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durée : 00:16:26 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Sophie Montavon, peintre en décor, formée à l'école Jean Sablé de Versailles, est spécialiste en trompe-l'œil. Elle constate que ses peintures, qui jouent sur la perspective et les effets de lumière, changent considérablement la vie des résidents en EHPAD.
À l'encre, au fusain, à la peinture, Henri Matisse n'a presque jamais cessé de représenter son visage: les yeux en amande, parfois souriant mais plus souvent austère, voire vieilli et toujours le même foulard noir noué autour du cou, dissimulant l'opération de la trachée qu'elle a du subir enfant. Elle c'est Marguerite Matisse, sa fille. L'exposition Matisse et Marguerite, au Musée d'art moderne de Paris, met en lumière cette femme de l'ombre. Mais Marguerite est bien plus que la fille ainée du peintre ou son modèle car à force d'avoir fréquenté l'atelier enfant, elle s'est elle-même lancée dans la peinture, avec un talent remarqué à l'époque. Elle est aussi devenue une courageuse résistante à l'occupation nazie dans les années 40 refusant de parler sous la torture. Et jusqu'à la fin de ses jours, elle s'est évertuée à défendre l'héritage artistique de son père, le peintre Henri Matisse.Charlotte Barat-Mabille et Hélène de Talhouët, commissaires de l'exposition sont les invitées de Sur le pont des arts. Matisse et Marguerite est à voir au Musée d'art moderne de Paris jusqu'au 24 août 2025. Au programme de l'émission :► Chronique Les librairies du mondeIsabelle Lambert, de la librairie Livre-S à Marche-en-Famenne en Belgique, nous présente le roman La pommeraie de Peter Heller édité chez Actes Sud en mars 2025. Ce roman nous emmène dans la nature sauvage du Vermont, ses étangs et ses longs hivers. Ici, une mère et sa fille vivent loin du monde dans une Pommeraie.Elle nous parle aussi, en cette date du samedi 26 avril 2025, de la fête de la librairie indépendante. Pour la 27è édition, ils sont plus de 700 libraires indépendants en Belgique, en France et en Suisse à célébrer l'évènement. À l'occasion de cette journée spéciale, chaque visiteur recevra l'ouvrage inédit intitulé « Esprit es-tu là ? ». Cet ouvrage publié par Gallimard spécialement pour l'occasion, explore le thème des fantômes dans la littérature et l'art. Il rassemblera les contributions de 5 artistes et intellectuel.les : Gabriel Dufay, Antoine Ginésy, Claire Morel, Daniel Sangsue et Vahram Muratyan. ► ReportageSolène Gardré est allée au théâtre de Belleville voir le spectacle Maintenant, je n'écris plus qu'en français. Dans cette pièce autobiographique, l'auteur ukrainien Viktor Kyrylov se trouve à Moscou depuis 3 ans, lorsque la guerre éclate le 24 février 2022. Son monde bascule avec cette situation impensable : celle d'être dans le pays qui envahit son propre pays, l'Ukraine. ► Playlist du jourLéo Ferré - Est-ce ainsi que les hommes viventKokoroko - Sweetie
À l'encre, au fusain, à la peinture, Henri Matisse n'a presque jamais cessé de représenter son visage: les yeux en amande, parfois souriant mais plus souvent austère, voire vieilli et toujours le même foulard noir noué autour du cou, dissimulant l'opération de la trachée qu'elle a du subir enfant. Elle c'est Marguerite Matisse, sa fille. L'exposition Matisse et Marguerite, au Musée d'art moderne de Paris, met en lumière cette femme de l'ombre. Mais Marguerite est bien plus que la fille ainée du peintre ou son modèle car à force d'avoir fréquenté l'atelier enfant, elle s'est elle-même lancée dans la peinture, avec un talent remarqué à l'époque. Elle est aussi devenue une courageuse résistante à l'occupation nazie dans les années 40 refusant de parler sous la torture. Et jusqu'à la fin de ses jours, elle s'est évertuée à défendre l'héritage artistique de son père, le peintre Henri Matisse.Charlotte Barat-Mabille et Hélène de Talhouët, commissaires de l'exposition sont les invitées de Sur le pont des arts. Matisse et Marguerite est à voir au Musée d'art moderne de Paris jusqu'au 24 août 2025. Au programme de l'émission :► Chronique Les librairies du mondeIsabelle Lambert, de la librairie Livre-S à Marche-en-Famenne en Belgique, nous présente le roman La pommeraie de Peter Heller édité chez Actes Sud en mars 2025. Ce roman nous emmène dans la nature sauvage du Vermont, ses étangs et ses longs hivers. Ici, une mère et sa fille vivent loin du monde dans une Pommeraie.Elle nous parle aussi, en cette date du samedi 26 avril 2025, de la fête de la librairie indépendante. Pour la 27è édition, ils sont plus de 700 libraires indépendants en Belgique, en France et en Suisse à célébrer l'évènement. À l'occasion de cette journée spéciale, chaque visiteur recevra l'ouvrage inédit intitulé « Esprit es-tu là ? ». Cet ouvrage publié par Gallimard spécialement pour l'occasion, explore le thème des fantômes dans la littérature et l'art. Il rassemblera les contributions de 5 artistes et intellectuel.les : Gabriel Dufay, Antoine Ginésy, Claire Morel, Daniel Sangsue et Vahram Muratyan. ► ReportageSolène Gardré est allée au théâtre de Belleville voir le spectacle Maintenant, je n'écris plus qu'en français. Dans cette pièce autobiographique, l'auteur ukrainien Viktor Kyrylov se trouve à Moscou depuis 3 ans, lorsque la guerre éclate le 24 février 2022. Son monde bascule avec cette situation impensable : celle d'être dans le pays qui envahit son propre pays, l'Ukraine. ► Playlist du jourLéo Ferré - Est-ce ainsi que les hommes viventKokoroko - Sweetie
durée : 00:06:18 - franceinfo junior - À l'occasion des 10 ans de l'inauguration de la réplique de la grotte Chauvet, les enfants de franceinfo junior interviewent Leo Bayel, archéologue qui a pu l'étudier de près.
durée : 00:58:36 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Au 19ᵉ siècle, les expositions universelles sont les vitrines des arts et de l'industrie. Du Crystal Palace à Londres au Palais du Champ-de-Mars à Paris, les exposants donnent à voir leurs objets à un large public. Peintures, machines et textiles deviennent le laboratoire du monde entier. - réalisation : Thomas Beau, Cassandre Puel - invités : Édouard Vasseur Archiviste paléographe, conservateur en chef du patrimoine
durée : 00:31:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Deuxième entretien de la Nuit avec Meret Meyer, petite-fille du peintre Marc Chagall et Ambre Gauthier, docteure en histoire de l'art, toutes deux commissaires de l'exposition "Chagall, du noir et blanc à la couleur" à Aix-en-Provence. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Meret Meyer Éditrice, co-commissaire de l'exposition Chagall du noir et blanc à la couleur; Ambre Gauthier Docteure en Histoire de l'art, co-commissaire de l'exposition "Chagall du noir et blanc à la couleur"
durée : 00:04:40 - Les peintures musicales de Marc Chagall - par : Max Dozolme - Il y a quarante ans jour pour jour disparaissait Marc Chagall, un artiste mélomane, très inspiré par la musique qu'il représente souvent dans ses tableaux et qu'il sert notamment à travers des œuvres monumentales qui prolongent, à Nice, New-York ou Paris, notre expérience du concert…
Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, Pauline Leroux reçoit David Damour, un artiste et auteur profondément passionné par la couleur végétale et les pigments naturels. Dès l'âge de 7 ans, David a été fasciné par la peinture, mais c'est au fil des années qu'il a découvert l'univers fascinant des plantes tinctoriales. Ensemble, ils plongent dans l'importance des pigments extraits de plantes et de minéraux, ainsi que les défis liés à leur résistance à la lumière. « La couleur est une poésie que nous pouvons toucher », déclare David, soulignant ainsi l'essence même de son art. Au cours de cette discussion enrichissante, David partage ses expériences et ses connaissances sur les techniques d'extraction des pigments, la différence entre les divers liants artistiques, et l'impact des UV sur les œuvres d'art. Ils évoquent également des plantes emblématiques telles que la sophora et le coquelicot, véritables trésors de la teinture végétale, et l'importance de la transmission des savoirs autour de la couleur végétale.David présente ses livres et ses ressources en ligne, tout en révélant ses projets futurs, dont l'ambitieux projet de créer un musée dédié aux pigments naturels. Ce projet vise à célébrer les couleurs de plantes et à sensibiliser le public à l'importance des colorants biosourcés et des fibres naturelles dans notre quotidien. Cet épisode est une véritable invitation à explorer le monde des colorants végétaux, en mettant en lumière des techniques artisanales et des savoir-faire ancestraux. Les auditeurs découvriront comment la teinture naturelle et l'utilisation de pigments végétaux peuvent transformer non seulement l'art, mais aussi notre rapport à la nature et à la durabilité. Ne manquez pas cette belle plongée dans l'univers des couleurs naturelles et des techniques artistiques qui les entourent. Que vous soyez artiste, passionné de design, ou simplement curieux des merveilles du monde végétal, cet épisode d'ArtEcoVert vous apportera des clés pour mieux comprendre la richesse des plantes tinctoriales et leur potentiel créatif. Pour approfondir vos connaissances, n'hésitez pas à explorer les liens utiles partagés dans la description. Préparez-vous à être inspiré par cette conversation fascinante et à découvrir des perspectives nouvelles sur la coloration capillaire végétale et les tanins. Belle écoute ! Pauline
durée : 00:30:01 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Il se définit comme un peintre d'histoire, et nourrit son travail aussi bien des penseurs caribéens que des codes de la peinture classique. Après une installation remarquée au Panthéon, Raphaël Barontini investit le Palais de Tokyo avec l'exposition “Quelque part dans la nuit, le peuple danse”. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Raphaël Barontini Artiste plasticien français
durée : 00:16:35 - Les Nuits de France Culture - par : Geneviève Huttin - "Mes tableaux sont les cendres de mon art" disait Yves Klein. En 1962, le peintre réalise "Peintures de feu", un cycle de seize feux réalisés au chalumeau sur toile en 1962 dans les emprises du Gaz de France. C'est cette aventure que Pascale Lismonde nous raconte dans "Clin d'oeil" en 2004. - réalisation : Mydia Portis-Guérin
“Objets en question” Archéologie, ethnologie, avant-gardeau musée du quai Branly – Jacques Chirac, Parisdu 11 février au 22 juin 2025PODCAST – Entretien avec :Alexandre Farnoux, Professeur d'archéologie et d'histoire de l'art grec à Sorbonne Université,Polina Kosmadaki, Conservatrice d'art moderne et contemporain et Conservatrice en chef du Département des Peintures au musée Benaki d'Athènes,Philippe Peltier, Conservateur général du patrimoine, ancien responsable de l'Unité patrimoniale Océanie-Insulinde au musée du quai Branly – Jacques Chirac,et Effie Rentzou, Professeure de littérature française à Princeton University, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 10 février 2025, durée 24'03,© FranceFineArt.Communiqué de presse CommissariatAlexandre Farnoux, Professeur d'archéologie et d'histoire de l'art grec à Sorbonne UniversitéPolina Kosmadaki, Conservatrice d'art moderne et contemporain et Conservatrice en chef du Département des Peintures au musée Benaki d'AthènesPhilippe Peltier, Conservateur général du patrimoine, ancien responsable de l'Unité patrimoniale Océanie-Insulinde au musée du quai Branly – Jacques ChiracEffie Rentzou, Professeure de littérature française à Princeton UniversityLe commissariat de l'exposition a été conçu en partenariat scientifique avec le musée Benaki d'Athènes et l'École française d'Athènes. Avec le soutien de la Fondation Marc Ladreit de Lacharrière.Qu'est-ce qu'un objet d'art ? Qu'en dire ? Comment le présenter ? Objets en question présente le dialogue fertile et dynamique entre recherche scientifique et art d'avant-garde autour de ces questions pendant la période de l'entre-deux guerres en France.En présentant des oeuvres d'art, des notes, des croquis, des publications, l'exposition évoque cette approche expérimentale et rend compte des croisements entre archéologie, ethnologie, anthropologie et pratique artistique, en mettant l'accent sur le surréalisme.À partir des années 1930, plusieurs revues liées aux avant-gardes artistiques sont les supports d'une nouvelle dynamique. Cahiers d'art (1926-1965), Minotaure (1933-1939) et Documents (1929-1930) en particulier, créent un décloisonnement sans précédent des disciplines en mettant en dialogue des reproductions photographiques d'oeuvres antiques, modernes et extraeuropéennes. Galeries, musées, collections accompagnent ce mouvement. Cette mise en regard inédite soustrait oeuvres et objets à l'autorité de l'histoire de l'art classique, tout en en faisant naître des nouveaux sens.Parmi les collaborateurs et intervenants de ces revues, Pablo Picasso, Georges Henri et Thérèse Rivière, André Breton, Michel Leiris, Charles Ratton, Joan Miró, Brassaï, Claude Cahun ou encore Georges Bataille, aux côtés d'archéologues, d'ethnologues et de conservateurs de musées ou galeristes, partagent une curiosité commune pour l'art appartenant à un passé lointain, l'art non-occidental, mais aussi pour l'art populaire et l'art du quotidien. Leur approche expérimentale donne naissance à une nouvelle perception des objets, des lieux, des époques. Ils interrogent le concept même de musée en posant ces questions fondamentales : Qu'est-ce que l'objet ? Qu'est-ce que l'art ?Composée de quatre sections thématiques, conçues comme des constellations où oeuvres et archives manuscrites dessinent une figure et produisent du sens, l'exposition crée des interactions, parfois dissonantes, entre univers et cultures différents. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:46 - Ces internes en médecine se dévoilent en exposant leurs peintures, dessins et aquarelles à Brest
“Revoir Cimabue” Aux origines de la peinture italienneau Louvre, Parisdu 26 janvier au 12 mai 2025Entretien avec Thomas Bohl, conservateur au département des Peintures – musée du Louvre, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 21 janvier 2025, durée 13'45,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/01/25/3587_revoir-cimabue_louvre/Communiqué de presseCommissariat :Thomas Bohl, conservateur au département des Peintures, musée du LouvreLes années 1280-1290 furent le témoin d'un moment fondamental, révolutionnaire même, dans l'histoire de la peinture occidentale : pour la première fois, un peintre cherche à représenter dans ses oeuvres le monde, les objets et les corps qui l'entourent tels qu'ils existent. Cet artiste visionnaire, dont nous ne savons presque rien et dont seule une quinzaine d'oeuvres nous sont parvenues, c'est Cimabue (Florence, vers 1240 – Pise ?, 1301/ 1302).La première exposition à lui être consacrée est le fruit de deux actualités de grande importance pour le musée du Louvre : la restauration de la Maestà, souvent qualifiée « d'acte de naissance de la peinture occidentale » et l'acquisition en 2023 de La Dérision du Christ, un panneau inédit de Cimabue redécouvert en France chez des particuliers en 2019 et classé Trésor National.Ces deux tableaux, dont la restauration s'est achevée fin 2024, constituent le point de départ de cette exposition, qui, en réunissant une quarantaine d'oeuvres, ambitionne de mettre en lumière l'extraordinaire nouveauté de sa manière et l'incroyable invention par laquelle il renouvela la peinture. Elle écrit ainsi le récit passionnant d'un commencement.Cimabue a ouvert la voie du naturalisme dans la peinture occidentale. Avec lui, les conventions de représentation héritées de l'art oriental, en particulier des icônes byzantines, si prisées jusqu'alors, cèdent la place à une peinture inventive, cherchant à suggérer un espace tridimensionnel, des corps en volumes et modelés par de subtils dégradés, des membres articulés, des gestes naturels et des émotions humaines. Il développe également une verve narrative que l'on pensait jusqu'à présent initiée par ses flamboyants successeurs, Giotto et Duccio.Nos connaissances sur Cenni di Pepe, dit Cimabue, sont très minces, comme le rappelle le prologue de l'exposition : on ignore jusqu'à la signification de son surnom et seuls quelques documents d'archive permettent d'identifier l'artiste et de donner de rares repères dans son parcours. C'est Dante, dans un passage de La Divine Comédie, qui forge le mythe au début du XIVe siècle : en établissant son importance, il est à l'origine de la fascination que le nom de Cimabue exercera des Médicis jusqu'à aujourd'hui.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
«J'ai dessiné follement pour que, quand je n'aurai plus d'yeux, j'en aie au bout des doigts». Voilà ce qu'écrivait Suzanne Valadon. Née de père inconnu et élevée dans le Montmartre populaire du début du XXè siècle, employée comme modèle des peintres de l'époque, Toulouse Lautrec, Renoir, avant de se faire finalement sa propre place. Longtemps pourtant, on s'est davantage souvenu du nom de son fils Maurice Utrillo que du sien. Suzanne Valadon est une anti-conformiste née et dans sa vie d'artiste, elle n'a pas peur de bousculer les règles, jusqu'à peindre des nus masculins, scandale ! Après une première exposition à Metz, le Centre Pompidou à Paris lui consacre une grande rétrospective.Nathalie Ernoult, commissaire de l'exposition Suzanne Valadon au Centre Pompidou à Paris ainsi que Flore Mongin, journaliste et Coline Naujalis, illustratrice qui publient Suzanne Valadon, sans concession, aux éditions Seghers sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission :ReportageJosé Marinho nous fait découvrir l'exposition Louvre Couture. La première exposition mode du musée du Louvre met en dialogue 65 tenues et 30 accessoires des années 60 avec des artefacts issus des collections du musée. Chronique Saison 1 / Épisode 1Jessica Taïeb nous parle de la sortie d'un anime sur Netflix, Sakamoto Days. L'histoire de Taro Sakamoto, le meilleur tueur à gages de tous les temps qui décide de ranger ses fusils pour fonder une famille. Mais très vite, il est rattrapé par son passé dans le crime.
«J'ai dessiné follement pour que, quand je n'aurai plus d'yeux, j'en aie au bout des doigts». Voilà ce qu'écrivait Suzanne Valadon. Née de père inconnu et élevée dans le Montmartre populaire du début du XXè siècle, employée comme modèle des peintres de l'époque, Toulouse Lautrec, Renoir, avant de se faire finalement sa propre place. Longtemps pourtant, on s'est davantage souvenu du nom de son fils Maurice Utrillo que du sien. Suzanne Valadon est une anti-conformiste née et dans sa vie d'artiste, elle n'a pas peur de bousculer les règles, jusqu'à peindre des nus masculins, scandale ! Après une première exposition à Metz, le Centre Pompidou à Paris lui consacre une grande rétrospective.Nathalie Ernoult, commissaire de l'exposition Suzanne Valadon au Centre Pompidou à Paris ainsi que Flore Mongin, journaliste et Coline Naujalis, illustratrice qui publient Suzanne Valadon, sans concession, aux éditions Seghers sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission :ReportageJosé Marinho nous fait découvrir l'exposition Louvre Couture. La première exposition mode du musée du Louvre met en dialogue 65 tenues et 30 accessoires des années 60 avec des artefacts issus des collections du musée. Chronique Saison 1 / Épisode 1Jessica Taïeb nous parle de la sortie d'un anime sur Netflix, Sakamoto Days. L'histoire de Taro Sakamoto, le meilleur tueur à gages de tous les temps qui décide de ranger ses fusils pour fonder une famille. Mais très vite, il est rattrapé par son passé dans le crime.
durée : 00:51:56 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Sophie-Catherine Gallet, Maïwenn Guiziou - Moyen d'expression non-verbal, le sourire révèle et communique des émotions. Pourtant, sa représentation picturale n'est pas une évidence. Du sourire divin de l'art chrétien aux chefs-d'œuvre de la Renaissance, quelle est l'évolution du sourire en peinture ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Sébastien Allard Conservateur général du Patrimoine, Directeur du département des Peintures du musée du Louvre
Connaissez-vous la figure du fou ? Au Moyen-Âge, ce personnage comique avait pour fonction de distraire… Mais pas seulement. Car sous couvert de folie, ce gardien du désordre révèle aussi des dangers… Et fascine les artistes. Sculpture mutine, personnage dissimulé dans les tapisseries, esquissé en enluminures, le fou est partout. Comment interpréter cette omniprésence artistique ? Le musée du Louvre lui consacre une exposition fascinante et foisonnante. Peintures, sculptures, gravures, enluminures ou encore objets du quotidien soulignent l'obsession de l'Europe pour une figure inquiétante et amusante, délirante et subversive. Une figure décryptée pour nous par Elisabeth Antoine-König, conservatrice générale au département des Objets d'Art du Louvre et commissaire de l'exposition.Elisabeth Antoine-König est l'invitée de VMDN. « La figure du fou. Du Moyen-Âge aux Romantiques » est à découvrir au musée du Louvre à Paris jusqu'au 3 février 2025. Café Polar : Mathilde Carriou nous fait découvrir la collection «Le Tour du monde en polars» aux éditions du Masque, une série initiée par Catherine Fruchon-Toussaint qui propose des romans policiers dont l'action se déroule dans une ville différente à chaque fois et dont le principe est d'allier enquête et découverte d'un pays : des États-Unis à la Chine en passant par le Sénégal, la Grèce ou encore l'Italie.
Connaissez-vous la figure du fou ? Au Moyen-Âge, ce personnage comique avait pour fonction de distraire… Mais pas seulement. Car sous couvert de folie, ce gardien du désordre révèle aussi des dangers… Et fascine les artistes. Sculpture mutine, personnage dissimulé dans les tapisseries, esquissé en enluminures, le fou est partout. Comment interpréter cette omniprésence artistique ? Le musée du Louvre lui consacre une exposition fascinante et foisonnante. Peintures, sculptures, gravures, enluminures ou encore objets du quotidien soulignent l'obsession de l'Europe pour une figure inquiétante et amusante, délirante et subversive. Une figure décryptée pour nous par Elisabeth Antoine-König, conservatrice générale au département des Objets d'Art du Louvre et commissaire de l'exposition.Elisabeth Antoine-König est l'invitée de VMDN. « La figure du fou. Du Moyen-Âge aux Romantiques » est à découvrir au musée du Louvre à Paris jusqu'au 3 février 2025. Café Polar : Mathilde Carriou nous fait découvrir la collection «Le Tour du monde en polars» aux éditions du Masque, une série initiée par Catherine Fruchon-Toussaint qui propose des romans policiers dont l'action se déroule dans une ville différente à chaque fois et dont le principe est d'allier enquête et découverte d'un pays : des États-Unis à la Chine en passant par le Sénégal, la Grèce ou encore l'Italie.
Stéphane Bern raconte Gustave Caillebotte, peintre membre du mouvement impressionniste, groupe d'artistes dissidents qui présentent leur travail hors des circuits officiels et académiques, qui a peint des hommes - et notamment “Les Raboteurs de parquet” - et a largement œuvré à l'art de son temps, autant comme artiste que comme mécène de nombreux autres peintres... Quels ont été les sujets de prédilections de Caillebotte ? Quelle a été sa singularité au sein des artistes impressionnistes ? Comment son œuvre, longtemps oubliée, a-t-elle été revalorisée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Paul Perrin, conservateur en chef et directeur de la conservation et des collections au musée d'Orsay, et commissaire, avec Scott Allan et Gloria Groom, de l'exposition "Caillebotte, peindre les hommes" au musée d'Orsay de Paris, jusqu'au 19 janvier 2025.
Stéphane Bern raconte Gustave Caillebotte, peintre membre du mouvement impressionniste, groupe d'artistes dissidents qui présentent leur travail hors des circuits officiels et académiques, qui a peint des hommes - et notamment “Les Raboteurs de parquet” - et a largement œuvré à l'art de son temps, autant comme artiste que comme mécène de nombreux autres peintres... Quels ont été les sujets de prédilections de Caillebotte ? Quelle a été sa singularité au sein des artistes impressionnistes ? Comment son œuvre, longtemps oubliée, a-t-elle été revalorisée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Paul Perrin, conservateur en chef et directeur de la conservation et des collections au musée d'Orsay, et commissaire, avec Scott Allan et Gloria Groom, de l'exposition "Caillebotte, peindre les hommes" au musée d'Orsay de Paris, jusqu'au 19 janvier 2025.
Lʹinvisible de la semaine exerce son métier artistique dans les coulisses du MCBA.Cʹest à Lausanne, au Musée cantonal des Beaux-Arts que travaille Stéphanie Ricordeau.Conservatrice-restauratrice, elle veille sur la santé de plus de 10'000 œuvres dʹart. Peintures, gravures, sculptures ou installations contemporaines. Son portrait sonore est signé Xavier Bloch.
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, lundi 12 août avec Marie-Ève et Jean-Michel: C'est la journée J'achète un livre québécois ! On parle avec Jessika Leclerc pour le rallye régional HOG Oubliez-vous des choses quand vous faites vos bagages On revient sur la fin des jeux olympiques On joue à la question impossible Bonne écoute !
ART INTERVIEW lundi et jeudi à 14h. Le podcast qui dessine la scène picturale française. Julie Gabrielle Chaizemartin pousse la porte des ateliers d'artistes. Cette semaine, Stéphane Dubreil nous parle de la peinture germanique à l'occasion de 3 expositions à Dijon, Besançon et Colmar. A ce titre, Stéphane rencontre Isabelle Dubois-Brinkmann, une des commissaires des expositions. Dijon, Besançon et Colmar proposent dans leur musée respectif trois merveilleuses expositions consacrées à la peintures germaniques de la fin du moyen-âge au début de la Renaissance. Ces trois expositions embarquent le visiteur dans un voyage esthétique et intellectuel dans cette région qui a fait au cœur de l'Europe artistique et politique. De la peinture religieuse privée ou publique, des portraits de famille à ceux des grands bourgeois commerçants, ces trois expositions ouvrent sur un monde que nous connaissons pas. On découvre des artistes majeurs aussi importants que les Italiens ou les Flamands, inventeurs stupéfiants de formes inédites. Stéphane reçoit, pour en parler, Isabelle Dubois-Brinkmann, une des deux commissaires scientifiques du projet. Les trois expositions se tiennent jusqu'au 23 septembre 2024 Maîtres et merveilles. Peintures germaniques des collections françaises (1500-1550) au musée des Beaux-Arts de Dijon Made in Germany. Peintures germaniques des collections françaises (1500-1550) au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon Couleur, gloire et beauté. Peintures germanique des collections françaises (1420-1536) au musée Unterlinden de Colmar Commissaires scientifiques - Isabelle Dubois-Brinkmann, conservatrice, directrice des musées municipaux de Mulhouse - Aude Briau, chargée d'études et de recherche à l'Institut national d'histoire de l'art, chercheuse attachée au Wittert Project, université de Liège Commissaires associées - Camille Broucke, conservatrice chargée des collections d'art ancien, directrice du musée Unterlinden de Colmar et Magali Haas, documentaliste scientifique, chargée des collections d'arts graphiques, musée Unterlinden de Colmar - Lola Fondbertasse, conservatrice chargée des collections médiévales, musée des Beaux-Arts de Dijon - Virginie Guffroy, conservatrice chargée des peintures, sculptures et objets d'arts et Amandine Royer, conservatrice chargée des collections d'arts graphiques, musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon (c) crédit pour le portrait d'Isabelle Dubois-Brinkmann/ Ville de Mulhouse / Catherine Kohler Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ART INTERVIEW lundi et jeudi à 14h. Le podcast qui dessine la scène picturale française. Julie Gabrielle Chaizemartin pousse la porte des ateliers d'artistes. Cette semaine, Stéphane Dubreil nous parle de la peinture germanique à l'occasion de 3 expositions à Dijon, Besançon et Colmar. A ce titre, Stéphane rencontre Isabelle Dubois-Brinkmann, une des commissaires des expositions. Dijon, Besançon et Colmar proposent dans leur musée respectif trois merveilleuses expositions consacrées à la peintures germaniques de la fin du moyen-âge au début de la Renaissance. Ces trois expositions embarquent le visiteur dans un voyage esthétique et intellectuel dans cette région qui a fait au cœur de l'Europe artistique et politique. De la peinture religieuse privée ou publique, des portraits de famille à ceux des grands bourgeois commerçants, ces trois expositions ouvrent sur un monde que nous connaissons pas. On découvre des artistes majeurs aussi importants que les Italiens ou les Flamands, inventeurs stupéfiants de formes inédites. Stéphane reçoit, pour en parler, Isabelle Dubois-Brinkmann, une des deux commissaires scientifiques du projet. Les trois expositions se tiennent jusqu'au 23 septembre 2024 Maîtres et merveilles. Peintures germaniques des collections françaises (1500-1550) au musée des Beaux-Arts de Dijon Made in Germany. Peintures germaniques des collections françaises (1500-1550) au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon Couleur, gloire et beauté. Peintures germanique des collections françaises (1420-1536) au musée Unterlinden de Colmar Commissaires scientifiques - Isabelle Dubois-Brinkmann, conservatrice, directrice des musées municipaux de Mulhouse - Aude Briau, chargée d'études et de recherche à l'Institut national d'histoire de l'art, chercheuse attachée au Wittert Project, université de Liège Commissaires associées - Camille Broucke, conservatrice chargée des collections d'art ancien, directrice du musée Unterlinden de Colmar et Magali Haas, documentaliste scientifique, chargée des collections d'arts graphiques, musée Unterlinden de Colmar - Lola Fondbertasse, conservatrice chargée des collections médiévales, musée des Beaux-Arts de Dijon - Virginie Guffroy, conservatrice chargée des peintures, sculptures et objets d'arts et Amandine Royer, conservatrice chargée des collections d'arts graphiques, musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon (c) crédit pour le portrait d'Isabelle Dubois-Brinkmann/ Ville de Mulhouse / Catherine Kohler Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce hors-série nous vous présentons donc les coulisses d'un programme de recherches initié à l'Institut national d'histoire de l'art (INHA) visant à répertorier les peintures germaniques dans les collections françaises entre 1370 et 1550. Le résultat en est 3 expositions, présentées aux musées Unterlinden de Colmar, au musée de Beaux-Arts de et d'Archéologie de Besançon et au musée des Beaux-Arts de Dijon. Pour en parler j'ai le plaisir de recevoir au micro les deux commissaires scientifiques des expositions : - Isabelle Dubois-Brinkmann (INHA) - Aude Briau (INHA) Pour en savoir plus sur l'exposition et le programme de recherches : https://www.musee-unterlinden.com/expositions/couleur-gloire-et-beaute/ Cet épisode a été enregistré et produit dans le cadre d'un partenariat rémunéré par le musée Unterlinden, merci beaucoup à toutes les équipes pour l'organisation ! ▪ Infos sur le podcast Créé et produit par Fanny Cohen Moreau depuis 2017. Préparation, enregistrement, montage et mixage : Fanny Cohen Moreau Générique : Clément Nouguier ➡ Plus d'infos sur cet épisode > passionmedievistes.fr/hs-29-peintures-germaniques-unterlinden ➡ Soutenir le podcast > passionmedievistes.fr/soutenir/ ➡ Instagram > www.instagram.com/passionmedievistes/ ➡ Facebook > facebook.com/PassionMedievistes ➡ Twitter > twitter.com/PMedievistes
On se retrouve cette semaine pour la suite de l'épisode avec Raphaëlle Pacaya ! Aujourd'hui elle nous parle d'une médecine peu connue par chez nous, celle du tabac. Elle nous parle de son cheminement avec elle, et de ce qu'elle apporte à ceux qui la rencontrent. On parle aussi d'art visionnaire et des mandalas de Raphaëlle, car elle est artiste peintre. Elle sera d'ailleurs en tournée dans le Sud de la France pendant tout l'été, avec son mari Garra, également artiste visionnaire, dans des festivals de chamanisme et lors de retraites bien-être qui incluent la pratique de la peinture. Retrouvez toute les infos sur le compte Insta et le site de Raphaëlle et Garra ! https://instagram.com/elle_raphaelle_pacaya/ https://instagram.com/garrapacaya/ Et mon compte Chroniques Cosmiques ici ! https://www.instagram.com/chroniquescosmiques/
Maurice Marinot est un artiste peintre qui va découvrir le travail du verre, il crée des verres très épais pour lesquels il devient mondialement connu. Chaque verrier a sa propre recette… Le musée d'Art moderne de Troyes a l'un des plus grands fonds au monde de cet artiste : près de 50 peintures, 151 verreries, et plus de mille dessins, dont 500 rentrés en 2023. Ça a été un très grand ami des collectionneurs Pierre et Denise Lévy, qui sont à l'origine de la donation et de la création du musée d'Art moderne. Maurice Marinot rend très souvent visite aux Lévy et il croque tout ce qui lui passe sous la main. Cela permet d'avoir tout un fonds documentaire où on peut voir la famille Lévy chez eux, on peut voir également l'ambiance de l'usine, les ouvriers qui arrivent à vélo ou également les œuvres, leur installation dans le bureau de Pierre Lévy ou dans leur maison à Bréviandes. Avec les témoignages de : - Juliette Faivre-Preda, conservatrice du musée d'Art moderne de Troyes. - Flavie Serrières, conservatrice-restauratrice de vitraux, artiste et présidente de la Manufacture Vincent-Petit. - Thomas Morel, conservateur des collections d'Art ancien des Musées de Troyes.
Est-ce que vous vous êtes déjà senti comme une élève de 8e primaire parachutée d'un jour à l'autre en 4e du collège ? Eh bien, c'est ce qui m'est arrivé samedi en allant voir « De bleu, de blanc, de rouge », la dernière exposition du Musée d'Art et d'Histoire […] The post La restauration genevoise de peintures françaises first appeared on Radio Vostok.
Est-ce que vous vous êtes déjà senti comme une élève de 8e primaire parachutée d'un jour à l'autre en 4e du collège ? Eh bien, c'est ce qui m'est arrivé samedi en allant voir « De bleu, de blanc, de rouge », la dernière exposition du Musée d'Art et d'Histoire […] The post La restauration genevoise de peintures françaises first appeared on Radio Vostok.
Interview aux Hospices de Beaune de Sophie Caron, conservatrice au département des Peintures au musée du Louvre, commissaire de l'exposition « REVOIR VAN EYCK. La Vierge du chancelier Rolin », présentée jusqu'au 17 juin 2024. Cet épisode a été enregistré en avril 2024 et réalisé dans le cadre d'une collaboration rémunéré avec l'Hôtel-Dieu des Hospices Civils de Beaune. ▪ Infos sur le podcast Créé et produit par Fanny Cohen Moreau depuis 2017. Préparation, enregistrement, montage et mixage : Fanny Cohen Moreau Générique : Clément Nouguier ➡ Plus d'infos sur cet épisode > passionmedievistes.fr/hs-27-nicolas-rolin-van-eyck-van-der-weyden ➡ Soutenir le podcast > passionmedievistes.fr/soutenir/ ➡ Instagram > instagram.com/passionmedievistes/ ➡ Facebook > facebook.com/PassionMedievistes ➡ Twitter > twitter.com/PMedievistes
Mon mari est peintre.Enfin... c'est un peu exagéré. Il fait de l'art très moderne, à la Jackson Pollock. Je l'ai vu dans son atelier, et il ne peint pas tant qu'il ne jette de la peinture sur la toile à mains nues.Curieusement, les gens paient de l'argent pour ses œuvres. Son œuvre la plus récente, des éclaboussures grises et bleues sur une toile grise intitulée Ocean Dawn, nous a rapporté la coquette somme de 3 000 dollars. Son travail lui rapporte un salaire complet, et même plus.Je ne comprends pas. Peut-être que les gens qui achètent ses tableaux sont plus intelligents ou plus « cultivés » que moi. Ils correspondent tous à un type très précis : des hommes bien habillés aux cheveux poivre et sel arrangés, des épouses blondes et menues qui ont l'air de n'avoir jamais mangé une part de gâteau de leur vie. Source : https://www.reddit.com/r/nosleep/comments/1c8u9gs/theres_something_wrong_with_my_husbands_paintings/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous !
durée : 00:20:07 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "Mes tableaux sont les cendres de mon art" disait Yves Klein. En 1962, le peintre réalise "Peintures de feu", un cycle de seize feux réalisés au chalumeau sur toile en 1962 dans les emprises du Gaz de France. C'est cette aventure que Pascale Lismonde nous raconte dans "Clin d'oeil" en 2004.
durée : 00:16:35 - Les Nuits de France Culture - par : Geneviève Huttin - "Mes tableaux sont les cendres de mon art" disait Yves Klein. En 1962, le peintre réalise "Peintures de feu", un cycle de seize feux réalisés au chalumeau sur toile en 1962 dans les emprises du Gaz de France. C'est cette aventure que Pascale Lismonde nous raconte dans "Clin d'oeil" en 2004. - réalisation : Mydia Portis-Guérin
durée : 00:33:54 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Il a passé une nuit au Louvre, elle y consacre sa vie : ce matin nous recevons Aurélien Bellanger qui publie « Le musée de la jeunesse » aux éditions Stock et Sophie Caron, commissaire de l'exposition « Revoir Van Eyck » qui vient de s'ouvrir cette semaine. - invités : Aurélien Bellanger Écrivain; Sophie Caron Conservatrice au département des Peintures du musée du Louvre
durée : 00:54:51 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Découverte en 1994 par trois spéléologues, cette grotte ornée attribuée au Paléolithique supérieur a un niveau de conservation exceptionnelle.
durée : 00:54:51 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Découverte en 1994 par trois spéléologues, cette grotte ornée, attribuée au Paléolithique supérieur, a un niveau de conservation exceptionnelle.
durée : 00:05:25 - franceinfo junior - franceinfo junior, s'intéresse à la vie et à l'œuvre de Dali, à l'occasion de la sortie de "Dalí".
Dans le format Rencontres de ce podcast, je vous propose des interviews de personnes qui par leur métier propagent le goût pour le Moyen Âge. Dans cet épisode, je vous propose de rencontrer l'artiste John Howe. J'ai eu le plaisir et la chance de l'interviewer à l'occasion de l'exposition "Sur les traces de Tolkien et de l'imaginaire médiéval. Peintures et dessins de John Howe" à la fondation Hélène et Edouard Leclerc à Landerneau, ouverte jusqu'au 28 janvier 2024 (et non le 24 comme je dis dans l'épisode). Pour en savoir plus sur cet épisode : https://passionmedievistes.fr/rencontres-john-howe ▪ Infos sur le podcast Créé et produit par Fanny Cohen Moreau depuis 2017. ➡ Soutenir le podcast > https://passionmedievistes.fr/soutenir/ ➡ Instagram > https://instagram.com/passionmedievistes/ ➡ Facebook > https://facebook.com/PassionMedievistes ➡ Twitter > https://twitter.com/PMedievistes ➡ Plus d'infos sur cet épisode > https://passionmedievistes.fr/rencontres-john-howe Préparation, montage, enregistrement et et mixage : Fanny Cohen Moreau Montage et mixage du générique : Moustaclem Musique du générique: Johannes Schmoelling - Time and Tide bit.ly/2ScKf8V Si vous lisez cette description jusqu'au bout, envoyez moi un message par le canal de votre choix avec une idée de personne que je pourrais recevoir dans ce format Rencontres !
Musique tonitruante, lumières disco, la carrosserie recouverte de graffitis, des conducteurs qui sifflent les passants à chaque coin de rue. Et surtout un indispensable du quotidien pour de nombreux kényans… Les matatus, ces bus de transport en commun privé, sont des incontournables de la capitale kényane. À tel point qu'une exposition leur a été dédiée dans une galerie d'art du bidonville de Kibera. Peintures, photographies, sculpture… elle a présenté différentes créations autour de l'univers des matatus. « Les matatus de Nairobi, quand le divertissement s'invite dans les transports du quotidien », un Grand reportage d'Albane Thirouard.
Bienvenue dans un nouvel épisode Parole de Pro, les épisodes hors-série du Chantier dans lesquels j'interviewe des professionnels de la rénovation, qui vous donnent des conseils d'experts sur LE sujet sur lequel ils sont spécialisés. Je suis très heureuse de vous proposer un épisode que je voulais enregistrer depuis longtemps, il s'agit d'un épisode qui a pour vocation de vous aider dans le choix des couleurs chez vous. Bien choisir les couleurs des peintures chez soi, c'est un vaste sujet, et un choix souvent difficile, alors pour répondre à mes questions je suis allée voir des professionnels du sujet : Ressource Peintures, une marque de peinture française experte de la couleur. C'est Annabelle Vermont, directrice artistique de Ressource, que j'ai rencontrée, et c'était je pense la meilleure personne pour répondre à mes interrogations : vous allez voir qu'elle est passionnée par le sujet, c'est d'ailleurs elle qui imagine et crée les couleurs du nuancier Ressource, et qui dessine également les papiers peints de la marque. On a parlé ensemble de l'histoire de famille derrière Ressource, du processus de création d'une couleur et de sa transposition en peinture, de la fabrication de peintures, de peinture classique et de peinture à la chaux, de finition mate, velours ou satinée... Mais je lui ai aussi demandé ses meilleurs conseils pour, entre autres : - savoir quelles sont les couleurs qui nous font du bien - savoir lesquelles mettre chez soi - comment les utiliser pour créer son intérieur - connaître les pièges à éviter - bien choisir les couleurs pour ne pas s'en lasser - lesquelles mettre dans une pièce sombre, lumineuse, très petite ou très grande... Bref, vous devriez trouver ici quelques conseils utiles pour vos projets ! Je pense que vous étiez nombreux à attendre un épisode sur la couleur sur le podcast, alors j'espère sincèrement qu'il vous plaira, qu'il vous aidera... et que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter, que j'en ai eu à l'enregistrer avec Annabelle. Bonne écoute ! ******NOTES DE L'ÉPISODE****** - Découvrir les peintures Ressource : https://ressource-peintures.com - Commander le nuancier de la collection 360 : https://ressource-peintures.com/produits - Trouver une boutique Ressource près de chez vous : https://ressource-peintures.com/boutiques-et-points-de-vente - Suivre Ressource sur Instagram : @ressource_peintures - Suivre Le Chantier sur Instagram : @lechantierpodcast - Si vous aimez ce podcast, vous pouvez le soutenir sur Patreon, y contribuer et accéder à des bonus exclusifs : patreon.com/LeChantierpodcast
Pour cette semaine du 11 septembre : une météorite tombée en pleine ville, une nouvelle inquiétante sur le plomb, un pneu increvable, l'effondrement des limites planétaires et un trésor historique. Bonne écoute et bon week-end ! ❤️ Abonnez-vous sur vos apps et plateformes audio préférées
À Silwan, les murs ont des yeux… mais ils ont été peints par les Palestiniens pour attirer l'attention sur leur situation. Dans cette partie de Jérusalem-Est, partie palestinienne de la ville sainte, l'expansion de la colonisation s'intensifie – environ 1 000 colons juifs vivent parmi les Palestiniens –, les incursions de la police israélienne ne sont pas rares, et la municipalité de Jérusalem, en raison de la proximité immédiate du quartier avec la vieille ville, cherche à construire une série de parcs touristiques sur les terres des habitants. Résultat : des centaines de familles palestiniennes de Silwan ont déjà reçu des avis d'expulsion ou encore de démolition de leur maison. Mais dans ce quartier, une autre forme de résistance s'est mise en place grâce au street art, de la peinture sur les murs. Un reportage de notre correspondante à Jérusalem,Les habitations sont les unes sur les autres, les ruelles étroites, mais à Silwan, ce qui attire le regard, ce sont toutes ces peintures murales, des couleurs vives, des fleurs, des portraits et des yeux, géants, qui surplombent la ville et vous donnent l'impression d'être épiés.« Ces yeux-là, ce sont ceux de la petite fille d'Um Nasser, qui a reçu un ordre d'expulsion de sa maison. »La jeune femme qui parle, Manal Shreiteh, est la responsable du projet « I Witness Silwan ». Après avoir habité quinze ans dans le quartier, cette Palestinienne de Jérusalem voulait trouver un moyen d'alerter, d'aider la communauté où elle a grandi :« Notre but principal, c'est de peindre des yeux sur les murs du quartier. Vous pouvez le voir partout quand vous vous baladez ici, à Batn-al. Ces yeux affrontent la colonisation, droit dans les yeux. C'est une manière de dire à l'occupation israélienne que nous sommes ici, dans ce quartier, que malgré les ordres d'expulsion distribués aux habitants, nous allons rester. Ces yeux regardent aussi ce qu'Israël fait aux habitants de Jérusalem en général et à ceux de Silwan plus particulièrement. C'est vrai que certaines personnes ne peuvent voir le projet que comme des dessins ou des couleurs sur les murs. Mais nous ne peignons pas seulement des fleurs, des arbres, des oiseaux typiquement palestiniens, ou les yeux des habitants du quartier, nous peignons aussi les yeux de philosophes, de militants, d'écrivains, de personnes tués par les forces israéliennes : il y a un véritable message derrière ces peintures. »Depuis 2015, 2 000 murs de Silwan ont été décorés à l'initiative de Susan Greene, une artiste juive-américaine qui travaille avec les résidents palestiniens. Peindre, s'exprimer sur les murs, une tradition propre aux partis politiques pour faire passer des messages, qui s'est peu à peu perdu avec l'arrivée des réseaux sociaux. À cause, aussi, d'une répression plus sévère des autorités israéliennes, explique Daoud el-Ghoul, militant et guide touristique alternatif à Silwan :« En utilisant les caméras de surveillance qui sont partout dans le quartier, si une personne peint sur le mur quelque chose de politique ou quoi que ce soit qui y soit lié, elle sera directement arrêtée à cause des caméras de contrôle. Tout ça fait partie de la stratégie générale. Et les peintures murales, si elles sont politiques, seront généralement retirées par les autorités israéliennes. S'il y a des drapeaux palestiniens, c'est la même chose, ils seront directement enlevés par les Israéliens. »Avec ces yeux, avec ces dessins, les habitants résistent à leur façon, affirment leur présence, sans risquer de la voir effacer.
durée : 02:00:09 - Les Matins d'été - par : Quentin Lafay - . - invités : Pierre Jolivet Réalisateur français; Inès Léraud Journaliste; Yves De Fromentel Dirigeant d'exploitation; Sébastien Allard Conservateur général du Patrimoine, Directeur du département des Peintures du musée du Louvre
durée : 00:44:56 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Ce soir, Mathilde Wagman s'entretient avec le peintre Jérémy Liron, à l'occasion de son exposition "Et c'est assez, pour l'instant, qu'une si jolie ombre danse au bord de la fenêtre", visible jusqu'au 15 juillet 2023 à la galerie Isabelle Gounod à Paris. - invités : Jérémy Liron Peintre
durée : 00:06:16 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans un impeccable français, entretien avec l'acteur Edward G. Robinson, pendant le tournage de "La Blonde de Pékin" à Nice en 1966. Habitué de la Côte d'Azur, il avait reçu le Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes de 1949 pour "La Maison des étrangers" de Joseph Mankiewicz.
durée : 00:04:17 - Le zoom de la rédaction - En 2022, le chantier de restauration de Notre-Dame de Paris a vécu un tournant, avec la fin du chantier de sécurisation et le début effectif de la reconstruction. Peintures restaurées, voûte refermée, statues restaurées : les avancées sur le chantier sont spectaculaires. Reportage.
durée : 00:59:30 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2018, à l'occasion de l'exposition "Delacroix (1798-1863)" au Louvre, Sébastien Allard et Côme Fabre, commissaires d'exposition, évoquaient, au micro de Jean de Loisy, l'histoire des tableaux emblématiques du peintre. - invités : Sébastien Allard Conservateur général du Patrimoine, Directeur du département des Peintures du musée du Louvre; Côme Fabre Commissaire d'expositions
Si vous connaissez la marque BILBOQUET, cet épisode va vous plaire car pour la première fois vous pourrez entendre Dorothée Sartorius, sa fondatrice, nous raconter sa belle aventure ! Comment elle a créé cette marque ? Comment elle vit l'entreprenariat ? Son rapport à Instagram et sa communauté très puissante ? Ses inspirations, sa façon de travailler, ses belles valeurs, ses conseils couleurs, tout est là ! Si par contre vous ne connaissez pas BILBOQUET, il faut absolument que vous découvriez l'une des plus jolies marques de peintures et de papiers peints (et bientôt tissus !) du moment. Merci Dorothée pour ta confiance et pour cet échange à distance. Bonne écoute !
durée : 00:55:02 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - 22 ans après l'inaugural “O fantasma”, applaudi à la Mostra de Venise, João Pedro Rodrigues a présenté son 6ème long-métrage à la Quinzaine des Réalisateurs, à Cannes. Le cinéaste portugais, à la présence trop rare, revient pour nous sur ses obsessions, ses inspirations, sur l'approche de son art. - invités : Joao Pedro Rodrigues
durée : 00:20:00 - Les Nuits de France Culture - Par Daniel Arasse - Réalisation Jean-Claude Loiseau