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Le nom complet de ce musée est Musée de la Libération de Paris-Musée du Général Leclerc-Musée Jean Moulin. Il fête déjà ses 5 ans. Des activités ludiques et festives vous attendent pour les vacances de la Toussaint. Par exemple, « Les Murs parlent », une expérience inédite en réalité virtuelle. A ne pas manquer «Insurrection 1944 », une visite immersive en réalité mixte au coeur de la Libération de Paris. Allez en famille découvrir « Les Grandes Grandes Vacances », pour savoir à quoi ressemblait la vie en France pendant la Seconde Guerre mondiale. Le Musée de la Libération de Paris se situe au coeur de Denfert-Rochereau et l'entrée est libre.
Le 25 août 1944, Paris est libéré après quatre années d'occupation allemande. Code source vous propose une série en quatre épisodes pour vous faire revivre cette période historique, à travers le parcours d'un homme qui a eu un rôle décisif lors de la libération de la ville, le colonel Henri Rol-Tanguy. Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, 150 000 hommes, majoritairement Américains, Anglais et Canadiens, débarquent sur les côtes normandes. Ce sont les Alliés. Ils viennent libérer l'Europe de l'Allemagne nazie. Pendant ce temps, la résistance s'organise à Paris pour préparer leur arrivée, aidée par les hommes du général de Gaulle, le président du Gouvernement provisoire de la République française.Cet épisode est raconté par deux historiens, Sylvie Zaidman, historienne et directrice du musée de la libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, et Jean-François Muracciole, historien spécialiste de la Libération, au micro de Raphaël Pueyo. Pour aller plus loin : Jean-François Muracciole, Quand de Gaulle libère Paris, juin-août 1944, Éditions Odile Jacob, 2024Sylvie Zaidman, avec Joël Clesse, La Résistance en Seine Saint-Denis, 1940-1944., Éditions Syros, 1994Et puis pour poursuivre votre aventure sonore, n'hésitez pas à vous rendre au musée de la Libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, situé place Denfert-Rochereau dans le 14ème arrondissement. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Conception, écriture et voix : Raphaël Pueyo - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier Amouroux et Barbara Gouy - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network - Identité graphique : Eric Azara - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 25 août 1944, Paris est libéré après quatre années d'occupation allemande. Code source vous propose une série en quatre épisodes pour vous faire revivre cette période historique, à travers le parcours d'un homme qui a eu un rôle décisif lors de la libération de la ville, le colonel Henri Rol-Tanguy. Au lendemain de la libération de Paris, le désir de vengeance des Parisiens contre les Allemands ou ceux qui ont collaboré avec eux plonge la capitale dans le chaos. Au même moment, Paris fête également cette victoire autour de plusieurs rassemblements, comme les bals populaires. Quant au colonel Henri Rol-Tanguy, il joue un rôle central dans la guerre qui continue à l'est, notamment dans l'intégration des Forces françaises de l'intérieur dans l'armée régulière.Cet épisode est raconté par trois historiens, Sylvie Zaidman, historienne et directrice du musée de la libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, Denis Peschanski, historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale et Renée Poznanski, historienne spécialiste des Juifs en France durant la Seconde Guerre mondiale, au micro de Raphaël Pueyo. Pour aller plus loin :Renée Poznanski, Les Juifs en France pendant la Seconde Guerre mondiale, Éditions CNRS, 2018Denis Peschanski avec Astrig Atamian et Claire Mouradian, Manouchian, Éditions Textuel, 2023Sylvie Zaidman, avec Joël Clesse, La Résistance en Seine Saint-Denis, 1940-1944., Éditions Syros, 1994Et puis pour poursuivre votre aventure sonore, n'hésitez pas à vous rendre au musée de la Libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, situé place Denfert-Rochereau dans le 14ème arrondissement. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Conception, écriture et voix : Raphaël Pueyo - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier Amouroux et Barbara Gouy - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network - Identité graphique : Eric Azara - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 25 août 1944, Paris est libérée après quatre années d'occupation allemande. Code source vous propose une série en quatre épisodes pour vous faire revivre cette période historique, à travers le parcours d'un homme qui a eu un rôle décisif lors de la libération de la ville, le colonel Henri Rol-Tanguy. Le 14 juin 1940, l'armée française est en déroute et Paris est déclarée ville ouverte. Le matin, les premiers soldats allemands entrent dans la capitale. Dès les premiers mois d'occupation, une poignée d'hommes et de femmes décident de s'opposer à l'occupant ainsi