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012-Tawhid Oulouhiyyah (les choses interdites sur la tombe) - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Abela, c'est le jeune label mode parisien que vous aurez l'occasion de voir sur tous les cool kids parisiens. A l'occasion de la Marscup, un tournoi de foot à Marseille, les équipes Puma et Utile les ont soumis à l'exercice de designer un les maillots de la compétition. Dans cet épisode, vous en apprendrez plus sur la génèse d'Abela (bougie en yoruba), l'histoire de ses deux freres fondateurs Ousmane et Femi Badirou mais aussi sur le contexte de leur récente collaboration avec Puma pour la Marscup.
L'Afrique contre la démocratie, c'est le titre-choc de l'ouvrage du journaliste indépendant Ousmane Ndiaye, qui vient de paraître aux éditions Riveneuve. Dans cet essai vigoureux, l'auteur s'attaque au mythe de l'officier patriote et intègre qui fait un putsch pour sauver son pays. Il répond aussi à ceux qui affirment que la démocratie à l'occidentale n'est pas adaptée aux valeurs africaines. Ousmane Ndiaye, qui a été notamment le rédacteur en chef Afrique de TV5 Monde, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous dites que l'un des arguments les plus forts des régimes putschistes d'Afrique de l'Ouest, c'est l'incapacité des régimes civils à repousser la menace jihadiste. Est-ce que ce n'est pas un bon argument ? Ousmane Ndiaye : C'est un argument cousu de fil blanc. Vous prenez un pays comme le Mali ou le Burkina Faso, mais la réalité c'est que les militaires ont toujours été au cœur de la gouvernance politique. Il n'y a pas eu d'un côté les civils qui gouvernent versus les militaires. Ensuite, deuxième chose, vous prenez un pays comme le Mali. Ça a été plus longtemps dirigé par des militaires que des civils. Vous parlez de ces généraux maliens qui ont passé plus de temps à faire de la politique qu'à faire la guerre. Et vous déconstruisez le mythe des militaires maliens intègres en rappelant qu'il y a dix ans, un général français, Bruno Heluin, a réalisé un audit accablant sur la corruption au sein de l'armée malienne... Il n'y a pas une différence. Il n'y a pas un clivage entre civils et militaires parce qu'on trouve cette constante dans les armées du Sahel. Donc le mythe kaki qui sauve qui est non corrompu, patriote, ça ne tient pas à l'épreuve des faits. Vous dites que, dans ce rapport, il est notamment écrit que l'armée malienne a reçu, à la fin des années 2000, quelque 800 pickups, mais qui ont tous disparu. Les moteurs ont été volés à des fins privées, c'est ça ? Oui, c'était un entretien qu'il m'avait accordé où il parlait de ces pickups qui ont été détournés et vendus. Alors ce que vous appelez le déni de démocratie, qui gagne plusieurs États africains et une partie de la jeunesse africaine, il s'appuie, dites-vous, sur le rejet de la France et non au modèle des démocraties occidentales. Mais de fait, est-ce que le général Mamadi Doumbouya n'a pas raison quand il dit à la tribune des Nations unies que ce modèle de démocratie n'est pas adapté aux valeurs africaines ? Il a tort pour plusieurs raisons. Quand vous prenez le cas de la Guinée, puisqu'on parle de Mamadi Doumbouya, le système de Sékou Touré ne peut pas dire que c'est un système basé sur le modèle occidental. Non ! Et je pense que ce n'était pas un système démocratique, c'était un régime dictatorial. Et puis c'est dangereux, l'idée de dire qu'on va adapter la démocratie aux valeurs africaines parce que ça suppose qu'intrinsèquement les valeurs africaines sont antidémocratiques, ce qui est terrible parce que cela relève d'un préjugé relevant d'une sorte de mépris, d'infériorité. Et puis parce que c'est totalement faux. À écouter aussiLe grand invité Afrique - «Les coups d'État en Afrique rencontrent une certaine audience auprès de la population» Vous écrivez, Ousmane Ndiaye que l'aveuglement anti-occidental est un outil de légitimation des nouvelles dictatures liberticides et sanguinaires du Mali, du Niger, du Burkina et de la Guinée. Mais vous, qui voyagez beaucoup, est-ce que vous pensez que les régimes militaires d'Afrique de l'Ouest sont majoritairement soutenus par les habitants de ces pays ? Il faut se méfier de cet argument de la popularité des régimes militaires. D'abord, dans une dictature, il n'y a pas d'opinion publique et donc c'est très compliqué de mesurer le niveau d'adhésion. Par contre, ce que je trouve populaire, c'est l'aspiration des africains à sortir d'une certaine domination postcoloniale. Ça, c'est une réalité. C'est une lame de fond. Il y a une captation par le discours militaire de ce sentiment légitime et de ce sursaut africain. Une partie de ces coups d'État est une sorte de hold-up sur des mouvements sociaux légitimes. Donc il est là, le coup de génie des nouveaux régimes militaires avec un argument-massue, c'est le rejet de l'Occident et de la France. Et cela marche. Dans votre livre, Ousmane Ndiaye, vous racontez comment les nouveaux dirigeants du Sénégal, notamment le Premier ministre Ousmane Sonko et le député Pastef Guy Marius Sagna soutiennent ouvertement le régime répressif du capitaine Traoré au Burkina Faso alors que l'un des prisonniers politiques les plus connus dans ce pays, maître Guy Hervé Kam, n'est autre que l'avocat d'Ousmane Sonko. Comment expliquez-vous ce que vous appelez ce basculement idéologique à Dakar ? Pour moi, c'est surtout un double standard, notamment dans les mouvements révolutionnaires progressistes de gauche qui considèrent que les standards démocratiques sont variables en fonction des situations. Et la contradiction du Pastef et de ses alliés, c'est que le Pastef s'est battu au Sénégal pour avoir de la liberté d'expression, pour avoir le droit de ne pas être dissous. Et pendant ce temps-là, les mêmes qui se battent, légitiment dans le pays voisin, le Mali ou le Burkina, un régime qui a décidé de dissoudre tous les partis politiques. Et je pense que c'est une des maladies du continent aujourd'hui. Ces doubles standards qui souvent s'expliquent au nom de l'anti-impérialisme. Je ne comprends pas pourquoi tout ce que le Pastef n'accepte pas au Sénégal en termes de restrictions, l'accepte ailleurs. À lire aussiBurkina Faso: l'avocat Guy-Hervé Kam de nouveau placé sous mandat de dépôt
Découvrez Ousmane Dicko, prodige malien de l'IA, Forbes Africa 30 Under 30 !
