Malagasy football administrator
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Patrice Motsepe, die president van die Afrika Sokkerfederasie, CAF, sê hy hoop om 'n tweede termyn te wen. Nadat sy voorganger, Ahmad Ahmad van Madagaskar, die eerste CAF-president geword het wat deur FIFA verban is weens onetiese gedrag, insluitend geldverduistering, het die Suid-Afrikaner by 'n krisisgeteisterde organisasie ingetree. Afrika-sokker se beheerliggaam, wie se presidensiële verkiesing vir Maart 2025 vasgestel is, blyk op pad te wees na finansiële stabiliteit onder Motsepe se leierskap. Die kommunikasiedirekteur van die Namibiese Sokkervereniging, Cassius Moetie, sê hulle ondersteun Motsepe.
What's your name, what's your number? Fragt das bloß nicht meine Schwester! Abu Rudi und Abu Matthias sind wieder am Start! In dieser Folge sprechen wir über Namen: wenn ihr uns aufmerksam lauscht, erfahrt ihr unter anderem, warum Rosinen anrüchig sind und warum Katha schöner als das Haus ihres Vaters ist.
Vi tar pulsen på Ahmad Ahmad som nyligen tävlat men också blivit utsedd till Sverige bästa kroppsbyggare någonsin. Hur är läget nu? Har han några planer framåt. Dessutom pratar vi om livet i allmänhet och vad som är viktigt. Allt detta och mycket mer blandat med skratt och anekdoter. 00:04:50 – Ahmad in Tyngre Old School: ämnen och gäster som motiverar och inspirerar med träningen som en röd tråd. Alla våra gäster har en historia att berätta som både rör och berör – med Fredrik Age & Ashkan Aghili. Du som lyssnar på vår podcast får gärna betygsätta den på Apple Podcasts – lämna gärna en recension. Då blir podden mer synlig för andra plus att vi värdar blir glada.
بنی احمد، احمد (۱۳۰۸ - ۱۳۸۲) وکیل دادگستری و فعال سیاسی؛ نماینده مجلس (۱۳۵۷-۱۳۵۳) شیرین سمیعی نیس (فرانسه) دسامبر ۱۹۸۳ و ژانویه ۱۹۸۴ عناوین اصلی: پیشینه سیاسی و اجتماعی خانوادگی، انتشار روزنامۀ «عصر تبریز»، فعالیت در احزاب زحمتکشان ایران و نیروی سوّم، شرکت در انتخابات مجلس به عنوان نامزد حزب رستاخیز، دربارۀ شخصیتهای سیاسی ایران در دهه ۱۳۵۰، داوری دربارۀ نخستوزیری جمشید آموزگار، تلاشهای شاه برای باز کردن فضای سیاسی ایران، تاکید کارتر رئیس جمهور ایالت متحده آمریکا بر حقوق بشر و پیآمدهای آن در ایران، ریشههای انقلاب ایران، خاطراتی از روابط آیتالله کاظم شریعتمداری با دولت در دوران پهلوی، دربارۀ تشکیل حزب سیاسی خود، شورشهای تبریز در سال ۱۳۵۶، مقدمات انتخاب نخستوزیر جدید در آستانه پیروزی انقلاب، موقعیت شریعتمداری پس از انقلاب، خاطراتی از زندان پس از انقلاب، نکاتی دربارۀ تحولات در ذهنیت سیاسی مردم آذربایجان.
Do you ever get the feeling of déjà vu? Like you’re witnessing the same thing over and over again. Well, if you’re an African football fan, you might’ve had that feeling recently… About four years ago Ahmad Ahmad promised change following his CAF presidential election. Four years later and African football is still mired in corruption and dysfunction. On March 12th South African billionaire Patrice Motsepe was elected unopposed as CAF’s new president. Like Ahmad Ahmad before him, Motsepe has promised a transformation and a brighter future. Today we ask, what does the election of Patrice Motsepe mean for the future of African football? Guest: Samindra Kunti (@samindrakunti) is a football journalist for Inside World Football. Support Us: https://www.patreon.com/FootballToday Follow Us: @FT_Podcast_ www.FootballTodayPodcast.com Music: The music for this episode was provided under the Creative Commons license by Blue Dot Sessions. ‘Verdigris’ by Blue Dot Sessions ‘Partly Sage’ by Blue Dot Sessions ‘Jog to the Water’ by Blue Dot Sessions ‘The Face of Thrush’ by Blue Dot Sessions ‘White Limit’ by Blue Dot Sessions ‘Peacetime’ by Blue Dot Sessions Clips Used: France 24
4 på foden tema: Afrikansk fodbold. Det afrikanske fodboldforbund CAF har fået ny præsident efter at den seneste, Ahmad Ahmad fra Madagascar, måtte gå før tid på grund af korruption. Den nye mand ved roret er forretningsmanden Patrice Motsepe, og i dag skal vi blive klogere på, hvem han er, og hvad han kan gøre for afrikansk fodbold - og om FIFAs rolle i Afrika, der længe har været omdiskuteret. Medvirkende: Oscar Rothstein (idéhistoriker og journalist) og Stig Jensen (lektor ved Center for Afrikastudier, Københavns Universitet). Vært: Dan Grønbech.