qu'au régime de Vichy du maréchal Pétain. Parmi eux, un soldat démobilisé de 32 ans, qui n'a pas été fait prisonnier par les Allemands. Il s'appelle Henri Tanguy. Cet épisode est raconté par deux historiens, Sylvie Zaidman, historienne et directrice du musée de la libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, et Denis Peschanski, historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, au micro de Raphaël Pueyo. Pour aller plus loin :Denis Peschanski, Vichy, 1940-1944 : contrôle et exclusion, Éditions Complexe, 1997Sylvie Zaidman, avec Joël Clesse, La Résistance en Seine Saint-Denis, 1940-1944., Éditions Syros, 1994Et puis pour poursuivre votre aventure sonore, n'hésitez pas à vous rendre au musée de la Libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, situé place Denfert-Rochereau dans le 14ème arrondissement. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Conception, écriture et voix : Raphaël Pueyo - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier Amouroux - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Eric Azara - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 25 août 1944, Paris est libérée après quatre années d'occupation allemande. Code source vous propose une série en quatre épisodes pour vous faire revivre cette période historique, à travers le parcours d'un homme qui a eu un rôle décisif lors de la libération de la ville, le colonel Henri Rol-Tanguy. En 1942, l'étau se resserre sur Henri Tanguy. Il doit quitter la capitale pour échapper à la police qui traque sans relâche les résistants communistes. Pendant ce temps, à Paris, la vie continue. Les parisiens vont au cinéma, assistent à des compétitions sportives, et tentent tant bien que mal de se nourrir malgré les pénuries. Mais pour une catégorie de la population, les Juifs, la vie se transforme en enfer, persécutés par les Allemands et le régime de Vichy.Cet épisode est raconté par deux historiens, Sylvie Zaidman, historienne et directrice du musée de la libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, et Renée Poznanski, historienne spécialiste des Juifs en France durant la Seconde Guerre mondiale, au micro de Raphaël Pueyo. Pour aller plus loin : Denis Peschanski avec Thomas Fontaine, La Collaboration 1940-1945. Vichy, Éditions Tallandier, 2014Renée Poznanski, Propagandes et persécutions : la Résistance et le « problème juif », Paris, Éditions Fayard, 2008Sylvie Zaidman, avec Joël Clesse, La Résistance en Seine Saint-Denis, 1940-1944., Éditions Syros, 1994Et puis pour poursuivre votre aventure sonore, n'hésitez pas à vous rendre au musée de la Libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, situé place Denfert-Rochereau dans le 14ème arrondissement. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Conception, écriture et voix : Raphaël Pueyo - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier Amouroux - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network - Identité graphique : Eric Azara - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Învăţaţi franceza cu Kevin, un liceean columbian de 17 ani. Kevin este interesat de carierele subterane ale Parisului şi ar vrea să ştie de ce unele sunt deschise publicului larg, iar în altele accesul este interzis. Îl vom întâlni pe Gaspard Duval, un « cataphile » care cunoaşte subteranele Parisului ca pe propriul său buzunar. Carierele Parisului La pierre de Paris45 millions d'années avant notre ère, Paris était une mer tropicale.Les dizaines de mètres de sédiments du fond marin deviendront du calcaire au cours du temps.Cette période de l'histoire de la Terre est appelée le « Lutécien », de « Lutetia » nom gallo-romain de Paris.Dès le 1er siècle après J.C., les Gallo-Romains ont utilisé ce calcaire pour construire Lutèce.Sur certains bâtiments de Paris construits avec la pierre de Paris, on peut trouver des fossiles de coquillages qui rappellent l'origine de la pierre. Visite L'entrée des carrières se situe place Denfert-Rochereau.On descend dans ces galeries par un escalier qui mène à 20m sous terre.Des plaques sur les parois des galeries indiquent le nom des rues en surface.Jusqu'en 1982, il n'y avait pas d'électricité dans les Catacombes : Il fallait s'éclairer à la bougie ou à la lampe de poche. Les lieux à voir : La galerie de Port-Mahon : un carrier nommé Décure, vétéran des armées de Louis XV, a sculpté dans la paroi une maquette de la forteresse de Port-Mahon (sur l'île de Minorque) où il avait été emprisonné par les Anglais.Le bain de pieds des carriers : c'est un puits creusé par les carriers. L'eau était utilisée pour faire le ciment des maçonneries. Catacombele « interzise »Les carrières souterraines de Paris font environ 300 km de long : Le réseau principal se trouve sous les 5e, 6e, 14e et 15e arrondissements. Le second réseau, plus petit (25 kilomètres environ) s'étend sous le 13e arrondissement. Depuis une trentaine d'années, bien qu'interdites, les cataphiles ont aménagé certaines galeries des carrières