Commune in Normandy, France
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Bienvenue dans les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et fascinantes. Cette saison vous emmène sur les traces de quatre quêtes mythiques, entre faits historiques, récits fantastiques et mystères non résolus. Du trésor des Templiers aux secrets de l'Atlantide, des ruées vers l'El Dorado aux énigmes du Saint Graal, chaque épisode explore la frontière entre mythe et réalité. Un voyage fascinant au cœur des plus grandes légendes de l'humanité. Le trésor de Templiers 1307, dans l'ombre d'un château, des Templiers dissimulent à la hâte un trésor inestimable. Le roi Philippe le Bel s'apprête à faire tomber l'Ordre, jugé trop riche, trop puissant. Arrestations, tortures, malédictions : la chute des Templiers marque le début d'un mystère qui traverse les siècles. À Gisors, dans les années 1940, un jardinier prétend avoir vu la salle secrète où le trésor repose encore. Légende médiévale ou vérité enfouie ? Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [Les oubliées de l'histoire] Valentina Terechkova, la première femme dans l'espace [Les oubliées de l'histoire] Madame de Staël, la femme qui défia Napoléon [Les oubliées de l'histoire] Sophie Scholl, l'héroïne de la Résistance allemande [Les oubliées de l'histoire] Joséphine Baker, du ghetto américain au Panthéon Un podcast Bababam Originals Ecriture : Mary-Lou Oeconomou Production : Bababam Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Virginie Girod part à la chasse au trésor, à la recherche du fabuleux trésor des Templiers. Au Moyen-Âge, l'Ordre du Temple devient l'ordre militaire et religieux le plus riche d'Europe. Mais au XIVe siècle, sa puissance dérange le roi de France, Philippe le Bel, qui ordonne sa dissolution. Qu'advient-il alors des richesses des Templiers ? Ont-ils dissimulé un fabuleux trésor ? Depuis 700 ans, la littérature puis le cinéma s'emparent de cette légende, nourrissant pleinement notre imaginaire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode d'Heureux comme un Maire, Antoine Valentin reçoit Alexandre Rassaërt, président du conseil départemental de l'Eure et ex-maire de Gisors. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'info qu'il faut - Utiliser Internet serait bon pour la santé Le winner du jour : - Il valide sa commande dans la queue du drive de McDonald's, la police le verbalise pour téléphone au volant - Le voleur de son véhicule sort de prison pour l'aider à démarrer Les savoirs inutile : la chèvre et l'homme ont un point commun étonnant Le devinez-quoi : Eddy Murphy est descendu à l'hôtel Cap Eden Roc avec une glacière remplie d'un aliment dont il se nourrit exclusivement, lequel ? Le Bonus : une plume qui coûte une fortune Le jeu surprise : Laure de Chatillon près de Lyon repart avec un bon d'achat de 300€ à dépenser sur le vent à la française Les coffres à jouet : Yann et Laureen 13 ans remportent un séjour Europa Park pour 4 personnes. La banque RTL2 : Vanessa de Gisors repart avec un bon d'achat de 300€ à dépenser sur le vent à la française
Nous recevons le groupe Epavist, combo francilien qui conjugue Rock, Blues et Hard Rock. Ils nous feront l'honneur de nous interpréter 4 titres en acoustique. Également en interview le Staff du Gisors Metal fest qui ce tiendra le 16 Mars prochain à Gisors (27).
durée : 00:02:19 - Grand angle - Un symptôme révélateur du manque de moyens : de plus en plus d'établissements ont recours à des dons d'entreprises et de particuliers. Dans l'Eure, l'hôpital de Gisors a créé un fond de dotation pour acheter du matériel ou payer des formations à son personnel, comme Pontoise, Argenteuil et Rouen.
