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durée : 00:05:16 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Les neutrinos sont des particules fondamentales, abondantes, mais presque insaisissables. En Chine, le détecteur géant JUNO entre en service afin de mesurer la masse des neutrinos et repousser les limites du Modèle standard.
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l''actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l''actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
RFI vous a proposé ces dernières semaines une série de reportages et analyses sur les trafics de drogue à travers le monde. Cette semaine, nous sommes au coeur du système de production, une sorte d'agriculture intensive de la plante de coca qui va devenir cocaïne après maintes manipulations chimiques. Nous sommes en Colombie, premier producteur mondial de cocaïne et en Equateur devenu la première porte de sortie de la drogue d'Amérique du Sud, un reportage d'Eric Samson. En seconde partie d'émission, direction Pékin où nous serons en ligne avec notre correspondante permanente Clea Broadhurst après son reportage sur la natalité. En Chine, il est loin le temps de la règle d'or de l'enfant unique mais ce n'est pas évident de remotiver les Chinois sur la voie de la famille plus ou moins nombreuse. Coca, basuco et cocaïne: une frontière sous influence La cocaïne est devenue une drogue du quotidien si l'on peut dire. Il y a quelques décennies, elle était chère, et plutôt réservée à certains milieux privilégiés. Son usage s'est considérablement popularisé, notamment en Europe. Plus forte, moins chère, très abondante grâce à la mondialisation du commerce et très bien distribuée. Qui dit cocaïne dit Colombie. Premier producteur mondial. Cet homme que nous venons d'entendre est Colombien. Il préfère ne pas donner son vrai nom. Installé dans le sud du pays, à quelques mètres de la frontière équatorienne, il cultive depuis des années de la coca qu'il transforme ensuite en pâte base de cocaïne dans un petit laboratoire de fortune. Notre correspondant en Équateur s'est arrangé pour passer la frontière, aller sur place sur le sol colombien, recueillir les témoignages de ces petites mains de la poudre blanche en fabrication, qui inonde la planète. Un Grand reportage d'Eric Samson qui s'entretient avec Jacques Allix. Naissances en Chine : quand l'intime défie la politique Le vent tourne en Chine en termes de natalité. L'enfant unique fut longtemps une obligation. Aujourd'hui, l'inverse est presque de mise : l'État s'inquiète de voir les naissances chuter. En 2024, le pays n'a enregistré que 9 millions et demi de bébés, très peu à l'échelle du pays. Un des niveaux les plus bas depuis la fondation de la République populaire. Les autorités multiplient les incitations. Mais les jeunes, eux, y regardent à deux fois. Grandir, aimer et transmettre. Ils s'interrogent. Un Grand reportage de Clea Broadhurst (et Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Une entreprise européenne peut-elle encore viser le marché chinois ? Oui, répond Sandrine Zerbib, consultante avec 30 ans d'expérience dans l'empire du milieu. Mais à condition de respecter un ensemble de codes et de règles. Les Trends-Tendances podcasts rassemblent tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société. Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See https://pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
durée : 00:58:57 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - À partir du milieu du XVIe siècle, l'économie chinoise est florissante et ses réseaux de marchands prospèrent. Pourtant, la puissance commerciale de l'empire du Milieu ne se mue pas en capitalisme et l'écart se creuse avec l'Europe. Qu'est-ce qui a freiné le décollage économique chinois ? - réalisation : Alexandre Manzanares, Daphné Leblond - invités : François Gipouloux Directeur de recherches émérite au CNRS, enseignant à l'EHESS, spécialiste de l'histoire économique chinoise; Alessandro Stanziani Historien, directeur d'études à l'EHESS, directeur de recherches au CNRS et membre du Centre de Recherches Historiques
Dans ce 175ème épisode de Serial, j'ai eu le plaisir de recevoir Homéric de Sarthe, un entrepreneur, auteur et podcasteur au parcours étonnant, façonné par sa passion pour la Chine.Tombé amoureux du pays à 10 ans lors d'un voyage inattendu, il a orienté une grande partie de sa carrière vers l'Asie. Après 7 ans sur place où il a ouvert le bureau d'un cabinet de recrutement à Shenzhen et lancé plusieurs startups, il partage aujourd'hui une expertise unique, loin des clichés.Au programme de cette discussion :- Une vision culturelle de la Chine : Découvrez pourquoi, selon Homéric, il faut analyser la Chine sous un angle culturel et non économique pour véritablement anticiper ses mouvements. - Mythes et réalités : Homéric déconstruit les idées reçues, notamment sur le colonialisme chinois et la situation à Taïwan, affirmant que les Chinois sont avant tout des "commerçants" qui ont besoin de paix pour prospérer. - Les clés du business en Chine : Des leçons précieuses pour les entrepreneurs occidentaux, de l'importance cruciale de créer un lien personnel ("intuitu personae") à la nécessité absolue d'aller sur place pour comprendre la réalité du marché. - Une liberté sous conditions : Son point de vue sur la liberté en Chine, où les règles, bien que strictes, sont claires pour tous, créant un cadre où il s'est senti "plus libre qu'en France". - Parcours entrepreneurial : De la création d'une application précurseur de BeReal, à la trahison de ses associés qui l'a forcé à rentrer en France, en passant par la création de Pitchboy, une start-up innovante dans la formation via IA.Un épisode riche en réflexions géopolitiques et en leçons de business pour tous ceux qui souhaitent comprendre le moteur économique de demain et s'y développer
