Podcasts about mauritanie

Country in West Africa

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mauritanie

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7 milliards de voisins
Environnement : comment les luttes collectives peuvent l'emporter ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 48:30


Selon les Nations unies, le nombre d'affaires judiciaires liées au climat a plus que doublé en l'espace de 5 ans. Autour du globe, on pouvait recenser 2 180 contentieux en 2022 contre 884 en 2017. (Rediffusion) Des mobilisations locales contre des projets de barrages, de golf ou d'extension de sites industriels, des recours juridiques contre des usines polluantes, ou des géants de l'agroalimentaire... Les citoyens s'engagent davantage pour préserver leur environnement et leurs actions peuvent réussir. À l'échelle de la France, on compte, par exemple, 250 victoires écologistes depuis 1971. Des succès qui ont permis de sauver des milliards d'hectares de terres agricoles ou de forêts et économiser des milliards d'euros en investissements publics. Blocage, occupation, réunion publique, action en justice... Comment les citoyens s'organisent pour obtenir gain de cause ? Et pourquoi certaines actions peinent à aboutir malgré les preuves d'impacts négatifs sur la santé et l'environnement ?   Cette émission est une rediffusion du 30 janvier 2025. Avec : • Gaëtan Renaud, chargé d'enquêtes socio-économiques et environnementales. Rédacteur et auteur de l'étude Quand la lutte l'emporte - une décennie de victoires contre des projets imposés et polluants commanditée par l'association Terres de Luttes et la revue Silence • Grégoire Osoha, journaliste, réalisateur de documentaires et de podcasts. Auteur de Atome 33 – histoire d'une lutte collective contre une pollution industrielle, au Québec (Marchialy, sortie le 12 février 2025) • Abderrahmane Sissako, cinéaste, président de l'Association Mauritanienne pour l'Environnement (AME). L'association organise Une «Marche Bleue» pour la préservation des zones humides en Mauritanie, du 1er au 9 février 2025. La « Marche Bleue » suivra un itinéraire de marche longeant 60 km en bord de mer en direction du sud et prendra fin à la zone humide de Tambass-Lobodou. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam.  • Chamsou-Dine Baguiri, blogueur béninois, nous présente l'aquaponie, un système innovant qui allie élevage de poissons et culture de plantes pour une agriculture plus durable.  • Le blogueur guinéen Alpha Oumar Baldé analyse avec autodérision le rapport des Guinéens au temps, entre retard chronique et flexibilité horaire.  • Marina Tem, blogueuse du Cameroun, partage une introspection sur l'écriture comme acte de résistance et d'affirmation, concluant par un poème bouleversant.    Programmation musicale :  ► Oil United vs Green Team - Xuman & Keyti & Defty ► Who's Bad - Arma Jackson.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Mauritanie : la capitale face à une grave pénurie d'eau

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Aug 13, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le remaniement gouvernemental en RDC, l'utilisation de l'uranium congolais pour les bombes atomiques lancées sur le Japon et le déploiement des militaires à Washington. Mauritanie : la capitale face à une grave pénurie d'eau   Nouakchott, la capitale de la Mauritanie, est en proie à une grave pénurie d'eau potable. Quelles sont les causes de cette pénurie ? Comment le gouvernement mauritanien entend-t-il résoudre ce problème ? Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI.     RDC : Tshisekedi resserre ses rangs avec un remaniement gouvernemental  En RDC, le nouveau gouvernement annoncé par Félix Tshisekedi apparaît comme une stratégie politique visant à renforcer l'Union sacrée. En quoi ce remaniement renforce-t-il concrètement la position de Félix Tshisekedi ? Qu'est-ce qui explique l'absence des grandes figures de l'opposition ?    Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège.      Japon : l'uranium congolais derrière les bombes atomiques américaines  L'uranium utilisé pour fabriquer les bombes atomiques américaines lancées sur le Japon a été extrait en RDC, dans la mine de Shinkolobwe, située dans le Haut-Katanga. Quelles étaient les particularités de l'uranium congolais qui le rendaient si précieux pour la fabrication de ces bombes atomiques ? Y a-t-il actuellement une mine en RDC où l'on extrait de l'uranium ou cela a-t-il été laissé à l'abandon ? Avec Patrice Christmann, consultant et chercheur indépendant, ancien collaborateur du BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières).      États-Unis : Donald Trump déploie la garde nationale à Washington  Donald Trump a placé la capitale fédérale Washington DC sous la surveillance de l'armée fédérale. Y a-t-il vraiment des gangs dans la capitale américaine, ou est-ce une stratégie de Donald Trump pour imposer sa politique ? Les élus démocrates de la capitale peuvent-ils s'opposer à cette décision ? Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en rhétorique présidentielle. 

Journal des sports Afrique
CHAN 2025: le Burkina Faso se relance, la Tanzanie enchaîne

Journal des sports Afrique

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 3:33


Après sa défaite inaugurale, le Burkina Faso s'est repris en battant la Centrafrique (4-2). De son côté, la Tanzanie a signé sa deuxième victoire face à la Mauritanie (1-0).

Journal des sports Afrique
CHAN : Madagascar se prépare avant son premier match face à la Mauritanie

Journal des sports Afrique

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 2:49


Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 1er août 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Namouri Dosso. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

Chronique des Matières Premières
Au Sénégal, l'autosuffisance en riz toujours fixée à 2030

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Jul 27, 2025 1:46


« L'autosuffisance en riz est à la portée du Sénégal », a affirmé le président Bassirou Diomaye Faye mi-juin, lors d'une visite dans la région rizicole du nord du pays. Mais si la production a augmenté au Sénégal, le pays est toujours loin de son objectif d'autosuffisance, malgré un programme national lancé dès 2008.  De notre correspondante à Dakar, Un sénégalais consomme en moyenne 100 kg de riz par an. Aliment de base de tous les plats, la pression est donc particulièrement forte sur cette céréale. Si la production a augmenté dans les principales zones de culture ces dernières années : le long du fleuve Sénégal, au nord du pays, au sud, en Casamance et au Sine Saloum, la production a triplé en 10 ans, passant de 469 000 tonnes en 2012 à 1,5 million de tonnes, selon les chiffres officiels. Cela reste néanmoins largement en deçà des besoins du Sénégal. Le pays importe toujours 60 % de son riz d'Asie, 40 % seulement étant produit localement. Des coûts de production élevés Le manque de matériel de récolte, un accès inégal aux intrants et une production de riz encore insuffisamment mécanisée avec beaucoup de petites exploitations favorisent des coûts de production élevés au Sénégal. Un déficit d'aménagements pour l'irrigation fluviale aussi et des crédits bancaires qui arrivent tardivement, ajouté à une faible structuration des circuits de transformation et de commercialisation. Tout cela impacte les rendements et la compétitivité du riz sénégalais, face à la céréale importée d'Asie. Enfin, ces dernières années, le changement climatique a ajouté des contraintes supplémentaires à la filière du riz, avec des pluies précoces qui noient les champs. En 2023, dans la vallée du fleuve, les cultivateurs ont dû faire venir des moissonneuses-batteuses à chenille de Mauritanie pour récolter leurs parcelles inondées. Le potentiel du Sénégal encore sous-exploité Cette année, le gouvernement a promis d'aménager 10 000 hectares supplémentaires pour l'exploitation du riz. Car les terres sont là. Pour le coordonnateur du programme national d'autosuffisance en riz, Wally Diouf, la clef ce sont les ressources allouées au secteur et la constance : « Systématiser l'aménagement de nouvelles terres, mais aussi la distribution de tracteurs, de matériel agricole et de semences », détaille-t-il. Fixé pour 2017, puis 2019 et enfin 2030 : le coordonnateur de ce programme national appelle à faire « beaucoup plus et plus vite pour tenir l'objectif du doublement de la production » et de la souveraineté alimentaire dans cinq ans. À lire aussiKayar, petit village de pêcheurs devenu grand

Reportage culture
À Marseille, l'exposition «Tatouage. Histoires de la Méditerranée» retrace l'histoire de cette pratique ancestrale

Reportage culture

Play Episode Listen Later Jul 26, 2025 2:33


À Marseille, le centre de la Vieille Charité propose jusqu'au 28 septembre 2025 une exposition Tatouage. Histoires de la Méditerranée. La pratique a traversé les époques, les territoires et les sociétés. Le tatouage entre aujourd'hui dans l'histoire de l'art, symbole de transgression, de protection, de sacré, sa résurgence contemporaine est l'occasion de revenir sur une histoire passionnante vieille comme l'humanité. Savez-vous que la moitié de la population italienne est tatouée, qu'un tiers des Français l'est aussi, et beaucoup plus encore chez les jeunes, avec une recrudescence du phénomène depuis les années 2010. Mais au-delà des modes, que signifie encrer sa peau ? « C'est un signe de transgression, c'est un défi lancé aux normes et aux contraintes sociétales. Le tatouage et le féminisme ont une relation ancienne puisque pendant des siècles, en France et dans l'Europe occidentale, la femme tatouée était une femme de mauvaise vie. Or, aujourd'hui, le tatouage est perçu comme le moyen de l'appropriation, de la réappropriation de son corps. Le tatouage modifie ce qu'on pourrait imaginer être un état de nature. Avec le tatouage, on peut définir qui l'on est véritablement », explique Nicolas Misery directeur des musées de la ville de Marseille et commissaire de l'exposition. À lire aussiTous tatoués ? : l'ascension sociale du tatouage Si le tatouage est tendance, il a été par le passé l'apanage des criminels et des marginaux, raconte-t-il : « Nous sommes heureux de présenter dans l'exposition cet ensemble de photographie de relevés de tatouages venu du musée Cesare Lombroso à Turin, un ensemble de plusieurs milliers de photographies réalisées à la fin du 19e siècle et au début du 20e, où l'on mettait des prisonniers à nu pour photographier leurs tatouages comme la marque d'une criminalité de nature. On a utilisé le tatouage comme un signe de reconnaissance des personnes dangereuses et marginales ou malades. C'est parfois déchirant ce qu'on peut voir sur ces tatouages. On peut lire la solitude, le sentiment d'être le jouet du malheur, du destin, la bravade avec des phrases adressées à l'autorité pénitentiaire et plus généralement à la vie qui a amené beaucoup de personnes dans les marges. » Le centre de la Vieille Charité nous fait voyager dans le temps. L'étude momifiée d'Otzi, homme néolithique du 4e siècle, atteste d'un pratique thérapeutique pour soigner l'arthrose. L'archéologie des mondes antiques, de la Syrie à l'Espagne en passant par l'Égypte ou Chypre, témoigne d'un usage constant variant de l'ornemental à l'infamant. « Dans le monde grec et romain, les esclaves qui avaient tenté de fuir étaient marqués par des tatouages, des marques infamantes gravées sur le visage, le front. Ils étaient immédiatement identifiés comme des personnes mises au ban de la société », rappelle le commissaire de l'exposition. Le monde médiéval chrétien va réprouver le tatouage, mais tolérer les marques d'appartenance religieuse comme les croix ou les scènes de crucifixion. Chez les femmes amazighes, de la Libye à la Mauritanie, les motifs géométriques du tatouage marquent un statut marital ou un symbole de protection. Depuis la fin des années 1960 et les luttes anticoloniales des artistes du Maghreb ou du monde arabe ne cessent de se réapproprier ces motifs culturels dans leur production contemporaine. À lire aussiAix-en-Provence célèbre Paul Cézanne avec une exposition internationale

