Podcasts about les juifs

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Eglise la bonne nouvelle - Dijon
La rencontre de Jésus avec une femme de Samarie. Jean 4:1-24

Eglise la bonne nouvelle - Dijon

Play Episode Listen Later May 18, 2025 50:41


Les pharisiens avaient entendu dire que Jésus faisait et baptisait plus de disciples que Jean. (A vrai dire, Jésus lui-même ne baptisait personne, il laissait ce soin à ses disciples.) Lorsque Jésus l'apprit, il quitta la Judée et retourna en Galilée. Il lui fallait donc traverser la Samarie. C'est ainsi qu'il arriva près d'une bourgade de Samarie nommée Sychar, non loin du champ que Jacob avait jadis donné à son fils Joseph. C'est là que se trouvait le puits de Jacob. Jésus, fatigué du voyage, s'assit au bord du puits. Il était environ midi. Une femme samaritaine vint pour puiser de l'eau. Jésus s'adressa à elle : S'il te plaît, donne-moi à boire un peu d'eau. (Ses disciples étaient allés à la ville pour acheter de quoi manger.) La Samaritaine s'exclama : Comment ? Tu es Juif et tu me demandes à boire, à moi qui suis Samaritaine ? (Les Juifs, en effet, évitaient toutes relations avec les Samaritains .) Jésus lui répondit : Si tu savais quel don Dieu veut te faire et qui est celui qui te demande à boire, c'est toi qui lui aurais demandé à boire et il t'aurait donné de l'eau vive . – Mais, Maître, répondit la femme, non seulement tu n'as pas de seau, mais le puits est profond ! D'où la tires-tu donc, cette eau vive ? Tu ne vas pas te prétendre plus grand que notre ancêtre Jacob, auquel nous devons ce puits, et qui a bu lui-même de son eau ainsi que ses enfants et ses troupeaux ? – Celui qui boit de cette eau, reprit Jésus, aura de nouveau soif. Mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif. Bien plus : l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source intarissable qui jaillira jusque dans la vie éternelle. – Maître, lui dit alors la femme, donne-moi de cette eau-là, pour que je n'aie plus soif et que je n'aie plus besoin de revenir puiser de l'eau ici. – Va donc chercher ton mari, lui dit Jésus, et reviens ici. – Je ne suis pas mariée, lui répondit-elle. – Tu as raison de dire : Je ne suis pas mariée. En fait tu l'as été cinq fois, et l'homme avec lequel tu vis actuellement n'est pas ton mari. Ce que tu as dit là est vrai . – Maître, répondit la femme, je le vois, tu es un prophète. Dis-moi : qui a raison ? Nos ancêtres ont adoré Dieu sur cette montagne-ci . Vous autres, vous affirmez que l'endroit où l'on doit adorer, c'est Jérusalem. – Crois-moi, lui dit Jésus, l'heure vient où il ne sera plus question de cette montagne ni de Jérusalem pour adorer le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient du peuple juif. Mais l'heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père par l'Esprit et en vérité ; car le Père recherche des hommes qui l'adorent ainsi. Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent par l'Esprit et en vérité. ' Jean 4:1-24

Reportage International
Présidentielle en Roumanie: les minorités menacées par les groupuscules d'extrême droite

Reportage International

Play Episode Listen Later May 14, 2025 2:33


En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour

Reportage international
Présidentielle en Roumanie: les minorités menacées par les groupuscules d'extrême droite

Reportage international

Play Episode Listen Later May 14, 2025 2:33


En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour

C'est en France
Résistance : quand le clergé français sauvait les juifs pendant la Seconde guerre mondiale

C'est en France

Play Episode Listen Later May 7, 2025 12:26


Dans la France défaite de 1940, le clergé accueille le maréchal Pétain en sauveur. Mais quand les grandes rafles commencent à l'été 1942, des pasteurs protestants et des prélats catholiques s'insurgent contre les déportations. Leurs mots viennent briser le silence des institutions et alimenter la flamme de la Résistance, tandis que des écoles et des couvents ouvrent leurs portes aux réfugiés juifs.

Choses à Savoir
Pourquoi les Juifs religieux portent-ils la barbe ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 2:02


Chez les Juifs religieux, notamment au sein des courants orthodoxes et hassidiques, la barbe longue et non taillée est un signe distinctif très répandu. Mais loin d'être un simple choix esthétique ou culturel, cette pratique plonge ses racines dans les textes sacrés du judaïsme, la tradition rabbinique, et une symbolique spirituelle riche de sens.Une prescription bibliqueLe fondement principal de cette coutume se trouve dans le Livre du Lévitique (19:27), où il est écrit :« Vous ne raserez pas les bords de votre tête, et tu ne détruiras pas les coins de ta barbe. »Cette injonction est interprétée par la tradition comme une interdiction de raser certaines parties spécifiques du visage avec une lame directe (comme un rasoir). Bien que le texte ne précise pas exactement quelles zones sont concernées, les sages du Talmud ont identifié cinq zones de la barbe qu'il est interdit de raser à l'aide d'une lame métallique.Ainsi, pour rester fidèles à cette interprétation stricte, de nombreux Juifs religieux choisissent de ne pas toucher du tout à leur barbe, évitant même les ciseaux ou les tondeuses dans certains courants.Une marque d'humilité et de respectAu-delà de l'interdit, la barbe est également perçue comme un symbole de piété, de sagesse et de respect de la création divine. Ne pas intervenir sur la pousse naturelle de la barbe, c'est accepter le corps tel que Dieu l'a créé, sans chercher à le modifier. Certains y voient aussi une forme d'humilité, en contraste avec les pratiques plus "mondaines" de toilettage ou de recherche de séduction.La kabbale et la barbe sacréeDans la mystique juive (kabbale), la barbe est investie d'une dimension spirituelle profonde. Elle est associée à des notions de bonté, de miséricorde et d'abondance divine. Les treize mèches de la barbe sont parfois reliées aux "treize attributs de miséricorde" de Dieu mentionnés dans l'Exode (34:6-7). Pour les kabbalistes, la barbe devient un canal sacré par lequel la bénédiction divine descend sur le monde.Une identité visuelleEnfin, la barbe fonctionne aussi comme un marqueur d'identité religieuse. Dans des sociétés où les signes visibles de religiosité sont rares, la barbe permet d'affirmer son appartenance à une communauté et à un mode de vie fondé sur la Torah. Elle s'inscrit souvent aux côtés d'autres signes distinctifs comme la kippa, les papillotes (peot) ou les vêtements traditionnels.ConclusionLaisser pousser sa barbe n'est donc pas un simple choix de style, mais un acte chargé de signification religieuse, spirituelle et culturelle. C'est un geste de fidélité à la Loi, un signe d'humilité devant Dieu, et un ancrage fort dans une tradition millénaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'Évangile du jour
Évangile du 18 avril : Passion de notre Seigneur Jésus Christ (Jn 18, 1 – 19, 42)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 14:10