Tous les matins, Étienne Bracq revient sur les performances des principaux marchés boursiers et les tendances du moment dans Morning Briefing, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, Vladimir Poutine a enchainé les tapis rouges au mois d'août 2025 : il y a d'abord eu cette rencontre en Alaska avec Donald Trump, rencontre très attendue qui finalement n'a débouché sur rien. Aucune avancée vers un cessez-le-feu en Ukraine et d'éventuelles négociations…D'autant qu'en proposant à Volodymyr Zelensky de venir le rencontrer à Moscou, Vladimir Poutine connaissait à l'avance la réponse de son homologue ukrainien Le 31 août 2025, le sommet de l'organisation de la coopération de Shangaï s'est ouvert à Tianjin, dans le nord de la Chine, avec une photo qui a fait le tour du monde : le Russe Poutine, le Chinois Xi et l'Indien Modi. 3 hommes visiblement ravis de ce pied de nez fait aux Occidentaux, États-Unis en tête. Et c'est depuis une place d'honneur en tribune que le président russe a assisté le 3 septembre au défilé militaire organisé par Xi Jinping. Pendant ce temps, l'armée russe n'a cessé de progresser sur le front et elle intensifie ses attaques sur les villes. Dimanche dernier (8 septembre 2025), Moscou a même bombardé le siège du gouvernement à Kiev et lancé quelque 800 drones sur l'Ukraine. Dans la nuit de mardi 9 au mercredi 10 septembre 2025, nouvelle escalade avec une salve de 450 drones et missiles contre l'Ukraine mais surtout l'intrusion de 19 drones présumés russes dans l'espace aérien de la Pologne, pays membre de l'alliance atlantique. Colère de Varsovie et de ses alliés européens qui dénoncent une provocation du Kremlin. Varsovie a mobilisé ses avions et ceux de plusieurs pays de l'OTAN pour faire face à la menace. Au moins 3 des 19 drones sont abattus. Vladimir Poutine a-t-il voulu tester les capacités de réaction de l'OTAN ? Les Européens doivent-ils se préparer à d'autres provocations de Moscou ? Ont-ils les moyens d'aider l'Ukraine à se défendre contre les drones meurtriers ? L'hiver qui approche sera-t-il l'hiver de tous les dangers pour Kiev ? Vladimir Poutine, fort de son impunité, se sent-il intouchable ? 3 invités : - Alexandra Gougeon, maître de conférences à l'Université de Bourgogne , autrice de « Ukraine : de l'indépendance à la guerre », aux éditions Le Cavalier bleu - Cyrille Bret, géopoliticien, expert à l'Institut Montaigne, spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale - Guillaume Lasconjarias, historien militaire, professeur associé à Sorbonne Université.
Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1987, la Cité Interdite a longtemps été le centre névralgique de la politique en Chine. Construite entre 1406 et 1420 sous l'ordre de l'empereur Cheng Zu, elle a nécessité la participation d'un million d'ouvriers et d'artisans. Quel que soit le rôle que cette cité a eu à travers les siècles, elle est toujours restée un symbole de la puissance de la Chine. Aujourd'hui encore, elle fascine des millions de touristes, mais également les autochtones, qui la visitent en nombre chaque année. Située à Pékin, la cité interdite a été la résidence de nombreux empereurs chinois des dynasties Qing et Ming durant un peu plus de 500 ans. Cet immense palais, qui s'étend sur 72 hectares, fait partie des monuments les plus anciens et les mieux conservés de Chine. Mais à quoi sert cette cité interdite ? Mais alors, d'où la cité interdite tire-t-elle son nom ? Quel est le rôle de la cité interdite aujourd'hui ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Thomas Deseur. Première diffusion : 5 décembre 2022 À écouter aussi : Quels sont les tableaux classiques les plus pornographiques ? Qu'est-ce que le tourisme de ghetto ? Comment le Japon lutte-t-il contre l'inflation ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans cette édition :Des tensions et des violences éclatent dans l'Aude suite à un rassemblement illégal de près de 1500 personnes, avec des affrontements entre les participants et les habitants excédés.Un adolescent de 16 ans est tué par un jeune de 13 ans dans une commune près de Lyon, suite à un différend autour d'un vol de portable.La rentrée scolaire a lieu dans les Bouches-du-Rhône et le Var, après les violents orages qui ont fait un mort dans le Var.Le Premier ministre tente de rallier les soutiens avant le vote de confiance à l'Assemblée, notamment auprès du parti Les Républicains.En Chine, une réunion historique a lieu entre les présidents chinois, russe et le dirigeant nord-coréen.Au Mali, les mercenaires russes de l'Afrika Korps subissent de lourdes pertes face aux djihadistes, malgré leur mission de soutien aux autorités de transition.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des tensions et des violences éclatent dans l'Aude suite à un rassemblement illégal de près de 1500 personnes, avec des affrontements entre les participants et les habitants excédés.Un adolescent de 16 ans est tué par un jeune de 13 ans dans une commune près de Lyon, suite à un différend autour d'un vol de portable.La rentrée scolaire a lieu dans les Bouches-du-Rhône et le Var, après les violents orages qui ont fait un mort dans le Var.Le Premier ministre tente de rallier les soutiens avant le vote de confiance à l'Assemblée, notamment auprès du parti Les Républicains.En Chine, une réunion historique a lieu entre les présidents chinois, russe et le dirigeant nord-coréen.Au Mali, les mercenaires russes de l'Afrika Korps subissent de lourdes pertes face aux djihadistes, malgré leur mission de soutien aux autorités de transition.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Xi Jinping réunit autour de lui les grands dictateurs du monde La rencontre internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai s'est ouvert ce dimanche à Tianjin, la quatrième ville la plus peuplée de Chine. Un forum conçu pour développer la coopération entre Etats eurasiatiques : la Russie, l'Inde, la Turquie ou encore la Corée du Nord, l'Iran, le Pakistan et l'Indonésie sont invités par le président chinois Xi Jinping. Mercredi, une parade militaire commémorant les 80 ans de la capitulation du Japon et de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Asie aura lieu à Pékin. Etant donné le contexte géopolitique actuel qui inclut le conflit commercial porté par Trump et ses droits de douane contre la Chine et l'Inde, les tensions sur le nucléaire iranien et bien évidemment la guerre en Ukraine, ce sommet a une résonance particulière : celle de l'affirmation symbolique d'un autre ordre mondial.Véronique Kiesel est journaliste au pôle international et spécialiste de la Chine. Elle revient avec nous sur les enjeux politiques, économiques et diplomatiques qui entourent ce sommet. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Sur fonds de conflits inextricables qui les opposent à la sphère des nations démocratiques, les pays de l'Organisation de Coopération de Shangaï, l'OCS, bâtissent peu à peu leur cohésion politique, ils solidifient un récit alternatif à celui de l'Occident et de ses valeurs libérales et ils contribuent à structurer le concept de « majorité mondiale », tout cela emmené par les deux puissances militaires agressives que sont la Russie et la Chine. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 21 ans, il a tout plaqué pour vivre une immersion totale en Chine : six mois d'entraînement intensif avec les moines Shaolin. Entre coups de poings, méditation, découvertes culinaires et anecdotes de voyage, il raconte son quotidien pas comme les autres. C'est un vrai voyage culturel, un parcours de vie inspirant qui montre qu'en solo, tout est possible. Derrière la sueur, les bleus et la discipline, il y a aussi une expatriation temporaire qui transforme profondément. Dans cet épisode nous raconte ses impressions sur la Chine, ce pays culturellement loin de la France. Il nous parle également de tous les enseignements Shaolin et ce que ça lui a apporté en étant parti dans ce contexte à seulement 21 ans. On parle notamment de : - Suivre un programme d'entrainement chez les moines Shaolin - Le quotidien : entre entrainements intense et méditation - Les découvertes culinaires chinoises- Les difficultés physiques- La mentalité ShaolinQue tu sois en quête d'idées pour un beau voyage, curieux de l'expatriation ou simplement avide d'écouter des histoires d'expat et d'expatrier, cet épisode est une plongée unique dans un monde où l'esprit et le corps sont mis à l'épreuve. Alors, prêt pour ce voyage en solo hors du commun ?Bonne écoute ! Pour soutenir le podcast, abonnes toi et met 5 étoiles ⭐⭐⭐⭐⭐Infos utiles :l'école : Kunyu Mountain Shaolin Martial Art Academy Pour découvrir les coulisses du podcast : partir_podcastDisponible à l'écoute sur toutes les plateformes : https://smartlink.ausha.co/partirEt sur YoutubeSi cet épisode t'a plu, tu devrais aussi aimer :https://smartlink.ausha.co/partir/choc-culturel-a-16-ans-partir-a-taiwan-avec-le-rotary-club-chloeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 01/09/2025 Pinochet et un nazi de Patagonie au cœur d'un thriller juridiquePhilippe Sands est un avocat spécialisé dans le droit international. Il publie "38, rue de Londres. De l'impunité, Pinochet et le Nazi de Patagonie", troisième opus d'une série de livres qui explorent la "révolution" qu'a été l'application du droit international depuis 1945. Dans ce thriller juridique, l'auteur se penche sur les destins croisés du dictateur chilien Augusto Pinochet et du nazi Walter Rauff, réfugié au Chili. Ce dernier avait théorisé le système des camions à gaz, qui a asphyxié plus de 100 000 Juifs lors de la Shoah. Au Chili, il a fait mine d'avoir laissé ces crimes derrière lui, mais nul ne doute de sa participation aux opérations les plus sombres du régime de Pinochet. Le chef d'État chilien est justement arrêté à Londres en 1998, et a failli être défendu par Philippe Sands. Sommet OCS en Chine : vers un nouvel ordre mondial anti-occidental ?Du 31 août au 1er septembre, Xi Jinping réunit une vingtaine de pays, dont les principales puissances asiatiques, ainsi que Vladimir Poutine, à Tianjin pour le sommet annuel de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS). "Le rôle de la Chine dans la défense du multilatéralisme est fondamental", a assuré Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations Unies, en marge du sommet. L'épisode des droits de douanes aura terni les relations américaines avec nombre de pays, qui cherchent depuis des partenaires stables. C'est par exemple le cas du Premier ministre indien, Narendra Modi, qui, courroucé par l'imposition de 50 % de droits de douanes sur les produits indiens par les États-Unis, a traversé l'Himalaya pour retrouver son voisin chinois. Une première depuis 7 ans pour les deux puissances rivales qui étaient en froid depuis des affrontements entre leurs soldats dans une région himalayenne en 2020. "Le dragon et l'éléphant doivent mener ensemble un pas de deux", a déclaré Xi Jinping, qui semble vouloir faire de la Chine un nouveau pôle de stabilité, en se positionnant comme leader du multilatéralisme. Assiste-t-on à l'aube d'un nouvel ordre mondial ? Enfin, Xavier Mauduit revient sur l'histoire des musées d'Orsay et de l'Orangerie, suite au décès brutal de Sylvain Amic, leur président. Puis, Marie Bonnisseau nous fait découvrir un trompettiste brésilien, qui traque l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro pour lui jouer des sérénades : l'hymne antifasciste “Bella Ciao”, ou “La Marche funèbre” de Chopin. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 1er septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 01/09/2025 Sommet OCS en Chine : vers un nouvel ordre mondial anti-occidental ?Du 31 août au 1er septembre, Xi Jinping réunit une vingtaine de pays, dont les principales puissances asiatiques, ainsi que Vladimir Poutine, à Tianjin pour le sommet annuel de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS). "Le rôle de la Chine dans la défense du multilatéralisme est fondamental", a assuré Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations Unies, en marge du sommet. L'épisode des droits de douanes aura terni les relations américaines avec nombre de pays, qui cherchent depuis des partenaires stables. C'est par exemple le cas du Premier ministre indien, Narendra Modi, qui, courroucé par l'imposition de 50 % de droits de douanes sur les produits indiens par les États-Unis, a traversé l'Himalaya pour retrouver son voisin chinois. Une première depuis 7 ans pour les deux puissances rivales qui étaient en froid depuis des affrontements entre leurs soldats dans une région himalayenne en 2020. "Le dragon et l'éléphant doivent mener ensemble un pas de deux", a déclaré Xi Jinping, qui semble vouloir faire de la Chine un nouveau pôle de stabilité, en se positionnant comme leader du multilatéralisme. Assiste-t-on à l'aube d'un nouvel ordre mondial ?On en débat avec Anne-Cécile Robert, directrice adjointe au Monde diplomatique, Sylvie Bermann, ambassadeur de France en Russie (2017-2019) et en Chine (2011-2014) et Jean-François Colosimo, essayiste et éditeur.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 1er septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai s'est ouvert ce dimanche à Tianjin, la quatrième ville la plus peuplée de Chine. Un forum conçu pour développer la coopération entre Etats eurasiatiques : la Russie, l'Inde, la Turquie ou encore la Corée du Nord, l'Iran, le Pakistan et l'Indonésie sont invités par le président chinois Xi Jinping. Mercredi, une parade militaire commémorant les 80 ans de la capitulation du Japon et de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Asie aura lieu à Pékin. Etant donné le contexte géopolitique actuel qui inclut le conflit commercial porté par Trump et ses droits de douane contre la Chine et l'Inde, les tensions sur le nucléaire iranien et la guerre en Ukraine, ce sommet a une résonance particulière : celle de l'affirmation symbolique d'un autre ordre mondial.Véronique Kiesel est journaliste au pôle international et spécialiste de la Chine. Elle revient avec nous sur les enjeux politiques, économiques et diplomatiques qui entourent ce sommet.
Christophe Giltay revient sur tout ce qui fait l'actu. Le plus célèbre chroniqueur de bel RTL partage son avis et son humeur à l'heure du petit déjeuner ! Un édito sans concession avec la plume et le ton unique de Christophe Giltay.
durée : 00:20:34 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Certains jeunes chinois de la classe moyenne ne cachent plus leur mal-être face à la pression d'une société hyper concurrentielle. Alors que le ralentissement économique du pays nourrit leurs inquiétudes, le parti communiste promeut pour sa part un développement toujours plus rapide. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Harold Thibault Correspondant du journal Le Monde à Pékin
On commence avec le discours de François Bayrou aux journées d'été du Medef qui ont lieu à Roland Garros
On commence avec le discours de François Bayrou aux journées d'été du Medef qui ont lieu à Roland Garros
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
Tous les jours à 12h50, Anthony Morel vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Estelle Midi, sur RMC.
Jules Verne (1828 - 1905)Kin-Fo est un jeune chinois riche, qui est indifférent à tout et ne connaît pas le bonheur. Un jour, il se retrouve ruiné. Ne voulant pas imposer à sa future épouse une vie misérable, il préfère mourir. Au moment de se donner la mort, il se rend compte qu'il ne ressent rien, et décide qu'il ne peut mourir sans connaître d'émotions au moins une fois dans sa vie. Il demande donc à son maître et ami, le philosophe Wang, de le tuer dans un délai imparti, ce qui, il l'espère, le fera redouter la mort et éprouver quelques émotions. Wang accepte, puis disparaît. Mais...(Résumé modifié de Wikipedia par Nadine)Genre(s): Action & Adventure FictionLanguage: French
Après avoir couru un semi-marathon ou disputé un match de foot, les robots passent à l'étape supérieure. La semaine prochaine, Shanghai va accueillir la toute première édition des World Humanoid Robot Games. Un événement inédit qui rassemblera plus de 500 robots issus de 127 entreprises, venus se mesurer dans une série d'épreuves sportives et artistiques. Au programme : football, basketball, tennis de table, combat libre… mais aussi danse en groupe et démonstrations techniques simulant des situations réelles. L'objectif ? Évaluer la mobilité, la réactivité et la coordination de ces machines, tout en offrant un spectacle digne des compétitions humaines.La télévision publique chinoise a déjà donné un aperçu : des robots dribblant un ballon, esquivant des coups sur un ring ou exécutant des gestes précis inspirés de sportifs professionnels. Les compétitions se dérouleront dans plusieurs enceintes de la ville, spécialement aménagées pour accueillir les épreuves et des zones d'exposition. Les participants viennent de tous horizons : start-up, géants de la tech, universités et laboratoires de recherche. Mais derrière le show, il y a un enjeu économique majeur. L'industrie chinoise des humanoïdes est en pleine accélération, portée par des investisseurs de poids comme Tencent ou Alibaba. Certaines entreprises se préparent déjà à entrer en bourse, profitant d'un atout clé : une production locale intégrée, capable de fournir à la fois les composants mécaniques et électroniques. Résultat : des coûts plus bas et des prix agressifs.Exemple marquant : Unitree a récemment lancé un humanoïde à environ 6 000 dollars. Un tarif qui ouvre le marché à des secteurs jusque-là exclus de ce type de technologie. L'objectif des fabricants est clair : rendre ces robots polyvalents, capables de passer de tâches simples à des missions plus complexes. Les Jeux de Shanghai serviront ainsi de vitrine mondiale, montrant non seulement la prouesse technologique, mais aussi le potentiel commercial de ces machines… qui n'ont pas fini de nous courir après. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. En Chine, où les échecs chinois (xiangqi en mandarin), sont toujours largement pratiqués, avec environ 6,8 millions de joueurs réguliers. Bien que traditionnellement associé aux générations plus âgées, ce jeu reste présent chez les jeunes, avec des clubs dans les universités et les lycées. Mais comme beaucoup de jeux de société traditionnels, le xiangqi a du mal à maintenir sa popularité auprès des jeunes, en particulier avec l'essor des divertissements numériques. Ritan Park, en plein cœur de Pékin. Il est à peine 8 h 30, et déjà plusieurs curieux se pressent autour d'une table. Deux hommes jouent au xiangqi, l'échiquier chinois. Tang, l'un des joueurs, nous explique les règles : « Le char se déplace en ligne droite, le canon saute par-dessus, le cheval forme un L, l'éléphant traverse en diagonale, peu à peu, on apprend. » Mais le xiangqi n'est pas qu'un jeu. Pour Liu, observateur passionné, il raconte surtout des histoires : « Beaucoup de vieilles histoires se retrouvent dans le jeu. Chaque pièce représente un guerrier, un côté de l'armée. Il y a la rivière, la frontière. C'est l'art de la guerre, au départ. Tous les gens aiment ça pour son contexte culturel. Il y a tant d'histoires derrière, si on les connaît. » Dans la conversation mêlée, Ke nous dit que c'est un héritage, mais aussi un outil d'apprentissage : « Je pense que ça aide les enfants à comprendre la culture traditionnelle. Et ça peut aussi développer leur intelligence. C'est une manière d'entraîner l'esprit. » Le xiangqi « c'est dans l'ADN chinois » Mais aujourd'hui, ce sont surtout les aînés qui perpétuent la tradition. Les jeunes, eux, se tournent vers d'autres distractions, rebondit Liu : « C'est comme l'opéra de Pékin, les jeunes n'aiment pas ça. Le changement culturel est différent. La jeune génération n'a pas la patience. Ils regardent TikTok cinq secondes, et c'est fini. C'est une question de génération. C'est pareil chez vous ! L'époque progresse, et c'est très bien. Mais parfois, il faut regarder en arrière pour comprendre l'histoire, le contexte culturel. Savoir d'où l'on vient. » Et dans cette transmission, il y a aussi une part de fierté, nous dit Li, un vieil homme au sourire franc qui suit de près le mouvement des joueurs, en s'exclamant parfois : « untel aurait plutôt dû avancer son pion dans l'autre sens ! ». « C'est ainsi que les choses se passent. Ça fait partie de notre culture traditionnelle, non ? On devrait faire de notre mieux pour la promouvoir. Si ça se développait à l'international, ça renforcerait aussi le prestige national. » Pour Liu, le xiangqi incarne une philosophie de vie : « C'est la façon de penser, comme Confucius. C'est difficile à traduire, mais c'est dans l'ADN chinois. » Jeu de stratégie, miroir de la société, mémoire vivante. Malgré les défis de la modernité, le xiangqi reste un pilier de la vie culturelle. Des efforts sont là pour transmettre ce patrimoine aux plus jeunes et faire de ce jeu de stratégie une histoire toujours en mouvement.
Les relations commerciales entre Washington et Pékin sont déjà assez tendues… et quand il s'agit de high-tech, la partie se corse encore. Ces dernières années, les États-Unis ont multiplié les restrictions sur l'exportation de matériel vers la Chine, au point d'interdire presque totalement à NVIDIA de vendre ses puces H20 à son grand rival asiatique.Eh bien, surprise : cette interdiction va tomber… grâce à un accord pour le moins inédit. Selon le Financial Times, NVIDIA et AMD viennent d'obtenir des licences d'exportation vers la Chine. Mais attention : rien n'est gratuit. En échange, les deux géants américains de la tech verseront à Washington 15 % des revenus générés par la vente de leurs puces – les H20 pour NVIDIA, les MI308 pour AMD – sur le marché chinois.Pour l'instant, personne ne sait exactement comment cette manne financière sera utilisée. Ce qui est sûr, c'est que c'est une première dans l'histoire économique américaine : jamais une licence d'export n'avait été conditionnée au reversement direct d'une partie des recettes d'une entreprise au gouvernement. Un deal qui rappelle l'approche transactionnelle popularisée sous l'ère Trump : les règles du commerce peuvent s'assouplir… si un accord avantageux est trouvé.Mais ce feu vert pourrait être de courte durée. À Washington, les opposants sont nombreux. Une vingtaine d'experts en sécurité viennent de signer une lettre au secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, pour exiger que ces puces ne soient pas vendues en Chine, estimant qu'elles pourraient booster dangereusement les capacités d'intelligence artificielle de Pékin. Autrement dit, cette ouverture pourrait bien être un simple sursis, dans un match États-Unis–Chine où technologie et géopolitique s'emmêlent toujours plus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé une première fois le 3 juin.Wang Dong n'a pas travaillé depuis plusieurs mois et n'a aucune intention de le faire dans un futur proche.En attendant, le jeune homme passe ses journées dans une ville du sud-ouest de la Chine en bord de lac, réfléchissant à la prochaine étape de sa carrière.À 29 ans, il fait partie de ces jeunes chinois qui ont décidé de descendre du "tapis roulant" pour une retraite au vert, et remettre ainsi leur vie à plat.Ces longues pauses professionnelles ne sont pas inédites en Europe ou aux Etats-Unis, mais elles restent marginales en Chine, où le pouvoir critique les modes de vie oisifs pour glorifier les sacrifices servant l'essor économique du pays.Sur le Fil vous propose une visite de plusieurs de ces “maisons de retraite" temporaires pour jeunes.Invité : Matthew Walsh journaliste au bureau de l'AFP à Pékin.Réalisation : Emmanuelle BaillonReportage AFPTV : Danni ZhuDoublages : Guillaume Bonnnet, Arthur Milos, Sébastien Castéran, Michaëla Cancela-Kieffer, Louis Sibille, Benoit DucrocqSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45.Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme.Ce podcast fait l'objet d'une clause de opt-out:Sous réserve des dispositions de l'article L.122-5-3.II. du code de la propriété intellectuelle, tout accès à ou utilisation (tels que, à titre non exhaustif, la reproduction, l'agrégation et l'archivage) du contenu de ce podcast et de sa description, pour toute activité systématique ou automatisée liée à la récupération, la fouille, l'extraction, l'agrégation, l'analyse, l'exploration ou la collecte de textes, d'extraits sonores, et/ou de données, par l'intermédiaire de tout "robot", "bot", "spider", "scraper", ou de tout autre dispositif, programme, technique, outil, procédé ou méthode, réalisé dans le but de créer, développer, entraîner, tester, évaluer, modifier et/ou permettre l'exécution de logiciels, algorithmes et modèles d'apprentissage automatique/d'intelligence artificielle ou à une quelconque autre fin, sans l'autorisation préalable écrite de l'AFP, est strictement interdit. La présente disposition des CG vaut opposition expresse de l'AFP au sens des articles L. 122-5-3.III. et R. 122-28 du Code de la propriété intellectuelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La figure omnisciente de Henry Kissinger a marqué la présidence Nixon. Jamais le conseiller ne brilla davantage que lors du rapprochement avec la Chine de Mao.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre un Zuckerberg qui promet une révolution avec les super-IA personnelles, un Sam Altman qui parle de « moment historique » avec GPT-5, et la Chine qui affiche sa puissance à la World AI Conference, la guerre des récits autour de l'intelligence artificielle bat son plein.
durée : 00:06:03 - La Revue de presse internationale - par : Marie Dorcet - Pendant plus de 25 ans, Shi Yongxin a transformé le temple Shaolin en empire commercial. Il vient d'être limogé : une enquête est ouverte à son encontre pour "détournement de fonds".
En Chine, l'intelligence artificielle n'est plus un simple sujet d'innovation, mais une réalité industrielle structurée. Challenges et le cabinet Trajectry ont organisé, début juillet un voyage d'étude à Shanghai, au cœur de ce tourbillon technologique. Là-bas, des “quartiers de l'IA” concentrent start-up, laboratoires, infrastructures GPU, plateformes de robotique et modèles open source. Objectif : autonomie technologique totale, de la puce au modèle. Loin des débats sur la régulation, la Chine passe à l'exécution. L'IA générative y est massivement utilisée : dans l'e-commerce, le marketing, la production de contenus vidéo ou la conception de produits. La robotique humanoïde, intégrée à des modèles de langage, sort des labos pour entrer dans les entrepôts et les hôpitaux.Face à cette accélération, l'Europe semble larguée. Manque d'infrastructures, dispersion des efforts, lourdeurs réglementaires… Le contraste est saisissant. Et inquiétant. Car si la Chine avance sans garde-fous éthiques, elle avance vite. Très vite. Et pose, par la seule force de son exécution, une question stratégique à l'Occident : que reste-t-il du temps long, quand d'autres courent déjà ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La visite de Anthony Albanese en Chine se poursuit
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, nous nous confrontons à la situation difficile des LGBT en Afrique qui, souvent, sont amenés à fuir le continent pour éviter la mort ou la prison... En deuxième partie, direction la Chine qui produit une grande quantité de vin avec ses plus de 800 000 hectares de vignes. Quantité, mais aussi qualité grandissantes. Domaine dans lequel les femmes sont de plus en plus innovantes. (Rediffusion) Migrants LGBT : quitter l'Afrique pour survivre Être gay ou lesbienne dans certains pays d'Afrique est puni d'emprisonnement. Dans d'autres pays du continent, si l'homosexualité n'est pas pénalisée, elle est très mal perçue par la population. Les LGBT sont rejetés, menacés et risquent la mort. LGBT, appellation des années 90 pour lesbienne, gay, bisexuel et trans est devenu LGBTQIA+ pour intégrer d'autres identités sexuelles et de genre. Face aux actes homophobes et transphobes parfois très violents, partir est fréquemment l'issue pour tout simplement sauver sa vie. Migrer en Europe, en France où les demandes d'asile liées à l'orientation sexuelle ne cessent d'augmenter. Un Grand reportage de Lise Verbeke (avec l'aide de Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix. En Chine, les vigneronnes ont vraiment du nez Le secteur viticole chinois a connu, pendant une trentaine d'années, des hauts et des bas. L'enjeu économique est très important : la Chine compte 800 000 hectares de vignes. Devant la France, régulièrement, les ventes de vins plafonnent. La consommation n'étant pas encore vraiment entrée dans les mœurs. Mais la dernière tendance est porteuse d'espoir. La quantité de vin produite augmente. La qualité aussi. À la clé : des récompenses et des médailles. Dans cet essor, les femmes brillent par leur excellence et leurs innovations. Un Grand reportage de Clea Broadhurst qui s'entretient avec Jacques Allix.
Le secteur viticole chinois a connu, pendant une trentaine d'années, des hauts et des bas. L'enjeu économique est très important : la Chine compte 800 000 hectares de vignes. Devant la France, régulièrement, les ventes de vins plafonnent. La consommation n'étant pas encore vraiment entrée dans les mœurs. Mais la dernière tendance est porteuse d'espoir. La quantité de vin produite augmente. La qualité aussi. À la clé : des récompenses et des médailles. (Rediffusion) Dans cet essor, les femmes brillent par leur excellence et leurs innovations. «En Chine, les vigneronnes ont vraiment du nez», un Grand reportage de Clea Broadhurst avec l'aide de Chi Xiangyuan.
durée : 00:04:38 - Le Reportage de la rédaction - Les goûts changent et les jeunes Chinois deviennent de plus en plus de gros consommateurs de café. Et cette évolution a aussi changé la vie des paysans de la province du Yunnan. Producteurs de thé depuis des siècles, beaucoup se reconvertissent dans le café.
durée : 00:04:27 - Le Zoom de France Inter - En Chine, malgré la tradition millénaire du thé, le café devient de plus en plus populaire. Pour répondre à cette nouvelle forme de consommation, la province du Yunnan, connue mondialement pour son thé, se tourne désormais vers le café et les paysans se reconvertissent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le secteur du luxe, souvent considéré comme une valeur refuge, connaît aujourd'hui une phase d'incertitude rare, qui en fait un placement risqué à court terme. Selon une étude du cabinet Bain & Company, réalisée avec la Fondation Altagamma, l'année 2025 pourrait marquer l'une des pires turbulences que le secteur ait connues depuis la crise de 2008.1. Un contexte géopolitique et économique tenduL'étude souligne que les ventes de produits de luxe sont très sensibles aux incertitudes. Or, 2025 débute dans un climat tendu : conflits armés, tensions commerciales, instabilité des monnaies, et volatilité des marchés boursiers. Résultat : la confiance des consommateurs se fragilise. Les acheteurs fortunés, même s'ils ont les moyens, adoptent une attitude plus prudente face à l'incertitude, ce qui pèse directement sur les ventes.2. La Chine et les États-Unis en ralentissementLes deux marchés phares du luxe mondial — la Chine et les États-Unis — montrent des signes d'essoufflement. Aux États-Unis, ce sont surtout les fluctuations tarifaires et la crainte d'un ralentissement économique qui freinent les dépenses. En Chine, l'attitude attentiste de la classe moyenne supérieure, autrefois moteur de la croissance, est liée à un climat d'anxiété économique interne et au durcissement du contexte immobilier.3. Un retour à la normale après l'euphorie post-CovidJoëlle de Montgolfier, directrice du pôle luxe chez Bain, rappelle que la forte croissance observée après le Covid n'était pas durable. Le marché est aujourd'hui en phase de normalisation : après un chiffre record de 1.478 milliards d'euros en 2024, les ventes d'articles de luxe personnels (mode, maroquinerie, joaillerie…) pourraient reculer de 2 à 5 % en 2025. Dans le scénario le plus pessimiste, la baisse pourrait atteindre jusqu'à 9 %.4. Une perspective à long terme toujours solideMalgré tout, les experts ne parlent pas d'un effondrement, mais d'un recalibrage. Le marché reste globalement sain, et l'appétit pour le luxe demeure fort à l'échelle mondiale. Mais pour les investisseurs, cette période de transition est délicate. Les entreprises du secteur (comme LVMH, Kering ou Richemont) voient leur valorisation chahutée en bourse, du fait de perspectives de croissance temporairement dégradées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Wang Dong n'a pas travaillé depuis plusieurs mois et n'a aucune intention de le faire dans un futur proche.En attendant, le jeune homme passe ses journées dans une ville du sud-ouest de la Chine en bord de lac, réfléchissant à la prochaine étape de sa carrière.À 29 ans, il fait partie de ces jeunes chinois qui ont décidé de descendre du "tapis roulant" pour une retraite au vert, et remettre ainsi leur vie à plat.Ces longues pauses professionnelles ne sont pas inédites en Europe ou aux Etats-Unis, mais elles restent marginales en Chine, où le pouvoir critique les modes de vie oisifs pour glorifier les sacrifices servant l'essor économique du pays.Sur le Fil vous propose une visite de plusieurs de ces “maisons de retraite" temporaires pour jeunes.Invité : Matthew Walsh journaliste au bureau de l'AFP à Pékin.Réalisation : Emmanuelle BaillonReportage AFPTV : Danni Zhu Doublages : Guillaume Bonnnet, Arthur Milos, Sébastien Castéran, Michaëla Cancela-KIeffer, Louis Sibille, Benoit DucrocqSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sable est la seconde ressource naturelle la plus exploitée au monde, après l'eau. Essentiel à la fabrication du béton, du verre, de l'asphalte ou des composants électroniques, il est au cœur des projets d'urbanisation massive — et peu de pays en ont autant besoin que la Chine. Avec 1,4 milliard d'habitants et une urbanisation toujours galopante, la Chine consomme à elle seule une part gigantesque du sable mondial. Or, cette ressource devient de plus en plus rare, poussant le pays à développer son propre sable artificiel. Scientifiquement, cette démarche repose sur des constats environnementaux, économiques et technologiques.Le sable naturel, une ressource sous pressionContrairement à une idée reçue, le sable du désert n'est pas adapté à la construction, car ses grains, arrondis par l'érosion éolienne, n'adhèrent pas bien entre eux. Le sable utilisable provient donc des lits de rivières, des carrières ou des fonds marins. Mais son extraction massive provoque des dégâts écologiques majeurs : érosion des côtes, destruction d'écosystèmes aquatiques, pollution, ou encore perturbation des cycles sédimentaires. En 2019, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) a sonné l'alarme sur le risque de pénurie mondiale de sable de construction.En Chine, le problème s'est accentué avec des politiques d'urbanisation intense. Résultat : entre 2010 et 2020, l'approvisionnement en sable naturel a chuté de près de 50 %, contraignant le pays à se tourner vers une alternative.Une réponse technologique : le sable manufacturéLa solution chinoise est le sable artificiel, aussi appelé sable manufacturé. Ce sable est obtenu par concassage et tamisage de roches (comme le granite, le basalte ou le calcaire), ou de résidus miniers. Les grains ainsi produits sont calibrés pour offrir les mêmes propriétés mécaniques que le sable naturel. Ce procédé, bien que plus coûteux en énergie, est maîtrisé technologiquement et peut être adapté aux besoins précis de l'industrie du bâtiment.D'après une étude publiée en juillet 2024 dans Nature Geoscience, plus de 80 % du sable utilisé en Chine aujourd'hui est d'origine artificielle. Ce basculement a été rendu possible par des politiques publiques strictes et un encadrement gouvernemental visant à limiter l'extraction destructrice de sable naturel.Une démarche aussi environnementaleLa fabrication de sable artificiel ne vise pas uniquement à répondre à la demande, mais aussi à réduire les dommages environnementaux. Elle permet d'épargner les zones naturelles, de ralentir l'érosion côtière et de valoriser des déchets miniers qui, autrement, seraient stockés.En somme, la Chine fabrique son propre sable par nécessité, mais aussi par anticipation : pour soutenir son développement urbain tout en préservant ses écosystèmes fragiles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:20 - Le Zoom de France Inter - Le régime de Xi Jinping tente de redresser une économie chinoise qui tourne toujours au ralenti depuis la fin du Covid, sans oublier les droits de douane de Donald Trump. Pour relancer une consommation intérieure toujours en berne, l'une des armes de Pékin, ce sont les influenceurs.
Le vent tourne en Chine en termes de natalité. L'enfant unique fut longtemps une obligation. Aujourd'hui, l'inverse est presque de mise : l'État s'inquiète de voir les naissances chuter. En 2024, le pays n'a enregistré que 9 millions et demi de bébés, très peu à l'échelle du pays. Un des niveaux les plus bas depuis la fondation de la République populaire. Les autorités multiplient les incitations. Mais les jeunes, eux, y regardent à deux fois. Grandir, aimer et transmettre. Ils s'interrogent. «Naissances en Chine : quand l'intime défie la politique», un Grand reportage de Clea Broadhurst et Chi Xiangyuan.
À l'occasion des 10 ans de Laurent Ruquier aux commandes des "Grosses Têtes", RTL vous propose chaque jour de revivre en podcasts les meilleures séquences de l'émission ! Aujourd'hui, découvrez un extrait du 26 août 2024 ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.