French film director
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4 episodes with bertrand mandico
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The Wild Boys by Bertrand Mandico from 2017 is about five likely lads who murder their English teacher and get sent off to a tropical island where weird shit happens. My old co-host Mallory Schjølberg joins me to talk about it. Enjoy! The recommendations for this episode are: "Tallahassee" (album) by The Mountain Goats "Detransition, Baby" written by Torrey Peters
Irgendwo im nirgendwo irgendwann zu Beginn des 20. Jahrhunderts leben fünf reiche, verzogene Jungs, die versuchen, ihre Langeweile mit Exzess zu betäuben. Aus Begehren wird Raserei und die Bande begeht ein schreckliches Verbrechen. Sie werden verurteilt und sollen zur Resozialisierung mit einem bärtigen, ruppigen Kapitän auf See. Die Überfahrt soll sie zu neuen Menschen machen, so zumindest das Versprechen. Über die rauhe See bringt sie der Kapitän zu einer Insel der Lüste, bevölkert von phallischen und vulvischen Pflanzen… und einem Dr. Moreau in einem Frauenkörper, der aber im Gegensatz zum viktorianischen Vorbild nicht an der animalischen Seite des Menschen interessiert ist, sondern seiner feminen. Und so erleben die Jungs einen Sex- und Genderswap, der sie in der Tat zu neuen Menschen macht… oder auch nicht. The Wild Boys von Bertrand Mandico aus dem Jahr 2017 ist so etwas wie Clockwork Orange auf Aphrodisiaka. Eine hitziger, sexuell aufgeladener Fiebertraum, erzählt in schwarzweiß mit grellen Farbintermezzi. Gewalttätig, stilisiert, queer und provokant, so als hätten Alejandro Jodorowski, Judith Butler und Charles Baudelaire einen hypersexuellen Bastard gezeugt. Die Jungs werden ausnahmslos von Frauen gespielt, erleben irgendwann auch in der Handlung körperliche Transformationen und erleben das ganze, ähnlich wie das Publikum sowohl als Traum als auch Alptraum. Sehr surreal, sehr romantisch, sehr brutal und zugleich sehr eskapistisch. Johannes, deine Skepsis gegenüber experimentellen, surreal opulenten Filmen hast du in der Vergangenheit des Öfteren bewiesen. Und ich kann mir vorstellen, dass die Vermengung von Sexualität und Gewalt in diesem Film für dich problematisch ist. Also komm doch einfach mal mit deinen ersten Eindrücken.
This week on the show that talks about stuff on purpose, your hosts Dustin & Ky are discussing gonzo symbolist director Bertrand Mandico's latest cinematic phantasmagoria, 2023's She Is Conann, a truly novel spin on the well-worn story of everybody's favorite barbarian. Is the movie any good? Does that matter? Let's have a conversation! She Is Conann is currently streaming on AMC+. Visit the official TRAPPO blog (CLICK HERE) and tell us what you think of Bertrand Mandico's startlingly imaginative film. While you're there, feel free to share some recommendations of your own, which we always appreciate. If you'd prefer to share your thoughts in an email, CLICK HERE to do just that. We're also on Threads, and if you're on Threads, then CLICK HERE to follow us on Threads and we'll probably follow you back on Threads. And CLICK HERE to subscribe (for free) to The TRAPPO Town Gazette, a weekly newsletter that drops every Wednesday. You'll love it! Thanks for listening! (Programming note: there will be no new episode next week, as TRAPPO is taking the Thanksgiving holiday off for a change. We'll be back with a brand-new episode on Friday, December 6th.)
Hola Gerardo aquí en otro episodio de Simplemente Yo; La selección de esta semana es She is Conann, es una película de acción y fantasía, dirigida por Bertrand Mandico y estrenada en 2023. Es Una versión feminista de Conan el Bárbaro, la película retrata etapas a lo largo de la vida de Conann, interpretadas por cinco actrices diferentes. Plot: La vida de Conan en sus diferentes etapas se muestra con una estética y ritmo diferente desde la época sumeria hasta el futuro cercano. Espero que lo disfruten ;) Información adicional del podcast: Enlace del website official de Filmic Notion Podcast: https://filmicnotionpod.com/ Enlace a nuestra página de Letterboxd: https://boxd.it/446nl
ContemporaryPerformance.com and the Sarah Lawrence College MFA Theatre Program produce the SLC Performance Lab. During the year, visiting artists to the MFA Theatre Program's Performance Lab are interviewed after leading a workshop with the students. Performance Lab is one of the program's core components, where graduate students work with guest artists and develop performance experiments. Juliana Francis Kelly is interviewed by K Stanger (SLC'24) and produced by Julia Duffy (SLC'25) Juliana Francis Kelly is an OBIE award-winning actor who has performed in the U.S., Europe, and Asia. She has worked for both emerging and legendary theater artists, including the late Reza Abdoh, Richard Foreman, Young Jean Lee, Karin Coonrod, Anne Bogart, Kelly Copper and Pavol Liska, Normandy Sherwood, Charlotte Brathwaite, Bryan Doerries (for The Theater of War) and many others. She has appeared in films by Hal Hartley, Bertrand Mandico, Tatyana Yassukovich, and Marie Losier in collaboration with Guy Maddin. www.julianafranciskelly.net
Tournée en split-screen, ce long métrage en deux parties est la réunion de deux essais filmiques, Petrouchka et La Déviante Comédie. Le premier volet est une relecture du ballet de Stravinsky, le deuxième est constitué des traces dʹun spectacle inédit répété au Théâtre des Amandiers. Etrange, expérimental, ovniesque, bref, un film de Bertrand Mandico. Du 7 au 17 août 2024 – en direct de la 77e édition du Festival du Film de Locarno Bertrand Mandico est lʹinvité de Pierre Philippe Cadert et Rafael Wolf.
Au sommaire de cette spéciale cinéma français : Retour sur un cinéma français qui, depuis quelques années, voit émerger une nouvelle génération dont la production est passionnante, à l'image de quelques sorties ESC telles que Gueules noires de Mathieu Turi , Vermines de Sébastien Vaniček, Mars Express de Jérémie Perrin et Tropic d'Édouard Salier (Rézo Films) ; Rencontre avec Sandra Parfait et Nathalie Richard, deux des actrices du Conann de Bertrand Mandico. Bonne écoute à toutes et tous !
Cette semaine, on reçoit Thomas et Manon, nos ami·e·s du 48/64, pour parler des couleurs de la terreur
durée : 00:03:36 - Le Regard culturel - par : François Angelier - Un concert exceptionnel met en avant trois ballets emblématiques de Stravinsky, offrant une totale liberté à trois vidéastes créatifs : Rebecca Zlotowski, Bertrand Mandico et Evangelina Kranioti. L'occasion de découvrir Stravinski en version post-apocalyptique.
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De Michel Delage, d'Vesna Andonovic an de Jeff Schinker beschwätzen: "Conann" (Bertrand Mandico), "The Zone of interest" (Jonathan Glazer), "L'Invitation" (Fabrizio Maltese) an "Il primo giorno della mia vita" (Paolo Genovese). Als Bonus: e Gespréich mam franséische Realisateur Bertrand Mandico iwwer säi Film "Conann".
Émission du 6 décembre 2023 (00:00) - La scène de la semaine : "Il était une fois un studio" de Dan Abraham et Trent Correy(00:37) - L'ouverture(05:19) - News(14:03) - Présentation de la séance de "Vitis Prohibita" au Tri Postal Dans cette treizième émission de l'année : (19:56) - "Wish : Asha et la Bonne Étoile" de Fawn Veerasunthorn et Chris Buck(39:28) - "Perfect Days" de Wim Wenders(51:50) - "Conann" de Bertrand Mandico(1:06:52) - L'interview : Bertrand Mandico, réalisateur de "Conann" "Bop To The Top !" Quiz "Fantasy française" Les Recos de l'équipe Le générique de fin
C'est l'hiver, il fait froid, il fait nuit : vous voudriez vous poser au chaud avec un bon film. Mais voilà, personne n'est d'accord sur le choix du film... Pas d'inquiétude ! Cette semaine, dans POPCORN SUCRÉ, il y en a pour tous les goûts ! - BLUE SUMMER, de Zihan Geng : un film contemplatif pas si contemplatif que ça, dont on salue la photographie - MIGRATION, de Benjamin Renner : nous aussi, comme ces canards qui parlent on aimerait partir en Jamaïque - CONANN, de Bertrand Mandico : attachez vos ceintures pour plonger dans l'univers de Mandico et les vies de Conann LA barbare Et puis, nos habituels coups de coeur et coups de gueule, si vous en demandez encore ! Des expos, des archives, et de quoi se prendre la tête (ou pas) Bonne écoute ! Présentation : Alix Chroniqueuses : Victoire, Enora, Lena
Et quel rôle magnifique offre-t-il à la talentueuse Carey Mulligan ? Quels morceaux retrouve-t-on dans le live « Dutronc et Dutronc », père et fils ? Quel incroyable scandale raconte le film « L'enlèvement » de Marco Bellochio ? A qui profite le crime d'éditer l'album live de Renaud « Dans mes cordes » ? Est-ce que Peter Gabriel a chanté Noël dans sa longue carrière ? Pourquoi le film « Conann » de Bertrand Mandico est-il clivant? Comment Johnny renaît-il une fois de plus de ses cendres pour cette fin d'année ? Toutes les réponses sont dans « La semaine des 5 heures » de ce lundi 4 décembre Merci pour votre écoute La semaine des 5 Heures, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 19h à 20h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de La semaine des 5 Heures sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/1451 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:58:42 - Plan large - par : Antoine Guillot - Un Plan Large en territoires mutants, avec Wim Wenders pour "Perfect Days", Bertrand Mandico pour "Conann", et aussi François Caillat, et Mathieu Macheret. - invités : Wim Wenders Réalisateur, producteur, scénariste de cinéma et photographe allemand; Bertrand Mandico Cinéaste; François Caillat Cinéaste ; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
durée : 00:58:42 - Plan large - par : Antoine Guillot - Un Plan Large en territoires mutants, avec Wim Wenders pour "Perfect Days", Bertrand Mandico pour "Conann", et aussi François Caillat, et Mathieu Macheret. - invités : Wim Wenders Réalisateur, producteur, scénariste de cinéma et photographe allemand; Bertrand Mandico Cinéaste; François Caillat Cinéaste ; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
Présenté par Théo Ribeton, avec Murielle Joudet, Yal Sadat, et Charles Bosson, rédacteur en chef de l'émission Le Cercle sur Canal +. - Vincent doit mourir de Stéphan Castang (à partir de 1'48) - Conann de Bertrand Mandico (à partir de 17'00) - Napoléon de Ridley Scott (à partir de 30'17) Enregistré le 1er décembre 2023 à Paris.
Mouliné par l'imaginaire surréaliste de Bertrand Mandico, le personnage symbole de l'heroïc fantasy mue dans une saga baroque et désenchantée, en guerrière tragique, damnée par l'amour.Le Conann (oui avec deux n) de Bertrand Mandico n'est pas un remake du film avec Arnold Schwarzennegger. Ni même une relecture des romans de Robert E.Howard autour des aventures du guerrier cimmérien. Mandico remonte plus loin, que ce soit à des origines celtes ou en féminisant ce personnage icône du virilisme. Initialement, ce n'était d'ailleurs même pas un projet de film, mais de spectacle pour le théâtre. Faute d'avoir pu se monter, Conann s'est transféré sur écran pour devenir un festin d'images fortes, autour de la descente aux enfers d'une guerrière revenant sur son passé. Mandico en fait un sabbat halluciné, entre imaginaire visuel débridé et art de la performance scénique, autour des multiples vies d'une héroïne et de sa trajectoire intérieure. Pour incarner ce parcours, de la furie de la vengeance à la mélancolie des regrets, Conann se démultiplie, prenant non pas l'apparence d'une mais de six actrices, chacune incarnant un âge différent. À ces différentes mues, s'ajoutent celles, toutes aussi iconoclastes, d'un film se transformant à vue, invoquant différents genres, ressuscitant l'esprit de collage des surréalistes. Quoi de mieux pour porter un regard, à travers une étude de la barbarie, sur notre époque, actuel royaume de l'absurdie et du chaos ?En salles le 29 novembre Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Propos recueillis par téléphone par Benoit Basirico CONANN, de Bertrand Mandico Au cinéma le 29 novembre 2023 Musique originale composée par Pierre Desprats Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20230624144225 Pierre Desprats retrouve Bertrand Mandico sur "Conann" (Sortie le 29 novembre 2023, après sa sélection de la Quinzaine des Cinéastes - Cannes 2023), après le premier long métrage "Les Garçons sauvages" (2018) et "After Blue (Paradis Sale)" (2022) pour ce film foisonnant autour de l'image de la barbarie, traversant les époques, les géographies et les décors, allant d'un commerce de New York à une table de repas dans une maison bourgeoise (flirtant avec Buñuel). La partition alterne elle aussi les couleurs, convoquant tantôt des percussions primitives, tantôt une harpe et une flûte, ou un saxophone, comme autant de vignettes musicales. Il propose aussi 4 chansons, trois avec la rappeuse d'origine camerounaise Kelly Rose, et une écrite avec Mandico interprétée par Barbara Carlotti.
Les sorties BD avec Xavier Vanbuggenhout : - « Je suis leur silence » de Jordi Lafebre (Dargaud) - « L'homme gêné » de Matthieu Chiara (L'Agrume) - « Faut pas prendre les cons pour des gens Tome 4 » de Emmanuel Reuzé, Jorge Bernstein et Vincent Haudiquet (Fluide Glacial) La réalisatrice, actrice, scénariste et écrivaine française Laetitia Colombani pour son fim "La Tresse", adapté de son livre du même nom, qui sort le 29/11. Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l'école. Sicile. Giulia travaille dans l'atelier de son père. Lorsqu'il est victime d'un accident, elle découvre que l'entreprise familiale est ruinée. Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu'elle est gravement malade. Liées sans le savoir par ce qu'elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est réservé et décident de se battre. Vibrantes d'humanité, leurs histoires tissent une tresse d'espoir et de solidarité. Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté. Le cinéaste français Bertrand Mandico pour son film "Conann", qui sort le 6/12. Parcourant les abîmes, le chien des enfers Rainer raconte les six vies de Conann, perpétuellement mise à mort par son propre avenir, à travers les époques, les mythes et les âges. Depuis son enfance, esclave de Sanja et de sa horde barbare, jusqu'à son accession aux sommets de la cruauté aux portes de notre monde. "Machins Machines" d'Hélène Maquet : La fin de l'âge d'or des RS ? Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 11h30 à 13h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Allusions d'optique, c'est une émission dédiée aux films atypiques, méconnus ou qu'on veut vous faire re-découvrir. Notre émission de juin est dédiée à l'espace. Entre galaxies pailletées, théories du complot et soucoupes volantes bancales, on parle de 4 films: Samadhi de Jordan Belson, After Blue de Bertrand Mandico, Barber Westchester de Jonni Phillips, et Plan 9 from outer space d'Ed Wood. On est aussi fiers de vous présenter notre interview de Marie-Hélène Leherissey autour du cinéma de Méliès! La vidéo de l'interview complète sera bientôt publiée sur Youtube, on vous met le lien prochainement
durée : 00:58:24 - Plan large - par : Antoine Guillot - De la barbarie, ce samedi dans Plan Large, en direct du Festival de Cannes, avec Betrand Mandico, Kaouther Ben Hania, Nuri Bilge Ceylan, Wim Wenders, et aussi N.T. Binh. - invités : Bertrand Mandico Cinéaste; Kaouther Ben Hania Cinéaste; Wim Wenders Réalisateur, producteur, scénariste de cinéma et photographe allemand; Nuri Bilge Ceylan Cinéaste turc; N.T. Binh Journaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Au casting de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette deuxième émission, après avoir parlé de l'industrie cinématographique que le monde entier nous envie, on cause des films des restes du monde.Comme chaque année, on n'a pas pu en rester là, et on vous offre donc l'opportunité de vous infliger une centaine de minutes cinéphilco-éthyliques supplémentaires.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé)Etienne C.Antonin M.As Bestas de Rodrigo Sorogoyen RRR de SS Rajamouli Vortex de Gaspar Noé Avatar 2, la voie de l'eau de James Cameron Au cœur des volcans - Requiem pour Katia et Maurice Krafft de Werner Herzog RRR de SS Rajamouli / Avatar 2, la voie de l'eau de James CameronAs Bestas de Rodrigo SorogoyenEnquête sur un scandale d'état de Thierry de PerettiArmageddon Time de James GrayNightmare Alley de Guillermo Del ToroPacifiction d'Albert SerraLes Passagers de la Nuit de Mikaël HersRien à foutre d'Emmanuel Marre et Julie LecoustreLa Légende du roi crabe d'Alessio Rigo de Righi et Matteo ZoppisLes Enfants des autres de Rebecca ZlotowskiErwan CadoretThomas GombaudLeila et ses frères de Saeed Roustaee As Bestas de Rodrigo Sorogoyen Vortex de Gaspar Noé La Conspiration du Caire de Tariq Saleh Dédales de Bogdan George Apetri/ La Légende du roi crabe d'alessio Rigo de Righi et Matteo Zoppis Armageddon Time de James Gray Les Nuits de Masshad d'Ali Abbasi Licorice Pizza de PTA / Enquête sur un scandale d'état de Thierry de Peretti Decision to Leave de Park Chan Wook Nightmare Alley de Guillermo Del Toro / Bruno Reidal de Vincent Le Port Apollo 10½: A Space Age Childhood de Richard LinklaterLa Légende du Roi Crabe d'Alessio Rigo de Righi et Matteo Zoppis)Jackass Forever de Jeff TremaineAmbulance de Michael BayIl Buco de Michelangelo FrammartinoTop Gun: Maverick de Joseph KosinskiRRR de S.S. RajamouliLa Petite Bande de Pierre SalvadoriAs Bestas de Rodrigo SorogoyenIrma Vep – The Serie d'Olivier Assayas)Russia 1985–1999: TraumaZone : What It Felt Like to Live Through The Collapse of Communism and Democracy d'Adam CurtisAu cœur des volcans - Requiem pour Katia et Maurice Krafft de Werner HerzogJules Topok(Dans le désordre)Pacifiction d'Albert SerraArmageddon time de James GrayThe tragedy of Macbeth de Joel CoenLa Légende du roi crabe d'Alessio Rigo de Righi et Matteo ZoppisAfter blue, paradis sale de Bertrand MandicoVortex de Gaspar NoéEnquête sur un scandale d'état de Thierry de PerettiAs bestas de Rodrigo SorogoyenTriangle of sadness de Ruben OstlundBruno Reidal de Vincent Le PortAucun ours de Jafar Panahi
durée : 01:00:53 - Plan large - par : Antoine Guillot - Il avait fallu 8 mois de tournage, 240 personnages, 800 pages de scénario pour réaliser la saison 3 de Twin Peaks signée David Lynch. Plan Large revient sur la série culte et mystérieuse en compagnie de l'essayiste Pacôme Thiellement, du cinéaste Bertrand Mandico, et du journaliste Mathieu Macheret. - invités : Pacôme Thiellement écrivain, essayiste, vidéaste; Bertrand Mandico Cinéaste; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
durée : 01:00:53 - Plan large - par : Antoine Guillot - Il avait fallu 8 mois de tournage, 240 personnages, 800 pages de scénario pour réaliser la saison 3 de Twin Peaks signée David Lynch. Plan Large revient sur la série culte et mystérieuse en compagnie de l'essayiste Pacôme Thiellement, du cinéaste Bertrand Mandico, et du journaliste Mathieu Macheret. - invités : Pacôme Thiellement écrivain, essayiste, vidéaste; Bertrand Mandico Cinéaste; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
Au casting de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette première émission, on cause du cinéma du pays au 258 fromages, la France du général de Gaulle.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé)Etienne C.Antonin M.As Bestas de Rodrigo Sorogoyen RRR de SS Rajamouli Vortex de Gaspar Noé Avatar 2, la voie de l'eau de James Cameron Au cœur des volcans - Requiem pour Katia et Maurice Krafft de Werner Herzog RRR de SS Rajamouli / Avatar 2, la voie de l'eau de James CameronAs Bestas de Rodrigo SorogoyenEnquête sur un scandale d'état de Thierry de PerettiArmageddon Time de James GrayNightmare Alley de Guillermo Del ToroPacifiction d'Albert SerraLes Passagers de la Nuit de Mikaël HersRien à foutre d'Emmanuel Marre et Julie LecoustreLa Légende du roi crabe d'Alessio Rigo de Righi et Matteo ZoppisLes Enfants des autres de Rebecca ZlotowskiErwan CadoretThomas GombaudLeila et ses frères de Saeed Roustaee As Bestas de Rodrigo Sorogoyen Vortex de Gaspar Noé La Conspiration du Caire de Tariq Saleh Dédales de Bogdan George Apetri/ La Légende du roi crabe d'alessio Rigo de Righi et Matteo Zoppis Armageddon Time de James Gray Les Nuits de Masshad d'Ali Abbasi Licorice Pizza de PTA / Enquête sur un scandale d'état de Thierry de Peretti Decision to Leave de Park Chan Wook Nightmare Alley de Guillermo Del Toro / Bruno Reidal de Vincent Le Port Apollo 10½: A Space Age Childhood de Richard LinklaterLa Légende du Roi Crabe d'Alessio Rigo de Righi et Matteo Zoppis)Jackass Forever de Jeff TremaineAmbulance de Michael BayIl Buco de Michelangelo FrammartinoTop Gun: Maverick de Joseph KosinskiRRR de S.S. RajamouliLa Petite Bande de Pierre SalvadoriAs Bestas de Rodrigo SorogoyenIrma Vep – The Serie d'Olivier Assayas)Russia 1985–1999: TraumaZone : What It Felt Like to Live Through The Collapse of Communism and Democracy d'Adam CurtisAu cœur des volcans - Requiem pour Katia et Maurice Krafft de Werner HerzogJules Topok(Dans le désordre)Pacifiction d'Albert SerraArmageddon time de James GrayThe tragedy of Macbeth de Joel CoenLa Légende du roi crabe d'Alessio Rigo de Righi et Matteo ZoppisAfter blue, paradis sale de Bertrand MandicoVortex de Gaspar NoéEnquête sur un scandale d'état de Thierry de PerettiAs bestas de Rodrigo SorogoyenTriangle of sadness de Ruben OstlundBruno Reidal de Vincent Le PortAucun ours de Jafar Panahi
durée : 00:46:40 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Comme chaque dernier vendredi du mois, "Par les temps qui courent" propose une carte blanche musicale à un.e invité.e. Une huitaine de morceaux pour raconter quelque chose de son rapport au monde, au son, et à l'époque. Cette carte blanche s'inscrit dans la semaine "Etrange noël de France Culture". - invités : Bertrand Mandico Cinéaste
durée : 00:46:40 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Comme chaque dernier vendredi du mois, "Par les temps qui courent" propose une carte blanche musicale à un.e invité.e. Une huitaine de morceaux pour raconter quelque chose de son rapport au monde, au son, et à l'époque. Cette carte blanche s'inscrit dans la semaine "Etrange noël de France Culture". - invités : Bertrand Mandico Cinéaste
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Pacôme Thiellement, critique-écrivain-essayiste-cinéaste ou - en un mot - exégète professionnel (la définition de ce mot est dans l'épisode).Tel Colin Maillard, le personnage joué par Jean-Pierre Léaud dans Out 1 (l'un de ses cinéastes de chevet), Pacôme a enquêté avec nous sur sa cinéphilie. Affable et agile, il a convoqué les transes de Zulawski ("Possession"), les ténèbres intérieures de Lynch ("Inland Empire") ou encore la belle amitié de Céline et Julie ("Céline et Julie vont en bateau"). Partant de ce cocktails de références enivrant, il nous a parlé de sa mémoire et de ses habitudes de spectateur nocturne et nous a plongé dans un grand rêve... Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. Portrait – 4'34 Un·e enquêteur·euse au cinéma ? Colin Maillard dans Out 1 (Jacques Rivette, 1971) - 4'34 Une transe au cinéma ? Possession (Andrzej Zulawski, 1981) - 9'38 Un amour au cinéma ? Jamais plus toujours (Yannick Bellon, 1976) - 13'33 II. Circonstances & conditions de visionnage - 18'51 Un film que à projeter lors d'une cérémonie religieuse/païenne/sacrée dans le cinéma abandonné de Charm el-Cheikh ? Fata Morgana (Werner Herzog, 1971) - 18'51 Une salle de prédilection : l'Archipel où se tient le cinéclub de Pacôme Thiellement, “les dimanches de Charm El-Cheikh 22'27 III. Mémoire & Sommeil - 24'50 Existe-t-il un film que vous arrivez à oublier pour toujours le redécouvrir avec un oeil nouveau ? Le monde sur le fil (R.W Fassbinder, 1973) - 24'50 Un film devant lequel vous vous êtes endormi et dont vous auriez rêvé ? L'avant-dernier épisode de la série The Leftovers (D. Lindelof, T. Perrotta, 2014-2017) 30'40 Carte Blanche - 34'49La fin d'Inland Empire (David Lynch, 2006) IV. Cinéma & Transmission - 42'33 Pourquoi internet n'est pas forcément un espace privilégié pour parler de cinéma - 42'33 Le film à transmettre aux générations futures ? After Blue de Bertrand Mandico - 47'42 Film refuge - 51'11Céline et Julie vont en bateau (Jacques Rivette, 1974) EXTRAITS : Out 1, Jacques Rivette (Carlotta Films) Le monde sur le film, R.W Fassbinder (Carlotta Films) Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette (Potemkine Films) Sinnerman, Nina Simone CRÉDITSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
This week on Truth & Movies we're asking if The Woman King is deserving of a royal treatment; and in our film club we're taking a look at John Huston's The Man Who Would Be King, and seeing if it still deserves its throne in the adventure film canon. Elsewhere we're checking out Bertrand Mandico's After Blue. Joining our host Leila Latif this week are freelance journalists Emma Fraser and Lillian Crawford.Truth & Movies is the podcast from the film experts at Little White Lies, where along with selected colleagues and friends, they discuss the latest movie releases. Truth & Movies has all your film needs covered, reviewing the latest releases big and small, keeping you across important industry news, and reassessing great films from days gone by with the Truth & Movies Film Club.Email: truthandmovies@tcolondon.comTwitter and Instagram: @LWLiesProduced by Little Dot Studios Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
We have three new movies to review this episode: Mad God (31:57), After Blue (16:51), and Unhuman (8:00).Bruce reviews RRR (48:54) and Greg recommends Hustle (45:01). Both streaming on Netflix. Eric does a rewind of Crimes of the Future (55:11). For the What's in the Box segment, Bruce and Greg review Grand Illusion (60:33).Rate/review Find Your Film on Apple Podcasts!!Our video reviews are found on Greg's Deepest Dream YouTube ChannelCheck out our Find Your Film site for more movie news and reviews: https://findyourfilms.com/Shirts, hoodies, drinking glass, stickers and more FYF merch is up on findyourfilmpodcast.com!Email us at info@findyourfilms.com!Join our CinemAddicts Facebook Group, where we give Blu-rays and DVDs out weekly to our members!Bruce Purkey's YouTube Channel is RustomireFollow Eric Holmes On Twitter.Find Your Film is on Facebook, Twitter, and Instagram!Support the show
En el inicio de la nueva temporada, José Carlos Cabrejo y Ricardo Bedoya hablan en extenso de "Drive my car" de Ryusuke Hamaguchi, disponible desde inicios de mes en Mubi. Asimismo, comentan otros estrenos en plataformas ("Metal Lords" o "Apolo 10 1/2") y salas de cine peruanas ("C'mon C'mon", "Los Secretos de Dumbledore" o "No Me Digas Solterona 2") o internacionales ("After Blue", la última entrega de Bertrand Mandico). También algunos títulos clásicos.
Second épisode consacré cette fois au francais Bertrand Bonello, réalisateur atypique se réclamant tout aussi bien de Gus van Sant que des grands cinéaste de l'horreur américaine, parmi lesquels les bien connus John Carpenter ou George Romero. Aux confins de l'angoisse et du sommeil, une question reste toutefois au coeur des débats: peut on réellement survivre à Nocturama ? Animé par Marvin avec une brillante équipe composée de Luc (@CaptainKoreana), Sonia (@Soshocraty), Marine (@LabouryMarine) et Nico (@Nicozilla_FR). Les recos: - Luc: Le film Phantom Thread de Paul Thomas Anderson. - Marine: Le film Les Garçons Sauvages de Bertrand Mandico. - Nico: Le film Slalom de Charlène Favier. - Sonia: Le court métrage The Long Goodbye de Aneil Karia, récompensé aux Oscars 2022 (tiré de l'EP du meme nom de Riz Ahmed, dont le titre "Toba Tek Singh" est utilisé en cloture d'épisode.) Avertissement: L'une des pistes utilisées à malheureusement disparue dans les limbes de l'enregistrement, nous avons donc du récupérer certaines interventions par des moyens détournés, en éspérant sincérement que le confort d'écoute n'en patit pas trop. Vous connaissez la musique, on n'oublie pas les cinq étoiles et le petit commentaire via sa plate-forme favorite, sans oublier de suivre l'émission sur Twitter, ainsi que les comptes personnels de chacun, si ce n'est déja fait. A bientot !
La 29è édition du Festival International du Film Fantastique de Gérardmer, qui s'est tenu du 26 au 30 janvier 2022, était-elle un grand cru ? Draven et Zaius vont tenter de répondre à cette question dans cet épisode enregistré le 16 février, en revenant sur une grande partie des films projetés au cours du festival, en échangeant comme on le ferait dans la file d'attente avant une séance (sauf que là, ça dure presque 4 heures, je vous rassure, on attend quand même beaucoup moins longtemps avant de voir un film à Gérardmer). Cornelius and Zira - Ep#41 - Gérardmer 2022 Dans cet épisode, on va parler de Big George, des Misfits et de Glenn Danzig, de Type O Negative, de films avec des gens tout nus, on ne parlera pas de Star Trek (désolé Rémi), on parlera aussi de crabes chelous, de morpions, d'Isabelle Adjani, de Rob Bottin, de Kate Hudson, de Kate Bush, mais pas de Kate Tanner, de la prononciation de mots en gaélique, de Nicolas Cage, du logo de Danzig, de Kelly Reilly, on ne parlera pas non plus de Minor Threat parce que ça a été coupé au montage mais retenez que Brian Baker et Lyle Preslar ont fait partie de façon éphémère de Samhain, on écorchera des noms de famille anglais, italiens, hongrois, polonais et des titres en finlandais. Et sinon, je vous ai dit qu'on parlerait de Glenn Danzig ? 00:00 Danzig - Am I Demon 00:40 Introduction 03:33 Sommaire de l'épisode 04:49 Avertissement préalable : cet épisode est NSFW 05:19 Inferno Rosso: Joe d'Amato on the Road to Excess, réalisé par Manlio Gomarasca & Massimiliano Zanin 15:46 After Blue (Paradis Sale), réalisé par Bertrand Mandico (qui faisait partie du Jury Longs Métrages) Si vous voulez en savoir plus sur la filmographie de Bertrand Mandico et si vous voulez écoutez des gens qui ont les clés de lecture pour apprécier à sa juste valeur After Blue, on vous conseille d'écouter le 56è congrès du futurologie des Intergalactiques (le festival de SF lyonnais) 28:26 Jukai : la Forêt des Suicides, réalisé par Takashi Shimuzu (aka Jukai Suicide Village, ou Jukai Mura en VO) 33:50 Junk Head, réalisé par Takahide Hori On vous dit que ce film d'animation image par image rappelle un peu le clip de Sober de Tool 38:56 The Seed, réalisé par Sam Walker 43:19 Saloum, réalisé par Jean-Luc Herbulot 48:59 Emilie Levienaise Farrouch - Censor 49:16 Censor, réalisé par Prano Biley-Bond 57:42 Paranormal Activity – Next of Kin, réalisé par William Eubank 1:08:21 The Misfits - Night of the Living Dead 1:08:52 Bruiser, réalisé par George A. Romero 1:22:48 Possession, réalisé par Andrzej Zulawski 1:32:46 Hurlements (The Howling en VO), réalisé par Joe Dante 1:39:48 La Nuit Décalée (et non pas la Nuit Fantastique comme je le dis dans l'épisode) 1:40:39 Prisoners of the Ghostland, réalisé par Sion Sono 1:45:45 Crabs, réalisé par Pierce M. Berolzheimer 1:49:40 Anya Taylor-Joy – Downtown (version uptempo, beaucoup plus proche de la chanson originale, en comparaison avec celle qu'on entend dans le film, qui est beaucoup plus lente ; je le précise pour les puristes qui n'auront pas manqué de le remarquer, même s'il ne s'agit que d'un court extrait) 1:50:01 Last Night in Soho, réalisé par Edgar Wright 2:02:08 Eight for Silver, réalisé par Sean Ellis. Par contre, le film va sortir sous le titre The Cursed(comme le soulignait Draven dans l'épisode). J'ai lu après coup que la version qui sera au cinéma contiendra moins de CGI et plus de plans avec des effets pratiques que la version projeté à Sundance. Ce ne serait pas impossible que la version projetée à Gérardmer ne soit pas non plus la définitive (en dehors du fait que ce ne sera pas le même titre affiché pendant le générique). J'ai trouvé cette info en cherchant sous quel titre sortirait ce film au Québec. J'imagine que ce sera Le Maudit, mais ça me ferait marrer que ce soit Huit pour l'Argent. 2:11:46 Egō (aka Hatching ou Pahanhautoja en VO), réalisé par Hanna Bergholm Alors, le "O" avec cet accent horizontal, comme celui qui figure dans le titre du film, on appelle ça le "O macron". Faites ce que vous voulez de cette information. 2:21:25 Samhain - Halloween II A l'origine, c'est un morceau des Misfits, je sais, mais ça me semblait beaucoup plus pertinent de choisir la version de Samhain. Sinon, tant qu'à rentrer dans des précisions inutiles et donc indispensables, c'est Michael Golden qui a dessiné le logo de Samhain et de Danzig 2:22:04 Samhain ( aka You are not my Mother), réalisé par Kate Dolan 2:33:13 Mona Lisa and the Blood Moon, réalisé par Ana Lily Amirpour 2:39:17 The Sadness, réalisé par Rob Jabbaz 2:45:47 La Abuela (aka The GrandMother), réalisé par Paco Plaza 2:52:02 She Will, réalisé par Charlotte Colbert 2:57:26 Post Mortem, réalisé par Péter Bergendy 3:07:33 Ogre, réalisé par Arnaud Malherbe 3:09:00 The Innocents (De Uskyldige en VO), réalisé par Eskil Vogt 3:23:20 Conclusion: on revient sur le palmarès de la compétition, on essaie de comprendre les données chiffrées fournies par le Festival, on donne notre ressenti général sur cette 29è édition et on fait deux ou trois private jokes que vous pourrez comprendre en écoutant les épisodes de 24FPS consacré à Matrix Ressurections et au dernier James Bond. 3:39:46 Big Black – The ModelJe vous avoue qu'au départ, je pensais utiliser Mother de Danzig comme générique de fin. Alors pourquoi ce choix ? Tout simplement parce qu'avant chaque film, à Gérardmer, il y a une playlist d'une dizaine de morceaux qui tourne (avec souvent quelques bonnes choses). Et cette année, il y avait Instagram Girl – Kraft Re Vamp d'Anton qui passait, qui est un remix de Das Model de Kraftwerk. Et comme le thème de l'instagrameuse/mannequin est présent dans certains des films qu'on a évoqué et que, finalement, ça colle avec les paroles du morceau, il 'en fallait pas plus pour me décider à vous proposer cette reprise de ce morceau culte par Big Black, que j'aime beaucoup, bien évidemment. Draven anime 24FPS, le podcast ciné avec ou sans spoilers avec Julien, fait des loopings en Viper avec Karine dans Galactifrak et va bientôt fermer sa gueule dans Artefrak Cornelius & Zira est un podcast du label PodShows. PodShows est une association à but non lucratif dont la mission est d'encourager l'expression audio-numérique en fournissant gratuitement à la communauté des moyens et des outils. On vous invite cordialement à les soutenir! Encore une fois, il s'est passé beaucoup de temps entre l'enregistrement de cet épisode et sa mise en ligne - et entre cet épisode et le précédent. J'espère pouvoir assurer un rythme plus soutenu à l'avenir, mais il va falloir encore un peu de patience... Merci pour votre fidélité !!! Bonne écoute et à bientôt les Spartiates !!! podCloud | iTunes | YouTube | Spotify | Twitter | Facebook
Actrice, musicienne et circassienne, c'est mon invitée dans La Potion cette semaine. Au programme de cet épisode : animisme, réincarnation, fakirisme, magie des détails et hot-dog suédois. La foi peut-elle déplacer des montagnes ? Aucune idée. Vimala Pons les porte sur le sommet de son crâne, elle, les montagnes, des montagnes d'objets, tour de force et d'équilibre dont elle a fait une spécialité. Par exemple, dans Le Périmètre de Denver, son nouveau spectacle en solo, Vimala Pons s'en donne à cœur joie en portant sur sa tête un mur de briques, une Fiat Panda, une carrière, un escalier et 12 cartons empilés dont le poids plume ne rend pas le défi plus aisé. Sinon dans la vie, Vimala porte aussi dans ses bottes des montagnes de questions, dans ses poches un jeu de cartes divinatoire nommé Oblic Strategy inventé par Brian Eno pour injecter à la manière du Yi King de la magie dans la création, et un joli prénom d'origine indienne qui signifie "celle qui triomphe".En quête constante d'hybridation, au théâtre comme au cinéma, Vimala Pons est une métamorphe hors-pair qui varie à l'infini les identités, les récits, les corps, les accents ou les genres, à grand renfort d'accessoires, de techniques et d'imagination, pour opérer sous les yeux du public des transformations époustouflantes. Comme lorsqu'elle ouvre Le Périmètre de Denver en Angela Merkel sous 16 kilos de vêtements et un masque en latex particulièrement réaliste, dont elle finit par se débarrasser avec la fougue d'un Fantômas au terme d'un strip-tease avec l'accent allemand. Ce goût pour les glissements entre les terrains de jeux artistiques a toujours été là chez Vimala Pons qui a d'abord appris simultanément le tennis, le karaté et la guitare classique avant de se tourner vers les arts de la scène et de s'illustrer dans GRANDE, en duo avec son alter ego circassien Tsirihaka Harrivel. Ou sur grand écran dans des films d'Antonin Peretjatko, Christophe Honoré, Alain Resnais, Bruno Podalydès ou encore chez Bertrand Mandico. En 2020, Vimala s'est aussi essayée au livre audio avec La Mémoire de l'Homme Fente, quand plus récemment, avec un EP nommé Eusapia Klane, on la retrouve alliée sonique du collectif et label WarrioRecords, piloté par sa grande amie RBK Warrior. Prestidigitatrice du réel enchaînant les numéros de cirque comme les tours de magie à la scène comme à la vie, troublante, magnétique et facétieuse aussi… Vimala Pons est toujours là où on ne l'attend pas. Genre quoi ? Genre chez Ikéa. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Bertrand Mandico a un film en salle et ça nous fait plaisir, nan serieusement ça nous fait tellement plaisir qu'on lui a proposé de venir parler un peu de musique, de film, de musique de films et encore un peu de musique. Puis SÔRA du collectif La Sulfureuse viendra, elle; nous tirer du rêve pour une réalité encore plus douce et en live. Une émission présentée par Lolita Mang et Jean Fromageau, en partenariat avec la boulangerie : LIBERTÉ Paris qui nous régale de leurs viennoiseries.
Bertrand Mandico a un film en salle et ça nous fait plaisir, nan serieusement ça nous fait tellement plaisir qu'on lui a proposé de venir parler un peu de musique, de film, de musique de films et encore un peu de musique. Puis SÔRA du collectif La Sulfureuse viendra, elle; nous tirer du rêve pour une réalité encore plus douce et en live. Une émission présentée par Lolita Mang et Jean Fromageau, en partenariat avec la boulangerie : LIBERTÉ Paris qui nous régale de leurs viennoiseries.
Le 19e épisode de cette saison de Pop Corn! Au programme : - PICCOLO CORPO, 1er film de l'italienne Laura Samani présenté à la Semaine de la Critique de Cannes qui nous entraîne dans les pas d'une jeune mère en quête de sens dans l'Italie du début du XXI siècle -AFTER BLUE (Paradis sale) de Bertrand Mandico, prix FIPRESCI de la critique internationale au Festival de Locarno, nous en a mis plein la vue... peut-être un peu trop ? -NOUS d'Alice Diop, meilleur documentaire de la Berlinale 2021 et voyage documentaire le long de la ligne du RER B à la recherche d'un "nous" français Évidemment, nos coups de coeurs et coups de gueule vous attendent en fin d'épisode :)) Très bonne écoute. Présentatrice : Jeanne Chroniqueurs : Arthur, Juliette, Paul & Valentine
durée : 00:54:17 - Côté club - par : Laurent Goumarre - Côté Club, le rendez-vous de toute la scène française et plus si affinités. Une heure pour faire le tour de l'actualité musicale et plus encore. Quand la musique rencontre les arts, du cinéma à la BD, du théâtre à la littérature. Bienvenue au Club !
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Nathalie Richard, actrice devant la caméra et comédienne sur les planches depuis plus de 40 ans, habitant le cinéma français et d'ailleurs à travers plus de 60 films, ayant collaboré avec des cinéastes aussi différents que Jacques Rivette, Bertrand Mandico, Catherine Corsini et Mickael Haneke. Cette cinéphile enthousiaste et généreuse nous plonge dans un cinéma d'antan, entre le Zero de conduite de Vigo, le *Gertrud de Dreyer, ou encore les danses aériennes de Fred Astaire. Elle nous raconte l'enfance d'un cinéma qui l'habite toujours, tel des spectres, en faisant résonner ensemble des films comme **Le Colonel Chabert de René Le Hénaff avec le Memoria* d'A.Weerasethakul, et bien d'autres encore.Enfin, attachée aux voix du cinéma et à la pensée qui y est liée, elle nous parle des voix qui la guident dans son métier d'actrice autant que dans son plaisir de spectatrice - et qui ont marqué d'une manière ou d'une autre l'histoire du cinéma : d'Orson Wells à James Mason, en passant par Ingrid Bergman et Delphine Seyrig. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT – 5'26 Une voix : celles de James Mason, Orson Wells, Ingrid Bergman, Barbara Stanwyck… - 5'26 Deux répliques : “Je suis le colonel Chabert” (“Le colonel Chabert”, R Le Hénaff, 1943), “Nobody is perfect” (“Certains l'aiment chaud”, B Wilder, 1959) - 11'08 Un corps dansant : Fred Astaire - 15'14 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 19'00 Le rapport de Nathalie à la pellicule et au numérique - 19'00 Un film à écouter : Zéro de conduite (Jean Vigo, 1933) - 24'24 III. MEMOIRE & SOMMEIL- 28'17 Un film donnant l'impression d'être dans un rêve : Gertrud (C.T Dreyer, 1964) - 28'17 Un film pour la nuit : Le dernier des hommes (F.W Murnau, 1924) - 34'39 CARTE BLANCHE - 36'09Mirage de la vie (D. Sirk, 1959) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 44'22Des films captant “l'ère du temps” : Memoria (A. Weerasethakul, 2021), Melancholia (Lars von Trier, 2011), Salo (PP Pasolini, 1975), la filmographie de Wang Bing REFUGES - 54'21Les voix des actrices Brigitte Mira et Delphine Seyrig REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierMixage : Hugo CohenGraphisme : Lucie AlvadoCréation, animation, réalisation : Phane Montet & Clément Coucoureux
durée : 00:59:17 - Mauvais genres - par : François Angelier - Mauvais Genres au cœur de l'actualité fantastique avec une émission enregistrée au Festival de Gérardmer, qui fait la part belle au patrimoine horrifique ("Les Yeux sans visage" de Georges Franju) et à l'actualité la plus brûlante de l'imaginaire ("After blue" de Bertrand Mandico). - invités : Jean-François Rauger Critique et spécialiste du cinéma fantastique; Bertrand Mandico Cinéaste
#56Le zappodcast c'est tous les mois, un zapping des meilleurs moments des podcasts francophones. La sélection est entièrement participative alors si vous tombez sur un passage qui mérite de se retrouver dans le zappodcast, notez le nom et le numéro du podcast en question ainsi que le minutage du passage incroyable et envoyez nous ça à LeZappodcast@gmail.comCe mois-ci des extraits de HEURE INDUE (Ep7 Clara Morgane), DES ONDES VOCAST (Speciale Radiodays Europe 2021), DAMATURGIE (2 Le podcast c est avant tout des rencontres), UN QUART D HEURE A PARIS (episode 1 Olympiades 13e), LOUISE MICHEL FEMME TEMPETE (1 Les songes de Louise Michel), A SUIVRE (La cage une Francaise dans le djihad 1 sur 4 Les failles), L ESPRIT CRITIQUE (11 autour des spectacles Mere The Notebook et Istiqlal), JARDINS DIVERS (Une excursion extraordinaire), CRAC CRAC (crac crac club fete l amour), LE JOUR OU JE L AI PECHO (Colocs de lit), A SUIVRE (La cage une Francaise dans le djihad 1 sur 4 Les failles), CRAC CRAC (crac crac club fete la musique), LES PODCASTS DE LA CINEMATHEQUE (Parlons Cinema avec Barbara Carlotti et B Mandico Les Garcons sauvages Bertrand Mandico), A SUIVRE (La cage une Francaise dans le djihad 2sur4 Enfermee), JARDINS DIVERS (Une excursion extraordinaire), PARTIES CIVILES (Episode 01 Qui declenche la procedure penale vers le milieu), CRAC CRAC (crac crac club fete l amour), JARDINS DIVERS (Une excursion extraordinaire), DAMATURGIE (2 Le podcast c est avant tout des rencontres), LES ADULTES DE DEMAIN (Pause educative La vie pratique), CRAC CRAC (crac crac club fete l amour).