Voici l'Évangile du vendredi 18 avril 2025 : Passion de notre Seigneur Jésus Christ (Jn 18, 1 – 19, 42) Indications pour la lecture dialoguée : les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants : X = Jésus ; L = Lecteur ; D = Disciples et amis ; F = Foule ; A = Autres personnages. L. En ce temps-là, après le repas, Jésus sortit avec ses disciples et traversa le torrent du Cédron ; il y avait là un jardin, dans lequel il entra avec ses disciples. Judas, qui le livrait, connaissait l'endroit, lui aussi, car Jésus et ses disciples s'y étaient souvent réunis. Judas, avec un détachement de soldats ainsi que des gardes envoyés par les grands prêtres et les pharisiens, arrive à cet endroit. Ils avaient des lanternes, des torches et des armes. Alors Jésus, sachant tout ce qui allait lui arriver, s'avança et leur dit : X « Qui cherchez-vous? » L. Ils lui répondirent : F. « Jésus le Nazaréen. » L. Il leur dit : X « C'est moi, je le suis. » L. Judas, qui le livrait, se tenait avec eux. Quand Jésus leur répondit : « C'est moi, je le suis », ils reculèrent, et ils tombèrent à terre. Il leur demanda de nouveau : X « Qui cherchez-vous? » L. Ils dirent : F. « Jésus le Nazaréen. » L. Jésus répondit : X « Je vous l'ai dit : c'est moi, je le suis. Si c'est bien moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir. » L. Ainsi s'accomplissait la parole qu'il avait dite : « Je n'ai perdu aucun de ceux que tu m'as donnés. » Or Simon-Pierre avait une épée ; il la tira, frappa le serviteur du grand prêtre et lui coupa l'oreille droite. Le nom de ce serviteur était Malcus. Jésus dit à Pierre : X « Remets ton épée au fourreau. La coupe que m'a donnée le Père, vais-je refuser de la boire ? » L. Alors la troupe, le commandant et les gardes juifs se saisirent de Jésus et le ligotèrent. Ils l'emmenèrent d'abord chez Hanne, beau-père de Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là. Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu'un seul homme meure pour le peuple. » Or Simon-Pierre, ainsi qu'un autre disciple, suivait Jésus. Comme ce disciple était connu du grand prêtre, il entra avec Jésus dans le palais du grand prêtre. Pierre se tenait près de la porte, dehors. Alors l'autre disciple – celui qui était connu du grand prêtre – sortit, dit un mot à la servante qui gardait la porte, et fit entrer Pierre. Cette jeune servante dit alors à Pierre : A. « N'es-tu pas, toi aussi, l'un des disciples de cet homme ? » L. Il répondit : D. « Non, je ne le suis pas ! » L. Les serviteurs et les gardes se tenaient là ; comme il faisait froid, ils avaient fait un feu de braise pour se réchauffer. Pierre était avec eux, en train de se chauffer. Le grand prêtre interrogea Jésus sur ses disciples et sur son enseignement. Jésus lui répondit : X « Moi, j'ai parlé au monde ouvertement. J'ai toujours enseigné à la synagogue et dans le Temple, là où tous les Juifs se réunissent, et je n'ai jamais parlé en cachette. Pourquoi m'interroges-tu ? Ce que je leur ai dit, demande-le à ceux qui m'ont entendu. Eux savent ce que j'ai dit. » L. À ces mots, un des gardes, qui était à côté de Jésus, lui donna une gifle en disant : A. « C'est ainsi que tu réponds au grand prêtre ! » L. Jésus lui répliqua : X « Si j'ai mal parlé, montre ce que j'ai dit de mal. Mais si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? » L. Hanne l'envoya, toujours ligoté, au grand prêtre Caïphe. Simon-Pierre était donc en train de se chauffer. On lui dit : A. « N'es-tu pas, toi aussi, l'un de ses disciples ? » L. Pierre le nia et dit : D. « Non, je ne le suis pas ! » L. Un des serviteurs du grand prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l'oreille, insista : A. « Est-ce que moi, je ne t'ai pas vu dans le jardin avec lui ? » L. Encore une fois, Pierre le nia. Et aussitôt un coq chanta. Alors on emmène Jésus de chez Caïphe au Prétoire. C'était le matin. Ceux qui l'avaient amené n'entrèrent pas dans le Prétoire, pour éviter une souillure et pouvoir manger l'agneau pascal. Pilate sortit donc à leur rencontre et demanda : A. « Quelle accusation portez-vous contre cet homme ? » L. Ils lui répondirent : F. « S'il n'était pas un malfaiteur, nous ne t'aurions pas livré cet homme. » L. Pilate leur dit : A. « Prenez-le vous-mêmes et jugez-le suivant votre loi. » L. Les Juifs lui dirent : F. « Nous n'avons pas le droit de mettre quelqu'un à mort. » L. Ainsi s'accomplissait la parole que Jésus avait dite pour signifier de quel genre de mort il allait mourir. Alors Pilate rentra dans le Prétoire ; il appela Jésus et lui dit : A. « Es-tu le roi des Juifs ? » L. Jésus lui demanda : X « Dis-tu cela de toi-même, Ou bien d'autres te l'ont dit à mon sujet ? » L. Pilate répondit : A. « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t'ont livré à moi : qu'as-tu donc fait ? » L. Jésus déclara : X « Ma royauté n'est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j'aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n'est pas d'ici. » L. Pilate lui dit : A. « Alors, tu es roi ? » L. Jésus répondit : X « C'est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. » L. Pilate lui dit : A. « Qu'est-ce que la vérité ? » L. Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs, et il leur déclara : A. « Moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. Mais, chez vous, c'est la coutume que je vous relâche quelqu'un pour la Pâque : voulez-vous donc que je vous relâche le roi des Juifs ? » L. Alors ils répliquèrent en criant : F. « Pas lui ! Mais Barabbas ! » L. Or ce Barabbas était un bandit. Alors Pilate fit saisir Jésus pour qu'il soit flagellé. Les soldats tressèrent avec des épines une couronne qu'ils lui posèrent sur la tête ; puis ils le revêtirent d'un manteau pourpre. Ils s'avançaient vers lui et ils disaient : F. « Salut à toi, roi des Juifs ! » L. Et ils le giflaient. Pilate, de nouveau, sortit dehors et leur dit : A. « Voyez, je vous l'amène dehors pour que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » L. Jésus donc sortit dehors, portant la couronne d'épines et le manteau pourpre. Et Pilate leur déclara : A. « Voici l'homme. » L. Quand ils le virent, les grands prêtres et les gardes se mirent à crier : F. « Crucifie-le! Crucifie-le! » L. Pilate leur dit : A. « Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le ; moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » L. Ils lui répondirent : F. « Nous avons une Loi, et suivant la Loi il doit mourir, parce qu'il s'est fait Fils de Dieu. » L. Quand Pilate entendit ces paroles, il redoubla de crainte. Il rentra dans le Prétoire, et dit à Jésus : A. « D'où es-tu? » L. Jésus ne lui fit aucune réponse. Pilate lui dit alors : A. « Tu refuses de me parler, à moi ? Ne sais-tu pas que j'ai pouvoir de te relâcher, et pouvoir de te crucifier ? » L. Jésus répondit : X « Tu n'aurais aucun pouvoir sur moi si tu ne l'avais reçu d'en haut ; c'est pourquoi celui qui m'a livré à toi porte un péché plus grand. » L. Dès lors, Pilate cherchait à le relâcher ; mais des Juifs se mirent à crier : F. « Si tu le relâches, tu n'es pas un ami de l'empereur. Quiconque se fait roi s'oppose à l'empereur. » L. En entendant ces paroles, Pilate amena Jésus au-dehors; il le fit asseoir sur une estrade au lieu dit le Dallage – en hébreu : Gabbatha. C'était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : A. « Voici votre roi. » L. Alors ils crièrent : F. « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » L. Pilate leur dit : A. « Vais-je crucifier votre roi ? » L. Les grands prêtres répondirent : F. « Nous n'avons pas d'autre roi que l'empereur. » L. Alors, il leur livra Jésus pour qu'il soit crucifié. Ils se saisirent de Jésus. Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. C'est là qu'ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu. Pilate avait rédigé un écriteau qu'il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. » Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l'endroit où l'on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c'était écrit en hébreu, en latin et en grec. Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : F. « N'écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs.” » L. Pilate répondit : A. « Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit. » L. Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c'était une tunique sans couture, tissée tout d'une pièce de haut en bas. Alors ils se dirent entre eux : A. « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l'aura. » L. Ainsi s'accomplissait la parole de l'Écriture : Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement. C'est bien ce que firent les soldats. Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : X « Femme, voici ton fils. » L. Puis il dit au disciple : X « Voici ta mère. » L. Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l'Écriture s'accomplisse jusqu'au bout, Jésus dit : X « J'ai soif. » L. Il y avait là un récipient plein d'une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d'hysope, et on l'approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : X « Tout est accompli. » L. Puis, inclinant la tête, il remit l'esprit. (Ici on fléchit le genou, et on s'arrête un instant.) Comme c'était le jour de la Préparation (c'est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d'autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu'on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l'autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu'il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l'eau. Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu'il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez. Cela, en effet, arriva pour que s'accomplisse l'Écriture : Aucun de ses os ne sera brisé. Un autre passage de l'Écriture dit encore : Ils lèveront les yeux vers celui qu'ils ont transpercé. Après cela, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus. Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d'aloès pesant environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus, qu'ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d'ensevelir les morts. À l'endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n'avait encore déposé personne. À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c'est là qu'ils déposèrent Jésus.   Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

