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La marquise de Sévigné, figure emblématique du Grand Siècle, incarne l'élégance et l'esprit de son époque. À travers ses lettres, elle nous livre un témoignage précieux de la vie à la cour de Louis XIV, alliant finesse, humour et une étonnante modernité. Mère dévouée et observatrice avisée, elle se distingue par son talent littéraire et sa capacité à immortaliser les mœurs et les événements de son temps. Par ses écrits, la marquise de Sévigné reste une voix incontournable du XVIIe siècle, un modèle d'esprit et de raffinement."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Dominique Leeb.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine Boudalier Montage : Johanna Lalonde Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
À première vue, le Soleil semble être une boule de feu parfaitement uniforme. Mais observé de près, à l'aide de filtres spéciaux, sa surface révèle des zones sombres : les taches solaires. Ces marques, visibles depuis la Terre depuis plus de quatre siècles, intriguent encore les astrophysiciens. Elles ne sont pas des “trous” dans le Soleil, mais les symptômes spectaculaires de son activité magnétique.Des zones plus froides, donc plus sombresLe Soleil est une immense sphère de gaz en fusion, animée de mouvements de convection : la matière chaude remonte, la froide redescend. Ces mouvements génèrent des champs magnétiques puissants, qui peuvent se tordre et s'entremêler. Lorsque ces champs deviennent trop intenses, ils perturbent la circulation de la chaleur à la surface, dans la région appelée photosphère.Résultat : certaines zones se refroidissent légèrement, passant d'environ 5 800 °C à 3 800 °C. Cette différence de température suffit à les rendre visiblement plus sombres que leur environnement. C'est ce contraste thermique qui crée l'illusion d'une “tache noire”, même si ces régions continuent à émettre énormément de lumière et d'énergie.Un phénomène magnétique cycliqueLes taches solaires n'apparaissent pas au hasard. Elles suivent un cycle de 11 ans, au cours duquel l'activité magnétique du Soleil croît puis décroît. Au maximum solaire, des dizaines, voire des centaines de taches peuvent parsemer sa surface ; au minimum, elles disparaissent presque totalement.Ce cycle s'accompagne d'autres manifestations spectaculaires : éruptions solaires et éjections de masse coronale, capables de projeter dans l'espace des milliards de tonnes de particules. Ces événements, liés aux zones où les champs magnétiques se reconnectent, peuvent perturber les communications, les satellites et même les réseaux électriques sur Terre.Un miroir de la santé du SoleilLes taches solaires servent aujourd'hui d'indicateurs précieux pour les scientifiques. En les observant, on mesure l'évolution du champ magnétique solaire, la rotation différentielle de l'étoile et la dynamique de son plasma interne.Historiquement, leur étude a aussi permis de grandes découvertes : dès le XVIIe siècle, Galilée les utilisait pour prouver que le Soleil tournait sur lui-même. Aujourd'hui, grâce aux sondes spatiales comme Solar Orbiter ou Parker Solar Probe, les chercheurs cartographient leur structure en trois dimensions.En somme, les taches solaires sont les pulsations visibles du cœur magnétique du Soleil — des fenêtres sur les forces colossales qui animent notre étoile et rythment la vie de tout le système solaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le français vacille-t-il sous les anglicismes, emojis et textos ? Puristes ou enthousiastes s'affrontent : déclin ou renaissance ? Une chose est sûre, la langue change - vive, audacieuse, en pleine mutation. Avec : - Anne Abeillé, professeur de linguistique à l'Université Paris Cité, autrice de La Grande Grammaire du français, éditions Actes Sud, membre du Collectif des linguistes atterré(e)s- Bénédicte Pivot, enseignante-chercheuse en sociolinguistique à l'université Paul-Valéry-Montpellier, autrice du livre Langues et précarités, éditions des archives contemporaines- Gilles Siouffi, professeur à Sorbonne Université et spécialiste de la langue française des XVIIe et XVIIIe siècle, auteur de Paris-Babel - Histoire linguistique d'une ville-mondes, éditions Actes Sud, membre du Collectif des linguistes atterré(e)sRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus d'économie et société ci-dessous :Silence, on crie : https://audmns.com/jqOozgUOù va la vie ? La bioéthique en podcast : https://audmns.com/UuYCdISContre courant : https://audmns.com/swImDAMAu bonheur des herbes : https://audmns.com/XPVizmQSacré patrimoine : https://audmns.com/TNJhOETEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:18 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - À partir du XVIIe siècle, la diplomatie devient une affaire véritablement mondiale. Des Petites Antilles à la Nouvelle-France, l'équilibre géopolitique européen excède désormais les frontières du Vieux Continent. - réalisation : Thomas Beau - invités : Éric Schnakenbourg Professeur d'histoire moderne à l'Université de Nantes, directeur du Centre de Recherche en Histoire Internationale et Atlantique; François Ternat Professeur d'histoire à l'INSPE de l'université de Rouen