durée : 00:58:44 - Plan large - par : Antoine Guillot - Plan Large sur l'œuvre éternelle de Jean Vigo, avec les cinéastes Sophie Fillières et Bertrand Mandico, et en seconde partie, rencontre avec le réalisateur Joachim Lafosse qui signe "Les Intranquilles". - invités : Sophie Fillières; Bertrand Mandico Cinéaste; Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma; Joachim Lafosse Réalisateur belge.; Anne-Sophie Bourdet Reporter au journal L'Equipe
durée : 00:58:44 - Plan large - par : Antoine Guillot - Plan Large sur l'œuvre éternelle de Jean Vigo, avec les cinéastes Sophie Fillières et Bertrand Mandico, et en seconde partie, rencontre avec le réalisateur Joachim Lafosse qui signe "Les Intranquilles". - invités : Sophie Fillières; Bertrand Mandico Cinéaste; Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma; Joachim Lafosse Réalisateur belge.; Anne-Sophie Bourdet Reporter au journal L'Equipe
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. Une voix douce, un grand sourire et des histoires touchantes à nous raconter. Pour ce 20ème Vision, c'est au tour d'Aline Deschamps, photographe franco-thaïlandaise basée à Beyrouth, de passer derrière notre micro. De passage à Paris, nous avons eu le plaisir de la rencontre et d'évoquer son travail documentaire et artistique subtil et riche. Une belle découverte ! Après un diplôme de master en relations internationales à la Sorbonne et en arts médiatiques numériques, elle décide de fuir une vie trop bureaucratique et de finalement se consacrer à la photographie. Elle-même dotée d'une double-nationalité, le travail d'Aline Deschamps s'oriente tout naturellement vers des questions d'identité telles que la migration, l'héritage culturel ou même le genre… Dans ce podcast, nous parlons notamment de deux projets principaux et récents de la photographe. Le premier, I Am Not Your Animal, dépeint le quotidien de travailleuses domestiques, originaires de Sierra Leone et immigrées à Beyrouth. Pour ce projet, Aline Deschamps a mis en lumière ces femmes et les a photographiées dans leur intimité et dans deux lieux bien précis : leur appartement et Ramlet El Bayda, la seule plage publique de la ville. Comme elle nous l'explique dans l'entretien, le titre de la série découle des discussions approfondies que la photographe a eues avec ce groupe de femmes, dont la plupart ont pu échapper à des ménages abusifs et avaient été victimes de trafic d'êtres humains. Une phrase revenait sans cesse : « Ils ne m'ont pas traitée comme un être humain, ils m'ont traitée comme un animal ». Nous évoquons également une série plus récente : Out of Blood and Concrete. Le 4 août 2020, une explosion à Beyrouth a décimé le quartier de Karantina, à l'est du port de la capitale libanaise. Aujourd'hui, ses habitants sont démunis. Beaucoup ont perdu des êtres chers, ont été blessés ou ont vu leur maison détruite. Entre détails, portraits et paysages, Aline Deschamps a décidé de documenter cet écosystème éphémère où se croisent bénévoles, ouvriers du bâtiment et habitants du quartier. La série a également pris la forme d'un reportage publié dans Libération. Enfin, plusieurs sujets liés à la photographie sont également abordés dans ce 20ème Vision : son processus créatif, son rapport au noir et blanc et à la couleur ainsi qu'aux mélanges des techniques et des médiums (flash, réalité virtuelle, texte). Il est évoqué aussi son rapport au temps, à l'esthétique et les liens entre musique et image. Un podcast passionnant que l'on vous laisse découvrir. Bonne écoute ! Essayez gratuitement Adobe Creative Cloud pendant 7 jours : http://urlr.me/f9V2k Nous soutenir https://visionspodcast.fr/nous-soutenir/ Pour aller plus loin Randa Mirza - Beirutopia, Clément Cogitore - Branguino, Evangelia Kranioti, Bertrand Mandico, Jean-Paul Sartre - L'existentialisme est un humanisme, Alex Webb, Nanna Heitmann, Neha Hirve, Elliot Verdier, Emeric Lhuisset, Thewanthdean - Bye and Bye, Ibrahim Maalouf - Maeva in Wonderland, Simrah Farruk, Jameela Elfaki Liens https://www.instagram.com/alinedeloscampos/ http://www.alinedeschamps.com/ https://www.instagram.com/podcastvisions/ https://www.visionspodcast.fr/
Today on Wussy Movie Club, our kinky film season continues with the 2017 experimental French film, “The Wild Boys” by director Bertrand Mandico. The film stars five female actors portraying five adolescent boys convicted of committing a terrible crime and sent to a remote island with supernatural qualities. Joining us today to break down the fashion, the herstory, and the queerness of “The Wild Boys” is Atlanta writer and film dramaturge, Rachel Garbus! Trigger warning, the film and discussion do include mention of rape and sexual assault. WUSSY Movie Club is a weekly roundtable movie podcast with a Queer lens, featuring themed seasons and special interviews with Queer filmmakers. Every Wednesday, a rotating cast of LGBTQIA+ voices will dish on their favorite films of past and present. Join the club and be a part of the discussion! WUSSY Movie Club is part of the WUSSY Podcast Network, hosted by WUSSY Mag (@wussymag) Produced by Jon Dean @jondeanphoto Podcast Art created by Nick Sheridan @glass.knuckles Podcast Music by DJ Helix @1djhelix Join the WUSSY Movie Club on Instagram https://www.instagram.com/wussymovieclub/ Follow WUSSY Movie Club on Facebook https://www.facebook.com/WussyMovieClub/
#51Le zappodcast c'est tous les mois, un zapping des meilleurs moments des podcasts francophones. La sélection est entièrement participative alors si vous tombez sur un passage qui mérite de se retrouver dans le zappodcast, notez le nom et le numéro du podcast en question ainsi que le minutage du passage incroyable et envoyez nous ça à LeZappodcast@gmail.comCe mois-ci des extraits de LES GARDE FOUS (Marius Jauffret a l hopital tu ne fais rien a part fumer), DES ONDES VOCAST (J1 Fete de la radio 100 ans de radio), MAUVAIS TRAVAIL (Episode 7 Mauvais Travail FM sur le 92 7), DES ONDES VOCAST (J1 Fete de la radio 100 ans de radio), LE PRIX DES PAILLETTES (S1 Ep1), VOX POLONY (Regionale avec une abstention record la democratie en panne), RESISTER (1 Jean Jacques Auduc 12 ans L espion au cerf volant), VOX POLONY (Regionale avec une abstention record la democratie en panne), LE PRIX DES PAILLETTES (S1 Ep4), PARLE MOI EUROPEEN (Et pourquoi pas des Etats Unis d Europe 5 sur 12), LE COEUR SUR LA TABLE (10 8 Devenir chevre), EX (11 Le choix), LE COEUR SUR LA TABLE (10 8 Devenir chevre), RADIO SAPPHO (Un dimanche Presque aux Marquises), MAUVAIS GENRES (ultrapulpe ou les feeries barbares de Bertrand Mandico), LE COEUR SUR LA TABLE (10 8 Devenir chevre), EX (22 Double coup de foudre), CAPTURE MAG (steroids le podcast hitman et bodyguard), LES PODCASTS DE TMDJC (Super Pocket Fighter Mini Mix 04 Match of the Millennium SNK Vs CAPCOM Team CAPCOM), EX (20 Le Phoenix), DANS LE VENTRE (Episode 1 Ben Mazue), EX 20 (Le Phoenix), PILEUP (PileUp15), CANAL 16 (08 Frederic Pangaud Pannes moteur en transat et accidents d annexe).
Poésie Plate-forme // "Imager" avec Emmanuelle Bayamack-Tam et Bertrand Mandico by Fondation Pernod Ricard
durée : 00:59:00 - Mauvais genres - par : François Angelier - Maître de l'hyperexpressionnisme pop et véritable Gustave Moreau sous acide et sous encens, Bertrand Mandico est aujourd'hui l'un des plus grands visionnaires du cinéma mondial. - réalisation : Laurent Paulré - invités : Bertrand Mandico Cinéaste
Lionel Richerand est un auteur et illustrateur de bande dessinée aux multiples talents. Son talent transperse ses cahiers de dessin, et son souci du détail s'étale dans ses oeuvres imprimées. Un univers assez sombre parsemé de bêtes imaginaires en transformation, traduisant un esprit en ébullition. Suivre le fil 00:00:36 Son parcours00:28:21 Ses influences00:36:36 Ses projets00:52:00 Sa vision du succès01:00:13 Son avenir Les références L'ESAG Penninghen Les arts décoratifs Le musée du Prado Le livre Du Spirituel dans l'art de Kandinsky Le scénographe Richard Peduzzi, Guy Claude François, Nicky Rieti Les vidéastes Bill Viola, Gary Hill Le court métrage Tutu de Pascal Dalet (dit Paca) et Georges SifianosLa jeune fille sans mains de Sébastien Laudenbach (qui est devenu un long métrage) Le court-métrage Un jour de Marie PaccouAdrénaline, son film de post diplôme Le producteur Aton Soumache Son court-métrage La Peur Du Loup La série Poetica Le court-métrage Le Moine et le Poisson de Michael Dudok de Wit chez Folimage La série Hopital Hilltop de Pascal Le Nôtre Le dieu de Lionel, Jean Giraud - Moebius et sa bande dessinée Tonnerre à l'Ouest Les auteurs Reiser et Lauzier Le livre Ce qui est en Haut dans l'Incal Le livre La Faune de Mars et 40 jours dans le désert B de Moebius Le livre Foligatto de Nicolas de Crécy Le film l'étrange Noël de Mr Jack de Henry Selick Le court-métrage Maaz de Christian Volckman Le film Renaissance de Christian Volckman Le studio Attitude Studio Les scénaristes Jean-Patrick Benes et Allan Mauduit, réalisateurs de Kaboul Kitchen L'auteur Guillaume Bianco et son livre Billy Brouillard L'auteur Bertrand Santini son livre Le Yark Le scénariste Régis Jaulin Le dessinateur de Little Nemo In Slumberland, Windsor McKay L'auteur Pierre Péju et son livre La Petite fille et la forêt des contes L'école Supinfocom de Valenciennes Le scénariste et coloriste Hubert Le manga Happy de Naoki Urasawa Le film Les Garçons Sauvages de Bertrand Mandico et son court-métrage Ultra Pulpe La conférence de Benoît Peeters sur la bande dessinée Le blog de Marie Spénale, avec sa bande dessinée Heidi, et sa chaine YouTube Où trouver Lionel Sur son site A propos de l'animateur Je suis Alexandre Soubrier, réalisateur de films graphiques. Vous pouvez me trouver sur twitter, facebook, instagram, vimeo. J'ai même un site sur lequel je poste quelques réalisations et sur lequel vous pouvez me contacter. Le court extrait de musique vient du magnifique album de Wax Taylor "Tales of Forgotten Melodies".
durée : 00:58:55 - Plan large - par : Antoine Guillot - "Quand Philippe Quesne m'a invité aux Amandiers, c'était l'idée d'une expérience complètement hybride. Un tournage performatif." Plan Large retrouve Bertrand Mandico sur le tournage de son prochain film, une relecture féministe de Conan le Barbare, au Théâtre Nanterre-Amandiers. - réalisation : Laurent Paulré - invités : Philippe Quesne Metteur en scène et plasticien; Bertrand Mandico Cinéaste; Elina Löwensohn Actrice; Christophe Bier acteur, réalisateur, historien et critique de cinéma.; Sophie-Catherine Gallet Critique de cinéma pour Revus & Corrigés et Radio Campus Paris
durée : 00:58:55 - Plan large - par : Antoine Guillot - "Quand Philippe Quesne m'a invité aux Amandiers, c'était l'idée d'une expérience complètement hybride. Un tournage performatif." Plan Large retrouve Bertrand Mandico sur le tournage de son prochain film, une relecture féministe de Conan le Barbare, au Théâtre Nanterre-Amandiers. - réalisation : Laurent Paulré - invités : Philippe Quesne Metteur en scène et plasticien; Bertrand Mandico Cinéaste; Elina Löwensohn Actrice; Christophe Bier acteur, réalisateur, historien et critique de cinéma.; Sophie-Catherine Gallet Critique de cinéma pour Revus & Corrigés et Radio Campus Paris
Pour l'émission 84, l'équipe de l’œil carnivore recevait Yannik Martin et Steve Fabry du projet The Nightstalker et du groupe de métal Sercati (http://www.sercati.com/). Avec eux, on découvre l'univers du Nightstalker à travers leurs albums de musique, le livre, le jeux de rôle, le film et le comics ! Damien vous conseille aussi de voir les films "The lighthouse" de Robert Eggers avec Robert Pattinson et Willem Dafoe et "Les garçons sauvages" de Bertrand Mandico. Baudouin nous a aussi préparé un petit quizz en milieu d'émission à base de synopsis foireux. Cet épisode a été enregistré le 16 février 2021 avec Damien, Baudouin et Sam. N’oubliez pas de nous suivre sur Twitch (https://www.twitch.tv/oeilcarnivore) et de vous abonnez à notre chaîne YouTube (https://www.youtube.com/channel/UC6-PMRNm57jRmpEDWjI60Wg) ! Cet épisode a été produit en partenariat avec Radio Panik, Badgeek.fr et BXLgeek.
