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durée : 00:04:30 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Sur Titan, des rivières sculptées par du méthane liquide présentent les mêmes formes que sur Terre. Malgré cet environnement très différent, une nouvelle étude montre qu'elles obéissent aux mêmes lois physiques, notamment à la théorie dite du seuil.
Mercure, la planète la plus proche du Soleil, est aussi la plus petite du système solaire. Mais ce que l'on sait moins, c'est qu'elle rétrécit depuis des milliards d'années. Ce phénomène étonnant s'explique par des processus géologiques profonds, liés à la structure interne de la planète.Mercure, comme la Terre, possède un noyau métallique, probablement composé principalement de fer, qui représentait à l'origine près de 85 % du volume de la planète. Lors de sa formation, il y a environ 4,6 milliards d'années, Mercure était beaucoup plus chaude. Depuis, elle a progressivement perdu de la chaleur, ce qui a entraîné une contraction de son noyau.En effet, lorsque les matériaux internes d'une planète se refroidissent, ils ont tendance à se rétracter. Sur Mercure, cette rétraction est particulièrement marquée en raison de la proportion exceptionnellement élevée de métal dans sa composition. En se contractant, le noyau exerce une force vers l'intérieur, ce qui fait se froisser la croûte à la surface. Ce phénomène est comparable à la manière dont la peau d'un fruit sec se plisse lorsqu'il se dessèche.Ce rétrécissement s'observe directement à travers les falaises d'escarpement (ou "lobate scarps") visibles à la surface de Mercure. Ces formations rocheuses, longues parfois de plusieurs centaines de kilomètres et hautes de plus de 3 000 mètres, sont le résultat de la compression tectonique de la croûte. Elles témoignent d'une contraction globale du diamètre de la planète.Selon les données recueillies par la sonde MESSENGER de la NASA, qui a orbité autour de Mercure de 2011 à 2015, Mercure aurait vu son diamètre diminuer d'environ 7 kilomètres depuis sa formation. Cette contraction est encore en cours, bien que très lente : la planète continue à perdre de la chaleur interne, ce qui engendre encore des mouvements tectoniques mineurs.Fait remarquable, Mercure est la seule planète tellurique (avec peut-être Mars) à présenter des signes aussi évidents d'une contraction globale de son volume. Sur Terre, ce processus est masqué par la tectonique des plaques, qui redistribue les contraintes de manière différente.Autre point intéressant : le noyau de Mercure pourrait encore être partiellement liquide, ce qui permettrait d'expliquer pourquoi la planète génère encore un faible champ magnétique, bien que très faible comparé à celui de la Terre.En résumé, Mercure rétrécit parce que son cœur métallique refroidit. Ce refroidissement entraîne une contraction, provoquant des plis à la surface. Ce phénomène fait de Mercure une planète unique en son genre, encore active géologiquement malgré sa petite taille et sa proximité avec le Soleil. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:42 - L'éco avec - Klarna, le géant suédois du paiement en plusieurs fois a récemment décidé de mettre les humains de côté au profit des robots… Pour quel résultat ?
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Pour écouter mon podcast Choses à Savoir Culture Générale:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Spotify:https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3?si=e794067703c14028----------------------------Parmi les milliers d'exoplanètes détectées ces dernières années, K2-18b se distingue comme l'un des mondes les plus prometteurs dans la quête de vie extraterrestre. Située à environ 120 années-lumière de la Terre, dans la constellation du Lion, cette planète intrigue par ses caractéristiques physico-chimiques uniques. Classée comme une planète « hycéenne », elle posséderait un océan liquide sous une atmosphère riche en hydrogène, un environnement inédit mais potentiellement habitable.Le 17 avril 2025, l'excitation autour de K2-18b a franchi un nouveau cap. Une équipe de chercheurs de l'université de Cambridge, grâce au télescope spatial James Webb, a annoncé avoir détecté les "indices les plus prometteurs à ce jour" d'une potentielle activité biologique sur cette exoplanète. Deux composés chimiques ont particulièrement attiré l'attention des scientifiques : le sulfure de diméthyle (DMS) et le disulfure de diméthyle (DMDS). Sur Terre, ces molécules sont produites presque exclusivement par le phytoplancton marin, et n'existent pas en grande quantité dans la nature sans activité biologique.Cette détection s'ajoute à d'autres observations précédentes tout aussi fascinantes : de la vapeur d'eau, du méthane et du dioxyde de carbone avaient déjà été repérés dans l'atmosphère de K2-18b en 2019 et 2023. La combinaison de ces gaz, particulièrement dans un environnement tempéré, suggère des réactions chimiques compatibles avec la vie, bien que des origines non-biologiques soient également possibles.Il convient néanmoins de rester prudent. Les résultats actuels ont une signification statistique de 3 sigmas, soit une probabilité de 99,7 % que ces détections ne soient pas dues au hasard. Or, pour qu'une découverte soit considérée comme scientifiquement confirmée, le seuil de confiance usuel est de 5 sigmas (99,99994 %). Les chercheurs estiment qu'entre 16 et 24 heures d'observation supplémentaires seront nécessaires pour atteindre cette rigueur.K2-18b, dont la masse est huit fois supérieure à celle de la Terre, n'est pas une planète rocheuse, mais pourrait abriter des formes de vie adaptées à un environnement riche en gaz et en liquide sous haute pression. C'est une nouvelle frontière dans la recherche de vie, différente des mondes terrestres classiques.En somme, K2-18b représente l'un des candidats les plus sérieux à ce jour pour l'identification de vie extraterrestre. Les indices détectés ne constituent pas encore une preuve, mais ils témoignent des progrès spectaculaires de l'astronomie moderne et ouvrent une ère passionnante dans l'exploration des mondes lointains. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Arthur Fils est tombé d'entrée au Masters 1000 de Madrid. Le Français s'est incliné contre Comesana,70e mondial. Le Parisien n'a pas su dompter les conditions particulières (en altitude) du tournoi madrilène. Après 1 mois et demi de belles performances, Fils marque un coup d'arrêt... Retour sur terre passager pour le Français ? L'équipe débriefe cette défaite tricolore sans oublier les autres résultats marquants de la journée dans la capitale espagnole. Dans la 2e partie de l'émission, place aux pronostics des affiches du jour à Madrid dans le tableau masculin et féminin. Au menu notamment, l'entrée en lice de Novak Djokovic contre Arnaldi ou encore le choc 100% français entre Muller et Humbert. La pépite Joao Fonseca est également au programme et affronte Tommy Paul, 12e mondial.
Gaël Monfils est au 2e tour du Masters 1000 de Madrid. Le Français a su être patient contre un excellent Borna Gojo pour devenir, à 38 ans, le plus vieux vainqueur d'un match dans la capitale espagnole. Quelles attentes entourent Monfils pour cette saison sur terre, une surface de plus en plus exigeante pour son corps et son âge ? Dans la 2e partie de l'émission, place aux pronostics des affiches du jour à Madrid dans le tableau masculin et féminin. Au menu notaemment, Joao Fonseca vs Elmer Moller, Landaluce vs Norrie ou encore Tien vs Giron. Côté tricolore Alexandre Muller affronte Goffin, Quentin Halys a rendez-vous avec Darderi tandis que Diane Parry a hérité de Kalinskaya.
durée : 00:03:15 - 100% Sainté, la chronique
Grâce au télescope spatial James-Webb, une équipe de l'université de Cambridge a observé dans l'atmosphère de l'exoplanète K2-18b des signatures spectrales de composés chimiques intrigants, notamment, la détection possible de diméthylsulfure (DMS) et de disulfure de diméthyle (DMDS). Sur Terre, ces molécules sont principalement produites par des organismes vivants tels que le phytoplancton marin. Ces résultats, qui doivent encore être confirmés, pourraient représenter une avancée significative.
