginsberg, Paul Bowles, Tibor Szemzo, Steve Reich, Harry Partch, Josef van Wissem, George Brecht ...

Un big band mécanique L'impression de retrouver de vieux amis Le compositeur Pierre Bastien présente son orchestre : peigne, ciseaux, taille-crayons, Mecano... Des instruments bricolés pour sonner en toute liberté. Depuis 1978, ce multi-instrumentiste et ses petites machines sonores ont fait le tour du monde et joué avec les plus grands. Présentation émue avant leur concert à la Centrifugeuse de Pau, le 1er avril 2010 (et merci à toute l'équipe de la Centrifugeuse). Enregistrements : 30 mars-1er avril 10 - Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet - Réalisation : Jean-Baptiste Germain & Nicolas Perret