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Après trois siècles d'une éclipse à peu près totale, l'un des grands peintres du XVIIe siècle est redécouvert au début du XXe. Est-ce à dire que nous savons précisément qui fut Georges de La Tour ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ligue des champions : deux points perdus pour le Slavia pour commencer, mais un nouveau héros sénégalais gagné - Orbis Pictus de Comenius, le « best-seller » du XVIIe siècle enfin traduit en français
Ligue des champions : deux points perdus pour le Slavia pour commencer, mais un nouveau héros sénégalais gagné - Orbis Pictus de Comenius, le « best-seller » du XVIIe siècle enfin traduit en français
Répliquant à la phrase de François Hollande, disant qu'il condamne les outrances et débordements de LFI, mais il ne les met pas en équivalence avec le RN qui promet la discrimination et la préférence nationale. Ruth Elkrief nous met en garde de ne pas nous tromper. Du côté de LFI, est-ce vraiment de critiquer la démocratie représentative et de défendre un système de l'irrévocable ? On découvre dans un document laissé par François Bayrou, après-coup, qu'il y avait bien d'autres pistes pour faire des économies, en particulier, sur les ruptures conventionnelles. Il y en a, aujourd'hui, plus de 45 000 par mois. C'est-à-dire, plus de 500 000 par an. Elle est en croissance continue depuis sa création en 2008. Selon François Lenglet, il faut agir sur ce sujet. Comme les libéraux anglais, ils ont abandonné le drapeau, les hymnes nationaux, le patriotisme à l'extrême droite, de peur de faire leur jeu. Depuis les années 2000, Abnousse Shalmani voit un glissement de la liberté d'expression, qui est pourtant un acquis depuis la glorieuse révolution anglaise du XVIIe siècle, une espèce d'abandon suicidaire à l'extrême droite. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Guillaume Perrault reçoit l'historien spécialiste des Pays-Bas, Christophe de Voogd, auteur de "L'histoire des Pays-Bas, des origines à nos jours" chez Fayard, ainsi que Charles-Edouard Levillain, historien de l'Europe moderne et auteur de "Vaincre Louis XIV aux éditions Champ Vallon.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:29:07 - Relax ! du jeudi 11 septembre 2025 - par : Lionel Esparza - Petit voyage dans le monde du caprice, un genre musical très en vogue du XVIIe au XIXe siècle, reconnaissable par sa forme libre, sa rapidité et bien souvent sa virtuosité redoutable, à l'instar de ceux de Frescobaldi ou Paganini. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Dans cette édition :François Bayrou, Premier ministre, tente de convaincre de la nécessité de réduire la dette publique et fait des concessions sur la suppression des jours fériés, faisant face à l'opposition du Parti Socialiste et du Rassemblement National.Une rave party illégale est organisée dans l'Aude, au milieu des zones ravagées par les incendies de l'été, indignant les habitants de la région.La rentrée scolaire s'accompagne de nouvelles mesures comme l'interdiction du portable au collège et la réforme du contrôle continu pour le baccalauréat.Des squats de migrants se multiplient en France, facilitées par les connexions entre le milieu associatif et la mouvance contestataire, créant des tensions dans certaines villes.Une bande dessinée retrace l'histoire rocambolesque du crâne de René Descartes, l'un des plus grands penseurs français du XVIIe siècle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :François Bayrou, Premier ministre, tente de convaincre de la nécessité de réduire la dette publique et fait des concessions sur la suppression des jours fériés, faisant face à l'opposition du Parti Socialiste et du Rassemblement National.Une rave party illégale est organisée dans l'Aude, au milieu des zones ravagées par les incendies de l'été, indignant les habitants de la région.La rentrée scolaire s'accompagne de nouvelles mesures comme l'interdiction du portable au collège et la réforme du contrôle continu pour le baccalauréat.Des squats de migrants se multiplient en France, facilitées par les connexions entre le milieu associatif et la mouvance contestataire, créant des tensions dans certaines villes.Une bande dessinée retrace l'histoire rocambolesque du crâne de René Descartes, l'un des plus grands penseurs français du XVIIe siècle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le vide n'était pas vide ? Cette vidéo vous plonge dans un voyage captivant au cœur d'un paradoxe de la physique quantique. Loin d'être une simple absence, le vide se révèle être un océan invisible, plein d'énergie et de champs quantiques.Penser le néant est une illusion : dès qu'on tente de le concevoir, on le transforme en quelque chose. De la philosophie grecque, qui rejetait le vide, aux expériences de Torricelli et Pascal au XVIIe siècle, notre compréhension du vide a radicalement évolué. La physique quantique nous apporte la preuve que même un espace apparemment vide bouillonne de particules virtuelles, un phénomène mesuré grâce à l'effet Casimir ou au décalage de Lamb.Le champ de Higgs, omniprésent dans le vide, donne leur masse aux particules, rendant possible l'existence de la matière. Plus mystérieux encore, l'énergie du vide pourrait expliquer l'expansion accélérée de l'univers, liée à l'énigmatique énergie noire.Explorez avec nous comment ce « rien » cache un secret sur le fondement de tout. Le vide est la toile de fond de la réalité, une source d'énergie infini.
