POPULARITY
C'était une fête folklorique païenne, c'est devenu un incontournable dans le calendrier des enfants. Ce 31 octobre, vous entendrez peut être sonner à votre porte pour vous demander des bonbons ou un sort. Halloween, c'est la fête de l'horreur, c'est la fête de la peur. En préparant ce podcast, une phrase attribuée à l'auteur pour enfants Tomi Ungerer me trotte dans la tête : «Il faut faire peur aux enfants, il faut les traumatiser sinon ils vont tous devenir experts-comptables», ce qui n'est par ailleurs pas très gentil pour les experts-comptables. Mais qu'en pensent les spécialistes? La peur est elle un élément constitutif de la construction d'un enfant? Pour le savoir, on a appelé le psychologue Dimitri Haikin. Et puis quand on grandit, on aime toujours se faire peur. Mais pourquoi? Qu'est ce que ça nous apporte? Taous Merakchi est autrice, notamment, d'un essai qui veut rendre ses lettres de noblesse au genre de l'horreur. Le livre s'appelle «Monstrueuse». On lui a demandé ce qui la séduit tant dans l'horreur« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Le match diplomatique de l'année » : c'est ainsi que Le Monde à Paris, qualifie la rencontre entre le président américain et son homologue chinois qui a eu lieu il y a quelques heures à Busan en Corée du Sud. Comme à son habitude, pointe Le Figaro, « à peine atterri, Trump a affiché son optimisme, prédisant un deal avec l'espoir de rassurer les marchés redoutant une escalade entre les deux premières puissances mondiales. Et d'augurer d'un prolongement de la fragile trêve commerciale mise à mal ces dernières semaines, sur fond de rivalité géopolitique au long cours, avec en arrière-plan la question brûlante de Taïwan ». Alors, relève La Repubblica à Rome, « la rencontre entre Trump et Xi en Corée du Sud a duré moins de deux heures. Le président américain l'a qualifiée de “franc succès“ et annoncé qu'il se rendrait en Chine en avril prochain. Les deux dirigeants se séparés en souriant et en se serrant la main, apparemment sans tension ». On n'en sait pas plus. Il n'y a pas eu de conférence de presse. Le bras-de-fer va se poursuivre… Quels résultats après cette rencontre au sommet ? « Entre Washington et Pékin, une trêve est possible, rien de plus », estime Le Soir à Bruxelles. Même en cas d'accord commercial, « ce ne serait pas la fin de l'histoire. Le bras de fer se poursuivra. », affirme le quotidien belge. En effet, « désormais capitaliste, la Chine n'accepte plus la place subordonnée qu'on lui avait conférée dans le cadre de la mondialisation. Surtout : elle a les moyens de résister – par exemple, via le contrôle à l'exportation des terres rares. Autrement dit, précise Le Soir : de contester les anciennes “règles du jeu“ – tout en assurant défendre le multilatéralisme face à un président étasunien imposant sa volonté par la force brute. Les États-Unis et l'Europe peuvent bien accuser Pékin d'avoir “triché“, la Chine, comme de nombreux États dudit “Sud global“, estime que ces règles étaient “biaisées“, conçues par l'Occident au profit de l'Occident – et d'abord par l'Amérique au profit de l'Amérique ». Trump perdant ? Le New York Times ne se fait aucune illusion… D'ores et déjà, « Trump a perdu la guerre commerciale face à la Chine », commente le quotidien américain. « Donald Trump peut bien se vanter de ses talents de négociateur. Ses conseillers pourraient même suggérer qu'il mérite un prix Nobel de la négociation. Broutilles… La relation bilatérale la plus importante au monde aujourd'hui, c'est celle entre les États-Unis et la Chine, et Trump l'a mal gérée. Il a déclenché une guerre commerciale que Washington est en train de perdre, et si une trêve est officialisée cette semaine, il est probable qu'elle permettra à la Chine de dominer l'Amérique et réduira considérablement notre influence ». Xi l'irréductible En fait, constate Le Temps à Genève, « Xi Jinping, est le seul dirigeant qui résiste vraiment à Donald Trump. (…) Tandis que les dirigeants européens, asiatiques ou arabes s'alignent ou cèdent aux injonctions du président américain, Xi incarne auprès des Chinois, et plus récemment auprès du monde, cette figure du contrepoids : celui qui résiste et ne plie pas ». Et « cette résistance face à l'intimidation trumpienne se traduit naturellement par une résistance économique, pointe Le Temps : avec le déploiement récent d'un levier irrésistible que sont les restrictions à l'exportation de terres rares, ce matériau essentiel aux industries modernes des pays développés dont la Chine détient le monopole du raffinage. Par ricochet, la résistance technologique de la Chine saute (également) aux yeux, relève encore le quotidien suisse. En ouvrant les vannes des aides publiques ciblées et au risque de fragiliser son économie en provoquant des surcapacités industrielles, Xi Jinping aura fait de son pays un champion des panneaux solaires, des voitures électriques, de la robotique industrielle comme humanoïde et bien sûr de l'intelligence artificielle en général ». Enfin, autre avantage pour le leader chinois, conclut Le Temps : « si Donald Trump sait qu'il n'est pas autorisé à se présenter à nouveau pour un troisième mandat de président, Xi Jinping semble bien parti pour prétendre à un quatrième en 2027 ».
