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Arabie Saoudite, Qatar, Emirats Arabes Unis : le Trump tour au Moyen-Orient devrait prendre fin ce vendredi. Le président américain a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux. Mais il a également fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien...rencontre assortie d'une levée des sanctions. Que faut-il retenir de cette grande visite? On a posé la question à Pauline Hofmann, cheffe adjointe du pôle International.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Démissionné d'office en janvier 2024 pour soupçons de malversations, le greffier du parlement wallon, Frédéric Janssens avait introduit des recours au Conseil d'Etat pour contester son licenciement. Pour rappel, l'ancien greffier faisait également l'objet de plaintes pour harcèlement. Cette semaine, nouveau coup de théâtre : l'auditrice du Conseil d'Etat suggère l'annulation pure et simple de ce licenciement. On ne sait pas encore si le Conseil d'Etat suivra cette recommandation mais l'enjeu est de taille : si l'avis de l'auditrice est suivi, Frédéric Janssens pourrait en théorie recouvrer son ancienne fonction. On fait le point avec Joël Matriche, journaliste au pôle Enquêtes.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Arabie Saoudite, Qatar, Emirats Arabes Unis : le Trump tour au Moyen-Orient devrait prendre fin ce vendredi. Le président américain a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux. Mais il a également fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien...rencontre assortie d'une levée des sanctions. Que faut-il retenir de cette grande visite? On a posé la question à Pauline Hofmann, cheffe adjointe du pôle International.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
100 jours que le gouvernement Arizona a été mis sur pied, 100 jours que Bart de Wever est Premier ministre. Un peu plus de 3 mois pour lancer des réformes, pour mesurer la vigueur de l'opposition mais pour ne pas trop communiquer.Que retenir de ces 100 premiers jours ? Y'a-t-il déjà des points de bascule ? On va voir ça avec Bernard Demonty et Alexandre Noppe du pôle Pouvoirs« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Du 13 au 24 mai, le monde du cinéma se donne rendez-vous à Cannes pour le Festival. Cette année, c'est la 78ème édition, le jury sera présidé par Juliette Binoche. Le festival 2025 arrive en même temps que le verdict du procès Depardieu, quelques semaines après le rapport de la commission d'enquête sur les violences commises dans le milieu culturel. D'où une question que l'on se pose cette année : ce festival de Cannes est-il un festival des femmes? On va répondre avec notre envoyée spéciale à Cannes, notre spécialiste cinéma Fabienne Bradfer.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Le président ukrainien l'a dit sur les réseaux sociaux: il attend Vladimir Poutine lui-même, jeudi en Turquie. Et pour comprendre comment on en est arrivés à cette hypothèse « longtemps taboue », et désormais « sur la table », selon les mots du Monde, il faut remonter au début de ce week-end.C'est là que s'est jouée une séquence cruciale pour les européens : revêtant leurs costumes de 4 Fantastiques, « les dirigeants français Macron, britannique Starmer, polonais Tusk et allemand Merz » se sont rendus à Kiev, d'où « ils ont adressé un ultimatum à Moscou pour accepter un cessez-le-feu "complet et inconditionnel"», raconte Le Soir en Belgique.En « fin joueur d'échecs » qu'il est, analyse Le Figaro, « Poutine a vite vu qu'il n'y avait pas de bonne réponse » à cette offre : « soit il refusait le cessez-le-feu censé démarrer ce lundi et s'affichait dans le mauvais rôle, soit il renonçait à ses conditions (...) et paraissait céder au diktat de ses ennemis ». Par un habile tour de passe-passe, le président russe a donc « déplacé le curseur » et a proposé des négociations directes… tout en reprenant les frappes contre l'Ukraine.Volodymyr Zelensky contre-attaqueSa proposition est donc une façon habile, pour Volodymyr Zelensky, de « renvoyer la balle à son homologue russe », juge Le Soir. Puisqu'à présent, le président ukrainien « passe doublement pour celui étant le plus disposé à œuvrer à la paix », en se déplaçant en Turquie. Alors même que « la Russie ne respecte pas le cessez-le-feu de 30 jours à nouveau mis sur la table ce week-end ». Et, renchérit le Guardian, cette proposition « remet la pression sur le dirigeant russe, pour qu'il soit présent, ou bien qu'il fasse marche arrière ». Pour autant, Le Soir ne se berce pas d'illusions : « il ne faut pas s'attendre à un résultat ». Des négociations directes, il y en a déjà eu à Istanbul en 2022, et, commente sobrement le titre, « force est de constater qu'elles n'ont pas abouti ». Et si pour l'instant rien de concret ne bouge. Cette séquence diplomatique fait quand même un perdant et un gagnant. Carton plein pour le président turc Recep Tayyip Erdoğan. Cette séquence lui offre l'opportunité, note El Pais en Espagne, « d'agir comme un leader central pour parvenir à un accord ». Pour Le Monde, c'est simple : c'est « un moment que le dirigeant turc attendait depuis près de trois ans », lui qui a « cherché à jouer un rôle de médiateur entre Kiev et Moscou avant même le début du conflit ». En revanche, Donald Trump, lui, ressort affaibli de cet épisode. Alors même qu'il soutenait la demande européenne pour un cessez-le-feu de 30 jours, il s'est finalement « rangé avec la contre-proposition russe », retrace le Washington Post, dans une tentative de « saper les européens ». Sans même pouvoir se targuer des avancées côté Kremlin, puisque, dans les colonnes du Soir, une experte juge que ce sont plutôt « les discussions que Vladimir Poutine a eues avec [le président chinois] Xi Jinping qui ont porté leurs fruits ». Et tant pis pour la « grande ambition stratégique » de l'administration Trump, note Le Figaro, à savoir « arracher la Russie des bras de la Chine ». Donald Trump éclipséC'est le verdict sans appel du New York Times : « Trump n'est plus l'Américain le plus important ». Et cette fois, le quotidien ne fait pas référence à la situation en Ukraine, mais à l'élection du pape Léon XIV, devenu jeudi le premier pontife américain de l'histoire. Dans un pays où l'évangélisme est de plus en plus répandu, il est temps, juge l'auteur, d'apprendre du catholicisme. « Trop d'Américains évangéliques sont déconnectés » de l'histoire de la chrétienté, assène le journal, et appartiennent à des églises « qui mesurent leur existence en mois ou en années, et pas en siècles ou en millénaires ». Conclusion : un « manque de perspective » qui « exagère l'importance des politiques ». Or, prévient le titre, « quand on croit que le succès de sa religion dépend du succès de tel ou tel politicien, ce n'est qu'une question de temps avant que la politique ne devienne religion ». D'où ces questions qui ont pullulé tout le weekend sur les réseaux sociaux américains : « le nouveau pape est-il proche du mouvement MAGA [Make America Great Again, ou rendre sa grandeur à l'Amérique - NDLR] ? Où est-il woke ? Où se situe-t-il dans la guerre culturelle américaine ? ». Autant d'interrogations vaines, se réjouit le New York Times : « Si tout va bien, Léon XIV occupera la scène mondiale bien après que Donald Trump ait disparu de la vie publique ». Une perspective qui, conclut le journal, « ressemble presque à de l'espoir ».
C'était presqu'un ovni dans le paysage médiatique belge. Un flamand, employé d'un grand quotidien, qui couvrait exclusivement les affaires wallonnes. Peter De Lobel change d'attribution, on en a donc profité pour discuter avec lui de ses années passées à parcourir Gembloux, Arlon, Liège et Tournai.A-t-il vu la Wallonie changer en presque deux décennies? A-t-il vérifié les clichés sur le sud du pays ? On lui a posé toutes ces questions en compagnie de Bernard Demonty, le chef du pôle Pouvoirs.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Il était un peu plus de 19h jeudi 8 mai à Rome. Une foule nombreuse assiste, Place Saint-Pierre, à l'annonce du nom et de l'identité du nouveau pape. Robert Francis Prevost régnera donc sous le nom Léon XIV. Le premier souverain pontife originaire des États-Unis. Dans sa première prise de parole, il a lancé un «appel de paix» à «tous les peuples». Qui est-il et pourquoi a-t-il été élu ? On va voir ça avec William Bourton du pôle Idées.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
« Libérés ! », jubile L'Equipe en première page. « Dans une ambiance de feu, le PSG s'est qualifié pour la deuxième finale de Ligue des champions de son histoire en battant à nouveau Arsenal, pointe le quotidien sportif. Les Parisiens défieront l'Inter Milan le 31 mai à Munich, tout au bout d'une saison renversante et rare. (…) Le club parisien s'est délivré des anciens fantômes et il a droit au bonheur, lui aussi, quand la route s'élève et qu'il ne reste que deux grands d'Europe au pied d'un trophée aux grandes oreilles. »« Paris en finale, Paris en fusion ! », s'esbaudit Le Parisien. Reste que « la vue du soleil d'une finale a failli éblouir le PSG, soupire le journal. Paris est sorti encore debout de vingt premières minutes où il s'est fait rouler dessus par un Arsenal enfin au niveau d'une demi-finale de la Ligue des champions. Le pressing anglais, les centres, les touches longues ont amené un danger considérable, avec des parades dantesques de Donnarumma ou le rappel que les Gunners évoluent sans vrai buteur, ce qui a fini par se voir. »Bref, constate encore Le Parisien, « c'est une formation qui aime un peu se faire peur mais qui procure un infini plaisir. Le PSG ? On l'aime comme il est. » En effet, « bousculé mais qualifié », relève Le Figaro. « Ce n'était pas une balade de santé, loin s'en faut. Qu'importe. » Libération ironise : « le PSG en finale après avoir bu la pression des demies. »Et un goût amer pour Le Guardian à Londres : « Arsenal a tout donné, se battant jusqu'au bout, même lorsque la victoire semblait perdue. (…) Mais le conte de fées ne s'est pas réalisé, soupire le quotidien britannique, pas assez de moments magiques, juste un chagrin d'amour, un récit familier d'échecs de peu, même si la fierté était présente et justifiée. »Et puis cette remarque de Die Welt à Berlin : « le Paris Saint-Germain est en finale de la Ligue des champions. Sans Lionel Messi, sans Kylian Mbappé, sans Neymar. La star, c'est désormais l'équipe et l'entraîneur Luis Enrique. »Inde-Pakistan : et la suite ?A la Une également, l'affrontement meurtrier entre l'Inde et le Pakistan. Bombardement indien en territoire pakistanais, réplique d'Islamabad... « La question, maintenant, est de savoir, pointe le New York Times, si le Pakistan décidera de répondre à l'attaque indienne en frappant à son tour le territoire indien. » En tout cas, répond le journal, « analystes et diplomates expriment l'espoir que les déclarations d'hier pourront offrir aux deux parties une voie de sortie qui leur permettrait d'éviter une spirale vers une guerre totale. »En effet, renchérit Le Monde à Paris, « l'enjeu, à ce stade, pour l'Inde, est surtout d'éviter l'escalade avec le Pakistan, un pays doté, comme elle, de l'arme nucléaire. (…) Les heures et les jours qui viennent risquent d'être décisifs. (…) L'affrontement entre les deux puissances est déjà considéré comme le plus sérieux depuis 1971. La communauté internationale observe avec inquiétude l'évolution de la situation entre les deux pays. »Israël, un « silence honteux »À lire dans Le Soir à Bruxelles, cette charge contre Israël : « À Gaza, l'impunité totale d'Israël doit cesser », lance le quotidien belge. « Le gouvernement israélien se moque bien du droit international, des droits de l'homme et autres “futilités“. Car les responsables israéliens se savent protégés par une totale impunité que lui assurent les meilleurs alliés d'Israël en Occident, les États-Unis et les Européens. Cela doit cesser », donc, affirme Le Soir. « Les massacres quotidiens, que des organismes crédibles comme Amnesty International et Human Rights Watch qualifient de “génocide“, doivent prendre fin sans délai. »Et Le Soir de citer cet éditorial récent du Financial Times à Londres : « Il est difficile, écrit le quotidien britannique, de ne pas soupçonner que l'objectif ultime de la coalition d'extrême droite de Benyamin Netanyahu est de rendre Gaza inhabitable et de chasser les Palestiniens de leur terre. (…) Pourtant, les États-Unis et les pays européens qui présentent Israël comme un allié partageant leurs valeurs ont à peine prononcé un mot de condamnation. Ils devraient avoir honte de leur silence et cesser de permettre à Netanyahou d'agir en toute impunité. »Le Soir conclut ainsi : « sans sanctions, Israël continuera à se croire intouchable. Les déclarations indignées ne suffisent pas. Il faut des actes. (…) L'UE osera-t-elle enfin bouger ? C'est une question d'humanité, et à Gaza le temps presse. »
C'est une étude qui vient clouer le bec à plusieurs théories du complot. En 2020, la pandémie de Covid-19 mettait le monde entier à l'arrêt et très vite, on se demandait «mais d'où vient cette maladie»? On a parlé du pangolin, on a parlé d'une fuite d'un laboratoire. Une étude menée par des chercheurs internationaux nous apprend que ce n'est très certainement pas le labo, que ce n'est certainement pas le pangolin....mais des chauves-souris.Michel de Muelenaere, du pôle Planète, a lu cette étude et interrogé un de ses auteurs, il nous explique.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
George Simion, candidat nationaliste d'extrême droite et admirateur de Donald Trump est arrivé largement en tête au premier tour de la présidentielle roumaine confirmant ainsi la vague de “dégagisme” des partis traditionnels. Le second tour s'annonce tout de même serré puisqu'il affrontera le maire de Bucarest qui défend une vision plus libérale et pro-européenne. Deux modèles qui s'opposent et incarnent les scissions idéologiques présentes en Roumanie, pays voisin de l'Ukraine et sixième plus peuplé de l'Union européenne. Marine Leduc est correspondante pour Le Soir à Bucarest. Elle revient avec nous sur les enjeux qui entourent ce scrutin et sur ce qu'ils disent de la société roumaine actuelle. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Depuis quatre mois, les sorties musclées contre le modèle culturel francophone belge s'entassent à droite. Plusieurs prises de position du président du MR Georges-Louis Bouchez ont suscité de vives réactions au sein du secteur culturel belge. Notamment sa remise en question de l'existence même d'un ministère de la culture, des subsides trop systématiques ou encore des conseils d'administration « trop politisés ».Marine Buisson, cheffe du pôle culture et Bernard Demonty, chef du pôle Pouvoirs ont rencontré le président du MR pour qu'il leur livre sa vision idéale du modèle culturel belge francophone, entre provocation et rationalisation.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Les compulsions du soir, c'est quelque chose que beaucoup de gens rencontrent.J'ai moi-même connu cela dans mes troubles alimentaires ! Dans cet épisode je te parle des causes et des solutions à mettre en place.Si tu traverses ces compulsions, courage ♥️Je sais à quel point c'est difficile. Mais tu peux en sortir, c'est possible ! Crois-y.
Après une longue journée de travail, on a souvent envie de se récompenser avec un bon repas. Malheureusement, pour notre santé et notre digestion, il est plus prudent d'éviter le buffet et de privilégier les petites quantité. En effet, le repas du soir peut aussi vous rester sur l'estomac ! Et surtout si il est rempli de féculents. Mais alors quels aliments sont à privilégier pour le dîner ? Quels sont les féculents à privilégier le soir ? À quoi ressemble l'assiette? parfaite ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Eva Depierre. Date de première diffusion : 20 mai 2024 À écouter aussi : La viande rouge est-elle vraiment la moins écologique ? L'eau dans laquelle vous allez vous baigner cet été est-elle vraiment propre ? Comment obtenir des billets de concerts pas chers ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Depuis le 9 juin dernier, c'est le casse tête. Comment faire pour former un gouvernement dans une Région bruxelloise ultra morcelée au niveau des votes et où, en plus, l'architecture institutionnelle impose des règles comme des majorités dans chaque groupe linguistique ? Avec la N-VA, sans la N-VA, avec le PS, sans le PS : les exclusives sont nombreuses et portent chaque couleur politique. La dernière option sur la table, portée par Georges Louis Bouchez, consiste en un gouvernement minoritaire qui ne séduit pas grand monde. On fait le point avec Julien Thomas et Bernard Demonty du pôle Pouvoirs.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
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Depuis son retour à la Maison Blanche, il y a 100 jours, Donald Trump a bouleversé toute une série de secteurs. Il a fait chanceler l'économie mondiale, il a secoué la diplomatie internationale....Et il a lancé plusieurs jalons pour rendre à son pays des atours plus conservateurs. On ne va pas pouvoir tout raconter ici, on s'est donc concentré sur la guerre culturelle que le Président entend mener. Maurin Picard est notre correspondant aux Etats Unis, il y a quelques jours, il était en Floride en reportage. On l'a appelé pour qu'il nous raconte tout« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Un pays une fois de plus à l'arrêt....Comme c'est le cas depuis décembre, le front commun syndical FGTB – CSC mène sa journée d'action mensuelle contre les mesures décidées ou envisagées par l'Arizona. Un climat social orageux mais l'impression c'est que le gouvernement avance et que les syndicats crient dans le vide. Alors que la semaine sera marquée par les fêtes du 1er mai, on a demandé à David Coppi du pôle Pouvoirs de passer en studio nous expliquer la stratégie des organisations syndicales....et ses effets.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
L'enquête menée par plusieurs médias européens, dont *Le Soir* et *Le Monde*, révèle comment la Chine exerce une pression systématique sur ses ressortissants en Europe. Des témoignages indiquent que Pékin utilise des menaces envers les proches restés en Chine pour contrôler et intimider les opposants politiques, notamment les Tibétains, Ouïghours et militants pour la démocratie. La Chine aurait mis en place des méthodes secrètes pour étouffer toute opposition, incluant des techniques d'influence émotionnelle et des restrictions de voyage. Ces pratiques de surveillance et de répression existent depuis longtemps, mais sont désormais mises en lumière par la presse internationale. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
250 000 fidèles, plus de 50 dirigeants et dirigeantes du monde entier : les funérailles du pape François se sont déroulées sans accroc ce samedi matin à Rome. En marge de la cérémonie qui avait des airs de sommet diplomatique, on a vu Donald Trump s'entretenir avec Volodymyr Zelensky. Silvia Benedetti est notre correspondante en Italie, elle nous raconte cette matinée romaine pas comme les autres.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Un pays une fois de plus à l'arrêt....Comme c'est le cas depuis décembre, le front commun syndical FGTB – CSC mène sa journée d'action mensuelle contre les mesures décidées ou envisagées par l'Arizona. Un climat social orageux mais l'impression c'est que le gouvernement avance et que les syndicats crient dans le vide. Alors que la semaine sera marquée par les fêtes du 1er mai, on a demandé à David Coppi du pôle Pouvoirs de passer en studio nous expliquer la stratégie des organisations syndicales....et ses effets.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et v
Klô Pelgag est une artiste bien établie au Québec et au Canada, cumulant 20 Félix aux Galas de l'ADISQ en carrière, deux prix JUNO, une nomination sur la courte liste et une sur la longue liste du Prix de musique Polaris, des concerts à guichet fermé au MTelus et des collaborations et apparitions aux concerts de CRi, Patrick Watson et Pomme. Chaque album de Klô Pelgag solidifie la place distinctive qu'elle occupe dans le paysage culturel francophone, et Abracadabra ne fait pas exception. L'album a été très bien accueilli par les médias québécois et canadiens, incluant une entrevue dans le cadre de CBC q, une critique de 8/10 dans Exclaim!, la une du Rolling Stone Québec, des articles dans La Presse et Le Journal de Montréal, et une primeur via Elle Québec, entre autres. Hors Canada, Abracadabra a été vastement encensé par des publications telles que FrancoFans, qui a souligné « la plume toujours aussi aiguisée portée par ces fameuses mélodies perchées et cette voix parfaitement maîtrisée. » CBC Music ajoute : « Avec Abracadabra, Pelgag semble avoir un orchestre entier à ses doigts — et ce n'est que le début de la magie qu'elle manie. » L'album a également obtenu du soutien des radios à travers le monde, incluant France Inter, FIP, France Bleu, RFI Monde, France Culture et Focus VIF en France; Radio Eins en Allemagne; RTS et Vostok en Suisse; RFI Afrique; BBC6 Music au Royaume-Uni; et plus encore. Abracadabra est apparu sur les listes de meilleure nouvelle musique de NPR et KCRW, en plus de recevoir des critiques élogieuses de la part de Télérama, Longueur d'ondes, FrancoFans, Le Soir, et Magic, entre autres. Son rayonnement avec son 2020 opus Notre-Dame-des-Sept-Douleurs s'étend au-delà de la province et du pays, avec d'élogieuses critiques en France, dans le Télérama, avec la très prisée note de ffff, et dans Longueur d'onde, Rolling Stone France, FrancoFans et plus encore. L'influent journaliste américain Anthony Fantano a critiqué l'album sur sa chaîne YouTube, The Needle Drop – du jamais-vu pour un album francophone : « Il y a des tonnes de magnifiques points forts créatifs dans chaque recoin de ce projet. » Dans les dernières années, elle a performé en France, à la Maroquinerie et en Angleterre au Lexington à guichet fermé, au Japon, en Belgique et en Suisse. Instagram :https://www.instagram.com/laprescriptiondrfred/?hl=frFacebook :https://www.facebook.com/people/La-prescription-avec-Dr-Fred-Lambert/100078674880976/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le cliché a fait le tour du monde en quelques minutes samedi et il est encore à la Une de nombreux journaux ce lundi… « Donald Trump et Volodymyr Zelensky assis seuls dans le fastueux décor de la basilique Saint-Pierre et faisant (peut-être) avancer le sort de la paix (en Ukraine). Instant de grâce momentané ou bien réel début d'influence sur le cours des choses ?, s'interroge Le Temps à Genève. L'avenir le dira ».« L'enterrement du pape François s'est posé soudain en lieu de la politique internationale, constate Le Soir à Bruxelles, faute d'instances à même désormais de jouer pleinement leur rôle dans le chaos provoqué par le président américain et ses acolytes. Privés des traditionnels déclarations et communiqués officiels communs pour décoder le cours des événements, on en était réduit ce week-end à comptabiliser les échanges et poignées de main réalisés sur le sol romain, presque soulagés de constater que, oui, durant l'office religieux, Trump et Macron avaient exécuté le “geste de paix“ prévu par la liturgie catholique. On se contente désormais de très peu, soupire Le Soir. Un geste de paix ? Difficile pourtant de tirer cette conclusion de la rencontre dans la basilique Saint-Pierre entre les présidents américain et ukrainien ».Trump influencé ?Quoi que les deux hommes se soient dits, pour le Times à Londres, « il est essentiel que tout accord de paix sur l'Ukraine (…) préserve la souveraineté ukrainienne plutôt que de la restreindre et punisse l'agression russe plutôt que de la récompenser. Trump semble avoir été influencé par cette brève discussion avec le président Zelensky (…). Zelensky a ensuite déclaré qu'il s'agissait d'une “rencontre hautement symbolique et potentiellement historique“. Le test sera de savoir, pointe encore le Times, s'il parviendra à convaincre Donald Trump que toute paix négociée ne fera que reporter, au lieu de résoudre, le conflit, si elle ne parvient pas à réduire les acquis territoriaux russes, notamment l'annexion illégale de la Crimée ».Vœu pieux ?Le problème, c'est qu'on avait l'image mais pas le son, pointe Libération à Paris. « Ce face-à-face au Vatican, dans l'impressionnante démesure de marbre d'une basilique parachevée par Michel-Ange, (…) réinstalle, sans qu'il soit possible d'en mesurer la portée superficielle ou profonde, une atmosphère de secret et de pénombre dans le jeu de poker menteur des tractations interétatiques. Il s'agissait de montrer du dialogue tout en coupant le son ».Et attention, prévient Libération, « il faut craindre qu'il ne s'agisse ici que d'une bien tardive image pieuse, la scénographie de la franchise et de la réciprocité à l'heure des fourbes et avant que les coups bas et le dépeçage de toutes les valeurs ne reprennent de plus belle, sitôt franchi le portail de l'église. Amen ».Poutine dans les cordes ?Et en effet, un coup pour rien… À en croire les dernières déclarations de Trump qui font notamment la Une du site du Guardian à Londres, on est loin d'un alignement des positions de Trump et de Zelensky… Il y a quelques heures, répondant à la question d'un journaliste « Zelensky est-il prêt à abandonner la Crimée ? », le président américain a répondu : « oh je pense que oui… » Et dans le même temps, le président américain a affirmé que le face-à-face au Vatican avait amélioré ses relations avec le président ukrainien…Seul point positif, note La Repubblica à Rome, les déclarations de Trump sur Poutine : « la Russie m'a surpris et déçu, a-t-il dit, car elle a commencé à bombarder après avoir discuté de la paix ». Commentaire du quotidien italien : « peut-être pour la première fois depuis le début de son nouveau mandat, Trump met Poutine dans les cordes. Trump semble en effet s'être convaincu que l'obstacle à la paix pour le moment est le chef du Kremlin, à qui il a proposé (pourtant) un accord très favorable, qui comprend apparemment le transfert éventuel de la Crimée (…). Si Poutine ne l'accepte pas, la faute lui en incombera, et à ce moment-là, la réaction du chef de la Maison Blanche pourrait devenir imprévisible ».
Il y aura beaucoup de monde, samedi matin, sur la place Saint-Pierre de Rome, pour les funérailles du pape François. Plus de 200 000 fidèles sont attendus….et près de 170 délégations officielles ; chefs d'Etat et de gouvernement. Rome, ce samedi, sera un haut lieu de la diplomatie en plus d'être le centre du monde chrétien. Les présidents français et américain, pour ne citer qu'eux, seront présents. Pour évoquer cette géopolitique des funérailles, on a invité en studio Véronique Lamquin, cheffe du pôle Idées et Joëlle Meskens, notre envoyée permanente à Paris.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
La contraception, c'est un truc de filles ? Y a-t-il une remise en question de la pilule contraceptive ? Les jeunes se protègent-ils moins qu'avant ? Où se situent leurs connaissances en la matière ? Dans ce podcast, nous tentons de répondre à ces questions avec l'aide de Jacques Marquet, professeur émérite en sociologie de la famille et du couple, de Stéphanie Penelle, psychologue clinicienne et de Sophie Molle, assistante sociale et sexologue, au planning familial « Faculté d'Aimer ».« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Editorialiști și comentatori din întreaga lume continuă să analizeze misiunea Papei Francisc, realizările și limitele sale. Opiniile sunt împărțite. Ziarul argentinian El Tiempo, preluat de Courrier International, îl salută drept un „papă al ateilor” și „primul papă progresist”, care „s-a angajat de partea săracilor”, „smerit” și „auster”, „aproape de credincioși și necredincioși”, care i-a apărat ”pe cei marginalizați” și „nu s-a temut să-i critice pe cei puternici”.El País, notează că ”trebuie să te întorci cu câteva secole în urmă pentru a găsi un pontif care a fost atacat cu atâta virulență”. El a fost „numit eretic sau comunist, chiar anti-papă”. A răspuns rar la aceste critici, spunând pur și simplu în martie 2022: „Au inimile triste, îmi este milă de ei. Sunt nebuni care profită de cea mai mică ocazie ca să muște”.Pentru Le Monde ”Suveranul Pontif a pus săracii în centrul discursului său, evidențiind cauza imigranților și refugiaților. El dispare tocmai în momentul în care forțele care s-au opus alegerilor sale se întăresc.În mod ironic, pontiful și-a dat ultima suflare la scurt timp după ce l-a primit pe vicepreședintele SUA JD Vance, o figură importantă a reacțiunii catolice din Statele Unite.Numai timpul va spune dacă, dincolo de pontificatul lui Francisc, Biserica va putea respinge definitiv impasul identitar și tentația conservatoare prezente pe toate continentele și atât de clar opuse față de liderul pe care tocmai l-a pierdut”, scrie ziarul francez. „Domnia sa a fost o perioadă de mare confuzie pentru catolicii credincioși, chiar dacă cei din afara Bisericii au continuat să aplaude eforturile sale de a-i ajuta pe cei marginalizați”, notează publicația britanică UnHerd. Totuși, el a obținut „puține rezultate concrete” în timp ce ”finanțele Vaticanului rămân îngrozitoare”.Publicația britanică mai subliniază că „Sfântul Scaun încă nu a demonstrat o direcție clară în ceea ce privește abuzurile sexuale”, în ciuda unor eforturi „la niveluri inferioare ale Bisericii”. În cele din urmă, „clerul obișnuit este demoralizat și tulburat, iar numărul de oameni care se prezintă pentru hirotonire a scăzut considerabil”.Le Soir observă la rândul său că, „în timp ce el a vorbit clar împotriva abuzului sexual asupra minorilor și femeilor, Biserica sa nu au făcut suficient, în ochii victimelor și a avocaților acestora. Preoți și episcopi au fost acuzați de credincioșii profund dezamăgiți din numeroase țări și care încă așteaptă reparații de la Biserica lor”.Pentru Salzburger Nachrichten, citat de Eurotopics, Papa s-a încurcat în contradicții:"Imaginea pe care o lasă Francisc în urmă este una ambivalentă. El a sfidat clasificarea în schema „conservator - progresist". El a deschis biserica homosexualilor, dar a condamnat avortul ca pe o crimă. A numit femei în cele mai înalte funcții administrative ale Vaticanului, dar a pus frână admiterii femeilor în slujbele ordonate. El a indicat calea, dar s-a îndreptat spre o biserică descentralizată”.
Après la disparition du pape François, le débat est lancé. Qui pour lui succéder ? Et dans quel esprit : ouverture ou bien repli sur la tradition ? On est à un point de bascule, souligne Le Monde à Paris : « apôtre de la bienveillance, plus attentif au sort des pauvres qu'aux normes morales, préférant l'ouverture sur le monde et l'écoute des autres au repli sur soi, le pape François disparaît précisément au moment où les forces qui s'opposaient à ses choix se renforcent, voire s'imposent dans plusieurs régions du monde, à commencer par les États-Unis. Ironiquement, pointe encore Le Monde, le souverain pontife a rendu son dernier souffle peu de temps après avoir reçu brièvement le vice-président américain, J.D. Vance, figure de proue de la réaction catholique aux États-Unis. Seul le temps long dira si, au-delà du pontificat de François, l'Église romaine sera capable de rejeter durablement l'impasse identitaire et la tentation conservatrice présentes sur tous les continents et si clairement combattues par le chef qu'elle vient de perdre. »Conservatisme ou progressisme ?Alors qui pour succéder à François et dans quelle direction ? Le Soir à Bruxelles débroussaille le chemin : « Parmi les cardinaux les plus traditionalistes, épinglons deux opposants notoires au pape François, relève le quotidien belge : l'Américain Raymond Leo Burke et le Guinéen Robert Sarah, tous deux tenants de positions très conservatrices notamment sur les femmes, les divorcés ou les homosexuels. Le continent africain, qui entend faire peser son nombre de fidèles dans la balance, peut aussi compter sur le Ghanéen Peter Turkson, très influent, souvent présenté comme favori pour devenir le premier pape noir. Ou encore le Congolais Fridolin Ambongo, voix puissante du mouvement pour la paix en République démocratique du Congo, qui pourrait rassembler sur son nom des votes de cardinaux jugés conservateurs. À l'inverse, note encore Le Soir, deux candidats plus progressistes et plus proches du pape François semblent aussi dans la course : Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, et Anders Arborelius, évêque de Stockholm, tous deux très engagés pour la défense des migrants. »Un « défit délicat »« En choisissant un nouveau pape, le Collège des cardinaux est confronté à un choix capital, pointe le Washington Post. Choisira-t-il un successeur qui poursuivra la vision réformiste de François ? Ou optera-t-il pour un correcteur – quelqu'un qui pourrait guérir les failles que François a révélées et, parfois, exacerbées ? En réalité, poursuit le quotidien américain, François a lui-même remodelé le collège, en nommant des cardinaux qui partagent largement ses sensibilités. Pourtant, l'histoire nous apprend que les conclaves papaux oscillent souvent entre des visions contrastées, à la recherche d'un équilibre après des périodes de changements spectaculaires. Le conclave est confronté au défi délicat de trouver une figure capable de maintenir la chaleur pastorale de François tout en apaisant les inquiétudes doctrinales. »Alors, estime le Washington Post, « peut-être quelqu'un d'Afrique ou d'Asie, où le catholicisme continue de s'épanouir sans les préoccupations particulières du progressisme occidental ».Un pape africain ?Justement, « un pape noir donnerait à l'Afrique la voix qu'elle mérite », estime pour sa part le Times à Londres. « Selon le Vatican, le continent africain compte 176 millions de catholiques, mais il ne s'agit pas seulement d'une question de chiffres : un pape africain pourrait user de son influence pour ancrer plus fermement le continent dans la géopolitique actuelle. La guerre féroce et généralisée au Soudan a été largement oubliée par les Nations unies. Des millions de personnes meurent de faim dans les combats entre l'armée soudanaise et les milices des Forces de soutien rapide ; le choléra fait rage ; les frontières s'effondrent. (…) Il y a (aussi) des guerres pour des ressources rares, poursuit le Times, comme celle entre le Rwanda et la République démocratique du Congo ; il y a des guerres pour l'eau (…). C'est l'un des arguments en faveur d'un pontife africain, quelqu'un capable d'utiliser une grande tribune pour défendre les victimes d'une guerre oubliée, quelqu'un capable de faire honte et de convaincre les politiciens traditionnels pour qu'enfin, ils agissent. »
Depuis mardi et pour trois semaines, le géant Google est sur le banc des accusés. Un des procès antitrust les plus emblématiques de l'ère numérique. La justice américaine reproche des abus de position dominante, sur le marché de la recherche en ligne et sur celui de la publicité. Philippe Laloux est journaliste au pôle Economie, il est passé en studio pour nous détailler les enjeux du procès et pour nous expliquer quelles pourraient être les conséquences, pour Google comme pour nous.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Le Soir a rencontré Miki, nouvelle artiste émergente dans la chanson féminine francophone, qui crée petit à petit sa communauté. Elle séduit par sa musique pop-électro et ses textes authentiques. Parmi ceux-ci, on retrouve échec et mat qui cumule près de quatre millions d'écoutes sur YouTube et Spotify.
Il était le premier pape issu du continent américain, le premier Argentin, le premier issu des rangs des Jésuites. François, né Jorge Mario Bergoglio, est décédé à 88 ans des suites d'un accident vasculaire cérébral. C'était le Pape de la modernité pour les questions sociales ou environnementales, c'était un pape du passé pour les questions éthiques. On l'aura vu notamment lors de sa récente visite en Belgique.On va revenir sur la vie, sur le pontificat de ce fan de foot né dans un quartier populaire de Buenos Aires avec William Bourton, du pôle Idées. Avec une question en filigrane : qu'est-ce que le Pape François laissera comme trace dans l'histoire ?« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Plus de 300 jours après les élections, la formation du gouvernement bruxellois reste au point mort. Et cette absence de gouvernement plonge la Région dans l'incertitude à tous les niveaux, avec des conséquences concrètes pour plusieurs secteurs. « Le Soir » s'est lancé dans un tour d'horizon de ces différents secteurs.
Plus de 300 jours après les élections, la formation du gouvernement bruxellois reste au point mort. Et cette absence de gouvernement plonge la Région dans l'incertitude à tous les niveaux, avec des conséquences concrètes pour plusieurs secteurs. « Le Soir » s'est lancé dans un tour d'horizon de ces différents secteurs.
C'était, d'après ses propres mots, le combat le plus dur de sa vie. Remco Evenepoel reprend la compétition ce vendredi, quatre mois après son accident avec une camionnette bpost, quatre mois après avoir eu le poignet et l'omoplate fracturés, l'épaule déboîtée et les poumons touchés. Le Belge sera au départ de la Flèche brabançonne, sur ses terres. Que faut il espérer pour ce retour ? Dans quel état est il ? On a posé toutes ces questions à notre expert cyclisme, Stéphane Thirion.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
L'offensive commerciale de Donald Trump vis-à-vis de la Chine a mené à une contre-attaque, prévisible, de Pékin. Avec des droits de douane astronomiques qui empêchent désormais toute forme de commerce, la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis semble donc avoir atteint un point de non-retour. Véronique Kiesel est journaliste au pôle international. Elle analyse avec nous cette escalade des tensions entre les deux puissances mondiales. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Une grande zone de police sur l'ensemble du territoire bruxellois plutôt que les six zones qui coexistent aujourd'hui. La fusion des zones de police est un serpent de mer bruxellois. Le gouvernement fédéral a décidé de s'emparer du dossier. Le ministre de l'Intérieur, Bernard Quintin, a a présenté aux bourgmestres sa feuille de route. Pour un projet qu'il espère voir d'application dès janvier 2027. Que retrouve-t-on dans le projet de Bernard Quintin ? Quels sont les arguments des pro et des anti fusion ? On a posé toutes ces questions à Arthur Sente, journaliste au pôle Enquêtes.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Le gouvernement fédéral a bouclé le weekend dernier son premier accord budgétaire. Parmi les mesures principales : la limitation dans le temps des allocations de chômage, des contrôles accrus autour des congés maladie…plus d'investissements et plus vite pour la Défense….On va revenir sur certaines de ces décisions dans un instant. On va aussi voir comment s'est passée la négociation et s'il s'agit effectivement d'un bouleversement avec David Coppi, journaliste au pôle Pouvoirs.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
On attendait que le score. Yvan Verougstraete était le seul candidat à la présidence des Engagés. Il a donc été élu avec près de 9 voix sur 10, 89% Le Bruxellois, ancien CEO à succès, désormais député européen va donc prendre la tête d'un parti sur le haut de la vague depuis les dernières élections. Quelles sont les forces et les faiblesses de la formation centriste? Quelles sont les menaces? Les opportunités? Alexandre Noppe, journaliste au pôle Pouvoirs, répond à nos questions.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Il s'appelle Mahmoud Khalil. Diplômé de l'université Columbia, à New York, il est né en Syrie, dans un camp de réfugiés palestiniens, mais a le statut de résident permanent aux États-Unis. Toutefois, « il pourrait être expulsé », a estimé un juge de Louisiane, nous explique le New York Times, au motif qu'il « a mené, l'année dernière, sur le campus de Columbia, des manifestations pro-palestiniennes ». Le secrétaire d'État, Marco Rubio, a estimé que « sa présence aux États-Unis portait atteinte à l'intérêt de la politique étrangère américaine pour mettre fin à l'antisémitisme ». Le Guardian, à Londres, cite de son côté la Maison Blanche, qui a également estimé que « les croyances de Mahmoud Khalil étaient contraires aux intérêts de la politique étrangère des États-Unis ». Le militant pro-palestinien est en prison depuis un mois. L'affaire n'est pas close, car il dispose de recours juridiques, mais précise le Guardian, « son cas est le premier d'une série d'arrestations ordonnées par l'administration Trump, visant des étudiants et des universitaires pro-palestiniens vivant aux États-Unis avec un visa ou une carte verte ». Sans évoquer cette affaire, le Jérusalem Post annonce de son côté que « Donald Trump s'apprêterait à placer l'université Columbia, sous surveillance fédérale, suite à des allégations d'antisémitisme ».Arsenal nucléaireÀ la Une également, l'inquiétude qui s'amplifie autour des décisions prises par Donald Trump sur le plan international. Il y a bien sûr la question des droits de douane sur laquelle le président américain, a reculé cette semaine, excepté pour la Chine, mais ce n'est pas tout. Die Welt accuse Donald Trump « d'alimenter la plus grande course à l'armement nucléaire depuis la guerre froide ». En effet, estime le quotidien allemand, « craignant que les États-Unis ne se retirent de l'OTAN, de plus en plus de pays envisagent désormais de construire leur propre arsenal nucléaire ». Die Welt souligne toutefois que « le danger présenté par les armes nucléaires est très différent au XXIème siècle de ce qu'il était au XXème siècle. » Le journal rappelle que la « puissance destructrice de ces armes nucléaires a incité, au XX ème siècle, les États-Unis et l'Union soviétique à conclure une série d'accords de contrôle des armements qui ont finalement conduit à une réduction de leurs arsenaux ». On en est loin aujourd'hui… Die Welt fait la liste des États qui ont récemment déclaré envisager d'acquérir l'arme atomique, à commencer par l'Allemagne, mais pas seulement, il y a aussi la Pologne, la Turquie, ou même l'Arabie saoudite… Sans oublier tous les pays qui travaillent depuis longtemps sur la question, notamment l'Iran. Et puis il y a bien sûr Vladimir Poutine, « qui a, à plusieurs reprises, laissé entendre qu'il pourrait utiliser des armes nucléaires dans le conflit ukrainien », rappelle Die Welt... Sujet tabouEnfin, en France, le choc après les déclarations de l'ancien rugbyman Sébastien Chabal. Reconnaissable à sa chevelure et sa longue barbe, il confie n'avoir « aucun souvenir des matchs disputés dans sa carrière », titre le Monde. « Je ne me souviens pas d'une seule des 62 Marseillaises que j'ai vécues », a déclaré, dans l'émission Legend sur YouTube, celui qui fut international de 2000 à 2011. Sébastien Chabal a également précisé qu'il n'avait pas consulté de neurologue. « Pour quoi faire », dit-il, « la mémoire ne reviendra pas ». « Il n'utilise pas le terme de commotion cérébrale », poursuit Le Monde, mais il reconnaît avoir « pris des pets au casque » sur le terrain, « alors que de nombreux anciens joueurs sont victimes de troubles neurologiques ». Dans le journal L'Équipe, l'ancien sélectionneur de l'équipe de France de rugby, Bernard Laporte, déclare : « le risque zéro n'existe pas… il y a des chocs, on a vu évoluer les règles, la sécurité des joueurs est essentielle ». Mais à Bruxelles, Le Soir estime que les commotions cérébrales dans le rugby sont, ni plus ni moins, « tabou ». Selon le journal, ces commotions « sont largement sous-déclarées dans le sport amateur, en grande partie parce qu'elles sont peu prises en charge médicalement ». Il y a aussi, ajoute Le Soir, une « culture du silence » autour de ces blessures invisibles...
durée : 00:02:28 - Le soir et le week end
Rubrique:nouvelles Auteur: albert-cim Lecture: Daniel LuttringerDurée: 23min Fichier: 16 Mo Résumé du livre audio: Drolatique nouvelle d'Albert Cim (1845-1924) parue dans la Revue Bleue en janvier 1893. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Imediat după schimbul dur de replici din Biroul Oval, presa internațională a început să analizeze consecințele evenimentului de vineri seară. Potrivit comentatorilor, Europa a rămas singură în fața Rusiei și există un singur câștigător: Vladimir Putin. Schimbul aspru de replici dintre Donald Trump și Volodimir Zelenski, a provocat „consternare de ambele maluri ale Atlanticului”, rezumă The Washington Post.Iar The New York Times a văzut „un schimb exploziv de insulte, care nu au fost niciodată văzute în Biroul Oval între un președinte american și un lider străin în vremurile moderne”.”A fost orice altceva decât un schimb diplomatic obișnuit în fața camerelor de filmat”, consideră Der Spiegel.The New York Post crede că, de fapt, ”Trump vrea să conserve puterea de luptă a SUA pentru ceea ce crede el că este adevărata amenințare - China. Pentagonul și-a epuizat stocul de arme la niveluri periculoase prin înarmarea Ucrainei.Dacă China ar invada Taiwanul mâine, probabil că o intervenție din partea SUA ar eșua”.În schimb, pentru ziarul belgian Le Soir,„Nu există cuvinte pentru a ne exprima uimirea față de această extorcare în direct, în fața camerelor de filmat, orchestrată de liderii unei superputeri care joacă pacea mondială precum pokerul, transformând Casa Albă într-o sală de jocuri de noroc a mafiei și strigând, cu pistolul la capul prăzii lor: fie semnezi și îți mulțumim, fie te vom abandona.”„După această scenă, nicio țară nu va mai avea încredere în Trump”, consideră Süddeutsche Zeitung. „Statele Unite devin un stat arbitrar, chiar un stat necinstit”, scrie ziarul german, care se teme că Zelenski „s-ar putea să nu supraviețuiască mustrării politice a lui Trump”.„Secvența care a avut loc în Biroul Oval este suficientă pentru a-i lăsa pe europenii, deja excluși din discuțiile inițiate asupra Ucrainei, atât paralizați, cât și perplecși”, subliniază ziarul elvețian Le Temps.Le Monde notează că ”altercația violentă ilustrează ostilitatea noii administrații americane față de Ucraina și marchează un punct de rupere între aliați.Această ostilitate a fost ilustrată de agresivitatea fără precedent a unui vicepreședinte american, J. D. Vance, față de liderul unei țări democratice în război cu o dictatură.Revoltați de brutalitatea domnilor Trump și Vance, liderii europeni s-au grăbit să-și exprime sprijinul pentru domnul Zelenski, cu excepția notabilă a premierului ungar Viktor Orban, care i-a mulțumit președintelui american.Dar ambuscada din Biroul Oval nu face decât să le confirme temerile: ruptura transatlantică este profundă, iar alinierea discursului domnului Trump cu cel al domnului Putin sugerează o inversare a alianțelor. Europa este acum singură împotriva Rusiei”.Iar o analiză a BBC observă că, dacă ”drama de vineri din Biroul Oval a stârnit o reacție rapidă din partea multor lideri mondiali, nu a existat niciun comentariu până acum din partea liderului de la Kremlin.Președintele Putin își poate permite să stea pe loc și să urmărească desfășurarea evenimentelor.Dacă fluxul de arme americane către Ucraina s-ar opri, ucrainenilor le-ar fi mult mai greu să se apere de forțele ruse, chiar dacă se bucură de solidaritate și de sprijin puternic din partea liderilor europeni.De ceva timp, Moscova crede că războiul din Ucraina merge pe calea Rusiei. Strigătele din Biroul Oval au cimentat această convingere”.
L'un des enjeux de l'agriculture c'est de séduire des jeunes pour s'installer et reprendre les exploitations d'agriculteurs qui partent à la retraite. Pour rendre le travail moins pénible, il y a désormais les robots. Exemples avec du poulet, de la bière et du lait... Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 26 février 2025.
Une étude récente menée par l'University College de Londres (UCL) a révélé que notre bien-être mental est généralement meilleur le matin et atteint son point le plus bas aux alentours de minuit. Cette recherche, publiée dans la revue BMJ Mental Health, a analysé près d'un million de réponses provenant de près de 50 000 adultes participant à l'étude sociale sur la COVID-19 de l'UCL, couvrant la période de mars 2020 à mars 2022.Les participants ont évalué leur bonheur, leur satisfaction de vie, le sentiment que leur existence a un sens, ainsi que leur solitude. Les résultats ont montré que les niveaux de bonheur et de satisfaction de vie étaient plus élevés le matin, diminuant progressivement au fil de la journée pour atteindre leur nadir vers minuit. De plus, ces indicateurs étaient supérieurs les lundis, vendredis et mardis comparativement aux dimanches. Les saisons ont également influencé ces variations, avec un pic de bien-être observé durant l'été.Bien que cette étude soit de nature observationnelle et ne puisse établir de lien de causalité direct, les chercheurs suggèrent que ces fluctuations quotidiennes pourraient être liées aux rythmes circadiens, notre horloge biologique interne. Par exemple, le cortisol, une hormone régulant l'humeur et la motivation, atteint son niveau maximal peu après le réveil et son minimum à l'heure du coucher. Cette variation hormonale pourrait expliquer pourquoi nous nous sentons généralement plus heureux le matin.Dr Feifei Bu, de l'UCL, souligne l'importance de ces découvertes : "Nos résultats suggèrent qu'en moyenne, la santé mentale et le bien-être des gens sont meilleurs le matin et pires à minuit." Elle ajoute que ces conclusions pourraient avoir des implications pratiques, notamment pour les services de soutien en santé mentale, qui pourraient ajuster leurs ressources en fonction des besoins fluctuants au cours de la journée.En résumé, cette étude apporte un éclairage précieux sur les variations quotidiennes de notre bien-être mental, suggérant que des facteurs biologiques, tels que les rythmes circadiens et les fluctuations hormonales, jouent un rôle clé dans ces changements. Ces informations pourraient être essentielles pour adapter les interventions en santé mentale et optimiser le soutien offert aux différentes périodes de la journée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes en 1953. Année du retour dans les librairies belges, après l'interruption due à la Guerre, du « Guide Michelin, Nord de la France, Belgique, Luxembourg ». L'ouvrage est nettement plus succinct que les éditions précédentes, mais la partie gastronomie est clairement mise en avant, notamment par la présentation d'une carte des spécialités : « Parmi les attraits du voyage, il faut mettre en bonne place l'occasion de comparer les diverses spécialités régionales », y est-il noté. Cette nouvelle édition donne également, pour la première fois, un descriptif de nos habitudes culinaires : « En Belgique, la chair est saine et abondante : les pommes frites, toutes les variétés de potages, les assaisonnements à la mayonnaise, les anguilles sont très appréciées, la bière est la boisson usuelle. La gueuze, variété de bière fortement alcoolisée, est très goûtée. Il existe des bières locales très appréciées à Audenarde, Louvain, Diest, Dinant et Diekirch au Luxembourg. Les vins de France, souvent onéreux, sont souvent de qualité dans les bonnes maisons. » Voilà ce que l'on peut lire dans le « Michelin » de 1953. Un vingtaine d'années plus ,tôt dans le journal « Le Soir » du 6 juillet 1932, un journaliste regrettait, pourtant, le piteux état de la cuisine régionale en Belgique : « Mais quand donc nos restaurateurs hisseront-ils sur le pavois cette savoureuse cuisine régionale, dont on ne dira jamais assez de bien ? Il y a, dans nos provinces, une infinité de plats sapides (ayant du goût, savoureux), simples et peu coûteux, dont il serait salutaire de ressusciter la popularité ». Les guides gastronomiques ont-ils eu un impact sur le changement d'image de notre cuisine ? A quand remontent les origines de ces guides ? Avec nous : Pierre Leclercq, historien de l'alimentation, collaborateur scientifique à l'ULG, responsable du Petit Lancelot qui nous propose des repas-conférences où la gastronomie se mêle à la découverte culturelle. Sujets traités : Guide, Michelin, édition, gastronomie, frites, France, cuisine, bières Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:38:18 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Le Nord-Kivu est une région à l'est de la République démocratique du Congo et frontalière du Rwanda. Les tensions entre ces deux pays remontent au génocide de 1994 et se poursuivent aujourd'hui à travers des milices armées responsables d'un désastre humanitaire dans cette région riche en minerais. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Thierry Vircoulon Chercheur associé à l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'IFRI; Lionel Zinsou Banquier d'affaires franco-béninois, ex Premier ministre du Bénin; Colette Braeckman Grand reporter belge au journal Le Soir
durée : 02:29:54 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marie Dumoulin Directrice du programme Wider Europe au sein du think tank European Council on Foreign Relations; Alexis Blanchet Maître de conférences au département cinéma et audiovisuel de l'Université Sorbonne Nouvelle; Thierry Vircoulon Chercheur associé à l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'IFRI; Lionel Zinsou Banquier d'affaires franco-béninois, ex Premier ministre du Bénin; Colette Braeckman Grand reporter belge au journal Le Soir
Bart De Wever is premier, en dat is een historisch moment in de Belgische politiek. De Wever is niet alleen de eerste flamingant in de Wetstraat 16. Hij is ook de conservatief die het land radicaal wil hervormen. En de koele minnaar van Europa die ons land internationaal moet vertegenwoordigen. In ‘BDW premier', een driedelige reeks van DS Vandaag, bespreken we waar De Wever voor staat, en welke premier hij kan worden. Aflevering 1: kan een Vlaams-nationalist de premier zijn van alle Belgen? Alexander Lippeveld praat in de eerste aflevering met Béatrice Delvaux, senior writer van Le Soir, en Jeroen Struys, N-VA-watcher van onze politieke redactie.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Iris Coëtmen avait 23 ans. C'était une fille bien dans sa peau, qui aimait les chevaux, les jeux vidéo et faire la fête avec ses amis. Un soir de printemps 2023, elle a disparu quelques heures puis on a découvert son corps dans une rivière bretonne. Une attaque sexuelle avec ici quelques témoignages, des indices, un mode opératoire particulier. Au fil des semaines, le visage d'un homme déjà connu de la justice va peu à peu se recomposer dans le paysage de l'enquête. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 05 février 2025.
durée : 00:58:00 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Margaux Leridon - Après l'affaiblissement du Hamas et du Hezbollah, le renversement de Bachar Al-Assad marque la chute d'un nouveau domino de l'axe pro-Iranien et antisioniste au Proche-Orient. Dans ce contexte d'équilibres incertains, la Syrie doit désormais se reconstruire et nouer des alliances. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Bernard Hourcade Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI; Ziad Majed Politiste, professeur à l'Université américaine de Paris ; Iris Lambert Journaliste en Irak et Syrie (Libération, La Croix, Le Soir) et doctorante au CERI (Sciences Po/CNRS)