Dans son balado Zoom sur le monde, François Normand traite des enjeux géopolitiques qui sont trop souvent sous-estimés par les investisseurs et les exportateurs.
BALADO GÉOPOLITIQUE. Ottawa, Washington et Mexico ont ratifié le nouvel Accord Canada États-Unis-Mexique (ACÉUM), qui remplacera bientôt l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), mais qui n’est pas encore en vigueur. Plusieurs choses ont changé, pour le meilleur et pour le pire. Voici pourquoi.
BALADO GÉOPOLITIQUE. Depuis 15 ans, le Canada a multiplié par quatre ses exportations de marchandises en Chine. Or, pendant ce temps, elles ont augmenté beaucoup moins vite en Corée du Sud et au Japon. Alors qu’une grave crise diplomatique ébranle le commerce sino-canadien, les exportateurs canadiens ont peut-être intérêt à ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier (du marché chinois).
Les États-Unis en ont une, ainsi que des pays comme l’Allemagne, la France ou la Chine. Le Québec passe «d’une diplomatie d’influence à une diplomatie économique», où les ressources de l’État québécois seront davantage mises au service des exportateurs et de l’attraction d’investissements étrangers.
BALADO GÉOPOLITIQUE. La boutade «Ok, Boomer» est une critique sociale cinglante des jeunes à l’égard des baby-boomers -aux commandes dans la plupart des gouvernements et des entreprises- qui leur reprochent de manquer d’ambition et d’avoir une certaine insouciance face aux changements climatiques. Or, toutes les parties prenantes de la société, des jeunes aux plus vieux en passant par les entreprises et les consommateurs, sont responsables de notre lenteur collective à décarboniser rapidement l’économie. Voici pourquoi.
Le Brésil, l’Afrique du Sud et le Nigeria sont les trois pays les plus dangereux au monde, selon le classement Expat Insider 2019, réalisé par le réseau InterNations auprès de plus de 20 000 expatriés de toutes les nationalités, et ce, à propos d’une liste 64 pays. Or, le Royaume-Uni et les États-Unis figurent dans le top 20 des pays les plus dangereux, arrivant respectivement au 12e et au 16e rang. Pourquoi?
BALADO GÉOPOLITIQUE. La chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989, a accéléré l’effondrement du communisme en Europe et libéré des dizaines de millions de personnes qui vivaient sous des dictatures. Une autre chose a commencé toutefois à s’effondrer à partir de ce moment-là en Occident et dans les anciens pays communistes : le bien commun. Résultat? Les inégalités ont recommencé à progresser depuis une trentaine d’années en Europe et en Amérique du Nord, des inégalités qui ont contribué à la montée des partis populistes de gauche et de droite.
BALADO GÉOPOLITIQUE. Aux yeux de la plupart des gens, Donald Trump est à l’origine de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine. Or, les causes profondes des tensions commerciales dans le monde ont beaucoup plus à voir avec la montée des inégalités qu’avec la personnalité du président américain. Voici pourquoi. Abonnez-vous à notre flux RSS pour ne rien manquer!
BALADO GÉOPOLITIQUE. La suspension de deux grands projets de Rio Tinto au Québec a de quoi inquiéter, alors que les producteurs d’aluminium pâtissent de conditions de marché très difficiles. La demande chute, l’offre augmente et les prix dégringolent. L’industrie québécoise doit révolutionner ses façons de faire, à commencer par prendre le virage 4.0, car le statu quo la mène droit dans un mur.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Dans la foulée à la lutte au réchauffement climatique, des investisseurs liquident leurs placements dans les énergies fossiles. Cela augmente le risque que ces dernières deviennent des actifs échoués, c’est-à-dire des actifs qui perdent de la valeur en raison de l’évolution du marché, comme les lignes fixes dans les télécommunications avec l’avènement de la téléphonie mobile. Au Japon, dans le secteur du charbon, on parle d’un potentiel d’actifs échoués évalués à 71 milliards de dollars américains. Dans ce contexte, les sables bitumineux de l’Alberta sont-ils à risque?
BALADO GÉOPOLITIQUE. La Chine possède ou exerce une influence sur une très grande partie des métaux stratégiques dans le monde, incluant les fameuses terres rares, qui sont vitales dans les secteurs médical, scientifique et de l'aérospatiale. Cette situation inquiète les gouvernements des États-Unis et du Canada, qui veulent réduire la dépendance des industries de pointe nord-américaines aux importations chinoises. Mais ce projet s’annonce très long et coûteux. Voici pourquoi.
BALADO GÉOPOLITIQUE. Les banques centrales ont empêché le naufrage de l’économie mondiale lors de la crise financière de 2007-2008, en injectant des centaines milliards de dollars dans le système financier. Pour limiter le réchauffement climatique à moins de 2 degrés Celsius, les gouvernements devront investir des dizaines de billions de dollars (des dizaines de 1000 milliards) dans les prochaines décennies pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES). Et si les banques centrales mettaient tout leur poids financier dans la balance pour mobiliser ces capitaux à long terme?
BALADO GÉOPOLITIQUE – L’attaque récente des installations de la pétrolière saoudienne Aramco survient dans un contexte, qui a contribué a accentué les tensions au Moyen-Orient. Et ce contexte est le retrait des États-Unis, l’an dernier, de l’accord sur le nucléaire iranien de 2015. Voici pourquoi.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Le nouvel ambassadeur canadien en Chine, Dominic Barton, peut-il faire libérer les deux Canadiens emprisonnés en Chine, alors que les tensions sont plus tendues que jamais entre Pékin et Ottawa? La tâche sera très ardue, car il hérite d’une crise diplomatique qui nécessite d’utiliser les rapports de force du Canada avec doigté.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Des pays industrialisés courent le risque de connaître les mêmes déboires économiques que le Japon (déclin démographique, stagnation économique, anémie boursière), affirment des analystes. Un risque qui pourrait avoir un impact majeur sur les entreprises et les investisseurs canadiens s’il se matérialise.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Deux courants de pensée sont en train de miner les efforts collectifs et individuels pour combattre le réchauffement de la Terre, soit le climatoscepticisme et la «collapsologie». Le premier met en doute l’existence même du réchauffement climatique et de la menace qu’il représente, tandis que le second soutient que notre monde est en train de s’effondrer et que la fin de la civilisation approche, voire l’extinction de l'humanité. Or, ces deux courants sont dangereux, car ils mènent à l'inaction et au décrochage d'une bonne partie de nos concitoyens.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Y a-t-il un ou une candidate démocrate qui puisse battre Donald Trump lors de la présidentielle de novembre 2020? Difficile à dire, mais cette personne devra avoir plusieurs cordes à son arc pour espérer déloger le locataire de la Maison-Blanche. Les voici.
BALADO GÉOPOLITIQUE – L’Organisation mondiale du commerce (OMC) s’inquiète: le nombre de barrières commerciales, comme les embargos sur les importations et les taxes douanières, atteint maintenant un « sommet dramatique ». Le protectionnisme revient à la mode, et les restrictions au commerce internationales touchent 336 milliards de dollars américains. Bien que l’OMC ne pointe pas directement du doigt l’administration Trump, elle joue un rôle important dans cette histoire. Voici pourquoi:
BALADO GÉOPOLITIQUE – François Normand compare la gestion de la crise environnementale à celle d'une entreprise en faillite: «au lieu d’écouter ses comptables et les spécialistes en relance de sociétés [c'est comme si on] continuait d’augmenter ses dépenses malgré des efforts timides, tout en ne mettant pas les bouchées doubles pour accroître ses revenus.» Le moment est venu d'agir.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Les relations entre Pékin et Ottawa s'enveniment alors que la puissance mondiale en devenir coupe l'accès des produits canadiens à son marché. La dernière victime: la viande canadienne. Le gouvernement libéral peut répliquer à ces pressions s'il utilise ses rapports de force.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Les démocrates hongkongais ont gagné une bataille, mais ils ne peuvent pas gagner la guerre. Car, même si le gouvernement de Hong Kong a renoncé à adopter une loi permettant d’extrader ses citoyens en Chine continentale pour y être jugés, le destin de Hong Kong est inéluctable : l'ancienne colonie britannique deviendra un jour une ville chinoise comme les autres dans une Chine communiste et non démocratique.
BALADO GÉOPOLITIQUE – N’écoutez pas ceux qui vous disent que Donald Trump gagnera ou perdra les prochaines élections présidentielles aux États-Unis en 2020. Car plusieurs facteurs favorisent sa victoire, mais aussi sa défaite. Aussi, tout est encore possible à 17 mois du scrutin.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Le néolibéralisme, la social-démocratie et le communisme et ont été les trois grandes idéologies qui ont façonné le 20e siècle. Or, aujourd’hui, elles sont en déclin ou discrédités. Et selon plusieurs analystes, ces trois idéologies seront marginalisées et remplacées dans les prochaines décennies par le nationalisme et l’écologisme.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Pékin a les moyens de faire mal à l’économie américaine en y limitant ses exportations de terres rares (des minerais stratégiques pour les technologies de pointe), et forcer ainsi Washington à réduire la pression dans la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis. Or, c’est une «arme stratégique» à double tranchant. Voici pourquoi.
BALADO – Même si les énergies fossiles demeurent la principale source d’énergie dans le monde, investir dans ce secteur représente un risque pour les investisseurs en raison des actifs échoués (Stranded Asset, en anglais), selon la Banque du Canada. Voici pourquoi.
BALADO GÉOPOLITIQUE – Oubliez le déficit commercial : le véritable enjeu derrière la guerre commerciale entre Washington et Pékin est la politique industrielle chinoise Made in China 2025, qui veut faire de la Chine LA puissance manufacturière en termes de qualité devant les États-Unis et l’Occident, et ce, dans 10 secteurs à haute valeur ajoutée.
Voulons-nous vraiment réduire les inégalités, qui mine la cohésion et la stabilité de nos sociétés, en plus de favoriser l’élection de partis populistes? Si la réponse est oui, les gouvernements doivent par conséquent considérer tous les outils à leur disposition, à commencer par des hausses d’impôts pour les riches afin de bonifier les programmes sociaux, qui avaient réussi à réduire les inégalités en Occident, de 1945 jusqu’au début des années 1970, disent des spécialistes.
Depuis les années 1980, la classe moyenne est en déclin dans les pays industrialisés, relève un nouveau rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Or, cette tendance est dangereuse et devrait interpeller au plus haut point les décideurs politiques et économiques, car elle mine la cohésion sociale et la stabilité de nos sociétés.
