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Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui je vous parle d'un nouvel acteur qui vient d'arriver il y a qqs mois dans notre univers : Source Edition, qui réédite fidèlement des pièces iconiques de designers des années 50 à 70. Une maison d'édition unique fondée par une mère et sa fille - Isabelle de Ponfilly et Joséphine Bursacchi - passionnées par le design, l'artisanat et le patrimoine. Mais attention Isabelle dont la carrière dans le monde du design est immense - elle nous la raconte ici bien sûr - le dit dans l'épisode "ce n'est pas parce que Joséphine est ma fille que nous avons crée Source Edition, si elle n'avait pas eu ce niveau d'excellence, je ne sais pas si je me serais lancée..."Ensemble nous parlonsde l'idée de se lancer dans la réédition de mobilier plutôt que la création l'importance de la sauvegarde du patrimoinede Claude Pompidou qui compte bcp dans l'histoire du designde l'engouement des années 70 et de ce que ce style apporte à nos intérieurs comment elles sélectionnent les designers et les meublesles étapes d'une réédition, des archives aux échanges avec les créateurs d'origine du Mobilier National (que je vais interviewer bientôt aussi !)de l'importance d'une fabrication européenne et durable de leur lutre contre la contrefaçon et les copies qui sont si nombreuses de leur duo intergénérationnel et leurs sensibilités différentes de la conjoncture et de leur vision à long terme sur le marché etc. etc.
C'est dans la Vallée de Joux, au cœur du berceau horloger suisse, que nous avons rencontré Marc Ferlan, artisan guillocheur, passionné de mécanique et de transmission.Originaire du Québec, Marc a tout quitté — avec femme et enfants — pour venir s'installer en Suisse et relever un double défi : travailler chez Audemars Piguet et se hisser au niveau d'exigence de l'horlogerie suisse. Une période d'essai ? Oui. Mais dans sa tête, aucun plan B. Car comme ses parents lui ont appris : on va au bout des choses.Marc n'est pas né guillocheur. Il l'est devenu, dans un contexte où cette discipline était pratiquée par une poignée d'artisans seulement. Il a fallu convaincre, se former, et prendre en main le développement de l'atelier.Ce qui l'anime, c'est la mécanique, la précision, le dialogue entre l'homme et la machine. Il aime les modifier, les pousser plus loin, pour qu'elles s'adaptent à sa vision. Car chez Marc, la machine est au service de l'artiste, jamais l'inverse.Un échange sincère et inspirant, avec un homme qui incarne l'obstination tranquille et la passion du travail bien fait.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:32 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Si l'on oppose spontanément l'art et l'artisanat, cette distinction n'a rien d'évident. Pour les Grecs anciens, l'art et l'artisanat étaient abordés par le même mot, la "technè". Pour autant, les philosophes grecs introduisaient d'autres catégories d'appréciation. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Fabienne Baghdassarian Maître de conférences en histoire de la philosophie ancienne à l'université de Rennes, spécialiste d'Aristote et de la tradition aristotélicienne.; Nicolas Le Merrer Maître de conférences en philosophie ancienne et philosophie politique, responsable du département de philosophie à l'université de Brest
Dans cet épisode, Luce Lépissier, co-fondatrice de la distillerie Disent-elles, nous fait découvrir l'Orangette, une eau-de-vie à 44% née de la revalorisation. Élaborée à partir de bière destinée à être jetée, d'écorces d'orange et de coques de cacao récupérées, cette création gourmande et magique nous transporte dans un univers féerique de Noël. Entre notes d'agrumes et de chocolat, Luce partage sa vision d'un spiritueux réconfortant, sans sucre ajouté, qui incarne parfaitement l'engagement de la distillerie pour l'alcool naturel et l'économie circulaire.Pour en savoir plus sur Disent-elles
Longtemps délaissé face à la production de masse, l'artisanat retrouve aujourd'hui un nouvel attrait. Les consommateurs cherchent des créations uniques, authentiques et durables. Mais cet engouement est-il une mode ou un vrai retour à l'authentique ? Que pensent les artisans et comment transmettre leur savoir-faire ? Avec : - Marie-Pierre Bouaziz, artiste vitrailliste, maître-verrier, créatrice de L'Ame du Vitrail (75)- Sophie Bernert, artiste papetière, créatrice de l'Atelier Sophie Bernert (89), intervenante pour l'association de De l'or dans les mains- Mickaël Trentin, responsable marketing & communication de PASSPASSIONRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus d'économie et société ci-dessous :Silence, on crie : https://audmns.com/jqOozgUOù va la vie ? La bioéthique en podcast : https://audmns.com/UuYCdISContre courant : https://audmns.com/swImDAMAu bonheur des herbes : https://audmns.com/XPVizmQSacré patrimoine : https://audmns.com/TNJhOETEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! New épisodeNew format (oui encore
Rendez-vous incontournable de l'art contemporain en Tunisie, la biennale Dream City tient sa 10ᵉ édition à Tunis jusqu'au 19 octobre. Sa particularité ? Les artistes investissent des lieux de la Médina, une trentaine sont mis à leur disposition, une aubaine pour les habitants, mais aussi les visiteurs qui redécouvrent leur patrimoine. Cette édition consacre une grande place à l'art engagé dans l'actualité au Moyen-Orient et à l'artisanat tunisien. À Dar Mallouli, une bâtisse vieille de plusieurs siècles, le bourdonnement d'un bruit de drone envahit les lieux. In search of justice among the rubble, présenté par un collectif d'artistes libanais, retranscrit le quotidien du Liban bombardé par Israël entre octobre 2023 et novembre 2024. Un travail d'archivage et de cartographie qui a ému Aymen, jeune bénévole du festival Dream City. Cet étudiant en audiovisuel explique l'œuvre aux visiteurs : « La maison est en cours de rénovation pour illustrer les effets de la guerre. Le bruit du drone témoigne des attaques psychologiques qu'a menées Israël contre le Liban pendant un an, avec ce bourdonnement permanent des drones. Donc, on est complètement immergé dans le quotidien de la guerre à travers l'œuvre et le lieu. » Un lieu privé, objet de patrimoine et ouvert spécialement pour le Festival Dream City, une découverte pour Aymen : « C'est vraiment l'occasion pour moi de découvrir pleins d'endroits dans la Médina, cette maison n'était pas du tout accessible avant. D'ailleurs, je vois beaucoup d'étudiants en architecture qui viennent au festival juste pour visiter des lieux inédits de la Médina. » L'artisanat mis à l'honneur Alors qu'une averse frappe la Médina en plein milieu de la journée, la plupart des visiteurs se réfugient à la caserne El Attarine, autre lieu emblématique