POPULARITY
Uno de los caminos más tortuosos que lleva al 11-S empieza en El Cairo, en 1981, con el atentado que se cobró la vida de Anuar el-Sadat. El documental que cierra La Noche Temática profundiza en la historia de Ali Mohamed, un ex oficial de la rama radical del ejército egipcio que llegó a trabajar para la CIA, el FBI y las Fuerzas Armadas de los Estados Unidos proporcionando información a Osama Bin Laden.
Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! En esta tercera hora de Días Extraños, nos sumergimos en misterios que desafían nuestro entendimiento: estructuras subterráneas descubiertas mediante radar bajo las pirámides de Giza que podrían revolucionar nuestra comprensión de la antigua civilización egipcia; la curiosa historia de cómo las barritas de pescado fueron inventadas para resolver un problema de exceso de pesca tras la Segunda Guerra Mundial; el síndrome de Koro, una fascinante condición psicológica donde hombres creen que sus genitales se están retrayendo hacia su cuerpo; y la increíble historia de Ali Mohamed, el doble agente que logró infiltrarse simultáneamente en el FBI, la CIA y el ejército de EE.UU. mientras trabajaba para Al Qaeda. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Jacques Assahoré Konan, le ministre ivoirien de l'Environnement lançait cet avertissement il y a deux jours, dans les colonnes de Jeune Afrique, juste avant la fin de cette COP 29 : « il est nécessaire d'indexer les financements sur les besoins réels des pays en développement et vulnérables au changement climatique. On attend toujours des pays développés qu'ils renflouent la caisse. Il faudrait mettre en place des sources de financement durables. C'est urgent. Si rien n'est fait, le PIB de la Côte d'Ivoire va chuter de 15 % d'ici à 2050. Et plus d'1 million et demie de personnes vont basculer dans la pauvreté. »Eh bien, rien n'a été fait à Bakou ou presque… Cette « conférence mondiale sur le climat s'est achevée entre colère et déception pour l'Afrique, pointeLe Monde Afrique. Alors que les négociations ont joué les prolongations tard dans la nuit de samedi à dimanche, c'est avec le sentiment de se faire tordre le bras, que les délégués africains encore présents dans la capitale azerbaïdjanaise ont accepté un accord qui ne répond en rien à leurs principales attentes. Le financement promis pour 2035 est “trop faible, trop tardif et trop ambigu. L'Afrique quitte Bakou avec réalisme et résignation car la COP29 se termine bien en deçà de nos attentes. Quand l'Afrique perd, le monde perd“, a déploré Ali Mohamed, l'envoyé spécial du président kényan William Ruto et porte-parole du groupe Afrique. »En effet, relève encore Le Monde Afrique, « les 300 milliards de dollars par an arrachés aux pays industrialisés sont en effet très loin des 1.300 milliards de dollars proposés par le continent pour pouvoir financer les besoins de la transition énergétique et l'adaptation aux conséquences de plus en plus lourdes du dérèglement climatique. »« Pouvait-il en être autrement ? »« La grande déception », soupire Le Pays à Ouagadougou. « Pouvait-il en être autrement ? L'on est tenté de répondre à cette interrogation, par la négative. Et pour cause. Les COP, depuis 1995 (…), se succèdent et se ressemblent. »En tout cas, poursuit le quotidien ouagalais, les 300 milliards promis « restent bon à prendre tout en maintenant la pression afin d'obtenir de meilleurs résultats. Mais reste encore toute une bataille pour son opérationnalisation. Et cela est une autre paire de manches dans la mesure où les promesses antérieures tenues par les mêmes pays du Nord n'ont jamais été honorées. Du reste, il faut même craindre que l'arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis n'engage cette super-puissance mondiale sur le chemin d'un désengagement dans le financement des projets en lien avec le climat. »En effet, renchérit Aujourd'hui, « 300 milliards de dollars pour les pays en développement à la COP29 : encore une promesse qui n'engage … personne. »En fait, « les négociateurs ont été face à un dilemme jusqu'au dernier moment. “Cet accord ne sert pas nos intérêts mais c'était cela ou rien, explique une représentante des sociétés civiles du continent interrogée parLe Monde Afrique. Nous avons été face à un chantage dans lequel les Européens en particulier ont brandi l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche ou la montée des partis d'extrême droite au pouvoir en Europe pour nous faire comprendre que nous avions davantage à perdre qu'à gagner en refusant l'accord. Encore