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“Omar m'a tuer”... En 1991, ces dix lettres de sang, écrites avec les doigts, ont fait grand bruit dans les médias… Elles sont le seul indice d'une scène de crime mystérieuse et désigne un homme : Omar Raddad, un jeune jardinier marocain, unique suspect de cette affaire. Pour la justice, il est le meurtrier de Ghislaine Marchal… Depuis plus de 30 ans, l'accusé se bat pour prouver son innocence. Une enquête à charge Mardi 25 juin 1991, Toulon, à 120 kilomètres de Mougins. C'est une ville de bord de mer, réputée pour son joli port et sa douceur de vivre, qui accueille depuis une dizaine d'années de nombreux immigrés méditerranéens. Des hautes barres d'immeubles ont poussé dans la ville pour loger tous les nouveaux arrivants. Des résidences sans réel charme où cohabitent Marocains, Algériens, Tunisiens et Sénégalais. C'est dans l'une d'entre elle que vit Omar Raddad avec sa femme et ses deux jeunes garçons ainsi que sa belle-famille. Un podcast Bababam Originals Ecrit par Capucine Lebot et raconté par Caroline Nogueras Première diffusion : 5 janvier 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Il est question des éliminatoires du Mondial 2026 : La 8è journée dans la zone Afrique ; - Chocs en perspective : poule B : sommet demain au Stade des Martyrs entre la RDC et le Sénégal ; - Équipe de France, Doué et Dembélé ont donc quitté leurs partenaires à l'issue de la rencontre contre l'Ukraine en Pologne vendredi soir. - La 8è journée dans la zone Afrique. Dans le groupe E, le Maroc décroche son ticket pour les États-Unis. Les Rouge et Vert ont passé 5 buts au Niger à Rabat, le Mena réduit 10 dès la 26e minute. La sélection de Regragui a remporté toutes ses rencontres. - Les Aigles de Carthage rejoignent les Marocains après leur succès sur le fil à Malabo face au Nzalang Nacional. - Chocs en perspective : poule B : sommet demain au Stade des Martyrs entre la RDC et le Sénégal. 2 nations au coude-à-coude, qui ont remporté leurs duels de la 7e journée, respectivement face au Soudan du Sud à Juba, et au Soudan à Diamniadio. Sadio Mané plutôt discret face aux Crocodiles du Nil, s'est-il préservé pour la rencontre face aux Léopards ? Coté congolais, on compte sur la forme de Cédric Bakambu, la jeunesse de Nathanaël Mbuku, et l'efficacité de Yoane Wissa, une des recrues phares de Newcastle au mercato. Au coude-à-coude également, Cap-Verdiens et Camerounais dans le groupe D. Un duel qui vaudra cher mardi à Praia, où les Lions Indomptables n'ont pas gagné depuis longtemps. - Burkina Faso/Égypte : les Étalons ont fait le plein de confiance face à Djibouti, et joueront à la maison ! Le stade du 4 août est de nouveau opérationnel. Les hommes de Brama Traoré peuvent garder espoir en cas d'exploit contre les Pharaons qui se rapprochent de l'Amérique. - Équipe de France, Doué et Dembélé ont donc quitté leurs partenaires à l'issue de la rencontre contre l'Ukraine en Pologne vendredi soir. La rechute de « Dembouze », l'un des éléments les plus en vue du PSG était-elle évitable ? Une nouvelle blessure qui relance les questions sur la gestion du physique du joueur. Simple coup d'arrêt ? Ou l'Ébroïcien est-il rattrapé par ses vieux démons ? Autour d'Hugo Moissonnier : Salim Baungally, Yoro Mangara et Ludovic Duchesne. Technique/réalisation Laurent Salerno -- Pierre Guérin.
Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Il est question des éliminatoires du Mondial 2026 : La 8è journée dans la zone Afrique ; - Chocs en perspective : poule B : sommet demain au Stade des Martyrs entre la RDC et le Sénégal ; - Équipe de France, Doué et Dembélé ont donc quitté leurs partenaires à l'issue de la rencontre contre l'Ukraine en Pologne vendredi soir. - La 8è journée dans la zone Afrique. Dans le groupe E, le Maroc décroche son ticket pour les États-Unis. Les Rouge et Vert ont passé 5 buts au Niger à Rabat, le Mena réduit 10 dès la 26e minute. La sélection de Regragui a remporté toutes ses rencontres. - Les Aigles de Carthage rejoignent les Marocains après leur succès sur le fil à Malabo face au Nzalang Nacional. - Chocs en perspective : poule B : sommet demain au Stade des Martyrs entre la RDC et le Sénégal. 2 nations au coude-à-coude, qui ont remporté leurs duels de la 7e journée, respectivement face au Soudan du Sud à Juba, et au Soudan à Diamniadio. Sadio Mané plutôt discret face aux Crocodiles du Nil, s'est-il préservé pour la rencontre face aux Léopards ? Coté congolais, on compte sur la forme de Cédric Bakambu, la jeunesse de Nathanaël Mbuku, et l'efficacité de Yoane Wissa, une des recrues phares de Newcastle au mercato. Au coude-à-coude également, Cap-Verdiens et Camerounais dans le groupe D. Un duel qui vaudra cher mardi à Praia, où les Lions Indomptables n'ont pas gagné depuis longtemps. - Burkina Faso/Égypte : les Étalons ont fait le plein de confiance face à Djibouti, et joueront à la maison ! Le stade du 4 août est de nouveau opérationnel. Les hommes de Brama Traoré peuvent garder espoir en cas d'exploit contre les Pharaons qui se rapprochent de l'Amérique. - Équipe de France, Doué et Dembélé ont donc quitté leurs partenaires à l'issue de la rencontre contre l'Ukraine en Pologne vendredi soir. La rechute de « Dembouze », l'un des éléments les plus en vue du PSG était-elle évitable ? Une nouvelle blessure qui relance les questions sur la gestion du physique du joueur. Simple coup d'arrêt ? Ou l'Ébroïcien est-il rattrapé par ses vieux démons ? Autour d'Hugo Moissonnier : Salim Baungally, Yoro Mangara et Ludovic Duchesne. Technique/réalisation Laurent Salerno -- Pierre Guérin.