Face aux scénarios « barbaresques » de la « Red Team » d'auteurs S.-F. recrutés par le ministère de la Défense, la chanteuse magnétique rêve d'une fédération d'îles dédiées au rêve, à la danse et à l'amour.En décembre 2020, le ministère de la Défense a dévoilé les deux premiers scénarios élaborés par sa « Red Team », cette équipe composée de dix experts, écrivains de science-fiction, sociologue et auteurs de BD, chargés d'imaginer des « formes inattendues de conflictualité » d'ici 2060. On y découvre… un ascenseur qui relierait la Guyane à l'espace. Plus aucun avion en circulation. Cent cinquante millions de migrants dans le monde d'ici 2035, du fait de l'inexorable montée des eaux et son raz-de-marée de conséquences socio-économiques et politiques. Une puce implantée sous la peau de la majeure partie de la population, pour surveiller les déplacements. Les côtes, désormais dangereuses, nouveaux bastions de sociétés pirates armées de goélands-drones pilotés à distance…En réaction à ces exposés détaillés de sombres projections, parfois qualifiées de « barbaresques » par leurs propres auteurs, le désir de farniente sur une plage ombragée aura rarement été aussi fort – en écoutant, par exemple, l'album Corse île d'amour de Barbara Carlotti, sorti en octobre dernier et principalement constitué de reprises transfigurées de chansons populaires de l'île de Beauté, souvent traduites en français. Hymne à la nature insulaire, sans forcer, en toute modestie, de la part de « l'enfant du pays », dont le tendre chant clair paraît se déployer dans des lumières éternelles. Un magnifique album pop, assez intemporel, qui s'écoule comme la rivière du matin, gorgé de ritournelles électriques, électroniques ou acoustiques où batifolent les musiciens d'Aquaserge, Bertrand Burgalat, Izia pour un duo sur la très émouvante Ballade de Chez Tao de Jacques Higelin, quand il ne s'agit pas de danser disco les pieds dans le sable de Solenzara, ou le tango façon « sieste organisée ».Sur Ici, accompagnée de Pierre Gambini, Barbara nous murmure, très loin des guerres du futur : « Il n'est pas difficile / de s'asseoir ici tranquille / Et de regarder / filer les heures, passer les journées / Le long de la vallée / Jusqu'à la mer et tout l'été / de passer des heures futiles / Sur les pierres chaudes, couché / Sans jamais craindre d'être dérangé (…) Ici les cigales peuvent chanter. »C'est pourtant depuis le « Dôme de Cyrnée », en Corse, que Barbara Carlotti a souhaité nous avertir de l'existence d'une « Direction Gouvernementale du Rêve Généralisé », œuvrant en secret à la constitution d'une fédération d'îles oniriques « de résistance », « contre la glaciation cérébrale autoritaire de nos gouvernements », parmi lesquelles se comptent déjà la Sicile, Marie-Galante ou Porquerolles. Quel est le programme ? « Dessiner des fresques tactiles sur les roches abrasives, goûter la foudre et givre, rouler nos corps nus dans la boue et les algues, fondre dans les bruines fraîches au réveil, mastiquer l'air pur des montagnes, enlacez les grands arbres, nous mêler au banc de poissons, aux troupeaux de brebis, aux nuées de sauterelles, coiffer nos crinières dans les taillis touffus, danser dans les bourrasques, embrasser le soleil, caresser tous les chemins de terre et les pelages velus, prodiguer des messages d'amour aux animaux charnus. »Pour lire les scénarios de la « Red Team », c'est là : https://www.defense.gouv.fr/aid/actualites/la-red-team-defense-publie-ses-deux-premiers-scenariosPour voir le beau clip super-8 et familial d'Ici de Barbara Carlotti, c'est… ici : https://www.youtube.com/watch?v=K3mZed0SQxE&ab_channel=BarbaraCarlottiImage : Les Garçons sauvages, de Bertrand Mandico (2018). See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Dans ce nouvel épisode nous recevons Lila Meghraoua, journaliste culture pour Usbek & Rica et créatrice du podcast Retrofutur pour ce même média. Cinéphile à la pensée affutée lorsqu’il s’agit de parler cinéma (qu’elle interviewe David Cronenberg ou Rone), elle a évoqué pour nous plusieurs de ses obsessions liées au 7ème art.Que ce soit à travers sa passion pour la voix de l’actrice « durasienne » Delphine Seyrig, son amour pour le jeu de Jean-Pierre Léaud, ou encore le regard qu’elle porte sur le film Répulsion de Polanski, qui semble étrangement actuel en ces temps post #metoo.Elle raconte également sa manière de voir les films - des premiers forums d’échanges secrets à la salle de cinéma, centrale dans sa cinéphilie - et nous emmène dans quelques salles atypiques de Berlin, sa ville d’adoption. I. PORTRAIT 3’52 Langue/voix : Celles de Delphine Seyrig et Jeanne Moreau, actrices “durasiennes” /Le doublage et Feodor Atkine Une ville SF ou une île mystérieuse : Play Time (Jacques Tati, 1967), Les garçons sauvages, (Bertrand Mandico, 2017)- 12’24 Une scène de boîte de nuit : La Grande Belleza, (Paolo Sorrentino) - 19’16 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE 24’23 Un film découvert en-dehors des réseaux traditionnels : La maman et la putain (Jean Eustache, 1973) 24’23 Des réseaux de partage alternatifs : Freakyflicks et La loupe Les salles de cinéma En Allemagne (Delphi Filmpalast, Astor et Il Kino à Berlin)-34’24 La salle du futur : le mégalo PY1 de Montréal III. MEMOIRE & SOMMEIL - 44’13 Un film-rêve : La chambre interdite (Guy Maddin, 2015) - 44’13 CARTE BLANCHE - 50’42 Répulsion, Polanski, 1965 IV. TRANSMISSION - 59’46 Berlin au cinéma : Oh boy (Jan Ole Gerster, 2012) Un film pour les générations futures : Tomboy (Céline Sciamma, 2011)- 1’03’27 REFUGES - 1’09’13 Baisers volés (Fr. Truffaut, 1968)
Dans ce nouvel épisode nous recevons Lila Meghraoua, journaliste culture pour Usbek & Rica et créatrice du podcast Retrofutur pour ce même média. Cinéphile à la pensée affutée lorsqu’il s’agit de parler cinéma (qu’elle interviewe David Cronenberg ou Rone), elle a évoqué pour nous plusieurs de ses obsessions liées au 7ème art.Que ce soit à travers sa passion pour la voix de l’actrice « durasienne » Delphine Seyrig, son amour pour le jeu de Jean-Pierre Léaud, ou encore le regard qu’elle porte sur le film Répulsion de Polanski, qui semble étrangement actuel en ces temps post #metoo.Elle raconte également sa manière de voir les films - des premiers forums d’échanges secrets à la salle de cinéma, centrale dans sa cinéphilie - et nous emmène dans quelques salles atypiques de Berlin, sa ville d’adoption. I. PORTRAIT 3’52 Langue/voix : Celles de Delphine Seyrig et Jeanne Moreau, actrices “durasiennes” /Le doublage et Feodor Atkine Une ville SF ou une île mystérieuse : Play Time (Jacques Tati, 1967), Les garçons sauvages, (Bertrand Mandico, 2017)- 12’24 Une scène de boîte de nuit : La Grande Belleza, (Paolo Sorrentino) - 19’16 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE 24’23 Un film découvert en-dehors des réseaux traditionnels : La maman et la putain (Jean Eustache, 1973) 24’23 Des réseaux de partage alternatifs : Freakyflicks et La loupe Les salles de cinéma En Allemagne (Delphi Filmpalast, Astor et Il Kino à Berlin)-34’24 La salle du futur : le mégalo PY1 de Montréal III. MEMOIRE & SOMMEIL - 44’13 Un film-rêve : La chambre interdite (Guy Maddin, 2015) - 44’13 CARTE BLANCHE - 50’42 Répulsion, Polanski, 1965 IV. TRANSMISSION - 59’46 Berlin au cinéma : Oh boy (Jan Ole Gerster, 2012) Un film pour les générations futures : Tomboy (Céline Sciamma, 2011)- 1’03’27 REFUGES - 1’09’13 Baisers volés (Fr. Truffaut, 1968)
Dans le sillage des « Garçons sauvages » de Bertrand Mandico, cette psychanalyste parisienne prophétise une mutation fertile : les hommes auront leurs règles et les femmes « des glands robustes ». Prêt.e.s ?« – Tanguy. – Oui ? – J'ai des seins qui poussent. » L'Île-aux-Robes ne figure sur aucune carte. Luxuriante et nimbée d'arbres à lait phalliques, elle encourage les métamorphoses et ouvre de nouveaux possibles. La seule façon de s'y rendre – à moins de regarder de trop près l'anatomie d'un rugueux capitaine hollandais – reste d'aborder, plus de deux ans après sa sortie en salles, le premier long-métrage du Français Bertrand Mandico, Les Garçons sauvages. Au début du XXe siècle, cinq adolescents de bonne famille, cravatés, railleurs, indisciplinés, ayant tué par sadisme leur professeure de français, sont envoyés sur le pont d'une « croisière sans équipage » censée les remettre dans le droit chemin. Mais rien ne se passe comme prévu, au fil d'une odyssée dépravée tournée sur les plages de sable noir de la Réunion.Enchantement diamanté, terriblement sexy, transporté par l'interprétation troublante de cinq actrices androgynes, le film est un voyage érotique et psychédélique que l'auteur présente comme une « bouture impossible » entre Jules Verne et William Burroughs. Sur cette terre ensorcelante, les garçons sauvages deviendront non pas filles, mais autres : leurs pénis tombent comme un fruit pourri, tandis que leurs désirs gagnent en épaisseur.On retrouve cette idée dans l'utopie hermaphrodite formulée par la psychanalyste parisienne Delphine Arnould. Première surprise, née de nos pollutions : dans son futur, « la nature aura digéré tous nos déchets pharmaceutiques. L'humus sera chargé d'antibiotiques, les plantes suinteront de pommades apaisantes, les océans et les mers seront des concentrés d'antidépresseurs, d'anxiolytiques et de neuroleptiques, les vents diffuseront agréablement des antalgiques. La douleur disparaitra du vivant. ». Oh ? « À force d'avoir lavé nos mains dix fois par jour, les antiseptiques et désinfectants auront tout imbibé. Même les recoins les plus crasseux des toilettes d'autoroutes, des étables et ou décharges sauvages seront aseptisés. Aux oubliettes les microbes, les infections, les maladies ! »Et ce n'est pas fini. Car « on aura tellement abusé de contraceptifs que les nappes phréatiques seront gorgées d'hormones mâles et femelles. » Conséquence : les humains vont muter. « Les hommes auront tous de vrais nibards. Barbe et moustache lâcheront prise au fond du lavabo. Les verges seront vagins, les testicules ovaires, les menstrues affaire d'hommes. Les clitoris reprendront leur pousse et les fameux boutons de roses laisseront place à des glands robustes. Les grandes lèvres formeront de véritables bourses. Les épaules s'élargiront et les pectoraux triompheront des soutiens-gorges (…) Les fluides trouveront là où se nicher dans des utérus nouvelle génération. L'hermaphrodisme fondera notre nouvelle identité. » Tu vois le genre ? Ben non, y en a plus !Pour écouter Bertrand Mandico déshabiller ses Garçons sauvages, c'est là : https://www.nova.fr/podcast/nova-book-box/bertrand-mandico-sulfureux-interdit-toxiqueImage : Les Garçons sauvages, de Bertrand Mandico (2018). See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:58:37 - Mauvais genres - par : François Angelier - Riches des souvenirs de quelques fin amateurs (JP Dionnet, Bertrand Mandico, Christophe Gans, Bastien Vivès), et d'analyses érudites, le dernier numéro d'Atom nous offre l'occasion de passer en revue trente ans de découvertes graphiques. - réalisation : Laurent Paulré - invités : Fausto Fasulo Rédacteur en chef de la revue Mad movies et de la revue Atom.; François Jauvion Artiste, sculpteur et dessinateur. Il est, par ailleurs, l’auteur de « L’imagier singulier », un livre tout en dessins, consacré aux artistes bruts, singuliers ou inclassables (éditions Lelivredart/Galerie Hervé Courtaigne).