du festival où sont exposés plusieurs travaux d'artistes palestiniens et tunisiens. Fathi, 21 ans, un habitant de la Médina, arpente les lieux : « Pour moi, c'est un festival important pour la Médina, mais aussi parce qu'il présente des œuvres engagées. En tant que jeune, on suit tous les jours ce qu'il se passe à Gaza sur les réseaux sociaux, donc voir un regard à travers l'art, développer un regard critique, cela permet aussi d'avoir un autre point de vue. » Dans les salles du rez-de-chaussée, l'artisanat des potières de Sejnane a été mis à l'honneur. La gestuelle de ce savoir-faire ancestral inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco a été érigé au rang d'œuvre d'art par deux artistes tunisiens, une reconnaissance pour Lamia Saïdani, une potière de 34 ans qui a hérité cet art de sa grand-mère : « On a trouvé notre place dans ce festival, car ce n'est pas comme quand on va vendre les poteries à une foire. Ici, on vend à un prix fixe et les gens nous voient travailler vu qu'on anime un atelier et ils voient aussi l'œuvre artistique, donc on se sent valorisés. » Le festival qui expose des artistes africains et aborde aussi les luttes décoloniales ou encore le rapport à l'identité et mise sur un public jeune et de plus en plus diversifié à chaque édition. À lire aussiTunisie: la culture sur sable, une pratique ancienne qui tente de résister
L'incroyable céramisteAujourd'hui je discute avec Julien Truchon. Ce céramiste corse a de multiples savoirs : il travaille aussi bien l'utilitaire que les installations suspendues ou encore les grosses pièces. Il a aussi une vision bien à lui du métier et du savoir-vivre céramique. Une interview à ne pas manquer et qui ne laisse pas indifférent.Bonne écoute !Pour suivre le Bol : www.le-bol.frwww.le-blog-du-bol.frEn savoir plus sur Julien Truchonhttps://www.atelierjtruchon.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous recevons Jean-Christophe Babin, CEO de Bvlgari et de la division horlogère du groupe LVMH.Derrière ce dirigeant reconnu, il y a un enfant radieux, fils d'un notaire et d'une juriste, qui a grandi en région parisienne avec une approche simple et joyeuse de la vie. Après un passage en prépa, il intègre la prestigieuse école HEC. Animé par une passion pour le voyage et l'aventure, il construit une carrière qui le mènera aux plus hautes responsabilités dans le luxe.Tout au long de notre échange, Jean-Christophe revient sur les étapes marquantes de son parcours, sa vision du luxe et son regard sur l'évolution de l'industrie. Avec la même énergie qui l'a poussé, étudiant, à inscrire une voiture aux 24 Heures du Mans pour valider son mémoire de fin d'études — une anecdote incroyable qu'il nous raconte ici.Un épisode riche, entre ambition, curiosité et passion, qui révèle l'homme derrière le leader.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Episode Spécial
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Très contente d'échanger aujourd'hui avec Caroline Petit-Mason, céramiste et entrepreneure. Après plusieurs vies créatives et une première marque de céramique avec Three Seven Paris, il y a qqs mois elle a choisi de repartir de zéro pour créer Saint Pères, une marque artisanale de vaisselle et objets en porcelaine à son image : exigeante, innovante et sensible. Ensemble on va parler de la petite fille qu'elle était et l'importance de sa fratrieses débuts sur les routes américainesl'importance de ralentir nos rythmes de viela différence entre faïence et porcelaineles heures de tutos Youtube pour apprendre le métierêtre une femme dans ce milieul'usure des réseaux sociaux l'importance d'une identité forte l'évolution de son métier sa journée type et l'équilibre pro/persoson associé caché si cultivé les montagnes russes de l'entreprenariat la nécessité du sport pour tenirson nouvel appartement etc.Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Rien ne la prédestinait à devenir créatrice. Cyrielle aimait simplement coudre et bricoler, offrir à ses amies de petits bijoux faits main.Et puis, sans qu'elle s'en rende compte, l'audace est née.Cyrielle et sa famille ont quitté leur quotidien citadin — leurs anciens métiers - la ville, le vélo, la maison rénovée — pour s'installer en pleine campagne corrézienne, dans une ancienne grange qu'ils ont retapée. Les travaux ont duré plusieurs mois, menés en parallèle de sa créativité naissante.C'est là qu'est née sa marque de bijoux en peau de pomme
C'est au cœur de son atelier à Bienne que nous avons rencontré Hervé Schlüchter, horloger indépendant, passionné et profondément humain.Dans cet épisode, Hervé revient avec franchise et humour sur son parcours atypique. Ancien hockeyeur, il découvre l'horlogerie presque par hasard… lors d'un stage où, selon ses mots, "il y avait de jolies filles". Ce point de départ inattendu deviendra le début d'un véritable chemin de vie.Au fil de notre échange, il évoque les rencontres décisives qui ont marqué sa trajectoire : de Philippe Dufour, figure tutélaire de l'horlogerie indépendante, au studio Pininfarina, emblème du design intemporel.Mais ce qui rend le travail d'Hervé unique, c'est sa capacité à donner du sens à chaque création. Animé par une démarche profondément philosophique, il nous donne ici les clés pour comprendre son univers, où chaque montre est le prolongement d'une réflexion sur le temps, l'être, et la transmission.Un échange sincère, inspirant, et profondément enraciné dans la passion du geste.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On peut se demander à quoi ressemble la vie d'un céramiste dans d'autres pays. Ici Victoria nous partage sa vie de céramiste en Italie : comment pratiquer, comment se former, quelles sont les habitudes des italiens. Une interview qui nous fait voyager et nous donne l'envie d'explorer l'ailleurs.Bonne écoute ! Pour suivre le Bol : www.le-bol.frwww.le-blog-du-bol.fr En savoir plus sur Ohlalaceramicahttps://www.instagram.com/ohlalaceramicaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le secteur agroalimentaire, le retail... honnêtement, je n'y connaissais pas grand-chose. Pour corriger cette inculture, j'ai invité la queen du secteur. Dans cet épisode du Mot de la Faim, je reçois Salomé Charrigton, consultante en retail et agroalimentaire, et créatrice du podcast Sans Filtre Ajouté.Ensemble, on explore les réalités économiques du secteur agroalimentaire : la formation des prix, les relations entre marques et distributeurs, et le rôle souvent sous-estimé de l'animation terrain.Salomé revient aussi sur son parcours professionnel, ses prises de conscience et sa vision d'un commerce alimentaire plus équilibré et plus durable.Un épisode à écouter pour mieux comprendre les tensions et les leviers du retail alimentaire, et les défis que rencontrent aujourd'hui les marques, les enseignes et les consultants du secteur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouvel extrait pour une Nouvelle fille de la Campagne !Ils vivaient en ville, profs, citadins, vélos, et une maison rénovée en plein centre ville. Puis un jour, l'envie de changer de vie a pris forme. Direction la Corrèze, une grange presque encore habitée par les vaches, et un quotidien à réinventer. Entre autonomie rêvée, hiver rude, et créativité retrouvée, Cyrielle se lance dans la fabrication de bijoux éco-responsable à base de peau de pomme — un matériau végétal qui fait sens, ici, au cœur du pays des pommes.Merci Cyrielle. Rdv Vendredi pour l'intégralité de son épisode. Son site https://www.lesateliersdugrandbois.fr/Ces témoignages sont là pour vous inspirer, vous donner le courage de franchir le pas, ou simplement vous offrir un moment de détente en écoutant des histoires de vie, d'audace et de femmes extraordinaires dans une chouette atmosphère rural
