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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 21 novembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Y A-T-IL EN FRANCE UNE GAUCHE DE GOUVERNEMENT ?Le 16 octobre, le choix du Parti socialiste de ne pas censurer Sébastien Lecornu a réinterrogé les alliances au sein du bloc non mélenchoniste. Ce vote a profondément divisé la gauche. Une partie de ce camp, incarnée par les socialistes, a décidé de jouer le jeu du compromis avec l'exécutif, obtenant la promesse d'une suspension de la réforme des retraites et un abandon du 49.3. Une victoire sur les retraites accueillie favorablement par la direction de la CFDT perçue comme un jalon dans le rétablissement de liens, aujourd'hui ténus, avec le mouvement social-réformateur. Pour L'historien Mathieu Fulla, ce choix de la non-censure par le Parti socialiste s'inscrit dans « une mémoire partisane qui associe socialisme et défense de la République ». Les socialistes considèrent qu'il vaut mieux faire des concessions, contre quelques victoires. Une autre partie de la gauche, celle emmenée par La France Insoumise mais composée d'une écrasante majorité des députés écologistes et communistes, n'a pas souhaité épargner le gouvernement et entend voter la censure. Les Insoumis, avec leur héritage de la gauche radicale, estiment que tout compromis est un « piège ».Dimanche dernier, à Pontoise dans le Val-d'Oise, l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve organisait un rassemblement, présenté comme « inédit », des « différentes composantes de la gauche réformiste », avec un casting qui ne manquait pas de présidentiables, à dix-huit mois de l'échéance. Outre le président du mouvement la Convention, fondé en 2022 après sa rupture avec le Parti socialiste, on comptait l'ancien président de la République François Hollande, la présidente PS de la région Occitanie, Carole Delga, et le député européen et coprésident de Place publique, Raphaël Glucksmann. Une étude publiée par l'IFOP pour L'Opinion et Sud Radio, le 30 septembre, sur le premier tour de l'élection présidentielle de 2027 donne pour la première fois, une longueur d'avance à Raphaël Glucksmann par rapport à Jean-Luc Mélenchon et, dans certains scénarios, place l'eurodéputé au second tour du scrutin face à l'extrême droite. Les participants de ce rassemblement de la gauche réformiste partagent un même refus obstiné de l'alliance avec La France Insoumise. Ici, la culture du compromis continue de tenir lieu de boussole, en opposition à ce qu'ils nomment la « gauche de l'outrance ».Quoiqu'invité au rassemblement de Pontoise, le premier secrétaire du PS a privilégié, la veille, une autre rencontre. Celle qui réunissait à Trappes dans les Yvelines la gauche dite « unitaire », qui prépare l'organisation d'une primaire afin de désigner un candidat commun en 2027 : PS, Écologistes, Génération.s, L'Après, parti de Clémentine Autain, et Debout, de François Ruffin, autour de l'ex-première ministrable du Nouveau Front populaire, Lucie Castets. Mais, d'une primaire, tous les participants au raout social-démocrate de dimanche n'en veulent pas. À dix-huit mois de la présidentielle, la gauche avance toujours en ordre dispersé.L'ALGÉRIE ET LA FRANCE : ENTENTE IMPOSSIBLE, RUPTURE IMPROBABLEEntre embellies et tensions, la relation entre la France et l'Algérie oscille sans cesse. Après une série de différends entre les deux pays, le 31 juillet 2024 allait marquer un tournant majeur : à la surprise générale, le président français est sorti de sa traditionnelle neutralité sur le dossier ultrasensible du Sahara occidental en reconnaissant la souveraineté marocaine sur ce territoire disputé par Rabat et les indépendantistes du Front Polisario, soutenus par Alger. Ce revirement spectaculaire provoqua la colère de l'Algérie, qui rappela son ambassadeur et suspendit la coopération entre les deux pays, notamment en matière de politique migratoire, de sécurité et d'accords économiques. Ce fut le début d'une des crises diplomatiques les plus graves depuis l'indépendance en 1962.Après plus d'un an de cette crise émaillée par l'arrestation à Alger en novembre 2024 de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, gracié le 12 novembre dernier et de retour en France, le nouveau ministre français de l'Intérieur, Laurent Nuñez, multiplie les déclarations exprimant sa volonté de renouer « le dialogue » avec l'Algérie. Il se démarque ainsi de son prédécesseur, Bruno Retailleau et assume d'engager une politique de détente avec l'Algérie pour reprendre la coopération sécuritaire sur les questions de terrorisme et de narcotrafic. Il compte aussi sur Alger pour faciliter les expulsions d'Algériens en situation irrégulière.Le Premier ministre français a regretté le vote par l'Assemblée nationale, le 30 octobre, pour la première fois de la Vème République, d'un texte du Rassemblement national, en faveur de la dénonciation de l'accord franco-algérien de 1968 – qui régit les règles du séjour des Algériens en France. Sébastien Lecornu s'est toutefois dit favorable à une renégociation de l'accord, que deux rapports parlementaires de 2025 ont jugé trop favorable aux Algériens et ne se justifiant plus, soixante-trois ans après l'indépendance. Les immigrés algériens en France représentent la plus importante communauté immigrée dans le pays, avec près de 900.000 personnes.Si l'heure semble à la décrispation, cependant, l'historien Benjamin Stora estime que « la crise entre l'Algérie et la France a été très dure et très profonde. D'un côté comme de l'autre, elle va laisser des traces. » Il pointe les écueils qui demeurent : à commencer par l'incarcération du journaliste français Christophe Gleizes, arrêté en mai 2024 alors qu'il réalisait des reportages sur le football en Kabylie, mais aussi la position de Paris sur le Sahara-Occidental, la question des obligations de quitter le territoire français (OQTF), les questions sécuritaires dans le Sahel et les questions migratoires.