Podcast appearances and mentions of boris charmatz

  • 40PODCASTS
  • 72EPISODES
  • 33mAVG DURATION
  • 1MONTHLY NEW EPISODE
  • Feb 6, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about boris charmatz

Latest podcast episodes about boris charmatz

SBS French - SBS en français
Boris Charmatz nous presente "Club Amour" au festival d'Adélaïde

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Feb 6, 2025 11:52


Boris Charmatz présente "Club Amour", un spectacle immersif explorant le désir et les relations humaines à travers la danse, avec des œuvres emblématiques de Pina Bausch, dont "Café Muller", au festival d'Adélaïde.

TOUS DANSEURS
#241. Boris Charmatz, danseur et chorégraphe. Terrain BC et Tanztheater Wuppertal

TOUS DANSEURS

Play Episode Listen Later Nov 13, 2024 34:58


Aujourd'hui, je reçois Boris Charmatz, danseur et chorégraphe aux 10 000 vies de danse, figure de la danse contemporaine.A la tête du Tanztheater Wuppertal depuis 2022, il y bâtit avec Terrain - sa compagnie - un projet qui mêle l'héritage de Pina Bausch à la nouvelle création.Il aime convoquer la danse dans des espaces urbains atypiques, la partager dans des formes participatives ; un art qu'il ne cesse de penser et d'expérimenter pour toujours mieux le réinventer.On le retrouve dans « Emmitouflé » au CND le 7 décembre.On l'écoute avec joie.

TOUS DANSEURS
#238. Solène Wachter, performeuse, danseuse et chorégraphe

TOUS DANSEURS

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 38:29


Aujourd'hui, je reçois Solène Wachter, performeuse, danseuse et chorégraphe, artiste associée à la Ménagerie de Verre. Formée au Conservatoire de Paris et à P.A.R.T.S, elle est une interprète incandescente pour des chorégraphes de différents univers, comme Boris Charmatz depuis 2017, mais aussi autrice de la danse avec un solo dans lequel elle s'illustre depuis 2022 : For You / Not For You. Elle raconte son approche de la composition en danse, la question du public - cruciale, et l'envie d'utiliser le corps dans son entièreté pour la création. On l'écoute avec joie,

TOUS DANSEURS
#236. Dimitri Chamblas, danseur, chorégraphe, enseignant. Takemehome

TOUS DANSEURS

Play Episode Listen Later Sep 11, 2024 54:54


Aujourd'hui, je reçois Dimitri Chamblas, danseur, chorégraphe, enseignant et directeur artistique. A Los Angeles, il est directeur de la danse à l'université de CalARTS. En France, il a son studio de création.  Il a choisi la danse comme véhicule de vie.   Il aime être ailleurs pour penser et créer différemment, en prenant le soin de s'entourer de ceux qu'il aime, notamment Kim Gordon, Boris Charmatz et Benjamin Millepied.  Takemehome, sa dernière pièce, revient en France : Du 18 au 21 septembre à Chaillot, notamment dans le cadre d'un Chaillot Expérience orchestré par Dimitri Le 24 septembre à Lux à Valence Les 27 et 28 septembre à la Maison de la Danse à Lyon On l'écoute avec joie,

Théâtre et compagnie
Scène imaginaire de Boris Charmatz

Théâtre et compagnie

Play Episode Listen Later Sep 1, 2024 116:48


durée : 01:56:48 - Scène imaginaire de Boris Charmatz - La série des "Scènes imaginaires" est consacrée à des metteurs en scène auxquels nous demandons de choisir et partager avec nous les œuvres qui ont fondé et jalonné leur vie d'artiste. Pour la première fois, nous invitons un danseur et chorégraphe, Boris Charmatz. Sur scène, Boris Charmatz invitera des comédiennes et des comédiens à interpréter des textes qui lui sont essentiels : Tim Etchells, Christophe Tarkos, Tatsumi Hijikata, Laura Vasquez, Patrick Boucheron, Italo Calvino, Valeska Gert, Hervé Guibert… Boris Charmatz nous dira comment ces œuvres ont façonné son imaginaire et son esthétique, comment il dialogue secrètement avec elles, quelle connaissance intime il en a aujourd'hui et de quelle manière ces textes ont contribué à constituer son imaginaire et sa pratique de danseur et de chorégraphe. ?Arnaud Laporte et Blandine Masson

Théâtre
Scène imaginaire de Boris Charmatz

Théâtre

Play Episode Listen Later Sep 1, 2024 116:48


durée : 01:56:48 - Scène imaginaire de Boris Charmatz - La série des "Scènes imaginaires" est consacrée à des metteurs en scène auxquels nous demandons de choisir et partager avec nous les œuvres qui ont fondé et jalonné leur vie d'artiste. Pour la première fois, nous invitons un danseur et chorégraphe, Boris Charmatz. Sur scène, Boris Charmatz invitera des comédiennes et des comédiens à interpréter des textes qui lui sont essentiels : Tim Etchells, Christophe Tarkos, Tatsumi Hijikata, Laura Vasquez, Patrick Boucheron, Italo Calvino, Valeska Gert, Hervé Guibert… Boris Charmatz nous dira comment ces œuvres ont façonné son imaginaire et son esthétique, comment il dialogue secrètement avec elles, quelle connaissance intime il en a aujourd'hui et de quelle manière ces textes ont contribué à constituer son imaginaire et sa pratique de danseur et de chorégraphe. ?Arnaud Laporte et Blandine Masson

Le Beau Bizarre par Zineb Soulaimani
Hors série : Boris Charmatz au Festival d'Avignon 2/2

Le Beau Bizarre par Zineb Soulaimani

Play Episode Listen Later Aug 26, 2024 22:39


Dans ce Hors Série, Boris Charmatz présente son projet "Forever", dans le cadre de la matinale du Festival d'Avignon. Rendez-vous régulier du Café des idées avec les artistes qui font l'actualité du Festival au micro de Zineb Soulaimani. Suivez nous sur les réseaux, abonnez vous sur les plateformes d'écoute ! Facebook Linkedin Instagram

Les matins
Festival d'Avignon : Boris Charmatz tutoie la grâce et offre un hommage à la hauteur de Pina Bausch

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 16, 2024 4:49


durée : 00:04:49 - Le Son d'Avignon - par : Marie Sorbier - Boris Charmatz, artiste complice de cette édition 2024, invite les festivaliers à une expérience de transmission et nous offre la plus belle émotion esthétique de cette programmation. - invités : Nazareth Panadero Danseuse

Encore!
Avignon's 78th Theatre Festival: Performing arts, politics and productions en Español

Encore!

Play Episode Listen Later Jul 11, 2024 12:43


As the dramatic arts fill the streets of Avignon, Arts 24 relocates to the southern city for a special edition. Olivia Salazar-Winspear takes us through the highlights of the annual event, which artistic director Tiago Rodrigues has called the festival of “resistance”. With Spanish as the selected language this year, artists from Peru, Chile, Spain and Uruguay are staging their work in historical sites, cultural venues and all sorts of outdoor spaces in Avignon. Argentinian director Lola Arias talks to us about her latest piece of documentary theatre “Los Dias Afuera”, which explores the experience of women adapting to life outside of prison after serving sentences. We also check out Boris Charmatz's joyful dance workshop “Cercles”, which invites amateurs and professionals to create a live artistic happening.

Cultura
Festival de Avignon destaca teatro de resistência e lança evento contra extrema direita na França

Cultura

Play Episode Listen Later Jul 5, 2024 5:48


Cerca de 1.700 espetáculos. Um total de 25 mil apresentações, em 150 teatros e espaços cênicos. 1320 companhias de teatro, sendo cerca de 160 delas estrangeiras e cerca de 115 mil espectadores na mostra oficial, e mais de 2 milhões de ingressos vendidos no OFF. O Festival de Avignon, dirigido pelo português Tiago Rodrigues, abriu as portas no último dia 29 de junho, mantendo o foco no engajamento político com uma incrível pluralidade de vozes teatrais, no maior evento de artes cênicas do mundo. Marcia Bechara, enviada especial da RFI a AvignonQuem abriu o baile em 2024 na prestigiosa Cour d'Honneur do Palacio do Papas, vitrine principal do Festival de Avignon, foi a encenadora espanhola Angélica Liddell, com Dämon, peça que homenageia Ingmar Bergman, trazendo toda a fúria do verbo da espanhola, um verdadeiro convite à rebelião. "Descobri Bergman ainda muito jovem na televisão pública espanhola, numa época em que esse tipo de mídia pública ainda era interessante na Espanha, eu devo meu imaginário e minha educação estética a ele e a outros cineastas, e desde pequena percebi que Bergman tinha conseguido colocar palavras para nomear meus sentimentos, e isso me nutriu espiritualmente e esteticamente", contou a performer espanhola, uma veterana do festival."Para mim, este testamento de Bergman sobre como deveria ser seu funeral é seu último grande ato estético. Toda rebelião passa pela estética, e não pela mensagem. Efetivamente, essa descrição de Bergman de seu funeral é sua última grande obra, uma escolha estética formidável, e que nos coloca em contato com o grande demônio da vaidade", detalha a diretora, uma provocadora por excelência."Arte é coisa de artistas"Um dos alvos de Angélica Liddell na peça é, assim como Ingmar Bergman, os críticos. "Compartilho com ele esse ódio aos críticos. Minha obra é uma bofetada, que não posso dar fisicamente porque me denunciariam. Mas eu gostaria de confrontar toda essa gente que me insultou banal e impunemente, cara a cara, e dar-lhes uma bofetada. A arte é coisa de artistas, os críticos são arcaicos e chegam a ser, em determinado momento, uma coisa daninha para a arte", disparou Lidell.O coreógrafo francês Boris Charmatz, hoje à frente da companhia de Pina Bausch, na Alemanha, falou sua participação como artista-cúmplice da edição 2024 do Festival de Avignon. "Essa cumplicidade está ligada a esta direção do festival de Tiago Rodrigues e sua equipe, e nasceu no momento em que Tiago se mudava para Avignon, enquanto cidadão português, convidado a assumir um posto importante na França, e eu chegava a Wuppertal, na Alemanha", declarou."Não se trata de um exílio, mas de se juntar a instituições muito vivas, mas, ao mesmo tempo, cheias de histórias, lendas e mitos. Essa cumplicidade nasceu então desse entrelaçamento entre passado, presente e futuro, uma vez que estamos aqui para inventar, improvisar e talvez desenhar caminhos de esperança nestas narrativas de fim do mundo que nos angustiam a todos", disse Charmatz, que apresentou Cercles, com foco no "círculo", um formato cênico que sempre assombrou a memória da dança, seja ela tradicional ou moderna, clássica ou contemporânea. Já o diretor do festival, Tiago Rodrigues, explicou a escolha de revisitar uma tragédia de Eurípides em Hécuba, não Hécuba, espetáculo que estreou no Festival de Avignon 2024. "Eurípides é o trágico mais progressista, aquele que coloca em questão o divino, transforma o divino em simbólico e responsabiliza os humanos por suas escolhas", diz o diretor."Ele introduz hesitação e uma quase psicologia nos diálogos, e sobretudo continua uma linhagem de Ésquilo e de Sófocles de olhar para o 'outro', seja o estrangeiro, seja a mulher – porque em Atenas, há 2.500 anos, a mulher era o 'outro', e não tinha acesso à tragédia, seja no palco, seja na plateia", sublinhou."O que ele nos propõe é algo fundamental hoje, falando de lei, falando de justiça, de vingança. Hécuba, rainha de Troia, agora transformada em escrava, uma mulher estrangeira, uma troiana, que perdeu a guerra contra os gregos, uma escrava, mais velha, e zangada, quer justiça para seu filho, morto sob a proteção de um suposto aliado", destacou Rodrigues. "Ela é madura, não é aquela heroína trágica jovem como Ifigênia ou Antígona, idealizada", aponta o diretor."Uma mulher ferida que exige justiça, Hécuba também é um símbolo político. Essa dimensão sempre me fascinou e atinge seu clímax em uma peça sobre a aceitação da vulnerabilidade pela sociedade", diz o diretor, na apresentação da peça. "Quando um artista diz Shakespeare ou Molière, ele está reescrevendo ou traduzindo Shakespeare, ou Molière. É um exercício de imaginação. A vida dos artistas de teatro é repleta de experiências. Há uma porosidade entre atores e atrizes, suas vidas e suas interpretações das palavras que interpretam", acredita Rodrigues.Contra a extrema direitaInspirado também por esse pacto euripidiano, o diretor Tiago Rodrigues irrompeu a cena da Carrière de Boulbon, nos arredores de Avignon, depois da estreia de Hécube, pas Hécube, no dia 30 de junho, após ser confirmada a vitória da coligação comandada por Marine Le Pen e Jodan Bardella nas eleições legislativas antecipadas da França, para convocar a coletividade presente a participar do evento La nuit d'Avignon (A noite de Avignon), uma iniciativa cidadã do festival para lutar contra "a ameaça da extrema direita" no país."Fiel a seus valores fundadores, e convencido que outro projeto de sociedade progressista, popular, democrática, republicana, feminista, ecologista e antirracista é desejável, o Festival de Avignon, convocando o público a se unir à Noite de Avignon, deseja encarnar o lugar vital do debate social e político”, diz o texto do evento, que acontecerá a portas abertas e gratuitamente nos dias 4 e 5 de julho no Palácio dos Papas, vitrine principal do festival, com a presença de vários artistas convidados.O Festival de Avignon 2024 fica em cartaz no sul da França até o dia 21 de julho.

Encore!
Highlights from the world's biggest theatre festival

Encore!

Play Episode Listen Later Jul 4, 2024 10:56


Culture reporter Olivia Salazar-Winspear speaks to Eve Jackson about the highlights from the Avignon Theatre Festival in the south of France, including Greek tragedy "Hecuba, not Hecuba" from the event's artistic director Tiago Rodrigues, and French director Boris Charmatz's delightful outdoor style rave "Circles". The directors also comment on the importance of immigration and openness for artistic creation in the current political context in France. Also on the programme, we hear from the all-female metal band Voice of Baceprot, who made history at Glastonbury as the first Indonesian group ever to play at the iconic event.

TOUS DANSEURS
#224. Noé Soulier, chorégraphe et directeur du Cndc. Danse élargie #8 - 15 et 16 juin

TOUS DANSEURS

Play Episode Listen Later Jun 5, 2024 24:22


Aujourd'hui, je reçois Noé Soulier, chorégraphe, directeur du Cndc, le Centre national de danse contemporaine installé à Angers.  Noé est lauréat de la toute première édition de Danse élargie en 2010 avec Petites perceptions.  Cette année, avec le Cndc, il est l'un des partenaires du concours. Il raconte ce que permet une telle manifestation. On l'écoute avec joie, Ce podcast a été imaginé en collaboration avec les équipes de Danse élargie. Danse élargie est un concours chorégraphique, imaginé par Boris Charmatz et le Théâtre de la Ville, qui rassemble tous les 2 ans des artistes du monde entier. Cette année, il revient sur le plateau Sarah Bernhardt.

TOUS DANSEURS
#225. Saïdo Lehlouh, chorégraphe, membre du collectif FAiR-E. Danse élargie #8 - 15 et 16 juin

TOUS DANSEURS

Play Episode Listen Later Jun 5, 2024 16:29


Aujourd'hui, je reçois Saïdo Lehlouh, chorégraphe, membre du collectif FAIR-E, artiste associé au Théâtre de la Ville. Saïdo a participé à Danse élargie à 2 reprises :  2016 avec Facts, co-écrit avec Johanna Faye  2018 avec Apaches Il a été partenaire de l'édition de 2022 avec FAIR-E. Pour lui, le plateau de Danse élargie doit être un espace d'expérimentation, une opportunité pour exister et s'ouvrir au monde. On l'écoute avec joie,  Ce podcast a été imaginé en collaboration avec les équipes de Danse élargie. Danse élargie est un concours chorégraphique, imaginé par Boris Charmatz et le Théâtre de la Ville, qui rassemble tous les 2 ans des artistes du monde entier.

TOUS DANSEURS
#226. Claire Verlet, programmatrice Danse Théâtre de la Ville

TOUS DANSEURS

Play Episode Listen Later Jun 5, 2024 42:41


Aujourd'hui, je reçois Claire Verlet, programmatrice Danse du Théâtre de la Ville de Paris. Elle œuvre pour la visibilité des talents, quelque soit leur style de danse. Elle aime soutenir des voix uniques et faciliter leur éclosion. Elle raconte son métier et Danse élargie, l'un des rendez-vous du Théâtre de la Ville pour rencontrer les artistes de demain.  On l'écoute avec joie, Danse élargie est un concours chorégraphique, imaginé par Boris Charmatz et le Théâtre de la Ville, qui rassemble tous les 2 ans des artistes du monde entier.

Culture en direct
Dimitri Chamblas : "La danse entre dans des territoires très différents"

Culture en direct

Play Episode Listen Later May 16, 2024 57:43


durée : 00:57:43 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Formé à l'école de l'Opéra de Paris, Dimitri Chamblas est très tôt attiré par la danse contemporaine. C'est en tandem avec Boris Charmatz qu'il se lance dans la création. Alors qu'il présente cet été plusieurs pièces en Europe, il fait avec nous le point sur ses envies et ses projets. - invités : Dimitri Chamblas Danseur et chorégraphe

Le Beau Bizarre par Zineb Soulaimani
Le Beau Bizarre #66 avec Emma Bige

Le Beau Bizarre par Zineb Soulaimani

Play Episode Listen Later Apr 26, 2024 83:20


Elle aime la danse d'abord comme un objet d'étude. Elle aime le studio pour y pratiquer la danse improvisation. Jamais, ou rarement, on la verra assise sur une chaise. Elle préfère rouler par terre. Pourtant chaque matin c'est dans les langues qu'elle navigue pour traduire les théoriciennes et les penseuses féministes. Penser avec l'oblique et vivre en oblique est la feuille de route qu'elle s'est donnée, et c'est un plaisir de converser avec elle ! Emma Bigé est mon invitée pour ce 66ème épisode du Beau Bizarre pour parler de son livre “Mouvementements, écopolitiques de la danse”. Avec la précieuse participation de Boris Charmatz, de Yves Citton et de Julie Nioche; et les apports de Steve Paxton, de Teresa Vittucci et d'Audre Lorde. Emma Bigé participera le 7 juillet prochain, à un café complice animé par Boris Charmatz pendant le festival d'Avignon. Le morceau en fin d'épisode est à écouter en entier par ici : https://www.youtube.com/watch?v=HBOMHiBqoWg Suivez nous sur les réseaux, abonnez vous sur les plateformes d'écoute ! Facebook Linkedin Instagram

Musique Emoi
Boris Charmatz : « Le canon musical fait du sur place tout en avançant, ça m'intéresse beaucoup »

Musique Emoi

Play Episode Listen Later Apr 14, 2024 60:08


durée : 01:00:08 - Boris Charmatz, danseur et chorégraphe - par : Priscille Lafitte - Dans sa première création en tant que directeur du Tanztheater Wuppertal, Boris Charmatz malaxe l'une de ses obsessions : la 32e sonate pour piano de Beethoven. Précédemment, il a siffloté Händel sur scène et dansé sur la 2eme partita pour violon de Bach. Comment incorpore-t-il la musique ? - réalisé par : Claire Lagarde

Le Beau Bizarre par Zineb Soulaimani
Le Beau Bizarre #64 : conversation critique avec Belinda Mathieu et Callysta Croizer

Le Beau Bizarre par Zineb Soulaimani

Play Episode Listen Later Apr 10, 2024 63:49


Partant du constat que les espaces critiques se font de plus en plus rares, qui plus en danse, j'ai voulu ouvrir Le Beau Bizarre à un épisode spécial pour expérimenter l'exercice critique, autour de deux projets chorégraphiques et en conviant deux jeunes critiques à mes côtés : Belinda Mathieu et Callysta Croizer. Merci à elles deux d'avoir accepté cette invitation ! De manière généreuse et bénévole je dois le souligner. Belinda Mathieu, est journaliste et critique spécialisée en danse, elle travaille pour plusieurs médias dont Télérama, Mouvement, et Sceneweb. Diplômée de Lettres Modernes de l'Université Paris-Sorbonne, et de journalisme. Titulaire d'une Licence du département danse de l'Université Paris 8, elle poursuit actuellement ce même cursus en Master en alimentant une réflexion sur sa propre pratique et les enjeux des textes critiques dans l'écosystème de la danse contemporaine. Callysta Croizer, termine un master d'histoire transnationale à l'École normale supérieure de Paris. Ses recherches portent sur la formation du Corps de ballet du Théâtre municipal de Rio de Janeiro. Chroniqueuse danse pour Mouvement et Springback Magazine, un média anglophone spécialisé dans la danse contemporaine et initié par Aerowaves; elle fait partie également des critiques théâtre pour Les Échos. Mais aujourd'hui, c'est de la danse dont il sera question avec à notre menu deux spectacles : Extinction room du chorégraphe roumain Sergiu Matis qui porte le sous titre Hopless (sans espoir). La pièce a été présentée récemment au Centre Nationale de la danse dans le cadre du temps fort "recommencer ce monde" dont la curation a été confié à Jérôme Bel et Rebecca Lee. La pièce n'a pas de tournée actuellement mais "Danses non humaines" de Jérôme Bel -qui en présente un extrait- sera à la maison de la danse en décembre 2024, avant des dates à Berlin et Stockholm. 
et Liberté Cathédrale du chorégraphe français Boris Charmatz, présenté actuellement par le Théâtre de la ville. —- Extinction room (salle d'extinction), évoque l'extinction des oiseaux et pour dénoncer leur dramatique diminution, due à la crise climatique et aux bouleversements de la biodiversité, Sergiu Matis a imaginé, une installation sonore multi-directionnelle et immersive. Le public est plongé au cœur d'un paysage musical diffusant les cris, les appels et les chants d'espèces disparues ou menacées. Trois performeurs et performeuses, dont le chorégraphe lui-même, guident les visiteurs par leurs interventions et tentent d'éveiller leurs consciences. Vers le CN D Lien vers la playlist du spectacle Site de Sergiu Matis Liberté Cathédrale de Boris Charmatz, présentée actuellement par le théâtre de la ville au théâtre du Châtelet et jusqu'au 18 avril. Boris Charmatz qui a pris la direction en 2022 du Tanztheater Wuppertal - la compagnie historique de Pina Bausch- signe avec Liberté Cathédrale sa première pièce avec les danseurs de la compagnie, en y invitant une partie de ses danseurs historiques. Il cherche à amener la danse dans des endroits inhabituels : des parkings, des stades…Le lieu dans le titre Liberté Cathédrale fait référence à l'endroit où la pièce fut crée : une église brutaliste près de Wuppertal, en Allemagne; avant d'être donné aux usines Fagor à Lyon en septembre dernier, en ce moment sur une scène augmentée au Théâtre du Châtelet et avant le plein air cet été au festival d'Avignon. Liberté Cathédrale au Théâtre de la Ville , jusqu'au 18 avril 2024 Liberté Cathédrale au Festival d'Avignon, du 5 au 9 juillet 2024 Site de Boris Charmatz Tanztheater Wuppertal Pina Bausch — Grand merci à Bélinda et à Catalysa pour leur temps et leur générosité ! Merci à Quentin Tenaud pour la voix du doublage. Et merci à notre groupe de critiques allié.e.s pour leur soutien ! Suivez nous sur les réseaux, abonnez vous sur les plateformes d'écoute ! Facebook Linkedin Instagram

Convidado
Angélica Liddell vai abrir Festival de Avignon

Convidado

Play Episode Listen Later Apr 5, 2024 7:42


Desvendado o programa da 78°edição do Festival de Avignon, que vai decorrer de 29 de Junho a 21 de Julho. Destaque para o regresso da Comédie-Française ao sudeste de França, com Tiago Rodrigues a apresentar a sua primeira criação depois de ter assumido o cargo de director do Festival, “Hécube, pas Hécube”, numa escrita livre entre realidade e ficção a partir da Hécuba de Eurípides. Foi desvendado esta semana o programa da 78°edição do Festival de Avignon, que vai decorrer de 29 de Junho a 21 de Julho, uma semana mais cedo do habitual devido à realização dos Jogos Olímpicos de Paris.Em 2024, a língua convidada  é o espanhol, com Angélica Liddell a ter honras de abertura. Destaque para o regresso da Comédie-Française ao sudeste de França, com Tiago Rodrigues a apresentar a sua primeira criação depois de ter assumido o cargo de director do Festival, “Hécube, pas Hécube”, numa escrita livre entre realidade e ficção a partir da Hécuba de Eurípides.Este ano, o evento conta com um “artista cúmplice”: o bailarino e coreógrafo francês Boris Charmatz, atualmente director da companhia alemã Tanztheater Wuppertal, a histórica companhia de Pina Bausch.Inês Barahona e Miguel Fragata regressam a Avignon, agora com "Terminal (O estado do mundo)", um espetáculo em torno da crise climática, que questiona se a crise climática não é também uma crise da imaginação.RFI: Porquê o espanhol como língua convidada?Tiago Rodrigues, director do Festival de Avignon: O primeiro critério que nos leva a escolher línguas e convidar línguas é uma forma de olhar o mundo organizado, ligado ou desorganizado por línguas, em vez de o ver dividido por fronteiras e nacionalidades. Há demasiadas instituições, manifestações e organizações no mundo que veem o mundo dividido e separado. A nós interessa-nos ver essa cola que são as línguas carregadas de história, de imaginação e de futuro também. Depois o critério para convidarmos uma língua é que haja uma grande vitalidade, qualidade e diversidade nos países que falam essa língua, no que toca a artes performativas, teatro, dança, performance, circo, música. É o caso da língua espanhola, entre Espanha e América do Sul há uma enorme diversidade e qualidade de criação teatral e coreográfica. Há também, depois, a riqueza patrimonial. Penso, por exemplo, em Cervantes, que vai marcar com o seu Dom Quixote esta edição do Festival de Avignon. Temos encenações em francês de Dom Quixote, o escritor Enrique Vila-Matas que vem falar sobre literatura espanhola e, certamente, também sobre Dom Quixote, que é uma das suas paixões. Temos uma manhã com artistas que vão falar só sobre Dom Quixote e encomendas de novos textos novos de Dom Quixote por autores franceses. Temos também a diversidade e a riqueza contemporânea desta língua, com novos autores como o uruguaio Gabriel Calderón, a dimensão de uma escrita que se impôs radical no teatro europeu, que é a de Angélica Liddell, que abre este festival [com a peça “Dämon, el funeral de Bergman”] na Cour d'honneur du Palais des Papes (Pátio de honra do Palácio dos Papas).É uma escolha radical?É uma escolha radical porque, no tempo em que vivemos, é absolutamente necessário sabermos encontrar equilíbrios numa programação, mas nesses equilíbrios continuarmos de uma forma feroz e intransigente a defender a liberdade artística. Angélica Liddell apresentada no maior palco do Festival de Avignon, um dos maiores palcos do mundo, é também um reconhecimento, obviamente, do seu génio - julgo que é uma das grandes escritoras de espectáculos do nosso tempo - mas, também, uma radical intransigente defesa da liberdade artística e da liberdade de expressão. Há também a polaca Marta Górnicka, com “Mothers. A song for wartime”, com mulheres ucranianas, polacas e bielorrussas, sobre exílio e a guerra. É uma forma de o teatro fazer pensar o mundo de hoje e aquilo que se está efectivamente a passar? Para não se esquecer esta guerra na Ucrânia que pode cair no esquecimento por se prolongar no tempo?Os grandes artistas são sempre criadores que conseguem aliar a sofisticação e a exigência artística a um olhar do mundo que não tenta apagar as injustiças. Marta Górnicka, parece-me - eu acredito - uma grande artista do nosso tempo, relativamente jovem ainda, mas uma polaca que vai marcar, continuar a marcar o teatro europeu. Com este espectáculo ela decidiu regressar à sua Polónia Natal, onde já não vivia há alguns anos e dedicar se a trabalhar com mulheres, na sua maioria no exílio, ucranianas que fugiram à guerra, mas também bielorrússias, polacas e formar um coro que se inspira de canções tradicionais ucranianas e das suas histórias de resistência e de sobrevivência para nos oferecer um espectáculo que tem tanto de difícil, duro - porque nos devolve à realidade da guerra - como de humano e capaz de reconstruir a nossa confiança na humanidade.A Comédie-Française regressa ao festival. Apresenta a sua primeira criação depois de ter assumido o cargo de director do Festival, “Hécube, pas Hécube”, numa escrita livre entre realidade e ficção a partir da Hécuba de Eurípides. É uma escolha arriscada esta de mexer em dois lugares “sacrossantos” da cultura francesa: Avignon e Comédie-Française?O risco é quase o nome do meio do Festival de Avignon. Podia chamar-se Festival de risco de Avignon, porque é um festival de criação e um festival que aposta sempre em criar e acompanhar os artistas quando eles só têm uma ideia. A hipótese de trabalhar com a Comédie-Française nasce de um convite da parte da Comédie-Française, mesmo antes de eu me tornar director do Festival de Avignon. O projecto, aliás, teve que ser adiado porque eu me tornei director do Festival de Avignon. Mas é com um grande prazer, com uma grande honra, obviamente, que faço a minha primeira criação enquanto director do Festival de Avignon, em Avignon, com a Comédie-Française. De alguma forma, é estar a tocar de forma efémera, com toda a humildade, em dois dos grandes símbolos da cultura francesa.Obviamente, para um filho de um exilado político que estava no final dos anos 1960 em França, em Paris, em condições muito precárias, fugido à ditadura, para um sobrinho de pessoas que emigraram de Portugal nos anos 50 e 60 por razões económicas e ainda vivem em França, saber que uma geração depois tenho o privilégio, a sorte de poder estar a dirigir um dos grandes símbolos culturais deste país e estar a trabalhar com outro dos grandes símbolos culturais não só deste país, como da Europa e do mundo, conta qualquer coisa sobre a história das nossas democracias. Eu tenho muita sorte de pertencer a esta geração e não à geração do meu pai. A participar neste festival estarão também Inês Barahona e Miguel Fragata, com o espectáculo "Terminal (O estado do mundo) ". Porquê esta escolha?Miguel Fragata e Inês Barahona são dois grandes artistas do teatro português e esta peça é uma pesquisa feita sobre paisagens desaparecidas, urgência climática, mas também uma crise da imaginação que eles acreditam existir, associada à crise climática. Foi feita entre França e Portugal. Enquanto director do Teatro Nacional D. Maria II, tive a sorte de poder acompanhar, apresentar e apoiar o trabalho da Inês Barahona e do Miguel Fragata e, obviamente, não é o facto de eu ter a nacionalidade portuguesa e dirigir o Festival de Avignon que por uma questão de pudor, impedir que grandes artistas portugueses possam ser visíveis e estar presentes e ser apoiados também pelo Festival de Avignon. Portanto, é o mérito e a qualidade de Inês Barahona e de Miguel Fragata que lhes dão o espaço que eles merecem no Festival de Avignon. 

L'heure bleue
Boris Charmatz : "Le sol fait partie de l'ADN du danseur contemporain"

L'heure bleue

Play Episode Listen Later Apr 4, 2024 51:58


durée : 00:51:58 - Grand Canal - par : Eva Bester - Boris Charmatz est chorégraphe, danseur et directeur de la compagnie allemande Tanztheater Wuppertal, héritière de Pina Bausch. Il est l'invité d'Eva Bester à l'occasion de son nouveau spectacle "Liberté Cathédrale" qui a lieu au théâtre du Châtelet jusqu'au 18 avril.

Vertigo - La 1ere
Crise au Béjart Ballet Lausanne:sʹinspirer de Pina Bausch?

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Feb 5, 2024 5:10


Suite au licenciement de son directeur artistique Gil Roman, et à la nomination par intérim de Julien Favreau, quelle suite pour faire vivre lʹart de Maurice Béjart ? Thierry Sartoretti propose que Lausanne sʹinspire de lʹAllemagne : le chorégraphe contemporain Boris Charmatz y dirige depuis 2022 le Tanztheater Wuppertal, soit lʹhéritage chorégraphique de Pina Bausch auquel il marie ses créations internationalement reconnues.

TOUS DANSEURS
#198. Ashley Chen, danseur aux mille vies et chorégraphe de la compagnie Kashyl. Danse contemporaine

TOUS DANSEURS

Play Episode Listen Later Dec 6, 2023 56:10


Aujourd'hui, je reçois Ashley Chen, danseur interprète aux mille vies et chorégraphe de la compagnie Kashyl. Il a choisi la danse contemporaine. Et c'est à la « source », aux États-Unis et en Europe, auprès des chorégraphes comme Merce Cunningham, Philippe Decouflé, Jonn Scott ou Boris Charmatz qu'il a affirmé son approche du geste. Lauréat de la Villa Albertine - une structure française de résidences et de coopérations artistiques aux USA - il est actuellement à New York pour présenter Unisson, Rush et Distances. En 2024, il dansera dans Nelken de Pina Bausch du Tanztheater. Ce week-end, il est au programme de Chaillot Experience #3 avec un extrait de son film Outside Flow réalisé par Peter Steven. On l'écoute avec joie

Artes
“O corpo é uma catedral” na Bienal de Dança de Lyon

Artes

Play Episode Listen Later Sep 27, 2023 9:15


O espectáculo “Liberté Cathédral” constrói uma arquitectura humana, um edifício que dança e se equilibra em torno de gestos, contacto e sons. Esta é uma catedral que não tem paredes, mas que se ergue com os mais de 20 bailarinos porque “o corpo é uma catedral e liberdade”, resume uma das intérpretes, a brasileira Naomi Brito. A peça foi apresentada na Bienal de Dança de Lyon e é uma criação do Tanztheater Wuppertal Pina Bausch, do seu novo director Boris Charmatz e da companhia Terrain. RFI: Como é que descreve esta peça?Naomi Brito, Bailarina: Esta peça é desafiadora. Muitos desafios, descobertas também. Porque é que o espectáculo se chama “Liberdade Catedral”?Do que eu entendi, para mim, são liberdades humanas dentro de todos esses padrões que a gente vive e, se construirmos coisas, a gente pode dizer que nosso corpo é a nossa catedral e a nossa liberdade.A peça está dividida em várias partes que também constroem o edifício de uma catedral. Primeiro os cânticos, depois os sinos, depois os órgãos, depois os silêncios e a música Fuck de Pain Away de Peaches, antes de tudo parecer desabar para se voltar a reerguer graças ao corpo colectivo. Como é que foi criar todos estes espaços e a evolução entre eles? Como eu disse no começo, foi desafiador. Eu acho que nunca cantei e dancei ao mesmo tempo e aqui a gente teve que aprender a fazer isso. Foi um processo muito desafiador e nasceu isto.Como é que vê o seu papel, a sua partitura nesta peça? Que emoções sentiu e quer partilhar com o público?O que eu senti? Liberdade? Essa desconstrução para construir. Eu senti isso.Aqui a catedral não é, de certa forma, o oposto de liberdade? A expressão da opressão, nomeadamente com o capítulo dos silêncios? Porque estes silêncios têm um peso… O que é que eles significam? [Naomi fica em silêncio] O peso do silêncio. Sentiu? Esse silêncio, na peça, parece remeter para os abusos sexuais na igreja…Isso… [Silêncio]A peça surge depois de termos vivido a pandemia e depois de os corpos terem sido obrigados a confinar-se e a afastar-se uns dos outros. O coreógrafo Boris Charmatz falou na frase bíblica de Cristo para Maria Madalena Noli me tangere [Não me toques], depois da ressurreição… Nesta peça, vocês tocam o público, vocês interagem com o público. É um apelo ao reencontro?Acredito que sim. É. Como é que o público reage? O público ainda está “preso”? É diferente o público a que a gente se apresentou em Wuppertal e o público aqui em França. Porquê? São seres humanos diferentes. Países diferentes também. Outra linguagem também. Tem esse distanciamento porque eu não falo francês. Mas tem esse almejo pelo encontro, tem. Existe.Como é trabalhar na companhia criada por Pina Bausch sem Pina Bausch?Eu acredito que trabalhar na companhia de Pina Bausch ainda tem Pina Bausch.O que subsiste de Pina Bausch? A presença dela ainda está lá. A presença dela…Como é que se transmite essa presença? São os bailarinos que ainda lá estão e que trabalharam com ela? Com certeza, sim. E energia.Esta é a primeira criação de Boris Charmatz para o Tanztheater Wuppertal Pina Bausch, ele que é o novo director artístico da companhia. Como foi trabalhar com ele?Foi bom. Ele desafiou a gente a fazer muita coisa, fez a gente aprender muita coisa. Eu acredito que tem muita aprendizagem e desafios também.O que é que mais aprendeu? O que mais aprendi? Acho que trabalhar colectivamente, tão perto de pessoas, não sei, este colectivo tão junto. Eu acho que eu nunca trabalhei assim antes, com tanta gente, 20 pessoas. Colectividade, aprendi isso. Quando estamos a ver toda a peça, vemos um corpo colectivo, mas sentimos as emoções de cada bailarino individualmente. Como é construir esse corpo colectivo, partindo de cada um? O individual cria o colectivo. Cada um traz a sua história e a gente conta o todo.E como foi o processo de criação da peça? Parece que é tudo muito improvisado, mas está tudo escrito. Sim. A gente tem essa liberdade de construir o que a gente quiser com o nosso corpo, a mensagem que a gente quer passar, mas tem algo escrito que a gente tem que seguir. Por exemplo, seguir os sinos, dançar ao mesmo tempo que a gente está cantando, parar quando tem silêncio, começar de novo quando se canta de novo.Quando tocavam os sinos, a Naomi tinha um gesto repetitivo. Que gesto era esse? De um sino! [Risos] Eu não sei, pensei num relógio bem grande! Durante a sua vida, Pina Bausch quis integrar bailarinos diferentes, com formações diferentes, corpos diferentes. A Naomi é a primeira bailarina transgénero da companhia, que integrou em 2020. O que representa?É babado! [Risos] Não sei se essa palavra existe em Portugal, mas no Brasil a gente fala que é babado.O que é que isso quer dizer? Acho que não consigo traduzir. Significa muito para mim, mas também existe o peso de existir num lugar pela primeira vez, um corpo existir num lugar pela primeira vez. Então, é babado com esse peso de existir num lugar pela primeira vez. A dança pode contribuir para mudar o olhar das pessoas e para integrar corpos que até agora foram invisíveis?Com certeza, com certeza. Eu costumava pensar: se não for no meio da arte, onde é que o meu corpo cabe? Politicamente, mesmo não querendo, também acredito que eu sou um corpo político, mesmo não querendo ser. Mas eu acredito que sim. Com certeza. Ou seja, foi a arte que lhe deu o seu espaço?Sim, com certeza. Acredito que sim, mas eu também dei o meu espaço a mim mesma antes da arte. E para terminarmos, quando é que começou a dançar e o que é que a dança representa para si? Comecei a dançar com seis anos, em Paracuru, uma cidade no Brasil. Agora tenho 26. O que a dança representa para mim é estar viva. Dançar representa a minha vivência, esse meu almejo por continuar estando viva.

Em directo da redacção
“O corpo é uma catedral” na Bienal de Dança de Lyon

Em directo da redacção

Play Episode Listen Later Sep 23, 2023 9:15


O espectáculo “Liberté Cathédral” constrói uma arquitectura humana, um edifício que dança e se equilibra em torno de gestos, contacto e sons. Esta é uma catedral que não tem paredes, mas que se ergue com os mais de 20 bailarinos porque “o corpo é uma catedral e liberdade”, resume uma das intérpretes, a brasileira Naomi Brito. A peça foi apresentada na Bienal de Dança de Lyon e é uma criação do Tanztheater Wuppertal Pina Bausch, do seu novo director Boris Charmatz e da companhia Terrain. RFI: Como é que descreve esta peça?Naomi Brito, Bailarina: Esta peça é desafiadora. Muitos desafios, descobertas também. Porque é que o espectáculo se chama “Liberdade Catedral”?Do que eu entendi, para mim, são liberdades humanas dentro de todos esses padrões que a gente vive e, se construirmos coisas, a gente pode dizer que nosso corpo é a nossa catedral e a nossa liberdade.A peça está dividida em várias partes que também constroem o edifício de uma catedral. Primeiro os cânticos, depois os sinos, depois os órgãos, depois os silêncios e a música Fuck de Pain Away de Peaches, antes de tudo parecer desabar para se voltar a reerguer graças ao corpo colectivo. Como é que foi criar todos estes espaços e a evolução entre eles? Como eu disse no começo, foi desafiador. Eu acho que nunca cantei e dancei ao mesmo tempo e aqui a gente teve que aprender a fazer isso. Foi um processo muito desafiador e nasceu isto.Como é que vê o seu papel, a sua partitura nesta peça? Que emoções sentiu e quer partilhar com o público?O que eu senti? Liberdade? Essa desconstrução para construir. Eu senti isso.Aqui a catedral não é, de certa forma, o oposto de liberdade? A expressão da opressão, nomeadamente com o capítulo dos silêncios? Porque estes silêncios têm um peso… O que é que eles significam? [Naomi fica em silêncio] O peso do silêncio. Sentiu? Esse silêncio, na peça, parece remeter para os abusos sexuais na igreja…Isso… [Silêncio]A peça surge depois de termos vivido a pandemia e depois de os corpos terem sido obrigados a confinar-se e a afastar-se uns dos outros. O coreógrafo Boris Charmatz falou na frase bíblica de Cristo para Maria Madalena Noli me tangere [Não me toques], depois da ressurreição… Nesta peça, vocês tocam o público, vocês interagem com o público. É um apelo ao reencontro?Acredito que sim. É. Como é que o público reage? O público ainda está “preso”? É diferente o público a que a gente se apresentou em Wuppertal e o público aqui em França. Porquê? São seres humanos diferentes. Países diferentes também. Outra linguagem também. Tem esse distanciamento porque eu não falo francês. Mas tem esse almejo pelo encontro, tem. Existe.Como é trabalhar na companhia criada por Pina Bausch sem Pina Bausch?Eu acredito que trabalhar na companhia de Pina Bausch ainda tem Pina Bausch.O que subsiste de Pina Bausch? A presença dela ainda está lá. A presença dela…Como é que se transmite essa presença? São os bailarinos que ainda lá estão e que trabalharam com ela? Com certeza, sim. E energia.Esta é a primeira criação de Boris Charmatz para o Tanztheater Wuppertal Pina Bausch, ele que é o novo director artístico da companhia. Como foi trabalhar com ele?Foi bom. Ele desafiou a gente a fazer muita coisa, fez a gente aprender muita coisa. Eu acredito que tem muita aprendizagem e desafios também.O que é que mais aprendeu? O que mais aprendi? Acho que trabalhar colectivamente, tão perto de pessoas, não sei, este colectivo tão junto. Eu acho que eu nunca trabalhei assim antes, com tanta gente, 20 pessoas. Colectividade, aprendi isso. Quando estamos a ver toda a peça, vemos um corpo colectivo, mas sentimos as emoções de cada bailarino individualmente. Como é construir esse corpo colectivo, partindo de cada um? O individual cria o colectivo. Cada um traz a sua história e a gente conta o todo.E como foi o processo de criação da peça? Parece que é tudo muito improvisado, mas está tudo escrito. Sim. A gente tem essa liberdade de construir o que a gente quiser com o nosso corpo, a mensagem que a gente quer passar, mas tem algo escrito que a gente tem que seguir. Por exemplo, seguir os sinos, dançar ao mesmo tempo que a gente está cantando, parar quando tem silêncio, começar de novo quando se canta de novo.Quando tocavam os sinos, a Naomi tinha um gesto repetitivo. Que gesto era esse? De um sino! [Risos] Eu não sei, pensei num relógio bem grande! Durante a sua vida, Pina Bausch quis integrar bailarinos diferentes, com formações diferentes, corpos diferentes. A Naomi é a primeira bailarina transgénero da companhia, que integrou em 2020. O que representa?É babado! [Risos] Não sei se essa palavra existe em Portugal, mas no Brasil a gente fala que é babado.O que é que isso quer dizer? Acho que não consigo traduzir. Significa muito para mim, mas também existe o peso de existir num lugar pela primeira vez, um corpo existir num lugar pela primeira vez. Então, é babado com esse peso de existir num lugar pela primeira vez. A dança pode contribuir para mudar o olhar das pessoas e para integrar corpos que até agora foram invisíveis?Com certeza, com certeza. Eu costumava pensar: se não for no meio da arte, onde é que o meu corpo cabe? Politicamente, mesmo não querendo, também acredito que eu sou um corpo político, mesmo não querendo ser. Mas eu acredito que sim. Com certeza. Ou seja, foi a arte que lhe deu o seu espaço?Sim, com certeza. Acredito que sim, mas eu também dei o meu espaço a mim mesma antes da arte. E para terminarmos, quando é que começou a dançar e o que é que a dança representa para si? Comecei a dançar com seis anos, em Paracuru, uma cidade no Brasil. Agora tenho 26. O que a dança representa para mim é estar viva. Dançar representa a minha vivência, esse meu almejo por continuar estando viva.

Artes
Cabo-verdiana Luciény Kaabral vai para a companhia de Pina Bausch

Artes

Play Episode Listen Later Sep 7, 2023 12:51


A bailarina cabo-verdiana Luciény Kaabral vai integrar a companhia fundada pela coreógrafa alemã Pina Bausch, uma das referências da dança contemporânea. O convite surgiu depois de ter participado no projecto de recriação da peça de Pina Bausch, “A Sagração da Primavera”, com 38 bailarinos de 14 países africanos. O processo de criação, na "École des Sables", no Senegal, é retratado no documentário "Dancing Pina", de Florian Heinzen-Ziob, exibido este sábado, na cidade da Praia. Luciény Kaabral tem 22 anos, começou a dançar no grupo cabo-verdiano Raiz Di Polon aos 17 e fez o primeiro espectáculo aos 18 anos. No final do ensino secundário, estava à espera de uma bolsa de estudo para estudar medicina em Portugal, mas acabou por abraçar o caminho da dança que hoje descreve como “uma forma de devoção”. Foi, então, estudar para a Escola Superior de Dança, em Lisboa, com o apoio do programa Procultura que apoia artistas dos PALOP e Timor-Leste.Em 2019, Luciény Kaabral foi à audição para uma recriação da peça de Pina Bausch “Sagração da Primavera” e acabou por integrar o grupo de 38 bailarinos de 14 países africanos, dirigidos por bailarinos da companhia fundada pela coreógrafa alemã, o Tanztheater Wuppertal Pina Bausch. O grupo ensaiou durante meses na célebre "École des Sables", no Senegal, mas a pandemia impediu o arranque da digressão e só um ano e seis meses depois é que a peça estreou em Madrid, em Setembro de 2021. Dos 38 bailarinos, até agora, só a cabo-verdiana foi convidada a integrar a companhia actualmente dirigida pelo coreógrafo Boris Charmatz.O convite tem um peso ainda mais simbólico porque Pina Bausch é “uma lenda” que acompanhou o percurso de Lucieny na dança e que a ensinou “a contar uma história verdadeira” com o corpo.“Fazer o belo, fazer para mostrar bonito não é o objectivo. Podemos chegar lá - ou aos olhos dos espectadores podemos chegar lá - mas nós não estamos a dançar para alguém. Eu lembro-me do que ela já tinha dito, e foi repassado pelos bailarinos que trabalharam com ela, que é: 'Dança como se ninguém estivesse a ver'. Ou seja, é realmente de dentro para fora e, muitas vezes, lá nos ensaios, é exactamente o que nós passávamos. Tantas horas a repetir a mesma coisa, mas não é repetir a fazer a mesma coisa. É repetir até que o corpo sinta e grave aquela emoção que gera esse movimento e todas as partes do corpo estão envolvidas. Através da respiração eu conseguia atingir isso, mas só conseguia porque havia uma emoção por trás, havia um sentimento que nem sempre tem a ver com a história da peça, mas que tem a ver comigo mesma, com a forma como eu me sinto naquele dia. Por isso é que eu digo que é contar uma história verdadeira”, explicou a bailarina à RFI, na entrevista que pode ouvir aqui.Luciény Kaabral é uma das vozes do documentário "Dancing Pina", de Florian Heinzen-Ziob, que retrata o processo de recriação de duas peças de Pina Bausch: “A Sagração da Primavera”, na "École des Sables", onde Luciény ensaia ao lado de bailarinos de toda a África, e “Ifigénia entre os Tauros”, ensaiada pela companhia de bailado da Semperoper, na Alemanha. No filme, a cabo-verdiana recorda que a pessoa com quem começou a dançar no grupo Raiz Di Polon, o bailarino Nuno Barreto, lhe falava constantemente de Pina Bausch e, desde então, vê a coreógrafa, falecida em 2009, como “uma lenda”.“Comecei em 2018 a trabalhar com o bailarino Nuno Barreto, que faz parte da Raiz Di Polon, e ele chamava-me muito à atenção no sentido de que dançar não é reproduzir um determinado movimento, não é copiar. Tens que realmente procurar as emoções que são reais e, com isto, trabalhar o movimento porque, aí sim, é real. Então, sempre quando ele insistia nessa questão e eu não estava a compreender, ele mostrava os vídeos da Pina Bausch, os bailarinos da Pina Bausch e os ensaios dela. Eu sempre admirava muito o que ela fazia porque eram pequenos gestos do quotidiano que nem sequer ligamos, mas ela consegue tornar aquilo dança. Então, ela sempre esteve presente desde o início na forma como eu vejo a dança. (…) Para mim, Pina Bausch é sem dúvida uma referência de dança, uma lenda quase”, conta Luciény Kaabral.O documentário "Dancing Pina" é exibido este sábado [9 de Setembro] na Praia, na ilha de Santiago, e no dia 15 de Setembro no Mindelo, na ilha de São Vicente, na presença da bailarina que se encontra em Cabo Verde, este mês, no âmbito de vários projectos, entre criações coreográficas, workshops e oficinas. O filme estreou em França em Abril deste ano e vai estar disponível nas plataformas VOD na próxima terça-feira, 12 de Setembro.

Beaux-Arts de Paris
Penser le Présent avec Dimitri Chamblas

Beaux-Arts de Paris

Play Episode Listen Later Apr 4, 2022 83:38


Dimitri Chamblas rejoint l'École de danse de l'Opéra de Paris à l'âge de dix ans. Durant sa carrière, il collabore avec les chorégraphes Boris Charmatz, William Forsythe, Emmanuelle Huynh, Benjamin Millepied ou Mathilde Monnier. Il cofonde l'association Edna avec le chorégraphe Boris Charmatz en 1992. Ils créent ensemble le duo À Bras-le-corps présenté dans le monde entier et entré au répertoire de l'Opéra national de Paris en 2018. Il participe à la création du Los Angeles Dance Project de Benjamin Millepied. En 2015, il est nommé directeur artistique de la 3e Scène – Opéra national de Paris. De 2017 à 2021, il est directeur de la danse au California Institute of the Arts (CalArts) de Los Angeles où il vit actuellement. Ses récents projets sont un duo avec la rockstar Kim Gordon ; Slow Show, un spectacle questionnant le temps pour cinquante performers ; Crowd Out, un opéra de David Lang pour mille chanteurs qu'il met en scène au Los Angeles philharmonique. Depuis 2019, il travaille sur A_YARD, une pièce créée avec un groupe d'hommes incarcérés dans la prison de haute sécurité de Los Angeles. Son travail a notamment été présenté à la Tate Modern de Londres, au Centre Pompidou (Paris), au Museum of contemporary art of Los Angeles, à l'Opéra national de Paris, à Performa New York, au musée du Louvre. Dimitri Chamblas crée actuellement, en collaboration avec Kim Gordon, une pièce pour les 15 danseurs de la compagnie L.A. Dance Project, débute avec le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés un programme de danse dans différents camps à travers le monde et poursuit son travail de recherche universitaire autour des pédagogies expérimentales. En 2019, il a été nommé Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres. Depuis 2021, Studio Dimitri Chamblas est soutenu par le ministère de la culture français. Il évoquera son parcours de danseur (Opéra de Paris, Charmatz, Huynh, Forsythe, Monnier), de chorégraphe, de pédagogue (Calarts, Prison de Los Angeles). Il partagera en dialogue avec Emmanuelle Huynh ses visions sur les transformations pédagogies à l'œuvre dans le champ chorégraphique et artistique national et international depuis 15 ans. Penser le Présent est réalisé avec le soutien de Société Générale. Amphithéâtre des Loges Jeudi 31 mars 2022 Crédit photo : droits réservés

L'heure bleue
Solo, Boris Charmatz

L'heure bleue

Play Episode Listen Later Feb 22, 2022 53:32


durée : 00:53:32 - L'Heure bleue - par : Laure Adler, Céline Villegas - Ce soir, l'invité de l'Heure Bleue est considéré comme l'un des chefs de file de "la non-danse", mouvement né dans les années 90 et qui décloisonne les frontières entre les arts. Il s'appelle Boris Charmatz et nous emmène dans son univers avec "Somnole" tout en sifflotant. - invités : Boris CHARMATZ - Boris Charmatz : artiste, danseur, chorégraphe

Ars sonora
Ars Sonora - Felicia Atkinson - 08/01/22

Ars sonora

Play Episode Listen Later Jan 8, 2022 60:07


Dedicamos hoy nuestro espacio a una compositora, Felicia Atkinson, que además de trabajar en el ámbito de la música experimental también ha desarrollado una importante labor como artista visual, como poeta y como co-editora del sello Shelter Press. Nacida en 1981 en París, ciudad en la que se graduó en Bellas Artes, Atkinson también participó, entre 2003 y 2004, en el proyecto pedagógico experimental BOCAL con el coreógrafo Boris Charmatz. Actualmente es investigadora de doctorado en musicología en la Universidad de Rennes, donde colabora con artistas y compositores que tienen como eje de trabajo común el deseo utópico. Además de firmar con su nombre, lo hace también con el seudónimo “Je Suis Le Petit Chevalier”, bajo el cual lanzó en 2012 el álbum “An Age of Wonder” a través de su propio sello Shelter Press. Sus actuaciones musicales e instalaciones artísticas han viajado a diferentes lugares desde el 2006, y entre ellas podemos destacar las que se han presentado en Worm (Róterdam), Occii (Ámsterdam), Wiels (Bruselas), el Palais de Tokyo y el Centro Pompidou (París), o el Synchronicity Space (Los Ángeles). La música de Felicia Atkinson combina la voz, las grabaciones de campo, y el uso de sintetizadores, guitarras y pianos (a veces sometidos a distorsiones y otras formas de procesamiento electrónico). También caracteriza su trabajo una profunda investigación estética en torno al ruido, como se manifiesta en “Crystal Arrows For A Cosmic King”. Tras esa audición nos centramos en el disco titulado “La La La”, publicado por Atkinson en 2008. De él extraemos varios cortes, en los que el uso de bucles en la guitarra (“Guitar Means Mountain”), la utilización del error digital o “glitch” (“White”), las referencias a un poema de Paul Celan (“Schnee Part”), los ritmos digitales puntillistas (“Brother In Mind”), o el aura propia —aunque severamente erosionada y deconstruida— de la canción de autor (“Lonesome As The Sun”) incorporan siempre, como elemento unificador, las características voces susurradas de su autora. A continuación saltamos a un proyecto mucho más reciente, publicado a finales del pasado año 2021 y titulado “Un hiver en plein été”. De este trabajo, también editado en Shelter Press, recuperamos las composiciones tituladas “Not Knowing” y “The Hidden”, antes de concluir este monográfico con la escucha de un fragmento de la pieza titulada “With Her Own Hands”, que apareció en octubre de 2013. Escuchar audio

Kultur heute Beiträge - Deutschlandfunk
Neue Führung - Der baldige Leiter des Tanztheaters Wuppertal Boris Charmatz: "Somnole" in Paris

Kultur heute Beiträge - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Dec 15, 2021 6:02


13 Jahre nach dem Tod von Pina Bausch wird der Choreograf Boris Charmatz neuer Intendant am Wuppertaler Tanztheater. Charmatz verlässt dafür Frankreich. Dort ist gerade seine Arbeit „Somnole“ in Paris zu sehen. „Ganz Frankreich wundert sich“ über seinen Wechsel, sagt Tanzkritikerin Wiebke Hüster. Hüster, Wiebkewww.deutschlandfunk.de, Kultur heuteDirekter Link zur Audiodatei

Movementtalks
On CO2 Emission/in conversation with Stina Dahlström and Jérôme Bel

Movementtalks

Play Episode Listen Later Nov 29, 2021 33:35


Movementtalks had the chance to be in conversation with Cullberg managing director Stina Dahlström and choreographer Jérôme Bel. Here they share their opinion and goals concerning the emission of CO2 in the atmosphere and the contemporary world of performance. Stina Dahlström was born in 1982 in Kiruna. She has an education in literature, dance, theatre, economics and project management at the University of Stockholm. Stina Dahlström has worked as a freelance producer, and as head of production at MDT, an international co-producing and presenting plattform for contemporary dance in Stockholm. As of 2016, Stina Dahlström is managing director of Cullberg, the national and international repertoire contemporary dance company in Sweden. Jérôme Bel lives in Paris and works worldwide. nom donné par l'auteur (1994) is a choreography of objects. Jérôme Bel (1995) is based on the total nudity of the performers. Shirtology (1997) presents an actor wearing many T-shirts. The last performance (1998) quotes a solo by the choreographer Susanne Linke, as well as Hamlet and André Agassi. Xavier Le Roy (2000) was claimed by Jérôme Bel as his own, but was actually choreographed by Xavier Le Roy. The show must go on (2001) brings toghether twenty performers, nineteen pop songs and one DJ. Véronique Doisneau (2004) is a solo on the work of the dancer Véronique Doisneau, from the Paris Opera. Isabel Torres (2005), for the ballet of the Teatro Municipal of Rio de Janeiro, is its Brazilian version. Pichet Klunchun and myself (2005) was created in Bangkok with the Thai traditional dancer Pichet Klunchun. Follows Cédric Andrieux (2009), dancer of Merce Cunningham. 3Abschied (2010) is a collaboration between Anne Teresa De Keersmaeker and Jérôme Bel based on The Song of the Earth by Gustav Malher. Disabled Theater (2012) is a piece with a Zurich-based company, Theater Hora, consisting of professional actors with learning disabilities. Cour d'honneur (2013) stages fourteen spectators of the Cour d'honneur of the Palais des Papes in Avignon. In Gala (2015), the choreographer stages together professional people from the dance field and amateurs coming from different backgrounds. In Tombe (2016), performance created at the invitation of Opéra National de Paris, Jérôme Bel proposed to some dancers of the ballet to invite, for a duet, the person with who they would never share the stage. Posé arabesque, temps lié en arrière, marche, marche (2017) is a piece for all the dancers of the Ballet de l'Opéra de Lyon based on the famous “Entrance of the shadows” of the ballet La Bayadère. Dancing as if nobody is watching (2018) and the reading of the Lecture on nothing by John Cage call for a contemplative aesthetic attitude. With Retrospective, Jérôme Bel goes back through his video archives and makes a cross section within his corpus, to better bring out the linkage between dance and politics. Isadora Duncan (2019) paints a picture of this choreographer. In 2013 Emails 2009-2010, written with the French choreographer Boris Charmatz, is edited (Les Presses du Réel). This book is published on line and in English, still by Les Presses du Réel, in 2016. This interview was recorded with no CO2 emission. Interviewees: Stina Dahlström and Jérôme Bel Concept: Giacomo Della Marina Camera: Erica Espling and Oskar Hökerberg (Stina Dahlström) Show less

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur
Boris Charmatz wird Leiter am Tanztheater Wuppertal - "Wir werden tanzen, um Geschichte zu machen"

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur

Play Episode Listen Later Oct 21, 2021 6:33


Ab September 2022 wird der Tänzer und Choreograf Boris Charmatz die Leitung des Tanztheaters von Pina Bausch übernehmen. Der Franzose sei zugleich künstlerischer Visionär und politisch denkender Künstler, sagt Tanzkritikerin Elisabeth Nehring. Elisabeth Nehring im Gespräch mit Eckhard Roelcke www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit Hören bis: 19.01.2038 04:14 Direkter Link zur Audiodatei

Musiq'3
L'île paradisiaque - Sur l'Île Paradisiaque de la violoniste Amandine Beyer - 14/07/2021

Musiq'3

Play Episode Listen Later Jul 14, 2021 56:02


Après avoir commencé le violon avec Aurélia Spadaro à Aix-en-Provence, Amandine Beyer poursuit ses études au CNSM de Paris et à la Schola Cantorum de Bâle, dans la classe de Chiara Banchini. Elle profite également de l'enseignement d'artistes tels que Christophe Coin ou Hopkinson Smith. Lauréate de plusieurs prix internationaux (Premio Rovereto, 1998, Fondation Juventus, 2000, Premio Antonio Vivaldi de violon baroque, Turin 2001...), elle a déjà enregistré en tant que soliste de nombreux disques. Un grand nombre d'entre eux ont été primés, qu'il s'agisse de ses interprétations des œuvres pour violon de Rebel ou de Bach (tous deux distingués par un Diapason d'or et un Choc de Classica...). Ses activités de soliste l'ont déjà conduite en Belgique, Suisse, Allemagne, aux Pays-Bas, Émirats Arabes Unis et aux USA. Elle s'est également produite au sein d'ensembles tels que le Collegium Vocale Gent, Les Siècles, Ensemble 415, Le Concert Français ou l'Ensemble Jacques Moderne. Pierre Hantaï, Anna Fontana ou Kristian Bezuidenhout figurent parmi ses partenaires pour la musique de chambre. En 2013, la chorégraphe Anne Teresa de Keersmaeker et le danseur Boris Charmatz l'ont invitée à participer au spectacle Partita 2, qui a fait l'objet d'une importante tournée internationale. Pédagogue experte et passionnée, Amandine Beyer donne des masterclasses dans le monde entier. Elle est professeur titulaire à l'ESMAE de Porto et a succédé en 2010 à Chiara Banchini à la tête de la classe de violon de la Schola Cantorum Basiliensis.

Europe 1 - L'interview d'actualité
"Happening Tempête" au Grand Palais éphémère : "on a des masques et on danse quand même", se réjouit Boris Charmatz

Europe 1 - L'interview d'actualité

Play Episode Listen Later Jun 11, 2021 7:10


Sébastien Krebs reçoit Boris Charmatz, danseur et chorégraphe de danse contemporaine. À l'occasion de l'ouverture du Grand Palais Ephémère ce samedi sur le Champ-de-Mars, il présentera tout le week-end un "Happening Tempête". Une chorégraphie qui mettra en scène près de 150 danseurs et comédiens.

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas
7h-8h : Sébastien Krebs avec Boris Charmatz

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas

Play Episode Listen Later Jun 11, 2021 44:57


Sébastien Krebs est aux commandes de la matinale d'Europe 1. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouvent les chroniques de Nicolas Barré, Vincent Hervouët, Nicolas Beytout, Fanny Agostini et Virginie Phulpin.La “Revue de presque” de l'infatigable Nicolas Canteloup, accompagné de Julie, apporte une touche d'humour. Information, convivialité et proximité rythmeront cette matinale !

krebs bastien la revue europe 1 sonia mabrouk boris charmatz nicolas canteloup nicolas beytout vincent hervou virginie phulpin
Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (10/11) : L'histoire de la fermeture de l'aéroport de Tempelhof à Berlin : la fin d'un symbole

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Apr 15, 2021 54:59


durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - À Berlin, à Tempelhof, il y a aujourd'hui un parc gigantesque, à la place de l'aéroport qui, en 2008, a définitivement fermé ses portes aux voyageurs et ses pistes aux avions, après bien des débats, des affrontements politiques et un référendum. - réalisation : Virginie Mourthé

Boomerang
Boris Charmatz à bras le corps

Boomerang

Play Episode Listen Later Mar 19, 2021 33:05


durée : 00:33:05 - Boomerang - par : Augustin Trapenard - En une trentaine d’années, il s’est imposé comme un grand nom de la danse contemporaine. Il y a deux ans, il était choisi pour célébrer le Grand Palais avant sa fermeture pour travaux. Ce qu’il avait envisagé comme une fête tempétueuse, s’est transformé en une ronde de duos. Boris Charmatz est dans Boomerang.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (3/11) : "Chez Isadora Duncan le corps se déploie continuellement, il est toujours dans l'inachevé, jamais fini"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 15, 2021 13:59


durée : 00:13:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans "Avant-première", en 1990, la danseuse Élisabeth Schwartz présentait ses spectacles "Jaillissement" et "La Vie dans les plis" au Café de la Danse, elle évoquait également les particularités de la danse d'Isadora Duncan. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Elisabeth Schwartz Danseuse, pédagogue, chercheuse en danse, notamment autour de la danse d’Isadora Duncan, de Rudolf Laban et de la danse du début du XXème siècle.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (3/11) : "Chez Isadora Duncan le corps se déploie continuellement, il est toujours dans l'inachevé, jamais fini"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 15, 2021 13:59


durée : 00:13:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans "Avant-première", en 1990, la danseuse Élisabeth Schwartz présentait ses spectacles "Jaillissement" et "La Vie dans les plis" au Café de la Danse, elle évoquait également les particularités de la danse d'Isadora Duncan. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Elisabeth Schwartz Danseuse, pédagogue, chercheuse en danse, notamment autour de la danse d’Isadora Duncan, de Rudolf Laban et de la danse du début du XXème siècle.

Rendez-vous culture
Rendez-vous culture - Spectacle: une dernière ronde au Grand Palais avant fermeture pour travaux

Rendez-vous culture

Play Episode Listen Later Mar 12, 2021 5:49


Un dernier spectacle a été donné au Grand Palais avant le démarrage des travaux. La Ronde, c'est 20 duos de danse du chorégraphe Boris Charmatz, dont la captation et un documentaire sur sa création au fil de l'évolution de la pandémie seront au programme d'une soirée spéciale ce soir sur France 5. Le Grand Palais à Paris, ce bijou architectural construit pour l'Exposition universelle en 1900 entre ce 12 mars dans une période de travaux de 4 ans. Il devrait rouvrir partiellement en 2024 pour les Jeux olympiques et totalement en 2025. Les travaux devront mettre le bâtiment aux normes d'aujourd'hui, mais aussi le dégager des nombreuses cloisons édifiées au fil des époques pour que la plus grande verrière d'Europe aux élégantes armatures vertes retrouve toute la lumière.

Sur vos écrans - Eva Roque
Mike Brant et Boris Charmatz : deux étoiles pour deux programmes

Sur vos écrans - Eva Roque

Play Episode Listen Later Mar 12, 2021 2:53


Du lundi au vendredi dans Culture médias, Eva Roque vous livre ses conseils TV pour la soirée. Ce vendredi, elle nous propose deux programmes axés sur le monde de la musique et celui de la danse. Mike Brant vous attendu sur France 3 à 21h05 et Boris Charmatz sur France 5 dès 20h50.

Coulisses
La Ronde de Boris Charmatz au Grand Palais

Coulisses

Play Episode Listen Later Mar 6, 2021 5:59


durée : 00:05:59 - Coulisses - par : Patricia Martin - Le Grand Palais a fermé ses portes le 16 janvier avec une performance du chorégraphe Boris CHarmatz intitulée La Ronde. Elle s'est déroulée à huis clos mais a été filmée et sera diffusée le 12 mars, à 20h50 sur France 5

Les matins du samedi
Chris Dercon : "Tout va changer dans les musées, et peut être même dans les salles de cinéma ou de théâtre"

Les matins du samedi

Play Episode Listen Later Jan 16, 2021 32:03


durée : 00:32:03 - L'Invité(e) culture - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Alors que le Grand Palais s'apprête à fermer ses portes pour rénovation et invite à cette occasion le chorégraphe Boris Charmatz pour une dernière performance, événement dont France Culture est partenaire, le directeur de la Réunion des Musées Nationaux-Grand-Palais, Chris Dercon. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Chris Dercon Président RMN - Grand Palais

va dans tout peut dans les changer mus salles france culture grand palais boris charmatz chris dercon jean christophe francis chlo cambreling rmn grand palais
Culture en direct
Chris Dercon : "Tout va changer dans les musées, et peut être même dans les salles de cinéma ou de théâtre"

Culture en direct

Play Episode Listen Later Jan 16, 2021 32:03


durée : 00:32:03 - L'Invité(e) culture - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Alors que le Grand Palais s'apprête à fermer ses portes pour rénovation et invite à cette occasion le chorégraphe Boris Charmatz pour une dernière performance, événement dont France Culture est partenaire, le directeur de la Réunion des Musées Nationaux-Grand-Palais, Chris Dercon. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Chris Dercon Président RMN - Grand Palais

va dans tout peut dans les changer mus salles france culture grand palais boris charmatz chris dercon jean christophe francis chlo cambreling rmn grand palais
France Culture physique
Chris Dercon : "Tout va changer dans les musées, et peut être même dans les salles de cinéma ou de théâtre"

France Culture physique

Play Episode Listen Later Jan 16, 2021 32:03


durée : 00:32:03 - L'Invité(e) culture - par : Chloë Cambreling, Stéphanie Villeneuve - Alors que le Grand Palais s'apprête à fermer ses portes pour rénovation et invite à cette occasion le chorégraphe Boris Charmatz pour une dernière performance, événement dont France Culture est partenaire, le directeur de la Réunion des Musées Nationaux-Grand-Palais, Chris Dercon. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Chris Dercon Président RMN - Grand Palais

va dans tout peut dans les changer mus salles france culture grand palais boris charmatz chris dercon jean christophe francis chlo cambreling rmn grand palais
Par les temps qui courent
Boris Charmatz : "La danse est le médium qui permet de réfléchir à comment vivre ensemble"

Par les temps qui courent

Play Episode Listen Later Jan 7, 2021 43:00


durée : 00:43:00 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - Nous recevons le chorégraphe et danseur Boris Charmatz mis à l’honneur au Festival d’Automne pour parler de sa création "La Ronde" mais également afin d’aborder les problématiques liées au spectacle vivant durant cette période de pandémie. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré - invités : Boris Charmatz Danseur, chorégraphe et directeur du Musée de la danse à Rennes.

festival boris vivre mus romain rennes danse automne permet la danse chir vivre ensemble la ronde boris charmatz jean christophe francis marie richeux lise marie barr jeanne al becdelievre nous
Culture en direct
Boris Charmatz : "La danse est le médium qui permet de réfléchir à comment vivre ensemble"

Culture en direct

Play Episode Listen Later Jan 7, 2021 43:00


durée : 00:43:00 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - Nous recevons le chorégraphe et danseur Boris Charmatz mis à l’honneur au Festival d’Automne pour parler de sa création "La Ronde" mais également afin d’aborder les problématiques liées au spectacle vivant durant cette période de pandémie. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré - invités : Boris Charmatz Danseur, chorégraphe et directeur du Musée de la danse à Rennes.

festival boris vivre mus romain rennes danse automne permet la danse chir vivre ensemble la ronde boris charmatz jean christophe francis marie richeux lise marie barr jeanne al becdelievre nous
Les bonnes choses
Boris Charmatz : "Les rissoles font parties du mythe. Elles me renvoient en Savoie"

Les bonnes choses

Play Episode Listen Later Oct 25, 2020 3:08


durée : 00:03:08 - La Madeleine de... - par : Mattéo Caranta - La rissole au poire de Boris Charmatz se cuit au four.

Rendez-vous culture
Rendez-vous culture - Le chorégraphe Boris Charmatz au Festival d’Automne à Paris

Rendez-vous culture

Play Episode Listen Later Oct 15, 2020 3:16


C'est dans un contexte difficile de couvre-feu à 21h que le Festival d'Automne à Paris doit poursuivre sa programmation de spectacles avec cette année le portrait du danseur et chorégraphe Boris Charmatz, 47 ans, et plus de 25 ans de carrière à son actif déjà. Au programme, plusieurs pièces de son répertoire et des créations dont on peut espérer une clôture du festival au Grand Palais avec un casting de choix : plus de 20 interprètes dont la grande chorégraphe belge Anne Teresa de Keersmaeker ou encore le Burkinabè Salia Sanou. Et en ce moment on peut voir au Théâtre des Amandiers à Nanterre « AATT ENEN TIONON » créée il y a 25 ans, une pièce qui résonne étrangement aujoud'hui.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (11/11) : Boris Charmatz : "La danse est un médium très pratique car on n'a pas besoin de scène, en un instant on peut danser"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 5:59


durée : 00:05:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dernier entretien avec Boris Charmatz pour sa "Nuit rêvée". Après avoir expliqué son choix d'archives, le danseur et chorégraphe donne sa conception de la danse. Entretien 3/3 par Albane Penaranda - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Boris Charmatz Danseur, chorégraphe et directeur du Musée de la danse à Rennes.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (6/11) : Boris Charmatz : "Le Musée de la Danse est une oeuvre commune où on peut passer du rôle de visiteur à celui de danseur"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 34:59


durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Deuxième entretien de "La Nuit rêvée" du danseur et chorégraphe Boris Charmatz. Au programme des archives : Hubert Godard, la cornemuse, Médéric Collignon et l'aéroport de Tempelhof à Berlin. Entretien 2/3 par Albane Penaranda - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Boris Charmatz Danseur, chorégraphe et directeur du Musée de la danse à Rennes.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (10/11) : L'histoire de la fermeture de l'aéroport de Tempelhof à Berlin : la fin d'un symbole

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 54:59


durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - À Berlin, à Tempelhof, il y a aujourd'hui un parc gigantesque, à la place de l'aéroport qui, en 2008, a définitivement fermé ses portes aux voyageurs et ses pistes aux avions, après bien des débats, des affrontements politiques et un référendum. - réalisation : Virginie Mourthé

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (9/11) : Un poco agitato - Médéric Collignon

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 34:59


durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 2004, Yvan Amar recevait Médéric Collignon dans "Un Poco agitato". L'occasion pour le musicien de raconter son parcours depuis ses Ardennes natales et d'expliquer ses techniques vocales et instrumentales… le tout sur un mode plutôt agitato. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Médéric Collignon

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (8/11) : Le rythme et la raison - La cornemuse dans le monde

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 30:00


durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1994, c'était à La cornemuse dans le monde que s'intéressait Jacques Coget pour "Le rythme et la raison". Il était en compagnie de Eric Montbel, ethno-musicologue, et Jon Swayne, luthier et sonneur. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Erwan Keravec Musicien, sonneur de cornemuse

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (7/11) : Le gai savoir - Hubert Godard

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 49:59


durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1995, le danseur Hubert Godard s'entretenait avec Gérard Gromer dans "Le Gai savoir". - réalisation : Virginie Mourthé

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (4/11) : Le gai savoir - Laurence Louppe

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 44:59


durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Le gai savoir - Laurence Louppe - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Laurence Louppe

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (5/11) : Christophe Tarkos : "Quand on rêve on ne voit pas les images qui défilent"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 20, 2020 54:59


durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Hommage à Christophe Tarkos" un numéro des "Mardis littéraires" de Pascale Casanova, diffusé la pemière fois le 28 décembre 2004 sur France Culture. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Christophe Tarkos

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (3/11) : "Chez Isadora Duncan le corps se déploie continuellement, il est toujours dans l'inachevé, jamais fini"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 19, 2020 13:59


durée : 00:13:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans "Avant-première", en 1990, la danseuse Élisabeth Schwartz présentait ses spectacles "Jaillissement" et "La Vie dans les plis" au Café de la Danse, elle évoquait également les particularités de la danse d'Isadora Duncan. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Elisabeth Schwartz Danseuse, pédagogue, chercheuse en danse, notamment autour de la danse d’Isadora Duncan, de Rudolf Laban et de la danse du début du XXème siècle.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (2/11) : Odile Duboc, chorégraphe : "Avec 'Le Boléro', je m'étais dit qu'il fallait que je me confronte avec une musique"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 19, 2020 29:59


durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans "Studio danse" en janvier 2000, la chorégraphe Odile Duboc analysait avec Laurent Goumarre, Stéphane Bouquet et Aude Lavigne ses processus de création notamment pour ses trois versions chorégraphiques sur "Le Boléro" de Ravel. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Odile Duboc; Françoise Michel concepteur lumière

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Boris Charmatz (1/11) : Boris Charmatz : "Le cœur de la danse est aux marges, chez les gens qui ne dansent pas mais qui, en fait, dansent…"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 19, 2020 33:57


durée : 00:33:57 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Premier entretien de "La Nuit rêvée" de Boris Charmatz, le danseur et chorégraphe explique ses choix d'archives, parmi lesquelles figurent Odile Duboc, Élisabeth Schwartz, la critique et historienne de la danse Laurence Louppe, et le poète Christophe Tarkos. Entretien 1/3 par Albane Penaranda - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Boris Charmatz Danseur, chorégraphe et directeur du Musée de la danse à Rennes.

Cultura
Cultura - “Arte é uma forma de resistência e solidariedade”, diz diretor de festival de artes cênicas em Paris

Cultura

Play Episode Listen Later Sep 18, 2020 4:48


Depois de meses fechados, cinemas, teatros e museus estão reabrindo na França. O vírus continua à espreita, ameaçando e cancelando grandes eventos. Mas a resistência também é forte, da parte de artistas, de organizadores e, principalmente, do público.   Alguns grandes eventos do calendário artístico acabaram sendo anulados este ano, como o Festival de cinema de Cannes, o Festival de Teatro de Avignon, a Fiac (Feira Internacional de Arte Contemporânea) e vários festivais de música. Outros, como o Festival Visa pour L’Image de Fotojornalismo ou o Festival de Cinema americano de Deauville, adotaram fórmulas reduzidas que marcaram presença. Outro grande evento que resolveu enfrentar as restrições é o Festival de Outono de Paris, em sua 49ª edição. Teatro, dança, música e artes plásticas fazem parte de um cardápio pluridisciplinar. Em formato reduzido e obedecendo regras sanitárias, este ano são 70 eventos artísticos que vão ser realizados na capital francesa e arredores durante quatro meses. Depois de tantos meses de silêncio, o diretor do festival Emmanuel Demarcy-Mota, optou por um evento de solidariedade. “Em maio, com o cancelamento de festivais como Avignon e Edimburgo (Escócia), percebemos que muitos artistas não podiam se apresentar”, explica. “E isso é muito grave, nunca tinha acontecido desde a Segunda Guerra Mundial no espaço europeu.” Incentivo para artistas e público “Daí veio a ideia de criar um festival para os artistas que não estavam podendo mostrar os trabalhos que me interessam, artistas que não estavam em condições de criar. Resolvemos também reservar quatro mil lugares gratuitos para crianças, adultos, para quem trabalha em hospitais, para criar novas redes de amizade e trabalho com os artistas”, diz Demarcy-Mota. “Conseguimos montar uma programação com 70 espetáculos europeus, somos um grande festival com uma pequena equipe”, acrescenta. Para Demarcy-Mota, que também é ator, dramaturgo e diretor de teatro, a relação de continuidade com os artistas é fundamental, como no caso do coreógrafo e dançarino francês Boris Charmatz, o diretor e teatrólogo suíço Milo Rau e o português Tiago Rodrigues. São artistas cujo percurso é cuidadosamente acompanhado pelo festival no transcorrer do tempo, explica Demarcy-Mota, que também destaca nomes novos, como os artistas do grupo l’Enciclopédie de la Parole, que fazem shows com voz e música. "Um espetáculo", recomenda o diretor. “O Festival de Outono é nossa forma de combater a solidão, de ajudar as pessoas mais velhas e mais novas, que estão numa situação muito complexa, uma situação inédita para todas e que vai ser longa”, diz Demarcy-Mota. Outro evento que não se deixou abater foi o Art Paris (10 a 13 de setembro), a primeira feira de arte moderna e contemporânea pós-confinamento. O evento aconteceu no espaço do Grand Palais. O curador Guillaume Piens comemora: “foram mais de 112 galerias de 15 países, o mercado de arte está vivo e resiste”. A próxima grande feira sob a nave de vidro do Grand Palais já tem data: é a tradicional Paris Photo, de 12 a 15 de novembro. No escurinho do cinema Já a frequentação das salas de cinema vai aumentando pouco a pouco, depois da queda brutal de 73,8% registrada em julho em relação ao ano anterior, de acordo com o Centro Nacional do Cinema. Desde a reabertura das salas, no dia 24 de junho, o público é de um terço do habitual. A ausência de blockbusters hollywoodianos, que em julho representam cerca de 70% das estreias na França, também tem o seu peso na baixa da frequentação. Mas Paris também tem cinéfilos renitentes, que fazem fila para filmes faça sol ou chuva (na França a espera para entrada nas salas é geralmente em filas no exterior). Como o engenheiro Jean-François, que não tem TV em casa e não gosta de assistir filmes na tela do computador. “Não tenho medo de me contaminar. O único problema de usar máscara o tempo todo é que isso às vezes embaça meus óculos. Mas os cinemas de Paris se adaptaram bem e vou com frequência desde que eles reabriram. As salas do Quartier Latin (região central), por exemplo, oferecem programações interessantes. No momento estou seguindo uma retrospectiva de clássicos japoneses”, diz o cinéfilo.

Le grand podcast de voyage
Boris Charmatz, danser à ciel ouvert

Le grand podcast de voyage

Play Episode Listen Later Sep 16, 2020 28:01


durée : 00:28:01 - La Grande table culture - par : Olivia Gesbert - Le chorégraphe et danseur Boris Charmatz, à l'honneur au Festival d'Automne 2020-2021, est notre invité. - réalisation : Thomas Beau

France Culture physique
Boris Charmatz, danser à ciel ouvert

France Culture physique

Play Episode Listen Later Sep 16, 2020 28:01


durée : 00:28:01 - La Grande table culture - par : Olivia Gesbert - Le chorégraphe et danseur Boris Charmatz, à l'honneur au Festival d'Automne 2020-2021, est notre invité. - réalisation : Thomas Beau

Culture en direct
Boris Charmatz, danser à ciel ouvert

Culture en direct

Play Episode Listen Later Sep 16, 2020 28:01


durée : 00:28:01 - La Grande table culture - par : Olivia Gesbert - Le chorégraphe et danseur Boris Charmatz, à l'honneur au Festival d'Automne 2020-2021, est notre invité. - réalisation : Thomas Beau

Les grands entretiens
Amandine Beyer (5/5) : "C'est la chose la plus importante qui me soit arrivée musicalement dans ma vie"

Les grands entretiens

Play Episode Listen Later Sep 4, 2020 25:10


durée : 00:25:10 - Amandine Beyer (5/5) - par : Judith Chaine - Amandine Beyer revient sur son expérience avec les chorégraphes et danseurs Anna Teresa de Keersmaeker et Boris Charmatz, à l’occasion du spectacle Partita 2 créé à Bruxelles en 2013. Une expérience qui a profondément marqué la violoniste. - réalisé par : Marie Grout

Les Reportages de Ouest Track Radio
#Pharenheit : Ashley Chen

Les Reportages de Ouest Track Radio

Play Episode Listen Later Jan 21, 2020 6:45


Ashley Chen fait ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris de 1994 à 1999. Après une création avec Thomas Duchâtelet, il s’envole en 2000 vers New-York pour intégrer la Merce Cunningham Dance Company. Il y reste quatre ans, participe à cinq créations et danse une dizaine de pièces du répertoire.Il revient ensuite en France et joint le Ballet de l’Opéra de Lyon, où il interprète des pièces des chorégraphes Christian Rizzo, Angelin Preljocaj, William Forsythe, Russel Maliphant, Mathilde Monnier et Trisha Brown.En 2006, il quitte le Ballet pour sillonner l’Europe et les différentes collaborations. Il travaille avec John Scott et Liz Roche à Dublin, Michael Clark à Londres, Jean-Luc Ducourt et Michèle Ann de Mey à Bruxelles, Philippe Decouflé, Boris Charmatz, Mié Coquempot, Fabrice Dugied en France.En 2002, Ashley Chen chorégraphie We’re all grown up now! à New-York. Un an après, il monte avec Marise la Lagrave I’m not a Gurrel!!, vidéo-danse filmée dans l’état de New-York. En 2008, il créé avec le collectif Loge 22 I meant to move à Lyon. En 2012, il fonde la compagnie Kashyl.

Les Emissions Spéciales de Ouest Track Radio
À la découverte de la création vive avec Olivier Mellano

Les Emissions Spéciales de Ouest Track Radio

Play Episode Listen Later Mar 13, 2019 78:23


Mercredi 13 mars au Fort de Tourneville, venez assister à la restitution publique du workshop mené par le musicien et écrivain Olivier Mellano avec des étudiant-e-s du Master de Création littéraire du Havre. Un moment privilégié : assister à l'émergence de la création littéraire, travaillée pour la scène et mise en musique...Nous ouvrons peu nos ateliers car la création a besoin d'ombre pour croître sereinement... C'est donc une expérience rare. Havrais-e-s, vous êtes gâté-e-s.Olivier Mellano : https://www.oliviermellano.com/Né à Paris en 1971, violoniste de formation, Olivier Mellano suit des études de musicologie à Rennes après lesquelles il collabore en tant que guitariste avec plus de 50 groupes et artistes français évoluant entre rock, pop, hip-hop, électro et chanson (Laetitia Shériff, Psykick Lyrikah, Bed, Dominique A…).Il compose régulièrement pour le théâtre (Stanislas Nordey, David Gauchard), le cinéma, les ciné-concerts, la radio, la danse ou la littérature. Parallèlement à son travail d’écriture, il développe activement l’improvisation en solo, en duo (François Jeanneau, John Greaves, Noël Akchoté, Boris Charmatz…) ainsi qu’avec des comédiens et des écrivains (André Markowicz, Claro, Nathalie Richard, Pacôme Thiellement…).Enclin aux rencontres par-delà les frontières géographies ou esthétiques, Olivier Mellano est également curateur de ses projets collectifs L’Île électrique ou La Superfolia Armaada pour lesquels il rassemble les artistes les plus aventureux pour des créations éphémères dans de nombreux festivals.En 2006, il publie chez Naïve « La Chair des Anges », un album comprenant ses pièces pour clavecins et orgue, octuor de guitares électriques, quatuor à cordes ou encore pour la voix, à mi-chemin de la musique baroque et contemporaine, interprétées par le Quatuor Debussy, Olivier Vernet, Valérie Gabail, Bertrand Cuiller, Frédéric Rivoal et Les Voix Imaginaires et données à la Basilique Saint-Denis ou à l’église Saint-Eustache.En 2012, il publie l’album « How we tried a new combination of notes to show the invisible », triptyque symphonique, électrique et électronique, commandé par l’Orchestre Symphonique de Bretagne et présenté à l’Opéra de Rennes lors des Transmusicales.En 2008 paraît son premier livre un recueil de pièces musicales imaginaires: «La Funghimiracolette» aux Éditions MF. Il travaille actuellement à son second roman.Après No Land sa pièce pour Bagad et voix interprétée par Brendan Perry de Dead Can Dance, il monte le projet BAUM autour des Mélodies de Gabriel Fauré. Il ne quitte pas pour autant le monde du rock sonique et sort en 2018 le deuxième album de son projet solo pop-noise MellaNoisEscape.

Audiostage
CHRYSA PARKINSON / THE VALUE OF DANCE AS PRACTICE - Audiostage

Audiostage

Play Episode Listen Later Apr 30, 2016 56:18


"I think that equality comes with assymetry and that it's not necessary for roles to be symmetrical for there to be equality." - Chrysa Parkinson In the first episode of season three, Angela and Jana speak to Chrysa Parkinson on the creativity of the dancer: the work of dance, the authorship of the dancer, and whether excessive praise is how we pay artists in lieu of a living wage. After many years in New York, working with Tere O'Connor Dance among others, Chrysa Parkinson now lives in Brussels. In Europe, she performed initially with Thomas Hauert and David Zambrano, and later with Boris Charmatz, Rosas/Anne Teresa De Keersmaeker, Jonathan Burrows, Mette Ingvartsen, Phillip Gehmacher, Eszter Salomon, John Jasperse, Deborah Hay, Meg Stuart. She is an esteemed pedagogue, teaching annually at PARTS, and currently serving as Director of the New Performative Practices MFA program at DOCH/Uniarts in Stockholm. Chrysa Parkinson would say that her current practice is performance. "I don't really like the idea that there's 'the body'. I don't know what 'the body' is: there's this body, my body, your body... there's no 'the body' disenfranchised from its psyche and its context. It doesn't really exist." - Chrysa Parkinson This, first episode of season three, was very special to us: returning after the summer break, recording in Kieran Ruffles' new studio, with a distinguished international guest. Chrysa was in Australia as part of Adrian Heathfield's project Ghost Telephone, presented by the Biennale of Sydney, and invited to Melbourne by Dancehouse, as part of the Keir Choreographic Award public program. Chrysa floored us with her humility, and the articulacy with which she defined the agency of dancer - going beyond being just a 'material' for a choreographer's mind. Discussed in this episode: dance as manual labour, choreography as middle management; working with Deborah Hay; Richard Sennett arguing with Hannah Arendt about the importance of handiwork; the split between thingliness and beingness; who owns a choreography?; teaching as 'trafficking in procedures'; differences in audiences between New York and Europe, where afterwards at the bar other artists just say 'hi'; and can praise replace a living wage? "I am always attended by what I called the 'art dog', which is just there: pretty big, at my shoulder, a little bit of a nice wet nose, it's kinda looking around, it sees: 'that's life, that's art'." - Chrysa Parkinson Enjoy and stay tuned: we have more exciting and stimulating conversations to come. Podcast bibliography: Moriah Evans: Interview with Chrysa Parkinson (SARMA) Chrysa Parkinson: Self-Interview on Practice (Vimeo) For more information about Chrysa Parkinson’s work, visit her webpage at DOCH. This series of AUDIOSTAGE has been commissioned by DANCEHOUSE as part of the 2016 Keir Choreographic Award Public Program and was generously supported by the Keir Foundation.

PCA Talks Series
PCA Talks - Elena Sorokina, Dance quitting the stage

PCA Talks Series

Play Episode Listen Later Apr 6, 2016 118:36


Was it dance quitting the stage - the museum entering the opera? The piece 20 Dancers for the XX century by Boris Charmatz, performed at the Opera Garnier this October, scattered dance solos everywhere but on stage - in the lobby, on the stairs, at the bar. It was an unprecedented use of space of the “world’s most famous opera”, upsetting all the rules of classical dance presentations. The public walked, the dancers talked, and it looked like an exhibition more than a spectacle - a “living exhibition”, in Charmatz’s own words. The abundant commentaries on the piece were controversial - some celebrated the audacity of the presentation of dance, others were rather frustrated by it. Elena Sorokina is curator and art historian, alumna of the Whitney Museum of American Art ISP in New York. Throughout her career, she was invited to organise exhibitions and projects at the Musee d’Art Moderne de la Ville de Paris; WIELS, Brussels; Stedelijk Museum Amsterdam, Musée Picasso Paris and other institutions. She published in numerous catalogs, and has been writing for Artforum, Flash Art, Cabinett Magazine, Manifesta Journal, and other publications.

Danse CNA avec Cathy Levy
Yorgos Loukos

Danse CNA avec Cathy Levy

Play Episode Listen Later Dec 8, 2015 30:19


Yorgos Loukos, légendaire directeur artistique du Ballet de l'Opéra de Lyon créé en 1687, s'est entretenu avec Isabelle Brisebois la veille de la représentation de la compagnie au Centre national des Arts, le 22 avril 2015. Au fil d'une belle conversation, Yorgos nous fait part de son expérience comme danseur—et notamment de sa participation à une tournée canadienne du Ballet national de Marseille mettant en vedette Karen Kain en 1975—et de sa réorientation au sein de la compagnie grâce à Roland Petit. Il souligne la particularité du Ballet de l'Opéra de Lyon qu'il guide depuis 1991, de ses danseurs et de son répertoire, constitué d'œuvres produites par des chorégraphes de danse contemporaine parmi les plus marquants et les plus inventifs, dont Trisha Brown, Merce Cunningham, Maguy Marin, William Forsythe, Jiří Kylián, Nacho Duato, et des représentants de la jeune danse française tels que Christian Rizzo, Boris Charmatz, Benjamin Millepied et Rachid Ouramdane. En terminant, Yorgos nous parle de son association, en tant que directeur, au Festival de danse de Cannes et au Festival d'Athènes, d'un rêve qu'il souhaite réaliser, et de l'état actuel de la danse.

PERFORMA.TV
Boris Charmatz - Musée de la Danse: Expo Zéro

PERFORMA.TV

Play Episode Listen Later Jun 20, 2012 2:06


Musée de la Danse: Expo Zéro is a living exhibition created by renowned French choreographer Boris Charmatz for his groundbreaking Musée de la Danse (Dancing Museum) in Rennes, France, and now being re-conceived for New York City as part of Performa 11. Musée de la Danse: Expo Zéro is an exhibition without any artwork, but with artists. It includes no objects, photographs, sculptures, or installations. Rather, it is comprised of completely empty rooms filled by the gestures, projects, bodies, stories, and dances which visitors will both see and imagine. In this way, it is truly a “museum of dance,” a radical new way of looking at the history and future of that most ephemeral of art forms, through a unique live experience that each visitor will have with an extraordinary cast of people and performers inhabiting a seemingly blank gallery space. For Musée de la Danse: Expo Zéro, Charmatz has selected ten international figures from contemporary dance, visual art, architecture, philosophy, and performance theory and criticism to be “in residence” at the project site for a three-day “think tank.” Participants include: Alex Baczynski-Jenkins (dancer/choreographer), Eleanor Bauer (dancer/choreographer), Heman Chong (visual artist/curator), Jim Fletcher (actor), Lenio Kaklea (dancer/choreographer), Jan Liesegang (architect), Valda Setterfield (dancer/actress), Marcus Steinweg (philosopher), and Fadi Toufiq (writer/artist). Following the think tank, Musée de la Danse: Expo Zéro will open to the public for three days during museum hours, at which time visitors can be led on specially guided tours by one or more of the participants. Equal parts artistic project, institutional platform, and political proposition, Musée de la Danse: Expo Zéro will undoubtedly have a lasting impact on not only the New York City dance scene, but on the larger culture as well. Co-curated by Boris Charmatz and Martina Hochmuth. Lead Curator for Performa: Lana Wilson.

PERFORMA.TV
Musée De La Danse: Expo Zéro, Boris Charmatz

PERFORMA.TV

Play Episode Listen Later Nov 9, 2011 4:39


PERFORMA.TV
Musée de la Danse: Expo Zéro

PERFORMA.TV

Play Episode Listen Later Nov 9, 2011 6:44


Musée de la Danse: Expo Zéro is a living exhibition created by renowned French choreographer Boris Charmatz for his groundbreaking Musée de la Danse (Dancing Museum) in Rennes, France, and now being re-conceived for New York City as part of Performa 11. Musée de la Danse: Expo Zéro is an exhibition without any artwork, but with artists. It includes no objects, photographs, sculptures, or installations. Rather, it is comprised of completely empty rooms filled by the gestures, projects, bodies, stories, and dances which visitors will both see and imagine. In this way, it is truly a “museum of dance,” a radical new way of looking at the history and future of that most ephemeral of art forms, through a unique live experience that each visitor will have with an extraordinary cast of people and performers inhabiting a seemingly blank gallery space.