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Rencontre avec Sarah Haidar, à l'occasion de la parution de son roman, Aménorrhée, aux éditions Blast.Plusieurs semaines après la lecture d'Aménorrhée, les mots de Sarah Haidar continuent de résonner avec intensité. Très gros coup de cœur pour ce roman dystopique éminemment révolutionnaire ! Si une fois de plus les hommes prennent le contrôle sur les corps des femmes, ce régime a ceci de pervers qu'il est le fruit des frustrations d'hommes déconstruits de ne pas voir les choses aller dans leur sens malgré leurs efforts. A la fois accoucheuse et avorteuse clandestine, l'héroïne tient une place ambiguë entre résistance et résignation, l'individualité et le collectif, le privilège et l'oppression. Tour à tour tortionnaire ou victime, la narration appuie la dimension psychologique des violences patriarcales et de l'apathie imposée aux femmes. L'intensité est permanente entre colère et sarcasme. Ici chaque mot est choisi avec une précision acérée, le ton est viscéral, la langue politique et poétique.Sarah Haidar est une écrivaine algérienne. Féministe et anarchiste, l'écriture est pour elle une expérience esthétique et politique qui ne doit pas être confortable. Écrire est une confrontation, une prise de risque, « un engagement épidermique » dit-elle ; l'insolence lucide et éclatante de ses textes en témoigne. Journaliste et chroniqueuse de profession, elle affectionne paradoxalement la négation du réel et du factuel dans ses romans. Écrire est aussi pour elle un acte libérateur, non seulement des lois de la gravité mais aussi de la simplicité du présent. Les transhumances littéraires ont toujours été sa première passion et après avoir publié trois romans en langue arabe, Sarah Haidar choisit de migrer vers une autre géographie avec la langue de Henri Michaux. À présent autrice de six romans, elle a reçu le prix Apulée, décerné par la Bibliothèque nationale d'Alger pour Zanadeka (Apostats), son premier roman paru en 2004, et le prix des Escales littéraires d'Alger pour Virgules en trombe, son quatrième roman et le premier écrit en français (2013). La Morsure du coquelicot, paru à l'été 2016, a rencontré un vif succès en Algérie. En arabe comme en français, l'écrivaine fait toujours le pari de tourmenter la langue, de lui faire dire l'indicible et l'inconvenable afin que la naissance littéraire soit une véritable expérience esthétique et spirituelle hors des balises et hors du temps. Aménorrhée est son deuxième roman publiée par les éditions blast.Dans l'épisode, Sarah Haidar fait référence à la revue La Place : La Place / لبلاصة – éditions motifs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans Connaissance par les gouffres, Henri Michaux écrit : « Toute drogue modifie vos appuis, l'appui que vous preniez sur vos sens, l'appui que vos sens prenaient sur le monde, l'appui que vous preniez sur votre impression générale d'être, il le cède. » Henri Michaux est l'une des inspirations du compositeur Fausto Romitelli. Quand, en 1998, l'ensemble … Continuer la lecture de « Metaclassique #311 – Triper »
Ime tedna je Mišel Ristov, socialni delavec v UKC Maribor, ki je z nepopustljivo vztrajnostjo več kot dve leti iskal rešitev za pacienta, ki kljub 52 letom življenja v Sloveniji zaradi izbrisa ni mogel dobiti osebnih dokumentov in stalnega prebivališča. Tudi s pomočjo predsednice države je uspel urediti njegov status in po 720 dnevih bivanja v bolnišnici tudi nastanitev v domu starejših.Kandidata sta bila še: Aleš Šteger, pesnik, ki je s prevajalcem Guillaumom Metayerjem za prevod svoje pesmi Nad nebom pod zemljo prejel francosko nagrado Alaina Bosqueta. Izbor Štegrove poezije je lani izšel pri Gallimardu, eni izmed najuglednejših francoskih založb v okviru zbirke Du monde entier, v kateri izhajajo pesniške knjige modernih klasikov, kot so Pablo Neruda, Henri Michaux in Jorge Luis Borges. Lidija Hren, dolgoletna novinarka TV Slovenija, ki je desetletja preiskovala korupcijo, razgaljala izčrpavanje javnih sistemov, razkrivala najzahtevnejše oblike gospodarskega kriminala in zanje iskala odgovorne. Pri društvu novinarjev Slovenije so ji podelili nagrado Čuvaj za življenjski prispevek k slovenskemu novinarstvu.
durée : 00:41:42 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - L'œuvre d'Henri Michaux reste mal connue du grand public. Cette émission interroge la place du fantastique dans une œuvre qui explore le vide et l'absence, caractéristiques de l'homme moderne. On est face à une littérature à la fois poétique et qui relève du registre du conte, de l'ailleurs. - réalisation : Massimo Bellini
durée : 00:32:03 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Dans ce quatrième et dernier épisode d'une série consacrée à Henri Michaux et diffusée en 1965, il est question de l'usage de la drogue par le poète. Une expérimentation quasi clinique qu'il retranscrit dans quatre livres et dont de larges extraits sont lus dans cette émission. - réalisation : Massimo Bellini
durée : 01:31:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - À travers des lectures de textes peu connus et des rencontres avec des musiciens, poètes ou peintres compagnons à un moment de la vie d'Henri Michaux, cette émission tente son portrait et révèle que son travail littéraire, pictural et musical forme un tout à la recherche d'un langage "autonome". - réalisation : Massimo Bellini - invités : Jacques Dupin; Jean Frémon Écrivain; Gilbert Amy Compositeur, chef d'orchestre et pédagogue (Paris, 29 août 1936 -); Philippe Mion
durée : 00:56:07 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Le plus important des peuples qui vit en Grande Garabagne est celui des Émanglons. Tel l'a inventé le poète de l'imaginaire Henri Michaux dans un de ces carnets de voyages fictifs publié en 1936. Des morceaux choisis de ce poème ethnographique sont lus par Michel Aumont. - réalisation : Massimo Bellini
durée : 00:42:50 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Le poète Henri Michaux est un grand conteur de voyages. Voyages réels ou fictifs car Henri Michaux a été à la fois un grand voyageur embarquant comme matelot à l'âge de 20 ans, mais aussi un voyageur de l'imaginaire et du merveilleux. Ces lectures d'extraits de poèmes nous embarquent avec lui. - réalisation : Massimo Bellini
durée : 00:14:41 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - "Rien ou presque rien d'humain n'a été écrit sur l'homme asiatique", nous dit-on dans cette émission de 1948. L'écrivain occidental ne voit que lui-même dans ses explorations. Henri Michaux a su, lui, s'approcher de la vérité en se dépouillant de son identité d'Européen dans "Un barbare en Asie". - réalisation : Massimo Bellini
durée : 00:42:34 - Les Nuits de France Culture - par : Christine Goémé - "La rage n'a pas fait le monde mais la rage doit y vivre", c'est le poète Henri Michaux qui le dit. La psychanalyse ne résout pas l'angoisse d'être au monde, il reste alors l'écriture pour Henri Michaux qui s'essaye aussi à d'autres formes artistiques tels le dessin pour suspendre son impuissance. - réalisation : Virginie Mourthé
Dieses Mal ist Anne Weber bei Mascha Jacobs zu Gast. Die Autorin und literarische Übersetzerin schreibt schon viele Jahre tolle Bücher. Keines gleicht dem anderen, jedes verlangt nach einer anderen literarischen Form. Zwei der Bücher, die ihr gezeigt haben, welchen Zugewinn an Freiheit manche Lektüren in uns auslösen können, hat sie zu DEAR READER mitgebracht. Der Räuber von Robert Walser posthum bei Suhrkamp erschienen und Plume und andere Prosa von Henri Michaux in einer autorisierten Übertragung von Kurt Leonhard im Limes Verlag veröffentlicht. Zwei rätselhafte Texte, die trotz aller Lücken und Sprunghaftigkeiten nicht gänzlich hermetisch bleiben. Das Undurchsichtige ist sogar verführerisch und die Frechheiten dieser Texte ansteckend, auch wenn sich vieles in ihnen einem schnellen Verstehen entzieht. In ihrem aktuellen Buch Bannmeilen. Ein Roman in Streifzügen in diesem Jahr bei Matthes und Seitz erschienen, beschreibt Anne Weber, die seit vierzig Jahren in Paris lebt, Spaziergänge durch das Département de la Seine-Saint-Denis. Ein Zusammenschluss von Gemeinden in Paris, die außerhalb des Autobahnrings liegen, Banlieues genannt werden und mit Bildern von Gewalt und Armut verbunden sind. Anne Weber schaut in ihren Streifzügen sehr genau und möglichst vorbehaltlos hin und findet auf den Streifzügen durch die Vorstädte einer weiblichen weißen Europäerin mit einem franko-algerischen Freund viel Unerwartetes: »Tausend andere von Kolonialismus und Leid, von Hoffnung und Fortschritt erzählende Orte.« »Es beginnt sich ihr eine Welt zu eröffnen, für die sie, wie sie sich eingestehen muss, jahrzehntelang blind gewesen ist«, heißt es im Klappentext. Auch für die Leser*innen ist die Welt nach den zu Literatur geronnenen Streifzügen widersprüchlicher und weiter. Mascha Jacobs und Anne Weber sprechen über das Wagnis, sich in die nahe gelegene Fremde zu begeben, über Form- und Gewissensfragen, Humor, Dialoge und das Übersetzen. Es geht um Sprachen und Machtverhältnisse, Verwandlungen, Ironie und unerbittliche Logiken, die groteske Nebenrealitäten erzeugen. Die mitgebrachten Lieblingstexte führen das Gespräch in ein vorsichtiges Nachdenken über literarische Sprünge, »Auseinandergelegenheiten« (Robert Walser) Erfindungslust und Unerschrockenheit. Anne Weber, 1964 in Offenbach geboren, lebt seit 1983 als freie Autorin und Übersetzerin in Paris. Sie hat sowohl aus dem Deutschen ins Französische übersetzt als auch umgekehrt. Auch ihre eigenen Bücher schreibt sie sowohl in deutscher als auch in französischer Sprache. Ihre Werke wurden u. a. mit dem Heimito von Doderer-Literaturpreis und dem Preis der Leipziger Buchmesse ausgezeichnet. Für Annette, ein Heldinnenepos erhielt sie den Deutschen Buchpreis. 2024 bekam sie außerdem den Annette-von-Droste-Hülshoff-Preis für ihr Gesamtwerk verliehen
Dieses Mal ist Anne Weber bei Mascha Jacobs zu Gast. Die Autorin und literarische Übersetzerin schreibt schon viele Jahre tolle Bücher. Keines gleicht dem anderen, jedes verlangt nach einer anderen literarischen Form. Zwei der Bücher, die ihr gezeigt haben, welchen Zugewinn an Freiheit manche Lektüren in uns auslösen können, hat sie zu DEAR READER mitgebracht. Der Räuber von Robert Walser posthum bei Suhrkamp erschienen und Plume und andere Prosa von Henri Michaux in einer autorisierten Übertragung von Kurt Leonhard im Limes Verlag veröffentlicht. Zwei rätselhafte Texte, die trotz aller Lücken und Sprunghaftigkeiten nicht gänzlich hermetisch bleiben. Das Undurchsichtige ist sogar verführerisch und die Frechheiten dieser Texte ansteckend, auch wenn sich vieles in ihnen einem schnellen Verstehen entzieht. In ihrem aktuellen Buch Bannmeilen. Ein Roman in Streifzügen in diesem Jahr bei Matthes und Seitz erschienen, beschreibt Anne Weber, die seit vierzig Jahren in Paris lebt, Spaziergänge durch das Département de la Seine-Saint-Denis. Ein Zusammenschluss von Gemeinden in Paris, die außerhalb des Autobahnrings liegen, Banlieues genannt werden und mit Bildern von Gewalt und Armut verbunden sind. Anne Weber schaut in ihren Streifzügen sehr genau und möglichst vorbehaltlos hin und findet auf den Streifzügen durch die Vorstädte einer weiblichen weißen Europäerin mit einem franko-algerischen Freund viel Unerwartetes: »Tausend andere von Kolonialismus und Leid, von Hoffnung und Fortschritt erzählende Orte.« »Es beginnt sich ihr eine Welt zu eröffnen, für die sie, wie sie sich eingestehen muss, jahrzehntelang blind gewesen ist«, heißt es im Klappentext. Auch für die Leser*innen ist die Welt nach den zu Literatur geronnenen Streifzügen widersprüchlicher und weiter. Mascha Jacobs und Anne Weber sprechen über das Wagnis, sich in die nahe gelegene Fremde zu begeben, über Form- und Gewissensfragen, Humor, Dialoge und das Übersetzen. Es geht um Sprachen und Machtverhältnisse, Verwandlungen, Ironie und unerbittliche Logiken, die groteske Nebenrealitäten erzeugen. Die mitgebrachten Lieblingstexte führen das Gespräch in ein vorsichtiges Nachdenken über literarische Sprünge, »Auseinandergelegenheiten« (Robert Walser) Erfindungslust und Unerschrockenheit. Anne Weber, 1964 in Offenbach geboren, lebt seit 1983 als freie Autorin und Übersetzerin in Paris. Sie hat sowohl aus dem Deutschen ins Französische übersetzt als auch umgekehrt. Auch ihre eigenen Bücher schreibt sie sowohl in deutscher als auch in französischer Sprache. Ihre Werke wurden u. a. mit dem Heimito von Doderer-Literaturpreis und dem Preis der Leipziger Buchmesse ausgezeichnet. Für Annette, ein Heldinnenepos erhielt sie den Deutschen Buchpreis. 2024 bekam sie außerdem den Annette-von-Droste-Hülshoff-Preis für ihr Gesamtwerk verliehen
Poetisa, traductora, su nombre completo era Flora Alejandra Pizarnik y nació el 29 de abril de 1936 en el Hospital Fiorito de la localidad de Avellaneda, en la provincia de Buenos Aires. Sus padres, Elías Pozharnik y Rezla Bromiker, emigraron de Rovna, localidad ruso polaca, pasaron un tiempo en París y llegaron a la Argentina. Asistió a la Escuela Normal N°7 de Avellaneda y a la Zalman Reizien Schule, escuela hebrea donde aprendió la historia de su pueblo, así como la lectura y escritura en ídish. En 1954 finalizó el secundario, comenzó a frecuentar la Facultad de Filosofía y Letras así como la Escuela de Periodismo y, al mismo tiempo, se inició en el mundo de las artes de la mano del pintor surrealista Batlle Planas. En 1955, publicó su primer libro de poemas: La tierra más ajena, de editorial Botella al mar, comenzó a realizar traducciones literarias y a colaborar en la revista Poesía Buenos Aires. En 1960, con cuatro libros publicados, se trasladó a París, Francia, donde trabajó para la revista "Cuadernos" y varias editoriales francesas, publicó poemas y críticas en varios diarios, tradujo a Antonin Artaud, Henri Michaux, Aimé Cesairé, e Yves Bonnefoy, y estudió historia de la religión y literatura francesa en la Sorbona. Por aquellos años conoció a Octavio Paz, Julio Cortázar e Ivonne Bordelois, Simone de Beauvoir y Marguerite Duras. En 1964, volvió a Buenos Aires, conoció a su amiga Silvina Ocampo y publicó otras siete obras con poemas, escritos, relatos surrealistas y hasta novelas cortas. Pizarnik tomaba una gran cantidad de medicamentos debido a sus altibajos anímicos y, en sus escritos reflexionó sobre el suicidio. En 1967, la muerte de su padre se sumó al malestar que Alejandra tenía para llevar adelante su vida cotidiana, obstáculo que nunca logró superar. En 1968 obtuvo la Beca Guggenheim y viajó a Nueva York donde publicó Extracción de la piedra de locura (Sudamericana, compuesto por poemas en prosa). En 1969, publicó Nombres y figuras (1969), reversionó la novela La condesa sangrienta (1971), publicó también el poemario El infierno musical y ganó la beca Fullbright. Inició una terapia diseñada por el psiquiatra Pichon-Rivière, que generó una mejora temporal, pero la madrugada del 25 de septiembre de 1972, falleció en su departamento de la ciudad de Buenos Aires, a los 36 años, después de ingerir 50 pastillas de secobarbital. Recordamos a quien fuera una figura central de la poesía en español del siglo XX a partir de testimonios sonoros conservados en el Archivo Histórico de Radio Nacional. FICHA TÉCNICA Música y testimonio M.A.B. = Amor -2º Mov - Jorge López Ruiz [1967 del Álbum “El Grito”] Fernando Noy - Cantora Nocturna (Alejandra Pizarnik) Alejandra Pizarnik - Escrito con un Nictógrafo (Arturo Carrera) Ivonne Bordelois 2005-01-03 Betty Elizalde - Mi Amor por los Espejos (Alejandra Pizarnik) [Dos Gardenias LRA1] L-'Etoile A Pleuré Rose (Arthur Rimbaud - Leo Ferre) Léo Ferré [1964 del Álbum “ Verlaine Et Rimbaud”] Liliana Daunes - Fragmento de Prosa completa (Alejandra Pizarnik) [Juana Pimienta LRA1] Tom Lupo - Piedra Fundamental (Alejandra Pizarnik) Liliana Daunes - En esta noche en este mundo (Alejandra Pizarnik) [Juana Pimienta LRA1] Bronca Buenos Aires - Jorge López Ruiz [1970 del Álbum “Bronca Buenos Aires”] Hiedra al Sol - Martin Sued [2017 del Álbum “Iralidad”] Fernando Noy y Liliana Daunes – Yo Soy... (Alejandra Pizarnik) [Juana Pimienta LRA1] Tom Lupo - La palabra del deseo (Alejandra Pizarnik) Fernando Noy [Juana Pimienta LRA1] Canción para el yacente (A Pizarnik - M Moguillevsky) Mekina Moguillevsky [2013 del Álbum “Arbola”] Edición: Fabián Panizzi
durée : 00:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Poésie ininterrompue - Harry Mathews : Lectures de textes par Harry Mathews 4/4 : "Notes de zoologie" et "Catafalques" d'Henri Michaux, "Le nageur" de H. Mathews (1ère diffusion : du 18 au 24/08/1975)