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Luc Mélenchon fait du stop, une mère juive est à l'accueil de la sécurité sociale et une sage-femme est appelée en pleine nuit... Découvrez les 3 histoires drôles du jour ! Tous les jours, en podcast, retrouvez une compilation des meilleures blagues de vos Grosses Têtes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:01 - Le brief politique - Jean-Luc Mélenchon est en meeting dimanche à Saint-Pierre-des-Corps, près de Tours. Le leader de La France insoumise multiplie les déplacements de terrain ces dernières semaines. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Faisant un temps partie de la même formation politique, les deux hommes de gauche sont désormais irréconciliables. Une fracture prévisible d'après cet extrait, où François Ruffin, encore LFiste, se disputait déjà avec le chef du parti... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 14 novembre, Laurent Gerra a notamment imité Alain Souchon, François Ruffin et Jean-Luc Mélenchon. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 14 novembre, Laurent Gerra a notamment imité Alain Souchon, François Ruffin et Jean-Luc Mélenchon. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 12 novembre, Laurent Gerra a notamment imité Nicolas Sarkozy, Jean-Luc Mélenchon et Fabrice Luchini Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 12 novembre, Laurent Gerra a notamment imité Nicolas Sarkozy, Jean-Luc Mélenchon et Fabrice Luchini Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Rodolphe Cart, journaliste et auteur de Mélenchon, le bruit et la fureur : Portrait d'un révolutionnaire aux éditions La Nouvelle Librairie - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia - Jean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communiquant Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Georges Fenech, ancien magistrat. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
PREVIEW. Political Frustration Fuels Insurgent Movements Across the Spectrum. Joseph Sternberg explains that frustrated voters in Europe and the United States are using a metaphorical "sledgehammer" to break apart the established political process. This frustration generates insurgent movements on both the left (like Jean-Luc Mélenchon and the Squad) and the right (like Donald Trump). Conservatives should not presume they will always benefit from this political upheaval. IL DUCE 1923 Retry
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tony Saunois, CWI Secretary, discusses his review of Jean-Luc Mélenchon's book, “Now the People – Revolution in the 21st Century”, with Sean Figg, from the CWI's International Secretariat. Mélenchon and the movement he leads, La France Insoumise (Frace Unbowed), are well positioned to play a critical role in how the crisis of French capitalism develops in the next period. To advance the interests of the French working class in the crisis the issues of program, organisation and strategy are crucial. In this podcast Tony and Sean look at Mélenchon's position on these crucial questions.
Au moment où l'on entend les siens s'écharper à l'Assemblée, le fondateur de La France insoumise semble rester silencieux, avec seulement une présence minime sur les réseaux sociaux. Olivier Beaumont nous explique pourquoi. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : -Marc Menant -Sabrina Medjebeur Invité : -Gérault Verny, député UDR d'Aix-en-Provence Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Can the Centre hold in France?Nick Cohen discusses the dire state of French politics with journalist, author & academic Agnès Poirier. They discuss the chaos of politics in France over the last years which has seen 4 prime ministers come and go in barely a year. Extremists on the far right and far left are becoming ever more dominant - their voices ever more shrill.In 2017, Emmanuelle Macron became the youngest man since Napoloeon to head the French state and to become President of France, voted in off the back of his own centrist En Marche movement. In 18 months' time, Macron's second term and presidential career come to an end. And there are growing fears about what next presidential elections of May 2027 could herald a major extremist upset, as disappointed French political opinion seems to rush to the extremes of either the hard left firebrand Jean-Luc Mélenchon - defacto leader of La France Insoumise - or Marine Le Pen and the far right Le Rassemblement National (The National Ralley, formerly the National Front).Agnès Poirier explains the disillusionment and the current political landscape divided among Islamified left, failed Macron-centered centre, and radical right factions. Agnès and Nick explore Macron's challenges in maintaining power despite a lack of majority support, the rise of extreme parties, and the shifting dynamics within the French socialist movement. The discussion concludes with an examination of France's welfare system, the transformation of the National Rally under Marine Le Pen, and concerns about the potential rise of far-right leaders in future elections.French are more scared of hard left that far rightWhat if the Centre continues to collpase and the French are left with a choice between extreme right and left? Agnes Poirier says people are more concerned and worried about Jean-Luc Mélenchon and the left than the far right of Marine Le Pen, saying, "They [the Left] they go to the National Assembly dressed in t-shirts, um, or in football, shirts; they insult each other. They just want insurrection. They look dangerous. They speak dangerous, and they don't care. Whereas Marine Le Pen party is much more clever in the way they present themselves. They don't insult people. They're not loud; they put on a suit, and so at least on the surface, they are not scaring people and, and it works. It does work. Um, you'd rather have somebody who's not insulting you or shouting at you the way they do with their hard left." Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Que ce soit en Italie en Allemagne, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, le populisme gagne du terrain et de l'influence. En France, lors de la dernière élection présidentielle, en 2022, les trois candidats considérés comme appartenant à ce type de formation politique, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour, ont totalisé 52% des voix."Le populisme fait partie de la culture politique française comme un magma stagnant sur un volcan", écrit Marc Lazar, historien et sociologue, professeur émérite des universités, dans "Pour l'amour du peuple - Histoire du populisme en France, XIXe-XXe siècles." (éd. Gallimard, 2025). Qu'est-ce que le populisme ? Et comment définir une notion si "vague, compliquée, floue" tantôt utilisée pour disqualifier un candidat, tantôt revendiquée par un autre pour se dire proche du peuple ? Retrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de culture ci-dessous :Visages : https://audmns.com/YNRfPcJJuste ciel · RCF Cœur de Champagne : https://audmns.com/TyoHCKoLa suite de l'Histoire : https://audmns.com/IlGYVbxLa suite de l'Histoire, l'intégrale : https://audmns.com/vwgmJNuTous mélomanes : https://audmns.com/oZJUpqCMarche & rêve : 8 personnalités transformées par la marche : https://audmns.com/fLjYOLLEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 15 octobre, Laurent Gerra a notamment imité Jean-Luc Mélenchon, François Lenglet et Benjamin Castaldi. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - L'invité du Grand entretien de Nicolas Demorand et Benjamin Duhamel est Jean-Luc Mélenchon, fondateur de la France Insoumise, au lendemain de la nomination d'un nouveau gouvernement Lecornu pour succéder au précédent, démissionnaire au bout de seulement 14 heures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:25:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - L'invité du Grand entretien de Nicolas Demorand et Benjamin Duhamel est Jean-Luc Mélenchon, fondateur de la France Insoumise, au lendemain de la nomination d'un nouveau gouvernement Lecornu pour succéder au précédent, démissionnaire au bout de seulement 14 heures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chroniqueurs : -Gauthier le Bret, journaliste politique -Christophe Bordet, rédacteur en chef Europe 1 -Caroline Ithurbide, animatrice -Gérard Carreyrou, journaliste Invité : -Pierre Lellouche, ancien Ministre et spécialiste des questions internationales Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Peut-on changer le monde en chuchotant ? A priori, l'ASMR n'a RIEN à voir avec l'écologie et la solidarité !Pourtant, même si c'est d'abord pour rire, Maël Coutand double des séquences politiques en chuchotant sur son compte instagram ASMR Politics.Et mine de rien, ça fait des millions de vues, initie des gens à la politique et fait voter des gens.De l'ASMR engagé ! Qui l'eût cru ?SOMMAIRE 00:00 Maël Coutand d'ASMR Politics03:08 Questions mitraillette07:35 Ségolène Royal contre le click & collect08:58 Jean-Luc Mélenchon : La République c'est moi !10:55 Pourquoi l'ASMR politique cartonne ?16:51 Le programme du NFP en ASMR24:30 : Philippe Poutou dézingue Lepen et Fillon28:48 La 1e interview politique en ASMR31:18 Le paradoxe de l'ASMR33:49 L'humour dans une élection38:36 L'avenir de ASMR politics43:44 Pourquoi ça te tient à cœur ?__Le site officiel de Soif de Sens.Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici un extrait de l'épisode de demain avec Peut-on changer le monde en chuchotant ? A priori, l'ASMR n'a RIEN à voir avec l'écologie et la solidarité !Pourtant, même si c'est d'abord pour rire, Maël Coutand double des séquences politiques en chuchotant sur son compte instagram ASMR Politics.Et mine de rien, ça fait des millions de vues, initie des gens à la politique et fait voter des gens.De l'ASMR engagé ! Qui l'eût cru ?SOMMAIRE 00:00 Maël Coutand d'ASMR Politics03:08 Questions mitraillette07:35 Ségolène Royal contre le click & collect08:58 Jean-Luc Mélenchon : La République c'est moi !10:55 Pourquoi l'ASMR politique cartonne ?16:51 Le programme du NFP en ASMR24:30 : Philippe Poutou dézingue Lepen et Fillon28:48 La 1e interview politique en ASMR31:18 Le paradoxe de l'ASMR33:49 L'humour dans une élection38:36 L'avenir de ASMR politics43:44 Pourquoi ça te tient à cœur ?__Le site officiel de Soif de Sens.Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 4 octobre 2025 - La semaine cruciale de LecornuIl renonce à utiliser le 49.3. Sébastien Lecornu a pris la parole ce vendredi depuis l'hôtel de Matignon pour tenter de convaincre les oppositions de ne pas le censurer à la suite de son discours de politique générale (prévu ce 7 octobre). Mais si Marine Le Pen salue « un geste respectueux », Jean-Luc Mélenchon met en doute sa sincérité, « On te croit pas . Tu n'as pas l'intention de gouverner sans nous forcer le moment venu » a déclaré le leader insoumis.Alors que le nouveau gouvernement n'a toujours pas été annoncé, et que le projet de budget 2026 reste « peu précis » pour le Rassemblement national, « insuffisant » pour les socialistes, le risque est réel que la gauche et le RN fasse tomber le Premier ministre dès la semaine prochaine. Pendant ce temps, la colère sociale s'intensifie, cette attente ne faisant qu'alimenter l'exaspération des Français.Le pouvoir d'achat, lui, est une des préoccupations principales des Français, qui sont de plus en plus nombreux à avoir des fins de mois difficiles. Un secteur en pâtit : l'immobilier. 30% du budget des ménages est consacré au logement et en un an, le nombre de ventes immobilières a baissé de 17 %. Si acheter est difficile, louer n'est pas plus aisé, avec de lourdes conséquences sur tout un secteur.Au moment des Gilets jaunes, la colère sociale avait été consignée dans 20.000 cahiers de doléances, regroupant plus de 200.000 contributions qui n'ont jamais été publiées dans leur intégralité. Leur contenu reste pourtant d'actualité. C dans l'air est allé à la rencontre d'une archiviste indignée par le « mépris » avec lequel ces cahiers ont été traités.Alors, Lecornu peut-il éviter la censure ? Pourquoi le secteur immobilier est-il en crise ? Que sont devenus les cahiers de doléances des Français ?LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint au service politique du Parisien/Aujourd'hui en France - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions - Béatrice MATHIEU - Grand reporter à L'Express - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa
Deux juifs planifient un plan pour tuer Hitler, un professeur demande à ses élèves s'ils sont fans de Jean-Luc Mélenchon, et deux cannibales tombent nez-à-nez avec une jeune touriste. Tous les jours, en podcast, retrouvez une compilation des meilleures blagues de vos Grosses Têtes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce mercredi, il s'intéresse à la toute puissance de Jean-Luc Mélenchon à gauche. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
D'après un sondage Ifop Fiducial pour Sud Radio et L'Opinion publié, lundi 29 septembre, les potentiels candidats du camp présidentiel sont en train de gagner en popularité, particulièrement avec l'émergence de Raphaël Glucksmann. Ruth Elkrief pense que Jean-Luc Mélenchon n'est pas hors-jeu. Jean Castex, l'ancien Premier ministre et actuel PDG de la RATP, prendra le relais de Jean-Pierre Farandou à la direction du Groupe SNCF. Pascal Perri leur dit merci et donne du courage au nouveau directeur. Pour lui, il y a des présidents qu'il faut féliciter. Les soldats privés sont de retour, plus précisément, Erik Prince, le fondateur et ex-directeur de la célèbre et controversée armée privée Blackwater. Pour Abnousse Shalmani, Donald Trump est de retour et donc Erik Prince est aussi de retour, par la même occasion. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 27 septembre 2025 avec Elsa Faucillon, députée communiste de la 1ʳᵉ circonscription des Hauts-de-Seine.La condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison ferme dans l'affaire libyenne, assortie d'une exécution provisoire, a provoqué un séisme politique. Cette décision relance le débat sur l'indépendance de la justice et les accusations d'acharnement, alors que le Parti communiste français a dénoncé dans un communiqué « des pressions inacceptables sur la justice ».Sur le front économique, la gauche espérait des gestes d'ouverture de la part du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu. Mais, dans son entretien au Parisien, il a écarté un retour de l'ISF comme l'instauration de la taxe Zucman ainsi que l'abrogation de la réforme des retraites.Une orientation qui creuse les lignes de fracture, alors que de nouvelles mobilisations sociales sont déjà annoncées le 2 octobre à l'appel de l'intersyndicale. Dans ce contexte, Jean-Luc Mélenchon a appelé hier soir la gauche parlementaire à « rallier la censure insoumise ».Elsa Faucillon reviendra sur cette actualité mouvementée et éclaircira les positions de son parti, tant dans le cadre de l'union des gauches qu'il souhaite promouvoir que dans un climat politique marqué par les tensions et les incertitudes à l'approche de l'ouverture des travaux parlementaires et dans la perspective proche des municipales.
C dans l'air du 27 septembre 2025 - Retraites, Sarkozy, impôts : Lecornu se livreIl s'exprime enfin. Nommé Premier ministre le 9 septembre dernier, Sébastien Lecornu s'était fait quasi mutique pendant dix-huit jours. Il a rompu le silence hier dans un entretien accordé au journal Le Parisien-Aujourd'hui en France. Le locataire de Matignon a donné les premières orientations de la politique qu'il compte mener et a annoncé que son gouvernement serait nommé « avant le début des travaux parlementaires », prévus ce mercredi 1er octobre. Il a affirmé que les ministres qui veulent rentrer au gouvernement devront « endosser » le budget et « partager les grandes orientations du socle commun ».Le chef du gouvernement semble ainsi exclure le « débauchage » de personnalités issues du Parti socialiste. Car si Sébastien Lecornu a annoncé repartir « d'une feuille blanche » pour construire le budget, il s'est tout de même d'emblée prononcé contre la suspension de la réforme des retraites, et a dit ne pas croire que la taxe Zucman soit « la bonne réponse ». De quoi provoquer la colère de la gauche. « Manifestement, il a décidé de ne pas rester Premier ministre très longtemps », a ironisé le sénateur communiste Ian Brossat, qui a jugé les annonces de Sébastien Lecornu « honteuses ». Le Premier ministre « prend ce soir le risque de plonger notre pays dans le chaos politique et institutionnel », a réagi le Parti socialiste dans un communiqué. « Lecornu fait du Macron. Ni plus ni moins. Au moins c'est franc. Il est temps pour la gauche de l'hémicycle de rallier la censure insoumise », a pour sa part réagi hier soir sur le réseau social X le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon.Le RN n'est pas en reste. “Aujourd'hui, on est avec un Premier ministre qui fonce droit dans le mur”, a ainsi affirmé ce matin Thomas Ménagé, le porte-parole de son groupe à l'Assemblée. Comme LFI et le PS, le RN agite la menace d'une motion de censure. Après la condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison, le chef du gouvernement a par ailleurs tenu à exprimer son « amitié pour l'homme et sa famille ». Il était membre de la famille politique de l'ancien président avant de rejoindre Emmanuel Macron en 2017.Alors que le locataire de Matignon continue de consulter pour former son équipe, la colère sociale gronde et les agriculteurs espèrent peser sur les choix du prochain gouvernement. Il étaient à la manœuvre hier, à l'initiative de la FNSEA, syndicat majoritaire, et des Jeunes Agriculteurs. Une grande journée d'action était organisée à travers le pays. Ces syndicats n'avaient pas voulu participer au mouvement "Bloquons tout" du 10 septembre pour éviter toute récupération politique. Ils y ont préféré une mobilisation sur leurs propres revendications. Ces rassemblements avaient d'abord pour but de s'opposer à l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, approuvé, début septembre par la commission européenne.À l'Assemblée, face à la forte instabilité gouvernementale et à la perception négative de leur travail dans l'opinion, certains parlementaires, dépités, pensent à quitter leur mandat. C'est le cas d'Harold Huwart, député LIOT de la 3e circonscription d'Eure-et-Loir. Il raconte la crise vécue par de nombreux parlementaires, confrontés à l'incapacité d'obtenir des compromis, aux espoirs de changements déçus et épris d'un profond sentiment d'impuissance.Sébastien Lecornu peut-il éviter la censure ? Les agriculteurs peuvent-ils peser sur le gouvernement en cours de formation ? Quel rôle peuvent encore jouer les parlementaires dans cette situation de blocage politique ?LES EXPERTS :- Marcelo WESFREID - Rédacteur en chef adjoint du service politique - Le Parisien-Aujourd'hui en France- Agathe LAMBRET - Présentatrice du 8h30 - France Info- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point- Jean GARRIGUES - Historien, ^résident la commission internationale d'histoire des assemblées
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invités : - Marc Touati, économiste. - Jean Christophe Couvy, secrétaire national Unité - Gauthier Le Bret, journaliste politique CNEWS. - Mathieu Valet, eurodéputé RN. - Catherine Nay, éditorialiste politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les médias du service public font la promotion de la taxe Zucman et l'enquête sur les liens entre Jean-Luc Mélenchon et la Chine. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Marc Touati, économiste. - Jean Christophe Couvy, secrétaire national Unité - Gauthier Le Bret, journaliste politique CNEWS. - Mathieu Valet, eurodéputé RN. - Catherine Nay, éditorialiste politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 11 septembre, Laurent Gerra a notamment imité Bernard-Henri Lévy, Jean-Luc Mélenchon et Jean-Michel Apathie. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Sébastien Lecornu est nommé Premier ministre, succédant à François Bayrou, dans un contexte de tensions politiques et de mécontentement des chefs d'entreprise face à la situation économique difficile.Le Rassemblement National se dit prêt à laisser une chance au nouveau Premier ministre, mais pose des conditions comme l'absence d'augmentation d'impôts ou de baisse du pouvoir d'achat.À gauche, la nomination de Lecornu est rejetée, qualifiée de "triste comédie" par Jean-Luc Mélenchon.Les chefs d'entreprise, confrontés à une situation économique très difficile, expriment leur désarroi et appellent à un changement urgent de la situation.Une importante mobilisation est prévue le 10 septembre, avec 80 000 policiers et gendarmes déployés pour tenter d'empêcher les blocages.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les forces de l'ordre ont procédé à près de 200 interpellations dans le cadre d'actions de blocage lors de la mobilisation sociale appelée "Bloquons-Tout", jugée non citoyenne par le ministre de l'Intérieur.Le leader de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, est pointé du doigt par Laurent Wauquiez pour "nourrir le chaos" et "espérer la révolution".La Russie a lancé 458 drones et missiles sur l'Ukraine, dont 8 ont violé l'espace aérien polonais, suscitant la condamnation du président français Emmanuel Macron.L'équipe de France de football a remporté un match de qualification pour la Coupe du Monde 2026 contre l'Islande.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tal y como estaba previsto, esta semana ha caído el Gobierno francés en la moción de confianza que François Bayrou presentó a la Asamblea Nacional hace unos días. El de Bayrou es el segundo Gobierno fulminado por el parlamento en menos de un año. El primero, presidido por Michel Barnier, duró tres meses, el de Bayrou ha durado nueve. Esto agudiza la parálisis política en un momento en que las finanzas públicas están en una situación crítica. El déficit público podría alcanzar el 6% este año y la deuda pública ya supera el 114% del PIB. Los intereses de la deuda, de hecho, consumen ya más recursos que el presupuesto de defensa, lo que permite hacernos una idea de la gravedad de la crisis. Bayrou, al igual que su predecesor, trató de sacar adelante un presupuesto que incorporaba un ligero ajuste de gasto, pero los partidos populistas de izquierda y derecha se han negado a aprobarlo. La fragmentación de la Asamblea Nacional, dividida en tres bloques irreconciliables (los centristas de Macron con 210 escaños, la izquierda con 192 escaños y la Agrupación Nacional de Marine Le Pen con 138 escaños), imposibilita la gobernabilidad. Los centristas rechazan subir impuestos, la extrema izquierda se opone a recortes en el estado de bienestar, y la extrema derecha culpa a la inmigración y quiere reducir los fondos que se entregan a la UE. Esta polarización hace imposible cualquier tipo de acuerdo, empezando por el de los presupuestos del Estado. La caída de Bayrou obliga a Macron a nominar a un nuevo primer ministro, que deberá ser investido por la Asamblea y lograr apoyos para aprobar el presupuesto de 2026 antes de fin de año. El país enfrenta además un "otoño caliente" con movilizaciones callejeras de izquierda y derecha contra los recortes. La opinión pública, cada vez más frustrada, alimenta el discurso de los partidos en ambos extremos del espectro, que piden elecciones anticipadas. La extrema izquierda exige incluso la dimisión de Macron y que los franceses sean llamados a las urnas cuanto antes para renovar las dos cámaras y al inquilino del palacio del Elíseo. Las encuestas indican que unas elecciones anticipadas no resolverían el problema ya que la Asamblea seguiría fragmentada. El adelanto electoral del año pasado, decidido por Macron para frenar el ascenso de la Agrupación Nacional tras su victoria en las elecciones europeas, resultó en una pérdida de 86 escaños para su partido y en una Asamblea ingobernable. Entretanto, los costes de financiación de Francia superan a los de Grecia y se igualan a los de Italia. Se espera que Fitch Ratings rebaje la calificación crediticia del país esta misma semana. Macron enfrenta el dilema de nominar a un primer ministro que pueda sobrevivir en una Asamblea tan dividida. Entre los candidatos de su bloque hay varios ministros, pero todos tendrían dificultades para obtener apoyo de la oposición. La izquierda, liderada por los socialistas, propone un presupuesto alternativo con impuestos más altos para los ricos y la derogación de la reforma de pensiones, dos medidas que Macron rechaza. Pero aunque Macron cediese, un Gobierno socialista podría ser muy efímero sin el apoyo sostenido de La Francia Insumisa de Jean-Luc Mélenchon. Quien si podrían capitalizar unas elecciones anticipadas es la Agrupación Nacional de Marine Le Pen y Jordan Bardella, pero su vinculación con figuras polémicas en Francia como Donald Trump y la condena de Le Pen por malversación podrían volverse en su contra. Para el expresidente Nicolas Sarkozy unas legislativas darían una mayoría clara a Le Pen. Para él es la única salida, aunque eso implicaría el fracaso del proyecto político de Macron que, tras ocho años en el poder, ve cómo su presidencia total ha roto el equilibrio de la Quinta República. El resultado es una crisis política y económica para la que nadie tiene una solución clara. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:20 Francia ingobernable 33:54 Contra el pesimismo - https://amzn.to/4gm1a4S 35:45 ¿Es viable el estado del bienestar? 43:04 El GPS de von der Leyen 49:31 La heladería vandalizada · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #francia #macron Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
C dans l'air du 9 septembre 2025 - Après la crise, le spectre du blocageFrançois Bayrou a remis sa démission ainsi que celle de son gouvernement à Emmanuel Macron ce mardi en milieu de journée, au lendemain d'un vote sans appel à l'Assemblée nationale. Lundi, 364 députés ont voté contre la confiance, y compris au sein du bloc commun.Face à ce désaveu, tous les regards se tournent désormais vers le chef de l'État, confronté à nouveau à la tâche de nommer un nouveau Premier ministre capable d'éviter une censure rapide. Cette équation s'avère d'autant plus délicate que la popularité du président de la République est au plus bas dans les sondages et que le climat politique est électrique.Du côté des partis, les socialistes se disent « disponibles », tandis que les écologistes souhaitent un Premier ministre issu du Nouveau Parti écologiste (NFP). Marine Le Pen, pour le Rassemblement national, réclame une « dissolution ultra rapide ». Chez les Insoumis, Jean-Luc Mélenchon appelle à la démission d'Emmanuel Macron.Parallèlement, le mouvement « Bloquons tout » se prépare. Des pots de départ de François Bayrou ont été organisés partout en France, comme un avant-goût de la journée du 10 septembre où l'on annonce blocages, boycotts et grèves. Difficile néanmoins de mesurer l'ampleur du mouvement qui s'organise et dont l'un des enjeux sera la participation de la jeunesse. Plusieurs syndicats étudiants ont, ce dernier jour, décidé de rejoindre le mouvement « Bloquons tout ». Ils alertent notamment sur la précarité des étudiants. Nos journalistes sont allés à leur rencontre. Alors, qui pour succéder à François Bayrou à Matignon ? Blocages des axes routiers, grèves… À quoi faut-il s'attendre le 10 septembre ? Les étudiants vont-ils rejoindre le mouvement « Bloquons tout » ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologueMaître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP- Aline LECLERC (en duplex) - Reporter – Le Monde
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la colère qui monte dans le pays, Jean-Luc Mélenchon qui s'emporte contre Olivier Faure et les forces de l'ordre prennent les menaces de blocage au sérieux. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Mobilisation sociale attendue avec 100 000 personnes dans les rues et 80 000 policiers et gendarmes mobilisés pour encadrer le mouvement, craintes des commerçants face aux risques de violences.Démission de François Bayrou, le ministre de la Justice, et spéculations sur son possible remplacement par Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, à Matignon.Réactions mitigées au sein du Parti Socialiste face à cette hypothèse, certains députés socialistes restant fidèles à Jean-Luc Mélenchon et au Front Populaire.Découverte de têtes de cochons devant plusieurs mosquées à Paris, une enquête est ouverte.Attaque aérienne israélienne contre des responsables du Hamas au Qatar, avec des craintes pour le sort des otages détenus par l'organisation.Match de l'équipe de France de football contre l'Islande dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde 2026.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 30 août 2025 - Bayrou peut-il encore sauver sa tête ? « J'exercerai mon mandat jusqu'à son terme ». Emmanuel Macron a répondu à ceux qui évoquent une présidentielle anticipée après la très probable chute de son Premier ministre le 8 septembre. Une manière de tordre le cou aux menaces de destitutions lancées par Jean-Luc Mélenchon. Le chef de l'Etat n'a en revanche rien dit sur la possibilité d'une nouvelle dissolution, se contentant de soutenir le locataire de Matignon, et de louer son budget « lucide et courageux ».Reste donc dix jours à François Bayrou pour tenter de convaincre les parlementaires de voter la confiance. Mais la gauche et le RN semble avoir déjà tourné la page de ce gouvernement. Hier soir, les Socialistes ont présenté un budget alternatif (basé sur une taxation des très hauts patrimoines), et se sont dit prêts à prendre le relais à Matignon. La rentrée sera en tout cas agitée, entre crise politique et calendrier social chargé. Les syndicats se sont mis d'accord sur une journée de mobilisation le 18 septembre.Mais ce qui inquiète le gouvernement est l'ampleur que pourrait prendre le mouvement « Bloquons Tout », qui prévoit de mettre le pays à l'arrêt le 10 septembre. Ce mouvement, qui a émergé au sein l'extrême-droite et dans les sphères complotistes, séduit maintenant la gauche. C dans l'air est allé à la rencontre d'anciens Gilets Jaunes de Besançon. Financièrement pris à la gorge, ils prévoient de se mobiliser avec autant de ferveur qu'en 2018.Pendant ce temps, en Champagne, les viticulteurs craignent pour l'avenir. Avec des vendanges démarrées prématurément, et des droits de douane de 15% imposés par Trump, ils redoutent que l'instabilité politique à venir n'aggrave encore la situation. L'activité économique a déjà ralenti, c'est ce qu'ils observent auprès de leurs clients. Les ventes baissent, ne faisant qu'accroître leur colère envers une classe politique incapable de dialoguer pour l'intérêt collectif. Alors, Bayrou a-t-il encore une chance de sauver sa tête le 8 septembre ? Jusqu'où ira le mouvement « Bloquons Tout » ? Comment l'Etat peut-il aider les viticulteurs ? LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint du service politique du Parisien - Aujourd'hui en France- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au Point- Rachel GARRAT-VALCARCEL - Journaliste politique- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
C dans l'air du 26 août 2025 – Bayrou: hara-kiri ou stratégie?« Bayrou s'auto-dissout ». La Une de Libération aujourd'hui reflète l'événement politique qui s'annonce le 8 septembre. En sollicitant ce jour-là un vote de confiance à l'Assemblée nationale, le Premier ministre prendra les devants en mettant son poste en jeu. Mais le RN et le NFP ont déjà annoncé qu'ils voteront contre. La chute de François Bayrou aura donc lieu dans deux semaines si aucun amendement au budget ne parvient à convaincre les oppositions.Le renversement du gouvernement semble toutefois déjà acté dans les esprits. Marine Le Pen en appelle à une nouvelle dissolution, la seule issue à ses yeux pour sortir de l'instabilité politique. Jean-Luc Mélenchon, lui, vise la destitution de Macron, « le responsable de la crise ». Il appelle de ses vœux un premier ministre insoumis, et au passage à une sixième République.Quelles seront les conséquences économiques de cette période qui s'annonce ? C dans l'air est allé à la rencontre de Michel Picon, le président de U2P, l'Union des Entreprises de Proximité. Il se dit « très inquiet » de la période d'instabilité à venir, la consommation risque de faiblir et d'aggraver les difficultés. Il rappelle que les acteurs économiques ont besoin de constance. Pour lui, François Bayrou a manqué d'habileté.Pendant ce temps, le mouvement « Bloquons tout » continue de se préparer. Leur journée d'action reste prévue le 10 septembre malgré la probable chute du gouvernement deux jours plus tôt. La rentrée risque d'être mouvementée car les taxis devraient eux se mettre en grève dès le 5, et les pharmaciens le 18. Des journées de mobilisation se préparent également dans les Hôpitaux de Paris et le secteur ferroviaire. Si les forces de gauche soutiennent « Bloquons tout », les syndicats restent prudents face à ce genre de mouvement spontané.Alors, est-il inévitable que Bayrou tombe le 8 septembre ? L'instabilité politique à venir plombera-t-elle l'économie ? Le pays sera-t-il à l'arrêt en septembre ?LES EXPERTS :Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po, ancien directeur du CEVIPOF et spécialiste de sociologie électoraleDominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction des EchosNathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique du PointAnne-Charlène BEZZINA - Politologue, constitutionnaliste et maître de conférences en droit public
Le week-end dernier ont eu lieu les université d'été de la France Insoumise, des Ecologistes et du Parti Communiste. Olivier Marchais et Jean-Luc Mélenchon étaient évidemment de la partie. Les deux hommes ont l'air d'avoir apprécié l'événement...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 25 août, Laurent Gerra a notamment imité Olivier Marchais, Jean-Luc Mélenchon et François Bayrou. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 25 août 2025 – "Bloquons tout", dette...La France entre dans le durUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes cet après-midi, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié. Le Rassemblement national a prévenu qu'il n'hésitera pas à faire tomber le gouvernement si la copie n'est pas revue.Tout pourrait se jouer lors de la rentrée parlementaire, qui aura lieu le 22 septembre. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent en effet houleux. Cette cure de rigueur passe par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réformer une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les syndicats agitent le spectre de journées de mobilisation. 70% des Français y seraient favorables.Mais ce qui inquiète le gouvernement est l'ampleur que pourrait prendre le mouvement #BloquonsTout, qui prévoit de mettre le pays à l'arrêt le 10 septembre. Ce mouvement, qui a émergé au sein l'extrême-droite et dans les sphères complotistes, séduit maintenant la gauche. C dans l'air est allé à la rencontre d'anciens Gilets Jaunes de Besançon. Financièrement pris à la gorge, ils prévoient de se mobiliser avec autant de ferveur qu'en 2018.Pendant ce temps, au Sénat, une commission d'enquête s'est penchée sur les missions des agences de l'Etat (France Travail, Ademe, etc), souvent accusées de trop coûter. Mais après cinq mois de travail, la sénatrice LR Christine Lavarde, rapporteure de la Commission, n'identifie que 540 millions d'euros d'économies possibles pour le budget 2026, loin des cinq milliards proposés par Laurent Wauquiez.Alors, face au risque de censure, Bayrou devra-t-il revoir son budget ? Jusqu'où ira le mouvement Bloquons Tout ? Les agences de l'Etat coûtent-elle trop cher ?LES EXPERTS :Philippe DESSERTINE- Directeur de l'institut de Haute financeCaroline MICHEL-AGUIRRE- Grand reporter au magazine L'ObsLaurence DE NERVAUX - Directrice générale de Destin communThomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 23 août 2025 – « Bloquons tout » : la menace qui inquiète BayrouUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes ce lundi 25 août, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, et marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié.La rentrée parlementaire aura lieu le 22. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent houleux. Ce plan de rigueur passe notamment par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réforme une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les Français pourraient donc descendre dans la rue. 70% seraient favorables à une manifestation.Les élus locaux sont aussi en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Les récentes canicules n'ont pas amélioré la situation économique du pays. Les vagues de chaleur et les sécheresses à répétition ont un coût important. Transports et chantiers ralentis, salariés exténués… Les canicules représentent un coût de frein pour l'économie. Une journée avec des températures supérieures à 32 ° serait équivalent à une demi-journée de grève. Dans le monde agricole aussi les conséquences sont nombreuses, entre perte et récoltes prématurées. Alors, Bayrou pourra-t-il faire passer son budget ? Les Français vont-ils suivre le mouvement « Bloquons tout » ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? Comment gérer le coût des aléas climatiques ?LES EXPERTS :Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction à L'Usine NouvelleValérie LECASBLE - Editorialiste politique pour LeJournal.infoAurore MALVAL - Journaliste politique, rédactrice en chef adjointe au web pour le journal MarianneBernard SANANÈS - Politologue et président de l'institut de sondage Elabe
C dans l'air du 23 août 2025 – « Bloquons tout » : la menace qui inquiète BayrouUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes ce lundi 25 août, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, et marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié.La rentrée parlementaire aura lieu le 22. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent houleux. Ce plan de rigueur passe notamment par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réforme une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les Français pourraient donc descendre dans la rue. 70% seraient favorables à une manifestation.Les élus locaux sont aussi en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Les récentes canicules n'ont pas amélioré la situation économique du pays. Les vagues de chaleur et les sécheresses à répétition ont un coût important. Transports et chantiers ralentis, salariés exténués… Les canicules représentent un coût de frein pour l'économie. Une journée avec des températures supérieures à 32 ° serait équivalent à une demi-journée de grève. Dans le monde agricole aussi les conséquences sont nombreuses, entre perte et récoltes prématurées. Alors, Bayrou pourra-t-il faire passer son budget ? Les Français vont-ils suivre le mouvement « Bloquons tout » ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? Comment gérer le coût des aléas climatiques ?LES EXPERTS :Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction à L'Usine NouvelleValérie LECASBLE - Editorialiste politique pour LeJournal.infoAurore MALVAL - Journaliste politique, rédactrice en chef adjointe au web pour le journal MarianneBernard SANANÈS - Politologue et président de l'institut de sondage Elabe
C dans l'air du 21 août 2025 - Netanyahu / Trump : leur plan pour Gaza L'étau se resserre dans l'enclave palestinienne. Dans le cadre du plan de Netanyahu visant à conquérir Gaza, les autorités israéliennes ont détaillé comment elles étendront leur emprise sur la population gazaouie. L'armée se préparerait à une « opération prolongée de plusieurs mois ». Selon Effie Defrin, porte-parole de l'armée israélienne, Tsahal aurait déjà entamé les opérations militaires en périphérie de Gaza-ville.Si le Hamas a accepté un projet de cessez-le-feu proposé par l'Egypte et le Qatar, le gouvernement israélien n'y a toujours pas répondu. Les préparations militaires actuelles laissent peu d'espoir. D'autant que l'État hébreu a donné son accord à un projet de colonisation d'une zone située à l'est de Jérusalem, qui couperait la Cisjordanie en deux et compromettrait plus encore la création d'un État palestinien. Ce qui n'est pas pour plaire à Emmanuel Macron, qui reconnaitra en septembre cet état. Netanyahu l'accuse de nourrir l'antisémitisme. Pendant ce temps, le carnage continu, et la situation humanitaire est désastreuse. C dans l'air est allé à la rencontre d'une coordinatrice de Médecins sans Frontières. De retour de Gaza, elle décrit une famine et une urgence sanitaire extrême, avec un grand manque de moyen dans les hôpitaux. Les Gazouis sont surtout incapables de fuir, et la communauté internationale semble impuissante.En France, les actes antisémites se multiplient depuis le début du conflit. La semaine dernière, c'est un arbre à la mémoire d'Ilan Halimi qui a été coupé de façon malveillante. Ce jeune homme de confession juive avait été torturé à mort en 2006. La France insoumise, elle, est pointée du doigt pour ses dérapages à répétitions. Le député socialiste Jérôme Guedj dénonce une dérive de Jean-Luc Mélenchon, qui attiserait volontairement l'antisémitisme. Alors, peut-on stopper Netanyahu dans son plan de conquête de Gaza ? Quelle est la situation humanitaire en Palestine ? Les Insoumis attisent-ils l'antisémitisme ?LES EXPERTS :Anthony BELLANGER : Editorialiste à Franceinfo TV, spécialistes des questions internationalesAlexandra SCHWARTZBROD : Directrice adjointe de la rédaction de LibérationAlain PIROT : Journaliste et réalisateur, spécialiste des questions de défenseMay MAALOUF : Politologue, spécialiste du Moyen Orient, chercheure associée à l'iReMMO
C dans l'air l'invité du 18 août 2025 avec Gael Sliman, président et cofondateur de l'institut de sondages Odoxa.Le mouvement citoyen "bloquons tout", qui prend essor sur les réseaux sociaux, réunit des personnes d'horizons divers, qui appellent à "tout bloquer" en France le 10 septembre en se cristallisant autour des coupes budgétaires voulues par François Bayrou. Une initiative qui prend de l'ampleur sur les réseaux sociaux. Hier, dans la Tribune dimanche, le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a publié une tribune appelant à soutenir ce blocage. Ce matin, le coordinateur du mouvement, Manuel Bompard, a appelé à participer au blocage pour "empêcher le plan Bayrou de s'appliquer". "Je ne crois pas du tout que les revendications qui émergent de ce mouvement soient positionnées à l'extrême droite. On a dit la même chose au moment des mobilisations des gilets jaunes et le mouvement des gilets jaunes s'est traduit par des revendications pour plus de démocratie, pour plus de justice fiscale, pour plus de justice sociale", a-t-il déclaré.Gaël Sliman, président et cofondateur de l'institut de sondages Odoxa, décryptera avec nous le mouvement "Bloquons tout", et en analysera les ressorts. Un appel à la mobilisation dès la rentrée, qui intervient alors que les mesures budgétaires annoncées en juillet par François Bayrou sont particulièrement impopulaires. Ainsi, 73% des Français sont opposés à la suppression de deux jours fériés, et 74% aux économies dans le secteur de la santé, selon un sondage Odoxa pour Le Figaro.L'exécutif s'attend donc à une rentrée sociale particulièrement mouvementée, avec également le risque d'une censure contre le gouvernement.