011-Tawhid Oulouhiyyah (le jugement sur le Roqiyah) 02 - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Plusieurs titres du continent s'interrogent, après une prise de parole remarquée du Premier ministre Ousmane Sonko durant le conseil national du Pastef, le parti des deux hommes. Dans cette déclaration, rapporte L'Observateur Paalga, « il accuse le chef de l'État de ne pas avoir suffisamment d'autorité et de ne pas le protéger, lui », face aux critiques dont il a été la cible. Le Premier ministre, poursuit le journal, « appelle donc [le président] à prendre ses responsabilités et à le laisser gouverner. » C'est la première fois, note le Pays, que l'un des deux membres de ce tandem « bris[e] le pacte tacite de retenue » qui les liait, « en exposant publiquement ses frustrations face à ce qu'il considère comme une passivité présidentielle. » À tout le moins, il y a donc « de l'eau dans le gaz », renchérit L'Observateur Paalga, qui se demande « si l'explosion aura lieu » mais constate surtout « que les deux têtes de l'exécutif ne sont pas sur la même longueur d'onde sur bien des sujets. » À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko s'en prend à Bassirou Diomaye Faye dans un discours Des différends sur le fond plutôt que sur la forme C'est en tout cas l'analyse de SenePlus, qui fonde son raisonnement sur les propos, il y a quelques mois, du poète Amadou Lamine Sall : selon lui, puisque « Senghor avait dit que pour être président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros. » Sous ce prisme, Diomaye Faye serait le saint et Sonko, « le rebelle, l'orage et l'ouragan », et donc « le héros. » Un chef de gouvernement « volcanique », véritable « tribun », abonde le Pays, face à un chef d'État qui serait « l'incarnation d'une alternance apaisée. » Sauf que, tout calme qu'il soit, Bassirou Diomaye Faye « est loin d'être une caisse de résonance des désirs de son Premier ministre », pointe SenePlus, et c'est peut-être bien ce qui agace Ousmane Sonko : il est le patron du PASTEF, et pourtant ; « il n'est pas le maître du jeu dans le gouvernement », estime le journal sénégalais. L'Observateur Paalga va un cran plus loin : « pour un peu, on croirait que Sonko n'a toujours pas digéré le fait d'avoir cédé sa place à Diomaye Faye », option à laquelle il s'est résolu après ses déboires judiciaires. Depuis, c'est comme si, juge le journal, « il trainait cela comme une blessure narcissique dont il n'arrive pas à guérir. » Dans ces conditions, difficile d'imaginer jusqu'où ira ce duo, d'autant que, rappelle enfin le journal burkinabè, « le fauteuil présidentiel n'est pas un banc où tout le monde peut s'asseoir », et « il est toujours plus facile de prendre le pouvoir à deux que de gouverner » de cette manière. À lire aussi[Vos réactions] Sénégal : des tensions au sommet de l'État ? Le Tigré éthiopien à la Une de la presse également La guerre entre les rebelles de cette région du nord du pays et le gouvernement central s'est achevée il y a près de trois ans, mais le Tigré en porte encore les cicatrices. Prêtes à se rouvrir, à en croire Afrique XXI : sur le papier, le conflit est fini ; sur le terrain pourtant, relate un ancien membre des TPLF, « il y a des soldats partout, même si on ne les voit pas. » Et pour cause, précise le journal : « les forces amharas n'ont pas quitté l'ouest de la région, tandis que l'armée érythréenne a élu domicile dans le nord-est, » et c'est sans compter, donc, les soldats tigréens. Un climat qui empêche la population de prendre le chemin du retour : « plus de 1 million de déplacés et des dizaines de milliers de réfugiés n'ont toujours pas pu rentrer chez eux. » De nombreuses femmes parmi ces déplacés Le Monde Afrique s'intéresse ainsi aux 120.000 femmes victimes de viol pendant le conflit, « soit une femme tigréenne sur dix. » Ces violences ont eu lieu, parfois, raconte la fondatrice d'un centre d'aide, « dans des églises, avec l'assentiment du prêtre », de sorte que les victimes « sont persuadées que leur viol a été commis selon la volonté de Dieu. » Parfois, aussi, les témoignages relatent « des actes de torture » qu'on ne détaillera pas à l'antenne, mais dont le but est clair, selon une chercheuse citée : « rendre les femmes stériles, donc empêcher la communauté tigréenne de s'agrandir », le tout dans « un esprit de revanche, toujours intact plus de vingt ans après la fin de la guerre entre l'Ethiopie et l'Erythrée » - entre 2020 et 2022, les soldats érythréens se sont battus aux côtés de l'armée fédérale. Et maintenant que la guerre est finie, il faut, pour les victimes, faire face à « la réticence des autorités (…) à ouvrir les yeux sur ce fléau » car, dénonce une activiste, « ce serait reconnaître l'implication de leurs soldats » dans ces violences. Alors, malgré le manque de reconnaissance, malgré surtout le manque de fonds, les associations d'aide aux victimes poursuivent, sans relâche, leur travail. Après tout, soupire l'une d'elle : « si on s'arrête, qui s'occupera des survivantes ? » À lire aussiEn Éthiopie, la difficile reconstruction de milliers de femmes victimes de viols au Tigré: «je n'ai plus rien pour vivre»
Plusieurs titres du continent s'interrogent, après une prise de parole remarquée du Premier ministre Ousmane Sonko durant le conseil national du Pastef, le parti des deux hommes. Dans cette déclaration, rapporte L'Observateur Paalga, « il accuse le chef de l'État de ne pas avoir suffisamment d'autorité et de ne pas le protéger, lui », face aux critiques dont il a été la cible. Le Premier ministre, poursuit le journal, « appelle donc [le président] à prendre ses responsabilités et à le laisser gouverner. » C'est la première fois, note le Pays, que l'un des deux membres de ce tandem « bris[e] le pacte tacite de retenue » qui les liait, « en exposant publiquement ses frustrations face à ce qu'il considère comme une passivité présidentielle. » À tout le moins, il y a donc « de l'eau dans le gaz », renchérit L'Observateur Paalga, qui se demande « si l'explosion aura lieu » mais constate surtout « que les deux têtes de l'exécutif ne sont pas sur la même longueur d'onde sur bien des sujets. » À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko s'en prend à Bassirou Diomaye Faye dans un discours Des différends sur le fond plutôt que sur la forme C'est en tout cas l'analyse de SenePlus, qui fonde son raisonnement sur les propos, il y a quelques mois, du poète Amadou Lamine Sall : selon lui, puisque « Senghor avait dit que pour être président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros. » Sous ce prisme, Diomaye Faye serait le saint et Sonko, « le rebelle, l'orage et l'ouragan », et donc « le héros. » Un chef de gouvernement « volcanique », véritable « tribun », abonde le Pays, face à un chef d'État qui serait « l'incarnation d'une alternance apaisée. » Sauf que, tout calme qu'il soit, Bassirou Diomaye Faye « est loin d'être une caisse de résonance des désirs de son Premier ministre », pointe SenePlus, et c'est peut-être bien ce qui agace Ousmane Sonko : il est le patron du PASTEF, et pourtant ; « il n'est pas le maître du jeu dans le gouvernement », estime le journal sénégalais. L'Observateur Paalga va un cran plus loin : « pour un peu, on croirait que Sonko n'a toujours pas digéré le fait d'avoir cédé sa place à Diomaye Faye », option à laquelle il s'est résolu après ses déboires judiciaires. Depuis, c'est comme si, juge le journal, « il