Le Canada en a vu de toutes les couleurs sur le plan commercial depuis l’élection de Donald Trump, et ce, de la renégociation de l’ALÉNA à l’imposition de tarifs sur l’aluminium et l’acier. D’autres risques commerciaux pointent toutefois à l’horizon, et ils pourraient faire encore plus mal à l’économie canadienne. (Photo: Getty Images)
L’aile gauche du parti démocrate propose de lancer un Green New Deal (GND) aux États-Unis pour combattre le changement climatique, créer des emplois manufacturiers de qualité et réduire les inégalités économiques. Comme le New Deal du président Roosevelt dans les années 1930, le GND transformerait la société américaine. Un plan très ambitieux, qui nécessite toutefois plusieurs conditions, à commencer par l’élection d’un démocrate à la présidence du pays en 2020. (Photo: Getty Images)
Les tensions économiques et politiques s’accentuent entre les États-Unis et la Chine. Si jamais cette rivalité se transformait en guerre froide, le commerce et les investissements internationaux en pâtiraient. La planète pourrait se diviser en deux blocs commerciaux, chacun centré sur sa superpuissance, et le système financier pourrait aussi se désagréger. Le Canada subirait l’onde de choc. Voici pourquoi. (Photo: Getty Images)
Depuis 30 ans, la biomasse totale des insectes diminue de 2,5% par année, soit un taux d’extinction huit fois plus rapide que celui des mammifères, des oiseaux et des reptiles, selon une étude sino-australienne. Or, les insectes sont indispensables pour la pollinisation des fruits et des légumes, car, sans eux, la production agricole chutera, les prix bondiront et la diversité diminuera, disent les spécialistes. (Photo: 123RF)
Le projet de «nouvelles routes de la soie» de Pékin est si grandiose qu’on le compare à la Grande muraille de Chine. Quand elles seront complétées, les nouvelles infrastructures (autoroutes, ports, réseaux ferroviaires, systèmes de télécommunication, etc.) lieront directement la Chine à une soixantaine de pays d’Asie centrale et d’Europe. Les retombées économiques seront énormes. Une stratégie méconnue se cache toutefois derrière ce projet: asseoir la suprématie politique mondiale de la Chine. (Photo: Getty Images)
La crise des gilets jaunes en France est beaucoup plus qu’un mouvement pour décrier la hausse des prix des carburants et la perte du pouvoir d’achat. Ce mouvement est le symptôme d’une crise de confiance profonde à l’égard du système politique français, car il remet en cause le principe même de la démocratie représentative. (Photo: Getty Images)
À moins d’une surprise de taille, le Royaume-Uni sortira de l’Union européenne (UE) sans avoir une entente à l’amiable avec Bruxelles pour garder un accès privilégié au marché européen. Une situation qui fera mal aux entreprises britanniques, mais aussi aux sociétés canadiennes qui commercent avec le Royaume-Uni.
La Chine surpassera un jour les États-Unis en déclin pour devenir LA superpuissance mondiale. Plusieurs analystes martèlent ce discours depuis quelques années. La Chine aura sans doute la première économie dans quelques décennies, mais elle pourra difficilement devenir la première puissance (économique, militaire, politique, culturelle) en raison de plusieurs facteurs. Voici pourquoi. (Photo: 123RF)
L’union fait la force, dit l’adage. Eh bien, si Ottawa considère trois éléments fondamentaux, le Canada a un rapport de force pour convaincre Washington d’abolir les tarifs sur les importations américaines d’acier et d’aluminium, alors que Donald Trump veut faire ratifier l’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) avant l’élection présidentielle de 2020. (Photo: Getty Images)
La similitude est frappante entre l’échiquier géopolitique de l’Europe avant la Première Guerre mondiale (1914-1918) et celui de l’Asie de l’Est aujourd’hui : une puissance montante qui bouleverse l’ordre établi et un manque d’institutions régionales qui complexifie la gestion des tensions politiques. Voici pourquoi ces deux facteurs augmentent le risque à terme du déclenchement d’une guerre en Asie. (Photo: Getty Images)
Après les États-Unis, l’Allemagne amorce un virage majeur sur le plan économique en se dotant d’une nouvelle stratégie pour protéger ses fleurons industriels contre les acquisitions étrangères, à commencer par celles de la Chine, qui s'inscrivent dans la politique du Made in China 2025. (Photo: Getty Images)
La lutte aux changements climatiques doit s’intensifier, affirment les spécialistes. La plupart des dirigeants politiques en sont conscients. Par contre, plusieurs d’entre eux craignent l’impact négatif sur l’économie. Or, plusieurs pays réussissent à faire croître leur PIB tout en réduisant leurs émissions de gaz à effet de serre (GES), à commencer par l’Allemagne, qui a diminué ses rejets de 4,2% en 2018, alors que le Québec a légèrement augmenté les siens de 0,01% en 2016. (Photo: 123RF)
Les Européens renouvelleront du 23 au 26 mai la composition du Parlement européen, et les partis anti-Union européenne et anti-mondialisation pourraient faire des gains majeurs et favoriser un repli sur soi du vieux continent. Une bien mauvaise nouvelle pour le Canada. Voici pourquoi. (Photo: 123RF)
On ne confie pas aux politiciens la gestion de la politique monétaire, car ils manquent d'indépendance pour prendre les décisions qui s'imposent afin de stabiliser les prix et l'économie. Pourquoi confions-nous alors aux politiciens la responsabilité de déterminer et de faire respecter les cibles de réductions de gaz à effet de serre (GES), alors que nous vivons une crise écologique mondiale qui nécessite des mesures très ambitieuses, voire draconniennes ? Dans ce contexte, la Banque du Canada pourrait bien être un modèle à suivre pour lutter contre le changement climatique. (Photo: Getty Images)
Les négociateurs canadiens ont reçu tout un appui cette semaine aux États-Unis dans la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA). Et cet appui ne vient pas des démocrates ou de républicains modérés, mais des trois principales associations patronales du pays qui représentent «America inc.» (Photo: Getty Images)
L’Europe et le monde ont besoin d’une Allemagne plus forte, alors que les États-Unis sont dirigés par un président isolationniste, que le Royaume-Uni est en train de divorcer de l’Union européenne et que la Russie fait de l’ingérence en Europe orientale. Et cela passe notamment par une armée allemande plus puissante, qui permettrait à Berlin d’être un acteur plus influent et stabilisateur dans un monde de plus en plus imprévisible. (Photo: Getty Images)
Malgré nos efforts collectifs depuis des années, les émissions de gaz à serre (GES) continuent d’augmenter sur Terre. Si la tendance se maintient, nous nous dirigeons vers un réchauffement planétaire d’environ 3,2 degrés Celcius d’ici la fin de ce siècle. La transition écologique, parsemée de «mesures réalistes», est insuffisante dans l’état actuel. Un changement de cap radical de notre mode de vie et de production s’impose donc afin d'éviter le pire pour l'environnement et l'économie. (Photo: Getty Images)
Le présumé contrat que VIA Rail pourrait accorder à l’allemande Siemens au détriment de Bombardier pour construire 32 trains a soulevé l’ire de la classe politique à Québec. Malgré tout, on gagne -et de loin- au change de la libéralisation des approvisionnements publics avec l’Union européenne, car ces marchés sont beaucoup plus importants en Europe qu’au Canada. (Photo: Getty Images)
Ce n’est pas une opinion, les chiffres le démontrent: les républicains ont perdu des plumes aux élection de mi-mandat, le 6 novembre. Le Wall Street Journal, le grand quotidien conservateur américain, parle même globalement d’une «défaite du parti républicain avec un avertissement pour 2020». Voici pourquoi. (Photo: Getty Images)
Depuis le début du siècle, le développement durable est la principale stratégie pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES), diminuer la surconsommation de ressources naturelles et protéger les écosystèmes qui nous rendent des services écologiques essentiels comme la production d'eau et d'oxygène. Or, trois études démontrent que la croissance n’arrive pas à être verte malgré tous nos efforts. (Photo: Getty Images)
Nous ne sommes pas dans les années 1930. Oui, nous assistons à une montée du populisme de droite (et, du reste, de gauche) avec les Donald Trump et Marine Le Pen de ce monde. Mais contrairement à ce qu’affirment certains analystes, nous n’assistons pas à un retour du fascisme, un régime antidémocratique, anticapitaliste, collectiviste, militariste, comme en Allemagne et en Italie durant les années 1930. Voici pourquoi. (Photo: Getty Images)
Le système canadien de la gestion de l’offre (lait, œufs, volaille) est dans le collimateur des Américains dans la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA). Or, supprimer entièrement ce système serait une erreur, car les coûts pour la société québécoise (et canadienne) surpasseraient largement les bénéfices pour les consommateurs. Voici pourquoi. (Photo: Getty Images)