Cet été, j'ai été faire du tufting dans un atelier et j'y ai rencontré Zoé. Elle partage ce lieu et son truc à elle, en vérité, c'est la maroquinerie ! Des chaussures, des sacs, des ceintures... Zoé a créé Ginès l'atelier pour transmettre tout son savoir et te permettre de repartir avec des pièces uniques faites à la main. À côté de ça, Zoé est directrice artistique indépendante depuis des années : elle collabore avec des marques et des maisons de couture pour réaliser des pièces de caractère. Les chaussures restent sa spécialité - et elle est même exposée au musée de la Chaussure à Romans-sur-Isère !Un univers vintage, coloré et sensible à la matière : il ne m'en fallait pas plus pour avoir envie d'échanger avec elle à mon micro. On a parlé des différences entre art et artisanat, de son rapport à la créativité, de ses grandes robes à fleurs, de l'industrie de la mode et du rôle qu'y jouent les artisanes et artisans, d'aquarelle, de céramique et de son amour pour Paris (et Toulouse, tu vas voir !) Pour suivre Zoé : @zoémataix @gines.atelierRéserve ton cours avec Zoé !POUR SOUTENIR LE PODCAST
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Tous les 2 mois, LE CLUB se rassemble pour vous parler déco, design, tendances, conseils pratiques et même transition écologique.Chaque journaliste son thème et sa chronique :DANS CET EXTRAIT Billie Blanket, journaliste déco, autrice et désormais décoratrice d'intérieur, consacre sa chronique aux tendances déco repérées pour cet hiver : matières, style, couleurs, vous saurez tout ! Dans l'épisode complet, vous pourrez aussi écouter Violaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, nous explique l'importance des barrières de biodiversité (un terme un peu compliqué lu comme ça mais en fait tout simple à comprendre rassurez-vous) et les outils à mettre en placeMarie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle d'une grande marque américaine qui débarque à Paris... (#suspens) et de tous les event du moment qui montrent à quel point la capitale est toujours un must en matière de design et projets décoUn mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci bcp Studio Gaïa pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
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Elle a décidé de tout quitter ✨. Prof dans l'Éducation nationale, elle a pris la décision courageuse de changer de métier et de changer de vie. Une véritable reconversion professionnelle, qui lui a permis de passer de prof à artisane et de vivre de ses créations ☺️Avec le code MGBDB10, profite de -10% sur ton article préféré dans la boutique de Marion : https://bouedebois.com/ Sans minimum d'achat, valable à vie… et rien que pour toi qui écoute ce podcastDécouvre la boutique ici : https://bouedebois.com/ Code : MGBDB10
Pour cet épisode, l'échange s'est fait à distance, mais la richesse de la conversation, elle, était bien réelle. Bertrand Meylan, qui vit aujourd'hui à Dubaï, nous a offert un moment de partage unique, entre souvenirs de voyages, vision stratégique et passion horlogère.Il revient notamment sur les voyages marquants qu'il a faits avec son père — dont un séjour à Hong Kong qui, en contraste avec la Vallée de Joux de son enfance, a laissé une trace indélébile. On comprend vite l'attrait pour cette vibration asiatique qui a façonné sa manière de voir le monde.Mais si j'ai voulu interviewer Bertrand, c'est surtout pour comprendre les rouages du monde de la distribution horlogère. Et il a pris le temps, avec clarté et pédagogie, de nous expliquer les étapes clés qui relient une montre fraîchement produite à sa mise en vitrine. Un éclairage rare, précieux, pour tous ceux qui veulent mieux comprendre l'envers du décor.Enfin, Bertrand nous partage sa lecture des marchés asiatiques et nous invite à découvrir une nouvelle facette de Moser, avec toute la finesse et la vision qu'on lui connaît.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le parcours de Pauline est non conventionnel : elle a débuté par la pâte polymère et les décors sur gâteaux avant de basculer dans la céramique. Elle crée aujourd'hui des minicapsules mêlant ces 2 pratiques. Ici, elle nous partage son parcours, la force de sa communauté et ses réflexions de chef d'entreprise. Bonne écoute !Bonne écoute !Pour suivre le Bol :www.le-bol.frwww.le-blog-du-bol.frEn savoir plus sur Les Mimines de Paulinehttps://miminesdepauline.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Faire des spiritueux autrement. Créer un véritable réseau d'artisans locaux pour revaloriser des matières premières “déchets”.From Québec to Charente-Maritime, découvrez une aventure spiritueuse pas comme les autres, avec Luce Lépissier.Co-fondatrice de Disent-elles, elle nous raconte comment on peut commencer dans la chimie pharmaceutique, pour se retrouver ensuite alchimiste du goût engagée.Et ça se passe dans le nouvel épisode d'Eau-de-Vie.Pour découvrir une personnalité et un projet pas comme les autres, écoutez ce nouvel épisode.---Dans cet épisode, Constance s'entretient avec Luce Lépissier, cofondatrice de la distillerie Disent-elles, qui se spécialise dans la revalorisation de matières premières locales pour créer des spiritueux. Luce partage son parcours, son engagement envers l'écologie, et l'importance de travailler avec des artisans locaux. Elle explique également la création de leurs produits, notamment la Mistelle, et comment ils innovent dans un secteur en pleine évolution. L'épisode met en lumière l'importance de la communauté et de l'engagement dans l'industrie des spiritueux.Pour en savoir plus sur Disent-elles
As-tu déjà eu cette impression que tout le monde crée les mêmes choses ? Des boucles d'oreilles fleuries, des colliers minimalistes, des tasses artisanales… et tu te demandes : “Est-ce que je vais pas juste refaire la même chose que les autres ?”