trainait cela comme une blessure narcissique dont il n'arrive pas à guérir. » Dans ces conditions, difficile d'imaginer jusqu'où ira ce duo, d'autant que, rappelle enfin le journal burkinabè, « le fauteuil présidentiel n'est pas un banc où tout le monde peut s'asseoir », et « il est toujours plus facile de prendre le pouvoir à deux que de gouverner » de cette manière. À lire aussi[Vos réactions] Sénégal : des tensions au sommet de l'État ? Le Tigré éthiopien à la Une de la presse également La guerre entre les rebelles de cette région du nord du pays et le gouvernement central s'est achevée il y a près de trois ans, mais le Tigré en porte encore les cicatrices. Prêtes à se rouvrir, à en croire Afrique XXI : sur le papier, le conflit est fini ; sur le terrain pourtant, relate un ancien membre des TPLF, « il y a des soldats partout, même si on ne les voit pas. » Et pour cause, précise le journal : « les forces amharas n'ont pas quitté l'ouest de la région, tandis que l'armée érythréenne a élu domicile dans le nord-est, » et c'est sans compter, donc, les soldats tigréens. Un climat qui empêche la population de prendre le chemin du retour : « plus de 1 million de déplacés et des dizaines de milliers de réfugiés n'ont toujours pas pu rentrer chez eux. » De nombreuses femmes parmi ces déplacés Le Monde Afrique s'intéresse ainsi aux 120.000 femmes victimes de viol pendant le conflit, « soit une femme tigréenne sur dix. » Ces violences ont eu lieu, parfois, raconte la fondatrice d'un centre d'aide, « dans des églises, avec l'assentiment du prêtre », de sorte que les victimes « sont persuadées que leur viol a été commis selon la volonté de Dieu. » Parfois, aussi, les témoignages relatent « des actes de torture » qu'on ne détaillera pas à l'antenne, mais dont le but est clair, selon une chercheuse citée : « rendre les femmes stériles, donc empêcher la communauté tigréenne de s'agrandir », le tout dans « un esprit de revanche, toujours intact plus de vingt ans après la fin de la guerre entre l'Ethiopie et l'Erythrée » - entre 2020 et 2022, les soldats érythréens se sont battus aux côtés de l'armée fédérale. Et maintenant que la guerre est finie, il faut, pour les victimes, faire face à « la réticence des autorités (…) à ouvrir les yeux sur ce fléau » car, dénonce une activiste, « ce serait reconnaître l'implication de leurs soldats » dans ces violences. Alors, malgré le manque de reconnaissance, malgré surtout le manque de fonds, les associations d'aide aux victimes poursuivent, sans relâche, leur travail. Après tout, soupire l'une d'elle : « si on s'arrête, qui s'occupera des survivantes ? » À lire aussiEn Éthiopie, la difficile reconstruction de milliers de femmes victimes de viols au Tigré: «je n'ai plus rien pour vivre»
010-Tawhid Oulouhiyyah (le jugement sur le Roqiyah) - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Oussoulou Imaan (Tawhid Oulouhiyyah) 06 - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Oussoulou Imaan (Tawhid Oulouhiyyah) 05 - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Cette semaine nous recevons pour la quatrième fois Ousmane Badara aka Alpha 5.20. Originaire du Senegal, Alpha atterrit en France dans les années 90 afin de poursuivre sa scolarité. N'ayant pu continuer les études, il s'est orienté vers l'entrepreneuriat et le RAP plus précisément. Ce fan de Master P a su mettre à profit son savoir faire auprès du Ghetto Fabulous Gang et était une figure incontestable de la scène hip-hop française. A la table de 500, celui qu'on appelle aussi Gun's Poppin nous partage sa vision de la société, sa vision d'entrepreneur, nous donne son avis sur le futur du Sénégal et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Telah menjelma menjadi pilar penting bagi PSG, membuat Dembele siap dipertahankan. Meski kontraknya baru akan habis pada musim panas dua ribu dua puluh delapan, namun raksasa peran Prancis ini bergerak cepat dan akan menawarkan perpanjangan kontrak hingga tahun dua ribu tiga puluh.
007-Oussoulou Imaan (Tawhid Oulouhiyyah) 04 - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
TMM with Dave Davis and Dr Bart examine the data on potential Liverpool signing Ousmane Diomande, to determine whether he would be worth bringing to Liverpool at the right price this summer and whether he would be a good tactical fit. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Après les affaires intérieures sénégalaises, Ousmane Sonko s'attaque aux questions ouest-africaines. Le 16 mai, le Premier ministre sénégalais est allé au Burkina Faso. Puis vendredi dernier, il s'est rendu en Côte d'Ivoire et en Guinée. Comment Ousmane Sonko compte-t-il « pacifier » la sous-région, comme il dit ? Par ces visites à l'étranger, le Premier ministre n'est-il pas en train de marcher sur les plates-bandes du président Bassirou Diomaye Faye ? Maurice Soudieck Dione est professeur agrégé de sciences politiques à l'université de Saint-Louis du Sénégal. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quand le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko dit qu'il envisage « toute forme de collaboration » avec le Burkina Faso pour lutter contre les jihadistes. Est-ce que l'on peut imaginer des soldats sénégalais sur le territoire burkinabé ?Maurice Soudieck Dione : Je crois que rien n'est à exclure. Une coopération en termes de partage, de renseignement, en termes de partage de compétences... Cela peut aller jusqu'à un déploiement de Sénégalais pour appuyer le Burkina Faso dans cette lutte contre ce fléau qui est le terrorisme.Dans l'opposition sénégalaise, plusieurs voix se sont émues de voir que le Premier ministre d'un pays démocratique comme le vôtre est allé saluer à Ouagadougou un président putschiste qui fait jeter en prison des avocats et des journalistes. « C'est du populisme, c'est de l'inculture démocratique de la part d'Ousmane Sonko », disent plusieurs opposants. Qu'est-ce que vous en pensez ?Je crois que le Sénégal s'est toujours affirmé comme étant un pays leader en matière de démocratie. Mais les régimes d'exception que sont les régimes militaires ne sont pas des régimes qui sont appelés à perdurer. Ce sont des régimes qui vont forcément entrer dans une phase de normalisation démocratique. Ce ne sont pas des régimes qui vont s'installer ad vitam aeternam. Je crois qu'il est du devoir des États démocratiques de chercher à les tirer vers le haut, notamment pour le retour à la démocratie et le renforcement de l'État de droit.Deux semaines après son voyage au Burkina Faso, Ousmane Sonko s'est rendu en Côte d'Ivoire où il a été reçu par Alassane Ouattara. Or, on sait que les relations sont très tendues entre ces deux pays, le Burkina et la Côte d'Ivoire. Le Premier ministre sénégalais pourrait-il faire médiation entre ces deux pays ?C'est possible parce qu'en réalité le Sénégal a toujours eu cette attitude de compréhension, d'ouverture et de discussion par rapport aux pays de l'AES pour les amener progressivement à trouver des terrains d'entente avec la Cédéao. Dans ce cadre, le Premier ministre Ousmane Sonko peut jouer un rôle important pour rapprocher le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire puisqu'il a cette capacité à parler aux deux interlocuteurs.Pendant son séjour à Abidjan, Ousmane Sonko est allé saluer l'opposant Laurent Gbagbo qui est interdit de candidature à la présidentielle d'octobre prochain. Est-ce que c'est un message politique d'Ousmane Sonko à