de Paris : « La plage » : c'est un espace dans les carrières avec du sable fin. Une vague est peinte sur un mur : c'est une représentation du tableau de Hokusai, « La Grande Vague de Kanagawa ». « La plage » est un haut lieu de fête. « Le Golem », un monstre, garde l'entrée de « la plage ». « La poste » : petit endroit où il y a une énorme boîte jaune métallique dans laquelle les « cataphiles » peuvent déposer des « cata-tracts ». « Le cinéma » : Il était situé sous le Trocadéro. Il y avait l'électricité, un vidéoprojecteur, des bancs creusés dans le calcaire. Un écran était tendu et chacun amenait le film qu'il voulait. Il a été fermé par la police. Des abris d'occupants et de résistants de la Seconde Guerre mondiale Un bunker construit par les Allemands Un abri du gouvernement français sous l'occupation, mais qui n'a jamais servi L'abri des résistants des FFI (Forces françaises de l'intérieur) du colonel Henri Rol-Tanguy, sous la place Denfert-Rochereau Reţelele subteraneEn théorie, les différents souterrains de Paris ne communiquent pas entre eux. En descendant sous terre on croise dans l'ordre : Les égouts : à 4 ou 5 mètres sous terre Les galeries techniques EDF et France Télécom Le métro Le Rer Les Catacombes (15 à 30 mètres sous terre, au niveau de la nappe phréatique) Întrebarea formulată de Kevin :Kevin : Et depuis quand ça existe, les carrières ?Rose-Marie Mousseaux : Alors, les carrières dans lesquelles nous serons aujourd'hui sont des carrières qui ont été probablement percées au cours du XVème siècle. Les plus anciennes carrières de Paris, on les a retrouvées grâce à des fouilles archéologiques et elles remontent au premier siècle de notre ère, durant la période romaine.Kevin : Est-ce qu'on peut trouver des légendes sur les Catacombes ?Gaspard Duval : C'était au Moyen-Âge, hein, il y avait le château Vauvert qui se trouvait au niveau du jardin du Luxembourg. Et donc, ce château était tombé en ruine et il y a des brigands qui avaient pris possession des lieux et ils occupaient aussi les carrières sous terre. Et donc, le soir, pour décourager, en fait, les Parisiens de venir voir ce qu'il se passait, souvent ils faisaient des grands feux, ils poussaient des cris. Donc, en fait, c'était vraiment un endroit qui pouvait rappeler un peu l'enfer. Donc, c'était le diable du château Vauvert, le diable Vauvert. Linkuri utile:Page Facebook du livre de Gaspard Duval, Les catacombes de Paris - Promenade interdite : https://fr-fr.facebook.com/Catacombes.InterditesVisite des égouts de Paris : http://www.paris.fr/pratique/musees-expos/musee-des-egouts/visite-publique-des-egouts-de-paris/rub_9691_stand_5943_port_23931
Il n'y aurait de France que parisienne. À l'image de notre pouvoir, l'histoire serait « centralisée ». Or, de la fin de l'Antiquité au XXe siècle, les événements démontrent exactement le contraire. Les drames et les triomphes de la France ont eu, au moins à parts égales, pour théâtre la province et Paris. De la fondation de Marseille par les Phocéens à la rencontre du chancelier Adenauer et du général de Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises, en passant par la libération d'Orléans par Jeanne d'Arc, l'entrée de Napoléon à Grenoble au début des Cent-Jours ou encore la défense de Belfort par Denfert-Rochereau pendant la guerre de 1870, David Chanteranne revient sur le rôle décisif et parfois méconnu des régions dans la construction de la nation. Outre de rappeler, avec verve et clarté, le récit de ces événements fondateurs, l'historien mène une enquête de terrain afin d'identifier ce qu'il reste, concrètement ou symboliquement, de ces vestiges du passé. Il interroge la force des lieux, les raisons de leur puissance, les causes qui en ont fait des mythes et, parfois, celles qui les ont fait oublier. David Chanteranne est notre invité pour les interviews Histoire de Timeline
L'exposition «Femmes photographes de guerre » nous montre le travail de huit femmes photographes reconnues qui ont couvert 75 ans de conflits internationaux entre 1936 et 2011. Les femmes y occupent plusieurs rôles, qu'elles soient combattantes, victimes ou témoins. Chacune a leur manière, ces artistes témoignent des souffrances engendrées par les guerres. J'ai eu un coup de coeur pour les photographies de Françoise Demulder, qui a immortalisé un quartier de Beyrouth. «Femmes photographes de guerre », une exposition à voir jusqu'au 31 décembre Rendez-vous au Musée de la Libération- Musée du Général Leclerc- Musée Jean Moulin, dans le 14ème, à côté du métro Denfert Rochereau
On est dans le XIVe arrondissement de Paris dans la rue Denfert, rebaptisée aujourd'hui la rue Denfert-Rochereau. Ce n'est pas le nom des Enfers, mais celui d'un général, Denfert Rochereau qui s'était illustré pendant la guerre de 1870 en défendant le territoire de Belfort aux Prussiens. Tout l'été, Entrez dans Paris avec Lorànt Deutsch. Chaque jour dans ce podcast, découvrez en moins de 2 minutes l'histoire d'une rue de la capitale.