C'est à la Une d'APAnews : « La deuxième réunion du Comité conjoint de suivi du traité de paix dans l'est de la RDC, signée le 27 juin dernier, s'est tenue mercredi à Washington ». Y participaient : la RDC, le Rwanda, les États-Unis, le Qatar, le Togo et l'Union africaine. Autant de participants qui ont reconnu « des lenteurs dans la mise en œuvre de certains volets de l'accord ». « Les discussions », poursuit l'Agence de Presse Africaine, « ont porté sur la violence récente dans l'est de la RDC et sur les mesures concrètes à prendre, pour assurer le respect des dispositions de l'accord ». Afrik.com, de son côté, cite le Département d'état américain, qui parle de « retards significatifs », alors que « des violences continuent d'ensanglanter l'est congolais, où les rebelles de l'AFC/M23 continuent de régner en maître dans les deux Kivu », précise le site d'information. « À ce stade », conclut Afrik.com, « l'Accord de Washington semble illustrer plus une dynamique diplomatique qu'une transformation concrète de la crise sécuritaire. Reste à savoir si la volonté politique des signataires pourra se traduire en actes tangibles dans les prochains mois, condition indispensable pour espérer une paix durable dans l'est congolais ». Matériel de fabrication russe Autre pays en proie à la violence : le Mali, où l'armée reçoit du nouveau matériel. « Le Mali se modernise » titre Bamada.net. « L'armée malienne reçoit du matériel militaire de pointe ». « Blindés, chars et camions ont été aperçus, provenant du port de Conakry. Ces matériels, de fabrication russe sont destinés à renforcer les capacités opérationnelles des FAMA (les forces armées maliennes) et à lutter efficacement contre toute menace pesant sur la paix et la stabilité du Mali », ajoute Bamada.net. Pas de chiffres sur ces livraisons d'armes, effectuées, précise l'Agence de Presse Africaine, « dans un contexte de multiplication des attaques jihadistes, notamment par engins explosifs improvisés, causant de lourdes pertes parmi les militaires et les civils ». Premier octobre Le Mali où, par ailleurs la rentrée scolaire se prépare. Rentrée fixée au premier octobre, « malgré les défis », remarque le Journal du Mali, qui s'inquiète : « Entre les pluies encore présentes, les milliers d'écoles fermées, et la suspension des subventions aux établissements catholiques, l'année scolaire s'annonce fragile ». D'autant que, rappelle le Journal du Mali, « la saison des pluies n'est pas encore terminée. Si les précipitations s'intensifient, la question d'un report (comme l'année dernière) pourrait à nouveau se poser, même si aucune décision officielle n'a encore été envisagée dans ce sens ». Pour le Journal du Mali, la situation de l'éducation reste préoccupante, « plus de 2 000 écoles sont fermées, fermetures liées à l'insécurité, aux catastrophes naturelles et aux faiblesses structurelles du système éducatif ». Gratitude Enfin, la tragédie du funiculaire de Lisbonne : un Marocain figure parmi les rescapés. Un Marocain qui a aidé une Française à s'extirper des débris du funiculaire, juste après la catastrophe. Afrik.com nous raconte la fin de la course folle du funiculaire, « la vitesse qui augmente, les freins qui ne répondent plus, le wagon qui sort de ses rails et fonce droit vers la façade d'un immeuble ». « Le Marocain », poursuit le site d'information, « légèrement blessé au bras a été projeté contre une barre métallique. Autour de lui, des corps, des sanglots, des appels à l'aide », et donc cette Française, « qui pendant quelques instants a perdu connaissance et qui est coincée sous un siège renversé, il va la dégager, aidé par un autre passager ». Le Marocain et la Française, précise Afrik.com, « ont accepté de témoigner anonymement dans un média local. Tous deux expriment une même gratitude : être en vie. »
C'est à la Une d'APAnews : « La deuxième réunion du Comité conjoint de suivi du traité de paix dans l'est de la RDC, signée le 27 juin dernier, s'est tenue mercredi à Washington ». Y participaient : la RDC, le Rwanda, les États-Unis, le Qatar, le Togo et l'Union africaine. Autant de participants qui ont reconnu « des lenteurs dans la mise en œuvre de certains volets de l'accord ». « Les discussions », poursuit l'Agence de Presse Africaine, « ont porté sur la violence récente dans l'est de la RDC et sur les mesures concrètes à prendre, pour assurer le respect des dispositions de l'accord ». Afrik.com, de son côté, cite le Département d'état américain, qui parle de « retards significatifs », alors que « des violences continuent d'ensanglanter l'est congolais, où les rebelles de l'AFC/M23 continuent de régner en maître dans les deux Kivu », précise le site d'information. « À ce stade », conclut Afrik.com, « l'Accord de Washington semble illustrer plus une dynamique diplomatique qu'une transformation concrète de la crise sécuritaire. Reste à savoir si la volonté politique des signataires pourra se traduire en actes tangibles dans les prochains mois, condition indispensable pour espérer une paix durable dans l'est congolais ». Matériel de fabrication russe Autre pays en proie à la violence : le Mali, où l'armée reçoit du nouveau matériel. « Le Mali se modernise » titre Bamada.net. « L'armée malienne reçoit du matériel militaire de pointe ». « Blindés, chars et camions ont été aperçus, provenant du port de Conakry. Ces matériels, de fabrication russe sont destinés à renforcer les capacités opérationnelles des FAMA (les forces armées maliennes) et à lutter efficacement contre toute menace pesant sur la paix et la stabilité du Mali », ajoute Bamada.net. Pas de chiffres sur ces livraisons d'armes, effectuées, précise l'Agence de Presse Africaine, « dans un contexte de multiplication des attaques jihadistes, notamment par engins explosifs improvisés, causant de lourdes pertes parmi les militaires et les civils ». Premier octobre Le Mali où, par ailleurs la rentrée scolaire se prépare. Rentrée fixée au premier octobre, « malgré les défis », remarque le Journal du Mali, qui s'inquiète : « Entre les pluies encore présentes, les milliers d'écoles fermées, et la suspension des subventions aux établissements catholiques, l'année scolaire s'annonce fragile ». D'autant que, rappelle le Journal du Mali, « la saison des pluies n'est pas encore terminée. Si les précipitations s'intensifient, la question d'un report (comme l'année dernière) pourrait à nouveau se poser, même si aucune décision officielle n'a encore été envisagée dans ce sens ». Pour le Journal du Mali, la situation de l'éducation reste préoccupante, « plus de 2 000 écoles sont fermées, fermetures liées à l'insécurité, aux catastrophes naturelles et aux faiblesses structurelles du système éducatif ». Gratitude Enfin, la tragédie du funiculaire de Lisbonne : un Marocain figure parmi les rescapés. Un Marocain qui a aidé une Française à s'extirper des débris du funiculaire, juste après la catastrophe. Afrik.com nous raconte la fin de la course folle du funiculaire, « la vitesse qui augmente, les freins qui ne répondent plus, le wagon qui sort de ses rails et fonce droit vers la façade d'un immeuble ». « Le Marocain », poursuit le site d'information, « légèrement blessé au bras a été projeté contre une barre métallique. Autour de lui, des corps, des sanglots, des appels à l'aide », et donc cette Française, « qui pendant quelques instants a perdu connaissance et qui est coincée sous un siège renversé, il va la dégager, aidé par un autre passager ». Le Marocain et la Française, précise Afrik.com, « ont accepté de témoigner anonymement dans un média local. Tous deux expriment une même gratitude : être en vie. »
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Le Tourne Film Festival de Lausanne, du 3 au 7 septembre, collabore avec le festival Marocain Film W Glissa pour la projection dʹune série de documentaires. Des explications de Balkis Guetta Co fondatrice de Film W Glissa et Salomé Crouzet programmatrice du Tourne Film Festival au micro de Michel Ndeze.
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Sofia est de retour au Maroc où elle a lancé le Boho Café, devenu une référence brunch à Rabat. Dans cette interview, elle partage son parcours, les étapes de création de son café et ses conseils pour entreprendre au Maroc.