durée : 01:28:47 - En pistes ! du lundi 25 août 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - L'Accademia del Piacere et Fahmi Alqhai mettent en lumière les influences chrétiennes, musulmanes, juives et américaines de la musique espagnole des XVIe et XVIIe siècles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Dans cet épisode, Muriel Gilbert explique pourquoi l'année 1789 appartient au XVIIIe siècle et non au XVIIe. Elle aborde le concept de décalage des siècles, l'absence d'année zéro et donne des astuces pour déterminer le siècle d'une année donnée. L'émission se termine sur une note musicale avec une référence à une chanson de Pierre Bachelet.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Moulay Ismaïl, sultan du Maroc au XVIIe siècle, incarne un souverain impitoyable et visionnaire, déterminé à affirmer sa domination. Fondateur de la dynastie alaouite, il mène un règne de fer, marqué par une centralisation du pouvoir et la construction d'une armée redoutée. Son autorité s'étend sur tout le royaume, mais c'est sa politique de terreur et de contrôle qui forge sa légende. À la fois conquérant et bâtisseur, Moulay Ismaïl laisse une empreinte durable sur l'histoire du Maroc, où sa quête de pouvoir absolu et ses méthodes autoritaires le rendent aussi craint et respecté."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Antoine de Meaux.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine Boudalier Montage : Johanna Lalonde Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:27:13 - Florence Bolton, gambiste et fondatrice de l'ensemble La Rêveuse - "London, circa 1760" : quatrième et dernier volet d'un programme sur l'histoire de la musique instrumentale en Angleterre au XVIIe et XVIIIe siècle ; Florence Bolton, co-fondatrice de l'ensemble La Rêveuse, vient nous parler de cet ambitieux projet, fruit d'un long travail de recherche. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:11 - Musique matin été du vendredi 15 août 2025 - par : Gabrielle Oliveira-Guyon - "London, circa 1760" : quatrième et dernier volet d'un programme sur l'histoire de la musique instrumentale en Angleterre au XVIIe et XVIIIe siècle ; Florence Bolton, co-fondatrice de l'ensemble La rêveuse, vient nous parler de cet ambitieux projet, fruit d'un long travail de recherche. - réalisé par : Emmanuel Benito Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cet été, découvrez le meilleur d'Au cœur de l'Histoire, avec Virginie Girod ! Depuis le XVIIe siècle, le château de Versailles est associé à la monarchie française. Mais saviez-vous que depuis la seconde partie du XIXe siècle, la demeure de Louis XIV est également un haut lieu de la République ? En 1875, dans l'aile du Midi, un grand hémicycle est construit en six mois. La salle du Congrès doit accueillir les parlementaires, alors que le gouvernement a quitté Paris. Quatorze présidents de la République y seront élus. 150 ans après les lois constitutionnelles qui entérinent la proclamation de la IIIe République, Virginie Girod vous emmène en visite guidée dans ce lieu incontournable de la vie parlementaire française, en compagnie de Frédéric Lacaille, conservateur en chef, chargé des peintures du XIXe siècle et des Galeries Historiques au château de Versailles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:43 - Une histoire particulière - par : Lily Cornaert - Dans la petite ville de Cadillac-sur-Garonne se dresse un imposant château construit au XVIIe siècle. Après avoir abrité la première prison pour femmes de France, il devient une école de préservation, un lieu d'enfermement pour « mauvaises filles ». - réalisation : Véronique Samouiloff - invités : Véronique Blanchard Historienne, enseignante-chercheuse à l'Université d'Angers; Agnès Geoffray Plasticienne, photographe; Sophie Mendelsohn Psychanalyste; Olivier Du Payrat Administrateur du Centre des monuments nationaux en charge du château ducal de Cadillac
durée : 00:28:43 - Une histoire particulière - par : Lily Cornaert - Dans la petite ville de Cadillac-sur-Garonne se dresse un imposant château construit au XVIIe siècle. Après avoir abrité la première prison pour femmes de France, il devient une école de préservation, un lieu d'enfermement pour « mauvaises filles ». - réalisation : Véronique Samouiloff - invités : Véronique Blanchard Historienne, enseignante-chercheuse à l'Université d'Angers; Agnès Geoffray Plasticienne, photographe; Sophie Mendelsohn Psychanalyste; Olivier Du Payrat Administrateur du Centre des monuments nationaux en charge du château ducal de Cadillac
durée : 00:58:30 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Louis XIV accède au pouvoir en 1643. En 1658, Molière conquiert Paris, et bientôt la cour, où il devient l'un des artistes attitrés du Roi-Soleil. Quels sont les rapports de Molière avec le pouvoir absolu ? En quoi éclairent-ils les liens entre théâtre et politique au temps du Grand Siècle ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Patrick Dandrey Professeur émérite de littérature française du XVIIe siècle à Sorbonne Université; Thierry Sarmant Conservateur général aux Archives nationales
REDIFF - Le Batavia est l'un des navires les plus imposants du XVIIe siècle. Pourtant, lors de son voyage inaugural, il se brise sur un récif perdu au cœur de l'Océan Indien. Sur les 350 passagers, seuls quelques dizaines survivront, coupés du monde sur un îlot désertique avec, parmi eux, un psychopathe sanguinaire. Là-bas, les malheureux naufragés deviendront du gibier. Plongez dans les flots ténébreux et revivez la tragédie du Batavia. Crédits : Lorànt Deutsch, Emma Locatelli. Tout l'été, retrouvez l'inimitable Lorànt Deutsch pour vous révéler les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'une des figures les plus atypiques du XVIIe siècle fut sans conteste l'aventurier Jean-Baptiste Tavernier, qui parcourut le monde à la recherche de pierres précieuses. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a eu 350 ans, Vatel, le grand organisateur des fêtes du XVIIe siècle, se donnait la mort pour n'avoir pu satisfaire le roi…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'histoire des sociétés secrètes modernes commence dans l'Allemagne du début du XVIIe siècle avec la circulation de manifestes mystérieux qui annoncent l'existence d'une confrérie invisible aux pouvoirs prodigieux. Ses membres affirment être en mesure de sauver l'Europe d'une destruction imminente. Cette révélation se répand comme une traînée de poudre : c'est la « révolution Rose-Croix » qui embrase en quelques années le continent tout entier. Depuis quatre siècles, l'intérêt pour ces confréries n'a jamais faibli et l'emblématique phénix renaît sans cesse de ses cendres.Des premiers Rose-Croix aux actuels Anonymous, en passant par les Francs-maçons, les Illuminati, les Carbonari, les sinistres membres du Ku Klux Klan, la Loge P2 ou QAnon, tous se revendiquent maîtres des secrets. Pierre-Yves Beaurepaire, spécialiste de l'histoire de la franc-maçonnerie, nous raconte ce monde où les limites entre réalité et fiction s'estompent en une source intarissable d'intrigues, de scénarios improbables ou de fake news.L'auteur, l'historien Pierre-Yves Beaurepaire, est avec nous en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern plonge dans le canal du Midi ou plutôt dans l'histoire de ce canal, le plus grand projet d'ingénierie du XVIIe siècle qui a permis de relier l'océan Atlantique à la mer Méditerranée, un projet titanesque sorti de l'imagination d'un certain Pierre-Paul Riquet, soutenu par le roi Louis XIV qui signe là, après Versailles, l'autre grande réalisation de son règne… Qui était Pierre-Paul Riquet ? Comment a-t-il eu l'idée d'un chantier d'une telle ampleur au XVIIème siècle ? En quoi le canal du Midi est-il devenu un point géographique stratégique ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Gérard Crevon, historien, spécialiste du canal du Midi et auteur de "Pierre-Paul Riquet, l'audace et la ténacité" (Editions Vérone) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Guillaume Vasseau. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Pierre-Vincent Letourneau. Journaliste : Clara Leger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern plonge dans le canal du Midi ou plutôt dans l'histoire de ce canal, le plus grand projet d'ingénierie du XVIIe siècle qui a permis de relier l'océan Atlantique à la mer Méditerranée, un projet titanesque sorti de l'imagination d'un certain Pierre-Paul Riquet, soutenu par le roi Louis XIV qui signe là, après Versailles, l'autre grande réalisation de son règne… Qui était Pierre-Paul Riquet ? Comment a-t-il eu l'idée d'un chantier d'une telle ampleur au XVIIème siècle ? En quoi le canal du Midi est-il devenu un point géographique stratégique ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Gérard Crevon, historien, spécialiste du canal du Midi et auteur de "Pierre-Paul Riquet, l'audace et la ténacité" (Editions Vérone) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Guillaume Vasseau. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Pierre-Vincent Letourneau. Journaliste : Clara Leger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans ce nouvel épisode d'«Au Cœur de l'Histoire» ! Ce matin, nous vous emmenons à la rencontre d'un personnage clé du XVIIe siècle français : Henri de La Tour d'Auvergne, plus connu sous le nom de maréchal de Turenne.Dès son plus jeune âge, Turenne baigne dans un environnement marqué par les conflits. Né dans une famille protestante, il grandit au cœur de la guerre de Trente Ans, un vaste conflit qui ravage l'Europe pendant trois décennies. Très jeune, il manifeste des qualités de stratège et d'organisateur qui ne tardent pas à être remarquées. Après avoir fait ses armes auprès de son oncle aux Pays-Bas, il rejoint l'armée française et gravit rapidement les échelons, devenant l'un des plus brillants généraux de son temps.Sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, Turenne va jouer un rôle déterminant dans les conflits qui opposent la France à l'Espagne et à l'Autriche. Ses victoires décisives, notamment lors de la guerre de Hollande, lui valent une renommée sans égale. Tacticien hors pair, Turenne privilégie une approche indirecte, cherchant à désorganiser et à surprendre l'ennemi plutôt que de l'affronter de front.
Bienvenue dans ce nouvel épisode d'«Au Cœur de l'Histoire» ! Ce matin, nous vous emmenons à la rencontre d'un personnage clé du XVIIe siècle français : Henri de La Tour d'Auvergne, plus connu sous le nom de maréchal de Turenne.Dès son plus jeune âge, Turenne baigne dans un environnement marqué par les conflits. Né dans une famille protestante, il grandit au cœur de la guerre de Trente Ans, un vaste conflit qui ravage l'Europe pendant trois décennies. Très jeune, il manifeste des qualités de stratège et d'organisateur qui ne tardent pas à être remarquées. Après avoir fait ses armes auprès de son oncle aux Pays-Bas, il rejoint l'armée française et gravit rapidement les échelons, devenant l'un des plus brillants généraux de son temps.Sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, Turenne va jouer un rôle déterminant dans les conflits qui opposent la France à l'Espagne et à l'Autriche. Ses victoires décisives, notamment lors de la guerre de Hollande, lui valent une renommée sans égale. Tacticien hors pair, Turenne privilégie une approche indirecte, cherchant à désorganiser et à surprendre l'ennemi plutôt que de l'affronter de front.