Né le 28 septembre 1988 à Bourg-en-Bresse, Etienne Masson est un champion du monde discret mais ultra performant ! Il commence sa carrière par le motocross avant de découvrir un peu par hasard le pilotage sur piste sur une 125 CBR. Immédiatement dans le coup, il va franchir rapidement les échelons et les catégories, passant de la Junior Cup au Championnat Supersport puis Superbike.Il fait ses débuts en Championnat du Monde d'Endurance en 2013 avec le Junior Team Suzuki en Superstock et remporte le Bol d'Or à Magny-Cours en compagnie Baptiste GUITTET et Nans CHEVAUX. Engagé par le Suzuki Endurance Racing Team en 2015, il va entamer une collaboration fructueuse couronnée par 4 titres de Champion du monde d'endurance EWC (2015, 2016, 2020 et 2024). Dans cet entretien, Etienne revient sur son riche parcours (ponctué par 2 victoires aux 24h motos et 4 succès au Bol d'Or), ses débuts en Motocross, son ascension dans les catégories Supersport et Superbike, sa relation avec ses équipiers et la douleur qu'il a ressentie après la perte de son ami Anthony Delhalle. Un épisode touchant avec un multiple Champion du Monde qui gagne à être connu ! ____TRAJECTOIRES c'est votre podcast hebdomadaire qui retrace le parcours de personnalités qui ont marqué le monde du sport automobile, motocycliste ou des sports d'hiver.ABONNEZ-VOUS ✅ ACTIVEZ LES NOTIFICATIONS
C'est une question qu'on n'ose pas toujours poser… mais qui mérite une vraie réponse scientifique : que se passe-t-il pour le corps humain — et en particulier pour la sexualité — en apesanteur ? Est-il possible d'avoir une érection dans l'espace ? La réponse courte est : oui, mais avec des complications.Sur Terre, une érection est déclenchée par un afflux de sang dans les corps caverneux du pénis, sous le contrôle du système nerveux parasympathique. Ce processus dépend en grande partie de la gravité, qui aide le sang à affluer correctement dans les organes génitaux. Or, en microgravité, le sang se redistribue dans le haut du corps : visage, poitrine, tête. Les astronautes ont souvent le visage un peu gonflé et ressentent une pression dans le crâne. Résultat ? Le flux sanguin vers le bas du corps est réduit, ce qui peut rendre l'érection plus difficile à obtenir… et à maintenir.Cela dit, plusieurs astronautes ont rapporté des signes d'excitation spontanée en apesanteur, notamment pendant leur sommeil. Comme sur Terre, les érections nocturnes (liées au cycle du sommeil paradoxal) peuvent se produire, ce qui prouve que le mécanisme physiologique de base reste fonctionnel.Mais attention : dans l'espace, tout ce qui concerne l'intimité devient complexe. Il faut composer avec des combinaisons spatiales, un environnement confiné, l'absence de douche… et surtout, un manque total d'intimité. Les astronautes vivent et travaillent en permanence dans des modules partagés, souvent à deux ou trois, ce qui rend toute activité sexuelle discrète quasiment impossible.Par ailleurs, aucune agence spatiale n'a officiellement étudié les relations sexuelles dans l'espace. La NASA a toujours évité le sujet publiquement, et les missions sont organisées de façon à minimiser les risques de tension ou de distraction. En 1992, un mythe a circulé autour du vol STS-47, où un couple marié – Mark Lee et Jan Davis – aurait été le premier à tester le sexe dans l'espace. Mais la NASA a fermement nié toute expérience de ce type.D'un point de vue scientifique, des chercheurs se sont penchés sur la reproduction en microgravité, mais chez les animaux. Des études sur les rats ont montré que l'accouplement et la fécondation étaient difficiles en l'absence de gravité, notamment à cause de la désorientation posturale.En résumé, une érection dans l'espace est biologiquement possible, mais plus difficile qu'au sol. Et tant que les agences spatiales éviteront le sujet, notre compréhension des fonctions sexuelles humaines en orbite restera... en suspens. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Place aux tournois de Barcelone et Munich cette semaine dans Sans Filet. Le Français Giovanni Mpetschi Perricard a déçu hier face à Hamed Medjedovic. Est-ce que cela présage une saison sur terre battue compliquée ?
Dans cet épisode, je reçois Martin Vilar, entraîneur de Diane Parry, pour un échange sans filtre sur son rôle de coach sur le circuit WTA. Il revient sur les difficultés rencontrées par sa joueuse à cause de ses blessures à répétition depuis le mois de novembre. Il explique aussi pourquoi, selon lui, Aryna Sabalenka est aujourd'hui la meilleure joueuse du monde sur terre battue.
Carlos Alcaraz a décroché son 18e titre en 23 finales à seulement 21 ans. Une victoire à Monte-Carlo en 3 sets face à Lorenzo Musetti . C'est le premier sacre de l'Espagnol sur le Rocher. A-t-on vu la meilleure version de "Carlitos" cette semaine ? Ce titre est-il un trompe-l'oeil ? L'équipe revient sur le premier tour sur terre d'Alcaraz. Dans la 2e partie du Mag, on fait le bilan de la semaine monégasque. Qui mérite son top ? Qui a déçu ? L'équipe analyse ensuite les premiers tours de Barcelone, Munich et Stuttgart.
C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir.
"C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir. "
J'ai le plaisir de partager avec vous la deuxième partie de mon épisode consacré à la violoniste Marie-Annick Nicolas. Bien sûr, l'idéal est d'écouter la première partie avant celle-ci, mais c'est tout-à-fait possible aussi de commencer directement ici. Cet épisode a été enregistré à distance en octobre dernier. Bonne écoute!Les pièces diffusées sont les premier et deuxième mouvements de la sonate pour violon et piano de César Franck avec, donc, Marie-Annick Nicolas au violon et Boris Petrov au piano. A très bientôt pour de nouvelles conversations musicales!
"Témoins", une docufiction sur les expériences de mort imminente Les brèves du jour La vie sur Terre et dans l'Univers "Fais comme l'oiseau" de Michel Fugain (1974) pour parler des vols de nos amis ailés "Unreliable ": un cri dʹalerte sur la crédibilité de la recherche
Le fait du jour ou plutot le fait de la nuit... C'est le retour sur terre de Butch Wilmore et Suni Williams... Les deux astronautres américains partis pour une mission de neuf jours et finalement restés bloqués pendant neuf mois dans la station spatiale internationale... Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'essentiel des nouvelles le 19 mars 2025---Assurances auto et habitation moins chères -> https://bit.ly/infobref-assurances-mois-cheres---Le gouvernement fédéral veut renforcer sa défense militaire dans l'Arctique L'ancien caquiste Eric Lefebvre se présentera aux prochaines élections fédéralesDes frappes israéliennes auraient fait au moins 400 morts dans la bande Gaza L'inflation rebondit de manière plus forte que prévuOttawa aide un fabricant de médicaments «essentiels» à agrandir son usine au QuébecLa valeur des terres agricoles québécoises a augmenté un peu moins rapidement l'an dernierTelus va construire à Rimouski un centre d'IA «souverain»Google se prépare à réaliser sa plus grande acquisition Les deux astronautes américains qui étaient coincés dans l'espace sont de retour sur Terre Les chiens seront autorisés dans les bus montréalais l'an prochain --- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la publicité-commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les deux astronautes bloqués dans l'espace depuis des mois sont enfin de retour sur Terre, Philippe et Sandy vous expliquent comment va se passer leur retour !
Les deux astronautes bloqués dans l'espace depuis des mois sont enfin de retour sur Terre, Philippe et Sandy vous expliquent comment va se passer leur retour !
La rencontre Martineau-Dutrizac avec Richard Martineau et Benoit DutrizacPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Après plus de 9 mois passés dans l'espace, ça y est. Les deux astronautes restés coincés dans l'ISS devraient revenir sur terre. Mais quels sont les conséquences physiques de cette mission de si longue durée ? On en parle avec Sarah BAATOUT, directrice adjointe de l'Institut des applications médicales nucléaires au Centre belge de recherche nucléaire à Mol. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Perrine jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
durée : 00:05:56 - franceinfo junior - Alors qu'une mission doit rapatrier les astronautes coincés dans la Station spatiale internationale (ISS), franceinfo junior répond aux questions des enfants sur le sujet.
Et si l'accès à Internet ne connaissait plus de frontières ? La start-up française Constellation Technologies & Operations (CTO) pourrait bien ouvrir une nouvelle ère pour les télécommunications. Ce vendredi 28 février, l'entreprise a dévoilé une innovation qui pourrait transformer la connectivité spatiale : la première charge utile régénérative 5G millimétrique.Baptisée « Early Test », cette technologie utilise pour la première fois le spectre 5G mmWave depuis l'espace. Concrètement, elle permettrait d'offrir un accès à Internet ultra-rapide et à faible latence, même dans les régions les plus isolées, sans nécessiter d'infrastructures terrestres coûteuses. La 5G millimétrique (mmWave), qui exploite des fréquences élevées (24-100 GHz), est déjà reconnue pour ses débits exceptionnels et sa réactivité, idéale pour les usages intensifs en données. Jusqu'ici limitée aux zones denses à cause de sa faible portée et de sa sensibilité aux obstacles, cette technologie pourrait, grâce à CTO, s'affranchir des contraintes géographiques en passant par l'espace.Testée dans des conditions réelles, la charge utile de CTO a été intégrée avec succès à la plateforme ION de D-Orbit. Son lancement est prévu pour juin prochain, marquant une étape décisive dans la conquête de la connectivité universelle. L'ambition de CTO ne s'arrête pas là : devenir un acteur clé des services de connectivité spatiale et renforcer l'autonomie européenne dans ce secteur stratégique. Pour financer son développement, la start-up a levé plusieurs millions d'euros en moins de six mois et s'appuie sur une équipe de 30 experts issus du spatial et des télécoms.Contrairement aux constellations massives développées par certains acteurs, CTO mise sur un modèle collaboratif. Son infrastructure spatiale sera partagée avec les opérateurs télécoms, qui pourront ainsi étendre leur couverture sans lourds investissements. Une solution particulièrement adaptée aux zones rurales et isolées, où les réseaux terrestres restent difficiles à rentabiliser. Charles Delfieux, CEO de CTO, insiste sur l'importance de cette avancée : « C'est une brique fondamentale pour bâtir une infrastructure spatiale de télécommunications de nouvelle génération ». Avec cette innovation, la France pourrait bien s'imposer comme un pionnier d'un Internet sans frontières, accessible partout sur la planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En décembre 2024, la NASA a découvert un astéroïde nommé 2024 YR4, mesurant entre 40 et 100 mètres de diamètre. Les analyses initiales indiquent une probabilité d'impact avec la Terre le 22 décembre 2032, estimée à environ 1,2 %, soit une chance sur 83. Cette probabilité, bien que faible, a conduit les agences spatiales internationales à classer 2024 YR4 au niveau 3 sur l'échelle de Turin, qui évalue le risque d'impact des objets célestes. Ce niveau suggère une attention particulière de la part des astronomes en raison d'une possibilité d'impact capable de causer des destructions localisées.Si un tel astéroïde venait à percuter la Terre, les conséquences seraient significatives mais non cataclysmiques. Un impact libérerait une énergie estimée à environ 8 mégatonnes de TNT, soit plus de 500 fois la puissance de la bombe atomique d'Hiroshima. Cela pourrait dévaster une grande ville et ses environs.Cependant, il est important de noter que ces estimations sont basées sur des observations initiales. À mesure que de nouvelles données seront collectées, notamment lors du prochain passage rapproché de l'astéroïde en 2028, les scientifiques pourront affiner la trajectoire prévue de 2024 YR4. Historiquement, de nombreux astéroïdes initialement considérés comme menaçants ont vu leur risque d'impact réévalué à la baisse après des observations supplémentaires.Les agences spatiales, dont la NASA et l'Agence spatiale européenne (ESA), surveillent activement cet astéroïde. Des groupes internationaux, tels que le Réseau international d'alerte aux astéroïdes (IAWN) et le Groupe consultatif de planification des missions spatiales (SMPAG), ont été activés pour coordonner les observations et envisager des mesures potentielles de défense planétaire, comme la déviation de l'astéroïde.En conclusion, bien que la découverte de 2024 YR4 et sa trajectoire actuelle justifient une surveillance continue, il n'y a pas lieu de paniquer. Les probabilités d'un impact en 2032 restent faibles, et les efforts internationaux sont en place pour affiner les prévisions et, si nécessaire, mettre en œuvre des mesures de protection de notre planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce mercredi 19 février, François Sorel a reçu Philippe Dewost, fondateur de Phileos, ancien directeur général de l'EPITA, Clément David, président de Theodo Cloud, et Jérôme Colombain, journaliste, créateur du podcast « Monde Numérique ». Ils se sont penchés sur la relance de la course à l'IA par Elon Musk, et la première vente des robots humanoïdes à des particuliers par Unitree, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Chaque jour, notre planète est bombardée par des milliers de météorites. Heureusement, la plupart sont de petites tailles et brûlent en entrant dans l'atmosphère. Mais celles qui survivent à cette descente infernale finissent par s'écraser quelque part sur Terre. Où exactement tombent-elles ? Y a-t-il des endroits privilégiés ?Une majorité finit dans les océansLa Terre est recouverte à 71 % d'eau, principalement par les océans. Logiquement, la plupart des météorites terminent donc leur course dans les mers et disparaissent sans laisser de trace. Lorsqu'une météorite s'écrase dans l'eau, l'impact est généralement absorbé et reste invisible, sauf pour les plus grosses qui peuvent provoquer des ondes de choc sous-marines.Les zones désertiques, des terrains de prédilection pour la découverteBien que les météorites tombent aléatoirement, certaines zones sont particulièrement propices à leur découverte. Les vastes étendues désertiques, comme le Sahara ou l'Antarctique, sont de véritables terrains de chasse pour les scientifiques. Dans ces environnements arides et peu perturbés par l'érosion, les météorites restent visibles pendant des milliers d'années. En Antarctique, les fragments sombres tranchent nettement avec la blancheur de la glace, facilitant leur repérage.Pourquoi trouve-t-on peu de météorites dans les forêts et les zones habitées ?Les zones boisées et humides, comme les jungles ou les forêts, sont peu favorables à la préservation des météorites. Les roches extraterrestres y sont rapidement recouvertes de végétation, rongées par l'humidité ou dispersées par l'érosion. De plus, les météorites se fragmentent souvent en touchant le sol, rendant leur identification encore plus difficile.Dans les zones urbaines, la probabilité qu'une météorite cause des dégâts est très faible. Avec des villes couvrant moins de 1 % de la surface terrestre, la probabilité qu'un impact survienne en plein milieu d'une agglomération est minime. Pourtant, quelques cas célèbres existent, comme celui de la météorite de Tcheliabinsk en 2013, qui a explosé en Russie en provoquant des milliers de vitres brisées.En résuméLes météorites peuvent tomber partout sur Terre, mais la majorité finit dans les océans. Les déserts et l'Antarctique sont les endroits où on les retrouve le plus facilement. Même si elles traversent parfois les cieux des villes, le risque qu'une météorite frappe un bâtiment ou un humain reste extrêmement faible. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Joao Fonseca a fait une entrée remarquée à Buenos Aires. Le jeune brésilien de 18 ans s'est offert le local, Tomas Martin Etcheverry, en deux sets, au premier tour du 250 argentin. Quelle saison sur terre peut nous offrir la nouvelle pépite du tennis ? L'équipe revient sur la performance de Fonseca et aborde également les autres résultats marquants, comme la victoire de Diego Schwartzman ou celles de nos Français dans le sud de la France. Dans la 2e partie de Sans Filet place aux pronostics à Marseille, Delray Beach et Buenos Aires, sans oublier les quarts de finale du WTA 1000 de Doha.
durée : 00:04:15 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire cette semaine : des molécules indispensables à la vie d'origine extraterrestre, un nouvelle aptitude cognitive mise en évidence chez les bonobos et une étude sur les fluctuations de notre humeur au fil du temps...
durée : 00:03:36 - Un monde connecté - par : François Saltiel - L'émission culte de documentaire de France Culture a utilisé un programme d'intelligence artificielle pour générer un épisode entièrement réalisé avec cette technologie. Quelles sont les conclusions de cette expérience ?
durée : 00:16:57 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Vendredi 31 janvier 2025 : le pianiste Alexandre Tharaud. En octobre 2024 est sorti son album "Bach" et il est concert à la Philharmonie de Paris du 31 janvier au 2 février, ainsi que le 28 février.
Il n'y a pas de planète B, les destins de la vie et de la terre sont intimement liés : c'est le message de l'astrobiologiste Nathalie Cabrol du Seti. Comment la recherche de vie, de formes de vie intelligentes ailleurs dans l'univers nous renvoie en miroir à nos responsabilités ? Prenons un peu de hauteur et changeons de perspective en réalisant à quel point l'aventure spatiale et surtout la quête de vie ailleurs dans l'univers, nous renvoie… sur Terre. Sur notre précieuse petite planète, ce minuscule point bleu, seul à ce jour à abriter la vie. Pourquoi la Terre est-elle la seule planète habitée et habitable et jusqu'à quand ? Comment les destins de la vie et de la Terre sont-ils si intimement liés Avec Nathalie A. Cabrol, directrice scientifique du Centre de recherche Carl Sagan à l'Institut SETI en Californie. Pour son ouvrage Inséparables :les destins croisés de la terre et de la vie paru chez Julliard.
Il n'y a pas de planète B, les destins de la vie et de la terre sont intimement liés : c'est le message de l'astrobiologiste Nathalie Cabrol du Seti. Comment la recherche de vie, de formes de vie intelligentes ailleurs dans l'univers nous renvoie en miroir à nos responsabilités ? Prenons un peu de hauteur et changeons de perspective en réalisant à quel point l'aventure spatiale et surtout la quête de vie ailleurs dans l'univers, nous renvoie… sur Terre. Sur notre précieuse petite planète, ce minuscule point bleu, seul à ce jour à abriter la vie. Pourquoi la Terre est-elle la seule planète habitée et habitable et jusqu'à quand ? Comment les destins de la vie et de la Terre sont-ils si intimement liés Avec Nathalie A. Cabrol, directrice scientifique du Centre de recherche Carl Sagan à l'Institut SETI en Californie. Pour son ouvrage Inséparables :les destins croisés de la terre et de la vie paru chez Julliard.
Sur Terre, le champ magnétique est généré par le mouvement du noyau externe liquide, créant une géodynamo qui oriente l'aiguille de la boussole vers le nord magnétique. Cette magnétosphère s'étend jusqu'à environ 370 000 kilomètres de la planète. Au-delà, l'influence du champ terrestre s'estompe, laissant place à d'autres forces magnétiques, notamment celles du vent solaire et des champs magnétiques interplanétaires.Dans l'espace interplanétaire, le vent solaire, composé de particules chargées émises par le Soleil, transporte un champ magnétique faible et fluctuant. Une boussole se retrouverait alors sans référence stable, rendant son aiguille incapable de pointer vers une direction fixe. De plus, les champs magnétiques des autres planètes, comme Jupiter, bien que puissants, sont trop éloignés pour influencer une boussole de manière significative.Sur des corps célestes tels que la Lune ou Mars, la situation n'est guère meilleure. La Lune ne possède pas de champ magnétique global actif, bien que certaines roches lunaires conservent des traces d'un ancien champ, créant des anomalies magnétiques locales trop faibles pour orienter une boussole. De même, Mars a perdu sa géodynamo, et les champs résiduels présents dans certaines régions de sa croûte ne suffisent pas à fournir une orientation fiable.Pour naviguer et étudier les champs magnétiques dans l'espace, les scientifiques utilisent des instruments sophistiqués tels que les magnétomètres. Ces dispositifs mesurent avec précision l'intensité et la direction des champs magnétiques locaux. Par exemple, la sonde Juno, en orbite autour de Jupiter, est équipée de magnétomètres qui ont permis de cartographier le champ magnétique géant de la planète, s'étendant sur des millions de kilomètres.En conclusion, une boussole traditionnelle, dépendante du champ magnétique terrestre, devient inopérante dans l'espace en raison de l'absence de champs magnétiques stables et uniformes. Les missions spatiales s'appuient donc sur des technologies avancées pour la navigation et l'étude des environnements magnétiques extraterrestres, rendant la boussole obsolète au-delà de notre planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La responsabilité d'être élu sur terre - Dr. Mouhammad Ahmad LO by XamSaDine
C'est le moment qu'il ne fallait pas rater dans l'émission du jour : Kylian Mbappé a avoué avoir "touché le fond". Une réaction attendue qui réconcilie certaines Grandes Gueules avec la star du football français. Mais pas toutes... à l'image de Pascal Dupraz.
Plongez dans le paradis de la Polynésie française ! Découvrez ses îles idylliques, ses plages de sable blanc et ses lagons turquoise. Voici tout ce que vous devez savoir pour vivre une expérience inoubliable.
Aujourd'hui, 15 décembre, c'est votre premier cadeau avant Noël : la suite des aventures des premiers Hommes sur la Lune...
Dans cet épisode, la team Saints France revient sur le douzième match de la saison et 3ème sous l'ère Darren Rizzi. Première défaite pour le Head Coach intérimaire...Au programme : Débriefing du match face aux Los Angeles RamsDerek Carr, un match en dent de scieFin de saison pour Taysom, fin de carrière ?Une défense en difficulté sur tous les tableauxTops & FlopsPreview du match face aux New York GiantsQuestions/RéponsesBonne écoute et Who Dat !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon la théorie de la tectonique des plaques, mise au point au début du XXe siècle, la lithosphère, composée de la croûte terrestre et de la partie supérieure du manteau, est découpée en plaques. Celles-ci bougent les unes par rapport aux autres. Ainsi, la collision de deux plaques est à l'origine de l'orogénèse, autrement dit de la formation des montagnes. Dans certaines zones, par contre, les plaques ont tendance à s'éloigner l'une de l'autre. C'est notamment le cas dans les zones de dorsales océaniques, qui désignent des chaînes de montagnes sous-marines. Des cycles de 36 millions d'années Ce mouvement de séparation des plaques entraîne la formation d'une fissure. Le magma, dont sont faites les dorsales, remonte alors et colmate cette faille. Mais elle fabrique aussi une nouvelle croûte océanique, qui tend à relever le fond des océans et, avec lui, le niveau de la mer. Par ailleurs, il arrive qu'une plaque plonge sous une autre. Ce phénomène de subduction se traduit notamment par une baisse du plancher océanique. Pour les scientifiques, cette alternance entre la montée et la baisse du fond océanique, et donc du niveau des mers, favoriserait l'apparition de nouvelles espèces et l'extension de la biodiversité. Ainsi, quand le niveau de la mer monte, la vie se développe dans les poches d'eau peu profondes formées par l'immersion de nouvelles zones. D'après les chercheurs, ces variations du niveau des mers, liées notamment aux mouvements tectoniques, se produiraient depuis environ 250 millions d'années. Ils ont également remarqué que les plaques tectoniques, à l'origine des fluctuations du niveau de la mer, suivent un cycle de 36 millions d'années. Les plaques se déplacent durant cette longue période, avant de se refroidir et de redescendre vers les profondeurs de la Terre. L'ensemble de ce mécanisme assurerait donc, tous les 36 millions d'année, des "pics" de biodiversité. Par ailleurs, la formation des chaînes de montagne, provoquée par la collision de deux plaques tectoniques, n'est pas sans influence sur les précipitations et les températures. Aussi l'impact de ce phénomène sur la biodiversité doit-il également être pris en compte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:11 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Pourquoi les météorites partagent-elles une composition commune malgré la diversité des astéroïdes ? Trois études récentes résolvent cette énigme : la quasi-totalité des météorites proviennent de trois collisions impliquant uniquement deux familles d'astéroïdes proches, Massalia et Koronis.
durée : 00:26:20 - Les Pieds sur terre
La comédienne et chanteuse âgée de 59 ans nous reçoit dans les locaux du « Monde », à l'occasion du Festival organisé en septembre par le quotidien, alors qu'elle est au cœur d'une triple actualité. Toujours à l'affiche du film de Sophie Fillières « Ma vie, ma gueule », Agnès Jaoui sort un nouvel album, « Attendre que le soleil revienne », et un livre autobiographique, « La Taille de nos seins ».Elle évoque son enfance à Sarcelles puis à Paris autour d'un père passionné de musique et d'une mère amatrice de littérature, un couple de juifs tunisiens qui ont vécu un temps en Israël. Très jeune, Agnès Jaoui apprend à observer les autres, fréquente les expositions, baigne au milieu des livres et de la musique avant de prendre des cours de théâtre. Sa rencontre avec Jean-Pierre Bacri est alors déterminante. Elle développe ensuite son rapport au goût, son coup de foudre amical avec Sophie Fillières, la vulnérabilité qu'elle trouve dans la chanson ou son amour des romans de Leonardo Padura.Agnès Jaoui revient longuement aussi sur ce qu'elle attend d'une œuvre d'art : « Ce qui me passionne c'est ce moment où tout à coup, on voit les choses différemment. Il y a des artistes qui vous font trouver de la beauté là où vous n'en voyiez pas avant. Le déterminisme socio-culturel et psychologique est tel que souvent on n'arrive pas à imaginer les choses d'un autre point de vue. L'amour permet ça, la rencontre, l'art évidemment. »Depuis six saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Juliette SavardRéalisation : Emmanuel BauxMusique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
On estime qu'environ 117 milliards d'humains sont nés sur Terre depuis l'apparition de l'espèce Homo sapiens, il y a environ 200 000 ans. Ce chiffre impressionnant provient d'estimations basées sur les taux de natalité, de mortalité et la croissance démographique à travers les âges, bien que ces données soient approximatives en raison du manque de traces historiques précises pour les périodes les plus anciennes. Les premières communautés humaines étaient petites, et les populations se développaient lentement en raison des conditions de vie difficiles, des taux de mortalité élevés, et des ressources limitées. Les taux de natalité et de mortalité étaient souvent similaires, ce qui empêchait une croissance rapide de la population mondiale. Durant des millénaires, les populations ont fluctué en fonction des famines, des épidémies, des guerres et des changements climatiques. Un tournant majeur dans la croissance de la population mondiale survient avec l'agriculture, qui a permis de stabiliser les sources de nourriture et d'augmenter les populations humaines. Environ 8 000 ans avant notre ère, l'adoption de l'agriculture a entraîné une première explosion démographique, la population mondiale atteignant environ 5 millions de personnes. À l'époque romaine, la population mondiale est estimée à environ 200 à 300 millions. La véritable explosion démographique a eu lieu après la révolution industrielle, au XVIIIe siècle, avec l'amélioration des conditions de vie, des avancées médicales, et la baisse de la mortalité infantile. En 1800, la population mondiale atteint environ 1 milliard d'individus. Ce chiffre double à 2 milliards en 1930, puis accélère rapidement au XXe siècle, atteignant 7,9 milliards en 2021. L'augmentation rapide de la population au XXe siècle a contribué de manière significative au nombre total d'humains ayant jamais vécu. En 2024, la population mondiale est d'environ 8 milliards de personnes, représentant une fraction de tous les humains qui ont vécu. Les avancées médicales, l'amélioration des conditions sanitaires et alimentaires, et l'allongement de l'espérance de vie ont été des facteurs clés de cette croissance. En résumé, avec environ 117 milliards d'humains ayant foulé la Terre depuis les débuts de l'humanité, notre espèce a traversé des périodes de lente croissance et des explosions démographiques, reflétant notre capacité à nous adapter et à survivre dans divers environnements. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:28:58 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund