Podcasts about Social club

Après le prisme du « temps-paysage » avec la philosophe Bernadette Bensaude Vincent (épisode 240), nous voilà parti au cœur d'un autre double prisme passionnant : celui de la maintenance et des théories du soin appliquées aux choses avec Jérôme Denis, sociologue et Directeur du centre de sociologie de l'innovation à l'école des Mines Paris PSL.Cet épisode plaira à celles et ceux qui se questionnent sur les coulisses invisibles de notre monde matériel.1h10 d'entretien pour retracer une aventure intellectuelle absolument sensass et capitale pour penser demain !Tout commence par des recherches ethnographiques minutieuses sur la signalétique du métro parisien et l'effacement des graffitis en ville. Des enquêtes menées pendant des années avec son complice de recherche David Pontille.Au moment de conclure celle sur le métro, une interlocutrice leur lance presque par hasard : « Vous êtes allé voir les gars de la maintenance ? »Euh ??Ils rouvrent l'enquête et c'est là que leur théorie sur la standardisation immuable des panneaux s'effondre.Jérôme et David comprennent qu'ils n'avaient vu qu'une seule face de la réalité. La persistance apparente de la signalétique du métro cachait en fait un travail continu, une attention de tous les instants : celle des mainteneurs.Ce qui semblait immuable ne l'était QUE « parce qu'il existe des personnes qui s'en occupent ». Très justement on comprend que la maintenance n'est pas un détail technique, mais l'autre versant de la vie des choses.Dans l'épisode Jérôme Denis nous raconte comment cette découverte les a conduits à :-comprendre que la fragilité n'est pas un défaut mais une condition normale des objets-développer le concept de maintenance comme "geste attentionnel"-fonder avec d'autres chercheurs les Maintenance & Repair Studies-écrire « Le Soin des Choses », un livre qui rencontre un écho surprenant chez les jeunes architectes-favoriser l'innovation par le soin plutôt que par la rupture.Une interview passionnante qui nous aide à retrouver le goût de ce qui dure !Belle écoute !Ci-dessous qqs petites citations ++ de mon invité :« L'histoire des rapports entre objets, technologies et humanité(…) est celle des gens qui maintiennent, plutôt que simplement des gens qui créent. »« La maintenance est dans une continuité transformatrice.»« La réparation met en scène une sorte de binarité, un événement, une casse et quelque chose qui vient restaurer l'ordre du monde. (…)Alors qu'avec la maintenance, il n'y a pas de héros (…) On ne peut pas inaugurer et couper un ruban rouge parce qu'on a maintenu un truc.(…) Et il n'y a pas d'événements. Quelque chose qu'on maintient, le lendemain, il faut continuer de le maintenir. C'est toujours conjugué au présent. »RDV du 9 au 11 octobre 2025, la biennale "Nous sommes le paysages" à Oloron-Sainte-MarieJérôme Denis interviendra le samedi 11 octobre à 14 :00 dans une table ronde "Économie & écologie" aux coté d'architecte et de philosophe et animé par le réalisateur Dominique Marchais.Ouvrages :Le soin des choses, Co-écrit avec David Pontille (2022) Éditions La DécouvertePetite sociologie de la signalétique, Co-écrit avec David Pontille (2010) Presses de l'École des MinesLe travail invisible des données (2019) Presses des MinesBlog collectif Scriptopolis consacré à l'écriture et aux inscriptions matérielles, Co-fondé et animé avec David Pontille et d'autres.(devenu un livre collectif en 2019). == Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !

After a long, busy hiatus, our righteous cinema king Cobbina is back on the mic! This week, he recaps what he's been up to these past two years & talks about the new direction KTR will be taking, ushering in an exciting, new chapter of the podcast. The Reelers' Social Club launching soon exclusively on Substack.Follow Cobbina on these socials here:Instagram: https://www.instagram.com/cobbinaappiah/BlueSky: https://bsky.app/profile/cobbinaappiah.bsky.socialLinkedIn: https://www.linkedin.com/in/cobbinaappiah/Letterboxd: https://letterboxd.com/cappiah13/SUBSCRIBE to YouTube: https://www.youtube.com/@keepingthingsreelpodFollow us on Instagram: https://www.instagram.com/keepingthingsreelpod/BlueSky - Coming SoonKeeping Things Reel is a SPINMASTER MEDIA podcast created, hosted, and produced by Cobbina Appiah. based in New York City & New England.

