POPULARITY
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Dans ARCHI COOL, un architecte d'intérieur partage un projet qu'il a mené et nous raconte tout : les choix qui ont été faits du sol au plafond, sa manière de travailler au quotidien sur ce chantier - et dans l'absolu -, ses conseils, ses bonnes adresses bref ses partis-pris et son savoir faire pour inspirer autant les pros que les fans de déco.Ici on va parler plans, matériaux, couleurs, volumes, budget, rénovation, peinture, sols, artisans, et bien sûr déco.Dans le 2e épisode de ce nouveau format (le 1er est sorti en juin), c'est Maya de Atelier Hans dont j'aime bcp le travail qui nous décrypte l'un de ses derniers projets, un appartement parisien de 140m2 qu'elle a complètement rénové pour - ou plutôt "avec" car vous verrez qu'ils ont formé une belle équipe - un couple de médecins avec 2 enfants. Le plan a été modifié notamment pour créer un double séjour avec une grande cuisine hyper belle, un grand nombre de portes ont été supprimées pour faciliter la circulation (il y en avait 30 au départ !), les coins Nuit parents/enfants ont été redistribués, de sublimes mosaïques ont été posées et tout cela avec beaucoup de goût, en jouant sur les matériaux, les ambiances chaleureuses et les couleurs toutes douces. Un très beau projet - qui a duré 1 an - que Maya nous raconte dans le podcast et dont vous pourrez découvrir les photos sur le compte Instagram de DECODEUR.Bonne écoute !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
"il faut créer un langage commun" Le D.E.V. de la semaine est Geoffrey Bérard, Principal engineer chez Les Furets. Au cours de cette discussion, l'importance de comprendre les problèmes avant le développement de fonctionnalités est mise en avant. Geoffrey réitère les défis liés aux estimations de temps dans le processus de développement logiciel. Il souligne également comment l'automatisation garantit une qualité constante, libérant ainsi les équipes pour se concentrer sur la création de valeur. Enfin, nous discutons de diverses stratégies pour favoriser la collaboration tout en maintenant les standards de qualité, donnant des pistes pour l'optimisation de l'usine logicielle.Chapitrages00:01:01 : Introduction à l'Usine Logicielle00:01:06 : De Mario Kart à Formule 100:03:45 : Prédictibilité et Prise de Décision00:09:21 : Estimation et Organisation00:11:47 : Effets de Bord et Environnement de Travail00:18:03 : Gestion des Incidents et Fluidité00:24:11 : Fast Track et Méthodologies Agiles00:33:52 : Standardisation et Créativité00:41:51 : Artisanat vs. Automatisation00:50:39 : Conclusion et Recommandations Liens évoqués pendant l'émission Chaine YT Fouloscopie 🎙️ Soutenez le podcast If This Then Dev ! 🎙️ Chaque contribution aide à maintenir et améliorer nos épisodes. Cliquez ici pour nous soutenir sur Tipeee 🙏Archives | Site | Boutique | TikTok | Discord | Twitter | LinkedIn | Instagram | Youtube | Twitch | Job Board |Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Delhi Bazaar, Bastien Peccoux et Alexis Gracio ont voulu casser les codes de la cuisine indienne. En quelques mois, leur restaurant est devenu une référence. Entre vision entrepreneuriale, énergie créative et quête de légitimité, Bastien revient sur les coulisses de ce succès.Dans cet épisode, Bastien partage les coulisses : la recherche d'un chef, la construction d'une légitimité, les doutes, les voyages, mais aussi l'énergie d'un projet qui a trouvé son public à une vitesse incroyable.Un échange qui interroge sur l'authenticité et la création dans le monde de la food.Contacter Bastien de ma part : linkedin.com/in/bastien-peccoux-a2514273Découvrir le restaurant : https://www.tandoor-club.com/L'insta de Delhi Bazaar : https://www.instagram.com/tandoor.club/Le mot de la Faim est un podcast artisanal et indépendant.Production, réalisation et montage : @Yassir KaboriCrédit bande-annonce : @Tarik AzzouzHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Bastien Peccoux, cofondateur de Delhi Bazaar, partage une étape clé de son aventure entrepreneuriale : comment passer d'un simple rêve d'ouvrir un restaurant indien à un projet crédible. Avec son associé Alexis, ils ont sillonné l'Inde, multiplié les rencontres et compris une chose essentielle : sans l'expertise d'un vrai chef, pas de légitimité. Avec son associé Alexis, ils ont multiplié les voyages et les rencontres jusqu'à trouver la perle rare. Une étape décisive qui a façonné l'âme de Delhi Bazaar.
Pour clore cette première saison du podcast, Mariette de Copeaux & Co vous emmène dans les coulisses du concours des Meilleurs Artisans de France, organisé par RMC et WorldSkills France. Comment se déroule la sélection ? Qu'est-ce que ça change de participer ? Et une fois la cérémonie passée… que reste-t-il vraiment de cette aventure ?Pour en parler, Davy Rezeau, président du jury en carrelage, et Anthony Gaborieau, lauréat 2023 dans la même catégorie, partagent les dessous d'une expérience qui marque une carrière.Reconnaissance, visibilité, fierté… parfois, il suffit d'oser candidater pour ouvrir une nouvelle page.Un dernier épisode qui célèbre la passion artisanale, avec celles et ceux qui la font vivre au quotidien.À écouter sur toutes les plateformes !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end vous emmène tout d'abord sur le continent africain. À cheval sur Niger, Nigeria, Cameroun et Tchad, le lac qui diminuait comme peau de chagrin ces dernières décennies, a regagné de la surface au gré d'un pluvieux changement climatique. C'est une région reculée en crise alimentaire, en proie aux raids de la secte islamiste et aux opérations militaires. En deuxième partie, nous irons en Chine. Notre envoyée spéciale permanente nous dira tout de l'industrie du bambou, bambou qui se veut en concurrence avec le plastique. Le bambou plus écologique, mais la bataille n'est pas gagnée. Sur les rives du lac Tchad, une guerre sans fin contre Boko Haram et la montée des eaux Vu du ciel, le lac Tchad se profile en de petites flaques, de plus en plus larges jusqu'à l'émergence d'une limite entre l'eau et la terre. Des contours flous pour une vaste étendue marécageuse entre sables et ilots de verdure aux confins du Niger, du Nigéria, du Cameroun et du Tchad. Le lac n'est pas en train de s'assécher, comme on l'a longtemps cru. Il s'étend. Notamment sous l'effet du changement climatique, aggravant la crise alimentaire et sécuritaire sur ses rivages martyrisés depuis plus d'une décennie par Boko Haram. La secte islamiste et ses deux factions rivales a été affaiblie par les opérations militaires, mais elle marque encore la région par ses attentats suicides, rapts, viols et raids contre des civils. Avec la participation de Joris Bolomey et le soutien logistique du CICR, d'Acted, Concern et Handicap International. Un Grand reportage de Carol Valade qui s'entretient avec Jacques Allix. Usine à ciel ouvert, le pari du bambou Le bambou en Chine n'est plus seulement un symbole culturel : il devient une arme verte, un levier pour relever le défi écologique. À Anji, au cœur du Zhejiang, cette plante façonne le paysage, mais aussi l'économie. Artisanat, tourisme, architecture, ustensiles du quotidien… La grande et souple plante s'impose partout, portée par une stratégie nationale baptisée « Bamboo for Plastic ». Ici, traditions et innovations se croisent pour bâtir un « made in China » plus durable. Un Grand reportage de Cléa Broadhurst qui s'entretient avec Jacques Allix.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Elle fait partie des personnalités qui comptent en cette rentrée puisqu'elle a été nommée directrice artistique de Maison&Objet pour cette session de septembre : bienvenue à Amélie Pichard dans DECODEUR !Et plus précisément dans STYLé, l'émission dans laquelle une personnalité qui n'est pas forcément du monde de la déco, nous parle de ses goûts et de son intérieur. Ensemble on se balade pièce par pièce pour parler de sa déco... et de sa vie...Comment vous présentez Amélie Pichard dont l'univers s'étend bien au-delà de la mode et de sa marque lancée en 2011 ? Entre sacs iconiques (vous savez celui avec le petit crocodile), exploration de nouvelles matières (elle est la 1ère en maroquinerie à proposer du cuir vegan), la créatrice est devenue "chercheuse" dit-elle, chercheuse d'idées, de concepts, elle est donc désormais consultante, curatrice et à Maison&Objet depuis ce jeudi ! Son univers est engagé, audacieux, authentique, décalé, en tout cas unique, c'est pourquoi je suis très curieuse d'en savoir plus sur elle et son intérieur...Avec Amélie on parle deson lit dans lequel elle travailleles idées qu'on projette sur nous quand on est petit(e)sPamela Anderson avec qui elle a collaboré la définition du cuir vegan l'évolution du monde de l'entreprise l'importance du mauvais goût Habitat vintage qu'elle adorait son bureau minimaliste la chambre de sa fille avec grand litles messages qu'elle veut faire passe à Maison&Objet son envie secrète d'ouvrir un hôtel l'idée déco qu'elle a piqué à Dali pour sa salle de bainsses snobismes et bien plus encore vous pensez bien !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Le bambou en Chine n'est plus seulement un symbole culturel : il devient une arme verte, un levier pour relever le défi écologique. À Anji, au cœur du Zhejiang, cette plante façonne le paysage, mais aussi l'économie. Artisanat, tourisme, architecture, ustensiles du quotidien… La grande et souple plante s'impose partout, portée par une stratégie nationale baptisée « Bamboo for Plastic ». Ici, traditions et innovations se croisent pour bâtir un « made in China » plus durable. « Usine à ciel ouvert, le pari du bambou », un grand reportage de Cléa Broadhurst et Chi Xiangyuan. À lire aussiLe marché du bambou est en plein essor en Chine
Peut-on confier un chantier à un seul professionnel quand plusieurs corps de métier interviennent ? Où commence la co-traitance et où s'arrêtent les responsabilités individuelles ?Dans cet épisode, Mariette de Copeaux & Co reçoit François Testelin, dirigeant de Brico-service et Samuel Lolot, Gérant de Sarl Esprit Rénovation. Ensemble, ils explorent les enjeux de coordination, de responsabilité et d'assurance sur les chantiers multisavoir-faire.Un guide indispensable pour réussir ses chantiers collaboratifs.Disponible sur toutes les plateformes !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fondée en 1930 par Joseph Wallart, l'entreprise familiale Wallart a su traverser les décennies en restant fidèle à son ADN tout en s'adaptant aux évolutions du marché. D'abord implantée dans le Nord et en Belgique, elle s'est progressivement ouverte à l'international. Spécialisée dans le matériel industriel d'occasion pour brasseries et agroalimentaire, elle ne se limite pas à la vente : ses équipes assurent aussi transfert, installation et accompagnement complet. Aujourd'hui dirigée par Frédéric et Guillaume Wallart, troisième génération, l'entreprise nordiste rayonne dans le monde entier grâce à son savoir-faire unique.Cet épisode hors série du Pod'capsuleur vous est proposé dans le cadre d'un partenariat avec Wallart.
Dans cet épisode, animé par Mariette de Copeaux & Co, on fait le point sur les outils simples à utiliser, les plateformes à choisir selon ses objectifs, et les bonnes pratiques pour se rendre visible… sans que ça devienne une charge mentale.Entre témoignage terrain et conseils concrets, Alexis Fernandes, artisan plâtrier-peintre, et Jade Murcia, social media manager indépendante, partagent leurs expériences du numérique au service du développement.Un épisode pour se lancer (ou s'améliorer) sans s'éparpiller.Disponible dès maintenant sur toutes les plateformes !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si mieux comprendre ce que nous mangeons pouvait réellement changer notre quotidien ?Dans ce nouvel épisode, je reçois Marion Van Lissum, fondatrice de l'application TiCO et véritable passionnée d'éducation alimentaire.Avec Marion, on parle d'un sujet qui nous concerne tous : la transparence nutritionnelle. Pourquoi est-il si difficile de savoir ce qu'il y a vraiment dans nos assiettes ? Comment décrypter les étiquettes et accéder à une information claire, fiable et accessible à tous ?Marion partage son parcours, son combat pour plus de lisibilité dans les choix alimentaires, et la manière dont TiCO s'impose comme un outil concret pour reprendre le pouvoir sur notre consommation.Pour télécharger TiCO : https://apps.apple.com/fr/app/tico-scan/id6739306595Participer à la campagne de Crowdfunding et soutenir TiCO : https://app.mymoojo.com/project/ticoContacter Marion de ma part : https://www.linkedin.com/in/marion-van-lissum/Le mot de la Faim est un podcast artisanal et indépendant.Production, réalisation et montage : @Yassir KaboriCrédit bande-annonce : @Tarik AzzouzHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, l'achat en ligne séduit de plus en plus d'artisans. Mais derrière les promesses de rapidité et de prix attractifs, quelles sont les vraies limites du tout-digital ?Dans cet épisode animé par Mariette de Copeaux & Co, on explore les coulisses de l'achat en ligne chez les artisans. Rapidité, prix, disponibilité : les avantages sont là. Mais entre retours compliqués et SAV flou, comment acheter malin quand on est pro ?Avec les éclairages de Frédéric Petit, chef des ventes chez Sonepar, et Nicolas Bernardin, chef de marque chez PPG France (Seigneurie), on fait le tri entre les bonnes pratiques et les fausses économies.Disponible dès maintenant sur toutes les plateformes !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Fête de l’artisanat en transmission a réuni, en juin 2025, au Sanatorium de Bergesserin, des artisanes et artisans pour faire découvrir leurs métiers aux visiteurs et aux enfants. C’est aussi l’occasion de faire découvrir l’histoire de ce lieu, ancien hôpital abandonné depuis plusieurs années, et sa renaissance grâce à l’énergie de celles et ceux qui y ont installé leurs activités, à la Communauté de Communes du Clunisois et à la mairie de Bergesserin ainsi qu’au collectif qui anime le lieu. Pour conclure les 2 jours de cette fête de l’artisanat, nous avons organisé un plateau radio pour donner la parole autant aux artisan.es qu’à la mémoire du lieu, ainsi qu’aux sons de celles et ceux qui y travaillent. (suite…)
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités, gros plan. la Slovaquie sans frontieres et la Vie comme elle va. Il existe actuellement plus de 7100 langues parlées dans le monde. Et parmi ces langues, le slovaque bien évidemment, que les natifs vivant a l'étranger tentent de transmettre. L'artisanat du fil de fer slovaque est classé a l'Unesco. Ce petit métier d'alors a pris un tour plus artistique de nos jours. Reprise.
Pour en parler, Mariette de Copeaux & Co reçoit Christophe Barat, directeur technique chez Koki Groupe, et Josserand Lecomte, gérant de l'agence illiCO travaux.Dans cet épisode, on fait le tri : Pro ou grand public ? Quand faut-il changer ses outils ? Est-ce vraiment rentable sur le long terme ? Et quelles sont les grandes tendances du moment ?On vous aide à investir au bon moment… et pour les bonnes raisons.À écouter sur toutes les plateformes !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode du Pod'capsuleur, partez à la rencontre d'une brasserie familiale emblématique de Wallonie picarde : la Brasserie Caulier, installée à Péruwelz, à deux pas de la frontière française. Fondée en 1996, l'entreprise célèbrera bientôt ses 30 ans, portée par le dynamisme de ses équipes et la renommée d'une bière totem, plus célèbre encore que le nom de la brasserie elle-même.Depuis ses débuts en 1933 avec Charles Caulier comme revendeur de bière à Bonsecours, la saga familiale s'est construite au fil des générations. En 1980, Roger et Linda Caulier reprennent le flambeau et, une quinzaine d'années plus tard, transforment l'activité pour se lancer dans le brassage, donnant naissance à la brasserie actuelle. Leurs trois fils, Vincent, Laurent et Bertrand, rejoignent à leur tour l'aventure en 2012. Rencontre avec Vincent Caulier, directeur général de la Brasserie Caulier, et Guillaume Coulon, maître-brasseur.
Dans ce nouvel épisode, Mariette de Copeaux & Co reçoit Yoan Bastien, plombier chauffagiste et CEO de YBN Énergie, et Alexandre Venditti, maçon et dirigeant des Artisans du Vermois, pour parler des situations tendues qu'on préfère souvent taire.Comment garder le cap sans y laisser sa marge (ni sa santé mentale) ?De la posture à adopter aux outils concrets à mettre en place, on explore toutes les bonnes pratiques pour fixer un cadre clair et préserver son métier. Parce qu'être pro, c'est aussi savoir dire stop.À écouter sur toutes les plateformes !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Dans cet épisode enregistré très tard la veille de mes vacances, je vous résume l'année écoulée avec la liste des derniers épisodes et formats enregistrés.Il y en a pour tous les goûts !N'hésitez pas, sur la plage, en balade, dans la voiture, DECODEUR ne s'arrête jamais vraiment (c'est l'avantage de podcast) : tous les épisodes sont à votre disposition et n'attendent que vous !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Savez-vous que les couleurs que nous utilisons au quotidien peuvent être issues de plantes, et que ces teintes végétales sont non seulement esthétiques mais aussi bénéfiques pour notre santé ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, Pauline Leroux a le plaisir d'accueillir Jean-Marie Poulle et Antoine Rivière du laboratoire Poule-Rivière, deux experts passionnés par l'univers fascinant des plantes tinctoriales et des plantes médicinales. Ensemble, ils nous plongent dans l'univers des colorants végétaux et des applications variées de la couleur végétale dans des domaines aussi essentiels que la cosmétique et la pharmacologie. Jean-Marie partage avec nous son parcours inspirant, passant de la reconversion en herboristerie à son expérience enrichissante dans la saponification à froid, tandis qu'Antoine, pharmacien de formation, aborde les aspects scientifiques et réglementaires liés à l'utilisation des plantes dans les médicaments. Leur discussion ne se limite pas aux simples nuances de teinture végétale, mais s'étend à l'importance cruciale de la souveraineté en matière de médicaments, un enjeu majeur pour notre société actuelle. Ensemble, ils nous parlent également de leur projet commun, qui vise à valoriser les plantes médicinales en France. Ils mettent l'accent sur l'utilisation de colorants naturels dans leurs produits, notamment des savons et des tisanes, tout en soulignant l'importance de la biodiversité et des pratiques durables dans la production de médicaments et de cosmétiques. Ils nous révèlent comment des pigments végétaux issus de jardins locaux peuvent transformer notre approche de la teinture et de l'agriculture tinctoriale. Ce podcast est une véritable invitation à découvrir les tanins, l'indigo, la garance et bien d'autres secrets que la nature a à nous offrir. Quelle place occupe la couleur dans notre quotidien et comment pouvons-nous l'utiliser de manière responsable ? Ne manquez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur les biotechnologies et les fibres naturelles qui façonnent notre avenir. Pour plus d'informations sur les sujets abordés, n'hésitez pas à consulter les liens utiles dans la description. Écoutez cet épisode captivant et engageant d'ArtEcoVert et laissez-vous inspirer par la beauté et la richesse des plantes tinctoriales. Belle écoute ! ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
Tu veux te lancer en céramique, mais tu ne sais pas par où commencer ? Dans cette vidéo, Élodie de Studio Paillettes partage tous ses conseils techniques, concrets et accessibles pour débuter sans se ruiner.✨ Elle te dévoile aussi quels dépenses prévoir et quels matériels acheter exactement !
Quand un grossiste engagé rencontre son boulanger exigeant.Aujourd'hui, je vous propose un épisode très particulier. J'ai réuni autour du micro deux invités que j'estime beaucoup : Gabin Quaak, fondateur de Be Native, un grossiste en produits bio et durables, et Yaodi Hu, fondateur de la boulangerie Pépite, l'une des plus belles réussites artisanales à Paris ces dernières années.Ils travaillent ensemble, l'un fournit, l'autre transforme. Et pourtant, tout les oppose. Gabin vient d'un milieu privilégié. Yaodi, lui, est arrivé en France clandestinement avec sa famille. Il s'est construit à la force du poignet, avec une exigence folle et un sens du travail qui force le respect.Dans cet épisode, je les ai fait parler ensemble, face à face.Pas pour un storytelling lisse ou un portrait édulcoré, mais pour creuser ce qui fait leur lien :- Comment naît la confiance entre un producteur et un artisan ?- Comment on parle de marge, de qualité, de galère quand on n'a pas le même point de départ ?- Et surtout : que veut dire “réussir” dans la food aujourd'hui ?On parle de matières premières, de saisonnalité, de relations commerciales, mais aussi d'immigration, de privilège, de résilience, et d'exigence.C'est un échange franc, dense, parfois émouvant. Le genre d'épisode qui, je l'espère, vous marquera autant qu'il m'a marqué.
Aujourd'hui, l'artisanat bouscule les clichés et revient au premier plan : savoir-faire, excellence, passion… Il est temps de faire le point sur l'image de ces métiers qui façonnent notre quotidien.Dans cet épisode, Mariette de Copeaux & Co reçoit Mathias Laurent, artisan et gérant d'Alterisolation, et Christophe Ducasse, artisan et gérant de MNC Électricité, pour passer au crible concours de prestige, influenceurs du geste, storytelling médiatique et perception des jeunes générations.On parle notoriété, reconnaissance, et fierté du métier. L'artisanat n'a jamais été aussi visible… Mais est-il vraiment reconnu à sa juste valeur ?À écouter sur toutes les plateformes !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Marseille, le centre de la Vieille Charité propose jusqu'au 28 septembre 2025 une exposition Tatouage. Histoires de la Méditerranée. La pratique a traversé les époques, les territoires et les sociétés. Le tatouage entre aujourd'hui dans l'histoire de l'art, symbole de transgression, de protection, de sacré, sa résurgence contemporaine est l'occasion de revenir sur une histoire passionnante vieille comme l'humanité. Savez-vous que la moitié de la population italienne est tatouée, qu'un tiers des Français l'est aussi, et beaucoup plus encore chez les jeunes, avec une recrudescence du phénomène depuis les années 2010. Mais au-delà des modes, que signifie encrer sa peau ? « C'est un signe de transgression, c'est un défi lancé aux normes et aux contraintes sociétales. Le tatouage et le féminisme ont une relation ancienne puisque pendant des siècles, en France et dans l'Europe occidentale, la femme tatouée était une femme de mauvaise vie. Or, aujourd'hui, le tatouage est perçu comme le moyen de l'appropriation, de la réappropriation de son corps. Le tatouage modifie ce qu'on pourrait imaginer être un état de nature. Avec le tatouage, on peut définir qui l'on est véritablement », explique Nicolas Misery directeur des musées de la ville de Marseille et commissaire de l'exposition. À lire aussiTous tatoués ? : l'ascension sociale du tatouage Si le tatouage est tendance, il a été par le passé l'apanage des criminels et des marginaux, raconte-t-il : « Nous sommes heureux de présenter dans l'exposition cet ensemble de photographie de relevés de tatouages venu du musée Cesare Lombroso à Turin, un ensemble de plusieurs milliers de photographies réalisées à la fin du 19e siècle et au début du 20e, où l'on mettait des prisonniers à nu pour photographier leurs tatouages comme la marque d'une criminalité de nature. On a utilisé le tatouage comme un signe de reconnaissance des personnes dangereuses et marginales ou malades. C'est parfois déchirant ce qu'on peut voir sur ces tatouages. On peut lire la solitude, le sentiment d'être le jouet du malheur, du destin, la bravade avec des phrases adressées à l'autorité pénitentiaire et plus généralement à la vie qui a amené beaucoup de personnes dans les marges. » Le centre de la Vieille Charité nous fait voyager dans le temps. L'étude momifiée d'Otzi, homme néolithique du 4e siècle, atteste d'un pratique thérapeutique pour soigner l'arthrose. L'archéologie des mondes antiques, de la Syrie à l'Espagne en passant par l'Égypte ou Chypre, témoigne d'un usage constant variant de l'ornemental à l'infamant. « Dans le monde grec et romain, les esclaves qui avaient tenté de fuir étaient marqués par des tatouages, des marques infamantes gravées sur le visage, le front. Ils étaient immédiatement identifiés comme des personnes mises au ban de la société », rappelle le commissaire de l'exposition. Le monde médiéval chrétien va réprouver le tatouage, mais tolérer les marques d'appartenance religieuse comme les croix ou les scènes de crucifixion. Chez les femmes amazighes, de la Libye à la Mauritanie, les motifs géométriques du tatouage marquent un statut marital ou un symbole de protection. Depuis la fin des années 1960 et les luttes anticoloniales des artistes du Maghreb ou du monde arabe ne cessent de se réapproprier ces motifs culturels dans leur production contemporaine. À lire aussiAix-en-Provence célèbre Paul Cézanne avec une exposition internationale
À Marseille, le centre de la Vieille Charité propose jusqu'au 28 septembre 2025 une exposition Tatouage. Histoires de la Méditerranée. La pratique a traversé les époques, les territoires et les sociétés. Le tatouage entre aujourd'hui dans l'histoire de l'art, symbole de transgression, de protection, de sacré, sa résurgence contemporaine est l'occasion de revenir sur une histoire passionnante vieille comme l'humanité. Savez-vous que la moitié de la population italienne est tatouée, qu'un tiers des Français l'est aussi, et beaucoup plus encore chez les jeunes, avec une recrudescence du phénomène depuis les années 2010. Mais au-delà des modes, que signifie encrer sa peau ? « C'est un signe de transgression, c'est un défi lancé aux normes et aux contraintes sociétales. Le tatouage et le féminisme ont une relation ancienne puisque pendant des siècles, en France et dans l'Europe occidentale, la femme tatouée était une femme de mauvaise vie. Or, aujourd'hui, le tatouage est perçu comme le moyen de l'appropriation, de la réappropriation de son corps. Le tatouage modifie ce qu'on pourrait imaginer être un état de nature. Avec le tatouage, on peut définir qui l'on est véritablement », explique Nicolas Misery directeur des musées de la ville de Marseille et commissaire de l'exposition. À lire aussiTous tatoués ? : l'ascension sociale du tatouage Si le tatouage est tendance, il a été par le passé l'apanage des criminels et des marginaux, raconte-t-il : « Nous sommes heureux de présenter dans l'exposition cet ensemble de photographie de relevés de tatouages venu du musée Cesare Lombroso à Turin, un ensemble de plusieurs milliers de photographies réalisées à la fin du 19e siècle et au début du 20e, où l'on mettait des prisonniers à nu pour photographier leurs tatouages comme la marque d'une criminalité de nature. On a utilisé le tatouage comme un signe de reconnaissance des personnes dangereuses et marginales ou malades. C'est parfois déchirant ce qu'on peut voir sur ces tatouages. On peut lire la solitude, le sentiment d'être le jouet du malheur, du destin, la bravade avec des phrases adressées à l'autorité pénitentiaire et plus généralement à la vie qui a amené beaucoup de personnes dans les marges. » Le centre de la Vieille Charité nous fait voyager dans le temps. L'étude momifiée d'Otzi, homme néolithique du 4e siècle, atteste d'un pratique thérapeutique pour soigner l'arthrose. L'archéologie des mondes antiques, de la Syrie à l'Espagne en passant par l'Égypte ou Chypre, témoigne d'un usage constant variant de l'ornemental à l'infamant. « Dans le monde grec et romain, les esclaves qui avaient tenté de fuir étaient marqués par des tatouages, des marques infamantes gravées sur le visage, le front. Ils étaient immédiatement identifiés comme des personnes mises au ban de la société », rappelle le commissaire de l'exposition. Le monde médiéval chrétien va réprouver le tatouage, mais tolérer les marques d'appartenance religieuse comme les croix ou les scènes de crucifixion. Chez les femmes amazighes, de la Libye à la Mauritanie, les motifs géométriques du tatouage marquent un statut marital ou un symbole de protection. Depuis la fin des années 1960 et les luttes anticoloniales des artistes du Maghreb ou du monde arabe ne cessent de se réapproprier ces motifs culturels dans leur production contemporaine. À lire aussiAix-en-Provence célèbre Paul Cézanne avec une exposition internationale
Aujourd'hui, je reçois Eloise et Remy qui ont eu l'envie folle de sillonner la France dans leur bétaillère aménagée. Ils sont allés à la rencontre de leur clients en vadrouillant du sud au nord de la France.On parle de folles idées, de lieux de vacances, de rencontres incroyables.Bonne écoute !Pour suivre le Bol :www.le-bol.frwww.le-blog-du-bol.frEn savoir plus sur Eloïse Duboishttps://www.eloiseduboisceramique.com/boutiqueHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Tunisie, les artisanes de Gafsa, une ville minière du sud-ouest tunisien, tentent de valoriser les savoir-faire de la région et surtout une autonomie économique grâce à la vente de leurs produits. Mais le manque de visibilité et l'isolement sont souvent des problèmes pour ces entrepreneuses, qui dépendent des foires ponctuelles dans l'année pour arriver à vendre leurs produits. De notre correspondante à Tunis, Lors de journées organisées par le ministère du Tourisme pour déterminer l'offre touristique à Gafsa, Fathia Mabrouki, originaire de Oum Larrayes, est venue avec d'autres femmes exposer ses tapis faits mains : « Ce que nous vendons ici, ce sont des produits de tissage de tapis et de kilims faits par les femmes de Oum Larrayes. Celui-ci avec plusieurs rayures de couleur, vous le trouvez dans toutes les maisons de la région, c'est vraiment un produit local ». « Personne ne sait qu'on existe » Mais dans cette région surtout connue pour ses mines de phosphate, les artisanes peinent à se rendre visibles et à vendre leurs produits. « C'est dur d'en vivre et de dégager un salaire, mais les artisanes s'accrochent pour continuer parce qu'elles ont ça dans le sang, poursuit-elle. Honnêtement, ce qu'il manque, c'est la publicité, le marketing. Parfois, des femmes comme nous, si on n'a pas la foire annuelle de l'artisanat à Tunis, on ne vend rien concrètement, car personne ne sait qu'on existe. » Karima Brahmi, 40 ans et originaire du centre-ville de Gafsa, a décidé de s'organiser en coopérative avec d'autres femmes pour vendre à plusieurs leurs produits du terroir. « Je suis entrée dans la coopérative pour faire plus de networking et gagner en expérience. Cela me permet d'avoir des contacts pour les foires de l'artisanat, car toute seule, je n'y arrivais pas. Là, j'entends parler de plus d'événements. Je fais des produits du terroir comme les olives, les légumes en saumure, la harissa, les gâteaux traditionnels », explique la quarantenaire. Une coopérative pour se professionnaliser Cette coopérative leur a permis de postuler à une formation du ministère de l'Agriculture pour se professionnaliser. « Nous avons suivi une formation pour décliner plusieurs produits à base de dattes et surtout faire en sorte que tous nos produits soient le plus naturel possible et de qualité », témoigne Ahlem Belhola, une de ses collègues. « On nous a appris comment faire du sucre de dattes, de la confiture de dattes, de la bsissa et même du café avec les noyaux de dattes. Donc, tous ces produits génèrent d'autres sources de revenus. Même les femmes, qui font ça à la base pour l'usage personnel ou pour vendre à quelques clients, sont encouragées à le faire de façon professionnelle et à élargir ainsi leur clientèle. » Un besoin de travailler d'autant plus important qu'à Gafsa, 35 % des femmes sont officiellement au chômage. À lire aussiLes sociétés civiles de Tunisie, Jordanie et Maroc s'inquiètent des violences faites aux femmes
durée : 00:02:50 - Près de chez vous en Alsace - Ce week-end, Saint-Amarin devient la scène d'un événement pas comme les autres : la 2ᵉ édition de sa grande fête des arts, du spectacle vivant et de l'artisanat local. Un rendez-vous festif et accessible à tous, qui transforme tout le village en terrain de découvertes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans ce nouvel épisode, Mariette de Copeaux & Co reçoit Christophe Marais, fondateur et porteur d'affaires chez Sarl Marais, Christophe Firmin, plombier chauffagiste, et Fabienne Vignes, référente développement entreprise à la CMA Occitanie.Ensemble, on passe en revue les pièges les plus fréquents quand on débute dans l'artisanat : mauvais prix, outils inadaptés, solitude, clients ou devis flous, galères administratives… Des témoignages concrets, des conseils utiles, et surtout, un vrai guide de survie pour éviter de tomber dans les panneaux.Parce que réussir, c'est aussi savoir où ne pas mettre les pieds.À écouter sur toutes les plateformes !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suite et fin de notre série consacrée aux objets de pouvoir du continent. Le dernier épisode ce matin nous emmène au Ghana, premier pays d'Afrique subsaharienne à avoir déclaré son indépendance, en 1957. À sa tête à l'époque : le premier président Kwame Nkrumah, figure du panafricanisme. Il s'est servi du Kente, le pagne traditionnel ghanéen, afin d'envoyer au monde entier un message d'unité, d'indépendance et de liberté du continent africain. De notre correspondant à Accra, Sur le cliché en noir et blanc disposé dans la bibliothèque de Samia Nkrumah, deux hommes sourient à l'objectif : son père, Osagyefo Kwame Nkrumah, premier président du Ghana, et Ahmed Sékou Touré, son ami et homologue guinéen. Quand ce dernier arbore sur la photo veste de costume, chemise et cravate, Kwame Nkrumah, lui, porte le Kente, un des pagnes tissés traditionnel ghanéen. Pour Samia Nkrumah, le Kente porté par son père revêtait aussi une signification éminemment politique, à destination de ses homologues occidentaux. Un message anticolonialiste, assumé à même le corps par le biais du pagne tissé que Kwame Nkrumah portait lors de ses déplacements internationaux. « C'est parce qu'il pensait qu'il n'y avait rien de plus important que de se montrer avec. Cela dit au monde qui nous sommes, notre style, nos systèmes de connaissances autochtones, notre terre, détaille la fille du premier président ghanéen. C'était naturel pour nous de porter le Kente lors de certaines occasions. Mais le porter en dehors du Ghana, dans ces arènes internationales, c'était presque révolutionnaire, radical. Ainsi, il prenait position : l'Afrique indépendante est en train de se soulever, et que nous souhaitons faire des partenariats sur un pied d'égalité, à armes égales. » À lire aussiKwame Nkrumah: le vrai panafricanisme se vit Porté au Ghana depuis au moins quatre siècles, le Kente est un tissu chargé de sens. Alors, pour sa première venue au siège des Nations unies en 1960, Kwame Nkrumah a décidé d'emmener avec lui un Kente nommé « Tikro Nnko Adjina », que l'on peut traduire par « deux cerveaux valent toujours mieux qu'un seul ». Un pagne bleu aux motifs dorés, rouges et verts, dont la confection a été confié au maître tisserand Andrew Asare. Une fierté racontée aujourd'hui par son fils, Kwasi Asare : « Le Kente est un habit si puissant. Celui qu'Osagyefo Kwame Nkrumah a présenté portait ce message : l'indépendance du Ghana ne signifie rien sans l'indépendance de tout le continent africain, d'où cette signification "deux têtes valent mieux qu'une". D'une certaine manière, il cherchait également à dire que par l'ONU, tous les États doivent s'unir pour ne faire plus qu'un. » Un message sous forme de Kente, qui est resté exposé pendant plusieurs décennies dans le hall du siège de l'ONU, aux yeux du monde entier. À lire aussiGhana: l'héritage politique de Kwame Nkrumah source de débat au Parlement
Rien ne prédestinait Matthieu Haverlan à l'horlogerie. Fils d'un pilote de ligne et d'une assistante sociale, il se rêvait astronaute avant de se lancer dans deux aventures entrepreneuriales pendant ses études de commerce. Et pourtant, c'est dans une boutique horlogère parisienne, comme simple vendeur, que tout commence.De Paris à Londres, du Sentier à la direction d'Ulysse Nardin, Matthieu trace une trajectoire singulière, portée par une vision claire, un contact humain puissant, et un esprit de compétition assumé.Dans cet épisode, il revient sur son parcours, sa manière de diriger, et la manière dont il embarque ses équipes pour faire rayonner une maison à la fois profondément ancrée dans l'histoire et résolument tournée vers ce qui n'a pas encore été imaginé. Il partage aussi quelques indices sur 2026, une année clé pour Ulysse Nardin."If it's possible, it's done. If it's impossible, it will be done." Une devise à l'image d'un dirigeant qui ne recule jamais devant le défi.Si tu veux nous poser une question ou simplement discuter, ça se passe ici, sur ▶️ Instagram ◀️Si tu veux partager le podcast à un ami, tu peux utiliser ce lien : MERCI DU PARTAGEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je tends le micro à Anne-Sophie, alias emaï, potière sortie de l'Aventure Poterie. Elle façonne des assiettes pour les restaurateurs et des pièces pour ceux qui aiment manger la beauté.On parle de reconversion,de business qui tient debout et transmission qui allume des étincelles.Bonne écoute !Pour suivre le Bol :www.le-bol.frwww.le-blog-du-bol.frEn savoir plus sur Anne-Sophiehttps://www.emaipoterie.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Êtes-vous prêt à découvrir comment les plantes tinctoriales peuvent transformer notre perception de la couleur et de l'art ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale. Elle nous emmène dans un voyage fascinant à travers l'univers des colorants végétaux, en mettant en lumière le magazine numéro 3 Couleur Végétale, qui célèbre le savoir-faire artisanal et la transmission des connaissances autour de la teinture végétale.Pauline nous explique pourquoi il est crucial pour les artistes et designers d'explorer la richesse des pigments végétaux, en partageant des études de cas sur l'utilisation de la teinture à base de plantes dans la restauration d'œuvres d'art. Saviez-vous que des couleurs comme l'indigo et la garance ont des histoires aussi riches que les œuvres qu'elles colorent ? Au cours de cet épisode, nous découvrons également les différentes filières émergentes qui se développent autour de la couleur végétale, ainsi que des témoignages d'artistes et d'experts passionnés.En outre, cet épisode explore des projets innovants de tourisme tinctorial et des initiatives visant à préserver le patrimoine culturel lié à ces pratiques ancestrales. Pauline invite les auditeurs à s'engager activement dans des projets autour de la couleur végétale et à soutenir le podcast ArtEcoVert en se connectant avec des acteurs locaux. Vous découvrirez des ressources précieuses pour approfondir vos connaissances sur les fibres naturelles, les tanins, et les nuances de la teinture.Ne manquez pas cette occasion d'élargir votre horizon sur le monde des plantes tinctoriales et de la couleur ! Comme le dit si bien Pauline, "la couleur végétale est un pont entre la nature et l'art". Plongez dans cet épisode inspirant et laissez-vous emporter par la magie des colorants biosourcés. Belle écoute !ArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
Ce dimanche 20 juillet, l'ASL Grisbach-au-Val vous invite à la nouvelle édition de sa fête paysanne et de son marché du terroir. Les vieux métiers seront également à l'honneur avec des démonstrations, des animations pour petits et grands, sans oublier de la buvette et de la restauration tout au long de la journée.Jocelyne Maranzana, présidente de l'ASL apporte des précisions.Infos pratiques :Dimanche 20 juillet 2025, de 10h à 20hGriesbach-au-ValAccès librehttps://www.asl-griesbach68.fr/fete-paysanneLes interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui dans DECODEUR, on va parler tissus, papiers peints, panoramiques ou encore revêtements muraux avec l'un des grands éditeurs français du textile haut de gamme : CASAMANCE. CASAMANCE c'est le nom du groupe et ils ont ensuite 4 marques, Casamance donc, Casamance Maison, Camengo et Misia, ou plutôt devrais-je dire 5 marques puisque ISSé, la petite nouvelle dont on va justement vous parler va sortir très bientôt. Casamance fête ses 25 ans cette année, l'occasion de rencontrer Florence Vermelle la directrice artistique du groupe et de revenir sur son savoir-faire, la création des collections, mais aussi les enjeux contemporains de cette industrie passionnante !Ce que vous allez apprendre dans ce podcastla naissance d'une maison d'édition pourquoi 5 marques et leurs grandes différencesISSé la petite nouvelle qui va devenir grande quels engagements responsables quand on crée des tissus la collab' inédite pour fêter leurs 25 ans le métier de coloriste, pilier du procédé créatif les ateliers et leur manière de travailler comment on allie performance et esthétisme le goût du moment la grande différentre entre papier peint et revêtement mural comment se porte le marché du textile d'ameublement face à la crise et plein d'autres sujets passionnants of course !BONNE ECOUTESi ce podcast vous plait n'hésitez pas
⚢ Le Café des Femmes de l'E-Commerce, c'est le podcast qui donne enfin la parole aux femmes du digital, de la tech, du retail : bref, des femmes qui font du e-commerce et qui osent se livrer, partager, émouvoir et surtout apporter un éclairage différent sur la startup nation, les internets et les licornes.Dans cet épisode, on part à la rencontre de Daphné Wattiez, fondatrice de la marque AKVO : une ligne de sandales méditerranéennes, unisexes et éco-conçues, à l'élégance discrète et à l'ADN profondément engagé.Avec Daphné, on parle sans filtre de :Son parcours singulier : du cinéma, de Londres à la création d'un projet à fort impactL'éco-anxiété : une opportunité qui l'a menée à transformer son rapport au monde et à initier une marque responsableL'art de créer un produit de A à Z : sourcing de matériaux biosourcés, prototypage en circuit court et fabrication au PortugalLe choix du canal e-commerce avec Shopify, sans background tech, mais avec une vraie vision storytelling➡️ Artisanat, Biosourcing & E-Commerce : Quand la sandale devient manifeste – avec Daphné Wattiez, c'est l'épisode 26 du Café des Femmes de l'E-Commerce.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Quel bonheur de discuter avec Aline Asmar d'Amman, architecte qui a rénové entre autre le sublime Hotel de Crillon, le Jules Verne au 2e étage de la Tour Eiffel, mais qui est aussi scénographe, directrice artistique, qui a collaboré plusieurs fois avec Karl Lagerfeld, bref qui n'arrête pas !Vous allez l'entendre, Aline est passionnée, engagée, inspirée (et donc ultra inspirante). Elle travaille la matière comme un écrivain travaille les mots. Pour elle, la beauté du monde et les émotions seront toujours à la base de tout, c'est ce qui guide son travail, entre brutalisme et poésie, son amour pour les pierres et pour les mots. Celle qui a grandit au Liban dans les années 80, veut prouver que du chaos peut naitre la lumière et que les cultures et les époques peuvent s'encastrer avec grâce : son travail est donc une vraie philosophie de vie !Avec Aline on parler du Liban où elle est née et où travaille encoredes Beaux Arts et des Prix qu'elle a reçus de la littérature au coeur de sa vie de son insatiable quête de sens et de symbolesde son agence Culture in Architecture à Beyrouth de l'importance de la confiance et de la transmission de sa rencontre avec Karl Lagerfeldde Béton Littéraire, sa collection de mobilier sublime de sa passion pour les métiers d'artsde ses pièces préférées chez elledes personnalités qui l'inspirentSi ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Cet épisode a été enregistré en public, devant une quarantaine de personnes qui avaient pris leur place pour venir nous écouter au BHV Marais.(le son n'est pas excellent pardon, il y avait du monde, ça résonnait et les micros n'étaient pas toujours au plus près de nos bouches mais ça aurait été dommage de ne pas exploiter la bande son !)Dans ce TALK « la créativité comme moteur » nous explorerons le rôle central de la créativité dans l'entreprenariat à travers les parcours et la vision de 3 univers forts, solaires, parfois décalés. Car le pas de côté n'est-il pas celui qui va faire toute la différence ? Pour en parler, Hortense Leluc, journaliste déco et fondatrice de DECODEUR était avecAnaïs Seguin et Alice Gras, aka les DELAJOIE qui collaborent sur de nombreux projets de DA avec des marques ou pour elles-mêmes via leur compte Instagram qui rend tout ultra désirable...Marie Lucas et Clémence du Tertre, fondatrice de Lucas du Tertre, une marque audacieuse et engagée... qui a justement travaillé avec les DELAJOIEAlexandra Remise, DA ultra pêchue qui en parallèle de ses missions avec des marques a lancé LA REMISE_OBJECTS, des lampes chinées et réinventées grâce à ses idées et mains de fée La créativité au coeur d'un business, c'est audacieux ? Logique ? Courageux ? Venez nous écouter en parler !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Bienvenue dans LE CLUB, l'émission comme à la radio avec différentes chroniques... déco, design et même transition écologique !Dans cet épisode, Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle de son jardin rêvé et de meubles du design outdoor iconiquesViolaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA dédie son billet d'humeur aux piques-niques et nous motive à se faire plaisir en sortant des aires d'autoroutes !Enfin, Billie Blanket, journaliste déco qu'on retrouve sur Instagram et autrice de 2 livres, consacre sa chronique aux brocantes et aux indispensables qu'il faut chiner... Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci au Sax Hotel pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Tous les ans, IKEA mène une étude XXL pour mieux comprendre les différents modes de vie des habitants de différents pays pour ensuite adapter leur offre, notamment dans les magasins. Cette année le thème de ce "Life at home report" était la joie à la maison. Et figurez-vous que l'une des grandes conclusions serait que 1/3 des gens ne ressentent pas suffisamment de joie chez eux alors qu'ils en rêvent. Mais qu'est-ce que la joie à la maison ? Par quel biais entre-t-elle ? Comment la créer au quotidien sans tout bouleverser ? C'est ce qu'on va voir avec Enrica Magnalardo responsable France de l'inspiration et de l'aménagement. (Spoiler cuisiner peut tout simplement être une excellente source de joie...)Enrica nous explique ensuite comment cette étude infuse dans les magasins et auprès des clients. L'occasion d'en savoir plus sur leur fonctionnement, leur offre, leurs engagements, leur histoire... Parce que, qu'on y aille ou pas, on connait tous IKEA qui est un acteur incontournable de notre univers déco, mais on ne savait pas tout ça ! Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui on va plonger dans un sujet aussi flou que fascinant, mais dont tout le monde parle : l'IA.L'Intelligence Artificielle remplace petit à petit certaines capacités humaines comme comprendre, apprendre, raisonner, créer. Vous l'utilisez peut-être déjà dans vos vies pro ou perso, mais qu'est-ce que l'IA change - et va changer - dans le monde de l'architecture et du design, c'est la grande question.Je n'ai clairement aucune réponse, je dois bien vous avouer que c'est un sujet que je ne maitrise pas du tout et qui m'attire autant qu'il m'effraie ! Mais j'imagine qu'il y a énormément de personnes comme moi donc j'avais envie de creuser et d'y consacrer un épisode pour décortiquer toutes les notions autour de l'IA. L'idée n'est ni de vulgariser, ni d'aller trop loin mais d'explorer le sujet avec Nathalie Rozencwajg, une architecte visionnaire, fondatrice de NAME Architecture, passionnée des enjeux liés à l'IA dans la création. Elle a d'ailleurs crée un podcast sur le sujet « Designing Futures ».Ensemble on parle deCe qu'est l'IA (déjà la base !) et comment elle fonctionneA quel point l'IA nourrit son travailEt comment elle l'utiliseCe que l'IA apporte au monde de l'architecture et du designLa différence entre une IA qui assiste et une IA qui conçoitDes exemples de projets et d'outilsDe la dimension humaine dans ce cadre techDe métiers en danger... ou en devenirDe créativité et de stéréotypesDes opportunités et des forcesDes limites et des dangersD'éthique, de responsabilité et de propriété intellectuelleD'avenir, etc.Alors si vous vous posez des questions sur le sujet, je vous dis à tout de suite !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit, bienvenue dans DECODEUR, le podcast sur celles et ceux qui font la déco aujourd'hui.Dans ARCHI COOL, un archi (cool ah ah) partage sa manière de travailler concrètement au quotidien, ses conseils, ses bonnes adresses bref sa vision et son savoir faire pour inspirer autant les pros que les fans de déco.Ici on va parler plans, matériaux, couleurs, aménagement, budget, rénovation, peinture, sols, artisans, et bien sûr déco. Et on inaugure ce format avec Amélie Collard et Manon Piat les fondatrices de Terre Grise, un cabinet d'architecture d'intérieur dont j'aime bcp l'univers et le travail (et vous aussi puisque vous êtes très nombreux à m'avoir suggéré un épisode avec elles !). Le projet décrypté ? La rénovation d'une maison en Normandie. Le besoin de leurs clients était de relier 2 bâtisses, dans l'idée d'une "petite" maison pour eux la semaine et une maison 2 fois plus grande quand tous les enfants et petits-enfants débarquent pour les week-end ou les vacances. Terre Grise a donc créé une extension et repensé toute la circulation, en apportant leur touche évidemment...Un très beau projet qu'elles nous racontent dans le podcast et dont vous pourrez découvrir les photos sur le compte Instagram de DECODEUR.Bonne écoute !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Dans cet épisode captivant du podcast "ArtEcoVert LE podcast de la couleur végétale et des plantes tinctoriales", Pauline Leroux a l'honneur de recevoir Axelle Gisserot, designer textile et chef de projet à l'atelier Luma à Arles. Axelle nous plonge dans son univers fascinant, où la teinture végétale et les plantes tinctoriales prennent toute leur dimension. Elle partage avec passion son parcours et les inspirations qui l'ont conduite à explorer les richesses des colorants végétaux."Chaque couleur raconte une histoire", déclare Axelle, soulignant l'importance de la provenance des matériaux et des colorants dans son travail. Au cours de ses études, elle a développé une conscience aiguë des enjeux liés à l'utilisation des ressources naturelles, ce qui l'a amenée à réaliser son projet de diplôme intitulé "Au fil de l'eau". Ce projet innovant s'inspire des ressources marines, intégrant des algues et des coproduits de l'industrie de la pêche, démontrant ainsi que la teinture naturelle peut être à la fois esthétique et durable.Au sein de l'atelier Luma, Axelle participe à un laboratoire de recherche en design qui valorise les ressources naturelles et revitalise les filières de production. Elle nous parle de ses recherches sur les plantes invasives et les algues, ainsi que de ses collaborations enrichissantes avec des artistes pour créer des œuvres textiles uniques. Cette discussion passionnante aborde également l'avenir de la teinture végétale, l'importance cruciale de la culture des plantes teintoriales comme l'indigo et la garance, et la nécessité de créer des synergies entre différents acteurs du secteur.Axelle conclut notre échange en soulignant l'importance de la transmission des savoirs et des pratiques au sein de l'atelier et de la communauté. Dans un monde où l'impact environnemental est au cœur des préoccupations, elle nous rappelle que le design peut être un vecteur de changement positif. Ne manquez pas cette opportunité d'explorer le monde vibrant de la couleur végétale et des colorants biosourcés à travers les yeux d'une experte passionnée. Pour en savoir plus sur les plantes tinctoriales et l'univers de la teinture végétale, écoutez cet épisode inspirant d'ArtEcoVert. Belle écoute, Pauline
L'épisode qui va suivre est un épisode un peu spécial : ce n'est pas un épisode de DECODEUR mais un épisode « Des Ailes aux talents » un podcast de la Fondation Bettencourt Schueller. Je ne sais pas si vous connaissez le prix Liliane Bettencourt pour l'intelligence de la main, c'est un prix très prestigieux qui récompense les professionnels des métiers d'art en France. Et à l'occasion des 25 ans de ce prix, ils ont crée un podcast qui met à l'honneur les lauréats de ses dernières années, des hommes et des femmes dont le talent et le parcours méritent d'être racontés. Alors quand ils m'ont proposé de diffuser 4 épisodes de leur podcast, j'ai accepté. On a choisi ensemble ceux qui pourraient le plus vous plaire, à vous, auditeurs de DECODEUR, alors j'espère vraiment que vous allez aimer, c'est différent, vous allez voir c'est une rencontre entre un talent donc et une plume, un écrivain qui va le raconter. DES AILES AUX TALENTS : Le romancier François-Henri Désérable a rencontré le Maître d'art Nelly Saunier, plumassière et lauréate du prix Liliane Bettencourt dans la catégorie « Talents d'exception » en 2009.Les artistes-plumassières sont rares, c'est donc une grande chance d'en savoir plus sur ce métier incroyable et ce savoir faire ancestral qu'est le travail de la plume pour des costumes ou des décors... Formée à l'ENSAAMA Olivier de Serres, Nelly Saunier crée des oeuvres originales et met son talent au service de designers, costumiers, décorateurs et grands couturiers. En parallèle de son travail d'atelier, elle est engagée dans le devoir de transmission qui incombe aux Maîtres d'art et transmet son savoir-faire de plumassière aux jeunes générations depuis vingt ans.Un échange entre un talent et une plume... Passionnant !Une saison élaborée en collaboration avec les éditions Gallimard. Rendez-vous sur fondationbs.org pour découvrir l'ensemble des projets soutenus par la Fondation.Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Tous les 2 mois, LE CLUB se rassemble pour vous parler déco, design, tendances, conseils pratiques et même transition écologique.Chaque journaliste son thème et sa chronique :DANS CET EXTRAIT Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, va nous parler d'un design joyeux, de tous ces designers qui imaginent des meubles et des objets ludiques, colorés, pour nous amuser et égayer nos quotidiens et nos intérieurs. Dans l'épisode complet qui est juste sous cet épisode, vous pourrez aussi écouter Billie Blanket journaliste déco qu'on retrouve sur Instagram et autrice de 2 livres, va consacrer sa chronique à la terre / la couleur terre, cette nuance marron/chocolat / mais aussi au matériau, sur l'importance de cet élément dans notre intérieurViolaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, abordera la thématique du zéro gâchis, avec plein de mini recettes pour récupérer un légumes abimé, du pain rassis, des feuilles de choux fleurs, etc. Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci à l'hôtel Madame Drouot de nous avoir accueillies. Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Tous les 2 mois, LE CLUB se rassemble pour vous parler déco, design, tendances, conseils pratiques et même transition écologique.Chaque journaliste son thème et sa chronique :DANS CET EXTRAIT Billie Blanket journaliste déco qu'on retrouve sur Instagram et autrice de 2 livres, va consacrer sa chronique à la terre, la couleur terre, cette nuance marron/chocolat mais aussi au matériau, et l'importance de cet élément dans notre intérieurDans l'épisode complet qui est juste sous cet épisode, vous pourrez aussi écouter Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, va nous parler d'un design joyeux, de tous ces designers qui imaginent des meubles et des objets ludiques, colorés, pour nous amuser et égayer nos quotidiens et nos intérieurs. Violaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, abordera la thématique du zéro gâchis, avec plein de mini recettes pour récupérer un légumes abimé, du pain rassis, des feuilles de choux fleurs, etc. Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci à l'hôtel Madame Drouot de nous avoir accueillies. Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Tous les 2 mois, LE CLUB se rassemble pour vous parler déco, design, tendances, conseils pratiques et même transition écologique.Chaque journaliste son thème et sa chronique :DANS CET EXTRAIT Violaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, abordera la thématique du zéro gâchis, avec plein de mini recettes pour récupérer un légumes abimé, du pain rassis, des feuilles de choux fleurs, etc.Dans l'épisode complet qui est juste sous cet épisode, vous pourrez aussi écouter Billie Blanket journaliste déco qu'on retrouve sur Instagram et autrice de 2 livres, va consacrer sa chronique à la terre / la couleur terre, cette nuance marron/chocolat / mais aussi au matériau, sur l'importance de cet élément dans notre intérieur Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, va nous parler d'un design joyeux, de tous ces designers qui imaginent des meubles et des objets ludiques, colorés, pour nous amuser et égayer nos quotidiens et nos intérieurs. Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci à l'hôtel Madame Drouot de nous avoir accueillies. Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
L'épisode qui va suivre est un épisode un peu spécial : ce n'est pas un épisode de DECODEUR mais un épisode « Des Ailes aux talents » un podcast de la Fondation Bettencourt Schueller. Je ne sais pas si vous connaissez le prix Liliane Bettencourt pour l'intelligence de la main, c'est un prix très prestigieux qui récompense les professionnels des métiers d'art en France. Et à l'occasion des 25 ans de ce prix, ils ont crée un podcast qui met à l'honneur les lauréats de ses dernières années, des hommes et des femmes dont le talent et le parcours méritent d'être racontés. Alors quand ils m'ont proposé de diffuser 4 épisodes de leur podcast, j'ai accepté. On a choisi ensemble ceux qui pourraient le plus vous plaire, à vous, auditeurs de DECODEUR, alors j'espère vraiment que vous allez aimer, c'est différent, vous allez voir c'est une rencontre entre un talent donc et une plume, un écrivain qui va le raconter. Allez bonne écoute !DES AILES AUX TALENTS : François-Xavier Richard, ennoblisseur de papiers et créateur de l'Atelier d'Offard (labellisé Entreprise du Patrimoine Vivant qui perpétue le savoir-faire des papiers peints à la planche des 18e et 19e siècle), raconté par Nolwenn le Blevennec, journaliste et romancière François-Xavier Richard est lauréat du prix Liliane Bettencourt pour l'Intelligence de la Main dans la catégorie « Talents d'exception » en 2009.Diplômé de l'École des beaux-arts d'Angers en 1994, François-Xavier Richard est engagé en 1997 par la maison Mauny, l'une des dernières manufactures de papier peint à la planche, il crée deux ans plus tard l'atelier d'Offard et se spécialise dans la réalisation de papiers peints sur mesure, contribuant au renouveau d'un artisanat d'art oublié depuis le milieu du XXe siècle.Un échange entre un talent et une plume... Passionnant !Une saison élaborée en collaboration avec les éditions Gallimard. Rendez-vous sur fondationbs.org pour découvrir l'ensemble des projets soutenus par la Fondation.Si ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes> à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis")> à suivre @decodeur__ sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir plus de 150 épisodes déjà en ligne et les différents formats de l'émission> à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...!Merci beaucoup
La fondatrice de Vanity Boum, cette si jolie marque de luminaires qui fête ses 10 ans, prend rarement la parole, je suis donc ravie et honorée qu'elle ait accepté de venir tout nous raconter dans DECODEUR.A la base Adélaïde chine des globes anciens qu'elle revalorise pour créer des modèles uniques, petit format, comme des petits bijoux qu'on dispatche dans les pièces de la maison. Au fil des années elle a aussi créé ses propres éditions, plus contemporaines, mais tjrs avec cette approche artisanale et cet univers empreint de douceur et de féminité...Avec Adélaïde on parle des étapes de fabrication d'un luminaire de customiser l'ancien du marché de la déco et des luminaires en 2025des hauts et des bas quand on est entrepreneuredes meubles et objets qui se transmettent des chiner en Anjou des luminaires enfants qui sont trop raresdes collab' qui propulsentde sa toute nouvelle boutique de qqs conseils pour éclairer son intérieur Bonne écoute et n'hésitez pas à partager l'épisode pour la faire connaitre !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes> à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis")> à suivre @decodeur__ sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir plus de 150 épisodes déjà en ligne et les différents formats de l'émission> à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...!Merci beaucoup
Antiquaires à 40 ans, est-ce que c'est jeune ? Oui ! Et non. Car on le sait, la valeur n'attend point le nombre des années...Jérémy et Aurélien sont passionnés et après un stand aux Puces pendant 10 ans, ils ont désormais leur galerie de design contemporain et sont devenus l'une des têtes d'affiche du collectible design (un courant dont on parle bcp : l'idée de collectionner des pièces de design produites en petites séries et ultra désirables, à la manière des oeuvres d'art)Dans cet épisode, nous rencontrons Jérémy qui nous parlede l'émotion de sa 1ère collaboration (avec Isabelle Stanislas)de défendre les designers "qui dessinent l'époque"de Pierre Guariche, l'obsession d'Auréliende sa vision du collectible designdes clients passionnés et de leur pouvoir d'achat des ponts entre l'art et le designdes galeries qui ne sont pas si snobs de l'idée de s'amuser avec le mobilierde sa nouvelle casquette de designerde leurs projets au PAD et au salon de Milan de leur collab' inattendue avec Monoprixde la gestion de son image sur les réseaux sociaux de la nouvelle génération qui arrivede son diner avec Catherine Deneuve(et bien sur plein d'autres sujets)Un échange captivant avec un homme qui parle avec douceur et pertinence... Merci bcp à l'hotel Grand Powers pour leur accueil le jour de cet enregistrement Si ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes> à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis")> à suivre @decodeur__ sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir plus de 150 épisodes déjà en ligne et les différents formats de l'émission> à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...!Merci beaucoup