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durée : 00:50:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Répliques" proposait en décembre 1986 un débat intitulé "Un nouveau mai 68 ?" entre Luc Ferry et Cornelius Castoriadis. Enregistré au lendemain du mouvement anti-loi Devaquet, il fut consacré à la double question de l'héritage de 1968 et à celle de la portée du mouvement étudiant. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Cornelius Castoriadis; Luc Ferry philosophe
Dans "Anne Roumanoff, ça fait du bien", Frédéric Lenoir tente de délimiter le bien et le mal sur le sujet de la parole avec trois règles simples. Baptisées le tamis de la vérité, le tamis de la bienveillance et le tamis de l'utilité de sa prise de parole, l'écrivain les utilise pour améliorer ses prises de parole.
INVITÉ RTL - Aurélien Rousseau, directeur de l'ARS Île-de-France, lance un appel alors que seuls 30% des soignants sont aujourd'hui vaccinés.
La parole est donnée à 10 comédiens et comédiennes belges, qui réciteront chacun un texte d’un auteur belge de leur choix ou une création personnelle, faisant écho à leur personnalité, leur vision du monde ou leur vécu de la crise.
Chroniques humoristiques d’une Nanterrienne qui précise « le meilleure moyen de les décrire est que les gens les écoutent »
Une économie à terre L'épidémie de Covid-19 vient renforcer une situation économique précaire en Irak, au Liban, en Syrie. Une sorte de double peine après le conflit qui secoue la région. "Ces pays ont des économies fragiles, une situation politique tourmentée. Avant le coronavirus, il y avait des manifestations en Irak avec une réclamation très forte pour changer de politique. Idem au Liban. Voici que le coronavirus a créé des conditions de confinement extrêmement dures, bien que le virus ne semble pas s'être développé autant qu'en Europe" explique Mgr Pascal Gollnisch, le directeur de l'Oeuvre d'Orient. "La population a été privée de travail. Il n'y a pas de chômage partiel. L'économie fragile de ces pays est totalement par terre. [...] Les chrétiens d'Orient ne sont pas une communauté qui subit passivement. Ils sont actifs dans une mission auprès de la population, notamment sur le plan alimentaire. Il y a des distributions alimentaires qui sont faites dans les paroisses par la Caritas locale. On essaie de nourrir les familles les plus pauvres" ajoute-t-il. Une hausse des attaques de Daesh Au Liban, les chrétiens s'investissent dans l'éducation. "Les écoles accueillent des élèves chrétiens et musulmans. Cela construit la société de demain. Ils accueillent des garçons et des filles, ce qui n'est pas si évident. C'est un lieu d'éducation au respect mutuel" lance encore le directeur de l'Oeuvre d'Orient. Autant d'activités sociales soutenues par les volontaires de l'ONG. Depuis plusieurs semaines, on constate une hausse des attaques de Daesh en Irak. "C'est une stupéfaction, même si on le craignait. La communauté internationale pouvait l'anticiper et prendre les moyens d'empêcher ces résurgences. On sait que des personnes de Daesh sont enfermés en Syrie, et Daesh a clairement annoncé qu'ils viendraient les libérer. Ils profitent de la crise sanitaire et politique" explique Mgr Pascal Gollnisch. "Il faut des Etats forts pour lutter contre Daesh. Ce qui ne veut pas dire des dictatures. Il faut des Etats qui rétablissent les économies, qui se battent pour la citoyenneté, pour les libertés fondamentales. C'est ce que nous ont montré les manifestants. Il faut lutter contre la corruption, la liberté d'expression. J'appelle les grands organismes des droits de l'homme à s'investir sur le Moyen-Orient. Pour l'instant ils sont d'un silence affligeant sur la question de la liberté religieuse dans cette région" conclut le président de l'Oeuvre d'Orient.
Pirké Avot - Attends, j'appelle mon Rav! by Rav David Touitou
durée : 00:09:10 - L'invité d'Ali Baddou - par : Ali Baddou - Face à l'épidémie de coronavirus, le président de la Fédération hospitalière de France, Frédéric Valletoux, réclame un renforcement de la solidarité entre hôpitaux français et européens.