Rockets Padel & Social Club in Ballito offers world-class courts, a kids' area, and a social restaurant, blending sport and community. As a #LoveNorthCoast partner, it promotes padel's growth and the region's lifestyle appeal. Radio Life & Style on Facebook · The Morning Show Sponsor: Excellerate Security

Bernadette Bensaude Vincent est une grande dame des sciences humaines, dont la voix contribue à redéfinir notre rapport au monde et rend possible le beau de réserve que j'appelle ici et à travers tous mes projets, de nos vœux.Elle n'est pas seulement une historienne et philosophe des sciences parmi les plus respectées au monde, elle est aussi une penseuse libre et une humaniste engagée.Elle rappelle depuis de très nombreuses années que la science et la chimie de synthèse ne valent que si elles sont pensées avec et pour le monde, et non contre lui !J'aime sa rigueur et le jusque-boutisme de sa pensée qui ne se contente pas d'analyser les savoirs, aussi impressionnants soient-ils, mais qui interroge leurs finalités, leurs dérives et leurs responsabilités.Depuis plus de quarante ans, elle explore les fondements de la chimie, des technologies et des matériaux, en les mettant en dialogue avec les enjeux écologiques, sociaux et éthiques qui sont les nôtres aujourd'hui.Elle défend une pensée connectée au vivant, aux rythmes du systeme Terre.Sa parole est précieuse parce qu'elle est libre. Libre des appartenances disciplinaires, des chapelles. Elle critique d'ailleurs ouvertement les logiques extractives, technocratiques ou court-termistes qui ont déconnecté la science de la sagesse.Elle nous rappelle que comprendre la matière, c'est renouer avec une généalogie vivante, relier l'humain à ce qui l'entoure.Pour moi, dans cette époque troublée par les crises écologiques, la perte de sens et la fragilité de notre espèce, Bernadette Bensaude-Vincent ouvre des chemins, éclaire, structure et réveille… nos consciences.Elle nous apprend à écouter les choses, à penser le temps autrement, à redonner un rôle aux matériaux, pas comme de simples ressources, mais comme des partenaires de composition !Ecouter et lire les « choses » qui composent notre monde comme des entités dotées de rythmes, de trajectoires, de durées propres…voilà ce qui est révolutionnaire d'après moi dans sa pensée !Dans sa pensée, les matériaux ne sont plus des stocks ou des flux passifs. Elle nous invite à travailler avec eux en ayant l'entendement de leur ligne de vie et du coup des différentes carrières que ces derniers peuvent avoir durant leur vie…qui est sur des échelles bien différentes de la nôtre de vie.Dans son ouvrage extraordinaire « Temps Pysage », Bernadette Bensaude Vincent propose une vision radicalement nouvelle qui donnera un nouveau souffle à toutes celles et ceux qui, au quotidien, mettent en oeuvre de la matiere (quelque soit les échelles).== Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !

Hello and Welcome to The Passenger Seat Podcast, a podcast designed to fill your passenger seat with a chat about classic cars, all recorded from my 1968 Morris Minor, Peggy.In today's episode, I tell you about the absolutely fantastic time that was had by the Women Driver's Social Club at the Bedfordshire Steam and Country Fayre Instagram - https://www.instagram.com/thepassengerseatpodcast/?hl=en Twitter - https://twitter.com/PassengerSeatP Facebook - https://www.facebook.com/ThePassengerSeatPodcast Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Si vous avez déjà douté de l'impact de vos gestes, cet épisode est pour vous !J'y partage pourquoi, selon moi, ce que certains appellent de petits gestes de pigeon, naïfs et insignifiants… contiennent en leur sein une puissance incommensurable de contagion positive.J'aime les commencements. D'ailleurs, cet été, j'ai reconnecté avec la pensée de Hannah Arendt sur ce sujet et j'ai aussi découvert les commentaires d'Etienne Tassin qui ont pas mal résonné (cf cette vidéo Youtube).J'aime l'idée de devenir le "patient zéro" de notre propre nouvelle norme, de notre bon sens qui s'impose à nous face à une cascade de choses qui nous apparaissent aujourd'hui ubuesques.Être son « patient zéro », parfois, c'est aussi le moyen de donner à quelqu'un d'autre l'autorisation, l'opportunité de faire autrement, de tester quelque chose de nouveau, d'acquérir une nouvelle corde à son arc.Et ça peut être aussi bêtement qu'un artisan pour qui on fait travailler et à qui on demande de tester une nouvelle technique (la pose d'une peinture écologique non toxique qui ne s'applique pas de la même manière que les peintures traditionnelles, la pose d'un isolant en chanvre qui se fait bien différemment des isolants standards, etc.).Il est impossible de quantifier ce que crée cette "réciprocité mimétique" qui s'enclenche quand on commence par soi.Tout est à parier qu'elle est bien plus puissante que les leçons « Y'a qu'à… Faut qu'on… ».