En Afrique, tout le monde n'est pas content de l'élection du Sud-Africain Patrice Motsepe à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF). Vendredi dernier, lors d'une assemblée générale de la CAF à Rabat, le milliardaire sud-africain a bénéficié du retrait des trois candidats ouest-africains en sa faveur. Mais pour le Sénégalais Abdoulaye Thiam, qui est rédacteur en chef de « Sud Quotidien » et qui préside l'Association de la presse sportive du Sénégal, la politique et l'argent ont pris le pas sur le football. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Pourquoi c’est Patrice Motsépé qui a gagné ? Abdoulaye Thiam : C’est Patrice Motsépé qui a gagné pour la bonne et simple raison que c’est le candidat de Gianni Infantino. La deuxième chose, c’est parce que les autres challengers ont décidé, suite au protocole de Rabat, de retirer leur candidature. Je veux nommer maître Augustin Senghor [du Sénégal], Jacques Anouma de la Côte d’Ivoire et Ahmed Yahya de la Mauritanie. Mais le jour du vote vendredi 12 mars à Rabat, votre patriote Augustin Senghor avait l’air triste… Triste ? Je ne saurais le dire. En tout cas, pour beaucoup de Sénégalais, la déception était très grande. Et il n’y a pas que les Sénégalais, il y a aussi beaucoup d’Africains qui comptaient sur Augustin Senghor pour remettre la Confédération africaine sur les rails. Mais comme on le sait très bien, le fait d’avoir la probité intellectuelle et morale, d’avoir une certaine compétence n’a pas suffi. Il y a eu la diplomatie, la géostratégie, la géopolitique qui se sont invitées dans cette élection et qui ont fait qu’aujourd’hui, c’est Patrice Motsépé finalement qui a été porté à la tête de cette confédération. Quand vous parlez de « géopolitique », pensez-vous à l’influence du président de la Fédération internationale de football (Fifa), Gianni Infantino ? Oui, pour cette élection-là quand même, personne n’ose dire qu’il n’a pas vu l’implication, l’ingérence même du président de la Fifa, Gianni Infantino : il a sillonné beaucoup de pays africains, il a battu campagne pour Patrice Motsépé. Mais au-delà de Gianni Infantino, je peux vous citer par exemple cette alliance contre nature que personne n’arrive à comprendre entre l’Afrique du Sud et le Maroc. Tout le monde se souvient quand même du désistement de l’Afrique du Sud lors de la CAN Futsal qui devait se dérouler à Laâyoune au Sahara occidental. C’est une question très complexe sur laquelle beaucoup de chefs d’État africains font très attention pour ne pas frustrer les Marocains. Mais les Sud-Africains ont été les premiers à dire qu’ils n’y vont pas à 15 jours de la compétition. Mais finalement, les Marocains ont accepté de s’aligner derrière la Fifa, derrière Patrice Motsépé ! Est-ce que derrière cet accord, il peut y avoir un deal secret entre le président Cyril Ramaphosa et le roi du Maroc, Mohammed VI ? Je n’irai pas jusque-là. Ce qui est clair aujourd’hui, c’est quand même que les chefs d’État africains ont joué un très grand rôle. On parlait de Kigali avec Paul Kagame, qui a choisi depuis très longtemps Patrice Motsépé. Les gens aussi se souviennent des déplacements de Gianni Infantino au niveau de Brazzaville et au niveau de la RD Congo, il a été reçu par l’actuel président en exercice de l’Union africaine qui se trouve être [Félix] Tshisekedi ; il y a aussi l’accord entre Patrice Motsépé et son ami Moïse Katumbi [le président du club congolais tout puissant Mazembé]. Pour vous dire, tout simplement, qu’il y a eu la géopolitique qui a fait aujourd’hui qu’en fin de compte, on n’a pas choisi peut-être le candidat que tout le monde espérait être le meilleur. La politique et la géostratégie ont pris le dessus forcément sur le choix d’Augustin Senghor. Et lors de son dernier déplacement en Afrique de l’Ouest, Gianni Infantino, le président de la Fifa, a été reçu par le Sénégalais Macky Sall et le Guinéen Alpha Condé, non ? Oui. Là aussi, tout le monde s’est interrogé. Au XXIe siècle, là où on pensait qu’on allait effectivement vivre totalement de notre indépendance, surtout sur le plan footballistique, mais là c’est un Suisse qui vient en Afrique pour tout simplement être reçu avec les honneurs et qui dicte qui doit diriger effectivement notre confédération. C’est triste parce qu’on ne verra jamais les gens comme Gianni Infantino au niveau de l’UEFA, qui est la confédération européenne. On ne le verra pas au niveau de la Concacaf, qui est la confédération sud-américaine. Ce n’est pas possible. Et pourquoi Gianni Infantino et la Fifa ont-ils autant de pouvoir sur les fédérations africaines ? Est-ce une histoire d’argent ? Oui, c’est une histoire d’argent, parce qu’en Afrique, il faut aussi le relever : nous n’avons pas les moyens de nos ambitions. Aujourd’hui, l’organisation d’une Coupe d’Afrique des nations à 24 équipes, exceptés l’Afrique septentrionale, l’Afrique du Nord et l’Afrique du Sud, au moment où nous parlons, il n’y a aucun pays au sud du Sahara qui est capable d’organiser une telle coupe d’Afrique à 