Ce n'est peut-être pas la Bourgogne-Franche-Comté qui vient en tête lorsqu'on souhaite observer des lions en pleine nature... Mais celui de Belfort est un sacré spécimen qui vaut le détour ! Et pour ceux qui ne sont pas très félins, un petit tour sur https://www.belfort-tourisme.com/ vous donnera un aperçu des autres pépites à découvrir dans les alentours. Envie de tout savoir sur la région ? Faites un tour au coeur des Merveilles de Bourgogne-Franche-Comté : plus de 100 étapes croustillantes pour devenir un véritable connaisseur. Les bons plans pour découvrir ou redécouvrir le territoire sont à retrouver sur www.bourgognefranchecomte.com Artips est une production Artly Production // Lu avec délectation par Delphine Peresan-Roudil // Monté et réalisé avec talent par Aude Niclas // Anecdote concoctée avec Bourgogne-Franche-Comté Tourisme et adaptée par Pernelle Richard, Benjamin Billiet, Antoine Leiris et Delphine Peresan-Roudil // Un grand merci pour leurs conseils avisés à Vivien Demeyere, Benoît Perret et Khrystyna Burak.
À l’occasion des cérémonies du 11-Novembre, la France célébrera ce mercredi le centenaire du Soldat inconnu. Le 11 novembre 1920, le corps d’un soldat français arrivait à l’Arc de triomphe à Paris, deux ans jour pour jour après l’armistice de la Grande Guerre. Franck Alexandre nous raconte cette histoire singulière. Au lendemain de la sanglante bataille de Verdun, en 1916, décision est prise d’honorer l’ensemble des morts par le choix de l’un d’entre eux, un soldat inconnu, un « déshérité de la mort », selon la formule de l’époque et qui reposerait dans un site hautement symbolique. 1920 sera donc l’année du Soldat inconnu, à Paris comme à Londres, puisque ce même jour, un soldat britannique inconnu est également inhumé à l’abbaye de Westminster. Le 8 novembre 1920, l’Assemblée nationale vote la loi « relative à la translation à Paris et au dépôt à l’Arc de triomphe des restes d’un soldat inconnu mort pour la France » pour rendre hommage aux quelque 1 400 000 soldats français tués entre le 2 août 1914 et le 11 novembre 1918, dont des dizaines de milliers ne furent jamais identifiés. Le 9 novembre 1920, les restes de huit soldats français sans nom, exhumés de huit champs de bataille – Lorraine, Verdun, Champagne, Chemin des Dames, Île-de-France, Somme, Artois et Flandres – sont rassemblés dans une chapelle ardente de la citadelle de Verdun. Seule l’une de ces dépouilles rejoindra l’Arc de triomphe à l’issue d’un long périple, indique Jean-François Dubos, conservateur au service historique de la défense : « Le 9 novembre, le corps du soldat inconnu est choisi. Le 10 novembre, la dépouille arrive à Paris, place Denfert-Rochereau pour une veillée funèbre. Le lendemain, après un passage au Panthéon au cours duquel on va déposer le cœur de Léon Gambetta (homme d’État français) afin d’associer à l’occasion du cinquantenaire de la République, dans une même gloire, le soldat français et le grand tribun, le soldat inconnu est enfin amené à l’Arc de Triomphe où il est installé ». Le Soldat inconnu reste dans une salle de l’Arc de Triomphe avant d’être mis en terre le 28 janvier 1921 sous une dalle avec l’inscription : « Ici repose un soldat français mort pour la Patrie 1914-1918 ». Un petit bouquet de bleuets C’est à Auguste Thin, jeune caporal du 132e régiment d’infanterie, que revint la lourde tâche de choisir le Soldat inconnu. Deux jours avant la cérémonie sur la place de l'Étoile, ce 9 novembre 1920, huit morts anonymes, chacun tombés sur l’un des huit grands champs de bataille de la Grande Guerre, reposent donc dans la crypte de la citadelle de Verdun, dans des cercueils strictement identiques et recouverts d’un drapeau tricolore. Le soldat Auguste Thin, engagé le 3 janvier 1918, est l’un des survivants du 234e régiment d’infanterie, un régiment décimé en Champagne lors de la contre-offensive allemande de juillet 1918. Versé au 132e régiment d’infanterie, le régiment de Verdun, Auguste Thin, sous les roulements de tambour, pénètre dans la crypte, souffle Jean-François Dubos : « Il faut imaginer Auguste Thin déstabilisé par cette demande que lui fait directement André Maginot et pour matérialiser son choix, il doit déposer un petit bouquet de bleuets sur celui des cercueils qu’il aura retenu… Auguste Thin ne sait pas comment choisir… Et il a une idée : il appartient au 132e régiment d’infanterie, il additionne les chiffres qui composent le numéro de son unité et donc il va désigner le sixième cercueil en déposant le bouquet sur celui-ci. ». Le cercueil choisi est placé sur un affût de canon de 75 pour rejoindre Paris via un train spécial. Les sept autres corps sont inhumés à Verdun dans une nécropole. 11 novembre 1940 Le Soldat inconnu incarne aussitôt une forme de pérennité de la République. Alors que les défilés militaires avaient pour usage, comme à l’époque romaine, de passer sous l’Arc de triomphe, le monument devient un lieu de recueillement. Le 11 novembre 1940 se déroule sous l’Arc de triomphe un événement fondateur, l’un des premiers actes de résistance sous la France occupée, relève Jean-François Dubos : « Alors que l’occupant nazi a interdit les manifestations patriotiques, des étudiants vont se recueillir malgré tout sur la tombe du Soldat inconnu. C’est un acte de résistance, même s’il ne dit pas son nom et c’est un acte qui est particulièrement intéressant à mon avis, car il est l’œuvre de jeunes gens qui ont une vingtaine d’années. Donc, ils ne se rendent pas sur la tombe d’un camarade tombé au front comme ont pu le faire leurs parents, mais ils se rendent sur la tombe d’un jeune homme qui, finalement, incarne cette continuité, cette pérennité de la Nation. On peut même peut-être penser que le général de Gaulle, lors de son célèbre appel du 18-Juin, lorsqu’il évoque la flamme de la résistance qui ne doit pas s’éteindre et qui ne s’éteindra pas, fait peut-être une allusion indirecte à cette flamme qui veille au-dessus de la tombe du Soldat inconnu ». Si la France et la Grande-Bretagne, les deux grands alliés du premier conflit mondial, ont inventé le Soldat inconnu, le symbole a, depuis, été repris par une trentaine de nations, du cimetière militaire américain d’Arlington en 1921 à l’Australie en 1993, et au Canada en l’an 2000. En revanche, l’Allemagne, le grand vaincu de ce conflit meurtrier, n’a jamais eu de soldat inconnu. ► Notre dossier sur la Première Guerre Mondiale ► Sur RFI Savoirs : France : le « visage inconnu » de la Première Guerre mondialeVerdun et le soldat inconnu
durée : 00:08:15 - Un voyage : la Seine et nos amours - par : François Sureau - Nous sommes devant le 75 de l'avenue Denfert-Rochereau à Paris, car c'est ici que Victor Bérard s'installe en 1910. Il est tant helléniste, géographe, archéologue qu'homme politique et part sur les mers tenter de reconstituer les voyages d'Ulysse. Portrait d'un aspirant héros mythologique. - réalisation : Vincent Decque
durée : 00:07:55 - Un voyage : la Seine et nos amours - par : François Sureau - Nous sommes place Denfert-Rochereau - à deux pas du cloître de Port-Royal où nous étions hier -, car c'est ici, près de la statue du lion de Belfort, que Jean de Brunhoff passa son enfance. François Sureau retrace l'itinéraire du créateur de l'éléphant Babar et révèle la profondeur de ses textes. - réalisation : Vincent Decque
C'est l'anniversaire de l'Appel du général de Gaulle aujourd'hui en France. C'était il y a 80 ans, le 18 juin 1940. La veille, le maréchal Pétain avait demandé aux Français de cesser le combat pour signer un armistice avec l'Allemagne. Le musée de la Libération de Paris, place Denfert-Rochereau, propose d'explorer les semaines qui ont précédé avec l'exposition « 1940, les Parisiens dans l'exode ».
Sau bốn năm bị Đức Quốc Xã chiếm đóng, thủ đô Paris của Pháp được giải phóng vào ngày 25/08/1944. Nhân dịp 75 năm sự kiện này, vào đúng ngày 25/08/2019, bảo tàng Giải Phóng Paris, tọa lạc trong một tòa nhà ở quảng trường Denfert-Rochereau, quận 14, mở cửa đón công chúng. Thực ra, trước đây, bảo tàng nằm ở tầng trên của ga Montparnasse, một ga tàu lớn của Paris. Lối vào bảo tàng không được chỉ dẫn rõ ràng, khó tìm, khó đi, nên cho dù có từ năm 1994, nhưng bảo tàng vẫn không thu hút được đông du khách như chính quyền thành phố mong đợi. Tính trung bình, mỗi năm chỉ có 14.000 người tới thăm, một con số khiêm tốn so với giá trị lịch sử đích thực của công trình vốn mang ý nghĩa biểu tượng về nền tự do của Paris. Chính quyền thành phố hy vọng bảo tàng mới, với cách dẫn dắt mới, sẽ thuyết phục được công chúng tại một thành phố vốn được coi là « thiên đường » của các bảo tàng, với nhiều công trình văn hóa lịch sử hoành tráng. Trong tháng đầu sau khi mở cửa, bảo tàng đã thu hút khá đông du khách, những người ưa thích tìm hiểu lịch sử và gắn bó với Paris. Theo ghi nhận của phóng viên RFI Việt ngữ khi đến thăm bảo tàng, không chỉ có người Pháp mà còn có rất nhiều người nước ngoài, người Anh, Mỹ …không chỉ có những người cao tuổi mà cả rất đông thanh niên, học sinh, sinh viên. Với tên đầy đủ là bảo tàng Giải Phóng Paris - bảo tàng tướng Leclerc - bảo tàng Jean Moulin, công trình dành nhiều không gian giới thiệu cuộc đời và sự nghiệp của hai gương mặt Pháp nổi bật trong Đệ Nhị Thế Chiến, và nhất là công cuộc giải phóng Paris khỏi ách Đức Quốc Xã. Cuộc hành trình qua các phòng trưng bày sẽ mang lại cho người xem những cảm nhận chân thực về Đệ Nhị Thế Chiến, về Paris qua những mốc thời gian quan trọng, từ khi thành phố bị phát xít Đức chiếm đóng, đánh phá vào năm 1940, cho tới khi tìm lại được tự do vào năm 1944. Bảo tàng mới tại quảng trường Denfert-Rochereau quy tụ được 7.000 hiện vật, từ những chiếc đèn pin, mặt nạ chống hơi độc, bộ sưu tập vải may quân phục cho sư đoàn thiết giáp số 2, chiếc áo hay cây gậy của tướng Leclerc, ghế ngồi hay va li của Jean Moulin … cùng hàng ngàn tài liệu nguyên bản, ảnh, sách báo, tư liệu lưu trữ, và hơn 125 bản ghi hình, ghi âm lời kể của các nhân chứng của cuộc chiến … Điều thú vị nhất với nhiều người có lẽ là cơ hội được xuống hầm chỉ huy của đại tá Henri Rol Tanguy, lãnh đạo lực lượng kháng chiến của vùng Paris, một trong những vị chỉ huy tiếng tăm trong công cuộc giải phóng Paris. Hầm chỉ huy của đại tá Henri Rol Tanguy Được xây dựng năm 1938 làm khu vực trú ẩn và hoạt động của các cơ quan hành chính đề phòng trường hợp Paris bị ném bom, nhưng trên thực tế, trong thời kỳ Paris bị chiếm đóng, khu hầm chỉ « đóng cửa, để không ». Khu tầng hầm rộng khoảng 600 m2, nằm sâu lưới lòng đất, cách mặt đất hơn 20m, khoảng hơn 100 bậc cầu thang. Hầm được đại tá Tanguy sử dụng làm « đại bản doanh » chỉ trong vài ngày, dù là ngắn ngủi nhưng mang ý nghĩa quyết định đối với công cuộc giải phóng Paris những ngày nửa cuối tháng 08/1944. Trong một phóng sự trên đài France Inter ngày 29/08/2019, bà Syvie Zedman, giám đốc bảo tàng giới thiệu : « Chúng ta đang đứng trước cánh cửa hầm trú ẩn. Đây là một cánh cửa lớn kiên cố rất kín, bởi vì trước khi xảy ra chiến tranh, khi xây cửa này, người ta sợ bị tấn công bằng khí gaz. Vì thế, cửa này rất kín. Chúng ta đang ở độ sâu 20m dưới lòng đất, gần như ở độ sâu dưới đường tàu điện ngầm. Đây là tầng có hầm chỉ huy của đại tá Rol. Trong văn phòng của ông ấy, quý vị nhìn này, có dòng chữ PC ROL (có nghĩa là phòng chỉ huy của tướng Rol). Và đây, quý vị đang đứng trong văn phòng của đại tá Rol Tanguy. Đương nhiên là bây giờ trong căn phòng này quý vị thấy không còn gì cả, chỉ còn lại không gian và không khí của thời đó thôi. Chúng tôi vẫn giữ lại các đường dây điện cũ. Chúng tôi chỉ sơn lại và phục chế một vài tấm biển báo. Còn đây là chỗ của bà Cécile Rol Tanguy (vợ của Rol Tanguy). Thực ra, vào thời đó, bà Cécile Rol Tanguy chính là thư ký của đại tá Rol. Chúng tôi muốn chỉ cho du khách thấy các hình ảnh Paris bị ném bom để họ hiểu là người ta đã lường trước nguy cơ đó và cho xây hầm trú ẩn này trong nội thành Paris, bên dưới tòa nhà này. Đây là hầm trú ẩn của các đơn vị kỹ thuật của thành phố. Không khí tại nơi đây hồi tháng 08/1944 thực sự nhộn nhịp, tấp nập giống bên trong một tổ kiến. Có những nhân viên đến, mang theo các tin tức, có những người thì thu thập thông tin tình báo và tổng hợp tin tức. Người đi người đến, người ra người vào cứ như những chú kiến trong tổ kiến vậy (…) Và ở đây, vẫn còn tổng đài điện thoại (…) Hầm trú ẩn này rộng khoảng 600m2, và chúng tôi mở cửa cho du khách thăm quan khu vực rộng khoảng 250m2 ». Sau khi Paris thoát khỏi ách chiếm đóng của phát xít Đức, tầng hầm kiên cố lại bị bỏ không. Đại tá Henri Rol Tanguy thỉnh thoảng vẫn về thăm « chốn cũ ». Rồi sau này, khu hầm thu hút nhiều cataphile - tức là những người thường trốn đi thám hiểm các hầm mộ chằng chịt sâu dưới lòng đất Paris. Chính quyền thành phố quyết định cho phục dựng lại khu hầm, giữ nguyên hệ thống điện, các biển chỉ dẫn cách nay 75 năm, chỉ xóa bỏ các bức tranh graffiti vẽ trên tường sau này. Những câu chuyện có thật Có thể nói, bảo tàng sở hữu một kho báu vô giá về lịch sử. Mỗi hiện vật gợi nhắc về một câu chuyện có thật, không chỉ liên quan đến các vị tướng lĩnh, những người chỉ huy cuộc kháng chiến, mà còn về những con người rất đỗi bình thường trong số biết bao người dân Paris thời đó. Đó có thể một quyển sách nhỏ mà một phụ nữ tham gia đội quân kháng chiến tìm thấy khi bị nhốt trong nhà tù Fresnes năm 1944 và đã dùng nó để ghi lại những cảm tưởng, suy nghĩ của mình trong những ngày tháng bà bị giam cầm. Bên trong một tủ kính trưng bày khác, du khách có thể ngắm nhìn một chiếc váy đặc biệt có vẽ hình tháp Eiffel và Khải Hoàn Môn Paris. Chiếc váy do một bà mẹ Paris may khi thủ đô sắp được giải phóng. Bà đã mặc chiếc váy đó và đi đón chào đoàn quân chiến thắng trên đại lộ Champs-Élysées vào ngày 26/08/1944, mà người dẫn đầu không ai ngoài vị tướng Charles de Gaulle. Dạo bước trong các gian trưng bày, người xem còn có thể hình dung phần nào những khó khăn thiếu thốn và cả mối nguy hiểm rình rập người dân Paris thời bị Đức quốc xã chiếm đóng. Nào là thông báo của phát xít Đức đe dọa bắt giam, xử tử người thân của những người tham gia kháng chiến, những tài liệu hướng dẫn người dân cách dùng mặt nạ chống độc, tìm hầm trú ẩn nếu thành phố bị ném bom, những cuốn sổ phân phối thực phẩm, tem phiếu … Paris đã trải qua những tháng ngày đen tối nhất trong lịch sử, điều đó phần nào được tái hiện qua bức ảnh Hitler đứng “tạo dáng” chụp ảnh trước tháp Eiffel, một trong những biểu tượng không chỉ của Paris mà còn của cả nước Pháp, hay lá cờ chữ thập ngoặc của Đức Quốc Xã tung bay trên nóc những tòa nhà mà quân Đức chiếm đóng, những thước phim về cảnh phố xá Paris đổ nát vì bị ném bom … Không khí cuộc chiến thời Đệ Nhị Thế Chiến còn được tái hiện qua những âm thanh vang vọng đâu đó, tiếng máy đánh điện tín, tiếng máy bay vang trên bầu trời, tiếng còi báo động máy bay đến … Nhưng vượt qua những tháng ngày đen tối, Paris đã được giải phóng ! Với nhiều du khách, sau chuyến tham quan, một trong những điều để lại cảm xúc mạnh mẽ là câu nói nổi tiếng của tướng De Gaulles ngày nào : « … Paris, Paris đã bị lăng nhục, Paris đã bị đánh phá, Paris đã bị đọa đày, nhưng Paris đã được giải phóng ! Được chính mình giải phóng, được chính người dân thành phố giải phóng, dưới sự phối hợp của quân đội Pháp, với sự trợ giúp và hợp tác của cả nước Pháp … » 75 năm đã trôi qua, nhưng ký ức về những tháng ngày lịch sử đau thương, cuộc sống khó khăn, thiếu thốn, đầy hiểm nguy khi Paris bị chiếm đóng, thời khắc niềm vui sướng vỡ òa khi thành phố được giải phóng vẫn còn đó, và càng được khắc họa rõ nét qua hành trình ngược dòng lịch sử tại bảo tàng Giải Phóng Paris !
Au menu de l'actu ce vendredi soir:- Basket : La leçon argentine. Les Bleus se sont inclinés 80-66 en demi-finales de la Coupe du monde. La finale opposera l’Espagne à l’Argentine. Le live du match à retrouver sur 20 Minutes.- Procès du couple Balkany. Reconnu coupable de « fraude fiscale », le maire de Levallois-Perret a été condamné à quatre ans de prison ferme. Il a été emmené à la prison de la Santé. Le reportage de Vincent Vantighem sur notre site.- Le musée de la Libération de Paris a ouvert le 25 août. Fauteuil et cendrier du résistant Jean Moulin, tenues militaires du général Leclerc... 300 documents et objets de la Seconde guerre mondiale sont rassemblés dans cet ancien bunker place Denfert-Rochereau à Paris. Sylvie Zaidman, directrice du musée, s’est confiée à mon collègue Pierre Cloix.Anne-Laetitia BéraudCrédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits/Bisquit soul de Noodgroove - Fugue Icons8.com/Bruitage, loop : universal-soundbank.com Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:08:52 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Sylvie Zaidman est l'invitée de 7h50 de Laetitia Gayet. Elle est directrice du musée du Général Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris - musée Jean-Moulin, qui rouvre ses portes ce dimanche 25 août 2019 place Denfert-Rochereau à Paris, à l'occasion des 75 ans de la Libération de la capitale.
Rendez-vous à Denfert-Rochereau avec la C.A.T.A (La Compagnie de l'Aventure Trépidante et Acoustique) pour une longue randonnée dans le grand réseau sud des catacombes de Paris. Tous les 4 passionnés de son et d'aventure nous sommes partis enregistrer des bruitages, des réverbérations, des ambiances et nos angoisses dans le célèbre sous-sol parisien. Vous venez avec nous ?
Rendez-vous à Denfert-Rochereau avec la C.A.T.A (La Compagnie de l'Aventure Trépidante et Acoustique) pour une longue randonnée dans le grand réseau sud des catacombes de Paris. Tous les 4 passionnés de son et d'aventure nous sommes partis enregistrer des bruitages, des réverbérations, des ambiances et nos angoisses dans le célèbre sous-sol parisien. Vous venez avec nous ?
Rendez-vous à Denfert-Rochereau avec la C.A.T.A (La Compagnie de l'Aventure Trépidante et Acoustique) pour une longue randonnée dans le grand réseau sud des catacombes de Paris. Tous les 4 passionnés de son et d'aventure nous sommes partis enregistrer des bruitages, des réverbérations, des ambiances et nos angoisses dans le célèbre sous-sol parisien. Vous venez avec nous ?
L'Albanie de Jérôme [caption id="attachment_74639" align="aligncenter" width="1024"] Ergest, Inès et Jérôme depuis la Maison de l'Albanie.[/caption] Pour cette première émission de la saison 2018-2019, direction l'Albanie où Jérôme a séjourné durant l'été. Désireux de voyager de façon plus "écolo", il voulait rejoindre l'Albanie sans prendre l'avion. Avec son ami, il sont donc passés par l'Italie et la Grèce en empruntant trains et bateau mais aussi en faisant de l'autostop. Une fois en Grèce, ils ont longé la côte Adriatique en passant par Sarandë et Dhërmi. Puis, ils se sont rendus à Berat, ville inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, avant de redescendre vers le Sud-Est pour randonner vers Përmet. Après ça, ils ont fait du stop jusqu'à Korçë et ont séjourné quelques jours autour du lac d'Ohrid, à cheval entre l'Albanie et la Macédoine. A la fin, ils sont passés à Tirana, la capitale depuis 1920 seulement, et ont terminé par quelques jours dans les montagnes du Nord, vers Theth, dans la province de Shkodër. [caption id="attachment_74640" align="aligncenter" width="348"] Frontière Albanie-Monténégro dans les environs de Theth et Vusanje - Crédits photo : Jérôme Perrot[/caption] [caption id="attachment_74641" align="aligncenter" width="348"] Eglise Saint Jean de Kaneo à Orhid (côté Macédoine) - Crédits photo : Jérôme Perrot[/caption] Si Jérôme a été déçu par la Riviera albanaise très touristique et très urbanisée, en revanche, il a adoré les parties montagneuses des terres intérieures, beaucoup plus préservées. Au programme : des randonnées, des nuits de camping sauvage et des baignades dans les canyons. Il a aussi été agréablement surpris par Berat, une ville construite dans la pierre, ainsi que par Tirana où il a pu profiter d'un concert US un tantinet déjanté pour les Albanais. Jérôme voulait visiter l'Albanie car il était intrigué par ce pays, longtemps fermé au reste du monde (47 années de régime communiste sous Enver Hoxha), qui s'est soudainement ouvert dans les années 90. Aujourd'hui, de cette époque, il reste surtout...des bunkers ! [caption id="attachment_74642" align="aligncenter" width="302"] Hugo, l'ami de Jérôme, à Berat - Crédits photo : Jérôme Perrot[/caption] [caption id="attachment_74643" align="aligncenter" width="379"] Hugo et Jérôme dans les sources chaudes de Bunja dans les environs de Permet - Crédits photo : Jérôme Perrot[/caption] Gjergji et Ergest nous ont reçus à la Maison de l'Albanie, place Denfert Rochereau. Comme le veut la coutume, ils nous ont accueillis avec du raki, un alcool fort à base de raisin. Jérôme nous a d'ailleurs raconté une soirée albanaise où on l'a nourri exclusivement au raki. Mémorable ! Programmation musicale : -Xhamadani Vija Vija interprété par Elvana Gjata, Flori Mumajesi, Mentor Haziri -NRGQ de (Chk Chk Chk) Réalisation et diffusion : Ecriture, montage, voix : Inès Edel-Garcia Durée : 15 min environ Emission diffusée le 10 octobre 2018
Rendez-vous sur les quais de Denfert-Rochereau, une surprise vous attend !