L'épisode (gratuit) de Yves Citton (#238) est un épisode essentiel pour tous ceux qui sentent que quelque chose cloche mais qui n'arrivent pas à mettre le doigt dessus !

Monday vibes! EZ Money We check in with Connor who got the WAH’s ‘25 tattoo Harrison shares his amazing new tā moko with us 5 Star Fact Bird of the year Harrison’s audition (ft. Steph) Steph & Harrison pitch hypothetical Game Show’s…

This is the Vitalmoments Wrap Up for Sunday September 14th, for the Vitality series.Get ConnectedWebsite: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠vitalpointchurch.com⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠@vitalpointchurch⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠YouTube: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Vitalpoint Church⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Sunday's at VitalpointPoplar Hill - 8:15AM, 9:30AM & 11:15AMExeter - 10:00AMClinton - 9:30AMForest - 10:00AMOnline - 10:00AMWant to support Vitalpoint financially?E-transfer accounting@vitalpointchurch.com

Matthew 28:16-20Now the eleven disciples went to Galilee, to the mountain to which Jesus had directed them. When they saw him, they worshiped him, but they doubted. And Jesus came and said to them, “All authority in heaven and on earth has been given to me. Go therefore and make disciples of all nations, baptizing them in the name of the Father and of the Son and of the Holy Spirit and teaching them to obey everything that I have commanded you. And remember, I am with you always, to the end of the age. We are party deprived. That's the argument Ellen Cushing makes in a wonderful little article in The Atlantic earlier this year. On any given weekend or holiday, only 4% of Americans hosted or attended a social event. Polling shows most people like the idea of parties, but nobody wants to host them. Maybe that sounds familiar.None of this should surprise us. More than any other time in modern history, adults spend less time with friends and more time alone—and we're strangely okay with it. In fact, we often prefer it. Confined to our couches, transfixed by our phones, feeding on the stories our screens serve us. Simply put: we need more parties.And yes, that's part of my response to today's question: is the church a mission center or a social club? This is the second-to-last week of our Asking for a Friend series. And we have covered lots of big topics. But today the question is both what should the church with a capital C—the universal body of Christ across all time and space—be, but also the lowercase c church: Cross of Grace. What are we? A mission center or a social club?Someone was looking at the list of questions a couple weeks ago and began laughing out loud. Oh no, I thought, we made a typo. But then they turned to me and said “who's preaching on the 14th?”. I lied and said I don't know because depending on why they laughed I might have changed it. But this person said well because it'll be the easiest answer of them all. I said “why is that?” and they said because the answer is yes!It is both a mission center and a social club. I'm sure many of you think so, too. But if I had to guess, most would say the church needs to be a mission center:the place that equips, educates, empowers, and then sends out not just people but disciples to share the gospel in word and deed. That's what Jesus commands in the Great Commission: Go, baptize, make disciples.Here at Cross of Grace, that language is familiar. Nearly 25 years ago, when we were just getting started in the school and knocking on doors, we called ourselves a mission center—even without a building. It's also why we call ourselves Partners in Mission, not members. Members join to consume. Think wellness center, country club, or book club. But partners engage to participate. And this mission of sharing the grace of Jesus Christ, with no strings attached, depends on your participation.It just so happens that church is also a social club. And sometimes we feel guilty about that—like fellowship is less important than mission, or just a by-product of “real” church work. But here's the problem: too often we treat mission and worship like consumers. We show up, get what we think we need, and leave. That makes faith transactional—something we “use” to make ourselves better.So maybe the real question is: should mission always come first, and fellowship second? I don't think so. I don't think that's what the Bible shows us, either. Which is why today I want to come to the defense of church as a social club, because fellowship is not secondary. It's essential.Keep in mind, when we talk about church as a mission center or social club, we're talking in metaphors. And metaphors are helpful—they give us new ways of seeing something familiar. But no single metaphor ever tells the whole story. Take the old saying that the church is a “hospital for sinners.” It sounds good, but if we lean on it too hard, church becomes just a place you visit when you're sick, get patched up, and leave until the next problem. Every metaphor has limits. Whether we call the church a hospital, a mission center, a social club, or one of the thousand other metaphors we use. At best, they point us toward the deeper truth: the church is a community of flawed people, gathered by God, given the gift of grace in Jesus Christ.This gift of grace doesn't just forgive us; it transforms us. It places us in relationship with God, and that changes who we are. As Isaiah says, we become a light that reveals the source of our gift, a lens that offers a new way of seeing the world. We become liberators for those held down by oppression. That is what Jesus did, and that becomes our mission too—not because we have to, but because we can't help but share what we ourselves have received.But that kind of work is never easy. It is hard, long, dangerous, and exhausting. Which is why the grace of God doesn't just send us out—it also gathers us in. It gives us each other. Because if we're going to live into this mission for any length of time, we will need fellowship.That's exactly what we see in Acts. After hearing Peter proclaim the grace of Jesus, the people were moved. But notice what they did next: they didn't scatter to form food pantries or community centers. Instead, they devoted themselves to eating and praying together. In just five verses, Acts gives us five reminders of the early church's desire simply to be with one another. Fellowship wasn't an afterthought, and it didn't come after mission. The two rose up together, side by side, as the Spirit's gift to the church.To me, the bigger miracle of Pentecost wasn't that people suddenly spoke in languages they had never learned. The real miracle was that people actually wanted to be with one another. Can you imagine such a thing in the year of our Lord 2025? Fellowship be damned—we'd rather be alone. Or maybe the deeper truth is we don't really know how to be together anymore. And that's exactly why I want to defend the Church—this church—as a social club for this moment in time. Because if we don't know how to be together, then practicing fellowship is the mission. At a time when political violence is rising, when fear of our neighbors is the default, when anxiety and loneliness feel normal—and we're largely okay with that—the work the church is called to right now is fellowship itself.And if you think that's not biblical, Jesus should did spend a lot of time eating and drinking with people… so much so that he was known as a glutton and a drunk. And the people weren't just his disciples, but those who were different from him in every imaginable way.Maybe if we spent more time together, if we ate and drank more together, if we learned how to talk and listen to one another, if we began to see the image of God in each person, we wouldn't feel the need to tear each other apart over political disagreements. I know that's an over simplification, but I also believe it's true. What's really happening at our social gatherings—brew club, Mardi Gras, Oktoberfest, moms' night, or anything else—is that the grace of Jesus Christ is shaping us. It's teaching us to be a people who want to be together.This desire is not soft sentimentality. It's the work of the Spirit: forming in us a determination to care for our neighbors and seek their good, even when they are different, indifferent, or opposed to us. Grace gives us the desire—and the courage—to be in the company of one another. And when we do, we begin to see the face of God in every person, whether a Partner in Mission, a neighbor, a friend, a Democrat, a Republican, a president, pundit, and more.The Church is constantly reforming how we meet the needs of our neighbors and the world around us. Right now that looks like more parties and more fellowship—especially with people who don't look, act, think, believe, or behave like us. Yet, what never changes is what we offer. The church, this church, always offers the grace of Jesus, with no strings attached. We offer it at the font, at the table, through the resources we share, and yes, through the fellowship that binds us together in Jesus Christ our Lord. Amen.