Alassane Ouattara ?Je crois qu'il y a deux choses à distinguer. D'abord, Laurent Gbagbo s'est toujours prévalu du panafricanisme. Il a eu à incarner cette posture. Aujourd'hui également, Ousmane Sonko, peut-être, a aussi en tête toutes ces difficultés qu'il a eu à rencontrer au Sénégal, notamment avec les manœuvres politiciennes qui ont abouti à son éviction, au regard de sa candidature pour la présidentielle de 2024, qui a favorisé l'élection du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Tout cela doit être pris en compte mais aussi cette nouvelle manière de faire la politique.Peut-on imaginer qu'Ousmane Sonko ait demandé à Alassane Ouattara d'organiser une présidentielle inclusive où tout le monde pourrait se présenter y compris Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Tidiane Thiam ?Oui, je crois que l'un des principes essentiels dans les relations internationales est la non-ingérence dans les affaires intérieures d'un pays. Mais je crois que, mis à part cet impératif, on peut tout à fait comprendre que le Premier ministre Ousmane Sonko puisse plaider devant le président de la République Alassane Ouattara pour que la présidentielle soit inclusive, mais de façon tout à fait amicale et diplomatique au regard des relations privilégiées que le Sénégal a toujours entretenues avec la Côte d'Ivoire. Jamais sous le mode de l'injonction.Quand le Pastef est arrivé au pouvoir, on pensait que le président s'occuperait en priorité des Affaires étrangères et le Premier ministre des Affaires intérieures. Mais aujourd'hui, avec tous ces voyages, est-ce qu'Ousmane Sonko n'est pas en train de marcher sur les plates-bandes de Bassirou Diomaye Faye ?Il y a une réalité au pouvoir. C'est que c'est le Premier ministre Ousmane Sonko qui est le chef du parti Pastef et c'est lui qui a fait élire le président Bassirou Diomaye Faye. C'est lui également qui a fait élire les députés du Pastef à hauteur de 130 députés sur 165 députés. Une personnalité de cette nature n'est pas un Premier ministre ordinaire. Compte tenu de la dimension également charismatique d'Ousmane Sonko, c'est un fait, il faut nécessairement composer avec cela et il y a une complémentarité entre les deux. C'est un duo au sommet de l'État. Et je ne pense pas que ce duo puisse se transformer en duel. À lire aussiGuinée: coopération renforcée avec le Sénégal à l'occasion de la visite du Premier ministre Ousmane SonkoÀ lire aussiCédéao: en visite au Faso, le Premier ministre sénégalais évoque les causes du départ des pays de l'AESÀ lire aussiCôte d'Ivoire: le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko en visite pour renforcer les liens économiques
Hello Rank Squad! The footballing summer is officially here, with the Champions League Final crowning what has been a pretty unbelievable season in Europe all round. We start today's episode with the final word on that final, where Luis Enrique's brilliant PSG absolutely dismantled Inter in one of the all-time great showpiece performances. Then, it's onto the talk of the summer - transfer season; and whilst there will be plenty of this covered here on Ranks all summer long, we wanted to take a look at some of the deals already done or nearly done, that we have reservations about for one reason or another. Some are personal, some are club-related, and some are just a question of fit; but whilst there could and should be levels of excitement, it's important to try and be realistic as well. We discuss the details of moves for Rayan Cherki, Jobe Bellingham, Liam Delap and Matheus Cunha; and also touch on Bruno Fernandes' decision to stay at Manchester United. We finish off with a discussion of some of the deals we think are absolutely guaranteed to be a success, as well as some early thoughts on the links between Arsenal and Benjamin Sesko. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
006-Oussoulou Imaan (Tawhid Oulouhiyyah) 03 - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Selon le Premier ministre sénégalais, la CEDEAO a «commis des erreurs» avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger. «Quand il y a des tripatouillages constitutionnels, l'organisation n'en parle pas». Mais quand il y a des coups d'État «on décrète des embargos». Que vous inspirent les propos d'Ousmane Sonko ?
005-Oussoulou Imaan (Tawhid Oulouhiyyah) 02 - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Hello Rank Squad! It's that time of the year where amidst all the trophies being handed out, thoughts turn to who are the frontrunners in the race for the biggest individual prize in the game - France Football's yearly Ballon d'Or. Last year the award came with a whole thunderstorm of controversy, with Real Madrid boycotting the ceremony after Rodri won the top prize over Vinicius Jr. They probably don't need to worry that much this year - we'd be surprised if there were any Los Blancos stars anywhere near the podium - but the absence of both Vini and Rodri from the frontrunners opens up some interesting discussions. We dive deep on where we think the current positionings are for the likes of PSG's Ousmane Dembele, Gigi Donnarumma and Achraf Hakimi, as well as Barcelona's Lamine Yamal, Raphinha, and Pedri - as well as the individual pace-setters like Mo Salah, Lautaro Martinez, Kylian Mbappé, and Harry Kane; before we also take a quick look at the Kopa Trophy candidates in Part Three. Before that, there's a return for Things We Love, where Dean discusses a big summer ahead for Arsenal in the transfer market, and Jack takes a quick look at a wonderful season at Balaidos for Celta Vigo, under the stewardship of Claudio Giraldez. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
En Afrique, l'assistance financière des pays riches diminue depuis l'arrivée de Donald Trump au pouvoir aux États-Unis, c'est ce que reconnaît la Banque mondiale. Mais il y a quand même des pays qui vont afficher, cette année, un bon taux de croissance. Par ailleurs, la rupture entre les trois membres de l'Alliance des États du Sahel (Mali, Burkina Faso et Niger) et la Cédéao n'est pas totale, constate la Banque mondiale, qui espère que l'interconnexion des réseaux électriques entre le Sahel et les pays côtiers va pouvoir se poursuivre. Ousmane Diagana est le vice-président de la Banque mondiale pour l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique centrale. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, la Banque mondiale affirme que l'incertitude obscurcit l'horizon. Qu'est-ce qui vous inquiète le plus pour l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique centrale ? Est-ce que c'est la hausse des droits de douane ? Est-ce que c'est la suspension de l'aide au développement ? Ousmane Diagana : Il est vrai que les dynamiques politiques qu'on observe à travers le monde et les tensions sur le plan géopolitique impactent sur la mobilisation de l'assistance financière pour les pays qui en ont le plus besoin. Et bien entendu, beaucoup de ces pays sont en Afrique de l'Ouest. Il est clair que, par conséquent, si l'assistance financière diminue la capacité de faire en sorte que les populations puissent avoir accès à de meilleurs services et que les pays se développent, cela devient problématique.Alors vous dites que l'assistance financière va diminuer… Pour cette année et l'an prochain, la Banque mondiale révise à la baisse de 0,5 point le taux de croissance des pays d'Afrique subsaharienne. Est-ce que c'est justement à cause de cette « tempête Donald Trump » ? Vous savez, les chocs exogènes divers qui se sont accumulés sur ces dernières années, leurs effets n'ont pas totalement disparu. Il est clair également aussi que, lorsqu'on parle d'une diminution de la croissance, ça varie d'un pays à l'autre. Il y a des pays, grâce aux réformes importantes qui ont été conduites récemment, qui ont vu leur taux de croissance augmenter. On peut donner le cas du Nigeria. On peut donner le cas de pays comme la Côte d'Ivoire, qui, sur ces six, sept dernières années, ont mis en place des réformes robustes qui voient également leur niveau de croissance augmenter. Par contre, il y a d'autres pays effectivement où ça stagne.Alors, vous soulignez les bonnes performances économiques au Nigeria et en Côte d'Ivoire. Mais d'après votre dernier rapport, je crois qu'il y a d'autres pays qui tirent leur épingle du jeu dans votre zone : le Sénégal, la Guinée-Conakry, le Bénin, le Niger, avec des taux de croissance supérieurs à 6 % cette année, c'est ça ? Exactement. Je n'ai cité que deux pays, mais en Afrique de l'Ouest, beaucoup de pays sont engagés résolument dans des réformes appropriées, qui produisent des résultats. On voit le développement des infrastructures, une classe moyenne qui se développe grâce aussi au dynamisme du secteur privé. Et notre approche aujourd'hui au niveau de la Banque mondiale, c'est de faire en sorte qu'on continue à renforcer les fondations, c'est-à-dire investir dans les infrastructures, investir dans l'agriculture et la transformation des produits agricoles, investir sur le capital humain. Et je pense que les pays que vous avez cités, parmi d'autres encore, sont ceux qui sont en train justement d'être sur cette voie.En Afrique subsaharienne, on sait que la Banque mondiale est l'une des principales sources de financement. En 2020, la Banque mondiale a mobilisé 38 milliards de dollars pour les 22 pays de votre zone. En 2023, grâce à votre action, elle est passée à 53 milliards de dollars. Aujourd'hui, on en est où ? Oui, on est presque à 58 milliards de dollars pour les 22 pays de l'Afrique occidentale et l'Afrique centrale. Et finalement, c'est vraiment la promotion de l'intégration régionale qui est une solution de développement extrêmement importante pour les pays de l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique du Centre.Et du coup, la sortie des trois pays de l'AES [Alliance des États du Sahel] de la Cédéao, cela doit vous inquiéter, non ? Alors on avait toujours des projets régionaux, surtout pour ce qui concerne le développement des corridors d'infrastructures, mais également des programmes d'énergie qui sont des projets sous-régionaux. Et nous espérons que ces types de programmes vont continuer. Et je crois que tout le monde comprend que l'interdépendance entre des pays d'une même zone doit faire en sorte que les solutions de développement soient pragmatiques et que le dialogue et la coopération entre les différents pays soient poursuivis et renforcés.Donc, vous espérez que l'interconnexion des réseaux électriques va se poursuivre entre les douze pays actuels de la Cédéao et les trois pays nouveaux de l'AES ?Nous avons des projets en cours qui ont soutenu cela depuis très longtemps et nous avons l'intention de maintenir ce type de programme-là et de le renforcer. Donc oui, les financements régionaux, ce sont des solutions extrêmement efficaces et nous espérons que les pays vont, dans un esprit de partenariat et de solidarité, faire en sorte que ces types de programmes soient maintenus et renforcés.
004-Oussoulou Imaan (Tawhid Oulouhiyyah) - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Hello Rank Squad! We have our Champions League finalists, after PSG joined Inter in the showpiece event by beating Arsenal 2-1 at the Parc des Princes to progress 3-1 on aggregate. The game might not have had the verve and sparkle of Tuesday's semi, but there was plenty to discuss all the same here on UCL Takeaway. Arsenal started fast, but couldn't find the killer blow to leave the tie in the balance - thanks to some particularly impressive goalkeeping once again from Gigi Donnarumma in the PSG net - and then Fabian Ruiz landed a killer jab of his own, striking home from the edge of the box after Arsenal failed to clear a set piece. Vitinha missed a (very harsh) penalty, before Achraf Hakimi made it 2-0 with a striker's finish, and whilst Bukayo Saka pulled one back and Arsenal had their chances to find a leveller, it was Luis Enrique's charges who saw the game out, with no finishing flourish from his former apprentice Mikel Arteta in the other dugout. We discuss the game, as well as where it leaves Arsenal ahead of this summer, whether PSG's transformation into the team we have seen in recent months makes them favourites for the final, whether João Neves is a N'Golo Kante regen, where Arsenal need to upgrade to reach that next level, and loads more besides. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
003-Oussouloul Imaan (Tawhid Arrouboubiyyah) 02 - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
durée : 01:05:41 - PSG - Arsenal : avec ou sans Ousmane Dembélé, ça change quoi ? 100% PSG, la tribune - Ep.44 - Le PSG va se lancer mercredi dans la bataille retour de sa demi-finale de Ligue des champions face à Arsenal. Le groupe est-il prêt ?Ousmane Dembélé sera-t-il remis ? Y-a-t-il un danger face aux Anglais ? On en parle dans l'épisode 44 du podcast 100% PSG, la tribune.
Hello Rank Squad! It's time for Champions League Takeaway here on Ranks FC, and our first episode of the semi-finals, looking back at the game between Arsenal and PSG in North London, where Luis Enrique's side came out the victors, taking a 1-0 win with them back to the Parc des Princes for next week's second leg. We discuss it all in great detail - looking at a mesmerising first 25 minutes from the Parisiens, as well as the way Arsenal dug themselves back into the game briefly, before PSG spurned some late chances to make their lead much more secure. We talk the role of Declan Rice, the absence of Thomas Partey, a star turn from Myles Lewis-Skelly, the brilliance of João Neves, Ousmane Dembélé's free-role and how he picked up space, as well as the difference in experience between the two managers, the atmosphere and how PSG quietened it down early on, and loads more besides. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
002-Oussouloul Imaan (Tawhid Arrouboubiyyah) - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Les têtes d'affiches de Denise Epoté de TV5 Monde, comme chaque dimanche sur RFI, aujourd'hui avec Simon Bourtembourg. Notre première tête d'affiche est originaire du Maroc : Hamza Cherkaoui est le responsable de la transformation digitale au sein de l'Autorité marocaine de la supervision des entreprises d'assurance et de réassurance et challenges IRD. La plateforme qu'il a mise au point a révolutionné la gestion des déclarations réglementaires. Une innovation qui lui a valu le deuxième prix de l'African SEO Awards dans la catégorie Innovation. Notre seconde tête d'affiche est originaire du Mali. Du haut de ses 17 ans, Ousmane Dicko dirige depuis deux ans la première entreprise nationale spécialisée dans l'automatisation du service client, fonctionnant à 100 % avec l'intelligence artificielle. Un patron atypique qui est convaincu que, grâce à l'IA, l'Afrique connaîtra une nouvelle ère entrepreneuriale.
