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Christophe Giltay revient sur tout ce qui fait l'actu. Le plus célèbre chroniqueur de bel RTL partage son avis et son humeur à l'heure du petit déjeuner ! Un édito sans concession avec la plume et le ton unique de Christophe Giltay.
durée : 00:20:34 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Certains jeunes chinois de la classe moyenne ne cachent plus leur mal-être face à la pression d'une société hyper concurrentielle. Alors que le ralentissement économique du pays nourrit leurs inquiétudes, le parti communiste promeut pour sa part un développement toujours plus rapide. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Harold Thibault Correspondant du journal Le Monde à Pékin
On commence avec le discours de François Bayrou aux journées d'été du Medef qui ont lieu à Roland Garros
On commence avec le discours de François Bayrou aux journées d'été du Medef qui ont lieu à Roland Garros
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
Tous les jours à 12h50, Anthony Morel vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Estelle Midi, sur RMC.
Jules Verne (1828 - 1905)Kin-Fo est un jeune chinois riche, qui est indifférent à tout et ne connaît pas le bonheur. Un jour, il se retrouve ruiné. Ne voulant pas imposer à sa future épouse une vie misérable, il préfère mourir. Au moment de se donner la mort, il se rend compte qu'il ne ressent rien, et décide qu'il ne peut mourir sans connaître d'émotions au moins une fois dans sa vie. Il demande donc à son maître et ami, le philosophe Wang, de le tuer dans un délai imparti, ce qui, il l'espère, le fera redouter la mort et éprouver quelques émotions. Wang accepte, puis disparaît. Mais...(Résumé modifié de Wikipedia par Nadine)Genre(s): Action & Adventure FictionLanguage: French
Après avoir couru un semi-marathon ou disputé un match de foot, les robots passent à l'étape supérieure. La semaine prochaine, Shanghai va accueillir la toute première édition des World Humanoid Robot Games. Un événement inédit qui rassemblera plus de 500 robots issus de 127 entreprises, venus se mesurer dans une série d'épreuves sportives et artistiques. Au programme : football, basketball, tennis de table, combat libre… mais aussi danse en groupe et démonstrations techniques simulant des situations réelles. L'objectif ? Évaluer la mobilité, la réactivité et la coordination de ces machines, tout en offrant un spectacle digne des compétitions humaines.La télévision publique chinoise a déjà donné un aperçu : des robots dribblant un ballon, esquivant des coups sur un ring ou exécutant des gestes précis inspirés de sportifs professionnels. Les compétitions se dérouleront dans plusieurs enceintes de la ville, spécialement aménagées pour accueillir les épreuves et des zones d'exposition. Les participants viennent de tous horizons : start-up, géants de la tech, universités et laboratoires de recherche. Mais derrière le show, il y a un enjeu économique majeur. L'industrie chinoise des humanoïdes est en pleine accélération, portée par des investisseurs de poids comme Tencent ou Alibaba. Certaines entreprises se préparent déjà à entrer en bourse, profitant d'un atout clé : une production locale intégrée, capable de fournir à la fois les composants mécaniques et électroniques. Résultat : des coûts plus bas et des prix agressifs.Exemple marquant : Unitree a récemment lancé un humanoïde à environ 6 000 dollars. Un tarif qui ouvre le marché à des secteurs jusque-là exclus de ce type de technologie. L'objectif des fabricants est clair : rendre ces robots polyvalents, capables de passer de tâches simples à des missions plus complexes. Les Jeux de Shanghai serviront ainsi de vitrine mondiale, montrant non seulement la prouesse technologique, mais aussi le potentiel commercial de ces machines… qui n'ont pas fini de nous courir après. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. En Chine, où les échecs chinois (xiangqi en mandarin), sont toujours largement pratiqués, avec environ 6,8 millions de joueurs réguliers. Bien que traditionnellement associé aux générations plus âgées, ce jeu reste présent chez les jeunes, avec des clubs dans les universités et les lycées. Mais comme beaucoup de jeux de société traditionnels, le xiangqi a du mal à maintenir sa popularité auprès des jeunes, en particulier avec l'essor des divertissements numériques. Ritan Park, en plein cœur de Pékin. Il est à peine 8 h 30, et déjà plusieurs curieux se pressent autour d'une table. Deux hommes jouent au xiangqi, l'échiquier chinois. Tang, l'un des joueurs, nous explique les règles : « Le char se déplace en ligne droite, le canon saute par-dessus, le cheval forme un L, l'éléphant traverse en diagonale, peu à peu, on apprend. » Mais le xiangqi n'est pas qu'un jeu. Pour Liu, observateur passionné, il raconte surtout des histoires : « Beaucoup de vieilles histoires se retrouvent dans le jeu. Chaque pièce représente un guerrier, un côté de l'armée. Il y a la rivière, la frontière. C'est l'art de la guerre, au départ. Tous les gens aiment ça pour son contexte culturel. Il y a tant d'histoires derrière, si on les connaît. » Dans la conversation mêlée, Ke nous dit que c'est un héritage, mais aussi un outil d'apprentissage : « Je pense que ça aide les enfants à comprendre la culture traditionnelle. Et ça peut aussi développer leur intelligence. C'est une manière d'entraîner l'esprit. » Le xiangqi « c'est dans l'ADN chinois » Mais aujourd'hui, ce sont surtout les aînés qui perpétuent la tradition. Les jeunes, eux, se tournent vers d'autres distractions, rebondit Liu : « C'est comme l'opéra de Pékin, les jeunes n'aiment pas ça. Le changement culturel est différent. La jeune génération n'a pas la patience. Ils regardent TikTok cinq secondes, et c'est fini. C'est une question de génération. C'est pareil chez vous ! L'époque progresse, et c'est très bien. Mais parfois, il faut regarder en arrière pour comprendre l'histoire, le contexte culturel. Savoir d'où l'on vient. » Et dans cette transmission, il y a aussi une part de fierté, nous dit Li, un vieil homme au sourire franc qui suit de près le mouvement des joueurs, en s'exclamant parfois : « untel aurait plutôt dû avancer son pion dans l'autre sens ! ». « C'est ainsi que les choses se passent. Ça fait partie de notre culture traditionnelle, non ? On devrait faire de notre mieux pour la promouvoir. Si ça se développait à l'international, ça renforcerait aussi le prestige national. » Pour Liu, le xiangqi incarne une philosophie de vie : « C'est la façon de penser, comme Confucius. C'est difficile à traduire, mais c'est dans l'ADN chinois. » Jeu de stratégie, miroir de la société, mémoire vivante. Malgré les défis de la modernité, le xiangqi reste un pilier de la vie culturelle. Des efforts sont là pour transmettre ce patrimoine aux plus jeunes et faire de ce jeu de stratégie une histoire toujours en mouvement.