Les abonnés au Social Club profitent de l'interview complète en une seule écoute : ici pour t'abonner !Le beau fait sa crise de sens. Est-ce lié à l'autre grande crise du moment : la crise de notre attention ?Nous scrollons, nous zappons, nous consommons du visuel à haute dose. Mais voyons-nous encore vraiment ? Le « beau » qui nous est servi à grand renfort d'algorithmes est-il encore le nôtre ? Celui qui nous correspond ? ou n'est-il qu'un désir formaté, uniformisé, conçu pour engager plutôt que pour éveiller ?Pour la première fois dans ce podcast, nous ouvrons une porte essentielle : celle de l'architecture invisible du beau et pour nous éclairer sur ce sujet, je reçois Yves Citton.Professeur de littérature, penseur, théoricien des médias et grand spécialiste de l'écologie de l'attention, Yves Citton explore depuis vingt ans les mécanismes qui captent notre temps, modelant en secret nos sensibilités, nos affects et… nos goûts.Dans cet épisode, on décrypte la machine à produire du « likable » et on explore comment reprendre le lead sur notre attention ?On apprend pourquoi l'attention est l'un des premiers leviers du changement.Comment vouloir protéger ce que l'on ne voit même pas ? Comment désirer un potentiel en dormance si on ne sait plus comment retrouver la capacité à sentir les signaux faibles du monde ?Notre attention est notre « matière première" la plus précieuse nous rappelle Yves Citton. Se poser la question "À quoi est-ce que je consacre mon attention aujourd'hui ?" devient un acte de respect et de soin pour nous-même. Une conversation passionnante dans laquelle on redécouvre à quel point nous avons un pouvoir d'agir, à quel point ce à quoi nous choisissons de prêter attention fait le monde !Yves Citton est l'auteur de L'Économie de l'attention (Seuil), Médiarchie(Seuil), ou encore Faire avec (Le Seuil, 2022).Dans l'épisode on parle aussi de l'auteur Hartmut Rosa et son livre : « Résonance, une sociologie de la relation au monde. »== Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !

PART 1 de l'interview ! (Les abonnés au Social Club profitent de l'interview complète en une seule écoute : ici pour t'abonner!)Le beau fait sa crise de sens. Est-ce lié à l'autre grande crise du moment : la crise de notre attention ?Nous scrollons, nous zappons, nous consommons du visuel à haute dose. Mais voyons-nous encore vraiment ? Le « beau » qui nous est servi à grand renfort d'algorithmes est-il encore le nôtre ? Celui qui nous correspond ? ou n'est-il qu'un désir formaté, uniformisé, conçu pour engager plutôt que pour éveiller ?Pour la première fois dans ce podcast, nous ouvrons une porte essentielle : celle de l'architecture invisible du beau et pour nous éclairer sur ce sujet, je reçois Yves Citton.Professeur de littérature, penseur, théoricien des médias et grand spécialiste de l'écologie de l'attention, Yves Citton explore depuis vingt ans les mécanismes qui captent notre temps, modelant en secret nos sensibilités, nos affects et… nos goûts.Dans cet épisode, on décrypte la machine à produire du « likable » et on explore comment reprendre le lead sur notre attention ?On apprend pourquoi l'attention est l'un des premiers leviers du changement.Comment vouloir protéger ce que l'on ne voit même pas ? Comment désirer un potentiel en dormance si on ne sait plus comment retrouver la capacité à sentir les signaux faibles du monde ?Notre attention est notre « matière première" la plus précieuse nous rappelle Yves Citton. Se poser la question "À quoi est-ce que je consacre mon attention aujourd'hui ?" devient un acte de respect et de soin pour nous-même. Une conversation passionnante dans laquelle on redécouvre à quel point nous avons un pouvoir d'agir, à quel point ce à quoi nous choisissons de prêter attention fait le monde !Yves Citton est l'auteur de L'Économie de l'attention (Seuil), Médiarchie(Seuil), ou encore Faire avec (Le Seuil, 2022).Dans l'épisode on parle aussi de l'auteur Hartmut Rosa et son livre : « Résonance, une sociologie de la relation au monde. »== Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !

PART 2 de l'interview ! (Les abonnés au Social Club profitent de l'interview complète en une seule écoute : ici pour t'abonner!)Le beau fait sa crise de sens. Est-ce lié à l'autre grande crise du moment : la crise de notre attention ?Nous scrollons, nous zappons, nous consommons du visuel à haute dose. Mais voyons-nous encore vraiment ? Le « beau » qui nous est servi à grand renfort d'algorithmes est-il encore le nôtre ? Celui qui nous correspond ? ou n'est-il qu'un désir formaté, uniformisé, conçu pour engager plutôt que pour éveiller ?Pour la première fois dans ce podcast, nous ouvrons une porte essentielle : celle de l'architecture invisible du beau et pour nous éclairer sur ce sujet, je reçois Yves Citton.Professeur de littérature, penseur, théoricien des médias et grand spécialiste de l'écologie de l'attention, Yves Citton explore depuis vingt ans les mécanismes qui captent notre temps, modelant en secret nos sensibilités, nos affects et… nos goûts.Dans cet épisode, on décrypte la machine à produire du « likable » et on explore comment reprendre le lead sur notre attention ?On apprend pourquoi l'attention est l'un des premiers leviers du changement.Comment vouloir protéger ce que l'on ne voit même pas ? Comment désirer un potentiel en dormance si on ne sait plus comment retrouver la capacité à sentir les signaux faibles du monde ?Notre attention est notre « matière première" la plus précieuse nous rappelle Yves Citton. Se poser la question "À quoi est-ce que je consacre mon attention aujourd'hui ?" devient un acte de respect et de soin pour nous-même. Une conversation passionnante dans laquelle on redécouvre à quel point nous avons un pouvoir d'agir, à quel point ce à quoi nous choisissons de prêter attention fait le monde !Yves Citton est l'auteur de L'Économie de l'attention (Seuil), Médiarchie(Seuil), ou encore Faire avec (Le Seuil, 2022).Dans l'épisode on parle aussi de l'auteur Hartmut Rosa et son livre : « Résonance, une sociologie de la relation au monde. »== Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !

Je vous dévoile le programme des prochains mois : des interviews FONDA avec des sommités que vous n'entendrez nulle part ailleurs en podcast, des sujets qui vont secouer les idées reçues, et les directions que j'ai décidé d'assumer pleinement pour faire évoluer le podcast. Préparez-vous, la suite va être intense !== Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !

Eric Bowen is a husband, dad, entrepreneur, and recovering corporate executive who spent two decades leading in the corporate world before deciding to challenge himself and build something of his own. Now the co-founder of Bermuda Club, he's focused on creating spaces where connection, wellness, and business collide—without the country club pretension or big-box gym vibe. Beyond the club, Eric invests in real estate and business ventures while teaching his kids that money is a tool for freedom, not a treadmill for trading time. When he's not working, he's happiest near the ocean or on the golf course, chasing balance over busyness.Expect to learn:Why Eric left the corporate world as a Vice President to become an entrepreneur Why his 13-year old son just attended a resilience and mental toughness bootcamp What the Bermuda Club is and why you should joinWhy Eric thinks that responsibility and purpose are connectedAnd much more. You guys are going to love this one. Eric is an absolute legend and someone that I look up to immensely. Enjoy!Shownotes:Bermuda Club on Instgram: https://www.instagram.com/bermudaclubs/?hl=en

Welcome back to Catwalk Through Life!In today's episode, I'm so excited to be chatting with a very special guest! My old Muay Thai coach, Andy Le! Andy is extensively trained in the combat sport and martial art form of Muay Thai with over a decade of experience. He's a well-respected instructor owning his own gym in Seattle, WA, Muok Boxing and Social Club. Andy is a Doctor in Physical Therapy as well and implements that in catering to the unique needs of each student. Andy believes that all coaches and students are equals in many ways, that those who train with him are priorities at his gym, and that you can make meaningful connections via training together. This definitely reflects the way he operates Muok Boxing. I catch up with Andy about his experience in Muay Thai, the importance of training in general, and what makes Muok Boxing different from other gyms. I love the words of wisdom he shares and when he shares ways to connect practicing martial arts to making decision in your daily life.Learn from Andy in this awesome interview!Enjoy!***Becoming the mom you desire to be doesn't have to be hard. Let me help you with my Becoming That Mom guidebook! 8 focuses, 15 pages that can elevate your life, links to my favorite go-to's, and free bonus material: Water Tracker, Daily Journal Prompts & more! Get yours here: https://stan.store/CatwalkThroughLifeBone broth is so beneficial to your health containing protein, collagen, electrolytes, and amino acids. It's important to get the best quality bone broth when adding it to your glow up routines! My absolute favorite is from Bare Bones. The best on the market if you ask me and so affordable and convenient. Order it here: https://www.barebonesbroth.com/RASHI24890 ***Helpful Links:Muok Boxing Website: https://www.muokboxing.com/Muok Boxing IG Page: https://www.instagram.com/muokboxing/Catwalk Through Life Instagram Page: https://www.instagram.com/catwalkthroughlife Catwalk Through Life Facebook Group: https://www.facebook.com/groups/726602181696067Catwalk Through Life Blog: https://www.catwalkthroughlife.com Rashi Stephens-Charlton Instagram Page: https://www.instagram.com/rashistephens Free Morning Routine Checklist for a good morning! Click here: ⁠⁠https://catwalkthroughlife.com/2023/06/20/free-30-min-morning-routine-checklist⁠⁠*****Disclaimer: Please know that any advice given is just a suggestion and what my guest has suggested to his own students. This is not medical advice for anyone. Please consult your doctor for medical questions and use your best judgement on what's best for you. The intent behind this episode is to merely share information and try to help anyone we can! :)

TROY IS BACK. OR SHOULD I SAY... BIONIC TROY

City Council has approved a plan to rezone midtown Manhattan, opening the door to add thousands of new housing units. The Attorney General of New York is suing the parent company of Zelle. Plus, a new social club for people who love a good coincidence. And finally, WNYC's Arun Venguopol looks into new data that finds New York City has bounced back from pandemic lows.

There's a list of local artists featured on the walls of Shanklin Hall, which serves as an art gallery for regional talent thanks to co-founder and curator Imani Shanklin Roberts.

History - Made by Immediate. Made possible by The Heritage Fund

Le site de l'Hôtel des Horlogers : https://www.hoteldeshorlogers.com/frLe compte instagram de l'Hôtel des Horlogers : https://www.instagram.com/hoteldeshorlogers/RDV POUR LE CONCOURS SUR https://www.instagram.com/heleneaguilar_?igsh=YXNudnBpYjdrZDQ2Rejoins-moi dans le Social Club ! Un format plus brut, plus intime, où je partage ce que je ne dis nulle part ailleurs :• les dessous de mes rencontres• des réflexions sur l'art de vivre du new normal : beau et soutenable• des gestes simples mais puissants du quotidien• des pistes concrètes pour aligner goût et éthique lorsqu'on esthète, design, art et architecture lover !

In this episode, we sit down with Dylan Cavaliere and Ryan Saunders of Altos Mensa, a social club designed to connect and inspire young professionals, entrepreneurs, and creatives in Huntsville and beyond.Dylan and Ryan share the story of how Altos Mensa began—from early podcast collaborations to recognizing a gap in fun, engaging networking opportunities for 20- and 30-somethings. They walk through their first event, the lessons learned from over-preparing, and how they've refined their approach to create meaningful connections without losing the fun.The conversation also covers:Why Huntsville's young professional scene is ready for more than just “engineers and rocket scientists”The challenge of launching in two cities and why they're focusing on building in Huntsville firstHow running events has sharpened their leadership, entrepreneurial skills, and networksThe launch of the Altos Mensa membership card and community calendar as tools to keep members connected and engagedWhether you're a young professional looking to grow your network, an entrepreneur interested in community building, or just curious about how a small idea can grow into a movement, this episode offers inspiration, practical insights, and a behind-the-scenes look at creating something new from the ground up.Learn more about Altos Mensa and upcoming events at altosmensa.club or on Instagram at @altos.mensa.SponsorYellowhammer is a local craft brewery serving Huntsville for the past 14 years. They are known for their premium craft beers like T-Minus and Rebellion, but what you might not know is they also offer spirits, wine, seltzers, and non-alcoholic drinks. Next time you stop by their location try one of their seasonal cocktails made with Gemini Bourbon or Yellowhammer Vodka. Or try this year's big hit, Pineapple Punch seltzer. You can find out more information about Yellowhammer Brewing by visiting their website ⁠⁠⁠⁠https://www.yellowhammerbrewery.com⁠⁠⁠⁠ or visiting their taproom located at Campus 805.MusicAny Day by Them Damn Dogs⁠⁠⁠⁠ https://open.spotify.com/artist/3HrncTSw4a7J9YiyMIxHdu?si=qw6Df7J6SwKm6-WOEc7U7w

