L’émission matinale des traders. Vous prendrez bien un shot d’actualité des marchés? Boostez vos connaissances avec le MorningBull de Thomas Veillet, servi tous les jours on the rocks à 10h30, sur Youtube et en Podcast ! A propos de notre expert: Du franc-parler, de l’audace, un esprit vif: Thomas Veillet, expert du monde financier et ancien trader professionnel, œuvre aujourd’hui comme chroniqueur indépendant. Son crédo: rendre l’univers du trading accessible à tous, au fil d’articles et de capsules vidéo. Abonnez-vous au podcast pour ne jamais manquer un épisode !
De manière très paradoxale, le franc suisse (CHF) est leader du FX cette année 2025 alors que le taux d'intérêt de la Banque Nationale Suisse (BNS) est revenu à zéro et est le plus faible des taux des banques centrales majeures, même sous celui de la banque centrale du Japon désormais. Le CHF est leader du FX alors que les spreads de taux d'intérêt (la rémunération de la monnaie) sont en sa défaveur. Comment expliquer cela ? Le CHF est-il trop cher sur le FX et peut-il corriger ces prochains mois ?
Tout le monde a la tête dans le shutdown américain, mais la vérité ?
Un shutdown de l'administration, plus de chiffres de l'emploi, plus d'inflation officielle, plus rien pour guider les marchés. Juste du bruit, des tweets et des traders qui s'ennuient. Autrement dit : cocktail explosif pour Wall Street. Dans cette vidéo, on décrypte :
L'indice S&P 500 a rejoint la partie haute de son canal haussier de moyen/long terme, les 6700 points, qui correspondent aussi à l'objectif de cours médian des analystes financiers. Est-il temps de prendre tous ses profits ? Quel est le risque d'engagement d'un bear market de fin d'année ?
Marchés en mode montagnes russes : euphorie, panique éclair, et retour à l'euphorie comme si rien ne s'était passé. L'IA qui s'emballe, l'inflation qui s'incruste, et Trump qui déraille… bienvenue dans la semaine la plus surréaliste de septembre. Je te raconte tout ça dans ce Swiss Bliss : une fête foraine version marchés financiers.
as de krach, juste une pause, façon Powell qui coupe la musique en plein dancefloor. Et là, flashback direct : l'“exubérance irrationnelle” de Greenspan en 1996. Une phrase, et les marchés avaient tremblé. Aujourd'hui, Powell ressort le même avertissement : valorisations trop élevées. Résultat ? Pas de panique, mais un doute quand même... Est-ce un vrai signal d'alerte ou juste un petit coup de froid ? Un 1996 bis, ou juste une pause avant de repartir ? Je t'explique tout ça dans ce Morningbull Live, entre humour, souvenirs de bulles passées et suspense autour du PCE de demain.
Le cours de l'or gagne plus de 35% depuis le début de l'année et n'a cessé de progresser depuis le début de l'année 2024. Il inscrit de nouveaux records historiques et vient de dépasser son record absolu retraité de l'inflation et qui remonte au début des années 1980s. Le pivot de la FED lié à la stagflation peut-il permettre au prix de l'or d'aller encore plus haut ou trop c'est trop ?
Pendant que la Fed coupe les taux, que Trump souffle sur les braises et que Wall Street s'offre une rave party sous stéroïdes, Jensen Huang sort son chéquier et injecte des milliards dans l'IA comme d'autres balancent des confettis. Résultat : records historiques à la chaîne, indices en lévitation et investisseurs totalement accros à la dope made in Silicon Valley. Mais attention : derrière la fête, trois signaux clignotent rouge vif – bull trap, survalorisation et euphorie assumée. Bref, ça sent le champagne, mais ça pourrait finir en gueule de bois.
Oui, oui, tu as bien lu : le krach de septembre est officiellement là
La FED de Jérôme Powell a donc défini la trajectoire de sa politique monétaire pour les prochains mois et les conséquences sur le marché boursier sont majeures. Vincent Ganne vous explique la trajectoire monétaire que la FED va suivre d'ici la fin du mois de décembre 2025 et les conséquences techniques en bourse. Mais la messe est-elle vraiment dite ?
La Fed a baissé ses taux comme un vaccin miracle… sauf que ça ne guérit pas l'économie, mais ça fait grimper Wall Street. UBS menace de déménager son siège aux États-Unis si Berne lui serre trop la vis côté capital. Et Trump ? Il taxe les visas H-1B, fait pression sur la Fed, et censure les médias qui se moquent de lui. Ajoutez TikTok coincé entre Washington et Pékin, Nvidia et Intel qui s'allient dans l'IA, et quelques secousses sur le marché suisse (Roche, Novartis, SIG…) : bienvenue dans le Swiss Bliss du 20 septembre 2025.
On a tous retenu notre souffle comme si la survie du monde libre dépendait d'une virgule dans un communiqué… et sans surprise, les taux ont baissé de 25 points. Classique, attendu, déjà dans les prix. Mais la vraie histoire, c'est ailleurs :
➡️ Une baisse de taux déjà écrite dans le marbre (-0,25%). ➡️ Des algos en folie ➡️ Un marché suspendu à chaque virgule de son discours. Mais derrière la mise en scène, une vraie question : est-ce le début d'un nouveau bull market… ou la porte d'entrée vers une correction historique ? Dans ce Morningbull Live du 17 septembre 2025, je reviens sur : ✔️ Les 3 semaines de suspense ridicule autour de cette baisse de taux. ✔️ Le retournement de veste soudain en Europe (merci l'euro fort). ✔️ La schizophrénie américaine entre consommateur solide et Fed attendue au tournant. ✔️ L'histoire qui rappelle que baisser les taux au sommet, c'est rarement une bonne idée… Ce soir, tout le monde a les yeux rivés sur Powell. La suite ? On en reparle… de l'autre côté.. tard ce soir... Le prochain Morningbull sortira cette nuit, juste après Powell, préparez-vous à veiller tard...
En dépit des tensions géopolitiques sur des zones majeures de production de pétrole, le prix de l'or noir continue de suivre une tendance de fond baissière en bourse. Avec la reprise des hausses de production de l'OPEP, le marché du pétrole est légèrement excédentaire, ce qui conduit à des conséquences positives pour les marchés boursiers occidentaux. Vincent Ganne passe en revue le prix du pétrole sur les plans technique et fondamentale.
Sur le papier, c'est de la caféine pour la Bourse. Dans la réalité, ça pourrait bien être juste une perfusion de morphine. Dans cette vidéo, je décortique :
Nous y sommes enfin ! La FED dévoile une nouvelle décision de politique monétaire ce mercredi 17 septembre, une décision qui devrait voir aboutir le pivot 2025 de la FED de Powell. Rappelons en effet que cette dernière ne pas baisser le taux d'intérêt des fonds fédéraux depuis le mois de décembre 2024. Briefing de ce qui va vraiment compter le 17 septembre, impact à envisager sur le marché actions US et point technique marché actions US avec Vincent Ganne.
François Bayrou qui tombe (encore), Fitch qui flingue la France, l'inflation qui colle comme de la glue, Oracle qui s'invente un avenir spatial grâce à l'IA, la BCE qui meuble ses conférences, et le BLS qui nous pond un million de jobs fantômes… Bref, une semaine bien chargée. Mais au fond ? Tout le monde s'en fout. Parce qu'une seule chose compte : le 17 septembre, Powell baisse les taux ou Wall Street fait une crise de nerfs.
Le CPI d'août ? Passé sous silence. Le café +21%, les œufs +11%, la viande +16% ? Tout le monde s'en tape. Tant que Powell baisse les taux et que l'IA fait rêver, Wall Street sabre le champagne. Résultat : des records partout, du S&P au Nasdaq, pendant que dans la vraie vie, ton niveau de vie se fait démonter morceau par morceau. Mais pas grave, la baisse des taux, c'est le nouveau sapin de Noël qu'on attend tous en septembre… Bienvenue dans l'ère du grand écart : stagflation d'un côté, euphorie boursière de l'autre. Et au milieu ? Papa Powell, nouvelle star des marchés.
Le S&P 500 ? Encore un record. Le Nasdaq ? Un souffle de plus. Le Dow ? Il n'a pas Oracle, donc il a plongé. Aujourd'hui, on attend le CPI américain. Trois scénarios possibles : Chiffre conforme → champagne et record. Chiffre un peu chaud → on fait semblant que ça ne compte pas. Chiffre trop chaud → carton rouge et fin du conte de fées des baisses de taux à répétition. Pendant ce temps, en Asie, le Nikkei explose à 44'000 malgré le chaos politique, et la Chine surfe sur la vague IA. Bref, la Bourse en 2025, c'est devenu un sketch permanent : Oracle prêche, Broadcom promet, Powell prépare les cadeaux.
et pourtant, Wall Street enchaîne les records. Pourquoi ? Parce qu'il n'existe plus qu'une seule variable : Powell va baisser les taux. Tout le reste n'est qu'un bruit de fond. Israël bombarde Doha ? On s'en fout. Le BLS bidonne les chiffres de l'emploi ? Business as usual. Apple vous vend un iPhone plus fin qu'une crêpe à 999 dollars ? Génial, ça boostera l'écosystème. Macron change de Premier ministre comme vous changez de slip ? Même pas un frisson sur le CAC40. Oracle explose de +30 % sur des promesses, Nebius signe un deal délirant avec Microsoft, et pendant ce temps, la dette US file vers les 38'000 milliards. Mais Wall Street continue de faire la fête, parce qu'une seule chose compte : la perfusion monétaire. On est entré dans le royaume de l'absurde : peu importe la maladie, le médecin Powell prescrit toujours la même chose – une bonne dose de baisse des taux. Et ça, ça suffit à maintenir tout le monde euphorique. ⚠️ Mais souvenez-vous : l'ivresse a toujours une fin. Et au réveil, on aura mal à la tête...
Nous sommes désormais à moins d'une semaine de la décision de politique monétaire décisive de la FED du mercredi 17 septembre. Par suite de la mise à jour du dernier rapport NFP, la probabilité implicite d'action de la FED a fortement évolué. Examinons de manière exhaustive les conséquences sur le dollar US (DXY) du choix que fera la FED de Powell.
Son élixir magique ? La baisse des taux. Et même pas la baisse en soi : juste l'idée qu'elle viendra un jour suffit à rendre Wall Street euphorique.
2025… c'est Bayrou qui risque de la prendre en pleine tronche. Pendant que la France vacille, Trump s'agace, Powell retient son souffle avant le CPI, et l'indépendance de la Fed ressemble de plus en plus à une blague Carambar. Ajoutez Google, l'Opep+, l'Asie qui s'enflamme et une OPA hostile en Espagne… et tu obtiens un lundi matin qui sent la poudre.
Cette semaine voit la mise à jour des prix à la production US (PPI, mercredi 10 septembre) et des prix à la consommation US (CPI, jeudi 11 septembre). Dernière mesure des prix avant la FED du 17 septembre, ces chiffres vont-ils permettre à la FED de pivoter et à plus long terme, la cible des 2% est-elle devenue illusoire ?
bref, tout va mal. Et pourtant, la Bourse, elle, s'envole comme si de rien n'était. Dans ce Swiss Bliss du 6 septembre 2025, je décortique la schizophrénie totale des marchés : Pourquoi chaque chiffre économique pourri est accueilli avec des cotillons. Pourquoi Powell est attendu comme le Père Noël de Wall Street. Pourquoi la France pourrait rallumer la mèche d'une crise souveraine. Et pourquoi Trump transforme chaque amende européenne en menace commerciale.
Parce qu'un ralentissement = plus de chances que Powell baisse enfin les taux. Résultat ? Nouveau record sur le S&P500, avant même la première coupe monétaire.
Résultat : tout le monde a oublié qu'on avait failli vomir mardi soir… Mais attention : derrière les paillettes, c'était une boucherie. La majorité des titres dans le rouge, des obligations qui respirent seulement parce que le marché de l'emploi US fait peur, et Ray Dalio qui sort le défibrillateur pour nous annoncer l'infarctus économique.
Les rendements obligataires explosent, la dette française dérape, les banques tremblent et la politique parisienne ressemble plus à une roulette russe qu'à une gestion budgétaire.
Il reste trois décisions de politique monétaire de la FED d'ici la fin de l'année 2025 et les choix possibles pour la FED sont nombreux mais avec une trajectoire fondamentale très différente. Comment le prix de l'Or peut réagir en fonction des choix possibles de la FED en matière de politique monétaire de fin d'année ? Vincent Ganne fait un point prospectif complet ainsi qu'un point de situation technique sur l'or et l'argent.
Au programme : Les marchés européens en mode coma artificiel pendant que les Américains profitaient du Labor Day. La France qui menace de nous rejouer un petit 2011 sauce Bayrou – parce que pourquoi pas. Et surtout : Nestlé qui mélange sexe et chocolat et vire son CEO plus vite qu'un stagiaire avec un Starbucks. Mais ce n'est pas tout… Le vrai suspense, il est pour vendredi : les Nonfarm Payrolls. Le Super Bowl de Wall Street, où les traders parient sur des jobs comme au PMU. Un chiffre trop faible ? Champagne, la Fed sera obligée de baisser les taux. Trop solide ? Douche froide, Powell temporise et les marchés font la gueule. En attendant, l'or flambe, le pétrole grimpe, le Bitcoin frime et l'Asie roupille. Bref : tout le monde attend vendredi comme un premier date Tinder.
✨ L'or, un repère intemporel ? Alors que les marchés vacillent, le métal jaune garde son aura de valeur refuge. Entre tradition, sécurité et nouveaux défis (crypto, ETF, inflation), faut-il encore miser sur le métal jaune en 2025 ?
Le marché est obsédé par Powell, Trump, l'emploi, la Fed et l'IA, et oublie l'essentiel : les valorisations sont hors-sol.
Le mois de septembre est le pire mois de l'indice S&P 500 en terme de saisonnalité et les investisseurs craignent une chute du marché actions US ce mois de septembre alors que les défis fondamentaux ne manquent pas et que le S&P 500 est aussi cher que fin 2021 selon la valorisation boursière. Ce consensus baissier est-il un piège ?
Nvidia, Trump, la Fed, la France, la Chine, l'inflation, et un mois d'août qui se termine dans la fatigue des marchés… Tout est dans ce nouvel épisode !
Quand le roi dépend de deux chevaliers, ça finit comment ? On décortique l'hyperconcentration côté clients, les leviers de négociation des hyperscalers, le silicon maison (TPU/Trainium/Maia), le risque d'agenda… et pourquoi “très bon” ne suffit plus quand le marché exige le divin. Je voulais juste vous faire un dernier update à propos de Nvidia et j'arrête jusqu'à la prochaine saison... Au menu : Le décor : Nvidia, cœur battant de l'IA… mais cour très petite. Pourquoi c'est un problème : pouvoir de négociation, timing, marges. Ce qui peut mal tourner (sans catastrophisme, promis). La morale : déconcentrer la base clients, diversifier les relais.
il faut les pulvériser. Et pendant que Nvidia cale, le S&P 500 explose les records. Pourquoi ? Parce que tout le monde ne vit plus que pour UNE chose : la baisse des taux en septembre. Christopher Waller, lui, en profite pour sortir le cirage et faire briller les pompes de Trump, histoire de poser son CV pour remplacer Powell à la Fed. Résultat : le marché danse, mais la musique pourrait s'arrêter ce soir avec le PCE.
Revenus monstrueux ? Oui. Guidance solide ? Oui. Mais… pas assez spectaculaire pour un titre qui a déjà pris +100% depuis avril. Résultat : -3% après-Bourse, et un marché qui commence à se demander si l'IA, c'est vraiment le supercycle éternel qu'on nous vend. Dans cette vidéo :
Les Banques centrales majeures ont toutes baissé leur taux d'intérêt directeur cette année, sauf la FED et le cas particulier de la BoJ. Pourtant, le dollar US est la devise la plus faible du Forex. Comment expliquer ce paradoxe face à la divergence des politiques monétaires ? Vincent Ganne vous propose un tour d'horizon des Banques centrales dite majeures ainsi qu'un diagnostic graphique des paires majeures en USD.
Mais lundi matin, retour brutal à la réalité : le marché réalise qu'il reste encore un paquet d'obstacles sur la route. Entre le PCE de vendredi, chaque chiffre économique qui peut faire basculer la Fed… et surtout le grand rendez-vous de demain soir : les résultats de Nvidia.
Et ce n'est pas juste une “publication de plus” : c'est peut-être l'événement financier de l'année. ➡️ Nvidia pèse aujourd'hui plus lourd que l'ensemble du CAC40. ➡️ Sans Nvidia, le S&P500 n'aurait pas eu la même tête cet été. ➡️ Et tant que Jensen Huang livre la marchandise, tout Wall Street suit. Mais attention : si la guidance déçoit, si Blackwell prend du retard, si les marges s'effritent… c'est tout le marché qui risque de trembler. Dans cette vidéo spéciale, je te raconte pourquoi le 27 août est une date à encercler en rouge : Ce qu'attendent les investisseurs Les 4 mots-clés à surveiller Les scénarios d'explosion… ou de catastrophe
Résultat : un rallye instantané, des records en vue, et des marchés plus euphoriques que jamais. Mais derrière l'ivresse, l'équation reste explosive : ⚡ Inflation qui refuse de se calmer ⚡ Emploi qui commence à fatiguer ⚡ Trump qui met de l'huile sur le feu et menace la Fed Et comme si ça ne suffisait pas, cette semaine c'est NVIDIA WEEK. Mercredi soir, la star absolue de Wall Street publie ses résultats. Un move de 6 à 7 % est attendu, et quand une boîte qui pèse bientôt 10 % du S&P500 tremble, c'est tout le marché qui vacille.
Jérôme Powell s'est exprimé à Jackson Hole vendredi dernier et cela a eu un impact sur les anticipations de politique monétaire pour terminer l'année. Mais les prochains chiffres d'inflation et d'emploi restent déterminants, alors il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Passons en revue les cas possibles et l'impact que cela aura sur les différentes classes d'actifs.
Jackson Hole, c'était censé être un symposium sérieux de banquiers centraux… et c'est devenu un show à la Las Vegas avec Jerome Powell en vedette principale. Les marchés attendaient son discours comme des fans de Taylor Swift attendent le rappel : fébriles, surexcités, et prêts à s'enflammer pour trois virgules de travers. Powell a botté en touche, les marchés ont repris leur dose d'espoir de baisse des taux, et nous voilà repartis dans le grand cirque financier. Mais derrière le spectacle, les problèmes restent : inflation, droits de douane, Trump qui met la pression, et des marchés accros à la liquidité. Dans ce Swiss Bliss du 23 août 2025, je reviens sur : Le grand théâtre de Jackson Hole Les réactions absurdes des marchés Les vedettes de la semaine en Suisse (Swatch, Alcon, Geberit, Partners Group…)
Les marchés ont retenu leur souffle toute la semaine, cinq séances de baisse, la peur d'une bulle IA, Walmart qui déçoit, Palantir qui devient une secte… et au milieu de tout ça : l'attente. À 16h00 précises, le magicien de la Fed est monté sur scène. Un mot, une intonation, une cravate mal choisie… et c'est tout le rallye d'été qui pouvait basculer. Cocktails au bord du Nasdaq ou carnage en direct, Powell avait les clés. Dans cette vidéo, je reviens sur l'attente insoutenable, la fatigue des marchés, les signaux contradictoires de l'économie, les coups de théâtre côté entreprises, et surtout… ce que la décision de Powell signifie pour la suite. On est tous dans l'avion, et c'est Powell qui pilote. Advienne que pourra.
Cette fois, c'est Jerome Powell qui va nous servir sa cuvée monétaire 2025, et crois-moi… ça peut piquer encore plus qu'un verre tiède.
Les Magnificent Seven ont pris la porte : Nvidia, Microsoft, Tesla et compagnie en rouge vif, le Nasdaq lâche 1,5%… mais plus de la moitié des autres actions montaient.
Le Dollar US s'est stabilisé depuis le début de l'été mais il n'a pas été en mesure de franchir une résistance et donc sa tendance de fond reste baissière. Alors que le marché spécule et fait la girouette fondamentale quant à savoir si la FED va pivoter sur la période septembre/décembre prochain, quel serait l'impact sur le dollar US d'un « vrai pivot » de la FED et non d'un simple pivot technique ?
Paris baisse de 0,5%, Francfort recule de 0,18%, la Suisse de 0,02%. Aux US, le S&P500 perd 0,01% pendant que le Nasdaq grimpe de… 0,03%. Bref : le néant total. Tout le monde attend le grand rendez-vous de la semaine : Powell à Jackson Hole. Et entre deux tasses de café, on se demande si le patron de la Fed va enfin dégainer une baisse de taux en septembre… ou si au contraire, il va calmer les marchés en mode “les enfants, c'est pas Noël tous les mois”.