L'Évangile du jour
Évangile du 10 avril : « Si quelqu'un garde ma parole, jamais il ne verra la mort » (Jn 8, 51-59)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 2:31


Voici l'Évangile du jeudi 10 avril 2025 : « Si quelqu'un garde ma parole, jamais il ne verra la mort » (Jn 8, 51-59) En ce temps-là, Jésus disait aux Juifs : « Amen, amen, je vous le dis : si quelqu'un garde ma parole, jamais il ne verra la mort. » Les Juifs lui dirent : « Maintenant nous savons bien que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et toi, tu dis : “Si quelqu'un garde ma parole, il ne connaîtra jamais la mort.” Es-tu donc plus grand que notre père Abraham ? Il est mort, et les prophètes aussi sont morts. Pour qui te prends-tu ? » Jésus répondit : « Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien ; c'est mon Père qui me glorifie, lui dont vous dites : “Il est notre Dieu”, alors que vous ne le connaissez pas. Moi, je le connais et, si je dis que je ne le connais pas, je serai comme vous, un menteur. Mais je le connais, et sa parole, je la garde. Abraham votre père a exulté, sachant qu'il verrait mon Jour. Il l'a vu, et il s'est réjoui. » Les Juifs lui dirent alors : « Toi qui n'as pas encore cinquante ans, tu as vu Abraham ! » Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : avant qu'Abraham fût, moi, JE SUIS. » Alors ils ramassèrent des pierres pour les lui jeter. Mais Jésus, en se cachant, sortit du Temple.   Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

L'Évangile du jour
Évangile du 8 avril (Jn 8, 21-30)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 2:15


Voici l'Évangile du mardi 8 avril 2025 : « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS » (Jn 8, 21-30) En ce temps-là, Jésus disait aux Pharisiens : « Je m'en vais ; vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché. Là où moi je vais, vous ne pouvez pas aller. » Les Juifs disaient : « Veut-il donc se donner la mort, puisqu'il dit : “Là où moi je vais, vous ne pouvez pas aller” ? » Il leur répondit : « Vous, vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. En effet, si vous ne croyez pas que moi, JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés. » Alors, ils lui demandaient : « Toi, qui es-tu ? » Jésus leur répondit : « Je n'ai pas cessé de vous le dire. À votre sujet, j'ai beaucoup à dire et à juger. D'ailleurs Celui qui m'a envoyé dit la vérité, et ce que j'ai entendu de lui, je le dis pour le monde. » Ils ne comprirent pas qu'il leur parlait du Père. Jésus leur déclara : « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS, et que je ne fais rien de moi-même ; ce que je dis là, je le dis comme le Père me l'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. » Sur ces paroles de Jésus, beaucoup crurent en lui.   Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

Yiddish Haïnt
Invité de Shahar Fineberg : Denis Eckert

Yiddish Haïnt

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025


Le géographe Denis Eckert nous emmène à la croisée des territoires et des mémoires pour présenter la réédition du roman Les Juifs de Belleville de Benjamin Schlevin (Éditions L'Échappée, 2025), co-traduit avec Batia Baum. Évènements à la MCY : 5 avril à 18h30 : Mayn yiddishe kabaretkele 10 avril à 19h30 : Le syndicalisme juif à travers le monde, conférence de Philippe Boukara 26 avril à 16h30 : 82e anniversaire du soulèvement du ghetto de Varsovie, animé par Yitskhok Niborksi et Karolina Szymaniak, qui présentera son ouvrage Rachel Auerbach (1899-1976), Écrits (Presses universitaires de Strasbourg, avril 2025). Titres passés : Mistinguett - C'est vrai Michel Dens - Dans l'cul (chant national des évadés de guerre) Dovid Cash - Dovid Cash in Pariz

