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Dans un bar en banlieue parisienne, Sébastien Thoen a réconforté Jean-Luc Mélenchon autour d'un verre de pastis, la veille de la grande mobilisation contre la réforme des retraites. Du lundi au vendredi, à 7h20 sur RTL, découvrez le nouveau rendez-vous humour de la matinale, avec Bertrand Chameroy, Mathieu Madénian, Elodie Poux, Sébastien Thoen et Sandrine Sarroche. Chaque jour, un humoriste délivre son billet d'humeur, mais surtout son regard décalé sur l'actualité. Ecoutez "RTL Sans filtre" avec Sébastien Thoen du 19 janvier 2023
EXPERTS BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » SOPHIE FAY Journaliste - « Le Monde » Spécialiste des questions de transports BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe « Le million sera dépassé ». Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, s'est montré satisfait aujourd'hui dans le cortège parisien contre la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. Les images d'une place de la République noire de monde a fait le tour des médias, marquant ainsi l'acte un de la grande mobilisation sociale qui s'annonce. Des manifestants en nombre, dans la capitale comme en province, des grèves et des perturbations à l'école comme dans les transports : les syndicats unis promettent de faire reculer le gouvernement sur ce texte. « Le gouvernement a perdu la première bataille » en a conclu Jean-Luc Mélenchon, alors que certains salariés du privé ont participé au mouvement. Mais de son côté, l'exécutif ne s'estime pas vaincu, bien au contraire, assurant qu'il fera passer ce texte de loi « nécessaire » quel que soit l'ampleur de la contestation dans la rue. « Cette réforme sera adoptée », a affirmé la présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée, Aurore Bergé. Celle-ci assure toutefois que le gouvernement « continuera à tendre la main, négocier et concerter » avec les contestataires. Mais les membres de la majorité s'élèvent contre la mobilisation qui commence : « un droit de grève n'est pas un droit de blocage », estiment-ils. Cette situation rappelle en tout cas celle de 1995. À l'époque, le gouvernement d'Alain Juppé avait dû retirer son texte de réforme des retraites. Celui-ci prévoyait un allongement de la durée de cotisation pour les fonctionnaires, les salariés d'EDF, de la SNCF, de la RATP ou encore de la Poste. Les manifestations avaient alors atteint des sommets dans la rue, jusqu'à deux millions de Français avaient défilé à l'unisson. Une équipe de C dans l'air est allé retrouver les acteurs majeurs de ce conflit alors que la gauche et les syndicats de 2023 espèrent le même scénario. La réforme voulue par le gouvernement d'Elisabeth Borne contient en réalité plusieurs points de crispations comme la fin des régimes spéciaux et le report de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. Si les retraités aux petites retraites pourraient en sortir gagnants avec une pension minimum élevée à 1200 euros bruts, les perdants seraient surtout les jeunes travailleurs qui devront cotiser 44 ans au lieu de 43. Alors, la mobilisation sociale peut-elle faire céder le gouvernement ? Quelles avaient été les ingrédients de 1995 pour que la rue gagne face à Juppé ? Qui seraient les vrais gagnants et les vrais de cette nouvelle réforme ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:02:06 - Le vrai du faux - D'après le président de la région Hauts-de-France, si la réforme des retraites est adoptée, un comptable de la RATP pourra partir à la retraite avant le nouvel âge légal.
La journée de grève contre la réforme des retraites, jeudi 19 janvier, se prépare, et les salariés de la SNCF et de la RATP, sont en pointe. En quoi ces régimes spéciaux sont-ils concernés par la réforme annoncée ?
La journée de grève contre la réforme des retraites, jeudi 19 janvier, se prépare, et les salariés de la SNCF et de la RATP, sont en pointe. En quoi ces régimes spéciaux sont-ils concernés par la réforme annoncée ?
Après la présentation de la réforme des retraites par Elisabeth Borne, divers syndicats ont annoncé une journée de mobilisation générale le 19 janvier prochain. Des raffineries ainsi que la RATP ont déjà répondues à l'appel.
Après l'annonce de la réforme des retraites par le gouvernement, la contestation sociale s'organise. On s'attend ainsi à des grèves dans les transports, au sein de l'éducation... Mais dans les raffineries aussi, la mobilisation menace, avec les conséquences que cela implique. Pascal Perri se demande alors si les raffineries vont être de nouveau bloquées ? Notre éditorialiste mentionne aussi les secteurs qui peuvent paralyser le pays : l'énergie (Gaz, électricité, raffineries), les transports (SNCF, RATP) et l'Éducation nationiale. Jean-Yves Rolland, le maire de Callac dans les Côtes-d'Armor en Bretagne, a annoncé qu'il abandonne le projet ambitieux mais contesté d'accueil des réfugiés d'un centre dans sa petite commune. Ce projet baptisé "Horizon" a divisé le village. Pour Jean-Michel Aphatie, cette histoire est intéressante dans la mesure où ces familles réfugiées, étrangers, sont en situation régulière. Et elles ont tendance à se regrouper à la périphérie des villes. Notre éditorialiste estime qu'on peut les aider à s'intégrer dans notre société. Berlin ressuscite la guerre du charbon. L'événement s'est passé dans la Rhénane du Nord Westphalie, autour du village de Lutzerath qui va être rasé après avoir été vidé de ses habitants. En Allemagne, on rase des villages pour pouvoir étendre les mines de charbon puisque le pays a arrêté le nucléaire. Ce qui met en colère les militants écologistes. Mais pour Abnousse Shalmani, le problème du parti écologiste allemand, c'est qu'il s'est fondé sur les combats contre le nucléaire. Et dans ce cas-là, notre éditorialiste d'affirmer qu'il est difficile de changer son fusil d'épaule climatique. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
