L’émission matinale des traders. Vous prendrez bien un shot d’actualité des marchés? Boostez vos connaissances avec le MorningBull de Thomas Veillet, servi tous les jours on the rocks à 10h30, sur Youtube et en Podcast ! A propos de notre expert: Du franc-parler, de l’audace, un esprit vif: Thomas Veillet, expert du monde financier et ancien trader professionnel, œuvre aujourd’hui comme chroniqueur indépendant. Son crédo: rendre l’univers du trading accessible à tous, au fil d’articles et de capsules vidéo. Abonnez-vous au podcast pour ne jamais manquer un épisode !
➡️ Taux maintenus à 4,25–4,50%. ➡️ Deux baisses annoncées… mais sans conviction. ➡️ L'économie patine, l'inflation hésite, et Trump souffle sur les braises du chaos géopolitique.
La Réserve fédérale des Etats-Unis (FED) dévoile une décision monétaire très attendue ce mercredi 18 juin, avec notamment la mise à jour de ses projections macro-économiques dans un contexte d'incertitudes créé par la guerre commerciale. La FED va-t-elle confirmer deux baisses de taux d'ici la fin de l'année ? Quid de ses anticipations d'inflation ? Vincent Ganne vous explique ce qui va vraiment compter ce mercredi 18 juin.
Pendant ce temps-là, la Bourse suisse vit sa vie : UBS râle, Swiss Re sort le chéquier, Novartis brille, et Dätwyler vire du monde, mais tout va bien — le S&P 500 est à 2% de ses plus hauts
n n'a pas de deal. On n'a pas de chiffres. On n'a pas de certitudes. Mais on achète.
Alors que le cycle haussier de l'or est bien mature et que la plupart des objectifs techniques haussiers de long terme ont été atteints ou proche de l'être, peut-on envisager d'autres opportunités sur le compartiment boursier des métaux précieux en guise de rattrapage ? Argent-métal (XAG), Platine (XPT), palladium (XPD) et même le Cuivre (XCU) ? Faisons le point technique et fondamental avec Vincent Ganne.
De ce monde merveilleux où les chiffres de l'emploi s'inventent, où l'inflation est toujours "attendue pour le mois prochain", et où Trump joue avec des allumettes pendant que Wall Street fait la fête.
Malgré la multiplication des défis fondamentaux (diplomatie commerciale, géopolitique, rapport NFP, désinflation, récession, perspectives de profit, dette US), le marché actions mondial a fait un nouveau record historique la semaine dernière. Vincent Ganne pense avoir identifié la raison profonde de cette résilience du marché actions mondial. Point complet sur le S&P 500 et est-il encore temps de se diversifier sur les actions européennes et chinoises ?
Alors là, faut qu'on parle. Powell ne bouge pas. Trump gueule. L'ADP affiche 37'000 jobs au lieu de 110'000. Et pendant ce temps… les indices continuent leur petit délire haussier. Pourquoi ? Parce qu'on espère une baisse des taux.
Alors c'est décidé : aujourd'hui je suis heureux. Je crois en l'avenir. Je crois en Trump, en Xi, en Nvidia et même en Macron et Meloni qui deviennent BFF autour d'un risotto. Parce que c'est ça le nouveau monde merveilleux de la finance : ➡️ On ne regarde plus les mauvaises nouvelles ➡️ On rêve éveillé de deals commerciaux ➡️ On achète des actions comme des slips chez Lidl : par lot de 12
Depuis plusieurs mois, le marché mondial du pétrole connaît de profonds bouleversements à la croisée des dynamiques de l'OPEP+, des tensions géopolitiques impliquant la Russie, l'Iran, et les États-Unis, ainsi que des facteurs économiques globaux, comme les politiques monétaires et la guerre commerciale. Sur le plan technique, le prix du pétrole suit une tendance baissière depuis 3 ans, reste baissier sous la résistance majeure des 65$ et aucune seconde d'inflation en vue malgré la guerre commerciale (ce qui enrage les enragés de l'effondrement).
Bienvenue dans un monde où les marchés montent… quoi qu'il arrive. Guerre commerciale ? Trump en freestyle douanier ? La Chine qui bouillonne ? Le Japon au bord de la rupture obligataire ? ON S'EN FOUT. Le marché, lui, continue de grimper comme si l'économie était un Disney.
Dans cet épisode :
L'intransigeance de la FED est un facteur de stress pour la haute finance avec l'absence de baisse du taux des fonds fédéraux depuis décembre dernier (contrairement à la BCE). Malgré tout, le S&P 500 a fortement rebondi depuis avril et la masse monétaire M2 US fait un nouveau record historique ? Comment est-ce possible sans la reprise de la baisse du taux d'intérêt des fonds fédéraux US ?
Trump menace, Trump recule, Trump remenace… et pendant ce temps, les marchés essaient de garder leur calme. Cette semaine, on débriefe le chaos organisé made in Donald, la fameuse stratégie TACO (Trump Always Chickens Out), les chiffres de l'inflation PCE, les résultats de Nvidia, et les prédictions flippantes de Jamie Dimon sur l'obligataire.
Cette semaine, Trump souffle sur les marchés, repousse ses menaces de tarifs douaniers, et Wall Street s'envole… sur une non-nouvelle. On ne célèbre plus les fondamentaux. On célèbre juste le fait que le chaos est reporté à plus tard. C'est beau, l'euphorie sous perfusion.
Le Dollar US reste très faible sur le Forex cette année et ne parvient pas à se reprendre alors que le risque commercial pèse sur les actifs US. De manière étonnante le dollar US n'est pas soutenu par l'intransigeance de la FED (pas de baisse de taux avant octobre ?) due au risque de rebond de l'inflation. Sur le plan technique, l'USD est désormais à la croisée des chemins techniques, faisons le point en cette semaine d'inflation US PCE (vendredi 30 mai).
Bienvenue dans une nouvelle semaine de Bourse... chorégraphiée par Donald Trump himself
Alors que le marché actions mondial a retrouvé son record historique par suite d'une reprise en V, les thèmes d'inquiétude fondamentale restent très nombreux et ils interrogent sur la viabilité de la reprise. Notamment les actions US et le S&P 500, après une telle reprise, l'indice phare de Wall Street est-il à nouveau trop cher ? Et quid des actions européennes et des actions chinoises ?
Cette semaine, on a eu :
➡️ Que se passe-t-il exactement ? ➡️ Pourquoi les politiciens s'en foutent ? ➡️ Est-ce le début d'un vrai retournement ? Je t'explique tout dans cet podcast. Cash, sans filtre, et sans pitié.
Pas de tweet rageux de Trump, pas de discours piquant de Powell, pas d'indicateur économique à se mettre sous la dent. Même Tesla n'a pas lancé de voiture à essence pour "révolutionner" le secteur. Bref : CONSOLIDATION. On essaie de meubler avec un peu de géopolitique (Israël, Iran, merci la CIA
L'Or a atteint les 3500 dollars US à la fin du mois d'avril avec une performance annuelle de près de 30% et plus de 1500$ de hausse depuis la cassure technique haussière du mois de février 2024. Vincent Ganne estime qu'il n'est plus temps d'acheter de l'Or en bourse pour une première entrée sur le marché et qu'il faut songer à gérer ses gains. Voici son argumentaire technique et fondamental.
Bienvenue dans ce nouveau Morningbull Live, où je t'explique pourquoi cette dégradation de la note américaine n'a strictement aucun impact (ou presque), pourquoi Ray Dalio continue de prophétiser la fin du monde monétaire, et comment les marchés arrivent à ignorer le chaos ambiant… pour l'instant. Réservez votre 18 juin 2025 dès aujourd'hui !
Et pendant que tout le monde s'en fout royalement… Trump dérégule les banques à tout va, les marchés flambent comme si de rien n'était, et on commence à rejouer le scénario de 2008… en version plus rapide, plus risquée, et potentiellement beaucoup plus violente. Dans cette vidéo, je t'explique pourquoi ce downgrade n'est pas un non-événement, pourquoi la “Supplementary Leverage Ratio” qu'on s'apprête à saboter est une grenade dégoupillée… et pourquoi, pendant que tout le monde danse sur le pont, personne ne regarde si la cale est déjà sous l'eau.
Le marché actions a connu une vive reprise haussière depuis le milieu du mois d'avril sur fond de diplomatie commerciale et de perspectives de profit toujours optimistes et ce malgré l'intransigeance de la FED. Au contraire, le prix des obligations reste à un niveau bas, comment expliquer un tel découplage ?