L'Évangile du jour
Évangile du 1er avril (Jn 5, 1-16)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 2:22


Voici l'Évangile du mardi 1er avril 2025 : « Aussitôt l'homme fut guéri » (Jn 5, 1-16) À l'occasion d'une fête juive, Jésus monta à Jérusalem. Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu'on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents. Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans. Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu'il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? » Le malade lui répondit : « Seigneur, je n'ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l'eau bouillonne ; et pendant que j'y vais, un autre descend avant moi. » Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. » Et aussitôt l'homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pied : « C'est le sabbat ! Il ne t'est pas permis de porter ton brancard. » Il leur répliqua : « Celui qui m'a guéri, c'est lui qui m'a dit : “Prends ton brancard, et marche !” » Ils l'interrogèrent : « Quel est l'homme qui t'a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? » Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c'était ; en effet, Jésus s'était éloigné, car il y avait foule à cet endroit. Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t'arriver quelque chose de pire. » L'homme partit annoncer aux Juifs que c'était Jésus qui l'avait guéri. Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu'il avait fait cela le jour du sabbat.   Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

Rav Yossi Amar - ETORAH
Pourim & Pessa'h: Antisémitisme - Pourqoui cette haine ancestrale et une obsession mondiale ?

Rav Yossi Amar - ETORAH

Play Episode Listen Later Mar 27, 2025 78:59


Pourim & Pessa'h: L'antisémitisme : une haine ancestrale et une obsession mondiale – Entre mythes, contradictions et paradoxes, pourquoi persiste-t-il à travers les âges ? Les Juifs : à la fois indispensables et incompris, perpétuellement persécutés et rejetés, mais jamais vaincus.

Pascal Praud et vous
Édito Pascal Praud - Jordan Bardella invité en Israël : «Les Juifs français ont compris que le RN se tenait à leur côté»

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 2:07


Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur la visite de Jordan Bardella en Israël et sur l'engagement du Rassemblement national contre l'antisémitisme. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
Rabbin agressé : la France dangereuse pour les Juifs ? - 24/03

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 31:38


Pour débuter l'émission de ce lundi 24 mars 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent du sujet du jour : Rabbin agressé, la France dangereuse pour les Juifs ?

Les Grandes Gueules
L'inquiétude du jour - Illan, au 3216 : "Il y a des endroits interdits aux Juifs en France aujourd'hui. La France n'est pas devenue dangereuse, elle est dangereuse. Je me demande si les Juifs ont un avenir en France" - 24/03

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 3:29


Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
La peur du jour - Sarah Knafo, députée européenne : "La France n'est plus un pays sûr pour les Juifs" - 24/03

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 0:22


Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Face à  Duhamel
Face à Duhamel : Tugdual Denis - La France est-elle dangereuse pour les Juifs ? – 24/03

Face à Duhamel

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 18:36


Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.

L'opinion de Nicolas Beytout
Les juifs et les blancs victimes de l'antiracisme devenu fou

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 3:46


Vincent Trémolet de Villers analyse la montée de l'antisémitisme en France et la façon dont l'extrême gauche l'utilise à des fins politiques. Il dénonce l'instrumentalisation de l'antiracisme pour justifier des actes antisémites et la dialectique criminelle qui en résulte, mettant les Français juifs en première ligne. Une réflexion approfondie sur les dérives de certains discours politiques et leurs conséquences dévastatrices pour la société.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Face à  Duhamel
Face à Duhamel : Tugdual Denis - La France est-elle dangereuse pour les Juifs ? – 24/03

Face à Duhamel

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 18:36


Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.

On marche sur la tête
Cyril Hanouna - « On nous met une cible sur le dos, nous les juifs, si ça continue comme ça je vais quitter la France » affirme Yehuda, auditeur d'Europe 1

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 25:16


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Gauthier Le Bret et ses invités débattent de la tenue de la manifestation prévue demain à Paris, organisée par l'extrême-gauche LFI et où le PS sera présent. Ils reviennent également sur la condamnation de La France Insoumise par après la création et diffusion d'une affiche représentant une caricature de Cyril Hanouna considérée comme antisémite.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Genre, etc.
Sorcellerie : mythe et réalités, avec Michelle Zancarini-Fournel

Genre, etc.

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 21:14


Qui étaient vraiment les personnes accusées de sorcellerie pendant les "chasses aux sorcières" du 15ᵉ au 17ᵉ siècle ? Dans cet épisode, Michelle Zancarini-Fournel, professeure émérite d'histoire des femmes et du genre à l'université Claude-Bernard-Lyon-1, retrace l'histoire des sorcières et des sorciers, revenant sur le réel historique et sur la construction du mythe de la sorcière. Elle revient sur l'usage contemporain de cette figure dans les mouvements féministes et analyse la manière dont elle est devenue un symbole de puissance.--Lire la transcription écrite de l'épisode.--

Rav Touitou
Tous les juifs peuvent me faire une maison (selon le Rabbi)

Rav Touitou

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 18:47


Tous les juifs peuvent me faire une maison (selon le Rabbi) by Rav David Touitou

Choses à Savoir
Pourquoi les juifs portent-ils une kippa ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Feb 20, 2025 1:47


La kippa, ce petit couvre-chef porté par de nombreux hommes juifs (et parfois des femmes dans certains courants progressistes), est un symbole religieux et culturel profondément ancré dans le judaïsme. Son port n'est pas explicitement mentionné dans la Torah, mais il est issu d'une longue tradition qui remonte à l'Antiquité. Voici les principales raisons qui expliquent son usage.1. Un signe d'humilité devant DieuL'une des explications les plus courantes du port de la kippa est qu'elle symbolise la soumission et le respect envers Dieu. En couvrant leur tête, les fidèles rappellent qu'il existe une puissance supérieure au-dessus d'eux. Ce concept s'inscrit dans la tradition juive où l'homme doit rester humble face à la divinité.Dans le Talmud (traité Kidoushin 31a), il est rapporté qu'un sage, Rav Nahman bar Yitzhak, expliquait qu'il couvrait sa tête pour se rappeler constamment la présence divine et éviter le péché. Ainsi, la kippa est un rappel permanent de la spiritualité et de la moralité.2. Une coutume devenue une obligation religieuseBien que la Torah ne mentionne pas directement la kippa, la tradition rabbinique l'a progressivement imposée comme une marque de piété. À l'origine, elle était principalement portée par les prêtres du Temple de Jérusalem et par les érudits. Mais à partir du Moyen Âge, sous l'influence des rabbins, son usage s'est généralisé parmi les Juifs pratiquants.Aujourd'hui, selon la halakha (loi juive), les hommes doivent couvrir leur tête lorsqu'ils prient, étudient la Torah ou entrent dans une synagogue. Dans les courants orthodoxes, il est recommandé de la porter en permanence, tandis que dans les courants réformés et libéraux, son usage est plus flexible.3. Un marqueur identitaireLa kippa est aussi devenue un symbole d'appartenance au peuple juif. Elle distingue ceux qui la portent en tant que membres de la communauté et témoigne de leur engagement religieux. De plus, différentes formes et couleurs de kippa peuvent indiquer l'affiliation à un courant particulier du judaïsme (orthodoxe, sioniste-religieux, séfarade, etc.).ConclusionLe port de la kippa est donc à la fois un acte de foi, un symbole d'humilité devant Dieu et un marqueur identitaire. Si elle n'était qu'une coutume à l'origine, elle est aujourd'hui un élément central du judaïsme pratiquant, incarnant le lien entre tradition et spiritualité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Culture G
Pourquoi les musulmans et les juifs ne mangent pas de porc ?