24. Effectivement comme on dit chez nous en wolof, « celui qui vous prête les yeux, forcément va vous dire où vous devrez regarder ». Qui paye, commande… Qui paye, commande. Exactement. Est-ce que ces audiences de Gianni Infantino chez plusieurs chefs d’État africains, ce n’est pas aussi la preuve que la politique s’ingère dans le football et que finalement, dans chaque pas, c’est le président de la République qui dit à la fédération ce qu’elle doit faire ? Exactement, parce que le sport, le football en particulier, est géré par les États. Ce sont les États qui ont les stades, ce sont les États qui entretiennent les équipes nationales, les fédérations ne sont pas autonomes financièrement. On sent votre déception. Est-ce que Patrice Motsépé peut être un mauvais président pour la CAF ? Non. J’ose espérer tout simplement que ce qu’il a réussi avec Mamelodi Sundowns [le club sud-africain dont il est propriétaire] et aussi dans les affaires, j’espère qu’il puisse le réussir au niveau de la Confédération africaine de football. Mais est-ce qu’il connaît le footbal ? Il ne connaît pas le football à l’image d’Augustin Senghor, à l’image de Jacques Anouma, à l’image d’Ahmed Yahya. D’ailleurs, il n’était même pas intéressé par la présidence de la Confédération africaine de football. C’est Gianni Infantino qui est allé le chercher. À cause de l’argent qu’il y a derrière lui, c’est ça ? C’est forcément à cause de l’argent. Je crois qu’il est très bien entouré. On peut espérer effectivement que, d’ici quatre ans, la Confédération africaine de football puisse retrouver son lustre d’antan et qu’on ne puisse pas vivre sous la tutelle tout simplement de la Fifa comme ce fut le cas ces quatre dernières années avec Ahmad [Ahmad].
Qui pour succéder à Ahmad Ahmad à la tête de la Confédération africaine du football ? À quelques semaines du scrutin du 12 mars 2021 à Rabat, au Maroc, la tension autour des candidatures est intense. C’est également le moment pour de nombreux spécialistes du football africain de s’interroger sur la stratégie à adopter, pour en finir avec les scandales à répétition qui éclaboussent la confédération, et pour que l’Afrique cesse d’être seulement le fournisseur de muscles pour les championnats européens et du Golfe Persique. Avec nos invités : - Mouad Hajji, ancien secrétaire général de la Confédération africaine de football (CAF) et coordinateur général de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) - Philippe Doucet, journaliste sportif - Alexis Billebault, journaliste sportif - Rémy Ngono, journaliste et chroniqueur régulier dans l'émission football de RFI, Radio Foot Internationale.
La FIFA a suspendu pour cinq ans Ahmad Ahmad, le président de la Confédération africaine de football (CAF), pour plusieurs manquements éthiques, dont des détournements de fonds. Une décision qui vient au lendemain de l'annonce par Ahmed Ahmed de sa candidature à sa propre succession à la tête de la CAF, et à trois mois des élections qui se tiendront au Maroc. Analyse avec Rachid Hallaouy et Nassim El Kerf. Pour plus d'enquêtes, reportages et analyses, abonnez vous à Telquel sur https://telquel.ma/abo
When Gianni Infantino ran for FIFA President in 2016, he ran on an anti-corruption ticket. Looking to succeed Sepp Blatter, this approach was hardly surprising. The problem is… the claims of corruption just haven’t gone away. The most recent FIFA representative under scrutiny is the President of the Confederation of African Football, Ahmad Ahmad, who, earlier this month, was suspended for 5 years by FIFA. In this episode, we ask: Why has Ahmad Ahmad been suspended by FIFA? And why doesn’t the corruption go away? Guest: Philippe Auclair (@PhilippeAuclair) is the England Correspondent for France Football. Support Us: https://www.patreon.com/FootballToday Follow Us: @FT_Podcast_ www.FootballTodayPodcast.com Music: The music for this episode was provided under the Creative Commons license by Blue Dot Sessions. Our Only Lark by Bitters Parissi by Marisala Periodicals by Albany, NY The Green Room by Warmbody Peacetime by TinyTiny Trio
C'est l'un des postes de pouvoir les plus importants sur le continent africain. Le 12 mars 2021 sera élu le prochain président de la Confédération africaine de football (CAF). Suite à la suspension par la Fifa du président sortant, Ahmad Ahmad, quatre candidats sont en lice. Augustin Senghor est l'un d'entre eux. Avocat au barreau de Dakar, il préside depuis plus de 10 ans la Fédération sénégalaise de football. En ligne de l'île de Gorée, la commune dont il est le maire, le petit-neveu du président Léopold Senghor répond aux questions de RFI. RFI : Vous êtes candidat à la succession du président Ahmad Ahmad. Qu’est-ce que vous pourrez apporter de neuf à la confédération africaine ? Augustin Senghor : Je pense que la CAF souffre aujourd’hui de problèmes de gouvernance qui sont quand même structurels. Donc, il faut réformer beaucoup de choses, notamment nos textes, en commençant par les statuts jusqu’aux règlements de toutes les compétitions, mettre en place des manuels de procédures clairs en matière de finances, ça, c’est un aspect de gouvernance qui sera fondamental. D’un autre côté aussi, je pense qu’il faut donner plus de crédibilité et plus de créativité au football africain. Nous avons un potentiel énorme. Aujourd’hui s’il y a un continent dans le domaine du football qui est un continent d’avenir, c’est l’Afrique. Et aujourd’hui, nous avons aussi un vivier énorme de jeunes talents qui sont là, qui n’ont besoin que d’infrastructures, qui n’ont besoin que d’encadrements pour aller de l’avant, pour hisser le football africain au niveau qui doit être le sien, c’est-à-dire pour moi, la deuxième ou la troisième place sur l’échiquier mondial du football. Il y a 4 ans, Ahmad Ahmad a fait campagne contre la mauvaise gouvernance. Mais une fois élu, il a échoué. Si vous êtes élu, que pourrez-vous faire de mieux que lui ? Ahmad Ahmad n’a jamais été quelqu’un qui prenait seul ses décisions. Il les partageait. En partant de là, je pense que c’est tout un système qui doit être remis en cause. Et c’est pour cela que je parle d’une refonte globale des textes pour qu’il y ait bonne gouvernance. Ahmad à lui seul n’aurait jamais pu changer quoi que ce soit et c’est une équipe qui peut changer la donne. En tant que membre du comité exécutif et en tant que proche du président sortant Ahmad Ahmad, est-ce que vous n’incarnez pas le pouvoir sortant ? Est-ce que vous ne risquez pas de perdre des voix ? Moi, je suis de nature loyale. Si je travaille avec le président Ahmad… En deux ans, il m’a donné des responsabilités. Ça, c’est vrai et c’est une fierté pour moi, mais c’est parce qu’il savait que j’ai les compétences pour cela. Il m’a confié la commission juridique qui est une commission importante. Et il m’a aussi, il y a un an, choisi comme vice-président de la commission d’organisation de la CAN. Et ce n’est pas en allant chercher un homme miracle ailleurs qu’on réglera les problèmes. L’expérience, le vécu vont compter pour pouvoir sauver la baraque et je suis prêt à aller jusqu’au bout de mes convictions parce que c’est comme ça que nous pourrons diriger une CAF forte, respectée, unie, plus performante et plus créative. Est-ce que le Sud-Africain Patrice Motsepe n’a pas intérêt à faire campagne contre vous en disant : moi, je n’étais pas dans l’ancienne équipe, je suis un homme neuf ? Libre à lui de le faire ! Monsieur Motsepe, je n’ai pas à le juger, je ne le connais pas trop bien. Je sais juste comme tout le monde qu’il est président du club des Mamelodi Sundowns. Au-delà de cela, je ne le connais pas bien. Il ne s’agit pas de dire « Non, non, non, il faut un homme neuf ». C’est quoi un homme neuf ? Nous avons besoin d’un homme compétent. Nous avons besoin d’un homme qui a une vision. Et si un homme neuf, c’est un homme inconnu, allons vers l’inconnu et l'on verra le résultat et l'on ne sera pas surpris demain d’avoir d’autres problèmes ! Est-ce que le candidat ivoirien Jacques Anouma n’est pas un candidat qui a encore plus d’expérience que vous ? Jacques, avec lui, c’est toute une histoire… Oui, vous avez soutenu Jacques Anouma contre Issa Hayatou… Exactement. Mais surtout, nous avons eu à intervenir à des niveaux différents, parce que lui effectivement, pendant des années, il a fait d’excellentes choses au niveau de sa fédération, il a une expérience à la Fifa, à la CAF aussi. Plus tard, à partir de 2016, il a quitté les affaires. Pendant ces 5 ans-là, j’ai pu faire le tour de toutes les questions. Je vous ai dit les derniers postes que j’ai occupés. Donc, je ne pense pas qu’à ce niveau-là, il y ait un candidat qui puisse me damer le pion en termes d’expérience, en termes de compétence. Je suis celui qui connait le mieux la maison, qui sait quels sont les problèmes, qui aujourd’hui peut trouver des solutions adéquates. Et avec l’Ivoirien Jacques Anouma et le Mauritanien Ahmed Yahya, vous êtes trois candidats d’Afrique de l’Ouest. Est-ce qu’il n’y en a pas deux de trop ? Deux de trop, je ne sais pas. Notre zone qui est l’Afrique de l’Ouest, on la connait pour sa vitalité au niveau sportif. Les meilleures performances, souvent, que ça soit en équipes seniors ou dans les autres catégories, et même en football féminin, viennent de notre sous-région. Et de ce côté-là aussi, il y a un manque, c’est qu’en plus de 60 ans d’existence de la CAF, aucun Ouest-Africain n’a jamais présidé aux destinées de cette instance, et je pense qu’il est temps. Il nous appartient de nous parler. Nous avons le temps de nous parler d’ici au 12 mars pour voir les meilleures options à faire, les alliances à mener pour pouvoir élire le meilleur président de la CAF qui soit. Donc, on peut imaginer un accord entre vous trois pour que deux des trois se retirent au profit du troisième, pour qu’il y ait un ticket en quelque sorte ? Je n’écarte rien. Ces derniers jours, j’ai même parlé d’une démarche panafricaniste en ce qui concerne ma campagne. Si nous arrivons à trouver un accord, c’est tant mieux. Sinon, nous irons aux élections. Et même pendant les élections, des accords sont toujours possibles avec la possibilité de mettre en place une équipe cohérente pour le devenir de notre instance continentale. ►À écouter aussi : Appels sur l'actualité - [Vos réactions] Présidence de la CAF: Ahmad, suspendu pour 5 ans par la Fifa
On this episode of the podcast, Yubby Nduonofit is joined by Olakunle Rufai as they look back at the action in Europe over the weekend as well as the suspension of CAF's president Ahmad Ahmad. Timestamps 00:01:16-00:7:468 | Ahmad Ahmad's Scandal 00:07:36-00:12:24 | Premier League Review 00:07:37-00:09:04 | Spurs title credentials 00:09:05-00:09:53 | Blip for Man City? 00:09:53-00:11:10 Arsenal 00:11:10-00:12:84 | Liverpool 00:12:24-00:14:20 | La Liga Review 00:14:20-00:15:29 | Serie A review
We delved into the details of Dr Ahmad Ahmad's tenure as CAF president and what led to his suspension. What does this mean for Nigeria's Amaju Pinnick? --- Send in a voice message: https://anchor.fm/adeola--amokomowo/message
Coup de théâtre dans le football africain. Ahmad Ahmad, le président de la CAF, la Confédération africaine de football, est suspendu pour 5 ans pour manquement à l'éthique. Il ne pourra donc pas se présenter en mars prochain pour un second mandat. Y a-t-il quelque chose de pourri au royaume du football ? L'Ivoirien Jacques Anouma est l'un des quatre candidats à la succession d'Ahmad Ahmad. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: On vient d’apprendre que le président de la Confédération africaine de football (CAF), le Malgache Ahmad Ahmad, est suspendu pour cinq ans par la Fédération internationale de football association (Fifa), quelle est votre réaction ? Jacques Anouma: En tant que candidat à la présidence de la CAF, je ne peux pas me prononcer sur cette affaire. Mais par contre, ce que je peux dire, c’est que la Commission d’éthique est un organisme crédible et indépendant. S’il y a un point positif à retenir du bilan du président Ahmad à la tête de la CAF, quel est-il ? C’est quelqu’un qui avait vraiment envie de faire des réformes, mais il avait en face de lui un bureau où tout le monde n’était pas solidaire. Peut-être que cela peut être aussi à l’origine de ses ennuis, les gens n’étaient pas solidaires. Alors le président Ahmad a tout de même élargi la Coupe d'Afrique des nations (CAN) de 16 à 24 équipes… Oui, il y a des avantages aussi et puis quelques inconvénients. C’est sûr que, depuis qu’on a pris cette décision, on a du mal à avoir un pays qui soit prêt à organiser seul cette compétition, parce que, déjà à 16, c’était un problème, alors maintenant à 24, cela demande beaucoup plus d’infrastructures routières, de stades, d’hôpitaux dignes de ce nom. Alors est-ce vraiment la bonne décision qu’on a prise ? J’entends de temps en temps des gens s’en plaindre. Il y a des sujets qu’il va falloir peut-être remettre sur la table, comme la CAN tous les deux ans ou tous les quatre ans, il va falloir en parler à un moment. Sepp Blatter à la tête de la Fifa, Michel Platini à la tête de l’Union des associations européennes de football (UEFA), aujourd’hui Ahmad Ahmad à la tête de la CAF, beaucoup de dignitaires du football tombent pour mauvaise gouvernance ? Cela commence à faire beaucoup, oui. Mais peut-être les prochaines élections nous permettront de corriger tout cela. Le monde du football est-il pourri ? Tout le monde parle de football, et les autres ? (rires) Le monde du football n’est pas pourri. Dans le monde du football, il y a des gens bien, on trouve de tout comme dans toute corporation ou dans toute institution. Ce n’est pas plus pourri qu’ailleurs. En 2017, vous êtes de ceux qui se sont félicités de la chute du président Issa Hayatou. Est-ce que vous n’êtes pas déçu par le fait que son successeur tombe à son tour pour mauvaise gouvernance ? Non, je ne m’étais pas félicité pour la mauvaise gouvernance, non. Je ne renie pas que j’ai participé à l’accession du président Ahmad à la tête de la CAF. Mais aujourd’hui, ce qui va être l’un des enjeux de cette campagne électorale et de cette élection, c’est de ramener la bonne gouvernance au sein de notre institution, c’est de faire en sorte que les compétitions soient mieux organisées, c’est de privilégier la concertation et le dialogue entre les membres actifs. En tout cas, en ce me concerne, je vais profiter de mon expérience multidimensionnelle dans le domaine de la finance et du sport, et du football en particulier, pour faire de cette CAF quelque chose de crédible au sein du football mondial. Face à vous, il y a le Sud-Africain Patrice Motsepe, le Sénégalais Augustin Senghor et le Mauritanien Ahmed Yahya. Quelle est la différence Anouma ? J’ai pour moi une longue expérience de la vie associative, je suis passé en COP [Commission d'organisation des compétitions], je suis passé à la fédération ivoirienne, je suis passé au comités exécutifs de la CAF et de la Fifa. J’ai une longue expérience du football. Aujourd’hui même encore, je suis président d’un club. J’ai une vision claire de ce que je veux pour le football africain. Oui, mais en Afrique du Sud, Patrice Motsepe est le président de l’un des plus grands clubs du continent, les Mamelodi Sundowns… Mais chacun de nous viendra avec ses atouts. Est-ce que cela suffit simplement d’être un très grand dirigeant de football en club, je ne sais pas si cela suffit. Et à la tête de la fédération sénégalaise, Augustin Senghor est le vice-champion d’Afrique depuis la dernière CAN, ce n’est pas rien cela… La Côte d’Ivoire a gagné quand même deux trophées. La Côte d’Ivoire est une grande nation de football. On a vu le poids du président de la Fifa, Gianni Infantino, en 2017 lors de la chute d’Issa Hayatou, est-ce que ce n’est pas encore le président de la Fifa qui fera l’élection du prochain président de la CAF au mois de mars prochain ? Je ne sais pas, je ne sais pas… Il ne faut pas le négliger le fait que la Fifa a une très grande importance au sein de nos associations, est-ce que cela suffit pour décider de qui sera le prochain président de la Confédération africaine ? Je ne crois pas. Est-ce qu’avec une forte personnalité comme Gianni Infantino, les Africains ne sont pas en train de perdre le contrôle de la CAF ? C’est à nous de ne pas baisser la garde et puis de faire en sorte que nous soyons respectés, parce que ce n’est pas évident que toutes les décisions qu’on nous impose en Afrique, on puisse le faire à l’UEFA,au Comebol [Confédération sud-américaine de football] ou à la Concacaf [Confédération de football d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes]. Il faut que l’Afrique soit forte. Il faut qu’on se fasse respecter. L’Afrique a trop subi ces quatre dernières années ? A mon sens, on a subi peut-être, quelquefois même nous l’avons favorisé. Il ne faut pas avoir honte de le dire, nous l’avons favorisé. Les gens qui critiquent la Fifa, son immixtion au sein de la CAF, mais qui l’a demandé ? C’est le comité exécutif [de la CAF] qui a demandé que la Fifa vienne mettre de l’ordre un peu dans notre institution. Et vous pensez qu’on n’a pas suffisamment de cadres compétents en Afrique au sein du mouvement sportif qui soient capables de remettre à plat les procédures de la CAF ou les problèmes de gouvernance, de compétition, et même les problèmes de marketing ? Mais non. On en trouve en Afrique. Maintenant, il faut remettre les choses à plat. Moi, j’ai des ambitions pour le continent et c’est pour cela que je me présente. ►À lire aussi : Confédération africaine de football : Ahmad ou les ambitions perdues
La FIFA suspend pour cinq ans le président de la CAF.
Le programme de Radio Foot aujourd'hui: Ahmad Ahmad, le président de la CAF, suspendu cinq ans par la FIFA : réactions et conséquences sur le football africain. Notre hommage à Augustin Sidy Diallo, le président de la Fédération ivoirienne de football, décédé samedi. Manchester City battu 2-0 par Tottenham : comment expliquer les difficultés de l'équipe de Pep Guardiola ? Arsenal tenu en échec à Leeds (0-0) : Nicolas Pépé expulsé, peut-il encore se relancer avec les Gunners ? L'AC Milan tout puissant après sa victoire contre Naples hier (3-1) : encore un doublé d'Ibrahimovic mais le Suédois est sorti blessé. Que valent les Rossoneris sans Zlatan ? Le Napoli affaibli par l'absence de Victor Osimhen ? On parlera aussi de la Juventus Turin et du retour en forme de Cristiano Ronaldo. Autour d'Annie Gasnier : Habib Beye, Patrick Juillard et Hervé Penot. Réalisation : Laurent Salerno. Préparation : Marie-Amélie Motte. À lire aussi : Confédération africaine de football: Ahmad ou les ambitions perdues
Sports analysis program covering local and international sporting events with P.J Mossey. Top story: The Adjudicative Chamber of the Independent Ethics Committee sanctions Ahmad Ahmad.
Leicester en tête de la Premier League, les Foxes peuvent-ils tenir ? Tottenham porté par son trio d'attaque fantastique, Mourinho enfin de retour ? On parlera aussi de l'affiche Manchester City-Liverpool, du premier but de Cavani avec United et de la réussite d'Areola du côté de Fulham. Les blessures se multiplient dans tous les championnats, comment l'explique ? Pep Guardiola et Jürgen Klopp craignent pour la santé des joueurs. 13 blessés au PSG dont Neymar et Mbappé, pourtant convoqués avec leur sélection. Lyon s'est imposé contre Saint-Etienne lors du derby (2-1) : Kadewere en sauveur, Dembélé à la peine... On dira aussi un mot sur le meilleur buteur de Ligue 1, le Sénégalais Boulaye Dia. Les élections à la présidence de la CAF : deux candidats face à Ahmad Ahmad pour l'instant, le Sud-Africain Patrice Motsebe et l'Ivoirien Jacques Anouma. ► À lire aussi : Foot africain : le milliardaire Patrice Motsepe candidat à la CAF Autour d'Annie Gasnier : Salim Baungally, Habib Beye et Hervé Penot. Réalisation : Laurent Salerno. Préparation : Marie-Amélie Motte
Snitsaren Ahmad Ahmad berättar sin historia. Från uppväxten i Malmö och Irak, till den första fysiktävlingen, och vidare till den internationella framgångsmaskinen som bär hans namn.
RFI vous propose de découvrir le regard que porte l'une des stars du continent africain, l'ancien international de football camerounais Samuel Eto’o, sur la pandémie de coronavirus. Sa fondation vient de conduire au Cameroun une caravane d'aide aux populations les plus démunies. Pourquoi cet engagement, quelles leçons la star tire-t-elle de cette épidémie à titre personnel et pour le continent africain ? Comment voit-il l'avenir proche des compétitions de football en Afrique bouleversées par le Covid-19? Quel enseignement personnel tirez-vous de ces longues semaines de confinement ? Samuel Eto’o : Il est clair pour moi qu’avec ce qui s’est passé, je passerai 60, 70 voire 80% de mon temps auprès de ma famille… parce que vous pouvez vous retrouver un beau matin sans votre enfant, sans votre épouse, sans même l’un de vos parents. Avec ce qui s’est passé, on a compris qu’il n’y a rien de plus important que les gens qu’on aime vraiment. La famille, certains amis, il n’y a rien de plus important que cela. Votre fondation Samuel Eto’o vient donc de mener un projet d’aide aux populations les plus démunies du Cameroun. Concrètement, qu’est-ce que vous avez fait ? C’était axé sur deux volets. Premièrement, il fallait sensibiliser les populations. Et le deuxième volet, c’était d’accompagner les gens pour qu’ils restent au maximum chez eux. On a pu distribuer du riz, de l’huile, du gel, du savon et même de l’eau potable pour permettre à nos compatriotes de tenir, parce qu’en Afrique, le secteur informel est très grand - il est même plus important que le secteur formel-. Les gens vivent au jour le jour. Et si les gens ne peuvent pas sortir pour gagner un peu d’argent, ils ne peuvent pas nourrir leur famille. Alors comment vont-ils faire ? L’idée, c’est d’aider les gens pour qu’ils ne soient pas incités à sortir. C’est cela ? Oui. Et comme cela, protéger contre ce virus. Donc, il y a une caravane qui est passée par différentes villes du Cameroun… Une caravane qui a commencé à Douala, ensuite Limbé, Buéa, Yaoundé et Bafoussam parce que ce sont les villes les plus touchées par ce virus. Quelle est la leçon qu’il faut, selon vous, que l’humanité retienne de cette pandémie ? Il faut que les gens comprennent que nous sommes tous des êtres humains. Noirs, blancs, rouges, jaunes, notre préoccupation était de sauver nos vies. Face à la vie, on a bien compris que nous restons tous les mêmes. Mêmes ceux qui sont très riches étaient bloqués, étaient confinés chez eux. Moi, mon rêve après tout cela, c’est que cette Afrique change vraiment et qu’on soit conscient de la chance que nous avons de vivre dans ce beau continent aussi riche. En Afrique, on a une belle histoire, mais je crois qu’on peut faire beaucoup mieux sans compter sur les autres parce que, si vous regardez, nous sommes le continent le plus riche, mais paradoxalement le plus pauvre aussi. Il faut un sursaut d’orgueil, il faut qu’on sache se mettre ensemble. On ne sera jamais d’accord, mais l’intérêt général c’est l’intérêt général ! L’intérêt de notre continent doit primer sur tout. Il faut créer beaucoup plus d’emplois, donner la possibilité à cette jeunesse-là de pouvoir travailler. Je pense que c’est ce qu’il faut faire. Il faut permettre aux Africains qui veulent investir dans notre continent d’avoir la priorité sur certaines choses et d’avoir des avantages aussi, parce que nous sommes nés dans ce continent-là et il est normal qu’on revienne et que l’on ait certains avantages pour pouvoir investir dans notre continent. Le Championnat d'Afrique des nations, le Chan, qui devait avoir lieu en avril a été reporté. La Coupe d'Afrique des nations, la CAN 21, prévue en janvier, risque d’être reportée elle aussi. Comment imaginez-vous la reprogrammation de ces deux compétitions de football continentales dans votre pays ? Je ne veux pas me devancer. Je suis conseiller du président [Ahmad] Ahmad [président de la Confédération africaine de football (CAF)] et je laisse au comité exécutif de la CAF avec son président le plaisir d’annoncer le prochain programme du Chan et de la CAN. Est-ce qu’au moins, ces sujets sont déjà en train de se discuter ? La Confédération africaine de football est une institution sérieuse. Et depuis, elle ne travaille que sur cela. Est-ce que la fête sera moins belle si la CAN est repoussée ? La fête sera toujours belle. Le Cameroun, c’est un pays unique, c’est un pays de football. Le seul regret que je peux avoir, c’est de ne pas pouvoir participer à cette fête comme joueur de football. On a pu constater avec beaucoup de joie tous les efforts fournis par le gouvernement camerounais et le peuple camerounais en donnant à tous les sportifs, aux amoureux du ballon rond des stades dignes des stades de l’Europe. On n’a rien à envier aujourd’hui à certains pays européens. Aujourd’hui, mes jeunes frères ont ces outils-là. Nous allons tout faire pour qu’ils soient prêts à nous offrir l’une des plus belles coupes d’Afrique jamais organisées. Mais celle qui est belle pour nous, sera celle que nous allons gagner. Ce que vous nous dites, c’est que, Covid ou pas, le Cameroun sera prêt pour la CAN… Le Cameroun sera prêt pour la CAN. Le Cameroun a déjà tout pour abriter une CAN.
Karibui miaka mitatu tangu Ahmad Ahmad kuchaguliwa kuwa rais wa shirikisho la kandanda barani Afrika, CAF, shirikisho hilo linakabiliwa na mshororo wa tuhuma za rushwa na matumizi mabaya ya fedha. Tunajadili katika makala ya Jukwaa la Michezo. Ungana na Fredrick Nwaka akiwa na wachambuzi wa soka Juma Mudimi na Bonface Osano
Former UEFA president Michel Platini has been arrested as part of an investigation into alleged corruption relating to the decision to award Qatar the 2022 World Cup. Platini becomes a second prominent football administrator to be arrested this month after CAF president, Ahmad Ahmad's arrest earlier this month in France. Jon Gericke spoke to Soccer Analyst, Kudjio Amankwa
We chat about Ahmad Ahmad who was arrested in France, what does this mean about our leaders in African Football? AFCON is two weeks away, we look at some of the groups and discuss potentials to win the trophy.
Vi tar pulsen vårt mest meriterade IFBB-pro - Ahmad Ahmad. Han berättar om sin resa från liten under 70-kille till fullfjädrat proffs men också varför han bytte gren från Bodybuilding till Classic Physique. Dessutom pratar vi träning. Och givetvis anekdoter. Plus en massa skratt. Vi försöker också bena ut varför det ser ut som det gör på gymmet idag. Gör de flesta tävlande det som egentligen krävs? 00:04:33 – Ahmad in 01:22:27 – Ahmad ut Tyngre Old School: Om svunna gyllene fysiker och om hur mycket bättre byggningen egentligen var förr – med Fredrik Age & Ashkan Aghili.
Byggeriet 17 Programledare: Anders JP Eskilsson Gäst: Albin "Mr. Smögen" Mattsson aka Angry Cobra - Hur går Mr. Smögens diet inför SM - Tampa pro var årets sista kvaltävling till Olympia. Vi dyker analytiskt ner bland resultaten - Ahmad Ahmad ska till Olympia med Samir Troudi och Super-Frida - Vem vinner den inbördes revanschen mellan Samir och Ahmad på Olympia? - Vi tippar top 5 på Mr. Olympia - Plus klassiskt Byggeriet-snack Byggeriet tar sedan semester, men kommer tillbaka innan Olympia*
On this week's show we look at the CAF elections as Ahmad Ahmad of Madagascar deposes Issa Hayatou as leader of African football. Good times for Zambia as they host and win the U20 AFCON. Also we focus on head injuries in football – unfortunate incidents that happen from time to time. We speak to Gambian defender Pa Modou Jagne who suffered a head injury with his Swiss club and took six months to recover. And we review the UEFA Champions League results as Leicester City defy their low position in the English Premier League to secure a place in the Quarter Finals.
On this week's show we look at the CAF elections as Ahmad Ahmad of Madagascar deposes Issa Hayatou as leader of African football. Good times for Zambia as they host and win the U20 AFCON. Also we focus on head injuries in football – unfortunate incidents that happen from time to time. We speak to Gambian defender Pa Modou Jagne who suffered a head injury with his Swiss club and took six months to recover. And we review the UEFA Champions League results as Leicester City defy their low position in the English Premier League to secure a place in the Quarter Finals.
On this week's show we focus on the upcoming elections for the position of president of the Confederation of African Football. Issa Hayatou has been in charge since 1988, but Madagascar's Ahmad Ahmad will challenge Hayatou and looks to be a serious challenger. Everton and DR Congo striker Yannick Bolasie tells us about the frustrations of his long-term injury. We look at African players on China, with a closer look at who they are playing for, and European analyst Stuart Weir tells us that Leicester's decision to fire manager Claudio Ranieri is understandable, despite the outcry.
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Jack, Tric, Chase & GSpot talk about acceptance and the LGBT community. Gooey Gossip about Richard Simmons. Marc Weingarten features Ahmad Ahmad. Obama talks about women’s sexuality. Hit Us Up about pets watching during sex. Sex In My City is Jacksonville. The post Orlando Stronger #prayfororlando #orlandolove appeared first on Living Sexy - Taking Your Life To A Very Sexy Place.
Dagarna innan sin nästa tävling fick vi sällskap av Sveriges mest framgångsrika kroppsbyggare någonsin. Ahmad Ahmad berättar om livet som gymägare, som coach och som bodybuildingproffs. 00:09:21 – Gäst in 00:58:38 – Gäst ut
Alex och Andreas glada amatörradiopratande kompenseras upp av veckans gäst: byggarproffset Ahmad Ahmad. Hör Ahmad berätta om sina tävlingsplaner, sitt gym och de duktiga atleterna han coachar. Dessutom förklarar han hur han käkar och tränar som proffs, och vikten av att tillåta sig att njuta av livet mellan dieterna. Detta och mycket mer i veckans BODY Radio!
Déclaration à la presse du président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad Ahmad, le 27 janvier à Laâyoune, lors de la cérémonie d'ouverture de la 6ème Coupe d'Afrique des nations de Futsal Total 2020.