L’émission matinale des traders. Vous prendrez bien un shot d’actualité des marchés? Boostez vos connaissances avec le MorningBull de Thomas Veillet, servi tous les jours on the rocks à 10h30, sur Youtube et en Podcast ! A propos de notre expert: Du franc-parler, de l’audace, un esprit vif: Thomas Veillet, expert du monde financier et ancien trader professionnel, œuvre aujourd’hui comme chroniqueur indépendant. Son crédo: rendre l’univers du trading accessible à tous, au fil d’articles et de capsules vidéo. Abonnez-vous au podcast pour ne jamais manquer un épisode !

Après vous avoir montré pourquoi le S&P 500 pourrait défier la gravité, Thomas Veillet (Morningbull) bascule du côté obscur. Dans cette vidéo sans filtre, on analyse les 10 grenades dégoupillées qui menacent de faire imploser les marchés en 2026. Entre une dette américaine à 39 000 milliards, le retour de bâton de l'inflation et le "moment Dotcom" de l'IA, le château de cartes est-il sur le point de s'écrouler ? ⚠️ ATTENTION : Cette vidéo n'est pas là pour vous faire peur, mais pour vous donner un plan de sortie. En bourse, le risque zéro n'existe pas, et la complaisance est votre pire ennemie L'ombre du Bear Market : Le silence avant l'avalanche, la dette US : Le mur des 38 500 milliards, le Boomerang de l'inflation (Tarifs douaniers), la Bulle de l'IA : L'heure des comptes.. Et plein d'autre nouvelles réjouissantes et des Black Swans dans tous les sens...

Entre la baisse massive de l'IS aux USA, la dérégulation sauvage et l'explosion de la productivité liée à l'IA, le marché américain prépare une accélération sans précédent. Je décortique pour vous chaque point avec un taux de probabilité de réussite précis.

Bienvenue dans ce dernier Morningbull Live avant Noël. On ne va pas se mentir : pendant que tout le monde s'excite sur les puces Nvidia et le futur numérique, le "vieux caillou jaune" vient de braquer la banque en 2025 avec un +71 % historique. Dans cet épisode, on démonte les rouages d'une fin d'année schizophrène : L'Or vs le Dollar : Pourquoi Goldman Sachs vise les 5 000 $ et pourquoi l'argent explose de 137 %. Trump 2.0 & Nvidia : De l'électrocardiogramme plat d'avril aux records d'aujourd'hui, comment la volatilité est devenue une religion. Le Mur de la Dette : 38 500 milliards de dollars. On vous explique pourquoi les USA dépensent plus en intérêts qu'en Défense (le plus grand Schéma de Ponzi de l'histoire). Le "Take-over" de la Fed : En 2026, la Maison Blanche prend les commandes de la planche à billets. Bull Market for ever ou krach de l'indépendance ? On finit 2025 en fanfare, mais avec les yeux rivés sur la porte de sortie. Le marché est en mode somnambule, les volumes sont morts, et les gérants sont déjà au ski. On fait le point avant de tirer un trait et de se retrouver en 2026 pour les 20 ans de la chronique ! Abonnez-vous, likez la vidéo et partagez-la pour qu'on franchisse ensemble la barre des 100 000 followers en 2026 !

Le calme avant la tempête de foie gras Bienvenue dans la zone la plus bizarre de l'année boursière !

Le S&P 500 peut-il aller à 8000 points en 2026 comme le pensent les analystes de la Deutsche Bank ou encore Morgan Stanley ? Le S&P 500 a pris 100% depuis le creux de l'année 2022, deux clefs fondamentales sont obligatoires pour aller plus haut alors qu'un retour initial à 6200 points est aussi un scénario technique sur la table.

on se demande ce qu'on fout encore là ! Alors que tout le monde devrait déjà être en train de tester la température du vin chaud, le marché, lui, a décidé de jouer les prolongations dans un délire collectif assez fascinant. Dans ce dernier Swiss Bliss de l'année, on décortique le sommet de l'art du "bricolage" financier :

Dans ce Morningbull Live du vendredi 19 décembre 2025, on déshabille les chiffres : pourquoi le dernier CPI américain est un pur "bug administratif" dû au shutdown fédéral, comment la Banque du Japon tente de serrer le garrot tout en tenant la perfusion, et pourquoi le marché est entré dans une phase de "foi religieuse" où absolument plus rien ne lui fait peur. Le Père Noël a un boulevard devant lui, mais attention à la marche : quand on marche au bord de la falaise dans le noir, mieux vaut savoir voler. 0:00 Intro 1:51 Le bout du tunnel de l'année 2:50 Les 4 sorcières 3:33 L'inflation a disparu 4:17 Les 43 jours 5:15 Ne pas confondre 5:35 La soupe alphabétique 6:37 Big In Japan 7:28 Le point neutre 8:01 La réaction du marché 8:26 Même pas peur 8:55 Le grand écart 9:33 Un peu de recul Après avoir travaillé dans plusieurs banques de la place genevoise, passé quelques temps à Wall Street et géré des fonds spéculatifs, Thomas Veillet est aujourd'hui et depuis plus de 15 ans, chroniqueur et rédacteur financier. En 2017, il co-fonde investir.ch, un des sites financiers les plus visités en Suisse romande. Avec son charisme et son franc-parler, Thomas vulgarise la finance, dans notre émission quotidienne Morningbull, pour la rendre utile et accessible à tous #Morningbull #Swissquote #Bourse #Investissement #Inflation #Trading #Trump #Japon #BCE #TikTok #Oracle #PèreNoël #Finance #Economy #ThomasVeillet

ier, Wall Street s'est levée sans thème clair : la FED, c'était fait, les chiffres de l'emploi étaient inutilisables, l'économie toujours aussi floue. Alors le marché a fait ce qu'il fait quand il s'ennuie :

Deux. Semaines. Et comme chaque fin d'année, plus personne n'a vraiment envie… Les marchés sont sous Xanax, les analyses tournent en boucle, les narratifs sont recyclés et les chiffres « officiels » sont officiellement pollués. Dans ce Morningbull Live du mercredi 17 décembre 2025, on fait ce qu'on fait de mieux en décembre :

La Banque Centrale du Japon (BoJ) dévoile sa dernière décision de politique monétaire de l'année ce vendredi 19 décembre et son impact immédiat et future peut exercer une influence sur les actifs risqués en bourse à l'échelle mondiale du fait du poids du Japon dans l'économie mondiale et aussi du fait des opérations de carry trade en Yens toujours ouvertes. Point complet avec Vincent Ganne sur ce dernier grand rendez-vous moéntaire de l'année 2025.

Les marchés aussi. Et c'est souvent là que ça devient intéressant. Une FED qui baisse les taux sans trop savoir pourquoi, qui rachète de la dette en douce, une indépendance monétaire de plus en plus fragile,un casting politique explosif pour remplacer Powell, des chiffres économiques bricolés mais analysés avec beaucoup de sérieux, un Japon prêt à secouer le carry trade mondial, et une tech qui commence à fatiguer juste avant Noël… Bref, rien n'a encore cassé. Mais tout est sous tension. Dans ce Morningbull Live, on fait le tour de la dernière semaine complète de trading de 2025, celle que personne ne regarde… et qui pourrait bien réserver une dernière surprise avant le passage du gros en rouge.

La FED a donc dévoilé ses nouvelles perspectives de politique monétaire en termes de cycle du taux d'intérêt des fonds fédéraux US et de politique monétaire non-conventionnelle. Est-ce suffisant pour changer la donne pour le S&P 500 en 2026 ? Point complet avec Vincent Ganne.

Attendu la FED. Attendu Oracle. Attendu Broadcom. Résultat ? ✔️ La FED a bien baissé les taux… mais sans promettre le paradis. ❌ Oracle a douché l'enthousiasme sur l'IA. ❌ Broadcom n'a pas sauvé la tech.

avec un comité qui ne sait plus s'il doit appuyer sur le frein, l'accélérateur ou sortir du véhicule. Powell coupe les taux d'un quart de point… Mais derrière, c'est la fracture totale : trois membres votent contre, chacun veut danser sa chorégraphie, et les prévisions 2026 ressemblent plus à un tirage de loto qu'à un plan de politique monétaire. Pendant que la Fed avance à tâtons, Trump hurle que la coupe aurait dû être deux fois plus grosse, les marchés font mine de s'en moquer, et le S&P500 flirte avec ses records comme si de rien n'était. Bref : un jour normal dans le monde merveilleux de la finance moderne. Dans cette vidéo, je reviens sur : ✔️ Pourquoi la Fed baisse les taux mais ne contrôle plus rien ✔️ La bataille interne entre les membres du FOMC ✔️ La guerre de nerfs entre Powell et Trump ✔️ Les conséquences pour les marchés, les obligations et 2026 ✔️ Et pourquoi tout ça donne l'impression d'une banque centrale qui pilote en plein brouillard, pare-brise bouché, chien-guide bourré à l'arrière Si tu veux comprendre ce qui se passe vraiment derrière les décisions de la Fed — pas le discours lissé, pas les titres de presse, mais la mécanique réelle, les contradictions internes et l'absurdité de certaines positions — tu es au bon endroit. Bienvenue dans Morningbull Live de nuit, Et bienvenue dans un monde où une baisse de taux peut être à la fois attendue, inutile, chaotique… et totalement ignorée par le marché.

alors qu'en douce, c'est peut-être Oracle qui tient le vrai bouton rouge des marchés. Ce soir :

Depuis l'année 2024 et le début de la remontée du taux d'intérêt de la Banque Centrale du Japon (BoJ), les nouvelles opérations de carry trade en Yen japonais sont devenues marginales et 50% des positions ouvertes ont été clôturées. Malgré tout, cela n'a pas provoqué de krack mondial. Mais si le Yen devait rebondir trop fortement et si les taux japonais devaient encore monter plus rapidement, le risque d'impact négatif serait encore présent. Point complet, carry trade, Yen et BoJ avec Vincent Ganne.

La seule chose qui bouge, c'est l'ennui. Et pourtant, les excuses fleurissent : « repositionnement stratégique », « digestion de l'information », « respiration du marché », « légère aversion au risque »… Bref, la poésie habituelle pour faire croire qu'on comprend quelque chose. La vérité est simple : tout est déjà dans les prix, et le seul suspense, c'est de savoir si Powell va dégainer un discours technico-apocalyptique ou juste un petit –0,25 % pour la forme. Pendant que Wall Street fait du surplace, l'économie réelle continue de grincer : plus 1'200'000 d'emplois supprimés en 2025 et pourtant un S&P500 qui caracole vers les étoiles. Ajoutez à ça que 6 Américains sur 10 pensent être en récession alors que le PIB flambe… et vous obtenez une ambiance psychologique assez spéciale. Et au milieu de tout ça : l'IA, bien sûr. 63% de la croissance US viendrait des investissements dans l'intelligence artificielle. Traduction : sans elle, l'économie américaine boiterait comme une vieille Renault 4L en montée. Mais l'autre feuilleton du jour, c'est le méga drama WarnerBros–Netflix–Paramount, digne d'une telenovela brésilienne sous stéroïdes. Offre hostile à 108 milliards, Jared Kushner et les Saoudiens en coulisses, Trump qui souffle sur les braises, et un antitrust qui respire dans un sac en papier. Hollywood n'aurait pas osé un scénario aussi tordu. Et ce n'est pas fini : Trump autorise à nouveau Nvidia à vendre des puces à la Chine… en prélevant 25% du business, façon Parrain. Pékin, de son côté, pousse ses géants à ne plus acheter américain. Résultat : Nvidia est désormais la seule boîte bannie des deux côtés. Bel exploit. Bref :

Depuis 26 mois, tout tourne autour d'un seul mantra : « La FED va baisser les taux ». On y a cru, on l'a répété, on l'a espéré… et pourtant, les baisses de taux ont été rarissimes. Mais les marchés ? Eux, ils ont continué de monter comme si Powell distribuait du QE au petit-déjeuner. Dans cette vidéo, je reviens sur : Le fameux pivot de Powell en 2023, Les promesses de 12 baisses de taux qui ne sont jamais arrivées, La déconnexion totale entre Wall Street et l'économie réelle, La stratégie « bullish attitude » qui tient plus du rituel vaudou que de la macro, Et ce qui pourrait vraiment se passer mercredi soir lorsque la FED appuiera (peut-être) sur le bouton. On parle aussi de Netflix qui veut s'acheter Hollywood, de la Chine et du Japon qui rejouent Top Gun au-dessus d'Okinawa, du Bitcoin qui continue de faire du trampoline, et des marchés qui flirtent dangereusement avec les 7'000 points sur le S&P 500. Bref : 2025 résumée en une phrase : on attend, on espère, on stresse… et on prie pour que Powell ne se transforme pas en faucon au dernier moment. Si tu veux comprendre l'ambiance schizophrène des marchés cette semaine, cette vidéo est faite pour toi.

La FED de Jérôme Powell dévoilé sa dernière décision de politique monétaire annuelle ce mercredi 10 décembre, avec notamment la mise à jour de ses projections macro-économiques. Examinons ce qui va vraiment compter lors de cette décision de politique monétaire et quel impact en bourse ?

Décembre est là, la cannelle flotte dans l'air, Wall Street roupille à moitié… et tout le monde parie déjà sur le « Rallye du Père Noël ». Sauf que cette année, c'est pas le Père Noël qu'on attend. C'est le Père Powell — et son sac rempli de baisses de taux. Dans ce Swiss Bliss, on revient sur une semaine d'une mollesse historique : PMI dans les chaussettes, emploi en vrac, inflation qui fait du surplace… bref, une économie qui éternue et un marché qui s'en fout complètement. Pourquoi ? Parce que tout le monde regarde dans la même direction : la FED mercredi prochain. On parle volatilité, records qui se rapprochent, sommeil profond des marchés, Tuna Bonds, UBS sous stéroïdes réglementaires, Galderma qui lifte tout ce qui s'affaisse, Swiss Re qui promet beaucoup (trop ?) et toutes les petites news qui ont animé la semaine. Et puis, évidemment, je vous parle du Japon — le truc dont “tout le monde se fout”… jusqu'au jour où le yen se réveille et envoie un tsunami sur le carry trade mondial. Si ça arrive, vous ne pourrez pas dire que je ne vous avais pas prévenus. Bref : une semaine molle, une semaine étrange, mais une semaine charnière avant un mercredi qui pourrait tout changer.

Pas par conviction. Pas par confiance. Juste… par inertie. On vit une époque étrange : les chiffres hurlent, les signaux clignotent, les narratifs craquent de partout… et pourtant, le marché continue de sourire comme si on ne voyait pas la fissure juste derrière le papier peint. Dans cette vidéo, je te montre comment avec EXACTEMENT les mêmes données, on peut raconter :

On a beau lire la presse, écouter les experts, regarder la macro, tout semble dire que non, vraiment, ce n'est pas le moment d'être euphorique. Mais Wall Street s'en fiche. Il suffit de tordre l'info dans le bon sens… et tout devient bullish. Dans cette vidéo, je te montre comment, avec les mêmes chiffres, la même réalité, on peut créer deux narratifs opposés:

➡️ Le moment où Wall Street arrête totalement de réfléchir pour ne vivre que pour UNE SEULE CHOSE : la baisse des taux. Tout le reste ? L'inflation, la géopolitique, la Chine, les cyborgs japonais, Microsoft qui trébuche…

Un décor parfait pour parler… d'amour du risque. Le Bitcoin rebondit comme un ressort dopé à la caféine, les investisseurs retrouvent soudainement le sourire, et la boussole du marché pointe désormais vers une seule direction : la crypto-star. En 24 heures, on est passé du “KRACH IMMINENT” au “on vise les plus hauts historiques avant Noël ?”. Bienvenue à Wall Street. Dans cette vidéo, on analyse :

Depuis le lundi 1er décembre 2025, le QT de la FED initié en 2022 a été mis à l'arrêt. L'évolution du bilan de la FED a toujours eu un impact majeur sur les actifs boursiers, notamment sur le marché des changes. Par quels mécanismes ? Quel impact attendre sur le FX et le dollar US ? Vincent Ganne vous explique tout.

Entre Airbus qui nous fait le remake de “Panique à bord”, l'Allemagne qui transforme son industrie en spaghetti trop cuits, les USA qui cherchent désespérément un peu de momentum et le Japon qui éternue tellement fort que tout le marché obligataire tremble… on est servis. Et pourtant, au milieu de ce joyeux chaos, les marchés veulent toujours acheter le dip. Parce qu'on est câblés comme ça : un mélange bizarre d'optimisme naïf et de déni organisé. La macro fait peur ? Pas grave : “ça veut dire baisse des taux !”. Le Bitcoin déprime ? Bah… une bonne nuit de sommeil et on n'en parle plus. Nvidia “en promo” ? Les analystes passent instantanément en mode fanboy. Meta à +70%, Oracle à +90% ? Pourquoi pas. C'est Noël, non ? Dans cet épisode du Morningbull Live, je reviens sur :

l'IA qui devient hors de prix, les dettes qui gonflent, les comptables qui pleurent, Michael Burry qui nous annonce l'apocalypse… et un Nasdaq qui décide de flinguer la photo de classe en terminant dans le rouge. Magnifique. Mais tout ça, c'était avant. Parce que là, on entre dans LE MOIS POWELL : la période où la FED devient ton colocataire, ton psy, ton horoscope et ton père spirituel. Pendant dix jours, tu vas manger FED, rêver FED, analyser FED. Même si t'en peux plus. Pendant ce temps, l'Américain continue de consommer comme s'il avait gagné 4 fois l'EuroMillions : Thanksgiving → Black Friday → Black Weekend → Cyber Monday. Résultat : +9% de ventes, 11,8 milliards dépensés… avec de l'argent qui n'existe pas. Mais tout le monde trouve ça normal.

Alors que la valorisation du marché est sur un record historique et que la FED pourrait se montrer dure ces prochains mois, le S&P 500 ne crashe pas malgré la hausse récente de la volatilité implicite. Pourquoi le marché ne crashe pas, pourquoi fait-il de la résistance, va-t-il chuter in fine ? Vincent Ganne répond à toutes ces questions.

Cette semaine, on a tout eu : un marché qui tourne la veste plus vite qu'un politicien en campagne, une FED qui souffle le chaud, le froid et le conditionnel, des rumeurs de paix qui réveillent la construction, et Google qui redevient le boss final de l'IA pendant que tout le monde enterre OpenAI. On fait le point sur :

Aujourd'hui, c'est simple :

Jamais autant cette année 2025 le dollar US a été à la croisée des chemins moyen terme sur le plan technique, au contact d'un seuil qui peut décider de sa tendance de fond pour les 12 prochains mois. Mais ce choix sera-t-il fait avant le 10 décembre, le jour J FED le 10 décembre ou après le 10 décembre ? Essaie de réponse avec Vincent Ganne.

Une semaine de panique pure, la suivante en mode reset total, comme si on s'était tous fait flasher par le Neuralyser de Men in Black. Les craintes ? Effacées. Les valorisations délirantes ? Oubliées. Nvidia-Enron ? Mais qui a dit ça, franchement ? Et tout ça pourquoi ? Parce que deux banquiers centraux ont lâché trois mots dans une phrase… et BOUM : retour de la Bullish Attitude, du « à poil les shorts », et du Nasdaq qui bondit comme un chat sous amphét'. Pendant que ça brûle à droite, que ça explose à gauche, que Trump charge une fusée d'IA direction la Lune et que SoftBank fond comme un cornet de glace en plein désert, Wall Street recommence à rêver. Et trembler. Toutes les quatre heures. Bienvenue dans la vidéo du jour.

Cette vidéo, c'est le résumé de la semaine, les pensées du lundi matin, un peu d'analyse musclée, un peu de sarcasme, beaucoup de caféine… et une météo mentale en mode neige, vent et envie de rhum. Au menu :

L'incertitude autour de la décision de politique monétaire de la FED du mercredi 10 décembre est très forte eu égard aux dissensions au sein des membres votants du FOMC et au manque de visibilité causé par le trou noir statistique du shutdown. Les chiffres reviennent, la FED pourrait surprendre le marché alors que ce dernier souffre maintenant d'une valorisation excessive.

Puis arrive 10h37. Et là… plus rien ne fait sens. Les écrans passent au rouge, les algos paniquent, les investisseurs transpirent, et tout ce qu'on refusait de voir depuis deux semaines remonte d'un coup à la surface comme un vieux cadavre dans le lac Léman. – Le VIX explose. – Le S&P décroche de 3,5% depuis le plus haut. – Nvidia… termine dans le rouge (oui, après des résultats monstrueux). – Et l'IA, l'idole absolue des marchés, devient soudainement un paria. Dans cette vidéo, je t'explique ce qui s'est passé, pourquoi personne n'a rien vu venir, et surtout pourquoi le marché a choisi d'avoir peur à 10h37 précises. On parle surcapacité, dark datacenters, consommateurs rincés, liquidité qui s'évapore, dettes sur marge, et ce bon vieux Ray Dalio qui ressort pour dire que « ça ressemble beaucoup à 1999 ». Bref : un marché en pleine crise existentielle, un jeudi qui pique, et un narratif qui change à la vitesse de Trump quand il parle de taxes. Bonne vidéo… et bonne chance.

Hier soir, tout Wall Street retenait son souffle en attendant les résultats de Nvidia. On parlait de krach, de bulle IA prête à éclater, de fin du rêve… Et puis Jensen Huang est arrivé avec son cuir, son t-shirt noir, et un trimestre tellement indécent que même les plus gros sceptiques ont ravaler leurs prédictions apocalyptiques. Résultats historiques. Guidance monstrueuse. Data centers en feu. Blackwell totalement sold out. Et au passage, Morgan Stanley nous balance que les mégacaps tech sont sous-détenues comme jamais depuis 16 ans. Traduction : les gérants vont devoir acheter du Big Tech. Et vite. Pour le reste ? Les marges chipotent, le deal OpenAI n'est toujours pas signé, mais honnêtement, qui en a quelque chose à faire ce matin ? Tout ce qui comptait, c'était que la Bourse tienne debout. Nvidia l'a fait. Encore. Dans cette vidéo, je te prends par la main, je t'explique tout, je démonte les peurs, je décortique les chiffres, je parle bulle, data centers, Blackwell, concurrence, marges, et je t'emmène dans la tête d'un marché qui a décidé — pour l'instant — d'aimer très fort Nvidia. Pas de krach. Pas de drame. Juste la plus grosse machine de croissance du monde en mode rouleau compresseur. Bon visionnage

Dans cette vidéo, on plonge ensemble dans l'hystérie collective du moment : Pourquoi les techs s'effondrent, Pourquoi tout le monde flippe AVANT les chiffres, Pourquoi Jensen Huang et Jerome Powell tiennent littéralement le marché entre leurs doigts, Et surtout : est-ce qu'on est au bord d'un vrai krach… ou juste dans un krach annoncé (donc probablement faux) ? Je te donne aussi la check-list complète pour décoder les résultats de Nvidia ce soir : quoi regarder, quoi éviter, et comment repérer en 10 secondes si le marché va respirer… ou prendre feu. On en rigole, mais ce soir ça peut être moins drôle.. Bonne vidéo, bon courage, et comme d'hab : si Huang éternue, mets ton casque.

Dans cette nouvelle édition du Fast & Forex, Vincent Ganne vous partage ses derniers signaux et alertes sur les matières premières et les paires majeures du Forex.

Aujourd'hui, on est officiellement entrés dans la zone où les marchés transpirent plus que les traders en 2008 : burn-out complet de l'IA, panique autour de Nvidia, la FED qui flippe, et… le Japon qui est peut-être en train de faire sauter le système financier mondial sans que personne ne bronche. Oui, rien que ça. Entre un 10 ans japonais à 1,71%, le yen carry trade qui menace d'exploser façon Fukushima, 1'100 milliards de Treasuries qui pourraient rentrer à la maison, et Nvidia qui doit jouer le rôle du Messie demain soir… on est dans un épisode de Game of Thrones version financière. Sauf que cette fois, même Powell ne peut plus sauver le royaume. Dans cette vidéo, je te décortique : l'essoufflement brutal de la tech la nervosité des marchés avant Nvidia le Japon qui retire la prise après 30 ans de liquidité gratuite le carry trade qui vacille les valorisations qui tremblent et pourquoi Tokyo — pas Washington — tient le vrai bouton nucléaire financier. C'est drôle, c'est noir, c'est technique, c'est impertinent. Bref : c'est Morningbull Live

Le shutdown a foutu un bazar monumental dans les chiffres économiques, la Fed navigue à vue, l'IA commence à montrer des fissures… et les marchés font semblant d'être détendus alors qu'ils transpirent comme dans un sauna finlandais. Mais tout ça… c'est du détail. Le vrai juge de paix, c'est mercredi soir. Nvidia publie ses résultats, et là, on saura : ➡️ si le bull market continue son marathon ➡️ ou si on part en mode bain de sang au petit-déjeuner Les tensions montent dans l'IA, la liquidité disparaît dans le système financier, l'immobilier craque aux États-Unis, la Chine s'énerve contre le Japon… et au milieu de tout ça, Wall Street retient son souffle. On débriefe tout ça dans ce Morningbull Live : la macro, la Fed, l'IA, le stress bancaire, les foreclosures, la rotation sectorielle, et bien sûr… Nvidia, le nouveau patron officieux des marchés. Bienvenue dans le chaos organisé ➡️ Abonne-toi Pour ne rien rater des prochains épisodes et suivre la seule chaîne où on parle finance avec humour, honnêteté et un brin de mauvaise foi assumée.

Le shutdown US le plus long de l'histoire est donc terminé. Quelles conséquences envisager pour l'économie US et le marché actions US en surchauffe de valorisation ? Point fondamental et technique complet avec Vincent Ganne.

ette semaine, on a vécu un mélange entre machine à laver en mode essorage et séance d'hypnose macroéconomique. Entre la fin (provisoire) du Shutdown, la Suisse qui passe de 39% à 15% de droits de douane (mais récupère du bœuf aux hormones, parce que pourquoi pas), la tech qui se fait démonter puis racheter dans la foulée, et le Bitcoin qui retourne sous les 95'000$, on peut dire qu'on n'a pas eu le temps de s'ennuyer. L'Europe a dansé la polka, le Nasdaq a pleuré, Powell se prépare à prendre une décision historique avec des chiffres aussi fiables qu'un horoscope, et Trump… ben Trump fait du Trump, comme d'habitude. Dans cet épisode :

Le shutdown est fini, mais l'ambiance… comment dire… c'est plutôt “gueule de bois nucléaire”. Entre une tech hors de prix, un marché qui panique mais fait semblant de ne pas paniquer, Tesla en coma léger, Bitcoin en mode PLS avancée, les semi-conducteurs à l'hôpital et Ubisoft en blackout total… on se demande si on n'a pas tous raté un épisode. Et pourtant : les indices tiennent. Pas glorieux, mais debout. Comme un type qui a trop picolé et qui refuse de reconnaître qu'il aurait dû rentrer se coucher il y a trois heures. Dans cette vidéo, je te raconte : Pourquoi la séance d'hier a été l'une des pires de l'année Pourquoi tout le monde est devenu baissier d'un coup Pourquoi Nvidia pèse 16 % du PIB US (oui, tu as bien lu) Pourquoi Tesla souffre… et pourquoi ça ne devrait surprendre absolument personne Comment Trump solde le bœuf, les bananes et le café pour sauver sa côte d'amour Pourquoi les data centers deviennent les nouveaux “too big to fail” Et ce que nous raconte vraiment le chaos chez Ubisoft On est dans un marché qui tangue, qui flirte avec la panique, mais qui n'appuie toujours pas sur le bouton rouge. Est-ce le début du carnage… ou une opportunité en or ? Tu vas voir : la vérité est rarement là où tout le monde la cherche.

Le shutdown est enfin terminé (Trump l'a dit, donc c'est vrai), les fonctionnaires américains redécouvrent leur mot de passe Windows, et pendant ce temps… la Bourse fait comme si de rien n'était. Mais attention : pendant que Wall Street fait sa diva, la rotation sectorielle joue les troubles-fêtes. La tech fait la sieste, les investisseurs se réveillent value, et soudain le marché se souvient que Coca-Cola existe. Oui oui : la value, c'est sexy maintenant. ➡️ L'Europe flambe (France +3,5 %, Suisse +4 %, Italie en orbite). ➡️ Les USA patinent (sauf le Dow Jones qui vit son meilleur moment depuis son divorce de 1999). ➡️ L'Asie flippe ses valorisations. ➡️ Le pétrole fait un malaise à 58$. ➡️ L'or remet sa cape de valeur refuge, façon "Batman mais en plus cher". ➡️ Et Cisco, la momie de l'an 2000… revient d'entre les morts avec +1,3 milliard en commandes IA et un flirt public avec Nvidia. Bref, tout le monde joue DEFENSIF. On ne sait pas combien de temps ça va durer, mais en attendant, Nestlé, Procter, McDo et Johnson & Johnson ressortent du placard… et prennent la lumière. Et pendant que vous lisez ce texte, quelque part dans le S&P500 : un trader essaie encore de comprendre pourquoi AMD a d'abord baissé de –2,7 %… avant de prendre +9 % quand quelqu'un a finalement lu le communiqué jusqu'au bout.

Pendant que tout le monde s'excite sur les records du Dow Jones et la fin du shutdown américain, les vraies stars du moment — celles qui construisent les data centers pour nourrir la machine IA — se retrouvent bloquées… faute de ciment et de transformateurs. Oui, oui. On parle bien d'une pénurie de béton dans le monde de la haute technologie. Bienvenue en 2025. Dans cet épisode :

Bien que le dollar américain reste de loin la devise la plus faible sur le marché Forex en 2025, il a rebondi depuis début septembre et pourrait confirmer un retournement haussier à moyen terme s'il franchit une résistance majeure. Cependant, le signal n'a pas encore été donné et les fondamentaux ne sont pas en place. Examinons quelle pourrait être la prochaine tendance sous-jacente du dollar américain d'un point de vue technique et fondamental.

Et là ? BOUM. Le marché explose comme s'il venait de gagner à l'EuroMillions. Dans cette vidéo du 11 novembre 2025, je te raconte comment : • Wall Street passe de la déprime au feu d'artifice en 48 heures • Huit sénateurs à moitié congelés font bondir le Nasdaq de +2,3% • La Suisse frôle enfin le “miracle” d'un tarif US ramené à 15% • Les Européens lèvent les bras au ciel dès que Washington respire • Trump remet une pression XXL sur Powell et sur les taux • Jim Chanos humilie Michael Saylor avec un trade d'une simplicité biblique • Et pourquoi le marché adore rêver… surtout quand ça l'arrange Bref : une séance complètement bipolaire, absurde, délicieuse et typique de 2025. Si tu veux comprendre comment fonctionne la Bourse quand elle part en freestyle complet, cette vidéo est pour toi.

Alors que la valorisation boursière US est sur ses records et que la volatilité a augmenté sur les actifs risqués en bourse, peut-on désormais valider avec certitude l'entrée en « bear market » cyclique ou s'agit-il d'un bear trap avant une reprise de fin d'année ?

Entre micro-news qui durent 12 minutes, traders qui changent d'avis toutes les 3 respirations et narratifs à deux balles qui justifient n'importe quel mouvement, on nage en plein délire collectif. Au menu: Trump qui bricole des deals avec la Chine, Michael Burry qui sort le lance-flammes sur l'IA, un shutdown qui coûte un bras par jour, les “Magnificent Seven” qui tournent au rouge tomate et un marché qui découvre qu'investir plus de 24 heures, c'est devenu old school. Le résultat? Des indices qui vacillent comme en 2008, un S&P500 qui fait un reverse à 110 points sur RIEN, des valorisations qui s'envolent comme des drones sans GPS, et un secteur IA qui perd l'équivalent du PIB du Luxembourg en trois tweets. Bref, un marché hyperactif, instable, accro au narratif et incapable de garder une direction plus de 6 heures. Le buy the dip marche encore, mais on joue avec des allumettes au-dessus d'un baril d'essence… et tout le monde trouve ça normal. Dans cette vidéo Swiss Bliss, je te raconte tout ça, avec du recul, de la mauvaise foi, des vannes et l'envie de comprendre ce foutoir plutôt que de le subir. Installe-toi, respire… Et bienvenue dans l'économie version 2025: la finance en mode TikTok.