En 2018, un mouvement de boycott spontané lancé sur les réseaux sociaux cible trois marques perçues comme symboles de la vie chère au Maroc. Parmi elles, Centrale Danone, filiale du géant français de l'agroalimentaire, subit de plein fouet la colère des consommateurs. Chiffre d'affaires en chute libre, image écornée et retrait de la Bourse… Retour sur une crise qui a marqué les esprits. L'histoire commence discrètement, presque anonymement, sur Facebook. Quelques messages appellent les Marocains à boycotter trois marques accusées de pratiquer des prix excessifs : le carburant des stations Afriquia, l'eau minérale Sidi Ali, et les produits laitiers de Centrale Danone. L'un des slogans partagés sur les réseaux résume l'état d'esprit des initiateurs : « Le boycott est plus fort que la manifestation. Ce n'est pas un acte ponctuel, c'est une résistance quotidienne ». Très vite, le mouvement prend de l'ampleur. Selon plusieurs sondages relayés à l'époque, 57 % des Marocains informés du boycott affirment avoir cessé d'acheter au moins une des trois marques concernées. En tête de cette fronde pacifique, la classe moyenne, étranglée par la cherté de la vie et de plus en plus frustrée face à l'immobilisme des autorités. À ce moment-là, le Maroc représente 45 % du chiffre d'affaires africain du groupe Danone. Un marché stratégique. Mais pour l'économiste Abdelghani Youmni, cette réaction populaire est le symptôme d'un malaise plus profond : « La classe moyenne marocaine, qui a mis seize ans à se construire, est en train de s'effriter. Elle perd pied à cause du coût de la vie, du crédit, de l'éducation, du transport, de la santé… L'économie marocaine crée de la richesse, mais en dehors des Marocains ». Ventes en chute libre, emplois supprimés, image écornée En mai 2018, après un mois de silence, le directeur général de Centrale Danone au Maroc, Didier Lamblin, prend la parole sur Atlantic Radio, une station privée marocaine. Le ton est grave : « L'impact est significatif sur nos ventes, sur nos parts de marché. Nous sommes obligés de prendre des mesures regrettables : suspendre une partie des volumes collectés chez nos 120 000 éleveurs ». Les conséquences sont immédiates : des centaines de travailleurs licenciés, des coopératives de lait déstabilisées, et une colère qui monte encore d'un cran. Début juin, des employés de l'entreprise manifestent devant le Parlement à Rabat : « Le gouvernement est responsable. Ce n'est pas aux salariés de payer les conséquences de la hausse du coût de la vie », scande un manifestant. Face à la crise, Danone tente une opération reconquête. En septembre, la marque annonce qu'elle vend désormais le litre de lait à prix coûtant, une mesure sans précédent. Mais rien n'y fait : les ventes continuent de chuter. Au total, Danone accusera une perte de 178 millions d'euros de chiffre d'affaires par rapport à l'année précédente. Quelques mois plus tard, Emmanuel Faber, PDG du groupe, revient sur cet épisode marquant : « Nous vendions notre lait au même prix que nos concurrents. Mais Centrale Danone était perçue comme proche de la famille royale et de l'élite marocaine. Cela a facilité son boycott. » Danone lancera par la suite une gamme de produits « solidaires » à bas prix, puis se fera discret. En 2020, Centrale Danone se retire de la Bourse de Casablanca. Les résultats financiers de la filiale ne sont désormais plus publics.
D'origine malienne, cet expert au savoir-faire très recherché a travaillé pour de grands noms de la mode. Il s'appelle Moussa Baldé, mais on l'appelle Baldé, tout simplement. À 67 ans, ce bijoutier malien exerce ce métier depuis 37 ans. Autodidacte, il a fait toute sa carrière dans le milieu très fermé du luxe et de la mode. Un univers où derrière des grands noms se cachent des petites mains. Dans son atelier situé à Pantin, dans le nord de Paris, il revient sur son parcours. « Je suis un forgeron de naissance, et un bijoutier ensuite. Ce métier, je l'ai appris avec mon papa », c'est avec ces mots que Baldé s'exprime, heureux de revenir sur ses débuts. De la forge à la bijouterie, il n'y a qu'un pas Dans les années 1980, le voilà parti à la conquête de la Côte d'Ivoire. Dans ce pays où il se lance dans la création de bijoux, il découvre qu'il a un don : « C'est Dieu qui me l'a donné. Je le remercie beaucoup. » Et en effet, il lui suffit d'observer un modèle pour qu'il sache le reproduire. Sa première clientèle d'expatriés – des Français, des Américains, des Libanais, des Marocains – il les fidélise et lorsqu'il part en France, son savoir-faire va lui ouvrir des portes. Il va travailler pour de grands noms : Givenchy, Balenciaga, et surtout Christian Lacroix, avec qui il va collaborer neuf ans en tant que maquettiste. Maquettiste, bijoutier et joaillier… Baldé navigue entre différents métiers Baldé sait tout faire ou presque. Ses souvenirs se bousculent : « C'est Naomi Campbell qui a porté ces bracelets, ces broches... Ah oui, c'était magnifique ». Ses yeux pétillent lorsqu'il évoque les 40 ans de la Maison Dior. « Votre don, ce sont vos mains ? », l'interroge-t-on. « Écoutez, c'est aussi la tête, parce que ça ne suffit pas d'avoir uniquement les mains. Parfois la nuit, je ne dors pas, je réfléchis. Par exemple, lorsqu'on a un projet à construire, avec des maquettes à réaliser, je me dis parfois, mais comment je vais faire ? C'est un véritable casse-tête Alors, je cherche, je cherche même en marchant et finalement quand je trouve la solution, je suis soulagé et fier de moi. » Une fierté qui l'accompagne aux défilés : « Je me dis "tiens, voilà ce que j'ai fait". Je suis le seul à le savoir, mais ça fait vraiment plaisir. » Pas de regrets Un homme de l'ombre ? « Ah, vous savez, ça reste vraiment un monde à part. Même si les gens ne savent pas, nous, on ne doit rien dévoiler. Même si on voit des choses, tout doit rester confidentiel », précise-t-il, comparant la bijouterie au secret médical, puisqu'il y a des secrets qu'on ne divulgue pas. Baldé a tout de même un seul regret : « Je ne suis jamais allé à l'école, c'est un handicap. Je sais de quoi je parle, et aujourd'hui, je n'ai pas honte de le dire. Ce savoir-faire, Dieu me l'a donné, mais quand vous n'avez pas fait d'études, et que vous devez remplir un dossier, c'est compliqué, il faut chercher quelqu'un qui t'aide et c'est gênant. Moi, le seul regret que j'ai, c'est celui-là ». Dans son atelier à Pantin où il réalise ses créations, il se prépare à transmettre son savoir-faire à la nouvelle génération. À lire aussiDiasporas africaines en France: Chantal Pichon, chercheuse et pionnière dans l'ARN messager [4/5]
Dans ce nouvel épisode de notre série d'été consacrée aux « délices du continent », nous partons pour Casablanca, à la découverte d'un sandwich populaire. Ce dernier convoque, pour des générations de Marocains, l'enfance, la plage, les vacances d'été… Vendu autour d'un euro, il est emblématique de la culture toujours très vivante de la street food à la marocaine. La suite vous est contée par Matthias Raynal. Il s'appelle le « thon o'lahrour », littéralement « le thon et le piment ». Ce sont les deux ingrédients phares de ce sandwich marocain. Mais il y en a d'autres… Sur son comptoir mobile, Imad, 36 ans, prépare des thon o'lahrour depuis treize ans : « Le plus important, c'est le pain ! Le croquant, le croustillant, c'est ça le secret ! ». Il poursuit : « Premièrement, le thon ne va jamais te rendre malade. Deuxièmement, c'est léger, c'est bien quand il fait chaud. Troisièmement, c'est le sandwich de toutes les générations, il convient à la fois aux petits et aux grands. » Voilà la recette du succès, qui ne s'est jamais démentie au fil des années. Kenzi vient de sortir du bureau. Elle prend sa pause déjeuner avec des copines : « Mmmmm, c'est très très bon, c'est mon enfance… Ce sandwich, tu le trouves à la plage, au stade, dans la rue, à côté des écoles… » Hicham, 43 ans, en est déjà à son deuxième thon o'lahrour ce midi : « On oubliera jamais ce sandwich, il fait partie de l'histoire. Le jour de l'Aïd, quand tout est fermé, il y a toujours un gars dans le quartier qui profite de ce moment pour se mettre à vendre des sandwichs, car le jour de la fête, les gosses reçoivent un peu d'argent de poche, quelques dirhams qui sont aussitôt dépensés ». À lire aussi« Cuisines d'Afrique du Nord » : recettes et récits intimes d'une identité retrouvée Parasol et sable fin, voilà le décor que préfère encore le thon o'lahrour. Imad reprend : « Il n'y a pas un Marocain qui est parti à la plage et qui n'a pas mangé ce sandwich. C'est un pan de la culture balnéaire au Maroc. » Ce monument de la street food marocaine a évolué à travers le temps : « Par exemple, il n'y avait pas de pommes de terre avant. Certains en ajoutent désormais, ils mettent aussi de la charcuterie halal, des sauces, du fromage… Son avantage, c'est qu'on n'a jamais marre d'en manger. Tous les jours, du lundi au vendredi, j'en mange deux au déjeuner. » Et si vous voulez goûter à ce fameux sandwich fait avec passion par Imad, sachez que son stand se trouve en centre-ville, sur la place Zellaqa. À lire aussiLes délices du continent en Côte d'Ivoire: l'alloco [9/10]
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Débatteurs du soir : -Vincent Roy, journaliste et essayiste -Ophélie Roque, professeur de français et journaliste journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Radio locale associative de l'ouest parisien, gérée par l'association ACVS. Présente sur la bande FM depuis 1979, elle émet sur le 96.2FM ou sur rvvs.fr.
durée : 00:58:35 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran, Johanna Bedeau - Entre 1950 et 1970, c'est près de 78 000 Marocains qui seront recrutés avec des contrats de courtes durées pour venir extraire les dernières tonnes de charbon en France. - réalisation : Marie-Laure Ciboulet
Vous vivez ou souhaitez vivre au Maroc ? Dans cette interview, on parle d'un sujet trop souvent oublié : la retraite. Avec Mustapha Lakhsime, expert en accompagnement des Français à l'étranger, on vous explique comment :
Il a quitté Paris avec sa femme et sa fille pour s'installer à Marrakech et y ouvrir "Sweat On Marrakech", une salle de sport au concept hybride unique. Dans cette interview, Arthur partage les coulisses de son installation au Maroc, les galères qu'il a traversées, sa vision du sport, de l'entrepreneuriat et de la liberté. Une conversation sincère, inspirante et sans filtre pour tous ceux qui rêvent de changement.
Ce jeudi dans Radio Foot (16h10 & 21h10 TU) : Mondial des clubs : show time aux USA ! ; - Gattuso à la tête de la Nazionale pour succéder à Spalletti ! ; Coupe du monde : la Jordanie qualifiée pour son premier Mondial ! Mondial des clubs : show time aux USA ! - City s'impose 2-0 face au Wydad … mais premiers pas décevants pour Cherki - Le Real accroché 1-1 par Al-Hilal : Xabi Alonso cherche encore la formule - Mbappé malade, incertain aussi pour les chocs à venir ? - La Juventus reçue 5/5 face à Al-Aïn ! Débat : la Coupe du monde des clubs est-elle bien lancée ? Retour sur les temps forts de la soirée : du Bureau ovale de la Maison Blanche pour les joueurs de la Juve, au penalty stoppé par Bounou face aux Merengue ! Gattuso à la tête de la Nazionale pour succéder à Spalletti ! Débat : un choix qui divise jusqu'aux plus hautes sphères de l'État… Explications en direct avec Matteo Cioffi, depuis Milan ! Coupe du monde : la Jordanie qualifiée pour son premier Mondial ! Une grande première racontée en direct par le sélectionneur Jamal Sellami, le Marocain à la tête de la sélection jordanienne Débat : l'important, c'est de participer ? Ce nouveau format à 48 nations pour la prochaine Coupe du monde condamne-t-il les petites sélections à faire de la figuration l'été prochain ? Présentation : Annie Gasnier Consultants : Nabil Djellit, Philippe Doucet, Matteo Cioffi Chef d'édition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno.
Ce jeudi dans Radio Foot (16h10 & 21h10 TU) : Mondial des clubs : show time aux USA ! ; - Gattuso à la tête de la Nazionale pour succéder à Spalletti ! ; Coupe du monde : la Jordanie qualifiée pour son premier Mondial ! Mondial des clubs : show time aux USA ! - City s'impose 2-0 face au Wydad … mais premiers pas décevants pour Cherki - Le Real accroché 1-1 par Al-Hilal : Xabi Alonso cherche encore la formule - Mbappé malade, incertain aussi pour les chocs à venir ? - La Juventus reçue 5/5 face à Al-Aïn ! Débat : la Coupe du monde des clubs est-elle bien lancée ? Retour sur les temps forts de la soirée : du Bureau ovale de la Maison Blanche pour les joueurs de la Juve, au penalty stoppé par Bounou face aux Merengue ! Gattuso à la tête de la Nazionale pour succéder à Spalletti ! Débat : un choix qui divise jusqu'aux plus hautes sphères de l'État… Explications en direct avec Matteo Cioffi, depuis Milan ! Coupe du monde : la Jordanie qualifiée pour son premier Mondial ! Une grande première racontée en direct par le sélectionneur Jamal Sellami, le Marocain à la tête de la sélection jordanienne Débat : l'important, c'est de participer ? Ce nouveau format à 48 nations pour la prochaine Coupe du monde condamne-t-il les petites sélections à faire de la figuration l'été prochain ? Présentation : Annie Gasnier Consultants : Nabil Djellit, Philippe Doucet, Matteo Cioffi Chef d'édition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno.
Vous rêvez de construire votre villa à Marrakech ? Dans cette interview, Yassine Ech-Chaib, architecte basé à Marrakech, partage son expérience, ses conseils concrets et les erreurs à éviter pour mener à bien votre projet. On parle budget, terrain, démarches, relation client, et même… psychologie de l'architecte. Que vous soyez entrepreneur, investisseur ou simplement attiré par la vie au soleil, cette vidéo vous aidera à poser les bonnes bases.
Le Journal en français facile du mercredi 4 juin 2025, 18 h 00 à Paris. ► EXERCICEComprendre un extrait du journal | Changement possible de monnaie en Bulgarie | niveau B2 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BjQA.A
Le PSG champion d'Europe… La soirée historique de samedi « porte avant tout la signature des talents africains du club parisien ». C'est ce que souligne Afrik.com ce matin.En effet, précise le site, « cette victoire revêt une dimension symbolique considérable pour le football africain. Achraf Hakimi, buteur d'entrée et capitaine exemplaire, devient le premier Marocain double vainqueur de la Ligue des champions, rejoignant ainsi le cercle très fermé des légendes continentales. À seulement 20 ans, Désiré Doué (de père ivoirien) a signé un doublé spectaculaire, délivré une passe décisive et décroché logiquement le trophée d'homme du match, confirmant son statut de prodige franco-africain. L'explosion de Senny Mayulu en fin de rencontre a parachevé ce triomphe générationnel. À 18 ans, le milieu offensif aux origines congolaises a scellé le score d'un but somptueux, confirmant la profondeur exceptionnelle du vivier afro-parisien cultivé par le club depuis plusieurs saisons. Les statistiques parlent d'elles-mêmes, s'exclame encore Afrik.com : trois des cinq buts parisiens et trois passes décisives sont directement liés au continent africain. Un signal retentissant pour les quelque 450 millions de téléspectateurs africains qui suivaient la rencontre, de Lagos à Casablanca en passant par Abidjan et Dakar ».Hakimi au sommetLe Matin à Casablanca s'enflamme… « Premier buteur du Paris Saint-Germain samedi en finale de la Ligue des champions face à l'Inter Milan, Achraf Hakimi a bouclé sa saison monstrueuse en fanfare. L'international marocain a signé son 14e titre en club et sa 2e Ligue des champions. Il devient également, à l'issue de cette finale, l'un des candidats les plus sérieux au Ballon d'Or, avec son coéquipier Ousmane Dembélé (…). Avec un palmarès digne des plus grandes légendes mondiales et le statut de meilleur latéral droit au monde, Achraf s'impose désormais comme l'un des meilleurs footballeurs de l'histoire du Maroc, si ce n'est le meilleur ! ».Et il ne faut pas oublier Bradley Barcola, souligne Aujourd'hui à Ouagadougou : « discret mais précieux, le natif de Lyon d'origine togolaise a délivré une passe décisive, prouvant une nouvelle fois que sa percussion et sa créativité pouvaient faire basculer les matchs ».32 ans plus tard…Aujourd'hui qui regarde hier… « Cette victoire parisienne résonne étrangement, comme un écho, pour ne pas dire une réplique, de celle de l'Olympique de Marseille en 1993, jusqu'ici unique club français vainqueur de la Ligue des Champions. Cette année-là déjà, à Munich, rappelle le quotidien ouagalais, ce sont les talents africains qui avaient porté l'OM sur le toit de l'Europe. Abedi Pelé, le Ghanéen, homme du match et passeur décisif. Basile Boli, défenseur central d'origine ivoirienne, auteur du but victorieux. Sans oublier Marcel Desailly, ou encore Jocelyn Angloma, qui composaient cette équipe diverse et conquérante. Trente-deux ans plus tard, c'est une autre génération, issue de la même veine, souligne Aujourd'hui, qui offre à la France un deuxième sacre européen. Une continuité historique. L'Afrique est depuis longtemps un vivier de talents bruts pour le football mondial. Mais trop souvent, son rôle dans les grands succès européens est sous-estimé, relégué à l'arrière-plan. Le sacre retentissant du PSG vient nous rappeler que derrière les grands clubs européens, se cache une Afrique qui forme, inspire et alimente les meilleures équipes européennes ».Un « rare moment de résonnance positive entre la France et l'Afrique »« Quand le PSG réconcilie la France et l'Afrique, le temps d'un match », relève pour sa part Ledjely en Guinée. « De Conakry à Rabat, de Nouakchott à Abidjan, les supporters africains du PSG ont eux aussi laissé éclater leur joie. Et ce, malgré un climat géopolitique tendu, où les relations franco-africaines sont, ces dernières années, marquées par la méfiance et les tensions postcoloniales ».Car, souligne le site guinéen, « le sport, et plus particulièrement le football, a ceci de singulier qu'il transcende les barrières idéologiques, balaie les rancœurs politiques et relie les peuples dans une émotion partagée. (…) Si l'on peut démanteler des bases militaires ou expulser des diplomates, on ne saurait gommer la passion du football ».Et Ledjely de conclure : « ce sacre du PSG n'est pas seulement une victoire sportive. Il est aussi, peut-être, un moment suspendu, un rare instant de résonance positive entre la France et l'Afrique. Un répit, certes éphémère, mais ô combien instructif dans un contexte chargé de malentendus et de désillusions mutuelles ».
Au nord de la ville de Dakhla, dans la région du Sahara occidental administrée par le Maroc, un projet titanesque est en cours de réalisation : un port en eau profonde capable d'accueillir des porte-conteneurs et des supertankers. Dans le cadre de l'« Initiative Royale Atlantique », le port, entièrement financé par le royaume, a pour objectif de proposer un nouvel accès à la mer pour les pays enclavés du Sahel et de renforcer les échanges Sud-Sud, notamment avec l'Amérique du Sud. De notre envoyé spécial de retour de Dakhla,Sur les hauteurs de ce chantier pharaonique lancé il y a trois ans, en pleine zone désertique, une femme observe aux jumelles le ballet de camions. Iouzzi Nisrine est la directrice de suivi et de supervision de la réalisation du nouveau port de Dakhla Atlantique. La côte a été terrassée sur plusieurs centaines de mètres pour le stockage, façon Tetris, de milliers de quadripodes, ces petits plots de béton à quatre bras capables de dissiper l'énergie des vagues et fortifier les digues portuaires.Dakhla Atlantique, c'est 1 500 employés, plus d'un milliard d'euros investis par l'État marocain, pour une infrastructure multifonctions. « On parle du conteneur, on parle du trafic TIR, on parle justement des hydrocarbures verts, de l'hydrogène vert, de l'industrie de la pêche, et de la réparation navale. Tout cela, ce sont des segments d'activités qui ont beaucoup de potentiels et qui existent et qu'on a identifié pour pouvoir les drainer à travers un port en eau profonde, et un grand port comme le port de Dakhla Atlantique », détaille Iouzzi Nisrine.« Une opportunité pour augmenter le commerce extérieur »Selon la vision étatique, ce port permettra le développement économique des « Provinces du Sud », vocable marocain dans un contexte de territoire disputé. Ses concepteurs le présentent comme une nouvelle option pour les États du Sahel enclavés, qui n'ont d'accès direct à la mer. « Désenclaver les pays du Sahel,c'est également une opportunité pour augmenter le commerce extérieur, et également créer des investissements et la création d'emploi, et le développement économique de façon générale », assure la directrice de suivi et de supervision de la réalisation du port.Instrument d'ancrage territorial et outil de développement de nouvelles routes commerciales maritimes, notamment avec l'Amérique du Sud, les enjeux stratégiques, géopolitiques, sont nombreux, tout autant que les défis d'ingénierie et environnementaux, dans une zone écologique sensible. Pour gagner en tirant d'eau, et accueillir les plus gros porte-conteneurs, un pont de 1,2 km de long a été construit perpendiculaire à la côte, et l'équivalent de 28 hectares de terrain en mer. Nisrine Iouzzi, casque sur la tête, a troqué sa veste noire pour un gilet jaune de chantier : « On a pensé aussi que c'était important de ne pas totalement fermer le courant littoral, et donc on a réfléchi d'abord à faire le pont pour avoir les plus hauts-fonds et également aussi pour une question environnementale faire une digue pour ne pas fermer le contact entre le trait de côte et la première profondeur. »Le projet a atteint un taux d'avancement de 45 %, et la livraison du port est attendu pour décembre 2028, avec une mise en exploitation en 2029. 35 millions de tonnes de marchandises pourraient y transiter chaque année.
Nous sommes au Maroc, dans le théâtre de l'Institut français de Casablanca devant un public chaleureux ! Nous sommes ici à l'occasion de la 9ème édition du Challenge App Afrique, un prix organisé par RFI et France 24 qui récompense chaque année des innovateurs africains qui présentent leurs applications numériques pour résoudre des problématiques qui s'inscrivent dans les Objectifs de Développement Durable des Nations unies. Cette année, le thème était « le numérique au service de l'or bleu ». Il y a eu plus de 450 candidatures en provenance de 18 pays du continent. Les trois finalistes sont avec nous et le lauréat va être désigné dans un instant. Et si nous sommes au Maroc, ce n'est pas un hasard, c'est un pays aride confronté surtout dans le sud au stress hydrique et cela va s'aggraver avec le changement climatique. Les défis sont immenses mais il y a beaucoup de solutions pour y faire face...Challenge App AfriqueAvecLaila Mandi, secrétaire générale de l'Institut international de la transition durable en Afrique, coordinatrice nationale du Pôle de Compétences Marocain en Eau et Environnement et directrice du Centre National d'Études et de Recherches sur l'Eau et l'Énergie à l'Université Cadi Ayyad de MarrakechHicham Kalisse, co-gérant de la société Concamine spécialisée dans le traitement des déchets miniers, ce qui lui a donné l'occasion de découvrir un fertilisant à partir de déchets métalliques qui permet aux agriculteurs de réduire leurs besoins d'eauSeif Kousmate, photographe dont l'exposition Waha qui signifie oasis en arabe, vient d'être inaugurée à l'IF de CasablancaMamitina Rolando Randriamanarivo de Madagascar, lauréat 2025 : son application s'appelle Inomawa, c'est une plateforme numérique qui connecte les travailleurs indépendants locaux aux habitants d'une commune pour des services liés à l'eau.
Radio Foot internationale aujourd'hui 16h10-21h10 T.U. Au sommaire : - Le 17è lauréat de l'édition du Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24 Achraf Hakimi, roi d'Afrique en Ligue 1. ; - Liga, 35è journée, encore un Clasico de feu ! - Le 17è lauréat de l'édition du Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24 Achraf Hakimi, roi d'Afrique en Ligue 1. Impliqué sur 21 buts cette saison, le vice-capitaine des Champions de France est devenu un pilier du PSG, dont il est le 1er lauréat. Il est le 4e Marocain primé, après Chamakh (2009), Belhanda (2012) et Boufal (2016). Dans l'émission : reportages, témoignages et réactions d'auditeurs autour du latéral offensif de 27 ans, dont les compatriotes attendent d'autres succès. Quels atouts lui ont permis de se démarquer cette saison ? Le natif de Getafe est-il en train de devenir une légende du foot africain moderne ? Le PSG a-t-il sublimé ou bridé son potentiel individuel ?- Liga, 35è journée, encore un Clasico de feu ! Barcelone/Real Madrid 4-3 ! 6 buts inscrits en 1ère mi-temps ! Spectacle total, un match qui rapproche les Blaugranas du titre. Les Catalans ont remporté tous leurs matches (4) face à leur adversaire cette saison. - Le triplé de Mbappé ne suffit pas. Mais avec 39 réalisations toutes compétitions confondues, le Bondynois se rapproche du titre de Pichichi (il devance Lewandowski de 2 longueurs). Le Barça réussit bien au Kyks. Une équipe de Barcelone qui encaisse des buts et en marque. Un 11 au jeu séduisant, qui a encore réussi à revenir ! Un récital de (futur) champion ? Des Merengues dont le collectif fait défaut, saison blanche ? Un nouvel entraîneur est attendu, le Mondial des clubs peut-il redonner de l'éclat à la Casa Blanca ?Autour d'Annie Gasnier : Christophe Jousset, Sophiane Amazian, Dominique Sévérac et Hervé Penot. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
Radio Foot internationale aujourd'hui 16h10-21h10 T.U. Au sommaire : - Le 17è lauréat de l'édition du Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24 Achraf Hakimi, roi d'Afrique en Ligue 1. ; - Liga, 35è journée, encore un Clasico de feu ! - Le 17è lauréat de l'édition du Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24 Achraf Hakimi, roi d'Afrique en Ligue 1. Impliqué sur 21 buts cette saison, le vice-capitaine des Champions de France est devenu un pilier du PSG, dont il est le 1er lauréat. Il est le 4e Marocain primé, après Chamakh (2009), Belhanda (2012) et Boufal (2016). Dans l'émission : reportages, témoignages et réactions d'auditeurs autour du latéral offensif de 27 ans, dont les compatriotes attendent d'autres succès. Quels atouts lui ont permis de se démarquer cette saison ? Le natif de Getafe est-il en train de devenir une légende du foot africain moderne ? Le PSG a-t-il sublimé ou bridé son potentiel individuel ?- Liga, 35è journée, encore un Clasico de feu ! Barcelone/Real Madrid 4-3 ! 6 buts inscrits en 1ère mi-temps ! Spectacle total, un match qui rapproche les Blaugranas du titre. Les Catalans ont remporté tous leurs matches (4) face à leur adversaire cette saison. - Le triplé de Mbappé ne suffit pas. Mais avec 39 réalisations toutes compétitions confondues, le Bondynois se rapproche du titre de Pichichi (il devance Lewandowski de 2 longueurs). Le Barça réussit bien au Kyks. Une équipe de Barcelone qui encaisse des buts et en marque. Un 11 au jeu séduisant, qui a encore réussi à revenir ! Un récital de (futur) champion ? Des Merengues dont le collectif fait défaut, saison blanche ? Un nouvel entraîneur est attendu, le Mondial des clubs peut-il redonner de l'éclat à la Casa Blanca ?Autour d'Annie Gasnier : Christophe Jousset, Sophiane Amazian, Dominique Sévérac et Hervé Penot. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
Une nouvelle ligne ferroviaire à grande vitesse doit relier d'ici 2029 les villes de Kénitra et Marrakech. Il s'agit d'étendre la liaison entre Tanger et Casablanca inaugurée en 2018. Avec 430 kilomètres de voies, une myriade d'ouvrages d'art et plusieurs gares à construire, le projet est évalué à près de 6 milliards d'euros. Le Maroc, seul pays d'Afrique à exploiter une ligne ferroviaire à grande vitesse à ce jour, compte aussi développer son réseau sur le continent. Développer la grande vitesse ferroviaire dans un pays du Sud, comme le Maroc, c'était un pari fou, une expérience unique dans le monde. « La grande vitesse était au départ un produit pour les pays développés, les pays à revenus très élevés, rappelle lors d'une intervention à la télévision marocaine Mohamed Smouni, le directeur général adjoint de l'ONCF, l'Office national des chemins de fer. Le Maroc a démontré qu'un pays à économie émergente peut prétendre avoir cette technologie de la grande vitesse. Les gens au départ imaginaient que seuls les riches pourraient y avoir accès. Avec la tarification qu'on a faite, on l'a démocratisée pour toutes les populations. Chacun trouve son prix. »Résider à Tanger, travailler à RabatLa LGV Tanger-Casablanca est un succès populaire. À moins de 30 euros le billet, le nombre de voyageurs est passé de 3 millions en 2019 à 5,5 millions l'année dernière. « Le Maroc capitalise sur l'expérience d'Al Boraq [le TGV Casablanca-Tanger, NDLR] qui a bouleversé radicalement la mobilité, observe Mohammed Jadri, économiste et directeur de l'Observatoire de l'action gouvernementale. On n'avait jamais pensé qu'à un moment donné, un jeune Marocain pourrait résider à Tanger et travailler à Rabat, Kénitra ou Casablanca et revenir le soir même à son domicile. Aujourd'hui, c'est le cas. »Répondre à la demande ferroviaire en Afrique de l'OuestL'extension de la LGV promet un trajet Tanger-Marrakech, 500 kilomètres, en 2 h 40 seulement. L'objectif est aussi de créer un écosystème ferroviaire industriel au Maroc. « L'avenir est en Afrique, prédit Mohammed Jadri. Le Maroc se prépare dès aujourd'hui à répondre à la demande de voies ferrées de pas mal de pays africains, surtout les pays de l'Afrique de l'Ouest. »L'ONCF et Alstom ont signé un contrat de 780 millions d'euros pour l'achat de 18 trains à grande vitesse de toute dernière génération. La multinationale française avait déjà fourni les rames de la LGV Tanger-Casablanca. « C'est un partenariat concret, commentait Laurent Saint-Martin, le ministre délégué chargé du Commerce extérieur français, en visite au Maroc le mois dernier. C'est une expertise française qui vient rencontrer une volonté de développement forte dans un pays qui, effectivement, a souhaité ensemble écrire une nouvelle page dans la relation bilatérale. »Les travaux de la LGV devraient être terminés d'ici à quatre ans pour une mise en service fin 2029, six mois avant la Coupe du Monde co-organisée par l'Espagne, le Portugal et le Maroc.À lire aussiAfrique : quel serait l'impact pour l'économie africaine d'un réseau ferroviaire à grande vitesse ?
Au sommaire de Radio foot internationale ce lundi 16h10-21h10 TU : - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! ; - Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. ; - Coup double pour le PFC. - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! Le trio sera donné par ordre alphabétique dans l'émission par Christophe Jousset, chef du Services des sports de RFI. Un prix qui récompense depuis 2009 le meilleur joueur africain évoluant en Ligue 1 chaque saison. Quel est votre favori pour lundi prochain ? Rappelons qu'il y a 3 Ivoiriens, 3 Sénégalais, 2 Algériens, 2 Marocains, 1 Guinéen et 1 Nigérian. Pouvait-on inclure à ce onze élargi d'autres noms ?- Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. Sprint final pour les places en Ligue des Champions, la course est serrée à 2 journées du terme ! Le match au sommet qui opposait Lille et Marseille n'a pas connu de vainqueur (1-1). Les Phocéens, dauphins du PSG, ont un point d'avance sur Monaco, vainqueur des Verts, 2 sur Nice qui bat Reims, et sur le LOSC, adversaire du soir. Strasbourg, 6è avec 57 points également, n'est devancé par les Aiglons et les Dogues qu'à la différence de buts. Mauvaise affaire pour l'OL, surpris à domicile par Lens.- Coup double pour le PFC. Les dames se sont adjugé la Coupe de France aux dépens du PSG, la gardienne nigériane Chiamaka Nnadozie a brillé. Les messieurs ont assuré la montée en L1. Un nul à Martigues conjugué à celui de Metz contre Rodez suffit à propulser les bleu marine et blanc dans l'élite. Une élite qu'il n'avaient plus fréquentée depuis 1979. Retour du derby parisien avec 2 enceintes séparées par une rue ! Quelles ambitions et quel effectif pour 2025-2026 ?Avec Hugo Moissonnier : Patrick Juillard, Hervé Penot et Yoro Mangara. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Au sommaire de Radio foot internationale ce lundi 16h10-21h10 TU : - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! ; - Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. ; - Coup double pour le PFC. - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! Le trio sera donné par ordre alphabétique dans l'émission par Christophe Jousset, chef du Services des sports de RFI. Un prix qui récompense depuis 2009 le meilleur joueur africain évoluant en Ligue 1 chaque saison. Quel est votre favori pour lundi prochain ? Rappelons qu'il y a 3 Ivoiriens, 3 Sénégalais, 2 Algériens, 2 Marocains, 1 Guinéen et 1 Nigérian. Pouvait-on inclure à ce onze élargi d'autres noms ?- Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. Sprint final pour les places en Ligue des Champions, la course est serrée à 2 journées du terme ! Le match au sommet qui opposait Lille et Marseille n'a pas connu de vainqueur (1-1). Les Phocéens, dauphins du PSG, ont un point d'avance sur Monaco, vainqueur des Verts, 2 sur Nice qui bat Reims, et sur le LOSC, adversaire du soir. Strasbourg, 6è avec 57 points également, n'est devancé par les Aiglons et les Dogues qu'à la différence de buts. Mauvaise affaire pour l'OL, surpris à domicile par Lens.- Coup double pour le PFC. Les dames se sont adjugé la Coupe de France aux dépens du PSG, la gardienne nigériane Chiamaka Nnadozie a brillé. Les messieurs ont assuré la montée en L1. Un nul à Martigues conjugué à celui de Metz contre Rodez suffit à propulser les bleu marine et blanc dans l'élite. Une élite qu'il n'avaient plus fréquentée depuis 1979. Retour du derby parisien avec 2 enceintes séparées par une rue ! Quelles ambitions et quel effectif pour 2025-2026 ?Avec Hugo Moissonnier : Patrick Juillard, Hervé Penot et Yoro Mangara. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Repérer les infox et les campagnes de manipulation demande une vigilance sans cesse plus élevée et l'éducation joue un rôle essentiel. En Grèce, l'éducation aux médias par la radio La radio comme outil ludique et pédagogique, c'est ce que propose en Grèce le réseau social éducatif ‘European School Radio', installé dans les locaux de l'Université internationale de Thessalonique. Repérer les infox et les campagnes de manipulation demande une vigilance sans cesse plus élevée et l'éducation joue un rôle essentiel : mi-avril 2025, le festival Radio kids Europe a permis aux enfants et adolescents grecs, avec la participation de jeunes Allemands, Français et Chypriotes de s'exercer au décryptage et à la production de l'information. Reportage à Neos Marmaras, dans le nord de la Grèce, Joël Bronner. En un mot : en Turquie, sahte içki, faux alcool en français, deux mots qui reviennent souvent dans les médias.Dans le pays, des dizaines de personnes meurent chaque mois après avoir consommé de l'alcool frelaté, devenu très nettement moins cher que l'alcool vendu dans le commerce. Certains observateurs mettent en cause les lourdes taxes imposées par le gouvernement dont les effets sur la consommation d'alcool se révèlent contre-productives. Depuis le début de l'année, on peut parler d'une hécatombe, les explications à Ankara d'Anne Andlauer. La revue de presse sonore de Franceline Beretti. Au Royaume-Uni, la diversité et l'inclusion au théâtreAider les comédiens étrangers à monter sur les planches des théâtres britanniques. C'est le but de l'association Projekt Europa. Elle aide les immigrés de première génération à s'insérer dans la vie théâtrale locale. Ils sont Malgaches, Zimbabwéens, Marocains et même Français. Projekt Europa lutte pour promouvoir des castings inclusifs dans tout le pays, y compris dans de vénérables institutions comme le théâtre du Globe à Londres. Reportage, Marie Billon.
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Repérer les infox et les campagnes de manipulation demande une vigilance sans cesse plus élevée et l'éducation joue un rôle essentiel. En Grèce, l'éducation aux médias par la radio La radio comme outil ludique et pédagogique, c'est ce que propose en Grèce le réseau social éducatif ‘European School Radio', installé dans les locaux de l'Université internationale de Thessalonique. Repérer les infox et les campagnes de manipulation demande une vigilance sans cesse plus élevée et l'éducation joue un rôle essentiel : mi-avril 2025, le festival Radio kids Europe a permis aux enfants et adolescents grecs, avec la participation de jeunes Allemands, Français et Chypriotes de s'exercer au décryptage et à la production de l'information. Reportage à Neos Marmaras, dans le nord de la Grèce, Joël Bronner. En un mot : en Turquie, sahte içki, faux alcool en français, deux mots qui reviennent souvent dans les médias.Dans le pays, des dizaines de personnes meurent chaque mois après avoir consommé de l'alcool frelaté, devenu très nettement moins cher que l'alcool vendu dans le commerce. Certains observateurs mettent en cause les lourdes taxes imposées par le gouvernement dont les effets sur la consommation d'alcool se révèlent contre-productives. Depuis le début de l'année, on peut parler d'une hécatombe, les explications à Ankara d'Anne Andlauer. La revue de presse sonore de Franceline Beretti. Au Royaume-Uni, la diversité et l'inclusion au théâtreAider les comédiens étrangers à monter sur les planches des théâtres britanniques. C'est le but de l'association Projekt Europa. Elle aide les immigrés de première génération à s'insérer dans la vie théâtrale locale. Ils sont Malgaches, Zimbabwéens, Marocains et même Français. Projekt Europa lutte pour promouvoir des castings inclusifs dans tout le pays, y compris dans de vénérables institutions comme le théâtre du Globe à Londres. Reportage, Marie Billon.
Alors que le royaume s'apprête à organiser la CAN et que les Lions de l'Atlas sont toujours auréolés de leur demi-finale en Coupe du Monde, un nouveau musée dédié au ballon rond porte le sceau des nouvelles ambitions du foot marocain. Au Maroc, un musée d'un genre particulier a ouvert ses portes début février. Il retrace l'histoire de ce qui constitue sans aucun doute la plus grande passion du pays, le football. Un projet porté par la Fédération royale marocaine, installé au rez-de-chaussée de son siège à Salé. « C'est un projet qui a commencé en 2021. Fouzi Lekjaa, président de la Fédération, a fait appel à un comité scientifique, qui se compose d'éminents journalistes de la scène nationale. Mais aussi des experts, des spécialistes de l'histoire du football marocain », détaille Zayd Ouakrim, conservateur du Musée du Football marocain.Le résultat : 2 100 mètres carrés d'exposition qui raconte plus de 100 ans de football au Maroc. Du premier match disputé dans le pays, à la fin du 19e siècle, à l'épopée qatarienne de 2022. « Le deuxième espace est intitulé terre des pionniers. C'est un hommage aux joueurs pionniers, aux premiers joueurs qui sont devenus professionnels, mais aussi aux clubs pionniers. Je pense à Larbi Benbarek, notamment », raconte le conservateur. Celui-ci a voyagé un peu partout au Maroc, pendant deux ans, pour réunir tous les objets exposés ici. « On a eu de la chance de récupérer des maillots des équipes adverses que nos joueurs ont pu échanger après chaque match », explique-t-il. Parmi les reliques du musée, le maillot de Romelu Lukaku, porté par l'attaquant belge lors de la victoire du Maroc 2 à 0, au premier tour de la coupe du Monde 2022.Avec ce musée, le Maroc met en scène son soft power. « Depuis toujours, le football au Maroc aura été une sorte de discussion avec les non-Marocains. C'est un musée qui joue un rôle important dans la diplomatie marocaine, on reçoit des personnalités importantes. Avec la Coupe d'Afrique qui débute bientôt au Maroc, en décembre, les gens s'intéressent plus au Maroc », estime Zayd Ouakrim.Dans quelques mois, le Maroc aura une nouvelle occasion de briller et d'ajouter une ligne à l'histoire du football continental, en organisant la CAN à la maison. À lire aussiCAN U17: le Maroc sacré champion d'Afrique pour la première fois après sa victoire face au Mali
Disparition du pape François, Liga 32e journée, Ligue 1 et CAN U17 au programme de Radio foot de ce lundi 21 avril. Disparition du pape FrançoisLe souverain pontife était un passionné de football. Il restait très attaché au club de San Lorenzo et avait pris l'habitude de recevoir en audience des joueurs (Maradona, Messi, Buffon) et de dédicacer des maillots. Les quatre derniers matchs de la 33e journée de Serie A ont été reportés.Liga 32e journéeLe Barça s'en sort difficilement face au Celta Vigo. Triplé de Borja Iglesias du côté des Galiciens, penalty en toute fin de match de Raphinha. Victoire de l'abnégation pour Hansi Flick, qui a perdu sur blessure Robert Lewandowski. Attaque prolifique, mais défense parfois dans le dur. Va-t-elle tenir le rythme d'une fin de saison où les Catalans sont sur tous les fronts ?Les Blaugranas gardent leur avance sur les Merengues, vainqueurs in extrémis del'Athlétic Bilbao.Ligue 1Derby houleux entre les Verts et l'OL. Saint-Étienne le remporte pour la première fois depuis près de six ans. Rencontre interrompue longtemps après qu'un projectile jeté des tribunes eut atteint un arbitre de touche. La décision polémique de François Letexier. Lucas Stassin, double buteur de l'ASSE, expulsé dans un premier temps après avoir mis un coup sur la cheville de Corentin Tolisso à la 23e, a finalement été seulement averti. Un revirement aux conséquences directes sur la rencontre. Une semaine à oublier pour l'OL.Course à la C1 : l'OM retrouve la 2e place, Nice et Lille vainqueurs, Monaco muet face à Strasbourg.CAN U17Les jeunes Marocains sacrés à Mohammedia, face au Mali. Les Ivoiriens sur la 3e marche du podium. Alynho Haïdara termine soulier d'or du tournoi devant le Burkinabè Ashraf Tapsoba. Le milieu de l'Ajax Abdellah Ouazane meilleur joueur du tournoi.Avec Sophiane Amazian : Frank Simon, Éric Rabesandratana et Hervé Penot Technique/Réalisation Laurent Salerno – Pierre GuérinÀ lire aussiLe football, la passion de cœur du pape François
Disparition du pape François, Liga 32e journée, Ligue 1 et CAN U17 au programme de Radio foot de ce lundi 21 avril. Disparition du pape FrançoisLe souverain pontife était un passionné de football. Il restait très attaché au club de San Lorenzo et avait pris l'habitude de recevoir en audience des joueurs (Maradona, Messi, Buffon) et de dédicacer des maillots. Les quatre derniers matchs de la 33e journée de Serie A ont été reportés.Liga 32e journéeLe Barça s'en sort difficilement face au Celta Vigo. Triplé de Borja Iglesias du côté des Galiciens, penalty en toute fin de match de Raphinha. Victoire de l'abnégation pour Hansi Flick, qui a perdu sur blessure Robert Lewandowski. Attaque prolifique, mais défense parfois dans le dur. Va-t-elle tenir le rythme d'une fin de saison où les Catalans sont sur tous les fronts ?Les Blaugranas gardent leur avance sur les Merengues, vainqueurs in extrémis del'Athlétic Bilbao.Ligue 1Derby houleux entre les Verts et l'OL. Saint-Étienne le remporte pour la première fois depuis près de six ans. Rencontre interrompue longtemps après qu'un projectile jeté des tribunes eut atteint un arbitre de touche. La décision polémique de François Letexier. Lucas Stassin, double buteur de l'ASSE, expulsé dans un premier temps après avoir mis un coup sur la cheville de Corentin Tolisso à la 23e, a finalement été seulement averti. Un revirement aux conséquences directes sur la rencontre. Une semaine à oublier pour l'OL.Course à la C1 : l'OM retrouve la 2e place, Nice et Lille vainqueurs, Monaco muet face à Strasbourg.CAN U17Les jeunes Marocains sacrés à Mohammedia, face au Mali. Les Ivoiriens sur la 3e marche du podium. Alynho Haïdara termine soulier d'or du tournoi devant le Burkinabè Ashraf Tapsoba. Le milieu de l'Ajax Abdellah Ouazane meilleur joueur du tournoi.Avec Sophiane Amazian : Frank Simon, Éric Rabesandratana et Hervé Penot Technique/Réalisation Laurent Salerno – Pierre GuérinÀ lire aussiLe football, la passion de cœur du pape François
durée : 00:54:05 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles : du bled au terril, l'histoire des mineurs marocains dans le Nord de la France. - invités : Mariame Tighanimine - Mariame Tighanimine : Sociologue au Lise (Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique du CNAM-CNRS) - réalisé par : Frédéric Milano
Le garde des Sceaux veut reprendre les accords qu'a obtenus la Belgique avec le Maroc pour expulser des détenus étrangers. Dans les faits, ce modèle n'a pas démontré son efficacité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un journaliste de CNews a été agressé devant le théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris, occupé depuis plusieurs mois par des migrants, alors qu'il tentait de réaliser un reportage.Elia, la restauratrice du bistrot de la Gaîté Lyrique, est en train de tout perdre car elle ne peut plus travailler à cause de l'occupation du théâtre.Un documentaire sur la situation à la Gaîté Lyrique sera diffusé sur CNews lundi soir.Yannick Alénaud, chef étoilé et fondateur de l'association Antoine Alénaud, expliquera avoir eu recours à l'IA pour sauver des vies sur la route.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau menace de démissionner s'il doit céder sur le dossier algérien concernant la reprise des ressortissants dangereux.Des policiers nationaux ont été victimes d'une attaque au couteau ce matin à Cannes, l'assaillant étant un Marocain de 21 ans sous OQTF.L'équipe de France de rugby affronte l'Écosse ce soir au Stade de France dans le cadre du Tournoi des 6 Nations.La météo prévoit encore de la neige et du verglas dans certaines régions, avec des températures froides pour la saison.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un journaliste de CNews a été agressé devant le théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris, occupé depuis plusieurs mois par des migrants, alors qu'il tentait de réaliser un reportage.Elia, la restauratrice du bistrot de la Gaîté Lyrique, est en train de tout perdre car elle ne peut plus travailler à cause de l'occupation du théâtre.Un documentaire sur la situation à la Gaîté Lyrique sera diffusé sur CNews lundi soir.Yannick Alénaud, chef étoilé et fondateur de l'association Antoine Alénaud, expliquera avoir eu recours à l'IA pour sauver des vies sur la route.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau menace de démissionner s'il doit céder sur le dossier algérien concernant la reprise des ressortissants dangereux.Des policiers nationaux ont été victimes d'une attaque au couteau ce matin à Cannes, l'assaillant étant un Marocain de 21 ans sous OQTF.L'équipe de France de rugby affronte l'Écosse ce soir au Stade de France dans le cadre du Tournoi des 6 Nations.La météo prévoit encore de la neige et du verglas dans certaines régions, avec des températures froides pour la saison.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Les Têtes d'affiches de Denise Epoté sont cette semaine Youssef El Azouzi pour AORTO MEDICAL, le traitement 2.0 de l'insuffisance cardiaque, et Mohamed-Amine Hejji, créateur de BLUEDOVE, la télésurveillance intelligente, tous deux Marocains.
durée : 00:35:57 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Le Maroc de son adolescence, des personnages inspirés de sa propre histoire familiale, une réflexion sur l'identité et la liberté... Leïla Slimani est l'invitée exceptionnelle de Nicolas Demorand et Léa Salamé qui publie "J'emporterai le feu", dernier volet de sa trilogie sur le Maroc. - invités : Leïla Slimani - Leïla Slimani : Écrivaine