Das verantwortungslose Handeln der politischen Elite Ein Kommentar von Wolfgang Effenberger.Der griechische Maler und Dichter Odysseas Elytis sagte in der Pressekonferenz anlässlich der Verleihung des Literatur-Nobelpreises 1979 die visionären Sätze:„Das ist Barbarei. Ich sehe sie kommen, getarnt unter gesetzlosen Allianzen und vorbestimmten Versklavungen. Es geht vielleicht nicht um Hitlers Öfen, aber um die methodische und quasi wissenschaftliche Unterwerfung des Menschen. Seine absolute Erniedrigung. Seine Schande“.(1)Er hatte den Zweiten Weltkrieg von der schrecklichsten Seite kennengelernt und lebte dann von 1948–1952 in Paris. Dort schloss er Freundschaft mit Dichtern wie André Breton und Henri Michaux sowie mit Künstlern wie Matisse, Pablo Picasso und Alberto Giacometti.Elytis, ein Mann der Kunst und des scharfen Verstandes. Seine Werke spiegeln den Kampf des modernen Menschen um Freiheit und Kreativität wider. Es ist nicht schwer, sich vorzustellen, wie sich Elytis zu den willkürlichen, die Menschenrechte beschneidenden Corona-Maßnahmen geäußert hätte, die bald in die Barbarei abglitten: Ungeimpfte wurden zu Sündenböcken gestempelt, vom Arbeits- und Universitätsleben ausgeschlossen, gegen Arbeitslose und Unterstützungsempfänger wurde volle Härte gefordert. Noch härter traf es später die Ärzteschaft, die in größerem Umfang Atteste wegen Unverträglichkeit der FFP2-Maske, der PCR-Tests oder jeglicher Impfung geschrieben oder falsche Impfbescheinigungen ausgestellt hatten. Viele von ihnen sitzen nun monatelang in Untersuchungshaft und bekommen ein mehrjähriges Berufsverbot sowie Haftstrafen von bis zu 2 Jahren und mehr. (2)Jedem, der sich während der Maßnahmen offen gegen eine Impfung wehrte, wurde automatisch vorgeworfen, mit „Querdenkern“ gemeinsame Sache zu machen wie z.B. mit den Filmstars Nina Proll und Til Schweiger.(3) Die Schauspielerin Eva Herzig wurde vom Boulevard in großen Lettern als "Impf-Leugnerin" abgestempelt und somit wie eine Aussätzige behandelt.(4) Man hatte keine Scheu, die Bevölkerung in zwei Lager aufzuspalten, in jenes, das „seine Rechte zurückbekommen soll“, und jenes, dem man Grundrechte vorenthalten kann. Dabei offenbarte sich das Denken dieser Barbaren, nämlich Menschenrechte aus purer Willkür zu „Gnaden“-Akten verkommen zu lassen. In diesem Verhalten spiegelte sich die herrschende neofeudalistische beziehungsweise postdemokratische Gesellschaftsordnung wider, die mit einer kleinen Führungselite über die Köpfe der Betroffenen hinweg entschied und nur noch Dekrete verordnete, die vom Staatsapparat rücksichtslos umzusetzen sind. Und das alles mit dem "Segen" der Wissenschaft und eines eigens installierten "Ethik"-Rates. ... hier weiterlesen: https://apolut.net/geheime-corona-protokolle-entlarven-wissenschaft-als-knechte-des-polit-systems-von-wolfgang-effenberger Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Så fort man tror att man har koll på grejerna så ställs man inför ett olösligt problem. Det gäller mänskligheten såväl som individen. Michael Azar funderar över livets inneboende motsägelser. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. ESSÄ: Detta är en text där skribenten reflekterar över ett ämne eller ett verk. Åsikter som uttrycks är skribentens egna.Förr eller senare händer det oss alla: från till synes ingenstans dyker det upp en fråga som gör oss svarslösa, som får tungan att vrickas och tanken att stånga sig blodig mot osynliga väggar.Och så står vi där, ställda mot väggen av vårt eget intellekts bedrövande vanmakt.Antikens greker talade om sådana förlamande frågor i termer av aporier, ett begrepp som bokstavligen betyder ”utan utväg”. Är universum ändligt eller ändlöst i tid och rum? Har materien en minsta beståndsdel eller går det dela upp den i all oändlighet? Varför finns det något snarare än inget? Är det bättre att känna till sitt dödsdatum än att inte göra det?Och så vidare.Legenden gör gällande att den store Sokrates ägnade en stor del av sin tid åt att plåga sina medmänniskor med frågor som de inte kunde besvara. Det var inte för inte som han brukade jämföras med en blodsugande insekt. Sokrates verkade nämligen finna tillfredsställelse i att sticka hål på atenarnas hjärnor, i syfte att visa dem att de inte alls var så smarta som de föreställde sig vara.Till skillnad från den blodtörstiga insekten hade Sokrates emellertid också ett uppbyggligt syfte. Det är först, säger han enligt Platon, när vi inser att vi inte vet det som vi tror oss veta, som vi på allvar kan börja utvidga vårt vetandes gränser.Det är först ur svarslöshetens plågsamma tillstånd som en verklig och ödmjuk kärlek till kunskap kan födas.En apori ställer oss i själva verket inför ett fundamentalt val: antingen erkänner vi vår tankes maktlöshet, eller så anstränger vi oss för att tänka djupare och bättre.På sätt och vis kan man betrakta den mänskliga kunskapsutvecklingens historia som en enveten strävan efter att finna lösningar på det till synes olösliga. Människoanden verkar hysa en instinktiv motvilja mot alla slags motsägelser, paradoxer och absurditeter. Ingen fråga får lämnas ouppklarad. Det ska vara ordning och reda, både i tanken och världen. Var sak på sin plats.Ett och samma ting får absolut inte på samma gång vara både det ena och det andra.Men så lätt gör man sig tyvärr inte av med den sokratiska insekten. Den dyker upp på nytt varje gång förnuftet blir övermodigt och tror sig ha satt verkligheten på plats.”Ha! Tro inte att du är färdig, att du har naglat fast världen med dina löjliga begrepp. Du ska snart få se hur den glider undan igen!”Och så står vi där återigen, med ryggen mot muren, lika svarslösa som en gång Atens gamla medborgare inför tillvarons gäckande mångtydighet, inför alla dessa ting som på en och samma gång verkar vara både det ena och det andra!Så vet människan till exempel fortfarande inte om hon ska betrakta tanken på Döden som en vän eller en fiende, ett hinder eller en möjlighet, en styggelse eller en vederkvickelse.Och kan man inte säga samma sak om Friheten? Hur vi än vrider och vänder på saken verkar det finnas lika många skäl att hylla den som att frukta den, lika goda skäl att skriva in friheten i lagen som att stifta lagar för att begränsa den.För att inte tala om Jämlikheten. För är det inte så att den vackra principen om att alla är lika mycket värda samtidigt rymmer den oroväckande undertexten att alla är lika lite värda?Till och med Kärleken verkar på samma gång vara både en försoningens och en splittringens kraft, lika mycket ett livets botemedel som ett livets gift. Och då menar jag inte bara det faktum att människor genom alla tider tagit livet av varandra i just kärlekens namn. Jag tänker också på alla de svåra återvändsgränder som kärlekslivet ställer oss inför.Mig veterligen har till exempel ännu ingen lyckats hitta utvägen ur det förhållandet att vi verkar bli lika sjuka av att älska för mycket – som av att älska för lite.”I can't live, with or without you”, som Bono sjunger.Hos Sören Kierkegaard, en av Sokrates moderna efterföljare, framträder tillvarons alla aporier som själva grundvalen för en djupare förståelse av människans lott på jorden. ”Gift dig”, säger han, ”och du kommer att ångra det. Gift dig inte och du kommer att ångra det också… Skratta åt världens dårskap och du kommer att ångra det. Gråt över den och du kommer att ångra det också. Häng dig och du kommer att ångra det. Häng dig inte och du kommer att ångra det också.”Damned if you do, damned if you don't.Här framträder alltså Livet självt som en apori. Som en omöjlig ekvation. Som ett Moment 22.Eller för att låna den belgiske författaren Henri Michaux' domslut över Varats lika sönderslitande som upplyftande tvetydighet.Vad är människolivet om inte ett ”miserabelt mirakel”?Michael Azaridéhistoriker och författare
« Pour moi Pierre (Buffet), c'est la pierre angulaire, la clé de voûte de l'île, il fallait vraiment recueillir sa mémoire. Il est au croisement de toutes les routes, de toutes les voix, de toutes les familles de Port-Cros et en plus il a une vision prospective. » Claire Paulhan est éditrice, spécialisée dans la littérature autobiographique et l'histoire littéraire. Elle a publié notamment en 2014 L'esprit de l'île, les mémoires de Pierre Buffet, grande personnalité de Port-Cros.Son attachement, sinon son intérêt et son engagement pour Port-Cros sont le fruit d'un héritage transmis par ses grands-parents et son père dont elle porte le nom. En effet Claire est la petite fille de Jean Paulhan, écrivain, critique littéraire et éditeur français qui fut rédacteur en chef puis directeur de la NRF, la Nouvelle Revue française de 1920 à 1968.Tout commence en 1925, quand son grand-père, Jean Paulhan, se rend à Port-Cros pour y trouver un peu de repos. Il vient d'être nommé à la tête de la NRF et séjourne à l'Hostellerie provençale tenue par les Henry. Marcel et Marceline Henry sont des figures tutélaires de l'île, arrivés en 1919 à Port-Cros qui ont marqué l'histoire de cette île, laquelle est racontée dans les mémoires de Pierre Buffet.Il se trouve que Marceline Henry, en plus de son intérêt pour la littérature et la poésie, est abonnée à la NRF. Son grand-père se lie d'amitié avec elle, et dès 1927, grâce à Marcel Henry, les éditions Gallimard auxquelles la NRF appartenait, louent le fort de la vigie (le plus éloigné du port), ce qui permet à Jean Paulhan et sa femme d'y séjourner. Le fort devient alors le lieu où se rassemble toute la communauté littéraire de la NRF, au rang desquels Marcel Arland, Henri Michaux, Paul Valery, Supervielle et beaucoup d'autres et cela de 1927 à la veille de la guerre en 1939. Avec Claire, nous avons parlé de son grand père Jean Paulhan, de Pierre Buffet, de littérature et du pouvoir des mots, de nature et de culture, de son travail d'éditrice et de son lien à Port-Cros.
City Lights LIVE! presents "Found in Translation: Adventures in Language." As part of its 70th Anniversary programming, City Lights celebrates literature in translation with a discussion moderated by Olivia E. Sears, featuring Gabriela Alemán, Dick Cluster, Gillian Conoloy, Elaine Katzenberger, Emilie Moorehouse, and Mark Schafer. City Lights was conceived as an international project. From the very beginning, from Lawrence Ferlinghetti's own translations of Jacques Prévert , and on to some of the exciting authors City Lights publishes today, the world in translation has been at the core of the City Lights mission. Spend an evening with the editors and translators who have helped shape the translation program at City Lights. Dick Cluster is a writer and translator living in Oakland, California. He translated Gabriela Alemán's “Poso Wells” and “Family Album: Stories.” Gillian Conoloy is a poet, editor, and translator. Her new collection is “Notes from the Passenger,” released from Nightboat Books in May 2023. Conoley's translations of three books by Henri Michaux, including “Thousand Times Broken,” appeared in English for the first time, with City Lights Books. Elaine Katzenberger is the executive director of City Lights and the publisher of City Lights Books. Emilie Moorehouse is a teacher, writer, translator, and environmentalist. She translated “Emerald Wounds: Selected Poems” by Joyce Mansour for City Lights Books. Mark Schafer is a literary translator, a visual artist, and a senior lecturer at the University of Massachusetts Boston, where he teaches Spanish. City Lights recently published his translations of Belén Gopegui's “Stay This Day and Night with Me” (2023) and “The Scale of Maps “(2010), a novel by Alberto Ruy Sánchez entitled “Mogador: The Names of the Air” (2004), and “Dawn of the Senses: Selected Poems,” an anthology of poems by Alberto Blanco. This event was made possible with the support of the Center for the Art of Translation/Two Lines Press and the City Lights Foundation. To learn more about Center for the Art of Translation visit: https://www.catranslation.org/. To learn more visit: https://citylights.com/foundation/.
Jean-Luc Outers aborde le dernier jour de ceux qui l'ont marqué : 4 écrivains, une cinéaste. Il imagine l'instant du passage et suppose à travers ce texte que les morts sont analogues aux vies vécues . A travers un hommage polyphonique à Henri Michaux( le seul qu'il n'ait pas connu personnellement mais qui lui a permis d'écrire), Dominique Rolin, Hugo Claus, Simon Leys et Chantal Akerman, il nous donne un de ses textes les plus émouvants, drôle et réconciliateur. Car il n'y a pas de mort s'il y a transmission et à travers ces figures tutélaires, c'est ce que Jean-Luc Outers insinue. Le dernier jour est publié chez Gallimard, dans la collection L'infini. Réalisation Pascale Tison, avec des archives de la Sonuma Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
L'écrivaine et historienne âgée de 56 ans nous reçoit, à l'occasion de la sortie de son dernier livre Proust, roman familial, au sein de la Bibliothèque nationale de France, rue de Richelieu, dans le deuxième arrondissement à Paris. Laure Murat évoque son enfance très privilégiée dans un triplex du seizième arrondissement à Paris qui s'apparentait à un musée d'Empire. Elle a grandi dans une famille aristocrate auprès d'un père attiré par la modernité qui a soutenu financièrement le poète Henri Michaux et produit des films de Louis Malle et d'une mère passionnée d'histoire et d'opéra. Elle dépeint un milieu, à rebours de ses parents, rempli de gens ordinaires peu portés sur la culture. Plus jeune, elle se prend de passion pour l'équitation puis la photographie tout en s'intéressant à la littérature et aux arts. Elle en vient graduellement à publier des livres après un début de carrière comme journaliste, travaillant notamment autour de l'archive. Elle loue le travail de Violette Leduc, Céline Minard ou Céline Sciamma, décrypte son coup de cœur pour Los Angeles, « ville antiphallique », et reconnaît son amour pour l'oblique.Elle revient aussi longuement sur son rapport à Marcel Proust qui s'est inspiré de membres de sa famille pour créer certains de ses personnages, des patronymes familiaux peuplent d'ailleurs A la recherche du temps perdu. Elle voit dans son œuvre un mélange de fiction et de réalité troublant. Et célèbre celui qui a fait de l'homosexuel un peu « sujet universel ». « A la recherche du temps perdu est pour moi un grand objet de consolation. »Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project
What is the current arc of the psychedelic renaissance in Western society missing? How do psychedelic experiences affect politics? And what are the psychedelic humanities? To guide us through these questions, I speak with Oliver Davis. He's a professor of French Studies and director of graduate studies at the University of Warwick in the UK, a co-editor of an ongoing series on the psychedelic humanities, is working on a book about the politics of psychedelics, and wrote of a recent paper on the French artist Henri Michaux's writings on psychedelics, which serve as a guide for our conversation. By tracing Michaux's writing on psychedelics, we explore how they impact everything from creativity to metaphysics. Using that lens, we get into: what is lost in the potential of psychedelic experience when it's approached exclusively as a therapeutic tool to be used under highly regulated and controlled settings, threading the needle between science and mysticism when it comes to making sense of psychedelic experiences, psychedelics and politics, where one of the most important implications of psychedelic experience is not what it can teach us about consciousness or the nature of the universe, but how it might help us rethink our social and economic worlds, how psychedelic experiences might help foment a more democratic form of politics. Enjoy!
10 - Henri Michaux lu par Jonathan Reymond
City Lights presents Gillian Conoley in conversation with Norma Cole, celebrating the publication of "Notes from the Passenger" by Gillian Conoley, published by Nightboat Books. This live event was held in the Poetry room and simultaneously broadcasted via Zoom. This event was hosted by Peter Maravelis of City Lights. You can purchase copies of "Notes from the Passenger" directly from City Lights here: https://citylights.com/general-poetry/notes-from-the-passenger/ Gillian Conoley is a poet, editor, and translator. Her collection, A LITTLE MORE RED SUN ON THE HUMAN: NEW AND SELECTED POEMS, with Nightboat Books, won the 39th annual Northern California Book Award in 2020. Conoley received the Shelley Memorial Award from the Poetry Society of America, and was also awarded the Jerome J. Shestack Poetry Prize, a National Endowment for the Arts grant, and a Fund for Poetry Award. Conoley's translations of three books by Henri Michaux, THOUSAND TIMES BROKEN, is with City Lights. Conoley has taught as a Visiting Poet at the University of Iowa Writers' Workshop, the University of Denver, Vermont College, and Tulane University. A long–time resident of the San Francisco Bay Area, Conoley is currently Professor of English and Poet–in–Residence at Sonoma State University where she edits VOLT. Conoley has collaborated with installation artist Jenny Holzer, composer Jamie Leigh Sampson, and Buhto dancer Judith Kajuwara. Norma Cole is a member of the circle of poets around Robert Duncan in the '80s, and a fellow traveler of San Francisco's language poets, Cole is also allied with contemporary French poets like Jacques Roubaud, Claude Royet-Journoud, and Emmanuel Hocquard. Her translations from the French include Hocquard's "This Story Is Mine" (Instress, 1999), "Crosscut Universe: Writing on Writing from France" (Burning Deck, 2000), Danielle Collobert's Notebooks 1956-1978 (Litmus, 2003), and Fouad Gabriel Naffah's "The Spirit God and the Properties of Nitrogen" (Post-Apollo, 2004). She has taught at many schools, including the University of San Francisco and San Francisco State. During winter 2004/05, Cole could be seen inhabiting a 1950s living room as part of the California Historical Society's Collective Memory installation series. More recently, she curated a show by Marina Adams at the Cue Arts Foundation in NYC. This event was made possible by support from the City Lights Foundation: citylights.com/foundation
“L'Outreligne”Milton Becerra et Pancho Quilicià la Maison de l'Amérique latine, Parisdu 24 mai au 22 juillet 2023Interview de Milton Becerra et Pancho Quilici, artistes,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 23 mai 2023, durée 12'51,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/05/25/3443_outreligne_maison-de-l-amerique-latine/Communiqué de presse Commissariat : Christine FrérotLa Maison de l'Amérique latine à Paris consacre sa prochaine exposition, L'Outreligne, à deux artistes vénézuéliens, Milton Becerra (né dans l'état de Táchira, en 1951) et Pancho Quilici (né à Caracas, en 1954), à découvrir du 24 mai au 22 juillet 2023.Sous le commissariat de Christine Frérot, les visiteurs pourront mesurer comment avec ces «passeurs de temps», la ligne défie et franchit les horizons, culturels, historiques, naturels, géométriques et constructifs, en toute liberté, avec raison et déraison.Arrivés en France au début des années 1980, où ils vivent et travaillent depuis lors, les deux jeunes artistes vénézuéliens, imprégnés à des degrés divers de l'esthétique cinétique de leurs aînés, vont très tôt se défaire de cette séduction passagère pour trouver une voie qui leur est propre. Chez eux, géométrie et nature se fondent dans un complexe et savant réseau de lignes, de trames et de formes, leurs « syntaxes » innovantes entrent en résonance et se confondent dans leurs utopies cosmogoniques et chamaniques. Dans sa quête revendiquée de questionnements à la fois existentiels et formels, chacun s'attache aussi à définir la place déterminante qu'ont, autant dans sa réflexion que dans l'expérimentation, les références mathématiques et scientifiques.Le temps, ce « temps sans durée » dont parle l'écrivain Philippe Curval à propos de Quilici, est au coeur de la gestation de l'oeuvre, conforté par ces vertus que partagent les deux artistes, la lenteur, la patience et la persévérance.La cohabitation muséographique de leurs oeuvres doit sembler fluide et cohérente et induire une communauté de pensée dans laquelle le « tressage » de Becerra répond au « maillage » de Quilici et réciproquement.Si l'on se penche sur la manière qu'a chacun d'imaginer sa géométrie et de construire sa propre « aventure de lignes », comme l'écrit Henri Michaux à propos de Paul Klee, on réalise combien ce défi au vide est pensé en amont et irrigue leur discours culturel, imprégné d'une réflexion nourrie de curiosités et de lectures de nature scientifique.Présenter ensemble ces deux sensibilités générationnelles, c'est donc, à travers un dialogue scénographique inédit, tenter de trouver une visibilité à leur communauté d'idées, pour construire une éventuelle troisième voie, celle proposée et acceptée comme un défi naturel, dans une installation pensée et réalisée en commun spécifiquement pour le rez-de-chaussée de la Maison de l'Amérique latine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Poetisa, traductora, su nombre completo era Flora Alejandra Pizarnik y nació el 29 de abril de 1936 en el Hospital Fiorito de la localidad de Avellaneda, en la provincia de Buenos Aires. Sus padres, Elías Pozharnik y Rezla Bromiker, emigraron de Rovna, localidad ruso polaca, pasaron un tiempo en París y llegaron a la Argentina. Alejandra asistió a la Escuela Normal N°7 de Avellaneda y a la Zalman Reizien Schule, escuela hebrea donde aprendió la historia de su pueblo, así como la lectura y escritura en ídish. En 1954 finalizó el secundario; comenzó a frecuentar la Facultad de Filosofía y Letras así como la Escuela de Periodismo y, al mismo tiempo, se inició en el mundo de las artes de la mano del pintor surrealista Batlle Planas. En 1955, publicó su primer libro de poemas: La tierra más ajena, de Editorial Botella al mar; comenzó a realizar traducciones literarias y a colaborar en la revista Poesía Buenos Aires. En 1960, con cuatro libros publicados, se trasladó a París, Francia, donde trabajó para la revista "Cuadernos" y varias editoriales francesas; publicó poemas y críticas en varios diarios, tradujo a Antonin Artaud, Henri Michaux, Aimé Cesairé, e Yves Bonnefoy, y estudió historia de la religión y literatura francesa en la Sorbona. Por aquellos años conoció a Octavio Paz, Julio Cortázar e Ivonne Bordelois, Simone de Beauvoir y Marguerite Duras. En 1964, volvió a Buenos Aires, conoció a su amiga Silvina Ocampo y publicó otras siete obras con poemas, escritos, relatos surrealistas y hasta novelas cortas. Pizarnik tomaba una gran cantidad de medicamentos debido a sus altibajos anímicos y, en sus propios escritos, reflexionó sobre el suicidio. En 1967, la muerte de su padre se sumó al malestar que Alejandra tenía para llevar adelante su vida cotidiana, obstáculo que nunca logró superar. En 1968, obtuvo la Beca Guggenheim y viajó a Nueva York donde publicó Extracción de la piedra de locura , de Editorial Sudamericana, compuesto por poemas en prosa. En 1969, publicó Nombres y figuras (1969), reversionó la novela La condesa sangrienta (1971), publicó también el poemario El infierno musical y ganó la beca Fullbright. Inició una terapia diseñada por el psiquiatra Pichon-Rivière, que generó una mejora temporal, pero la madrugada del 25 de septiembre de 1972, falleció en su departamento de la ciudad de Buenos Aires, a los 36 años, después de ingerir 50 pastillas de secobarbital. Recordamos a quien fuera una figura central de la poesía en español del siglo XX a partir de testimonios sonoros rescatados por Liliana Daunes, en el programa Juana Pimienta, que emite AM 870 y conservado en el Archivo Histórico de Radio Nacional. FICHA TÉCNICA Fernando Noy Es Kisher (Zulal) Zulal [2004 del Álbum “Zulal”] Caminos del espejo (Alejandra Pizarnik) 1968 del libro “Extracción de la piedra de la locura “ Palabras (Alejandra Pizarnik) 1965 del libro “Los Trabajos y las Noches” Diarios -fragmento- (Alejandra Pizarnik) 2003 publicacion postuma Seven Tunes Heared in China Nª2 Guessing Song (Bright Sheng ) Yo Yo Ma [1999 del Album “Solo”] Enero (Diana Bellessi) 2002 del libro “Mate Cocido” Canto Difuso (Susana Thénon - Georgina Hassan) Georgina Hassan [2017 del Álbum “Madreselva”] Proposiciones (Juan Gelman) para Alejandra Pizarnik 1973 del libro “Relaciones” Nº6 Ella se desnuda en el paraíso (Alejandra Pizarnik) 1962 de libro “Arbol de Diana” Cuarto solo (Alejandra Pizarnik) 1965 del libro “Los trabajos y las noches ” Despedida (Alejandra Pizarnik) 1965 del libro “Los trabajos y las noches ” Lilas y violetas (Marcela Passadore ) Nora Sarmoria [2013 del Álbum “Silencio Intenso”] Domicilio en el cielo (Leda Valladares - Nora Sarmoria) Nora Sarmoria y Catalina Ward Sarmoria [2013 del Álbum “Silencio Intenso”] Formas (Alejandra Pizarnik) 1963 “Revista Sur” ¿Quién soy? (Soema Montenegro) Soema Montenegro y Sara Mamaní [2019 del Álbum “Camino a la Templanza”]
Nej, det är inte personen Lars Norén som står i dagböckernas fokus. Men vad är det då? Poeten Jörgen Lind försöker förstå vad som får honom att läsa dem om och om igen. ESSÄ: Detta är en text där skribenten reflekterar över ett ämne eller ett verk. Åsikter som uttrycks är skribentens egna.Jaha. Där ligger de, fem kompakta volymer med bibeltunna och opaginerade blad, skrivna mellan åren 2000 och 2020. 6040 sidor upplyser förlaget, sammanlagd vikt: 5253 gram. Det slår mig att de tre första volymerna sammantaget väger mer än mina tvillingdöttrar gjorde vid sin ljusa födsel. Fem labyrintiska böcker att gå bort sig i. Fem överväldigande hav att drunkna i. Nej. Det är inte som på Louvren. Men vad är det då i dessa texter som har gjort att jag med våldsam besatthet nästan dagligen de senaste två decennierna omättligt ätit av dem? Varför har jag ägnat så mycket tid åt omtagningen av varje bok, inte bara en gång, utan tre och fyra gånger? Kan det inte tyckas ha varit ett enormt slöseri med tid som kunde ha ägnats åt så mycket annan läsning, så mycket annat engagemang i världen? Jag ser högarna av olästa böcker staplade längs väggarna i lägenheten. Men nej, jag sörjer den inte, all denna tid som jag aldrig får tillbaka. Lars Noréns dagböcker fortsätter alltjämt att skaka om och förlösa mig.Den tyske författaren W G Sebald säger i en sen intervju att när han skriver vet han inte vart han är på väg, han följer tankarna och kopplingarna likt en hund på ett fält. Och kanske är det så jag läser dessa texter, som en skrift med själva avvikelsen som princip. Arbetet tycks för Norén till stor del handla om närvaro, att vara sann mot och lyhörd för ingivelsen med en uppmärksamhet som går att likställa vid den rena hängivelsens bön. För det förhåller ju sig så att när man som författare slutar orkestrera sitt tänkande gör man ofta de största upptäckterna.Och han skriver, om högt och lågt, inte sällan självsvåldigt som i sina detaljerade redogörelser för en hysterisk konsumtion. Här blandas vardagligt skvaller och rena personangrepp med sofistikerat filosoferande och ett våldsamt inspirerande kulturintag. Bill Violas änglar flimrar förbi i Sjostakovitjs stråkkvartetter och Gerhard Richters begravningsmåleri, Maria Miesenbergers dunkla förnimmelsefotografier ackompanjeras av John Coltrane och Art Pepper. Men främst tar kanske dagboksförfattaren sikte på avskapelsen, med ett begrepp hämtat från Simone Weil, i ett försök att skriva sig ut ur sig själv, från sina föreställningar om sig själv, för att ge plats för världen.Nej. Det är inte personen Lars Norén som står i dagböckernas fokus. Snarare handlar det nog om ”att slå sönder den plats där det nya skall komma”, som det står i diktboken Hjärta i hjärta. Kanske går anteckningarna att likna vid de resefotografier som tas som ett sätt för att slippa se, där minnet förvisas såsom till en krypta. Avsikten tycks vara ett skrivande som ett sätt att följa dagen och att skikta tiden, en skrift för att urskilja åtbörderna, för de dagliga sceneriernas ljus- och skuggspel. Ja, kanske skriver han för att undkomma sitt signum, för att i egentlig mening bli Ingenting, en text där namnet och ansiktet måste utelämnas för att överträffas av verket självt.”Dagboken är mitt hem, den enda plats där tiden kan frysas ned för att ge mer tid”, står det i oktober 2005. Skriften som en fördämning mot döden. Och så tar de långa tysta inomhustagningarna vid, laddade med samma sorg och ensamhet som i en Hammershøimålning. Skriftströmmarna tar form av Lethe, glömskans flod, dit någon går med sina intryck och minnen för att kunna förpassa dem. Omvärlden liknar en spegelsal där ansikten och kroppar tas emot med öppen famn för att sedan skjutas ut i små båtar på vattnet. ”Det är som att tända en eld i ett hus fyllt med människor som jag tycker om eller som jag har älskat”, som det står i en anteckning från augusti 2008. Nej. Mycket till hem är det inte.Men vad liknar dagböckerna om de inte liknar ”vårt allmänna avtryck av att finnas till”, för att citera Henri Michaux. Avsikten är att de inte ska föreställa någonting. De ska helst bara bestå av torra utsagor om det mest basala. ”Jag är ett egendomligt redskap, reducerad till funktion och lyssnande, som ett skelett av uppmärksamhet”, står det i november 2005. Men det underbara är att denna föresats hela tiden misslyckas. Skelettet får kött. Det motsägelsefulla blir alstrande: avskapelsens intention omvänds till en flödande skriftflod, rädslan för den poesi som en gång verkade klaustrofobisk och hotade att göra honom sjuk, leder 2016 till en sen och överraskande återkomst till dikten i och med samlingen Stoft. Flöde och fördämning alltså. Men också: ”att slå sönder den plats där det nya skall komma.” Det är som att han alltid rör sig mot slutet, mot språkets gränsposteringar, där språket stelnar och bryts ned och låter någonting nytt och outforskat ta vid.Kanske denna ständiga återkomst till dagböckerna för att jag när en rastlös längtan efter det språk som i verklig mening talar oss, som verkar i en stark förvissning om att världen i någon mån förloras om den framställs som en föregiven berättelse. Förlorad bland detaljerna kan jag sällan redogöra för handling, vare sig i romaner eller film. I stället följer jag de knappt märkbara förskjutningarnas vilt växande rhizom. Jag skiter egentligen i vad som händer i Lars Noréns liv, all lågmänsklig illvilja passerar revy och rinner av mig. Det är det antända språket bland alla vardagsobservationer som jag dras till. I detta grafomaniskt tillåtande prosalandskap finns poesin ständigt närvarande som en våldsam möjlighet, lusten att söka efter dikten förstärks av att den inte ligger färdigställd och uppenbarad. Utsikterna att förirra sig öppnar för en uppmärksam och vårdslös läsning som också bereder plats för att fortsätta skriften.Den som skriver, påpekar Roland Barthes, turnerar bara ett litet antal variabler: Jag åtrår, jag lider, jag älskar, jag vill vara älskad, jag är rädd för att dö. Och det är berättelsen. Men hos Norén handlar det inte om att försöka förstå sitt liv, sin person eller sin plats i världen. Det handlar i större omfattning om att nå fram till ett språk för det som är omöjligt att fånga och omfamna, få begrepp om vad som är värdefullt att tiga om i ett liv. Ja, kanske är det i bristningarna och i bristen som dagböckernas språk tar plats. Det vädjar till oss om sin sanning utanför alla sanningsanspråk. Denna skrift som en berättelse om försvinnande, om någon som betalar med sitt ord för att slippa vara människa. Stavelseansamlingen Lars Norén som vitt ljus, vit hetta, ett spöke på besök hos andra spöken. Och hans skugga färdas, rör sig över dagboksbladen. Eller som han själv skriver: ”När människor har varit här, en kort stund, undrar jag efteråt om de har varit det, om de var verkliga.” Jörgen Lind, poet"En dramatikers dagbok" publicerades i fem volymer på Albert Bonniers förlag mellan 2008 och 2022.
Essentiel – Le rendez-vous culture de RCJ – présenté les lundis par Sandrine Sebbane. Elle reçoit Philippe Torreton pour son « Anthologie de la poésie française » aux éditions Calmann-Levy À propos du livre : « Anthologie de la poésie française » paru aux éditions Calmann-Levy « Que ce livre joyeux vous accompagne partout, qu'il essuie vos larmes afin d'en faire couler d'autres plus grosses et plus pleines, qu'il vous éclaire dans vos nuits de plein jour, qu'il vous dévoile un horizon d'événements, qu'il vous trahisse. Ce n'est pas un livre en fait mais un kit de survie en territoire hostile. Un couteau suisse. Écrivez dessus, cornez des pages, lâchez-y vos sanglots, il sert à ça, ce livre.» Plus de 150 poètes, plus de 300 poèmes: Louise Labé, Richard Coeur de Lion, François Villon, Joachim du Bellay, Pierre de Ronsard, Paul Scarron, Jean de La Fontaine, Pierre Corneille, Nicolas Boileau, Molière, Denis Diderot, Marceline Desbordes-Valmore, Jean Racine, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo, Gérard de Nerval, Alphonse de Lamartine, Germaine de Staël, Alfred Jarry, Théophile Gautier, Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Alphonse Allais, Anna de Noailles, Lautréamont, Paul Valéry, René Char, Tristan Tzara, Charles Péguy, Paul Éluard, André Breton, Blaise Cendrars, Marguerite Yourcenar, Jean Cocteau, Jacques Prévert, Henri Michaux, Jean Genet, Boris Vian, Francis Ponge, Louis Aragon, Marguerite Duras, Barbara, Aimé Césaire, Jacques Brel, Georges Moustaki, François Cheng, Yves Bonnefoy, Andrée Chedid, Christian Bobin, Dominique Sampiero et bien d'autres. Philippe Torreton a été sociétaire de la Comédie Française de 1994 à 1999. Il a joué les plus grands rôles sur les planches: Scapin, Tartuffe, Arlequin, Henri V, Richard III, Hamlet ou Galilée et obtient le Molière pour le rôle-titre de Cyrano de Bergerac. Grand acteur de théâtre, il n'en oublie pas pour autant le cinéma et le petit écran. Il reçoit un césar pour son rôle dans Capitaine Conan, de Bertrand Tavernier.
durée : 00:58:41 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Pourquoi avoir recours à l'exorcisme, à sa force de conjuration des malédictions? - tel Henri Michaux qui ressuscite face aux malheurs de la guerre, entre 1940 et 1944, cette forme de résistance de l'esprit, et tel Pierre Rosanvallon face aux périls et aux désenchantements de la démocratie en 2018?
durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Le roman de la science - Les poètes du progrès : de Guillaume Apollinaire à Henri Michaux (1ère diffusion : 14/09/1951 Chaîne Parisienne)
Philippe Torreton a été sociétaire de la Comédie Française de 1994 à 1999. Il a joué les plus grands rôles sur les planches: Scapin, Tartuffe, Arlequin, Henri V, Richard III, Hamlet ou Galilée et obtient le Molière pour le rôle-titre de Cyrano de Bergerac. Grand acteur de théâtre et de cinéma, il a reçu un césar pour son rôle dans «Capitaine Conan» de Bertrand Tavernier. Il est également l'auteur d'une dizaine de livres dont «Mémé», «Lettre à un jeune comédien» et «Une certaine raison de vivre». «Que ce livre joyeux vous accompagne partout, qu'il essuie vos larmes afin d'en faire couler d'autres plus grosses et plus pleines, qu'il vous éclaire dans vos nuits de plein jour, qu'il vous dévoile un horizon d'événements, qu'il vous trahisse. Ce n'est pas un livre en fait mais un kit de survie en territoire hostile. Un couteau suisse. Écrivez dessus, cornez des pages, lâchez-y vos sanglots, il sert à ça, ce livre.» Philippe Torreton. Plus de 150 poètes, plus de 300 poèmes: Louise Labé, Richard Coeur de Lion, François Villon, Joachim du Bellay, Pierre de Ronsard, Paul Scarron, Jean de La Fontaine, Pierre Corneille, Nicolas Boileau, Molière, Denis Diderot, Marceline Desbordes-Valmore, Jean Racine, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo, Gérard de Nerval, Alphonse de Lamartine, Germaine de Staël, Alfred Jarry, Théophile Gautier, Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Alphonse Allais, Anna de Noailles, Lautréamont, Paul Valéry, René Char, Tristan Tzara, Charles Péguy, Paul Éluard, André Breton, Blaise Cendrars, Marguerite Yourcenar, Jean Cocteau, Jacques Prévert, Henri Michaux, Jean Genet, Boris Vian, Francis Ponge, Louis Aragon, Marguerite Duras, Barbara, Aimé Césaire, Jacques Brel, Georges Moustaki, François Cheng, Yves Bonnefoy, Andrée Chedid, Christian Bobin, Dominique Sampiero et bien d'autres. (Présentation des éditions Calmann-Levy)
Philippe Torreton a été sociétaire de la Comédie Française de 1994 à 1999. Il a joué les plus grands rôles sur les planches: Scapin, Tartuffe, Arlequin, Henri V, Richard III, Hamlet ou Galilée et obtient le Molière pour le rôle-titre de Cyrano de Bergerac. Grand acteur de théâtre et de cinéma, il a reçu un césar pour son rôle dans «Capitaine Conan» de Bertrand Tavernier. Il est également l'auteur d'une dizaine de livres dont «Mémé», «Lettre à un jeune comédien» et «Une certaine raison de vivre». «Que ce livre joyeux vous accompagne partout, qu'il essuie vos larmes afin d'en faire couler d'autres plus grosses et plus pleines, qu'il vous éclaire dans vos nuits de plein jour, qu'il vous dévoile un horizon d'événements, qu'il vous trahisse. Ce n'est pas un livre en fait, mais un kit de survie en territoire hostile. Un couteau suisse. Écrivez dessus, cornez des pages, lâchez-y vos sanglots, il sert à ça, ce livre.» Philippe Torreton. Plus de 150 poètes, plus de 300 poèmes: Louise Labé, Richard Coeur de Lion, François Villon, Joachim du Bellay, Pierre de Ronsard, Paul Scarron, Jean de La Fontaine, Pierre Corneille, Nicolas Boileau, Molière, Denis Diderot, Marceline Desbordes-Valmore, Jean Racine, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo, Gérard de Nerval, Alphonse de Lamartine, Germaine de Staël, Alfred Jarry, Théophile Gautier, Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Alphonse Allais, Anna de Noailles, Lautréamont, Paul Valéry, René Char, Tristan Tzara, Charles Péguy, Paul Éluard, André Breton, Blaise Cendrars, Marguerite Yourcenar, Jean Cocteau, Jacques Prévert, Henri Michaux, Jean Genet, Boris Vian, Francis Ponge, Louis Aragon, Marguerite Duras, Barbara, Aimé Césaire, Jacques Brel, Georges Moustaki, François Cheng, Yves Bonnefoy, Andrée Chedid, Christian Bobin, Dominique Sampiero et bien d'autres. (Présentation des éditions Calmann-Levy).
Christine Rollard est une arachnologue aussi rassurante que malicieuse. Avant de passer en revue les plus incroyables araignées dans les deux derniers épisodes, ce 4e épisode est une incursion dans l'histoire avec un grand H, la culture avec un petit pop, le cinéma, les livres, sans oublier les contes et légendes, la sagesse populaire. Vous allez découvrir que les araignées ne sont pas universellement détestées, loin s'en faut. Cette vision des choses est très occidentale. Dans beaucoup de pays africains ou asiatiques, c'est une créature respectée et aimée. De Spiderman à Louis XI, ce roi sournois du 15e siècle, que ces ennemis surnommaient l'"universelle Aragne", vous allez voir que les araignées n'ont pas inspiré que les réalisateurs de films d'horreur. Elles sont des symboles universels. “Quelques gouttes de rosée sur une toile d'araignée, disait l'écrivain Henri Michaux, et voilà une rivière de diamants.” Photo: ©Frank Canon _______
La fecha fue instaurada por la Ley 26.754 en coincidencia con el nacimiento de quien es considerado el escritor argentino más importante de todos los tiempos y una las grandes figuras de la literatura en lengua española del siglo XX. Jorge Francisco Isidoro Luis Borges Acevedo, tal su nombre completo, nació en Buenos Aires el 24 de agosto de 1899 y falleció en Ginebra, Suiza, 14 de junio de 1986. Escritor, poeta y ensayista, estudió entre Ginebra e Inglaterra; vivió en España desde 1919 hasta su regreso a la Argentina en 1921; colaboró en revistas literarias, francesas y españolas, donde publicó ensayos y manifiestos. Participó con Macedonio Fernández en la fundación de las revistas Prisma y Prosa y firmó el primer manifiesto ultraísta. En 1923 publicó su primer libro de poemas, Fervor de Buenos Aires, y en 1935 Historia universal de la infamia, compuesto por una serie de relatos breves (formato que utilizará en publicaciones posteriores). Publicó diversas obras en colaboración con Adolfo Bioy Casares, entre las que cabe destacar Antología de la literatura fantástica. Durante esos años su actividad literaria se amplió con la crítica literaria y la traducción de autores como Virginia Woolf, Henri Michaux o William Faulkner. Fue bibliotecario, conferenciante y profesor de literatura inglesa en la Universidad de Buenos Aires (UBA), presidente de la Sociedad Argentina de Escritores, miembro de la Academia Argentina de las Letras y director de la Biblioteca Nacional Mariano Moreno desde 1955 hasta 1974. En 1961 compartió con Samuel Beckett el Premio Formentor, otorgado por el Congreso Internacional de Editores. Publicó libros de poesía como El otro, el mismo, Elogio de la sombra, El oro de los tigres, La rosa profunda, La moneda de hierro y cultivó la prosa en títulos como El informe de Brodie y El libro de arena. Borges también publicó libros en los que se mezclan prosa y verso, libros que aúnan el teatro, la poesía y los cuentos; ejemplos de esta fusión son títulos como La cifra y Los conjurados. Recordamos la figura de Borges, Premio Cervantes 1979, a partir de un informe especial elaborado por el Área de Contenidos y conservado en el Archivo Histórico de Radio Nacional.
durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - "Henri Michaux est un aristocrate sanglé dans une intelligence brûlant celui qui l'approche"
Poetisa, traductora, su nombre completo era Flora Alejandra Pizarnik y nació el 29 de abril de 1936 en el Hospital Fiorito de la localidad de Avellaneda, provincia de Buenos Aires. Sus padres, Elías Pozharnik y Rezla Bromiker, emigraron de Rovna, localidad ruso polaca, pasaron un tiempo en París y llegaron a la Argentina. Pizarnik asistió a la Escuela Normal N°7 de Avellaneda y a la Zalman Reizien Schule, escuela hebrea donde aprendió la historia de su pueblo, así como la lectura y escritura en ídish. En 1954 finalizó el secundario, comenzó a frecuentar la Facultad de Filosofía y Letras así como la Escuela de Periodismo y, al mismo tiempo, se inició en el mundo de las artes de la mano del pintor surrealista Batlle Planas. En 1955, publicó su primer libro de poemas: La tierra más ajena, de editorial Botella al mar; comenzó a realizar traducciones literarias y a colaborar en la revista Poesía Buenos Aires. En 1960, con cuatro libros publicados, se trasladó a París, Francia, donde trabajó para la revista "Cuadernos" y varias editoriales francesas; publicó poemas y críticas en varios diarios, tradujo a Antonin Artaud, Henri Michaux, Aimé Cesairé, e Yves Bonnefoy, y estudió historia de la religión y literatura francesa en la Sorbona. Por aquellos años conoció a Octavio Paz, Julio Cortázar, Ivonne Bordelois, Simone de Beauvoir y Marguerite Duras. En 1964, volvió a Buenos Aires, conoció a su amiga Silvina Ocampo y publicó otras siete obras con poemas, escritos, relatos surrealistas y hasta novelas cortas. Pizarnik tomaba una gran cantidad de medicamentos debido a sus altibajos anímicos y, en sus escritos, reflexionó sobre el suicidio. En 1967, la muerte de su padre se sumó al malestar que Alejandra tenía para llevar adelante su vida cotidiana, obstáculo que nunca logró superar. En 1968 obtuvo la Beca Guggenheim y viajó a Nueva York donde publicó Extracción de la piedra de locura (Sudamericana, compuesto por poemas en prosa). En 1969, publicó Nombres y figuras (1969), reversionó la novela La condesa sangrienta (1971), publicó también el poemario El infierno musical y ganó la beca Fullbright. Inició una terapia diseñada por el psiquiatra Pichon-Rivière, que generó una mejora temporal, pero la madrugada del 25 de septiembre de 1972, falleció en su departamento de la ciudad de Buenos Aires, a los 36 años, después de ingerir 50 pastillas de secobarbital. Recordamos a quien fuera una figura central de la poesía en español del siglo XX a partir de testimonios sonoros conservados en el Archivo Histórico de Radio Nacional. FICHA TÉCNICA Música y testimonio M.A.B. = Amor -2º Mov - Jorge López Ruiz [1967 del Álbum “El Grito”] Fernando Noy - Cantora Nocturna (Alejandra Pizarnik) Alejandra Pizarnik - Escrito con un Nictógrafo (Arturo Carrera) Ivonne Bordelois (Amiga de Alejandra. Poeta, ensayista y lingüista argentina) 2005-01-03 Betty Elizalde - Mi Amor por los Espejos (Alejandra Pizarnik) [Dos Gardenias LRA1] L-'Etoile A Pleuré Rose (Arthur Rimbaud - Leo Ferre) Léo Ferré [1964 del Álbum “ Verlaine Et Rimbaud”] Liliana Daunes - Fragmento de Prosa completa (Alejandra Pizarnik) [Juana Pimienta LRA1] Tom Lupo - Piedra Fundamental (Alejandra Pizarnik) Liliana Daunes - En Esta Noche en Este Mundo (Alejandra Pizarnik) [Juana Pimienta LRA1] Bronca Buenos Aires - Jorge López Ruiz [1970 del Álbum “Bronca Buenos Aires”] Hiedra al Sol - Martin Sued [2017 del Álbum “Iralidad”] Fernando Noy y Liliana Daunes – Yo Soy... (Alejandra Pizarnik) [Juana Pimienta LRA1] Tom Lupo - La Palabra del Deseo (Alejandra Pizarnik) Fernando Noy [Juana Pimienta LRA1] Canción para el yacente (A Pizarnik - M Moguillevsky) Mekina Moguillevsky [2013 del Álbum “Arbola”] Edición Fabián Panizzi
Maler, Dichter, Einzelgänger: Henri Michaux war eine prägnante Persönlichkeit. Der Komponist Heiner Goebbels nähert sich seinem Werk über das Hören – mit seinem eigenen Klavierspiel und mit der Stimme von David Bennent.Von Heiner Goebbelswww.deutschlandfunkkultur.de, KlangkunstDirekter Link zur Audiodatei
Maler, Dichter, Einzelgänger: Henri Michaux war eine prägnante Persönlichkeit. Der Komponist Heiner Goebbels nähert sich seinem Werk über das Hören – mit seinem eigenen Klavierspiel und mit der Stimme von David Bennent.Von Heiner Goebbelswww.deutschlandfunkkultur.de, KlangkunstDirekter Link zur Audiodatei
Tommaso Tuppini"Vortici"Forme dell'esperienzaOrthotes Editricehttps://www.orthotes.com/Finire dentro un vortice e farsene risucchiare, ci sembra una disgrazia, come inciampare su un sasso o ricevere una tegola in testa. Invece è un evento molto quotidiano, non facciamo che incontrare vortici, anche noi siamo vortici. Il vortice allaccia momentaneamente l'uno all'altro flussi che fino a quel momento si ignoravano. Dentro un vortice i flussi si rincorrono, si stringono, si sciolgono. La teoria della complessità ha scoperto nel vortice uno dei comportamenti fondamentali della materia fisica ma il vortice è una struttura energetica che riconosciamo anche nei corpi biologici, nella società e nella vita dello spirito. Per studiare l'articolazione vorticosa dell'esperienza diventa utile ripercorrere con un nuovo sguardo alcune tappe filosofiche, letterarie e artistiche: il binomio volumen-rivoluzione di Sade, la sensazione in Merleau-Ponty, la visione mescalinica di Henri Michaux, gli ideogrammi poetici di Ezra Pound, il cinema zenoniano dei fratelli Safdie. Una corrente fatta di mulinelli attraversa i corpi e le idee, le azioni e le esitazioni, gli slanci e le ricadute, è capace di formare e distruggere mondi, stringere e sciogliere i nodi di cui è fatta l'esperienza, ogni esperienza.Tommaso Tuppini insegna Filosofia all'Università di Verona. Con Orthotes ha pubblicato La caduta. Fascismo e macchina da guerra (2019).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
À quoi ressemble la vie d'un homme qui se fait voler sa maison en pleine nuit, dont la femme se fait écraser par un train alors qu'il dort avec elle, qui oublie qu'on marche sur le plancher et se retrouve au plafond, qui mange un serpent tombé d'un régime d'un banane ? À la rencontre entre une nouvelle de Poe et un film de Chaplin, le tout remixé par Kafka. Et marquise sur le bateau, ça se vend en petites doses avec décollage immédiat...
Celebrem el Nadal parlant dels mestres del vers, els poetes que han obert camins, amb Jaume C. Pons Alorda, que juntament amb Anna Gual ha comissariat el festival Llegats Vivents al Palau de la M
Celebrem el Nadal parlant dels mestres del vers, els poetes que han obert camins, amb Jaume C. Pons Alorda, que juntament amb Anna Gual ha comissariat el festival Llegats Vivents al Palau de la M
El Nadal del 1954 el poeta Henri Michaux va comen
Celebrem el Nadal parlant dels mestres del vers, els poetes que han obert camins, amb Jaume C. Pons Alorda, que juntament amb Anna Gual ha comissariat el festival Llegats Vivents al Palau de la M
« Pour moi Pierre (Buffet), c'est la pierre angulaire, la clé de voûte de l'île, il fallait vraiment recueillir sa mémoire. Il est au croisement de toutes les routes, de toutes les voix, de toutes les familles de Port-Cros et en plus il a une vision prospective. » Claire Paulhan est éditrice, spécialisée dans la littérature autobiographique et l'histoire littéraire. Elle a publié notamment en 2014 L'esprit de l'île, les mémoires de Pierre Buffet, grande personnalité de Port-Cros.Son attachement, sinon son intérêt et son engagement pour Port-Cros sont le fruit d'un héritage transmis par ses grands-parents et son père dont elle porte le nom. En effet Claire est la petite fille de Jean Paulhan, écrivain, critique littéraire et éditeur français qui fut rédacteur en chef puis directeur de la NRF, la Nouvelle Revue française de 1920 à 1968.Tout commence en 1925, quand son grand-père, Jean Paulhan, se rend à Port-Cros pour y trouver un peu de repos. Il vient d'être nommé à la tête de la NRF et séjourne à l'Hostellerie provençale tenue par les Henry. Marcel et Marceline Henry sont des figures tutélaires de l'île, arrivés en 1919 à Port-Cros qui ont marqué l'histoire de cette île, laquelle est racontée dans les mémoires de Pierre Buffet.Il se trouve que Marceline Henry, en plus de son intérêt pour la littérature et la poésie, est abonnée à la NRF. Son grand-père se lie d'amitié avec elle, et dès 1927, grâce à Marcel Henry, les éditions Gallimard auxquelles la NRF appartenait, louent le fort de la vigie (le plus éloigné du port), ce qui permet à Jean Paulhan et sa femme d'y séjourner. Le fort devient alors le lieu où se rassemble toute la communauté littéraire de la NRF, au rang desquels Marcel Arland, Henri Michaux, Paul Valery, Supervielle et beaucoup d'autres et cela de 1927 à la veille de la guerre en 1939. Avec Claire, nous avons parlé de son grand père Jean Paulhan, de Pierre Buffet, de littérature et du pouvoir des mots, de nature et de culture, de son travail d'éditrice et de son lien à Port-Cros.
durée : 00:09:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - René Bertelé s'entretenait avec Émile Noël à propos de la parution de "Façons d'endormi Façons d'éveillé" de Henri Michaux, extrait de l'émission "Notre Temps", diffusé la première fois le 23 février 1970 sur France Culture. René Bertelé, a été l'éditeur de Henri Michaux chez Gallimard. Ami et admirateur du poète et du peintre Michaux, qu'il avait rencontré à Marseille pendant l'Occupation, on lui doit, dans la collection Poètes d'aujourd'hui chez Seghers, la première monographie qui fut consacrée à l'ouvre de l'auteur de Plume. * En 1970, alors que venait de paraître Façons d'endormi Façons d'éveillé, interrogé par Émile Noël, René Bertelé parlait de cette dernière parution de Michaux et de la place de ce livre dans son ouvre. Par Émile Noël Notre temps - René Bertelé à propos de "Façons d'endormi Façons d'éveillé" de Henri Michaux (1ère diffusion : 23/02/1970) Indexation web : Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
1985 fick den lysande recensioner, den absurda novellsamlingen om sammanbrott på kontor och färger som inte finns. Nu kommer "Den maniska krokodilen 2.0" ut. Det finns hålrum mitt i vardagen. Tillvaron ställs på ända. Ingela Norlin var 26 år då hon debuterade och hon var inspirerad både av reklambranschens korthuggna språk och surrealistiska franska författare som Henri Michaux. Trots lovorden blev det ingen uppföljning. Titeln "Den maniska krokodilen" hittade författaren Stig Larsson på. Katarina Wikars hälsar på hemma hos Ingela Norlin, som numera ägnar sig åt arkeologiska fornminnen. Hur skriver man en absurd novellett egentligen? Och kan det bli fler nu nära 40 år senare? Som uppläsare hör vi Ingela Norlin själv, Melinda Kinnaman och Ludvig Josephson.
Nathan Hoks's most recent book, Nests in Air, was published in 2021 by Black Ocean Press. Previous books include Reveilles (winner of Salt Publishing's Crashaw Prize), The Narrow Circle (winner of the National Poetry Series), and the chapbook Moony Days of Being (winner of the Tomaž Šalamun Prize). He has also published translations of work by Vicente Huidobro, Christian Dotremont, and Henri Michaux. In 2018 Hoks was a poet-in-residence at the Tomaž Šalamun Poetry Center in Ljubljana, and he has also held residencies at the Vermont Studio Center and the Millay Colony for the Arts. Hoks occasionally works as an editor and letterpress printer for Convulsive Editions, and teaches creative writing at the University of Chicago and in the MFA in Writing program at the School of the Art Institute. Books mentioned in the interview: Wuthering Heights and Will Alexander's Across the Vapor Gulf.
L'artiste et graveur Frédéric Penelle est décédé le 25 mars 2020 à 46 ans. Il était aussi professeur à La Cambre et à l'École des Arts d'Ixelles. Deux expositions lui rendent hommage ces jours-ci à Bruxelles : à La Vallée et à la Maison d'Art Actuel des Chartreux. "Ne Suivez Pas le Guide" est une grande monographie du projet "Mécaniques Discursives", présentée dans les 1000m² de La Vallée jusqu'au 26 septembre. Fruit de la rencontre en 2011 entre Frédéric Penelle et Yannick Jacquet, "Mécaniques Discursives" est une installation à la croisée de la gravure et de la création numérique. Ces créations mettent en scène des machineries oniriques et poétiques, tantôt graves et tantôt joyeuses, qui se développent sur les murs à la manière d'un cadavre exquis. Frédéric Penelle a été l'un des artistes résidents les plus emblématiques de la Maison d'Art Actuel des Chartreux (MAAC). Le lieu présente une sélection d'œuvres – essentiellement son travail de gravure sur bois – jusqu'au 16 octobre. Avec les voix de Yannick Jacquet, Charlotte Marchand, Nicolas Boritch, Nancy Casielles et Jean-Pierre Müller, des poèmes de Henri Michaux, la musique de Steppe et celle de Thomas Vaquié. En deuxième partie, Apolline Vrancken, fondatrice de la plateforme L'architecture qui dégenre, parle des Journées du Matrimoine organisée à Bruxelles les 24, 25 et 26 septembre. L'espace de création textile Maak & Transmettre participe à cette troisième édition. Rencontre avec Alice Emery et Salomé Corvalan. Réalisation Fabrice Kada
durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1999, Christine Rey proposait pour France Culture une évocation de la vie et l'œuvre du poète Henri Michaux en donnant la parole à quelques-uns de ses lecteurs fervents. "Une vie, une oeuvre : Henri Michaux", (1ère diffusion : 24/10/1999). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Michel Maulpoix Écrivain et poète; Florence de Lussy; Nicolas Roméas Rédacteur en chef de la revue Cassandre; Philippe Mion; Jacques Ellul; Alain Cuny; Juliette Gréco chanteuse interprète française et actrice (1927-2020)