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durée : 00:58:17 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Des centres de cybercriminalité se sont développés en Birmanie, à la frontière avec la Thaïlande. Dans ces usines secrètes d'arnaque en ligne tenues par des mafias chinoises, des hommes et des femmes sont forcés de travailler 18 heures par jour pour arnaquer des Occidentaux sur les réseaux. - réalisation : Annie Brault - invités : Jérôme Notin Directeur général de la plateforme cybermalveillance.gouv.fr
Chaque jour, votre coaching financier : on vous coache pour vous aider à devenir meilleur investisseur.
Et si la révolution chinoise dans l'industrie automobile ne résidait pas dans les modèles qu'ils produisent, mais dans la manière même de les fabriquer ? Une étude de Caresoft, relayée par Numerama et Automotive News, révèle que les constructeurs chinois bousculent les codes de la production automobile en optimisant chaque étape de l'assemblage, réduisant les coûts et le nombre de pièces nécessaires.Alors que Tesla a déjà révolutionné la chaîne de production en simplifiant ses véhicules, les constructeurs chinois vont encore plus loin. Leur approche consiste à produire vite et à moindre coût, quitte à sacrifier la durabilité des véhicules. Un exemple ? Là où un constructeur américain utilise un aimant à un dollar pour fixer le ciel de toit, les Chinois optent pour une bande adhésive coûtant à peine un centime. Le coût est ainsi divisé par 100 sur cet élément précis. Mais les économies ne s'arrêtent pas là. Pour le renfort de caisse derrière le tableau de bord, souvent en aluminium coûteux chez les constructeurs occidentaux, les chinois privilégient des matériaux moins onéreux comme le plastique ou des alliages. Même Tesla utilise ces alternatives pour maximiser sa rentabilité.La Chine ne se contente pas de produire à moindre coût, elle optimise également l'ensemble du processus industriel. Le China Automotive Technology & Research Center incite les constructeurs à standardiser certains composants, favorisant ainsi l'échange technologique et l'accélération de la production. Cette coopération entre marques, soutenue par le gouvernement chinois, permet une validation rapide des étapes de projet, parfois en quelques jours seulement. Un contraste saisissant avec l'inertie des constructeurs occidentaux, souvent freinés par des processus décisionnels plus lourds.Face à cette agilité chinoise, les constructeurs européens et américains doivent réagir. Réduire le temps de développement et accélérer la production tout en baissant les coûts devient une nécessité pour rester compétitifs. Mais attention aux précipitations. L'exemple de Citroën et de sa ë-C3, retardée et lancée en 2024 avec de nombreux bugs, illustre les risques d'une adaptation trop rapide. Même constat pour les premières séries du Peugeot E-3008, également touchées par des problèmes techniques.Si l'efficacité est indéniable, une question persiste : qu'en est-il de la durabilité ? La simplification extrême des pièces utilisées par les constructeurs chinois n'a pas encore fait ses preuves sur le long terme. La fiabilité des véhicules pourrait-elle en souffrir ? Pour l'instant, le vieillissement des voitures chinoises reste une zone d'ombre, sans recul suffisant pour en mesurer l'impact. Une chose est certaine : cette révolution industrielle venue de Chine oblige les acteurs traditionnels à réinventer leurs méthodes. La course n'est plus seulement à l'innovation technologique, mais aussi à la maîtrise des coûts et des délais. Un changement de paradigme qui pourrait redessiner le paysage de l'industrie automobile mondiale dans les années à venir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Viktor Orban cherche à faire du pays un acteur mondial de la production destinée aux véhicules électriques, mais avec quelles garanties pour l'environnement ? Hongrie : la colère des habitants de Debrecen, inquiets pour leur santéÀ l'invitation du gouvernement hongrois, un grand pôle industriel d'entreprises asiatiques est en train de voir le jour dans l'est du pays. C'est là que le géant chinois CATL construit la plus grande usine de batteries du continent européen. Selon plusieurs sondages, la majorité de la population est hostile à la présence de ces usines et à Debrecen, la colère gronde : les riverains dénoncent un risque élevé de pollution. Reportage Florence La Bruyère.Les jeunes désertent le sud de l'EuropeL'exode de la jeunesse est l'une des questions qui préoccupent le plus le sud de l'Europe. La région des Balkans est l'une des plus touchées au monde par la fuite des cerveaux. Au point de susciter des craintes pour l'avenir même de ses sociétés. Les explications de notre correspondant dans les Balkans, Louis Seiller.De l'autre côté de l'Adriatique, en Italie, c'est aussi une véritable hémorragie : 550 000 jeunes Italiens ont quitté le pays pour s'installer à l'étranger entre 2011 et 2023. Leur pays leur offre de bonnes formations, mais peu de perspectives à long terme. Reportage d'Olivier Bonnel, correspondant à Rome.► La revue de presse de Franceline Beretti. À la Une : le sommet international de l'IA à Paris, et la réunion de l'extrême droite à Madrid.
Viktor Orban cherche à faire du pays un acteur mondial de la production destinée aux véhicules électriques, mais avec quelles garanties pour l'environnement ? Hongrie : la colère des habitants de Debrecen, inquiets pour leur santéÀ l'invitation du gouvernement hongrois, un grand pôle industriel d'entreprises asiatiques est en train de voir le jour dans l'est du pays. C'est là que le géant chinois CATL construit la plus grande usine de batteries du continent européen. Selon plusieurs sondages, la majorité de la population est hostile à la présence de ces usines et à Debrecen, la colère gronde : les riverains dénoncent un risque élevé de pollution. Reportage Florence La Bruyère.Les jeunes désertent le sud de l'EuropeL'exode de la jeunesse est l'une des questions qui préoccupent le plus le sud de l'Europe. La région des Balkans est l'une des plus touchées au monde par la fuite des cerveaux. Au point de susciter des craintes pour l'avenir même de ses sociétés. Les explications de notre correspondant dans les Balkans, Louis Seiller.De l'autre côté de l'Adriatique, en Italie, c'est aussi une véritable hémorragie : 550 000 jeunes Italiens ont quitté le pays pour s'installer à l'étranger entre 2011 et 2023. Leur pays leur offre de bonnes formations, mais peu de perspectives à long terme. Reportage d'Olivier Bonnel, correspondant à Rome.► La revue de presse de Franceline Beretti. À la Une : le sommet international de l'IA à Paris, et la réunion de l'extrême droite à Madrid.
Pékin a dévoilé la semaine dernière une liste de métaux désormais soumis à des restrictions d'exportation. Parmi eux, le bismuth, utilisé dans l'industrie chimique et dans l'électronique. Un petit métal, qui sert aussi de pigment pour donner la couleur jaune des engins Caterpillar, et produit à 80% en Chine. Pour l'instant, la Chine s'en tient à des mesures de contrôle : les exportateurs doivent désormais obtenir une licence et spécifier à quel client ils vendent, et pour quel usage. Le robinet n'est donc pas fermé, mais le temps que les exportateurs chinois s'organisent, il pourrait y avoir une suspension des ventes pendant un ou deux mois, voire trois mois.« Dans les 100 prochains jours, il vaut mieux ne pas avoir besoin de bismuth », résume un expert. La Chine produit 80% des volumes, et pour en trouver, il faudra se tourner vers le deuxième et le troisième producteur, la Corée du Sud et le Laos, dont la production est minime par rapport à celle du géant asiatique, selon les données des services géologiques américains (USGS).À lire aussiGuerre commerciale Chine-États-Unis: le commerce de tungstène en sursisPas d'alternatives aussi bon marché que le bismuthAujourd'hui, à 12 dollars le kilo environ, le bismuth fait partie du club des métaux bon marché, ce qui veut dire que même si son prix augmente – et c'est déjà le cas depuis une semaine –, l'impact devrait être mineur pour les industriels selon Sian Morris, analyste principal pour les matériaux critiques chez Argus Media. Sauf si les industriels n'ont pas de stocks et doivent lui trouver un substitut, car rares sont les alternatives aussi peu onéreuses. Ceux qui vont pâtir d'une offre qui s'annonce plus serrée dans les prochains mois sont les industriels des secteurs de la pharmacie, de la cosmétique, mais aussi ceux qui utilisent le bismuth comme pigment jaune, ou dans des alliages pour remplacer le plomb. Les pays européens sont, avec les États-Unis (688 tonnes importées en 2024) les premiers importateurs de ce métal, et donc les plus à risques. L'Europe (873 tonnes importées en 2024) est peut-être encore plus exposée en raison de l'absence de stocks publics de sécurité. Un signal de plus pour constituer des stocks ?Ce n'est pas faute d'avoir tiré la sonnette d'alarme, disent aujourd'hui ceux qui militent pour la création de tels stocks tampons. Ces nouvelles restrictions chinoises doivent être prises comme un appel à sécuriser notre approvisionnement, insiste Vincent Donnen, patron de la Compagnie des métaux rares (CDMR), une société de conseil en investissement. Même pour des métaux qui sont utilisés en très faibles quantités comme le bismuth, quand la dépendance à la Chine atteint un tel niveau, il n'y a pas de plan B, explique-t-il.Le seul espoir pour l'Europe est qu'une fois que le ministère chinois du Commerce commencera à accorder des licences d'exportation, les exportations devraient reprendre, si on se fie aux précédentes restrictions imposées sur d'autres métaux. En revanche, il est peu probable que la Chine autorise la reprise des exportations vers les États-Unis, selon Argus Media.À lire aussiLes États-Unis devront se passer de gallium, germanium et antimoine chinois
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Didier Giraud et Fatima Aït-Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:58:14 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Depuis les années 1980, de plus en plus de Chinois partent étudier à l'étranger. Surveillés de près par Pékin, qui désire contrôler leurs opinions politiques, ils suscitent la méfiance des autorités locales de leurs pays d'accueil et de leurs camarades. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Claudia Astarita Sinologue, chercheuse à Sciences Po Paris; Jérôme Doyon Politiste au Centres d'études en relations internationales (CERI); Jacqueline Estran Maîtresse de conférences en études chinoises à l'Université Jean Moulin Lyon III
Ecoutez Lenglet-Co du 30 janvier 2025.
Tous les jours à 5h50, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Charles Matin, sur RMC.
durée : 00:58:39 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - L'Afrique de l'Ouest a la cote auprès des Chinois qui espèrent faire fortune en ouvrant des commerces de produits manufacturés. Mais rares sont les entrepreneurs à s'y établir à long terme, la plupart préférant rentrer en Chine une fois leurs bénéfices réalisés. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Xavier Aurégan Maître de conférences à l'université catholique de Lille; Antoine Kernen Sinologue spécialiste des relations Chine-Afrique et professeur à la faculté de sciences sociales et politiques de l'Université de Lausanne; Romain Dittgen Géographe, enseignant-chercheur à l'Université d'Utrecht (Pays-Bas)
Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !
durée : 00:58:04 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les communautés chinoises du monde entier célébreront demain le Nouvel An lunaire. En Europe, si elles se sont longtemps tenues à l'écart de la sphère politique de leur pays d'accueil, des revendications et engagements se font jour à mesure que les profils des membres de la diaspora évoluent. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Emmanuel Santarromana Doctorant au Centre Européen de Sociologie et de Science Politique (CESSP) à Paris 1 Sorbonne; Simeng Wang Sociologue, chargée de recherches au CNRS; Pierre-Antoine Donnet Rédacteur en chef du trimestriel Asia Magazine
durée : 00:58:43 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Siècle après siècle, des communautés chinoises se sont implantées en Asie du Sud-Est, non sans susciter méfiance et hostilité dans les pays d'accueil. Face aux tentatives d'instrumentalisation de Pékin et à la montée des Triades criminelles, l'identité chinoise n'est pas toujours simple à assumer. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Arnaud Leveau Professeur associé à l'Université Paris Dauphine; Carine Pina Chercheuse à l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM); Eric Frécon Chercheur à l'Australian Strategic Policy Institute (ASPI)
Sandrine Chenivesse nous invite à un très grand et magnifique voyage, à la fois géographique, poétique et spirituel. Sandrine Chenivesse est sinologue, anthropologue, psychanalyste spécialisée en transgénérationnel, et écrivaine. Sinologue, grande spécialiste de la Chine où elle a vécu de nombreuses années, Sandrine Chenivesse a consacré une grande part de sa vie à déchiffrer les grands mythes de la sagesse chinoise ancestrale, particulièrement dans leurs dimensions spirituelles, religieuses et philosophiques. Depuis ses premières années à l'École Pratique des Hautes Études Chinoises à la Sorbonne, Sandrine Chenivesse a été profondément attirée par le mystère de la Forteresse des âmes mortes, lieu d'abord mythique avant d'être localisé à la montagne de Fengdu, au cœur du Sichuan, au bord de l'immense fleuve du Yang Tsé. La Forteresse des âmes mortes est devenue un lieu de pèlerinage important pendant très longtemps, et jusqu'au début du XXème siècle. Très jeune, Sandrine Chenivesse est partie seule vivre en Chine, pour déchiffrer les mystères de ce haut lieu spirituel dont la spécificité est de recueillir tous les défunts victimes de la malemort. Sandrine Chenivesse raconte l'expérience audacieuse et intrépide qu'elle a vécue pendant plusieurs années. Les risques et les dangers n'ont pas manqué. Sans le savoir, Sandrine Chenivesse s'est approchée de trop près de l'au-delà et d'entités spirituelles liées à la malemort, au point de vivre, et traverser, une épreuve aussi grave que mystérieuse. « La Chine invite à voyager vers les lointains, mais au fond de soi » : Avec Sandrine Chenivesse, nous sommes invités à un voyage initiatique fascinant et envoûtant, où le visible et l'invisible se confondent. Avec elle, nous suivons la ligne de crête qui relie le réel et l'imaginaire, la vie et la mort, le temps et l'éternité. Dans une grande poésie, où la nature, les arbres, les montagnes et les oiseaux vibrent d'une vitalité spirituelle, nous découvrons les richesses de sagesses millénaires, en particulier le taoïsme, profondément imprégné par le chamanisme qui l'a précédé. Ici, nous entendons parler de rituels ou d'exorcismes, ou de ce qui ressemble parfois à notre notion du purgatoire. Nous découvrons ainsi à quel point les sagesses et les spiritualités de toute l'humanité se rejoignent : l'univers fantastique révélé par Sandrine Chenivesse n'est pas limité à la tradition chinoise. Il a rayonné sur tous les continents depuis l'aube des temps, jusqu'au cœur de l'Europe. Toutes nos campagnes s'en souviennent... « Vivre, c'est oser laisser la mort nous transformer de l'intérieur » : La quête initiatique et cette approche de la mort que nous propose Sandrine Chenivesse va parler à chacun d'entre nous. Toute cette expérience dont elle nous confie ici quelques clés sans tout nous révéler, Sandrine Chenivesse l'a écrite dans ce qui est un véritable livre-évènement, où tout est dit. Il est paru il y a quelques semaines : La Forteresse des âmes mortes. Sandrine Chenivesse nous invite en nous accompagnant, à méditer sur notre relation avec la vie, la mort et l'éternité. Sans effroi, sans angoisse, mais au contraire avec cette rayonnante et réconfortante sérénité qui l'habite. Pour lire La forteresse des âmes mortes, le livre de Sandrine Chenivesse, cliquer ici. Pour aller sur le site L'arbre dénoué, et découvrir les activités de Sandrine Chenivesse, cliquer ici. UN SOMMET Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Au cours de l'épisode que nous avons la joie de diffuser aujourd'hui avec Sandrine Chenivesse et au sujet de la Forteresse des âmes mortes, il est beaucoup question de montagnes. Montagnes sacrées, hommes-montagnes ayant atteint l'immortalité… La sagesse ancestrale chinoise respecte profondément les montagnes qui, dit-elle, ont même la capacité de se déplacer et de voler dans les airs ! Avec Sandrine Chenivesse, c'est un sommet lointain que nous découvrons, au cœur d'une Chine géographique et mythique à la fois. S'il a été caché pour des raisons politiques depuis le début du XXème siècle, ce sommet a été la quête de siècles de tradition, de pèlerinages, de cultes et de rituels sacrés. Ce voyage initiatique auquel nous invite Sandrine Chenivesse, c'est un nouveau sommet dans l'histoire de Zeteo ! Et si chaque épisode est un sommet, nous le croyons profondément, celui-ci est plus exotique, plus lointain, plus spectaculaire aussi. Il nous fait voyager autant dans le monde visible que dans le monde invisible : deux mondes qui, nous le croyons aussi et toujours davantage, sont indissolublement liés. Je me souviens Annick de Souzenelle me disant, en me montrant sa fenêtre d'où je voyais son jardin, ou en regardant son propre salon, qu'il y avait en permanence des anges autour d'elle. Annick profitait sans doute de privilèges spirituels accessibles aux âmes très avancées. Grâce à elle et ses trois participations à Zeteo, nous avons aussi escaladé quelques magnifiques sommets. Et puisque je suis lancé sur ce sujet, je tiens à exprimer toute ma gratitude à mon amie Marguerite Kardos, elle aussi tellement habitée par le monde invisible. C'est Marguerite, qui nous a honoré par ses deux participations à Zeteo, qui a suggéré cet épisode avec Sandrine Chenivesse et qui l'a rendu possible. Montagnes, sommets, anges, gratitude… L'histoire de Zeteo continue et prend souvent de l'altitude ! C'est le moment pour redire aussi toute notre gratitude pour tous les donateurs. Ils sont les membres essentiels de cette cordée hebdomadaire que nous menons depuis cinq ans. C'est le moment encore pour faire appel à tous ceux qui peuvent se joindre aux donateurs passés, en faisant un don aujourd'hui. Cette période de l'année, à ce sujet, est la plus creuse de toutes. Cet appel est un donc un peu particulier. Pas inquiet, mais nécessaire. Notre effort et les coûts qu'il représente se renouvellent chaque semaine, en janvier aussi… D'avance, un grand merci à ceux qui entendront cet appel aux dons. À tous, la joie de partager des sommets que nous gravissons ensemble, Dans l'espoir des prochaines ascensions, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. 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Jeudi 16 janvier, Frédéric Simottel a reçu Jérôme Marin, fondateur de cafetech.fr, Isabelle Bordry, cofondatrice de Retency et ancienne directrice générale de Yahoo France, et Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft en Asie du Sud et France. Ils se sont penchés sur les six applications chinoises visées par des plaintes en Europe, les nouvelles restrictions américaines concernant les puces IA, et l'incertitude des entreprises au sommet de l'IA, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
L'émission 28 minutes du 16/01/2025 Plongée au cœur de la mafia chinoise et de ses triades Le réalisateur Antoine Vitkine nous emmène au cœur des triades, les têtes de pont de la mafia chinoise. Elles sont les héritières des sociétés secrètes du 19e siècle auxquelles leurs membres promettaient loyauté absolue et engagement à vie, sous peine d'être transpercés de mille poignards. Dans son livre, “Triades, la mafia chinoise à la conquête du monde”, il dresse le portrait de chefs ou hommes de main des triades, personnages hauts en couleur aux noms aussi étonnants que “Tyran de fer”, “Loup Blanc” ou “Dent cassée”. Au fil des décennies, ces organisations ont su tisser des liens avec les différents régimes chinois pour faire prospérer “leurs affaires” liées au trafic de drogue, à la prostitution ou aux jeux d'argent dans les territoires aux marges de l'Empire chinois : à Hong Kong, Macao ou Taiwan. Dans les années 1970, à Hong Kong, 500 000 personnes travaillaient pour les triades sur 4 millions. “Les mafias ou les organisations criminelles sont des acteurs essentiels, bien que sous-estimés, des régimes autoritaires”, estime Antoine Vitkine. Accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas : une paix durable est-elle possible ? Mercredi 15 janvier, dans l'après-midi, des scènes de liesse ont eu lieu dans le sud de la bande de Gaza pour saluer l'annonce d'un possible cessez-le-feu avec Israël. Dans l'État hébreu, des familles d'otages brandissaient à Tel-Aviv le portrait de leurs proches qu'ils espéraient voir bientôt libérés. En début de soirée, Joe Biden a salué un accord trouvé sous l'égide du Qatar et de l'Égypte, lui qui a travaillé “en équipe” avec la future administration Trump sur ces négociations. L'accord doit être mis en œuvre à partir de dimanche 19 janvier. Il comprend la libération de 33 otages israéliens en échange de la libération d'un millier de prisonniers palestiniens. Une “livraison d'aide humanitaire importante” sera également acheminée à Gaza, a assuré Joe Biden. L'accord prévoit trois phases afin de mener à un “cessez-le-feu permanent”. Le cabinet de sécurité israélien doit se réunir ce jeudi pour entériner l'accord, mais les autorités israéliennes ont accusé le Hamas ce matin de provoquer “une crise de dernière minute” en revenant sur des points de l'accord, particulièrement l'échange entre les otages et les prisonniers palestiniens. Est-ce qu'une paix durable est enfin possible après 15 mois de guerre ? Enfin, Xavier Mauduit revient sur les résultats de la mission d'observation de la Voie lactée de l'Agence spatiale européenne, nommée "Gaia". Marie Bonnisseau nous explique la décision de Starbucks, en Amérique du nord, de conditionner l'accès à ses cafés à la consommation, ce qui n'était pas le cas auparavant. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 16 janvier 2025 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Le gouvernement fédéral décide que c’est terminé pour les subventions de véhicules électriques. Entrevue avec Robert Poëti, ex-ministre des Transports libéral et ex-président du conseil d'administration de la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les exportations chinoises ont atteint un record en 2024, elles ont augmenté de 7,1% par rapport à 2023. Et si pour l'économie chinoise, c'est une bonne nouvelle, derrière cette tendance se cache en fait un grand danger pour la deuxième économie mondiale. Décryptage. C'est l'un des rares indicateurs au vert de la Chine en 2024 : ses exportations records, d'une valeur de 3 600 milliards de dollars. Concrètement, elles représentent aux alentours d'un cinquième de sa croissance. Cela veut donc dire que la part des exportations dans l'économie chinoise est importante pour ne pas dire essentielle. Si on regarde dans le détail, c'est notamment l'entreprise BYD qui dope les exportations, le constructeur chinois de voitures électriques est à l'avant-garde de cette tendance, avec des ventes à l'étranger qui ont tout simplement explosé l'an passé. Juste un chiffre pour l'illustrer : +72% !La Chine est vulnérable Mais cette importance des exportations dans l'économie chinoise est un problème. Cela signifie que la Chine est ultra dépendante des exportations, précisément. Et qui dit dépendance, dit vulnérabilité. Le principal risque évidemment, c'est la menace de Donald Trump d'augmenter les droits de douane de 60% sur toutes les importations de produits chinois quand il arrivera à la Maison Blanche. Cette politique pourrait porter un coup sévère à ce pilier de la croissance chinoise qui devra trouver réponse à cette question : que faire de la production chinoise qui ne pourra plus être livrée aux États-Unis ? Car c'est là que ça coince. Parce que le risque de guerre commerciale avec les États-Unis pourrait avoir des conséquences sur les relations entre Pékin et d'autres nations. Si les entreprises chinoises essaient d'inonder d'autres pays, ils pourraient être amenés à eux aussi prendre des mesures pour limiter le phénomène. L'Union européenne notamment a déjà mis en place des droits de douane allant jusqu'à 45% sur les véhicules électriques fabriqués en Chine. À lire aussiLa Chine se prépare à la politique économique de Donald TrumpCrise en interne Mais il y a un hic : toute cette production chinoise ne peut pas être distribuée en Chine. C'est tout le problème de son économie. La demande est faible, le pays est notamment frappé par une crise persistante du secteur de l'immobilier. Alors pour faire repartir la consommation, les autorités ont subventionné les grandes industries du pays. Elles ont aussi assoupli les restrictions sur l'achat de logements. Des mesures pour inciter la population à acheter, tout comme la création de remises pour l'échange de vieux appareils électroménagers contre l'achat de modèles plus récents, évidemment chinois.Tout cela a en tout cas eu une conséquence : la chute des prix. Résultat, beaucoup d'entreprises chinoises ont vu leurs marges réduire voire complètement disparaître. Des comptes dans le rouge qui ont poussé bon nombre de société à mettre la clé sous la porte. La situation inquiète les autorités. Elles devront d'ailleurs présenter de nouvelles mesures de soutien budgétaire lors de la réunion de l'Assemblée populaire nationale en mars 2025. Et puis cet autre rendez-vous, non négligeable dans les prochains jours : la publication des chiffres de la croissance. Puisque si Pékin tablait sur une croissance à 5% pour 2024, elle pourrait être en deçà des projections, entre 4 et 4,5% !
Elle est l'auteure de « Journal » aux éditions Flammarion, sur ses années de gestion du Covid Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retour sur les déclarations de Trump. La rencontre affaires avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les relations diplomatiques entre Donald Trump et Xi Jinping et leurs politiques respectives auront un impact déterminant sur les cours du pétrole, des céréales ou encore de certains métaux de base en 2025. Et pour rajouter une dose d'inconnu, le climat pourrait encore cette année jouer les trouble-fêtes. « 2025 s'annonce terriblement floue » pour Javier Blas, chroniqueur spécialisé dans les matières premières au sein de l'agence de presse Bloomberg. Plus que jamais, explique-t-il, prédire les prix des matières premières cette année revient à prévoir les choix politiques. Les premiers sont ceux qui seront opérés par Donald Trump, avec, pour commencer, sa nouvelle politique douanière, notamment sur les produits chinois. Si la Chine vend moins de produits manufacturés aux États-Unis, le marché des métaux de base qui entrent dans leur composition pourrait être impacté tout comme les pays qui les produisent. La Chine ne sera pas la seule perdante, explique une étude du cabinet de Global Sovereign Advisory. À lire aussiÉtats-Unis: Trump menace les Brics de droits de douane «à 100%» s'ils sapent la domination du dollarLe soja américain dans l'œil du cycloneLes marchés agricoles sont aussi au cœur de la nouvelle guerre commerciale annoncée par Donald Trump. Lors de sa dernière présidence, la hausse des taxes américaines sur les importations chinoises (panneaux solaires, acier, aluminium) avaient conduit la Chine à se détourner du soja américain. C'est encore la crainte aujourd'hui.L'empire du Milieu pourrait aussi bouder le maïs américain et se fournir un peu plus au Brésil. Mais le destin du grain jaune « made in USA » sera probablement scellé par la politique du nouveau maître de la Maison Blanche sur les agrocarburants : aujourd'hui, plus d'un tiers de la production américaine est convertie en bioéthanol. Si le curseur bouge, c'est l'offre en maïs et son prix qui seront impactés.Le pétrole américain, l'épine de l'Opep+Sur les marchés du pétrole, c'est la stratégie énergétique de Donald Trump que l'on surveille. Son scepticisme vis-à-vis du changement climatique et sa volonté d'augmenter la production américaine de brut pourraient renforcer l'offre sur le marché et donc faire baisser les prix. À lire aussiÉtats-Unis: le président élu Donald Trump veut libérer les énergies fossilesCette politique américaine pourrait finir par mettre à mal la cohésion des pays de l'Opep+ qui s'efforcent depuis des mois, et non sans division, de restreindre leur production pour éviter que les cours ne s'effondrent.La politique ne fait pas tout, le prix mondial des céréales sera évidemment aussi influencé par la météo : 2024 a été marqué par un retour de « l'angoisse climatique comme facteur déterminant du marché », explique Gautier le Molgat, PDG d'Argus Media France. On peut citer les immenses dégâts sur la production de blé en France, premier exportateur européen, l'impact sur la récolte de café robusta au Vietnam et arabica au Brésil. C'est encore aujourd'hui la crainte d'une météo défavorable en Afrique de l'Ouest qui tire à nouveau les prix du cacao vers le haut.À lire aussiCroissance toujours chancelante de la demande en pétrole en 2025
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donnent des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Dans cet épisodeD'abord un petit édito qui va un peu déconstruire les idées reçues sur les voitures chinoises, et ensuite le retour d'expérience d'un heureux détenteur et rouleur au quotidien en BYD Seal.Sébastien roule depuis début 2024 en BYD Seal Design, ce qui convient très bien à sa belle-famille chinoise. Très actif dans les groupes dédiées sur les réseaux sociaux, il connait le sujet BYD et voitures chinoises sur le bout des doigts, l'occasion de faire le poit avec lui sur ses 6 derniers mois au volant de la BYD Seal.Bienvenue dans le Podcast Watts Up par Automobile Propre, épisode 146 du 7 novembre 2024 !
durée : 00:02:09 - Le grand format - La Chine est confrontée à un inquiétant vieillissement de sa population. Les chiffres de la natalité sont en chute libre. Alors, les autorités ont lancé des campagnes massives d'appels téléphoniques, pas toujours bien vécues par les jeunes chinoises.
Aujourd'hui, on parle des nouvelles restrictions imposées cette semaine par les États-Unis à l'industrie chinoise des semi-conducteurs. C'est la troisième campagne de sanctions en quelques années, et les conséquences pourraient être lourdes pour Pékin.Alors voyons ensemble tout d'abord l'objectif de ces nouvelles mesures. L'administration Biden souhaite limiter l'accès de la Chine à des technologies avancées, notamment celles qui permettent de développer des puces destinées à l'intelligence artificielle ou à des usages militaires.Pour cela, 140 nouvelles entreprises chinoises ont été ajoutées à la liste des entreprises sanctionnées par les Etats-Unis. Les sociétés chinoises inscrites dans cette liste ne peuvent plus recevoir de matériel en provenance des Etats-Unis et de pays alliés sans une licence spéciale accordée au compte goutte par les autorités américaines.Samsung pourrait perdre 30 % de ses ventes de puces mémoire HBMParmi elles, des fabricants d'équipements pour semi-conducteurs comme Naura Technology Group. Ces restrictions visent à ralentir les ambitions chinoises en matière de production de puces de nouvelle génération.Les nouvelles règles affectent particulièrement les puces mémoire à large bande passante. Ces puces sont essentielles pour faire tourner des applications informatiques haut de gamme comme celles qui permettent de faire de l'entraînement de modèles d'intelligence artificielle.Par exemple, Samsung, l'un des leaders dans ce domaine, pourrait perdre une partie importante de son marché chinois, qui représente environ 30 % de ses ventes de puces mémoire HBM.Les restrictions américaines ne s'arrêtent pas aux frontières des entreprises américainesEnfin pourquoi des sanctions américaines contre la Chine ont-elles une répercussion mondiale ?Oui, les restrictions américaines ne s'arrêtent pas aux frontières des entreprises américaines. Elles s'appliquent aussi aux équipements fabriqués dans des pays comme Israël, Singapour ou Taïwan. Pourquoi ? Et bien parce que le rapport de force entre les Etats-Unis et ces pays penche en faveur du premier. Si Taïwan n'obéit pas à la loi américaine sur les sanctions, le pays s'expose à des représailles.Du côté chinois, la réponse est vive. Le ministère des Affaires étrangères accuse les États-Unis de compromettre les chaînes d'approvisionnement mondiales. Reste que malgré les efforts de la Chine pour développer une production locale, elle reste encore dépendante de technologies venues de l'étranger.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour ! Pensez-vous qu'il y ait déjà eu des sociétés secrètes en Chine ? Eh bien oui ! Des groupes de ce genre ont bien existé dans l'histoire chinoise, et ce pendant très longtemps, certains ayant même pu parfois y jouer un rôle majeur. Ça a par exemple été le cas à la fin du 19e et au début du 20e siècles, quand l'Empire des Qing s'est écroulé et qu'il a été remplacé par la République de Chine. Alors que sont ces sociétés secrètes, qu'ont-elles fait, et dans quel contexte sont-elles venues s'intégrer ? Eh bien pour le savoir, j'ai reçu Thomas Aerts, qui en est spécialiste ! Il a notamment beaucoup travaillé sur la Bande Verte, un groupe de Shangaï. Bref, il est temps d'y aller, je vous souhaite donc une bonne écoute sur Nota Bene ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Temu et Shein, deux plateformes Chinoises d'e-commerce représentent aujourd'hui 22% des colis livrés par La Poste, décortiquons ce chiffre dingue donné par la Poste en France. Car son PDG a été auditionné par les parlementaires français et il a dit quelque chose qui intéressera également les auditeurs belges. Il a reconnu que deux plateformes chinoises bien connues des consommateurs, à savoir Temu et Shein, représentent aujourd'hui 22% des colis de la Poste, contre 5% seulement il y a cinq ans à peine. 22% des colis, c'est 1% de plus qu'Amazon qui est aussi par ailleurs le premier concurrent de La Poste. Je cite ce chiffre de 22% car la France n'est pas une exception et les autres pays européens, dont la Belgique, doivent avoir à peu près les mêmes chiffres. Mais nous ne disposons pas de leurs chiffres pour la simple raison que leurs PDG n'ont pas eu la chance d'être auditionnés par leur parlementaire respectif. Quand on dit que deux plates-formes chinoises, Temu et Shein représentent 22% des colis gérés par la poste, il y a plusieurs leçons à en tirer. La première, c'est que le consommateur dit et répète à l'envi qu'il aime sa planète et qu'il est concerné par le réchauffement climatique. Mais en réalité, ce qui le guide, c'est la fin du mois et pas du tout la fin du monde. Et ce chiffre de 22% montre aussi à quel point la thématique du pouvoir d'achat reste centrale pour les consommateurs. Ils n'achètent pas seulement un produit, ils achètent avant tout, surtout un prix. Et puis ça en dit long aussi sur la transformation de nos entreprises privées ou publiques. La Poste ne vit plus de l'envoi de lettres. Le souci avec cette révélation du patron de la Poste, il est double… Mots-Clés : élections américaines, sondages, réalité, urnes, chiffre d'affaires, acheminement, lettres, e-commerce, mœurs, homme politique belge, égarement, interdire, le commerce, Chine, baisser, coûts de production, inonder, monde, produits, voitures électriques, hausse, droits de douane, marques automobiles chinoises, prix, consommateurs, dingue, fou, observateurs, industrie automobile européenne, risque, calvaire, sidérurgie, souci, piètre qualité des produits livrés, jouets enfants, normes, sécurité européenne, mode à petit prix, résultat, non-respect, normes sociales, environnementales, dérive, pouvoir d'achat, citoyen, consommateur, leçon, Docteur Jekyll, Mister Hyde, schizophrénie. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
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Le prix des cigarettes n'a pas fini d'augmenter, on s'en doute, mais Martin a trouvé une parade imparable, ou presque : pour lutter contre l'inflation, il suffit de vendre des cigarettes chinoises...En plus c'est quasiment légal.
durée : 00:05:49 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - L'Union européenne ou les États-Unis ne sont pas les seuls à avoir entamé un bras de fer avec la Chine en taxant l'importation des véhicules électriques. La Turquie, elle aussi, tente de contenir l'invasion de son marché par des véhicules made in China.
Pékin continue de revendiquer Taïwan, ce qui met sous pression toute la région. Et alors que le Japon a exprimé sa préoccupation, la Chine promet qu'elle ne renoncera jamais à la force pour conquérir Taïwan. Elle n'a pas hésité, ces derniers jours, à positionner le fleuron de sa flotte militaire à proximité des côtes taïwanaises.
durée : 00:06:15 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Dans une enquête, la chaîne télévisée britannique Channel 4 explique que l'émancipation des femmes promue par le géant du jouet Mattel n'est rien d'autre qu'une façade : elle cache l'exploitation des ouvrières en Chine, qui fabriquent les Barbies et d'autres figurines pour Disney.
L'Europe veut surtaxer la commercialisation des voitures électriques chinoises sur son territoire. En mesure de rétorsion, Pékin va surtaxer les importations de Cognac. Rémy Cointreau, LVMH et Pernod Ricard en ont fait les frais à la bourse. Ecoutez L'éco & You avec Martial You du 09 octobre 2024.
L'Europe veut surtaxer la commercialisation des voitures électriques chinoises sur son territoire. En mesure de rétorsion, Pékin va surtaxer les importations de Cognac. Rémy Cointreau, LVMH et Pernod Ricard en ont fait les frais à la bourse. Ecoutez L'éco & You avec Martial You du 09 octobre 2024.
Le Journal en français facile du vendredi 4 octobre 2024, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B0zn.A
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donne des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Le parti communiste chinois tenait en octobre 2017 son 19e congrès à Pékin. Le secrétaire général du parti, Xi Jinping, était alors le favori pour reprendre les rênes de la République populaire de Chine. Mais qu'en pensait le spécialiste de la Chine, Jean-Pierre Raffarin ? Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.
durée : 00:12:02 - La Question du jour - par : Julie Gacon - L'incident était-il inévitable ? Dans la nuit de dimanche à lundi, deux navires battants pavillons chinois et philippins se sont percutés au large d'un atoll de la mer de Chine méridionale, situé dans les zones économiques exclusives des Philippines, à 140 km à l'ouest de l'archipel. - invités : Benjamin Blandin Doctorant en géopolitique à l'Institut Catholique de Paris et coordinateur d'un réseau d'experts en stratégie maritime basé au Japon (le YCAPS-Yokosuka Council on Asia Pacific Studies).
durée : 00:04:33 - Le Zoom de France Inter - REDIFFUSION - La Côte-d'Ivoire voit déferler une vague de machines à sous. Dans les villages comme dans les grandes villes, des machines à sous artisanales, dites “chinoises” car ce sont eux qui les installent et en retirent les bénéfices. De plus en plus d'Ivoiriens se laissent prendre au jeu
Les voitures électriques chinoises sont amassées en masse sur les ports européens ! C'est ce que nous explique Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Ecoutez Lenglet-Co avec François Lenglet du 19 juin 2024
Ecoutez Lenglet-Co avec François Lenglet du 19 juin 2024
Ce jeudi 13 juin, l'imprévu des élections législatives impactant les rencontres d'Aix et la stratégie européenne face aux voitures chinoises, ont été abordés par Agnès Bénassy-Quéré, sous-gouverneure à la Banque de France, Christian de Boissieu, professeur à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et Christian Poyau, PDG de Micropole, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Débat entre Michael Peuker, correspondant RTS en Chine, Denis Robert, journaliste automobile, et Cenni Najy, responsable mobilité au Centre patronal.
durée : 00:09:00 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Sonia Devillers reçoit Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier Ministre, envoyé spécial du Président de la République en Chine et Président de l'ONG "Leaders pour la Paix".
durée : 00:55:53 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Bérengère Bonte, les informés débattent de l'actualité du 17 mai 2024.
Invitée: Yali Chen. La Suisse n'a jamais été le premier choix de pays pour les personnes migrantes chinoises. Pourtant, leur nombre augmente de manière constante chaque année. Quelle est la vie des femmes chinoises en Suisse? Comme se déroule leur vie familiale, professionnelle et sociale? Comment leurs relations et leur identité sont-elles touchées? Tribu reçoit Yali Chen, sociologue, docteure en études genre et chargée dʹenseignement à lʹUniversité de Genève. Elle publie "Chinoises en Suisse. Une perspective féministe, intersectionnelle et transnationale" aux Editions Antipodes.
durée : 00:59:15 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Aliette Hovine - Après une discussion sur les conséquences du capitalisme sur les démocraties avec Anton Brender, nous parlerons de l'offensive chinoise sur le marché de l'automobile électrique européen. - invités : Anton Brender Economiste, professeur associé à l'université Paris-Dauphine; Bernard Jullien Maître de conférence en économie à l'Université de Bordeaux, spécialiste de l'industrie automobile ; Juliana Bouchaud Chercheuse au Rhodium Group, cabinet de recherche spécialiste de la Chine et des questions énergie-climat