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De son arrestation en 1940 à sa mort en 1944, Georges Mandel, ancien ministre des Colonies puis de l'Intérieur, a été interné par Vichy, enlevé par les SS avant d'être déporté en Allemagne puis ramené de force en France pour être livré à la Milice et assassiné en forêt de Fontainebleau.La persécution dont il a été l'objet doit autant à son refus de l'armistice en juin 1940 qu'au fait d'être juif : Mandel est rapidement devenu une cible prioritaire du régime de Pétain puis du pouvoir nazi.Au cours de ces quatre années tragiques, l'ancien chef du cabinet civil de Clemenceau (1917-1919) au courage héroïque ne s'est jamais fait d'illusion sur la fin qui l'attendait, comme le montrent ses archives personnelles.Ce sont ces années que raconte Antoine Mordacq dans son ouvrage "Le martyre de Georges Mandel", à partir d'archives considérables, notamment des lettres quasi-quotidiennes que Mandel, sa femme et sa fille s'écrivent.Ce récit brillant et haletant donne ainsi un nouvel éclairage sur l'action d'un homme en résistance face au nazisme et à Vichy.Son auteur, Antoine Mordacq, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission - comme la précédente - est dédiée à Boualem Sansal, toujours emprisonné par un état barbare et inculte. Timeline, à son petit niveau, luttera toujours contre la bêtise, l'inculture, la barbarie, et l'injustice.Richard Fremder1830 ... L'Europe industrielle débarque à Sidi Ferruch sous les plis du drapeau tricolore. Derrière les canons, les promesses : pacifier, civiliser, moderniser. Mais dès les premières heures, la conquête se mue en guerre totale, en répression massive, en anéantissement systématique des résistances, à commencer par celle d'Abdelkader. Ce n'est pas une colonie qui naît, c'est une société fracturée, hiérarchisée, dominée.De 1830 à 1870, la violence fonde le droit. L'Algérie est conquise « par le glaive et la charrue » : les troupes massacrent, les colons défrichent, les tribus sont déplacées, affamées, regroupées. Les textes se succèdent, les Républiques changent, Napoléon III parle d'un « royaume arabe », mais la logique reste : dominer, soumettre, exploiter. Derrière les mots de progrès, une tempête démographique, un pillage organisé, une résistance enfouie.Puis vient le temps des certitudes. 1871 : la dernière grande insurrection kabyle est matée. Le décret Crémieux octroie la citoyenneté aux Juifs mais la refuse aux musulmans. On parle d'« Algérie française », mais il s'agit d'une colonie peuplée de citoyens et de sujets. Les Européens contrôlent les terres, les banques, les tribunaux. Les Algériens sont les indigènes d'un territoire dont ils ne possèdent rien. On leur apprend Molière, mais on leur interdit leur langue. Le tourisme devient l'expression ultime du mépris : on visite les « indigènes » comme des curiosités exotiques.1914-1918. Des dizaines de milliers d'Algériens meurent pour une République qui ne les reconnaît pas. En 1919, une idée nationale commence à germer. Avec Messali Hadj, l'Association des Oulémas ou l'Étoile nord-africaine, se construit un discours autonome, islamique ou laïc, anticolonial, national. Mais les espoirs du centenaire sont écrasés par le mépris, les promesses trahies, les réformes refusées. Les années 1930 sont celles de l'impasse : une société cloisonnée, racialisée, incapable de dialogue.Puis vient le choc. 1945 : Sétif, Guelma, Kherrata. Le drame, la censure, le silence. Le nationalisme algérien s'enflamme. En 1954, la guerre éclate. La Toussaint sanglante ouvre une décennie de violence, d'aveuglement, d'horreur partagée. Attentats, torture, regroupements, exécutions sommaires, propagande, contre-insurrection. Les femmes y prennent part, les artistes y trouvent un cri, les diplomates y cherchent une issue. Mais la République française s'effondre, minée par ses contradictions. En 1962, l'indépendance est proclamée, mais rien n'est résolu.Le chaos commence. D'un rêve d'unité surgit la lutte pour le pouvoir. Le FLN triomphant n'a pas de programme, les accords d'Évian divisent, les harkis sont abandonnés, les Pieds-noirs fuient, les coopérants arrivent. Le peuple algérien, épuisé par 132 ans de domination, doit se réinventer dans l'urgence. L'autogestion, le socialisme, l'islam, la francophonie, l'arabisation : tout est mis sur la table. Mais rien ne prend racine. Entre les coups d'État militaires, les espoirs révolutionnaires, la guerre des Sables contre le Maroc, l'Algérie indépendante cherche encore son visage.C'est cette période, de la dépossession à l'indépendance, que nous allons décrypter, toujours en compagnie de l'historien Michel Pierre, sans manichéisme.Il s'agira de revenir sur les différentes complexités si souvent caricaturées. C'est un demi-siècle de convulsions, de rêves brisés et d'horizons ouverts que nous allons explorer ensemble. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission - et la suivante d'ailleurs - est dédiée à Boualem Sansal, toujours emprisonné par un état barbare et inculte. Timeline, à son petit niveau, luttera toujours contre la bêtise, l'inculture, la barbarie, et l'injustice.Richard FremderL'Algérie, avant la douleur et la discorde, avant même les frontières et les empires, c'est d'abord une terre. Une terre vivante, traversée, modelée, habitée depuis deux millions d'années.Dans ce premier épisode, l'historien Michel Pierre nous invite à un voyage vertigineux, bien avant les récits antagonistes et les conflits modernes, dans un temps où l'Histoire ne s'écrivait pas encore avec des mots, mais avec des ossements, des silex, des gravures sur roche et des parures d'argile.Nous remontons aux origines : aux chasseurs d'hippopotames d'Aïn Boucherit, aux premiers Homo habilis d'Afrique du Nord, aux galets éclatés dans un geste ancestral de survie. Puis, lentement, les signes se multiplient : des tombes, des parures, des fresques, des gestes rituels, des calices sculptés dans des coquilles d'œuf d'autruche. Le Sahara est alors une savane humide, peuplée de troupeaux, de peintres rupestres et de bergers visionnaires. Le climat change, mais l'homme s'adapte, bâtit, grave, raconte déjà.À travers chaque couche du sol algérien, une mémoire s'imprime – non pas seulement nationale, mais humaine, tellurique, presque minérale. C'est une mémoire mouvante, recomposée au fil des siècles par les vagues migratoires, les bouleversements climatiques, les traditions orales, les rites funéraires et les guerres oubliées.Et lorsque l'Histoire entre dans l'ère de l'écriture, ce sont d'autres récits qui surgissent – ceux que les empires imposent. Les Phéniciens débarquent, Carthage se déploie, Rome impose son urbanisme, ses dieux, ses routes et ses lois. Les royaumes berbères s'organisent, se heurtent, négocient avec les puissances coloniales de l'Antiquité. À mesure que la mémoire devient enjeu, l'interprétation s'installe : qui est là « depuis toujours » ? Les récits deviennent alors des armes, chaque pouvoir voulant inscrire ses racines plus profondément que l'autre.Mais tout ne s'efface pas. Derrière les syncrétismes religieux, les pierres demeurent. Derrière l'islamisation, les cités romaines et les rites anciens laissent leur empreinte. Puis viennent les tribus arabes, les Almohades, les Andalous en exil, les corsaires et les accords diplomatiques de la régence ottomane, souvent réduite à des clichés, mais qui façonne, elle aussi, une forme d'État à la fois autonome, méditerranéen et stratégique.Et lorsque l'on arrive à l'orée du XIXe siècle, à ce moment précis qu'on appelle Entre terre et mer, l'Algérie est un territoire fracturé, fragilisé, mais toujours central dans les ambitions de l'Europe industrielle. Le célèbre coup d'éventail du dey d'Alger n'est pas un simple incident : il est le signe d'un monde ancien qui s'effondre, et d'un autre – colonial – qui se prépare à s'imposer.