durée : 00:13:48 - Superfail - par : Guillaume Erner - Depuis la rentrée de septembre, le service en transports en commun en région île de France paraît particulièrement dégradé. Mais comment expliquer cette situation ? - invités : Gilles Dansart Journaliste, rédacteur en chef du site Mobilettre et spécialiste du transport ferroviaire
Yves Benchimol, président directeur général et cofondateur de WeWard, était l'invité de Stéphane Pedrazzi dans Tech & Co, ce mercredi 4 janvier. Il est revenu sur le partenariat signé entre la start-up et la RATP, dans le but d'inciter les Parisiens à faire du sport, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
« Infernale et déshumanisée. » Voici comment est qualifiée la ligne B du RER qui traverse la région parisienne du nord au sud. Elle est empruntée par environ un million de voyageurs par jour, et arrive à saturation. Les travaux, les grèves récurrentes depuis septembre, les retards et les problèmes techniques quotidiens excèdent les usagers. D'autant que depuis le 1er janvier, le prix des titres de transport a augmenté. Par Fanny Gelb Quai bondé, consignes de sécurité diffusées par des hauts-parleurs, c'est un vacarme incessant qui envahit la station Châtelet du RER B direction Mitry-Claye, en pleine heure de pointe. Pour ce travailleur qui se rend chaque jour du centre de Paris à la banlieue nord, ce RER est un « service public qui ne fonctionne plus ». « Ce sont des problèmes de régularité, de train et puis là, depuis maintenant bientôt 2 ans, des interruptions dues à des chantiers qui empêchent tous les soirs des quasiment tous les week-ends de se rendre de façon simple sur ce trajet par exemple », explique-t-il. La crainte que la situation se détériore Des problèmes que justifie Grégoire de Lasteyrie, le vice-président d'Île-de-France Mobilités, l'autorité organisatrice des transports. Il met en avant la difficulté de recruter des personnels, mais aussi l'exploitation quasi continue de la ligne. « Dans n'importe quelle ligne, quand vous décidez de la moderniser, ça a forcément des impacts », avance-t-il. « C'est lié au fait que l'on exploite 7 jours sur 7, 365 jours par an et quasiment 24h24 parce qu'en fait le réseau, il a arrêté à peine quelques heures, la nuit ». Mais pour Jean-Marie Baty, membre du Comité des usagers du RER B Nord, la fin des travaux ne signifierait pas une amélioration du service. « On craint beaucoup que cette situation ne se détériore avec la mise en route du CDG Express dans la mesure où il sera prioritaire. Sur tous les autres, s'il y a la moindre panne, le moindre incident avec un usager, il n'y aura plus de dégagement possible. C'est l'ensemble du RER B qui sera pénalisé », prévient Jean-Marie Baty. Une nouvelle tarification excessive selon les usagers Retour sur le quai du RER. Axel, la trentaine et emmitouflé dans sa doudoune noire, s'énerve contre la récente hausse des tarifs des titres de transports. « Ça empiète sur nos finances. Déjà que ce n'est pas facile avec les dépenses d'ordinaire », souligne-t-il. Pourtant, Michel Savy, économiste spécialiste des transports, rappelle que les usagers ne payent que 30% du coût total du transport. Cette mesure servirait donc surtout à renflouer les comptes d'Île-de-France Mobilités. La question du financement est quand même un peu une condition qui fixe les limites de ce qu'on peut et ce qu'on ne peut pas faire. Beaucoup de villes en France ont connu une baisse de la part des recettes commerciales par rapport à l'ensemble des coûts et donc une augmentation nécessaire, soit des subventions publiques, soit des contributions des entreprises. Rendez-vous le 13 janvier prochain sur demande de la présidente d'Île-de-France Mobilités, Valérie Pécresse où la RATP et la SNCF présenteront « leur plan de redressement de la qualité de service. »
durée : 00:25:42 - 8h30 franceinfo - Le ministre délégué en charge des Transports était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 22 décembre 2022.
Korea24 – 2022.12.19. (Monday) News Briefing: North Korea's claims that the MRBM launch it conducted on Sunday was an "important, final phase" test to put a military reconnaissance satellite into space. (Daniel Choy) In-Depth News Analysis : According to a recent report released by the Ministry of Health and Welfare, over 3,300 people died lonely deaths(고독사) in South Korea last year, and this number has been continuously growing. Reporter Seo Ji-eun from the Korea Joongang Daily joins the show to discuss the issue. Korea Trending with Walter Lee: 1. Roh-So-young, the wife of SK Group Chairperson Chey Tae-won, appealed a court's divorce ruling which ordered him to pay 66.5 billion won in property division and an alimony of 100 million won. (노소영 "SK주식 혼인 중 샀다" 665억원 분할 불복 항소) 2. A local court handed down a suspended sentence to a man in his twenties who had been stalking a mother and her ten-year-old son. They were complete strangers. The suspended sentence was because of the man's expression of remorse, and his intellectual disability. (양구서 생면부지 10세 아동과 친모 따라다니며 스토킹한 20대) 3. Trains running on Paris Metro's Line 1 will have announcements warning passengers of pickpockets available in Korean. The S.Korean Embassy in France worked with the operator RATP to have the announcements on when the capital sees a surge in tourists. ("조심하세요"…파리 지하철역서 한국말 방송 나온다, 무슨 내용) Monday Sports Roundup : Sports journalist Yoo Jee-ho from the Yonhap News Agency begins with Argentina’s victory at the Qatar World Cup. He then brings us news of speed skater Kim Min-sun continuing her winning streak and swimmer Hwang Sun-woo defending his title despite an injury. Morning Edition Preview with Katie Suh: In tomorrow’s Korea Herald, Hwang Dong-hee writes about the revival of a Joseon Royal Banquet that was held in 1902.
La régie des transports parisiens n'échappe pas à l'inflation et à la pénurie de main-d'œuvre qui touchent l'ensemble du pays. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités font le point sur la délicate augmentation du Pass navigo francilien alors que nouveau directeur de la RATP et ex-Premier ministre, Jean Castex, entre en fonction.Vous souhaitez prendre la parole et nous aider à poursuivre le développement de nos podcasts et plus largement des services « Les Echos » ? Nous vous invitons à rejoindre notre panel de lecteurs pour partager très prochainement votre opinion sur nos podcasts en suivant ce lien.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en décembre 2022. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Isabelle Ficek (journaliste au service Politique des « Echos ») et Enrique Moreira (journaliste au service Entreprises des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : NICOLAS MESSYASZ/SIPA. Sons : RATP Group, TF1, RTL, Serge Gainsbourg « Le poinçonneur des Lilas » (1959). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'émission 28 Minutes du 07/12/2022 Au programme de l'émission du 7 décembre 2022 ⬇ Avec le collectif Tg STAN, Molière prend l'accent belge Au collectif théâtral Tg STAN, il n'y a pas de hiérarchie. Le principe démocratique prévaut : tout le monde participe aux choix des textes, des costumes, du décor, et même des éclairages et des affiches. Cofondée par les comédiens et metteurs en scène Jolente De Keersmaeker et Damiaan De Schrijver, la compagnie belge offre un répertoire riche et varié, qui fait la part belle aux œuvres d'auteurs dramatiques classiques comme Tchekhov, Gorki, Schnitzler, Ibsen, Bernhard ou Pinter, placées dans un contexte contemporain. À l'occasion de l'Année Molière qui fête ses 400 ans de naissance, la troupe joue "Poquelin II", un "best of Molière" librement inspiré de "L'Avare" et du "Bourgeois gentilhomme". À retrouver du 8 au 19 décembre au théâtre de la Bastille. Pour en parler, Jolente De Keersmaeker et Damiaan De Schrijver sont sur notre plateau. Retraite à 65 ans : les Français sont-ils prêts à l'accepter ? La réforme des retraites sera officiellement présentée le 15 décembre aux partenaires sociaux, même si Elisabeth Borne en a déjà annoncé les grandes lignes qui semblent peu négociables. L'âge de départ en retraite du régime général passera de 62 à 65 ans. Dans la fonction publique, les actifs dits "de terrain" qui partent aujourd'hui à la retraite à 52 ou 57 ans, comme la police, verront également leur âge de départ repoussé. Quant aux régimes spéciaux (RATP, EDF…), ils seront supprimés, mais pour les nouveaux recrutés uniquement. C'est la fameuse "clause du grand-père". La réforme entrera en vigueur dès l'été 2023, et la première génération concernée sera celle née au second semestre de 1961. Selon une enquête IFOP en septembre dernier, seuls 22 % des sondés se disent favorables à un recul de la retraite à 65 ans. À l'Assemblée, le 49.3. pourrait être dégainé si aucun terrain d'entente n'est trouvé. Dans un contexte social et économique tendu, la réforme des retraite ne risque-t-elle pas d'être une bombe ? On en débat avec nos invités. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Alix Van Pée. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 7 décembre 2022 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Avec nos amis de la RATP, nos vannes sont toujours aussi graves, mais toujours aussi drôles.. Abonnez-vous au contenu complet et exclusif ici : https://bit.ly/3eixU2K
Les Franciliens ont découvert le nouveau prix de l'abonnement mensuel du Passe Navigo, pour prendre les transports en Île-de-France. Celui-ci va augmenter de 12%, soit environ 10 euros par mois. En a-t-on vraiment pour notre argent ? "Pour l'usager, 12% c'est beaucoup", estime Bruno Gazeau, président national de la Fédération des usagers des transports. "Mon angoisse, c'est à la fois le prix et la qualité de service. Actuellement, les services publics sont très désorganisés". "Depuis la rentrée, on a un bus sur dix qui ne fonctionne pas chaque jour", déplore Grégoire de Lasteyrie, conseiller régional d'Île-de-France et maire de Palaiseau. "Nous demandons à la RATP et à la SNCF de revenir au plus vite possible à une offre nominale à 100%".
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » Alors qu'Emmanuel Macron, en visite cette semaine aux Etats-Unis, s'en est pris au plan de lutte contre l'inflation passé par le président américain, jugé protectionniste, et a mis en garde contre le risque de « fragmenter l'Occident », en France la hausse de prix et la crise de l'énergie suscitent des inquiétudes mais aussi des tensions sociales. Depuis l'automne les revendications salariales se font entendre dans de nombreuses d'entreprises pour compenser l'inflation, et ce mois de décembre s'annonce agité sur le front social. Ainsi après une première mobilisation, les salariés de la RATP n'excluent plus une grève illimitée en décembre si leur nouveau patron, Jean Castex, ne répond pas à leurs attentes. A la SNCF, alors que s'ouvrent les négociations salariales annuelles, un premier mouvement des contrôleurs contraint la compagnie ferroviaire à annuler 60 % de ses TGV et Intercités de vendredi à dimanche, et d'autres grèves sont déjà prévues d'ici à la fin de l'année, y compris à Noël. Et cette colère s'exprime aussi dans le secteur de la santé où médecins généralistes et biologistes libéraux ont décidé de fermer cabinets et laboratoires ce jeudi et vendredi, les uns pour réclamer des hausses de tarifs, les autres pour éviter un « coup de rabot ». Dans ce climat social particulièrement tendu, et alors que le froid s'installe dans l'Hexagone, le gouvernement commence à préparer les entreprises et les habitants à des coupures de courant qui pourraient survenir dans le pays, compte tenu du manque de production nucléaire. Avec en ligne pour le moment, le mois de janvier qui - selon le gestionnaire du réseau de transport d'électricité RTE - présente un risque de tension « élevé », même en cas de « vague de froid modérée ». Mais l'exécutif est empêtré dans les affaires et dans la polémique sur le recours aux cabinets de conseil, notamment depuis l'ouverture de deux informations judiciaires visant les campagnes électorales de 2017 et 2022 du président. La première est ouverte des chefs de « tenue non conforme de comptes de campagne » et « minoration d'éléments comptables dans un contexte de campagne ». La justice soupçonne des salariés du cabinet de conseil McKinsey d'avoir travaillé bénévolement pour la campagne d'Emmanuel Macron en 2017. La seconde information judiciaire concerne des faits de « favoritisme ». À savoir la contrepartie du travail bénévole réalisé par les équipes de McKinsey. Depuis, le débat sur le recours dans les ministères à des cabinets de conseil est relancé. Si Bruno Le Maire a reconnu qu'il y a eu « des abus », Olivier Véran a assuré ne pas savoir « ce qu'est une dérive ou un abus ». De son côté le chef de l'Etat avait estimé vendredi dernier qu'il n'était pas au coeur de l'enquête du Parquet national financier et avait jugé « normal » que la justice fasse son travail. Par la suite, le président de la République s'en est allé aux États-Unis rendre visite à Joe Biden, mais l'actualité a continué de bruisser de ses démêlés avec le parquet national financier (PNF), ainsi que ceux de son secrétaire général à l'Élysée Alexis Kohler, mis en examen en septembre dernier pour « prise illégale d'intérêts » ou encore de la démission de sa ministre des Collectivités territoriales, Caroline Cayeux, après que la HATVP ait saisi la justice pour des soupçons d'« évaluation mensongère » de sa déclaration de patrimoine et de « fraude fiscale ». Du côté des Républicains qui s'apprêtent à élire un nouveau président, c'est l'affaire Gaël Perdriau qui secoue le parti. S'il n'est plus un membre de LR, il est toujours maire de Saint-Étienne. Eric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié, les trois candidats à la tête de LR, ont appelé hier à sa démission après un dernier épisode révélé par Médiapart. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:13:45 - Superfail - par : Guillaume Erner - Aramis était un mode de transport censé révolutionner la société française dans les années 70. Lancé par la RATP, ce projet de métro atypique ne verra finalement jamais le jour. En 1987, le sociologue Bruno Latour est missionné pour réaliser un audit et comprendre les raisons de cet échec. - invités : Jérôme Denis Sociologue, enseignant chercheur au Centre de sociologie de l'innovation aux Mines ParisTech
As the director of L&D for a transportation company, Lola has her work cut out for her however she has stepped up to the challenge. Let's talk about it --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app
EXPERTS GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction – « Challenges » ÉLIE COHEN Économiste Auteur de « Souveraineté Industrielle » FANNY GUINOCHET Éditorialiste – « France Info » et « La Tribune » PASCALE HEBEL Directrice associée chez C-WAYS Spécialiste des questions de consommation « On va vers un tsunami ». Ce commentaire de Michel-Edouard Leclerc sur l'inflation n'est pas passé inaperçu cette semaine, il a même affolé. Car le tsunami en question, celui des prix, déferlerait en 2023 sur la France selon la patron des magasins E.Leclerc. L'inflation en France, pourtant moins forte que chez nos voisins européens, se fait déjà ressentir depuis plusieurs semaines. En octobre, les prix alimentaires avaient déjà augmenté en moyenne de 11,8 % sur un an. Chiffrée actuellement à 6,2 %, l'inflation pourrait, selon le chef d'entreprise, passer le cap des 10 % début 2023. « Arrêtons de jouer avec les peurs des Français » a répondu Bruno le Maire. Le ministre de l'économie estime au contraire que l'inflation refluera l'an prochain. Une passe d'armes qui intervient alors que les stations service sont prises d'assaut. Les ristournes du gouvernement et de TotalEnergies prennent fin ce 15 novembre au soir et le portefeuille des automobilistes va donc en prendre un coup. Et si le froid apparaît cet hiver, c'est aussi le prix pour se chauffer qui risque de flamber fortement. Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé la mise en place d'un chèque énergie exceptionnel de 100 ou 200 euros pour les Français se chauffant au fioul. Un ensemble de symptômes d'une crise inflationniste qui pourrait déboucher sur une crise sociale En Grèce, la contestation s'étend actuellement, entre manifestations massives et grève générale. Dans l'Hexagone, ce sont les salariés de la RATP qui se sont fait entendre ce jeudi avec une grève importante. La revalorisation du travail est en question, l'exigence d'une indexation des salaires sur l'inflation surtout. En France comme au Royaume-Uni, les travailleurs constatent qu'ils n'arrivent plus à vivre de leur travail. Pendant ce temps-là, à Fessenheim en Alsace, la centrale nucléaire est à l'arrêt depuis 2020 et divise encore les habitants de la région. Certains estiment que celle-ci aurait été bien utile dans le contexte actuel... Alors, allons-nous vraiment vers un « tsunami » des prix comme l'annonce Michel-Edouard Leclerc ? Devons-nous indexer les salaires sur l'inflation ? La crise énergétique doit-elle nous faire revoir notre position sur le nucléaire ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:21:11 - Journal de 12h30 - Peu de métros circulaient aujourd'hui à Paris en raison d'une grève à l'appel de l'ensemble des syndicats de la RATP, tandis que d'autres secteurs, invités à cesser le travail par la seule CGT, devraient connaître une mobilisation plus modeste. - invités : Laurence Nardon Responsable du programme Amérique du Nord de l'Ifri, productrice du podcast hebdomadaire "New Deal" sur Slate
durée : 00:16:05 - Journal de 8 h - Pour une hausse générale des salaires, l'appel est national. Souvent lancé par la seule CGT, qui demande à ce que les secteurs d'activités s'alignent sur l'inflation, a minima, pour augmenter les salariés. La grève s'accompagnera ce jeudi de rassemblements.
durée : 00:21:11 - Journal de 12h30 - Peu de métros circulaient aujourd'hui à Paris en raison d'une grève à l'appel de l'ensemble des syndicats de la RATP, tandis que d'autres secteurs, invités à cesser le travail par la seule CGT, devraient connaître une mobilisation plus modeste. - invités : Laurence Nardon Responsable du programme Amérique du Nord de l'Ifri, productrice du podcast hebdomadaire "New Deal" sur Slate
Marceau refait l'info du 10 novembre 2022
Marceau refait l'info du 10-11-2022
durée : 00:03:11 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Une grève des transports publics que Jean Castex vient d'être nommé à la tête de la RATP, Daniel Morin pense que l'ancien premier ministre a la poisse.
durée : 00:16:05 - Journal de 8 h - Pour une hausse générale des salaires, l'appel est national. Souvent lancé par la seule CGT, qui demande à ce que les secteurs d'activités s'alignent sur l'inflation, a minima, pour augmenter les salariés. La grève s'accompagnera ce jeudi de rassemblements.
Après avoir été premier ministre lors du premier quinquennat de notre président puis à la tête de l'AFITF (l'agence de financement des infrastructures de transport de France), Jean Castex est désormais a prit la direction de notre cher métro parisien, en tant que PDG de la RATP. Jean Castex a été nommé par Emmanuel Macron, avec une méthode que beaucoup qualifient d'injustifiable. Il n'y a en effet aucune légitimité du Président à intervenir directement dans le processus de nomination. La liste des candidats n'était en effet pas définitive le samedi 15 octobre quand Emmanuel Macron a reçu Jean Castex, et les auditions n'étaient pas achevées. En tant que PM, Castex a rendu plusieurs arbitrages relatifs au contexte institutionnel de l'évolution de la RATP. L'ancien premier ministre devra « s'abstenir de toute démarche » auprès de ses anciens ministres, précise l'avis de la HATVP Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Alors, conflit d'intérêts ou nomination éclairée ? Nadyia Lazzouni revient sur cette promotion qui soulève des questions notamment sur la transparence de notre gouvernement, avec Gilles Dansart, rédacteur en chef du site Mobilettre, le média spécialisé dans les transports, qui a sorti cette exclusivité. ▶ Soutenez Le Média :
Avec : Bruno Pomart, ancien policier du Raid. Johnny Blanc, fromager. Et Marie-Anne Soubré, avocate. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Pascal Praud du 25 octobre 2022 / Prime contre l'absentéisme à la RATP : est-ce choquant ?
Ecoutez Le débrief des auditeurs ont la parole avec Laurent Tessier du 25 octobre 2022 / Myriam, conductrice de bus : "des insultes tous les jours" / Pascal Praud devient parolier / Jean-Alphonse Richard et son thermomètre personnel / Eric Jean-Jean, 60 ans de la musique pop
Mercredi 19 octobre, Emmanuel Macron a choisi Jean Castex pour devenir le PDG de la RATP. Une question de compétence selon Alba Ventura.
L'émission 28 Minutes du 21/10/2022 Au programme de l'émission du 21 octobre 2022 ⬇ Ce vendredi, la directrice de la rédaction de "Marianne" Natacha Polony, l'essayiste Antoine Buéno, et l'historien Pascal Blanchard ainsi que la dessinatrice Louison reviennent sur l'actualité de la semaine. L'artiste pochoiriste Jef Aerosol les rejoindra en cours d'émission pour nous parler du street art. Jusqu'au 5 novembre, la galerie Mathgoth à Paris est consacrée à l'exposition « Jef Aérosol – 40 ans de pochoir ». Retour sur deux actualités de la semaine :Énergie. La crise énergétique perdure et les factures s'envolent dans toute l'Europe. Malgré la tenue d'un Conseil européen jeudi et vendredi, l'Union européenne semble divisée sur la marche à suivre. Paris reproche à Berlin de s'isoler sur la question énergétique. L'Allemagne émet également des doutes sur le plafonnement des prix du gaz en Europe, proposé notamment par la France et l'Italie. L'unité européenne montre-t-elle ses premières failles depuis le début de la guerre en Ukraine ? Grèves. Les mouvements de grèves sur les sites pétroliers semblent s'essouffler et la situation se stabilise petit à petit. Le "mardi noir", cette journée d'action interprofessionnelle annoncée par la CGT, n'a rassemblé que 110 000 personnes et n'a pas donné suite. En revanche, 12 des 18 sites nucléaires français sont en grève. Peut-il y avoir un autre déclencheur à la colère sociale ? Le gouvernement l'a-t-il finalement déminée ? Une grosse polémique politique a éclaté suite à l'assassinat de la petite Lola. L'extrême droite a profité du meurtre pour critiquer le gouvernement sur l'immigration et l'insécurité. En cause : l'obligation de quitter le territoire français (OQTF) qui planait au-dessus de la principale suspecte. Le gouvernement dénonce une récupération politique indigne et ignoble. Marine Le Pen vs. Eric Dupond-Moretti, c'est le duel de Frédéric Says. Un ancien Premier ministre à la tête des transports parisiens, qui l'eût cru ? Pourtant Jean Castex vient bien d'être nommé PDG de la RATP par Emmanuel Macron. Une annonce qui fait réagir autant les internautes que les actuels membres du gouvernement. C'est le Point Com de Sonia Chironi ! La bataille fait rage autour de l'héritage de Georges Brassens. Dans son histoire de la semaine, Claude Askolovitch revient sur le conflit entre Serge et Eve Cazzani, neveu et petite-nièce du poète, et PierreOnténiente, son secrétaire et complice de toujours. Notre Une internationale est celle du quotidien britannique “The Guardian” qui titre ''Une fin amère'', désignant la démission de la Première ministre Liz Truss et le chaos qui règne au Royaume-Uni. Retrouvez enfin les photos de la semaine sélectionnées avec soin par nos clubbistes et la “Dérive des continents” par Benoît Forgeard. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 21 novembre 2022 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:56:17 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour d'Edouard Marguier, les informés débattent de l'actualité du mercredi 19 octobre.
durée : 00:03:48 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Tous les feux seraient au vert pour que l'ex-Premier ministre devienne le prochain patron de la RATP…
durée : 00:03:48 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Tous les feux seraient au vert pour que l'ex-Premier ministre devienne le prochain patron de la RATP…
durée : 00:02:37 - Le héros du jour - par : Daniel Morin - Le héros du jour aurait pu être Jean Castex qui va surement devenir le prochain patron de la RATP, mais pour autant non, Daniel lui a préféré Patrick Pouyanné, patron de Total-Energie qui s'est octroyé cette année une augmentation de plus de 50%.
Bonjour tout le monde et bienvenue pour ce nouvel Instant Porcher ! L'Instant Porcher c'est un petit moment qu'on se prend, entre nous, avec Thomas Porcher, chaque semaine pour décrypter l'actualité. Car on le sait, le discours est politique et les comprendre est un véritable enjeu démocratique. Au programme aujourd'hui : Plutôt que de diviser, la mobilisation des raffineurs a impulsé un mouvement pour la hausse des salaires ! Après la grève des salariés de Total et Esso Exxonmobil (non reconduite chez Esso), les cheminots avec la CGT et Sudrail rejoignent la mobilisation ce mardi avec la grève nationale interprofessionnelle à l'appel de la CGT, FO, Solidaires, la FSU et les organisations de jeunesse Fidl, Unef, MNL et la Vie lycéenne. Une grève pour “l'augmentation des salaires, des pensions et minima sociaux, et l'amélioration des conditions de vie et d'études” et “la défense du droit de grève” après la réquisition par le gouvernement des salariés Esso pendant la grève. Des préavis tombent de partout et dans toute la France : services publics, industrie, EDF, RATP, SNCF, chauffeurs routiers, et j'en passe. On dirait que la gestion de crise du gouvernement a provoqué l'effet inverse. La grève des raffineries peut-elle engendrer une grève générale ? Peut-on soutenir les raffineries et être contre les énergies fossiles ? On décrypte tout ça avec Thomas. Puis on analyse la réforme de l'assurance chômage ainsi que les autres votes du Parlement la semaine passée : taxe sur les dividendes, exit taxe. C'est l'Instant Porcher. ▶ Soutenez Le Média :
EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique - « France Info » EMMANUELLE SOUFFI Journaliste - « Le Journal du Dimanche » Spécialiste des questions sociales DOMMINIQUE SEUX Directeur délégué de la rédaction - « Les Echos » Le bras de fer continue entre les salariés de TotalEnergies, la direction du groupe et l'Etat et la situation se tend de plus en plus dans le pays. Un tiers des stations-service sont toujours affectées par la rupture d'au moins un carburant selon la ministre de la Transition énergétique et demain la grève lancée à l'appel de la CGT, FO, la FSU et les syndicats de la jeunesse devrait toucher de nombreux secteurs. Les transports ( SNCF, RATP, routiers), l'énergie, la santé, l'éducation nationale ou la fonction publique ont déjà répondu à l'appel à la mobilisation. Avec au cœur des revendications : la question des salaires. Pour lutter contre la hausse des prix, la CGT demande l'augmentation du Smic à 2 000 euros brut et l'indexation des salaires sur l'inflation, avec le retour du système d'échelle mobile salaires-prix supprimé en 1983. La question de la hausse des salaires est également reprise par la Nupes, dans la rue dimanche lors d'une manifestation contre la vie chère, mais aussi dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale où les débats sur le Budget se poursuivent. Mais jusqu'à quand ? Le gouvernement attend le bon moment pour sortir l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter sans vote la première partie de son projet de Budget puisqu'il n'a pas de majorité absolue. Ce ne sera pas pour aujourd'hui a indiqué Elisabeth Borne, sans doute pas demain jour de manifestations, mais probablement mercredi. Car depuis une semaine les oppositions ont multiplié les victoires dans l'hémicycle faisant adopter la taxation des super-dividendes ou encore le retour de l'exit tax. Alors que va décider l'exécutif ? Et à quoi faut-il s'attendre demain ? Se dirige-t-on vers une grève générale ? Comment sortir de la crise ? Faut-il indexer les salaires sur l'inflation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 01:58:51 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Un appel à la grève interprofessionnelles est lancée pour le mardi 18 octobre par la CGT, la FO et le FSU. La SNCF, la RATP et la fonction publique ont déjà répondues présentes. - invités : Dominique Méda Professeure de sociologie à Paris-Dauphine, Productrice chez France Culture; Leïla De Comarmond Journaliste sociale pour le quotidien « Les Echos ».
durée : 00:13:33 - Accès privé France Bleu Paris - Dans Accès privé, Murielle Giordan vous emmène dans des lieux où le public ne peut pas aller... Cette semaine elle a assisté au casting des musiciens du métro ! Et vous allez voir que la concurrence est rude : 1000 artistes tentent leur chance mais seulement 300 repartiront avec le précieux sésame.
Experts JEAN VIARD Sociologue - Directeur de recherche au Cevipof/CNRS SANDRA HOIBIAN Directrice générale du CRÉDOC CHRISTINE KERDELLANT Rédactrice en chef - « Les Échos » THOMAS PORCHER Économiste Mardi noir en prévision en France ? L'action de blocage se poursuit en tout cas dans les raffineries et les dépôts de carburants de TotalEnergies. Et elle pourrait bien faire tache d'huile. La CGT, FO, Solidaires, la FSU et les organisations de la jeunesse ont appelé à la grève générale mardi 18 octobre. De nombreux secteurs pourraient rejoindre le mouvement. Si la revendication principale est une hausse des salaires pour faire face à l'inflation, les salariés de toutes branches professionnelles souhaitent aussi protester contre les récentes réquisitions du personnel dans les raffineries, en grève depuis une quinzaine de jours. Comme pour le secteur pétrolier, depuis plusieurs semaines, des mouvements sociaux ont été observés dans plusieurs centrales nucléaires, notamment dans celle de Gravelines, la plus importante de France et même d'Europe de l'Ouest. Au total, huit réacteurs sont concernés par des ralentissements sur les opérations de maintenance. Les employés de la RATP et de la SNCF sont aussi attendus ce mardi, à l'appel de la CGT Cheminots, le premier syndicat représentatif à la SNCF. Et ce ne sont pas les réquisitions décidées par le gouvernement qui ont apaisé la situation, bien au contraire. La fédération des Transports CGT a dénoncé « une attaque frontale contre l'exercice du droit de grève », et a, elle aussi, appelé les routiers à rejoindre la grève. Les employés des Ehpad mais aussi les lycées professionnels pourraient également se joindre au mouvement et permettre la "convergence des luttes" que la CGT espère. Les prochains jours seront décisifs pour la suite du mouvement. La situation de hausse des prix actuelle est évidemment imputable au conflit en cours en Ukraine et à la raréfaction conséquente de nombreuses matières premières. C'est notamment le cas pour les énergies fossiles, comme le pétrole et le gaz. Les volumes disponibles, moins importants, ont entrainé une explosion des prix qui a des répercussions sur toute l'économie. Mais n'y a-t-il pas des acteurs économiques qui profitent de ce contexte inflationniste pour augmenter leur profit ? Les secteurs de l'agroalimentaire et de la grande distribution sont à cet égard pointés du doigt. Si chacun se renvoie la balle, un phénomène n'a pas échappé aux associations de défense des consommateurs. Il s'agit de la réduflation, ou de la "shrinkflation", en anglais. L'idée est simple : réduire la quantité des produits, pour diminuer, voire masquer la hausse des prix aux clients. La pratique serait utilisée par de plus en plus de fabricants pour mieux faire passer les augmentations de prix, et certains magasins ne joueraient pas le jeu de la transparence. Si la pratique n'est pas interdite en soi, elle ne doit pas être opaque. Les étiquettes doivent donc afficher le prix au kilo actualisé, et non pas celui qui avait cours avant la "réduflation". Et ceci, afin de permettre aux consommateurs de comprendre que la taille du produit en question a été réduite, pour que ce dernier reste au même prix, ou que la hausse de son prix ne soit pas trop forte. De très nombreux produits seraient concernés. Dans plusieurs secteurs d'activité, c'est à un manque de main d'œuvre que sont confrontés les employeurs. Dans l'agriculture, une solution pour pallier cette carence peut être de faire appel à des travailleurs étrangers, notamment dans la période des vendanges, qui nécessite beaucoup de bras. Le secteur de l'hôtellerie-restauration rencontre également de grandes difficultés à recruter. Cette situation peut-elle permettre de changer le rapport de force entre patrons et salariés ? Plusieurs employeurs ont déjà dû se résoudre à offrir à leurs salariés de meilleures conditions de travail ou de rémunération. Le passage à une semaine de quatre jours ou encore l'augmentation des salaires sont des éléments qui peuvent convaincre et permettre l'embauche de personnel. Quels seront les secteurs au rendez-vous de la journée de mobilisation de mardi ? Y a-t-il des profiteurs de crise parmi les acteurs de l'agroalimentaire et de la grande distribution ? La pénurie de main d'œuvre dans certains secteurs peut-elle vraiment permettre de changer le rapport de force entre patrons et salariés ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste - « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques ERWAN BENEZET Journaliste en charge de l'énergie « Le Parisien - Aujourd'hui en France » La CFE-CGC et la CFDT disent oui, la CGT répond non. A l'issue d'une nuit de négociations un accord a été signé par les deux syndicats majoritaires de TotalEnergies mais pas par les grévistes. Le compromis trouvé prévoit d'après le groupe pétrolier une augmentation des salaires de 7 % et une prime allant de 3 000 à 6 000 euros. « Mascarade » rétorque la CGT qui a quitté les discussions à 2 heures du matin. Les propositions sur la table, 5 % de hausse des salaires fixes plus les traditionnelles mesures annuelles liées aux performances, « sont largement insuffisantes ». « C'est en dessous de l'inflation c'est-à-dire que Total Energies refuse à minima de couvrir l'inflation » a déclaré Alexis Antonioli, secrétaire général CGT de la plateforme TotalEnergies Normandie. « Nous, on demande 10 % », une hausse correspondant à « l'inflation plus le partage des richesses, puisque Total se porte bien et que les actionnaires ont été servis depuis longtemps », a souligné le leader cégétiste, Philippe Martinez, ce vendredi sur France Info. « Pour le moment, 5 % c'est loin de 10 % (…) Les salariés n'acceptent pas la proposition de la direction, il faut renégocier », a-t-il ajouté. « On a un patronat qui a décidé de garder tous les bénéfices pour lui. Si Total ne partage pas, personne ne partagera », a estimé de son côté le secrétaire CGT du comité européen TotalEnergies avant d'appeler à « une réaction globale. (...) il faut maintenant appeler à l'indexation des salaires sur l'inflation » en France. Le syndicat FO souhaite lui aussi que la hausse des salaires compense au moins l'inflation actuelle qui est à 6,8 %. En attendant, si dans les deux raffineries Exxon-Mobil les grévistes ont voté la reprise du travail, sur les sites Total Energies il n'est pour l'instant pas question d'arrêter le mouvement. Désormais la CGT a la grève interprofessionnelle de mardi prochain en ligne de mire et appelle à élargir partout le mouvement. Dans plusieurs secteurs, SNCF, RATP, fonction publique, les appels à la grève sont lancés quand chez EDF le mouvement débuté depuis plusieurs jours se prolonge et paralyse les travaux de maintenance dans huit réacteurs nucléaires. Un nouveau risque pour EDF qui manque cruellement de marges de manœuvre pour répondre à la demande d'électricité cet hiver. Alors que prévoit l'accord signé par la CFE-CGC et la CFDT ? Que se passe-t-il dans les centrales nucléaires d'EDF ? Se dirige-t-on vers une grève générale ? Comment sortir de la crise ? Faut-il une indexation des salaires sur l'inflation ? Pouyanné ? Pourquoi six ONG ont assigné le groupe pétrolier en justice pour son projet d'oléoduc en Tanzanie et en Ouganda ? Enfin Berlin vient de confirmer que l'Allemagne va entrer en récession en 2023. Quelle est la situation dans le pays ? Quelles conséquences en Europe ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Voici l'épisode 257 de "la quotidienne iWeek" en ce vendredi 14 octobre 2022. La RATP envoie des portiques du métro à Cupertino pour peaufiner le pass Navigo sur iPhone. Présentation : Benjamin VINCENT (@benjaminvincent) + Fabrice NEUMAN (@fabriceneuman). Production : OUATCH Audio. Tags : Steve est vivant ou presque ; Navigo sur iPhone ; scanner d'iris ; de 599 à 30.000 $ ; adieu Office. Montage photo : @anri_do. Bonne découverte de "la quotidienne iWeek" si vous nous écoutez pour la première fois, parlez de nous autour de vous, retweetez-nous (@iweeknews), bonne journée, bonne écoute, et à demain ! Benjamin VINCENT & la team #iweekLQI PS1 : rejoignez la communauté iWeek sur Patreon et bénéficiez de bonus exclusifs ! PS2 : retrouvez-nous aussi, pour iWeek (la semaine Apple) , notre podcast hebdo, désormais en ligne chaque mercredi soir. PS3 : le nouvel épisode d'iWeek (la semaine Apple) n°107 est disponible !
À l'appel du premier syndicat à la SNCF, la CGT cheminots, et de SUD-Rail, une grève aura lieu mardi 18 octobre sur les rails. La mobilisation est reconductible, les salariés grévistes décideront ainsi chaque jour de la poursuivre ou non lors d'une assemblée générale. Après les grèves annoncées dans les raffineries et à la SNCF, d'autres branches rejoignent le mouvement. La CGT RATP a aussi appelé à cesser le travail mardi, ce qui pourrait fortement perturber les transports en commun parisiens selon l'intensité du mouvement. La CGT commerce et services, qui rassemble les hôtesses de caisse, les agents de sécurité ou encore le personnel de la petite enfance, a quant à elle appelé à une mobilisation dès ce vendredi 14 octobre. Force ouvrière, Solidaires et FSU ont indiqué jeudi soir qu'ils allaient se joindre à la journée de mobilisation interprofessionnelle mardi, aux côtés de la CGT. La CFDT et la CFE-CGC n'ont quant à elles pas appelé à la grève.
Aujourd'hui, Marilyne et moi vous emmenons au BHV. Cette visite nous a énormément plu ! Ce n'est peut-être pas le plus touristique des grands magasins, mais pour vivre un instant parisien, c'est le plus authentique. Le BHV fait partie de la vie des Parisiens et c'est le grand magasin qui est le plus proche de l'esprit du grand magasin où l'on trouve tout. Nous n'avons pas mentionné le rez-de-chaussée où vous pourrez aussi acheter des souvenirs, notamment au stand de la RATP, l'entreprise qui gère le métro parisien. On y va ? www.onethinginafrenchday.com
« Le bras de fer s'engage à l'Assemblée », titre Les Échos : « Le gouvernement se lance dans la bataille politique ». En effet, l'examen des textes budgétaires démarre ce lundi à l'Assemblée nationale, « après une semaine de débats agités en commission des finances ». Et « même si le gouvernement assure vouloir faire vivre le débat », l'idée de recourir à l'article 49.3 de la Constitution n'est « pas écartée », observe le quotidien économique. Un article qui permet une adoption du texte sans vote des députés. Le Figaro va plus loin : si la bataille parlementaire s'annonce rude, avec plus de 3 300 amendements déposés, en l'absence de majorité, dans une Assemblée fragmentée, « on sait déjà que le 49.3 mettra fin au débat ». « La seule interrogation, c'est quand », estime Le Figaro. Cet épisode devrait donc plutôt être « un révélateur politique et social pour toute la suite du quinquennat », selon le journal. Car « derrière le budget 2023, c'est bien la présidentielle 2027 qui est déjà dans toutes les têtes ». La pénurie de carburants dans les stations-essence Avant toute chose, prévient La Croix, « gare aux effets d'optique ». « Les longues files d'attente qu'on observe depuis plusieurs jours devant les stations-essence françaises ne sont pas la conséquence d'une pénurie structurelle de carburants, mais de la grève qui paralyse trois raffineries de TotalEnergies », grève reconduite ce dimanche. C'est « la pompe à retardement », pour Libération. En effet, « sur fond de superprofits des pétroliers », c'est bien ce conflit salarial qui entraîne la fermeture de nombreuses stations-essence. Et ce conflit inquiète Libé autant que l'exécutif. Vendredi à Prague, Emmanuel Macron a appelé les automobilistes au calme, car il sait que ce type de mouvement sectoriel « peut facilement faire tâche d'huile et agréger d'autres colères ». Une piste de sortie de crise tout de même : TotalEnergie s'est dit prêt hier à négocier « sous réserve de la fin des blocages ». L'Humanité dénonce ici « un chantage aux grévistes ». Où sont passés les chauffeurs de bus ? Plus d'essence dans les stations et, en Île-de-France, plus de chauffeurs dans les bus… « Mais où sont passés les chauffeurs de bus ? », se demande Le Parisien Aujourd'hui en France. « Plus de 1 500 conducteurs manquent à l'appel à Paris et en Île-de-France », résultat : les passagers, eux, « attendent de plus en plus longtemps » et deviennent des « galériens du quotidien ». Alors le journal enquête sur ce qu'il qualifie de « long dérapage » et il constate notamment une « étrange épidémie d'arrêts maladie » à la RATP, la régie des transports parisiens. Des arrêts souvent justifiés « par l'augmentation des agressions, par les changements de condition de travail, par des burn out », explique un syndicaliste. Mais il y aussi ces cas révélés par Île-de-France Mobilités, ajoute Le Parisien. Par exemple, « onze arrêts médicaux consécutifs de onze médecins différents, pour mal de ventre, forcément ça questionne », peut-on lire. Au total, « 500 arrêts maladies frauduleux ont été détectés », des tampons de médecins ont notamment été dérobés pour faire des faux. La RATP et la Caisse d'assurance maladie ont « porté plainte pour faux et usage de faux », apprend-on. Soixante personnes ont déjà été licenciées, et une soixantaine de procédures sont en cours. La mort de Bruno Latour Il était une figure majeure de la pensée écologique. Hommage ce lundi dans les journaux « au penseur du tournant écologique ». C'est ainsi que Bruno Latour est présenté en Une de La Croix. Le philosophe français est mort à l'âge de 75 ans. Le « meta penseur », comme l'appelle Libération, « au carrefour de la sociologie, de l'anthropologie et de l'écologie, le chercheur avait notamment théorisé l'importance des éléments sociaux dans l'élaboration des faits scientifiques ». Mais en effet, rappelle Libération, « c'est sans doute comme penseur de l'écologie politique que Bruno Latour a eu le plus d'influence, notamment auprès du grand public ». Le retour de Laurent Blanc Une disparition remarquée donc, mais un retour également ce matin dans la presse. Sur la scène football, « Place au président », titre L'Équipe. « Président », c'est le surnom de Laurent Blanc qui effectue son retour en Ligue 1. L'ancien coach du PSG a été nommé entraîneur de l'Olympique Lyonnais. Voilà qui signe pour lui « la fin d'une longue traversée du désert », souligne L'Équipe. En effet, depuis son départ du PSG en 2016, Laurent Blanc n'a entraîné que quatorze mois, et au Qatar. Et même si son nom a été « cité un peu partout », aucun grand club européen ne lui a fait confiance. Sa signature à Lyon lui offre donc l'occasion de « redorer son image ». Premier test dès dimanche à Rennes, il aura pour mission de relancer des joueurs lyonnais « tétanisés », une équipe « à la dérive » selon L'Équipe. Laurent Blanc va donc probablement sortir les rames.
Ce 29 septembre, s'est tenue une grande grève interprofessionnelle, à paris et partout en France. Le Média était au cœur de l'événement, au cœur des luttes. Il a notamment envoyé deux reporters couvrir le cortège parisien, où la foule était descendue pour protester contre la réforme des retraites ou encore la vie chère. Les réformes du gouvernement sont au cœur de toutes les inquiétudes des manifestations, puisque dans une France déjà durement touchée par l'inflation, la perspective de la réforme des retraites et de l'assurance-chômage fait monter la colère. Assistera-t-on à une nouvelle révolte du type gilets jaunes ? Ou Macron réussira-t-il à faire passer ses réformes en force ? Pour débriefer cette journée de mobilisation et évoquer l'avenir des luttes , notre journaliste Nadiya Lazzouni reçoit Adrien Cornet, délégué syndicat CGT de la raffinerie de Grandpuits en Normandie, détenue par Total. Il s'est opposé à plusieurs reprises à la multinationale, dont il a dénoncé le greenwashing et les mensonges. Nadia reçoit également Ahmed Berrahal, machiniste RATP, qui a payé au prix fort son engagement syndical puisque la RATP a tenté de le licencier. Avec eux, Le Média fait le bilan de la journée de mobilisation aujourd'hui dans cette seconde partie de « Toujours debout » une journée de grève, mais aussi de manifestations et de blocages partout en France, contre la politique de démolition sociale entreprise par la macronie. ▶ Soutenez Le Média :
Certains artistes reconnus ont commencé leur carrière en chantant dans la rue ou les stations de métro. Mais une telle activité ne peut être entreprise sans l'accomplissement préalable de certaines démarches et l'obtention d'autorisations spécifiques. Deux autorisations indispensables Les chanteurs ou les musiciens de rue doivent solliciter deux sortes d'autorisations. Pour chanter, ils doivent occuper, durant un certain temps, une parcelle de rue ou de place, qui font partie de l'espace public. Comme les restaurateurs, qui installent leurs terrasses dans la rue, ils doivent alors solliciter une autorisation d'occupation temporaire de l'espace public, ou AOT. Comme son nom l'indique, cette autorisation n'est pas permanente. Le chanteur ou le musicien doivent la demander à la Mairie concernée. Pour l'obtenir, ils doivent remplir un formulaire spécifique et décrire leur installation et la manière dont ils entendent occuper le domaine public. Par ailleurs, le spectacle proposé par un chanteur de rue est censé attirer un public, qui va stationner sur la chaussée pour écouter l'artiste. La législation le concernant est donc assimilée, d'une certaine façon, à celle qui régit les Établissements recevant du public, ou ERP. Le chanteur de rue doit donc, comme le responsable d'un ERP, solliciter une autorisation d'ouverture au public. Les artistes du métro Plus encore que les rues et les places, les couloirs du métro sont considérés par les artistes comme un endroit privilégié pour exercer leur talent. C'est, en effet, l'occasion de se produire devant un public souvent distrait mais toujours renouvelé. Mais, là encore, il ne suffit pas d'entrer dans le métro et de s'installer. En effet, la RATP elle-même, qui gère les transports en commun parisiens, a pris les choses en main. Deux fois par an, au printemps et à l'automne, elle organise des auditions, qui lui permettent de sélectionner les musiciens et chanteurs qui lui paraissent les plus talentueux. Ils reçoivent alors le label « Musiciens du métro », qui représente un véritable sésame dans les milieux musicaux. En 2017, la RATP a même organisé un grand concert à l'Olympia, pour célébrer les 20 ans de cette initiative. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices