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Un Donald Trump dirompente negli ultimi quindici giorni: dazi, riassestamento del settore pubblico e, con Elon Musk, la minaccia di cancellare ogni aiuto internazionale.
durée : 00:56:19 - franceinfo: Les informés - Autour de Thomas Séchier, les informés débattent de l'actualité du vendredi 23 août 2024.
En marge du G7 de Bari, les États-Unis et l'Union européenne ont promis un prêt de 50 milliards de dollars à Kiev, Joe Biden a signé hier un pacte de sécurité de 10 ans avec Volodymir Zelensky. Une signature remise en question par le New York Times : « Cet accord durera-t-il après l'élection de novembre ? »Le quotidien new-yorkais sort ainsi sa loupe sur « ce paragraphe en petits caractères d'imprimerie », « enfoui dans le pacte de sécurité » : « Chacune des parties peut résilier cet accord en fournissant une notification écrite par voie diplomatique » qui « prendra effet six mois plus tard ».Le NYT persifle : « C'est exactement le genre de faille exploitée par Donald Trump au sujet de l'accord sur le nucléaire iranien, abandonné par les États-Unis en 2018 », sous la présidence du milliardaire républicain. « Un Donald Trump qui ne cache pas son mépris de l'Ukraine », et qui promet de « régler le conflit [russo-ukrainien] en 24h », sans doute en validant les « conquêtes territoriales » des forces de Vladimir Poutine selon le journal.Le duel Trump-Biden se profile sur le terrain de la contraceptionAnalyse du Washington Post qui estime que « la décision de la Cour suprême américaine de ne pas restreindre l'accès à la pilule abortive » cristallise « les enjeux de l'élection présidentielle de novembre prochain ». Prédiction du WaPo : En cas d'élection de Trump, les Républicains pourraient eux-mêmes entraver l'utilisation des médicaments prescrits lors des interruptions volontaires de grossesse, voire les retirer du marché. La balle est donc dans le camp de la future administration, ce qui préoccupe les défenseurs du droit à l'avortement selon le quotidien de Washington.Vers une recomposition de la droite britannique ?Le Royaume-Uni votera le 4 juillet prochain pour les législatives anticipées. Pour la première fois, l'ex-parti du Brexit, Reform UK passe devant les conservateurs Tories dans les intentions de vote d'après une enquête de l'institut YouGov hier...Une bonne partie de la presse britannique, The Independent ou encore The Telegraph amplifient les punchlines du dirigeant populiste Nigel Farage ce matin... « Nous sommes l'opposition aux travaillistes »... « un vote pour les Tories c'est un vote pour les travaillistes »... Des paroles prononcées la nuit dernière lors d'un débat sur ITV.« Nigel Farage fait exploser l'élection britannique » s'emballe Politico Europe selon qui le « Brexiteur-en-chef » pourrait réduire le parti conservateur en cendres. Il faut dire que le sondage YouGov a provoqué la panique dans les rangs des Tories raconte le média politique qui prédit qu'« une entrée de Nigel Farage à la chambre des communes émietterait la droite ».De l'autre côté des intentions de vote, le Labour est crédité de 43% des voix selon la moyenne des sondages calculée par la BBC au 14 juin. Dans la presse française, le « nouveau front populaire » est à la Une« Accord à gauche pour les législatives » trompettent Le Monde et Libération en très gros sur leurs sites internet respectifs après 24h de négociations âpres en vue des législatives de la fin du mois.Pour Le Figaro en revanche, « Mélenchon veut imposer sa loi » contre les socialistes et Raphael Glucksmann arrivé premier à gauche lors des européennes. Le quotidien conservateur active même « l'alerte rouge face à la perspective de Jean Luc Mélenchon ou François Ruffin à Matignon », le choix entre « un Robespierre en keffieh ou un Robespierre en gilet jaune ».Dans ce contexte Le Monde raconte « la peur d'un scrutin perdu d'avance » du côté de la majorité d'Emmanuel Macron, avec la sidération et l'amertume au sein du parti Renaissance depuis la dissolution de l'Assemblée nationale. L'Opinion invoque quant à elle « le spectre de l'effacement » d'un président devenu « inaudible »
Et notamment en Italie. « Une colère froide filtre depuis l'Elysée »… La Républica se fait l'écho de la réaction d'Emmanuel Macron et revient sur l'origine du coup de froid entre Rome et Paris. « Dimanche, le président français a proposé au Premier ministre de trouver une solution concertée. Il a réitéré la disponibilité de la France à prendre en charge une partie des personnes débarquées par l'Ocean Viking. » Le lendemain, le gouvernement italien présente l'accord comme déjà conclu : « Nous apprécions vivement la décision de la France de partager la responsabilité de l'urgence migratoire ». « Un forcing, une démarche unilatérale que le président français considère comme un acte hostile » précise La Républica. « Une réaction française jugée disproportionnée » côté italien souligne le Corriere Della Serra qui précise que « l'Elysée n'a pas apprécié un niveau de publicité qu'il aurait préféré différent ». Résultat constate la República, Paris envoie le premier policier de France : Gérald Darmanin qui durcit le ton : « les contrôles français à la frontière avec l'Italie seront renforcés. Le ministre de l'Intérieur dénonce le manque de professionnalisme du gouvernement Meloni ». Un gouvernement qui« estime être dans son bon droit » précise Il Corriere Della Serra… qui cite un ministre italien : « en presque cinq mois, l'Allemagne n'a accueilli que 75 migrants et la France seulement 38 sur les 500 promis ». « Macron a des problèmes politiques internes, sur cette question il est découvert à gauche comme à droite, il doit faire face à une grève générale, mais qu'il ne pense pas à nous intimider en haussant le ton »martèle ce même ministre. Chacun campe sur ses positions, et cette affaire pourrait bien en engendrer d'autres… « La colère de Macron pourrait se traduire par des décisions sur les collaborations industrielles, dans la Défense et sur les nombreux dossiers européens sur lesquels il y aurait au contraire une convergence objective », affirme La Républica. « Et comme toujours », constate le quotidien « à défaut d'une relation de confiance avec Meloni qui semble déjà compromise, Macron se tourne vers le Quirinal, considéré à l'Élysée comme le seul garant de la relation bilatérale.» Il Corriere Della Serra conclue sur une note d'optimisme : « Il y a un an, l'affaire de la vente des sous-marins à l'Australie a provoqué une crise sans précédent entre Paris et Washington, qui s'est ensuite apaisée en fonction de leurs intérêts économiques respectifs, cela pourrait également se produire dans ce cas »selon le quotidien. Aux États-Unis, 3 jours après les mid-terms, Donald Trump a les yeux rivés sur la Maison Blanche L'ancien président qui promet une grande annonce la semaine prochaine : celle de sa candidature dans la course à la primaire républicaine. Mais voilà, comme le constate The Guardian : « l'annonce de la candidature divise jusqu'à l'entourage restreint de Trump ». Selon le quotidien, « l'ancien président doit faire face aux reproches des républicains après les résultats décevants des candidats de droite qu'il a soutenus lors des élections de mi-mandat ». Résultat : « une partie de son entourage le pousse à attendre le second tour du Sénat et à décider ensuite comment annoncer sa candidature. » Au contraire, certains des proches collaborateurs de Donald Trump le « pressent d'annoncer sa dernière campagne pour la Maison Blanche comme prévu mardi ». S'il ne le fait pas, son entourage proche craint qu'il apparaisse faible et blessé s'il cède aux demandes d'attendre le second tour du Sénat au début du mois prochain. Un « Donald Trump blessé » c'est justement ainsi qu'El Pais décrit l'ancien locataire de la Maison Blanche. Et quand l'ancien président est blessé, cela fait planer un doute sur la suite des évènements… En Italie, La Republica pose clairement la question : « Trump, l'éléphant dans la pièce. Que va-t-il faire maintenant ? ». Et bien passer à l'offensive constate le Times « Donald Trump lance une attaque contre Ron DeSantis et la presse. » Il affuble son collègue républicain du surnom de « De Santis le prude » souligne El Pais. En Anglais ça donne « Ron DeSanctimonious ». Pour The Independant : Ron DeSantis est désormais considéré comme « un challenger de poids » face à Donald Trump. Comme le souligne El Pais : « ses collègues de parti et les médias conservateurs eux-mêmes osent contester sa primauté au sein du parti républicain après les midterms ». La ligne de défense de Trump relayée par The Independent : « ce sont ses proches qui lui ont donné de mauvais conseils, alors que plusieurs des candidats qu'il a soutenus dans des courses cruciales ont échoué ». Le quotidien qui précise que Donald Trump : « reprocherait à sa femme Melania de lui avoir conseillé de soutenir Mehmet Oz dans la course au Sénat en Pennsylvanie. Course qu'il a perdue face au démocrate John Fetterman ». La presse internationale revient aussi sur le retrait russe de Kherson Un retrait qui pourrait « ouvrir la voie à pourparlers de paix », selon un général américain cité par le Times. L'Orient le Jour relaye les propos de Joe Biden pour qui « l'annonce du repli constitue la preuve que les Russes ont de vrais problèmes ». Le quotidien l'affirme : « cette retraite constitue un nouveau cinglant revers pour Moscou après la perte de Kharkiv ». En Espagne, El Mundo se fait l'écho de la réaction du président ukrainien. Volodymyr Zelensky réagi « avec une extrême prudence », estimant que « Moscou ne fait pas de cadeau ». Le correspondant du Times à Moscou pondère lui aussi l'optimisme ambiant : « les craintes persistent que ce retrait ne soit qu'un stratagème » écrit Marc Bennetts », estimant que « Moscou ne fait pas de cadeau ». Le correspondant du Times à Moscou pondère lui aussi l'optimisme ambiant : « les craintes persistent que ce retrait ne soit qu'un stratagème » écrit Marc Bennetts.
Cosmic Creating Show” Current Affairs with Jan Shaw SHOW PHOTO Saturday 5-6 pm EST discussing Current Events https://www.TheSuccessAlchemist.net The Success Alchemist: Success Coach | Business & Marketing Strategist (970) 852 4450 / (512) 487 2980 Jan's Podcast Station: https://pod.co/cosmic-creating-with-jan-shaw Free Dream Achievers Success Kit: Twitter @CoachJanShaw Cosmic Creating is seen 5-6 pm EST every Saturday and every Wednesday 6-7 pm EST. http://www.cosmicreality.com/radio.html Jan is also seen on every second Saturday 6-8 pm EST on the “Say What Radio Show” at http://www.cosmicreality.com/radio.html PODCASTS https://pod.co/cosmic-reality-radio Archives Audio: https://www.cosmicreality.com/archives.ht LINKS: Trump sues Hillary Clinton, DNC over ‘unthinkable' Russia ‘plot' in 2016 election Russia at UN: "Donald Trump is the LEGITIMATELY ELECTED President Trudeau Gets HUMILIATED White House has to clean up Biden's embarrassing gaffe to US soldiers in Poland to avoid international incident Hunter Biden Helped secure millions for biotech research in Ukraine Beau Biden Foundation rakes in millions, spends fraction on kid programs Connections between organizations involved in biolabs
Facebook promeut le fameux métavers et reconnaît qu'il doit faire plus contre la désinformation. L'occasion de s'interroger sur la part de l'algorithme, de l'internaute et du média dans la propagation des infox et des discours de haine. C'est l'histoire d'un géant qui annonce qu'il se rebaptise Meta, et qu'il va investir 100 milliards de dollars dans cet univers parallèle où ses réseaux sociaux, Facebook et Instagram, ne vont plus dépendre exclusivement de la publicité. En apparence, c'est une bonne nouvelle pour les médias puisqu'on sait que Facebook capte à son profit la plupart des vidéos publicitaires. Mais comme l'on sait que l'idée de Meta est d'être une sorte de place de marché à portée de lunettes de réalité virtuelle, on se dit que très vite, de même qu'on aura notre propre vie méta-physique, les médias devront investir pour être présents dans ce méta-monde. Et bien sûr, ce sera toujours Facebook, enfin Meta, qui sera au guichet pour vendre les places. Facebook veut renforcer sa lutte contre la désinformation Mais Meta, quoi qu'il s'en défende, c'est aussi pour Facebook une manière de faire oublier les scandales révélés par Frances Haugen. Et ce d'autant qu'un autre lanceur d'alerte a confirmé que la direction de la plateforme sapait les efforts pour lutter contre la désinformation ou les contenus haineux de peur de déplaire à Donald Trump. Un Donald Trump qui finira par être exclu et par créer son propre réseau social. Alors, évidemment, devant ces Facebook Papers qui amènent des journaux américains à se demander si le géant va s'en relever, Facebook réagit. Mardi, son vice-président Nick Clegg a annoncé qu'il devait en faire plus pour lutter contre la désinformation, en particulier dans les pays pauvres, alors que 87 % de son budget pour contrer ces infox est concentré aux États-Unis. La plateforme a aussi juré qu'elle renonçait à la reconnaissance faciale d'un milliard d'internautes qui avaient activé cette fonctionnalité, pour donner des gages sur le respect des données personnelles. Une responsabilité partagée Est-ce que ce sera suffisant ? Rien n'est moins sûr. Le sociologue de Sciences Po Dominique Cardon rappelle que l'algorithme n'est pas seul responsable de la désinformation et des discours de haine. L'internaute qui partage, fait connaître sa colère ou met un cœur à un clash haineux ou une dispute comportant des contre-vérités participe par son engagement à un climat délétère d'information. Et ils ne sont pas les seuls, les médias et les journalistes, ajoute le sociologue, sont aussi responsables lorsqu'ils bâtissent leur émission de débat ou leur talk-show avec ce qui remonte le plus sur les réseaux sociaux. Il suffit alors de quelques groupes influents sur Twitter ou Facebook pour prendre en otages l'ensemble des téléspectateurs avec des sujets comme le prétendu « grand remplacement » ou la peur de l'Islam.
durée : 00:09:55 - Le journal de 7h30 du week-end - Trois mois sans meeting et c'est un Donald Trump galvanisé qui a harangué ses partisans à Tulsa, traitant le candidat démocrate Joe Biden, de "marionnette de l'extrême-gauche", critiquant les journalistes et vantant sa gestion de l'épidémie. Mais la foule était loin d'être au rendez-vous.
durée : 00:09:55 - Le journal de 7h30 du week-end - Trois mois sans meeting et c'est un Donald Trump galvanisé qui a harangué ses partisans à Tulsa, traitant le candidat démocrate Joe Biden, de "marionnette de l'extrême-gauche", critiquant les journalistes et vantant sa gestion de l'épidémie. Mais la foule était loin d'être au rendez-vous.
Au sommaire : 75e anniversaire du Débarquement Le 75e anniversaire du Débarquement a-t-il permis, pour un jour, de redevenir (vraiment) alliés ? Cette commémoration du symbole de l'unité du monde libre face à l'Allemagne nazie est lourde de sens, alors que s'amoncellent les divisions entre ex-Alliés. Un Donald Trump sacrifierait-il aujourd'hui la vie de jeunes Américains pour le salut des vieilles démocraties européennes ? L'Europe peut-elle se passer des États-Unis et se suffire à elle-même ? Génocide colonial des femmes autochtones Près de 1 200 pages et 231 recommandations... Mais un mot, utilisé à une centaine de reprises, retient l'attention : « génocide ». Le rapport de l'Enquête nationale sur les femmes et les filles disparues et assassinées a suscité un malaise au sein de la classe politique canadienne. Or, le rapport parle plus précisément d'un « génocide colonial ». De quoi s'agit-il exactement ? À cinq mois des élections, que va faire le Premier ministre Justin Trudeau de ces recommandations ? Soudan Répression sous influence au Soudan ? Y a-t-il une corrélation entre les violences contre les manifestations pacifiques et les déplacements de l'homme fort du pays en Égypte, en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis ? Après avoir fait le choix de la ligne dure, le général Abdel Fattah al-Burhane a annulé ses accords avec le mouvement de protestation. L'espoir de voir émerger une transition démocratique négociée entre civils et militaires est-il perdu ? 30e anniversaire du massacre de Tiananmen Le massacre de Tiananmen a-t-il cessé d'exister en Chine ? C'est l'un des grands tabous de l'histoire contemporaine locale. Parler de ce qui s'est passé le 4 juin 1989 est interdit, réprimé et peut conduire à la prison. Comment peut-on guider une population vers une réécriture de l'histoire ? Crédit social et surveillance technologique : la contestation est-elle définitivement étouffée en Chine ? À terme, cela peut-il freiner, voire annihiler, les ambitions planétaires de Pékin ? Invités : Dominique Moïsi, géopolitologue, conseiller spécial pour l'Institut Montaigne ; Rosa Moussaoui, grand reporter au service international de « L'Humanité » ; Nicolas Willems, responsable éditorial monde pour la radio-télévision belge RTBF ; Manon Globensky, journaliste à Radio-Canada (depuis Montréal). Présentation : Silvia Garcia.
Fröher hett man je man je meent, dat allns, wat in Osten vun uns liggt, so’n beten unmodern, so’n beten vun güstern weer. De Autos seh’n öller ut, as de bi uns, de Farven weern ni so schmuck bunt as hier un all sowat. Dat schient sick nu overs to ännern – in de Ukraine ännert sick dat. Blangbi weet ick bet hüüt ni, wat dat „ai“ bi dat Land as „a-i“, also Ukra-ine, oder as „ei“, also Ukreine, utsnackt ward. Na jo, in de Ukraine oder Ukra-ine ward se dat wohrschienli weeten. Jedenfalls geiht de Ukraine nu mit de Tied, denn dor hebbt se nu ook ennli ’n Komiker as Präsident. Wolodymyr Selensky heet he. Overs mit den as Präsident geiht de Ukraine ni blots mit de Tied, se överholt sogor noch den Rest vun de Welt, denn Selensky hett sien Handwark in Gegensatz to all de Annern Staatschefs würkli vun de Pike op lehrt – also dat Komiker ween. Dorüm hett dat Volk em ook mit över 70 Perzent wählt. Dor künnt annere blots vun dröömen. So veel anners, as de Annern ward Selensky dat an Enn wohrschienli ook ni moken. Overs de Ukrainers hebbt sick anschien’d dacht: „Wenn wi all verschaukelt ward, denn wüllt wi dorbi weenstern wat to Lachen hebben.“ De Amis hebbt sowat Ähnliched je ook al mol versöcht, as se in de 80er Johrn den Schauspeeler Ronald Reagan to’n Präsident mokt hebbt. Un Donald Trump, de versöcht je beides to ween: Schauspeeler un Komiker. Overs mit so’n richtigen Komiker wurr dat doch ’n lütt beten mehr Spoß moken. Wat schodt, dat Jerry Lewis 2017 storven is. De harr dor nochmol so’n beten Pep rinbringen kunnt. Dor harr man ook noch wat för’t Oog hatt, so dösig as de sick bewegen kunn. Liekers seht wi in Vergliek mit uns‘ Angela Merkel so’n lütt beten truuri ut. Overs dat kann je allns noch warrn, denn se will je bald afdanken. Un veellicht ward denn ni AKA oder Merz Kanzler sünnern Dieter Nuhr oder Helge Schneider. Helge kunn sogor noch richti good Musik dorto moken, wenn he uns verschaukeln deh. Ick bün jedenfalls al ganz gespannt dorp, wo sick dat noch entwickelt... In düssen Sinn
The man behind the Saw franchise joins us in studio and we give you all the updates from the meeting between Donald Trump and Kim Jong Un. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
1-Germania: Unione – Spd ancora insieme per formare un nuovo governo. ..l'ultima parola al congresso straordinario dei socialdemocratici che il 21 di gennaio dovrebbe confermare o sconfessare l'accordo firmato da Martin Schluz .. ..2-” No ai Migranti provenienti da Paesi di merda”: Un Donald Trump sempre più isolato insulta Haiti e l'Africa. Annullata la sua visita in Gran bretagna. “ ha capito che non era gradito ai londinesi” afferma il Sindaco Sadik Khan ....3-Sicurezza alimentare. In Francia scoppia lo scandalo del latte per neonati contaminato dal batterio della salmonella. Sotto accusa il modello di economico di Lactalis, primo gruppo mondiale di prodotti caseario-lattieri. ....4- Effetto catalogna. Ciudadanos diventa il primo partito in Spagna..Secondo un sondaggio di El pais il movimento di centrdestra otterrebbe oggi il 27,1% superando di 4 punti il partito popolare di rajoy. ....5-Petrolio. l'Arabia saudita ha perso la sua guerra contro i produttori di Shale gas...Lo certifica l'ultima rapporto dell'agenzia internazionale dell'energia... ..6-Obsolescenza programmata. Sale a 32 il numero di class action che Apple rischia di dover fronteggiare per aver rallentato le prestazioni dei vecchi iPhone.
1-Germania: Unione – Spd ancora insieme per formare un nuovo governo. ..l’ultima parola al congresso straordinario dei socialdemocratici che il 21 di gennaio dovrebbe confermare o sconfessare l’accordo firmato da Martin Schluz .. ..2-” No ai Migranti provenienti da Paesi di merda”: Un Donald Trump sempre più isolato insulta Haiti e l’Africa. Annullata la sua visita in Gran bretagna. “ ha capito che non era gradito ai londinesi” afferma il Sindaco Sadik Khan ....3-Sicurezza alimentare. In Francia scoppia lo scandalo del latte per neonati contaminato dal batterio della salmonella. Sotto accusa il modello di economico di Lactalis, primo gruppo mondiale di prodotti caseario-lattieri. ....4- Effetto catalogna. Ciudadanos diventa il primo partito in Spagna..Secondo un sondaggio di El pais il movimento di centrdestra otterrebbe oggi il 27,1% superando di 4 punti il partito popolare di rajoy. ....5-Petrolio. l’Arabia saudita ha perso la sua guerra contro i produttori di Shale gas...Lo certifica l’ultima rapporto dell’agenzia internazionale dell’energia... ..6-Obsolescenza programmata. Sale a 32 il numero di class action che Apple rischia di dover fronteggiare per aver rallentato le prestazioni dei vecchi iPhone.
1-Germania: Unione – Spd ancora insieme per formare un nuovo governo. ..l’ultima parola al congresso straordinario dei socialdemocratici che il 21 di gennaio dovrebbe confermare o sconfessare l’accordo firmato da Martin Schluz .. ..2-” No ai Migranti provenienti da Paesi di merda”: Un Donald Trump sempre più isolato insulta Haiti e l’Africa. Annullata la sua visita in Gran bretagna. “ ha capito che non era gradito ai londinesi” afferma il Sindaco Sadik Khan ....3-Sicurezza alimentare. In Francia scoppia lo scandalo del latte per neonati contaminato dal batterio della salmonella. Sotto accusa il modello di economico di Lactalis, primo gruppo mondiale di prodotti caseario-lattieri. ....4- Effetto catalogna. Ciudadanos diventa il primo partito in Spagna..Secondo un sondaggio di El pais il movimento di centrdestra otterrebbe oggi il 27,1% superando di 4 punti il partito popolare di rajoy. ....5-Petrolio. l’Arabia saudita ha perso la sua guerra contro i produttori di Shale gas...Lo certifica l’ultima rapporto dell’agenzia internazionale dell’energia... ..6-Obsolescenza programmata. Sale a 32 il numero di class action che Apple rischia di dover fronteggiare per aver rallentato le prestazioni dei vecchi iPhone.