À travers ce récit foisonnant, cette émission vous propose bien plus qu'un survol historique. C'est une enquête en profondeur sur les origines d'un pays, sur les strates de son identité, sur les mythes et les silences qui entourent son passé. Une plongée vertigineuse dans une Histoire longue, complexe, disputée, mais toujours fascinante.En compagnie de l'historien et ancien diplomate Michel Pierre, grand spécialiste de l'Algérie, nous abordons ce premier épisode, avant la conquête française. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Colomb découvreur de l'Amérique ? Oubliez. Il est désormais prouvé que des vikings, dès 1021, ont fondé un établissement à la pointe nord de Terre-Neuve afin de s'approvisionner en bois de construction. Une famille de légende a contribué à cette incroyable découverte, celle d'Erik le Rouge. Voici son Histoire.Cette épopée sur trois générations débute en Norvège vers 960. Coupable d'un meurtre, Thorvald s'exile pour l'Islande avec son fils, Erik. À son tour, Erik à la chevelure flamboyante commet l'irréparable et est banni d'Islande. C'est ainsi qu'il découvre le « Greenland », la Terre verte, comme il la baptise car « si le pays portait un beau nom, cela encouragerait fort les gens à y aller ». C'est justement en voulant rejoindre cette nouvelle colonie groenlandaise qu'un navigateur islandais se retrouve, plus à l'ouest, face à une côte inconnue. Leif, un fils d'Erik, explorera cette terre, au climat si tempéré qu'il la baptise Vinland, le pays du Vin. Un paradis terrestre ? Ce n'est que l'Amérique, quatre siècles avant Colomb.Comment de tels voyages furent-ils possibles ? Quel était le secret de leurs navires ? Comment les vikings trouvaient-ils leur route sans boussole durant des semaines au grand large ? En s'appuyant sur les sagas islandaises et les travaux récents d'archéologues scandinaves et de chercheurs passionnés, Dominique Le Brun raconte d'une plume alerte cette étonnante aventure, et nous explique comment un tel exploit fut possible.Son auteur, Dominique Le Brun, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission - et la suivante d'ailleurs - est dédiée à Boualem Sansal, toujours emprisonné par un état barbare et inculte. Timeline, à son petit niveau, luttera toujours contre la bêtise, l'inculture, la barbarie, et l'injustice.Richard FremderL'Algérie, avant la douleur et la discorde, avant même les frontières et les empires, c'est d'abord une terre. Une terre vivante, traversée, modelée, habitée depuis deux millions d'années.Dans ce premier épisode, l'historien Michel Pierre nous invite à un voyage vertigineux, bien avant les récits antagonistes et les conflits modernes, dans un temps où l'Histoire ne s'écrivait pas encore avec des mots, mais avec des ossements, des silex, des gravures sur roche et des parures d'argile.Nous remontons aux origines : aux chasseurs d'hippopotames d'Aïn Boucherit, aux premiers Homo habilis d'Afrique du Nord, aux galets éclatés dans un geste ancestral de survie. Puis, lentement, les signes se multiplient : des tombes, des parures, des fresques, des gestes rituels, des calices sculptés dans des coquilles d'œuf d'autruche. Le Sahara est alors une savane humide, peuplée de troupeaux, de peintres rupestres et de bergers visionnaires. Le climat change, mais l'homme s'adapte, bâtit, grave, raconte déjà.À travers chaque couche du sol algérien, une mémoire s'imprime – non pas seulement nationale, mais humaine, tellurique, presque minérale. C'est une mémoire mouvante, recomposée au fil des siècles par les vagues migratoires, les bouleversements climatiques, les traditions orales, les rites funéraires et les guerres oubliées.Et lorsque l'Histoire entre dans l'ère de l'écriture, ce sont d'autres récits qui surgissent – ceux que les empires imposent. Les Phéniciens débarquent, Carthage se déploie, Rome impose son urbanisme, ses dieux, ses routes et ses lois. Les royaumes berbères s'organisent, se heurtent, négocient avec les puissances coloniales de l'Antiquité. À mesure que la mémoire devient enjeu, l'interprétation s'installe : qui est là « depuis toujours » ? Les récits deviennent alors des armes, chaque pouvoir voulant inscrire ses racines plus profondément que l'autre.Mais tout ne s'efface pas. Derrière les syncrétismes religieux, les pierres demeurent. Derrière l'islamisation, les cités romaines et les rites anciens laissent leur empreinte. Puis viennent les tribus arabes, les Almohades, les Andalous en exil, les corsaires et les accords diplomatiques de la régence ottomane, souvent réduite à des clichés, mais qui façonne, elle aussi, une forme d'État à la fois autonome, méditerranéen et stratégique.Et lorsque l'on arrive à l'orée du XIXe siècle, à ce moment précis qu'on appelle Entre terre et mer, l'Algérie est un territoire fracturé, fragilisé, mais toujours central dans les ambitions de l'Europe industrielle. Le célèbre coup d'éventail du dey d'Alger n'est pas un simple incident : il est le signe d'un monde ancien qui s'effondre, et d'un autre – colonial – qui se prépare à s'imposer.À travers ce récit foisonnant, cette émission vous propose bien plus qu'un survol historique. C'est une enquête en profondeur sur les origines d'un pays, sur les strates de son identité, sur les mythes et les silences qui entourent son passé. Une plongée vertigineuse dans une Histoire longue, complexe, disputée, mais toujours fascinante.En compagnie de l'historien et ancien diplomate Michel Pierre, grand spécialiste de l'Algérie, nous abordons ce premier épisode, avant la conquête française. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission - et la suivante d'ailleurs - est dédiée à Boualem Sansal, toujours emprisonné par un état barbare et inculte. Timeline, à son petit niveau, luttera toujours contre la bêtise, l'inculture, la barbarie, et l'injustice.Richard FremderL'Algérie, avant la douleur et la discorde, avant même les frontières et les empires, c'est d'abord une terre. Une terre vivante, traversée, modelée, habitée depuis deux millions d'années.Dans ce premier épisode, l'historien Michel Pierre nous invite à un voyage vertigineux, bien avant les récits antagonistes et les conflits modernes, dans un temps où l'Histoire ne s'écrivait pas encore avec des mots, mais avec des ossements, des silex, des gravures sur roche et des parures d'argile.Nous remontons aux origines : aux chasseurs d'hippopotames d'Aïn Boucherit, aux premiers Homo habilis d'Afrique du Nord, aux galets éclatés dans un geste ancestral de survie. Puis, lentement, les signes se multiplient : des tombes, des parures, des fresques, des gestes rituels, des calices sculptés dans des coquilles d'œuf d'autruche. Le Sahara est alors une savane humide, peuplée de troupeaux, de peintres rupestres et de bergers visionnaires. Le climat change, mais l'homme s'adapte, bâtit, grave, raconte déjà.À travers chaque couche du sol algérien, une mémoire s'imprime – non pas seulement nationale, mais humaine, tellurique, presque minérale. C'est une mémoire mouvante, recomposée au fil des siècles par les vagues migratoires, les bouleversements climatiques, les traditions orales, les rites funéraires et les guerres oubliées.Et lorsque l'Histoire entre dans l'ère de l'écriture, ce sont d'autres récits qui surgissent – ceux que les empires imposent. Les Phéniciens débarquent, Carthage se déploie, Rome impose son urbanisme, ses dieux, ses routes et ses lois. Les royaumes berbères s'organisent, se heurtent, négocient avec les puissances coloniales de l'Antiquité. À mesure que la mémoire devient enjeu, l'interprétation s'installe : qui est là « depuis toujours » ? Les récits deviennent alors des armes, chaque pouvoir voulant inscrire ses racines plus profondément que l'autre.Mais tout ne s'efface pas. Derrière les syncrétismes religieux, les pierres demeurent. Derrière l'islamisation, les cités romaines et les rites anciens laissent leur empreinte. Puis viennent les tribus arabes, les Almohades, les Andalous en exil, les corsaires et les accords diplomatiques de la régence ottomane, souvent réduite à des clichés, mais qui façonne, elle aussi, une forme d'État à la fois autonome, méditerranéen et stratégique.Et lorsque l'on arrive à l'orée du XIXe siècle, à ce moment précis qu'on appelle Entre terre et mer, l'Algérie est un territoire fracturé, fragilisé, mais toujours central dans les ambitions de l'Europe industrielle. Le célèbre coup d'éventail du dey d'Alger n'est pas un simple incident : il est le signe d'un monde ancien qui s'effondre, et d'un autre – colonial – qui se prépare à s'imposer.À travers ce récit foisonnant, cette émission vous propose bien plus qu'un survol historique. C'est une enquête en profondeur sur les origines d'un pays, sur les strates de son identité, sur les mythes et les silences qui entourent son passé. Une plongée vertigineuse dans une Histoire longue, complexe, disputée, mais toujours fascinante.En compagnie de l'historien et ancien diplomate Michel Pierre, grand spécialiste de l'Algérie, nous abordons ce premier épisode, avant la conquête française. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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20 tournages iconiques, 20 récits captivants. Les films nous racontent des histoires. Mais qui nous raconte celles des films ? Olivier Rajchman, brillant historien du cinéma, nous propose de découvrir vingt grands tournages parmi lesquels Blanche-Neige et les sept nains (1937), La Mort aux trousses (1959), Le Guépard (1963), Les Dents de la mer (1975) ou encore Barbie(2023). À partir de sources connues nouvellement analysées, et de sources inédites subtilement dévoilées, l'auteur nous livre le récit enlevé de vingt processus créatifs d'envergure racontant une histoire du cinéma à travers celle de films emblématiques. Saviez-vous que le scénario de Taxi Driver (1976) était inspiré de La Nausée, de Sartre ? Que Martin Scorsese, consacrant tout son être à son projet, ne voyait aucune de ses relations sentimentales perdurer ? Que Stanley Kubrick, sur le tournage de 2001, l'Odyssée de l'espace (1968), n'adressait pas la parole à la plupart de ses acteurs ? Que Claude Sautet, pour Les Choses de la vie (1970), a choisi Romy Schneider, avec laquelle il aura une brève liaison, après avoir aperçu sa silhouette sur le tournage de La Piscine (1969) ? Après Le Siècle des stars (Perrin, 2023), une galerie de portraits passionnants sur les icônes d'Hollywood, Olivier Rajchman nous fait vivre au plus près l'aventure des films, ces oeuvres qu'on accouche dans la douleur et dans la joie, malgré l'adversité, et grâce à la pugnacité de toute une équipe guidée par la vision d'un réalisateur ou d'une réalisatrice. Un livre où le bonheur de lecture va de pair avec la richesse de l'information.Son auteur, Olivier Rajchman, historien du cinéma est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant longtemps, on a cru que les Israélites étaient un peuple venu d'Égypte, libéré par Moïse, qui aurait conquis la Terre promise sous la conduite de Josué. Mais les découvertes archéologiques récentes racontent une tout autre histoire. Ce que l'on voit, ce n'est pas une invasion brutale, mais l'installation progressive de petits groupes de nomades dans les montagnes de Canaan, à partir du XIIe siècle avant notre ère. Ces nomades vivaient auparavant dans le désert, entre transhumance et agriculture saisonnière. Peu à peu, ils défrichent, cultivent, construisent des maisons de pierre, élèvent du bétail, fondent des villages, et deviennent sédentaires.L'archéologie montre que ces villages sont très modestes : pas de palais, pas de temples, pas de fortifications, aucune trace d'armes ou de luxe. Juste des maisons sobres, de la vaisselle utilitaire, des silos à grains et des outils agricoles. Une société rurale, égalitaire, pacifique. Rien ne correspond à l'idée d'un peuple conquérant. En fait, ces nouveaux arrivants sont sans doute des Cananéens eux-mêmes, fuyant les cités de la plaine devenues trop dures, trop inégalitaires, trop taxées. Ils se réfugient dans les hauteurs et se reconstruisent, loin du pouvoir. Ce sont eux, les premiers Israélites.Ces populations passent par plusieurs cycles : parfois sédentaires, parfois de nouveau nomades en cas de crise. Et malgré des ressemblances très fortes avec leurs voisins – les Moabites, les Ammonites, les Édomites – un détail va les distinguer : ils ne mangent pas de porc. C'est la seule trace claire d'une identité culturelle partagée dans cette société en formation. Bien avant le monothéisme, bien avant les récits de l'Exode, c'est cette pratique alimentaire qui forge peu à peu une conscience collective.Mais cette société naissante ne vit pas en paix très longtemps. Elle doit faire face aux Cananéens, puis aux Madianites venus de l'est, et enfin aux redoutables Philistins venus de la mer Égée. Ces derniers, armés de technologies nouvelles, imposent leur domination sur toute la région. Face à eux, les tribus israélites, dispersées et sans chef, sont impuissantes. C'est cette menace qui les pousse à s'unir. Ils élisent un roi : Saül. C'est le début de la royauté israélite.L'histoire que racontent les fouilles est donc très différente de celle que l'on lit dans la Bible. Pas de conquête miraculeuse, mais un enracinement lent, pragmatique, douloureux parfois. Un peuple qui naît non dans l'héroïsme des batailles, mais dans l'effort patient de la terre et la résistance quotidienne aux puissants. L'épopée d'Israël commence dans le silence des collines. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant longtemps, on a cru que les Israélites étaient un peuple venu d'Égypte, libéré par Moïse, qui aurait conquis la Terre promise sous la conduite de Josué. Mais les découvertes archéologiques récentes racontent une tout autre histoire. Ce que l'on voit, ce n'est pas une invasion brutale, mais l'installation progressive de petits groupes de nomades dans les montagnes de Canaan, à partir du XIIe siècle avant notre ère. Ces nomades vivaient auparavant dans le désert, entre transhumance et agriculture saisonnière. Peu à peu, ils défrichent, cultivent, construisent des maisons de pierre, élèvent du bétail, fondent des villages, et deviennent sédentaires.L'archéologie montre que ces villages sont très modestes : pas de palais, pas de temples, pas de fortifications, aucune trace d'armes ou de luxe. Juste des maisons sobres, de la vaisselle utilitaire, des silos à grains et des outils agricoles. Une société rurale, égalitaire, pacifique. Rien ne correspond à l'idée d'un peuple conquérant. En fait, ces nouveaux arrivants sont sans doute des Cananéens eux-mêmes, fuyant les cités de la plaine devenues trop dures, trop inégalitaires, trop taxées. Ils se réfugient dans les hauteurs et se reconstruisent, loin du pouvoir. Ce sont eux, les premiers Israélites.Ces populations passent par plusieurs cycles : parfois sédentaires, parfois de nouveau nomades en cas de crise. Et malgré des ressemblances très fortes avec leurs voisins – les Moabites, les Ammonites, les Édomites – un détail va les distinguer : ils ne mangent pas de porc. C'est la seule trace claire d'une identité culturelle partagée dans cette société en formation. Bien avant le monothéisme, bien avant les récits de l'Exode, c'est cette pratique alimentaire qui forge peu à peu une conscience collective.Mais cette société naissante ne vit pas en paix très longtemps. Elle doit faire face aux Cananéens, puis aux Madianites venus de l'est, et enfin aux redoutables Philistins venus de la mer Égée. Ces derniers, armés de technologies nouvelles, imposent leur domination sur toute la région. Face à eux, les tribus israélites, dispersées et sans chef, sont impuissantes. C'est cette menace qui les pousse à s'unir. Ils élisent un roi : Saül. C'est le début de la royauté israélite.L'histoire que racontent les fouilles est donc très différente de celle que l'on lit dans la Bible. Pas de conquête miraculeuse, mais un enracinement lent, pragmatique, douloureux parfois. Un peuple qui naît non dans l'héroïsme des batailles, mais dans l'effort patient de la terre et la résistance quotidienne aux puissants. L'épopée d'Israël commence dans le silence des collines. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant longtemps, on a cru que les Israélites étaient un peuple venu d'Égypte, libéré par Moïse, qui aurait conquis la Terre promise sous la conduite de Josué. Mais les découvertes archéologiques récentes racontent une tout autre histoire. Ce que l'on voit, ce n'est pas une invasion brutale, mais l'installation progressive de petits groupes de nomades dans les montagnes de Canaan, à partir du XIIe siècle avant notre ère. Ces nomades vivaient auparavant dans le désert, entre transhumance et agriculture saisonnière. Peu à peu, ils défrichent, cultivent, construisent des maisons de pierre, élèvent du bétail, fondent des villages, et deviennent sédentaires.L'archéologie montre que ces villages sont très modestes : pas de palais, pas de temples, pas de fortifications, aucune trace d'armes ou de luxe. Juste des maisons sobres, de la vaisselle utilitaire, des silos à grains et des outils agricoles. Une société rurale, égalitaire, pacifique. Rien ne correspond à l'idée d'un peuple conquérant. En fait, ces nouveaux arrivants sont sans doute des Cananéens eux-mêmes, fuyant les cités de la plaine devenues trop dures, trop inégalitaires, trop taxées. Ils se réfugient dans les hauteurs et se reconstruisent, loin du pouvoir. Ce sont eux, les premiers Israélites.Ces populations passent par plusieurs cycles : parfois sédentaires, parfois de nouveau nomades en cas de crise. Et malgré des ressemblances très fortes avec leurs voisins – les Moabites, les Ammonites, les Édomites – un détail va les distinguer : ils ne mangent pas de porc. C'est la seule trace claire d'une identité culturelle partagée dans cette société en formation. Bien avant le monothéisme, bien avant les récits de l'Exode, c'est cette pratique alimentaire qui forge peu à peu une conscience collective.Mais cette société naissante ne vit pas en paix très longtemps. Elle doit faire face aux Cananéens, puis aux Madianites venus de l'est, et enfin aux redoutables Philistins venus de la mer Égée. Ces derniers, armés de technologies nouvelles, imposent leur domination sur toute la région. Face à eux, les tribus israélites, dispersées et sans chef, sont impuissantes. C'est cette menace qui les pousse à s'unir. Ils élisent un roi : Saül. C'est le début de la royauté israélite.L'histoire que racontent les fouilles est donc très différente de celle que l'on lit dans la Bible. Pas de conquête miraculeuse, mais un enracinement lent, pragmatique, douloureux parfois. Un peuple qui naît non dans l'héroïsme des batailles, mais dans l'effort patient de la terre et la résistance quotidienne aux puissants. L'épopée d'Israël commence dans le silence des collines. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant longtemps, on a cru que les Israélites étaient un peuple venu d'Égypte, libéré par Moïse, qui aurait conquis la Terre promise sous la conduite de Josué. Mais les découvertes archéologiques récentes racontent une tout autre histoire. Ce que l'on voit, ce n'est pas une invasion brutale, mais l'installation progressive de petits groupes de nomades dans les montagnes de Canaan, à partir du XIIe siècle avant notre ère. Ces nomades vivaient auparavant dans le désert, entre transhumance et agriculture saisonnière. Peu à peu, ils défrichent, cultivent, construisent des maisons de pierre, élèvent du bétail, fondent des villages, et deviennent sédentaires.L'archéologie montre que ces villages sont très modestes : pas de palais, pas de temples, pas de fortifications, aucune trace d'armes ou de luxe. Juste des maisons sobres, de la vaisselle utilitaire, des silos à grains et des outils agricoles. Une société rurale, égalitaire, pacifique. Rien ne correspond à l'idée d'un peuple conquérant. En fait, ces nouveaux arrivants sont sans doute des Cananéens eux-mêmes, fuyant les cités de la plaine devenues trop dures, trop inégalitaires, trop taxées. Ils se réfugient dans les hauteurs et se reconstruisent, loin du pouvoir. Ce sont eux, les premiers Israélites.Ces populations passent par plusieurs cycles : parfois sédentaires, parfois de nouveau nomades en cas de crise. Et malgré des ressemblances très fortes avec leurs voisins – les Moabites, les Ammonites, les Édomites – un détail va les distinguer : ils ne mangent pas de porc. C'est la seule trace claire d'une identité culturelle partagée dans cette société en formation. Bien avant le monothéisme, bien avant les récits de l'Exode, c'est cette pratique alimentaire qui forge peu à peu une conscience collective.Mais cette société naissante ne vit pas en paix très longtemps. Elle doit faire face aux Cananéens, puis aux Madianites venus de l'est, et enfin aux redoutables Philistins venus de la mer Égée. Ces derniers, armés de technologies nouvelles, imposent leur domination sur toute la région. Face à eux, les tribus israélites, dispersées et sans chef, sont impuissantes. C'est cette menace qui les pousse à s'unir. Ils élisent un roi : Saül. C'est le début de la royauté israélite.L'histoire que racontent les fouilles est donc très différente de celle que l'on lit dans la Bible. Pas de conquête miraculeuse, mais un enracinement lent, pragmatique, douloureux parfois. Un peuple qui naît non dans l'héroïsme des batailles, mais dans l'effort patient de la terre et la résistance quotidienne aux puissants. L'épopée d'Israël commence dans le silence des collines. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant longtemps, on a cru que les Israélites étaient un peuple venu d'Égypte, libéré par Moïse, qui aurait conquis la Terre promise sous la conduite de Josué. Mais les découvertes archéologiques récentes racontent une tout autre histoire. Ce que l'on voit, ce n'est pas une invasion brutale, mais l'installation progressive de petits groupes de nomades dans les montagnes de Canaan, à partir du XIIe siècle avant notre ère. Ces nomades vivaient auparavant dans le désert, entre transhumance et agriculture saisonnière. Peu à peu, ils défrichent, cultivent, construisent des maisons de pierre, élèvent du bétail, fondent des villages, et deviennent sédentaires.L'archéologie montre que ces villages sont très modestes : pas de palais, pas de temples, pas de fortifications, aucune trace d'armes ou de luxe. Juste des maisons sobres, de la vaisselle utilitaire, des silos à grains et des outils agricoles. Une société rurale, égalitaire, pacifique. Rien ne correspond à l'idée d'un peuple conquérant. En fait, ces nouveaux arrivants sont sans doute des Cananéens eux-mêmes, fuyant les cités de la plaine devenues trop dures, trop inégalitaires, trop taxées. Ils se réfugient dans les hauteurs et se reconstruisent, loin du pouvoir. Ce sont eux, les premiers Israélites.Ces populations passent par plusieurs cycles : parfois sédentaires, parfois de nouveau nomades en cas de crise. Et malgré des ressemblances très fortes avec leurs voisins – les Moabites, les Ammonites, les Édomites – un détail va les distinguer : ils ne mangent pas de porc. C'est la seule trace claire d'une identité culturelle partagée dans cette société en formation. Bien avant le monothéisme, bien avant les récits de l'Exode, c'est cette pratique alimentaire qui forge peu à peu une conscience collective.Mais cette société naissante ne vit pas en paix très longtemps. Elle doit faire face aux Cananéens, puis aux Madianites venus de l'est, et enfin aux redoutables Philistins venus de la mer Égée. Ces derniers, armés de technologies nouvelles, imposent leur domination sur toute la région. Face à eux, les tribus israélites, dispersées et sans chef, sont impuissantes. C'est cette menace qui les pousse à s'unir. Ils élisent un roi : Saül. C'est le début de la royauté israélite.L'histoire que racontent les fouilles est donc très différente de celle que l'on lit dans la Bible. Pas de conquête miraculeuse, mais un enracinement lent, pragmatique, douloureux parfois. Un peuple qui naît non dans l'héroïsme des batailles, mais dans l'effort patient de la terre et la résistance quotidienne aux puissants. L'épopée d'Israël commence dans le silence des collines. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment étudier le cerveau des humains préhistoriques alors qu'il ne se fossilise jamais ? Ce défi, c'est celui qu'Antoine Balzeau et son équipe pluridisciplinaire de chercheurs se sont lancé.Étudier le cerveau de nos ancêtres grâce aux traces laissées dans leurs boîtes crâniennes permettrait de mieux appréhender le fonctionnement de l'organe, son développement au fil des millénaires et le lien entre les capacités cognitives, les compétences et l'anatomie humaine.Entre paléoanthropologie et neurologie, de terrains de fouille en salles d'IRM, Antoine Balzeau, appuyé par les nombreuses illustrations de Tiphaine Derrey, revient sur ces dernières années de recherche.Il dévoile ainsi les coulisses de ce projet scientifique d'envergure et présente les résultats inédits de son enquête : Néandertal, Cro-Magnon et Homo erectus témoignent qu'Homo sapiens n'est pas le sommet de l'évolution.Son auteur, Antoine Balzeau, paléoantropologue, est notre invité en studio et en vidéo sur Youtube (Podcast_Timeline)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Après 1815, la vie politique s'organise autour du roi (Louis XVIII en l'occurence) et des deux chambres. Mais attention, la Restauration n'est pas le rétablissement de l'Ancien Régime. le roi ne dispose pas de la puissance législativeAu roi, le pouvoir exécutif avec l'initiative des lois ; aux deux chambres (les Pairs au palais du Luxembourg et les Députés au Palais-Bourbon), le vote des projets de loi et du budget. Trois problèmes dominent la période : la responsabilité des ministres, le mode de scrutin et la liberté de la presse.Ils provoqueront, en définitive, la chute de Charles X.C'est avec l'attentat de Louvel (Février 1820) et l'assassinat du Duc de Berry que le tournant ultra se fait vraiment sentir.Avec la mort de Louis XVIII, le 16 septembre 1824, disparait le dernier obstacle pouvant exister devant les ultras. Le comte d'Artois, succède à son frère sous le nom de Charles X, passe pour être le chef et l'inspirateur de la droite. Grand, mince, élégant, le nouveau roi sait plaire et veut plaire. Mais l'émigration ne lui avait rien appris. Depuis la mort de sa maîtresse, Mme de Polastron, en 1804, il est passé d'une aimable frivolité à une religion fervente. D'intelligence médiocre mais pourvu de qualités de cœur, n'ayant compris aucun des changements introduits par la Révolution mais ayant toujours le souci de bien faire son métier, tout ça fait de Charles X un personnage contradictoire mais ferme dans ses convictions. A plusieurs reprises, il a exprimé son refus du régime parlementaire. Avec lui, la droite a donc maintenant un roi selon son cœur, et peut enfin faire passer dans les faits le programme social et religieux des ultras.Deux lois en 1825 ravivent les clivages. D'abord l'indemnisation des émigrés dont les biens avaient étéconfisqués, qui touche à une mesure emblématique de la Révolution. Ensuite la répression des sacrilèges : les profanateurs d'hosties deviennent passibles de la peine de mort et ceux de vases sacrés des travaux forcés à perpétuité...Restait à Charles X une étape cruciale pour faire de lui un roi de droit divin. Le Sacre.La légitimité divine.Louis XVIII n'avait pas été sacré, empêché par le retour de Napoléon de l'île d'Elbe.Charles X va lui redonner la splendeur d'antan. Selon le rite ancien.Le ton était donné.Pour en parler, je serai accompagné de Bernard Degout, Docteur en Littérature, ancien directeur de la Maison de Chateaubriand, et grand connaisseur de la période, et qui vient de sortir un livre, Le sacre de Charles X, les derniers feux des Bourbons, chez Perrin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Après 1815, la vie politique s'organise autour du roi (Louis XVIII en l'occurence) et des deux chambres. Mais attention, la Restauration n'est pas le rétablissement de l'Ancien Régime. le roi ne dispose pas de la puissance législativeAu roi, le pouvoir exécutif avec l'initiative des lois ; aux deux chambres (les Pairs au palais du Luxembourg et les Députés au Palais-Bourbon), le vote des projets de loi et du budget. Trois problèmes dominent la période : la responsabilité des ministres, le mode de scrutin et la liberté de la presse.Ils provoqueront, en définitive, la chute de Charles X.C'est avec l'attentat de Louvel (Février 1820) et l'assassinat du Duc de Berry que le tournant ultra se fait vraiment sentir.Avec la mort de Louis XVIII, le 16 septembre 1824, disparait le dernier obstacle pouvant exister devant les ultras. Le comte d'Artois, succède à son frère sous le nom de Charles X, passe pour être le chef et l'inspirateur de la droite. Grand, mince, élégant, le nouveau roi sait plaire et veut plaire. Mais l'émigration ne lui avait rien appris. Depuis la mort de sa maîtresse, Mme de Polastron, en 1804, il est passé d'une aimable frivolité à une religion fervente. D'intelligence médiocre mais pourvu de qualités de cœur, n'ayant compris aucun des changements introduits par la Révolution mais ayant toujours le souci de bien faire son métier, tout ça fait de Charles X un personnage contradictoire mais ferme dans ses convictions. A plusieurs reprises, il a exprimé son refus du régime parlementaire. Avec lui, la droite a donc maintenant un roi selon son cœur, et peut enfin faire passer dans les faits le programme social et religieux des ultras.Deux lois en 1825 ravivent les clivages. D'abord l'indemnisation des émigrés dont les biens avaient étéconfisqués, qui touche à une mesure emblématique de la Révolution. Ensuite la répression des sacrilèges : les profanateurs d'hosties deviennent passibles de la peine de mort et ceux de vases sacrés des travaux forcés à perpétuité...Restait à Charles X une étape cruciale pour faire de lui un roi de droit divin. Le Sacre.La légitimité divine.Louis XVIII n'avait pas été sacré, empêché par le retour de Napoléon de l'île d'Elbe.Charles X va lui redonner la splendeur d'antan. Selon le rite ancien.Le ton était donné.Pour en parler, je serai accompagné de Bernard Degout, Docteur en Littérature, ancien directeur de la Maison de Chateaubriand, et grand connaisseur de la période, et qui vient de sortir un livre, Le sacre de Charles X, les derniers feux des Bourbons, chez Perrin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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sacre1https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Après 1815, la vie politique s'organise autour du roi (Louis XVIII en l'occurence) et des deux chambres. Mais attention, la Restauration n'est pas le rétablissement de l'Ancien Régime. le roi ne dispose pas de la puissance législativeAu roi, le pouvoir exécutif avec l'initiative des lois ; aux deux chambres (les Pairs au palais du Luxembourg et les Députés au Palais-Bourbon), le vote des projets de loi et du budget. Trois problèmes dominent la période : la responsabilité des ministres, le mode de scrutin et la liberté de la presse.Ils provoqueront, en définitive, la chute de Charles X.C'est avec l'attentat de Louvel (Février 1820) et l'assassinat du Duc de Berry que le tournant ultra se fait vraiment sentir.Avec la mort de Louis XVIII, le 16 septembre 1824, disparait le dernier obstacle pouvant exister devant les ultras. Le comte d'Artois, succède à son frère sous le nom de Charles X, passe pour être le chef et l'inspirateur de la droite. Grand, mince, élégant, le nouveau roi sait plaire et veut plaire. Mais l'émigration ne lui avait rien appris. Depuis la mort de sa maîtresse, Mme de Polastron, en 1804, il est passé d'une aimable frivolité à une religion fervente. D'intelligence médiocre mais pourvu de qualités de cœur, n'ayant compris aucun des changements introduits par la Révolution mais ayant toujours le souci de bien faire son métier, tout ça fait de Charles X un personnage contradictoire mais ferme dans ses convictions. A plusieurs reprises, il a exprimé son refus du régime parlementaire. Avec lui, la droite a donc maintenant un roi selon son cœur, et peut enfin faire passer dans les faits le programme social et religieux des ultras.Deux lois en 1825 ravivent les clivages. D'abord l'indemnisation des émigrés dont les biens avaient étéconfisqués, qui touche à une mesure emblématique de la Révolution. Ensuite la répression des sacrilèges : les profanateurs d'hosties deviennent passibles de la peine de mort et ceux de vases sacrés des travaux forcés à perpétuité...Restait à Charles X une étape cruciale pour faire de lui un roi de droit divin. Le Sacre.La légitimité divine.Louis XVIII n'avait pas été sacré, empêché par le retour de Napoléon de l'île d'Elbe.Charles X va lui redonner la splendeur d'antan. Selon le rite ancien.Le ton était donné.Pour en parler, je serai accompagné de Bernard Degout, Docteur en Littérature, ancien directeur de la Maison de Chateaubriand, et grand connaisseur de la période, et qui vient de sortir un livre, Le sacre de Charles X, les derniers feux des Bourbons, chez Perrin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Grands récits de l'histoire de France.Récits d'épisodes-clés, portraits, synthèses sur des sujets d'histoire qui font l'actualité composent ce recueil, faisant revivre à travers eux la grande histoire de France. Sélectionnés avec soin parmi les chroniques enlevées et passionnantes que Guillaume Perrault publie dans Le Figaro, les textes ici retenus ont été attentivement retravaillés pour cette édition. En voici le sommaire : - Paris et ses ordures : des siècles de lutte pour la salubrité publique - Louis XIV, ce roi qui a lutté contre la maladie toute sa vie - L'incroyable faillite de la banque de John Law : histoire d'un traumatisme français - Pourquoi Louis XVI fut un grand roi - Marie-Antoinette et Axel de Fersen : jusqu'où ont été leurs amours ? - Guerre de Vendée. Ces vérités qui dérangent - Quand Napoléon Bonaparte était à Gaza : un épisode oublié de l'histoire - L'antisémitisme de gauche : une vieille histoire depuis deux cents ans - 8 janvier 1934 : l'affaire Stavisky, ce scandale qui va entraîner les émeutes du 6 février et ébranler la IIIe République - Émile Boutmy, l'homme qui a fondé Sciences Po - Il y a quatre-vingts ans : la création du Conseil national de la Résistance présidé par Jean Moulin - Les régimes spéciaux, un privilège injuste ? Leur histoire de Louis XIV à aujourd'hui - Georges Pompidou, ou les vertus qui manquent tant à nos gouvernants - Raymond Aron, quarante ans après sa mort : un maître pour comprendre les défis d'aujourd'hui - Quel roi pour la France ?Son auteur, Guillaume Perrault, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 2 juillet 1816, au large de la Mauritanie, la frégate La Méduse s'échoue. À son bord, plus de 400 personnes, un capitaine incompétent, et un projet colonial mal préparé. Ce qui aurait pu n'être qu'un accident maritime va se transformer en une tragédie nationale – un naufrage absurde suivi d'une odyssée cauchemardesque sur un radeau de fortune.Entre erreurs de navigation, lâchetés en chaîne, abandon volontaire, rébellions sanglantes, cannibalisme et silence officiel, l'affaire devient un scandale d'État, immortalisée quelques années plus tard par le célèbre tableau de Géricault.Dans cette émission, découvrez les dessous politiques et humains de l'un des naufrages les plus terrifiants du XIXe siècle.Pourquoi a-t-on confié un navire à un commandant sans expérience ? Comment en est-on arrivé à manger les morts pour survivre ?Et pourquoi cette histoire résonne-t-elle encore aujourd'hui comme un effrayant concentré d'injustice, de pouvoir et de souffrance ?Avec nos deux invitées, Clarisse Griffon Du Bellay, arrière arrière arrière arrière petite-fille d'un des survivants, Joseph Jean-Baptiste Griffon du Bellay, et Anne Cangélosi, comédienne dans la pièce « Le radeau de la Méduse » nous revenons sur cette incroyable histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 2 juillet 1816, au large de la Mauritanie, la frégate La Méduse s'échoue. À son bord, plus de 400 personnes, un capitaine incompétent, et un projet colonial mal préparé. Ce qui aurait pu n'être qu'un accident maritime va se transformer en une tragédie nationale – un naufrage absurde suivi d'une odyssée cauchemardesque sur un radeau de fortune.Entre erreurs de navigation, lâchetés en chaîne, abandon volontaire, rébellions sanglantes, cannibalisme et silence officiel, l'affaire devient un scandale d'État, immortalisée quelques années plus tard par le célèbre tableau de Géricault.Dans cette émission, découvrez les dessous politiques et humains de l'un des naufrages les plus terrifiants du XIXe siècle.Pourquoi a-t-on confié un navire à un commandant sans expérience ? Comment en est-on arrivé à manger les morts pour survivre ?Et pourquoi cette histoire résonne-t-elle encore aujourd'hui comme un effrayant concentré d'injustice, de pouvoir et de souffrance ?Avec nos deux invitées, Clarisse Griffon Du Bellay, arrière arrière arrière arrière petite-fille d'un des survivants, Joseph Jean-Baptiste Griffon du Bellay, et Anne Cangélosi, comédienne dans la pièce « Le radeau de la Méduse » nous revenons sur cette incroyable histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 2 juillet 1816, au large de la Mauritanie, la frégate La Méduse s'échoue. À son bord, plus de 400 personnes, un capitaine incompétent, et un projet colonial mal préparé. Ce qui aurait pu n'être qu'un accident maritime va se transformer en une tragédie nationale – un naufrage absurde suivi d'une odyssée cauchemardesque sur un radeau de fortune.Entre erreurs de navigation, lâchetés en chaîne, abandon volontaire, rébellions sanglantes, cannibalisme et silence officiel, l'affaire devient un scandale d'État, immortalisée quelques années plus tard par le célèbre tableau de Géricault.Dans cette émission, découvrez les dessous politiques et humains de l'un des naufrages les plus terrifiants du XIXe siècle.Pourquoi a-t-on confié un navire à un commandant sans expérience ? Comment en est-on arrivé à manger les morts pour survivre ?Et pourquoi cette histoire résonne-t-elle encore aujourd'hui comme un effrayant concentré d'injustice, de pouvoir et de souffrance ?Avec nos deux invitées, Clarisse Griffon Du Bellay, arrière arrière arrière arrière petite-fille d'un des survivants, Joseph Jean-Baptiste Griffon du Bellay, et Anne Cangélosi, comédienne dans la pièce « Le radeau de la Méduse » nous revenons sur cette incroyable histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Et si l'un des lieux les plus emblématiques de l'imaginaire chrétien n'avait pas toujours existé ?Et si le Purgatoire, ce lieu intermédiaire entre Enfer et Paradis, n'était pas un héritage des Évangiles, mais une invention médiévale ?Cet épisode, explore une idée révolutionnaire : le Purgatoire serait une construction historique, née au XIIe siècle, façonnée par la culture, les peurs, les transformations sociales et spirituelles de l'Occident.Dans cette émission, nous allons remonter le fil de cette invention.Pourquoi ce troisième lieu est-il apparu à ce moment précis de l'histoire ?Quels étaient ses modèles – antiques, orientaux, folkloriques – et pourquoi l'Église a-t-elle décidé de s'en emparer ?Entre luttes théologiques, cartographies de l'au-delà, usage politique de la peur et espoirs de rédemption, le Purgatoire devient bien plus qu'un espace de transition : il incarne un changement profond dans notre rapport au temps, à la mort, au salut… et au pouvoir.À travers les visions d'Augustin, de Dante ou des cisterciens, nous allons vous guider dans les profondeurs de cette invention collective.Car derrière ce feu purificateur qui brûle sans détruire, derrière ce lieu où les vivants peuvent encore aider les morts, se joue une autre histoire : celle d'une Église qui organise, rationalise, encadre les consciences (et les porte-monnaie !)... jusque dans l'au-delà. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une saga palpitante sur les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale.Juillet 1944. Tandis qu'à l'Est, l'Armée rouge casse définitivement les reins de la Wehrmacht (opération " Bagration") et qu'à l'Ouest, Américains et Britanniques qui piétinaient depuis le Débarquement, percent enfin les défenses allemandes (opération " Cobra"), les chefs alliés sont optimistes : la guerre en Europe sera finie à Noël. Tous se trompent. Elle durera dix mois encore. Les plus coûteux en vies humaines de tout le conflit. Comment l'Allemagne, dont les forces vives – hommes, matériels, infrastructures industrielles, ressources énergétiques – ont été saignées à blanc, a-t-elle pu tenir aussi longtemps ? Pourquoi Hitler, au contraire de Mussolini ou du dictateur roumain Antonescu, n'a-t-il pas été renversé ? Comment l'Union soviétique, dont plus de 20 millions de citoyens ont été exterminés en trois ans, est-elle parvenue, en quelques mois, à recouvrer le terrain perdu et à planter le drapeau rouge au sommet du Reichstag ? Pourquoi les États-Unis passent-ils pour le pays ayant le plus contribué à la victoire sur l'Allemagne alors que sur les 48 millions de morts provoqués par la guerre en Europe, 73 % sont des Russes (16 millions de civils et 9 millions de combattants soit 15 % de la population de l'URSS) et 0,3% seulement des Américains (140 000 morts) ? Même illusion d'optique s'agissant des accords de Yalta (février 1945) et du prétendu " partage du monde " qui en a résulté. Sait-on que ce n'est pas Roosevelt – trop rapidement taxé de complaisance avec Staline – qui a entériné les visées territoriales soviétiques sur l'Europe centrale, mais le très anticommuniste Churchill, cinq mois plus tôt à Moscou, pour préserver la sphère d'influence britannique sur la Grèce et la Méditerranée orientale ? Après tant d'ouvrages écrits sur la Seconde Guerre mondiale, raconter l'histoire de son achèvement européen était nécessaire pour tordre le cou à beaucoup d'idées reçues. C'est l'objet de ce livre dont l'originalité repose sur les angles morts qu'il a choisi d'éclairer, et la force au rare talent d'écriture de son auteur.L'auteur Eric Branca est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Et si l'un des lieux les plus emblématiques de l'imaginaire chrétien n'avait pas toujours existé ?Et si le Purgatoire, ce lieu intermédiaire entre Enfer et Paradis, n'était pas un héritage des Évangiles, mais une invention médiévale ?Cet épisode, explore une idée révolutionnaire : le Purgatoire serait une construction historique, née au XIIe siècle, façonnée par la culture, les peurs, les transformations sociales et spirituelles de l'Occident.Dans cette émission, nous allons remonter le fil de cette invention.Pourquoi ce troisième lieu est-il apparu à ce moment précis de l'histoire ?Quels étaient ses modèles – antiques, orientaux, folkloriques – et pourquoi l'Église a-t-elle décidé de s'en emparer ?Entre luttes théologiques, cartographies de l'au-delà, usage politique de la peur et espoirs de rédemption, le Purgatoire devient bien plus qu'un espace de transition : il incarne un changement profond dans notre rapport au temps, à la mort, au salut… et au pouvoir.À travers les visions d'Augustin, de Dante ou des cisterciens, nous allons vous guider dans les profondeurs de cette invention collective.Car derrière ce feu purificateur qui brûle sans détruire, derrière ce lieu où les vivants peuvent encore aider les morts, se joue une autre histoire : celle d'une Église qui organise, rationalise, encadre les consciences (et les porte-monnaie !)... jusque dans l'au-delà. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce premier épisode de Judaïca, plongez dans l'incroyable épopée des Hébreux à la conquête de la Terre promise, entre récit biblique et vérité archéologique. Guidés par Josué après la mort de Moïse, les anciens esclaves d'Égypte s'élancent dans une campagne militaire spectaculaire, marquée par des épisodes légendaires comme la chute de Jéricho ou le soleil stoppé dans sa course. Mais que nous révèle réellement l'archéologie ? À travers fouilles, textes anciens et découvertes étonnantes, l'émission interroge les fondements d'un des mythes fondateurs du peuple d'Israël. Une grande enquête historique qui vous invite à revisiter ce pan de l'Histoire sous un jour nouveau. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on pense sciences forensiques, le sigle ADN vient immédiatement à l'esprit ! Mais saviez-vous que d'autres disciplines scientifiques, moins médiatisées, jouent pourtant un rôle tout aussi déterminant dans les enquêtes criminelles ?La géoforensique ou "science des cailloux" est l'une d'elles, une facette encore inexplorée du true crime.Comparaison de grains de quartz, relevés sismiques, géoradar… Ces techniques ont permis de résoudre des affaires aussi variées qu'un vol de palmier ou l'identification du tueur de la Somme.En s'appuyant sur de véritables affaires résolues, en France et à l'international, Patrick De Wever et Richard MARLET lèvent le voile sur cette "discipline" méconnue mais redoutablement efficace.A travers leur ouvrage "La géologie au service de l'enquête", les auteurs que nous avons eu le plaisir d'accueillir pour en parler nous proposent une plongée passionnante dans les dessous scientifiques du true crime. Les auteurs, Patrick de Wever et Richard Marlet sont nos invitésDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce premier épisode de Judaïca, plongez dans l'incroyable épopée des Hébreux à la conquête de la Terre promise, entre récit biblique et vérité archéologique. Guidés par Josué après la mort de Moïse, les anciens esclaves d'Égypte s'élancent dans une campagne militaire spectaculaire, marquée par des épisodes légendaires comme la chute de Jéricho ou le soleil stoppé dans sa course. Mais que nous révèle réellement l'archéologie ? À travers fouilles, textes anciens et découvertes étonnantes, l'émission interroge les fondements d'un des mythes fondateurs du peuple d'Israël. Une grande enquête historique qui vous invite à revisiter ce pan de l'Histoire sous un jour nouveau. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce premier épisode de Judaïca, plongez dans l'incroyable épopée des Hébreux à la conquête de la Terre promise, entre récit biblique et vérité archéologique. Guidés par Josué après la mort de Moïse, les anciens esclaves d'Égypte s'élancent dans une campagne militaire spectaculaire, marquée par des épisodes légendaires comme la chute de Jéricho ou le soleil stoppé dans sa course. Mais que nous révèle réellement l'archéologie ? À travers fouilles, textes anciens et découvertes étonnantes, l'émission interroge les fondements d'un des mythes fondateurs du peuple d'Israël. Une grande enquête historique qui vous invite à revisiter ce pan de l'Histoire sous un jour nouveau. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans ce premier épisode de Judaïca, plongez dans l'incroyable épopée des Hébreux à la conquête de la Terre promise, entre récit biblique et vérité archéologique. Guidés par Josué après la mort de Moïse, les anciens esclaves d'Égypte s'élancent dans une campagne militaire spectaculaire, marquée par des épisodes légendaires comme la chute de Jéricho ou le soleil stoppé dans sa course. Mais que nous révèle réellement l'archéologie ? À travers fouilles, textes anciens et découvertes étonnantes, l'émission interroge les fondements d'un des mythes fondateurs du peuple d'Israël. Une grande enquête historique qui vous invite à revisiter ce pan de l'Histoire sous un jour nouveau.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Bercé par les vers enflammés de Corneille, l'épisode du Cid s'ouvre comme un dilemme tragique : venger l'honneur d'un père ou préserver l'amour de Chimène ? Mais derrière la pièce se cache une figure bien réelle : Rodrigo Díaz de Vivar, alias le Cid Campeador, guerrier castillan du XIᵉ siècle, à la fois loyal chevalier, stratège hors pair… et chef de guerre indépendant.Cette émission nous emmène dans une Espagne méconnue, morcelée, tiraillée entre royaumes chrétiens et principautés musulmanes. Le Cid y incarne un monde en recomposition, sans idéologie religieuse unique, où alliances et trahisons sont avant tout politiques. Tantôt vassal fidèle, tantôt exilé combattant pour les rois musulmans, Rodrigo défie les frontières – géographiques, religieuses et sociales.Du fracas des batailles à la conquête de Valence, qu'il gouverne en prince autonome, le Cid devient un symbole d'habileté politique autant que de courage. Ni saint, ni mercenaire ordinaire, il incarne un réalisme brut, dans un monde où l'honneur est une monnaie aussi précieuse que l'or.Mais ce qui frappe, c'est la puissance du mythe. Dès le XIIᵉ siècle, la légende prend le pas sur l'histoire : le Poème du Cid l'érige en héros chrétien, fidèle à son roi, combattant inlassable de l'islam. Une construction idéologique bien éloignée de la complexité de l'homme.Cette émission lève le voile sur la vérité d'un personnage fascinant, tout en nous plongeant dans un Moyen Âge hispanique bien plus subtil que les légendes ne le laissent croire. Entre histoire et mémoire, c'est un voyage passionnant, où la figure du Cid, loin d'être figée, reste étonnamment moderne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une enquête qui vous entraîne dans un tourbillon temporel de 1672 jusqu'en 1968 en passant par les années 20 !En avril 1968, Henry Marais, un professeur de la Sorbonne, évoque cette théorie selon laquelle Corneille aurait écrit les pièces de Molière : L'Affaire Corneille - Molière.Intrigués par ce mystère non encore élucidé, trois étudiants, Alaïa, Arthur et Avrell, décident de découvrir la vérité. L'enquête commence dans un Paris où frémit la révolte, mais les trois amis n'avancent pas !Tous les éléments trouvent un contre-argument, on tente de les décourager, de les dissuader... jusqu'au moment où une question se pose... Et si quelqu'un ne voulait pas que l'on sache ?Auteur(s) : Marc TourneboeufArtiste(s) : Marc Tourneboeuf ou Adib Cheikhi, Jean-Philippe Bêche ou Fabian Richard, Damien Bellard ou Lancelot Courcieras, Grétel Delattre ou Cécile Covès, Mathilde Cerf ou Iona Cartier, Nathan Robain ou Martin JaugeyMetteur en scène : Julien AlluguetteMercredi à 19h, jeudi à 21h, vendredi à 19h, samedi à 21h et dimanche à 17hThéâtre Comédie Bastille5 rue Nicolas Appert75011 Paris01 48 07 52 07L'auteur, Marc Tourneboeuf est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Bercé par les vers enflammés de Corneille, l'épisode du Cid s'ouvre comme un dilemme tragique : venger l'honneur d'un père ou préserver l'amour de Chimène ? Mais derrière la pièce se cache une figure bien réelle : Rodrigo Díaz de Vivar, alias le Cid Campeador, guerrier castillan du XIᵉ siècle, à la fois loyal chevalier, stratège hors pair… et chef de guerre indépendant.Cette émission nous emmène dans une Espagne méconnue, morcelée, tiraillée entre royaumes chrétiens et principautés musulmanes. Le Cid y incarne un monde en recomposition, sans idéologie religieuse unique, où alliances et trahisons sont avant tout politiques. Tantôt vassal fidèle, tantôt exilé combattant pour les rois musulmans, Rodrigo défie les frontières – géographiques, religieuses et sociales.Du fracas des batailles à la conquête de Valence, qu'il gouverne en prince autonome, le Cid devient un symbole d'habileté politique autant que de courage. Ni saint, ni mercenaire ordinaire, il incarne un réalisme brut, dans un monde où l'honneur est une monnaie aussi précieuse que l'or.Mais ce qui frappe, c'est la puissance du mythe. Dès le XIIᵉ siècle, la légende prend le pas sur l'histoire : le Poème du Cid l'érige en héros chrétien, fidèle à son roi, combattant inlassable de l'islam. Une construction idéologique bien éloignée de la complexité de l'homme.Cette émission lève le voile sur la vérité d'un personnage fascinant, tout en nous plongeant dans un Moyen Âge hispanique bien plus subtil que les légendes ne le laissent croire. Entre histoire et mémoire, c'est un voyage passionnant, où la figure du Cid, loin d'être figée, reste étonnamment moderne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Bercé par les vers enflammés de Corneille, l'épisode du Cid s'ouvre comme un dilemme tragique : venger l'honneur d'un père ou préserver l'amour de Chimène ? Mais derrière la pièce se cache une figure bien réelle : Rodrigo Díaz de Vivar, alias le Cid Campeador, guerrier castillan du XIᵉ siècle, à la fois loyal chevalier, stratège hors pair… et chef de guerre indépendant.Cette émission nous emmène dans une Espagne méconnue, morcelée, tiraillée entre royaumes chrétiens et principautés musulmanes. Le Cid y incarne un monde en recomposition, sans idéologie religieuse unique, où alliances et trahisons sont avant tout politiques. Tantôt vassal fidèle, tantôt exilé combattant pour les rois musulmans, Rodrigo défie les frontières – géographiques, religieuses et sociales.Du fracas des batailles à la conquête de Valence, qu'il gouverne en prince autonome, le Cid devient un symbole d'habileté politique autant que de courage. Ni saint, ni mercenaire ordinaire, il incarne un réalisme brut, dans un monde où l'honneur est une monnaie aussi précieuse que l'or.Mais ce qui frappe, c'est la puissance du mythe. Dès le XIIᵉ siècle, la légende prend le pas sur l'histoire : le Poème du Cid l'érige en héros chrétien, fidèle à son roi, combattant inlassable de l'islam. Une construction idéologique bien éloignée de la complexité de l'homme.Cette émission lève le voile sur la vérité d'un personnage fascinant, tout en nous plongeant dans un Moyen Âge hispanique bien plus subtil que les légendes ne le laissent croire. Entre histoire et mémoire, c'est un voyage passionnant, où la figure du Cid, loin d'être figée, reste étonnamment moderne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 400 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Des missions chrétiennes en Asie, on retient surtout l'évangélisation des jésuites, à partir du xvie siècle. Quelques noms nous reviennent : François-Xavier, Mateo Ricci, Michele Ruggieri... Mais on oublie que les chrétiens d'Orient ont porté l'Évangile en Chine dès le viie siècle et que le christianisme y fut autorisé par l'empereur pendant plusieurs centaines d'années. C'est cette aventure missionnaire que retrace l'auteur, Alexis Balmont. Il nous livre ici l'histoire des chrétiens syriaques de Perse, de Chine et d'Asie centrale. Il déchiffre aussi leur théologie, fruit d'un dialogue inédit entre la tradition chrétienne et les traditions religieuses de l'Asie, en particulier le bouddhisme, le taoïsme et le confucianisme. Cet ouvrage contient notamment la première édition critique des sept textes chrétiens chinois du haut Moyen Âge ainsi que la première traduction française jamais réalisée de l'ensemble de ce corpus. L'auteur rassemble ici ce qui est aujourd'hui connu sur ces textes fascinants et inspirants, pour lesquels un nouveau cadre d'interprétation est proposé. Une contribution novatrice, érudite et extrêmement bien documentée. Un texte de référence qui renouvelle notre compréhension du fait chrétien en Chine.Alexis Balmont est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 400 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile « LE RADEAU DE LA MÉDUSE » et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses « Misérables ». Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis XVIII, obligeant celui-ci à prendre position.Grâce à une drôle de conférencière, découvrez les secrets de ce gigantesque tableau du Louvre qui choqua le monde et ébranla le trône. Revivez les bouleversements artistiques et politiques du début du XIXème siècle.Au Théâtre Comédie Bastille à ParisLa comédienne Anne CANGELOSI est notre invitée en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.