Reportage Culture
À Marseille, l'exposition «Tatouage. Histoires de la Méditerranée» retrace l'histoire de cette pratique ancestrale

Reportage Culture

Play Episode Listen Later Jul 26, 2025 2:33


À Marseille, le centre de la Vieille Charité propose jusqu'au 28 septembre 2025 une exposition Tatouage. Histoires de la Méditerranée. La pratique a traversé les époques, les territoires et les sociétés. Le tatouage entre aujourd'hui dans l'histoire de l'art, symbole de transgression, de protection, de sacré, sa résurgence contemporaine est l'occasion de revenir sur une histoire passionnante vieille comme l'humanité. Savez-vous que la moitié de la population italienne est tatouée, qu'un tiers des Français l'est aussi, et beaucoup plus encore chez les jeunes, avec une recrudescence du phénomène depuis les années 2010. Mais au-delà des modes, que signifie encrer sa peau ? « C'est un signe de transgression, c'est un défi lancé aux normes et aux contraintes sociétales. Le tatouage et le féminisme ont une relation ancienne puisque pendant des siècles, en France et dans l'Europe occidentale, la femme tatouée était une femme de mauvaise vie. Or, aujourd'hui, le tatouage est perçu comme le moyen de l'appropriation, de la réappropriation de son corps. Le tatouage modifie ce qu'on pourrait imaginer être un état de nature. Avec le tatouage, on peut définir qui l'on est véritablement », explique Nicolas Misery directeur des musées de la ville de Marseille et commissaire de l'exposition. À lire aussiTous tatoués ? : l'ascension sociale du tatouage Si le tatouage est tendance, il a été par le passé l'apanage des criminels et des marginaux, raconte-t-il : « Nous sommes heureux de présenter dans l'exposition cet ensemble de photographie de relevés de tatouages venu du musée Cesare Lombroso à Turin, un ensemble de plusieurs milliers de photographies réalisées à la fin du 19e siècle et au début du 20e, où l'on mettait des prisonniers à nu pour photographier leurs tatouages comme la marque d'une criminalité de nature. On a utilisé le tatouage comme un signe de reconnaissance des personnes dangereuses et marginales ou malades. C'est parfois déchirant ce qu'on peut voir sur ces tatouages. On peut lire la solitude, le sentiment d'être le jouet du malheur, du destin, la bravade avec des phrases adressées à l'autorité pénitentiaire et plus généralement à la vie qui a amené beaucoup de personnes dans les marges. » Le centre de la Vieille Charité nous fait voyager dans le temps. L'étude momifiée d'Otzi, homme néolithique du 4e siècle, atteste d'un pratique thérapeutique pour soigner l'arthrose. L'archéologie des mondes antiques, de la Syrie à l'Espagne en passant par l'Égypte ou Chypre, témoigne d'un usage constant variant de l'ornemental à l'infamant. « Dans le monde grec et romain, les esclaves qui avaient tenté de fuir étaient marqués par des tatouages, des marques infamantes gravées sur le visage, le front. Ils étaient immédiatement identifiés comme des personnes mises au ban de la société », rappelle le commissaire de l'exposition. Le monde médiéval chrétien va réprouver le tatouage, mais tolérer les marques d'appartenance religieuse comme les croix ou les scènes de crucifixion. Chez les femmes amazighes, de la Libye à la Mauritanie, les motifs géométriques du tatouage marquent un statut marital ou un symbole de protection. Depuis la fin des années 1960 et les luttes anticoloniales des artistes du Maghreb ou du monde arabe ne cessent de se réapproprier ces motifs culturels dans leur production contemporaine. À lire aussiAix-en-Provence célèbre Paul Cézanne avec une exposition internationale

Les dessous de l'infox
Fact checkers et bloggeurs pour l'intégrité de l'information au Cameroun

Les dessous de l'infox

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 29:30


À trois mois des élections présidentielles au Cameroun, les acteurs de la lutte contre la désinformation se mobilisent. Les débats se multiplient sur les écrans, les infox se répandent à vitesse grand V sur les réseaux sociaux, tandis que la vérification de l'information prend du temps. Pour couper court à la désinformation, une alliance se met en place, entre les fact checkers et les bloggeurs, qui ont un rôle à jouer au service de l'intégrité de l'information.  Notre invité, le journaliste Paul Joël Kamchang, de data Cameroun, dévoile une nouvelle initiative pour aider les citoyens à vérifier -en temps réel- tout ce qui passe sur les réseaux sociaux, faux contenus, vidéos trafiquées et autres images sorties de leur contexte. Baptisé « My data check », le projet regroupe data journalistes, chercheurs, bloggers et spécialistes du numérique, avec pour objectif de mettre la vérification des faits à la portée de tous, grâce à une IA intégrée, entrainée à partir de contenus fiables.  La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI: Mauritanie: fausse rumeur de soulèvement après la visite de Mohamed Ould Ghazouani à Washington La chronique de Cintia Cabral de l'AFP Factuel : Attention à ce faux reportage sur le décès d'un chirurgien prétendument lié à Brigitte Macron.

Les dessous de l'infox
Fact checkers et bloggeurs pour l'intégrité de l'information au Cameroun

Les dessous de l'infox

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 29:30


À trois mois des élections présidentielles au Cameroun, les acteurs de la lutte contre la désinformation se mobilisent. Les débats se multiplient sur les écrans, les infox se répandent à vitesse grand V sur les réseaux sociaux, tandis que la vérification de l'information prend du temps. Pour couper court à la désinformation, une alliance se met en place, entre les fact checkers et les bloggeurs, qui ont un rôle à jouer au service de l'intégrité de l'information.  Notre invité, le journaliste Paul Joël Kamchang, de data Cameroun, dévoile une nouvelle initiative pour aider les citoyens à vérifier -en temps réel- tout ce qui passe sur les réseaux sociaux, faux contenus, vidéos trafiquées et autres images sorties de leur contexte. Baptisé « My data check », le projet regroupe data journalistes, chercheurs, bloggers et spécialistes du numérique, avec pour objectif de mettre la vérification des faits à la portée de tous, grâce à une IA intégrée, entrainée à partir de contenus fiables.  La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI: Mauritanie: fausse rumeur de soulèvement après la visite de Mohamed Ould Ghazouani à Washington La chronique de Cintia Cabral de l'AFP Factuel : Attention à ce faux reportage sur le décès d'un chirurgien prétendument lié à Brigitte Macron.

Les dessous de l'infox, la chronique
Mauritanie: fausse rumeur de soulèvement après la visite de Mohamed Ould Ghazouani à Washington

Les dessous de l'infox, la chronique

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 3:30


Une semaine après la rencontre entre Donald Trump et cinq chefs d'État africains à la Maison Blanche, ce sommet continue d'agiter la toile. Sur les réseaux sociaux, ces échanges ont été marqués par plusieurs polémiques et surtout par un flot de désinformation sur tout le continent, et particulièrement en Mauritanie. Du 9 au 11 juillet, les présidents sénégalais, libérien, gabonais, mauritanien et bissau-guinéen ont été reçus par Donald Trump à la Maison-Blanche. Depuis ce sommet, une fausse rumeur de soulèvement populaire en Mauritanie est devenue virale sur le continent. Selon une vidéo mensongère vue plusieurs millions de fois, une manifestation d'ampleur aurait récemment eu lieu à Nouakchott. Durant quinze secondes, on y voit des centaines de personnes défiler devant le siège de la Société nationale industrielle et minière (Snim). La légende parle d'une déclaration polémique du président Mohamed Ould Ghazouani devant Donald Trump qui aurait provoqué la grogne des Mauritaniens. En réalité, aucun soulèvement de ce type n'a eu lieu en Mauritanie. La vidéo en question a été sortie de son contexte. Grâce à une recherche par image inversée, on sait qu'elle a été publiée sur TikTok le 25 mai 2025, soit bien avant le sommet des chefs d'État africains à Washington qui s'est déroulé du 9 au 11 juillet. Le correspondant de RFI en fulfulde, Oumar Elhadj Thiam, présent en Mauritanie confirme qu'il n'y a pas eu de manifestation dans le pays demandant la démission du président. Manifestations en soutien à Gaza Pour savoir ce que montre réellement cette vidéo, nous nous sommes appuyés sur deux éléments visuels. D'abord, 95 % des manifestants sont des femmes. De plus, on retrouve plusieurs drapeaux palestiniens dans le cortège. En cherchant dans les médias mauritaniens, on retrouve bien la trace d'une manifestation de femmes en soutien à la cause palestinienne, le 24 mai 2025, soit la veille de la publication de la vidéo sur TikTok. Une analyse comparative avec des photos prises par des journalistes montrent qu'il s'agit bien de cette marche organisée pour Gaza, à Nouakchott. À noter que d'autres images décontextualisées circulent également sur les réseaux sociaux. L'une d'entre elles montre encore des manifestants dans une rue de la capitale mauritanienne. Cette fois, ce sont presque uniquement des hommes. Certains portent des drapeaux palestiniens. Là encore, cette photo a été prise bien avant la visite de Mohamed Ould Ghazouani à Washington. Nos recherches nous ont permis de la retrouver dans plusieurs médias locaux il y a près de deux ans, en octobre 2023. Quelqu'un a donc recyclé ces images pour faire croire, à tort, à un soulèvement populaire en Mauritanie. Comptes maliens Si on ne sait pas précisément qui est derrière cette campagne de désinformation, l'analyse de la propagation de cette infox montre l'implication directe de comptes pro-maliens. Cet écosystème, déjà impliqué dans plusieurs campagnes de désinformation régionales, s'attaque régulièrement au pouvoir mauritanien. Les relations étant déjà compliquées entre les deux voisins, ce type d'infox attise encore les tensions. À lire aussiEntre le Mali et la Mauritanie, la désinformation attise les tensions

Couleurs tropicales
Les blind tests inédits avec David Tayaurault, Diam Min Tekky, Stone Warley, Blaiz Fayah et Tiwony

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 48:30


Du rire, de la mauvaise foi, de la triche et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs Tropicales. On vous propose d'écouter certains jeux inédits des invités passés cette année par nos studios. Sans oublier l'actualité musicale. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Jocelyne Labylle - J'ai déposé les clés Diam Min Tekky - Succès Salif Keita - Madan Stone Warley - Goût de ça Wizkid - Joro Tiwony - Paradise 50 cent - In da club Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Couleurs tropicales
Les blind tests inédits avec David Tayaurault, Diam Min Tekky, Stone Warley, Blaiz Fayah et Tiwony

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 48:30


Du rire, de la mauvaise foi, de la triche et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs Tropicales. On vous propose d'écouter certains jeux inédits des invités passés cette année par nos studios. Sans oublier l'actualité musicale. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Jocelyne Labylle - J'ai déposé les clés Diam Min Tekky - Succès Salif Keita - Madan Stone Warley - Goût de ça Wizkid - Joro Tiwony - Paradise 50 cent - In da club Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Au cœur de l'histoire
Un été au musée - Le radeau de la Méduse : la véritable histoire derrière le tableau

Au cœur de l'histoire

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 15:52


Cet été, retrouvez le meilleur d'Au cœur de l'Histoire, avec Virginie Girod ! Le Radeau de la Méduse, c'est un tableau iconique du XIXᵉ siècle qu'on peut aujourd'hui admirer au musée du Louvre. Pour peindre ce sujet, le peintre Théodore Géricault s'est inspiré… d'un fait divers ! Une tragédie maritime qu'il aurait découverte dans la presse, celle du naufrage de la frégate "La Méduse" au large de l'actuelle Mauritanie, en 1816.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le débat africain
Valse de chefs d'Etat à Washington… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 38:59


Au sommaire : Cinq chefs d'Etats africains (Gabon, Guinée-Bissau, Liberia, Mauritanie et Sénégal) se sont rendus cette semaine à Washington pour un sommet consacré aux questions commerciales, mais aussi aux défis sécuritaires et à la politique migratoire. Pourquoi cet intérêt nouveau du président Trump pour le continent ? Volonté de contrer l'influence de la Chine en Afrique ? Multiplication des partenariats portant sur les ressources souterraines ? Autre visite à Washington, celle du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu. Le président Donald Trump presse pour un cessez-le-feu à Gaza. Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale.  Avec la participation de :  Jean-Paul Oro, correspondant à Paris du quotidien L'intelligent d'Abidjan, président de l'Union des journalistes ivoiriens en France Karine Oriot, éditorialiste camerounaise Eric Topona, journaliste tchadien au sein de la rédaction Afrique francophone de la Deutsche Welle

Journal de l'Afrique
Présidents africains à la Maison Blanche : réactions mitigées au Sénégal et en Mauritanie

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 14:11


Donald Trump a réuni mercredi à la Maison Blanche les présidents libérien, sénégalais, mauritanien, bissau-guinéen et gabonais pour un mini-sommet destiné notamment pour les États-Unis à contrer l'influence grandissante sur le continent de la Chine et de la Russie. Comment cette rencontre a-t-elle été perçue à Dakar et Nouakchott ?

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] États-Unis : cinq chefs d'État africains à la Maison Blanche

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 20:00


Les présidents du Gabon, de la Guinée-Bissau, du Liberia, de la Mauritanie et du Sénégal sont à Washington à l'invitation de Donald Trump. Au centre des discussions, les questions commerciales, les minerais et la sécurité. Qu'attendez-vous de ce sommet aux États-Unis ? Quelles sont vos priorités ? 

Journal de l'Afrique
Cinq chefs d'État africains à la Maison Blanche : vers un nouveau chapitre ?

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 15:43


Cinq chefs d'État africains sont accueillis à la Maison Blanche pour un sommet de trois jours. Les présidents du Liberia, du Sénégal, de Mauritanie, de Guinée-Bissau et du Gabon ont été invités pour cette rencontre centrée officiellement sur des questions commerciales. L'Amérique revient en Afrique… non plus avec de l'aide humanitaire, mais avec des contrats.

Priorité santé
Infertilité : une personne sur six touchée dans le monde

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 48:29


Maladie du système reproducteur masculin ou féminin, l'infertilité se définit par une impossibilité à concevoir après 12 mois ou plus de rapports sexuels réguliers non protégés. Les causes sont multiples et peuvent concerner l'homme, autant que la femme. À partir de quand s'inquiéter ? Quels sont les examens pouvant aider à définir la cause de l'infertilité ? Quels sont les recours possibles ?   Pr Michael Grynberg, chef de service de Médecine de la Reproduction & Préservation de la Fertilité à l'Hôpital Antoine Béclère, à Clamart, en région parisienne  Pr Ahmed Abdi, gynécologue et chef du service de Gynécologie obstétrique à l'Hôpital mère enfant de Nouakchott, en Mauritanie. Président de la société mauritanienne de gynécologie obstétrique. Chef du département mère enfant à la Faculté de Médecine.      Programmation musicale :  ► Q twins, DJ Tira – Hamba  ► 15 15 – Afa 

Priorité santé
Infertilité : une personne sur six touchée dans le monde

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 48:29


Maladie du système reproducteur masculin ou féminin, l'infertilité se définit par une impossibilité à concevoir après 12 mois ou plus de rapports sexuels réguliers non protégés. Les causes sont multiples et peuvent concerner l'homme, autant que la femme. À partir de quand s'inquiéter ? Quels sont les examens pouvant aider à définir la cause de l'infertilité ? Quels sont les recours possibles ?   Pr Michael Grynberg, chef de service de Médecine de la Reproduction & Préservation de la Fertilité à l'Hôpital Antoine Béclère, à Clamart, en région parisienne  Pr Ahmed Abdi, gynécologue et chef du service de Gynécologie obstétrique à l'Hôpital mère enfant de Nouakchott, en Mauritanie. Président de la société mauritanienne de gynécologie obstétrique. Chef du département mère enfant à la Faculté de Médecine.      Programmation musicale :  ► Q twins, DJ Tira – Hamba  ► 15 15 – Afa 

Afrique Économie
Mauritanie: le projet de mine d'uranium Tiris va-t-il bénéficier du retour en grâce du nucléaire?

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 2:27


En Mauritanie, la petite société australienne Aura Energy entend commencer d'ici à la fin de l'année le développement de la première mine d'uranium du pays à Tiris, dans le nord-est du pays, pour une entrée en production en 2027. Le contexte est favorable, avec beaucoup de mines d'uranium en fin de vie. La Banque mondiale est également de nouveau prête à financer l'énergie nucléaire, considérée comme décarbonée. Le projet mauritanien est-il en mesure d'en profiter ? Le potentiel en uranium du bouclier de Reguibat, dans le Sahara mauritanien, est connu depuis les années 60. La société australienne Aura Energy s'y intéresse depuis 2008. « L'entreprise était en Mauritanie à ce moment-là, à la recherche d'or, raconte son PDG Andrew Grove. Elle a identifié une anomalie radiométrique à partir de l'étude, elle a trouvé de l'uranium et débuté des travaux. Mais il y a eu la crise financière mondiale et ensuite Fukushima, le prix de l'uranium est longtemps resté très bas, il y avait des difficultés à obtenir les fonds nécessaires. Mais aujourd'hui, le prix de l'uranium est en train de rebondir, on assiste à une nouvelle renaissance de l'énergie nucléaire. Je pense donc que c'est le bon moment pour concevoir une mine là-bas. » Absence de contrat avec des exploitants de réacteurs Un an après avoir obtenu son permis du gouvernement mauritanien, Aura Energy affirme être en passe d'obtenir un crédit de 150 millions de dollars d'une banque de développement, sur les 300 millions nécessaires au démarrage des opérations. Le contexte est propice au nucléaire. Le gisement mauritanien, certes modeste, un millier de tonnes d'oxyde d'uranium par an sur 10 ans, est peu profond, donc moins coûteux à exploiter que, par exemple, l'uranium nigérien. Mais selon Teva Meyer, il manque une étape importante pour qu'il soit financé. « La chose qu'on voit avec Aura Energy, qui me fait être un peu prudent, c'est que par rapport à d'autres projets de mines d'uranium, Aura Energy n'a pas encore signé de contrat avec des exploitants de réacteurs nucléaires. Pour le moment tout du moins. C'est absolument nécessaire pour que derrière, les financeurs de type banques privées aient une certitude que vous aurez des débouchés pour votre projet. » Une logistique de l'uranium à mettre en place Autre doute, l'absence de logistique en Mauritanie pour les matières radioactives. « Ce qui est clair, c'est que cet uranium ne va pas traverser le désert par le Nord, il va forcément aller jusqu'à Nouakchott, anticipe Teva Meyer. Pour le moment, il n'y a pas d'uranium qui passe par Nouakchott, Il n'y a pas non plus de matières radioactives qui passent par Nouakchott. Donc ça veut dire quand même toute une procédure administrative. Ça veut aussi dire trouver un armateur qui passe par cet endroit. On ne parle pas de volumes qui sont si importants, donc pas forcément un commerce très rentable pour les armateurs. » Beaucoup de défis à relever donc pour la petite société australienne. Mais Aura Energy pourrait aussi avoir en tête de céder la mine de Tiris à un opérateur plus grand. Son PDG Andrew Grove est d'ailleurs un ancien cadre de la filiale australienne du géant français Orano.   À lire aussiUranium: le géant russe Rosatom se retire de sites d'extraction au Kazakhstan et vend ses parts à la Chine

Journal de l'Afrique
Gabon : Sylvia et Noureddin Bongo accusent les nouvelles autorités de torture

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 15:00


Au Gabon, Sylvia Bongo Ondimba et son fils Noureddin Bongo Valentin brisent le silence. Après 20 mois de détention suite au coup d'État d'août 2023, ils accusent les nouvelles autorités de torture et présentent des preuves vidéo et audio. Le gouvernement gabonais dénonce une stratégie de diversion.

Le débat africain
Attaques au Mali, accord de paix RDC-Rwanda, Ukraine… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 39:00


Au sommaire : Le Mali a subi cette semaine sept nouvelles attaques jihadistes simultanées dans des villes du sud et de l'ouest du pays. Une offensive qui fait craindre une expansion du JNIM, la branche sahélienne d'al-Qaïda, dans ces régions proches des frontières avec la Mauritanie et le Sénégal, mais également de la capitale Bamako. Le 27 juin 2025, était signé à Washington un accord de paix entre la République démocratique du Congo et son voisin rwandais. Cet accord de paix ouvre-t-il la voie à une nouvelle aire de stabilité, comme l'a déclaré le président congolais Félix Tshisekedi lors de son discours à la nation ? Enfin Donald Trump a annoncé l'interruption de la livraison du parapluie antimissile américain à l'Ukraine. Un coup dur pour l'Europe. Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale.  Avec la participation de :  - Ousseynou Nar Gueye, directeur général du site d'information tract.sn et du mi-quinzomadaire numérique Tract Hebdo, vice-président de Rappels (Réseau des auteurs et producteurs de la presse en ligne du Sénégal) - Cécile Goudou, journaliste au service numérique du hub de RFI à Dakar - Elysée Odia, journaliste fondatrice du média en ligne Yabisonews.cd

Invité Afrique
Organisation du fleuve Sénégal: «Les engagements financiers doivent être honorés pour la maintenance des ouvrages»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 11:59


La coopération entre les États, ça continue de marcher en Afrique de l'Ouest, même après la rupture entre les trois États de l'Alliance du Sahel et la Cédéao. La preuve ? L'OMVS, l'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal, qui réunit le Sénégal, la Mauritanie, la Guinée et le Mali. Mais attention, dit le Haut-Commissaire de l'OMVS, la vraie menace sur son organisation n'est pas politique. Elle est financière. Si les sociétés nationales d'eau et d'électricité ne payent plus leurs factures, les barrages vont tomber en ruine ! En ligne de Dakar, le Mauritanien Mohamed Abdel Vetah répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : En octobre et novembre dernier, une crue exceptionnelle du fleuve Sénégal a provoqué plus de 50 000 déplacés et a inondé plus de 16 000 hectares de terres agricoles. Est-ce que c'est une fatalité ou est-ce qu'on peut y faire quelque chose ? Mohamed Abdel Veta : Les changements climatiques sont une réalité et le bassin du fleuve Sénégal n'y échappe pas. Les crues sont plus fréquentes et plus violentes. Effectivement, l'année dernière, nous avons connu l'une des pires inondations depuis un demi-siècle. Le fleuve a atteint des niveaux records. Les dégâts ont été importants, mais grâce à la coordination régionale, nous avons activé notre système d'alerte précoce. Nous avons opéré les barrages et travaillé main dans la main avec les États membres, jour après jour, pour limiter les impacts. Et ce que vous dites, c'est que, si vous n'étiez pas intervenu, cela aurait pu être pire ? Sur le fleuve Sénégal, il y a deux barrages importants, celui de Manantali et celui de Diama, et ils ont été opérés effectivement pour réduire l'impact de ces crues. Et notre rôle, c'est la préparation de notre plan, de notre système d'alerte précoce qui est là pour dire aux populations : attention, cette zone est inondable, il ne faut pas cultiver, il ne faut pas y habiter, ou attention, cette saison des pluies sera une saison particulièrement humide. Et quelles sont vos prévisions hydrologiques pour le fleuve Sénégal pour ce deuxième semestre 2025 ? Alors tout porte à croire qu'elles seront excédentaires sur le haut bassin, c'est-à-dire dans la zone Guinée et Mali. Et normale ou plutôt normale dans le reste du bassin. Et quand je dis excédentaire dans le haut bassin, cela veut dire effectivement qu'il y a des risques d'inondation parce qu'avec le temps, c'est la pluie qui vient dans le haut bassin qui vient se propager dans le reste du bassin. L'OMVS est un organisme de bassin transfrontalier qui réunit quatre pays, la Mauritanie dont vous êtes vous-même un ressortissant, le Sénégal, le Mali et la Guinée. Je vois que vous veillez à l'équilibre entre les quatre pays de votre organisation, mais est-ce que la rupture récente entre le Mali et la Cédéao ne complique pas les relations entre vos quatre pays ? L'OMVS, ce n'est pas la Cédéao. Et la bonne question, c'est plutôt : quelle est notre contribution pour que ce qui a fonctionné pendant 50 ans, 50 ans de dialogue, 50 ans de solutions qui ont bénéficié à nos populations, continue à fonctionner et à bénéficier à nos populations ? Notre conviction est que la coopération n'est pas un luxe. C'est une nécessité, surtout aujourd'hui face au changement climatique. Et l'eau, la sécurité alimentaire, aucun pays ne peut relever ces défis seul. Je crois qu'il y a trois priorités pour que cette coopération non seulement tienne, mais s'amplifie. La première, c'est de saisir l'opportunité du changement climatique pour trouver des financements pour pousser à l'innovation. La deuxième, c'est de maintenir un haut niveau de dialogue et d'engagement politique. Et c'est la force de l'OMVS à travers la conférence des chefs d'États et de gouvernements, c'est que le dialogue a toujours été maintenu entre nos États. Et la troisième, c'est de construire l'avenir avec les jeunes. Ce sont eux les vrais bâtisseurs de la résilience. Et au fond, c'est cela la diplomatie du concret, des projets visibles, partagés, utiles pour ces jeunes. Et nous y croyons et nous le faisons avec force. À l'heure de la rupture entre la Cédéao et les trois États de l'AES, est-ce que vous ne craignez pas tout de même que chacun des quatre États de l'OMVS ne soient tentés de se replier sur lui-même ? Alors, ce que je peux vous dire, c'est que nous avons lancé notre dernier programme d'adduction en eau potable dans les zones rurales qui ont été longtemps délaissées au profit des grands transferts vers les grandes villes comme Nouakchott, comme Dakar et comme d'autres grandes villes. Ces programmes vont permettre aux villageois autour du fleuve d'avoir accès à une eau potable. Et quand nous avons lancé ce programme, et bien nous avons vu l'engagement des quatre États de l'organisation pour ces projets. Et je vous parle de projets, là, qui ont été lancés dans les derniers mois. L'une des grandes vocations de l'OMVS, c'est de vendre de l'eau et de l'électricité aux grandes sociétés nationales. Mais est-ce que ces sociétés s'acquittent convenablement de leurs obligations financières ? Les ouvrages communs de l'OMVS, qui font notre fierté et symbolisent notre résilience, ces barrages qui éclairent nos foyers, irriguent nos terres, donnent à boire à nos populations et nous protègent face aux aléas climatiques, ces ouvrages fonctionnent parce que, depuis la création de l'OMVS, depuis plus d'un demi-siècle, chacun de nos pays a joué sa partition. Mais je dois le dire avec clarté, sans paiement régulier des obligations financières, ces infrastructures sont en péril. Ce que nos prédécesseurs ont construit avec courage et vision sera en péril. Je sais que la conjoncture est parfois difficile. Je ne porte aucun jugement, mais je garde une conviction. L'histoire de l'OMVS a montré que, chaque fois que nos pays se sont réunis autour de problématiques communes, des solutions visionnaires ont été trouvées. Donc, il faut qu'en Mauritanie, au Sénégal, au Mali, en Guinée, les sociétés nationales des eaux, les sociétés nationales d'électricité payent leurs factures. C'est ça ? Oui. Il faut que ces engagements financiers soient honorés parce que, sans ces engagements, la maintenance des ouvrages est une difficulté majeure et la continuité de service sera un risque. À lire aussiMali : inauguration du barrage de Gouina, sur le fleuve Sénégal   À lire aussiSénégal: le barrage de Diama, un exemple de gestion partagée de l'eau  

Priorité santé
Les infections urinaires

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 48:29


Les infections urinaires sont des infections localisées au niveau de la vessie. Provoquées le plus souvent par la bactérie Escherichia Coli, les infections urinaires sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes. Diagnostiquées et soignées à temps, elles sont en général sans gravité. Une mauvaise prise en charge peut, en revanche, engendrer des complications, notamment pour les personnes fragiles. Quels sont les symptômes de l'infection urinaire ? Quels sont les facteurs favorisant ces maladies ? Et enfin, comment prendre en charge une cystite aggravée ?  Dr Jean-Marc Bohbot, infectiologue et andrologue, responsable de l'Unité Génitale et directeur médical de l'Institut Alfred Fournier à Paris. Président de l'Académie du Microbiote Uro-Génital  Pr Mouhamedou Diagana, urologue andrologue. Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Nouakchott. Chef du service d'Urologie à l'Hôpital Cheikh Zayed de Nouakchott, en Mauritanie.  ► En fin d'émission, nous abordons la question des baisses des financements internationaux des programmes de lutte contre le VIH sida, le paludisme et la tuberculose avec Caty Fall Sow, directrice régionale Afrique pour le Fonds mondial.   Programmation musicale :  ► Miira - Où vont les larmes ?  ► KAMAUU, Adi oasis – MANGO.

Priorité santé
Les infections urinaires

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 48:29


Les infections urinaires sont des infections localisées au niveau de la vessie. Provoquées le plus souvent par la bactérie Escherichia Coli, les infections urinaires sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes. Diagnostiquées et soignées à temps, elles sont en général sans gravité. Une mauvaise prise en charge peut, en revanche, engendrer des complications, notamment pour les personnes fragiles. Quels sont les symptômes de l'infection urinaire ? Quels sont les facteurs favorisant ces maladies ? Et enfin, comment prendre en charge une cystite aggravée ?  Dr Jean-Marc Bohbot, infectiologue et andrologue, responsable de l'Unité Génitale et directeur médical de l'Institut Alfred Fournier à Paris. Président de l'Académie du Microbiote Uro-Génital  Pr Mouhamedou Diagana, urologue andrologue. Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Nouakchott. Chef du service d'Urologie à l'Hôpital Cheikh Zayed de Nouakchott, en Mauritanie.  ► En fin d'émission, nous abordons la question des baisses des financements internationaux des programmes de lutte contre le VIH sida, le paludisme et la tuberculose avec Caty Fall Sow, directrice régionale Afrique pour le Fonds mondial.   Programmation musicale :  ► Miira - Où vont les larmes ?  ► KAMAUU, Adi oasis – MANGO.

Priorité santé
Santé communautaire : réfléchir aux innovations et aux contraintes

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 48:29


À l'occasion de la journée scientifique « santé communautaire : entre innovations et contraintes », organisée à Paris par l'Initiative (une entité financée par le ministère de l'Europe des Affaires étrangères, pour mettre en œuvre des initiatives de santé du Fonds Mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose), nous faisons un point sur les initiatives portées par les acteurs locaux pour améliorer l'accès aux soins.   Fatoumata Hane, socio-anthropologue, spécialiste des politiques publiques et systèmes de santé à l'Université Assane Seck, de Ziguinchor, au Sénégal Armel Djenontin, entomologiste médical, responsable de l'Unité d'Entomologie et directeur adjoint du Centre de Recherche pour la lutte contre les Maladies Infectieuses Tropicales (CReMIT) de l'Université d'Abomey-Calavi, au Bénin    Jean Claude Semuto Ngabonziza, analyste de l'innovation scientifique en santé au Rwanda Biomedical Centre   Djibril Sy, président de l'association SOS Pairs Éducateurs (SOS PE), à Nouakchott en Mauritanie.  Programmation musicale :  ► Flavour – Game changer  ► Manu Desroches – Viv vré.

Priorité santé
Santé communautaire : réfléchir aux innovations et aux contraintes

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 48:29


À l'occasion de la journée scientifique « santé communautaire : entre innovations et contraintes », organisée à Paris par l'Initiative (une entité financée par le ministère de l'Europe des Affaires étrangères, pour mettre en œuvre des initiatives de santé du Fonds Mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose), nous faisons un point sur les initiatives portées par les acteurs locaux pour améliorer l'accès aux soins.   Fatoumata Hane, socio-anthropologue, spécialiste des politiques publiques et systèmes de santé à l'Université Assane Seck, de Ziguinchor, au Sénégal Armel Djenontin, entomologiste médical, responsable de l'Unité d'Entomologie et directeur adjoint du Centre de Recherche pour la lutte contre les Maladies Infectieuses Tropicales (CReMIT) de l'Université d'Abomey-Calavi, au Bénin    Jean Claude Semuto Ngabonziza, analyste de l'innovation scientifique en santé au Rwanda Biomedical Centre   Djibril Sy, président de l'association SOS Pairs Éducateurs (SOS PE), à Nouakchott en Mauritanie.  Programmation musicale :  ► Flavour – Game changer  ► Manu Desroches – Viv vré.

Aujourd'hui l'économie
Investissements étrangers: la Banque mondiale alerte sur une chute historique dans les pays en développement

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 3:14


La Banque mondiale alerte sur un recul historique des investissements directs étrangers dans les pays émergents. L'Afrique n'est pas épargnée, avec des chutes marquées en Égypte, en Angola ou en Afrique centrale. Un phénomène inquiétant qui menace la croissance et les infrastructures. Décryptage. Les investissements directs étrangers (IDE) vers les pays émergents et en développement ont atteint en 2023 leur plus bas niveau depuis 2005. C'est le constat dressé par la Banque mondiale dans son dernier rapport. Ces flux de capitaux — injectés par des entreprises pour implanter usines, services ou projets — se sont limités à 435 milliards de dollars l'an dernier, soit à peine 2 % du PIB de ces pays. Un effondrement spectaculaire quand on sait qu'ils représentaient plus de 5 % du PIB en 2008. La tendance n'épargne pas les économies plus avancées, mais elle frappe avec particulièrement les pays en développement, qui dépendent fortement de ces flux pour financer leur croissance, leurs infrastructures ou leur transition énergétique. L'Afrique, première victime de la chute Le continent africain illustre à lui seul cette dynamique globale. L'Afrique du Nord a vu ses IDE chuter de 12 % en 2023, et l'Afrique centrale de 17 %. L'Égypte, longtemps l'un des plus gros récipiendaires d'IDE sur le continent, a connu une baisse brutale après un pic en 2022. Et l'Angola affiche un signal encore plus inquiétant : les flux d'IDE y sont devenus négatifs, c'est-à-dire que les filiales étrangères retirent plus de capitaux qu'elles n'en investissent. Malgré ce tableau sombre, quelques exceptions subsistent. La Mauritanie, par exemple, continue d'attirer de grands projets liés à l'hydrogène vert. Mais ce sont des cas isolés dans un contexte global de désengagement. Des causes multiples : incertitude, dette et inertie politique Pourquoi une telle désaffection ? La Banque mondiale identifie plusieurs freins majeurs. D'abord, l'incertitude géopolitique, qui a atteint son niveau le plus élevé depuis le début du siècle, refroidit considérablement les investisseurs. Ensuite, la montée du protectionnisme sape les fondements du commerce international. À cela s'ajoute la dette publique élevée dans de nombreux pays en développement, qui réduit la marge de manœuvre pour accueillir et sécuriser des investissements. Enfin, la stagnation des réformes structurelles dans plusieurs économies émergentes empêche toute amélioration durable du climat des affaires. Face à ces défis, la Banque mondiale propose une série de recommandations. Premièrement, améliorer le climat des affaires et lever les obstacles réglementaires afin de restaurer l'attractivité des pays concernés. Deuxièmement, favoriser les projets qui génèrent une forte valeur ajoutée locale et de l'emploi. Mais surtout, l'institution insiste sur la nécessité de renforcer la coopération internationale : relancer les traités commerciaux, réduire les barrières aux échanges et accompagner les réformes à travers une aide technique et financière. Car derrière ces flux de capitaux, il y a plus qu'un enjeu économique. Attirer les investissements, c'est donner une chance au développement, à la transition énergétique, et à la stabilité sociale de ces pays.

CHEFS
[HORS-SÉRIE] REFUGEE FOOD FESTIVAL - HAROUNA SOW

CHEFS

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 42:53


À l'occasion de la 10e édition du Refugee Food Festival, cet épisode vous embarque pour une rencontre marquante avec un homme, un parcours, et un combat… En France, près de 70 000 personnes ont obtenu le droit d'asile en 2024. Parmi elles, nombreuses sont celles qui trouvent leur place derrière les fourneaux, dans les cuisines de nos restaurants. Mais que sait-on vraiment de leur quotidien, de leur réalité et de leur histoire ? Réfugié voilà un bien grand mot qu'on prend rarement le temps de contourner !Harouna Sow, est né en Mauritanie, il a grandi au Sénégal, s'est installé à Paris, et aujourd'hui, après s'être formé dans de grandes maisons, il est chef au sein de l'association Refugee Food . Il dirige une brigade dans un lieu emblématique : la Cité du Refuge, et cuisine chaque jour pour les résident·es et pour les banquets des entreprises qui font appel à l'association.Dans cet épisode, il partage son parcours atypique, sa découverte tardive de la cuisine, et tout ce que cela représente pour lui.Voici une invitation à changer de regard sur les personnes réfugiées, à comprendre le rôle fondamental qu'elles jouent dans notre société et particulièrement dans le secteur de la restauration et comment leur intégration peut être une chance pour chacun.Le Refugee Food Festival, c'est aussi des événements organisés dans une dizaine de villes françaises tout au long du mois de juin. Profitez-en pour découvrir des cuisines du monde à travers les quatre mains que les chefs et restaurateurs installés organisent avec des chefs réfugiés.Oui parce qu'au final, si la cuisine est un refuge pour tous, Harouna est un chef avant tout.Découvrez le festival, soutenez l'association, partagez l'épisode, et discutons en sur Instagram : @chefs_podcastPlus d'infos : www.refugee-food.orgPAARRTTTAAAAAGGGGGGEEEEEEEEEEEZZZZZZZZZZZ !!!!!!!!Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est pas du vent
Qu'est-ce que les pays du Sud peuvent attendre de l'UNOC ?

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 48:30


Des représentants de plus de 180 pays sont à Nice, cette semaine, pour échanger sur les enjeux de l'océan. Les pays du Sud seront particulièrement attentifs aux discussions sur la ratification du traité mondial sur la haute mer, la problématique de l'industrie minière en haute mer, les questions de pêche durable et de gestion des zones côtières. Nous sommes à Nice à l'occasion de la troisième conférence des Nations unies sur l'océan qui réunit plus de 20 000 personnes de 180 pays. Notre studio est installé dans le palais des expositions rebaptisé pour l'occasion La Baleine. Un immense ventre de 17 000 m2 occupés cette semaine par des stands et des auditoriums bleus dans lesquels se succèdent les événements que vous entendez derrière nous. Les pays du Sud sont bien représentés car les sujets qui sont traités ici conditionnent le quotidien de ceux qui vivent là-bas. Par exemple, en Afrique de l'Ouest, plus de 7 millions de personnes dépendent directement de la pêche artisanale, mais 40% des stocks de poissons dans la région sont déjà surexploités ou épuisés, ce qui compromet non seulement la biodiversité marine, mais aussi la sécurité alimentaire de millions de personnes. Alors que peuvent attendre les pays du Sud de cette conférence ? - Ahmed Senhoury, directeur exécutif du PRCM, le Partenariat Régional pour la Conservation de la zone côtière et Marine (PRCM) est une coalition d'acteurs travaillant sur les problématiques du littoral ouest africain et couvrant sept pays : le Cap Vert, la Gambie, la Guinée Conakry, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, le Sénégal et la Sierra Leone - Aliou Ba, responsable principal de la campagne océan pour Greenpeace Afrique - Vincent Doumeizel, fondateur de la Global Seaweed Coalition, spécialiste des algues et du plancton - Sophie Lanco, chercheuse en écologie marine à l'IRD. Elle s'intéresse à la façon dont les oiseaux, les poissons, les mammifères et les pêcheurs occupent l'espace en mer, en utilisant notamment des techniques de biologging et des modèles d'écologie du mouvement - Diaba Diop, présidente du Réseau des Femmes de la Pêche Artisanale (REFEPAS).   Musiques diffusées pendant l'émission - Bembeya Jazz National - Mami Wata - Touré Kunda - Bay Pa Mar.