Oui, cette histoire est tout à fait vraie, et elle illustre à merveille les mœurs étonnantes — et souvent cruelles — de la justice d'Ancien Régime. Jusqu'au XVIIIe siècle, la France connaissait une institution pour le moins singulière : les tribunaux d'impuissance, chargés de juger si un mari était, ou non, capable de “remplir son devoir conjugal”. Ces procès, souvent spectaculaires, mêlaient droit, médecine, religion… et humiliation publique. Et c'est un noble français, le marquis de Langey, qui, bien malgré lui, mit fin à cette pratique absurde.L'affaire éclate en 1659. Le marquis de Langey, jeune aristocrate d'une vingtaine d'années, épouse Mademoiselle de Saint-Simon de Courtemer. Mais très vite, leur union tourne court : l'épouse, frustrée, l'accuse d'impuissance, c'est-à-dire d'incapacité physique à consommer le mariage. À cette époque, cette accusation n'est pas anodine : un mariage non consommé peut être annulé, privant l'époux de son honneur et de ses droits. La femme dépose donc plainte, et l'affaire est portée devant le Parlement de Paris.Ce qui suit confine au cauchemar. Le marquis est sommé de se soumettre à une “épreuve de virilité” : une inspection médicale complète, menée devant médecins, sages-femmes et témoins. Puis vient la fameuse “épreuve du congrès”, une procédure officielle au cours de laquelle l'accusé devait, en présence d'experts, tenter d'accomplir l'acte sexuel avec son épouse. Les contemporains décrivent cette scène avec un mélange d'effroi et de curiosité. Évidemment, sous la pression, le marquis échoue. Il est déclaré impuissant et, par conséquent, incapable de mariage. Le verdict est rendu public : humiliation totale.Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Peu après, le marquis quitte Paris et se réfugie en Italie, où il se remarie. Cette fois, miracle : il a plusieurs enfants. La nouvelle fait scandale et ridiculise la justice française. Comment un homme officiellement reconnu “impuissant à jamais” peut-il devenir père ailleurs ? Le Parlement, embarrassé, annule la décision précédente, et le tribunal du congrès est définitivement supprimé en 1677 par le roi Louis XIV lui-même, sur avis de ses juristes.Cette affaire du marquis de Langey mit ainsi un terme à une procédure qui relevait plus du théâtre que du droit. Elle révèle aussi combien la sexualité, au XVIIe siècle, était perçue comme une affaire publique, surveillée et jugée — jusqu'à ce qu'un homme humilié prouve, au fond, que la justice pouvait être bien plus impuissante que lui. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'info du matin - Ce matin, Grégory Ascher et Justine Salmon ont parlé d'un lycée américain qui remplace les heures de colle par des heures de randonnée ! Le winner du jour - Notre premier winner, un policier, intervient pour un tapage nocturne et finit sur la piste de danse ! - À San Francisco, des habitants commandent par erreur 50 robots-taxis en même temps dans une même rue, créant un joyeux chaos. Le flashback du jour - Avril 1999 : un flashback 100 % féminin avec trois artistes incontournables : Larusso et son tube "Tu m'oublieras", resté numéro 1 près de deux mois et demi, Britney Spears qui la détrône avec "...Baby One More Time" et Mylène Farmer, qui sortait le 7 avril son cinquième album "Innamoramento". Les savoirs inutiles - C'est grâce aux marins du XVIIe siècle que seraient nées les premières poupées à usage sexuel, ancêtres des poupées gonflables ! La chanson du jour - Måneskin "Baby Said" 3 choses à savoir sur Banksy Qu'est-ce qu'on fait ? - Si vous êtes autour de Dax, Géraldine propose le festival "CLAP sur le polar", consacré au cinéma, à la littérature et à la pop culture. - Et à Troyes, "Les Nuits de Champagne" démarrent dimanche avec Hoshi, Adé, Jérémy Frérot et Waxx. Le jeu surprise (Ni oui ni non) - Éric de Chambéry repart avec une gourde AirUp. La Banque RTL2 - Olivia de Théréval (vers Saint-Lô) gagne 500 €. - Marine d'Arles remporte un séjour de deux nuits pour deux personnes en hôtellerie haut de gamme Hôtels & Préférence. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Georges de La Tour est en majesté dans le bel hôtel particulier du musée Jacquemart-André à Paris. Peintre du XVIIe siècle à la production rare, on lui connait une quarantaine d'œuvres dont on peut voir plus de la moitié dans l'exposition. Des tableaux où l'artiste se joue avec virtuosité du noir et de la lumière, ce qui lui vaut le surnom de « Caravage français ». L'artiste célèbre de son vivant tombe ensuite dans l'oubli pour être redécouvert au début du XXe siècle. ► Exposition Georges de La Tour, entre ombre et lumière, du 11 septembre 2025 au 25 janvier 2026
Georges de La Tour est en majesté dans le bel hôtel particulier du musée Jacquemart-André à Paris. Peintre du XVIIe siècle à la production rare, on lui connait une quarantaine d'œuvres dont on peut voir plus de la moitié dans l'exposition. Des tableaux où l'artiste se joue avec virtuosité du noir et de la lumière, ce qui lui vaut le surnom de « Caravage français ». L'artiste célèbre de son vivant tombe ensuite dans l'oubli pour être redécouvert au début du XXe siècle. ► Exposition Georges de La Tour, entre ombre et lumière, du 11 septembre 2025 au 25 janvier 2026
Depuis la Révolution, nous avons connu pas moins de cinq républiques, deux empires, deux monarchies. Et tout cela vient de très, très loin. Quelle conscience en avons-nous ? Comment se construit la mémoire de notre histoire de France ? Les succès des Journées du patrimoine ou des Rendez-vous de l'histoire de Blois témoignent d'une véritable passion française pour l'histoire mais de quelle histoire parlons-nous ? Que nous apprennent l'histoire récente ? Devons-nous vraiment déboulonner les statues anciennes qui ont concouru à construire notre univers mental ? Ce que nous avons appris à l'école est-il toujours vrai ? Mais qu'est-ce qui est vrai en histoire ?Frédéric Mounier reçoit :- Éric Anceau, historien, spécialiste reconnu du Second Empire et de Napoléon III ainsi que de la laïcité, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Lorraine, il a dirigé l'ouvrage "Nouvelle histoire de France" (éd. Passés composés, 2025)- Didier Le Fur, historien, spécialiste des XVI et XVIIe siècles, biographe de François Ier (éd. Perrin, 2018), co-auteur de "Nouvelle histoire de France". Retrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de culture ci-dessous :Visages : https://audmns.com/YNRfPcJJuste ciel · RCF Cœur de Champagne : https://audmns.com/TyoHCKoLa suite de l'Histoire : https://audmns.com/IlGYVbxLa suite de l'Histoire, l'intégrale : https://audmns.com/vwgmJNuTous mélomanes : https://audmns.com/oZJUpqCMarche & rêve : 8 personnalités transformées par la marche : https://audmns.com/fLjYOLLEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, on adore les jolies formules pour désigner nos villes : on appelle Marseille “la cité phocéenne”, Toulouse est “la ville rose” et Paris, “la ville lumière”. Ces surnoms sont souvent liés à une histoire riche, comme l'héritage antique de Marseille ou l'installation d'un éclairage public au XVIIe siècle pour Paris. Évidemment, ces belles dénominations sont plutôt réservées aux guides de voyage et aux campagnes de communication pour booster le tourisme, les habitants préfèrent l'argot pour désigner leur ville. Paris s'est appelée Pantruche, Parouart, Pampeluche…mais s'il y a bien un surnom qui a traversé les époques, c'est Paname. Depuis quand ce surnom existe-t-il ? Et d'où vient-il ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. Première diffusion : avril 2024 À écouter aussi : Qu'est-ce que le syndrome de Paris, ce sentiment étrange qui touche les touristes ? Qu'est-ce que la méthode SMART, pour combattre le stress ? Qu'est-ce que la Commune de Paris ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
A la fin du XVIIe siècle, le couvent de Moret compte une religieuse noire sur laquelle court une folle rumeur : elle serait de sang royal. C'est le point de départ d'une énigme qui a fasciné des générations d'auteurs, dont le grand Voltaire. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:20 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Le Musée Jacquemart-André célèbre l'un des maîtres du XVIIe siècle avec une exposition unique consacrée à Georges de La Tour. Le musée poursuit son voyage au cœur du caravagisme en offrant une plongée inédite dans l'univers lumineux et profondément spirituel de cet artiste majeur. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.; Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition
Après trois siècles d'une éclipse à peu près totale, l'un des grands peintres du XVIIe siècle est redécouvert au début du XXe. Est-ce à dire que nous savons précisément qui fut Georges de La Tour ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après trois siècles d'une éclipse à peu près totale, l'un des grands peintres du XVIIe siècle est redécouvert au début du XXe. Est-ce à dire que nous savons précisément qui fut Georges de La Tour ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ligue des champions : deux points perdus pour le Slavia pour commencer, mais un nouveau héros sénégalais gagné - Orbis Pictus de Comenius, le « best-seller » du XVIIe siècle enfin traduit en français
Ligue des champions : deux points perdus pour le Slavia pour commencer, mais un nouveau héros sénégalais gagné - Orbis Pictus de Comenius, le « best-seller » du XVIIe siècle enfin traduit en français
Répliquant à la phrase de François Hollande, disant qu'il condamne les outrances et débordements de LFI, mais il ne les met pas en équivalence avec le RN qui promet la discrimination et la préférence nationale. Ruth Elkrief nous met en garde de ne pas nous tromper. Du côté de LFI, est-ce vraiment de critiquer la démocratie représentative et de défendre un système de l'irrévocable ? On découvre dans un document laissé par François Bayrou, après-coup, qu'il y avait bien d'autres pistes pour faire des économies, en particulier, sur les ruptures conventionnelles. Il y en a, aujourd'hui, plus de 45 000 par mois. C'est-à-dire, plus de 500 000 par an. Elle est en croissance continue depuis sa création en 2008. Selon François Lenglet, il faut agir sur ce sujet. Comme les libéraux anglais, ils ont abandonné le drapeau, les hymnes nationaux, le patriotisme à l'extrême droite, de peur de faire leur jeu. Depuis les années 2000, Abnousse Shalmani voit un glissement de la liberté d'expression, qui est pourtant un acquis depuis la glorieuse révolution anglaise du XVIIe siècle, une espèce d'abandon suicidaire à l'extrême droite. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Guillaume Perrault reçoit l'historien spécialiste des Pays-Bas, Christophe de Voogd, auteur de "L'histoire des Pays-Bas, des origines à nos jours" chez Fayard, ainsi que Charles-Edouard Levillain, historien de l'Europe moderne et auteur de "Vaincre Louis XIV aux éditions Champ Vallon.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:29:07 - Relax ! du jeudi 11 septembre 2025 - par : Lionel Esparza - Petit voyage dans le monde du caprice, un genre musical très en vogue du XVIIe au XIXe siècle, reconnaissable par sa forme libre, sa rapidité et bien souvent sa virtuosité redoutable, à l'instar de ceux de Frescobaldi ou Paganini. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :François Bayrou, Premier ministre, tente de convaincre de la nécessité de réduire la dette publique et fait des concessions sur la suppression des jours fériés, faisant face à l'opposition du Parti Socialiste et du Rassemblement National.Une rave party illégale est organisée dans l'Aude, au milieu des zones ravagées par les incendies de l'été, indignant les habitants de la région.La rentrée scolaire s'accompagne de nouvelles mesures comme l'interdiction du portable au collège et la réforme du contrôle continu pour le baccalauréat.Des squats de migrants se multiplient en France, facilitées par les connexions entre le milieu associatif et la mouvance contestataire, créant des tensions dans certaines villes.Une bande dessinée retrace l'histoire rocambolesque du crâne de René Descartes, l'un des plus grands penseurs français du XVIIe siècle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :François Bayrou, Premier ministre, tente de convaincre de la nécessité de réduire la dette publique et fait des concessions sur la suppression des jours fériés, faisant face à l'opposition du Parti Socialiste et du Rassemblement National.Une rave party illégale est organisée dans l'Aude, au milieu des zones ravagées par les incendies de l'été, indignant les habitants de la région.La rentrée scolaire s'accompagne de nouvelles mesures comme l'interdiction du portable au collège et la réforme du contrôle continu pour le baccalauréat.Des squats de migrants se multiplient en France, facilitées par les connexions entre le milieu associatif et la mouvance contestataire, créant des tensions dans certaines villes.Une bande dessinée retrace l'histoire rocambolesque du crâne de René Descartes, l'un des plus grands penseurs français du XVIIe siècle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:28:47 - En pistes ! du lundi 25 août 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - L'Accademia del Piacere et Fahmi Alqhai mettent en lumière les influences chrétiennes, musulmanes, juives et américaines de la musique espagnole des XVIe et XVIIe siècles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:47 - En pistes ! du lundi 25 août 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - L'Accademia del Piacere et Fahmi Alqhai mettent en lumière les influences chrétiennes, musulmanes, juives et américaines de la musique espagnole des XVIe et XVIIe siècles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cet épisode, Muriel Gilbert explique pourquoi l'année 1789 appartient au XVIIIe siècle et non au XVIIe. Elle aborde le concept de décalage des siècles, l'absence d'année zéro et donne des astuces pour déterminer le siècle d'une année donnée. L'émission se termine sur une note musicale avec une référence à une chanson de Pierre Bachelet.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Moulay Ismaïl, sultan du Maroc au XVIIe siècle, incarne un souverain impitoyable et visionnaire, déterminé à affirmer sa domination. Fondateur de la dynastie alaouite, il mène un règne de fer, marqué par une centralisation du pouvoir et la construction d'une armée redoutée. Son autorité s'étend sur tout le royaume, mais c'est sa politique de terreur et de contrôle qui forge sa légende. À la fois conquérant et bâtisseur, Moulay Ismaïl laisse une empreinte durable sur l'histoire du Maroc, où sa quête de pouvoir absolu et ses méthodes autoritaires le rendent aussi craint et respecté."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Antoine de Meaux.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine Boudalier Montage : Johanna Lalonde Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Cet été, découvrez le meilleur d'Au cœur de l'Histoire, avec Virginie Girod ! Depuis le XVIIe siècle, le château de Versailles est associé à la monarchie française. Mais saviez-vous que depuis la seconde partie du XIXe siècle, la demeure de Louis XIV est également un haut lieu de la République ? En 1875, dans l'aile du Midi, un grand hémicycle est construit en six mois. La salle du Congrès doit accueillir les parlementaires, alors que le gouvernement a quitté Paris. Quatorze présidents de la République y seront élus. 150 ans après les lois constitutionnelles qui entérinent la proclamation de la IIIe République, Virginie Girod vous emmène en visite guidée dans ce lieu incontournable de la vie parlementaire française, en compagnie de Frédéric Lacaille, conservateur en chef, chargé des peintures du XIXe siècle et des Galeries Historiques au château de Versailles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:43 - Une histoire particulière - par : Lily Cornaert - Dans la petite ville de Cadillac-sur-Garonne se dresse un imposant château construit au XVIIe siècle. Après avoir abrité la première prison pour femmes de France, il devient une école de préservation, un lieu d'enfermement pour « mauvaises filles ». - réalisation : Véronique Samouiloff - invités : Véronique Blanchard Historienne, enseignante-chercheuse à l'Université d'Angers; Agnès Geoffray Plasticienne, photographe; Sophie Mendelsohn Psychanalyste; Olivier Du Payrat Administrateur du Centre des monuments nationaux en charge du château ducal de Cadillac
durée : 00:28:43 - Une histoire particulière - par : Lily Cornaert - Dans la petite ville de Cadillac-sur-Garonne se dresse un imposant château construit au XVIIe siècle. Après avoir abrité la première prison pour femmes de France, il devient une école de préservation, un lieu d'enfermement pour « mauvaises filles ». - réalisation : Véronique Samouiloff - invités : Véronique Blanchard Historienne, enseignante-chercheuse à l'Université d'Angers; Agnès Geoffray Plasticienne, photographe; Sophie Mendelsohn Psychanalyste; Olivier Du Payrat Administrateur du Centre des monuments nationaux en charge du château ducal de Cadillac
durée : 00:58:30 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Louis XIV accède au pouvoir en 1643. En 1658, Molière conquiert Paris, et bientôt la cour, où il devient l'un des artistes attitrés du Roi-Soleil. Quels sont les rapports de Molière avec le pouvoir absolu ? En quoi éclairent-ils les liens entre théâtre et politique au temps du Grand Siècle ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Patrick Dandrey Professeur émérite de littérature française du XVIIe siècle à Sorbonne Université; Thierry Sarmant Conservateur général aux Archives nationales
REDIFF - Le Batavia est l'un des navires les plus imposants du XVIIe siècle. Pourtant, lors de son voyage inaugural, il se brise sur un récif perdu au cœur de l'Océan Indien. Sur les 350 passagers, seuls quelques dizaines survivront, coupés du monde sur un îlot désertique avec, parmi eux, un psychopathe sanguinaire. Là-bas, les malheureux naufragés deviendront du gibier. Plongez dans les flots ténébreux et revivez la tragédie du Batavia. Crédits : Lorànt Deutsch, Emma Locatelli. Tout l'été, retrouvez l'inimitable Lorànt Deutsch pour vous révéler les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'une des figures les plus atypiques du XVIIe siècle fut sans conteste l'aventurier Jean-Baptiste Tavernier, qui parcourut le monde à la recherche de pierres précieuses. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a eu 350 ans, Vatel, le grand organisateur des fêtes du XVIIe siècle, se donnait la mort pour n'avoir pu satisfaire le roi…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'histoire des sociétés secrètes modernes commence dans l'Allemagne du début du XVIIe siècle avec la circulation de manifestes mystérieux qui annoncent l'existence d'une confrérie invisible aux pouvoirs prodigieux. Ses membres affirment être en mesure de sauver l'Europe d'une destruction imminente. Cette révélation se répand comme une traînée de poudre : c'est la « révolution Rose-Croix » qui embrase en quelques années le continent tout entier. Depuis quatre siècles, l'intérêt pour ces confréries n'a jamais faibli et l'emblématique phénix renaît sans cesse de ses cendres.Des premiers Rose-Croix aux actuels Anonymous, en passant par les Francs-maçons, les Illuminati, les Carbonari, les sinistres membres du Ku Klux Klan, la Loge P2 ou QAnon, tous se revendiquent maîtres des secrets. Pierre-Yves Beaurepaire, spécialiste de l'histoire de la franc-maçonnerie, nous raconte ce monde où les limites entre réalité et fiction s'estompent en une source intarissable d'intrigues, de scénarios improbables ou de fake news.L'auteur, l'historien Pierre-Yves Beaurepaire, est avec nous en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern plonge dans le canal du Midi ou plutôt dans l'histoire de ce canal, le plus grand projet d'ingénierie du XVIIe siècle qui a permis de relier l'océan Atlantique à la mer Méditerranée, un projet titanesque sorti de l'imagination d'un certain Pierre-Paul Riquet, soutenu par le roi Louis XIV qui signe là, après Versailles, l'autre grande réalisation de son règne… Qui était Pierre-Paul Riquet ? Comment a-t-il eu l'idée d'un chantier d'une telle ampleur au XVIIème siècle ? En quoi le canal du Midi est-il devenu un point géographique stratégique ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Gérard Crevon, historien, spécialiste du canal du Midi et auteur de "Pierre-Paul Riquet, l'audace et la ténacité" (Editions Vérone) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Guillaume Vasseau. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Pierre-Vincent Letourneau. Journaliste : Clara Leger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern plonge dans le canal du Midi ou plutôt dans l'histoire de ce canal, le plus grand projet d'ingénierie du XVIIe siècle qui a permis de relier l'océan Atlantique à la mer Méditerranée, un projet titanesque sorti de l'imagination d'un certain Pierre-Paul Riquet, soutenu par le roi Louis XIV qui signe là, après Versailles, l'autre grande réalisation de son règne… Qui était Pierre-Paul Riquet ? Comment a-t-il eu l'idée d'un chantier d'une telle ampleur au XVIIème siècle ? En quoi le canal du Midi est-il devenu un point géographique stratégique ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Gérard Crevon, historien, spécialiste du canal du Midi et auteur de "Pierre-Paul Riquet, l'audace et la ténacité" (Editions Vérone) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Guillaume Vasseau. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Pierre-Vincent Letourneau. Journaliste : Clara Leger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans ce nouvel épisode d'«Au Cœur de l'Histoire» ! Ce matin, nous vous emmenons à la rencontre d'un personnage clé du XVIIe siècle français : Henri de La Tour d'Auvergne, plus connu sous le nom de maréchal de Turenne.Dès son plus jeune âge, Turenne baigne dans un environnement marqué par les conflits. Né dans une famille protestante, il grandit au cœur de la guerre de Trente Ans, un vaste conflit qui ravage l'Europe pendant trois décennies. Très jeune, il manifeste des qualités de stratège et d'organisateur qui ne tardent pas à être remarquées. Après avoir fait ses armes auprès de son oncle aux Pays-Bas, il rejoint l'armée française et gravit rapidement les échelons, devenant l'un des plus brillants généraux de son temps.Sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, Turenne va jouer un rôle déterminant dans les conflits qui opposent la France à l'Espagne et à l'Autriche. Ses victoires décisives, notamment lors de la guerre de Hollande, lui valent une renommée sans égale. Tacticien hors pair, Turenne privilégie une approche indirecte, cherchant à désorganiser et à surprendre l'ennemi plutôt que de l'affronter de front.
Bienvenue dans ce nouvel épisode d'«Au Cœur de l'Histoire» ! Ce matin, nous vous emmenons à la rencontre d'un personnage clé du XVIIe siècle français : Henri de La Tour d'Auvergne, plus connu sous le nom de maréchal de Turenne.Dès son plus jeune âge, Turenne baigne dans un environnement marqué par les conflits. Né dans une famille protestante, il grandit au cœur de la guerre de Trente Ans, un vaste conflit qui ravage l'Europe pendant trois décennies. Très jeune, il manifeste des qualités de stratège et d'organisateur qui ne tardent pas à être remarquées. Après avoir fait ses armes auprès de son oncle aux Pays-Bas, il rejoint l'armée française et gravit rapidement les échelons, devenant l'un des plus brillants généraux de son temps.Sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, Turenne va jouer un rôle déterminant dans les conflits qui opposent la France à l'Espagne et à l'Autriche. Ses victoires décisives, notamment lors de la guerre de Hollande, lui valent une renommée sans égale. Tacticien hors pair, Turenne privilégie une approche indirecte, cherchant à désorganiser et à surprendre l'ennemi plutôt que de l'affronter de front.
Imaginez être convaincu que votre corps est fait de verre. Que chaque contact pourrait vous fissurer. Que vous risquez, à tout moment, de vous briser en mille morceaux. Voilà ce qu'éprouvent les personnes souffrant de ce que l'on appelle l'illusion de verre, ou délire de verre. Ce trouble psychiatrique, aussi rare qu'étrange, appartient à une forme ancienne de trouble délirant somatique : les individus croient que leur corps est physiquement altéré, ici remplacé par une matière aussi fragile que le verre.Ce phénomène a été principalement observé en Europe, entre le XVe et le XVIIe siècle, et de manière surprenante, il toucha surtout des membres de la noblesse ou de la royauté. Le cas le plus célèbre est sans doute celui de Charles VI de France, surnommé plus tard Charles le Fol. Le roi, qui régna de 1380 à 1422, souffrit d'épisodes de démence tout au long de sa vie. À partir de 1392, il connut plusieurs crises violentes, dont certaines le plongeaient dans des états délirants profonds. À l'une de ces périodes, il affirma être fait de verre. Persuadé qu'un simple choc pourrait provoquer sa désintégration, il refusa tout contact physique, évita les foules, et fit aménager un véhicule rempli de coussins pour se déplacer en toute "sécurité". Il allait même jusqu'à refuser de s'asseoir sans précaution, de peur de se casser.Ce délire peut sembler absurde, mais il illustre bien la façon dont certaines pathologies mentales peuvent modifier la perception que l'on a de son propre corps. Dans le cas de l'illusion de verre, il s'agit d'un délire hypochondriaque extrême : le patient n'a pas seulement peur de tomber malade, il est convaincu d'une transformation radicale de sa constitution physique. Ce trouble s'inscrit dans une catégorie plus large de syndromes psychosomatiques historiques, au même titre que la mélancolie noire, l'hystérie ou encore le syndrome de Cotard, où l'on croit être déjà mort.Pourquoi cette illusion a-t-elle émergé à cette époque précise ? Certains historiens y voient un effet de contexte. La noblesse, souvent élevée dans l'oisiveté et le rituel, vivait dans un monde symbolique où la fragilité, la pureté et l'apparence comptaient énormément. Le verre, à la fois précieux, transparent et fragile, pouvait alors devenir une métaphore du corps aristocratique menacé par un monde brutal.Aujourd'hui, ce trouble a pratiquement disparu, mais il reste une illustration marquante de la façon dont l'esprit humain, sous l'effet du stress ou de troubles mentaux, peut reconfigurer le réel de manière radicale. L'illusion de verre nous rappelle que la frontière entre le corps et l'imaginaire peut parfois être aussi fine… qu'une feuille de cristal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes en 1590, en Castille, au palais-monastère de Saint-Laurent de l'Escurial, résidence du roi Philippe II, à quelques kilomètres de Madrid. C'est cette année-là que commence la réalisation d'une fresque représentant la première batailles de Gravelines. Celle qui eut lieu en 1558, dans l'imposante ville du nord de la France, et qui vit la victoire de l'armée espagnole, commandée par le comte d'Egmont, sur l'armée française du maréchal de Thermes. Une fois la fresque achevée, un an plus tard, on voit nettement se détacher, au premier plan, à l'écart du champ de bataille principal, un homme dont le costume tranche avec les armures des chevaliers. Il marche seul, une épée au côté gauche et un chapeau à plume blanche vissé sur la tête. Il tient, dans la main droite, une dépêche. Ce personnage est, en réalité, un courrier, fonction essentielle à la circulation de l'information militaire et politique. Il est l'un des maillon essentiel de l'administration sous l'ancien régime. Cette administration qui est aussi l'expression et le lieu de transmission du pouvoir royal. Transmission qui passe par la figure du ministre. Alors en quoi, ce ministre est-il ce que l'on peut appeler le « troisième corps du roi « ? Quels sont les deux autres corps ? Quelles est la puissance de l'écrit et de l'image dans la communication politique et diplomatique aux XVIe et XVIIe siècles ? Jérémie Ferrer-Bartomeu, chargé de recherche du FRS-FRNS à l'Université de Liège et à l'Université catholique de Louvain. Article « La figure du ministre ou le troisième corps du roi » in « La part de l'œil », numéro 39, 2025. + « L'Etat à la lettre – Ecrit politique et société administrative en France au temps des guerres de religion » ; éd. Champ Vallon. Sujets traités : Philippe II, Gravelines, Richelieu, Ministre, Roi, politique, transmission Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des espions à Cambridge, le plus grand corsaire du XVIIe siècle, un siècle entier de guerre en Europe, ou encore le compositeur préféré de Louis XIV... Découvrez le programme de la semaine du 16 au 20 juin 2025. Chaque dimanche dans un podcast inédit, au micro de Chloé Lacrampe, Lorànt Deutsch présente le programme à venir dans "Entrez dans l'Histoire". Retrouvez l'émission du lundi au vendredi, de 15h à 15h30 sur RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La semaine dernière, j'ai passé les portes de la Sorbonne, la célèbre université, la plus ancienne de France qui existe depuis le XIIIe siècle. J'y allais pour rencontrer le linguiste Gilles Siouffi qui vient d'écrire un livre sur l'histoire linguistique de Paris. Son livre s'intitule « Paris Babel ». J'ai adoré ce livre qui se lit comme un roman et qui permet de s'approprier l'histoire du français comme on ne nous l'a jamais racontée. Un siècle très important dans l'histoire du français, c'est le XVIIe siècle. On se bat pour savoir qui a le meilleur français. C'est ce que Gilles Siouffi va nous expliquer dans l'épisode d'aujourd'hui. Il va aussi nous parler des modes de prononciations. www.onethinginafrenchday.com #frenchcourtlanguage #versaillesfrench #17thcenturyfrench #frenchpronunciationhistory #sociallanguagetrendsfrance #frenchclassdistinctions #parisvsversailles #frenchlanguagefashions #historicalfrenchspeech #frenchlinguisticsorbonne
Last week, I walked through the doors of the Sorbonne, the famous university, the oldest in France, which has been in existence since the 13th century. I was there to meet linguist Gilles Siouffi, who has just written a book on the linguistic history of Paris. His book is called ‘Paris Babel'. I loved this book, which reads like a novel and allows us to take a closer look at the history of French as it has never been told before. The seventeenth century is a very important century in the history of French. People fight over who has the best French. That's what Gilles Siouffi will be explaining in today's episode. He'll also talk about pronunciation patterns. The interview with Gilles Siouffi will be available in full on One Thing In A French Day, so be sure to tune in. In the notes that accompany the podcast, we'll look at three natural turns of phrase in French. We'll also develop a strategy for learning a verb quoted in the text, which is very useful in everyday French. So, to cultivate your ‘bon' French, I invite you to subscribe to the podcast notes. www.cultivateyourfrench.com #frenchcourtlanguage #versaillesfrench #17thcenturyfrench #frenchpronunciationhistory #sociallanguagetrendsfrance #frenchclassdistinctions #parisvsversailles #frenchlanguagefashions #historicalfrenchspeech #frenchlinguisticsorbonne
Vous avez sûrement déjà entendu cette expression : "C'est le b.a.-ba." Elle sert à désigner ce qu'il y a de plus simple, de plus élémentaire dans un domaine. Mais d'où vient cette curieuse formule ?Eh bien, pour le comprendre, il faut remonter à une époque où apprendre à lire était tout sauf évident. Pendant des siècles, l'apprentissage de la lecture commençait par la mémorisation de l'alphabet. Et pour cela, on utilisait ce qu'on appelait un abécédaire. C'était souvent un petit livre ou une planche sur laquelle figuraient les lettres de l'alphabet accompagnées de syllabes simples.Or, comment apprenait-on à associer les lettres pour former des sons ? En les combinant deux par deux. On enseignait par exemple :B + A = BAC + A = CAD + A = DA, et ainsi de suite.On commençait donc littéralement par : B.A.D'où l'expression b.a.-ba, qui évoque ce tout premier pas dans l'apprentissage de la lecture. C'était le socle, la base absolue, le point de départ de toute connaissance. Au fil du temps, cette formule est passée dans le langage courant pour désigner non plus seulement les rudiments de la lecture, mais ceux de n'importe quel domaine : le b.a.-ba de la cuisine, le b.a.-ba de l'astronomie, le b.a.-ba de la photographie…On la retrouve dès le Moyen Âge dans des textes pédagogiques, et surtout à partir du XVIIe siècle, époque où l'instruction primaire commence à se développer davantage en Europe. L'expression va peu à peu s'imposer dans le français courant.Petite anecdote amusante : en anglais ou en allemand, c'est diffétrent, on utilise encore aujourd'hui une autre expression "l'ABC" ou les ABCs pour parler des bases d'un sujet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La réponse se trouve dans l'histoire… et dans la logique !Commençons par le constat : en français, nous avons des systèmes de numération un peu… hybrides. Jusqu'à 69, tout est régulier : soixante-neuf, pas de souci. Mais ensuite, les choses se compliquent : on passe à "soixante-dix" (soixante + dix), puis "quatre-vingt" (4 x 20), "quatre-vingt-dix" (4 x 20 + 10). D'où vient ce casse-tête ?Cela remonte au Moyen Âge. À cette époque, en français, plusieurs systèmes de comptage coexistaient. Il y avait le système décimal (basé sur 10), plus simple, et le système vicésimal (basé sur 20), hérité des Celtes et des Normands. Dans certaines régions de France, notamment au nord-ouest, le système vicésimal était courant : on comptait en "vingtaines". C'est ce qui a donné "quatre-vingts", resté dans l'usage en France.Mais en Belgique, en Suisse et dans certaines régions de France (par exemple en Savoie), c'est le système décimal qui a prévalu : "septante", "octante" (anciennement), "nonante". Ces formes sont claires, régulières et en usage depuis longtemps dans ces régions.Alors pourquoi la France a-t-elle gardé les formes complexes ? Cela vient en partie de la centralisation de la langue sous l'Ancien Régime, puis sous la Révolution. Le français "standard" s'est fixé à Paris, où le système vicésimal était dominant. Avec l'école républicaine et l'imprimerie, ce modèle s'est imposé dans toute la France.En revanche, la Belgique, indépendante depuis 1830, a gardé une plus grande liberté linguistique. Le français belge s'est appuyé sur des formes plus régulières, plus claires : "septante", "nonante". Le même phénomène s'observe en Suisse romande.Fait amusant : au XVIIe siècle, même en France, des grammairiens recommandaient "septante" et "nonante", jugés plus logiques ! Mais l'usage parisien l'a emporté.En résumé : les Belges (et les Suisses) disent "septante" et "nonante" car ils ont conservé un système décimal ancien, plus cohérent. Les Français, eux, sont restés fidèles à un héritage médiéval basé sur le système vicésimal. Une petite différence qui raconte toute une histoire de la langue ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On lui a donné les surnoms de « Prince des pirates » et « Robin des Bois des mers » : C'est dire si le jeune Samuel Bellamy, au début du XVIIe siècle, s'est fait un nom dans l'univers de la piraterie.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:52:19 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Si les pollutions dues aux activités artisanales ont toujours existé en milieu urbain comme rural, l'essor de l'industrie textile aux XVIIe et XVIIIe siècles aggrave la pollution des eaux. Quelles réglementations ont été mises en place pour limiter leur impact sur les hommes et sur l'environnement ? - réalisation : Laurence Millet - invités : Jean-François Belhoste Directeur d'études en sciences historiques et philologiques à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE); Thomas Le Roux Historien de l'environnement, chargé de recherches au CNRS et directeur du Centre de recherches historiques, spécialiste des risques et des pollutions industriels
Symbole de rébellion, de résistance et d'attachement aux libertés locales, le bonnet rouge est devenu un signe emblématique en Bretagne. Mais cette coiffe de feutre n'a pas toujours été associée aux radars routiers ou aux taxes écologiques, comme lors du mouvement des Bonnets rouges en 2013. Pour comprendre son origine, il faut remonter au XVIIe siècle, et plus précisément à l'année 1675.À cette époque, la Bretagne est plongée dans un climat social explosif. Le royaume de Louis XIV est en guerre contre la Hollande, et pour financer ce conflit, la monarchie multiplie les impôts. Parmi ces nouvelles taxes, certaines frappent de plein fouet la Bretagne, pourtant dotée d'un statut particulier : la province bénéficiait de privilèges fiscaux garantis par le traité d'union de 1532, qui avait scellé son rattachement à la France.Mais en 1675, ces engagements sont bafoués. Le roi impose sans concertation plusieurs nouveaux impôts : une taxe sur le papier timbré, indispensable pour les actes juridiques, une autre sur le tabac, et même une taxe sur la vaisselle d'étain. C'est la goutte de trop. De nombreuses villes se soulèvent : Rennes, Nantes, Quimper, Carhaix... et surtout les campagnes du Léon et de Cornouaille.C'est là que le bonnet rouge entre en scène. Les paysans insurgés, armés de fourches, de bâtons et de haches, se rassemblent sous une même couleur : celle de leur bonnet. Le rouge est alors courant chez les gens modestes, en particulier chez les marins et les paysans. Il devient un signe de ralliement autant qu'un symbole de colère. Ces hommes rejettent l'injustice fiscale mais aussi l'autoritarisme royal et la remise en cause des droits bretons.La révolte, qu'on appellera plus tard la Révolte du papier timbré, est sévèrement réprimée par la monarchie. Des villages sont incendiés, les meneurs exécutés ou envoyés aux galères, et les privilèges bretons sont encore plus réduits par la suite. Mais dans la mémoire populaire, l'image du bonnet rouge demeure.Au fil des siècles, il est ressorti à chaque époque où les Bretons se sentent trahis, méprisés ou menacés dans leurs identités ou leurs droits. C'est ainsi qu'il a refait surface en 2013 lors du mouvement contre l'écotaxe, porté par des entrepreneurs, des agriculteurs et des citoyens bretons. Le bonnet rouge, vieux de plus de trois siècles, restait ce qu'il a toujours été : un symbole de révolte enraciné dans l'histoire et le sol breton. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Symbole de rébellion, de résistance et d'attachement aux libertés locales, le bonnet rouge est devenu un signe emblématique en Bretagne. Mais cette coiffe de feutre n'a pas toujours été associée aux radars routiers ou aux taxes écologiques, comme lors du mouvement des Bonnets rouges en 2013. Pour comprendre son origine, il faut remonter au XVIIe siècle, et plus précisément à l'année 1675.À cette époque, la Bretagne est plongée dans un climat social explosif. Le royaume de Louis XIV est en guerre contre la Hollande, et pour financer ce conflit, la monarchie multiplie les impôts. Parmi ces nouvelles taxes, certaines frappent de plein fouet la Bretagne, pourtant dotée d'un statut particulier : la province bénéficiait de privilèges fiscaux garantis par le traité d'union de 1532, qui avait scellé son rattachement à la France.Mais en 1675, ces engagements sont bafoués. Le roi impose sans concertation plusieurs nouveaux impôts : une taxe sur le papier timbré, indispensable pour les actes juridiques, une autre sur le tabac, et même une taxe sur la vaisselle d'étain. C'est la goutte de trop. De nombreuses villes se soulèvent : Rennes, Nantes, Quimper, Carhaix... et surtout les campagnes du Léon et de Cornouaille.C'est là que le bonnet rouge entre en scène. Les paysans insurgés, armés de fourches, de bâtons et de haches, se rassemblent sous une même couleur : celle de leur bonnet. Le rouge est alors courant chez les gens modestes, en particulier chez les marins et les paysans. Il devient un signe de ralliement autant qu'un symbole de colère. Ces hommes rejettent l'injustice fiscale mais aussi l'autoritarisme royal et la remise en cause des droits bretons.La révolte, qu'on appellera plus tard la Révolte du papier timbré, est sévèrement réprimée par la monarchie. Des villages sont incendiés, les meneurs exécutés ou envoyés aux galères, et les privilèges bretons sont encore plus réduits par la suite. Mais dans la mémoire populaire, l'image du bonnet rouge demeure.Au fil des siècles, il est ressorti à chaque époque où les Bretons se sentent trahis, méprisés ou menacés dans leurs identités ou leurs droits. C'est ainsi qu'il a refait surface en 2013 lors du mouvement contre l'écotaxe, porté par des entrepreneurs, des agriculteurs et des citoyens bretons. Le bonnet rouge, vieux de plus de trois siècles, restait ce qu'il a toujours été : un symbole de révolte enraciné dans l'histoire et le sol breton. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A la fin du XVIIe siècle, le couvent de Moret compte une religieuse noire sur laquelle court une folle rumeur : elle serait de sang royal. C'est le point de départ d'une énigme qui a fasciné des générations d'auteurs, dont le grand Voltaire.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.