Imaginez être convaincu que votre corps est fait de verre. Que chaque contact pourrait vous fissurer. Que vous risquez, à tout moment, de vous briser en mille morceaux. Voilà ce qu'éprouvent les personnes souffrant de ce que l'on appelle l'illusion de verre, ou délire de verre. Ce trouble psychiatrique, aussi rare qu'étrange, appartient à une forme ancienne de trouble délirant somatique : les individus croient que leur corps est physiquement altéré, ici remplacé par une matière aussi fragile que le verre.Ce phénomène a été principalement observé en Europe, entre le XVe et le XVIIe siècle, et de manière surprenante, il toucha surtout des membres de la noblesse ou de la royauté. Le cas le plus célèbre est sans doute celui de Charles VI de France, surnommé plus tard Charles le Fol. Le roi, qui régna de 1380 à 1422, souffrit d'épisodes de démence tout au long de sa vie. À partir de 1392, il connut plusieurs crises violentes, dont certaines le plongeaient dans des états délirants profonds. À l'une de ces périodes, il affirma être fait de verre. Persuadé qu'un simple choc pourrait provoquer sa désintégration, il refusa tout contact physique, évita les foules, et fit aménager un véhicule rempli de coussins pour se déplacer en toute "sécurité". Il allait même jusqu'à refuser de s'asseoir sans précaution, de peur de se casser.Ce délire peut sembler absurde, mais il illustre bien la façon dont certaines pathologies mentales peuvent modifier la perception que l'on a de son propre corps. Dans le cas de l'illusion de verre, il s'agit d'un délire hypochondriaque extrême : le patient n'a pas seulement peur de tomber malade, il est convaincu d'une transformation radicale de sa constitution physique. Ce trouble s'inscrit dans une catégorie plus large de syndromes psychosomatiques historiques, au même titre que la mélancolie noire, l'hystérie ou encore le syndrome de Cotard, où l'on croit être déjà mort.Pourquoi cette illusion a-t-elle émergé à cette époque précise ? Certains historiens y voient un effet de contexte. La noblesse, souvent élevée dans l'oisiveté et le rituel, vivait dans un monde symbolique où la fragilité, la pureté et l'apparence comptaient énormément. Le verre, à la fois précieux, transparent et fragile, pouvait alors devenir une métaphore du corps aristocratique menacé par un monde brutal.Aujourd'hui, ce trouble a pratiquement disparu, mais il reste une illustration marquante de la façon dont l'esprit humain, sous l'effet du stress ou de troubles mentaux, peut reconfigurer le réel de manière radicale. L'illusion de verre nous rappelle que la frontière entre le corps et l'imaginaire peut parfois être aussi fine… qu'une feuille de cristal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes en 1590, en Castille, au palais-monastère de Saint-Laurent de l'Escurial, résidence du roi Philippe II, à quelques kilomètres de Madrid. C'est cette année-là que commence la réalisation d'une fresque représentant la première batailles de Gravelines. Celle qui eut lieu en 1558, dans l'imposante ville du nord de la France, et qui vit la victoire de l'armée espagnole, commandée par le comte d'Egmont, sur l'armée française du maréchal de Thermes. Une fois la fresque achevée, un an plus tard, on voit nettement se détacher, au premier plan, à l'écart du champ de bataille principal, un homme dont le costume tranche avec les armures des chevaliers. Il marche seul, une épée au côté gauche et un chapeau à plume blanche vissé sur la tête. Il tient, dans la main droite, une dépêche. Ce personnage est, en réalité, un courrier, fonction essentielle à la circulation de l'information militaire et politique. Il est l'un des maillon essentiel de l'administration sous l'ancien régime. Cette administration qui est aussi l'expression et le lieu de transmission du pouvoir royal. Transmission qui passe par la figure du ministre. Alors en quoi, ce ministre est-il ce que l'on peut appeler le « troisième corps du roi « ? Quels sont les deux autres corps ? Quelles est la puissance de l'écrit et de l'image dans la communication politique et diplomatique aux XVIe et XVIIe siècles ? Jérémie Ferrer-Bartomeu, chargé de recherche du FRS-FRNS à l'Université de Liège et à l'Université catholique de Louvain. Article « La figure du ministre ou le troisième corps du roi » in « La part de l'œil », numéro 39, 2025. + « L'Etat à la lettre – Ecrit politique et société administrative en France au temps des guerres de religion » ; éd. Champ Vallon. Sujets traités : Philippe II, Gravelines, Richelieu, Ministre, Roi, politique, transmission Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des espions à Cambridge, le plus grand corsaire du XVIIe siècle, un siècle entier de guerre en Europe, ou encore le compositeur préféré de Louis XIV... Découvrez le programme de la semaine du 16 au 20 juin 2025. Chaque dimanche dans un podcast inédit, au micro de Chloé Lacrampe, Lorànt Deutsch présente le programme à venir dans "Entrez dans l'Histoire". Retrouvez l'émission du lundi au vendredi, de 15h à 15h30 sur RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La semaine dernière, j'ai passé les portes de la Sorbonne, la célèbre université, la plus ancienne de France qui existe depuis le XIIIe siècle. J'y allais pour rencontrer le linguiste Gilles Siouffi qui vient d'écrire un livre sur l'histoire linguistique de Paris. Son livre s'intitule « Paris Babel ». J'ai adoré ce livre qui se lit comme un roman et qui permet de s'approprier l'histoire du français comme on ne nous l'a jamais racontée. Un siècle très important dans l'histoire du français, c'est le XVIIe siècle. On se bat pour savoir qui a le meilleur français. C'est ce que Gilles Siouffi va nous expliquer dans l'épisode d'aujourd'hui. Il va aussi nous parler des modes de prononciations. www.onethinginafrenchday.com #frenchcourtlanguage #versaillesfrench #17thcenturyfrench #frenchpronunciationhistory #sociallanguagetrendsfrance #frenchclassdistinctions #parisvsversailles #frenchlanguagefashions #historicalfrenchspeech #frenchlinguisticsorbonne
Last week, I walked through the doors of the Sorbonne, the famous university, the oldest in France, which has been in existence since the 13th century. I was there to meet linguist Gilles Siouffi, who has just written a book on the linguistic history of Paris. His book is called ‘Paris Babel'. I loved this book, which reads like a novel and allows us to take a closer look at the history of French as it has never been told before. The seventeenth century is a very important century in the history of French. People fight over who has the best French. That's what Gilles Siouffi will be explaining in today's episode. He'll also talk about pronunciation patterns. The interview with Gilles Siouffi will be available in full on One Thing In A French Day, so be sure to tune in. In the notes that accompany the podcast, we'll look at three natural turns of phrase in French. We'll also develop a strategy for learning a verb quoted in the text, which is very useful in everyday French. So, to cultivate your ‘bon' French, I invite you to subscribe to the podcast notes. www.cultivateyourfrench.com #frenchcourtlanguage #versaillesfrench #17thcenturyfrench #frenchpronunciationhistory #sociallanguagetrendsfrance #frenchclassdistinctions #parisvsversailles #frenchlanguagefashions #historicalfrenchspeech #frenchlinguisticsorbonne
Vous avez sûrement déjà entendu cette expression : "C'est le b.a.-ba." Elle sert à désigner ce qu'il y a de plus simple, de plus élémentaire dans un domaine. Mais d'où vient cette curieuse formule ?Eh bien, pour le comprendre, il faut remonter à une époque où apprendre à lire était tout sauf évident. Pendant des siècles, l'apprentissage de la lecture commençait par la mémorisation de l'alphabet. Et pour cela, on utilisait ce qu'on appelait un abécédaire. C'était souvent un petit livre ou une planche sur laquelle figuraient les lettres de l'alphabet accompagnées de syllabes simples.Or, comment apprenait-on à associer les lettres pour former des sons ? En les combinant deux par deux. On enseignait par exemple :B + A = BAC + A = CAD + A = DA, et ainsi de suite.On commençait donc littéralement par : B.A.D'où l'expression b.a.-ba, qui évoque ce tout premier pas dans l'apprentissage de la lecture. C'était le socle, la base absolue, le point de départ de toute connaissance. Au fil du temps, cette formule est passée dans le langage courant pour désigner non plus seulement les rudiments de la lecture, mais ceux de n'importe quel domaine : le b.a.-ba de la cuisine, le b.a.-ba de l'astronomie, le b.a.-ba de la photographie…On la retrouve dès le Moyen Âge dans des textes pédagogiques, et surtout à partir du XVIIe siècle, époque où l'instruction primaire commence à se développer davantage en Europe. L'expression va peu à peu s'imposer dans le français courant.Petite anecdote amusante : en anglais ou en allemand, c'est diffétrent, on utilise encore aujourd'hui une autre expression "l'ABC" ou les ABCs pour parler des bases d'un sujet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:09 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Avec "Northern Light", la mezzo soprano Lucile Richardot et le chef d'orchestre Sébastien Daucé, fondateur de l'Ensemble "Correspondance" nous proposent un voyage dans l'espace et de le temps en mettant le cap sur la cour de Suède au XVIIe siècle sous le règne du roi Charles XI... - réalisation : Laurence Malonda - invités : Charles Arden Musicologue, Directeur des contenus d'Ôlyrix; Emmanuelle Giuliani Journaliste à La Croix
Loudun, 1632. Un prêtre qui suscite la jalousie, des nonnes en proie au démon, et le cardinal de Richelieu lui-même qui s'en mêle... L'affaire des possédées de Loudun défraye toutes les chroniques du XVIIe siècle. Préparez-vous à entrer dans un huis clos infernal, entre mystifications et procès retentissant qui conduira, en 1634, un prêtre au bûcher. Crédits : Lorànt Deutsch, Emma Locatelli. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La réponse se trouve dans l'histoire… et dans la logique !Commençons par le constat : en français, nous avons des systèmes de numération un peu… hybrides. Jusqu'à 69, tout est régulier : soixante-neuf, pas de souci. Mais ensuite, les choses se compliquent : on passe à "soixante-dix" (soixante + dix), puis "quatre-vingt" (4 x 20), "quatre-vingt-dix" (4 x 20 + 10). D'où vient ce casse-tête ?Cela remonte au Moyen Âge. À cette époque, en français, plusieurs systèmes de comptage coexistaient. Il y avait le système décimal (basé sur 10), plus simple, et le système vicésimal (basé sur 20), hérité des Celtes et des Normands. Dans certaines régions de France, notamment au nord-ouest, le système vicésimal était courant : on comptait en "vingtaines". C'est ce qui a donné "quatre-vingts", resté dans l'usage en France.Mais en Belgique, en Suisse et dans certaines régions de France (par exemple en Savoie), c'est le système décimal qui a prévalu : "septante", "octante" (anciennement), "nonante". Ces formes sont claires, régulières et en usage depuis longtemps dans ces régions.Alors pourquoi la France a-t-elle gardé les formes complexes ? Cela vient en partie de la centralisation de la langue sous l'Ancien Régime, puis sous la Révolution. Le français "standard" s'est fixé à Paris, où le système vicésimal était dominant. Avec l'école républicaine et l'imprimerie, ce modèle s'est imposé dans toute la France.En revanche, la Belgique, indépendante depuis 1830, a gardé une plus grande liberté linguistique. Le français belge s'est appuyé sur des formes plus régulières, plus claires : "septante", "nonante". Le même phénomène s'observe en Suisse romande.Fait amusant : au XVIIe siècle, même en France, des grammairiens recommandaient "septante" et "nonante", jugés plus logiques ! Mais l'usage parisien l'a emporté.En résumé : les Belges (et les Suisses) disent "septante" et "nonante" car ils ont conservé un système décimal ancien, plus cohérent. Les Français, eux, sont restés fidèles à un héritage médiéval basé sur le système vicésimal. Une petite différence qui raconte toute une histoire de la langue ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On lui a donné les surnoms de « Prince des pirates » et « Robin des Bois des mers » : C'est dire si le jeune Samuel Bellamy, au début du XVIIe siècle, s'est fait un nom dans l'univers de la piraterie.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:52:19 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Si les pollutions dues aux activités artisanales ont toujours existé en milieu urbain comme rural, l'essor de l'industrie textile aux XVIIe et XVIIIe siècles aggrave la pollution des eaux. Quelles réglementations ont été mises en place pour limiter leur impact sur les hommes et sur l'environnement ? - réalisation : Laurence Millet - invités : Jean-François Belhoste Directeur d'études en sciences historiques et philologiques à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE); Thomas Le Roux Historien de l'environnement, chargé de recherches au CNRS et directeur du Centre de recherches historiques, spécialiste des risques et des pollutions industriels
En cet été 2020, nous avions abordé en 5 minutes le sujet du château français de Maisons, situé à Maisons-Laffitte (78), dans le Com d'Archi S1#16. Ce fut l'occasion de faire connaissance avec Béatrice Vivien, spécialiste du sujet. Béatrice a répondu favorablement à notre invitation à venir partager un pan de ses découvertes, nombreuses et inédites, sur le château et son domaine. Car, c'est en travaillant au château de Maisons lui-même et en se questionnant sur tout un volet de l'histoire resté dans l'ombre, qu'elle fut amenée à soutenir sa thèse, sous la direction de Claude Mignot, en 2014, intitulée : "Les demeures et collections d'un grand seigneur : René de Longueil, président de Maisons (1597-1677)". Dans son travail, Béatrice, droite dans "ses bottes", en toute humilité, titille la chronologie pré-établie, réinjecte des fragments de vie au sein de la théorie!Et nous adorons l'entendre nous raconter l'histoire du château de Maisons dans ce Com d'Archi S2#27!L'idée, dans ce numéro de Com d'archi, est de vous faire revivre le projet d'une oeuvre majeure de l'histoire de l'architecture du XVIIe siècle, sous un angle pragmatique, sociétal, sous le prisme de la commande et du chantier. Mais aussi de mettre en perspective l'oeuvre dans son environnement urbain contemporain. Toute architecture de grande qualité, si contemporaine soit-elle, est un sujet patrimonial en devenir. A travers l'exemple du château de Maisons, nous réalisons que toute oeuvre majeure peut être remise en cause, les écosystèmes du moment étant favorables ou non. La frontière patrimoine/contemporanéité tombe. Rien ne sert de vivre au passé, rien ne sert de perdre la mémoire. Ce qui accompagne le temps d'aujourd'hui, peut accompagner le temps de demain de manière pérenne. Réaliser cela, c'est déjà répondre aux enjeux qui s'offrent à nous aujourd'hui pour un avenir durable.Ainsi, en s'intéressant au "Château de Maisons" et en réalisant en 2020-21 la réhabilitation de ses jardins*, le CMN (Centre des Monuments Nationaux) redonne vie, sens au patrimoine, tout en re-qualifiant la ville du cheval !*Bureau Manciulescu ACMH et associés - Agence Louis Benech paysagiste - Ardeto Catalia Defta architecte du patrimoine - Cabinet Philippe Votruba économiste.Interview enregistrée au studio Penny Lane le 23 novembre 2020___Si le podcast vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir de manière importante votre regard sur le sujet.Belle semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Symbole de rébellion, de résistance et d'attachement aux libertés locales, le bonnet rouge est devenu un signe emblématique en Bretagne. Mais cette coiffe de feutre n'a pas toujours été associée aux radars routiers ou aux taxes écologiques, comme lors du mouvement des Bonnets rouges en 2013. Pour comprendre son origine, il faut remonter au XVIIe siècle, et plus précisément à l'année 1675.À cette époque, la Bretagne est plongée dans un climat social explosif. Le royaume de Louis XIV est en guerre contre la Hollande, et pour financer ce conflit, la monarchie multiplie les impôts. Parmi ces nouvelles taxes, certaines frappent de plein fouet la Bretagne, pourtant dotée d'un statut particulier : la province bénéficiait de privilèges fiscaux garantis par le traité d'union de 1532, qui avait scellé son rattachement à la France.Mais en 1675, ces engagements sont bafoués. Le roi impose sans concertation plusieurs nouveaux impôts : une taxe sur le papier timbré, indispensable pour les actes juridiques, une autre sur le tabac, et même une taxe sur la vaisselle d'étain. C'est la goutte de trop. De nombreuses villes se soulèvent : Rennes, Nantes, Quimper, Carhaix... et surtout les campagnes du Léon et de Cornouaille.C'est là que le bonnet rouge entre en scène. Les paysans insurgés, armés de fourches, de bâtons et de haches, se rassemblent sous une même couleur : celle de leur bonnet. Le rouge est alors courant chez les gens modestes, en particulier chez les marins et les paysans. Il devient un signe de ralliement autant qu'un symbole de colère. Ces hommes rejettent l'injustice fiscale mais aussi l'autoritarisme royal et la remise en cause des droits bretons.La révolte, qu'on appellera plus tard la Révolte du papier timbré, est sévèrement réprimée par la monarchie. Des villages sont incendiés, les meneurs exécutés ou envoyés aux galères, et les privilèges bretons sont encore plus réduits par la suite. Mais dans la mémoire populaire, l'image du bonnet rouge demeure.Au fil des siècles, il est ressorti à chaque époque où les Bretons se sentent trahis, méprisés ou menacés dans leurs identités ou leurs droits. C'est ainsi qu'il a refait surface en 2013 lors du mouvement contre l'écotaxe, porté par des entrepreneurs, des agriculteurs et des citoyens bretons. Le bonnet rouge, vieux de plus de trois siècles, restait ce qu'il a toujours été : un symbole de révolte enraciné dans l'histoire et le sol breton. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Symbole de rébellion, de résistance et d'attachement aux libertés locales, le bonnet rouge est devenu un signe emblématique en Bretagne. Mais cette coiffe de feutre n'a pas toujours été associée aux radars routiers ou aux taxes écologiques, comme lors du mouvement des Bonnets rouges en 2013. Pour comprendre son origine, il faut remonter au XVIIe siècle, et plus précisément à l'année 1675.À cette époque, la Bretagne est plongée dans un climat social explosif. Le royaume de Louis XIV est en guerre contre la Hollande, et pour financer ce conflit, la monarchie multiplie les impôts. Parmi ces nouvelles taxes, certaines frappent de plein fouet la Bretagne, pourtant dotée d'un statut particulier : la province bénéficiait de privilèges fiscaux garantis par le traité d'union de 1532, qui avait scellé son rattachement à la France.Mais en 1675, ces engagements sont bafoués. Le roi impose sans concertation plusieurs nouveaux impôts : une taxe sur le papier timbré, indispensable pour les actes juridiques, une autre sur le tabac, et même une taxe sur la vaisselle d'étain. C'est la goutte de trop. De nombreuses villes se soulèvent : Rennes, Nantes, Quimper, Carhaix... et surtout les campagnes du Léon et de Cornouaille.C'est là que le bonnet rouge entre en scène. Les paysans insurgés, armés de fourches, de bâtons et de haches, se rassemblent sous une même couleur : celle de leur bonnet. Le rouge est alors courant chez les gens modestes, en particulier chez les marins et les paysans. Il devient un signe de ralliement autant qu'un symbole de colère. Ces hommes rejettent l'injustice fiscale mais aussi l'autoritarisme royal et la remise en cause des droits bretons.La révolte, qu'on appellera plus tard la Révolte du papier timbré, est sévèrement réprimée par la monarchie. Des villages sont incendiés, les meneurs exécutés ou envoyés aux galères, et les privilèges bretons sont encore plus réduits par la suite. Mais dans la mémoire populaire, l'image du bonnet rouge demeure.Au fil des siècles, il est ressorti à chaque époque où les Bretons se sentent trahis, méprisés ou menacés dans leurs identités ou leurs droits. C'est ainsi qu'il a refait surface en 2013 lors du mouvement contre l'écotaxe, porté par des entrepreneurs, des agriculteurs et des citoyens bretons. Le bonnet rouge, vieux de plus de trois siècles, restait ce qu'il a toujours été : un symbole de révolte enraciné dans l'histoire et le sol breton. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A la fin du XVIIe siècle, le couvent de Moret compte une religieuse noire sur laquelle court une folle rumeur : elle serait de sang royal. C'est le point de départ d'une énigme qui a fasciné des générations d'auteurs, dont le grand Voltaire.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter mon podcast Choses à Savoir Culture Générale:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Spotify:https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3?si=e794067703c14028----------------------------Aujourd'hui, penchons-nous sur un élément architectural que l'on croise partout, notamment à Paris : le toit mansardé. Vous savez, ce toit à double pente, souvent en ardoise, qui donne aux bâtiments un air élégant tout en permettant l'aménagement des combles. Mais saviez-vous que ce type de toiture trouve son origine notamment dans une astuce fiscale!Le terme "mansarde" vient du nom de François Mansart, architecte du XVIIe siècle (1598–1666), considéré comme l'un des pionniers du style classique en France. Ce n'est cependant pas lui qui a inventé cette forme de toit, mais il l'a perfectionnée et popularisée au point qu'elle porte aujourd'hui son nom.Son idée géniale ? Utiliser l'inclinaison à deux niveaux d'un toit pour aménager les combles. La pente inférieure, très raide, permettait d'obtenir une hauteur sous plafond suffisante pour rendre les étages du dessus habitables, tandis que la pente supérieure, plus douce, terminait l'élévation du toit. Le tout offrait un gain de surface habitable considérable, sans dépasser la hauteur réglementaire d'un immeuble.Une astuce contre l'impôt sous Louis XIVMais le véritable essor du toit mansardé vient d'une raison bien plus terre-à-terre : l'impôt foncier. Sous le règne de Louis XIV, les propriétaires de maisons en ville devaient payer un impôt proportionnel au nombre d'étages "visibles". Les combles aménagés sous le toit, eux, n'étaient pas comptabilisés comme étages. Résultat : en construisant un toit à la Mansart, on obtenait un ou deux niveaux supplémentaires sans payer plus de taxes !Cette astuce fiscale séduisit rapidement la bourgeoisie parisienne. Le style fut largement repris dans l'architecture haussmannienne au XIXe siècle, où l'on retrouve encore aujourd'hui des lignes de toits mansardés typiques des immeubles parisiens.Entre esthétique et pragmatismeAu-delà de son aspect fiscal, le toit mansardé avait aussi un intérêt esthétique. Il apportait une élégance à l'édifice, allégeant sa silhouette, tout en respectant les alignements urbains. Les fenêtres de toit, appelées aussi lucarnes, permettaient de faire entrer la lumière, rendant ces derniers étages bien plus agréables que de simples greniers.Aujourd'hui encore, la mansarde évoque à la fois l'élégance parisienne, les garçons de chambre logés sous les toits, et cette astuce géniale mêlant architecture et ruse fiscale. Une preuve que même un simple toit peut raconter une page entière de notre histoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes en 1703. Dans la préface de son dernier roman, Marie-Catherine d'Aulnoy écrit : « … on me donne tant de livres que je n'ai point faits, et cela est si aisé en mettant un D avec des étoiles, que j'aime mieux convenir que « Le Comte de Warwick » est à moi que de me laisser attribuer des livres qui ne m'appartiennent point. » Chemin faisant, l'autrice rappelle une impressionnante liste d'ouvrages dont elle réclame la maternité, romans, mémoires et contes. Un siècle plus tard, Fortuné Briquet, dans son « Dictionnaire historique, littéraire et biographiques des Françaises et étrangères naturalisées en France », fait part de son appréciation : « S'il est vrai qu'Homère ait emprunté pour plaire la ceinture de Vénus, on peut dire que les Fées ont prêté à Madame d'Aulnoy leur baguette, pour enchanter les lecteurs » . Mais qui se souvient de Marie-Catherine d'Aulnoy ? C'est pourtant à elle que l'on doit l'appellation conte de fées. Madame d'Aulnoy qui, comme Melle L'Héritier, Melle de la Force, la comtesse Murat ou Catherine Bernard, contribua aux beaux jours de la littérature. Des autrices, des conteuses à qui l'on donnait des noms de muses ou de déesses : Clio, Calliope, Uranie ou Iris… Des femmes qui, à la fin du XVIIe, ont occupé le devant de la scène littéraire, dont les œuvres s'arrachaient dans toute l'Europe. Admises dans de prestigieuses Académies. Que leur est-il arrivé ? Effacées de la mémoire littéraire. Pourquoi ? Qu'ont-elles écrit qui leur vaille cette invisibilisation ? Avec nous : Julien Marsay, agrégé de Lettres modernes, enseigne dans un lycée d'éducation prioritaire à Paris. Spécialistes de questions de genre et de représentations. Créateur du compte Twitter Autrices invisibilisées. Auteur de la préface à l'ouvrage « Finette Cendron et autres contes féministes du XVIIe » ; coll. Petite biblio Payot. Sujets traités : Marie-Catherine d'Aulnoy, contes, romans,Fortuné Briquet , Melle de la Force,comtesse Murat, Catherine Bernard, Clio, Calliope, Uranie, Iris, femme Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ces deux expressions, bien connues des professionnels de la scène, désignent respectivement la gauche et la droite de la scène... mais pas du point de vue du public, comme on pourrait le croire. Elles sont définies du point de vue des comédiens, c'est-à-dire quand on est sur scène, face au public : le côté cour est alors à gauche, et le côté jardin, à droite. Mais d'où viennent ces termes étranges, et pourquoi ne pas simplement dire "gauche" et "droite" ?Pour le comprendre, il faut remonter à l'époque de Louis XIV, au XVIIe siècle, plus précisément à l'un des lieux les plus prestigieux du théâtre français : la salle des Machines du Palais des Tuileries, à Paris. Ce théâtre, intégré au palais royal, était immense pour l'époque et doté d'un impressionnant système de décors mobiles.À cette époque, les termes "gauche" et "droite" posaient problème : selon qu'on soit comédien, metteur en scène, machiniste ou spectateur, les repères n'étaient pas les mêmes. Il fallait donc trouver une référence fixe, indépendante du regard. C'est là qu'interviennent le jardin et la cour du palais.Sur la scène du théâtre des Tuileries, quand on regardait vers la salle, on avait :à gauche, le côté qui donnait sur la cour du palais,à droite, celui qui ouvrait sur le jardin des Tuileries.Les machinistes, qui avaient besoin de repères précis pour les décors et les effets scéniques, ont commencé à parler de « côté cour » et « côté jardin ». Petit à petit, ce vocabulaire s'est imposé dans les théâtres parisiens, puis dans toute la France, notamment à partir du moment où la Comédie-Française s'installe en 1799 dans le théâtre de l'Odéon, puis dans la salle Richelieu. Le langage est conservé même si l'architecture des lieux change.Ces termes ont l'avantage d'éviter toute ambiguïté. Si un metteur en scène dit « Tu entres côté jardin », tous les comédiens savent que cela signifie la droite de la scène — toujours en se plaçant dans la peau du comédien, dos au décor, face au public. Cela évite de dire "ta gauche" ou "ma droite", qui peuvent varier selon la position de chacun.Aujourd'hui encore, côté cour et côté jardin restent en usage dans les théâtres francophones, aussi bien en France qu'au Québec ou en Belgique. Ils sont parfois indiqués sur les plans des scènes ou dans les consignes techniques.C'est donc un bel exemple de langage issu de l'histoire et de l'architecture, conservé pour sa précision. Une preuve que, même dans le monde de l'art vivant, les mots hérités du passé continuent de structurer le présent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:27:31 - Toute une vie - par : Luc Ponette - Nous découvrons, dans ce documentaire, la vie fascinante et les œuvres emblématiques de Raphaël. De ses débuts influencés par Le Pérugin à ses chefs-d'œuvre au Vatican, plongeons dans l'univers de cet artiste de génie et explorons son héritage intemporel. - réalisation : Dominique Costa - invités : Jean-Pierre Cuzin Spécialiste de la peinture française des XVIIe et XVIIIe siècles; Dominique Cordellier Conservateur en chef au cabinet des dessins du musée du Louvre; Gabriela Morawetz; Pancho Quilici; Christine Pellistrandi
Depuis le XVIIe siècle, le château de Versailles est associé à la monarchie française. Mais saviez-vous que depuis la seconde partie du XIXe siècle, la demeure de Louis XIV est également un haut lieu de la République ? En 1875, dans l'aile du Midi, un grand hémicycle est construit en six mois. La salle du Congrès doit accueillir les parlementaires, alors que le gouvernement a quitté Paris. Quatorze présidents de la République y seront élus. 150 ans après les lois constitutionnelles qui entérinent la proclamation de la IIIe République, Virginie Girod vous emmène en visite guidée dans ce lieu incontournable de la vie parlementaire française, en compagnie de Frédéric Lacaille, conservateur en chef, chargé des peintures du XIXe siècle et des Galeries Historiques au château de Versailles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.