Couleurs tropicales
BRMX, la Mauritanie à l'honneur de l'African Culture festival

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 48:30


L'artiste mauritanien BRMX de passage à Paris pour participer à la neuvième édition de l'African Culture festival, vient nous présenter son univers musical. Auteur et interprète, le chanteur a construit son propre style mêlant rap, musiques traditionnelles et afro-fusion. Il est accompagné du chanteur Soldier Hems, originaire aussi de Mauritanie. Dans sa musique fusion, il utilise le peul, le français et l'anglais pour conscientiser la jeunesse. Ils sont interrogés par Laura Mbakop, Yasmine Bakayoko et Claudy Siar.  Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : BRXM -Mami Wata BRXM - Thérapie BRXM - Solo Soldier Hems  - Rien n'a changéBRMX - Naangue BRMX - Boosoyado Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Couleurs tropicales
BRMX, la Mauritanie à l'honneur de l'African Culture festival

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 48:30


L'artiste mauritanien BRMX de passage à Paris pour participer à la neuvième édition de l'African Culture festival, vient nous présenter son univers musical. Auteur et interprète, le chanteur a construit son propre style mêlant rap, musiques traditionnelles et afro-fusion. Il est accompagné du chanteur Soldier Hems, originaire aussi de Mauritanie. Dans sa musique fusion, il utilise le peul, le français et l'anglais pour conscientiser la jeunesse. Ils sont interrogés par Laura Mbakop, Yasmine Bakayoko et Claudy Siar.  Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : BRXM - Mami WataBRXM - Thérapie BRXM - Solo Soldier Hems - Rien n'a changéBRMX - Naangue BRMX - Boosoyado Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Sénégal/Mauritanie : un partenariat migratoire pour fluidifier les frontières

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le « travel ban » aux Etats-Unis et le retour de la RDC au Conseil de sécurité de l'ONU. Sénégal/Mauritanie : un partenariat migratoire pour fluidifier les frontières  Après la vague d'expulsions de migrants menée par les autorités mauritaniennes en février 2025, Dakar et Nouakchott ont conclu un accord pour renforcer leur coopération et apaiser les tensions liées à la circulation transfrontalière. Que dit cet accord sur les conditions d'entrée et de séjour des ressortissants sénégalais et mauritaniens ? En quoi est-il différent de celui qui était en vigueur depuis 1972 ?  Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. États-Unis : Donald Trump ferme ses frontières à douze pays  Les ressortissants de douze pays, dont sept africains, sont interdits d'entrée aux États-Unis. Donald Trump justifie cette décision par un impératif sécuritaire après l'attaque de dimanche dernier (1er juin 2025) dans le Colorado perpétrée par un homme d'origine égyptienne. Pourquoi l'Égypte ne figure pas sur la liste des pays concernés ? Quelles seront les conséquences pour les ressortissants déjà présents aux États-Unis ?  Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en civilisation américaine, spécialiste en rhétorique présidentielle.ONU : après plus de 30 ans, la RDC fait son retour au Conseil de sécurité   La République démocratique du Congo a été élue membre non permanent du Conseil de sécurité de l'ONU pour la période 2026–2027. Quels avantages le pays peut-il espérer tirer avec ce siège ? Cela pourrait-il aider à améliorer la situation sécuritaire dans l'est du pays ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, elle revient sur l'arrestation du rappeur togolais Aamron, engagé et critique du gouvernement.

Le débat africain
Mali, Mauritanie, Trump vs Musk… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 39:00


Au sommaire : Ce lundi, une série d'attaques a été menée par le Jnim, le Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans lié à al-Qaïda, dans la ville de Tombouctou. Des attaques qui surviennent seulement quelques jours après celles de Boulkessi, de Soumpi et de Dioura. Quelle est la capacité d'action du Jnim ? Quelles réactions au Mali ? À Nouakchott, indignation et colère après le viol et le meurtre d'une jeune femme enceinte. Un nouveau féminicide qui rappelle que l'État mauritanien n'a aucune loi régissant les violences sexistes et sexuelles.Enfin aux États-Unis, le divorce est consommé entre le président Donald Trump et le milliardaire Elon Musk. Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : - Karine Oriot, éditorialiste camerounaise- Eric Topona, journaliste tchadien au sein de la rédaction Afrique francophone de la Deutsche Welle- François Hiondi Nkam, grand reporter et chef du service Économie au quotidien camerounais Le jour.

Invité Afrique
BAD: l'élection d'un Mauritanien est le fruit du «travail du président Ghazouani à l'UA», explique son chef de la diplomatie

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 12:00


C'est au troisième tour, avec 76% des voix, que le candidat mauritanien Sidi Ould Tah a été élu président de la Banque africaine de développement, le 29 mai dernier à Abidjan. Le score paraît très confortable, mais jusqu'au deuxième tour, rien n'était joué, car le Zambien Samuel Maimbo gardait toutes ses chances. Quelles sont les vraies causes de la victoire de la Mauritanie et quel rôle a joué secrètement le président Ghazouani ? En ligne de Nouakchott, son ministre des Affaires étrangères Mohamed Salem Ould Merzoug dévoile les coulisses du vote, au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Le docteur Sidi Ould Tah est le dernier candidat à s'être déclaré et pourtant il a gagné. Comment vous expliquez ce paradoxe ?Mohamed Salem Ould Merzoug : C'est un long processus. La campagne et puis le travail diplomatique sérieux ont commencé bien avant la déclaration formelle de sa candidature étant entendu que le travail qui a été fait l'année dernière par le président de la République pendant son mandat en tant que président en exercice de l'Union africaine a été un peu le terreau fertile sur lequel nous avons construit toute notre stratégie.Toute l'année dernière, c'est le président de la Mauritanie, Mohamed Ould Ghazouani, qui était à la tête de l'Union africaine...Tout à fait.On dit que, dès le début de cette année, le président ivoirien Alassane Ouattara vous avait dit qu'il serait derrière la candidature du docteur Ould Tah. Est-ce que c'est à ce moment-là que vous vous êtes dit : « On peut y aller, on peut annoncer sa candidature » ?La décision a en effet été prise par le président en concertation avec beaucoup de chefs d'États africains et en particulier avec son excellence le président Alassane Dramane Ouattara qui est un ami personnel et qui a été un soutien important pour notre candidat.Dès le début de cette année ?Dès le début de cette année, oui.Quand le docteur Ould Tah s'est lancé dans cette campagne, il n'était pas le favori. Tout le monde pensait au Zambien Samuel Munzele Maimbo, qui avait été vice-président de la Banque mondiale. Comment avez-vous relevé ce défi ?Pour vous parler franchement, dès le départ, nous n'avons jamais douté qu'il serait élu parce que nous avons, je pense, recherché le consensus et essayé de convaincre mais surtout d'être persévérant. Tout ce travail a été fait avec beaucoup d'humilité.Vous n'avez jamais douté parce que vous aviez déjà fait un travail souterrain et que vous aviez fait vos calculs. Vous saviez que vous aviez déjà un certain nombre de pays avec vous ?Tout à fait. Sous l'autorité directe du président de la République, on a donc essayé de ratisser large tout au long de l'année 2024.Et le plus gros contributeur africain, à savoir le Nigeria, il était pour qui ?Il a voté pour le candidat mauritanien.Dès le premier tour ?Dès le premier tour. Ça, ça a été décidé depuis très longtemps. Depuis février 2025, bien avant d'ailleurs.D'accord, mais le Nigeria a été très discret sur le candidat qu'il avait choisi. Il ne l'a pas dit jusqu'à la dernière minute...La discrétion est parfois le bon choix. Je peux vous assurer qu'excepté l'un des plus gros contributeurs qui avait un candidat, tous les autres ont voté pour le candidat Sidi Ould Tah.Oui, l'Afrique du Sud, évidemment, a voté pour sa candidate...Bien entendu.Mais vous dites que, outre le Nigeria, l'Égypte, l'Algérie et le Maroc…Tout ce que je peux vous dire, c'est que tous les plus gros contributeurs africains ont voté pour le candidat Sidi Ould Tah. Sidi n'a pas seulement été élu, mais il a été plébiscité.Il y avait donc les gros contributeurs qui ont voté pour votre candidat. Et puis il y a des petits contributeurs. On pense notamment aux trois États du Sahel, Mali, Burkina, Niger. Est-ce qu'ils étaient de votre côté ou pas ?Ils ont voté pour le candidat mauritanien. Il suffit de prendre une calculette, voilà.Par quel tour de force avez-vous réussi à être soutenu à la fois par les pays de l'AES, Mali, Burkina, Niger et par la France ?Il n'y a pas de contradiction. De toute façon, ce sont des actionnaires, donc chacun décide en fonction de ses intérêts.À quel moment avez-vous reçu le soutien de la France ?Durant le processus que je viens d'évoquer et qui a été un long processus. Mais qui a été un processus constructif et efficace. Il y a eu des discussions et des échanges avec l'ensemble de ces pays qui ont voté pour le candidat de notre pays.Mais est-ce que la France a voté pour votre candidat dès le premier tour ?Je pense qu'ils doivent avoir voté dès le premier tour. À ma connaissance, ils ont voté dès le premier tour pour le candidat Sidi Ould Tah.Il y a les États-Unis de Donald Trump. Ils ont voté pour qui ?Je ne le sais pas. Mais nous respectons leur choix.Ils n'ont pas voté pour vous au premier tour ?Pas à ma connaissance mais je ne peux pas répondre à leur place.On dit que c'est grâce essentiellement aux voix des Africains que le docteur Sidi Ould Tah a été élu. Parce que, chez les non régionaux, les votes étaient plus hésitants. Beaucoup préféraient le Zambien Samuel Maimbo, vous confirmez ?Je ne peux ni confirmer ni infirmer mais je sais que dans ces 76%, il y a eu une alchimie entre les pays africains et les non africains pour voter pour le docteur Sidi Ould Tah et nous en sommes absolument ravis. À lire aussiBAD: de quelle couleur est donc le développement ?À lire aussiLe Mauritanien Sidi Ould Tah élu président de la Banque africaine de développement

Appels sur l'actualité
[Vos questions] RDC : sur quoi portent les consultations de Joseph Kabila à Goma ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'opposant Aliou Bah, le nouveau président de la BAD et la levée des restrictions sur les armes envoyées en Ukraine. RDC : sur quoi portent les consultations de Joseph Kabila à Goma ? En RDC, l'ancien président Joseph Kabila mène des consultations à Goma. Pourquoi avoir choisi cette ville contrôlée par les rebelles de l'AFC/M23 ? Pourquoi a-t-il voulu rencontrer les chefs religieux ? Avec qui d'autres va-t-il discuter ? Met-il en péril les discussions entre le gouvernement congolais et l'AFC/M23 ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.  Guinée : la peine de prison d'Aliou Bah confirmée en appel L'opposant Aliou Bah, président du Mouvement Démocratique, a été condamné à deux ans de prison ferme en appel. Ses avocats affirment qu'il n'y a pas de base légale à sa condamnation. Quelles sont les preuves sur lesquelles les juges se sont basés en appel ? Y a-t-il encore des recours possibles ?Avec Tangi Bihan, correspondant de RFI à Conakry.  BAD : qui est le nouveau président Sidi Ould Tah ? Le Mauritanien Sidi Ould Tah a été élu président de la Banque africaine de développement pour un mandat de cinq ans. Qui est-il et quel a été son parcours ? Quelles sont les grandes lignes de son programme pour les cinq années à venir ? Quels changements peut-on attendre dans la stratégie de financement du développement en Afrique ?Avec Julien Clémençot, chef du service Économie de RFI.  Guerre en Ukraine : levée des restrictions sur la portée des armes livrées à Kiev Les principaux pays alliés de Kiev lèvent les dernières restrictions sur la portée des armes livrées à l'Ukraine. Comment expliquer cette nouvelle décision ? Que va impliquer la fin des restrictions sur la portée des armes livrées à l'Ukraine ? Quel impact cette annonce pourrait-elle avoir sur les relations russo-européennes ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste à la rédaction ukrainienne de RFI. 

Revue de presse Afrique
À la Une: une personnalité mauritanienne à la tête de la Banque africaine de développement

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 30, 2025 4:09


Après 10 ans sous la houlette du Nigérian Akinwumi Adesina, la Banque africaine de développement sera, pour les cinq années à venir, dirigée par Sidi Ould Tah. « Trois heures seulement ont suffi » s'étonne Sahara Médias, à l'élire. Réaction partagée parLe Monde Afrique, surpris que « le dernier candidat à être sorti du bois » ait « finalement coiffé tous ses adversaires au poteau, » et ce en trois tours seulement. Il faut dire que le parcours de Sidi Ould Tah lui a taillé un costume sur-mesure : « docteur en économie formé entre Nouakchott et la France, » rappelle Le Point Afrique, « passé (…) par la Banque mauritanienne pour le développement et le commerce, ». Il a surtout dirigé la Banque arabe pour le développement économique en Afrique pendant dix ans. Et sous sa direction, pointe Le Faso, l'institution a « financé des ports, des aéroports, participé à la construction de plus de 200 routes, (…) tout en générant une baisse des coûts de transport. » Coup de pouce des dirigeants mauritaniensSahara Médias raconte que pendant le vote, le président Mohamed Ould Ghazouani « passait plusieurs appels, » qui, croit savoir le titre, « ont joué un rôle décisif pour changer la donne. » Parmi ces contacts cruciaux, le Nigeria, qui a « changé de position de manière soudaine et décisive. » Et le résultat est là : plus de 76% des voix, contre un peu plus de 58% à l'époque pour Akinwumi Adesina. Mais attention, prévient Wakat Séra : il faut voir dans ce score élevé non pas un blanc-seing mais une « interpellation à la tâche. » La présidence de tous les défis Sur ce point, les journaux sont unanimes. D'abord, Sidi Ould Tah va devoir faire avec l'héritage de son prédécesseur. Akinwumi Adesina a, souligne Le Pays, « réalisé la plus importante augmentation de capital » de l'histoire de la BAD : ce dernier a plus que triplé en 10 ans.Plutôt donc que de s'affranchir de ce passé, le nouveau patron de la banque compte, analyse Le Monde, « s'inscrire dans la continuité des grandes priorités définies par son prédécesseur, » les ‘High Five' : électrification, accès à la nourriture, industrialisation, intégration et amélioration de la qualité de vie. Autant de points sur lesquels « les défis restent immenses », juge le quotidien.Environnement économique difficile Par rapport à 2010, la part que les pays africains consacrent à leur dette a connu « une hausse de 167% ». Et puis il y a les États-Unis et leur « désengagement progressif des mécanismes d'aide au développement », soit des centaines de millions de dollars en moins.Heureusement, se souvient Le Point Afrique, Sidi Ould Tah dispose de « relations de marque avec certains pays du Golfe » qui « pourraient l'aider à attirer de nouveaux capitaux. » Il a en tout cas quelques mois pour y penser : sa prise de fonctions est prévue le 1er septembre. Voilà qui devrait lui laisser le temps, conclut Wakat Séra, de « souffler un coup, en attendant de donner un nouveau souffle à la BAD ! » Une boisson inquiète en Côte d'IvoireElle s'appelle la Vody. Et ne vous laissez pas avoir par sa cannette au format aussi petit que ses couleurs sont éclatantes : 250ml de cette boisson contiennent « de la caféine, de la taurine, beaucoup de sucre, et 18 à 22% de vodka. » Voilà pour la recette, décortiquée par Le Monde Afrique. Et ça marche : « depuis son arrivée à Abidjan, au milieu des années 2010, retrace le quotidien, la Vody est devenue la boisson fétiche des rappeurs ivoiriens » qui la popularisent auprès des jeunes.C'est vrai, « le gouvernement ivoirien a tenté en 2023 de mettre un frein au phénomène » en interdisant l'importation de boissons énergisantes alcoolisées. Conclusion, les fabricants ont changé la recette de leurs canettes sur le marché local, « en retirant les composantes énergisantes. » Mais le taux d'alcool, lui, est le même. Or, raconte un adolescent, « le but premier a toujours été de se saouler, ». Et ce à moindre coût : une canette coûte entre 500 et 700 francs CFA, soit entre 0.75 et 1 euro. À ce prix-là, balaie l'étudiant, « si on veut l'effet énergisant, on peut se faire son cocktail soi-même. » La Vody a donc encore de beaux jours devant elle.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Le radeau de la Méduse : un naufrage d'État - 5/5

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later May 27, 2025 6:42


Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 2 juillet 1816, au large de la Mauritanie, la frégate La Méduse s'échoue. À son bord, plus de 400 personnes, un capitaine incompétent, et un projet colonial mal préparé. Ce qui aurait pu n'être qu'un accident maritime va se transformer en une tragédie nationale – un naufrage absurde suivi d'une odyssée cauchemardesque sur un radeau de fortune.Entre erreurs de navigation, lâchetés en chaîne, abandon volontaire, rébellions sanglantes, cannibalisme et silence officiel, l'affaire devient un scandale d'État, immortalisée quelques années plus tard par le célèbre tableau de Géricault.Dans cette émission, découvrez les dessous politiques et humains de l'un des naufrages les plus terrifiants du XIXe siècle.Pourquoi a-t-on confié un navire à un commandant sans expérience ? Comment en est-on arrivé à manger les morts pour survivre ?Et pourquoi cette histoire résonne-t-elle encore aujourd'hui comme un effrayant concentré d'injustice, de pouvoir et de souffrance ?Avec nos deux invitées, Clarisse Griffon Du Bellay, arrière arrière arrière arrière petite-fille d'un des survivants, Joseph Jean-Baptiste Griffon du Bellay, et Anne Cangélosi, comédienne dans la pièce « Le radeau de la Méduse » nous revenons sur cette incroyable histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Le radeau de la Méduse : un naufrage d'État - 4/5

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later May 26, 2025 10:01


Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 2 juillet 1816, au large de la Mauritanie, la frégate La Méduse s'échoue. À son bord, plus de 400 personnes, un capitaine incompétent, et un projet colonial mal préparé. Ce qui aurait pu n'être qu'un accident maritime va se transformer en une tragédie nationale – un naufrage absurde suivi d'une odyssée cauchemardesque sur un radeau de fortune.Entre erreurs de navigation, lâchetés en chaîne, abandon volontaire, rébellions sanglantes, cannibalisme et silence officiel, l'affaire devient un scandale d'État, immortalisée quelques années plus tard par le célèbre tableau de Géricault.Dans cette émission, découvrez les dessous politiques et humains de l'un des naufrages les plus terrifiants du XIXe siècle.Pourquoi a-t-on confié un navire à un commandant sans expérience ? Comment en est-on arrivé à manger les morts pour survivre ?Et pourquoi cette histoire résonne-t-elle encore aujourd'hui comme un effrayant concentré d'injustice, de pouvoir et de souffrance ?Avec nos deux invitées, Clarisse Griffon Du Bellay, arrière arrière arrière arrière petite-fille d'un des survivants, Joseph Jean-Baptiste Griffon du Bellay, et Anne Cangélosi, comédienne dans la pièce « Le radeau de la Méduse » nous revenons sur cette incroyable histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Le radeau de la Méduse : un naufrage d'État - 3/5

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later May 25, 2025 9:47


Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 2 juillet 1816, au large de la Mauritanie, la frégate La Méduse s'échoue. À son bord, plus de 400 personnes, un capitaine incompétent, et un projet colonial mal préparé. Ce qui aurait pu n'être qu'un accident maritime va se transformer en une tragédie nationale – un naufrage absurde suivi d'une odyssée cauchemardesque sur un radeau de fortune.Entre erreurs de navigation, lâchetés en chaîne, abandon volontaire, rébellions sanglantes, cannibalisme et silence officiel, l'affaire devient un scandale d'État, immortalisée quelques années plus tard par le célèbre tableau de Géricault.Dans cette émission, découvrez les dessous politiques et humains de l'un des naufrages les plus terrifiants du XIXe siècle.Pourquoi a-t-on confié un navire à un commandant sans expérience ? Comment en est-on arrivé à manger les morts pour survivre ?Et pourquoi cette histoire résonne-t-elle encore aujourd'hui comme un effrayant concentré d'injustice, de pouvoir et de souffrance ?Avec nos deux invitées, Clarisse Griffon Du Bellay, arrière arrière arrière arrière petite-fille d'un des survivants, Joseph Jean-Baptiste Griffon du Bellay, et Anne Cangélosi, comédienne dans la pièce « Le radeau de la Méduse » nous revenons sur cette incroyable histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Le radeau de la Méduse : un naufrage d'État - 2/5

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later May 24, 2025 9:33


Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 2 juillet 1816, au large de la Mauritanie, la frégate La Méduse s'échoue. À son bord, plus de 400 personnes, un capitaine incompétent, et un projet colonial mal préparé. Ce qui aurait pu n'être qu'un accident maritime va se transformer en une tragédie nationale – un naufrage absurde suivi d'une odyssée cauchemardesque sur un radeau de fortune.Entre erreurs de navigation, lâchetés en chaîne, abandon volontaire, rébellions sanglantes, cannibalisme et silence officiel, l'affaire devient un scandale d'État, immortalisée quelques années plus tard par le célèbre tableau de Géricault.Dans cette émission, découvrez les dessous politiques et humains de l'un des naufrages les plus terrifiants du XIXe siècle.Pourquoi a-t-on confié un navire à un commandant sans expérience ? Comment en est-on arrivé à manger les morts pour survivre ?Et pourquoi cette histoire résonne-t-elle encore aujourd'hui comme un effrayant concentré d'injustice, de pouvoir et de souffrance ?Avec nos deux invitées, Clarisse Griffon Du Bellay, arrière arrière arrière arrière petite-fille d'un des survivants, Joseph Jean-Baptiste Griffon du Bellay, et Anne Cangélosi, comédienne dans la pièce « Le radeau de la Méduse » nous revenons sur cette incroyable histoire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Le radeau de la Méduse : un naufrage d'État - 1/5

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later May 23, 2025 10:22


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Priorité santé
Prendre soin de ses articulations

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 20, 2025 48:29


Arthrose, arthrite, rhumatismes, polyarthrite rhumatoïde… Les maladies des articulations sont nombreuses et peuvent toucher toutes les tranches d'âge, pas uniquement les personnes âgées. Comment prévenir ces maladies et prendre soin de ses articulations ? Quelles prises en charge existent pour ces maladies ? Peut-on ralentir leur évolution ?  Pr Francis Berenbaum, chef du service de rhumatologie à l'Hôpital Saint-Antoine-APHP à Paris. Professeur à Sorbonne Université. Chercheur au sein d'une équipe Inserm, dédiée à l'arthrose Pr Norbert Lamini, professeur agrégé de Rhumatologie au CHU de Brazzaville et enseignant chercheur à la Faculté des sciences de la santé de l'Université Marien NGOUABI, à Brazzaville au Congo. Secrétaire général de la société congolaise de Rhumatologie-soins de suite et de réadaptation.  Un reportage de Louise Caledec à l'Opéra de Paris.   ► En fin d'émission, nous dressons le bilan du premier Forum africain sur le don et la transplantation d'organes qui s'est tenu à Nouakchott du 16 au 18 mai 2025. Interview du Pr Abdellatif Sidi Aly, professeur-assistant de Néphrologie à la Faculté de médecine de Nouakchott en Mauritanie. Président du Conseil National du Don et de la Transplantation (CNDT).  Programmation musicale : ► Pawpaw rod – Shadow ► Ginton, Oumou Sangaré - Sabu.

Priorité santé
Prendre soin de ses articulations

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 20, 2025 48:29


Arthrose, arthrite, rhumatismes, polyarthrite rhumatoïde… Les maladies des articulations sont nombreuses et peuvent toucher toutes les tranches d'âge, pas uniquement les personnes âgées. Comment prévenir ces maladies et prendre soin de ses articulations ? Quelles prises en charge existent pour ces maladies ? Peut-on ralentir leur évolution ?  Pr Francis Berenbaum, chef du service de rhumatologie à l'Hôpital Saint-Antoine-APHP à Paris. Professeur à Sorbonne Université. Chercheur au sein d'une équipe Inserm, dédiée à l'arthrose Pr Norbert Lamini, professeur agrégé de Rhumatologie au CHU de Brazzaville et enseignant chercheur à la Faculté des sciences de la santé de l'Université Marien NGOUABI, à Brazzaville au Congo. Secrétaire général de la société congolaise de Rhumatologie-soins de suite et de réadaptation.  Un reportage de Louise Caledec à l'Opéra de Paris.   ► En fin d'émission, nous dressons le bilan du premier Forum africain sur le don et la transplantation d'organes qui s'est tenu à Nouakchott du 16 au 18 mai 2025. Interview du Pr Abdellatif Sidi Aly, professeur-assistant de Néphrologie à la Faculté de médecine de Nouakchott en Mauritanie. Président du Conseil National du Don et de la Transplantation (CNDT).  Programmation musicale : ► Pawpaw rod – Shadow ► Ginton, Oumou Sangaré - Sabu.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] RDC : nouvel appel d'offres pour les blocs pétroliers

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 19, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la condamnation de l'ancien président mauritanien, des propos polémiques du président William Ruto et le rapprochement entre les États-Unis et le Rwanda. RDC : nouvel appel d'offres pour les blocs pétroliers  Après l'échec de l'appel d'offres lancé en 2022, le gouvernement congolais vient d'ouvrir à l'exploration de 55 nouveaux blocs pétroliers. À l'époque, pourquoi les investisseurs avaient-ils été réticents ? Que proposent les autorités pour concilier exploitation pétrolière et prise en compte des enjeux environnementaux ?Avec Paulina Zidi, correspondante de RFI à Kinshasa.Mauritanie : 15 ans de prison pour l'ancien président  Condamné en première instance à cinq ans de prison ferme pour enrichissement illicite, l'ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a vu sa peine s'alourdir à quinze ans de prison lors de son procès en appel. Comment expliquer ce verdict plus sévère ? Quelles sont les chances que la peine soit réduite en cassation ?  Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar.Kenya : polémique après les déclarations du président sur les enlèvements politiques  William Ruto affirme que les militants enlevés lors des manifestations antigouvernementales de ces derniers mois ont été rendus à leurs familles. Lors de la mobilisation contre la loi de finance, des dizaines de personnes avaient disparu dans des circonstances mystérieuses. Y a-t-il des preuves qui confirment les propos du chef de l'État ? Comment expliquer ces disparitions alors que William Ruto avait promis de mettre fin aux enlèvements politiques ? Avec Gaëlle Laleix, correspondante permanente de RFI à Nairobi.États-Unis/Rwanda : signature d'un accord inédit sur l'étain  Le groupe minier Trinity Metals a signé une lettre d'intention avec la société américaine Nathan Trotter afin de créer une chaîne d'approvisionnement d'étain vers les États-Unis. Pourtant, Donald Trump a appelé le gouvernement rwandais à cesser tout soutien aux rebelles du M23. Comment expliquer ce rapprochement entre Washington et Kigali ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège. 

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 16 mai 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 16, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

Le débat africain
Mauritanie, Gabon, Côte d'Ivoire et Donald Trump… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later May 16, 2025 38:59


L'ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz est condamné en appel à 15 ans de prison ferme pour « enrichissement illicite » et « trafic d'influence ». Avancée dans la lutte contre l'impunité ou règlement de comptes ? Au Gabon, l'ancien président Ali Bongo et sa famille ont été libérés et sont arrivés dans le plus grand secret à Luanda, la capitale angolaise. Beaucoup déplorent une justice à deux vitesses, à juste titre ? En Côte d'Ivoire, le leader du PDCI Tidjane Thiam est réélu à la tête du parti, deux jours après avoir démissionné de ce poste. Une élection qui ne change cependant rien à son inéligibilité au scrutin présidentiel d'octobre prochain.En Turquie, quelles chances pour les pourparlers en l'absence des présidents russe et ukrainien ?Enfin promesses d'investissement, dossiers sensibles, soupçon de conflit d'intérêts… Que doit-on retenir de la tournée du président américain Donald Trump au Moyen-Orient ?  Avec la participation de : - Wuldath Mama, consultante spécialisée dans les questions internationales pour la Société de radio et de télévision du Bénin- Karine Oriot, éditorialiste camerounaise- François Hiondi Nkam, grand reporter et chef du service Économie au quotidien camerounais Le jour.

Journal en français facile
Syrie: levée des sanctions américaines / Mauritanie: l'ancien président Aziz condamné à 15 ans de prison / Le chancelier allemand devant les députés...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later May 14, 2025 10:00


Le Journal en français facile du mercredi 14 mai  2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BfZZ.A

Journal de l'Afrique
Côte d'Ivoire : Tidjane Thiam réélu sans surprise à la tête du PDCI

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later May 14, 2025 13:49


Tidjane Thiam a été élu mercredi à la tête du PDCI, principal parti d'opposition ivoirien, dans une élection où il était seul candidat, deux jours après avoir démissionné de ce poste pour se représenter et mettre fin à une saga judiciaire contestant sa légitimité. Cette élection ne règle toutefois pas la question de son inéligibilité à la présidentielle du 25 octobre en Côte d'Ivoire.