Culture G

Play Episode Listen Later Feb 17, 2025 4:59


La viande de porc est la plus consommée au monde ! C'est d'autant plus incroyable qu'elle fait l'objet d'un interdit alimentaire dans plusieurs religions, notamment l'islam, le judaïsme et trois églises chrétiennes. Pourquoi ? La réponse est à découvrir dans cet épisode. Bonne écoute

Les interviews d'Inter
Guillaume Erner : "Les juifs français vivent une sorte de double peine, accusés d'être sionistes et même génocidaires"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Feb 16, 2025 12:22


durée : 00:12:22 - L'invité de 7h50 du week-end - Le sociologue Guillaume Erner, animateur depuis dix ans des Matins de France Culture, est l'auteur de “Judéobsessions” aux éditions Flammarion.

Europe 1 - L'interview d'actualité
Auschwitz : «Cette histoire ne concerne pas que les Juifs, elle concerne l'humanité entière», rappelle Georges Bensoussan

Europe 1 - L'interview d'actualité

Play Episode Listen Later Jan 27, 2025 6:41


Georges Bensoussan, historien, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Il est l'auteur du livre "Les origines du conflit israélo-arabe" aux éditions Que Sais-je. Ensemble, ils reviennent sur les 80 ans de la libération du camp d'Auschwitz.

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Joann Sfar : «Les juifs passent leur vie à critiquer Israël»

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Jan 25, 2025 13:38


Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.

Ah ouais ?
AH OUAIS ? - 794. Pourquoi on utilise le mot "cacher" à propos de l'alimentation autorisée pour les Juifs ?

Ah ouais ?

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 2:21


Les attentats de l'Hyper Cacher se sont déroulés il y a désormais dix ans. L'occasion pour Florian Gazan de vous expliquer pourquoi on parle de "casher" pour l'alimentation autorisée pour les Juifs. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.

On marche sur la tête
Cyril Hanouna - "Soit les Français réagissent, soit on redevient tous des collabo'.. il faut laisser les juifs tranquille ! " rappelle Marie, auditrice d'Europe 1

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Nov 8, 2024 26:07


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de l'agression des supporters israéliens agressés à Amsterdam, et des fortes inquiétudes avant France - Israël jeudi prochain au Stade de France.

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi les Juifs célèbrent-ils Shabbat ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Oct 21, 2024 2:20


Le Shabbat est un jour de repos et de sanctification observé par les Juifs chaque semaine, du vendredi soir au samedi soir, marquant la fin de la semaine de travail et le début d'un temps sacré. Il commence au coucher du soleil le vendredi et se termine par la cérémonie de la Havdalah le samedi soir. Shabbat est l'un des commandements les plus importants du judaïsme et puise ses racines dans les textes sacrés de la Torah, en particulier dans le récit de la Création. La célébration du Shabbat honore deux thèmes principaux : la Création et la liberté. Dans le Livre de la Genèse, on raconte que Dieu a créé le monde en six jours et s'est reposé le septième jour. Le Shabbat rappelle donc ce repos divin, invitant les fidèles à suspendre leur travail et à se recentrer sur la spiritualité, la famille et la communauté. Ce repos sacré n'est pas seulement physique ; il est aussi destiné à créer un espace de tranquillité pour réfléchir, méditer et se connecter à des valeurs plus élevées. En s'abstenant de toute activité créative, les Juifs honorent l'œuvre créatrice de Dieu et marquent ce jour comme une imitation de son repos. Le second thème, la liberté, est lié à la sortie d'Égypte. Dans le livre de l'Exode, Dieu rappelle aux Israélites qu'ils doivent observer le Shabbat pour se souvenir de leur libération de l'esclavage égyptien. Le Shabbat devient ainsi un symbole de liberté et de libération, un rappel hebdomadaire que la vie humaine ne doit pas être uniquement centrée sur le travail, mais aussi sur la liberté spirituelle et la dignité humaine. Le Shabbat appelle à une rupture avec les contraintes de la société matérielle pour vivre un moment de communion avec des valeurs spirituelles et familiales. La célébration du Shabbat est marquée par plusieurs rituels et prières spécifiques. Il débute par l'allumage des bougies, généralement effectué par les femmes, pour symboliser la lumière et la paix du Shabbat. Ensuite, le Kiddush est récité sur un verre de vin pour sanctifier le jour. Deux pains, appelés hallot, sont également placés sur la table pour rappeler la manne céleste qui nourrissait les Israélites dans le désert. Les repas de Shabbat, généralement festifs, sont des moments de convivialité, de chants et de partage. Enfin, le Shabbat se termine par la cérémonie de la Havdalah, qui marque la séparation entre le jour sacré et les jours ordinaires de la semaine. Les bénédictions sont récitées sur du vin, des épices et une bougie tressée, symbolisant la lumière et la douceur que l'on emporte du Shabbat vers la semaine à venir. Ainsi, Shabbat est un moment de ressourcement, de réflexion et de retrouvailles avec ce qui est essentiel, loin du tumulte quotidien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Rav Touitou
Une année décisive pour les juifs dans le monde - Message du Rav après Kippour (5785)

Rav Touitou

Play Episode Listen Later Oct 13, 2024 5:01


Une année décisive pour les juifs dans le monde - Message du Rav après Kippour (5785) by Rav David Touitou

Les Grandes Gueules
Le coup de gueule du jour - Barbara Lefebvre : "C'est une honte ce président qui ne sait protéger ni les juifs ni les musulmans ni les athées !" - 08/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 8, 2024 2:32


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty, et Jean-Loup Bonnamy, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
Grande-Motte : les Juifs sont-ils en sécurité en France ? - 26/08

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Aug 26, 2024 29:52


Pour débuter l'émission de ce lundi 26 août 2024, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure écologique, Charles Consigny, avocat, et Didier Giraud, éleveur de bovin débattent du sujet du jour : "Grande-Motte : les juifs sont-ils en sécurité en France ?"

Code source
80 ans de la libération de Paris (4/4) : le jour d'après

Code source

Play Episode Listen Later Jul 12, 2024 37:18


Le 25 août 1944, Paris est libéré après quatre années d'occupation allemande. Code source vous propose une série en quatre épisodes pour vous faire revivre cette période historique, à travers le parcours d'un homme qui a eu un rôle décisif lors de la libération de la ville, le colonel Henri Rol-Tanguy. Au lendemain de la libération de Paris, le désir de vengeance des Parisiens contre les Allemands ou ceux qui ont collaboré avec eux plonge la capitale dans le chaos. Au même moment, Paris fête également cette victoire autour de plusieurs rassemblements, comme les bals populaires. Quant au colonel Henri Rol-Tanguy, il joue un rôle central dans la guerre qui continue à l'est, notamment dans l'intégration des Forces françaises de l'intérieur dans l'armée régulière.Cet épisode est raconté par trois historiens, Sylvie Zaidman, historienne et directrice du musée de la libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, Denis Peschanski, historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale et Renée Poznanski, historienne spécialiste des Juifs en France durant la Seconde Guerre mondiale, au micro de Raphaël Pueyo. Pour aller plus loin :Renée Poznanski, Les Juifs en France pendant la Seconde Guerre mondiale, Éditions CNRS, 2018Denis Peschanski avec Astrig Atamian et Claire Mouradian, Manouchian, Éditions Textuel, 2023Sylvie Zaidman, avec Joël Clesse, ‎La Résistance en Seine Saint-Denis, 1940-1944., Éditions Syros, 1994Et puis pour poursuivre votre aventure sonore, n'hésitez pas à vous rendre au musée de la Libération de Paris, du général Leclerc et de Jean Moulin, situé place Denfert-Rochereau dans le 14ème arrondissement. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Conception, écriture et voix : Raphaël Pueyo - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier Amouroux et Barbara Gouy - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network - Identité graphique : Eric Azara - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les matins
Préjugé ! "Les Juifs sont très soudés entre eux"

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 11, 2024 3:36


durée : 00:03:36 - Histoire des préjugés - par : Jeanne Guérout, Xavier Mauduit - Le préjugé selon lequel les Juifs seraient solidaires exclusivement entre eux remonte à l'Antiquité. Au fil des siècles, cette idée fausse se transforme et s'amalgame à d'autres préjugés antisémites pour s'adapter aux attentes du moment.

Le Cours de l'histoire
Préjugé ! "Les Juifs sont très soudés entre eux"

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Jul 11, 2024 3:36


durée : 00:03:36 - Histoire des préjugés - par : Jeanne Guérout, Xavier Mauduit - Le préjugé selon lequel les Juifs seraient solidaires exclusivement entre eux remonte à l'Antiquité. Au fil des siècles, cette idée fausse se transforme et s'amalgame à d'autres préjugés antisémites pour s'adapter aux attentes du moment.

Bonjour Chai
Settling for Biden

Bonjour Chai

Play Episode Listen Later Jul 5, 2024 56:25


It was true before Oct. 7, but especially afterwards: an increasing number of progressive-minded people are viewing Jews as settlers in Israel. "Go back to Europe," some especially antisemitic ones chant at rallies. But it begs the question: if Jews are settlers in Israel, where aren't we settlers? Ben Wexler, a writer and academic who recently graduated from McGill University, has been thinking about this question a lot. He recently published an essay in the French Jewish magazine K. Les Juifs, l'Europe, le XXIe siècle, titled "The Eternal Settler". In it, Wexler discusses the troubling rise in antisemitic violence, often carried out under the guise of decolonization and conflated with criticism of the Israeli government. To explore the topic more, Wexler joins to discuss colonization, settler identity and the perception of Jews as settlers. And after that, he joins hosts Avi and Phoebe in talking global political trends: the rightward shift of France, the United States and Canada may be good for Israel... but is it good for the Jews? Credits Bonjour Chai is hosted by Avi Finegold and Phoebe Maltz Bovy. Zachary Kauffman is the producer and editor. Michael Fraiman is the executive producer. Our theme music is by Socalled. The show is a co-production from The Jewish Learning Lab and The CJN, and is distributed by The CJN Podcast Network. Support the show by subscribing to this podcast, donating to The CJN and subscribing to the podcast's Substack.

L'oeil de...
"Les juifs ont le choix entre le RN qui les aime pour de faux ou une partie des LFI qui les déteste pour de vrai"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Jun 27, 2024 5:49


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 27 juin 2024.

RTL Matin
"Les juifs ont le choix entre le RN qui les aime pour de faux ou une partie des LFI qui les déteste pour de vrai"

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jun 27, 2024 5:49


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 27 juin 2024.

Les Grandes Gueules
Le constat du jour – Barbara Lefebvre : "Les juifs Français ont peur de Mélenchon et des Insoumis !" - 20/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 20, 2024 2:23


Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
Olivier Truchot : "Aujourd'hui, les juifs Français se sentent plus protégé par Marine Le Pen que par Jean-Luc Mélenchon" - 20/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 20, 2024 0:49


Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

LSD, La série documentaire
La Décision. À l'origine de l'extermination des Juifs d'Europe 1/4 : « Où mettre les Juifs ? »

LSD, La série documentaire

Play Episode Listen Later Jun 10, 2024 58:16


durée : 00:58:16 - LSD, la série documentaire - par : Johanna Bedeau, Michel Spinosa - De 1923 au printemps 1941, une question obsède Hitler et ses affidés : « Où mettre les Juifs ? » Dès leur arrivée au pouvoir, les nazis multiplient les exactions et les plans d'expulsion. Mais qu'entendent-ils exactement par « solution finale » ?

Un pasteur vous répond (#1PVR)
Les juifs sont-ils coupables d'avoir crucifié Jésus? (Épisode 416)

Un pasteur vous répond (#1PVR)

Play Episode Listen Later May 31, 2024 24:06


Peut-on tenir les juifs pour responsables d'avoir mis à mort Jésus? De nos jours, nous trouvons même parfois, dans nos églises, des gens qui haïssent le peuple d'Israël, leur reprochant d'avoir crucifié leur Messie. Ont-ils raison de leur en vouloir? Un pasteur vous répond est le podcast de Florent Varak qui t'aide à mieux comprendre la Bible, une question à la fois. Il est également disponible sur YouTube et toutes les plateformes de podcasts. Ce contenu est proposé gratuitement par le site ⁠https://toutpoursagloire.com/⁠ dont la mission est d'aider les chrétiens à voir comme Dieu voit pour vivre comme Dieu le veut. Tu as une question à poser? Commence par consulter la liste des podcasts existants (ici: https://toutpoursagloire.com/sommaire-un-pasteur-vous-repond) et si le sujet n'a pas encore été traité, pose ta question à l'adresse contact@toutpoursagloire.com. Tu veux nous aider à poursuivre notre ministère? Tu peux nous soutenir de plusieurs façons. Pour en savoir plus: https://toutpoursagloire.com/soutenir/ Tu peux nous suivre: • En t'inscrivant à l'e-mail de la Rédac': https://ck.toutpoursagloire.com/newsletter • Sur YouTube: https://www.youtube.com/@ToutPourSaGloire • Sur Facebook: https://www.facebook.com/toutpoursagloirepointcom/ • Sur Instagram: https://www.instagram.com/toutpoursagloire_officiel/ Et enfin, abonne-toi à ce podcast pour ne manquer aucun épisode!

Le Cours de l'histoire
Comment les juifs étaient-ils représentés sur nos écrans dans les années 1930 ?

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later May 23, 2024 3:45


durée : 00:03:45 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Dans les années 1930, les films français véhiculaient des stéréotypes antisémites. La crise économique et la xénophobie, exacerbées par l'extrême droite, ont alimenté l'amalgame entre juifs et étrangers, affectant même le milieu cinématographique.

Arrêt sur images - audio
Rony Brauman, face aux arguments d'Israël

Arrêt sur images - audio

Play Episode Listen Later Apr 29, 2024 70:05


Et si on laissait parler Israël ? Et si on écoutait ses accusations. La gauche sympathisante de la cause palestinienne n'a-t-elle pas manqué d'empathie à l'égard d'Israël le 7 octobre 2023 ? Les Juifs n'étaient-ils pas alors fondés à se dire bien seuls ? Et à force de répéter qu'il ne faut pas confondre critique de Netanyahu et antisémitisme, cette gauche ne passe-t-elle pas à côté d'un antisémitisme véritable ? Et encore ceci : et si les Israéliens étaient sincères, et ...

Choses à Savoir
Pourquoi les juifs ne mangent-ils pas de fruits de mer ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Jan 28, 2024 1:44


Des interdits alimentaires sont fréquemment édictés dans les religions monothéistes. Le judaïsme ne fait pas exception à cette règle, les prescriptions alimentaires y étant même rigoureuses et très codifiées.Elles forment un ensemble appelé "kashrout" ou "cacherout". Ce code alimentaire désigne les aliments "casher", c'est-à-dire ceux qu'il est permis de consommer. La "kashrout" dresse ainsi une liste des aliments autorisés et interdits, mais elle indique aussi la manière de les préparer, ainsi que la façon d'abattre les animaux destinés à la consommation.Cers règles sont pour la plupart tirés de la "Torah". Correspondant, pour les chrétiens, au "Pentateuque", elle regroupe les cinq premiers livres de la Bible.La kashrout s'étend aussi bien aux aliments d'origine végétale qu'à ceux d'origine animale. Parmi ces derniers, les animaux terrestres sont autant concernés que les animaux aquatiques.Parmi ceux-ci, on trouve bien sûr les poissons. Ne peuvent être consommés que ceux qui ont des écailles et des nageoires. Ce qui exclut des poissons comme l'esturgeon, qui perd ses écailles au cours de l'accouplement, ou encore l'anguille, dépourvue d'écailles et ne possédant que de petites nageoires pectorales.Comme ils n'ont ni écailles ni nageoires, les fruits de mer ne sont pas non plus des aliments "casher". Ainsi, les juifs ne peuvent pas manger des homards, des langoustes, des crevettes, des moules ou encore des huîtres. Mais les algues ou les échinodermes, comme les oursins, ne sont pas non plus considérés, et pour les mêmes raisons, comme des animaux comestibles.Cette prescription concernant les animaux aquatiques se trouve dans plusieurs versets du 11e chapitre du Lévitique, le troisième Livre de la Torah. Ainsi, on trouve dans le Lévitique 11 : 10 le passage suivant :"Mais vous aurez en abomination tous ceux (les animaux) qui n'ont pas des nageoires et des écailles parmi tout ce qui se meut dans les eaux (...)".En Lévitique 11 : 9, on peut également lire : "Vous mangerez de tous ceux qui ont des nageoires et des écailles parmi tous ceux qui sont dans les eaux (...)". Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir
Pourquoi les juifs ne mangent-ils pas de fruits de mer ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Jan 28, 2024 2:14


Des interdits alimentaires sont fréquemment édictés dans les religions monothéistes. Le judaïsme ne fait pas exception à cette règle, les prescriptions alimentaires y étant même rigoureuses et très codifiées. Elles forment un ensemble appelé "kashrout" ou "cacherout". Ce code alimentaire désigne les aliments "casher", c'est-à-dire ceux qu'il est permis de consommer. La "kashrout" dresse ainsi une liste des aliments autorisés et interdits, mais elle indique aussi la manière de les préparer, ainsi que la façon d'abattre les animaux destinés à la consommation. Cers règles sont pour la plupart tirés de la "Torah". Correspondant, pour les chrétiens, au "Pentateuque", elle regroupe les cinq premiers livres de la Bible. La kashrout s'étend aussi bien aux aliments d'origine végétale qu'à ceux d'origine animale. Parmi ces derniers, les animaux terrestres sont autant concernés que les animaux aquatiques. Parmi ceux-ci, on trouve bien sûr les poissons. Ne peuvent être consommés que ceux qui ont des écailles et des nageoires. Ce qui exclut des poissons comme l'esturgeon, qui perd ses écailles au cours de l'accouplement, ou encore l'anguille, dépourvue d'écailles et ne possédant que de petites nageoires pectorales. Comme ils n'ont ni écailles ni nageoires, les fruits de mer ne sont pas non plus des aliments "casher". Ainsi, les juifs ne peuvent pas manger des homards, des langoustes, des crevettes, des moules ou encore des huîtres. Mais les algues ou les échinodermes, comme les oursins, ne sont pas non plus considérés, et pour les mêmes raisons, comme des animaux comestibles. Cette prescription concernant les animaux aquatiques se trouve dans plusieurs versets du 11e chapitre du Lévitique, le troisième Livre de la Torah. Ainsi, on trouve dans le Lévitique 11 : 10 le passage suivant :"Mais vous aurez en abomination tous ceux (les animaux) qui n'ont pas des nageoires et des écailles parmi tout ce qui se meut dans les eaux (...)". En Lévitique 11 : 9, on peut également lire : "Vous mangerez de tous ceux qui ont des nageoires et des écailles parmi tous ceux qui sont dans les eaux (...)". Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Au cœur de l'histoire
INTERVIEW - Qu'est-ce que la « Shoah par balles » ?