Hello Rank Squad!It's time for this week's first Champions League Takeaway - looking back at Tuesday's Quarter Final second legs, where both PSG and Barcelona emerged with qualification intact, but with their reputations bruised and having been handed on-the-night losses by Aston Villa and Borussia Dortmund, who were both excellent. In the absence of Dean, who is flying back to San Diego, Jack is joined by football podcast royalty in Mike Zimmermann - to talk through both of the games and discuss the ramifications in more detail. We start with Aston Villa's impressive 3-2 win over PSG, where the Parisien favourites were given an almighty scare in the second half by Unai Emery's charges, who managed to break free of PSG's impressive counter-attacking hold after the break, going hell for leather and finding themselves some Gigi Donnarumma magic away from taking Luis Enrique's men to extra time. Then in Part Two, we head to the Westfalenstadion, where Dortmund had very little to lose, but managed to expose the Barcelona high line enough to give the Yellow Wall plenty to shout about. Serhou Guirassy's hat-trick had Barça very worried for a time, and although the Catalans progressed, they were subjected to defeat in a single game for the first time in 2025. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
001-Oussouloul Imaan (Guem Yalla) - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Cela fait deux ans, mardi 15 avril, que la guerre au Soudan a démarré. Elle est aujourd'hui la plus importante crise de personnes déplacées au monde, selon l'ONU, 13 millions de Soudanais ayant fui leur foyer. Quatre millions se sont réfugiés dans les pays voisins comme l'Égypte, le Tchad ou le Soudan du Sud. Certains ont réussi à pousser jusqu'au Kenya, loin des camps de réfugiés. À Nairobi, la capitale, ils essaient de se réinventer une vie. De notre correspondante à Nairobi,À Nairobi, la capitale du Kenya, dans le quartier de Kilimani, le Jayta est devenu le rendez-vous de la jeunesse soudanaise. Dans ce petit restaurant, pas de manières, on y mange comme à la maison. « Nos clients sont des Soudanais, des Somaliens et des Éthiopiens. Mais on n'aime pas les appeler des "réfugiés". Bien sûr, notre vie est finie au Soudan, avec cette guerre. Il faut tout recommencer, pour survivre. Pendant la révolution, on disait : "À chaque fois, nous referons la révolution, si le gouvernement n'est pas bon pour nous" », se souvient Ahmed Albadawi.Les généraux Abdel Fattah Al Burhan, à la tête de l'armée soudanaise, et Mohamed Hamdan Daglo dit « Hemedti », chef des Forces de soutien rapide (FSR), se mènent une guerre sans pitié depuis deux ans. Mabio Swale, 24 ans, a fui Khartoum dès les premiers bombardements : « J'ai laissé derrière moi, mon père, mes petits frères, même mère. Je ne sais pas comment ils vont, s'ils sont en sécurité. La vie au Soudan est très dure : il n'y a pas de travail, pas de sécurité. On entend les armes et les balles partout. J'aimerais bien refaire ma vie au Kenya. Là, je travaille comme serveur. Avant, je rêvais d'être footballer. Aujourd'hui, je veux juste continuer à travailler pour envoyer de l'argent à ma famille. »Ousmane aussi a quitté Khartoum en 2023. Il y suivait alors des études en génie civil. Diplômé ici à Nairobi, c'est vers le Soudan que ses projets se tournent. « Je ne peux pas imaginer mon futur sans le Soudan. Maintenant que l'armée a récupéré Khartoum, mes amis et des membres de ma famille, y retournent. Ils essaient de reconstruire. J'y retournerai, c'est sûr. Les deux généraux viennent du même gouvernement. Mais vous pouvez vivre avec l'armée. Avec les FSR, c'est impossible. Je le sais, je les ai vus, ils ont essayé de me tuer, ils m'ont jeté à terre. D'abord la paix. Après, on cherchera la démocratie », affirme-t-il. En 2024, les Nations unies recensaient plus de 11 500 réfugiés soudanais au Kenya. À lire aussiSoudan: les FSR revendiquent la prise du camp de Zamzam au Darfour, «tuant de nombreux civils»
Hello Rank Squad!It's time for this week's second Champions League Takeaway - looking back at Wednesday's Quarter Final first legs, where PSG roared back from 1-0 down to beat Aston Villa 3-1 and Barcelona romped to yet another astounding win, routinely dismantling a discombobulated Dortmund 4-0. We start with PSG and wonder if anybody could have held up against the power of their attacking might last night - looking at the emergence of Desire Doué as a bona-fide starter and wonderkid, as well as the devastating directness of Kvicha Kvaratskhelia - before going a bit deeper into a discussion of how Luis Enrique has moulded this club to one in his own image - where the team comes first, but individual brilliance is actively encouraged as well. Then in Part Two it's time to head to Catalunya, to take a deep dive into how Barcelona pretty much killed this tie stone dead in the first leg, breaking a host of records in the process. All three of the front line of Raphinha (controversially), Lamine Yamal, and Robert Lewandowski were on the scoresheet - with Lewy making it 29 goals in 28 games against Dortmund since leaving them in 2014. Ouch. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
Hello Rank Squad! Dean's back in London, so it's less of a Transatlantic Job this week, but that doesn't mean there's not still plenty to discuss. Today, we're looking at the Champions League Quarter Finalists, but in a slightly different way - examining who the most important player is for each of the eight teams remaining in the competition, from the perspectives of how they've played so far, as well as who is most likely to step up going forward. We take the eight teams in turn ahead of their QF matchups, thinking about star performers across the course of the competition, but also about which player their opposition would remove from these games if they were given a choice to do so - giving us some interesting names and discussions around how we rank players in systems. We finish by trying to pick a top three each, but we found that was a harder task than either of us envisaged to begin with! It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
durée : 01:11:16 - 100% PSG, la tribune - Ep.36 : Ousmane Dembélé dans la course au ballon d'or ? - Le PSG s'est adjugé le 109e classique du championnat français. Dimanche, victoire 3 buts à 1 face à l'OM pour un PSG qui possède désormais 19 points d'avance sur son dauphin phocéen en tête du championnat français. On en parle bien évidement dans le podcast 100% PSG, la tribune.
Hello Rank Squad! In a bit of a break from tradition, and after witnessing an absorbing encounter between Liverpool and PSG at Anfield, we decided this week might be a good one to switch things up and discuss the thing everyone will be discussing come Wednesday morning - the action from the Champions League, so this is the first of two UCL Takeaway episodes that will be with you this week. We start on Merseyside, where football reminded us it's a funny old game. Liverpool were outmatched in Paris last Wednesday, but came away with a 1-0 win against PSG; but on a night where they gave a far better account of themselves at home, they ended up losing the game 1-0 and being knocked out on penalties. Work that one out. We give PSG their due for a mighty performance over two legs, and discuss just how far this very talented side could go in this competition, as well as looking at what Liverpool might have done differently, and where the squad might need to be strengthened to push forwards again next season. Then in Part Two, we move over to the rest of the action, dissecting Barcelona's 3-1 win over Benfica where Lamine Yamal and Raphinha set some more records, as well as Pedri's astounding performance in the heart of midfield. We touch on Bayern, who Dean correctly backed in our power ranking episode, and how Leverkusen melted in the heat of the knockout stages; and finish with Inter, who made light work of Feyenoord even with a heavily rotated squad, and who are ticking along nicely in this competition. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
065-Les fondements d'Ahlou Sounnah Wa Jammah (L'unicité) - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Hello Rank Squad!It's time for Champions League Takeaway, your late night delivery following the action - following the first legs of the new 'Playoff Round' in the competition, pitting the teams who finished 9th to 24th in the league stage against each other to earn places in the Round of 16.And it started with a bang, with a matchup between Manchester City and Real Madrid that we've seen multiple times in recent years, but not quite like this - and the game delivered, for the neutral at least. We discuss another City collapse late in a game, that tifo about the Ballon d'Or and Vinicius Jr's on-pitch response, the defensive frailties in both sides - but that were handled far better by Los Blancos, and all the rest. We also take a look at PSG's win over Brest and if the Parisiens are back in the conversation to win this thing; Juventus fighting off PSV in what should have been the USMNT-off; and why Borussia Dortmund are just much better in Europe than they are in the Bundesliga, as they hammered Sporting in Lisbon. Then in Part Two, we start with Bayern's trip to Celtic Park, where they won 2-1, but where their opposition caused serious problems for Vincent Kompany's side nonetheless; before moving on to look at managerless Feyenoord's victory against AC Milan; Atalanta falling to Club Brugge in controversial circumstances; and another win for Benfica against Monaco in the Principality. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
Les fondements d'Ahlou Sounnah Wa Jammah - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
durée : 01:06:40 - 100% PSG, la tribune - Ep. 26 : Ousmane Magic Dembélé, comment expliquer sa métamorphose ? - Ousmane Dembélé marche sur l'eau en ce moment. L'attaquant parisien enchaîne les triplés avec le PSG et il est au coeur des débats de 100% PSG, la tribune le podcast de Ici Paris Île-de-France. Un épisode 27 dans lequel il est aussi question du mercato et de Brest.
WELCOME OUSMANE!Instagram: https://www.instagram.com/plprimetime/ YouTube: www.youtube.com/@premierleagueprimetime
Hello Rank Squad!It's time for Champions League Takeaway, your late night delivery following the action - after the first ever 'final matchday' of the new League Stage, which saw every single game taking place at the same time. We start with a look at Manchester City's Great Escape - coming back from 1-0 down (and surefire elimination) to win 3-1 against Club Brugge, and sneak into the Playoff round in incredibly dramatic fashion at the Etihad. Then we work our way through all the other games, including an end-to-end encounter as Aston Villa beat Celtic 4-2, PSG's blistering 4-1 demolition of Stuttgart, and a 2-2 thriller between Barcelona and Atalanta that might well have been the game of the night. In Part Two, there's a roundup of all the rest of the action - Ethan Nwaneri's Saka impression as Arsenal saw off Girona, PSV stunning a heavily-rotated Liverpool in Eindhoven, routine wins for Bayern and Real Madrid, Dinamo Zagreb's brave win over 10-man Milan that wasn't quite enough, and Sporting's squeaky point that saw them progress, as well as big wins for Inter, Benfica, Leverkusen, Lille, and Atletico. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
Join Tosin and Coach as they navigate the hectic final day of the Champions League group stage and they try to navigate next stage of the competition. Ousmane Dembélé might finally be figuring it out, a pair of seventeen year olds might already have figured it out, and the lads figure their way through ruminations on shame and bag chasing. Tap in!
Le jugement de la sorcellerie en Islam - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Les signes de la fin des temps - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
It's time for The Truth!In a move that has somewhat stunned the football world, Napoli's Georgian sensation Khvicha Kvaratskhelia has told manager Antonio Conte he wants to leave the Neapolitan club, and is on the brink of a €70m move to PSG, despite the fact that his current side are top of Serie A and challenging for a second title in three seasons. So why is this happening, and why is it happening now? We dive deeper into Kvara's story at Napoli - including his adoption as an honorary Neapolitan, and the breathtaking ability that he displayed as he and Victor Osimhen led Gli Azzurri to the 2022/23 league title; as well as his new role under Antonio Conte and some explanations as to why we haven't quite seen the best of the man they call 'Kvaradona' this season. There's also a discussion of some off-the-field matters, which include a big portion about the contract that Kvaratskhelia is on in Naples, and questions about why that deal wasn't renewed after he proved his worth almost as soon as hitting the ground; and the treatment and subsequent departure of his old co-pilot Osimhen, which was a messy affair all summer long. And, from the PSG side, we look at how this might affect Bradley Barcola, who had such a brilliant first half of this season domestically, and where Kvara fits into a Luis Enrique system. So is this move about money, morals, mobility or playing under a coach that best suits the Georgian's style and ability? The Truth is somewhere in the middle... And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?
Le Premier ministre sénégalais est en visite en Mauritanie. Ousmane Sonko a été accueilli à Nouakchott par son homologue Moctar Ould Diay. Il est accompagné d'une forte délégation ministérielle. Plusieurs sujets sont au menu comme le gaz naturel sénégalo-mauritanien, la pêche ou encore l'immigration irrégulière.
Que retenir des ''Waliyous yi'' - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Ce que les musulmans retiennent des Sahabas - Imam Ousmane Galadio KA by XamSaDine
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko prononcera ce vendredi 27 décembre 2024 devant les députés son discours de politique générale (DPG), qui fixera le cap pour les mois, les années à venir. « Une DPG sans risque pour Ousmane Sonko », titre Le Soleil, puisqu'il n'est pas tenu de demander ensuite la confiance des députés. Le Soleil détaille une première annonce, faite lors de ce discours à venir : le Premier ministre « va proposer un vote sans débat » pour faire adopter le LFI, « le projet de loi de finances initiale ». Sans débat, pour permettre une adoption rapide. Le vote aura lieu samedi 28 décembre 2024. « En parallèle » de ce vote, rappelle Senego, « les députés installeront officiellement la Haute Cour de justice, une juridiction d'exception destinée à juger les plus hautes autorités de l'État », dont le président, le Premier ministre et les ministres. « Les huit juges titulaires et huit suppléants, élus par l'Assemblée, prêteront serment avant de prendre leurs fonctions », détaille Senego.La polémique enfle toujours sur les tirailleurs de ThiaroyeLe conseiller ministre Cheikh Oumar Diagne est sous le feu des critiques après avoir traité les tirailleurs de Thiaroye de « traîtres, qui se sont battus contre leurs frères, dans leur pays, pour de l'argent ». Ces affirmations sont « une offense à la mémoire de ces tirailleurs », écrit Seneplus dans un édito « mais aussi à toutes les générations d'Africains qui se sont engagés dans la lutte contre l'oubli du massacre de Thiaroye ».Le Soleil reprend les propos du porte-parole du gouvernement, Moutsapha Ndiekk Sarré, qui « considère que monsieur Diagne s'est lourdement trompé » et qu'il s'agit d'une « sortie malheureuse ». Dakar Actu partage l'indignation du musée d'Histoire du Djolof, qui condamne aussi les propos de Cheikh Oumar Diagne. « Les tirailleurs sénégalais sont un patrimoine commun, représentant un symbole de résistance, de loyauté et de sacrifice non seulement pour le Sénégal, mais également pour l'Afrique entière », s'émeut ce musée d'Histoire. La presse burkinabé s'en mêle aussi : « Un ministre ne devrait pas dire ça ! », titre Aujourd8 au Burkina Faso. Le journal, dans un édito, estime qu'il « contredit l'acte majeur et mémoriel posé par son patron, [le président Diomaye Faye, et] souille la mémoire de ceux qui ont versé leur sang, le sang africain ». La Fédération des descendants de tirailleurs a décidé de déposer plainte contre Cheikh Oumar Diagne. Tchad : l'armée française se retire de la base de Faya-Largeau« L'armée française cède sa base à l'armée tchadienne », titre Tachad qui rappelle que ce transfert « s'inscrit dans un contexte de tensions diplomatiques, après la suspension inattendue, il y a moins d'un mois, de l'accord militaire qui liait Paris à Ndjamena ». « La machine est lancée », écrit de son côté le burkinabè Le Pays. « Avec le départ de ses troupes du Tchad, poursuit l'édito, la France aura perdu totalement le contrôle du Sahel, où jadis, elle faisait la pluie et le beau temps ». Ce retrait dans le nord s'effectue juste avant les élections législatives, provinciales et communales au Tchad. Elles auront lieu le dimanche 29 décembre 2024. Tchadinfos précise d'ailleurs que la CNDH, « la Commission nationale des droits de l'homme, déploie ses observateurs dans 10 provinces ». « Le manque de moyens matériels et financiers a empêché la couverture des 23 provinces », pointe le média en ligne.Au Kenya, une vague d'enlèvements sans précédentUn groupe de défense des droits de l'Homme déplore au Kenya 82 disparitions forcées depuis le mois de juin 2024. Ce même groupe affirme qu'elles seraient perpétrées par des membres des forces de l'ordre. Des « enlèvements de jeunes par des hommes masqués, généralement à bord de véhicules banalisés, détaille Nation. La pression s'accentue sur le président William Ruto », poursuit le journal kényan. « Les personnes ciblées, explique The Standard, sont très actives sur les réseaux sociaux et critiquent le gouvernement kényan ». Le média donne l'exemple de Kavuli, « étudiant en journalisme », « arrêté dimanche soir dans une station-service par quatre hommes armés qui l'ont poussé dans un véhicule et pris la fuite ». Kavuli avait critiqué le pouvoir dans des commentaires postés sur X.L'IPOA, la police des polices, dans un communiqué publié cette semaine, a lancé une investigation, tandis que la police continue de nier toute implication.
Hello Rank Squad!It's time for Champions League Takeaway, your midnight feast of Champions League content after the main meal was served up on both Tuesday and Wednesday nights by the third round of our new 36-team competition.We start with Tuesday's games, opening with Barcelona's 4-1 dismantling of Bayern Munich that saw them lay recent demons to rest against their most regular scourge, the naivety of some of what Bayern did both offensively and defensively, and how Raphinha's promotion to the captain's armband in Catalunya has him cooking on Ballon d'Or contender form. Then it's on to Leipzig, where Liverpool made it 11 wins from 12 with a 1-0 victory against one of the teams from Jurgen Klopp's new fiefdom, and a quick look at City's 5-0 win over Sparta Prague which saw Erling Haaland score one of the most acrobatic goals you'll ever see in your life. We round up the rest of Wednesday's action too, peeking at Leverkusen's 1-1 draw with high-flying Brest, Celtic's imperious defensive performance against previously free-scoring Atalanta, Feyenoord ending Benfica's year-long unbeaten run at the Estadio da Luz, Lille stunning a Madrid side for the second time in two matchdays - this time Atleti at the Wanda, Inter's impact substitutes getting the job done for them against Young Boys, and hapless Salzburg's 2-0 loss to a very punchy Dinamo Zagreb side. Then in Part Two, we're onto Tuesday's action, which begins with the other side of La Liga's Clasico - Real Madrid's 5-2 victory over Borussia Dortmund which centred around the identity of these two clubs, and how this script could have been written by almost anyone who knows them. We touch on Vinicius Jr's incredible hat-trick, and the decisions that BVB manager Nuri Sahin made which took the game away from what could have been a famous night of revenge for his side. We head over to Birmingham next to discuss just what to make of Unai Emery's Aston Villa and their 2-0 win over Bologna that installed them at the top of the Champions League table, and down to North London to discuss a 1-0 win for the Arsenal that was a little bit uncomfortable at times, but dearly needed by Mikel Arteta's side to just quieten the noise and get themselves back on the right track. We finish with a roundup of the rest of the Tuesday games - Milan's 3-1 win over Club Brugge that included an Olympic Goal from the irrepressible Christian Pulisic, Stuttgart's well-deserved 1-0 win over Juventus which saw the Bianconeri's unbeaten start under Thiago Motta derailed, PSG's profligacy in a 1-1 draw against PSV, Monaco's 5-1 thumping of Crvena Zvezda which reaffirmed their credentials as a team to be reckoned with, Girona's first ever Champions League win as they beat Slovan Bratislava 2-0, and Sporting's 2-0 win over Sturm Graz which saw another goal and an assist for Viktor Gyokeres. It's Ranks! And remember, if you'd like more from the Rank Squad, including extra podcasts every Monday and Friday (including our weekly Postbox taking a look at the whole weekend of football) and access to our brilliant Discord community, then why not join us here on Patreon?