THE CREW COMES UP WITH WAYS TO FIX VARIOUS THINGS

Rejoins moi pour réinventer l'art de vivre dans le SOCIAL CLUB, j'ai TOUT simplifié !

Send us a textKing Hap and Taco break down position by position this years guys to get, sleepers, and the King Hap Stay Away Orders!!!These guys and the VIPS have a blast during one of the most fun and popular shows of the year!This show was also LIVE on the Fantasy Sports network and all Happy Hour Platforms!This episode was recorded live on the network infront of Happy Hour V.I.P.sIf you want to be part of the live tapingsfollow us on Twitchhttps://m.twitch.tv/thehappyhourscorwww.TheHappyHourSocialClub.comAS ALWAYSThe Happy Hour is brought to you by the official Top Shelf Alcohol of the Happy Hour!CLEARWATER DISTILLERY https://shop.clearwaterdistilling.com/PROMO CODE KINGHAP SAVES 10% Liquid I.V.WOW..... NEW  SUGAR FREE FLAVORS!!!

Dans cet épisode, je t'invite à plonger dans l'univers de Cédric Pollet, un botaniste-photographe pas comme les autres, qui nous révèle les arbres comme tu ne les as probablement jamais vus.Il existe de nombreux photographes de nature, de forêts, d'arbres… mais Cédric est le premier à avoir consacré tout son travail à un sujet unique : les écorces.Quels arbres ont les plus belles écorces ? À quoi servent-elles ? Qu'ont-elles à nous apprendre sur la vie des arbres… et sur le fonctionnement même du vivant sur Terre ?Depuis 25 ans, Cédric explore ce territoire de textures, de formes et de couleurs. Je t'ouvre la porte, dans cet épisode, à son univers botanique fantastique.Les écorces, nous en croisons tous les jours, et pourtant elles restent un sujet peu étudié par les scientifiques. Nous sommes à l'aube de découvertes passionnantes, et Cédric nous explique pourquoi.Son credo est simple et puissant : quand on aime quelque chose, on le protège. Avec ses photographies, il veut que notre regard change, que la beauté des arbres nous touche… pour que nous les aimions davantage, et que nous ayons envie de les défendre.De l'« écorce à bisous », aux écorces qui concentrent toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, en passant par la redécouverte de savoir-faire anciens comme le tissage d'écorces de tilleul… cet épisode est une promenade pleine de merveilles inattendues.Très belle écoute—Les dates des prochaines expositions de Cédric : https://cedric-pollet.com/fr/exposLe lien pour découvrir ses livres : https://cedric-pollet.com/fr/livres

Rodger Deevers knows he’s a lucky man. He’s a financial advisor in Eugene with all his basic needs met — and then some. But two years ago, after he and his wife took a vacation to the island of Curaçao off the Venezuelan coast, he wanted to bring some of the sense of community and vibrant public art back to the Eugene-Springfield area — and contribute to area nonprofits.    He says he didn’t know quite how to begin, so he just started with an idea for one mural, at nonprofit NextStep Recycling, and decided to see if people were interested in helping him paint it. Dozens of people showed up — and the nonprofit was thrilled to have a mural on a space that would otherwise have remained unadorned. Deevers calls the project Lucky Enough Social Club, and now has a system of sorts, and volunteers who show up to paint. But he does most of the legwork, outreach and designing of the mural, in collaboration with whatever nonprofit is getting painted.  He says he’s seen the transformative power of creativity in the people who show up to volunteer, and calling attention to mental health and suicide prevention is one of the biggest motivations driving him. We hear more from Deevers about the creation of the club and how he hopes to see it grow in the future.