L'info qu'il faut - Le top des destinations pour des vacances écolos en 2024 - Des maisons écologiques n'ont pas besoin d'être chauffées en Suède Le winner du jour : - Inventée par une IA, une influenceuse espagnole gagne jusqu'à 10 000 euros par mois - Un enfant de six ans rapporte un serpent de deux mètres à sa grand-mère La chronique de Gabriel Francès Les savoirs inutile : pourquoi les bouteilles de vin ont généralement une contenance de 75 cl ? Le devinez-quoi : un couple a un superbe séquoia dans son jardin, jusqu'où ont-ils poussé leur amour pour cet arbre ? L'inspecteur Max Le bonus : Kelly Slater encense le film "Brice de Nice" Le jeu surprise : Christopher près de Pau repart avec Le calendrier de l'Avent de la Maison Colibri La banque RTL2 : Sophie de Fréjus remporte un séjour Bélambra pour 4 personnes. Laetitia près de Gisors gagne une PS5
Dernier direct pour REPUBLIK ROCK avant des vacances bien méritées. Au programme pas d'invité mais nous reviendrons sur 4 événements qui ont fait trembler l'Ouest de la France et de la région parisienne à savoir le Kave Fest à Gisors, le Festival Content Pour Rien à Mantes La Ville, le Festival Rock'n Rosay à Rosay et le Hellfest à Clisson, tout ça dans la joie et la bonne humeur !
Nous sommes en Normandie, aux confins de l'Eure, à Gisors, à deux pas de l'Oise et donc de la région des Hauts-de-France. A quelques kilomètres du Val d'Oise et donc de la région Île-de-France. C'est à Gisors qu'en 2012, Frédéric et Antoine De Sutter, implantent leur brasserie. Deux ans plus tôt, les deux frères, ingénieurs de formation, installaient une première pico-brasserie faite de bric et de broc dans le garage de leurs parents. Lorsqu'ils se lancent en 2012, leurs ambitions sont modestes. Ils espéraient produire 1 500 HL de bière en fin de carrière. Dix ans plus tard, la Brasserie De Sutter produit déjà 35 000 HL et emploie une quarantaine de personnes. Le déménagement du site de production en septembre 2021 a permis à la brasserie de s'agrandir, de progresser tant dans le développement de ses marques qu'en termes de RSE. Et les projets sont encore nombreux. Cet épisode du Pod'capsuleur vous est proposé dans le cadre d'un partenariat avec la Brasserie De Sutter.
Pour ce nouvel épisode de parcours de femmes, nous vous proposons le portrait d'une jeune escrimeuse : Cyrielle Rioux. C'est en lisant "les trois mousquetaires" d'Alexandre Dumas que Cyrielle Rioux se passionne pour l'escrime. Après une première initiation à l'école primaire, sa mère l'inscrit au club de Gisors. Aujourd'hui, elle fait les beaux jours de l'équipe de France et rêve de l'or olympique. Voici le parcours d'une jeune femme qui souhaite atteindre les sommets.
Un jour de mars 1946 en Normandie. Nous sommes à Gisors, une petite ville de l'Eure. Depuis la fin de la guerre, la commune coule des jours paisibles. Chacun mène sa petite vie, on savoure la paix retrouvée… Enfin presque. Ce matin-là, Roger Lhomoy déboule en trombe dans le bureau du maire. Ses yeux brillent, sa respiration est saccadée… A croire qu'il a vu la vierge ! Roger, c'est le gardien du château de Gisors. Presque vingt ans qu'il occupe ce poste. Un taiseux d'habitude mais là impossible de le faire taire, un vrai moulin à paroles ! Roger a fait une incroyable découverte. Un Trésor !Un attroupement se forme dans la cour du donjon. Monsieur le maire, quelques notables, le chef des pompiers… tous sont ahuris par ce qu'ils voient : un trou creusé à même le sol ! Un trou qui semble profond, comme l'ouverture d'un puits…Et c'est Roger qui a creusé ce trou. Il n'avait pas le droit…mais vous allez voire, descendez…ça vaut le coup, une histoire de fous…C'est Émile, le capitaine des pompiers qui s'y colle. Avec d'infinies précautions, retenu par une corde, il se glisse dans la cavité.Texte : Claudia ValenciaVoix : Céline MonsarratEncore plus de Podcast à écouter ici sur PODCAST STORY
Realiza-se, esta tarde, o funeral de Linda de Suza, falecida na semana passada por "insuficiência respiratória" e diagnosticada com covid-19. O último adeus ao maior ícone da música portuguesa em França conta com a presença da comunidade portuguesa aqui radicada e com a família da cantora a pedir flores naturais, nomeadamente “cravos vermelhos” para a derradeira homenagem. De Champigny-sur-Marne em direcção a Saint-Protais de Gisors, na Normandia, partiu esta manhã um autocarro fretado pela associação Les amis du Plateau. Em entrevista à RFI, Joaquim Barros, vice-presidente da associação, explicou que esta deslocação era inevitável, porque Linda de Suza acabou por retratar nas suas músicas “a vinda e a vida” de “milhares e milhares de portugueses”. O sucesso e a projecção da cantora em França acabou por ser “uma locomotiva, o exemplo daquilo que poderíamos e tínhamos capacidade para fazer. Ela foi pioneira e deu a perceber que havia possibilidade de fazermos outras coisas, além dos pequenos trabalhos não muito reconhecidos. A partir daí, as asas da comunidade portuguesa abriram-se e sabemos, hoje, qual é a importância e a capacidade da comunidade portuguesa” em França, sublinhou Joaquim Barros. A associação Les amis du Plateau realiza, no próximo domingo, uma homenagem a Linda de Suza, precisamente, em Champigny-sur-Marne.
