L’émission matinale des traders. Vous prendrez bien un shot d’actualité des marchés? Boostez vos connaissances avec le MorningBull de Thomas Veillet, servi tous les jours on the rocks à 10h30, sur Youtube et en Podcast ! A propos de notre expert: Du franc-parler, de l’audace, un esprit vif: Thomas Veillet, expert du monde financier et ancien trader professionnel, œuvre aujourd’hui comme chroniqueur indépendant. Son crédo: rendre l’univers du trading accessible à tous, au fil d’articles et de capsules vidéo. Abonnez-vous au podcast pour ne jamais manquer un épisode !

Le shutdown a foutu un bazar monumental dans les chiffres économiques, la Fed navigue à vue, l'IA commence à montrer des fissures… et les marchés font semblant d'être détendus alors qu'ils transpirent comme dans un sauna finlandais. Mais tout ça… c'est du détail. Le vrai juge de paix, c'est mercredi soir. Nvidia publie ses résultats, et là, on saura : ➡️ si le bull market continue son marathon ➡️ ou si on part en mode bain de sang au petit-déjeuner Les tensions montent dans l'IA, la liquidité disparaît dans le système financier, l'immobilier craque aux États-Unis, la Chine s'énerve contre le Japon… et au milieu de tout ça, Wall Street retient son souffle. On débriefe tout ça dans ce Morningbull Live : la macro, la Fed, l'IA, le stress bancaire, les foreclosures, la rotation sectorielle, et bien sûr… Nvidia, le nouveau patron officieux des marchés. Bienvenue dans le chaos organisé ➡️ Abonne-toi Pour ne rien rater des prochains épisodes et suivre la seule chaîne où on parle finance avec humour, honnêteté et un brin de mauvaise foi assumée.

Le shutdown US le plus long de l'histoire est donc terminé. Quelles conséquences envisager pour l'économie US et le marché actions US en surchauffe de valorisation ? Point fondamental et technique complet avec Vincent Ganne.

ette semaine, on a vécu un mélange entre machine à laver en mode essorage et séance d'hypnose macroéconomique. Entre la fin (provisoire) du Shutdown, la Suisse qui passe de 39% à 15% de droits de douane (mais récupère du bœuf aux hormones, parce que pourquoi pas), la tech qui se fait démonter puis racheter dans la foulée, et le Bitcoin qui retourne sous les 95'000$, on peut dire qu'on n'a pas eu le temps de s'ennuyer. L'Europe a dansé la polka, le Nasdaq a pleuré, Powell se prépare à prendre une décision historique avec des chiffres aussi fiables qu'un horoscope, et Trump… ben Trump fait du Trump, comme d'habitude. Dans cet épisode :

Le shutdown est fini, mais l'ambiance… comment dire… c'est plutôt “gueule de bois nucléaire”. Entre une tech hors de prix, un marché qui panique mais fait semblant de ne pas paniquer, Tesla en coma léger, Bitcoin en mode PLS avancée, les semi-conducteurs à l'hôpital et Ubisoft en blackout total… on se demande si on n'a pas tous raté un épisode. Et pourtant : les indices tiennent. Pas glorieux, mais debout. Comme un type qui a trop picolé et qui refuse de reconnaître qu'il aurait dû rentrer se coucher il y a trois heures. Dans cette vidéo, je te raconte : Pourquoi la séance d'hier a été l'une des pires de l'année Pourquoi tout le monde est devenu baissier d'un coup Pourquoi Nvidia pèse 16 % du PIB US (oui, tu as bien lu) Pourquoi Tesla souffre… et pourquoi ça ne devrait surprendre absolument personne Comment Trump solde le bœuf, les bananes et le café pour sauver sa côte d'amour Pourquoi les data centers deviennent les nouveaux “too big to fail” Et ce que nous raconte vraiment le chaos chez Ubisoft On est dans un marché qui tangue, qui flirte avec la panique, mais qui n'appuie toujours pas sur le bouton rouge. Est-ce le début du carnage… ou une opportunité en or ? Tu vas voir : la vérité est rarement là où tout le monde la cherche.

Le shutdown est enfin terminé (Trump l'a dit, donc c'est vrai), les fonctionnaires américains redécouvrent leur mot de passe Windows, et pendant ce temps… la Bourse fait comme si de rien n'était. Mais attention : pendant que Wall Street fait sa diva, la rotation sectorielle joue les troubles-fêtes. La tech fait la sieste, les investisseurs se réveillent value, et soudain le marché se souvient que Coca-Cola existe. Oui oui : la value, c'est sexy maintenant. ➡️ L'Europe flambe (France +3,5 %, Suisse +4 %, Italie en orbite). ➡️ Les USA patinent (sauf le Dow Jones qui vit son meilleur moment depuis son divorce de 1999). ➡️ L'Asie flippe ses valorisations. ➡️ Le pétrole fait un malaise à 58$. ➡️ L'or remet sa cape de valeur refuge, façon "Batman mais en plus cher". ➡️ Et Cisco, la momie de l'an 2000… revient d'entre les morts avec +1,3 milliard en commandes IA et un flirt public avec Nvidia. Bref, tout le monde joue DEFENSIF. On ne sait pas combien de temps ça va durer, mais en attendant, Nestlé, Procter, McDo et Johnson & Johnson ressortent du placard… et prennent la lumière. Et pendant que vous lisez ce texte, quelque part dans le S&P500 : un trader essaie encore de comprendre pourquoi AMD a d'abord baissé de –2,7 %… avant de prendre +9 % quand quelqu'un a finalement lu le communiqué jusqu'au bout.

Pendant que tout le monde s'excite sur les records du Dow Jones et la fin du shutdown américain, les vraies stars du moment — celles qui construisent les data centers pour nourrir la machine IA — se retrouvent bloquées… faute de ciment et de transformateurs. Oui, oui. On parle bien d'une pénurie de béton dans le monde de la haute technologie. Bienvenue en 2025. Dans cet épisode :

Bien que le dollar américain reste de loin la devise la plus faible sur le marché Forex en 2025, il a rebondi depuis début septembre et pourrait confirmer un retournement haussier à moyen terme s'il franchit une résistance majeure. Cependant, le signal n'a pas encore été donné et les fondamentaux ne sont pas en place. Examinons quelle pourrait être la prochaine tendance sous-jacente du dollar américain d'un point de vue technique et fondamental.

Et là ? BOUM. Le marché explose comme s'il venait de gagner à l'EuroMillions. Dans cette vidéo du 11 novembre 2025, je te raconte comment : • Wall Street passe de la déprime au feu d'artifice en 48 heures • Huit sénateurs à moitié congelés font bondir le Nasdaq de +2,3% • La Suisse frôle enfin le “miracle” d'un tarif US ramené à 15% • Les Européens lèvent les bras au ciel dès que Washington respire • Trump remet une pression XXL sur Powell et sur les taux • Jim Chanos humilie Michael Saylor avec un trade d'une simplicité biblique • Et pourquoi le marché adore rêver… surtout quand ça l'arrange Bref : une séance complètement bipolaire, absurde, délicieuse et typique de 2025. Si tu veux comprendre comment fonctionne la Bourse quand elle part en freestyle complet, cette vidéo est pour toi.

Alors que la valorisation boursière US est sur ses records et que la volatilité a augmenté sur les actifs risqués en bourse, peut-on désormais valider avec certitude l'entrée en « bear market » cyclique ou s'agit-il d'un bear trap avant une reprise de fin d'année ?

Entre micro-news qui durent 12 minutes, traders qui changent d'avis toutes les 3 respirations et narratifs à deux balles qui justifient n'importe quel mouvement, on nage en plein délire collectif. Au menu: Trump qui bricole des deals avec la Chine, Michael Burry qui sort le lance-flammes sur l'IA, un shutdown qui coûte un bras par jour, les “Magnificent Seven” qui tournent au rouge tomate et un marché qui découvre qu'investir plus de 24 heures, c'est devenu old school. Le résultat? Des indices qui vacillent comme en 2008, un S&P500 qui fait un reverse à 110 points sur RIEN, des valorisations qui s'envolent comme des drones sans GPS, et un secteur IA qui perd l'équivalent du PIB du Luxembourg en trois tweets. Bref, un marché hyperactif, instable, accro au narratif et incapable de garder une direction plus de 6 heures. Le buy the dip marche encore, mais on joue avec des allumettes au-dessus d'un baril d'essence… et tout le monde trouve ça normal. Dans cette vidéo Swiss Bliss, je te raconte tout ça, avec du recul, de la mauvaise foi, des vannes et l'envie de comprendre ce foutoir plutôt que de le subir. Installe-toi, respire… Et bienvenue dans l'économie version 2025: la finance en mode TikTok.

Les marchés ont encore joué à “Pile je monte, face je panique”, et comme d'hab, tout le monde court dans tous les sens en criant au génie ou à l'apocalypse selon l'heure de la journée. Dans cet épisode du Morningbull Live, on décortique la séance d'hier: La tech trop chère, Nvidia qui se prend les pieds dans le tapis, les chiffres de l'emploi US qui ressemblent à un film d'horreur low-cost, les valeurs qui s'effondrent façon Verdun… et puis, au milieu du chaos, Elon Musk qui décide tranquillement de devenir le premier trillionaire de l'histoire. Normal. Jeudi quoi. On parle aussi de la danse du narratif version Wall Street: mardi panique, mercredi méditation, jeudi meltdown… et vendredi? Vendredi on rachète, évidemment. Parce que “les chiffres sont mauvais donc Powell va baisser les taux”. La logique financière moderne, c'est devenu un concept artistique. Bref, une semaine qui ressemble à un combat de kick-boxing entre macro, géopolitique et algos, mais racontée avec humour, mauvaise foi et vulgarisation maison. Bonne vidéo, et prépare-toi: On va encore changer d'avis lundi à 9h31.

Par contre, côté sens de l'humour, on frôle le génie comique. Dans cet épisode du Morningbull Live, on revient sur une journée typique de Wall Street, ce grand théâtre où tout le monde panique le mardi, oublie tout le mercredi, rachète comme des malades le jeudi, et termine convaincu que l'IA va régler la paix dans le monde d'ici lundi prochain. Au programme du jour : – Michael Burry transformé en croque-mitaine des marchés, puis oublié plus vite qu'un mot de passe Amazon ; – Trump qui joue à la pétanque avec la Constitution et ses tarifs douaniers ; – La Cour Suprême qui commence à se dire que, peut-être, éventuellement, tout ça ne ressemble pas vraiment à une stratégie économique ; – Des chiffres économiques servis façon “tout et son contraire” — mais tant que ça monte, hein… ; – Et un OpenAI qui vient carrément demander au gouvernement US… de garantir ses emprunts. Oui. L'entreprise qui construit des super-cerveaux veut que vous, contribuables, soyez leur caution. On nage dans la poésie. Bref : un condensé de tout ce que les marchés font de mieux… C'est-à-dire n'importe quoi. Si tu veux comprendre pourquoi tout part en vrille tout en gardant le sourire, tu es au bon endroit. Installe-toi. Respire. Et surtout… attache ta ceinture.

Et cette fois, il revient... avec un short massif sur les stars de l'IA. Résultat : panique à Wall Street, Nasdaq en vrac, et les investisseurs qui redécouvrent la gravité.

Le cours de l'or a t-il fait un top cyclique ou un top local à 4381$ lors de la session boursière du lundi 20 octobre dernier ? Vincent Ganne propose de répondre à cette question sous les angles d'attaque fundamental et technique.

Et Sam Altman, c'est devenu le Matchmaker : il swipe à droite sur Microsoft, Amazon, Nvidia, AMD, Oracle, Intel, TSMC… et tout le monde dit oui. Chaque semaine, un nouveau deal à plusieurs milliards, une nouvelle romance financière… et à chaque fois, les marchés s'enflamment comme des ados devant un premier “match”. Le problème ? Personne ne sait ce que tout ça rapporte vraiment. Mais ce n'est pas grave : tant qu'on prononce “IA”, “cloud” et “milliards” dans la même phrase, les traders perdent la tête et les actions décollent. Pendant ce temps, l'économie réelle ? Toujours en shutdown. Powell rame. Palantir découvre que la gravité existe encore. Et les investisseurs sont convaincus que la croissance se mesure désormais en téraflops plutôt qu'en PIB. Bienvenue dans le monde absurde de 2025, où la Bourse est devenue un jeu de séduction entre l'Intelligence Artificielle et Wall Street. Un épisode à ne pas manquer, entre ironie, analyse et pur délire technologique.

La Fed redevient gentille, le shutdown bat tous les records, Trump et Xi font semblant de s'aimer, et tout le monde continue de surfer la vague comme si elle ne devait jamais retomber. Mais attention : entre euphorie, valorisations délirantes et signaux de surchauffe, on n'est peut-être pas si loin du point de rupture. Dans cet épisode : Fin du Quantitative Tightening (et pourquoi c'est un vrai game changer) La Fed, toujours en mode “je baisse, mais pas trop vite” Les marchés qui montent malgré tout Et le cas Palantir, la boîte qui défie la gravité (jusqu'à quand ?)

La FED a dévoilé la semaine dernière une nouvelle décision de politique monétaire avec une trajectoire en matière de taux d'intérêt des fonds fédéraux et de politique monétaire non-conventionnelle. Est-ce suffisant pour pousser plus haut un S&P 500 déjà proche de son record historique en termes de valorisation ?

Des résultats excellents ? “Pas assez bons.” Des prévisions solides ? “Pas assez ambitieuses.” Et pendant ce temps, on avance les yeux bandés, entre Powell qui baisse les taux sans promettre la suite, Trump qui signe la paix avec Xi sans vraiment y croire, et un shutdown américain qui bat tous les records. Tout le monde veut du parfait, du brillant, du spectaculaire… mais plus personne ne sait vraiment ce qu'il cherche. Le marché veut monter, mais il a la gueule de bois. L'économie veut ralentir, mais elle continue de boire du Red Bull monétaire. Bref : on est dans une partie géante de colin-maillard financier, et les murs se rapprochent doucement. Bienvenue dans Swiss Bliss, édition du 1er novembre 2025. On parle résultats, Fed, Trump, Suisse… et surtout d'un marché qui ne veut plus rien entendre — sauf le son de sa propre euphorie


Hier, c'était censé être LA journée historique :

mais tout le monde sabre déjà le champagne. Powell n'a encore rien annoncé, mais on sait déjà qu'il va baisser les taux - à 97.8% On ne vend plus la rumeur, on achète le miracle et on vient d'aligner 3 séances de records..

Et tout le monde trouve ça normal. Le S&P 500 vient d'enchaîner son 35ᵉ record de l'année, les investisseurs respirent l'euphorie à pleins poumons, la Fed s'apprête à baisser les taux, et Trump promet la paix mondiale entre deux tweets contradictoires. Pendant ce temps, Apple, Microsoft et Nvidia valent à eux trois plus que la France, l'Italie, la Suisse et l'Angleterre réunies. Et tout le monde continue d'acheter, comme si de rien n'était. Mais à force de grimper sans oxygène, la Bourse commence à ressembler à un alpiniste sur l'Everest : le sourire crispé, les poumons vides, et tout le monde qui applaudit pendant qu'il devient bleu. Dans cette vidéo, je t'explique pourquoi les marchés sont en apnée, pourquoi tout le monde fait semblant que ça va bien, et surtout, pourquoi c'est exactement comme ça qu'une bulle éclate. Parce qu'au fond, les bull markets ne meurent pas de peur…

La prochaine réunion de la Réserve fédérale américaine, prévue le 29 octobre, sera l'une des plus importantes de l'année. Les marchés s'attendent largement à une baisse des taux, mais l'attention se portera surtout sur les détails : la Fed va-t-elle également ralentir ou mettre fin à la réduction de son bilan (QT) et comment Jerome Powell va-t-il définir la prochaine phase de la politique monétaire ? Avec le ralentissement de l'économie américaine et l'incertitude qui plane toujours sur l'inflation, chaque mot et chaque geste de la Fed auront une incidence sur la liquidité mondiale, les anticipations de taux d'intérêt et la confiance des investisseurs. Vous trouverez ci-dessous un résumé clair des principaux facteurs à surveiller et de leur signification potentielle.

Trump signe des deals imaginaires, Powell baisse les taux comme si l'inflation n'existait plus, et la Bourse plane au-dessus des nuages, shootée aux amphétamines monétaires. Le Nikkei s'envole, le S&P 500 flirte avec les 7'000, et tout le monde fait semblant de croire que tout va bien. Bienvenue dans l'économie sous euphorisants, où plus rien n'a de sens — sauf la hausse. C'est Noël avant Halloween, la fête avant le crash, la dopamine avant la dépression. Au programme :

Shutdown ? On s'en fout. Dette à 38'000 milliards ? On s'en fout. Inflation ? “Moins pire”, donc tout va bien. Le S&P500, le Nasdaq et même le SOX volent de record en record pendant que Trump menace, négocie, insulte, puis re-négocie et RE-RE-négocie.— et que Powell s'apprête à ...baisser les taux. Pendant ce temps, en Suisse, Roche déçoit, Lonza cartonne, Galderma rayonne, Sonova innove et Schindler licencie… mais globalement, tout le monde garde le sourire, parce que l'espoir d'une baisse de taux fait office de dopamine collective. Bref : le monde brûle, mais la Bourse a du feu dans les yeux Et la semaine prochaine ? Powell, Trump, Xi, les Magnificent 7 et une avalanche de résultats… autant dire qu'on ne va pas s'ennuyer.

Bienvenue dans “Le monde selon Trump”, épisode 274. Le président américain refait le show : un jour il menace la Chine, le lendemain il annonce une rencontre avec Xi Jinping… puis il déclare la guerre au Canada à cause d'une pub des années 80 avec Ronald Reagan. Entre deux tweets, il fait grimper le Nasdaq, bouger les taux, et tourner les traders en bourrique. Un seul homme dirige les marchés mondiaux. Pas la Fed. Pas Powell. Non, Donald Trump, le trader en chef de la planète.

Et quand ton coach s'appelle Donald Trump, tu sais que t'es pas près de dormir tranquille. Un jour, il déclare la guerre commerciale à la Chine. Le lendemain, il serre la main de Poutine. Et entre deux tweets, il annonce qu'il va révolutionner le monde avec le quantum computing. Bienvenue dans la Bourse 2.0, celle où la volatilité est une stratégie et où la logique a pris des vacances à Mar-a-Lago. Les marchés ne réagissent plus aux résultats, ni à l'inflation, ni aux taux… Non. Ils réagissent à Truth Social. Dans cet épisode du Morningbull Live, on parle de :

— une journée, –5,7 %, et les médias hurlent déjà à l'apocalypse. Mais calmons-nous deux minutes : non, ce n'est pas la fin du monde, juste la fin du rêve de voir le lingot à 5'000 $ avant Noël. Dans cet épisode du Morningbull Live, on revient sur : Pourquoi l'or s'est effondré (et pourquoi ce n'est pas grave) Le rôle du dollar dans cette chute historique Les records de Wall Street et le retour en grâce des industriels Netflix qui rame, Warner qui se vend et L'Oréal qui s'enrhume Et mon petit coup de gueule contre un abruti qui usurpe mon identité sur les réseaux

La BCE paraît désormais en phase de pause prolongée plutôt qu'en plein cycle de baisses. Les conditions — inflation proche de l'objectif, stabilité économique relative et absence de pressions immédiates — rendent peu probable une coupe imminente. Mais rien n'est gravé dans le marbre : si les conditions se détériorent ou de nouveaux risques apparaissent, une nouvelle baisse n'est pas exclue. Dans ces conditions, l'euro dollar peut-il se relancer à la hausse ?

Trump refait la paix avec la Chine (encore), Apple redevient une religion, BNP voit ressurgir ses vieux démons, et tout le monde s'en fout… tant que le vert clignote sur les écrans. Les ETF à levier explosent, le crédit commence à craquer, mais Wall Street plane tranquille, persuadée que Powell viendra baisser les taux et sauver tout le monde.

Cette semaine, entre faillites discrètes, dettes planquées, marchés euphoriques et gouvernements qui jouent avec le feu, on sent bien qu'il y a un truc qui gratte sous les bilans. On nous dit que tout va bien :

Alors que le marché actions US est dans une phase d'excès de valorisation et que des résistances techniques de long terme agissent sur le S&P 500, le prix des obligations forment une base d'accumulation depuis l'année 2022 et les institutionnels commencent à augmenter leur exposition à l'achat. L'année 2026 pourrait être l'année du grand retour des obligations en bourse, en voici 9 raisons.

Après le Trump Trade de la fin de l'année 2024, c'est le « Debasement Trade » qui est le terme à la mode en cette seconde partie de l'année 2025. Le Debasement Trade est le facteur de soutien à la tendance haussière de certains actifs financiers, Vincent Ganne vous explique en quoi cela consiste et surtout si ce trade va durer ou très prochainement se terminer.

Bienvenue dans le syndrome du poisson rouge : la Bourse qui panique un jour, oublie le lendemain, et s'enflamme le surlendemain — le tout sans la moindre logique. Une phrase de Trump vaut aujourd'hui autant qu'une décision de Powell. Et pendant que Wall Street s'excite, tout le monde fait semblant de croire que “tout va bien”. Dans cet épisode, on revient sur :


Bienvenue dans le seul Morningbull où même ton café hésite avant d'ouvrir Bloomberg. Ce matin, on parle du dernier coup de génie de Donald Trump — celui qui a réussi à faire fondre 2'000 milliards de dollars de capitalisation boursière… avec un simple tweet de 161 caractères. Les marchés paniquent. Le Bitcoin tangue. Les algos deviennent fous Et Trump tourne la veste 48 heures plus tard..

Performance du S&P 500 depuis l'automne 2022 : 94% Cette performance est presque équivalente à la performance du marché haussier qui s'est construit entre l'année 2002 et l'année 2007. A l'époque, ce faut une bulle spéculative liée au crédit et à l'immobilier, un bear market de 2 ans et de 57% de baisse a ensuite eu lieu. Le marché haussier depuis 2022 est-il entré en phase de bulle cette fin d'année 2025 ? Qui dit bulle dit éclatement de la bulle.

Trump a décidé de rallumer la guerre commerciale avec la Chine, le Bitcoin s'est fait dégommer, les cryptos ont plongé, et Wall Street a rejoué Vendredi 13 – version macroéconomique. Entre shutdown américain, Powell muet, terres rares bloquées par Pékin, et Trump en mode kamikaze, les marchés ont vacillé… Et pendant que tout le monde paniquait, un mystérieux trader crypto empochait 192 millions de dollars pile avant l'annonce. Coup de génie ou info d'initié ? Bienvenue dans le monde merveilleux de la finance moderne : tout est lié, tout est fou, et tout va (encore) trop vite.

Les marchés sont KO debout : zéro volatilité, zéro news, zéro panique… bref, l'ennui total. Depuis avril, le S&P500 a pris +40% et maintenant, tout le monde fait la sieste — sauf les investisseurs particuliers, qui eux achètent comme s'il n'y avait plus de lendemain (record absolu : +105 milliards en un mois !). Powell ? Toujours “data dependent”, sauf qu'il n'y a plus de data. Ferrari ? 1'000 chevaux, zéro émotion, et un son de V12… en MP3. Et les “quantum stocks” ? La nouvelle bulle pour geeks en mal de gravité. Pendant ce temps, en Europe, Macron cherche encore un Premier ministre vivant, et les marchés s'accrochent à l'idée folle que tout va bien. Bref : tout est calme. Beaucoup trop calme. Et comme disait Numérobis : “Je préfère quand c'est un peu trop plus moins calme.” Abonne-toi pour ne plus rater les prochains épisodes ! Chaque jour, la Bourse, l'humour et un peu de mauvaise foi — by Thomas Veillet.

Un monde où tout va bien… parce que la Bourse monte. Et plus ça monte, plus on est content — parce qu'apparemment, quand les indices battent des records, tout le reste n'a plus d'importance.

Aujourd'hui, on plonge dans le nouveau délire de la finance moderne : la finance circulaire de l'intelligence artificielle. Nvidia investit 100 milliards de dollars chez OpenAI. OpenAI investit des dizaines de milliards chez AMD. Oracle finance tout ça avec… des GPU Nvidia. Et Nvidia investit à nouveau 2 milliards chez Elon Musk pour que xAI lui rachète ses propres puces. Oui, oui. C'est comme si ton boulanger te prêtait de l'argent pour que tu lui achètes sa baguette — sauf que là, on parle de milliards, de serveurs géants, et d'un bull market en apnée. Bienvenue dans le grand manège de la Tech, où l'IA s'autofinance, se rachète et s'encense… pendant que tout le monde applaudit la “révolution”. Mais à force de tourner sur elle-même, la machine finit toujours par chauffer. Dans cet épisode :

Le Dollar US reste la devise la plus faible du Forex et comme lors du premier mandat de Trump il a chuté la première année de mandat avant de rebondir la seconde année de mandat. Au passage la seconde année du mandat est la plus faible du cycle présidentiel. Un scénario de rebond du dollar US (DXY) en 2026 est-il crédible sur les plans fondamental et technique ?

De l'action, des trahisons, du chaos politique et… un Premier ministre français qui bat un record du monde de vitesse ! Pendant ce temps, à Wall Street, AMD humilie Nvidia avec OpenAI, Elon Musk allume deux phares et fait décoller Tesla, et le Japon nomme une Première ministre qui veut réveiller une économie en coma depuis 30 ans. Bref : du sang, des bulles, de la dette, du génie et beaucoup d'absurde. Bienvenue dans le seul endroit du monde où un GIF peut valoir 80 milliards de dollars (de market cap)

Dans cette vidéo, on parle de tout ce qui fait le sel de l'actualité financière : Les marchés boursiers au plus haut historique malgré un emploi américain en berne. Le shutdown aux États-Unis qui bloque les chiffres officiels, mais pousse paradoxalement la Fed vers une baisse des taux. Donald Trump, qui rêve d'un Prix Nobel de la Paix… et qui aura bientôt sa propre pièce de 1 dollar. En France, Emmanuel Macron recycle ses ministres et ramène Bruno Le Maire, pendant que le CAC40 monte comme si de rien n'était. Au Japon, Sanae Takaichi s'apprête à devenir la première femme Premier ministre et fait bondir le Nikkei de +4,6%. Et en toile de fond : le pétrole, l'or, le Bitcoin et la spéculation qui battent tous les records.

C'est à partir de ce mois d'octobre et progressivement que se termine le drain de liquidités qu'est le remplissage du TGA auprès de la FED. Vincent Ganne explique en quoi consiste le TGA & le cycle de liquidité et l'impact possible sur les actifs risqués en bourse.

Pendant que Washington bloque le budget et envoie 750'000 fonctionnaires à la maison, Wall Street décide que c'est… bullish. Plus c'est pourri, plus ça monte. Le S&P 500 claque même son 31ème record de l'année. En Suisse, le SMI caracole, porté par Roche et Novartis, dopés par le deal surprise entre Trump et Pfizer. UBS, elle, se prend une exposition à 500 millions dans la faillite de First Brands – un parfum de Greensill 2.0 qui tombe mal. Et Sika, fidèle à elle-même, s'offre un fabricant danois de mortiers pour muscler sa présence dans le Nord. Bref, une semaine où chaque mauvaise nouvelle est devenue une bonne nouvelle pour les marchés, preuve que l'euphorie boursière vit dans un monde parallèle. Mais attention : plus le château de cartes monte, plus la chute sera douloureuse.

Wall Street bat record sur record pendant que Washington est paralysé. Le Shutdown coûte 0,1% de PIB par semaine ? Tout le monde s'en fout : le marché ne regarde qu'une chose

✨ Des rêves de football aux marchés financiers : le parcours inspirant de Gilles, aujourd'hui Head of Sales chez Xtrackers. De la Suisse à l'Angleterre, en passant par l'Espagne, les Pays-Bas et l'Argentine, son histoire mêle passion sportive, carrière internationale et finance. ⚽

Le gouvernement US ferme ses portes Les chiffres de l'emploi s'effondrent, Powell n'a plus de boussole, Et pourtant… le S&P 500 et le Nasdaq battent record sur record. Parce que dans ce monde-là, plus c'est mauvais, plus ça monte. Shutdown ? → Baisse des taux. Chômage ? → Baisse des taux. Stats révisées n'importe comment ? → Baisse des taux. Et forcément, les investisseurs adorent. Dans cette vidéo, je te raconte comment :