durée : 00:49:43 - Remède à la mélancolie - par : Eva Bester - "Juliette des esprits" de Federico Fellini, Roland Topor, Francis Picadia, Pacôme Thiellement, Blutch, Ennio Morricone, Pulp, Clovis Trouille, Cindy Sherman... Retrouvez tous les remèdes de notre invité, le réalisateur, Bertrand Mandico ! - invités : Bertrand Mandico - Bertrand MANDICO
Come to the Caribbean The Eloise TrioL'Ïle Fantastique -Série TV Gene Levitt 1977Anna Macao The Eloise TrioJe Suis Une Île Halo MaudI Walked With a Zombie (Vaudou) Jacques Tourneur 1943Die Die Die (Invocation - Zepaules) Destiné Jeanleon Haiti VaudouCoumbite (Suite no. 1) Frantz CasseusAiguise l'aire de cette île Pierre BastienLord of the Flies Peter Brook 1963Pattes de mouches Jean-Claude VannierLes gardes volent au secours du roi Jean-Claude VannierFragment #2 MerzougaNarration Count Ossie And The Mystic Revelation Of RastafariJamaica Day FactionTales From Kiribati Island Roberto Musci - Giovanni Venosta - Chris CutlerSavage Sea The Pop GroupInaccessible Island Nico MotteLes garçons sauvages Bertrand Mandico 2017Zug Island Kyle Hall & KeroLes Iles ("The Islands") Lise Garnier Phonetic Poetry On Spatialism 1962Island Of Woods Ryuichi SakamotoJavan's Call Darkstar Foam Island
durée : 00:59:43 - Mauvais genres - par : François Angelier - Ce soir, Mauvais Genres est en visite. Et c'est Bertrand Mandico qui reçoit. - réalisation : Laurent Paulré - invités : Bertrand Mandico réalisateur
Hi everyone! Now that we’ve caught up on most of our award nominations, I’m going to close out the quarter on Saturdays with a continuation of our Under the Kanopy series. Kanopy is a library and university funded streaming service that grants card holders and students six free streams per month, from a variety of classic, international, and independent films. They also have streaming agreements with excellent distributors, like A24 and Kino Lorber, who often produce and distribute the critically acclaimed, if not commercially successful films. Today’s movie is a surrealistic look at gender in all its forms – biological, cultural, social, personal – however you define it, this film will both resonate and challenge, in an almost pure art house fashion. It’s also definitely not safe for work or for kids, which I’ll mention again at the top of the review. Before the review, we’ll have a promo from our good friends at the Book of Lies Podcast. Every week, Brandi Fleeks and Sunni Hepburn take a look at a fraud case or famous con artist, breaking down the methods, the signals, and how to spot similar scams in your life. You can find them on Twitter @Bookofliespod and on Facebook and Instagram @bookofliespodcast. Be sure to like, retweet, share, review, and subscribe! Subscribe here to stay current with the latest releases. Contribute at Patreon for exclusive content. Connect with us over social media to continue the conversation. Here we go! ///// > ///// Today’s movie is THE WILD BOYS(2017), or in the French, LES GARÇONS SAUVAGES, the surrealist art house drama written and directed by Bertrand Mandico. After the brutal murder of a woman on La Réunion, five young men (all played by women) are taken from their wealthy families by a Dutch captain (Sam Louwyck) for rehabilitation, on an island that begins to affect their gender, in all its forms. And then stuff gets really weird. No spoilers. However, a content warning for sexual assault and pervasive sexual themes for the film itself. When I first saw the listing for THE WILD BOYS on Rotten Tomatoes, I immediately thought about the novel of the same name by Williams S. Burroughs, the notorious Beat Generation author. In the novel, Burroughs depicts a future gay youth movement intent on the downfall of modern society. I’m a huge fan of Burroughs, nurtured by a combination of his spoken word album produced in part with Michael Franti entitled “Spare Ass Annie and Other Tales”, along with a deeply affecting viewing of 1991’s NAKED LUNCH from David Cronenberg, my first real look at art house and surrealist cinema. I greatly appreciate the way he wrote about being bisexual, often challenging his readers and society in general with works that test the boundaries of good taste, but also smash the boundaries of LGBTQ inclusion in literature. THE WILD BOYS, today’s film, is not an adaptation of that novel. However, it does play with gender in many of the same ways. Gay men often mis-gender themselves and each other, calling each other queens and girl and bitch and other female terms. A lot of this self-identification comes from not conforming to the previously established, heteronormative gender roles, wanting to separate themselves from the toxic masculinity. We used to see sex and gender as an either/or, instead of the non-linear spectrum and incredible diversity in both sex and gender we understand today. Burroughs didn’t have the vocabulary back then to talk about gender fluidity, but his novels and characters would sometimes transform from male to female, and back again, and into inexplicable additional genders. Just another groundbreaking aspect of Burroughs’ work. So, it’s hard not to see today’s film at least partially inspired by the novel, as David Bowie, Joy Division, and Patti Smith were all inspired by the same work. I find the real genius of today’s film in the casting of the five primary protagonists with young women, including: Pauline Lorillard as Romuald, Vimala Pons as Jean-Louis, Diane Rouxel as Hubert, Anaël Snoek as Tanguy, and Mathilde Warnier as Sloane. While each character has their own unique traits, they all encompass a sort of character type similar to the droogs in 1971’a A CLOCKWORK ORANGE, based on Anthony Burgess’ incredible and often overlooked novel. However, instead of the leader being send for rehabilitation, the entire gang is sent to the island, and all predictably turning on one another as their bodies begin to change. Whereas Burroughs lacked the vocabulary to talk about gender-fluidity, Mandico takes the concept to new levels. On the island, the more the young men indulge themselves with the island’s pleasures, the more they begin to transform physically into women. Prior to the actual transformation, Mandico uses costuming, hair, and makeup to make all five young men look like tomboys, clearly feminine (whatever that means), but wearing masculine (again, whatever that means) clothing. The fluidity only kicks into high gear as the costumes come off, revealing new physical traits even as other physical traits begin to, we’ll say, fall off. We find that the more the men transform into women, the more they become the targets of their friends. We should be rightly horrified by five young men raping and murdering a high society woman, just as in the most shocking scene of A CLOCKWORK ORANGE. But because we know the actors are women, it makes the scene different, playing on our expectations, and perhaps even the exploitation of women in film overall. I think these acts are also blunted by Mandico’s cinematography, a combination of actual locations, crazy filters applied to actual locations, and a layered staging of other sets, all of which amp up the surrealism in a way that continues to let us explore the themes in play. This is definitely an art house film complete with nascent progressive themes and challenging subject matter, but it is also well done for fans of the genre. THE WILD BOYS is a surrealistic look at gender fluidity, starring five young women as five young men, whose rehabilitation begins to change their sex, gender, and by extension, identity. Using a combination of themes clearly inspired by the Burroughs novel of the same name, with some clear homages to A CLOCKWORK ORANGE, Bertrand Mandico creates an excellent meditation on gender, in all its forms. Fans of surrealist films, or films about the LGBTQ experience, especially in a world of increasing gender fluidity, should definitely check out this film. Rotten Tomatoes: 90% Metacritic: 64 One Movie Punch: 8.8/10 THE WILD BOYS (2017) is not rated and is currently playing on Kanopy and Shudder.
Jean Boullet : 1921 - 1970 Jean Boullet est un dessinateur français (NON PAS CELUI AUQUEL VOUS PENSEZ, UN AUTRE), mais aussi un critique de cinéma, un écrivain mais surtout un personnage du Paris de l’après guerre complètement fou. Ouvertement gay, anticléricale, gothique, libertaire, et extraverti, il nous a donné des peintures érotiques masculines et des textes poétiques et savants sur différentes formes d'art. Mais il est surtout connu pour l’influence qu’il a eu sur les auteurs français et le rôle qu’il a pu jouer pour la reconnaissance du fantastique en France. Toute la playlist est sur Spotify ! https://open.spotify.com/playlist/42Hr1f4VtYsSrZ9pz7egX4?si=YCaUajtIRXGMPaD_sUnr5Q Hurricane Season Trombone Shorty Danse Macabre Camille de Saint-Saens Boris Vian - La java martienne instrumental QUINCY JONES - FOR LENA & LENNIE Basta l’ase - Feramia Pause musicale Dragula - Rob Zombie New Castle - Yong Yong Mussorgsky - A Night on Bald Mountain Pause musicale The Jerry Khan Bangers - Low Moon The Young Lovers - James Bernard - Musique tirée du film Taste the Blood of Dracula Haendel - Sarabande Extended Airelle Besson & Nelson Veras - Neige Rich Neighborhoods - Olivier DeRivière - OST du jeu Vampyr Rayman Origins Music_ World Map ~ Sea of Serendipity Un peu de lecture : Denis Chollet, Jean Boullet, le précurseur, 1999 introuvable (OFFREZ LE MOI) : https://www.decitre.fr/livres/jean-boullet-le-precurseur-9782913197077.html DRACULA & JEAN BOULLET, par Bertrand Mandico et Nicolas Stanzick : https://www.youtube.com/watch?v=Yl3uJ-8Zna0 Sur Jean Boullet : http://genres.centrelgbtparis.org/2017/09/11/jean-boullet-1921-1970/ Sur la revue : https://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/la-politique-des-horreurs-ou-le-grand-retour-de-midi-minuit-fantastique Petits cameo de Jean Boullet : https://www.ina.fr/video/AFE86000917/emprunts-rencontres-ou-coincidences-video.html https://www.ina.fr/video/AFE86000900/un-marche-peu-commun-l-histoire-de-la-bande-dessinee-video.html https://www.ina.fr/video/CPF86612141/les-monstres-video.html Rapport sur l’homophobie 2019 : https://www.sos-homophobie.org/article/rapport-sur-l-homophobie-2019-2018-une-annee-noire-pour-les-personnes-lgbt Tout le Calvinball Consortium ici :https://calvinballradio.wordpress.com/ Rejoignez nous sur Discord : discord.gg/4RnA9v7 Au aussi sur Twitter : twitter.com/Calvinball_FM Donnez nous un pourboire ! : fr.tipeee.com/calvinball LA NEWSLETTER DU CONSORTIUM : eepurl.com/gcFR29
Jean Boullet : 1921 - 1970 Jean Boullet est un dessinateur français (NON PAS CELUI AUQUEL VOUS PENSEZ, UN AUTRE), mais aussi un critique de cinéma, un écrivain mais surtout un personnage du Paris de l’après guerre complètement fou. Ouvertement gay, anticléricale, gothique, libertaire, et extraverti, il nous a donné des peintures érotiques masculines et des textes poétiques et savants sur différentes formes d'art. Mais il est surtout connu pour l’influence qu’il a eu sur les auteurs français et le rôle qu’il a pu jouer pour la reconnaissance du fantastique en France. Toute la playlist est sur Spotify ! https://open.spotify.com/playlist/42Hr1f4VtYsSrZ9pz7egX4?si=YCaUajtIRXGMPaD_sUnr5Q Hurricane Season Trombone Shorty Danse Macabre Camille de Saint-Saens Boris Vian - La java martienne instrumental QUINCY JONES - FOR LENA & LENNIE Basta l’ase - Feramia Pause musicale Dragula - Rob Zombie New Castle - Yong Yong Mussorgsky - A Night on Bald Mountain Pause musicale The Jerry Khan Bangers - Low Moon The Young Lovers - James Bernard - Musique tirée du film Taste the Blood of Dracula Haendel - Sarabande Extended Airelle Besson & Nelson Veras - Neige Rich Neighborhoods - Olivier DeRivière - OST du jeu Vampyr Rayman Origins Music_ World Map ~ Sea of Serendipity Un peu de lecture : Denis Chollet, Jean Boullet, le précurseur, 1999 introuvable (OFFREZ LE MOI) : https://www.decitre.fr/livres/jean-boullet-le-precurseur-9782913197077.html DRACULA & JEAN BOULLET, par Bertrand Mandico et Nicolas Stanzick : https://www.youtube.com/watch?v=Yl3uJ-8Zna0 Sur Jean Boullet : http://genres.centrelgbtparis.org/2017/09/11/jean-boullet-1921-1970/ Sur la revue : https://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/la-politique-des-horreurs-ou-le-grand-retour-de-midi-minuit-fantastique Petits cameo de Jean Boullet : https://www.ina.fr/video/AFE86000917/emprunts-rencontres-ou-coincidences-video.html https://www.ina.fr/video/AFE86000900/un-marche-peu-commun-l-histoire-de-la-bande-dessinee-video.html https://www.ina.fr/video/CPF86612141/les-monstres-video.html Rapport sur l’homophobie 2019 : https://www.sos-homophobie.org/article/rapport-sur-l-homophobie-2019-2018-une-annee-noire-pour-les-personnes-lgbt Tout le Calvinball Consortium ici :https://calvinballradio.wordpress.com/ Rejoignez nous sur Discord : discord.gg/4RnA9v7 Au aussi sur Twitter : twitter.com/Calvinball_FM Donnez nous un pourboire ! : fr.tipeee.com/calvinball LA NEWSLETTER DU CONSORTIUM : eepurl.com/gcFR29
Jean Boullet : 1921 - 1970 Jean Boullet est un dessinateur français (NON PAS CELUI AUQUEL VOUS PENSEZ, UN AUTRE), mais aussi un critique de cinéma, un écrivain mais surtout un personnage du Paris de l'après guerre complètement fou. Ouvertement gay, anticléricale, gothique, libertaire, et extraverti, il nous a donné des peintures érotiques masculines et des textes poétiques et savants sur différentes formes d'art. Mais il est surtout connu pour l'influence qu'il a eu sur les auteurs français et le rôle qu'il a pu jouer pour la reconnaissance du fantastique en France. Toute la playlist est sur Spotify ! https://open.spotify.com/playlist/42Hr1f4VtYsSrZ9pz7egX4?si=YCaUajtIRXGMPaD_sUnr5Q Hurricane Season Trombone Shorty Danse Macabre Camille de Saint-Saens Boris Vian - La java martienne instrumental QUINCY JONES - FOR LENA & LENNIE Basta l'ase - Feramia Pause musicale Dragula - Rob Zombie New Castle - Yong Yong Mussorgsky - A Night on Bald Mountain Pause musicale The Jerry Khan Bangers - Low Moon The Young Lovers - James Bernard - Musique tirée du film Taste the Blood of Dracula Haendel - Sarabande Extended Airelle Besson & Nelson Veras - Neige Rich Neighborhoods - Olivier DeRivière - OST du jeu Vampyr Rayman Origins Music_ World Map ~ Sea of Serendipity Un peu de lecture : Denis Chollet, Jean Boullet, le précurseur, 1999 introuvable (OFFREZ LE MOI) : https://www.decitre.fr/livres/jean-boullet-le-precurseur-9782913197077.html DRACULA & JEAN BOULLET, par Bertrand Mandico et Nicolas Stanzick : https://www.youtube.com/watch?v=Yl3uJ-8Zna0 Sur Jean Boullet : http://genres.centrelgbtparis.org/2017/09/11/jean-boullet-1921-1970/ Sur la revue : https://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/la-politique-des-horreurs-ou-le-grand-retour-de-midi-minuit-fantastique Petits cameo de Jean Boullet : https://www.ina.fr/video/AFE86000917/emprunts-rencontres-ou-coincidences-video.html https://www.ina.fr/video/AFE86000900/un-marche-peu-commun-l-histoire-de-la-bande-dessinee-video.html https://www.ina.fr/video/CPF86612141/les-monstres-video.html Rapport sur l'homophobie 2019 : https://www.sos-homophobie.org/article/rapport-sur-l-homophobie-2019-2018-une-annee-noire-pour-les-personnes-lgbt Tout le Calvinball Consortium ici :https://calvinballradio.wordpress.com/ Rejoignez nous sur Discord : discord.gg/4RnA9v7 Au aussi sur Twitter : twitter.com/Calvinball_FM Donnez nous un pourboire ! : fr.tipeee.com/calvinball LA NEWSLETTER DU CONSORTIUM : eepurl.com/gcFR29
Musique, Ciné, Bouquins et Culture en Vrac !Emission #37 animée par : Jérémie Grima, LeBonDeun, Wilhem Hørn, Bertrand Pinsac, Jonas Mary et Michel Jovet.Invité : Alt, de la chaîne YouTube Alt236.Au programme :CINE ZONE : * Edge of Tomorrow, de Doug Liman (film)* JSA, de Park Chan Wook(film)* Les Garçons Sauvages, de Bertrand Mandico (film)ZIC ZONE :* Öxxö Xööx - Nämïdäë* Roadrunner UnitedTALK SHIT, GET SHOTGAME ZONE :* Sekiro*Nier Automata* NaissanceE* Observer
3 min 28 - Festival Longueur d'ondes 2019 L'un explore la peur sur France Culture la nuit, l'autre projette ses fantasmes sur écran noir. Couchers de soleil malades, vampires et réveil de la momie : des réponses dénichées dans un cabinet de curiosités. Pas d'erreur, c'est Mauvais genres. L’article PV : François Angelier et Bertrand Mandico est apparu en premier sur Oufipo.
Stop motion, réalisation, illustration, bande dessinée L'école n'est pas faite pour tout le monde, mais y a-t-il des gens pour qui l'école est faite, en réalité ? Pour certains, c'est un véritable calvaire, et la création peut apparaître comme un échappatoire. Peut-être aussi que l'école n'offre pas cette liberté dont les artistes ont besoin. En tout cas, elle nous permet de voir éclore de magnifiques talents comme mon invité du jour, Lionel Richerand, un artiste qui a touché à la réalisation de films en stop-motion, à la 3D, et qui officie maintenant en tant qu'auteur et illustrateur de bandes dessinées. Suivre le fil 00:00:36 Son parcours 00:28:21 Ses influences 00:36:36 Ses projets 00:52:00 Sa vision du succès 01:00:13 Son avenir Les références L'ESAG Penninghen Les arts décoratifs Le musée du Prado Le livre Du Spirituel dans l'art de Kandinsky Le scénographe Richard Peduzzi, Guy Claude François, Nicky Rieti Les vidéastes Bill Viola, Gary Hill Le court métrage Tutu de Pascal Dalet (dit Paca) et Georges Sifianos La jeune fille sans mains de Sébastien Laudenbach (qui est devenu un long métrage) Le court-métrage Un jour de Marie Paccou Adrénaline, son film de post diplôme Le producteur Aton Soumache Son court-métrage La Peur Du Loup La série Poetica Le court-métrage Le Moine et le Poisson de Michael Dudok de Wit chez Folimage La série Hopital Hilltop de Pascal Le Nôtre Le dieu de Lionel, Jean Giraud - Moebius et sa bande dessinée Tonnerre à l'Ouest Les auteurs Reiser et Lauzier Le livre Ce qui est en Haut dans l'Incal Le livre La Faune de Mars et 40 jours dans le désert B de Moebius Le livre Foligatto de Nicolas de Crécy Le film l'étrange Noël de Mr Jack de Henry Selick Le court-métrage Maaz de Christian Volckman Le film Renaissance de Christian Volckman Le studio Attitude Studio Les scénaristes Jean-Patrick Benes et Allan Mauduit, réalisateurs de Kaboul Kitchen L'auteur Guillaume Bianco et son livre Billy Brouillard L'auteur Bertrand Santini son livre Le Yark Le scénariste Régis Jaulin Le dessinateur de Little Nemo In Slumberland, Windsor McKay L'auteur Pierre Péju et son livre La Petite fille et la forêt des contes L'école Supinfocom de Valenciennes Le scénariste et coloriste Hubert Le manga Happy de Naoki Urasawa Le film Les Garçons Sauvages de Bertrand Mandico et son court-métrage Ultra Pulpe La conférence de Benoît Peeters sur la bande dessinée Le blog de Marie Spénale, avec sa bande dessinée Heidi, et sa chaine YouTube Où trouver Lionel Sur son site A propos de l'animateur Je suis Alexandre Soubrier, réalisateur de films graphiques. Vous pouvez me trouver sur twitter, facebook, instagram, vimeo. J'ai même un site sur lequel je poste quelques réalisations et sur lequel vous pouvez me contacter. Le court extrait de musique vient du magnifique album de Wax Taylor "Tales of Forgotten Melodies".
The latest episode, and the first of the season from the Falmouth bureau, is a celebration and examination of the work of Jane Campion. Neil is joined on stage by author Ellen Cheshire to introduce a 25th anniversary screening of The Piano, in front of a packed audience of film fans and (new) film students. What follows the screening is a lively debate about the film, problematic viewing, feminism and more. In the episode itself Dario gives his astute views on Campion’s work and her most widely known and regarded film. The pair also talk about new BFI Blu-ray releases The Comfort of Strangers and Eye of the Needle, Josh Appiganesi’s surreal psycho-thriller meta-doc Female Human Animal - which is due for release in cinemas over the next few weeks, Bertrand Mandico's Boro In The Box and Andrew Haigh's Lean On Pete. ----- How to watch The Piano (UK/US): Rent/Buy on iTunes 25th Anniversary UK Cinema Tour Episode Links - Ellen Cheshire Website Ellen Cheshire on Twitter In The Scene: Jane Campion by Ellen Cheshire The Comfort of Strangers Eye of the Needle Female Human Animal Female Human Animal on Twitter See it at DocHouse on Oct 7 with Josh and Chloe Q&A Subscribe on Apple Podcasts: https://itunes.apple.com/gb/podcast/the-cinematologists-podcast/id981479854?mt=2
Emmanuel Chaumet est avec nous pendant une heure pour parler de son métier de producteur. Avec celui qui a produit Victoria de Justine Triet ou encore Les garçons sauvages de Bertrand Mandico, nous abordons les différentes facettes de la production, sa manière de voir le cinéma ainsi que son film de chevet Palombella rossa de Nanni Moretti. Pour les chroniques, on ne se lasse pas de blind test de Luc qui nous a aussi concocté une chronique sur celui qui se dit "producteur", Ludovic di Andolfo (comment ça, vous ne le connaissez pas ?). Quand à Josselin, il nous parle de Paolo Branco et de la première édition du Festival de Cannes. Musiques Novocaine for the Soul, Eals Elenore, The Turtles Présentation : Théo Lopez Chroniqueurs : Josselin Esteve / Luc Tailleur Rédaction : Léa Baggi et Théo Lopez Réalisation : Benjamin Arnaud
Malgré les bons retours de la critique et son succès dans les festivals, le dernier film de James Franco passe à côté de son sujet. “The Disaster Artist” raconte la façon dont le film “The Room”, sorti en 2003 et connu pour être le pire film du monde, a pu voir le jour dans la douleur, porté à bout de bras par son réalisateur Tommy Wiseau. Sous couvert d’hommage, “The Disaster Artist” ressemble plutôt à une énorme moquerie. James Franco, qui interprète par ailleurs l'exécrable Wiseau, semble regarder avec beaucoup de condescendance les acteurs et réalisateurs qui n’ont pas su arriver à son niveau dans l’industrie hollywoodienne. Au lieu d’expliquer la véritable histoire de la création de ce nanar devenu culte, James Franco s’épanche sur une histoire d’amitié hollywoodienne assez quelconque entre le réalisateur et un de ces acteurs et on se demande jusqu’à la fin ce qu’il a voulu raconter.Podcast animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista, David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONThe Room (Tommy Wiseau, 2003), The Disaster Artist (James Franco, 2017), The Disaster Artist (Greg Sesteros et Tom Bissell), Dave Franco, Seth Rogen, Ari Graynor, Charlyne Yi, Bob Odenkirk, Sharon Stone, J.J. Abrams, Faulkner, The Sound and Fury (James Franco, 2014), Interior. Leather Bar. (James Franco, 2013), Le Dîner de cons (Francis Veber, 1998), The Rythm of the Night (Corona, 1993), Faith No More (Epic, 1989), Bernard Launois, Jean-Marie Pallardy, Black Cobra (Stelvio Massi, 1987), Vivre pour Survivre (White Fire) (Jean-Marie Pallardy, 1984), Ed Wood (Tim Burton, 1994), Freaks and Geeks (Paul Feig, 1999), Il était une fois James Dean (Mark Rydell, 2001), Life (Anton Corbjin, 2015), John C. Reilly, 15h17 (Clint Eastwood, 2018), Chasseur blanc, coeur noir (Clint Eastwood, 1990), African Queen (John Huston, 1951), Marguerite (Xavier Giannoli, 2015), Moi Tonya (Craig Gillespie, 2017), England is mine (Morrissey, 2017), Les garçons sauvages (Bertrand Mandico, 2017)RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEURLA RECO DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : “Chasseur blanc, coeur noir” de Clint Eastwood (1990), un film sur John Huston lors du tournage d’African Queen et qui était obsédé à l’idée de partir faire la chasse aux éléphants. Un beau film sur l’obsession présenté à Cannes lors de sa sortie.LA RECO DE DAVID HONNORAT : “Marguerite” de Xavier Giannoli (2015) avec Catherine Frot, l’histoire d’une très riche aristocrate qui se rêve cantatrice. LA RECO DE PERRINE QUENNESSON : “Moi Tonya” de Craig Gillespie, un film qui porte aussi sur un personnage profondément détestable mais qui profite de cette occasion pour parler d’une certaine Amérique “Redneck” rarement mise en avant.LA RECO DE LELO JIMMY BATISTA : “England is mine” de Morrissey, le chanteur des Smith et “Les Garçons Sauvages” de Bertrand Mandico.CRÉDITSEnregistré le 1er mars 2018 à l’Antenne (Paris 10eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio.POUR ASSISTER AUX ENREGISTREMENTSPour assister à notre prochain enregistrement en public à L'Antenne Paris, rendez-vous sur notre page bingeaudio.eventbrite.com See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
LES GARÇONS SAUVAGES de Bertrand Mandico En salles le 28 février 2018 Musique de Pierre Desprats Propos recueillis par Benoit Basirico
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