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Le jour d'après la déflagration, le jour d'après la condamnation de Marine LE PEN qui risque de la priver de la prochaine présidentielle… “On ne se laissera pas voler l'élection”, disait la favorite des sondages ce matin quand Jordan BARDELLA parlait lui de la “tyrannie des juges”… Des attaques de plus en plus fortes contre la justice et ce soir, ce sont bien deux conceptions de la démocratie qui s'affrontent et dont nous allons débattre sur ce plateau… Scandale démocratique ou inquiétante dérive trumpiste qui s'en prend aux contre-pouvoirs ? On en débat ce mardi 1er avril avec nos invités : ▶︎ Thierry PECH Directeur général de Terra Nova, co-auteur de « Marine Le Pen Présidente : Dystopie politique. 2026-2029 » aux éditions Les Petits Matins (16.01.25)▶︎ Pierre-Henri TAVOILLOT Philosophe, universitaire à la Sorbonne, auteur de « Voulons-nous encore vivre ensemble ? Les défis de la convivialité » aux éditions Odile Jacob (06.11.2024)▶︎ Magali LAFOURCADE Magistrate, secrétaire générale de la Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme▶︎ Camille VIGOGNE LE COAT Grand reporter Le Nouvel Observateur, autrice de « Les rapaces - Enquête sur la "Mafia Varoise" de Marine Le Pen » aux éditions Les Arènes (02.11.23), prix du Livre du Journalisme 2024▶︎ Eve SZEFTEL Directrice de la rédaction de Marianne▶︎ Jérôme SAINTE-MARIE Sondeur, délégué départemental du RN dans les Hautes-Alpes, responsable du campus Hemera, président de l'institut Pollingvox
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:07:07 - Info médias - Le groupe propriétaire de "Voici", "Capital" ou "Télé-Loisirs" repositionne son titre art de vivre haut de gamme "The good life" à destination du lectorat masculin, et décline le héros de BD Mini-Loup en magazine pour les 3-6 ans.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty, et Charles Consigny, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:09:34 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - À 7h50, le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, est l'invité de Sonia Devillers, alors que la situation diplomatique autour de la guerre en Ukraine semble plus que jamais inextricable. - invités : Jean-Noël Barrot - Jean-Noël Barrot : Homme politique français
durée : 00:09:34 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - À 7h50, le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, est l'invité de Sonia Devillers, alors que la situation diplomatique autour de la guerre en Ukraine semble plus que jamais inextricable. - invités : Jean-Noël Barrot - Jean-Noël Barrot : Homme politique français
Marie-Aude Thépaut est la directrice générale de CNP assurances, elle évoque notamment « le droit à l'oubli », s'agissant des patients guéris d'un cancer Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transmission, c'est des conversations entre les générations, avec les intellectuels d'hier et de demain.⚠️ Un lundi sur deux, à 18h, et le lendemain matin en podcast ! L'ouvrage de Pierre-Henri Tavoillot que Transmission vous recommande : ➡️ “Voulons-nous encore vivre ensemble ?” Editions Odile Jacob, 2024 https://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences-humaines/questions-de-societe/voulons-nous-encore-vivre-ensemble-_9782415004569.php
Voulons-nous encore vivre ensemble ? (Ed. Odile Jacob). Nos échanges commerciaux sont depuis des décennies mondialisés, les marchés ont une dimension planétaire. La logistique, cette incroyable machinerie souterraine, invisible du grand public permet ces échanges et nos approvisionnements. Avec les contraintes environnementales et la nécessité de la décarbonation, l'enjeu devient encore plus crucial. On en parle avec Michel Savy, ingénieur et économiste, professeur émérite à l'École des ponts et chaussées et à l'École d'urbanisme de Paris. Il dirige l'Observatoire des politiques et des stratégies de transport en Europe et préside le conseil scientifique du think tank TDIE. Les nouveaux enjeux de la logistique (Ed. Odile Jacob) Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Voulons-nous encore vivre ensemble ? (Ed. Odile Jacob) Voulons-nous encore vivre ensemble ? Cette question commençait à poindre, en Occident, devant l'étrangeté de nos « sociétés d'individus » : la montée de l'isolement et des égoïsmes, la conflictualisation des rapports, l'enfermement identitaire, la violence désinhibée, les attentats, et aussi le souffle de plus en plus proche de la guerre et des massacres. Avec la crise du Covid, la population de notre planète a partagé l'expérience inédite d'une suspension de la vie collective qui en a révélé les fêlures. L'ombre d'un doute a surgi : est-ce que cette vie commune en vaut vraiment la peine ? Chacun a pu alors se demander à quoi il tenait vraiment. En Europe, l'esprit critique s'est emballé. On a médité sur l'essentiel et le superflu, parfois pour les inverser. Que ce soit pour manger, causer, voter, travailler, rouler, coucher, habiter, procréer… certains en sont venus à se demander si la part des autres était si indispensable. Au fond, la vie commune ne va plus de soi, comme si elle avait perdu son évidence et son innocence. Vivre avec autrui ? Voilà, désormais, qui demande réflexion ! Pourquoi ? Comment ? Et avec qui ? Pierre-Henri Tavoillot est philosophe et notre invité. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Les premiers pas de François BAYROU à Matignon… Un nouveau PM qui se veut à la fois bâtisseur et réparateur, alors a-t-il les moyens de réparer le pays et de le sortir de son instabilité ? Peut-il gravir l'Himalaya de difficultés qui se trouvent devant lui ? Et surtout avec qui ? Nous allons en débattre ce lundi 16 décembre 2024 avec : ▶︎ Jean-Louis BOURLANGES Ancien député MoDem et ex-président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale▶︎ Pierre-Henri TAVOILLOT Philosophe, auteur de « Voulons-nous encore vivre ensemble ? Les défis de la convivialité » aux éditions Odile Jacob (06.11.2024)▶︎ Aurélie FILIPPETTI Ancienne Ministre PS de la Culture▶︎ Andréa KOTARAC Porte-parole du Rassemblement National, président du groupe RN d'Auvergne-Rhône-Alpes▶︎ Maud VERGNOL Co-directrice de la rédaction de l'Humanité▶︎ Guénaëlle GAULT Directrice générale de L'ObSoCo, co-autrice de l'enquête « Fatigue informationnelle, co-autrice de « Penser sans entraves, ces concepts qui nous empêchent de réfléchir» aux éditions de l'Aube (22.11.24)
Il est auteur de « Voulons-nous encore vivre ensemble », aux éditions Odile Jacob. Le philosophe cherche à comprendre ce qui nous brouille et qui, alors que le mot communauté faisait sens avant, nous donne le sentiment de ne plus tenir les uns aux autres. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:41 - Le Grand Face-à-face - par : Thomas Snégaroff - Quels sont les clivages qui traversent notre société ? Et comment faire société ? Débat avec le philosophe, Pierre-Henri Tavoillot, maître de conférence à la Sorbonne Université, président du Collège de philosophie, auteur de “Voulons-nous encore vivre ensemble ?" (Odile Jacob). - invités : Pierre Henri TAVOILLOT - Pierre-Henri Tavoillot : Maître de conférences à Sorbonne Université, président du Collège de philosophie - réalisé par : Marie MéRIER
durée : 00:54:41 - Le Grand Face-à-face - par : Thomas Snégaroff - Quels sont les clivages qui traversent notre société ? Et comment faire société ? Débat avec le philosophe, Pierre-Henri Tavoillot, maître de conférence à la Sorbonne Université, président du Collège de philosophie, auteur de “Voulons-nous encore vivre ensemble ?" (Odile Jacob). - invités : Pierre Henri TAVOILLOT - Pierre-Henri Tavoillot : Maître de conférences à Sorbonne Université, président du Collège de philosophie - réalisé par : Marie MéRIER
durée : 00:59:41 - Avec philosophie - par : Géraldine Mosna-Savoye, Antoine Ravon - L'obsession de l'homme pour la vérité a des conséquences morales dont il faut, selon Nietzsche, s'émanciper. Comment peut-on embellir notre propre vie afin d'atteindre la "grande santé" ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Typhaine Morille Agrégée de philosophie et professeure en CPGE A/L (Joliot-Curie, Nanterre), Membre du GIRN (Groupe International de Recherches sur Nietzsche)
Bienvenue dans cet épisode !Aujourd'hui, je reçois un invité un peu spécial : Jérôme Clarysse, président du CEG.(Après 2 ans et demi de podcast, il était temps !
1000 personnes, à Genève et Lausanne, ont manifesté, ce week-end contre l'élargissement de l'autoroute entre Nyon et Le Vengeron. Sujet sur lequel nous nous prononcerons, le 24 novembre prochain. Thibault Schneeberger, coordinateur romand d'actif trafiC, était l'invité de Béatrice Rul à 7h30, sur Radio Lac. Vous êtes opposé à l'élargissement des autoroutes, sur laquelle nous nous exprimerons le 24 novembre prochain. Très concrètement, ça veut dire, 6 voies, entre Nyon et le Vengeron. Très concrètement la fin d'un goulet d'étranglement qui empoisonne la vie des Genevois et Vaudois…"Ca c'est ce qu'on aimerait bien croire mais dans la réalité, il n'en sera rien. On ne va pas résoudre le problème des bouchons, en élargissant la route. C'est une réalité qui est vérifiée partout dans le monde. A chaque fois qu'on élargit les routes, on crée un effet d'aubaine, les gens changent d'habitude. On rend la route plus attractive et la route est de nouveau engorgée. La population a augmenté de 50% depuis les années 60, date de création de l'A1 et le trafic a augmenté de 150%. En développant massivement les autoroutes, on a dopé le trafic et on a créé cette dépendance automobile. Voulons-nous aggraver cette dépendance automobile ou voulons-nous en sortir?"En quoi l'élargissement des autoroutes se ferait en opposition avec un développement des transports publics?"La semaine passée, le Conseil fédéral a lancé des plans d'économie dans les transports publics régionaux. Il souhaite nous rendre encore plus dépendant à la voiture. La Confédération souhaite mettre, au total, 35 milliards dans les prochaines décennies, dans les autoroutes. Si la Confédération mettait cet argent dans le développement du rail, dans la baisse des transports publics. Le prix de l'abonnement général coûte le double de ce qu'il était dans les années 90! Le prix de la voiture, lui, est resté en dessous de l'inflation. Nous devons faire des choix pour rendre les transports publics plus efficaces, plus abordables pour la population. Ca ne peut se faire qu'avec des investissements importants et si on gaspille des milliards dans les autoroutes, on perd cet argent dont on a besoin".
D'ici 2050, la Banque Mondiale prédit que, dans le monde, pratiquement sept personnes sur dix vivront en milieu urbain. L'urbanisation galopante s'accompagne de nombreux défis : répondre à la demande de logement, d'infrastructures de transport, d'alimentation en énergie, de services, d'emploi, en particulier pour le milliard de citadins pauvres qui vivent souvent dans des quartiers informels. Les étudiants en école d'urbanisme, d'architecture, de paysage ou d'ingénieur s'attèlent à penser et à façonner les villes de demain pour anticiper tous ces défis, ils présentent leurs visions pour une urbanité durable et accueillante en 2050. Emission enregistrée à la Gaité Lyrique à l'occasion du Festival de la francophonie “Refaire le monde” du 2 au 6 octobre 2024Avec :• Franck Boutté, ingénieur et architecte de formation. Fondateur et président, de l'agence d'ingénierie et de co-conception environnementale Atelier Franck Boutté et grand prix de l'urbanisme 2022. • Halima Mbrati, urbaniste chez Buro Happold, Cabinet en ingénierie et urbanisme situé en Arabie saoudite• Dieudonné Bantsimba, maire de Brazzaville, capitale du Congo Brazzaville et président de l'Association des Maires du Congo (AMC) Programmation Musicale : ► Abou Tall - Bats toi ► Manu Chao et Leati - Tu Té Vas
D'ici 2050, la Banque Mondiale prédit que, dans le monde, pratiquement sept personnes sur dix vivront en milieu urbain. L'urbanisation galopante s'accompagne de nombreux défis : répondre à la demande de logement, d'infrastructures de transport, d'alimentation en énergie, de services, d'emploi, en particulier pour le milliard de citadins pauvres qui vivent souvent dans des quartiers informels. Les étudiants en école d'urbanisme, d'architecture, de paysage ou d'ingénieur s'attèlent à penser et à façonner les villes de demain pour anticiper tous ces défis, ils présentent leurs visions pour une urbanité durable et accueillante en 2050. Emission enregistrée à la Gaité Lyrique à l'occasion du Festival de la francophonie “Refaire le monde” du 2 au 6 octobre 2024Avec :• Franck Boutté, ingénieur et architecte de formation. Fondateur et président, de l'agence d'ingénierie et de co-conception environnementale Atelier Franck Boutté et grand prix de l'urbanisme 2022. • Halima Mbrati, urbaniste chez Buro Happold, Cabinet en ingénierie et urbanisme situé en Arabie saoudite• Dieudonné Bantsimba, maire de Brazzaville, capitale du Congo Brazzaville et président de l'Association des Maires du Congo (AMC) Programmation Musicale : ► Abou Tall - Bats toi ► Manu Chao et Leati - Tu Té Vas
SMART IMPACT reçoit Bertrand Badré, ancien directeur général de la Banque mondiale et fondateur du fonds d'investissement à impact Blue Like an Orange, qui investit dans les pays émergents. L'auteur de « Voulons-nous (sérieusement) changer le monde ? » (Mame, 2020), partage sa vision d'une économie durable. En partenariat avec le salon Produrable (9 et 10 octobre 2024).-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
L'Iddri a ouvert récemment un nouveau projet de recherche dédié à l'étude du concept de contrat social, dont nous vous en avions présenté les bases dans un précédent podcast en janvier 2024. Voici aujourd'hui les travaux sur son évolution, de ses origines à nos jours, avant d'en tirer des enseignements pour demain. Le contrat social est constitué de quatre dimensions - travail, sécurité, consommation et démocratie - aux promesses non tenues. Ce projet mobilise donc autant la philosophie et l'histoire qu'il s'intéresse aux vécus de chacun. Dans ce nouvel épisode de Cap sur la transition, deux de nos chercheurs, Mathieu Saujot et Marion Bet, détaillent cette analyse historique et la confrontent au ressenti des Françaises et des Français, qu'ils ont interrogés. Ils dialoguent avec Sophie Larmoyer. #contrat #social #Démocratie #Sécurité #Prospérité #solidarite #État #Contratsocial #Croissance #citoyen #transition #technique #financement #nature #Ville #Système #politique #rousseau #hobbes #Sobriété #Société #vote #Modernité #travail #consommation #Consumérisme #sociologie #Inégalités #histoire #crise #écologie
durée : 00:21:13 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexis Morel - En ordre dispersé, la gauche effectue cette semaine sa rentrée politique avec les universités d'été des insoumis, des communistes et des écologistes. À 8h20, Mathilde Panot, députée LFI du Val-de-Marne et présidente du groupe LFI - NFP à l'Assemblée nationale est l'invitée du Grand Entretien. - invités : Mathilde Panot - Mathilde Panot : Députée La France Insoumise du Val-de-Marne, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale
durée : 00:21:13 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexis Morel - En ordre dispersé, la gauche effectue cette semaine sa rentrée politique avec les universités d'été des insoumis, des communistes et des écologistes. À 8h20, Mathilde Panot, députée LFI du Val-de-Marne et présidente du groupe LFI - NFP à l'Assemblée nationale est l'invitée du Grand Entretien. - invités : Mathilde Panot - Mathilde Panot : Députée La France Insoumise du Val-de-Marne, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale
durée : 00:02:37 - Grand angle - En un mois, deux personnes atteintes d'albinisme ont été attaquées en Tanzanie dont une fillette de deux ans kidnappée et assassinée. Malgré les bonnes intentions du gouvernement, cette communauté est encore en danger dans le pays. Reportage à Singida, dans le centre de la Tanzanie.
durée : 00:23:16 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - À trois jours du second tour des élections législatives, Raphaël Glucksmann, députée européen Place Publique, est l'invité du Grand Entretien de France Inter.
durée : 00:23:16 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - À trois jours du second tour des élections législatives, Raphaël Glucksmann, députée européen Place Publique, est l'invité du Grand Entretien de France Inter.
Avec Sœur Marie-Isabelle Marxuach
Tous les samedis et dimanches à 18h20, Thomas Schnell reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Edwige Diaz, député sortante RN de la Gironde (11ème circonscription) et vice-présidente du parti.
durée : 00:04:17 - Le Pourquoi du comment : économie et social - par : Dominique Méda - Depuis les années 1990, les dirigeants français n'ont pas cessé d'admirer le modèle social d'autres pays. Le nôtre serait dépassé, nous devrions donc en adopter d'autres mais pourquoi ?
Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les nouveaux héros n'auraient plus exactement l'étoffe de ceux d'hier. « Les X, Y et Z sont beaucoup plus sensibles. » Une alchimie unique à notre époque serait en train de transformer les victimes en héros ! Un renversement complet des polarités qui ont fait l'ordre du monde jusqu'à aujourd'hui. Avec Je souffre donc je suis, l'essayiste Pascal Bruckner constate que cette « souffrance est un puissant fonds de commerce », alors que « chacun veut être auréolé de la toute-puissance de la victime ». La figure du Christ n'est pas étrangère à cette posture qui est peut-être la nouvelle tentation de l'Occident ? Depuis la publication du Nouveau Désordre amoureux, coécrit avec Alain Finkielkraut en 1977, Bruckner passe au peigne fin l'héritage de ce petit tremblement de terre qu'a été mai 68 pour nos sociétés riches et modernes : l'individualisme, l'écologie et le bonheur, nouvel impératif radical de toute une génération. Notre invité accepte d'aborder avec candeur « l'obssession antisémite d'un père violent », qui a probablement façonné sa vision du monde. Les guerres à Gaza et en Ukraine mais aussi le nouveau féminisme et l'état de nos fragiles démocraties complètent cette conversation…tonique ! Pascal Bruckner est l'auteur d'une trentaine de romans et d'essais récompensés de plusieurs prix prestigieux.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:09:13 - L'invité de 7h50 - par : Alexandra Bensaid - La tête de liste des écologistes aux élections européennes Marie Toussaint milite pour un investissement massif dans les énergies renouvelables. Elle souhaite notamment "couvrir la France d'éoliennes et de panneaux solaires". - invités : Marie Toussaint - Marie Toussaint : Eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
durée : 00:09:13 - L'invité de 7h50 - par : Alexandra Bensaid - La tête de liste des écologistes aux élections européennes Marie Toussaint milite pour un investissement massif dans les énergies renouvelables. - invités : Marie Toussaint - Marie Toussaint : Eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
Il y a un an, des affrontements éclataient à Khartoum et ouvraient un cycle de guerre entre l'armée du général Al Burhan et les paramilitaires du général Hemedti, forçant à l'exode des millions de Soudanais. Les élites politiques et de la société civile soudanaises se sont elles aussi dispersées dans un premier temps, mais s'efforcent depuis de faire entendre une autre voix que celle des militaires. Parmi elles, une coalition nommée « Taqaddum », la Coordination des forces civiles démocratiques, dirigée par l'ancien Premier ministre Abdallah Hamdok. Alors que Paris accueille ce lundi une conférence humanitaire sur le Soudan, notre grand invité Afrique ce matin est l'un des cadres de Taqaddum, le diplomate Nureldin Satti. RFI : Qui est responsable de la situation dans laquelle se trouve le Soudan, un an après l'éclatement de la guerre ? Nureldin Satti : Ce sont les Forces armées soudanaises et les Forces de soutien rapide, qui ont perpétré le coup d'État du 25 octobre 2021, qui ont décidé d'arrêter le processus de transition démocratique, qui avait commencé deux ans auparavant.Donc, pour vous, la descente aux enfers a commencé avec le coup d'État des militaires ? Absolument. Ce qui se passe là est impensable. La guerre a atteint un degré incroyable, une sauvagerie inimaginable. Il faut trouver des solutions dans le fond de la société elle-même. C'est une société malade, donc elle ne sent pas qu'il y a des problèmes historiques à régler. Il y a un problème au Darfour, une marginalisation historique. Nous reconnaissons qu'il y a un problème entre les islamistes et le reste de la société, entre les civils et les militaires. Nos amis peuvent nous aider, mais finalement, le début de cette guérison est chez nous. On parle de soutien de parrains internationaux aux deux généraux, al-Burhan et Hemedti. Est-ce que vous diriez que la guerre au Soudan est une guerre internationale ? Il y a des allégations selon lesquelles il y aurait, d'un côté, des pays voisins du Soudan qui soutiendraient les Forces armées soudanaises, qu'il y a certains pays du Golfe, arabes, qui soutiendraient les Forces de soutien rapide. Ce sont des accusations, des allégations, mais il nous faudrait des preuves. On peut dire que c'est une guerre régionale qui s'internationalise, maintenant, avec l'implication même de la Russie et de l'Ukraine, l'Ukraine du côté, paraît-il, de l'armée nationale, et la Russie du côté des Forces de soutien rapide. Est-ce qu'il y a un risque de déstabilisation de la région ? Oui, absolument, ça commence déjà d'ailleurs. Le Soudan du Sud va peut-être connaître une période de grande déstabilisation sociale, économique et probablement politique, du fait que l'approvisionnement du Soudan du Sud en pétrole a été arrêté à cause de la guerre au Soudan et le Soudan du Sud dépend à 90% des revenus pétroliers. À lire aussiAu Soudan, l'économie terrassée par une année de conflitQuelles sont vos principales craintes concernant la population soudanaise dans ce contexte d'un conflit qui se prolonge ? Les craintes sont déjà là : une famine qui s'annonce imminente. Des populations qui sont déplacées un peu partout dans le pays n'arrivent pas à trouver de quoi manger. Qu'est-ce que le mouvement Taqaddum, dont vous faites partie, attend de la réunion de Paris qui s'ouvre ce 15 avril 2024 ? On attend que la communauté internationale, d'abord, soit beaucoup plus déterminée dans son assistance au Soudan, que les engagements financiers pris par les donateurs soient respectés. Ce n'est pas normal que l'aide qui arrive au Soudan n'arrive pas à 6% des sommes qui ont été promises par la communauté internationale. La deuxième chose, c'est aider à trouver une approche humanitaire, qu'il y ait des corridors humanitaires, des endroits protégés où les gens peuvent se réfugier et se déplacer, qu'il y ait finalement un début de coordination internationale et régionale autour de ce qu'on peut faire pour trouver un règlement au Soudan. Il n'y a pas de consensus au sein de la communauté régionale et internationale sur ce qu'on doit faire au Soudan. Il faut continuer à faire pression sur les deux belligérants pour accepter de négocier, tout d'abord.Deuxième chose, faire en sorte que l'appui régional et international aux belligérants s'arrête et qu'ils se trouvent dans une situation dans laquelle ils ne puissent pas compter sur l'assistance régionale et internationale. Qu'il y ait un consensus, une cohésion, pour que la communauté internationale parle d'une même voix et qu'elle puisse nous aider, nous, civils, à engager un dialogue réel pour trouver une voie de sortie de cette crise.À lire aussiGuerre au Soudan: l'armée regagne du terrain, le pays au bord de l'abîme humanitaire
Les ministres européens de l'Environnement réunis à Bruxelles, ce lundi 25 mars 2024. Réunion, alors que le Pacte vert européen subit un coup d'arrêt depuis quelques mois. Sous la pression du monde agricole, des industries soumises à la concurrence chinoise et américaine, et alors que l'extrême droite, résolument opposée à la transition écologique a le vent en poupe à l'approche des élections européennes, Bruxelles semble revoir ses ambitions climatiques à la baisse, et l'objectif du zéro carbone d'ici 2050 semble s'éloigner peu à peu. L'Europe est-elle en train de renoncer à ses ambitions climatiques ? C'est le débat du jour sur RFI. Pour en débattre : Sébastien Treyer, directeur général de l'Institut du Développement durable et des Relations internationales (IDDRI) Anne Sander, eurodéputée (LR) du groupe PPE, membre de la Commission de l'Agriculture et du Développement rural Bertrand Badré, PDG de Blue Like an Orange Sustainable Capital, un fonds d'investissement responsable, signataire de la tribune du Monde,Green Deal : « Ne nous résignons pas au lent détricotage de l'ambition environnementale européenne », ancien directeur général de la Banque mondiale et auteur de Voulons-nous sérieusement changer le monde ?, Éd. Mamel.
Les ministres européens de l'Environnement réunis à Bruxelles, ce lundi 25 mars 2024. Réunion, alors que le Pacte vert européen subit un coup d'arrêt depuis quelques mois. Sous la pression du monde agricole, des industries soumises à la concurrence chinoise et américaine, et alors que l'extrême droite, résolument opposée à la transition écologique a le vent en poupe à l'approche des élections européennes, Bruxelles semble revoir ses ambitions climatiques à la baisse, et l'objectif du zéro carbone d'ici 2050 semble s'éloigner peu à peu. L'Europe est-elle en train de renoncer à ses ambitions climatiques ? C'est le débat du jour sur RFI. Pour en débattre : Sébastien Treyer, directeur général de l'Institut du Développement durable et des Relations internationales (IDDRI) Anne Sander, eurodéputée (LR) du groupe PPE, membre de la Commission de l'Agriculture et du Développement rural Bertrand Badré, PDG de Blue Like an Orange Sustainable Capital, un fonds d'investissement responsable, signataire de la tribune du Monde,Green Deal : « Ne nous résignons pas au lent détricotage de l'ambition environnementale européenne », ancien directeur général de la Banque mondiale et auteur de Voulons-nous sérieusement changer le monde ?, Éd. Mamel.
durée : 00:20:58 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - Pour la France insoumise, la France doit se concentrer sur des négociations entre l'Ukraine et la Russie. Clémence Guetté, députée LFI de la 2e circonscription du Val-de-Marne, rejette l'idée d'envoyer des troupes françaises sur le terrain. Elle était l'invitée de 8h20 ce samedi.
De la régression nous en voulons: mangeons des desserts de saison! Merci pour votre écoute Bientôt à table, c'est également en direct tous les samedi de 11h à 12h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez bien plus de contenus de Bientôt à table sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23648 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
En Centrafrique, Henri-Marie Dondra a récemment effectué son retour sur le devant de la scène politique. Silencieux depuis de longs mois, l'ancien Premier ministre de Faustin-Archange Touadéra, qui fut également son ministre des Finances de 2016 à 2021, vient de lancer sa propre formation politique, Unir. A-t-il ainsi l'ambition de se présenter à la présidentielle de 2025 ? Son parti présentera-t-il des candidats aux élections locales de l'an prochain ? RFI : Henri-Marie Dondra, après 21 mois de silence, vous étés de retour dans le jeu politique avec ce parti que vous venez de lancer, Unir (Unité républicaine). Pourquoi revenir maintenant sur le devant de la scène ?Henri-Marie Dondra : Si vous regardez bien mon parcours, vous constaterez que j'ai toujours, depuis mon jeune âge, participer à l'animation de la vie publique de mon pays. Ne faisant plus partie de mon ancienne famille politique, j'ai voulu poursuivre mon engagement politique à travers cette nouvelle formation qui, à mon avis, cadre avec les idéaux que j'ai toujours défendus, notamment la promotion de la paix, la justice sociale, la démocratie, l'inclusion, et être aussi une force de proposition pour le pays.Mais pourquoi revenir maintenant ?J'ai dû prendre le temps. Après 6 ans passés auprès du président de la République qui m'a fait l'honneur d‘ailleurs de me nommer ministre, puis Premier ministre, il fallait réfléchir. Et nous avons jugé que le temps était venu pour que je revienne sur la scène politique.Le parti Unir sera-t-il votre rampe de lancement pour l'élection présidentielle de 2025 ?(Rires) Non, non. Je ne pense pas. Pour l'instant, nous essayons d'implanter d'abord les organes de notre parti et notre première ambition n'est pas forcément d'être candidat aux élections présidentielles, parce que tout simplement, il y a beaucoup de priorités pour l'instant. En ce qui nous concerne, les questions de précarité, les questions de survie de nos compatriotes et nous devons déjà tout faire pour animer cette vie politique. Je pense que la question pour l'instant n'est pas d'actualité.La scène politique centrafricaine est très polarisée. Où vous situez-vous précisément aujourd'hui ?Nous, nous voulons être précisément au centre. Nous avons constaté que les deux extrémités ne se parlaient plus, et nous voulons être une troisième voie. Nous n'avons pas forcément vocation à faire de l'opposition systématique : accepter ce qui peut être acceptable venant du gouvernement, réfuter ce qui ne va pas. Notre culture, c'est déjà l'apaisement, la modération, c'est le rassemblement.Cela veut dire qu'aujourd'hui, vous parlez avec tout le monde à la fois avec le pouvoir et aussi avec l'opposition ?Oui, nous parlons avec l'opposition, nous parlons avec le pouvoir et nous voulons que cela soit ainsi. Je suis un homme assez tolérant. Et donc, j'estime pour ma part que pour construire un pays, on a besoin de tout le monde.Votre parti participera-t-il aux élections locales prévues l'an prochain ?C'est notre ambition. Je pense que la question sera débattue avec les membres du bureau politique. Mais je crois que c'est l'une des ambitions du parti et que nous allons tout faire pour justement participer, notamment à ces élections locales.Le président Faustin-Archange Touadéra s'est tourné vers de nouveaux partenaires comme la Russie et le Rwanda. Que pensez-vous de ces alliances ?Je crois qu'en tant que pays souverain, nous devrions en principe développer la coopération avec tous les pays du monde. Moi, je pense à la France, à la Fédération de Russie, la République populaire de Chine, les relations dans le cadre de la coopération Sud-Sud, les États-Unis... Donc, pour moi, qu'il s'agisse du Rwanda ou de la Russie, c'est davantage une ouverture dans le cadre de la coopération avec ces pays-là, puisque la République centrafricaine est un État souverain. Bien évidemment, ces rapports-là doivent être des rapports gagnant-gagnant, que ces rapports ne viennent pas permettre une forme de domination par rapport à notre nation et il faut assurer que la nation ne soit pas lésée dans le cadre de ces rapports-là.Vous estimez qu'aujourd'hui, la nation centrafricaine est lésée dans certains de ses rapports ?Je ne le dis pas puisque je ne suis pas aux commandes pour mieux apprécier. Mais j'estime pour ma part que nos dirigeants doivent veiller à ce que les rapports ne puissent pas léser nos populations.Les États-Unis font aujourd'hui pression pour que les autorités centrafricaines se détournent de Wagner. Craignez-vous une nouvelle déstabilisation du pays ?J'estime que les autorités ont suffisamment la maitrise de cette question pour pouvoir mieux discuter avec les États-Unis. Maintenant, je rappelle que la coopération avec la fédération de la Russie a permis quand même au président de la République de développer une autre forme de coopération qui vraiment a permis de stabiliser le pays pendant que le pays a connu quelques problèmes de sécurité.Donc, si demain, vous-même vous reveniez aux affaires, est-ce que vous reverriez ces accords de partenariat-là ou est-ce que vous vous étendriez à d'autres pays ?Je vous ai déjà dit que pour l'instant, cela n'est pas une priorité pour moi en ce qui concerne bien évidemment les questions liées à l'élection présidentielle à venir. Donc, si cela devait arriver, en son temps, ces discussions pourraient être soulevées.
durée : 00:11:21 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - A 7h50, notre invité est le réalisateur oscarisé Jean-Xavier de Lestrade (Un coupable idéal, Sur ta joue ennemie). Il vient nous parler de sa nouvelle série, “Sambre”, diffusée à partir du lundi 13 novembre à 21h10 sur France 2.
En juillet dernier, j'ai découvert au hasard d'une publication sur les réseaux sociaux qu'il existe des Olympiades nationales de robotique au Cameroun, nommées Elviatech. Sa deuxième édition s'est déroulé à Douala en août et je m'y suis rendu. J'ai profité de l'occasion pour tendre mon micro à Jacques Eone, CEO de Sparte Robotics et co-organisateur de cette rencontre plutôt atypique pour notre contexte.MusiquesGénérique : It Afrobeat – RoyaltyFreeMusic (Licence : Creative Commons)Bed : Bodélé Depression (Mega-Chad Mix) - Jesse Gallagher (Licence : Creative Commons)Interlude : Better Days - NEFFEX (Licence : Creative Commons)
Quelle entreprise voulons-nous demain ? C'est la question à laquelle un panel de dirigeants : - Claire Bonenfant, Dirigeante de SHTREE France - Yann Gelver - Fondateur d'eeVee, dirigeant de l'Openmind - Marine André, Responsable Innovation du Groupe Randstad France, - Charles Henri Besseyre des Horts , professeur émérite HEC, et les auditeurs et auditrices du podcast ont tenté de répondre lundi 17 octobre 2022 lors de la 1ère soirée des auditeurs et auditrices du podcast. Je vous propose aujourd'hui un debrief à chaud de ces échanges. Cette soirée a été rendue possible par mes partenaires : L'Openmind, eeVee et STHREE que je remercie infiniment. Pour ne rien manquer et en apprendre plus encore sur les coulisses du podcast : mes réflexions, mes questionnements, mes meilleurs pratiques, mes sources d'inspirations... Inscrivez-vous à la newsletter "Les coulisses de l'Entreprise de demain" : https://lentreprisededemain.fr/la-newsletter/
[French version of MAKC, the English version of this episode is available here] Dans cet épisode, nous parlons à Inemesit Richardson et Wendlassida Simporé du Centre Thomas Sankara pour la libération et l'unité africaine. Elles sont les deux des membres du Parti Révolutionnaire de Tous Les Peuples Africains. Le Centre Thomas Sankara pour la libération et l'unité africaine est une bibliothèque panafricaine et un centre de l'éducation politique à Ouagadougou au Burkina Faso. Le centre est une bibliothèque de prêt, gratuite au public, qui fournit des livres sur le panafricanisme, le socialisme et la libération du Tiers-monde. Le centre organise et présente des séances de cinéma, des débats, et d'autres événements gratuits au public. Le centre dirige un programme de garde parascolaire des « Jeunes Pionniers » pour les enfants des âges 8 à 14 et organise également un cercle d'études-travail des adultes qui se réunit fréquemment pour étudier de façon critique des livres révolutionnaires et pour mettre en pratique la théorie dans la communauté. Nos invitées discutent des actualités dans la région, y compris le coup d'état récent au Niger. Elles discutent des dernières nouvelles par rapport aux leaders actuels du Burkina Faso, de cette tendance des coups d'états anticoloniaux, de la relation entre la région et la Russie, et du rôle du franc CFA dans le système néocolonial français dans la région. Nous avons enregistré cet épisode le 10 août, et depuis cette date, plusieurs événements ont eu lieu. Nous allons mettre des articles supplémentaires dans les shows notes. Il faut bien noter que notre discussion d'une invasion éventuelle de la Cédéao est en ce moment spéculative et qu'une invasion ne s'est pas encore passée. Cependant, la Cédéao a déjà imposé des sanctions et d'autres pénalités, et la Cédéao menace les leaders nigériens d'une intervention militaire pour renverser le gouvernement. Les pays voisins, le Mali et le Burkina Faso, s'opposent aux menaces de la Cédéao et font front commun pour défendre les militaires nigériens. Il y a un débat en cours sur l'établissement d'une fédération régionale. Nous allons inclure un lien où vous pouvez aider le Centre Thomas Sankara au Burkina Faso. Dans cette version française, vous écouterez Inemesit qui traduit les questions en français. Vous trouverez les réponses en français d'Inemesit et de Wendlassida. Il y a aussi une version anglaise de cet épisode. Afficher les notes et l'introduction traduites par Jacob Dennis Links: Le Centre Thomas Sankara pour la libération et l'unité africaine Burkina Faso & Mali vow to defend Niger's new leadership with force The People of Niger Want to Shatter Resignation Africa's Last Colonial Currency - The CFA Franc Story
durée : 00:25:51 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Arnaud Rousseau, nouveau président de la FNSEA, est l'invité du 8h20. Il l'assure, "on a besoin de se reposer la question de la production".
durée : 00:07:45 - Info médias - La chaîne info du groupe TF1 affiche la plus forte progression télé en un an.
Dans ce nouvel épisode, découvrez notre nouveau Cycle de Conférences et table ronde : « WILD AI ». Une co-création Le Wagon et La Fabrique by CA, en partenariat avec Maddyness.Cette série d'événements en 3 chapitres a été imaginée pour explorer les possibilités de l'intelligence artificielle. Mais aussi, éveiller notre sens critique sur cet enjeu central du changement de civilisation en cours.Pour ce premier épisode, nous avons essayé de savoir de quelle intelligence artificielle nous voulons, et comment la dompter pour ne pas la laisser imposer sa loi.Pour y répondre, nous avons eu la chance de recevoir 3 invités :Diana Filippova, romancière, personnalité politique française et essayiste, auteur de “Techno pouvoir, dépolitiser pour mieux régner”.Gabriel Hubert, Co-fondateur de DUST, la start-up française d'intelligence artificielle générative.Stéphane Distinguin, entrepreneur français dans le domaine des industries numériques, créatives et culturelles, militant de la tech européenne et fondateur de Fabernovel.Ce débat est animé par Marc-Arthur Gauthey de la Fabrique by CA.Musique & réalisation : yoann.saunier.me Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion des élections législatives du 8 janvier 2023 au Bénin, entretien avec Paul Hounkpè, secrétaire exécutif du parti d'opposition Forces Cauris pour un Bénin émergent (FCBE). En mai 2021, il est devenu chef de file de l'opposition. Un statut qui lui coûte des procès en légitimité par les autres partis qui l'accusent de faire valoir. RFI : Monsieur Paul Hounkpè, bonjour. Vous êtes le secrétaire exécutif du parti d'opposition FCBE. Les élections législatives se tiennent le 8 janvier prochain. Comment se déroule la campagne et quel niveau de mobilisation vous constatez sur le terrain ? Paul Hounkpè : La population en général est partagée entre les fêtes de fin d'année et les débats politiques. Ça n'a pas été un bon choix de placer la campagne en fin d'année où il y a deux fêtes majeures et l'engouement est partiel et donc la population se trouve un peu dispersée. Qu'est-ce que vous voulez changer et qu'est-ce que vous reprochez au Parlement sortant ? Depuis 2016, il y a une soumission des institutions et nous avons constaté que le Parlement qui a été mis en place n'a pas du tout joué son rôle en se faisant passer pour une suite du pouvoir exécutif. Et donc notre intention, c'est de restaurer notre démocratie en assurant la séparation des pouvoirs. Qu'est-ce que les populations vous réclament et vous demandent ? Il y a plusieurs lois à polémiques. Il y en a véritablement qui dérangent, telle que la restriction des libertés et surtout le droit de grève. Il ne s'agira pas de dire une remise en cause systématique. Mais c'est de relire, d'assouplir, de revoir et de recadrer. Avez-vous, lors de cette campagne, une pensée pour Joël Aïvo et Reckya Madougou, est-ce que vous demandez leur libération ? Nous voulons véritablement que ces personnes soient libérées au plus tôt. Si le peuple nous accordait la majorité des députés, c'est d'aller à une loi d'amnistie et de pouvoir les libérer. Je crois que ce sont des choses qui sont possibles. Sur la participation du parti Les Démocrates à ces élections. Vous dites : vive le retour de la démocratie ? Pour nous, c'est assez positif et d'ailleurs ça fait qu'aujourd'hui, les campagnes se déroulent dans l'ambiance et la paix. C'est une grande satisfaction que de ne pas voir les engins de guerre circuler au cours donc de cette période. C'est une avancée notable, et nous ne pouvons que souhaiter ça. En mai 2021, vous avez été fait chef de file de l'opposition. Beaucoup de partis d'opposition vous font un procès en légitimité. En clair, ces partis, ne vous reconnaissent pas comme tel. Qu'est-ce que vous répondez ? Nous, nous avons participé à une élection et nous avons eu des résultats. C'est au vu des résultats que le chef de file de l'opposition a été désigné. Et conformément à la loi, c'est FCBE la principale force de l'opposition. Qu'est-ce qui vous permet de dire ça ? Justement parce que nous sommes représentés partout, nous avons des élus, nous avons des maires. Vous étiez seuls ? Nous étions seuls, mais nous n'avons empêché personne. On ne peut que juger, et ce, sur ce qui est factuel. Vous ne pouvez pas faire des extrapolations et penser que quelqu'un qui n'a jamais participé à une élection peut se permettre de dire qu'il est la principale force, ce n'est pas possible. Tout ne suffit pas d'être un ancien président pour se prévaloir d'être une force politique importante du pays. Est-ce que vous redoutez que les Démocrates fassent mieux que vous à ces élections ? Ceux qui ont été obligés d'avoir des accointances avec le pouvoir - avant de sortir, d'émerger de l'eau – eh bien ils ne peuvent pas se dire véritablement autonomes, capables donc de surgir sans un coup de pouce du pouvoir. Nous n'avons peur d'aucune force. Vous accusez les Démocrates d'avoir négocié avec le pouvoir, c'est ce que vous dites ? Je n'accuse pas, mais je constate. Et pourtant c'est vous qu'on accuse de faire-valoir du pouvoir. Vous êtes faire-valoir du président Talon, oui ou non ? La question fait mal, quand j'explique, vous revenez chaque fois là-dessus ! Nous n'avons aucune relation avec le pouvoir. Est-ce que vous serez candidat en 2026 à l'élection présidentielle ? Personne ne peut penser aux élections de 2026 sans d'abord réussir les élections de 2023. Avez-vous un doute sur le départ du chef de l'État ? Il a répété plusieurs fois qu'il ne se présenterait plus. Non, mais s'il y a une qualité que je reconnais au chef de l'État, c'est d'être direct. Si jusqu'ici il n'a fait aucune autre déclaration que celle qu'il partirait en 2026, il n'y a pas de raison d'avoir de doute. Vous êtes prêt à l'union sacrée pour la lutte contre l'insécurité et contre le terrorisme dans le nord du Bénin ? Lorsqu'il s'agit, n'est-ce pas, de notre pays, aucun sacrifice ne sera de trop et nous devons nous mettre ensemble pour combattre ces forces extérieures. Ça, là-dessus, il n'y a pas opposition. Monsieur Paul Hounkpè, merci. Merci beaucoup. ► À écouter aussi : Saliou Akadiri (LD): au Bénin, «le peuple se reconnait dans notre parti comme celui de l'opposition» Abdoulaye Bio Tchané (BR): «Notre objectif est de sortir des élections en tant que premier parti du Bénin» Orden Alladatin (UPR): au Bénin, «les électeurs nous demandent d'être leur meilleur porte-parole»
Quelle entreprise voulons-nous demain ? C'est la question à laquelle un panel de dirigeants : - Claire Bonenfant, Dirigeante de SHTREE France - Yann Gelver - Fondateur d'eeVee, dirigeant de l'Openmind - Marine André, Responsable Innovation du Groupe Randstad France, - Charles Henri Besseyre des Horts , professeur émérite HEC, et les auditeurs et auditrices du podcast ont tenté de répondre lundi 17 octobre 2022 lors de la 1ère soirée des auditeurs et auditrices du podcast. Je vous propose aujourd'hui un debrief à chaud de ces échanges. Cette soirée a été rendue possible par mes partenaires : L'Openmind, eeVee et STHREE que je remercie infiniment. Rendez vous est pris pour la prochaine, en janvier 2023 ! Pour être tenu au courant de la date, abonnez vous ici à la newsletter.
durée : 00:57:55 - Les Chemins de la philosophie - par : Géraldine Mosna-Savoye - Le sexe est-il le problème fondamental que les hommes ont à résoudre ? C'est ce que pense Foucault, qui en 1976 fait paraître le 1er tome de l"Histoire de la sexualité". La sexualité que nous découvrons en nous nous appartient-elle ? Ou est-elle construite, comme tout mécanisme d'assujetissement ? - invités : Daniele Lorenzini professeur de philosophie à l'université de Warwick (Royaume-Uni), spécialiste de l'oeuvre de Michel Foucault
«Est-ce que nous voulons -sérieusement- changer le monde ? » nous interpelle BERTRAND BADRE, mon invité de la semaine, dans son dernier livre.