une fois, l'Afrique et les pays en développement se sont retrouvés au pied du mur“. »Volontarisme et responsabilité !Alors, autant nous débrouiller nous-mêmes, avance Ledjely en Guinée : « face au phénomène du changement climatique, l'Afrique doit agir avec un autre paradigme. Celui-ci implique que les Africains, mus par une légitime déception du fait du comportement injuste des pays développés, ne cèdent pas pour autant à une attitude tout aussi irresponsable que suicidaire, qui tendrait à faire comme le changement climatique n'existait pas. Tout au contraire, estime donc Ledjely, les dirigeants du continent doivent faire montre de volontarisme et de responsabilité face au péril climatique. (…) Et qu'en conséquence, ils mobilisent toutes les énergies internes en vue d'élaborer des stratégies pour y faire face. Ce mécanisme, s'il est bâti de manière à ce que les acteurs sociaux et économiques locaux se sentent librement concernés, permettra de pallier cette image quelque peu avilissante d'un continent africain condamné à implorer la compassion du monde (…). C'est en cela que consiste la souveraineté, la vraie. Et non pas celle qui ne sert que de slogan à certains aujourd'hui. »
Jacques Assahoré Konan, le ministre ivoirien de l'Environnement lançait cet avertissement il y a deux jours, dans les colonnes de Jeune Afrique, juste avant la fin de cette COP 29 : « il est nécessaire d'indexer les financements sur les besoins réels des pays en développement et vulnérables au changement climatique. On attend toujours des pays développés qu'ils renflouent la caisse. Il faudrait mettre en place des sources de financement durables. C'est urgent. Si rien n'est fait, le PIB de la Côte d'Ivoire va chuter de 15 % d'ici à 2050. Et plus d'1 million et demie de personnes vont basculer dans la pauvreté. »Eh bien, rien n'a été fait à Bakou ou presque… Cette « conférence mondiale sur le climat s'est achevée entre colère et déception pour l'Afrique, pointeLe Monde Afrique. Alors que les négociations ont joué les prolongations tard dans la nuit de samedi à dimanche, c'est avec le sentiment de se faire tordre le bras, que les délégués africains encore présents dans la capitale azerbaïdjanaise ont accepté un accord qui ne répond en rien à leurs principales attentes. Le financement promis pour 2035 est “trop faible, trop tardif et trop ambigu. L'Afrique quitte Bakou avec réalisme et résignation car la COP29 se termine bien en deçà de nos attentes. Quand l'Afrique perd, le monde perd“, a déploré Ali Mohamed, l'envoyé spécial du président kényan William Ruto et porte-parole du groupe Afrique. »En effet, relève encore Le Monde Afrique, « les 300 milliards de dollars par an arrachés aux pays industrialisés sont en effet très loin des 1.300 milliards de dollars proposés par le continent pour pouvoir financer les besoins de la transition énergétique et l'adaptation aux conséquences de plus en plus lourdes du dérèglement climatique. »« Pouvait-il en être autrement ? »« La grande déception », soupire Le Pays à Ouagadougou. « Pouvait-il en être autrement ? L'on est tenté de répondre à cette interrogation, par la négative. Et pour cause. Les COP, depuis 1995 (…), se succèdent et se ressemblent. »En tout cas, poursuit le quotidien ouagalais, les 300 milliards promis « restent bon à prendre tout en maintenant la pression afin d'obtenir de meilleurs résultats. Mais reste encore toute une bataille pour son opérationnalisation. Et cela est une autre paire de manches dans la mesure où les promesses antérieures tenues par les mêmes pays du Nord n'ont jamais été honorées. Du reste, il faut même craindre que l'arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis n'engage cette super-puissance mondiale sur le chemin d'un désengagement dans le financement des projets en lien avec le climat. »En effet, renchérit Aujourd'hui, « 300 milliards de dollars pour les pays en développement à la COP29 : encore une promesse qui n'engage … personne. »En fait, « les négociateurs ont été face à un dilemme jusqu'au dernier moment. “Cet accord ne sert pas nos intérêts mais c'était cela ou rien, explique une représentante des sociétés civiles du continent interrogée parLe Monde Afrique. Nous avons été face à un chantage dans lequel les Européens en particulier ont brandi l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche ou la montée des partis d'extrême droite au pouvoir en Europe pour nous faire comprendre que nous avions davantage à perdre qu'à gagner en refusant l'accord. Encore une fois, l'Afrique et les pays en développement se sont retrouvés au pied du mur“. »Volontarisme et responsabilité !Alors, autant nous débrouiller nous-mêmes, avance Ledjely en Guinée : « face au phénomène du changement climatique, l'Afrique doit agir avec un autre paradigme. Celui-ci implique que les Africains, mus par une légitime déception du fait du comportement injuste des pays développés, ne cèdent pas pour autant à une attitude tout aussi irresponsable que suicidaire, qui tendrait à faire comme le changement climatique n'existait pas. Tout au contraire, estime donc Ledjely, les dirigeants du continent doivent faire montre de volontarisme et de responsabilité face au péril climatique. (…) Et qu'en conséquence, ils mobilisent toutes les énergies internes en vue d'élaborer des stratégies pour y faire face. Ce mécanisme, s'il est bâti de manière à ce que les acteurs sociaux et économiques locaux se sentent librement concernés, permettra de pallier cette image quelque peu avilissante d'un continent africain condamné à implorer la compassion du monde (…). C'est en cela que consiste la souveraineté, la vraie. Et non pas celle qui ne sert que de slogan à certains aujourd'hui. »
Ali, full av positiv energi, og en person som kan motivere deg med sine tanker om livet, og hva som må til for å tilpasse seg. Som kvoteflyktning kom han til Norge i 2012. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/motivasjonspreik/message
Un examen mondial sur la dette, la nature et le climat a été officiellement lancé au cours de la COP28 par la Colombie, la France et le Kenya. Objectif : étudier les réformes nécessaires pour assurer la viabilité de la dette des pays en développement face aux besoins liés au changement climatique. Mais en quoi dette et climat sont-ils liés ? Réaliser la transition énergétique pour limiter le réchauffement climatique, s'y adapter, cela demande des investissements. Encore faut-il pouvoir investir, a souligné Ali Mohamed, émissaire kényan pour le climat, en marge de la COP28 à Dubaï. « Malheureusement, de nombreux pays, y compris le nôtre, n'ont pas la marge budgétaire nécessaire pour avoir accès à des capitaux qui nous aideraient à être plus résilients et à agir pour le climat. Les marges se rétrécissent. Et en fait, beaucoup de pays sont au bord du défaut. Je pense qu'il y a plus de 54 pays dont la situation est alarmante. Au moins 24 d'entre eux sont en Afrique, mais il y a beaucoup d'autres pays en développement qui sont concernés. Ils ne peuvent pas développer des mesures pour être résilients face aux crises climatiques. »À écouter aussiCOP28 : la stratégie commune des pays africainsDes marges budgétaires amoindries à cause des dégâts liés au changement climatiqueMoins de résilience, c'est plus de dégâts. Et in fine, ce sont des marges budgétaires qui se réduisent encore. Le Kenya a été confronté en novembre à des inondations dévastatrices. Inondations favorisées par le changement climatique. Selon le World Weather Attribution, il a rendu les précipitations, liées au phénomène El Niño, jusqu'à deux fois plus intenses.« Un certain nombre de ponts au Kenya, qui ont été construits avec de la dette, ont été détruits par les eaux. Et le Kenya doit emprunter de l'argent pour reconstruire les infrastructures qui ont été détruites à cause des événements météorologiques extrêmes que nous vivons », rappelle Ali Mohamed.À lire aussiKenya: au moins 120 morts dans des inondations recordsEntrave au développement des énergies renouvelablesLes fonds pour financer reconstruction et dépenses climatiques, lorsqu'ils sont disponibles, le sont à des taux d'intérêts « insoutenables » aux yeux d'Ali Mohamed. Le coût du capital : une entrave, par exemple, au développement des énergies renouvelables, souligne Amos Wemanya, en charge de l'énergie chez Power Shift Africa, basé à Nairobi. « Les statistiques les plus précises indiquent que le coût du capital en Afrique est six fois plus élevé que dans d'autres régions. Et cela est dû au niveau de risque que présentent les prêts aux pays africains. Mais parfois, certains de ces risques, ne sont pas fondés. Je pense donc qu'un changement dans l'architecture financière mondiale serait une bonne chose. »L'accord de la COP28 promeut l'augmentation des financements basés sur des subventions ou des prêts hautement concessionnels, c'est-à-dire à des conditions préférentielles. Le Kenya, en avance sur les renouvelables, espère désormais attirer davantage de fonds pour l'adaptation. En 2021, seulement 27% de la finance climatique était dirigée vers l'adaptation, selon l'OCDE.
What happens when you let children and young people decide what to do with one million euro? What is the Viennese children and youth strategy? And why is it good to transfer practices between Austria and Australia? Alexandra Beweis, head of “WIENXTRA-Stadtbox”, and Nada Taha Ali Mohamed, project collaborator of „Junges Wien“, have been involved in key positions in the implementation of the Viennese children and youth strategy. They share with us their experiences and lessons lealearned in coordinating children and youth parliaments, participatory co-creation processes, and the provision of a participatory budget directly at the disposition of children and youth. LINKS AND RESOURCES: https://www.wienxtra.at/stadtbox/ https://junges.wien.gv.at/en/ https://junges.wien.gv.at/wp-content/uploads/sites/48/2022/08/Strategie_EN_Download_neuesVW.pdf
Ed Opperman invited me on The Opperman Report to talk about the 1993 World Trade Center bombing. In this very fun conversation we discussed the question of FBI informant Emad Salem, and how he was pulled out of the WTC bombing gang 6 months before the blast. We also look at probable CIA assets the Blind Sheikh Omar Abdel Rahman and Ali Mohamed, and how their role was covered up in all the arguments over Salem. We rounded off by discussing my book and some problems with the alt media discussion of false flag events.
In this episode we are joined by psychotherapist Abdibasid Ali Mohamed. Even with a busy schedule traveling in East Africa he had the time to share his knowledge with us. This is a conversation that we have been looking very forward to. Mohamed is normally based in Oslo. He works to raise awareness about mental health in different communities, especially in the african diaspora.
Canadian singer songwriting legend Murray McLauchlan checks in from Stoney Lake / Testing the virus / The Canadian craps out / The bozo Buffalo Bill / Dan Duran the anchorman / How long will we mask / Ali Mohamed from Lyte Medical.
Season 2, Episode 2 In this episode, Wolf Milheim has a conversation with Student Government President, Ali Mohamed.
Baba Ali Mohamed El Habib alias Midou Baba Ali, 26 ans, entrepreneur dans le tourisme local à travers la startup Nboujiw, Digital Manager, de formation géologie, et également artiste photographe "Tarbouche" Vous Pouvez soutenir son Projet via les liens suivants : Compte Instagram de Nboujiw:https://instagram.com/nboujiw?igshid=1vbaftoxea2bs Page Facebook : https://mobile.facebook.com/nboujiw/
Ali Mohamed joined the Shake Podcast to discuss Lyte Clinic and their streamlined process that can help any patient across Canada. Ali Mohamed has taken on the challenge within Canada to fill the void many patients are seeking. His passion for the plant and strong business acumen has ushered Lyte Clinic to new heights including a partnership with Medical Cannabis by Shoppers. A serial entrepreneur at heart, Ali Mohamed shares invaluable tips that can help anyone. www.TreehouseSolution.com
With the advancement of technology, we have increasingly seen the Digitalization of Dawah, the invitation to the authentic teachings of Islam. There are many innovative ways to spread the message (Friday Night Live is one!), and Br. Zeeshan Ali, from Smile 2 Jannah, discusses the importance of using the media to reach as many people as possible, alongside our Miftaah scholars. Our session is opened up by Br. Mohamed Tarek, a world-renowned munshid from Egypt.
On this episode - BofC Live features a conversation with Ali Mohamed, CEO of Lyte Medical, a telehealth platform providing access for medical cannabis patients. Mohamed described how their company has seen growth through the COVID-19 period as well as their partnership with Shoppers Drug Mart.Learn more about Ali Mohamed and Lyte.
For many poor migrants, asylum-seekers and refugees who live in lurid conditions, often in overcrowded accommodations, social distancing is a privilege, and medical attention is a distant dream. During a global pandemic, these become life-threatening circumstances.In Europe, refugee camps are bracing for an outbreak of the novel Coronavirus. Greece, where refugees live in squalid conditions, is desperately attempting to ship migrants from Moria, Europe's largest refugee camp, before the virus hits. And across the continent, in France, refugees living in the dystopian camps in Calais scoff at the ludicrous notion of social distancing.The pandemic is also casting a heavy shadow on Asia. In West Asia, countries like Jordan, Lebanon, and Syria have some of the world's largest numbers of displaced people per capita while in South and East Asia, countries like Bangladesh, host to large numbers of the Rohingya minority fleeing from the conflict in Myanmar, are scrambling to prevent a major outbreak in refugee camps, as cases are set to be confirmed anytime now inside the camps.In this episode of the New Arab Voice, we focus on how the refugee and migrant population is at a greater risk under the present pandemic, why this is likely to spur a new humanitarian crisis, and what aid organizations are doing to deal with this threat.We'll be speaking with Rula Amin, from the UNHCR on how they are supporting refugees at this time, Ro, a resident of the largest refugee camp in the world in Cox's Bazar, and Ali Mohamed,from Migrant-Rights.org in Bahrain on how migrant workers in the Middle East are at particular risk. Finally, keep listening to hear a conversation with Dr Dawn Chatty emeritus professor of anthropology at the University of Oxford, regarding the history of migration in the region and what it can teach us about the future after the pandemic.Follow us on Facebook, Twitter, and Instagram for more.(Produced by Gaia Caramazza, Music by Omar al-Fil @elepheel. To get in touch with the producers, follow then tweet us at @TheNewArabVoice)
Mohamed is the lead consultant at Kasada group, part of Qatar Investment Authority and ACCOR and a member of the incorporation committee of Power Bank
Mohamed is the lead consultant at Kasada group, part of Qatar Investment Authority and ACCOR and a member of the incorporation committee of Power Bank
Voici le Podcast du dernier Débat en Plus Comme chaque mercredi, c’est le Débat En plus animé par Mourad Aerts en l’absence de Benjamin Courmes. Avec un grand nombre de jeunes du centre de formation dans les groupes cette saison… Focus sur les minots marseillais en compagnie d’Idriss Kasmi de Chronos qui suit les équipes de jeunes ! Thierry Mode et Nicolas Filhol sont également sur le plateau pour alimenter le débat.
Ali Mohamed was the triple agent who worked for Al Qaeda, the CIA, the FBI and US Special Forces all at the same time. He presents a conundrum that may hold the key to a deeper understanding of the States working relationship with terrorism.
In this episode Adam talks about the development of Al Qaeda through the 1990's, leading up to the bombings of the US embassies in Kenya and Tanzania. Adam explains the role of double (or triple) agent Ali Mohamed in the attacks ask why the NSA, given their wiretaps, were unable to prevent it. The audio at the start of this episode is taken from the BBC documentary Age of Terror
Welcome to the 6th installment of the DeanBlundell.com Cannacast. On today's episode, we welcome on Ali Mohamad CEO of Lyte Clinics. Lyte aims to educate our patients about medical cannabis and how they can have safe access to it across Canada. Their knowledgeable physicians will meet with you online to assess your condition and discuss whether or not medical may be the right alternative medicine for you. We also welcome Mike Ciacco from Our Clinic. Our Clinic is a cutting-edge medical clinic focused on delivering tailored treatment plans that combine traditional and alternative treatments all under one roof. They are a big proponent of Cannabis and it's healing properties. They develop innovative, individual and patient-first healthcare programs to help our patients reach their best wellness. Enjoy! See omnystudio.com/listener for privacy information.
H and F are going to the theatre, can Humble stay awake / Trump and Trudeau / Bob Kraft his hard to figure / Ali Mohamed from Lyte Clinics / Scott Faulconbridge and the Comics victory / KJ attackes H and F mould / Podcast extra, Ira Haberman with the Sound Podcast.
La CIA a échoué lamentablement à détecter certains des événements les plus critiques pour les États-Unis de l’histoire contemporaine, dont les attentats du 11 septembre 2001. Après avoir détaillé la collaboration secrète de la CIA avec Saddam Hussein, Normand Lester explique comment les États-Unis ont financé, armé, et entraîné les partisans d’Oussama Ben Laden alors même qu’ils préparaient des attentats contre le World Trade Center. Il raconte l’incroyable histoire du djihadiste Ali Mohamed, infiltré dans les forces spéciales américaines, qui était aussi l’instructeur-chef d’Al-Qaeda et proche collaborateur de Ben Laden.
What connects Al Qaeda to the Pentagon’s Entertainment Liaison Offices? Perhaps unsurprisingly, the answer is Ali Mohamed – the triple...
What if I told you that the same man trained Meir Kahane’s killer, the World Trade Center bombers, the African...