Les relations commerciales entre Washington et Pékin sont déjà assez tendues… et quand il s'agit de high-tech, la partie se corse encore. Ces dernières années, les États-Unis ont multiplié les restrictions sur l'exportation de matériel vers la Chine, au point d'interdire presque totalement à NVIDIA de vendre ses puces H20 à son grand rival asiatique.Eh bien, surprise : cette interdiction va tomber… grâce à un accord pour le moins inédit. Selon le Financial Times, NVIDIA et AMD viennent d'obtenir des licences d'exportation vers la Chine. Mais attention : rien n'est gratuit. En échange, les deux géants américains de la tech verseront à Washington 15 % des revenus générés par la vente de leurs puces – les H20 pour NVIDIA, les MI308 pour AMD – sur le marché chinois.Pour l'instant, personne ne sait exactement comment cette manne financière sera utilisée. Ce qui est sûr, c'est que c'est une première dans l'histoire économique américaine : jamais une licence d'export n'avait été conditionnée au reversement direct d'une partie des recettes d'une entreprise au gouvernement. Un deal qui rappelle l'approche transactionnelle popularisée sous l'ère Trump : les règles du commerce peuvent s'assouplir… si un accord avantageux est trouvé.Mais ce feu vert pourrait être de courte durée. À Washington, les opposants sont nombreux. Une vingtaine d'experts en sécurité viennent de signer une lettre au secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, pour exiger que ces puces ne soient pas vendues en Chine, estimant qu'elles pourraient booster dangereusement les capacités d'intelligence artificielle de Pékin. Autrement dit, cette ouverture pourrait bien être un simple sursis, dans un match États-Unis–Chine où technologie et géopolitique s'emmêlent toujours plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé une première fois le 3 juin.Wang Dong n'a pas travaillé depuis plusieurs mois et n'a aucune intention de le faire dans un futur proche.En attendant, le jeune homme passe ses journées dans une ville du sud-ouest de la Chine en bord de lac, réfléchissant à la prochaine étape de sa carrière.À 29 ans, il fait partie de ces jeunes chinois qui ont décidé de descendre du "tapis roulant" pour une retraite au vert, et remettre ainsi leur vie à plat.Ces longues pauses professionnelles ne sont pas inédites en Europe ou aux Etats-Unis, mais elles restent marginales en Chine, où le pouvoir critique les modes de vie oisifs pour glorifier les sacrifices servant l'essor économique du pays.Sur le Fil vous propose une visite de plusieurs de ces “maisons de retraite" temporaires pour jeunes.Invité : Matthew Walsh journaliste au bureau de l'AFP à Pékin.Réalisation : Emmanuelle BaillonReportage AFPTV : Danni ZhuDoublages : Guillaume Bonnnet, Arthur Milos, Sébastien Castéran, Michaëla Cancela-Kieffer, Louis Sibille, Benoit DucrocqSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45.Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme.Ce podcast fait l'objet d'une clause de opt-out:Sous réserve des dispositions de l'article L.122-5-3.II. du code de la propriété intellectuelle, tout accès à ou utilisation (tels que, à titre non exhaustif, la reproduction, l'agrégation et l'archivage) du contenu de ce podcast et de sa description, pour toute activité systématique ou automatisée liée à la récupération, la fouille, l'extraction, l'agrégation, l'analyse, l'exploration ou la collecte de textes, d'extraits sonores, et/ou de données, par l'intermédiaire de tout "robot", "bot", "spider", "scraper", ou de tout autre dispositif, programme, technique, outil, procédé ou méthode, réalisé dans le but de créer, développer, entraîner, tester, évaluer, modifier et/ou permettre l'exécution de logiciels, algorithmes et modèles d'apprentissage automatique/d'intelligence artificielle ou à une quelconque autre fin, sans l'autorisation préalable écrite de l'AFP, est strictement interdit. La présente disposition des CG vaut opposition expresse de l'AFP au sens des articles L. 122-5-3.III. et R. 122-28 du Code de la propriété intellectuelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La figure omnisciente de Henry Kissinger a marqué la présidence Nixon. Jamais le conseiller ne brilla davantage que lors du rapprochement avec la Chine de Mao.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre un Zuckerberg qui promet une révolution avec les super-IA personnelles, un Sam Altman qui parle de « moment historique » avec GPT-5, et la Chine qui affiche sa puissance à la World AI Conference, la guerre des récits autour de l'intelligence artificielle bat son plein.
durée : 00:06:03 - La Revue de presse internationale - par : Marie Dorcet - Pendant plus de 25 ans, Shi Yongxin a transformé le temple Shaolin en empire commercial. Il vient d'être limogé : une enquête est ouverte à son encontre pour "détournement de fonds".
durée : 00:09:23 - Les lieux à ne pas manquer - par : David ABITTAN - Le meilleur musée de France, la plus ancienne des routes des vins, le plus haut sommet d'Alsace, et la plus étonnante des statues de la liberté … Mais d'abord, une question : comment une émission de télé-réalité a-t-elle fait exploser la notoriété de Colmar en Chine ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Chine, l'intelligence artificielle n'est plus un simple sujet d'innovation, mais une réalité industrielle structurée. Challenges et le cabinet Trajectry ont organisé, début juillet un voyage d'étude à Shanghai, au cœur de ce tourbillon technologique. Là-bas, des “quartiers de l'IA” concentrent start-up, laboratoires, infrastructures GPU, plateformes de robotique et modèles open source. Objectif : autonomie technologique totale, de la puce au modèle. Loin des débats sur la régulation, la Chine passe à l'exécution. L'IA générative y est massivement utilisée : dans l'e-commerce, le marketing, la production de contenus vidéo ou la conception de produits. La robotique humanoïde, intégrée à des modèles de langage, sort des labos pour entrer dans les entrepôts et les hôpitaux.Face à cette accélération, l'Europe semble larguée. Manque d'infrastructures, dispersion des efforts, lourdeurs réglementaires… Le contraste est saisissant. Et inquiétant. Car si la Chine avance sans garde-fous éthiques, elle avance vite. Très vite. Et pose, par la seule force de son exécution, une question stratégique à l'Occident : que reste-t-il du temps long, quand d'autres courent déjà ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La visite de Anthony Albanese en Chine se poursuit
La visite de Anthony Albanese en Chine se poursuit
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, nous nous confrontons à la situation difficile des LGBT en Afrique qui, souvent, sont amenés à fuir le continent pour éviter la mort ou la prison... En deuxième partie, direction la Chine qui produit une grande quantité de vin avec ses plus de 800 000 hectares de vignes. Quantité, mais aussi qualité grandissantes. Domaine dans lequel les femmes sont de plus en plus innovantes. (Rediffusion) Migrants LGBT : quitter l'Afrique pour survivre Être gay ou lesbienne dans certains pays d'Afrique est puni d'emprisonnement. Dans d'autres pays du continent, si l'homosexualité n'est pas pénalisée, elle est très mal perçue par la population. Les LGBT sont rejetés, menacés et risquent la mort. LGBT, appellation des années 90 pour lesbienne, gay, bisexuel et trans est devenu LGBTQIA+ pour intégrer d'autres identités sexuelles et de genre. Face aux actes homophobes et transphobes parfois très violents, partir est fréquemment l'issue pour tout simplement sauver sa vie. Migrer en Europe, en France où les demandes d'asile liées à l'orientation sexuelle ne cessent d'augmenter. Un Grand reportage de Lise Verbeke (avec l'aide de Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix. En Chine, les vigneronnes ont vraiment du nez Le secteur viticole chinois a connu, pendant une trentaine d'années, des hauts et des bas. L'enjeu économique est très important : la Chine compte 800 000 hectares de vignes. Devant la France, régulièrement, les ventes de vins plafonnent. La consommation n'étant pas encore vraiment entrée dans les mœurs. Mais la dernière tendance est porteuse d'espoir. La quantité de vin produite augmente. La qualité aussi. À la clé : des récompenses et des médailles. Dans cet essor, les femmes brillent par leur excellence et leurs innovations. Un Grand reportage de Clea Broadhurst qui s'entretient avec Jacques Allix.
Invité : Michel Chambon Qui sont les chrétiens de Chine ? Comment vivent-ils leur foi ? Pourquoi leur nombre a-t-il augmenté ces dernières décennies ? Le théologien et anthropologue Michel Chambon, expert du christianisme en Asie et chercheur à lʹUniversité nationale de Singapour, analyse leur évolution entre renaissance religieuse, contrôle du régime communiste et relations sino-vaticanes. Il est au micro de Carole Pirker. Réf. Bibliographique : "Les chrétiens dans la Chine de Xi Jinping", éditions du Cerf : 2025. Photo : Michel Chambon, théologien et anthropologue, expert du christianisme en Asie et chercheur à lʹUniversité nationale de Singapour. (DR)
Le secteur viticole chinois a connu, pendant une trentaine d'années, des hauts et des bas. L'enjeu économique est très important : la Chine compte 800 000 hectares de vignes. Devant la France, régulièrement, les ventes de vins plafonnent. La consommation n'étant pas encore vraiment entrée dans les mœurs. Mais la dernière tendance est porteuse d'espoir. La quantité de vin produite augmente. La qualité aussi. À la clé : des récompenses et des médailles. (Rediffusion) Dans cet essor, les femmes brillent par leur excellence et leurs innovations. «En Chine, les vigneronnes ont vraiment du nez», un Grand reportage de Clea Broadhurst avec l'aide de Chi Xiangyuan.
Xiaomi continue de bousculer les codes. Le géant chinois des smartphones s'impose désormais dans l'univers automobile. Après un premier coup d'essai remarqué avec la berline électrique SU7, voici son tout premier SUV familial : le Xiaomi YU7. Et avec lui, une ambition claire : rivaliser frontalement avec Tesla sur le marché chinois… et au-delà.Commercialisé depuis quelques jours, le YU7 frappe fort dès son prix. 253 500 yuans pour le modèle de base — environ 30 200 euros —, soit 10 000 yuans de moins que le Tesla Model Y en Chine. Et pourtant, Xiaomi promet plus : une autonomie impressionnante de 835 kilomètres, contre seulement 593 pour le SUV de Tesla. En haut de gamme, le tarif grimpe à 329 900 yuans, soit près de 39 300 euros, mais les performances suivent : meilleure accélération et vitesse de charge optimisée.Et le public chinois ne s'y est pas trompé. À peine lancé, le YU7 a pulvérisé les compteurs : 200 000 commandes en trois minutes, 300 000 en une heure. Des chiffres vertigineux, qui éclipsent même le record de Tesla avec la Model 3, qui avait atteint 115 000 précommandes… en 24 heures. C'est un succès fulgurant dont Lei Jun, le patron de Xiaomi, s'est félicité dans une vidéo publiée en ligne. Il faut dire que le marché chinois est devenu le nerf de la guerre mondiale de la voiture électrique, et Xiaomi entend bien s'y ancrer durablement. Pour l'instant, le YU7 reste réservé à la Chine. Mais Xiaomi voit plus loin : cap sur l'Europe à l'horizon 2027. Tesla est prévenu : le combat des titans de l'électrique ne fait que commencer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
BALADO du JEUDI! En Chine, les femmes n’ont pas le droit d’écrire à propos des hommes homosexuels! Qu’est-ce qui gosse chez votre voisin? À quelques heures de son gala à Val-d’Or, on a parlé à l’humoriste Jérémy Demay!
durée : 00:04:38 - Le Reportage de la rédaction - Les goûts changent et les jeunes Chinois deviennent de plus en plus de gros consommateurs de café. Et cette évolution a aussi changé la vie des paysans de la province du Yunnan. Producteurs de thé depuis des siècles, beaucoup se reconvertissent dans le café.
durée : 00:04:27 - Le Zoom de France Inter - En Chine, malgré la tradition millénaire du thé, le café devient de plus en plus populaire. Pour répondre à cette nouvelle forme de consommation, la province du Yunnan, connue mondialement pour son thé, se tourne désormais vers le café et les paysans se reconvertissent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:38 - Le Reportage de la rédaction - Les goûts changent et les jeunes Chinois deviennent de plus en plus de gros consommateurs de café. Et cette évolution a aussi changé la vie des paysans de la province du Yunnan. Producteurs de thé depuis des siècles, beaucoup se reconvertissent dans le café.
Le secteur du luxe, souvent considéré comme une valeur refuge, connaît aujourd'hui une phase d'incertitude rare, qui en fait un placement risqué à court terme. Selon une étude du cabinet Bain & Company, réalisée avec la Fondation Altagamma, l'année 2025 pourrait marquer l'une des pires turbulences que le secteur ait connues depuis la crise de 2008.1. Un contexte géopolitique et économique tenduL'étude souligne que les ventes de produits de luxe sont très sensibles aux incertitudes. Or, 2025 débute dans un climat tendu : conflits armés, tensions commerciales, instabilité des monnaies, et volatilité des marchés boursiers. Résultat : la confiance des consommateurs se fragilise. Les acheteurs fortunés, même s'ils ont les moyens, adoptent une attitude plus prudente face à l'incertitude, ce qui pèse directement sur les ventes.2. La Chine et les États-Unis en ralentissementLes deux marchés phares du luxe mondial — la Chine et les États-Unis — montrent des signes d'essoufflement. Aux États-Unis, ce sont surtout les fluctuations tarifaires et la crainte d'un ralentissement économique qui freinent les dépenses. En Chine, l'attitude attentiste de la classe moyenne supérieure, autrefois moteur de la croissance, est liée à un climat d'anxiété économique interne et au durcissement du contexte immobilier.3. Un retour à la normale après l'euphorie post-CovidJoëlle de Montgolfier, directrice du pôle luxe chez Bain, rappelle que la forte croissance observée après le Covid n'était pas durable. Le marché est aujourd'hui en phase de normalisation : après un chiffre record de 1.478 milliards d'euros en 2024, les ventes d'articles de luxe personnels (mode, maroquinerie, joaillerie…) pourraient reculer de 2 à 5 % en 2025. Dans le scénario le plus pessimiste, la baisse pourrait atteindre jusqu'à 9 %.4. Une perspective à long terme toujours solideMalgré tout, les experts ne parlent pas d'un effondrement, mais d'un recalibrage. Le marché reste globalement sain, et l'appétit pour le luxe demeure fort à l'échelle mondiale. Mais pour les investisseurs, cette période de transition est délicate. Les entreprises du secteur (comme LVMH, Kering ou Richemont) voient leur valorisation chahutée en bourse, du fait de perspectives de croissance temporairement dégradées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'info du matin - La science a tranché : le bien-être en vacances atteint son pic au 8e jour de congé. Le winner du jour - En Chine, un habitant fait sensation avec une maison à la construction improbable, défiant toutes les lois de l'urbanisme. - À Barcelone, deux hommes se sont garés sur une place réservée aux policiers avec des sacs remplis de drogue... arrêt immédiat. Le flashback de mai 2008 - Le Burj Khalifa, gratte-ciel emblématique de Dubaï, devient la plus haute structure humaine au monde. - Sortie d'"Iron Man", le film qui lance l'univers cinématographique Marvel. Le savoir inutile - "Plus Belle La Vie" a atteint le cap des 1000 épisodes le 11 juillet 2008 et le 4000e le 21 février 2020, un record dans l'histoire de la télé française. 3 choses à savoir sur Muse Qu'est-ce qu'on teste ? - En Allemagne, un concours insolite consiste à lancer le plus loin possible... un serveur d'ordinateur. Le jeu surprise Maxime de Bonneville vers Bergerac repart avec un iPad Mini La banque RTL2 - Marie de Mennecy en Île-de-France gagne 700 euros - Luc du Mans gagne 400 euros Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Wang Dong n'a pas travaillé depuis plusieurs mois et n'a aucune intention de le faire dans un futur proche.En attendant, le jeune homme passe ses journées dans une ville du sud-ouest de la Chine en bord de lac, réfléchissant à la prochaine étape de sa carrière.À 29 ans, il fait partie de ces jeunes chinois qui ont décidé de descendre du "tapis roulant" pour une retraite au vert, et remettre ainsi leur vie à plat.Ces longues pauses professionnelles ne sont pas inédites en Europe ou aux Etats-Unis, mais elles restent marginales en Chine, où le pouvoir critique les modes de vie oisifs pour glorifier les sacrifices servant l'essor économique du pays.Sur le Fil vous propose une visite de plusieurs de ces “maisons de retraite" temporaires pour jeunes.Invité : Matthew Walsh journaliste au bureau de l'AFP à Pékin.Réalisation : Emmanuelle BaillonReportage AFPTV : Danni Zhu Doublages : Guillaume Bonnnet, Arthur Milos, Sébastien Castéran, Michaëla Cancela-KIeffer, Louis Sibille, Benoit DucrocqSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sable est la seconde ressource naturelle la plus exploitée au monde, après l'eau. Essentiel à la fabrication du béton, du verre, de l'asphalte ou des composants électroniques, il est au cœur des projets d'urbanisation massive — et peu de pays en ont autant besoin que la Chine. Avec 1,4 milliard d'habitants et une urbanisation toujours galopante, la Chine consomme à elle seule une part gigantesque du sable mondial. Or, cette ressource devient de plus en plus rare, poussant le pays à développer son propre sable artificiel. Scientifiquement, cette démarche repose sur des constats environnementaux, économiques et technologiques.Le sable naturel, une ressource sous pressionContrairement à une idée reçue, le sable du désert n'est pas adapté à la construction, car ses grains, arrondis par l'érosion éolienne, n'adhèrent pas bien entre eux. Le sable utilisable provient donc des lits de rivières, des carrières ou des fonds marins. Mais son extraction massive provoque des dégâts écologiques majeurs : érosion des côtes, destruction d'écosystèmes aquatiques, pollution, ou encore perturbation des cycles sédimentaires. En 2019, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) a sonné l'alarme sur le risque de pénurie mondiale de sable de construction.En Chine, le problème s'est accentué avec des politiques d'urbanisation intense. Résultat : entre 2010 et 2020, l'approvisionnement en sable naturel a chuté de près de 50 %, contraignant le pays à se tourner vers une alternative.Une réponse technologique : le sable manufacturéLa solution chinoise est le sable artificiel, aussi appelé sable manufacturé. Ce sable est obtenu par concassage et tamisage de roches (comme le granite, le basalte ou le calcaire), ou de résidus miniers. Les grains ainsi produits sont calibrés pour offrir les mêmes propriétés mécaniques que le sable naturel. Ce procédé, bien que plus coûteux en énergie, est maîtrisé technologiquement et peut être adapté aux besoins précis de l'industrie du bâtiment.D'après une étude publiée en juillet 2024 dans Nature Geoscience, plus de 80 % du sable utilisé en Chine aujourd'hui est d'origine artificielle. Ce basculement a été rendu possible par des politiques publiques strictes et un encadrement gouvernemental visant à limiter l'extraction destructrice de sable naturel.Une démarche aussi environnementaleLa fabrication de sable artificiel ne vise pas uniquement à répondre à la demande, mais aussi à réduire les dommages environnementaux. Elle permet d'épargner les zones naturelles, de ralentir l'érosion côtière et de valoriser des déchets miniers qui, autrement, seraient stockés.En somme, la Chine fabrique son propre sable par nécessité, mais aussi par anticipation : pour soutenir son développement urbain tout en préservant ses écosystèmes fragiles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:20 - Le Zoom de France Inter - Le régime de Xi Jinping tente de redresser une économie chinoise qui tourne toujours au ralenti depuis la fin du Covid, sans oublier les droits de douane de Donald Trump. Pour relancer une consommation intérieure toujours en berne, l'une des armes de Pékin, ce sont les influenceurs.
L'info du matin - Grégory Ascher et Justine Salmon ont parlé d'une étude menée pendant 4 ans sur le télétravail. Résultat : ses effets sont globalement positifs pour la productivité et le bien-être. Le winner du jour - Aux États-Unis, 14 infirmières de la maternité de l'hôpital HSHS St Vincent de Green Bay sont toutes enceintes en même temps ! - En Chine, deux marmottes ont bloqué une route pendant plusieurs minutes en se bagarrant au milieu de la chaussée, sans que personne ne puisse les séparer. Le flashback de septembre 2007 - Lancement de la série française "Fais pas ci, fais pas ça". - Sortie de "Divinidylle", le 22e album studio de Vanessa Paradis, numéro 1 en France. Les savoirs inutiles - Le point rouge sur le logo de 7up ferait référence aux yeux rouges de son créateur, Charles Leiper Grigg, qui était albinos. 3 choses à savoir sur le jeans Qu'est-ce qu'on teste ? - Le jeu "Internet Road Trip" : une aventure virtuelle sur Google Street View où l'on traverse les États-Unis jusqu'au Canada, un clic à la fois. Le jeu est disponible sur le site Neal.fun. Le jeu surprise - Manon de Douai vers Hénin-Beaumont gagne un iPhone SE. La banque RTL2 - Florence de Foussemagne vers Belfort repart avec un vinyle de Dire Straits pour les 40 ans de l'album "Brothers In Arms". - Sabrina de Naujac-sur-Mer vers Bordeaux gagne 500 €. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le vent tourne en Chine en termes de natalité. L'enfant unique fut longtemps une obligation. Aujourd'hui, l'inverse est presque de mise : l'État s'inquiète de voir les naissances chuter. En 2024, le pays n'a enregistré que 9 millions et demi de bébés, très peu à l'échelle du pays. Un des niveaux les plus bas depuis la fondation de la République populaire. Les autorités multiplient les incitations. Mais les jeunes, eux, y regardent à deux fois. Grandir, aimer et transmettre. Ils s'interrogent. «Naissances en Chine : quand l'intime défie la politique», un Grand reportage de Clea Broadhurst et Chi Xiangyuan.
La banque RTL2 - Alexandra de Betteville vers Rouen gagne 50 000 euros ! - Julia de Bourgogne vers Reims gagne 400 €. L'info du matin - Grégory Ascher et Justine Salmon ont partagé un conseil Feng Shui pour mieux dormir : évitez de placer votre lit avec les pieds dirigés vers la porte. En Chine, cette configuration est appelée "le lit de la mort". Le winner du jour - Un Québécois a reçu une contravention pour téléphone au volant alors qu'il était simplement à la commande d'un Drive McDonald's. - À Landerneau, le maire a interdit la vente de boissons aux Schtroumpfs samedi prochain ! Le flashback de janvier 1987 - Arrivée de "MacGyver" sur Antenne 2, avec le héros le plus débrouillard des séries américaines. - Le 5 janvier 1987, début de "La roue de la fortune" sur TF1. Les savoirs inutiles - En 2007, les troupes militaires suisses ont accidentellement envahi le Liechtenstein... par erreur. Une invasion aussi brève qu'inoffensive. 3 choses à savoir sur l'Eurovision Qu'est-ce qu'on fait ? - Samedi, c'est la nuit européenne des musées. De nombreux musées ouvriront gratuitement leurs portes en France et en Europe jusqu'à minuit. - À Bordeaux, ce soir, place à des courses de chaises de bureau sur la placette de Munich pour la 3ᵉ édition de cet événement décalé. Le jeu surprise - Sébastien d'Auvers-sur-Oise vers Paris gagne un séjour de 2 nuits pour 2 personnes au Moulin de Fourges avec Weekendesk. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les marchés s'emballent pour une trêve de 90 jours entre les États-Unis et la Chine. Mais derrière les chiffres, une vérité dérangeante : les droits de douane restent monstrueusement élevés. Et Trump n'a pas rangé ses menaces. Une chronique d'Amid Faljaoui à ecouter avant de se laisser bercer par l'euphorie stupide des marchés boursiers. Ce lundi 12 mai, les États-Unis et la Chine ont annoncé une trêve dans leur guerre commerciale. Résultat immédiat : les marchés boursiers ont bondi, le dollar s'est renforcé, l'or a chuté, et les traders ont activé frénétiquement le bouton « Acheter », comme si le conflit n'avait jamais existé. Pourtant, il ne s'agit que d'une pause de 90 jours, destinée à tester la capacité de Washington et Pékin à afficher un semblant d'entente. Les droits de douane baissent, mais demeurent à des niveaux historiquement élevés. Si aucun accord n'est conclu d'ici trois mois, Donald Trump a déjà promis d'en remettre une couche. Il y a encore quelques mois, les économistes les plus pessimistes imaginaient des tarifs douaniers à 20 %, voire 60 % dans le pire des scénarios. Aujourd'hui, Trump brandit la menace d'un taux à 145 %. Dès lors, lorsqu'il revient simplement à 40 %, les marchés applaudissent. Le pire a été placé si haut que l'on célèbre désormais les catastrophes modérées comme des victoires. Pendant ce temps, l'économie réelle vacille. En Chine, jusqu'à 16 millions d'emplois sont menacés. Aux États-Unis, les premières victimes seraient les très petites entreprises, celles qui n'ont ni les ressources humaines ni les moyens financiers pour relocaliser ou réorganiser leur production dans l'urgence. Pour elles, cette trêve représente certes une bouffée d'oxygène, mais une bouffée éphémère, susceptible d'éclater à tout moment. Autrement dit, la guerre commerciale marque une pause, mais cette accalmie est factice, temporaire, trompeuse. Rien n'est réglé ! Dans cette mécanique d'escalade et de recul, Donald Trump a réussi un coup de maître : faire passer l'anormal pour le nouveau normal. Mots-clés : action, tesla, capitalisation, amnésie, raison, investissement, hésitation, chaine logistique, container, mer, bateau, Shanghai, Los Angeles --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'info du matin - Grégory Ascher et Justine Salmon ont partagé les conclusions d'une étude espagnole : on apprend bien mieux une langue en écrivant à la main plutôt que sur un clavier. Le winner du jour - Une femme a demandé le divorce après que ChatGPT lui a dit que son mari la trompait... - En Chine, une autre femme s'est fait larguer car son smartphone s'est automatiquement connecté au Wi-Fi de l'hôtel, révélant ainsi un séjour suspect. Le flashback de septembre 1978 - Début de la série d'animation "Il était une fois l'homme" sur France 3. - Sortie du film "Midnight Express", une histoire vraie avec une bande originale mémorable. Les savoirs inutiles - Le tardigrade, un minuscule animal de 0,1 à 1 mm, est l'un des êtres vivants les plus résistants. Il peut survivre 30 ans sans manger ! 3 choses à savoir sur le Festival de Cannes 2025 Qu'est-ce qu'on teste ? - Pour la fête des mères, Kraft Mac & Cheese lance un collier en or 14 carats en forme de macaron, en collaboration avec la marque Ring Concierge. Prix : environ 23 €. Le jeu surprise - Béatrice de Clisson vers Nantes gagne un séjour de 2 nuits pour 2 personnes au Moulin de Fourges avec Weekendesk. La banque RTL2 - Sébastien de Pechbonnieu vers Toulouse gagne 500 €. - Anastasia de Labastide-Saint-Pierre vers Montauban repart avec une station météo NASA WS100 Black. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion des 10 ans de Laurent Ruquier aux commandes des "Grosses Têtes", RTL vous propose chaque jour de revivre en podcasts les meilleures séquences de l'émission ! Aujourd'hui, découvrez un extrait du 26 août 2024 ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pékin, 1989. Les étudiants rêvent de changement et réclament plus de liberté. Très vite, une foule les rejoint, portée par un immense vent de contestation. Mais l'armée répond en ouvrant le feu sur les manifestants. Sur la place Tian'anmen, la contestation est balayée. En Chine, la mémoire de ces événements reste encore taboue. Revivez ces jours tragiques où l'espoir a été écrasé par les blindés. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:29:54 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - [] - réalisation : Félicie Faugère - invités : Freddy Bouchet Physicien, directeur de recherche au CNRS et professeur attaché à l'ENS Paris; Michel Chambon théologien et anthropologue, chercheur à l'Université nationale de Singapour; Benjamin Stora Historien français
Gilles, sa femme Prune et leurs six enfants, vivent une vie pas comme les autres. Ensemble, ils voyagent aux quatre coins du monde pour réaliser des films. Prune écrit les scénarios, tandis que Gilles les réalise. Chaque tournage est une véritable aventure familiale, que ce soit en Afrique du Sud pour filmer "Mia et le lion blanc", ou au Mexique pour "Le dernier jaguar".Dans cet épisode, Gilles nous raconte les coulisses de son dernier film tourné en Chine, Moon le Panda, dans lequel il met en scène l'amitié hors du commun entre Noé, un jeune garçon franco-chinois, et Moon, le fameux panda. Gilles nous raconte la genèse, la complexité d'obtenir l'autorisation de tourner avec un animal ultra-protégé, le choix des comédiens franco-chinois. Une aventure familiale au cœur des paysages majestueux des montagnes du Sichuan sorti en salles le 9 avril.Alors, si comme moi, vous êtes fascinés par les making-ofs et les histoires de familles qui sortent de l'ordinaire, vous allez adorer ce nouvel épisode. Et restez bien jusqu'à la fin, car Gilles vous confiera même quel animal sera la star de son prochain film !Allez, c'est parti pour les coulisses de Moon le Panda avec Gilles de Maistre.-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
En 1922 Albert Londres fait découvrir à ses lecteurs « la Chine en folie ». Il y retournera dix ans plus tard pour un reportage plus dramatique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Le taux de chômage des jeunes âgés de 16 à 24 ans est tombé à 15,7% en décembre 2024, après avoir atteint un pic de 18,8% en août, en raison de l'afflux de nouveaux diplômés. Avec plus de 12 millions de diplômés universitaires attendus en 2025, le fossé entre les attentes des demandeurs d'emploi et les opportunités disponibles continue de se creuser. De notre correspondante à Pékin,Organisée dans un centre commercial, cette foire à l'emploi réunit une centaine d'entreprises à Pékin, enChine. Ici, des milliers de jeunes Chinois, CV en main, parcourent les allées. Yue, jeune diplômée de 22 ans, estime qu'il est bien plus difficile pour les jeunes de trouver un emploi aujourd'hui que pour les générations précédentes. « Nous sommes nombreux et le coût de la main-d'œuvre a diminué. Cela, combiné au nombre limité de postes, rend la tâche plus difficile pour les personnes ayant un niveau d'éducation similaire au mien, explique la jeune femme. Et puis le report de l'âge de la retraite a un impact sur l'emploi : il n'y a pas beaucoup de place et tous les postes sont déjà occupés. La plupart des postes disponibles sont dans le domaine de la vente, ce qui ne correspond pas vraiment à ce que je recherche. Mon autre préoccupation, c'est de savoir si une entreprise est digne de confiance ou non. »Et le retour à l'emploi pour les femmesLi, une jeune mère de jumeaux, espère pouvoir revenir sur le marché du travail après un long congé maternité : « Je travaillais dans le domaine juridique, mais il n'y avait personne pour s'occuper de mes jumeaux, alors j'ai dû démissionner. Aujourd'hui, les employeurs s'intéressent d'abord à l'âge. Les premières conversations se passent bien, mais dès qu'ils entendent mon âge, ça devient un peu gênant. »Elle trouve que c'est un énorme défi à relever : « Je le comprends très bien du point de vue de l'entreprise - c'est logique, mais du point de vue d'une femme, c'est vraiment difficile. Les femmes apportent toujours une contribution silencieuse, qu'il s'agisse des tâches ménagères invisibles ou de la prise en charge des enfants. Et bien sûr, les entreprises vous demanderont : "Que ferez-vous de vos enfants ?" Si vous avez un enfant, ils vous demanderont si vous avez l'intention d'en avoir un autre. Si vous en avez deux, ils supposent que vous n'en aurez probablement pas d'autres. »À lire aussiLa Chine se penche sur une loi pour protéger les femmes des discriminations au travail Chen est allé à plusieurs foires à l'emploi, sans succès. Ce jeune homme de 23 ans espère que le gouvernement va mettre les bouchées doubles pour aider la jeune génération : « Je suis déçu, très découragé. Le taux d'emploi des jeunes diplômés est assez bas en ce moment, et la pression est intense. Si vous ne vous préparez pas aux études supérieures, vous vous préparez aux examens de la fonction publique, qui sont encore plus stressants. Pour ceux qui essaient de trouver un emploi directement, c'est encore plus difficile. J'espère que le gouvernement ou les écoles pourront organiser davantage de salons de l'emploi, peut-être plus fréquemment dans les écoles ou dans la société. S'il pouvait y avoir deux ou trois grands salons de l'emploi par mois, cela nous donnerait plus de chances de trouver du travail. »Le chômage des jeunes en Chine a de lourdes conséquences, à la fois sur l'économie et sur la société. Face à ces défis, Pékin reconnaît l'urgence de réformer le marché de l'emploi, en misant sur plus d'opportunités de travail, des aides financières, telles que le remboursement d'assurance chômage ou la baisse d'impôts et un soutien à l'entrepreneuriat.À lire aussiChine: le taux de chômage des jeunes au plus haut depuis le début de l'année
La montagne, ses sommets enneigés, ses télésièges et ses milliers de skieurs qui dévalent ses pentes. Cette image de carte postale ne sera peut-être qu'un lointain souvenir. Avec la hausse des températures et la baisse de l'enneigement, liés au réchauffement climatique, l'avenir du ski est pour le moins incertain. En Europe, les Alpes ont perdu près d'un mois d'enneigement ces 50 dernières années. Si les stations de basse et moyenne altitudes sont les plus touchées, certaines ayant déjà dû fermer, le phénomène menace aussi les domaines skiables de haute montagne. Les stations étant déjà obligées de recourir à la neige artificielle ou de monter encore un peu plus vers les sommets pour grapiller de nouvelles pistes. Une course à la neige couteuse et polluante. Difficile encore pour les régions montagneuses de renoncer au ski, loisir popularisé dans les années 70. En Chine aussi, l'industrie du ski a pris de l'ampleur avec la multiplication des pistes, poussée par les JO d'Hiver de Pékin 2022. Elle mise aussi sur le ski en salle avec le plus grand domaine skiable en intérieur au monde. Histoire de profiter des sports d'hiver toute l'année. Mais à quel prix ? Peut-on nouer une autre relation à la montagne que celle de la neige et du ski ? Avec :• Valérie Paumier, fondatrice de Résilience Montagne pour la transformation de l'économie dans les milieux montagnards et vallées • Hugues François, chercheur en économie régionale et aménagement du territoire.Un entretien avec Cléa Broadhurst, correspondante RFI à Pékin en Chine. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Inès Emprin Le blogueur Moïse Kamguen parle de la présence chinoise à Douala, au Cameroun La blogueuse Marina Tem nous livre le récit de sa métamorphose féministe Le blogueur Enoch Bulonza évoque les multiples bienfaits du sport Programmation musicale :► Démounaj - Celia Wa ► I got home - Ben l'Oncle Soul.
Histoire écrite et interprétée par Céline Kallmann, réalisation et musiques Alexandre Ferreira, production Benjamin Muller.***Générique : Vlad Gluschenko - Time.***Retrouvez Encore une histoire sur Instagram, Facebook et Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, nous nous confrontons à la situation difficile des LGBT en Afrique qui, souvent, sont amenés à fuir le continent pour éviter la mort ou la prison... En deuxième partie, direction la Chine qui produit une grande quantité de vin avec ses plus de 800 000 hectares de vignes. Quantité mais aussi qualité grandissante. Domaine dans lequel les femmes sont de plus en plus innovantes. Migrants LGBT : quitter l'Afrique pour survivreÊtre gay ou lesbienne dans certains pays d'Afrique est puni d'emprisonnement. Dans d'autres pays du continent, si l'homosexualité n'est pas pénalisée, elle est très mal perçue par la population. Les LGBT sont rejetés, menacés et risquent la mort. LGBT, appellation des années 90 pour lesbienne, gay, bisexuel et trans est devenu LGBTQIA+ pour intégrer d'autres identités sexuelles et de genre. Face aux actes homophobes et transphobes parfois très violents, partir est fréquemment l'issue pour tout simplement sauver sa vie. Migrer en Europe, en France où les demandes d'asile liées à l'orientation sexuelle ne cessent d'augmenter. Un Grand reportage de Lise Verbeke (avec l'aide de Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix. En Chine, les vigneronnes ont vraiment du nezLe secteur viticole chinois a connu, pendant une trentaine d'années, des hauts et des bas. L'enjeu économique est très important : la Chine compte 800 000 hectares de vignes. Devant la France, régulièrement, les ventes de vins plafonnent. La consommation n'étant pas encore vraiment entrée dans les mœurs. Mais la dernière tendance est porteuse d'espoir. La quantité de vin produite augmente. La qualité aussi. À la clé : des récompenses et des médailles. Dans cet essor, les femmes brillent par leur excellence et leurs innovations.Un Grand reportage de Clea Broadhurst qui s'entretient avec Jacques Allix.
durée : 02:30:10 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Pascal Rogard, Directeur général de la SACD / Stéphane Mallat, professeur en mathématiques appliquées à l'IA au Collège de France / David Baverez, investisseur résident à Hong-Kong - réalisation : Félicie Faugère