Depuis le 1er janvier, la compagnie aérienne Air France propose à ses clients de compenser la pollution de leurs voyages. L'enveloppe de ce grand plan Vert est d'un milliard d'euros par an. Renouvellement des avions, soutien à des projets de reforestation en Afrique et personnel engagé. Dorénavant, les hôtesses et stewarts d'Air France veilleront au tri des déchets. Quant aux pilotes, ils expérimentent déjà l'éco-pilotage. Entretien exclusif avec la directrice générale de la compagnie Anne Rigail. Anne Rigail : L'éco-pilotage concerne deux facteurs : la réduction de la vitesse de l'appareil et la réduction des trajectoires. Le but est d'économiser en même temps du carburant et de la distance, les kilomètres de chaque vol. L'arrivée de l'intelligence artificielle permet d'avoir des outils et des prévisions beaucoup plus précises. Et j'ajoute que lors de l'atterrissage, nos pilotes coupent l'un des moteurs. Cela leur permet de rouler sur la piste et ainsi éviter d'émettre de la pollution supplémentaire au sol. RFI : Vous évoquez également vos regrets face au retard du ciel européen partagé. Oui, c'est un projet en cours, mais malheureusement pas encore vraiment harmonisé. Ce ciel européen partagé vise à se concerter avec tous les pays européens pour faire voler nos compagnies sur des routes optimisées. On revient sur la même idée, le but étant d'économiser de la distance, donc du carburant, donc de la pollution du fuel. Votre plan Vert 2020 mise sur la compensation. Qu'est-ce que la compensation ? Compenser notre pollution c'est d'abord renouveler notre flotte. Un milliard d'euros seront investis cette année pour de nouveaux appareils capables de réduire de 20% leur consommation de carburant. Ces avions nouvelle génération sont plus légers. Par exemple, les sièges sont allégés. J'appelle cela la chasse au gramme ! Non seulement les matériaux de la carlingue au moteur sont allégés, mais le poids à l'intérieur de l'avion, côté passagers, y compte aussi pour beaucoup. Nous sommes sur le bon chemin. Depuis 2011, nous avons réduit de 20% nos émissions polluantes. Notre but est de réduire de 30% supplémentaires. Alors comment se déroule en pratique cette chasse au gramme ? Le premier exemple, la presse, les journaux à bord. Au lieu d'avoir des kilos de papiers, nous proposons maintenant un service digital avec une offre élargie et dématérialisée. Le voyageur choisit directement les titres de journaux et de magazines sur leurs tablettes ou téléphones et cela ne pèse rien. L'autre point crucial est l'eau et la nourriture. Au lieu, comme c'était le cas auparavant d'apporter tous les menus à bord, donc du surplus, nous allons demander le choix des menus avant le décollage ce qui réduire le nombre de plats et nous visons à réduire la quantité de bouteilles d'eau. Vous vous engagez sur le plastique. Nos hôtesses, nos stewarts seront très attentifs à faire comme à la maison ! À la maison, on trie nos déchets et bien à l'intérieur d'un appareil, c'est la même chose. Nous remplaçons nos couverts plastiques par des couverts biodégradables. Les canettes en aluminium seront mises dans des conteneurs dédiés pour être recyclées ensuite au sol. Les statistiques prévoient dans les 5 ans à venir, une forte augmentation du trafic aérien. L'avion malgré toutes ces mesures restera un transport polluant. L'avion 100% vert n'est pas encore trouvé et n'est pas encore possible, je ne vous le cache pas ! Mais nous mettons tout en oeuvre pour réduire nos émissions de CO2. Sur 57 000 passagers par jour en France donc sur nos vols domestiques, nous nous engageons à les faire voyager en 2020 avec une compensation totale à 100%. Votre compagnie soutient des projets internationaux pour compenser, dans quels pays ? Au Kenya par exemple, nous soutenons une association Livelihoods qui remplace les foyers de cuisson en bois que les habitants utilisent et qui sont extrêmement polluants avec des fumées toxiques à long terme pour leurs poumons. L'idée est de remplacer le bois par de la céramique. Ce qui économise l'abattage d'arbres et réduit la pollution. Trois types de compensations proposées à nos clients qui souhaitent de plus en plus, je le précise, compenser leurs voyages. Nous soutenons des plantations d'arbres, des actions de protection des fôrets et des soutiens pour la recherche de nouveaux carburants renouvelables, moins polluants. Juste avant cette interview, vous évoquiez vos propres enfants, engagés comme la nouvelle génération à faire la morale aux parents pour éviter de gaspiller l'eau, l'électricité... La jeunesse est extrêmement vigilante et exigeante ! Nos enfants nous demandent des comptes sur la protection de la planète. Ils sont citoyens engagés et nous devons nous engager nous, patrons d'entreprises pour qu'ils puissent découvrir le monde comme nous l'avons découvert et continuons à le découvrir en voyageant.
Richard Martineau survole l'actualité du jour. Entrevue avec Jean-Sébastien Lozeau, auteur du livre "Réveillez-moi! une enfance chez les Témoins de Jéhovah". Chronique avec Denise Bombardier: Les élues pourront allaiter au Parlement et retour sur son texte: "Une photo vaut mille mots". Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" sur QUB radio: Incitation à la violence envers une journaliste: un homme plaide coupable. Une production de QUB radio Juin 2019
Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" sur QUB radio: Incitation à la violence envers une journaliste: un homme plaide coupable.
L'actualité vue par Richard Martineau: Des gens meurent sur l'Everest, le projet de loi sur la laïcité vu par l'ONU et le nouvel épisode de Devine qui vient souper? avec Jean-Marie Lapointe et Cathy Gauthier. Discussion avec Steve E. Fortin, blogueur au Journal de Montréal - Journal de Québec: Aujourd'hui, Pierre Foglia serait honni par l'extrême gauche diversitaire. Discussion avec Jérôme Blanchet-Gravel, essayiste: Le projet de loi sur la laïcité vu par l'ONU. Chronique avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur de "J'appelle mon avocat" sur QUB.radio: Droit de correction d'un enfant et le Journal de Mourréal doit changer de nom. Une production de QUB radio Mai 2019
Chronique avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur de "J'appelle mon avocat" sur QUB.radio: Droit de correction d'un enfant et le Journal de Mourréal doit changer de nom.
Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": L’homme d’affaires veut faire tomber l’action collective de plus de 10 millions $ le visant.
Entrevue avec Geneviève Borne, porte-parole de la programmation du 50e anniversaire du Bed-in pour la paix à l'hôtel Le Fairmont Le Reine Elizabeth: Le fameux Bed-in pour la paix de John Lennon et Yoko Ono. Entrevue avec André de la Seine, président et producteur d'AD4X: Des auditions pornographiques prévues dans un bar de Sherbrooke dénoncées. Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": L’homme d’affaires veut faire tomber l’action collective de plus de 10 millions $ le visant. Chronique avec Lise Ravary: Pourquoi Louis Morissette a acheté ELLE Québec, Groupe V Média transforme Musique Plus en ELLE Fictions et la Fédération des femmes du Québec contre le Projet de loi 21 sur la laïcité. Une production de QUB radio Mai 2019
L'actualité vue par Richard Martineau et Gilles Proulx: La société québécoise actuelle. Chronique avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": Cellulaire au volant, elle effectue 160 appels harcelants au lieu de travail de son ex et un juge a refusé la demande de garde partagée d'une mère qui dit fumer deux joints chaque jour. Chronique avec Denise Bombardier: La manifestation organisée par nul autre qu'Adil Charkaoui, l'imam aux sombres activités, a été pour la majorité francophone du Québec un spectacle insoutenable. Chronique avec Normand Lester, blogueur au Journal de Montréal Journal de Québec: La polygamie est une pratique sociale et culturelle aussi vieille que la civilisation. Une production de QUB radio Avril 2019
Chronique avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": Cellulaire au volant, elle effectue 160 appels harcelants au lieu de travail de son ex et un juge a refusé la demande de garde partagée d'une mère qui dit fumer deux joints chaque jour.
L'actualité vue par Richard Martineau: Les chauffeurs de taxis manifestent, un chien a presque tué deux enfants et un prêtre montréalais à agressé deux enfants. Entrevue avec Pierre Couture, journaliste et chroniqueur section Argent du Journal de Montréal - Journal de Québec: Le salaire de la PDG de Loto-Québec a explosé de 17% en moins d'un an. Chronique avec Denise Bombardier: La guerre entre jeunes et vieux. Chronique avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": L'ex-coach de ski Bertrand Charest libéré sous caution Une production de QUB radio Mars 2019
Chronique avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": L'ex-entraineur de ski Bertrand Charest est libéré sous caution.
L'actualité vue par Richard Martineau: Un cellulaire au secondaire, la nourriture haut de gamme pour animaux, interdiction des signes religieux et le projet de loi de Legault. Discussion avec Normand Lester: Devinez quel mal mystérieux afflige nos diplomates à Cuba? Discussion avec Jérôme Blanchet-Gravel: Les consultations publiques en Suisse font jaser. Discussion avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur de l'émission "J'appelle mon avocat": Un jugement historique pour Alexandre Bissonnette. Une production de QUB radio Février 2019
Discussion avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur de l'émission "J'appelle mon avocat": Un jugement historique pour Alexandre Bissonnette.
Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": La sentence d'Alexandre Bissonnette. Entrevue avec Raphaëlle Petitjean, coordonnatrice de l'organisme "Mouvement allaitement du Québec": Allaiter jusqu'à deux ans. Entrevue avec Catherine Bouchard, journaliste au Journal de Québec: Le dossier "Accoucher comme à l'époque des filles de Caleb". Chronique avec Lise Ravary: Le caricaturiste Terry Mosher de The Gazette fait un parallèle entre la CAQ et le Klu Klux Klan. Une production de QUB radio Février 2019
Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": La sentence d'Alexandre Bissonnette.
Discussion avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": L'affaire Gilbert Rozon.
Discussion avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat": L'affaire Gilbert Rozon. Entrevue avec Bella French, présidente-directrice générale et fondatrice de ManyVids: Des travailleuses du sexe a l'abris du froid grâce à l'entrepreneure technologique Bella French de ManyVids. Entrevue avec François Bourassa: Près de deux ans après la nuit glaciale qui lui a volé son père, voilà que la mort de la mère Gilles Duceppe le replonge dans ce drame. Entrevue avec Pierre Couture, journaliste et chroniqueur section Argent du Journal de Montréal - Journal de Québec: Des ventes de 40 millions $, mais la SQDC n'est toujours pas rentable. Une production de QUB radio Janvier 2019
Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" sur QUB.radio: L'affaire Salvail et Michel Brûlé formellement accusé d'agression sexuelle.
Entrevue avec Martine Desjardins, chroniqueuse au Journal de Montréal - Journal de Québec: La publicité de Gillette qui invite les hommes à mettre fin à la "masculinité toxique". Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" sur QUB.radio: L'affaire Salvail et Michel Brûlé formellement accusé d'agression sexuelle. Chronique avec Lise Ravary: En amour avec une élève, une éducatrice écope d'une peine de prison à domicile. Une production de QUB radio Janvier 2019
L’actualité vue par Richard Martineau. Entrevue avec Adrien Pouliot, chef du Parti conservateur du Québec: Les Québécois toujours parmi les plus imposés dans le monde. Discussion avec Jérome Blanchet-Gravel: Une jeune réfugiée Saoudienne débarque à Toronto. Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" sur QUB.radio: Un immense dossier de preuve n'a pu être utilisé dans le dossier du meurtre de Cédrika Provencher et Gilbert Rozon poursuit Juste pour rire. Une production de QUB radio Janvier 2019
Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" sur QUB.radio: Un immense dossier de preuve n'a pu être utilisé dans le dossier du meurtre de Cédrika Provencher et Gilbert Rozon poursuit Juste pour rire.
Entrevue avec Hélène Bourdages, présidente de l'Association montréalaise des directions d'établissements (AMDÈS) : Éducation sexuelle, une directrice menacée par des parents "agressifs", ils s'opposent aux contenus d'éducation à la sexualité. Entrevue avec Hubert Sacy, directeur général d'Éduc'alcool : Éduc'alcool met en garde contre le mélange alcool-cannabis. Entrevue avec Marc Gourdeau, directeur général du théâtre Premier Acte à Québec : 500$ pour une cigarette, les théâtres du Québec appelés à se mobiliser pour modifier la loi. Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" sur QUB radio : Affaire Rozon, les présumées victimes rencontrées une à une. Une production de QUB radio Décembre 2018
L'actualité vue par Richard Martineau. Entrevue avec Me Michel Morin, avocat et auteur du livre « Ô Cannabis – tout ce que vous devez savoir sur le cannabis, sa prohibition et sa légalisation » : Cannabis à 21 ans: l'inconséquence navrante de François Legault. Chronique de Denise Bombardier. Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur de l'émission "J'appelle mon avocat" sur QUB radio : Partys de Noël plus rares après le mouvement #MoiAussi. Une production de QUB radio Décembre 2018
Ne manquez pas Politiquement incorrect avec Richard Martineau, en semaine sur QUB radio dès 10h. L’actualité vue par Richard Martineau. Entrevue avec Me Francois-David Bernier, avocat, analyste judiciaire et animateur du balado "J'appelle mon avocat" : Les Courageuses répliquent à Gilbert Rozon. Entrevue avec Christian Rioux, correspondant à Paris pour le quotidien Le Devoir : Discussion suite à la chronique "Réécrire l'histoire" de Richard Martineau. Une production de QUB radio Novembre 2018
Dans cet épisode bonus de Nouvelle École j'appelle les auditeurs membres de la communauté Patreon.Pour rejoindre la communauté Patreon et participer aux prochains : https://www.patreon.com/nouvelleecolepodcastDans cet épisode, nous avons donc :Alix (et non pas "à l'X") -_- qui vit au Mexique, nous parle de ses projets d'invention et partage ses outils préférés comme le News Feed Eradicator. Vous pouvez le trouver en cherchant alix.deschamps sur FacebookCamille, expatriée à New-York et qui prévoit de rentrer en France car son pays lui manque.Barnabé, qui cherche à développer son projet et qui me pose des questions sur mon organisation et sur le futur de Nouvelle École. Vous pouvez lui écrire à barnabe.dubus@gmail.comMargot, doctorante en neurosciences, qui avait préparé une longue liste de questions et qui a décidé de m'interviewer ! Je parle donc de mon rapport aux gens, à la gentillesse, de comment je fais évoluer Nouvelle Ecole, de ce qui me préoccupe dans la vie. Bref, un épisode inversé !Pour plus de folies vous pouvez me suivre sur Instagram Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Edhem Eldem Collège de France Histoire turque et ottomane L'Empire ottoman et la Turquie face à l'Occident Année 2017-2018 Transcription de la vidéo : J'inaugure cette nouvelle chaire Histoire turque et ottomane avec un cours, cette année, qui portera sur le long XIXe siècle et sur la transformation de l'Empire ottoman face à l'Occident. L'objectif est d'analyser, d'examiner dans le détail, les dynamiques de ces relations entre un Empire que l'on dit mourant et une Europe qui est extrêmement puissante, qui est de plus en plus arrogante, donc c'est une relation assez conflictuelle mais aussi une relation d'amour, d'admiration puisque la modernisation ottomane va se faire à l'aune de l'Occident, c'est-à-dire qu'on va copier, on va émuler et on va essayer d'imiter ce que l'on considère être une formule de réussite. Alors l'idée est de trouver un rythme pour ce XIXe siècle et ce rythme, je l'établis en trois temps. Un premier temps qui est celui du flirt, en quelque sorte, où l'Empire ottoman commence à découvrir, mais très superficiellement, la réalité occidentale, notamment par des innovations technologiques. Un deuxième temps est celui de l'union, disons presque du mariage. Les Ottomans réalisent que des corrections ponctuelles ne suffisent plus et qu'il faut, par conséquent, se lancer dans un remaniement, une reconstruction de l'État et on se lance dans ce projet avec beaucoup d'enthousiasme, il faut le dire, à partir des années 1840, mais ça n'est pas que l'État, c'est aussi la société que l'on essaie de transformer par le haut et je crois que le point culminant de ce processus, c'est 1856, un décret qui, pour la première fois, parle de l'égalité de tous les sujets. Or, l'égalité, c'est quelque chose qui, dans un contexte ottoman traditionnel, n'a pas de sens puisque c'est une société hiérarchisée où vous avez, déjà, de l'esclavage mais aussi une inégalité de fond entre les musulmans et les non-musulmans. Et pour un moment ça marche. J'appelle ça un printemps des peuples ottomans. Pendant vingt ans, l'État joue le jeu, c'est-à-dire qu'il commence à recruter des non-musulmans dans les rangs de la bureaucratie. Ça ne dure pas longtemps parce que c'est un peu contre nature – c'est le XIXe, c'est l'âge des nationalismes – et surtout la gestion est mauvaise. Au bout de vingt ans il y a un essoufflement à la fois politique et économique qui mène à une crise, et c'est cette crise qui va ouvrir la troisième phase de ce long XIXe siècle, une phase de divorce, en quelque sorte, entre l'Empire ottoman et l'Occident où l'Empire ottoman, pensant être trahi par l'Europe, va se replier sur lui-même. Ça devient un empire de plus en plus islamique, de plus en plus turc, puisque la langue est turque, puisque le nationalisme turc est en train de naître et c'est ce qui fonde l'État turc dans sa modernité et une modernité assez sombre puisque c'est la période des massacres perpétrés contre les Arméniens et qui préfigurent une violence étatique qui va caractériser le XXe siècle. Donc tout cela pour dire que le XIXe siècle est extrêmement formateur, est crucial pour comprendre les dynamiques de transformation d'un Empire en État-nation, un processus fascinant qui mérite d'être étudié dans le détail en donnant la primauté aux voix locales parce que l'un des problèmes de l'historiographie de cette période, c'est que l'on a énormément de sources occidentales qui ont déjà une vision assez biaisée des choses et par conséquent, ce qu'il faut faire, c'est essayer de donner une voix aux textes locaux, aux textes ottomans, pas uniquement turcs, grecs, arméniens, essayer de voir comment cette période se forme et s'exprime à partir d'une documentation que l'on va lire dans le détail pour essayer de comprendre un peu comment ça marche.
Edhem Eldem Collège de France Histoire turque et ottomane L'Empire ottoman et la Turquie face à l'Occident Année 2017-2018 Transcription de la vidéo : J'inaugure cette nouvelle chaire Histoire turque et ottomane avec un cours, cette année, qui portera sur le long XIXe siècle et sur la transformation de l'Empire ottoman face à l'Occident. L'objectif est d'analyser, d'examiner dans le détail, les dynamiques de ces relations entre un Empire que l'on dit mourant et une Europe qui est extrêmement puissante, qui est de plus en plus arrogante, donc c'est une relation assez conflictuelle mais aussi une relation d'amour, d'admiration puisque la modernisation ottomane va se faire à l'aune de l'Occident, c'est-à-dire qu'on va copier, on va émuler et on va essayer d'imiter ce que l'on considère être une formule de réussite. Alors l'idée est de trouver un rythme pour ce XIXe siècle et ce rythme, je l'établis en trois temps. Un premier temps qui est celui du flirt, en quelque sorte, où l'Empire ottoman commence à découvrir, mais très superficiellement, la réalité occidentale, notamment par des innovations technologiques. Un deuxième temps est celui de l'union, disons presque du mariage. Les Ottomans réalisent que des corrections ponctuelles ne suffisent plus et qu'il faut, par conséquent, se lancer dans un remaniement, une reconstruction de l'État et on se lance dans ce projet avec beaucoup d'enthousiasme, il faut le dire, à partir des années 1840, mais ça n'est pas que l'État, c'est aussi la société que l'on essaie de transformer par le haut et je crois que le point culminant de ce processus, c'est 1856, un décret qui, pour la première fois, parle de l'égalité de tous les sujets. Or, l'égalité, c'est quelque chose qui, dans un contexte ottoman traditionnel, n'a pas de sens puisque c'est une société hiérarchisée où vous avez, déjà, de l'esclavage mais aussi une inégalité de fond entre les musulmans et les non-musulmans. Et pour un moment ça marche. J'appelle ça un printemps des peuples ottomans. Pendant vingt ans, l'État joue le jeu, c'est-à-dire qu'il commence à recruter des non-musulmans dans les rangs de la bureaucratie. Ça ne dure pas longtemps parce que c'est un peu contre nature – c'est le XIXe, c'est l'âge des nationalismes – et surtout la gestion est mauvaise. Au bout de vingt ans il y a un essoufflement à la fois politique et économique qui mène à une crise, et c'est cette crise qui va ouvrir la troisième phase de ce long XIXe siècle, une phase de divorce, en quelque sorte, entre l'Empire ottoman et l'Occident où l'Empire ottoman, pensant être trahi par l'Europe, va se replier sur lui-même. Ça devient un empire de plus en plus islamique, de plus en plus turc, puisque la langue est turque, puisque le nationalisme turc est en train de naître et c'est ce qui fonde l'État turc dans sa modernité et une modernité assez sombre puisque c'est la période des massacres perpétrés contre les Arméniens et qui préfigurent une violence étatique qui va caractériser le XXe siècle. Donc tout cela pour dire que le XIXe siècle est extrêmement formateur, est crucial pour comprendre les dynamiques de transformation d'un Empire en État-nation, un processus fascinant qui mérite d'être étudié dans le détail en donnant la primauté aux voix locales parce que l'un des problèmes de l'historiographie de cette période, c'est que l'on a énormément de sources occidentales qui ont déjà une vision assez biaisée des choses et par conséquent, ce qu'il faut faire, c'est essayer de donner une voix aux textes locaux, aux textes ottomans, pas uniquement turcs, grecs, arméniens, essayer de voir comment cette période se forme et s'exprime à partir d'une documentation que l'on va lire dans le détail pour essayer de comprendre un peu comment ça marche.
Edhem Eldem Collège de France Histoire turque et ottomane L'Empire ottoman et la Turquie face à l'Occident Année 2017-2018 Transcription de la vidéo : J'inaugure cette nouvelle chaire Histoire turque et ottomane avec un cours, cette année, qui portera sur le long XIXe siècle et sur la transformation de l'Empire ottoman face à l'Occident. L'objectif est d'analyser, d'examiner dans le détail, les dynamiques de ces relations entre un Empire que l'on dit mourant et une Europe qui est extrêmement puissante, qui est de plus en plus arrogante, donc c'est une relation assez conflictuelle mais aussi une relation d'amour, d'admiration puisque la modernisation ottomane va se faire à l'aune de l'Occident, c'est-à-dire qu'on va copier, on va émuler et on va essayer d'imiter ce que l'on considère être une formule de réussite. Alors l'idée est de trouver un rythme pour ce XIXe siècle et ce rythme, je l'établis en trois temps. Un premier temps qui est celui du flirt, en quelque sorte, où l'Empire ottoman commence à découvrir, mais très superficiellement, la réalité occidentale, notamment par des innovations technologiques. Un deuxième temps est celui de l'union, disons presque du mariage. Les Ottomans réalisent que des corrections ponctuelles ne suffisent plus et qu'il faut, par conséquent, se lancer dans un remaniement, une reconstruction de l'État et on se lance dans ce projet avec beaucoup d'enthousiasme, il faut le dire, à partir des années 1840, mais ça n'est pas que l'État, c'est aussi la société que l'on essaie de transformer par le haut et je crois que le point culminant de ce processus, c'est 1856, un décret qui, pour la première fois, parle de l'égalité de tous les sujets. Or, l'égalité, c'est quelque chose qui, dans un contexte ottoman traditionnel, n'a pas de sens puisque c'est une société hiérarchisée où vous avez, déjà, de l'esclavage mais aussi une inégalité de fond entre les musulmans et les non-musulmans. Et pour un moment ça marche. J'appelle ça un printemps des peuples ottomans. Pendant vingt ans, l'État joue le jeu, c'est-à-dire qu'il commence à recruter des non-musulmans dans les rangs de la bureaucratie. Ça ne dure pas longtemps parce que c'est un peu contre nature – c'est le XIXe, c'est l'âge des nationalismes – et surtout la gestion est mauvaise. Au bout de vingt ans il y a un essoufflement à la fois politique et économique qui mène à une crise, et c'est cette crise qui va ouvrir la troisième phase de ce long XIXe siècle, une phase de divorce, en quelque sorte, entre l'Empire ottoman et l'Occident où l'Empire ottoman, pensant être trahi par l'Europe, va se replier sur lui-même. Ça devient un empire de plus en plus islamique, de plus en plus turc, puisque la langue est turque, puisque le nationalisme turc est en train de naître et c'est ce qui fonde l'État turc dans sa modernité et une modernité assez sombre puisque c'est la période des massacres perpétrés contre les Arméniens et qui préfigurent une violence étatique qui va caractériser le XXe siècle. Donc tout cela pour dire que le XIXe siècle est extrêmement formateur, est crucial pour comprendre les dynamiques de transformation d'un Empire en État-nation, un processus fascinant qui mérite d'être étudié dans le détail en donnant la primauté aux voix locales parce que l'un des problèmes de l'historiographie de cette période, c'est que l'on a énormément de sources occidentales qui ont déjà une vision assez biaisée des choses et par conséquent, ce qu'il faut faire, c'est essayer de donner une voix aux textes locaux, aux textes ottomans, pas uniquement turcs, grecs, arméniens, essayer de voir comment cette période se forme et s'exprime à partir d'une documentation que l'on va lire dans le détail pour essayer de comprendre un peu comment ça marche.
Edhem Eldem Collège de France Histoire turque et ottomane L'Empire ottoman et la Turquie face à l'Occident Année 2017-2018 Transcription de la vidéo : J'inaugure cette nouvelle chaire Histoire turque et ottomane avec un cours, cette année, qui portera sur le long XIXe siècle et sur la transformation de l'Empire ottoman face à l'Occident. L'objectif est d'analyser, d'examiner dans le détail, les dynamiques de ces relations entre un Empire que l'on dit mourant et une Europe qui est extrêmement puissante, qui est de plus en plus arrogante, donc c'est une relation assez conflictuelle mais aussi une relation d'amour, d'admiration puisque la modernisation ottomane va se faire à l'aune de l'Occident, c'est-à-dire qu'on va copier, on va émuler et on va essayer d'imiter ce que l'on considère être une formule de réussite. Alors l'idée est de trouver un rythme pour ce XIXe siècle et ce rythme, je l'établis en trois temps. Un premier temps qui est celui du flirt, en quelque sorte, où l'Empire ottoman commence à découvrir, mais très superficiellement, la réalité occidentale, notamment par des innovations technologiques. Un deuxième temps est celui de l'union, disons presque du mariage. Les Ottomans réalisent que des corrections ponctuelles ne suffisent plus et qu'il faut, par conséquent, se lancer dans un remaniement, une reconstruction de l'État et on se lance dans ce projet avec beaucoup d'enthousiasme, il faut le dire, à partir des années 1840, mais ça n'est pas que l'État, c'est aussi la société que l'on essaie de transformer par le haut et je crois que le point culminant de ce processus, c'est 1856, un décret qui, pour la première fois, parle de l'égalité de tous les sujets. Or, l'égalité, c'est quelque chose qui, dans un contexte ottoman traditionnel, n'a pas de sens puisque c'est une société hiérarchisée où vous avez, déjà, de l'esclavage mais aussi une inégalité de fond entre les musulmans et les non-musulmans. Et pour un moment ça marche. J'appelle ça un printemps des peuples ottomans. Pendant vingt ans, l'État joue le jeu, c'est-à-dire qu'il commence à recruter des non-musulmans dans les rangs de la bureaucratie. Ça ne dure pas longtemps parce que c'est un peu contre nature – c'est le XIXe, c'est l'âge des nationalismes – et surtout la gestion est mauvaise. Au bout de vingt ans il y a un essoufflement à la fois politique et économique qui mène à une crise, et c'est cette crise qui va ouvrir la troisième phase de ce long XIXe siècle, une phase de divorce, en quelque sorte, entre l'Empire ottoman et l'Occident où l'Empire ottoman, pensant être trahi par l'Europe, va se replier sur lui-même. Ça devient un empire de plus en plus islamique, de plus en plus turc, puisque la langue est turque, puisque le nationalisme turc est en train de naître et c'est ce qui fonde l'État turc dans sa modernité et une modernité assez sombre puisque c'est la période des massacres perpétrés contre les Arméniens et qui préfigurent une violence étatique qui va caractériser le XXe siècle. Donc tout cela pour dire que le XIXe siècle est extrêmement formateur, est crucial pour comprendre les dynamiques de transformation d'un Empire en État-nation, un processus fascinant qui mérite d'être étudié dans le détail en donnant la primauté aux voix locales parce que l'un des problèmes de l'historiographie de cette période, c'est que l'on a énormément de sources occidentales qui ont déjà une vision assez biaisée des choses et par conséquent, ce qu'il faut faire, c'est essayer de donner une voix aux textes locaux, aux textes ottomans, pas uniquement turcs, grecs, arméniens, essayer de voir comment cette période se forme et s'exprime à partir d'une documentation que l'on va lire dans le détail pour essayer de comprendre un peu comment ça marche.
"Pourquoi fais-tu ce projet ?"C'est la question qu'Alexandre Dana pose aux entrepreneurs qui passent par LiveMentor.Il pourrait leur demander "comment comptes tu le faire ?" ou "quelle est la taille de ton marché ?", mais ces questions sont pour plus tard.J'aurais aimé rencontrer Alexandre il y a quelques années.Je n'avais aucune idée de pourquoi je faisais les choses. Ce n'était même pas une question. J'avais tout un tas de raisons préfabriquées :"Je veux réussir"."Je ne veux pas me fermer de portes"."Je veux avoir un impact".Il y a toujours une bonne raison et une vraie raison. Les vraies raisons :Je voulais faire HEC car il n'y avait rien au dessus. On serait obligé de me dire bravo.Je voulais être entrepreneur pour faire partie des nouvelles idoles, atteindre mon rêves de rock star. Je vendrais une startup 200 Millions et on serait obligé de m'aimer.Mais il y a toujours trop de gens à impressionner. Et on n'en fait jamais assez. Aux Etats-Unis, HEC ne voulait rien dire. Comme entrepreneur, il y avait toujours un projet qui fonctionnait mieux que le mien et d'autres personnes en première page de Maddyness.Quand j'en ai eu marre d'avoir mal au ventre, j'ai fait une pause.J'ai essayé de me demander ce que j'aimais faire. Pas ce que je voulais être, mais ce que j'aimais faire chaque jour.écrireNouvelle ÉcolelireJ'allais faire beaucoup plus de ça et beaucoup moins du reste. Si on m'avait demandé pourquoi, j'aurais répondu que j'aimais ça. Que je me sentais bien en faisants ces choses là, même si personne n'y faisait attention.Et c'est l'intérêt de se demander pourquoi on fait les choses : trouver ce qui nous aide à nous sentir bien. Chaque fois que je me sens bien, c'est une petite victoire sur la vie.Mais c'est un processus qui prend du temps.Alexandre aussi est passé par là."J'ai mis du temps à trouver ce que j'aimais vraiment faire".Il n'y a pas de réponse définitive. Après 10 ans à donner des cours et 5 ans de LiveMentor, il a décidé de complètement changer son entreprise. Il ne se retrouvait plus dans les formations données.J'oublie souvent pourquoi je fais les choses. Je retombe dans mes travers. Je voudrais inviter des stars, peu importe si ça améliore l'émission. Je voudrais plus d'écoutes, plus de followers, plus d'accolades.Et je finis par avoir mal au ventre, encore.Mais je commence à connaître. Quand je ressens ce signal, j'arrête de travailler. J'appelle ceux qui me connaissent et m'empêchent de fumer du crack. Je ne les remercie jamais assez d'avoir accepté la double casquette ami/psychologue que je leur impose.Je m'arrête, le temps de me demander pourquoi.Rien de tout cela n'a d'importance. Autant prendre le temps.Se retrouver dans l'épisode :06:00 Pourquoi et comment il a complètement transformé LiveMentor25:00 Pourquoi il veut aider chaque personne à créer et développer son projet36:00 Démystifier l'entrepreneuriat41:00 : L'éducation à la carte : Comment il aide les porteurs de projet57:00 Cas Pratique : Comment lancer son projet (salon de coiffure)1:15:00 Arrêter de s'inventer des problèmes (fumer du crack) quand on entreprend1:22:00 Les questions de la finLivres cités :Malcom Gladwell : Outliers http://amzn.to/2BUonGHThe War Of Art, Steven Pressfield http://amzn.to/2yfeSQ2On Writing, Stephen King http://amzn.to/2jNO70O Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans l'épisode de cette semaine, je partage avec vous une façon de regarder les situations qui permet de les éclairer d'une manière vraiment intéressante. J'appelle cet éclairage "les maths et le théâtre", et ça consiste à regarder n'importe quelle situation de vie et de démêler ce qui relève de la description factuelle et dépassionnée — c'est les maths — et toute la charge émotionnelle qu'on rajoute par-dessus, tout ce qu'on projette, tout ce qu'on anticipe, tout ce qu'on suppose, bref, tout les histoires qu'on échafaude autour — c'est le théâtre. Les deux disciplines ont de la valeur, mais on ne fait pas des maths comme on fait du théâtre : chacune nécessite une approche différente et un état d'esprit différent. Vous allez voir, c'est assez ludique, je vous explique tout ça dans ce nouvel épisode ! Retrouvez les notes de cet épisode sur http://changemavie.com/maths Vous pouvez dès aujourd’hui vous abonner au podcast Change ma vie sur iTunes, et y laisser votre avis, c’est le meilleur moyen de le soutenir. Vous pouvez suivre son actualité sur Instagram et sur Twitter sous l’identifiant ouichangemavie, et je vous invite aussi à vous inscrire à la newsletter de Change ma vie sur http://changemavie.com : je vous enverrai en cadeau de bienvenue trois exercices simples pour explorer votre esprit. Et n’hésitez pas à partager ce podcast avec vos amis si vous pensez qu’ils pourraient aussi en bénéficier !
Nathan's Mix episode 16 - Download it now to listen it offline! Hello. J'appelle le numéro 16! Il est LA! :D Bonne écoute et à la semaine prochaine, même jour, même lieu! Bye! Hello. I call the number 16! He is here! :D Good listening and see you next week, same day, same place! Bye! 1.Legends (radio edit) by Moti X Alpharock2.Smack! by Mike Cervello & Cesqeaux3.Dresscode by The Voyagers X Propane4.Ghostchild (extended mix) by Firebeatz & Apster, Spree Wilson5.UNKNOWN6.Front 2 The Back by Laidback Luke & Mike Cervello7.Mosh Pit (Headhunterz remix) by Flosstradamus, Casino8.UNKNOWN9.Swear Jar by Quentin Mosimann10.Ninja by Dropgun11.UNKNOWN12.I'm Trippin (extended mix) by Sartek & Gregori Hawk13.Toink by Bali Bandits14.UNKNOWN15.After Life by Tchami16.Feel Your Love (DBSTF remix) by Dannic, Sick Individuals17.UNKNOWN Thanks for listenning to this week's podcast!
prochaine étape, des paroles et du mixage