Pour ramener le déficit sous contrôle, le Premier ministre Bart De Wever veut réaliser au moins 10 milliards d'économies d'ici 2029. Un chiffre qu'il présente comme un minimum pour répondre aux exigences européennes. Un chiffre qui ressemble à une montagne budgétaire mais un chiffre qui suscite aussi de nombreuses questions. Est-ce vraiment beaucoup dans l'histoire budgétaire du pays ? Est-ce pertinent, est-ce suffisant? Et derrière le calcul économique, quel est le calcul politique? Pour répondre à tout ça, on a réuni en studio Bernard Demonty, le chef du pôle Pouvoirs, Dominique Berns et Margot Vermeylen, journalistes au pôle Économie.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
C'est un scrutin qui sera scruté, un peu partout en Europe. Les Pays Bas organisent ce mercredi des élections législatives anticipées. Anticipées depuis que l'extrême droite a claqué la porte de la coalition précédente, forçant ainsi la chute du gouvernement. La même extrême droite, celle de Geert Wilders, se retrouve paradoxalement en tête des sondages. Véronique Lamquin, cheffe du pôle Idées, était en reportage outre-moerdijk. Elle nous raconte ce qu'elle a vu, ce qu'elle a appris sur place. Et ce qu'il faut retenir de ce paysage politique très fragmenté.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
C'est l'histoire d'une rumeur qui s'est répandue comme une trainée de poudre ces dernières années. Une infox, une fausse information, qui circule sans barrières ni limites… en France comme à l'étranger. Brigitte Macron, l'épouse du président français, serait en fait un homme… Une affaire qui interroge, interpelle, interloque les médias du monde entier. Depuis lundi, relate le Guardian à Londres, « dix personnes sont jugées à Paris pour harcèlement en ligne à l'encontre de Brigitte Macron. C'est la dernière phase d'une bataille juridique des deux côtés de l'Atlantique contre la fausse allégation selon laquelle la première dame française serait, un homme nommé Jean-Michel Trogneux (du nom de son frère). Le président Emmanuel Macron et son épouse avaient déposé plainte en diffamation aux États-Unis fin juillet, en lien avec la même rumeur amplifiée et répétée en ligne par la podcasteuse d'extrême droite Candace Owens ». La machine à désinformer… « En quatre ans, pointe Le Soir à Bruxelles, le couple Macron n'a jamais réussi à se départir de cette rumeur intrusive et nauséabonde (…). Les montages photos, les vidéos détournées, les deep fakes sont désormais alimentés par une intelligence artificielle (…). Les milieux complotistes et d'extrême droite font tourner la machine à désinformer, certains influenceurs captant au passage un petit pactole sur la monétisation de cette infox. Les régimes algorithmiques favorisent une économie de la diffamation sexiste et transphobe. Avant Brigitte Macron, Michelle Obama, l'ancienne vice-présidente américaine Kamala Harris ou encore Jacinda Ardern, ex-Première ministre néo-zélandaise, ont subi des rumeurs similaires ». « Cette affaire, poursuit Le Soir, montre aussi la déstabilisation dont sont capables les nébuleuses d'extrême droite quand elles s'allient, des deux côtés de l'Atlantique. Selon une enquête du journal Le Monde, l'influenceuse américaine Candace Owens était alimentée par l'un des prévenus français, qui entretient des liens avec l'extrême droite. Les démentis, les colères, les silences du chef de l'État français et de son épouse n'ont pas apaisé la soif de complot ni comblé les brèches dans la capacité à s'informer ». Difficile à arrêter… « Comment arrêter une théorie du complot ? », s'interroge La Croix à Paris. Réponse : c'est très difficile… « Les théories du complot ont ceci de redoutable que : "ce sont des théories zombies : elles survivent à la contradiction et ressuscitent des années plus tard", explique Tristan Mendès France, chercheur et membre de l'Observatoire du conspirationnisme. Chaque démenti devient une "preuve" de plus. Si la victime se tait, c'est qu'elle "reconnaît la vérité". Et la justice, aussi nécessaire soit-elle, n'a qu'un effet limité. Les poursuites peuvent avoir un effet dissuasif ponctuel, mais elles ne font pas disparaître les contenus déjà partagés. Pour Thomas Huchon, journaliste d'investigation spécialiste du complotisme, toujours interrogé par La Croix, il faut distinguer les convaincus des indécis. "On ne convaincra jamais les complotistes, dit-il. Mais on peut informer ceux qui hésitent encore ou n'ont pas été exposés". Il plaide pour une stratégie de reconquête : "réoccuper l'espace médiatique, produire du vrai, donner des repères" ». « Pitoyable… » Lundi, relève Le Figaro à Paris, lors de la première journée du procès des harceleurs présumés de Brigitte Macron, « la majorité des prévenus n'ont pas reconnu être responsables de cyberharcèlement. Tous ont plaidé la liberté d'expression et se sont défendus d'avoir voulu cibler la première dame. Pour eux, leurs tweets ou retweets n'étaient que de "l'humour" et la manifestation d'un "esprit satirique". Un "esprit Charlie" ». « Une défense pitoyable », s'insurge Le Soir. « Les prévenus se sont posés en prétendues victimes ». Prêts à fournir des preuves… En tout cas, « la mise à nu du couple Macron ne fait sans doute que commencer, pointe Le Monde à Paris. Dans le cadre de la procédure contre (la podcasteuse américaine) Candace Owens, Brigitte Macron est prête à effectuer, si nécessaire, d'après son avocat, des tests physiologiques afin de prouver qu'elle est une femme. Le même type d'examens auxquels sont soumises certaines athlètes féminines accusées de mentir sur leur genre. Des photos de famille pourraient être également produites. (…) Les Macron seraient prêts à se déplacer dans le Delaware pour comparaître ou témoigner devant le tribunal ». Et Le Monde de s'interroger : « verra-t-on un président en exercice se présenter face à la justice d'une puissance étrangère ? L'événement serait hors norme. À l'image des proportions prises par cette affaire ».
EXCLU PODCAST - Aujourd'hui, autour d'Olivier Truchot : Laura Warton Martinez, Mourad Boudjellal et Antoine Diers.
Nous entrons dans la saison des bandeaux rouges. Dans les prochaines semaines, vous allez voir fleurir des dizaines de livres vainqueurs de prix littéraire, cintrés avec un bandeau rouge, sur les étals de vos librairies. Dans ce podcast nous nous intéressons à l'envers du décor des prix littéraires. Et plus particulièrement aux éditrices et éditeurs, petits et grands, qui vivent une période cruciale dans leur année. Comment font-ils pour se préparer ? Pour commander la bonne quantité de papier ? Pour réserver des créneaux d'impression ? Bref, pour anticiper une victoire dans un prix littéraire. Vous allez le voir c'est bien souvent un coup de poker. Et pour nous raconter tout ça, nous recevons aujourd'hui en studio Alain Lallemand, journaliste au pôle Culture du Soir.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Le réarmement des membres de l'Otan suscite bien des appétits : des enquêtes pour corruption, au détriment de l'Alliance et des contribuables, ont été ouvertes en Belgique, ailleurs en Europe et aux Etats-Unis. Un réseau de corruption présumé qui se serait développé au sein de la NSPA, l'agence de soutien et d'acquisition de l'Otan. De la Suisse à la Belgique, en passant par les États-Unis, l'Espagne et les Pays-Bas, des arrestations, des perquisitions et des révélations ont secoué l'Alliance. Si les soupçons se confirment, ce scandale pourrait être le plus gros de l'histoire de l'organisation transatlantique. Joël Matriche, journaliste au pôle Enquêtes, revient avec nous sur cette enquête à laquelle il a contribué en partenariat avec Knack, Follow the Money et La Lettre. Il revient sur les tenants et aboutissants de ce scandale, les implications pour la NSPA et l'Otan, ainsi que les enjeux de gouvernance et de transparence qui en découlent. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l''a marquée !
Souvenez-vous, le 9 juin 2024, les Bruxellois se sont rendus aux urnes. Près d'un an et demi plus tard, la Région bruxelloise attend toujours un gouvernement et le blocage n'en finit pas. Alors que la barre symbolique des 500 jours sans exécutif est désormais atteinte, Le Soir a décidé de lancer une opération spéciale en donnant la parole aux citoyens préoccupés par la situation et en organisant une soirée-débat le 5 novembre avec les représentants de six partis qui jouent un rôle clé dans les négociations. Bernard Demonty est chef du pôle Pouvoirs. Il revient avec nous sur cette impasse politique inédite et sur la démarche du Soir qui a pour objectif de faire la lumière sur ces blocages, de confronter les visions et peut-être d'esquisser une issue..« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Souvenez-vous, le 9 juin 2024, les Bruxellois se sont rendus aux urnes. Près d'un an et demi plus tard, la Région bruxelloise attend toujours un gouvernement et le blocage n'en finit pas. Alors que la barre symbolique des 500 jours sans exécutif est désormais atteinte, Le Soir a décidé de lancer une opération spéciale en donnant la parole aux citoyens préoccupés par la situation et en organisant une soirée-débat le 5 novembre avec les représentants de six partis qui jouent un rôle clé dans les négociations. Bernard Demonty est chef du pôle Pouvoirs. Il revient avec nous sur cette impasse politique inédite et sur la démarche du Soir qui a pour objectif de faire la lumière sur ces blocages, de confronter les visions et peut-être d'esquisser une issue..« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Pour l'épisode d'aujourd'hui, on plonge dans une jungle. Celle des livres consacrés à la parentalité. Il y en a pour tous les goûts et toutes les couleurs. Il y a du très bon et du complètement dispensable…alors comment fait-on le tri ? Comment expliquer qu'aujourd'hui, il existe un livre pour tout ? « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Marine Lorphelin partage des conseils pour bien manger le soir afin d'améliorer la qualité du sommeil. Elle recommande de consommer des repas légers, en évitant les aliments gras et caloriques comme les plats frits et les viandes rouges. Privilégier les féculents riches en glucides lents, les protéines légères et les légumes est conseillé. Les sucreries, notamment le chocolat, peuvent favoriser l'endormissement grâce au tryptophane. Les tisanes sont également recommandées pour instaurer un rituel de détente. En revanche, l'alcool est déconseillé car il perturbe le sommeil. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour l'épisode d'aujourd'hui, on plonge dans une jungle. Celle des livres consacrés à la parentalité. Il y en a pour tous les goûts et toutes les couleurs. Il y a du très bon et du complètement dispensable…alors comment fait-on le tri ? Comment expliquer qu'aujourd'hui, il existe un livre pour tout ? « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Rien n'arrête plus OpenAi. L'entreprise derrière ChatGPT, l'agent conversationnel qui compte aujourd'hui plus de 800 millions d'utilisateurs, vient de conclure un nouvel accord industriel avec le producteur de puces Broadcom. Avec cette alliance, l'entreprise de Sam Altman veut produire ses propres puces pour alimenter ses besoins gigantesques en puissance de calcul. C'est un nouveau tournant dans la course à l'armement technologique dans le secteur de l'IA.Pour comprendre et en saisir les enjeux, nous recevons aujourd'hui en studio Philippe Laloux, journaliste au pôle Economie du Soir qui traite au quotidien enjeux des nouvelles technologies et de la nouvelle économie. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
C'était une journée historique pour le proche orient, une journée que n'attendaient peut être plus les proches des otages enlevés par le Hamas il y a plus de deux ans. Mais ce lundi, les vingt captifs encore en vie ont retrouvé leurs familles. Un retour obtenu en échange de la libération de plus de 1 900 prisonniers palestiniens. La journée aura aussi vu le président américain, Donald Trump, s'exprimer devant le parlement de l'Etat hébreu avant de filer en Egypte signer des accords de paix. A quoi ressemblait cette journée vue de l'intérieur ? Que sait-on des contours encore trop flous du plan de paix? Cécile Lemoine est notre correspondante à Jérusalem, on l'a appelée pour qu'elle nous raconte.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
On attend beaucoup de monde dans les rues de Bruxelles pour une grande manifestation en ce jour de grève nationale. La FGTB, la CSC et la CGSLB ont appelé leurs membres à descendre dans les rues. Pour dire non, une fois de plus, aux mesures du gouvernement Arizona. Arizona mais pas que, les récentes annonces en Fédération Wallonie-Bruxelles devraient aussi drainer leur lot de mécontents. Les syndicats parviennent ils toujours à souffler sur les braises de la contestation? C'est ce qu'on va essayer de comprendre avec Pascal Lorent du pôle Economie.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
C'était une journée historique pour le proche orient, une journée que n'attendaient peut être plus les proches des otages enlevés par le Hamas il y a plus de deux ans. Mais ce lundi, les vingt captifs encore en vie ont retrouvé leurs familles. Un retour obtenu en échange de la libération de plus de 1 900 prisonniers palestiniens. La journée aura aussi vu le président américain, Donald Trump, s'exprimer devant le parlement de l'Etat hébreu avant de filer en Egypte signer des accords de paix. A quoi ressemblait cette journée vue de l'intérieur ? Que sait-on des contours encore trop flous du plan de paix? Cécile Lemoine est notre correspondante à Jérusalem, on l'a appelée pour qu'elle nous raconte.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Salut les sportifs intelligents ! Cette semaine, on va parler d'un problème que tu connais sûrement : les envies de sucre le soir.Tu manges bien toute la journée, tu fais attention… et pourtant, dès que la nuit tombe, ton corps réclame du sucré. Pourquoi ?Dans cet épisode, je t'explique les 3 vraies raisons qui sabotent ton contrôle le soir : hormones, nutrition, habitudes, et même l'épuisement de ta volonté.Et surtout, je te donne des solutions concrètes pour reprendre le contrôle, arrêter de culpabiliser et enfin aligner ton alimentation avec tes objectifs.- Pour découvrir les liens utiles de l'émission, clique ici : https://linktr.ee/sportsantenutritionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis samedi dernier, toute une série d'entreprises belges actives dans le secteur de la Défense sont en Californie…dans le cadre d'une mission économique menée par la Princesse Astrid. Une mission au cours de laquelle de nouvelles importantes ont été annoncées. Notamment les investissements futurs de deux géants. Google et Amazon devraient investir respectivement 1 et 5 milliards d'euros dans les prochaines années en Wallonie.Ugo Santkin du pôle international est notre envoyé spécial en Californie. Il accompagne cette mission. On l'a appelé pour qu'il nous raconte.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, enchaine les motions de censure à son encontre. La première c'était en juillet, motion balayée par les eurodéputés. Ce jeudi, le parlement va se pencher sur deux nouvelles motions de censure, l'une déposée par l'extrême-droite, l'autre par l'extrême-gauche. Dans les deux cas, les procédures ont peu de chances d'aboutir mais cela dit quelque chose des rapports de force qui animent le parlement européen, qui animent les différentes institutions européennes. Pour faire la lumière sur ce dossier, on a appelé Pascale Joannin, directrice générale de la Fondation Robert Schuman.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Ce lundi, la Ve République a vécu l'une des journées les plus folles de son histoire. Après moins d'un mois en tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a finalement décidé de démissionner, quinze heures après avoir annoncé son gouvernement. Avec une absence de majorité et un refus de compromis à droite comme à gauche, la France et tout particulièrement son président de la République sont au pied du mur. Quelles options restent-ils à Emmanuel Macron ? Une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale ? La nomination d'un Premier ministre de gauche ? Ou encore sa propre destitution ?Christelle Craplet est politologue et directrice de l'institut de sondage français BVA Opinion. Elle revient avec nous sur ces questions qui traduisent le chaos politique dans lequel se trouve la France aujourd'hui. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Les journaux, en France et au-delà, sont partagés entre stupeur et consternation après la folle journée d'hier qui a vu la démission du Premier ministre Sébastien Lecornu, juste après avoir formé son gouvernement. « Les incapables », s'exclame Libération en première page. « La France dans le grand n'importe quoi : le départ éclair de l'éphémère Premier ministre illustre un désordre politique français qui inquiète, à l'étranger comme chez les citoyens, et rappelle que seule la capacité au compromis peut éviter l'aggravation de la crise. » « De l'attitude des partis à la démission de l'éphémère Premier ministre, la séquence politique et institutionnelle de ces derniers jours aura été consternante, renchérit La Croix. Il faut désormais se ressaisir de toute urgence pour éviter le chaos. » Le retour aux urnes ? Oui, mais quelle solution ? Pour Le Figaro, il n'y en a qu'une seule : « ce grand désordre, cette pénible confusion, nous ramène à celui qui, par la grâce de la Ve République, possède autant de pouvoir que de devoirs : le chef de l'État. Lui seul a la clef : le retour aux urnes. En démocratie, c'est la plus mauvaise solution, à l'exception de toutes les autres. » Un retour aux urnes avec comme perspective une percée de l'extrême-droite… C'est ce que craint Le Soir à Bruxelles : « le chaos français, autoroute pour l'extrême droite et péril pour l'Europe », titre le quotidien belge. « La France gouvernée par l'extrême droite, des leaders populistes et nationalistes, après la Hongrie, la Tchéquie, la Slovaquie, et peut-être demain la Pologne, voire l'Allemagne ? On n'ose imaginer, soupire Le Soir, ce que la concrétisation de cette menace existentielle pour le projet européen, pourrait imprimer à nos destins. » Macron sous pression Désormais, « Emmanuel Macron est au pied du mur », constate le New York Times. « Impopulaire après plus de huit ans au pouvoir, alors qu'il lui reste environ 18 mois de mandat, Emmanuel Macron est sous la pression constante de l'extrême gauche pour démissionner et de l'extrême droite pour convoquer des élections législatives. » Ultime espoir de compromis, pointe Le Temps à Genève : « Emmanuel Macron a joué les prolongations en demandant à Sébastien Lecornu de convaincre les uns et les autres de revenir à la table des négociations. Mais le mal est fait, estime le quotidien suisse, son camp semble avoir définitivement perdu toute crédibilité. » À la Une également, le 7-Octobre, deux après… Pour le Jerusalem Post, proche du pouvoir, « la société israélienne ne doit pas se permettre d'oublier. (…) Alors que des négociations sont en cours au Caire pour un accord qui pourrait mettre fin à la guerre, la tentation sera grande de croire que, si les otages reviennent, si les réservistes retrouvent leurs familles et leurs emplois, si les roquettes houthies cessent, alors une vie normale pourra reprendre. » Non, s'exclame le Jerusalem Post : « céder à cette complaisance ouvrirait la voie à une prochaine catastrophe. (…) Nos ennemis sont implacables, notre sécurité dépend de notre préparation et la véritable dissuasion ne repose que sur une force incontestable et la volonté de l'utiliser. » Netanyahou sur la sellette Haaretz, quotidien israélien de gauche, note, lui, que « deux ans après la pire catastrophe sécuritaire de l'histoire d'Israël, les responsables sont toujours au pouvoir. (…) Ce sont les terroristes du Hamas qui ont perpétré le massacre brutal du 7 octobre 2023, mais, affirme le journal, cet échec s'est produit sous la direction du Premier ministre Benjamin Netanyahou, et il demeure le seul haut responsable à ne pas encore avoir assumé ses responsabilités. » Résultat, pointe Haaretz, « la guerre se poursuit sans but depuis deux ans. Les otages ont été abandonnés. Israël s'est enfoncé dans un isolement diplomatique, économique et moral. Et les mains du gouvernement sont souillées du sang de dizaines de milliers de Gazaouis. » « Deux ans de barbarie », dénonce également El Pais à Madrid. Reste que « le plan Trump est un espoir à conforter », affirme Le Monde à Paris. « Même si de nombreux points restent à préciser et que certains objectifs permettant d'aboutir à une solution à deux Etats restent aujourd'hui hors de portée, la fin de la guerre, estime le quotidien français, apparaît enfin possible. »
Des millions de livres vendus, plus encore de vues sur les vidéos qui le mettent en scène. Depuis quelques années, le médecin légiste Philippe Boxho est devenu un véritable phénomène. Il a sorti quatre livres en quatre ans, il est devenu une personnalité médiatiue tout en ayant toujours un métier plutôt prenant...Son dernier ouvrage, «La mort c'est ma vie», est sorti fin août, c'est déjà un succès d'édition. De notre côté, on s'est posé avec lui derrière un micro.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
La Belgique s'apprête à remettre son plan climat-énergie avec plus d'un an de retard sur le délai imparti. Mais que contient ce plan que l'on appelle aussi le « Pnec » ? Quels objectifs climatiques devons-nous remplir avec ce plan ? Les projections pour y parvenir sont-elles bonnes ou au contraire plutôt mauvaises ? Sommes-nous suffisamment organisés et préparés pour relever ces défis climatiques à l'horizon 2030 ?Pour faire le point, nous recevons aujourd'hui en studio Michel de Meulenaere, le chef-adjoint du pôle Planète du Soir.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Des millions de livres vendus, plus encore de vues sur les vidéos qui le mettent en scène. Depuis quelques années, le médecin légiste Philippe Boxho est devenu un véritable phénomène. Il a sorti quatre livres en quatre ans, il est devenu une personnalité médiatiue tout en ayant toujours un métier plutôt prenant...Son dernier ouvrage, «La mort c'est ma vie», est sorti fin août, c'est déjà un succès d'édition. De notre côté, on s'est posé avec lui derrière un micro.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Președintele american și-a prezentat luni, 29 septembrie, planul de a pune capăt războiului din Gaza. Textul prevede în special eliberarea ostaticilor și instituirea unei guvernări palestiniene de tranziție. Comentatorii atrag atenția asupra slăbiciunilor acestui document. Pentru Le Monde, „însăși arhitectura acestui plan de pace dezvăluie slăbiciuni evidente, începând cu absența unui calendar obligatoriu pentru o retragere israeliană”. Un alt element problematic: „punctul central, nespecificat, privește demilitarizarea enclavei, prezentată ca fiind o certitudine, în timp ce pentru Hamas ar însemna o formă de sabotaj final”. The Conversation atrage atenția asupra unui risc important: lipsa de încredere. ”În acest moment, nu există nicio încredere între părți. Și mai multe aspecte ale planului sunt atât de vagi, încât există un risc mare ca ambele părți să se acuze reciproc de încălcarea promisiunilor. Netanyahu presupune probabil că vor exista suficiente portițe pentru ca el să poată ieși din acord dacă Hamas nu îl respectă. El a făcut deja acest lucru o dată, când a renunțat la armistițiu în martie și a reluat operațiunile militare”. Ziarul belgian Le Soir este de părere că ”unul dintre defectele evidente este că planul prevede pași individuali, cum ar fi retragerea treptată a armatei israeliene, dar fără un calendar. Incidentele de la fața locului ar putea servi rapid drept pretext pentru ca Israelul să blocheze totul. (...) Cât despre Hamas, acesta trebuie să răspundă unui ultimatum ciudat: să se sinucidă sau să suporte mânia mortală a Israelului. ... Și trebuie să elibereze toți ostaticii - pe care îi consideră ultimele sale resurse - în termen de trei zile și să spere că Israelul își va ține cuvântul și nu va încerca să amâne sau chiar să saboteze acordul.” The Daily Telegraph vede multe asemănări cu acordul care a pus capăt conflictului din Irlanda de Nord: „Acordul din Vinerea Mare, care a adus pacea în Irlanda de Nord, a fost cea mai mare realizare din politica britanică din ultimii 30 de ani. Elementul central al ambelor planuri este «dinamismul» lor. În loc să ofere un set fix de propuneri de tipul «accepți sau nu », acestea oferă recompense care cresc de-a lungul anilor. Prin acest mecanism, încrederea - și, sperăm, pacea - se construiește nu prin cuvinte, ci prin acțiuni în timp. O altă caracteristică comună planului din Irlanda de Nord este ideea unei amnistii pentru teroriști.”
C'est parfois un classique de la politique américaine. Les Etats-Unis sont au bord du shutdown. Ca veut dire un blocage quasi total de l'administration, faute d'accord sur le budget. Comment on en est arrivé à cette situation ? Que peuvent faire les deux camps, démocrate et républicain? On a appelé Bertrand Morain, notre correspondant à Washington.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Une partie des activités du réseau social chinois TikTok devrait donc passer sous pavillon américain. Le président Trump a approuvé un décret en ce sens. La Chine doit encore donner son accord mais à priori, les activités américaines du réseau social vidéo devraient retomber dans l'escarcelle....de proches du Président. Pourquoi et qu'est ce que cela va changer ? On pose tout de suite la question à Philippe Laloux, journaliste au pôle économie.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
« C'est potentiellement l'un des plus grands jours dans l'histoire de la civilisation. Nous allons tout régler : le commerce avec l'Iran, les accords d'Abraham (entre Israël et plusieurs pays arabes), la guerre à Gaza. Nous allons vers une paix éternelle au Moyen-Orient ». « Comme à son habitude, souligne Le Temps à Genève, Donald Trump n'a pas économisé les superlatifs lors de la conférence de presse hier à Washington en compagnie de Benjamin Netanyahu (pour présenter le plan de paix pour Gaza). (…) Toutefois, constate le quotidien suisse, ce plan de paix ressemble davantage à une permission de tirer qu'à un accord diplomatique. Il prévoit que le Hamas rende tous les otages, vivants et morts, accepte un désarmement complet, et qu'une administration internationale, à laquelle ni le Hamas ni l'État palestinien ne seront conviés à participer, dirige la bande de Gaza. Des conditions que le Hamas rejette depuis longtemps. Or, a averti Donald Trump, "si le Hamas refuse, Israël a notre soutien inconditionnel pour faire ce qu'il doit faire" ». Que va faire le Hamas ? En effet, rebondit Libération à Paris, « tout, absolument tout (dans ce plan) repose sur l'acceptation par le Hamas de se saborder contre une "amnistie" qui serait accordée à ses membres, qui accepteraient de rendre les armes. Le Hamas qui n'a pas été officiellement consulté. Le pari de Netanyahu est donc que l'organisation terroriste fasse le travail pour lui, s'exclame le journal, rejetant dans les 72 heures fatidiques le plan que, lui-même, est forcé d'accepter. Cette option devrait, selon l'accord, donner à Israël la permission de détruire le Hamas, "par la force s'il le faut". Autrement dit, résume Libération, retour à l'invasion de Gaza et sa colonisation, cette fois avec l'accord tacite des pays arabes et la bénédiction officielle de l'Amérique ». « Le Hamas doit répondre à une étrange injonction, insiste Le Soir à Bruxelles : le suicide ou subir les foudres mortelles d'Israël. Un choix cornélien s'il en est. En attendant, il doit restituer tous les otages dans les trois jours, qu'il considérait comme ses derniers atouts, et espérer qu'Israël tiendra parole, ne cherchera pas à procrastiner peu ou prou, voire à saboter l'accord qui l'empêche d'annexer et d'expulser à sa guise ». « Cet accord est nécessaire, même s'il paraît impossible. » Oui, c'est vrai, pointe le New York Times, « le Hamas, dont les dirigeants survivants se cachent pour l'essentiel dans un bunker à Doha, doit encore approuver ce plan. Et il a de multiples moyens de le saboter, tout comme Netanyahu. Mais cela vaut la peine d'essayer, s'exclame le journal. (…) Cet accord est nécessaire, même s'il paraît impossible ». Et « Israël doit être contraint de laisser ouverte la possibilité d'un État palestinien, affirme encore le New York Times, à la condition que les Palestiniens atteignent certains objectifs de gouvernance. Seul Trump peut l'imposer à Netanyahu. (…) Ce plan de paix peut créer un pont vers une solution à deux États. Il donnerait alors une énorme marge de manœuvre à l'Arabie saoudite, au Liban, à la Syrie et même à l'Irak pour envisager de rejoindre les accords d'Abraham et de normaliser leurs relations avec Israël ». Un chemin encore long… La porte est entrouverte, souligne Haaretz à Tel Aviv : « la guerre doit cesser, pour sauver les otages qui croupissent dans les tunnels du Hamas depuis deux ans, et parce qu'il est insupportable de continuer à sacrifier la vie de soldats sur l'autel d'un conflit vain. (…) Il faut espérer, implore le quotidien israélien de gauche, que Netanyahu ne changera pas d'avis et ne torpillera pas l'accord, comme il l'a fait par le passé. Les portes de l'enfer qui se sont ouvertes le 7 octobre doivent se refermer ». Le Guardian à Londres résume la situation : « le plan de Trump pour Gaza est ambitieux, mais la paix est loin d'être garantie. À première vue, ce plan semble plus susceptible de mettre fin au conflit de deux ans à Gaza que tout ce que nous avons vu jusqu'à présent. Mais il s'agit moins d'une feuille de route détaillée que d'un croquis sommaire qui laisse autant de chances de se perdre que d'atteindre la destination souhaitée. (…) Il y a encore beaucoup à faire, soupire le Guardian : même si le Hamas approuvait le plan, il resterait une multitude de détails à convenir, à fixer et à mettre en œuvre. Ce chemin pourrait être très long, et toute arrivée, et encore moins une arrivée sûre et confortable, est loin d'être garantie ».
À quoi ressemble la vie des parents d'aujourd'hui ? Quels sont les défis ? Les joies ? Les peines ? Les contradictions dans le fait d'être papa d'être maman en 2025 ? Ces questions le Soir va y répondre pendant 8 semaines. Chaque samedi jusqu'au 15 novembre, on plonge dans un thème concret de la parentalité. On parlera éducation, cout financier, stress organisationnel et relations familiales. Des enquêtes déclinées, tous les lundis en multimédia, en audio et en vidéo.Pour ce premier épisode, on pose les bases et on se demande à quoi ressemble le portrait robot des parents en 2025 ? Bienvenue dans Moi, parent !« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Dans cette mini-série de deux épisodes intitulée "Cureghem au-delà des balles", nous sommes allés à la rencontre de celles et ceux qui font vivre et qui vivent à Cureghem. Ce quartier populaire est devenu, malgré lui, un symbole. Le symbole de la spirale infernale de violences, liées de près ou de loin, au trafic de drogues qui frappe la capitale. Plus de 60 fusillades ont déjà éclaté depuis le début de l'année à Bruxelles.Pour ce premier épisode, nous nous sommes posé une question : Comment vit-on dans une commune, qui selon certains, est en train de perdre la bataille face au deal de stupéfiants ?« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Tu te mets trop la pression... mais tu ne sais pas comment faire autrement ?Découvre comment tu peux retrouver un quotidien plus léger, sans renoncer à tes standards.Inscris-toi gratuitement aux 2 LIVEs que j'anime pour toi le mercredi 1er et le jeudi 2 octobre :https://changemavie.com/pression---------Vous connaissez ce scénario : vous vous mettez au lit, décidée à dormir tôt… et une heure plus tard, vous êtes encore en train de scroller, les yeux qui piquent, avec la petite voix qui dit : « demain je vais être crevée ».Ce n'est pas une question de volonté. Le piège du scroll du soir révèle en fait beaucoup de choses sur votre cerveau, votre système nerveux et votre manière de vivre vos journées.Dans cet épisode, je vous aide à comprendre pourquoi ce comportement s'enclenche précisément le soir, et comment une pratique très simple peut vous permettre de retrouver des soirées plus sereines et des nuits réparatrices.Ce que vous allez apprendre :Pourquoi le scroll infini devient irrésistible au moment du coucherQuels besoins non satisfaits de votre journée créent ce réflexe automatiqueUne pratique concrète pour vous recentrer avant de dormir et échapper à cette spiraleÉcoutez l'épisode pour transformer vos soirées et vos nuits !
L'Assemblée générale des Nations unies a débuté mardi 23 septembre pour six jours. Plus de 140 chefs d'État et de gouvernement vont se succéder à la tribune de l'ONU. Donald Trump l'a fait mardi soir, Bart de Wever est attendu ce jeudi. Maxime Biermé, le chef du pôle International, est à New York pour Le Soir. On l'a appelé pour qu'il nous explique à quoi ça ressemble et qu'attendre du discours du Premier ministre. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Fidèle à sa stratégie d'occupation permanente du terrain médiatique, le président américain, à la tribune des Nations unies hier mardi, s'est lancé dans une longue diatribe, faisant la leçon au monde et à l'Europe, tout en se félicitant de ses propres actions… Le Soir à Bruxelles hésite entre rire et larmes… « Il n'y a pas de mots pour exprimer la répulsion autant que l'indignation ressenties à l'écoute du "discours" de Donald Trump devant l'Assemblée générale des Nations unies, s'exclame le quotidien belge. Si ce n'était pas le président des États-Unis, on se contenterait d'éclater de rire (…). Mais c'est bien le président des États-Unis qui croit et proclame, entre autres, que le changement climatique est la plus grande arnaque qui existe, que la "migration de masse" et la transition vers le renouvelable sont un monstre à deux têtes qui détruit les nations européennes et la plus grande partie du monde libre, et que c'est lui, Donald Trump, qui a résolu les conflits dans le monde depuis qu'il est à la Maison Blanche. Le monde n'est pas seulement dirigé par la loi du plus fort, soupire encore Le Soir, mais par la loi du plus "foutraque". Un homme qui nie la science, le droit international et les institutions démocratiques ». Des « affirmations parfois trompeuses, inexactes et même fausses » « À la tribune de l'ONU, Donald Trump fait durer le délire », renchérit Libération à Paris. « Dans un long discours décousu qui s'adressait davantage à ses électeurs qu'à son auditoire, le président américain a oscillé entre l'autocongratulation et l'invective, ciblant tout particulièrement l'Europe et l'ONU ». Le New York Times a vérifié les allégations de Donald Trump sur bon nombre de sujets. Résultat : des « affirmations parfois trompeuses, inexactes et même fausses », sur les investissements aux États-Unis, sur le prix de l'essence, sur les énergies renouvelables en Chine, sur le fait que le maire de Londres veuille imposer la charia, sur l'immigration à la frontière sud des États-Unis, sur le nombre d'Américains morts d'overdose, ou encore sur son prétendu rôle dans la résolution de guerres ou de conflits… Interrogé par La Repubblica à Rome, Jeffrey Sachs, économiste à l'Université Columbia et ancien conseiller du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, ne mâche pas ses mots : « c'est une honte pour les États-Unis, affirme-t-il. Ce discours était plein de mensonges, de déformations, d'exagérations ou d'illusions. Un discours empli de mégalomanie, de vulgarité et d'humiliation envers tous les autres pays. Le monde doit cesser de se leurrer, affirme encore Jeffrey Sachs : Trump est en train de sortir les États-Unis de l'ordre international créé après la Seconde Guerre mondiale. Le reste de la communauté internationale doit s'unir de toute urgence pour maintenir cet ordre en vie, même sans l'Amérique ». Une volte-face spectaculaire sur l'Ukraine Qui plus est, Donald Trump n'en est plus à une contradiction près… Mais, là, c'est un point positif. Peu après son discours, relève le Wall Street Journal, le président américain « a déclaré pour la première fois que l'Ukraine pourrait reconquérir l'ensemble de son territoire et a encouragé ses alliés européens à abattre des avions russes s'ils pénétraient dans l'espace aérien de l'Otan. Une volte-face spectaculaire, s'exclame le Wall Street Journal, qui accroit la pression sur le président russe Vladimir Poutine », et qui a été saluée par les Européens. « Le président américain a donné l'impression d'avoir revu ses pronostics sur l'issue du conflit, relève Le Figaro à Paris. Au lieu de prédire la défaite de l'Ukraine, Trump est sorti d'une réunion bilatérale avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en déclarant que l'Ukraine pouvait gagner le conflit. (…) Malgré le fait que les promesses de sanctions contre la Russie plusieurs fois annoncées par Trump n'ont jusqu'à présent jamais été prises, c'est la première fois que le président américain semble avoir surmonté son aversion pour l'Ukraine et son inclination pour Vladimir Poutine, pour adopter une position plus favorable à Kiev. Et surtout, pointe encore Le Figaro, il reconnaît que ce pays, qu'il pressait voici quelques mois encore de renoncer à une partie de son territoire, a plutôt montré depuis trois ans de guerre une extraordinaire capacité de résistance ».
L'Assemblée générale des Nations unies a débuté mardi 23 septembre pour six jours. Plus de 140 chefs d'État et de gouvernement vont se succéder à la tribune de l'ONU. Donald Trump l'a fait mardi soir, Bart de Wever est attendu ce jeudi. Maxime Biermé, le chef du pôle International, est à New York pour Le Soir. On l'a appelé pour qu'il nous explique à quoi ça ressemble et qu'attendre du discours du Premier ministre.
Trois villes belges. Trois visions mais une seule qui deviendra capitale européenne de la Culture en 2030. Prenant la suite de Mons qui l'a été en 2015, une de ces trois villes va donc remettre la Belgique sous les projecteurs de la culture européenne. Le verdict tombe ce mercredi et le suspense est à son comble...Mais derrière, pour la ville qui l'emportera, l'enjeu est bien plus grand qu'un simple label : c'est l'occasion de se réinventer, de renforcer son identité, de la promouvoir et de l'enrichir. A défaut de vous donner en avant-première le résultat, nous revenons aujourd'hui sur le processus de candidature, les défis que cela implique pour chaque ville et les promesses que ce titre offre. On décrypte tout ça avec Daniel Couvreur, journaliste au pôle Culture. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Une semaine entièrement dédiée à la petite reine. De l'épreuve contre la montre, remportée par Remco à la course en ligne, la ville de Kigali, au Rwanda, conjugue le vélo à toutes les sauces. C'est la première fois que les championnats du monde de cyclisme font escale en Afrique...Et ce n'est pas un hasard. Depuis plusieurs années, le Rwanda de Paul Kagame multiplie les partenariats avec les plus grands noms du sport mondial. On va voir pour quelles raisons et surtout pourquoi aujourd'hui, ce soft power vacille. On en parle avec Enola Richet, journaliste et ancienne correspondante au Rwanda.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas tout à fait prête physiquement mais brisée mentalement, Nafi Thiam, visage de l'athlétisme belge a abandonné samedi, au milieu d'un heptathlon qu'elle avait certainement déjà perdu aux championnats du monde de Tokyo. C'est la première fois que la triple championne olympique ne termine pas un heptathlon. La faute, surtout, à un conflit larvé avec la fédération. Conflit qui a pourri toute la préparation de Thiam. Pour comprendre ce qu'il s'est passé et les questions que cela pose pour l'avenir, on a appelé Philippe Vande Weyer, notre expert athlé qui est à Tokyo.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Est-ce qu'il y a une différence entre s'entrainer le matin ou le soir ? See omnystudio.com/listener for privacy information.
Léna fête ses 10 ans cette année. Léna, c'est un supplément que vous pouvez lire chaque semaine dans Le Soir. C'est une alliance de journaux européens de référence, ce sont des échanges d'articles et de bonnes pratiques. La rédaction du Soir accueille ces jours-ci, le gratin de la presse européenne pour célébrer les 10 ans de cette initiative. Nous on reçoit dans ce studio deux grands patrons pour discuter avenir, défis et perspectives pour le monde de la presse.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Alors que la planète continue de se réchauffer et que la COP30 se profile à l'horizon, l'Union européenne peine à parler d'une seule voix. Ce jeudi 18 septembre, les ministres de l'Environnement des Vingt-Sept se retrouvent à Bruxelles pour débattre et ne prendront donc pas de décision. Tout sera renvoyé à plus tard, aux chefs d'État, fin octobre. Pourquoi ces blocages ? Que révèle cette lenteur sur les divisions internes à l'Union européenne et sur le rôle de la Belgique qui tergiverse ? Que peut-on concrètement encore attendre de l'Europe sur le climat ? Pour en parler, nous recevons Michel De Muelenaere, journaliste au pôle Planète. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Ceci est un extrait du 5ème quart d'heure de la semaine : "Alix élargit son cadre"Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure, abonnez-vous à Supercast comme ceci :Téléchargez une application de podcasts (Apple Podcasts, Podcast Addict, Castbox...) : elles sont toutes gratuites !Cliquez sur le lien suivant : https://4quartsdheure.supercast.com/Attention, les formules d'abonnement proposées sont hors TVA.Suivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure sur InstagramLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorente Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Léa Salamé et les équipes du 20h de France 2 ont été violemment pointés du doigt par un syndicat de France Télévision, les ados peut-être bientôt privés d'écran le soir, TF1 a révélé l'identité d'une des célébrités à découvrir dans "Mask Singer" et deux journalistes ont été condamnées pour financement du terrorisme. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work #management #carrière Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une semaine à l'île de Pâques, ce n'est pas que des statues. C'est aussi une organisation simple : école le matin, balades l'après-midi, coucher de soleil au même endroit chaque soir. Dans cet extrait, Laetitia raconte la mise en place de leur rythme, entre apprentissage, visites guidées avec Keka, pique-nique orageux, et légendes partagées.l'école avec les carnets de voyageles visites guidées avec Keka, guide locale francophonele rituel du coucher de soleilles moments imprévus devenus souvenirsUn épisode qui montre comment la routine, en voyage, peut devenir un ancrage joyeux.
"The German monster has survived too long" opined Le Soir on 21 June 1984. And that was one of the more sober conclusions. After the way France's World Cup had ended, schadenfreude was not in short supply when the reigning European Champions went home before the real action started. It was also one of the two games that was shown live in the UK. Jonathan O'Brien joins Martyn to make sense of Group 2 with a surprise Iberian challenge and a disappointingly restrictive Romania. If you want weekly exclusive bonus shows, want your episodes without ads and a couple of days earlier or just want to support the podcast, then head over to patreon.com/NessunDormaPodcast where you can subscribe for only $3.99 a month. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices