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Tony Saunois, CWI Secretary, discusses his review of Jean-Luc Mélenchon's book, “Now the People – Revolution in the 21st Century”, with Sean Figg, from the CWI's International Secretariat. Mélenchon and the movement he leads, La France Insoumise (Frace Unbowed), are well positioned to play a critical role in how the crisis of French capitalism develops in the next period. To advance the interests of the French working class in the crisis the issues of program, organisation and strategy are crucial. In this podcast Tony and Sean look at Mélenchon's position on these crucial questions.
Au moment où l'on entend les siens s'écharper à l'Assemblée, le fondateur de La France insoumise semble rester silencieux, avec seulement une présence minime sur les réseaux sociaux. Olivier Beaumont nous explique pourquoi. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : -Marc Menant -Sabrina Medjebeur Invité : -Gérault Verny, député UDR d'Aix-en-Provence Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Can the Centre hold in France?Nick Cohen discusses the dire state of French politics with journalist, author & academic Agnès Poirier. They discuss the chaos of politics in France over the last years which has seen 4 prime ministers come and go in barely a year. Extremists on the far right and far left are becoming ever more dominant - their voices ever more shrill.In 2017, Emmanuelle Macron became the youngest man since Napoloeon to head the French state and to become President of France, voted in off the back of his own centrist En Marche movement. In 18 months' time, Macron's second term and presidential career come to an end. And there are growing fears about what next presidential elections of May 2027 could herald a major extremist upset, as disappointed French political opinion seems to rush to the extremes of either the hard left firebrand Jean-Luc Mélenchon - defacto leader of La France Insoumise - or Marine Le Pen and the far right Le Rassemblement National (The National Ralley, formerly the National Front).Agnès Poirier explains the disillusionment and the current political landscape divided among Islamified left, failed Macron-centered centre, and radical right factions. Agnès and Nick explore Macron's challenges in maintaining power despite a lack of majority support, the rise of extreme parties, and the shifting dynamics within the French socialist movement. The discussion concludes with an examination of France's welfare system, the transformation of the National Rally under Marine Le Pen, and concerns about the potential rise of far-right leaders in future elections.French are more scared of hard left that far rightWhat if the Centre continues to collpase and the French are left with a choice between extreme right and left? Agnes Poirier says people are more concerned and worried about Jean-Luc Mélenchon and the left than the far right of Marine Le Pen, saying, "They [the Left] they go to the National Assembly dressed in t-shirts, um, or in football, shirts; they insult each other. They just want insurrection. They look dangerous. They speak dangerous, and they don't care. Whereas Marine Le Pen party is much more clever in the way they present themselves. They don't insult people. They're not loud; they put on a suit, and so at least on the surface, they are not scaring people and, and it works. It does work. Um, you'd rather have somebody who's not insulting you or shouting at you the way they do with their hard left." Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Que ce soit en Italie en Allemagne, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, le populisme gagne du terrain et de l'influence. En France, lors de la dernière élection présidentielle, en 2022, les trois candidats considérés comme appartenant à ce type de formation politique, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour, ont totalisé 52% des voix."Le populisme fait partie de la culture politique française comme un magma stagnant sur un volcan", écrit Marc Lazar, historien et sociologue, professeur émérite des universités, dans "Pour l'amour du peuple - Histoire du populisme en France, XIXe-XXe siècles." (éd. Gallimard, 2025). Qu'est-ce que le populisme ? Et comment définir une notion si "vague, compliquée, floue" tantôt utilisée pour disqualifier un candidat, tantôt revendiquée par un autre pour se dire proche du peuple ? Retrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de culture ci-dessous :Visages : https://audmns.com/YNRfPcJJuste ciel · RCF Cœur de Champagne : https://audmns.com/TyoHCKoLa suite de l'Histoire : https://audmns.com/IlGYVbxLa suite de l'Histoire, l'intégrale : https://audmns.com/vwgmJNuTous mélomanes : https://audmns.com/oZJUpqCMarche & rêve : 8 personnalités transformées par la marche : https://audmns.com/fLjYOLLEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 15 octobre, Laurent Gerra a notamment imité Jean-Luc Mélenchon, François Lenglet et Benjamin Castaldi. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:25:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - L'invité du Grand entretien de Nicolas Demorand et Benjamin Duhamel est Jean-Luc Mélenchon, fondateur de la France Insoumise, au lendemain de la nomination d'un nouveau gouvernement Lecornu pour succéder au précédent, démissionnaire au bout de seulement 14 heures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Chroniqueurs : -Gauthier le Bret, journaliste politique -Christophe Bordet, rédacteur en chef Europe 1 -Caroline Ithurbide, animatrice -Gérard Carreyrou, journaliste Invité : -Pierre Lellouche, ancien Ministre et spécialiste des questions internationales Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quatro dias bastaram para que o primeiro-ministro da França caísse — e voltasse, como se nada tivesse acontecido. A crise se arrasta, entre alianças movidas pelo medo e um presidente que repete a mesma estratégia, à espera de um resultado diferente. Thomás Zicman de Barros, analista político No domingo, 5 de outubro, após 26 dias de negociações, o primeiro-ministro Sébastien Lecornu anunciou seu governo. Havia dúvida se a oposição — sobretudo o Partido Socialista — tentaria censurá-lo, mas nem foi preciso. Em apenas doze horas, o gabinete implodiu. O golpe veio de dentro: aliados do próprio campo presidencial se rebelaram, a começar pelo líder da direita tradicional e ministro do Interior Bruno Retailleau — um aspirante à sucessão de Macron que parece ter reinventado a lógica política. Se já se conhecia o “apoio sem participação” no governo, Retailleau inaugurava a “participação sem apoio”. Na manhã seguinte, diante da desintegração da base e da impossibilidade de aprovar o orçamento, Lecornu apresentou sua demissão. Era o quarto chefe de governo a cair em menos de dois anos. Seu antecessor, François Bayrou, havia durado dez meses antes de perder um voto de confiança. Michel Barnier, o anterior, caíra por uma moção de censura. A origem dessa instabilidade é conhecida. Após sua reeleição em 2022, Emmanuel Macron conseguiu apenas uma maioria relativa no Parlamento. Em 2024, buscando recuperar o controle, decidiu dissolver a Assembleia Nacional de surpresa. Mas o tiro saiu pela culatra: o presidente voltou das urnas com ainda menos deputados. Desde então, cada governo nasce minoritário, dependente de alianças contraditórias e fadado à implosão. A crise, que começou como um impasse parlamentar, tornou-se uma espécie de paralisia estrutural. Com a saída de Lecornu, reacendeu-se a hipótese de uma nova dissolução — e, junto dela, o coro pela renúncia do próprio Macron. Segundo as pesquisas, 73% dos franceses querem que ele deixe o cargo. Até Édouard Philippe, ex-primeiro-ministro — e outro provável candidato a sucedê-lo — declarou que a solução poderia ser uma eleição presidencial antecipada. O medo como método Na segunda-feira, Macron foi visto caminhando sozinho pela beira do Sena. Àquela altura, o presidente parecia encenar sua própria solidão política. Pediu a Lecornu 48 horas para “consultar as forças políticas” e trazer opções. Na noite de quarta, o premiê demissionário deu uma entrevista melancólica: disse sair frustrado, mas satisfeito por ter “feito o possível”. E deixou escapar o diagnóstico mais preciso da semana: não há maioria para governar, mas há maioria absoluta contra uma nova dissolução. É esse medo que sustenta o sistema. Nenhum partido — exceto a extrema direita, favorita nas pesquisas — quer voltar às urnas. Os macronistas temem ser varridos. A esquerda, dividida e em crise, também teme perder terreno. Quando o espectro da dissolução voltou a pairar, Jean-Luc Mélenchon propôs uma reunião de toda a esquerda. Os socialistas recusaram. Assim, a Nova Frente Popular foi finalmente enterrada, em meio a acusações mútuas de traição e irresponsabilidade. A esquerda francesa, que havia se unido em torno da esperança de uma alternativa, agora se esfarela diante do ressentimento. Na sexta-feira à noite, o país recebeu embasbacado a notícia de que Macron havia renomeado Lecornu. O mesmo primeiro-ministro que havia renunciado quatro dias antes voltou ao cargo, como se nada tivesse acontecido. A política francesa entrou oficialmente em modo “Dia da Marmota”, como no filme com Bill Murray: as mesmas cenas, as mesmas falas, os mesmos personagens, revividos até a exaustão. O presidente tenta repetir a fórmula — um governo de “união” sustentado pelo medo da dissolução — esperando resultados diferentes. É improvável que dê certo. A nova versão do gabinete já nasce sob ameaça: 269 deputados se declararam prontos a votar uma moção de censura, e faltam apenas 21 para que Lecornu caia — de novo. Um simples gesto, à direita ou à esquerda, bastaria para ejetá-lo do cargo pela segunda vez. Após uma reunião marcada por ofensas, Retailleau e seus aliados decidiram não integrar o governo, mas tampouco censurá-lo. Já os socialistas, fiéis à sua reputação, parecem sempre prontos a sentar-se à mesa com os macronistas em busca de concessões que jamais vêm. A última delas — a ideia de suspender temporariamente a reforma da previdência — não convenceu ninguém: irritou os aliados, dividiu o governo e reacendeu o fogo sob a cadeira do primeiro-ministro. Um impasse que se repete Lecornu governa sobre escombros, tentando erguer uma “coalizão negativa”, unida apenas pelo medo de novas eleições. Mas o país parece exaurido. De forma cada vez mais acelerada, novos gabinetes nascem e morrem um após o outro, em um ritual de desgaste que já não surpreende ninguém. “É preciso que tudo mude para que tudo continue como está”, dizia O Leopardo, de Giuseppe Lampedusa. Na França de Macron, a fórmula parece ter se invertido: nada muda para que nada mude. O presidente sobrevive por inércia, à frente de um sistema que já não governa — apenas se prolonga. E a pergunta que paira sobre Paris é se essa paralisia poderá resistir aos dezoito meses que faltam para o fim do mandato — ou se, antes disso, será o próprio Macron a cair.
Peut-on changer le monde en chuchotant ? A priori, l'ASMR n'a RIEN à voir avec l'écologie et la solidarité !Pourtant, même si c'est d'abord pour rire, Maël Coutand double des séquences politiques en chuchotant sur son compte instagram ASMR Politics.Et mine de rien, ça fait des millions de vues, initie des gens à la politique et fait voter des gens.De l'ASMR engagé ! Qui l'eût cru ?SOMMAIRE 00:00 Maël Coutand d'ASMR Politics03:08 Questions mitraillette07:35 Ségolène Royal contre le click & collect08:58 Jean-Luc Mélenchon : La République c'est moi !10:55 Pourquoi l'ASMR politique cartonne ?16:51 Le programme du NFP en ASMR24:30 : Philippe Poutou dézingue Lepen et Fillon28:48 La 1e interview politique en ASMR31:18 Le paradoxe de l'ASMR33:49 L'humour dans une élection38:36 L'avenir de ASMR politics43:44 Pourquoi ça te tient à cœur ?__Le site officiel de Soif de Sens.Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emmanuel Macron a beau faire savoir qu'il n'abandonnera jamais son mandat avant sa fin, le scénario d'un départ anticipé se fait de plus en plus sonore. Limité aux seuls membre de La France insoumise il y a encore quelques mois, l'appel à démission du chef de l'État est désormais de plus en plus repris des deux côtés du spectre politique. Diluée dans les multiples rebondissements politiques des derniers jours, la déclaration n'a sans doute pas eu le retentissement attendu. Mais quand, mardi 7 octobre, Édouard Philippe prend la parole sur RTL au lendemain de la démission surprise de Sébastien Lecornu, c'est pour demander à Emmanuel Macron de partir « de façon ordonnée et digne ». Objectif : mettre fin à la crise politique en cours depuis la dissolution de l'été 2024. « Un choix de convenance » du président, selon le premier des huit premiers ministres de l'ère macroniste. Édouard Philippe préconise au chef de l'État une démission après l'adoption du budget 2026. C'est la première fois qu'un baron du bloc central envisage publiquement une telle issue. Si rapidement, la proposition a été traitée par le mépris du côté des derniers fidèles d'Emmanuel Macron, dénonçant les propres ambitions présidentielles d'Édouard Philippe, le choc n'en reste pas moins immense. Jusque-là, la petite musique du départ anticipé venait surtout de Jean-Luc Mélenchon Depuis plus d'un an maintenant, les insoumis jugent cette issue inévitable. Quelques jours seulement après les législatives anticipées de 2024, un haut dirigeant de LFI estimait que le sujet de la démission ou destitution ne ferait que monter. « On est juste les premiers à le dire », souriait-il. D'où l'accueil très « positif » des déclarations d'Édouard Philippe. Jean-Luc Mélenchon a d'ailleurs repris, vendredi 10 octobre, le terme de « présidentielle anticipée ». Le leader insoumis estime toujours qu'une nouvelle dissolution donnerait la même Assemblée nationale, et que donc seul un départ du chef de l'État peut remettre les compteurs à zéro. Mais il acte aussi l'échec de la voie institutionnelle, les insoumis avaient déposé deux motions de destitution, sans succès. Reste que l'objectif premier est accompli : celui de placer dans l'atmosphère l'idée du départ anticipé du président. D'autres mouvements politiques reprennent désormais l'hypothèse du départ d'Emmanuel Macron Le Rassemblement national, notamment, plaide pour un départ du président de la République, même si l'inéligibilité de Marine Le Pen en fait forcément un plan B. Le RN pousse en priorité pour une dissolution, espérant emporter une majorité en cas de retour aux urnes. Mais l'hypothèse d'un départ anticipé d'Emmanuel Macron fait désormais partie des éléments de langage du mouvement d'extrême droite. À gauche, une trentaine de députés écologistes et communistes a signé la dernière motion de destitution des insoumis. Et les deux partis pourraient basculer définitivement si la crise politique se poursuit. Enfin, des voix s'élèvent aussi à droite et au centre, à l'image du président de la région Normandie Hervé Morin, qui avait rejoint le camp de l'appel à la démission dès le mois de septembre. Toutes et tous se justifient par le blocage des institutions depuis un an, mais aussi par l'impopularité croissante d'Emmanuel Macron. Selon un sondage publié mercredi par RTL, 73% des Français se déclarent plutôt, ou tout à fait favorables, à la démission du président. À lire aussiÀ la Une: Emmanuel Macron, en pleine crise politique
Voici un extrait de l'épisode de demain avec Peut-on changer le monde en chuchotant ? A priori, l'ASMR n'a RIEN à voir avec l'écologie et la solidarité !Pourtant, même si c'est d'abord pour rire, Maël Coutand double des séquences politiques en chuchotant sur son compte instagram ASMR Politics.Et mine de rien, ça fait des millions de vues, initie des gens à la politique et fait voter des gens.De l'ASMR engagé ! Qui l'eût cru ?SOMMAIRE 00:00 Maël Coutand d'ASMR Politics03:08 Questions mitraillette07:35 Ségolène Royal contre le click & collect08:58 Jean-Luc Mélenchon : La République c'est moi !10:55 Pourquoi l'ASMR politique cartonne ?16:51 Le programme du NFP en ASMR24:30 : Philippe Poutou dézingue Lepen et Fillon28:48 La 1e interview politique en ASMR31:18 Le paradoxe de l'ASMR33:49 L'humour dans une élection38:36 L'avenir de ASMR politics43:44 Pourquoi ça te tient à cœur ?__Le site officiel de Soif de Sens.Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 4 octobre 2025 - La semaine cruciale de LecornuIl renonce à utiliser le 49.3. Sébastien Lecornu a pris la parole ce vendredi depuis l'hôtel de Matignon pour tenter de convaincre les oppositions de ne pas le censurer à la suite de son discours de politique générale (prévu ce 7 octobre). Mais si Marine Le Pen salue « un geste respectueux », Jean-Luc Mélenchon met en doute sa sincérité, « On te croit pas . Tu n'as pas l'intention de gouverner sans nous forcer le moment venu » a déclaré le leader insoumis.Alors que le nouveau gouvernement n'a toujours pas été annoncé, et que le projet de budget 2026 reste « peu précis » pour le Rassemblement national, « insuffisant » pour les socialistes, le risque est réel que la gauche et le RN fasse tomber le Premier ministre dès la semaine prochaine. Pendant ce temps, la colère sociale s'intensifie, cette attente ne faisant qu'alimenter l'exaspération des Français.Le pouvoir d'achat, lui, est une des préoccupations principales des Français, qui sont de plus en plus nombreux à avoir des fins de mois difficiles. Un secteur en pâtit : l'immobilier. 30% du budget des ménages est consacré au logement et en un an, le nombre de ventes immobilières a baissé de 17 %. Si acheter est difficile, louer n'est pas plus aisé, avec de lourdes conséquences sur tout un secteur.Au moment des Gilets jaunes, la colère sociale avait été consignée dans 20.000 cahiers de doléances, regroupant plus de 200.000 contributions qui n'ont jamais été publiées dans leur intégralité. Leur contenu reste pourtant d'actualité. C dans l'air est allé à la rencontre d'une archiviste indignée par le « mépris » avec lequel ces cahiers ont été traités.Alors, Lecornu peut-il éviter la censure ? Pourquoi le secteur immobilier est-il en crise ? Que sont devenus les cahiers de doléances des Français ?LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint au service politique du Parisien/Aujourd'hui en France - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions - Béatrice MATHIEU - Grand reporter à L'Express - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa
Deux juifs planifient un plan pour tuer Hitler, un professeur demande à ses élèves s'ils sont fans de Jean-Luc Mélenchon, et deux cannibales tombent nez-à-nez avec une jeune touriste. Tous les jours, en podcast, retrouvez une compilation des meilleures blagues de vos Grosses Têtes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce mercredi, il s'intéresse à la toute puissance de Jean-Luc Mélenchon à gauche. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
D'après un sondage Ifop Fiducial pour Sud Radio et L'Opinion publié, lundi 29 septembre, les potentiels candidats du camp présidentiel sont en train de gagner en popularité, particulièrement avec l'émergence de Raphaël Glucksmann. Ruth Elkrief pense que Jean-Luc Mélenchon n'est pas hors-jeu. Jean Castex, l'ancien Premier ministre et actuel PDG de la RATP, prendra le relais de Jean-Pierre Farandou à la direction du Groupe SNCF. Pascal Perri leur dit merci et donne du courage au nouveau directeur. Pour lui, il y a des présidents qu'il faut féliciter. Les soldats privés sont de retour, plus précisément, Erik Prince, le fondateur et ex-directeur de la célèbre et controversée armée privée Blackwater. Pour Abnousse Shalmani, Donald Trump est de retour et donc Erik Prince est aussi de retour, par la même occasion. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 27 septembre 2025 avec Elsa Faucillon, députée communiste de la 1ʳᵉ circonscription des Hauts-de-Seine.La condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison ferme dans l'affaire libyenne, assortie d'une exécution provisoire, a provoqué un séisme politique. Cette décision relance le débat sur l'indépendance de la justice et les accusations d'acharnement, alors que le Parti communiste français a dénoncé dans un communiqué « des pressions inacceptables sur la justice ».Sur le front économique, la gauche espérait des gestes d'ouverture de la part du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu. Mais, dans son entretien au Parisien, il a écarté un retour de l'ISF comme l'instauration de la taxe Zucman ainsi que l'abrogation de la réforme des retraites.Une orientation qui creuse les lignes de fracture, alors que de nouvelles mobilisations sociales sont déjà annoncées le 2 octobre à l'appel de l'intersyndicale. Dans ce contexte, Jean-Luc Mélenchon a appelé hier soir la gauche parlementaire à « rallier la censure insoumise ».Elsa Faucillon reviendra sur cette actualité mouvementée et éclaircira les positions de son parti, tant dans le cadre de l'union des gauches qu'il souhaite promouvoir que dans un climat politique marqué par les tensions et les incertitudes à l'approche de l'ouverture des travaux parlementaires et dans la perspective proche des municipales.
C dans l'air du 27 septembre 2025 - Retraites, Sarkozy, impôts : Lecornu se livreIl s'exprime enfin. Nommé Premier ministre le 9 septembre dernier, Sébastien Lecornu s'était fait quasi mutique pendant dix-huit jours. Il a rompu le silence hier dans un entretien accordé au journal Le Parisien-Aujourd'hui en France. Le locataire de Matignon a donné les premières orientations de la politique qu'il compte mener et a annoncé que son gouvernement serait nommé « avant le début des travaux parlementaires », prévus ce mercredi 1er octobre. Il a affirmé que les ministres qui veulent rentrer au gouvernement devront « endosser » le budget et « partager les grandes orientations du socle commun ».Le chef du gouvernement semble ainsi exclure le « débauchage » de personnalités issues du Parti socialiste. Car si Sébastien Lecornu a annoncé repartir « d'une feuille blanche » pour construire le budget, il s'est tout de même d'emblée prononcé contre la suspension de la réforme des retraites, et a dit ne pas croire que la taxe Zucman soit « la bonne réponse ». De quoi provoquer la colère de la gauche. « Manifestement, il a décidé de ne pas rester Premier ministre très longtemps », a ironisé le sénateur communiste Ian Brossat, qui a jugé les annonces de Sébastien Lecornu « honteuses ». Le Premier ministre « prend ce soir le risque de plonger notre pays dans le chaos politique et institutionnel », a réagi le Parti socialiste dans un communiqué. « Lecornu fait du Macron. Ni plus ni moins. Au moins c'est franc. Il est temps pour la gauche de l'hémicycle de rallier la censure insoumise », a pour sa part réagi hier soir sur le réseau social X le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon.Le RN n'est pas en reste. “Aujourd'hui, on est avec un Premier ministre qui fonce droit dans le mur”, a ainsi affirmé ce matin Thomas Ménagé, le porte-parole de son groupe à l'Assemblée. Comme LFI et le PS, le RN agite la menace d'une motion de censure. Après la condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison, le chef du gouvernement a par ailleurs tenu à exprimer son « amitié pour l'homme et sa famille ». Il était membre de la famille politique de l'ancien président avant de rejoindre Emmanuel Macron en 2017.Alors que le locataire de Matignon continue de consulter pour former son équipe, la colère sociale gronde et les agriculteurs espèrent peser sur les choix du prochain gouvernement. Il étaient à la manœuvre hier, à l'initiative de la FNSEA, syndicat majoritaire, et des Jeunes Agriculteurs. Une grande journée d'action était organisée à travers le pays. Ces syndicats n'avaient pas voulu participer au mouvement "Bloquons tout" du 10 septembre pour éviter toute récupération politique. Ils y ont préféré une mobilisation sur leurs propres revendications. Ces rassemblements avaient d'abord pour but de s'opposer à l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, approuvé, début septembre par la commission européenne.À l'Assemblée, face à la forte instabilité gouvernementale et à la perception négative de leur travail dans l'opinion, certains parlementaires, dépités, pensent à quitter leur mandat. C'est le cas d'Harold Huwart, député LIOT de la 3e circonscription d'Eure-et-Loir. Il raconte la crise vécue par de nombreux parlementaires, confrontés à l'incapacité d'obtenir des compromis, aux espoirs de changements déçus et épris d'un profond sentiment d'impuissance.Sébastien Lecornu peut-il éviter la censure ? Les agriculteurs peuvent-ils peser sur le gouvernement en cours de formation ? Quel rôle peuvent encore jouer les parlementaires dans cette situation de blocage politique ?LES EXPERTS :- Marcelo WESFREID - Rédacteur en chef adjoint du service politique - Le Parisien-Aujourd'hui en France- Agathe LAMBRET - Présentatrice du 8h30 - France Info- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point- Jean GARRIGUES - Historien, ^résident la commission internationale d'histoire des assemblées
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invités : - Marc Touati, économiste. - Jean Christophe Couvy, secrétaire national Unité - Gauthier Le Bret, journaliste politique CNEWS. - Mathieu Valet, eurodéputé RN. - Catherine Nay, éditorialiste politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les médias du service public font la promotion de la taxe Zucman et l'enquête sur les liens entre Jean-Luc Mélenchon et la Chine. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Marc Touati, économiste. - Jean Christophe Couvy, secrétaire national Unité - Gauthier Le Bret, journaliste politique CNEWS. - Mathieu Valet, eurodéputé RN. - Catherine Nay, éditorialiste politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée : Maud Bregeon, députée EPR (Ensemble pour la République) des Hauts-de-Seine Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 11 septembre, Laurent Gerra a notamment imité Bernard-Henri Lévy, Jean-Luc Mélenchon et Jean-Michel Apathie. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Sébastien Lecornu est nommé Premier ministre, succédant à François Bayrou, dans un contexte de tensions politiques et de mécontentement des chefs d'entreprise face à la situation économique difficile.Le Rassemblement National se dit prêt à laisser une chance au nouveau Premier ministre, mais pose des conditions comme l'absence d'augmentation d'impôts ou de baisse du pouvoir d'achat.À gauche, la nomination de Lecornu est rejetée, qualifiée de "triste comédie" par Jean-Luc Mélenchon.Les chefs d'entreprise, confrontés à une situation économique très difficile, expriment leur désarroi et appellent à un changement urgent de la situation.Une importante mobilisation est prévue le 10 septembre, avec 80 000 policiers et gendarmes déployés pour tenter d'empêcher les blocages.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les forces de l'ordre ont procédé à près de 200 interpellations dans le cadre d'actions de blocage lors de la mobilisation sociale appelée "Bloquons-Tout", jugée non citoyenne par le ministre de l'Intérieur.Le leader de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, est pointé du doigt par Laurent Wauquiez pour "nourrir le chaos" et "espérer la révolution".La Russie a lancé 458 drones et missiles sur l'Ukraine, dont 8 ont violé l'espace aérien polonais, suscitant la condamnation du président français Emmanuel Macron.L'équipe de France de football a remporté un match de qualification pour la Coupe du Monde 2026 contre l'Islande.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Laurent Wauquiez, président du groupe Les républicains à l'Assemblée nationale et député LR de la Haute-Loire Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tal y como estaba previsto, esta semana ha caído el Gobierno francés en la moción de confianza que François Bayrou presentó a la Asamblea Nacional hace unos días. El de Bayrou es el segundo Gobierno fulminado por el parlamento en menos de un año. El primero, presidido por Michel Barnier, duró tres meses, el de Bayrou ha durado nueve. Esto agudiza la parálisis política en un momento en que las finanzas públicas están en una situación crítica. El déficit público podría alcanzar el 6% este año y la deuda pública ya supera el 114% del PIB. Los intereses de la deuda, de hecho, consumen ya más recursos que el presupuesto de defensa, lo que permite hacernos una idea de la gravedad de la crisis. Bayrou, al igual que su predecesor, trató de sacar adelante un presupuesto que incorporaba un ligero ajuste de gasto, pero los partidos populistas de izquierda y derecha se han negado a aprobarlo. La fragmentación de la Asamblea Nacional, dividida en tres bloques irreconciliables (los centristas de Macron con 210 escaños, la izquierda con 192 escaños y la Agrupación Nacional de Marine Le Pen con 138 escaños), imposibilita la gobernabilidad. Los centristas rechazan subir impuestos, la extrema izquierda se opone a recortes en el estado de bienestar, y la extrema derecha culpa a la inmigración y quiere reducir los fondos que se entregan a la UE. Esta polarización hace imposible cualquier tipo de acuerdo, empezando por el de los presupuestos del Estado. La caída de Bayrou obliga a Macron a nominar a un nuevo primer ministro, que deberá ser investido por la Asamblea y lograr apoyos para aprobar el presupuesto de 2026 antes de fin de año. El país enfrenta además un "otoño caliente" con movilizaciones callejeras de izquierda y derecha contra los recortes. La opinión pública, cada vez más frustrada, alimenta el discurso de los partidos en ambos extremos del espectro, que piden elecciones anticipadas. La extrema izquierda exige incluso la dimisión de Macron y que los franceses sean llamados a las urnas cuanto antes para renovar las dos cámaras y al inquilino del palacio del Elíseo. Las encuestas indican que unas elecciones anticipadas no resolverían el problema ya que la Asamblea seguiría fragmentada. El adelanto electoral del año pasado, decidido por Macron para frenar el ascenso de la Agrupación Nacional tras su victoria en las elecciones europeas, resultó en una pérdida de 86 escaños para su partido y en una Asamblea ingobernable. Entretanto, los costes de financiación de Francia superan a los de Grecia y se igualan a los de Italia. Se espera que Fitch Ratings rebaje la calificación crediticia del país esta misma semana. Macron enfrenta el dilema de nominar a un primer ministro que pueda sobrevivir en una Asamblea tan dividida. Entre los candidatos de su bloque hay varios ministros, pero todos tendrían dificultades para obtener apoyo de la oposición. La izquierda, liderada por los socialistas, propone un presupuesto alternativo con impuestos más altos para los ricos y la derogación de la reforma de pensiones, dos medidas que Macron rechaza. Pero aunque Macron cediese, un Gobierno socialista podría ser muy efímero sin el apoyo sostenido de La Francia Insumisa de Jean-Luc Mélenchon. Quien si podrían capitalizar unas elecciones anticipadas es la Agrupación Nacional de Marine Le Pen y Jordan Bardella, pero su vinculación con figuras polémicas en Francia como Donald Trump y la condena de Le Pen por malversación podrían volverse en su contra. Para el expresidente Nicolas Sarkozy unas legislativas darían una mayoría clara a Le Pen. Para él es la única salida, aunque eso implicaría el fracaso del proyecto político de Macron que, tras ocho años en el poder, ve cómo su presidencia total ha roto el equilibrio de la Quinta República. El resultado es una crisis política y económica para la que nadie tiene una solución clara. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:20 Francia ingobernable 33:54 Contra el pesimismo - https://amzn.to/4gm1a4S 35:45 ¿Es viable el estado del bienestar? 43:04 El GPS de von der Leyen 49:31 La heladería vandalizada · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #francia #macron Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
C dans l'air du 9 septembre 2025 - Après la crise, le spectre du blocageFrançois Bayrou a remis sa démission ainsi que celle de son gouvernement à Emmanuel Macron ce mardi en milieu de journée, au lendemain d'un vote sans appel à l'Assemblée nationale. Lundi, 364 députés ont voté contre la confiance, y compris au sein du bloc commun.Face à ce désaveu, tous les regards se tournent désormais vers le chef de l'État, confronté à nouveau à la tâche de nommer un nouveau Premier ministre capable d'éviter une censure rapide. Cette équation s'avère d'autant plus délicate que la popularité du président de la République est au plus bas dans les sondages et que le climat politique est électrique.Du côté des partis, les socialistes se disent « disponibles », tandis que les écologistes souhaitent un Premier ministre issu du Nouveau Parti écologiste (NFP). Marine Le Pen, pour le Rassemblement national, réclame une « dissolution ultra rapide ». Chez les Insoumis, Jean-Luc Mélenchon appelle à la démission d'Emmanuel Macron.Parallèlement, le mouvement « Bloquons tout » se prépare. Des pots de départ de François Bayrou ont été organisés partout en France, comme un avant-goût de la journée du 10 septembre où l'on annonce blocages, boycotts et grèves. Difficile néanmoins de mesurer l'ampleur du mouvement qui s'organise et dont l'un des enjeux sera la participation de la jeunesse. Plusieurs syndicats étudiants ont, ce dernier jour, décidé de rejoindre le mouvement « Bloquons tout ». Ils alertent notamment sur la précarité des étudiants. Nos journalistes sont allés à leur rencontre. Alors, qui pour succéder à François Bayrou à Matignon ? Blocages des axes routiers, grèves… À quoi faut-il s'attendre le 10 septembre ? Les étudiants vont-ils rejoindre le mouvement « Bloquons tout » ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologueMaître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP- Aline LECLERC (en duplex) - Reporter – Le Monde
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la colère qui monte dans le pays, Jean-Luc Mélenchon qui s'emporte contre Olivier Faure et les forces de l'ordre prennent les menaces de blocage au sérieux. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Mobilisation sociale attendue avec 100 000 personnes dans les rues et 80 000 policiers et gendarmes mobilisés pour encadrer le mouvement, craintes des commerçants face aux risques de violences.Démission de François Bayrou, le ministre de la Justice, et spéculations sur son possible remplacement par Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, à Matignon.Réactions mitigées au sein du Parti Socialiste face à cette hypothèse, certains députés socialistes restant fidèles à Jean-Luc Mélenchon et au Front Populaire.Découverte de têtes de cochons devant plusieurs mosquées à Paris, une enquête est ouverte.Attaque aérienne israélienne contre des responsables du Hamas au Qatar, avec des craintes pour le sort des otages détenus par l'organisation.Match de l'équipe de France de football contre l'Islande dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde 2026.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une semaine décisive qui s'annonce, avec, demain, le vote de confiance à l'Assemblée nationale, qui selon toute vraisemblance, verra le Premier ministre François Bayrou perdre la main. Mercredi, le 10 septembre, la journée de protestation « Bloquons tout ». Deux rendez-vous qui inquiètent les hebdomadaires. Le Nouvel Obs et Marianne, parlent même d'une « crise de régime ». « Après une réélection sans élan en 2022, des législatives sans majorité, une dissolution suicidaire en 2024 et une vraie défaite aux législatives qui ont suivi, voici Emmanuel Macron bientôt contraint de nommer son cinquième Premier ministre en trois ans », constate le Nouvel Obs. Il se demande si « cette crise inédite est le signe d'une Vème République à bout de souffle ou de l'échec d'une classe politique incapable d'inventer une autre pratique du pouvoir ». De son côté, Marianne s'interroge « sur le blocage total et la défiance généralisée qui posent la question de la survie du régime à court terme ». Procrastinations C'est dans cette atmosphère plutôt pessimiste que la presse tente d'envisager l'avenir. Pour ce qui est du prochain gouvernement, les socialistes, et particulièrement leur Premier secrétaire Olivier Faure, ont fait savoir qu'ils étaient intéressés. « Olivier Faure a vocation à revendiquer le pouvoir », estime François Hollande dimanche 7 septembre dans la Tribune Dimanche. Pas tendre avec son successeur, l'ancien président socialiste estime que « si le gouvernement de François Bayrou tombe demain, les procrastinations d'Emmanuel Macron ne peuvent plus avoir cours. Il doit nommer vite un Premier ministre et lui laisser la plus grande des latitudes pour assurer la présentation d'un budget dans les délais constitutionnels. Il ne peut être question de poursuivre la politique menée depuis 2017. » François Hollande ne va toutefois pas jusqu'à réclamer la démission du président : « Ayant occupé cette charge, sachant combien nos institutions doivent être respectées, je ne serai jamais de ceux qui appellent à la démission du président de la République ». Dette publique Quant à la situation économique, elle n'engage pas non plus à l'optimisme. L'Express, notamment, se désole de voir la France endettée jusqu'au cou. « Un médecin parlerait sans doute de déni. Ou de fuite en avant », nous dit l'hebdomadaire, « Il dresserait le diagnostic d'un patient incapable d'appréhender le réel. Le réel, c'est celui d'une société française, malade de sa dette publique et de ses déficits qui s'empilent méthodiquement depuis 1973, au gré des alternances politiques ». Le 8 septembre, poursuit l'Express, « François Bayrou va jouer son avenir politique, et surtout la crédibilité de la France, sur un chiffre : 44 milliards d'euros, la facture nécessaire pour commencer à infléchir la tendance et permettre enfin au pays de respecter les engagements pris à Bruxelles ». Et l'Express ironise sur ceux qui ne partagent pas ce point de vue, tel Olivier Faure. « Pour le patron du PS, le problème du déficit français ne serait pas celui d'une dépense publique obèse, mais de recettes faméliques en raison des cadeaux fiscaux accordés depuis 2017 » affirme l'Express, qui poursuit : « Pire, au cœur des revendications du nébuleux mouvement "Bloquons tout", cette phrase reprise par Jean-Luc Mélenchon (le leader de la France Insoumise) : "cette dette n'est pas la nôtre". » « Bloquons tout » Alors, précisément, ce mouvement qui appelle au blocage pour la journée de mercredi, est-il aussi nébuleux que l'affirme l'Express ? Pas vraiment si l'on en croit le Nouvel Obs, qui a fait la rencontre de celle qui, selon lui, a lancé le mouvement un soir de colère. Christelle 46 ans, ancienne « gilet jaune », habite dans le sud de la France, et selon le Nouvel Obs, elle veut rester anonyme. C'est elle qui, avec l'aide de ChatGPT, a écrit « cette lettre ouverte au peuple de France », dans laquelle elle s'exclame notamment : « Stop aux injustices, stop aux abus. Stop à ce système qui broie les humains pour nourrir les profits. Ce jour-là, nous ne sortirons pas : Pas de travail, pas d'école, pas d'achat. Pas de train, pas de métro… ». Une vidéo postée sur TikTok qui connaît un succès immédiat. « Le lendemain, raconte Christelle, je vois que la vidéo a fait plus de 300 000 vues, puis très vite 600 000. » Sur les réseaux sociaux, « on se dispute la paternité de l'appel », extrême droite et extrême gauche « s'étripent », nous dit le Nouvel Obs, qui cite également un sondage de la Fondation Jean Jaurès, selon lequel « 80 % des soutiens au mouvement se situent dans la gauche radicale ». Des soutiens auxquels le Parisien-Dimanche savonne la planche, évoquant « un caravansérail de revendications sans grande cohésion, parfois même contradictoires mais qui se retrouvent dans un même fond de sauce : le ras-le-bol. De quoi ? D'un peu tout, une exaspération toute française », estime le journal. On en saura sans doute plus, le 10 septembre !
C dans l'air du 30 août 2025 - Bayrou peut-il encore sauver sa tête ? « J'exercerai mon mandat jusqu'à son terme ». Emmanuel Macron a répondu à ceux qui évoquent une présidentielle anticipée après la très probable chute de son Premier ministre le 8 septembre. Une manière de tordre le cou aux menaces de destitutions lancées par Jean-Luc Mélenchon. Le chef de l'Etat n'a en revanche rien dit sur la possibilité d'une nouvelle dissolution, se contentant de soutenir le locataire de Matignon, et de louer son budget « lucide et courageux ».Reste donc dix jours à François Bayrou pour tenter de convaincre les parlementaires de voter la confiance. Mais la gauche et le RN semble avoir déjà tourné la page de ce gouvernement. Hier soir, les Socialistes ont présenté un budget alternatif (basé sur une taxation des très hauts patrimoines), et se sont dit prêts à prendre le relais à Matignon. La rentrée sera en tout cas agitée, entre crise politique et calendrier social chargé. Les syndicats se sont mis d'accord sur une journée de mobilisation le 18 septembre.Mais ce qui inquiète le gouvernement est l'ampleur que pourrait prendre le mouvement « Bloquons Tout », qui prévoit de mettre le pays à l'arrêt le 10 septembre. Ce mouvement, qui a émergé au sein l'extrême-droite et dans les sphères complotistes, séduit maintenant la gauche. C dans l'air est allé à la rencontre d'anciens Gilets Jaunes de Besançon. Financièrement pris à la gorge, ils prévoient de se mobiliser avec autant de ferveur qu'en 2018.Pendant ce temps, en Champagne, les viticulteurs craignent pour l'avenir. Avec des vendanges démarrées prématurément, et des droits de douane de 15% imposés par Trump, ils redoutent que l'instabilité politique à venir n'aggrave encore la situation. L'activité économique a déjà ralenti, c'est ce qu'ils observent auprès de leurs clients. Les ventes baissent, ne faisant qu'accroître leur colère envers une classe politique incapable de dialoguer pour l'intérêt collectif. Alors, Bayrou a-t-il encore une chance de sauver sa tête le 8 septembre ? Jusqu'où ira le mouvement « Bloquons Tout » ? Comment l'Etat peut-il aider les viticulteurs ? LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint du service politique du Parisien - Aujourd'hui en France- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au Point- Rachel GARRAT-VALCARCEL - Journaliste politique- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
Invités : - Catherine Nay, journaliste - Gauthier Le Bret, journaliste - Eric Naulleau, éditorialiste et journaliste sportif - Sarah Saldmann, avocate - Guillaume Perrault, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez La météo de l'info avec Alex Vizorek du 28 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 26 août 2025 – Bayrou: hara-kiri ou stratégie?« Bayrou s'auto-dissout ». La Une de Libération aujourd'hui reflète l'événement politique qui s'annonce le 8 septembre. En sollicitant ce jour-là un vote de confiance à l'Assemblée nationale, le Premier ministre prendra les devants en mettant son poste en jeu. Mais le RN et le NFP ont déjà annoncé qu'ils voteront contre. La chute de François Bayrou aura donc lieu dans deux semaines si aucun amendement au budget ne parvient à convaincre les oppositions.Le renversement du gouvernement semble toutefois déjà acté dans les esprits. Marine Le Pen en appelle à une nouvelle dissolution, la seule issue à ses yeux pour sortir de l'instabilité politique. Jean-Luc Mélenchon, lui, vise la destitution de Macron, « le responsable de la crise ». Il appelle de ses vœux un premier ministre insoumis, et au passage à une sixième République.Quelles seront les conséquences économiques de cette période qui s'annonce ? C dans l'air est allé à la rencontre de Michel Picon, le président de U2P, l'Union des Entreprises de Proximité. Il se dit « très inquiet » de la période d'instabilité à venir, la consommation risque de faiblir et d'aggraver les difficultés. Il rappelle que les acteurs économiques ont besoin de constance. Pour lui, François Bayrou a manqué d'habileté.Pendant ce temps, le mouvement « Bloquons tout » continue de se préparer. Leur journée d'action reste prévue le 10 septembre malgré la probable chute du gouvernement deux jours plus tôt. La rentrée risque d'être mouvementée car les taxis devraient eux se mettre en grève dès le 5, et les pharmaciens le 18. Des journées de mobilisation se préparent également dans les Hôpitaux de Paris et le secteur ferroviaire. Si les forces de gauche soutiennent « Bloquons tout », les syndicats restent prudents face à ce genre de mouvement spontané.Alors, est-il inévitable que Bayrou tombe le 8 septembre ? L'instabilité politique à venir plombera-t-elle l'économie ? Le pays sera-t-il à l'arrêt en septembre ?LES EXPERTS :Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po, ancien directeur du CEVIPOF et spécialiste de sociologie électoraleDominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction des EchosNathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique du PointAnne-Charlène BEZZINA - Politologue, constitutionnaliste et maître de conférences en droit public
durée : 04:00:14 - La Grande matinale - par : Nicolas Demorand, Sonia Devillers, Benjamin Duhamel, Anne-Laure Sugier - Ce matin au programme de la Grande Matinale sur France Inter, à 7h50, Eric Lombard, ministre de l'Économie, à 8h20, Jean-Luc Mélenchon et à 9h20, le chef Alain Passard. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:27:42 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Jean-Luc Mélenchon, fondateur de la France Insoumise, était l'invité de France Inter ce mardi, au lendemain de l'annonce par le Premier ministre François Bayrou d'un vote de confiance le 8 septembre prochain à l'Assemblée. - invités : Jean Luc MELENCHON - Jean-Luc Mélenchon : Homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le week-end dernier ont eu lieu les université d'été de la France Insoumise, des Ecologistes et du Parti Communiste. Olivier Marchais et Jean-Luc Mélenchon étaient évidemment de la partie. Les deux hommes ont l'air d'avoir apprécié l'événement...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 25 août, Laurent Gerra a notamment imité Olivier Marchais, Jean-Luc Mélenchon et François Bayrou. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 25 août 2025 – "Bloquons tout", dette...La France entre dans le durUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes cet après-midi, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié. Le Rassemblement national a prévenu qu'il n'hésitera pas à faire tomber le gouvernement si la copie n'est pas revue.Tout pourrait se jouer lors de la rentrée parlementaire, qui aura lieu le 22 septembre. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent en effet houleux. Cette cure de rigueur passe par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réformer une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les syndicats agitent le spectre de journées de mobilisation. 70% des Français y seraient favorables.Mais ce qui inquiète le gouvernement est l'ampleur que pourrait prendre le mouvement #BloquonsTout, qui prévoit de mettre le pays à l'arrêt le 10 septembre. Ce mouvement, qui a émergé au sein l'extrême-droite et dans les sphères complotistes, séduit maintenant la gauche. C dans l'air est allé à la rencontre d'anciens Gilets Jaunes de Besançon. Financièrement pris à la gorge, ils prévoient de se mobiliser avec autant de ferveur qu'en 2018.Pendant ce temps, au Sénat, une commission d'enquête s'est penchée sur les missions des agences de l'Etat (France Travail, Ademe, etc), souvent accusées de trop coûter. Mais après cinq mois de travail, la sénatrice LR Christine Lavarde, rapporteure de la Commission, n'identifie que 540 millions d'euros d'économies possibles pour le budget 2026, loin des cinq milliards proposés par Laurent Wauquiez.Alors, face au risque de censure, Bayrou devra-t-il revoir son budget ? Jusqu'où ira le mouvement Bloquons Tout ? Les agences de l'Etat coûtent-elle trop cher ?LES EXPERTS :Philippe DESSERTINE- Directeur de l'institut de Haute financeCaroline MICHEL-AGUIRRE- Grand reporter au magazine L'ObsLaurence DE NERVAUX - Directrice générale de Destin communThomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 23 août 2025 – « Bloquons tout » : la menace qui inquiète BayrouUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes ce lundi 25 août, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, et marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié.La rentrée parlementaire aura lieu le 22. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent houleux. Ce plan de rigueur passe notamment par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réforme une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les Français pourraient donc descendre dans la rue. 70% seraient favorables à une manifestation.Les élus locaux sont aussi en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Les récentes canicules n'ont pas amélioré la situation économique du pays. Les vagues de chaleur et les sécheresses à répétition ont un coût important. Transports et chantiers ralentis, salariés exténués… Les canicules représentent un coût de frein pour l'économie. Une journée avec des températures supérieures à 32 ° serait équivalent à une demi-journée de grève. Dans le monde agricole aussi les conséquences sont nombreuses, entre perte et récoltes prématurées. Alors, Bayrou pourra-t-il faire passer son budget ? Les Français vont-ils suivre le mouvement « Bloquons tout » ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? Comment gérer le coût des aléas climatiques ?LES EXPERTS :Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction à L'Usine NouvelleValérie LECASBLE - Editorialiste politique pour LeJournal.infoAurore MALVAL - Journaliste politique, rédactrice en chef adjointe au web pour le journal MarianneBernard SANANÈS - Politologue et président de l'institut de sondage Elabe
C dans l'air du 23 août 2025 – « Bloquons tout » : la menace qui inquiète BayrouUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes ce lundi 25 août, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, et marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié.La rentrée parlementaire aura lieu le 22. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent houleux. Ce plan de rigueur passe notamment par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réforme une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les Français pourraient donc descendre dans la rue. 70% seraient favorables à une manifestation.Les élus locaux sont aussi en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Les récentes canicules n'ont pas amélioré la situation économique du pays. Les vagues de chaleur et les sécheresses à répétition ont un coût important. Transports et chantiers ralentis, salariés exténués… Les canicules représentent un coût de frein pour l'économie. Une journée avec des températures supérieures à 32 ° serait équivalent à une demi-journée de grève. Dans le monde agricole aussi les conséquences sont nombreuses, entre perte et récoltes prématurées. Alors, Bayrou pourra-t-il faire passer son budget ? Les Français vont-ils suivre le mouvement « Bloquons tout » ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? Comment gérer le coût des aléas climatiques ?LES EXPERTS :Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction à L'Usine NouvelleValérie LECASBLE - Editorialiste politique pour LeJournal.infoAurore MALVAL - Journaliste politique, rédactrice en chef adjointe au web pour le journal MarianneBernard SANANÈS - Politologue et président de l'institut de sondage Elabe
C dans l'air du 21 août 2025 - Netanyahu / Trump : leur plan pour Gaza L'étau se resserre dans l'enclave palestinienne. Dans le cadre du plan de Netanyahu visant à conquérir Gaza, les autorités israéliennes ont détaillé comment elles étendront leur emprise sur la population gazaouie. L'armée se préparerait à une « opération prolongée de plusieurs mois ». Selon Effie Defrin, porte-parole de l'armée israélienne, Tsahal aurait déjà entamé les opérations militaires en périphérie de Gaza-ville.Si le Hamas a accepté un projet de cessez-le-feu proposé par l'Egypte et le Qatar, le gouvernement israélien n'y a toujours pas répondu. Les préparations militaires actuelles laissent peu d'espoir. D'autant que l'État hébreu a donné son accord à un projet de colonisation d'une zone située à l'est de Jérusalem, qui couperait la Cisjordanie en deux et compromettrait plus encore la création d'un État palestinien. Ce qui n'est pas pour plaire à Emmanuel Macron, qui reconnaitra en septembre cet état. Netanyahu l'accuse de nourrir l'antisémitisme. Pendant ce temps, le carnage continu, et la situation humanitaire est désastreuse. C dans l'air est allé à la rencontre d'une coordinatrice de Médecins sans Frontières. De retour de Gaza, elle décrit une famine et une urgence sanitaire extrême, avec un grand manque de moyen dans les hôpitaux. Les Gazouis sont surtout incapables de fuir, et la communauté internationale semble impuissante.En France, les actes antisémites se multiplient depuis le début du conflit. La semaine dernière, c'est un arbre à la mémoire d'Ilan Halimi qui a été coupé de façon malveillante. Ce jeune homme de confession juive avait été torturé à mort en 2006. La France insoumise, elle, est pointée du doigt pour ses dérapages à répétitions. Le député socialiste Jérôme Guedj dénonce une dérive de Jean-Luc Mélenchon, qui attiserait volontairement l'antisémitisme. Alors, peut-on stopper Netanyahu dans son plan de conquête de Gaza ? Quelle est la situation humanitaire en Palestine ? Les Insoumis attisent-ils l'antisémitisme ?LES EXPERTS :Anthony BELLANGER : Editorialiste à Franceinfo TV, spécialistes des questions internationalesAlexandra SCHWARTZBROD : Directrice adjointe de la rédaction de LibérationAlain PIROT : Journaliste et réalisateur, spécialiste des questions de défenseMay MAALOUF : Politologue, spécialiste du Moyen Orient, chercheure associée à l'iReMMO
C dans l'air l'invité du 18 août 2025 avec Gael Sliman, président et cofondateur de l'institut de sondages Odoxa.Le mouvement citoyen "bloquons tout", qui prend essor sur les réseaux sociaux, réunit des personnes d'horizons divers, qui appellent à "tout bloquer" en France le 10 septembre en se cristallisant autour des coupes budgétaires voulues par François Bayrou. Une initiative qui prend de l'ampleur sur les réseaux sociaux. Hier, dans la Tribune dimanche, le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a publié une tribune appelant à soutenir ce blocage. Ce matin, le coordinateur du mouvement, Manuel Bompard, a appelé à participer au blocage pour "empêcher le plan Bayrou de s'appliquer". "Je ne crois pas du tout que les revendications qui émergent de ce mouvement soient positionnées à l'extrême droite. On a dit la même chose au moment des mobilisations des gilets jaunes et le mouvement des gilets jaunes s'est traduit par des revendications pour plus de démocratie, pour plus de justice fiscale, pour plus de justice sociale", a-t-il déclaré.Gaël Sliman, président et cofondateur de l'institut de sondages Odoxa, décryptera avec nous le mouvement "Bloquons tout", et en analysera les ressorts. Un appel à la mobilisation dès la rentrée, qui intervient alors que les mesures budgétaires annoncées en juillet par François Bayrou sont particulièrement impopulaires. Ainsi, 73% des Français sont opposés à la suppression de deux jours fériés, et 74% aux économies dans le secteur de la santé, selon un sondage Odoxa pour Le Figaro.L'exécutif s'attend donc à une rentrée sociale particulièrement mouvementée, avec également le risque d'une censure contre le gouvernement.