Los Miserables Autor: Víctor Hugo Segunda Parte: Cosette Libro sexto Le Petit-Picpus Cap VII : Algunas siluetas de esa oscuridad. Durante los seis años que van de 1819 a 1825, la superiora de Le Petit-Picpus fue la señorita de Blemeur, cuyo nombre de religión era la madre Innocente. Pertenecía a la familia de Marguerite de Blemeur, autora de la Vida de los santos de la orden de san Benito. La habían elegido varias veces. Era una mujer de alrededor de sesenta años, baja, gruesa y que desafinaba «como un gato acatarrado», dice la carta anteriormente citada; por lo demás, excelente persona, la única alegre de todo el convento y, por eso mismo, muy querida por todas. La madre Innocente había salido a su antepasada Marguerite, que había sido la Anne Dacier de la Orden. Era letrada, erudita, culta, competente, con peculiares prendas de historiadora, colmada de latín, atiborrada de griego, repleta de hebreo y más benedictino que benedictina. La vicesuperiora era una monja española vieja y casi ciega, la madre Cineres. Las principales de entre las vocales eran la madre Sainte-Honorine, la tesorera; la madre Sainte-Gertrude, la maestra mayor de novicias; la madre Saint-Ange, la maestra adjunta de novicias; la madre Annonciation, la sacristana; la madre Saint-Augustin, la enfermera y la única del convento que era mala persona; estaban también la madre Sainte-Mechtilde (la señorita Gauvain), jovencísima y con una voz admirable; la madre de Les Anges (la señorita Drouet), que había estado en el convento de Les Filles-Dieu y en el convento de Le Trésor, entre Gisors y Magny; la madre Saint-Joseph (la señorita de Cogolludo); la madre Sainte-Adélaïde (la señorita de Auverney); la madre Miséricorde (la señorita de Cifuentes, que no pudo soportar todas aquellas austeridades); la madre Compassion (la señorita de La Miltière, que ingresó a los sesenta años, pese a lo que disponía la regla, y era muy rica); la madre Providence (la señorita de Laudinière); la madre Présentation (la señorita de Sigüenza), que fue superiora en 1847; y, para terminar, la madre Sainte-Céligne (la hermana del escultor Ceracchi), que se volvió loca, y la madre Sainte-Chantal (la señorita de Suzon), que se volvió loca. Entre las más bonitas había una joven encantadora de veintitrés años, que era de la isla Bourbon y descendía del caballero Roze; habría sido en el siglo la señorita Roze y se llamaba madre Assomption. La madre Sainte-Mechtilde tenía a su cargo el canto y el coro y le gustaba recurrir a las internas. Solía escoger de entre ellas una gama completa, es decir, siete, de entre diez años y dieciséis, ambas edades incluidas, con voces y estaturas armonizadas, a las que colocaba, al cantar, de pie en fila, una al lado de otra, por edades, de la más baja a la más alta. Al verlas, parecían un caramillo de muchachitas, algo así como una flauta de Pan de carne y hueso hecha con ángeles. De entre las hermanas legas, las preferidas de las internas eran la hermana Sainte-Euphrasie, la hermana Sainte-Marguerite, la hermana Sainte-Marthe, que era de pocos alcances, y la hermana Saint-Michel, que tenía una nariz tan larga que les daba risa. Todas aquellas mujeres eran cariñosas con las niñas. Las monjas no eran severas sino consigo mismas. Sólo se encendía fuego en el internado, y las comidas, comparadas con las del convento, eran exquisitas. Además, las cuidaban primorosamente. Únicamente, cuando una niña pasaba junto a una monja y le dirigía la palabra, la monja no le contestaba.
Nouvelle de Guy de Maupassant proposée par audiolude.fr , narrateur : Alain Couchot"Nous venions de passer Gisors, où je m'étais réveillé en entendant le nom de la ville crié par les employés, et j'allais m'assoupir de nouveau, quand une secousse épouvantable me jeta sur la grosse dame qui me faisait vis-à-vis.Une roue s'était brisée à la machine qui gisait en travers de la voie. Le tender et le wagon de bagages, déraillés aussi, s'étaient couchés à côté de cette mourante qui râlait, geignait, sifflait, soufflait, crachait, ressemblait à ces chevaux tombés dans la rue, dont le flanc bat, dont la poitrine palpite, dont les naseaux fument et dont tout le corps frissonne, mais qui ne paraissent plus capables du moindre effort pour se relever et se remettre à marcher.Il n'y avait ni morts ni blessés, quelques contusionnés seulement, car le train n'avait pas encore repris son élan, et nous regardions, désolés, la grosse bête de fer estropiée, qui ne pourrait plus nous traîner et qui barrait la route pour longtemps peut-être, car il faudrait sans doute faire venir de Paris un train de secours.Il était alors dix heures du matin, et je me décidai tout de suite à regagner Gisors pour y déjeuner.Tout en marchant sur la voie, je me disais : « Gisors, Gisors, mais je connais quelqu'un ici. Qui donc ? Gisors ? Voyons, j'ai un ami dans cette ville. » Un nom soudain jaillit dans mon souvenir : « Albert Marambot. » C'était un ancien camarade de collège, que je n'avais pas vu depuis douze ans au moins, et qui exerçait à Gisors la profession de médecin. Souvent il m'avait écrit pour m'inviter ; j'avais toujours promis, sans tenir. Cette fois enfin je profiterais de l'occasion.Je demandai au premier passant : « Savez-vous où demeure M. le docteur Marambot ? » Il répondit sans hésiter, avec l'accent traînard des Normands : « Rue Dauphine. » J'aperçus en effet, sur la porte de la maison indiquée, une grande plaque de cuivre où était gravé le nom de mon ancien camarade. Je sonnai ; mais la servante, une fille à cheveux jaunes, aux gestes lents, répétait d'un air stupide : « I y est paas, i y est paas. »J'entendais un bruit de fourchettes et de verres, et je criai : « Hé ! Marambot. » Une porte s'ouvrit, et un gros homme à favoris parut, l'air mécontent, une serviette à la main."
durée : 00:44:58 - Circuit Bleu - Côté Saveurs FB Normandie (Rouen) - Pierre Potel . Restaurant Le Cappeville à GISORS
durée : 02:18:10 - Le grand agenda du week-end FB Normandie (Rouen) - La nature à l'honneur au jardin des plantes de Rouen, de la musique brésilienne à Maromme, du chant choral dans les boucles de la Seine, Mozart au Bec Hellouin, les vielles voitures à Port-Jérôme -sur-Seine, la course de côte à Gisors et la Allmercup au Havre, on partage nos idées de sorties.
Une comédie musicale sur Flaubert, cela semble un pari un peu fou... Et pourtant c'est le défi relevé par Sophie Étienne, professeure d'éducation musicale et de chant choral au lycée de Gisors. Accompagnée par des artistes, elle a choisi de mettre Flaubert à l'honneur dans le cadre du bicentenaire de sa naissance. Impliquant tous ses élèves lycéens, de la seconde à la terminale, elle a monté un spectacle à destination de diverses scènes et qui est l'occasion de travailler sur le patrimoine culturel normand. Mais Sophie ne se limite pas à cette sphère géographique puisqu'elle travaille également avec la Philharmonie de Paris pour enregistrer les titres ainsi qu'un lycée du Connecticut où elle envisage de faire jouer le spectacle... La transcription de cet épisode est disponible après les crédits. Retrouvez-nous sur : Extraclasse.reseau-canope.fr Apple Podcasts Spotify Deezer Google Podcasts Podcast Addict Extra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée et réalisée par : Fanny Milhe Poutingon Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Hervé Turri, Luc Taramini, Magali Devance Mixage : Myriam Naciri Secrétariat de rédaction : Nathalie Bidart Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2022 Transcription : Je suis Sophie Étienne, enseignante d'éducation musicale et chant choral au lycée Louise-Michel de Gisors, dans lequel j'ai des élèves de spécialité Musique et des élèves d'option Musique. Je mène des projets avec les élèves et particulièrement, cette année, la création d'une comédie musicale intitulée « Flaubert flaire le beau », puisque nous fêtons le bicentenaire de la naissance de notre écrivain normand. Alors, j'enseigne à Gisors dans une démarche de projet parce que je me suis aperçue qu'il y avait une grande hétérogénéité parmi les élèves du lycée, et particulièrement dans ce secteur défavorisé où il n'y a pas de structures culturelles. Je me suis dit qu'il était possible d'ouvrir à l'art et d'éveiller l'intérêt des jeunes par des projets qui soient des projets assez forts, non pas élitistes, mais des projets d'exception. J'ai choisi aussi la comédie musicale parce que c'est le genre musical que je préfère, pour la simple raison qu'il rassemble, d'après moi, tous les arts, à commencer par la musique, la danse, l'art pictural, les costumes, les décors… Et en fait, on peut absolument rallier les élèves à ce projet commun et les intéresser et les émerveiller. Je me vois comme un maître d'œuvre et pour ce faire, j'ai eu l'idée, particulièrement pour ce projet, de faire venir des artistes dans l'établissement. Et donc, une résidence d'artiste m'a permis de prendre contact avec un compositeur, Olivier Vonderscher, avec lequel j'ai travaillé en amont pour la création de répertoire. J'ai également fait appel à une chorégraphe, Lise Donard, et nous avons créé la toile qui servira d'objet d'art, de création d'art, à la présentation de la comédie musicale « Flaubert flaire le beau ». Et puis, autour de tout cela, j'ai des partenariats. Je mène des partenariats avec la costumière de l'opéra de Rouen, par exemple. Et donc, [j'essaie] de montrer qu'un projet peut être un projet d'excellence grâce aux partenaires, sachant qu'on pourrait mener des projets dans la classe sans les professionnels. Mais là, on valorise évidemment tout un territoire de professionnels normands. [Extrait audio : séance de travail] « OLIVIER VONDERSCHER [joue un air de musique au piano] : C'est pas le style des années 2022, hein ? C'est pas de la musique pop, c'est pas du rock, c'est pas du rap, c'est pas du funk… C'est une musique qui fait vraiment penser à l'époque de Flaubert, à l'époque d'un compositeur qui s'appelle Offenbach. Vous en avez entendu parler, certainement ? LES ÉLÈVES : Oui. » [Fin de l'extrait] Quand j'étais élève de quatrième, mon professeur de français nous avait donnés « Madame Bovary » à lire. Ça m'avait « barbée » et totalement ennuyée parce qu'en fait, je n'avais aucune connaissance de toute cette vie florissante qui entourait Flaubert. Et effectivement, j'ai choisi de faire entrer nos lycéens dans cette époque-là par le biais d'une comédie musicale parce que… Comment leur faire apprécier mieux Flaubert [autrement qu'en leur faisant] éprouver, [par] eux-mêmes, les textes ? C'est-à-dire que, quand on devient acteur de la pièce, quand on parle le texte, quand on chante les mots de Flaubert, quand on les danse, là, on comprend à quoi correspond l'époque de Flaubert. Et ça, c'est très intéressant et c'est vraiment ce qui m'a motivée dans cette démarche de projet. [Extrait audio : séance de travail] « SOPHIE ÉTIENNE : On a compris qu'on a l'ouverture et on a la conclusion de notre comédie musicale. Et tout ça, ça crée un spectacle qui va être bien homogène, dans lequel il va se passer plein d'aventures au milieu. D'accord ? Donc, vous connaissez maintenant le cadre. OLIVIER VONDERSCHER : Et en fait, le french cancan, c'est vraiment l'esprit musical de l'ouverture et ça se fait très, très souvent, ça, dans les comédies musicales, et notamment les comédies musicales américaines. Le compositeur s'arrange pour avoir une ouverture et une conclusion qui sont un peu dans la même veine. Quelquefois, même, il reprend des idées musicales de l'un et de l'autre et c'est comme si on ouvrait le livre et qu'on le refermait, ou comme si on ouvrait le rideau et qu'on le refermait. » [Fin de l'extrait] J'ai remarqué que la démarche de projet avait un impact énorme sur les élèves parce que lorsque nous nous produisons… Par exemple sur scène, ils ont énormément de respect à la fois pour leur rôle, pour la musique, pour leur danse, pour leur costume. Et quand nous allons voir des comédies musicales, je me suis aperçue qu'ils prenaient ça tellement au sérieux qu'ils s'habillaient eux-mêmes de façon assez précieuse. Et pour la petite anecdote, nous nous sommes vus reclassés à l'opéra, en termes de places, parce qu'ils avaient une attitude tellement précieuse et respectueuse que le directeur de l'opéra a décidé de les mettre en avant dans la salle. Et ça, ça a été assez particulier pour nous et un temps fort. [Extrait audio : les élèves chantent en chœur (en « lalala ») sur la même musique d'Offenbach, dirigés et accompagnés au piano par Olivier Vonderscher] On est finalement un lycée qui propose la musique en enseignement et en option. On est très peu de lycées en France à proposer cet enseignement-là. Or, on nous a bien expliqué, pendant le confinement notamment, que la musique, c'était très important dans la vie de chacun. Et d'ailleurs, on a vu sur les ondes et à la télévision naître des tas de petits montages virtuels de gens qui faisaient de la musique à distance. Or, il se trouve qu'à l'école, on pense que c'est plutôt facultatif. Et on s'aperçoit que la musique est quand même un vecteur facilitateur, et fédérateur surtout, dans un établissement scolaire. Elle contribue à la sérénité du climat scolaire et voilà pourquoi, moi, je fédère [autour d']une vie au sein de l'établissement. L'année dernière, au moment du confinement, on était dans un quotidien qui était très anxiogène, c'est-à-dire qu'il y avait beaucoup de jeunes qui avaient du mal à se rendre dans l'établissement scolaire de peur d'être contaminés ou de contaminer les autres. Or, je n'ai jamais souffert d'un manque d'effectifs ou d'une baisse d'effectifs parce que je me suis aperçue qu'ils venaient au cours de musique aux premières heures. Et ils me disaient, en plus, en face-à-face : « Vraiment, on est contents de venir parce que ça illumine notre journée et ensuite, on a la force pour suivre les autres cours. » Donc ça, c'était vraiment très précieux.
durée : 00:42:40 - Circuit Bleu - Côté Saveurs FB Normandie (Rouen) - Pierre Pote, le Cappeville à Gisors. Le champs des comestibles à Cauville
On November 26, 1979, police in the French agglomeration community of Cergy-Pontoise received a strange missing person report from two distressed young men. According to Jean-Pierre Prévost and Salomon N'Diaye, their friend, Franck Fontaine, disappeared after a ball of light that was accompanied by three or four luminous spheres engulfed the car he was in. This resulted in not only an investigation by the police but also GEPAN (Groupe d'Études des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés), the unit of CNES (Centre National D'études Spatiales) tasked with dealing with UFO reports.According to an article on the case titled L'Affaire de Cergy-Pontoise, posted on rrO.org, Fontaine, 18, Prévost and N'Diaye, both 25, were loading a Ford station wagon with jeans they were going to try and sell at Gisors market. They saw a light heading towards the ground at a “not too fast speed.” Fontaine drove towards where he thought it might have made impact after telling the other two to meet him there. Prévost and N'Diaye went back to their nearby apartments, N'Diaye to get a camera and Prévost to get another load of jeans. Read more →
durée : 00:49:06 - Circuit Bleu - Côté Saveurs FB Normandie (Rouen) - Pierre Potel, chef du Cappeville à Gisors. Jean Baptiste, caviste . Caves Pierre Noble à Isneauville.
durée : 00:02:04 - Les offres d'emploi France Bleu Normandie (Rouen)
Somnifère vous raconte ce soir l'histoire du Rosier de madame Husson, la célèbre nouvelle de Maupassant qui a connu différentes adaptations télévisuelles, notamment avec Bourvil et Fernandel dans le rôle d'Isidore. La dernière en date étant celle de France 2 en 2008 dans le cadre de la série “Chez Maupassant”. L'histoire se déroule à Gisors, une commune du Vexin où vit Madame Husson, une femme d'une vertu sans pareille et qui décide de récompenser la demoiselle la plus chaste de village... Malheureusement, après s'être informée, elle n'en trouve aucune. Mais il existe un jeune homme que l'on dit particulièrement vertueux... Et juste avant cela, une séance de relaxation inédite pour s'endormir au son apaisant de la pluie. Soutenez Somnifère Pour soutenir Somnifère, c'est ici
durée : 00:40:43 - On cuisine ensemble France Bleu Normandie (Rouen) - Cuisson et accompagnement des poissons .
durée : 00:39:45 - On cuisine ensemble France Bleu Normandie (Rouen) - Pierre Potel est le chef du restaurant Le Cappeville à Gisors.
durée : 00:36:19 - On cuisine ensemble France Bleu Normandie (Rouen) - Pierre Potel, Le Cappeville à Gisors
durée : 00:38:28 - Le Dossier FBN (Rouen)
durée : 00:40:24 - On cuisine ensemble France Bleu Normandie (Rouen) - Pierre Potel, restaurant Le Cappeville à Gisors
L'info Expresso - Toulouse serait la ville où les barbes sont les plus longues - Google résume 2020 en dévoilant ce que les internautes ont le plus recherché Le winner du jour : - Ce chef d'entreprise a fait de ses employés des millionnaires - Du porno dans les rues à la place des chants de Noël La chanson du jour : Jamiroquai "Virtual Insanity" Le savoir inutile : la première référence à un dentifrice date du IVe siècle avant JC Le Flash-Back du Double Expresso : "On n'est pas couchés" (2006) Le bonus du Double Expresso : Un milliardaire australien veut construire le Titanic II Le jeu surprise (le qui suis-je) : Jérôme de Gisors (27) remporte le lot de consolation : un Mug + un coffret 3 vinyles + DVD "Catherine Ringer chante les Rita Mitsouko". La Banque RTL2 : Mélanie de Marseille (34) gagne un Samsung Galaxy S20. Sully d'Avon (77) remporte le lot de consolation : un Mug + un coffret 3 vinyles + DVD "Catherine Ringer chante les Rita Mitsouko".
durée : 00:01:03 - Le Web Normand France Bleu Normandie (Rouen)
durée : 00:58:11 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Pour son exposition « I am crying because you are not crying », qui se tient à la Almine Rech Gallery de Paris jusqu’au 6 octobre. La seconde partie se tiendra au Château de Boisgeloup, à Gisors à partir du 20 octobre 2018. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux
durée : 00:58:11 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Pour son exposition « I am crying because you are not crying », qui se tient à la Almine Rech Gallery de Paris jusqu’au 6 octobre. La seconde partie se tiendra au Château de Boisgeloup, à Gisors à partir du 20 octobre 2018. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux
durée : 00:02:15 - Le Livre du Week-End France Bleu Normandie (Rouen)
As a younger man, John had been given the nickname Lackland because unlike his brothers he didn't have his own appanage. At the Treaty of Le Goulet in May 1200 he acquired the name Softsword - people couldn't understand why he'd signed away Gisors, parts of Berry, £20,000 and bent his knee to Phillip. On the other hand, John probably felt he'd had a good deal. Then John caused fury with the Lusignan by stealing their bride, they appealed to Phillip and and Phillip declared John to be stripped of his lands. But at the start of the war, John gets off to a flyer.
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Pnr du Vexin Français, Circuit de Rollon le Marcheur, en anglais
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