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Stéphane Bern raconte un homme qui a appliqué la devise de sa famille : “jusqu'où ne monterait-il pas…” Et il est monté haut, jusqu'à l'excès. C'est animé par la même ambition qu'il s'est fait amateur d'art et collectionneur d'œuvres. Jusqu'à l'excès. Ou la véritable histoire de Nicolas Fouquet, le surintendant collectionneur d'œuvres d'art… Quelles œuvres composaient la collection de Nicolas Fouquet ? Quelles ont été les raisons de son grand collectionnisme ? Où peut-on aujourd'hui admirer les œuvres que possédait le surintendant de Louis XIV ?Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Clara Terreaux, conservateur du patrimoine au Mobilier national, en charge des collections de peintures, auteure de "La collection de tableaux de Nicolas Fouquet. La construction des apparences" (RMN-Grand Palais/École du Louvre)
Explorez les secrets de l'atelier de Moulage de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais à travers les mots de ses artisans passionnés.
Explorez les secrets de l'atelier de Chalcographie de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais à travers les mots de ses artisans passionnés.
Proposée par la Rmn-Grand Palais, la conférence de Brigitte Koyama-Richard, spécialiste de la culture japonaise, dépeint l'extraordinaire popularité de Mucha au Japon. Alphonse Mucha demeure l'un des artistes les plus appréciés au Japon. La beauté, la grâce et la sensualité qui se dégagent de ses portraits féminins fascinent les Japonais qui ne cessent de s'en inspirer depuis plus d'un siècle. Les mangas ne sont pas en reste et offrent de nombreuses couvertures dans le style de ce grand artiste. Lors de cette conférence seront évoquées les œuvres des artistes japonais influencés par Mucha, de la fin du XIXe siècle aux mangas.
Programmée par la Rmn-Grand Palais, cette conférence de Véronique Vienne explore l'étonnante filiation entre l'Art nouveau et les artistes hippies des sixties. Le premier voyage d'Alphonse Mucha aux Etats Unis date de 1904, mais ce n'est qu'en 1966, soixante ans plus tard, que les américains vont découvrir le « style Mucha ». Ses affiches Art Nouveau vont inspirer toute une génération de musiciens hippies en quête de motifs « psychédéliques » capables d'évoquer les étranges sonorités de leurs guitares électriques. Comment les séduisantes sirènes de Mucha, assises dans l'écrin de leur abondante chevelure, sont-elles devenues le symbole des délires acoustiques des groupes rock californiens? Heureux hasard que la rencontre fortuite qui a présidé au renouveau américain de l'Art Nouveau parisien. De nos jours, on assiste à un véritable engouement pour les itérations de l'œuvre de Mucha par l'intelligence artificielle — étrange phénomène qui est dans le prolongement de l'engouement des hippies pour les affiches psychédéliques. Véronique Vienne a travaillé pendant 40 ans aux Etats-Unis dans le monde de la presse comme directrice artistique, rédactrice/conceptrice, et publiciste pour des médias dans le domaine de la mode et de la culture. Elle est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le design, le graphisme, la direction artistique, et les pratiques de la création. Bilingue, elle écrit des articles en français ou anglais pour des magazines d'art et des catalogues d'exposition, dont Mucha Affichiste, pour le Musée du Luxembourg, à Paris, en 2018. Elle a été finaliste, en 2017, du « Rome Prize » de l'American Academy in Rome, section Design.
Quel avenir pour Venise? Programmée par la Rmn-Grand Palais, une discussion sur l'avenir de Venise, son histoire, sa situation et les actions mises en place pour sa préservation. Avec Isabelle Autissier, présidente du WWF France, auteur de « Le Naufrage de Venise », aux éditions Stock, Elisabeth Crouzet-Pavan, historienne, professeur à Sorbonne Université, Philippe Rahm, architecte, et Ernesto Ottone Ramirez, sous-directeur général pour la Culture à l'Unesco. Modération : Olivier Tosseri, écrivain et journaliste, correspondant pour la presse française à Rome Isabelle Autissier est la première femme à avoir accompli un tour du monde à la voile en solitaire. Elle est l'auteur de romans, de contes et d'essais. Elle préside la fondation WWF France. Après Soudain, seuls (2015) et Oublier Klara (2019) chez Stock, Le Naufrage de Venise est son cinquième roman. Élisabeth Crouzet-Pavan est professeur d'histoire à Sorbonne Université. Elle est l'auteur de nombreux livres consacrés à l'histoire de l'Italie des derniers siècles du Moyen Âge et de la première Renaissance. Son dernier ouvrage Venise XVe - XXIe a reçu le Prix du Livre d'Histoire de l'Europe 2022. Philippe Rahm est architecte, diplômé de l'École polytechnique fédérale de Lausanne et docteur en architecture de l'université Paris-Saclay. Il dirige le bureau Philippe Rahm architectes à Paris, actif dans les champs de l'architecture, de l'urbanisme et du paysage. Il est l'auteur du Jardin météorologique (B2, 2019), de l'Histoire naturelle de l'architecture : comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments (Pavillon de l'Arsenal, 2020) et des Écrits climatiques (B2, 2020). Ernesto Ottone Ramirez est sous-directeur général pour la culture de l'UNESCO. Ernesto Ottone Ramirez a été ministre de la culture, des arts et du patrimoine du Chili de 2015 à 2018. Il a notamment créé un département des premiers peuples, une unité des migrants et a renforcé les lois sur les droits d'auteur et les protections du patrimoine.
L'artiste Anselm Kiefer dialogue avec Camille Morineau, conservatrice du patrimoine et directrice d'Aware (Archives of Women Artists Research & Exhibitions). Camille Morineau partage avec le public de l'exposition sa compréhension de l'œuvre d'Anselm Kiefer et questionne l'artiste sur son travail. Plasticien, mais aussi historien, philosophe et penseur, Anselm Kiefer évoque avec elle son rapport à l'art et au monde contemporain. La discussion est modérée par Chris Dercon, Président de la Rmn-Grand Palais et commissaire de l'exposition Anselm Kiefer. Pour Paul Celan.
“Peintres femmes, 1780-1830”Naissance d'un combatau Musée du Luxembourg, Parisdu 19 mai au 4 juillet 2021Interview de Martine Lacas, Docteure en histoire et théorie de l'art, auteure, chercheuse indépendante et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 18 mai 2021, durée 20'09,© FranceFineArtExtrait du communiqué de presse :commissariat : Martine Lacas, Docteure en histoire et théorie de l'art, auteure, chercheuse indépendanteParcours du demi-siècle qui s'étend entre les années pré-révolutionnaires jusqu'à la Restauration, l'exposition Peintres femmes 1780-1830. Naissance d'un combat comprend environ 70 oeuvres exposées provenant de collections publiques et privées françaises et internationales. L'exposition s'attache à porter à la connaissance du public une question peu ou mal connue : comment le phénomène alors inédit de la féminisation de l'espace des beaux-arts s'articule à cette époque avec la transformation de l'organisation de l'espace de production artistique (administration, formation, exposition, critique) et une mutation du goût comme des pratiques sociales relatives à l'art.Entre le XVIIIe des Lumières et le second XIXe siècle, celui du Romantisme puis de l'Impressionnisme, la perception de la période est phagocytée par les figures de David et celles des « trois G. » (Gérard, Gros, Girodet). En ce qui concerne les peintres femmes, il en va de même : après le « coup de théâtre » de la réception à l'Académie royale de peinture d'Elisabeth Vigée-Lebrun et Adélaïde Labille-Guiard en 1783, les noms le plus souvent cités sont ceux de Marie-Guillemine Benoît (et son célèbre Portrait d'une négresse — c'est le titre original), Angélique Mongez pour ces grandes machines historiques davidiennes, Marguerite Gérard qui a survécu stylistiquement au goût Rococo et à la renommée de Fragonard, dont elle fut l'élève puis la collaboratrice ou bien encore Constance Mayer dont le suicide semble l'avoir sauvée de l'oubli davantage que son oeuvre souvent réattribuée à Prud'hon, son compagnon de vie et d'atelier. Or, si on se plaît à rapporter souvent cet épisode tragique, c'est qu'il offre une explication commode à l' « absence des femmes » et une occasion de s'en indigner pour ne pas pousser plus loin l'analyse historique de la période.Un des enjeux majeurs de l'exposition est celui de la méthode historique, de l'interrogation de cette méthode et de la conscience critique que doit en avoir l'historien (comme le commissaire d'exposition) pour ne pas rompre le contrat de vérité qui le lie à son lecteur. Pour écrire et mettre en scène une histoire qui n'a pas été racontée (celle des peintres femmes), il apparaît essentiel de se doter de moyens nouveaux et, plus humblement d'interroger sans relâche ceux qui ont été mobilisés jusque-là pour écrire une histoire de l'art « sans femmes ».On a souvent posé la question de l'absence des « grandes » femmes artistes et trouvé une réponse historique à cette absence et à l' « empêchement » : l'interdiction faite aux femmes de pratiquer le nu et donc la peinture d'histoire, leur niveau moindre de formation, le numerus clausus à l'académie royale, la vocation matrimoniale, maternelle et domestique que leur attribuent les critères de genre, leur minorisation sociale et politique, la limitation de leur pratique à des genres « mineurs ». Tous ces arguments sont documentés, il n'est pas question de le nier. Le problème est qu'ils sont ceux-là même (arguments et documents) et seulement ceux que fournissent l'histoire de l'art traditionnelle et le récit historique dominant. Dans ce récit, on ne parle pas des peintres femmes parce qu'il n'y en a pas ou peu qui sont « grandes ». Parce que le « grand » (grand homme, grand genre, grande oeuvre, grande Histoire) y est un présupposé tout autant qu'une intention esthétique et politique qui détermine des choix, des omissions et des exclusions dans la recherche documentaire.Un des intérêts de l'exposition est d'avoir déplacé l'origine du point de vue sur les productions des artistes femmes. Les livrets des salons (avec les commentaires des oeuvres, les noms des exposant-e-s), les articles de la presse en pleine expansion à cette époque, les oeuvres elles-mêmes (par qui ont elles été commandées ? achetées ? etc.), les témoignages contemporains constituent un paysage totalement différent de celui que l'histoire de l'art traditionnelle nous a transmis : il est beaucoup plus complexe, et le sort des artistes femmes y apparaît moins tributaire qu'on a voulu le dire du schéma manichéen opprimées/ oppresseurs, empêchées / favorisés, féminin /masculin. Il s'est donc agi de redonner toute sa place aux témoins et aux acteurs de l'époque dont la parole avait été occultée mais aussi aux oeuvres, à la démarche artistique.Car à ne considérer les oeuvres des artistes femmes qu'à la lumière de leur statut de femme, qu'il s'agisse de démontrer comment elles en pâtirent, comment elles le transgressèrent ou comment elles le revendiquèrent, on ne fait que corroborer et maintenir les présupposés et les valeurs qui ont conduit le modèle historiographique dominant à oublier leur rôle, leur apport et leur place dans l'espace des beaux–arts entre 1780 et 1830 comme dans les importantes mutations que celui-ci enregistre alors — mutations déterminantes pour la seconde moitié du XIXe siècle. L'exposition est aussi un combat contre l'oubli.Extrait du catalogue de l'exposition aux éditions de la Rmn – Grand Palais, Paris 2021 – introduction générale[…] Quelle histoire se raconte donc entre les murs du Musée du Luxembourg, entre ces deux limites temporelles des années 1780 et 1830 ? La naissance d'un combat. Celui des peintres femmes. Certaines sont connues. Louise-Élisabeth Vigée Le Brun, qui fit l'objet d'une grande exposition monographique au Grand Palais en 2015, sa contemporaine Adélaïde Labille-Guiard, admise elle aussi le 31 mai 1783 à l'Académie royale de peinture et dont le monumental Autoportrait avec deux élèves, Marie-Gabrielle Capet et Marie-Marguerite Carreaux de Rosemond, fut également présenté sur les cimaises du Grand Palais en 2015. Marie-Guillemine Benoist et son iconique Portrait d'une femme noire – présenté au Salon de 1800 comme Portrait d'une négresse et, au printemps 2019, comme Portrait de Madeleine à l'exposition « Le modèle noir de Géricault à Matisse », au musée d'Orsay. Enfin Marguerite Gérard, que le musée Cognacq-Jay à l'automne 2009 a révélée à un public élargi. Mais si l'on excepte ces quelques rares figures, la majorité des peintres réunies au Musée du Luxembourg sont méconnues voire inconnues du grand public. Ce sont plus de trente-cinq autres noms auxquels cette exposition aspire à redonner une place dans notre mémoire artistique.Car il s'agit bien de la redonner : en effet, nombre d'entre elles jouissaient alors d'un succès et d'une reconnaissance publique et institutionnelle qui contredit l'invisibilité et la minorité dont l'histoire de l'art les a frappées jusqu'à une période récente. La vogue de l'éducation artistique et des arts d'agrément qui saisit dans les années 1780 tant la haute société que la classe moyenne, l'accroissement corrélatif des amateurs dont le cercle s'élargit notoirement à la bourgeoisie, l'ouverture d'ateliers « de demoiselles » par des artistes mâles de premier plan – Jean-Baptiste Greuze, Jacques-Louis David, Joseph-Benoît Suvée, Jean-Baptiste Regnault, François Gérard, Léon Cogniet, etc. –, les mutations qu'enregistrent les structures du monde de l'art, avec notamment la création du statut d'artiste libre en 1777 (émancipé des contraintes tant de la corporation que de l'Académie royale), et celle du Salon Libre en 1791 qui érige Paris au centre de l'Europe artistique, mais aussi, plus largement, un système capitaliste qui, en s'imposant, s'avère être, sans avoir à le revendiquer, un facteur de transformation des mentalités et des comportements d'autant plus puissant qu'il semble ne relever que de la seule sphère économique : entre les dernières décennies du XVIIIe siècle et la monarchie de Juillet, ces conditions ont concouru à l'émergence de peintres femmes professionnelles et à ce que leur nombre atteigne une proportion digne d'être considérée en regard de celle de leurs homologues masculins. […]par Martine Lacas, commissaire de l'exposition Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:32:03 - L'Invité(e) culture - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Alors que le Grand Palais s'apprête à fermer ses portes pour rénovation et invite à cette occasion le chorégraphe Boris Charmatz pour une dernière performance, événement dont France Culture est partenaire, le directeur de la Réunion des Musées Nationaux-Grand-Palais, Chris Dercon. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Chris Dercon Président RMN - Grand Palais
durée : 00:32:03 - L'Invité(e) culture - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Alors que le Grand Palais s'apprête à fermer ses portes pour rénovation et invite à cette occasion le chorégraphe Boris Charmatz pour une dernière performance, événement dont France Culture est partenaire, le directeur de la Réunion des Musées Nationaux-Grand-Palais, Chris Dercon. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Chris Dercon Président RMN - Grand Palais
durée : 01:59:20 - Les Matins du samedi - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Le directeur du Grand-Palais Chris Dercon, à quelques jours de la fermeture, pour rénovation, de l'institution // Alors que Trump achève son mandat dans un climat chaotique, l'essayiste et ancien conseiller politique de Matteo Renzi, Giuliano de Empoli, auteur des "Ingénieurs du chaos" (JC Lattès) - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Chris Dercon Président RMN - Grand Palais; Giuliano Da Empoli essayiste et ancien conseiller politique de Matteo Renzi.
durée : 00:32:03 - L'Invité(e) culture - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Alors que le Grand Palais s'apprête à fermer ses portes pour rénovation et invite à cette occasion le chorégraphe Boris Charmatz pour une dernière performance, événement dont France Culture est partenaire, le directeur de la Réunion des Musées Nationaux-Grand-Palais, Chris Dercon. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Chris Dercon Président RMN - Grand Palais
Partage“Figure d'artiste“au Louvre, la Petite Galerie, Parisdu 25 septembre 2019 au 29 juin 2020Musée du Louvre.frPetite Galerie Louvre.frPODCAST – Interview de Chantal Quillet, agrégée de lettres classiques et co-commissaire de l'expositionpar Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 23 septembre 2019, durée 9'46. © FranceFineArt.son à insérer (click sur remplacer et changer à partir d'un url)©Anne-Fréderique Fer, vernissage, le 23 septembre 2019.Élisabeth Louise Vigée Le Brun, Madame Vigée Le Brun et sa fille, 1786.H huile sur bois, 1,32 x 1,12 m. Paris, musée du Louvre, département des Peintures, INV 3069. © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Franck Raux. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Embarquez pour un voyage autour de la lune fantasmée avec le premier podcast natif de la Rmn-Grand Palais, à l'occasion de l'exposition "La Lune" (Grand Palais / 3 avril - 22 juillet 2019) ! 5 épisodes pour traverser 5 siècles allant de l’invention de l’astronomie au projet chinois de création d’une deuxième Lune pour illuminer la terre.
Hergé avec un grand A (28 septembre 2016) Conférence par Cécile Maisonneuve, historienne de l’art, conseillère scientifique à la Rmn-Grand Palais, et Jérôme Neutres, directeur de la stratégie et du développement à la RMN-Grand Palais En faisant entrer Hergé au panthéon des artistes, l’exposition du Grand Palais célèbre un grand créateur du XXe siècle, pionnier de la bande dessinée européenne. Elle met en lumière l’excellence graphique de son œuvre et invite à explorer plus avant les rapports qu’il entretient avec les autres arts visuels. L’intérêt qu’Hergé portait lui-même à l’art contemporain, parfois le plus avant-gardiste, invite à analyser son style et ses dessins à la lumière de ses propres appétences artistiques.
Série, ciné, BD…à fiction moderne, héros moderne ? Avec Anne Besson, professeure de littérature comparée, Olivier Fournout, chercheur à l’Institut Interdisciplinaire de l’Innovation, Pierre-Elie de Pibrac, photographe et Aurélien Lemant, auteur (Vies et morts des super-héros, aux Puf). Les fictions actuelles mettent-elles en scène des héros d’un nouveau genre, ou, au contraire, réactivent-elles inlassablement d’ancestrales figures héroïques ? Les supports, eux, se diversifient à n’en pas douter, exprimant des particularités du monde contemporain. Mais peut-on en dire autant des protagonistes y évoluent de série en bd ? Le héros est-il un type universel défiant les lois de l’espace et du temps ou incarne-t-il les traits de son époque ? A fiction moderne, héros moderne ? En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Avons-nous tous une âme de héros ? Avec Fabienne Brugère, philosophe, Jean-Manuel Roubineau, historien, auteur aux Puf de Milon de Crotone ou l’invention du sport, Alex Nikolavitch, scénariste et traducteur de bande dessinée et Gabriel Plus, pompier de Paris et porte-parole et chef du bureau communication de la BSPP. Le vrai héros, loin des représentations imaginaires qui le campent tantôt en Superman tantôt en Hercule, ne s’incarne-t-il pas dans un quotidien dépourvu d’éclat ? N’est-ce pas à travers le don de soi, la conscience du collectif ou encore l’aide aux plus démunis que s’illustre un héroïsme concret ? Dans une actualité et un contexte social où, plus que jamais, solidarité et soin du prochain seraient de mise, qu’en est-il du citoyen moyen ? Sans artifice ni maquillage, avons-nous tous une âme de héros ? En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Un monde sans frontières : une utopie ? Avec Christian Chavagneux, journaliste économique, Anne-Laure Amilhat-Szary géographe, auteure de Qu’est-ce qu’une frontière aujourd’hui ? (Puf) et Christophe Bertossi, directeur du Centre migrations et citoyennetés à l’Institut français des relations internationales (IFRI). Texte : Effacer les barrières qui se dressent entre les états et les peuples semble être un rêve ancien, voire utopique. Pourtant, il n’a de cesse de se réactualiser au gré des événements et aujourd’hui plus que jamais, la question se pose, s’impose : un monde sans frontières est-il possible ? Alors que les tragédies humaines se multiplient au seuil de nos foyers, peut-on imaginer un monde où les barrières seraient déchues, où les frontières seraient abolies pour laisser individus et biens circuler librement dans un monde global ? En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Trop nombreux sur terre : rendez-vous sur Mars ? Alors que le compte-à-rebours semble enclenché, les ressources naturelles diminuent et la population mondiale, parait-il, ne cesse de croître. L’impact de la surpopulation sur l’environnement n’est plus à prouver … Une seule solution, la colonisation ? Ce bien ce que le projet Mars One affirme en envoyant bientôt 24 volontaires sur la planète Rouge … Mais l’espace peut-il vraiment nous accueillir ? Les planètes et leurs atmosphères nous sont-elles favorables ? En somme, demain, aurons-nous rendez-vous sur Mars ? Avec Yves Charbit, démographe, auteur aux Puf de La bombe démographique en question, François Forget, planétologue, André Brahic, astrophysicien et Andy Richard, médiateur scientifique dans l’unité d’Astronomie du Palais de la Découverte. En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Le robot est-il l’avenir de l’homme ? Avec Pascal Chabot, philosophe, auteur puf de Chabot le robot, Tristan Cazenave professeur d'intelligence artificielle au LAMSADE à l'université Paris-Dauphine PSL, Pierre-Yves Oudeyer, roboticien et directeur de recherche à l’Inria et Denis Vidal, anthropologue et roboticien. L’intelligence artificielle gagne petit à petit du terrain sur l’échiquier des compétences humaines, et le temps où la supériorité des machines n’était qu’un fantasme post-apocalyptique semble aujourd’hui éculé. Entre excitation et crainte, le cœur balance … Quel avenir nous promettent ces robots qui surpassent désormais nos plus grands cerveaux aux jeux d’échecs ou de go ? Quelles promesses du quotidien portent avec elles ces machines sophistiquées ? En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Ni masculin, ni féminin...êtes-vous du genre neutre ? Avec Clotilde Leguil, psychanalyste et auteur puf (L’être et le genre, homme/femme après Lacan, puf, 2015), Christine Detrez, sociologue, Bérénice Levet, philosophe, et Thierry Hoquet, philosophe. Au jour où le genre neutre s’inscrit dans l’état civil de certains pays, qu’en est-il de la clacissime partition « féminin/masculin » ? Le genre, entre construction sociale et déterminisme biologique, tend-il à disparaitre pour faire place à un individu aux contours incertains ? Le queer est-il l’avenir de l’Homme ? Choisir son genre va-t-il devenir banal ? En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Quel avenir pour les MOOC culturels ? Table ronde modérée par Christine Vaufrey : directrice de CVDL / MOOC et Cie, coordinatrice pédagogique des MOOC Picasso et Louis XIV à Versailles. Intervenants : Armelle Pasco : Directrice des Partenariats Culturels d’Orange Christine Pinault : responsable des autorisations à l’administration Picasso Mélanie Bourdaa, enseignante à Bordeaux III qui travaille sur le "transmedia storytelling" et la culture populaire Roei Amit : Directeur adjoint, en charge du numérique à la RMN Grand Palais À partir de l’expérience tiré des « MOOC impressionnistes », « MOOC Picasso » et autres, comment la matière culturelle s’inscrit dans cette nouvelle forme d’apprentissage en ligne ? Quelles en sont les perspectives et enjeux concernant les nouveaux publics ? Quels acteurs institutionnels ou privés peuvent s’inscrire dans cette démarche ?
Picasso est-il le dernier génie artistique ? Avec Natalie Heinich, sociologue, chercheur au CNRS, Yves Hersant, historien, directeur d’études émérite à l’EHESS, Laurence Devillairs, normalienne, philosophe, et Didier Ottinger, directeur adjoint du Musée national d’Art moderne et commissaire de l’exposition Picasso.Mania. Si le génie a besoin de temps pour être reconnu comme tel, ne peut-on pour autant pas se douter que ceux du XXIe siècle seront plus versés dans l’informatique, la robotique ou la technique, que dans les Beaux-Arts ? La valeur du génie varie-t-elle avec les époques et ses codes ? La Renaissance proclame-t-elle le même génie que le siècle romantique ? Picasso, figure fascinante du XXe siècle, incarne-t-il le dernier génie artistique ? En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Nos enfants sont-ils tous des génies ? Avec Gabriel Wahl, pédopsychiatre, Les enfants intellectuellement précoces, paru aux Puf, Olivier Renet, Grand Maître international d'Echecs, Caroline Goldman, psychologue pour enfants, docteur en psychologie clinique et psychopathologie et Jean-Pol Tassin, neurobiologiste. Nos petits chérubins sont-ils tous des perles de créativité et d’intelligence que nous bridons à force de carcans moraux et sociétaux ? L’enfance, par la liberté et la spontanéité qui la caractérisent, est-elle le lieu du génie ? Pourquoi tant de parents se trouvent-ils démunis face à des enfants dont l’intelligence les dépasse ? Et qu’en est-il de ces enfants dits surdoués, qui peinent à s’adapter tant ils oscillent entre grandes capacités et comportements hors-normes ? En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
À quoi reconnaît-on un génie ? À chaque époque ses génies, admirés et reconnus de tous : qu’ils versent dans les sciences, la poésie ou les échecs, ils imposent par leur fulgurance un respect universel. Mais le terme est galvaudé, équivoque, presque flou. Le génie possède-t-il des caractéristiques bien précises qui permettent de le discerner entre tous, voire de le distinguer avant que son éclair ne surgisse au grand jour ? Le génie se développe-t-il ou, au contraire, est-il inscrit dans un déterminisme généalogique ? Alors, finalement, à quoi reconnait-on un génie ? Avec Nicolas Gauvrit, mathématicien, auteur des Surdoués Ordinaires, paru aux Puf, François Laroque, professeur émérite de littérature anglaise, Etienne Klein, philosophe des sciences et physicien et Henriette Chardak, écrivain, journaliste et réalisatrice. En partenariat avec les Puf, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
L’art, est-ce l’œuvre originale ? L’art, est-ce l’œuvre originale ? La peinture a représenté la nature, la sérigraphie a dupliqué, la photographie répliqué, et la reproduction n’est plus persona non grata dans le monde de l’art …Seul le réel peut-il se vanter d’être « original », le reste n’est-il qu’imitation ? Qu’en est-il au jour de la numérisation des œuvres classiques ? Quelles dimensions la question revêt-elle alors qu’il devient usuel d’assister à une exposition projetée, ou encore mise en ligne ? Avec Annie Cohen Solal, historienne (La valeur de l'art contemporain, à paraitre aux PUF le 17/02/2016), Isabelle Reusa, responsable du projet Images d’art, Jean-Marie Schaeffer, philosophe, et Ganfranco Iannuzzi, artiste numérique. En partenariat avec les Presses universitaires de France, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Peut-on tout apprendre en ligne ? Internet semble offrir à ses utilisateurs un champ des possibles sans fin et sans limites. L’ailleurs est dans l’écran, le savoir à portée de clic, les cours se font en ligne … Mais peut-on se fier absolument à cette nouvelle manière d’apprendre, à ces enseignements dématérialisés ? Le changement de support se fait-il au détriment de la qualité didactique, ou, au contraire, peut-on tout apprendre en ligne ? Avec Dominique Moulon, fondateur du site MediaArtDesign.net, Milad Doueihi, historien des religions et numéricien, Christine Vaufrey, fondatrice et directrice de CVDL – MOOC et Cie et Olivier Rollot, spécialiste de l’éducation. En partenariat avec les Presses universitaires de France, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Existe-t-il un art numérique ? Qu’est-ce que l’art numérique ? Dans quelles mesures existe-t-il ? Il surprend, tant il côtoie l’immatériel, et il semble par la même rétif à toute définition. Pourtant, imprévisible, il s’incarne parfois dans des objets tout aussi concrets, physiques que des vases ou des fleurs produites par des imprimantes 3D. L’éloignement, tantôt du réel, tantôt de la matière, que produit le médium numérique, n’exclut-il pas cette pratique du champ artistique ? Au contraire, l’art numérique vient-il grandir l’horizon de l’art tel que nous le connaissons aujourd’hui ? Avec Gilles Alvarez, fondateur de la biennale d’art numérique Némo, Félicie d’Estienne d’Orves, artiste numérique, Marina Wainer, directeur artistique des soirées *di*/zaïn, un événement consacré à la création numérique organisé par *designers interactifs*et Nils Aziosmanoff, directeur du Cube, centre de création numérique. Débat modéré par Arnaud Laporte, animateur sur France Culture. En partenariat avec les Presses universitaires de France, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Comment enseigner l’histoire de France aujourd’hui ? Dans un monde globalisé où l’échelle nationale perd peu à peu de sa suprématie, comment enseigner l’histoire de France aujourd’hui ? Quand certains crient à l’écriture d’un roman national, d’autres pleurent la restructuration des programmes qui ne laissent pas suffisamment de place à l’Histoire franco-française … Quand il s’agit de passer le témoin d’une identité nationale qui n’a de cesse d’être questionnée, les avis divergent … Comment se positionner au sein d’un débat dont la flamme se ravive régulièrement ? Quelle attitude adopter face aux nouvelles générations, qui, issues de cultures variées, partagent les bancs d’une seule et même école républicaine ? Ludivine Bantigny, historienne. Ludivine Bantigny est historienne, maître de conférences à l’université de Rouen. Ses recherches portent sur les engagements politiques et la conscience historique au XXe siècle, et son travail en cours sur les « années 1968 ». Thibault Leroy, professeur. Thibault Leroy est un jeune professeur. Il enseigne au lycée Adolphe Chérioux à Vitry-sur-Seine pour sa deuxième année dans le secondaire, après avoir enseigné deux ans à l’Université Paris 1. Il cherche à pratiquer une pédagogie alternative en classe, dans le secondaire et dans le supérieur. Laurence De Cock, professeure. Laurence De Cock est professeure agrégée d’histoire-géographie en lycée à Paris et chargée de cours en didactique de l'histoire à l'université Paris-Diderot. Enseignante associée à l’IFE, elle est l’auteure d’articles sur l’enseignement de l’histoire et chercheuse en sciences de l’éducation. Shakila Zamboulingame, professeure. Shakila Zamboulingame est professeur d'histoire-géographie au lycée Eugène Delacroix de Drancy et prépare une thèse d'histoire de la photographie à l'Université Paris 3. En partenariat avec les Presses universitaires de France, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Histoire et fiction : accords et désaccords ? À l’occasion de la sortie aux PUF du Dictionnaire de l’Historien, les Lundis du Grand Palais questionnent les frontières, aussi poreuses soient-elles, entre la grande et la petite Histoire … L’Histoire et la fiction bien souvent se font face, s’épaulent ou se confrontent. La première tend à une vision objective et scientifique, tandis que la deuxième use de l’imaginaire pour retisser les faits, pour recréer les époques. Deux approches d’un même passé peuvent-elles s’enrichir ou au contraire s’excluent-elles l’une l’autre ? L’Histoire et la fiction peuvent-elles trouver un terrain d’entente ou sont-elles condamnées à s’abjurer ? Avec Philippe Artières, historien, Cécile Berly, historienne, Virginie Girod, historienne, Alexandra de Broca, auteure, productrice et scénariste. Débat modéré par Arnaud Laporte, animateur sur France Culture. En partenariat avec les Presses universitaires de France, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Quelles leçons tirons-nous de l’Histoire ? Jusqu’à l’orée du XXe siècle, la confiance en un progrès constant de l’Histoire domine : les sciences résolvent, l’industrie innove, et l’humanité pense tendre à son perfectionnement … Et pourtant, la Première Guerre survient, la Seconde la talonne, puis de nouvelles les remplacent … Pourtant le XXIe siècle est agité de conflits aux échos affolants … Une question dérangeante s’impose alors : quelles leçons tirons-nous de l’Histoire ? Est-ce le propre de l’Homme, ou de l’Histoire elle-même, d’effectuer un perpétuel retour sur ses erreurs, ses bévues, ses exactions ? Pouvons-nous aujourd’hui nous livrer à l’optimisme souriant de nos prédécesseurs, ou, au contraire, ne pouvons-nous que craindre de sombres répétitions ? Participants : Gilles Vervisch, philosophe. Né en 1974, Gilles Vervisch est agrégé de philosophie. A côté de son enseignement dans un lycée de la région parisienne, il anime une chronique philo sur le Mouv, à Radio France. Sara Daniel, journaliste. Grand Reporter au Nouvel Observateur, elle crée en 2008 une maison d’édition de livres de Géopolitique : les Editions DELAVILLA. Claude Gauvard, Professeur émérite à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Madame Claude Gauvard est professeure émérite d’Histoire du Moyen Age à l’Université Paris Panthéon-Sorbonne. Jean-François Sirinelli, Historien, Professeur des universités à l’institut d’études politiques de Paris. Jean-François Sirinelli est un historien français spécialiste de l’histoire politique et culturelle de la France au XXe siècle. En partenariat avec les Presses universitaires de France, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité culturelle du lieu ou portant sur des sujets de société.
Cycle Amour 2.0 Applis, réseaux sociaux : embrassez qui vous voudrez ! Hyper-communicants et ultra-connectés, nous invitons désormais Internet à gérer notre vie sociale. Mais notre identité numérique est-elle très différente de notre personnalité dans la vie réelle ? L’outil web change-t-il vraiment notre façon de vivre une relation ? Les applications de dating et les sites de rencontre sont-ils un refuge pour les timides et les désespérés, un oasis pour les aventuriers ou simplement la solution de demain ? Et qu'attendons-nous de ce nouveau type de rencontres : un coup de foudre ou un choix rationnel ? S’ouvrir sur le monde ou faire la connaissance de son voisin ? Passez, likez, charmez…embrassez qui vous voudrez ! Avec Fabienne Kraemer, psychanalyste et auteur aux PUF de l’ouvrage Solo no solo, Maroussia Dubreuil, réalisatrice du documentaire « Rencontres », Nina Boutléroff, journaliste chez Stylist, et Didier Rappaport, fondateur de l’application Happn. En partenariat avec les Presses universitaires de France et le soutien de l’Express, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister le lundi de 18h30 à 20h à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité ou portant sur des sujets de société.
Organiser cette grande exposition consacrée à Hokusai s’est avéré un véritable défi pour chacun des membres de l’équipe mobilisée autour du projet. De l’idée d’une monographie parisienne jusqu’à son ouverture au public, plusieurs années se sont écoulées, riches d’échanges entre la France et le Japon, de problèmes à résoudre et d’informations à partager. Avec pour seul objectif de donner à voir au public du Grand Palais l’artiste dans toute sa richesse et sa complexité. Conférence par Laure Dalon, conservateur, adjointe du directeur scientifique de la Rmn-Grand Palais et commissaire de l’exposition
Organiser cette grande exposition consacrée à Hokusai s'est avéré un véritable défi pour chacun des membres de l'équipe mobilisée autour du projet. De l'idée d'une monographie parisienne jusqu'à son ouverture au public, plusieurs années se sont écoulées, riches d'échanges entre la France et le Japon, de problèmes à résoudre et d'informations à partager. Avec pour seul objectif de donner à voir au public du Grand Palais l'artiste dans toute sa richesse et sa complexité. Conférence par Laure Dalon, conservateur, adjointe du directeur scientifique de la Rmn-Grand Palais et commissaire de l'exposition.
En partenariat avec les Presses universitaires de France et le soutien de l'Express, la Rmn-Grand Palais vous propose d'assister tous les lundis à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d'opinions et d'analyses, en écho avec l'actualité ou portant sur des sujets de société. Avec Solange Bied-Charreton, écrivain, Monique Dagnaud, sociologue au CNRS à l'Institut Marcel Mauss, Sébastien Dupont, psychologue et Maître de conférences associé à l'Université de Strasbourg, et Olivier Rollot, journaliste spécialisé dans l'enseignement supérieur, auteur de La Génération Y (PUF, 2012). Modérateur Arnaud Laporte, animateur-producteur à France Culture.
En partenariat avec les Presses universitaires de France et le soutien de l’Express, la Rmn-Grand Palais vous propose d’assister tous les lundis à des débats animés par Arnaud Laporte : des confrontations stimulantes d’opinions et d’analyses, en écho avec l’actualité ou portant sur des sujets de société. Avec Solange Bied-Charreton, écrivain, Monique Dagnaud, sociologue au CNRS à l’Institut Marcel Mauss, Sébastien Dupont, psychologue et Maître de conférences associé à l’Université de Strasbourg, et Olivier Rollot, journaliste spécialisé dans l’enseignement supérieur, auteur de La Génération Y (PUF, 2012). Modérateur Arnaud Laporte, animateur-producteur à France Culture.