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Bienvenue dans LE CLUB, l'émission comme à la radio avec différentes chroniques... déco, design et même transition écologique !Dans cet épisode, Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle d'une grande marque américaine qui débarque à Paris... (#suspens) et de tous les event du moment qui montrent à quel point la capitale est toujours un must en matière de design et projets décoViolaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, nous explique l'importance des barrières de biodiversité (un terme un peu compliqué lu comme ça mais en fait tout simple à comprendre rassurez-vous) et les outils à mettre en placeEnfin, Billie Blanket, journaliste déco, autrice et désormais décoratrice d'intérieur, consacre sa chronique aux tendances déco repérées pour cet hiver : matières, style, couleurs, vous saurez tout ! Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci bcp Studio Gaïa pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Dans ce 24e épisode hors-série du Pod'capsuleur, direction l'Alsace, et plus précisément Obernai, où le Lycée agricole a marqué l'histoire du houblon français en devenant, dès 2010, le premier producteur de houblon bio dans l'Hexagone. Alors que la récolte 2025 vient de s'achever, dans un contexte de marché du bio fragilisé, nous nous penchons sur les défis et les espoirs de cette filière.Rencontre avec : Antoine Wuchner, directeur commercial au Comptoir Agricole,Freddy Merkling, directeur d'exploitation du Lycée agricole d'Obernai,Véronique Stangret, responsable du projet 'Houblonnière de rupture'.Cet épisode hors série du Pod'capsuleur vous est proposé dans le cadre d'un partenariat avec le Comptoir Agricole.
Aujourd'hui, pour la reprise de cette nouvelle saison, je papote avec Marion Guitter, qui a fondé l'artisane académie. Elle nous partage ses astuces pour se lancer, les trucs à éviter à coup sûr et des conseils pas à pas pour passer le cap de la passion au pro sans y laisser toutes nos plumes.Bonne écoute !Pour suivre le Bol : www.le-bol.frwww.le-blog-du-bol.frEn savoir plus sur L'artisane académiehttps://www.artisane-academie.fr/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode du Mot de la Faim, j'accueille Paty Meijas de Redefine Meat, une entreprise pionnière qui ambitionne de réinventer la viande sans animaux grâce à la technologie d'impression 3D et aux protéines végétales.
Depuis le 7 août, des droits de douane américains de 15% s'appliquent sur les exportations européennes. Les filières du vin, de l'aéronautique ou encore du luxe comptent parmi les plus touchées. Mais ces nouvelles taxes ont aussi de lourdes répercussions sur l'industrie française des instruments de musique, qui exporte massivement outre-Atlantique. Le marché américain capte la moitié des instruments produits dans le monde. Dans l'imposant atelier de Buffet Crampon, situé à Mantes-la-Ville, à l'ouest de Paris, 15 000 clarinettes sont produites chaque année. Une majorité est exportée de l'autre côté de l'Atlantique, « environ 30% de notre production », estime Jérôme Perrod, président de cette entreprise bicentenaire. Mais depuis l'entrée en vigueur des taxes américaines, le 7 août dernier, la mélodie a changé, explique ce chef d'entreprise : « On perçoit déjà la baisse du marché liée à des augmentations de prix. Les magasins font preuve d'une grande prudence et ne veulent pas renouveler leurs stocks, car ils ont la crainte que les musiciens achètent moins d'instruments. » De fait, le marché des instruments de musique à vent se contracte aux États-Unis, en raison d'une augmentation des prix dans le pays, consécutive à l'instauration des droits de douane par l'administration de Donald Trump. La hausse observée varie de 10 à 15%, selon Jérôme Perrod. À la tête des harpes Camac, entreprise pionnière dans la construction de harpes en France, Jakez François dresse un constat similaire. Le marché américain représente un quart de ses exportations. « Ces droits de douane ont fait bondir nos prix immédiatement. Ils s'ajoutent à la faiblesse du dollar par rapport à l'euro. En combinant les deux, on enregistre une hausse de nos prix de l'ordre de 22% aux États-Unis. » Le 15 septembre dernier, l'entreprise subit une déconvenue annoncée. « Nous avions un container qui était sur le point de partir avec une quinzaine de harpes. Notre distributeur principal a annulé une grosse moitié de la commande. On se retrouve concrètement dans la situation qu'on craignait », soupire Jakez François. Un coup dur alors que le principal concurrent mondial des harpes Camac se trouve justement aux États-Unis : « Cela rend notre position bien plus difficile vis-à-vis de ce concurrent. » En revanche, Buffet Crampon est presque en situation de monopole sur le marché des instruments de musique à vent. Alors son président, Jérôme Perrod, avoue ne pas comprendre la pertinence de ces droits de douane : « Nous n'avons aucun concurrent aux États-Unis, donc personne ne va tirer bénéfice de ces taxes américaines. » Des conséquences sur la qualité des productions Les droits de douane conclus entre l'Union européenne et l'administration Trump ressemblent bel et bien à un accord perdant-perdant. D'autant plus compromettant que la pratique des instruments de musique à vent est historiquement très ancrée outre-Atlantique. « Il y a une très forte émulation aux États-Unis dans la pratique instrumentale, en particulier en orchestre, dès l'école. La moitié des enfants entre 9 et 12 ans choisissent de pratiquer un instrument à vent, ce qui génère forcément des vocations », rappelle Jérôme Perrod. Mais à terme, cette tradition pourrait souffrir des conséquences de ces droits de douane, explique Coraline Baroux-Desvignes, déléguée générale de la Chambre syndicale de la facture instrumentale, qui représente une soixantaine d'entreprises du secteur : « Il y a des musiciens qui risquent de retarder l'achat d'instruments de musique en attendant que la situation soit plus propice, ce qui peut avoir un impact sur la qualité des productions musicales. » Sans compter que la hausse des prix affecte également les instruments d'études, moins chers. « Cela pourrait décourager les musiciens en herbe de se lancer dans la pratique régulière d'un instrument », ajoute Coraline Baroux-Desvignes, qui dit craindre des conséquences sur « plusieurs générations de musiciens ». Préserver le savoir-faire des artisans L'eldorado américain devenant de plus en plus inaccessible, les entreprises françaises de la facture instrumentale songent