Et non, ce n'est pas le début d'une mauvaise blague, c'est juste l'actualité économique du moment. Un Président américain qui rêve de relocalisation, un CEO qui rêve de marge brute, et un iPhone qui pourrait bientôt coûter aussi cher qu'une Harley. Au menu : – Un Donald Trump en mode “cowboy du commerce mondial”, – Un Tim Cook qui essaie d'éviter le scalpage tarifaire, – Des marchés qui montent sans vraie raison mais avec beaucoup d'espoir et d'optimisme – Et une Fed qui parle pour ne rien dire… Bref : inflation, guerre commerciale, tech sous pression, Walmart qui doute, Coinbase qui dérape, Powell qui radote, et toi, au milieu, qui essaie de comprendre ce foutoir financier avec une tisane et ton iPhone (encore abordable). Accroche-toi, parce que même en pleine tempête tarifaire, la Bourse continue de sourire comme si de rien n'était.
Pendant que les semiconducteurs s'envolent comme si on avait guéri le cancer avec une puce, le marché obligataire nous hurle que quelque chose cloche. Et au milieu de ce joyeux bordel : Cisco ressuscite, Boeing décolle avec le Qatar, et Jim Chanos shorte MicroStrategy en misant sur… le bon vieux Bitcoin.
Mais sur quelle base, au juste ? Un chiffre d'inflation un peu meilleur, un moratoire de 90 jours sur des tarifs absurdes, et une tournée de Trump au Moyen-Orient version vendeur d'aspirateurs de luxe… Suffit-il vraiment de ça pour qu'on oublie les risques ? Dans cet épisode, on parle : – Du retour du Bull Market – De la volatilité qui disparaît à une vitesse record – De Trump, Powell, l'inflation, et du grand jeu de poker économique – De Nvidia qui frôle les 3'200 milliards – D'un marché qui pardonne tout… jusqu'au jour où Abonne-toi si tu veux des analyses sans langue de bois, sans costume trois pièces, mais avec du fond, du rythme et un peu de mauvaise foi (mesurée). Et toi, tu y crois à cette euphorie ? Ou t'as aussi un petit frisson dans le dos quand tout le monde est trop optimiste
Le cours de l'euro dollar est la paire majeure du Forex la plus performante cette année 2025 avec une hausse de plus de 8%. Depuis début mai, la résistance majeure des 1,15$ et un environnement technique en surachat ont stoppé la hausse. Vincent Ganne vous partage ses anticipations pour le court terme et la fin de l'année 2025.
Alors que le marché actions est en reprise depuis le choc baissier du début du mois d'avril, faut-il rester en dehors du marché actions compte tenu de l'adage « Sell in May and Go Away » ? Vincent Ganne estime que non et il vous dévoile ses arguments alors que la Réserve fédérale s'est exprimée la semaine dernière et que l'inflation US CPI est attendue cette semaine.
➡️ La FED ? Le marché n'en a plus rien à faire. ➡️ Trump signe un accord "McDo" avec le Royaume-Uni… et Wall Street s'envole. ➡️ Les investisseurs ? Plus crédules que jamais (et ça marche !). ➡️ La Chine en embuscade : le prochain round promet du grand spectacle… On décortique ensemble :
Pas de baisse, pas de hausse, juste du flou, de l'incertitude… et un Président américain qui souffle sur les braises tarifaires comme un pyromane sous amphètes.
Bienvenue dans l'épisode du jour : Guerre commerciale – Saison 2
Le Dollar US a chuté cette année sur le FX, pénalisé par la guerre des tarifs douaniers et sur fond de mise sous pression des actifs financiers US. Un certain nombre de mesures techniques et fondamentales commencent à suggérer que le dollar US est entré en zone de survente alors que la volatilité face aux devises asiatiques a augmenté. Faisons le point alors que la FED est attendue ce mercredi 7 mai.
La FED ne compte rien faire. L'inflation n'est pas sous contrôle. Et Trump s'impatiente sévèrement. Pendant ce temps, Ford panique, Mattel déménage, Palantir brûle, et tout le monde retient son souffle.
La Réserve fédérale des Etats-Unis (FED) dévoile une nouvelle décision de politique monétaire le mercredi 7 mai. Jérôme Powell va-t-il céder à la pression de Donald Trump et reprendre la baisse du taux d'intérêt des fonds fédéraux US ? Vincent Ganne estime que la réponse est non avec une baisse probable du taux de la FED le 18 juin ou le 30 juillet en fonction de l'évolution de l'inflation US PCE.
Où chaque mauvaise nouvelle est une superbe occasion de se shooter à la prochaine baisse de taux de la FED. Et où les analystes vivent dans un univers parallèle peuplé de licornes "résilientes" et de croissance "transitoire".