Au cœur de l'histoire

Play Episode Listen Later Jan 26, 2024 18:11


Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Près d'un million et demi de Juifs d'Ukraine ont été assassinés lors de l'invasion de l'Union soviétique par l'Allemagne nazie. L'immense majorité est tombée sous les balles des Einsatzgruppen, des unités de tueries mobiles. Pour revenir sur l'histoire de ce massacre de masse, auquel renvoie l'expression de "Shoah par balles", Virginie Girod s'entretient avec Marie Moutier-Bitan, docteure en histoire contemporaine à l'EHESS et spécialiste de la Shoah en Union soviétique occupée.En 1939, l'URSS et l'Allemagne nazie ont signé un pacte de non-agression. Hitler, débarrassé de la crainte d'avoir à se battre sur deux fronts, fait basculer l'Europe dans la guerre. Il s'agit cependant d'une manœuvre temporaire. "Hitler souhaite détruire le communisme au pouvoir en Union Soviétique et lutter contre ce qu'il appelle le 'judéo-bolchevisme'. D'après lui, les populations juives sont les principaux soutiens des Bolchéviques. C'est une construction idéologique nazie", décrypte Marie Moutier-Bitan.Le 22 juin 1941, le IIIe Reich rompt le pacte de non-agression et envahit l'URSS. Cette invasion est à l'origine d'immenses massacres. Avec l'avancée des troupes allemandes, les pogroms se multiplient. "Ces pogroms n'ont rien de spontané", précise Marie Moutier-Bitan "ils sont organisés en amont avec les nationalistes locaux. Les Juifs sont pris pour cible par les soldats de la Wehrmacht et par la population locale, qui quand elle ne participe pas directement au massacre, pille les habitations des Juifs".Les Nazis vont cependant rationaliser l'extermination des Juifs. "Le pogrom est un événement très spectaculaire mais qui fait relativement peu de victimes pour les Nazis. Ils vont donc mettre en place des fusillades organisées et systématiques", retrace la spécialiste. "Les Nazis sont convaincus qu'ils mènent une guerre juste". Lors du massacre de Babi Yar, en septembre 1941, plus de 30.000 Juifs de Kiev sont assassinés pendant deux jours entiers.L'histoire de ces fusillades, largement documentées dans les archives soviétiques, ne sera connue du grand public qu'après l'ouverture de ces dernières à la chute de l'URSS. L'expression "Shoah par balles" est cependant peu utilisée par les universitaires "parce qu'elle exclut d'autres dispositifs de tuerie qui ont lieu sur ces territoires soviétiques occupés comme les pendaisons, les camions à gaz ou encore la famine dans les ghettos", rappelle Marie Moutier-Bitan.Thèmes abordés : Shoah, Juifs, Allemagne nazie, URSS, Seconde Guerre mondiale "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Nathan Laporte avec Camille Bichler et Caroline Garnier- Réalisation : Julien Tharaud- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix- Visuel : Sidonie Mangin

Le Nouvel Esprit Public
Thématique : Les Juifs en France 1940-1945, avec Jacques Semelin (rediffusion)

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Dec 24, 2023 60:50


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 18 février 2022. Avec cette semaine : Jacques Semelin, historien, politologue, directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste des processus de résistance civile au sein des dictatures ainsi que de l'analyse des massacres et génocides. Nicolas Baverez, essayiste et avocat. Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix. Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova. « Comment se fait-il que tant de Juifs ont pu survivre en France malgré le gouvernement de Vichy et les nazis ? », demandait Simone Veil en 2008 à l'historien spécialiste des crimes de masse et de la Shoah, Jacques Semelin. Dans « Une énigme française, Pourquoi les trois quarts des Juifs en France n'ont pas été déportés », l'historien explique cette exception française. Si Serge Klarsfeld a établi que trois quarts des Juifs en France ont échappé à la mort (chiffre exceptionnel en Europe), ce n'est pas l'action des quelque 4 000 Justes français qui pouvait à elle seule l'expliquer. Pas davantage une imaginaire mansuétude de Vichy : vous démontrez que ce n'est pas grâce, mais en dépit de Vichy que la très grande majorité des Juifs en France ont pu survivre. Transformant cette abstraction des 75% en nombre, vous rapportez qu'au moins 200 000 juifs sont toujours en vie en France à la fin de l'occupation, à l'automne 1944. Beaucoup se sont dispersés à la campagne, tandis qu'au moins 40 000 sont restés à Paris. Des filières de sauvetage (juives et non juives) ont contribué à sauver environ 10 000 vies, notamment celles d'enfants. Mais l'engagement de ces organisations de résistance ne peut rendre compte de la survie d'au moins 200 000 personnes, soit 65% des Juifs étrangers et 90% des Juifs français. D'autres explications doivent donc être trouvées.Sans jamais minimiser l'horreur du crime, vous écrivez votre enquête dans la mémoire des Juifs non déportés, votre analyse des circonstances de l'époque. Vous dégagez plusieurs facteurs d'explication : la chronologie de la persécution, les statuts politiques et militaires des territoires, les géographies et cultures des régions, de l'évolution de la guerre et de la situation internationale. L'histoire culturelle et politique de la société française : l'intégration des Israélites à la nation, le rôle de l'école et de la culture républicaine, l'ouverture ou le rejet des étrangers en lien avec les besoins économiques et démographiques du pays, la propagation des idées xénophobes et antisémites, l'influence du christianisme (antijudaïsme, charité). La structure des rapports occupants-occupés, les capacités de réactivité à la persécution des individus stigmatisés comme Juifs en fonction de leur nationalité (française ou non), leur âge et situation familiale, leurs ressources linguistiques, financières et sociales. La réactivité sociale des populations non juives vis-à-vis des Juifs sur les bases de l'intérêt (économique et financier) ou des ressorts de la compassion. La formation d'une opinion hostile aux opérations les plus brutales de la persécution (arrestations et déportations des juifs apatrides), ayant provoqué une dissension publique au sein des élites catholiques, par ailleurs favorables à l'Etat collaborateur. L'influence de cette prise de parole publique sur la politique de collaboration des dirigeants français. La capacité des Juifs et non Juifs à s'organiser collectivement pour créer des réseaux clandestins de résistance civile visant au sauvetage des victimes désignées, en premier lieu des enfants. Le développement d'une « société parallèle » qui, imbriquée à la « société officielle », contribue à la protection des pourchassés et persécutés du régime. De toute cette période et sur toutes ces questions, quelle vous semble être la réalité la plus difficile à faire reconnaître par l'opinion ?Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr