POPULARITY
"Accepter la peur du vide" (vidéo disponible ici)Je reçois Vincent Klingbeil : serial entrepreneur - mais aussi un confrère dans les médias Tech.Sauf que lui est passé de 0 à 320 millions de chiffres d'affaires avec EDG, en 5 ans.Il a cofondé European Digital Group pour accompagner les grandes entreprises et ETI dans leur transition numérique.Mais avant ça il était avocat, puis il a planté sa première boîte malgré de très beaux chiffres.Ce qui m'a fasciné chez Vincent, c'est sa vision moderne de l'entrepreneuriat, où l'humain prime sur tout.Pour lui, le succès repose sur la capacité à fédérer une équipe autour de valeurs communes, de l'intégrité et de l'énergie, et surtout à transformer les échecs en sources d'apprentissage.On parle de la différence entre un entrepreneur et un patron, des talents et du business du conseil, mais aussi de leadership, de suivre son "gut feeling" et l'importance qu'il accorde au "care leadership".Oubliez pas de vous abonner (si c'est pas déjà fait
Le Festival de Cannes ouvre ses portes ce mardi 13 mai, et si les projecteurs sont braqués sur les stars et les projections, c'est aussi en coulisses que le cinéma se joue. Chaque année, la Croisette accueille en parallèle le plus grand rendez-vous professionnel du secteur : le Marché du film. Décryptage. Oubliez le tapis rouge, les photographes et les petits fours et parlons affaires. Pendant dix jours, Cannes devient la capitale mondiale de l'économie du cinéma. 15 000 professionnels accrédités, 4000 films et projets représentés : le Marché du film est le lieu où se négocient les droits de distribution des films que vous verrez dans les mois à venir. C'est aussi là que se montent les coproductions internationales, que se repèrent les tendances de demain. Producteurs, distributeurs et acheteurs arpentent les stands et les salons pour décider quels films feront l'actualité des écrans de l'année à venir. À lire aussiSourires aux Golden Globes, grimaces en coulisses: Hollywood face à la criseUne année 2024 dynamique, mais sans boom pour le box-office Cet événement est aussi l'occasion de faire le point sur l'état du marché. RFI a pu consulter en avant-première le rapport annuel de l'Observatoire européen de l'audiovisuel. Ce que l'on peut affirmer, c'est que même si 2024 a été exceptionnelle en termes de production, l'année n'a pas été celle du rebond espéré. Le box-office mondial atteint 28,1 milliards d'euros, mais cela reste en baisse de 9 % par rapport à 2023. Deux géants connaissent une baisse significative. La Chine, avec -24 %, et les États-Unis, à -4 %, touchés par les récentes grèves à Hollywood, qui ont gelé la production et retardé la sortie des blockbusters. Côté gagnants, on retiendra l'Inde, le Royaume-Uni et la France, qui restent des places solides. Le streaming bouleverse l'équilibre des salles Mais le cinéma aujourd'hui, ce n'est plus seulement des projections en salles. Et les professionnels l'ont bien intégré. Toujours selon l'Observatoire européen de l'audiovisuel, un tiers des films disponibles en VOD sont européens. Les plateformes de streaming sont donc devenues essentielles à la diffusion des longs-métrages, qu'ils soient exclusivement destinés à ces canaux ou qu'ils aient eu une vie en salle auparavant. Pour les exploitants – c'est-à-dire les cinémas eux-mêmes – les conséquences sont bien réelles. Le temps passé devant un écran chez soi est aussi du temps en moins en salle. C'est l'un des défis majeurs du secteur. Autre tendance forte : le renforcement des partenariats public-privés pour financer les projets, ainsi que la promotion de la coproduction internationale pour mutualiser les coûts et s'ouvrir à de nouveaux marchés. Car, on l'a dit, le cinéma reste un marché. Un marché avec des acteurs importants, en concurrence, et où le premier rôle est très convoité.
Vous entrez dans une pièce, puis… trou noir. Vous restez planté là, incapable de vous rappeler ce que vous étiez venu y chercher. Cette expérience troublante a un nom : le "doorway effect", ou effet de la porte. Ce phénomène cognitif décrit la tendance de notre cerveau à oublier une intention en franchissant une limite physique comme une porte. Ce n'est ni rare, ni anodin, et des recherches scientifiques commencent à percer les mystères de ce curieux mécanisme.Une transition qui perturbe la mémoireLe doorway effect a été mis en évidence par Gabriel Radvansky, professeur de psychologie cognitive à l'Université de Notre-Dame (Indiana, États-Unis). Dans une étude publiée en 2011 dans The Quarterly Journal of Experimental Psychology, Radvansky et ses collègues ont montré que franchir une porte diminue la performance mnésique pour des tâches basées sur des intentions immédiates.Dans l'expérience, les participants devaient transporter des objets virtuels d'une table à une autre dans un environnement en 3D, soit dans la même pièce, soit en passant par une porte. Résultat : le simple fait de passer par une porte entraînait une baisse significative du souvenir de l'objet transporté, comparé à ceux restés dans la même pièce.Pourquoi ? Radvansky propose une explication fondée sur la théorie de la mémoire événementielle. Selon ce modèle, notre cerveau structure l'information en unités appelées "événements", qui sont souvent délimitées par des changements perceptifs ou contextuels — comme le franchissement d'une porte. Passer d'une pièce à l'autre constitue un "nouvel événement", et notre cerveau, pour maintenir un flux cognitif efficace, archive l'information précédente au profit de la nouvelle situation.Une économie cognitive adaptativeCette fragmentation n'est pas un bug de notre cerveau, mais une fonction adaptative. En recontextualisant l'information au fil de nos déplacements, nous limitons la surcharge cognitive et améliorons notre efficacité dans des environnements complexes. Toutefois, cela implique un coût : les intentions non réalisées risquent d'être temporairement égarées, jusqu'à ce que des indices contextuels (revenir dans la pièce d'origine, par exemple) les réactivent.D'autres études confirment l'effetD'autres travaux, notamment une étude menée par Peter Tse à Dartmouth College, suggèrent que les "switchs de contexte" — pas seulement physiques, mais aussi mentaux — peuvent fragmenter notre mémoire de travail. Ainsi, ouvrir un nouvel onglet sur son ordinateur ou regarder son téléphone pourrait produire un effet similaire.En conclusionLe "doorway effect" révèle à quel point notre mémoire est sensible au contexte. Bien loin d'être un simple oubli, ce phénomène illustre la manière dynamique et structurée dont notre cerveau gère l'information en mouvement. La prochaine fois que vous resterez interdit dans l'embrasure d'une porte, rappelez-vous : ce n'est pas de la distraction, c'est de la science. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le grand chantier de l'optimisation de l'espace disque, un outil discret mais redoutablement efficace refait surface : CompactGUI. Ce petit logiciel open source n'est ni une nouveauté technologique, ni un produit signé Microsoft, mais il exploite une fonction bien réelle et méconnue de Windows : la commande compact.exe, présente depuis Windows 10. Son but ? Compresser les fichiers sans altérer leur fonctionnement, pour gagner de la place sans compromis.Contrairement aux archives classiques, ici, pas besoin de décompression manuelle. Les fichiers restent utilisables à tout moment : c'est Windows qui s'occupe de tout, en les décompressant automatiquement en mémoire. CompactGUI ne fait qu'ajouter une interface graphique simple et conviviale à cette fonction système. Oubliez donc la ligne de commande : quelques clics suffisent pour cibler un dossier, choisir un algorithme de compression et lancer l'opération. Et les résultats peuvent surprendre : Photoshop passe de 1,7 Go à moins de 900 Mo, le jeu ARK: Survival Evolved fond de 169 à 91 Go. Des gains impressionnants, même sur des machines modestes. Car, bonne nouvelle, l'impact sur les performances reste négligeable, y compris sur des PC anciens.Attention cependant : tous les fichiers ne sont pas égaux face à la compression. CompactGUI excelle sur des formats simples ou peu optimisés, comme les textures, sons ou fichiers de configuration d'anciens jeux. D'où son efficacité sur des titres comme Dota 2 ou Left 4 Dead 2. À l'inverse, les jeux récents déjà bien compressés, comme Cyberpunk 2077, ne verront que quelques gigaoctets s'envoler. Il y a aussi des exceptions à connaître : les jeux utilisant DirectStorage — une technologie qui transfère les données directement du SSD à la carte graphique — ne doivent pas être compressés. CompactGUI, qui s'appuie sur le processeur pour décompresser, devient ici contre-productif, voire problématique.Mais en dehors de ces cas précis, l'outil se révèle pratique et réversible. Vous pouvez annuler la compression à tout moment, et même activer un mode de surveillance automatique, qui recompresse les fichiers après mise à jour. CompactGUI ne transformera pas votre SSD de 512 Go en téraoctet magique, mais c'est une solution d'appoint idéale, surtout sur les PC portables ou les consoles Windows comme la ROG Ally. Il séduira aussi les créateurs et bidouilleurs qui jonglent avec des fichiers lourds. Un outil intelligent, sans risque, et gratuit, qui mérite de figurer dans la boîte à outils de ceux qui cherchent à faire de la place... sans tout désinstaller. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous entrez dans une pièce, puis… trou noir. Vous restez planté là, incapable de vous rappeler ce que vous étiez venu y chercher. Cette expérience troublante a un nom : le "doorway effect", ou effet de la porte. Ce phénomène cognitif décrit la tendance de notre cerveau à oublier une intention en franchissant une limite physique comme une porte. Ce n'est ni rare, ni anodin, et des recherches scientifiques commencent à percer les mystères de ce curieux mécanisme.Une transition qui perturbe la mémoireLe doorway effect a été mis en évidence par Gabriel Radvansky, professeur de psychologie cognitive à l'Université de Notre-Dame (Indiana, États-Unis). Dans une étude publiée en 2011 dans The Quarterly Journal of Experimental Psychology, Radvansky et ses collègues ont montré que franchir une porte diminue la performance mnésique pour des tâches basées sur des intentions immédiates.Dans l'expérience, les participants devaient transporter des objets virtuels d'une table à une autre dans un environnement en 3D, soit dans la même pièce, soit en passant par une porte. Résultat : le simple fait de passer par une porte entraînait une baisse significative du souvenir de l'objet transporté, comparé à ceux restés dans la même pièce.Pourquoi ? Radvansky propose une explication fondée sur la théorie de la mémoire événementielle. Selon ce modèle, notre cerveau structure l'information en unités appelées "événements", qui sont souvent délimitées par des changements perceptifs ou contextuels — comme le franchissement d'une porte. Passer d'une pièce à l'autre constitue un "nouvel événement", et notre cerveau, pour maintenir un flux cognitif efficace, archive l'information précédente au profit de la nouvelle situation.Une économie cognitive adaptativeCette fragmentation n'est pas un bug de notre cerveau, mais une fonction adaptative. En recontextualisant l'information au fil de nos déplacements, nous limitons la surcharge cognitive et améliorons notre efficacité dans des environnements complexes. Toutefois, cela implique un coût : les intentions non réalisées risquent d'être temporairement égarées, jusqu'à ce que des indices contextuels (revenir dans la pièce d'origine, par exemple) les réactivent.D'autres études confirment l'effetD'autres travaux, notamment une étude menée par Peter Tse à Dartmouth College, suggèrent que les "switchs de contexte" — pas seulement physiques, mais aussi mentaux — peuvent fragmenter notre mémoire de travail. Ainsi, ouvrir un nouvel onglet sur son ordinateur ou regarder son téléphone pourrait produire un effet similaire.En conclusionLe "doorway effect" révèle à quel point notre mémoire est sensible au contexte. Bien loin d'être un simple oubli, ce phénomène illustre la manière dynamique et structurée dont notre cerveau gère l'information en mouvement. La prochaine fois que vous resterez interdit dans l'embrasure d'une porte, rappelez-vous : ce n'est pas de la distraction, c'est de la science. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
La Boîte à Outils du Digital Learning avec Christophe CoupeauxL'univers du Digital Learning est vaste et en constante évolution ! Dans ce nouvel épisode des "Voix du Digital Learning" sur Rendez-vous en Terre Digitale, Clément et Olivier
Oubliez les morceaux qui durent 3 minutes 30 ou même les albums interminables : voici Longplayer, un titre qui défie totalement notre perception du temps. Il a débuté le 1er janvier 2000… et sa dernière note ne résonnera qu'en 2999. Oui, vous avez bien entendu : ce morceau dure 1000 ans. C'est l'œuvre musicale la plus longue jamais conçue. Imaginé par l'artiste britannique Jem Finer, Longplayer n'est pas qu'un simple morceau expérimental, c'est une composition générative, pensée pour ne jamais se répéter pendant un millénaire. Elle est jouée en continu, en temps réel, grâce à un algorithme basé sur des cloches tibétaines. On peut l'écouter depuis certains lieux physiques comme le Trinity Buoy Wharf à Londres, ou en streaming, pour les plus curieux… et les plus patients. Alors c'est quoi ce morceau ? Combien de temps dure-t-il ? Et où peut-on l'écouter ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast écrit et réalisé par Thomas Deseur. Date de première diffusion : 29 novembre 2021 A écouter aussi : Comment une chanson devient-elle un hit musical ? Pourquoi la culture drag queen s'impose-t-elle aujourd'hui ? Comment obtenir des billets de concerts pas chers ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 21/06/2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Au-delà du cercle arctique, dans les régions septentrionales de Suède, Norvège, Finlande ou de Russie vit le dernier peuple autochtone d'Europe : les Sámis. Voyage en Finlande au cœur du Sápmi, la terre de leurs ancêtres… Répartis sur un vaste territoire, longtemps dénué de frontières, les Sámis sont aujourd'hui 80 000 habitant.e.s environ. Pendant des milliers d'années, les Sámis ont vécu nomades, de la pêche et de la chasse, au gré des transhumances de leurs troupeaux de rennes, cultivant un mode de vie pacifique, en harmonie avec le monde vivant, à la source de leur cosmogonie. Dans les langues sámies, il n'y a aucun mot pour dire « haine » mais il en existe plus de 300 pour décrire la neige… Oubliez le terme « Laponie » ou « Lapons », des exonymes coloniaux péjoratifs, qui en suédois, les désignent comme des « porteurs de haillons ». Des siècles de colonisation et d'assimilation ont certes mis à mal l'identité culturelle, artistique et linguistique du peuple sámi; mais depuis 1986, il bénéficie d'une reconnaissance officielle ; il a son drapeau, un Parlement sámi en Norvège, en Suède, et en Finlande depuis 1996.Et c'est justement en Finlande, qu'est partie Jeanne Lacaille, à la rencontre de celles et ceux qui œuvrent pour faire entendre la voix des Sámis, aujourd'hui encore confrontés à de nombreuses menaces : prédations foncières liées à l'extension de l'agriculture ou le développement de projets miniers ou éoliens sur leurs terres, racisme, surtourisme et bien sûr, changement climatique, la zone arctique se réchauffant quatre fois plus vite que le reste de la planète. Longtemps écartés des réflexions stratégiques et des décisions politiques concernant leur territoire, les Sámis luttent depuis plus de cinquante ans pour une reconnaissance politique, reconquérir leurs droits, leur identité et leur dignité, et surtout préserver leur terre. Aujourd'hui, toute une jeune génération d'activistes sámis prend le relais des aînés, sur fond de joik, cette tradition chantée sámie parmi les plus anciennes d'Europe, qui résonne particulièrement dans les immensités de la toundra. Un voyage sonore en deux épisodes de Jeanne Lacaille.À écouter aussiEn Finlande, les gardien.ne.s du Sápmi #1Avec : Teija Kaartokallio, présidente de l'association Suoma Sámi Nuorat Taija Aikio, conservatrice de Siida, le musée sámi d'Inari Mikkâl Antti Morottaja alias Amoc, journaliste à Yle Sami Radio et rappeur Anna Näkkäläjärvi-Länsman alias Ánnámáret, musicienne, chanteuse de joiks et éleveuse de rennes Asko Länsman, éleveur de rennes et mari d'Anna Niila-Juhán Valkeapää, secrétaire de l'association Suoma Sámi Nuorat et président du comité des jeunes sámis du Parlement Sámi de Finlande Tuomas Aslak Juuso, second vice-président du Parlement Sámi de Finlande et éleveur de rennes Áslak Holmberg, membre actif de la communauté et ancien président du Conseil SámiEn savoir plus : sur le Musée Siida, musée sámi et centre pour la nature d'Inari sur le Conseil Sámi ou Saami Council, une ONG créée en 1956 pour la défense du peuple sámi et composée de membres de Finlande, Suède, Norvège et Russie sur le Parlement Sámi en Finlande qui se réunit au Centre culturel sámi Sajos à Inari sur Suoma Sámi Nuorat, l'association des jeunes Sámis de Finlande sur la musique d'Ánnámáret, musicienne et joikeuse sámie sur le rappeur sámi Amoc, son instagram : @amocofficial sur Yle Sámi Radio, la radio des Sámis en Finlande sur le Festival Ijahis Idja organisé par Ánnámáret, qui se tient chaque année, en août, à InariProgrammation musicale : Mari Boine, Béaïvi Nieïda 1998 Hildá Länsmann & Lávre, Jodi 2021
Au-delà du cercle arctique, dans les régions septentrionales de Suède, Norvège, Finlande ou de Russie vit le dernier peuple autochtone d'Europe : les Sámis. Voyage en Finlande au cœur du Sápmi, la terre de leurs ancêtres… Répartis sur un vaste territoire, longtemps dénué de frontières, les Sámis sont aujourd'hui 80 000 habitant.e.s environ. Pendant des milliers d'années, les Sámis ont vécu nomades, de la pêche et de la chasse, au gré des transhumances de leurs troupeaux de rennes, cultivant un mode de vie pacifique, en harmonie avec le monde vivant, à la source de leur cosmogonie. Dans les langues sámies, il n'y a aucun mot pour dire « haine » mais il en existe plus de 300 pour décrire la neige… Oubliez le terme « Laponie » ou « Lapons », des exonymes coloniaux péjoratifs, qui en suédois, les désignent comme des « porteurs de haillons ». Des siècles de colonisation et d'assimilation ont certes mis à mal l'identité culturelle, artistique et linguistique du peuple sámi; mais depuis 1986, il bénéficie d'une reconnaissance officielle ; il a son drapeau, un Parlement sámi en Norvège, en Suède, et en Finlande depuis 1996.Et c'est justement en Finlande, qu'est partie Jeanne Lacaille, à la rencontre de celles et ceux qui œuvrent pour faire entendre la voix des Sámis, aujourd'hui encore confrontés à de nombreuses menaces : prédations foncières liées à l'extension de l'agriculture ou le développement de projets miniers ou éoliens sur leurs terres, racisme, surtourisme et bien sûr, changement climatique, la zone arctique se réchauffant quatre fois plus vite que le reste de la planète. Longtemps écartés des réflexions stratégiques et des décisions politiques concernant leur territoire, les Sámis luttent depuis plus de cinquante ans pour une reconnaissance politique, reconquérir leurs droits, leur identité et leur dignité, et surtout préserver leur terre. Aujourd'hui, toute une jeune génération d'activistes sámis prend le relais des aînés, sur fond de joik, cette tradition chantée sámie parmi les plus anciennes d'Europe, qui résonne particulièrement dans les immensités de la toundra. Un voyage sonore en deux épisodes de Jeanne Lacaille.À écouter aussiEn Finlande, les gardien.ne.s du Sápmi #1Avec : Teija Kaartokallio, présidente de l'association Suoma Sámi Nuorat Taija Aikio, conservatrice de Siida, le musée sámi d'Inari Mikkâl Antti Morottaja alias Amoc, journaliste à Yle Sami Radio et rappeur Anna Näkkäläjärvi-Länsman alias Ánnámáret, musicienne, chanteuse de joiks et éleveuse de rennes Asko Länsman, éleveur de rennes et mari d'Anna Niila-Juhán Valkeapää, secrétaire de l'association Suoma Sámi Nuorat et président du comité des jeunes sámis du Parlement Sámi de Finlande Tuomas Aslak Juuso, second vice-président du Parlement Sámi de Finlande et éleveur de rennes Áslak Holmberg, membre actif de la communauté et ancien président du Conseil SámiEn savoir plus : sur le Musée Siida, musée sámi et centre pour la nature d'Inari sur le Conseil Sámi ou Saami Council, une ONG créée en 1956 pour la défense du peuple sámi et composée de membres de Finlande, Suède, Norvège et Russie sur le Parlement Sámi en Finlande qui se réunit au Centre culturel sámi Sajos à Inari sur Suoma Sámi Nuorat, l'association des jeunes Sámis de Finlande sur la musique d'Ánnámáret, musicienne et joikeuse sámie sur le rappeur sámi Amoc, son instagram : @amocofficial sur Yle Sámi Radio, la radio des Sámis en Finlande sur le Festival Ijahis Idja organisé par Ánnámáret, qui se tient chaque année, en août, à InariProgrammation musicale : Mari Boine, Béaïvi Nieïda 1998 Hildá Länsmann & Lávre, Jodi 2021
C dans l'air du 7 avril 2025 - Taxe Trump: la panique socialeLa panique se propage sur les marchés financiers. Alors que les droits de douane annoncés par Donald Trump doivent entrer en vigueur ce mercredi, les principales Bourses mondiales continuent de plonger. Les places d'Asie ont encore dévissé ce lundi et le Cac 40 est passé sous le seuil des 7.000 points à la suite de l'inflexibilité affichée par le président américain. Donald Trump a en effet défendu à plusieurs reprises dimanche le déluge de droits de douane dévoilé la semaine dernière sur tous les produits importés aux Etats-Unis, tout est restant ouvert à la discussion avec les partenaires commerciaux. "Oubliez les marchés pendant une seconde", a-t-il dit aux journalistes alors que la Maison-Blanche a indiqué que 50 pays étaient prêts à négocier. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire au vu de la débâcle des Bourses mondiales depuis jeudi dernier qui alimente les craintes d'une récession et d'un krach historique. Aux Etats-Unis, la situation donne des sueurs froides à nombre d'Américains qui sont trois foyers sur cinq à détenir des actions, en particulier les retraités dont les pensions sont en partie indexées sur les marchés. Et pour la première fois depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, des manifestations massives se sont tenues samedi dans tout le pays. Une marée humaine rarement vue notamment à Washington où 100 000 personnes ont défilé pour exprimer leur inquiétude pour la démocratie et les conséquences des nouveaux droits de douane. De son côté, Elon Musk, le patron de Tesla qui dévisse en Bourse, a affirmé samedi espérer l'apparition d'une "zone de libre-échange" entre l'Europe et l'Amérique du Nord, avec des "droits de douane nuls", lors du Congrès de la Ligue italienne anti-migrants à Florence. Il a également révélé avoir déjà "conseillé le président américain en ce sens".Mais pour l'heure, Donald Trump continue de défendre sa révolution économique et n'entend pas faire machine arrière. Il l'a réaffirmé ce lundi, reprochant une nouvelle fois aux partenaires économiques des Etats-Unis de les "piller" et qualifiant la Chine de "plus grand profiteur de tous". En conséquence, il a décidé d'imposer, dès mercredi, un taux universel de 10 % de taxe douanière sur tous les produits importés aux Etats-Unis et des taxes supplémentaires, pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs, notamment l'Union européenne (20 %) et la Chine (34 %).Ce à quoi Pékin a choisi de répliquer très vite en annonçant, vendredi, des taxes de 34 % sur tous les produits américains arrivant en Chine. Parallèlement, 16 entreprises américaines ont été placées sur une liste noire qui les empêchera de s'approvisionner en Chine. Le ministère chinois du Commerce a aussi annoncé des contrôles à l'exportation sur sept éléments de terres rares, y compris le gadolinium, utilisé notamment pour les IRM, et l'yttrium, dans l'électronique grand public.Tiraillés sur la stratégie à adopter, les dirigeants européens ont multiplié les contacts au cours du week-end avant une réunion ce lundi à Luxembourg des ministres du Commerce extérieur de l'UE pour préparer "la réponse européenne aux Etats-Unis". "Le monde tel qu'on le connaissait a disparu", a résumé le Premier ministre britannique Keir Starmer au sujet de cette remise en cause de l'ordre mondial du commerce. La réponse européenne peut être "extrêmement agressive", a prévenu de son côté le ministre du Commerce extérieur Laurent Saint-Martin.Alors face à la guerre commerciale de Donald Trump comment l'Union européenne doit-elle réagir ? Comment défendre nos producteurs et nos industries ? Emmanuel Macron a invité jeudi les patrons français à "suspendre" leurs investissements aux Etats-Unis. Quelles sont les entreprises françaises qui ont massivement investi dernièrement au "pays de l'Oncle Sam" ?Les experts :- Nicolas BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Joséphine STARON - Directrice des études et des relations internationales – Synopia- Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Au-delà du cercle Arctique, dans les régions septentrionales de Suède, Norvège, Finlande ou de Russie vit le dernier peuple autochtone d'Europe : les Sámis. Voyage en Finlande au cœur du Sápmi, la terre de leurs ancêtres… Répartis sur un vaste territoire, longtemps dénué de frontières, les Sámis sont aujourd'hui 80 000 habitant.e.s environ. Pendant des milliers d'années, les Sámis ont vécu nomades, de la pêche et de la chasse, au gré des transhumances de leurs troupeaux de rennes, cultivant un mode de vie pacifique, en harmonie avec le monde vivant, à la source de leur cosmogonie. Dans les langues sámies, il n'y a aucun mot pour dire «haine» mais il en existe plus de 300 pour décrire la neige… Oubliez le terme «Laponie» ou «Lapons», des exonymes coloniaux péjoratifs, qui en suédois, les désignent comme des «porteurs de haillons». Des siècles de colonisation et d'assimilation ont certes mis à mal l'identité culturelle, artistique et linguistique du peuple sámi; mais depuis 1986, il bénéficie d'une reconnaissance officielle ; il a son drapeau, un Parlement sámi en Norvège, en Suède, et en Finlande depuis 1996.Et c'est justement en Finlande, qu'est partie Jeanne Lacaille, à la rencontre de celles et ceux qui œuvrent pour faire entendre la voix des Sámis, aujourd'hui encore confrontés à de nombreuses menaces : prédations foncières liées à l'extension de l'agriculture ou le développement de projets miniers ou éoliens sur leurs terres, racisme, surtourisme et bien sûr, changement climatique, la zone arctique se réchauffant quatre fois plus vite que le reste de la planète. Longtemps écartés des réflexions stratégiques et des décisions politiques concernant leur territoire, les Sámis luttent depuis plus de cinquante ans pour une reconnaissance politique, reconquérir leurs droits, leur identité et leur dignité, et surtout préserver leur terre. Aujourd'hui, toute une jeune génération d'activistes sámis prend le relais des aînés, sur fond de joik, cette tradition chantée sámie parmi les plus anciennes d'Europe, qui résonne particulièrement dans les immensités de la toundra. Un voyage sonore en deux épisodes de Jeanne Lacaille. Avec :- Teija Kaartokallio, présidente de l'association Suoma Sámi Nuorat- Taija Aikio, conservatrice de Siida, le musée sámi d'Inari- Mikkâl Antti Morottaja alias Amoc, journaliste à Yle Sami Radio et rappeur- Anna Näkkäläjärvi-Länsman alias Ánnámáret, musicienne, chanteuse de joiks et éleveuse de rennes- Asko Länsman, éleveur de rennes et mari d'Anna- Niila-Juhán Valkeapää, secrétaire de l'association Suoma Sámi Nuorat et président du comité des jeunes sámis du Parlement Sámi de Finlande - Tuomas Aslak Juuso, second vice-président du Parlement Sámi de Finlande et éleveur de rennes- Áslak Holmberg, membre actif de la communauté et ancien président du Conseil Sámi. En savoir plus :- sur le Musée Siida, musée sámi et centre pour la nature d'Inari- sur le Conseil Sámi ou Saami Council, une ONG créée en 1956 pour la défense du peuple sámi et composée de membres de Finlande, Suède, Norvège et Russie- sur le Parlement Sámi en Finlande qui se réunit au Centre culturel sámi Sajos à Inari- sur Suoma Sámi Nuorat, l'association des jeunes Sámis de Finlande - sur la musique d'Ánnámáret, musicienne et joikeuse sámie- sur le rappeur sámi Amoc, son instagram : @amocofficial- sur Yle Sámi Radio, la radio des Sámis en Finlande- sur le Festival Ijahis Idja organisé par Ánnámáret, qui se tient chaque année, en août, à Inari.
Au-delà du cercle Arctique, dans les régions septentrionales de Suède, Norvège, Finlande ou de Russie vit le dernier peuple autochtone d'Europe : les Sámis. Voyage en Finlande au cœur du Sápmi, la terre de leurs ancêtres… Répartis sur un vaste territoire, longtemps dénué de frontières, les Sámis sont aujourd'hui 80 000 habitant.e.s environ. Pendant des milliers d'années, les Sámis ont vécu nomades, de la pêche et de la chasse, au gré des transhumances de leurs troupeaux de rennes, cultivant un mode de vie pacifique, en harmonie avec le monde vivant, à la source de leur cosmogonie. Dans les langues sámies, il n'y a aucun mot pour dire «haine» mais il en existe plus de 300 pour décrire la neige… Oubliez le terme «Laponie» ou «Lapons», des exonymes coloniaux péjoratifs, qui en suédois, les désignent comme des «porteurs de haillons». Des siècles de colonisation et d'assimilation ont certes mis à mal l'identité culturelle, artistique et linguistique du peuple sámi; mais depuis 1986, il bénéficie d'une reconnaissance officielle ; il a son drapeau, un Parlement sámi en Norvège, en Suède, et en Finlande depuis 1996.Et c'est justement en Finlande, qu'est partie Jeanne Lacaille, à la rencontre de celles et ceux qui œuvrent pour faire entendre la voix des Sámis, aujourd'hui encore confrontés à de nombreuses menaces : prédations foncières liées à l'extension de l'agriculture ou le développement de projets miniers ou éoliens sur leurs terres, racisme, surtourisme et bien sûr, changement climatique, la zone arctique se réchauffant quatre fois plus vite que le reste de la planète. Longtemps écartés des réflexions stratégiques et des décisions politiques concernant leur territoire, les Sámis luttent depuis plus de cinquante ans pour une reconnaissance politique, reconquérir leurs droits, leur identité et leur dignité, et surtout préserver leur terre. Aujourd'hui, toute une jeune génération d'activistes sámis prend le relais des aînés, sur fond de joik, cette tradition chantée sámie parmi les plus anciennes d'Europe, qui résonne particulièrement dans les immensités de la toundra. Un voyage sonore en deux épisodes de Jeanne Lacaille. Avec :- Teija Kaartokallio, présidente de l'association Suoma Sámi Nuorat- Taija Aikio, conservatrice de Siida, le musée sámi d'Inari- Mikkâl Antti Morottaja alias Amoc, journaliste à Yle Sami Radio et rappeur- Anna Näkkäläjärvi-Länsman alias Ánnámáret, musicienne, chanteuse de joiks et éleveuse de rennes- Asko Länsman, éleveur de rennes et mari d'Anna- Niila-Juhán Valkeapää, secrétaire de l'association Suoma Sámi Nuorat et président du comité des jeunes sámis du Parlement Sámi de Finlande - Tuomas Aslak Juuso, second vice-président du Parlement Sámi de Finlande et éleveur de rennes- Áslak Holmberg, membre actif de la communauté et ancien président du Conseil Sámi. En savoir plus :- sur le Musée Siida, musée sámi et centre pour la nature d'Inari- sur le Conseil Sámi ou Saami Council, une ONG créée en 1956 pour la défense du peuple sámi et composée de membres de Finlande, Suède, Norvège et Russie- sur le Parlement Sámi en Finlande qui se réunit au Centre culturel sámi Sajos à Inari- sur Suoma Sámi Nuorat, l'association des jeunes Sámis de Finlande - sur la musique d'Ánnámáret, musicienne et joikeuse sámie- sur le rappeur sámi Amoc, son instagram : @amocofficial- sur Yle Sámi Radio, la radio des Sámis en Finlande- sur le Festival Ijahis Idja organisé par Ánnámáret, qui se tient chaque année, en août, à Inari.
Et si rester dans sa zone de confort était une clé pour se sentir bien dans son job ? Oubliez l'injonction à se dépasser à tout prix — aujourd'hui, on parle d'un autre chemin, plus doux, plus aligné. Mon invitée, Laure Dodier, est spécialiste du slowpreneuriat et autrice du livre Exploite ta zone de confort chez Eyrolles. Promis, cet épisode n'est pas une ode à la flemme, mais une vraie réflexion sur le bien-être au travail et la liberté d'être soi. Alors, prêt à appuyer sur pause sans culpabiliser ? C'est parti.
✨ DERNIÈRES PLACES pour mes ateliers en visio Journaling & Vision Board : https://www.daphnemoreau.fr/boutique/atelier-journaling-vision-board/---Avez-vous parfois l'impression que les journées s'enchaînent à toute vitesse, remplies d'obligations, mais qu'il manque quelque chose ? Que vous cochez toutes les cases de votre to-do list, mais sans vraiment ressentir de joie ?Et si ce n'était pas seulement une question de trop de choses à faire… mais aussi de pas assez de ce qui vous nourrit vraiment ?Dans cet épisode, on parle de comment inviter plus de joie dans son quotidien, sans tout bouleverser. Je partage avec vous :
"Paris est une ville woke, féministe, antiraciste, il faut en être fier", Ruth Elkrief s'élève contre cette déclaration du candidat écologiste à la mairie de Paris David Belliard. Pour elle, le terme woke, éveillé aux discriminations, est devenu une étiquette, une idéologie identitaire. Dominique Seux est revenu sur la riposte européenne à l'augmentation des droits de douane américains. Donald Trump a appliqué mercredi matin des droits de douane sur l'acier et l'aluminium. Pour lui, Europe a raison, œil pour œil, dent pour dent. Il faut répondre à Donald Trump, parce que manifestement, il ne comprend que le langage de la force. Mais à la fin, nous allons gagner, dit-il. La vasectomie est devenue un moyen de protestation en Chine. Malgré un système de répression et de surveillance intense, de nombreuses personnes aspirent à être libres et le font savoir. Abnousse Shalmani les félicite pour leur imagination et leur rébellion. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
durée : 00:02:35 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Eh bien, moi, je sais. Oubliez la théorie politique, les analyses autour des désirs de Poutine et des projets de Trump. Regardez plutôt les jambes des hommes et celles des femmes. - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:02:35 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Eh bien, moi, je sais. Oubliez la théorie politique, les analyses autour des désirs de Poutine et des projets de Trump. Regardez plutôt les jambes des hommes et celles des femmes. - réalisation : Félicie Faugère
Oubliez les idées reçues sur l'entrepreneuriat... ce n'est pas réservé aux experts ou aux initiés.C'est une aventure accessible à ceux qui osent. Prenez Romain BARREAU, fondateur de Weecars :À 26 ans, il se lance sans expérience autoAvec seulement 10 000 euros en poche.Il révolutionne la vente de voitures d'occasion.Sa méthode ? Résoudre des problèmes réels :Libérer les particuliers du stress de la vente.Garantir sécurité et simplicité.Offrir aux acheteurs confiance et qualité.Son secret ? La détermination absolue. « Je n'avais rien à perdre, tout à apprendre. »Résultat ? Une entreprise nationale en pleine croissance :50 points de vente, bientôt 10 000 véhicules vendus par an.Son histoire montre que l'entrepreneuriat est à portée de tous. À condition d'accepter de sortir de sa zone de confort.Et vous, quelle est l'idée qui vous fait vibrer ?
Sous les pavés, des crânes ! Depuis plus de deux siècles, les Catacombes de Paris fascinent et effraient. Mais derrière l'alignement millimétré de tibias et de fémurs, il y a un défi de taille : la restauration de cet ossuaire unique au monde. Marine Benoît a suivi les artisans chargés de retaper ces murs… pas comme les autres. Avec elle, on plonge dans les entrailles de la capitale pour découvrir les coulisses de ce chantier hors du commun. Oubliez la truelle et le ciment, ici, on répare l'Histoire à même les os !
durée : 00:59:23 - Le Souffle de la pensée - par : Géraldine Mosna-Savoye - La philosophe Laurence Devillairs nous parle d'un classique de la philosophie, celui qui, avec son "je pense, donc je suis" continue encore à influencer l'ensemble de la discipline : le "Discours de la Méthode" de René Descartes, qui nous enjoint à agir avec volonté et vivre avec passion. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Laurence Devillairs Philosophe, enseignante à Paris 1 Panthéon Sorbonne
Est-il possible avec l'intelligence artificielle de traduire des sites de 100+ pages avec une qualité professionnelle, simplement en quelques clics ?Oubliez les copier-coller fastidieux, les traductions aléatoires et les méthodes intenables dans le temps. Place à l'automatisation et aux solutions viables et "scalables" !C'est précisément ce que vous propose de découvrir Fred à travers le cas très concret d'un site pro qu'il gère et qu'il a décidé de rendre accessible à un public international, en traduisant son intégralité (près de 100 articles) du français vers l'anglais grâce à l'IA, le tout de manière automatisée et qualitative.Vous verrez dans cet épisode son process complet, de la récupération de tous ses articles à leur republication en anglais sur un tout nouveau site (images et mise en forme incluses), en passant par toutes les phases d'audit et d'améliorations (pour un rendu professionnel optimal), l'ensemble piloté de A à Z avec seulement deux API et grâce à Python.---
Cette semaine dans On Tisse la Toile, Pénélope Boeuf reçoit Caroline Drogo. Oubliez les boules de cristal et les prédictions floues ! Avec Caroline Drogo, le tarot devient un véritable outil de puissance et d'introspection. Passionnée, intuitive et dotée d'un humour bien trempé, elle décrypte les arcanes avec un style unique. Également auteure et illustratrice, elle a sorti son propre tarot, qu'elle va utiliser pour prédire notre année 2025.On en apprend plus sur :Les différents signes astrologiquesLa numérologieLe don de médiumNotre avenir…
Messieurs, comment être Top Shape après 40 ans
Si vous pensiez qu'une campagne électorale était une affaire de programme bien ficelé et de débat policé, Donald Trump nous a bien entendu prouvé le contraire. Il a transformé 2024 en cage de cinéma où seuls les vrais durs tiennent la distance. Oubliez les discours lisses, place aux punchlines, aux bras de fer et à la testostérone en intraveineuse. Trump a bien compris que la politique pouvait ressembler à un combat de cage. La frontière est très mince entre un combat de l'UFC, la plus grande ligue de MMA, et un meeting républicain. Même muscle, même punchline et même sueur virile. Et Trump a su s'entourer. Dana White, patron de l'UFC, qui s'affiche comme son fidèle sparring partner. Hulk Hogan, ex-star du catch, qui déchire sa chemise sur scène pour lui. Elon Musk, Robert Kennedy Junior, Joe Rogan, tous fans de ring et de baston politique. Et quand Trump fait campagne, il ne vend pas un programme, il vend un modèle de virilité. Et son message est très clair si vous êtes un homme et que vous en avez marre d'être traité comme un problème, votez pour moi. Donald Trump promettait la puissance, la revanche et l'impunité. Résultat : 55 % des hommes aux États-Unis ont voté pour lui, contre seulement 45 % des femmes. La guerre des sexes est d'ailleurs devenue un enjeu électoral et Trump joue sur ce terrain avec la précision d'un lutteur dans l'octogone. Alors, la scène est surréaliste. Des gars en casquette "Make America Great Again" dansant sur YMCA, l'hymne gay des Village People, pour célébrer un candidat ultra viriliste. Et c'est là tout le génie du phénomène Trump. Il a transformé la politique en un immense spectacle où même l'absurde devient viral. Et la présidentielle 2024 était un combat de cage géant où Trump a joué le rôle du champion invaincu. Tant pis pour les règles du jeu et, de ça, c'est vrai qu'on en parle pas, ou très peu, en Europe. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Los Angeles est toujours la proie des flammes. Et les incendies ne sont pas prêts de s'arrêter. En cause, soupire le Los Angeles Times, les vents violents qui devraient souffler encore jusqu'à après-demain mercredi. « Au moins 24 personnes sont mortes et plus de 12 000 bâtiments ont été endommagés ou détruits, pointe le quotidien. Après quelques progrès hier dans la lutte contre les incendies d'Eaton et de Palisades, les pompiers s'attendent à ce que le vent entrave à nouveau leurs efforts pour contenir la tempête de feu ».Le Los Angeles Times qui s'interroge : comment ces incendies ont-ils démarré ? « Un feu de broussailles s'était déclaré le jour du Nouvel An près du site de l'incendie de Palisades. Des braises mal éteintes ont-elles pu être ravivées ? Pour ce qui est de l'incendie d'Eaton, le feu semble avoir pris au pied d'un pylône électrique. Y-a-t-il court-circuit ? Un pyromane présumé a été mis en cause dans l'incendie de Kenneth. Le feu a-t-il été mis volontairement ? Les autorités ont jusqu'à présent fait preuve de circonspection et de prudence. Elles n'ont pas encore de réponses concrètes, mais elles en auront, ont-elles dit, dès qu'elles auront terminé les enquêtes qui ne font que commencer ».La faute au changement climatique ?En attendant, c'est la désolation pour des milliers de personnes qui ont tout perdu dans l'incendie de leur maison…« Le rêve californien est parti en fumée », soupire l'écrivaine Patti Davis dans le New York Times. D'après elle, c'est le changement climatique qui est responsable du drame et l'homme en est la cause : « il fut un temps où je pensais que cette terre (californienne) que j'aimais tant serait éternelle, écrit-elle. Je ne pouvais pas imaginer une Terre qui gémirait, se déchaînerait et sombrerait dans le chaos en raison de l'insouciance et de la cupidité de l'homme et de la croyance futile selon laquelle nous pourrions continuer à déverser des poisons dans l'atmosphère sans aucune répercussion. (…) Nous avons déséquilibré une planète entière et nous en subissons aujourd'hui les conséquences, dénonce Patti Davis : des phénomènes météorologiques si violents que nous n'avons aucune idée de la manière de les combattre ».La faute aux démocrates ?Autre analyse à lire dans le Wall Street Journal, analyse politique cette fois : « comment la gauche a transformé la Californie en un paradis perdu », c'est le titre de l'un des éditoriaux du quotidien économique américain. « Après les élections de novembre, le gouverneur de la Californie, Gavin Newsom, avait annoncé son intention de protéger le Golden State de Trump. Mais qu'a-t-il fait pour la protection contre le feu ? ». Réponse du Wall Street Journal : rien, bien au contraire. Et le journal de dénoncer les « obsessions environnementales » de Gavin Newsom : protection de végétaux et d'animaux qui ont entravé le débroussaillage et perturbé la gestion de l'eau. Dénonciation également de la mauvaise gestion des crédits alloués aux pompiers. Dénonciation aussi du laxisme de l'État californien face à la criminalité et face au problème des sans-abris. Les sans-abris qui seraient à l'origine, pointe le Wall Street Journal, de plusieurs départs de feu ces dernières années, et peut-être aussi à l'origine des incendies actuels. Et le journal de s'interroger : « les incendies inciteront-ils Messieurs Newsom et consorts à repenser leurs illusions ? Oubliez cela, c'est La La Land ».Qui reconstruira ?Et puis cette question posée par le Washington Post : « qui reconstruira Los Angeles ? » Réponse là aussi très politique : « les immigrés, notamment mexicains, qui constituent près de la moitié des travailleurs du bâtiment. (…) Alors que Trump s'apprête à prendre les rênes du pouvoir, promettant de mettre en œuvre des politiques d'immigration punitives pour s'attaquer aux sans-papiers, il est crucial de reconnaître qui construit véritablement l'Amérique. (…) Comme lors de la pandémie de covid-19, les États-Unis vont demander à leur main-d'œuvre immigrée d'accomplir des tâches essentielles. Le moins que le pays puisse faire en retour, estime le Washington Post, est de leur accorder la paix et la sécurité au lieu de les soumettre à la persécution et à la discrimination ».Et les JO de 2028 ?Enfin, autre question posée par Le Monde à Paris : comment Los Angeles pourra-t-elle organiser les Jeux olympiques dans trois ans ?« Les défis en matière d'infrastructures auxquels la ville est désormais confrontée sont immenses, souligne un analyste interrogé par le journal. Ce sera une course pour se préparer à l'organisation des Jeux et un cauchemar financier pour tout ce qui doit être construit ou reconstruit ».Commentaire du Monde : « au moment de faire le bilan de la catastrophe, qui s'annonce déjà comme l'une des plus coûteuses de l'histoire de la Californie, certains se demanderont sans doute si l'organisation des Jeux de 2028 doit vraiment être la première des priorités ».
L'année 2025 sera l'année de la loi du plus fort. Que ce doit dans le commerce mondial, dans le droit international ou diplomatie. Il faut oublier les règles du jeu, c'est le retour de la loi de la jungle. 2025 commence sous le signe d'un monde où seule la force compte. Le mois de janvier, ce moment magique où chacun y va de son pronostic pour l'année à venir. Et le 20 janvier prochain, la plupart des médias titreront que Donald Trump investit officiellement à la Maison-Blanche. Il sera ou est déjà l'homme à suivre en 2025. Eh bien moi, je parie sur un autre nom : Elon Musk. Alors pas parce qu'il pourrait un jour devenir président des États-Unis, ça, c'est hors de question. Elon Musk ne se contente plus d'être l'homme le plus riche du monde, il est désormais l'homme le plus puissant et la puissance, vous le savez bien, elle fait peur. Musk fait ce qu'il veut, quand il veut et ça, ça dérange. Nicolas Baverez, économiste bien connu, annonce la couleur : 2025 sera celle de la loi du plus fort commerce mondial. Droit international, Diplomatie. Oubliez les règles du jeu, la jungle est là. Et pendant ce temps ? Et bien pendant ce temps, l'Europe, elle décroche. Mots-Clés : Constitution américaine, ambition, sol américain, Afrique du Sud, réalité, chefs d'États européens, photos, usine Tesla, trophée, cauchemar, X, Tweeter, arme, soutien, parti d'extrême droite, allemand, chancelier, Olaf Scholz, menaces, Premier ministre britannique, Emmanuel Macron, jongler, ego, internationaux, discours d, ambassadeurs, résumé, inimaginable, propriétaire, réseaux sociaux, monde, international, réactionnaire, élections, Allemagne, citation, cerise sur le gâteau, payer, reconstruction, Ukraine, contrats, entreprises américaines, Emmanuel Todd, intellectuel, mépris, servilité, arrogance, scandale, Italie, Giorgia Meloni, génie, négocie, SpaceX, sécuriser, télécommunications, gouvernement, désunion, serviles. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Code Promo pour 20% de Rabais: FRIDAY360 Infolettre et Formations ici: https://traders360.ca/ Aller à l'université ne garantit pas toujours une meilleure rémunération. L'éducation traditionnelle versus l'accès à l'information en ligne. Les nouvelles opportunités d'affaires et les impacts des outils de l'intelligence artificielle. Suivez-moi sur Instagram & TikTok IG: alextraders360 TikTok: alexdemers360
Et si l'aventure était plus accessible que vous ne le pensez ? Et si vous pouviez créer des souvenirs inoubliables sans partir à l'autre bout du monde ? Dans cet épisode, nous partons à la rencontre de Paul, un Français installé depuis 10 ans à Los Angeles, qui nous montre comment transformer notre quotidien en micro-aventures.Oubliez l'image de Santa Monica et son côté bling-bling. Paul (@ _easyadventures_ ) nous emmène dans les montagnes qui entourent la ville, son terrain de jeu favori où il alterne entre petites sorties et trails de 100km entre amis. De Yosemite au camping sous la neige, en passant par le vélo dans la Vallée de la Mort, Paul nous prouve qu'on peut vivre de belles aventures tout en jonglant avec une vie professionnelle active et une vie de famille.Car Paul n'est pas un aventurier professionnel. C'est un père de deux enfants qui travaille, se déplace parfois à vélo au bureau, et cumule finalement assez peu de kilomètres de course sur l'année. Mais il a compris comment s'offrir des parenthèses d'aventure qui créent des souvenirs mémorables.Inspiré par Alastair Humphreys, le roi de la micro-aventure, et Jesse Itzler, Paul nous partage sa vision accessible de l'aventure et comment il l'intègre dans sa vie quotidienne.
Fermez les yeux et laissez-vous emporter par un voyage au cœur de la Polynésie. Oubliez les clichés de la vahiné au bord de l'eau : la danse tahitienne, le Ori Tahiti, est bien plus qu'une simple image de carte postale. C'est un art vivant, vibrant, empreint de spiritualité et de puissance.Dans cet épisode, j'ai l'immense plaisir d'accueillir Tahia Cambet, danseuse, chorégraphe et entrepreneuse exceptionnelle, qui a su faire rayonner cet art ancestral aux quatre coins du monde. Ensemble, nous plongerons dans son parcours fascinant : de ses premiers pas de danse à Tahiti à la création de la plus grande école de Ori Tahiti à Paris, en passant par sa quête pour préserver et réinventer cet héritage culturel.Préparez-vous à découvrir comment cette discipline mêle traditions, émotions et modernité. Un épisode riche en découvertes et en émotions, à ne pas manquer.Vous pouvez retrouver toutes les informations la concernant sur son site: www.tahia-ori-tahiti.comet son instagram : www.instagram.com/tahia_oritahiti/Et voici les liens du podcast Les Sens de la Danse sur les réseaux sociaux:Le compte Instagram du podcast : https://www.instagram.com/lessensdeladanse.podcast/Le compte Facebook du podcast : https://www.facebook.com/lessensdeladanse.podcastTrès belle écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oubliez tout ce que vous pensez sur l'impact positif mes chères leaders !Dans cet épisode à haute valeur ajoutée, Virginie Baudet, coach responsable des programmes chez Coachappy, propose une vision de l'impact positif 100% au service du développement de votre leadership. Au programme de cet épisode : déconstruction d'une image d'Épinal de l'impact positif, concentration sur vos zones existantes d'impact positif ET sur les autres zones non exploitées mais qui vous sont accessibles. Une vision inspirante, mais sans aucune pression ou culpabilisation : vous terminez l'écoute boostée et désireuse d'agir encore mieux demain, selon vos critères !****Sensées, c'est également un programme de coaching conçu pour les femmes leaders qui veulent sortir la tête de l'eau, retrouver du plaisir et avoir de l'impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.***Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.**Chaque semaine, je partage mes conseils au sujet du leadership des femmes dans Sensées, la newsletter. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici.*réalisé par Arnaud S. | musique-imaginaire.com
Comment devenir rapidement doué.e et talentueux dans presque n'importe quel domaine ? Comment progresser rapidement sans s'épuiser et comment faire émerger nos dons et facilités ?Dans cet épisode, nous explorons comment devenir rapidement talentueux dans un domaine grâce à l'observation, l'intuition, la sensibilité et d'autres clés insoupçonnées dont on n'entend peu parler quand il s'agit de traiter le sujet de la compétence. Oubliez les méthodes traditionnelles ; il est temps de se concentrer sur ce qui se passe à l'intérieur de vous.Écoute cet épisode pour :Découvrir des stratégies pratiques pour utiliser ton intuition et ta sensibilité dans l'apprentissage.Renouer avec tes talents naturels et les faire émerger.Comprendre comment raisonner sans trop se prendre la tête pour être naturellement "bon" dans quelque chose.Découvrir des clés simples pour progresser rapidement dans le domaine de ton choix.
Bien souvent, un manager est nommé par ce qu'il ou elle est le ou la meilleur dans son domaine. La meilleure commerciale devient Directrice Commerciale, le meilleur technicien devient Directeur Technique… le problème, c'est que ces compétences sont inutiles pour exercer le métier de manager ; pire, elles peuvent être contreproductives et le meilleur expert de son domaine de compétence peut tout à fait être le pire des manager. C'est un peu comme les nominations à l'ancienneté… être là depuis plus longtemps que son voisin ne garantit en rien que l'on soit meilleur manager. Je sais, cela semble évident… et pourtant, combien de nomination se font encore comme cela car il faut bien un moyen cartésien, acceptable par toutes et tous, pour choisir qui deviendra manager. Mais comment faire alors ? Eh bien, comme souvent, il faut former ces experts et cet épisode vous explique comment.Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oubliez les chaînes en or et les grosses pierres : l'un des ornements les plus recherchés pour les célébrités masculines d'Hollywood et d'ailleurs, n'est autre que le collier perles.A$AP Rocky, Usher, Joe Jonas, Harry Styles, Timothée Chalamet, Shawn Mendes, Pharrell Williams… La liste de ses adeptes est sans fin. Mais connaissez-vous l'histoire du collier de Perle de Marilyn ? Et les secrets des perles de cultures ?La Voix des Bijoux est un podcast de L'École des Arts Joailliers avec le soutien de Van Cleef & Arpels, qui vous dévoile les fascinantes histoires et les savoirs secrets que renferment les plus beaux bijoux.Avec la participation d'Inezita Gay-Eckel, Historienne du bijou et professeure à L'École des Arts Joailliers et de Léonard Pouy, Docteur en histoire de l'art et Responsable contenus et transmission à L'École des Arts Joailliers.Écrit par Martin Quenehen et Aram Kebabdjian, interprété par Pierre François Garrel et produit par Bababam. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Land&Monkeys : Quand le plaisir et la durabilité se rencontrent dans une boulangerie… vegan !Oubliez les boulangeries traditionnelles, Land&Monkeys débarque et bouscule les codes ! Cette boulangerie 100% vegan ne se contente pas de proposer des produits savoureux, elle réinvente le modèle économique du XXIe siècle en plaçant la durabilité et le végétal au cœur de son activité.Au micro d'On The Way, rencontrez Rodolphe Landemaine, le visionnaire à la tête de Land&Monkeys. Boulanger pâtissier à succès et fondateur des boulangeries Maison Landemaine, il a décidé de relever un nouveau défi : créer une boulangerie 100% végétale qui allie plaisir gustatif, respect de l'environnement et impact positif sur la planète. Au menu ? Des pains, viennoiseries, snacks et pâtisseries 100% végétales élaborés avec des ingrédients de qualité, sans aucun compromis sur le goût.Mais ce n'est pas tout ! Land&Monkeys s'engage également à :Réduire son impact environnemental en minimisant les déchets et en privilégiant des circuits d'approvisionnement locaux.Soutenir l'agriculture durable en collaborant avec des producteurs engagés dans des pratiques respectueuses de l'environnement.Promouvoir une alimentation plus saine et accessible en proposant des produits vegan de qualité à des prix abordables.À travers cette boulangerie, on nous rappelle que se faire plaisir passe avant tout par l'assiette ! C'est par la gourmandise et la joie de partager un bon repas que l'on peut convaincre et inspirer le plus grand nombre. Chaque choix alimentaire compte pour la planète, un régime flexitarien, avec douze repas végétariens et deux repas carnés par semaine, peut faire une réelle différence.Alors, curieux de goûter à l'innovation végétale de Land&Monkeys ?N'attendez plus, écoutez l'épisode d'On The Way avec Rodolphe Landemaine sur toutes vos plateformes d'écoute préférées.Tous les autres épisodes sont également à découvrir juste ici.Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:10 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Apple entre enfin dans la course à l'intelligence artificielle en l'intégrant dans ses produits !
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ Oubliez tout ce que vous savez sur Charlemagne - la barbe fleurie, la couronne du Saint Empire dont on lui orne souvent la tête, et même son nom, car Charlemagne ne s'appelait pas Charlemagne. Plus surprenant encore, celui que France Gall accusait dans sa chanson Sacré Charlemagne d'avoir inventé l'école ne savait lui-même pas écrire. Cela l'aurait-il empêché d'inventer l'école ? Quelles archives nous reste-il du règne de ce monarque ? Né dans les années 740, Charlemagne est le fils de Pépin le Bref, fondateur de la dynastie des Carolingiens, et le petit-fils de Charles Martel, maire du palais. Comment est-il parvenu à devenir empereur, alors que son grand-père n'était même pas roi ? À quoi ressemblait le royaume franc, sur lequel Charlemagne régnait ? Quels étaient ses projets politiques ? L'auteur : Bruno Dumézil est professeur d'histoire médiévale à Sorbonne Université, grand spécialiste du Haut Moyen Âge. Il est l'auteur d'ouvrages de référence sur la période : Le baptême de Clovis. 24 décembre 505 ? (Gallimard, 2019, 320 p. 22 €), L'Empire mérovingien Ve – VIIIe siècles (Passés Composés, 2023, 352 p., 23 €) Charlemagne (PUF, 2024, 228 p. 15 €). *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Oubliez les Uber Eats et Deliveroo, vous pensez qu'ils ont game changé la livraison de repas à domicile ? Pas de tout, le dabbawala l'a fait bien avant les géants américains et je vais vous l'expliquer dans ce podcast. L'organisation des dabbawalas, c'est le service de livraison de repas le pus vieux au monde : plus de 130 ans qu'il existe. Il faut regarder du côté de l'Inde et plus particulièrement de Mumbai. À Bombay donc, pas besoin de prendre son petit sac isotherme avec son déjeuner pour partir au boulot. Le dabbawala se charge de vous apporter votre gamelle sur votre lieu de travail. L'histoire raconte que tout est parti d'un banquier parsi qui a demandé ce service à Mumbai en 1890. Il a trouvé lui-même un livreur et les autres travailleurs ont aimé l'idée. Un homme a senti le bon filon et le système des dabbawalas s'est créé. Une centaine d'hommes sont d'abord formés puis des milliers. "Dabba", ça veut dire boîte en marathi. Les dabbawalas, ce sont littéralement les porteurs de boîtes en marathi. C'est une organisation millimétrée où les livreurs vont chercher les repas préparés dans les cuisines des clients et ça revient bien moins cher que d'acheter un mauvais sandwich triangle sur une aire d'autoroute avalé en deux-deux ! Les repas sont tous servis dans les mêmes boites en fer. Et, à l'intérieur, des caris, du riz, des thalis. Des vrais plats chauds et relevés pour affronter le reste de la journée. Le dabbawala permet surtout à chacun de manger selon ses restrictions alimentaires imposées par ses croyances, sa religion ou sa caste. Un livreur récupère les lunch box pour 800 roupies par mois, une dizaine d'euros. Chaque client à son numéro, son dabbawala attitré. Pas d'application, pas de notation. Tout le système repose sur la confiance des clients envers les livreurs. Les dabbawalas appartiennent presque tous à la même communauté Vakati. C'est un métier qui respecte aussi une forme de tradition. Le métier a été largement fragilisé par la pandémie mais 200 000 repas sont livrés chaque jour par les dabbawalas à Bombai encore aujourd'hui. L'université d'Harvard considère ce système comme un modèle d'organisation logistique. Les livreurs feraient moins de 3 erreurs par million de livraisons. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le parlement indien a adopté la semaine dernière, à la quasi-unanimité, une loi qui instaure un quota de plus d'un tiers de femmes à la Chambre basse et dans les assemblées régionales. Une réforme constitutionnelle, résultat d'un combat législatif débuté, il y a plus de 20 ans. Cela réjouit les femmes, marginalisées en politique dans ce pays patriarcal, même si la date d'entrée en vigueur de cette réforme n'est pas encore fixée. De notre correspondant à New Delhi,Shaguna Kanwar est une jeune femme trentenaire, qui veut changer la société indienne. Et c'est pour cela qu'elle est entrée en politique. Mais dans sa région du nord de l'Inde, comme dans l'essentiel du pays, la politique est surtout une affaire d'hommes : « Pendant la dernière campagne, j'étais la seule femme parmi plus de 300 hommes. Les hommes m'ont dit que c'est parce que les femmes ne peuvent pas suivre le rythme intense et rester tard le soir, quand les hommes boivent de l'alcool. Le rôle des femmes est donc restreint à offrir des fleurs aux leaders ou à servir le thé. »L'inde est l'une des démocraties les plus inégalitaires pour les femmes en politique : ces dernières ne représentent que 15% des députés de la chambre basse fédérale, et 9% dans les assemblées régionales. Grâce à cette réforme constitutionnelle, ces chiffres devront monter à 33% au minimum. Et ceci réjouit cette jeune politicienne : « Les partis seront maintenant obligés de trouver des bonnes candidates, et pour une femme éduquée et expérimentée comme moi, cela crée de nouvelles opportunités. »« Quand l'élue est une femme, les barrières tombent »Un quota similaire est instauré depuis 30 ans dans les conseils de villages et des municipalités indiennes, et cela a brisé certaines barrières imposées par ce patriarcat. C'est le constat de Tara Krishnawamy, co-fondatrice de l'association féministe Political Shakti : « Dans la plupart des campagnes indiennes, il est impossible pour une femme d'aller dans le bureau d'un homme élu pour lui faire part de ses problèmes. Les hommes ne les prennent pas au sérieux et ne les regardent même pas. Mais quand l'élue est une femme, cet obstacle disparait et leurs problèmes sont mieux pris en compte. »À lire aussiInde: le BJP veut s'attirer les faveurs des électeurs de haute casteUn quota qui pourrait être effectif dans… 10 ansToutefois, ces femmes devront encore attendre pour bénéficier de ce nouveau quota ! Car il n'entrera en vigueur qu'après la conclusion du recensement de la population et du nouveau découpage électoral. Ce qui peut prendre plus de 10 ans. Un retard incompréhensible pour la députée de l'opposition Mahua Moitra : « Cela fait que nous ne savons pas si, et quand, nous aurons 33% de femmes assises dans la chambre basse. Peut-il y avoir plus grande fraude ? Oubliez les élections de 2024, ce quota ne devrait même pas s'appliquer pour celles de 2029 ! »Le Premier ministre Narendra Modi, lui, se présente déjà comme l'homme providentiel qui a offert ce quota tant désiré aux femmes. Et espère donc attirer leurs voix lors des législatives du printemps prochain.À écouter aussiQuelle place pour les femmes dans le monde politique en Inde?
durée : 00:55:25 - Le temps d'un bivouac - par : Daniel FIEVET - A quoi ressemblait la vie des pirates et des corsaires qui écumaient les mers il y a trois siècles ? Oubliez les drapeaux noirs à tête de mort et les capitaines crochets à jambe de bois, l'archéologue Jean Soulat et l'historien Philippe Hrodej nous racontent la véritable histoire des pirates !