à réorienter leurs exportations vers d'autres marchés. Du côté des harpes Camac, Jakez François dit travailler sur le sujet afin d'atteindre ou renforcer sa présence dans certaines destinations en Asie, notamment en Chine, à Hong Kong ou Singapour. Une réflexion similaire a été menée à Buffet Crampon. « Mais ces nouveaux débouchés ne permettront sans doute pas de compenser la baisse des volumes exportés aux États-Unis », estime Jérôme Perrod. Le marché américain capte en effet la moitié des instruments de musique produits dans le monde. Si Jakez François estime que son entreprise peut résister pour le moment, Jérôme Perrod, lui, a été contraint de placer certains de ses salariés au chômage partiel afin de réduire son activité : « Ça nous fait mal au cœur de voir les ateliers vides certains vendredis », se lamente-t-il. Mais c'est la moins pire des solutions pour conserver le savoir-faire de ses artisans, selon le chef d'entreprise : « Il nous faudrait plusieurs années pour reformer des salariés et retrouver les niveaux de qualité que l'on a aujourd'hui. Le chômage partiel nous permet de conserver les effectifs et, le jour où l'activité redémarre, de les faire revenir comme avant. » S'il ne croit guère à une levée des droits de douane, Jérôme Perrod dit toujours espérer une exemption des taxes américaines sur les instruments à vent. Par ailleurs, la Cour suprême des États-Unis doit se prononcer début novembre sur la légalité des droits de douane imposés par Donald Trump aux partenaires commerciaux des États-Unis.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui on va parler d'un sujet qui n'avait encore jamais été abordé dans DECODEUR : les toilettes. Or les toilettes ne sont pas un détail. C'est un sujet dont on parle trop peu alors qu'il nous concerne tous et que, vous allez voir, est passionnant… allez go chez Griffon, une marque qui se distingue sur 2 aspects depuis les années 50 : une fabrication française qui valorise le savoir faire local et un style rétro, raffiné, notamment grâce à des couleurs aussi subtiles qu'un nuancier de peinture. Oui les toilettes peuvent être belles, confortables, robustes et responsables, tout en intégrant des contraintes techniques et des innovations… c'est d'ailleurs tout ce dont on va discuter avec François Mounier le CEO de Griffon. Ici on parle des éléments essentiels qui constituent les toilettes et les 2 grands modèles qui existent au moment du choixdes modèles iconiques de Griffon et ce qui fait leur différence en quoi ils sont géniaux pour personnaliser son intérieur grâce à un très joli nuancier de couleurs ce qu'on a tendance à trop négliger au moment de l'achatl'importance de défendre les circuits courts et le made in France, ce qui n'est pas tjrs plus cherdu sujet ultra sensible de l'immense consommation d'eau versus la solution des eaux grises de rester humble dans un univers fortement concurrentieldes meilleures innovations à venir de l'histoire familiale de Griffon et de la vision de François depuis son arrivée de sa petite équipe et de ses grands défis à venir et bien sûr de quelques anecdotes car ce sujet ne doit pas être tabou !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Guillaume Tetu, Français d'origine lyonnaise, est l'un de ces profils rares qui allient vision, expérience et pédagogie.Dans cet épisode, il nous prend littéralement par la main pour nous raconter son parcours : de la passion de transformer une idée en objet tangible, à son entrée dans l'univers horloger, en passant par la création de la marque Hautlence.Mais ce podcast va bien au-delà du récit personnel. Guillaume partage aussi des clés concrètes pour celles et ceux qui rêvent de se lancer dans l'horlogerie indépendante : comment penser son produit, quel multiplicateur appliquer pour le commercialiser, quels écueils éviter, et surtout… quelle attitude adopter.Un échange riche de 30 ans d'expérience, empreint de sagesse, d'optimisme, et d'une vision transversale qui donne à réfléchir autant qu'elle inspire.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Béchu est un homme guidé par la passion du beau geste et du bel objet. Aujourd'hui CEO des marques Arnold & Son et Angelus, il nous offre dans cet épisode une véritable plongée horlogère, sincère et inspirante.De son enfance rêvant de concevoir des skis pour Salomon — et surtout de les tester — à ses années d'études, jusqu'à sa trajectoire professionnelle dans l'univers du luxe, Pascal nous raconte comment son regard d'esthète, son amour de l'art, et son exigence ont façonné son parcours.Dans la seconde partie de l'épisode, il nous embarque au cœur des maisons Arnold & Son et Angelus, deux marques qu'il pilote avec une vision claire : faire dialoguer tradition et créativité, histoire et innovation, dans le respect du savoir-faire horloger.Un épisode qui se savoure comme un voyage. Technique, personnel, généreux — à l'image de son invité.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Dans ARCHI COOL, un architecte d'intérieur partage un projet qu'il a mené et nous raconte tout : les choix qui ont été faits du sol au plafond, sa manière de travailler au quotidien sur ce chantier - et dans l'absolu -, ses conseils, ses bonnes adresses bref ses partis-pris et son savoir faire pour inspirer autant les pros que les fans de déco.Ici on va parler plans, matériaux, couleurs, volumes, budget, rénovation, peinture, sols, artisans, et bien sûr déco.Dans le 2e épisode de ce nouveau format (le 1er est sorti en juin), c'est Maya de Atelier Hans dont j'aime bcp le travail qui nous décrypte l'un de ses derniers projets, un appartement parisien de 140m2 qu'elle a complètement rénové pour - ou plutôt "avec" car vous verrez qu'ils ont formé une belle équipe - un couple de médecins avec 2 enfants. Le plan a été modifié notamment pour créer un double séjour avec une grande cuisine hyper belle, un grand nombre de portes ont été supprimées pour faciliter la circulation (il y en avait 30 au départ !), les coins Nuit parents/enfants ont été redistribués, de sublimes mosaïques ont été posées et tout cela avec beaucoup de goût, en jouant sur les matériaux, les ambiances chaleureuses et les couleurs toutes douces. Un très beau projet - qui a duré 1 an - que Maya nous raconte dans le podcast et dont vous pourrez découvrir les photos sur le compte Instagram de DECODEUR.Bonne écoute !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
"il faut créer un langage commun" Le D.E.V. de la semaine est Geoffrey Bérard, Principal engineer chez Les Furets. Au cours de cette discussion, l'importance de comprendre les problèmes avant le développement de fonctionnalités est mise en avant. Geoffrey réitère les défis liés aux estimations de temps dans le processus de développement logiciel. Il souligne également comment l'automatisation garantit une qualité constante, libérant ainsi les équipes pour se concentrer sur la création de valeur. Enfin, nous discutons de diverses stratégies pour favoriser la collaboration tout en maintenant les standards de qualité, donnant des pistes pour l'optimisation de l'usine logicielle.Chapitrages00:01:01 : Introduction à l'Usine Logicielle00:01:06 : De Mario Kart à Formule 100:03:45 : Prédictibilité et Prise de Décision00:09:21 : Estimation et Organisation00:11:47 : Effets de Bord et Environnement de Travail00:18:03 : Gestion des Incidents et Fluidité00:24:11 : Fast Track et Méthodologies Agiles00:33:52 : Standardisation et Créativité00:41:51 : Artisanat vs. Automatisation00:50:39 : Conclusion et Recommandations Liens évoqués pendant l'émission Chaine YT Fouloscopie 🎙️ Soutenez le podcast If This Then Dev ! 🎙️ Chaque contribution aide à maintenir et améliorer nos épisodes. Cliquez ici pour nous soutenir sur Tipeee 🙏Archives | Site | Boutique | TikTok | Discord | Twitter | LinkedIn | Instagram | Youtube | Twitch | Job Board |Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end vous emmène tout d'abord sur le continent africain. À cheval sur Niger, Nigeria, Cameroun et Tchad, le lac qui diminuait comme peau de chagrin ces dernières décennies, a regagné de la surface au gré d'un pluvieux changement climatique. C'est une région reculée en crise alimentaire, en proie aux raids de la secte islamiste et aux opérations militaires. En deuxième partie, nous irons en Chine. Notre envoyée spéciale permanente nous dira tout de l'industrie du bambou, bambou qui se veut en concurrence avec le plastique. Le bambou plus écologique, mais la bataille n'est pas gagnée. Sur les rives du lac Tchad, une guerre sans fin contre Boko Haram et la montée des eaux Vu du ciel, le lac Tchad se profile en de petites flaques, de plus en plus larges jusqu'à l'émergence d'une limite entre l'eau et la terre. Des contours flous pour une vaste étendue marécageuse entre sables et ilots de verdure aux confins du Niger, du Nigéria, du Cameroun et du Tchad. Le lac n'est pas en train de s'assécher, comme on l'a longtemps cru. Il s'étend. Notamment sous l'effet du changement climatique, aggravant la crise alimentaire et sécuritaire sur ses rivages martyrisés depuis plus d'une décennie par Boko Haram. La secte islamiste et ses deux factions rivales a été affaiblie par les opérations militaires, mais elle marque encore la région par ses attentats suicides, rapts, viols et raids contre des civils. Avec la participation de Joris Bolomey et le soutien logistique du CICR, d'Acted, Concern et Handicap International. Un Grand reportage de Carol Valade qui s'entretient avec Jacques Allix. Usine à ciel ouvert, le pari du bambou Le bambou en Chine n'est plus seulement un symbole culturel : il devient une arme verte, un levier pour relever le défi écologique. À Anji, au cœur du Zhejiang, cette plante façonne le paysage, mais aussi l'économie. Artisanat, tourisme, architecture, ustensiles du quotidien… La grande et souple plante s'impose partout, portée par une stratégie nationale baptisée « Bamboo for Plastic ». Ici, traditions et innovations se croisent pour bâtir un « made in China » plus durable. Un Grand reportage de Cléa Broadhurst qui s'entretient avec Jacques Allix.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Elle fait partie des personnalités qui comptent en cette rentrée puisqu'elle a été nommée directrice artistique de Maison&Objet pour cette session de septembre : bienvenue à Amélie Pichard dans DECODEUR !Et plus précisément dans STYLé, l'émission dans laquelle une personnalité qui n'est pas forcément du monde de la déco, nous parle de ses goûts et de son intérieur. Ensemble on se balade pièce par pièce pour parler de sa déco... et de sa vie...Comment vous présentez Amélie Pichard dont l'univers s'étend bien au-delà de la mode et de sa marque lancée en 2011 ? Entre sacs iconiques (vous savez celui avec le petit crocodile), exploration de nouvelles matières (elle est la 1ère en maroquinerie à proposer du cuir vegan), la créatrice est devenue "chercheuse" dit-elle, chercheuse d'idées, de concepts, elle est donc désormais consultante, curatrice et à Maison&Objet depuis ce jeudi ! Son univers est engagé, audacieux, authentique, décalé, en tout cas unique, c'est pourquoi je suis très curieuse d'en savoir plus sur elle et son intérieur...Avec Amélie on parle deson lit dans lequel elle travailleles idées qu'on projette sur nous quand on est petit(e)sPamela Anderson avec qui elle a collaboré la définition du cuir vegan l'évolution du monde de l'entreprise l'importance du mauvais goût Habitat vintage qu'elle adorait son bureau minimaliste la chambre de sa fille avec grand litles messages qu'elle veut faire passe à Maison&Objet son envie secrète d'ouvrir un hôtel l'idée déco qu'elle a piqué à Dali pour sa salle de bainsses snobismes et bien plus encore vous pensez bien !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Le bambou en Chine n'est plus seulement un symbole culturel : il devient une arme verte, un levier pour relever le défi écologique. À Anji, au cœur du Zhejiang, cette plante façonne le paysage, mais aussi l'économie. Artisanat, tourisme, architecture, ustensiles du quotidien… La grande et souple plante s'impose partout, portée par une stratégie nationale baptisée « Bamboo for Plastic ». Ici, traditions et innovations se croisent pour bâtir un « made in China » plus durable. « Usine à ciel ouvert, le pari du bambou », un grand reportage de Cléa Broadhurst et Chi Xiangyuan. À lire aussiLe marché du bambou est en plein essor en Chine
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités, gros plan. la Slovaquie sans frontieres et la Vie comme elle va. Il existe actuellement plus de 7100 langues parlées dans le monde. Et parmi ces langues, le slovaque bien évidemment, que les natifs vivant a l'étranger tentent de transmettre. L'artisanat du fil de fer slovaque est classé a l'Unesco. Ce petit métier d'alors a pris un tour plus artistique de nos jours. Reprise.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Dans cet épisode enregistré très tard la veille de mes vacances, je vous résume l'année écoulée avec la liste des derniers épisodes et formats enregistrés.Il y en a pour tous les goûts !N'hésitez pas, sur la plage, en balade, dans la voiture, DECODEUR ne s'arrête jamais vraiment (c'est l'avantage de podcast) : tous les épisodes sont à votre disposition et n'attendent que vous !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Savez-vous que les couleurs que nous utilisons au quotidien peuvent être issues de plantes, et que ces teintes végétales sont non seulement esthétiques mais aussi bénéfiques pour notre santé ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, Pauline Leroux a le plaisir d'accueillir Jean-Marie Poulle et Antoine Rivière du laboratoire Poule-Rivière, deux experts passionnés par l'univers fascinant des plantes tinctoriales et des plantes médicinales. Ensemble, ils nous plongent dans l'univers des colorants végétaux et des applications variées de la couleur végétale dans des domaines aussi essentiels que la cosmétique et la pharmacologie. Jean-Marie partage avec nous son parcours inspirant, passant de la reconversion en herboristerie à son expérience enrichissante dans la saponification à froid, tandis qu'Antoine, pharmacien de formation, aborde les aspects scientifiques et réglementaires liés à l'utilisation des plantes dans les médicaments. Leur discussion ne se limite pas aux simples nuances de teinture végétale, mais s'étend à l'importance cruciale de la souveraineté en matière de médicaments, un enjeu majeur pour notre société actuelle. Ensemble, ils nous parlent également de leur projet commun, qui vise à valoriser les plantes médicinales en France. Ils mettent l'accent sur l'utilisation de colorants naturels dans leurs produits, notamment des savons et des tisanes, tout en soulignant l'importance de la biodiversité et des pratiques durables dans la production de médicaments et de cosmétiques. Ils nous révèlent comment des pigments végétaux issus de jardins locaux peuvent transformer notre approche de la teinture et de l'agriculture tinctoriale. Ce podcast est une véritable invitation à découvrir les tanins, l'indigo, la garance et bien d'autres secrets que la nature a à nous offrir. Quelle place occupe la couleur dans notre quotidien et comment pouvons-nous l'utiliser de manière responsable ? Ne manquez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur les biotechnologies et les fibres naturelles qui façonnent notre avenir. Pour plus d'informations sur les sujets abordés, n'hésitez pas à consulter les liens utiles dans la description. Écoutez cet épisode captivant et engageant d'ArtEcoVert et laissez-vous inspirer par la beauté et la richesse des plantes tinctoriales. Belle écoute ! ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
À Marseille, le centre de la Vieille Charité propose jusqu'au 28 septembre 2025 une exposition Tatouage. Histoires de la Méditerranée. La pratique a traversé les époques, les territoires et les sociétés. Le tatouage entre aujourd'hui dans l'histoire de l'art, symbole de transgression, de protection, de sacré, sa résurgence contemporaine est l'occasion de revenir sur une histoire passionnante vieille comme l'humanité. Savez-vous que la moitié de la population italienne est tatouée, qu'un tiers des Français l'est aussi, et beaucoup plus encore chez les jeunes, avec une recrudescence du phénomène depuis les années 2010. Mais au-delà des modes, que signifie encrer sa peau ? « C'est un signe de transgression, c'est un défi lancé aux normes et aux contraintes sociétales. Le tatouage et le féminisme ont une relation ancienne puisque pendant des siècles, en France et dans l'Europe occidentale, la femme tatouée était une femme de mauvaise vie. Or, aujourd'hui, le tatouage est perçu comme le moyen de l'appropriation, de la réappropriation de son corps. Le tatouage modifie ce qu'on pourrait imaginer être un état de nature. Avec le tatouage, on peut définir qui l'on est véritablement », explique Nicolas Misery directeur des musées de la ville de Marseille et commissaire de l'exposition. À lire aussiTous tatoués ? : l'ascension sociale du tatouage Si le tatouage est tendance, il a été par le passé l'apanage des criminels et des marginaux, raconte-t-il : « Nous sommes heureux de présenter dans l'exposition cet ensemble de photographie de relevés de tatouages venu du musée Cesare Lombroso à Turin, un ensemble de plusieurs milliers de photographies réalisées à la fin du 19e siècle et au début du 20e, où l'on mettait des prisonniers à nu pour photographier leurs tatouages comme la marque d'une criminalité de nature. On a utilisé le tatouage comme un signe de reconnaissance des personnes dangereuses et marginales ou malades. C'est parfois déchirant ce qu'on peut voir sur ces tatouages. On peut lire la solitude, le sentiment d'être le jouet du malheur, du destin, la bravade avec des phrases adressées à l'autorité pénitentiaire et plus généralement à la vie qui a amené beaucoup de personnes dans les marges. » Le centre de la Vieille Charité nous fait voyager dans le temps. L'étude momifiée d'Otzi, homme néolithique du 4e siècle, atteste d'un pratique thérapeutique pour soigner l'arthrose. L'archéologie des mondes antiques, de la Syrie à l'Espagne en passant par l'Égypte ou Chypre, témoigne d'un usage constant variant de l'ornemental à l'infamant. « Dans le monde grec et romain, les esclaves qui avaient tenté de fuir étaient marqués par des tatouages, des marques infamantes gravées sur le visage, le front. Ils étaient immédiatement identifiés comme des personnes mises au ban de la société », rappelle le commissaire de l'exposition. Le monde médiéval chrétien va réprouver le tatouage, mais tolérer les marques d'appartenance religieuse comme les croix ou les scènes de crucifixion. Chez les femmes amazighes, de la Libye à la Mauritanie, les motifs géométriques du tatouage marquent un statut marital ou un symbole de protection. Depuis la fin des années 1960 et les luttes anticoloniales des artistes du Maghreb ou du monde arabe ne cessent de se réapproprier ces motifs culturels dans leur production contemporaine. À lire aussiAix-en-Provence célèbre Paul Cézanne avec une exposition internationale
Suite et fin de notre série consacrée aux objets de pouvoir du continent. Le dernier épisode ce matin nous emmène au Ghana, premier pays d'Afrique subsaharienne à avoir déclaré son indépendance, en 1957. À sa tête à l'époque : le premier président Kwame Nkrumah, figure du panafricanisme. Il s'est servi du Kente, le pagne traditionnel ghanéen, afin d'envoyer au monde entier un message d'unité, d'indépendance et de liberté du continent africain. De notre correspondant à Accra, Sur le cliché en noir et blanc disposé dans la bibliothèque de Samia Nkrumah, deux hommes sourient à l'objectif : son père, Osagyefo Kwame Nkrumah, premier président du Ghana, et Ahmed Sékou Touré, son ami et homologue guinéen. Quand ce dernier arbore sur la photo veste de costume, chemise et cravate, Kwame Nkrumah, lui, porte le Kente, un des pagnes tissés traditionnel ghanéen. Pour Samia Nkrumah, le Kente porté par son père revêtait aussi une signification éminemment politique, à destination de ses homologues occidentaux. Un message anticolonialiste, assumé à même le corps par le biais du pagne tissé que Kwame Nkrumah portait lors de ses déplacements internationaux. « C'est parce qu'il pensait qu'il n'y avait rien de plus important que de se montrer avec. Cela dit au monde qui nous sommes, notre style, nos systèmes de connaissances autochtones, notre terre, détaille la fille du premier président ghanéen. C'était naturel pour nous de porter le Kente lors de certaines occasions. Mais le porter en dehors du Ghana, dans ces arènes internationales, c'était presque révolutionnaire, radical. Ainsi, il prenait position : l'Afrique indépendante est en train de se soulever, et que nous souhaitons faire des partenariats sur un pied d'égalité, à armes égales. » À lire aussiKwame Nkrumah: le vrai panafricanisme se vit Porté au Ghana depuis au moins quatre siècles, le Kente est un tissu chargé de sens. Alors, pour sa première venue au siège des Nations unies en 1960, Kwame Nkrumah a décidé d'emmener avec lui un Kente nommé « Tikro Nnko Adjina », que l'on peut traduire par « deux cerveaux valent toujours mieux qu'un seul ». Un pagne bleu aux motifs dorés, rouges et verts, dont la confection a été confié au maître tisserand Andrew Asare. Une fierté racontée aujourd'hui par son fils, Kwasi Asare : « Le Kente est un habit si puissant. Celui qu'Osagyefo Kwame Nkrumah a présenté portait ce message : l'indépendance du Ghana ne signifie rien sans l'indépendance de tout le continent africain, d'où cette signification "deux têtes valent mieux qu'une". D'une certaine manière, il cherchait également à dire que par l'ONU, tous les États doivent s'unir pour ne faire plus qu'un. » Un message sous forme de Kente, qui est resté exposé pendant plusieurs décennies dans le hall du siège de l'ONU, aux yeux du monde entier. À lire aussiGhana: l'héritage politique de Kwame Nkrumah source de débat au Parlement
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui dans DECODEUR, on va parler tissus, papiers peints, panoramiques ou encore revêtements muraux avec l'un des grands éditeurs français du textile haut de gamme : CASAMANCE. CASAMANCE c'est le nom du groupe et ils ont ensuite 4 marques, Casamance donc, Casamance Maison, Camengo et Misia, ou plutôt devrais-je dire 5 marques puisque ISSé, la petite nouvelle dont on va justement vous parler va sortir très bientôt. Casamance fête ses 25 ans cette année, l'occasion de rencontrer Florence Vermelle la directrice artistique du groupe et de revenir sur son savoir-faire, la création des collections, mais aussi les enjeux contemporains de cette industrie passionnante !Ce que vous allez apprendre dans ce podcastla naissance d'une maison d'édition pourquoi 5 marques et leurs grandes différencesISSé la petite nouvelle qui va devenir grande quels engagements responsables quand on crée des tissus la collab' inédite pour fêter leurs 25 ans le métier de coloriste, pilier du procédé créatif les ateliers et leur manière de travailler comment on allie performance et esthétisme le goût du moment la grande différentre entre papier peint et revêtement mural comment se porte le marché du textile d'ameublement face à la crise et plein d'autres sujets passionnants of course !BONNE ECOUTESi ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Quel bonheur de discuter avec Aline Asmar d'Amman, architecte qui a rénové entre autre le sublime Hotel de Crillon, le Jules Verne au 2e étage de la Tour Eiffel, mais qui est aussi scénographe, directrice artistique, qui a collaboré plusieurs fois avec Karl Lagerfeld, bref qui n'arrête pas !Vous allez l'entendre, Aline est passionnée, engagée, inspirée (et donc ultra inspirante). Elle travaille la matière comme un écrivain travaille les mots. Pour elle, la beauté du monde et les émotions seront toujours à la base de tout, c'est ce qui guide son travail, entre brutalisme et poésie, son amour pour les pierres et pour les mots. Celle qui a grandit au Liban dans les années 80, veut prouver que du chaos peut naitre la lumière et que les cultures et les époques peuvent s'encastrer avec grâce : son travail est donc une vraie philosophie de vie !Avec Aline on parler du Liban où elle est née et où travaille encoredes Beaux Arts et des Prix qu'elle a reçus de la littérature au coeur de sa vie de son insatiable quête de sens et de symbolesde son agence Culture in Architecture à Beyrouth de l'importance de la confiance et de la transmission de sa rencontre avec Karl Lagerfeldde Béton Littéraire, sa collection de mobilier sublime de sa passion pour les métiers d'artsde ses pièces préférées chez elledes personnalités qui l'inspirentSi ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Cet épisode a été enregistré en public, devant une quarantaine de personnes qui avaient pris leur place pour venir nous écouter au BHV Marais.(le son n'est pas excellent pardon, il y avait du monde, ça résonnait et les micros n'étaient pas toujours au plus près de nos bouches mais ça aurait été dommage de ne pas exploiter la bande son !)Dans ce TALK « la créativité comme moteur » nous explorerons le rôle central de la créativité dans l'entreprenariat à travers les parcours et la vision de 3 univers forts, solaires, parfois décalés. Car le pas de côté n'est-il pas celui qui va faire toute la différence ? Pour en parler, Hortense Leluc, journaliste déco et fondatrice de DECODEUR était avecAnaïs Seguin et Alice Gras, aka les DELAJOIE qui collaborent sur de nombreux projets de DA avec des marques ou pour elles-mêmes via leur compte Instagram qui rend tout ultra désirable...Marie Lucas et Clémence du Tertre, fondatrice de Lucas du Tertre, une marque audacieuse et engagée... qui a justement travaillé avec les DELAJOIEAlexandra Remise, DA ultra pêchue qui en parallèle de ses missions avec des marques a lancé LA REMISE_OBJECTS, des lampes chinées et réinventées grâce à ses idées et mains de fée La créativité au coeur d'un business, c'est audacieux ? Logique ? Courageux ? Venez nous écouter en parler !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas