Town in Peine district, Lower Saxony, Germany
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« Maurice Kamto perd devant le Conseil constitutionnel », constate le Journal du Cameroun. « La décision définitive et irrévocable tant redoutée par une bonne partie de l'opinion est tombée. Le Conseil constitutionnel a (donc) rejeté la candidature de l'opposant au terme d'une audience qui s'est déroulée avant-hier et dont le délibéré a été renvoyé à hier mardi. L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 se fera sans Maurice Kamto, ancien président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, militant du Manidem (et qui était en seconde position lors de la dernière présidentielle). Il a été déclaré non fondé dans sa requête ». « La candidature de l'opposant avait été écartée, le 26 juillet, rappelle Le Monde Afrique, par EleCam, Elections Cameroon, l'organe chargé de l'organisation des élections, en raison d'une "pluralité d'investitures" du Manidem. En effet, un ancien militant de cette formation avait également soumis une candidature. Maurice Kamto avait alors déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, le 28 juillet, pour contester sa disqualification de la liste provisoire des candidats retenus à l'élection présidentielle du 12 octobre ». Peine perdue… Place nette… Pour Le Pays à Ouagadougou, c'est clair : « le Conseil constitutionnel n'a fait qu'exprimer la volonté du prince régnant… En l'occurrence, Paul Biya qui, n'étant pas sûr de son fait, ne veut pas prendre de risques. Tirant leçon de la dernière présidentielle, il préfère faire place nette en écartant toute candidature gênante comme celle de Maurice Kamto qui, on le sait, ne compte pas pour du beurre. En fait, ce qui se passe au Cameroun s'inscrit dans l'ordre normal des choses, affirme encore Le Pays. Il n'y a rien d'étonnant. Il fallait, du reste, faire montre de naïveté pour croire que le locataire du palais d'Etoudi donnerait la moindre chance à son principal challenger qui, en 2018, lui avait taillé des croupières. Et pour ce faire, il pouvait compter sur des juges acquis à sa cause pour faire le sale boulot ». Copie conforme… « Quelle saveur aura une telle élection sans Kamto ? », s'interroge pour sa part Aujourd'hui, toujours à Ouaga. « Bien qu'il faille compter avec tous les ténors d'une opposition pugnace, mais divisée, le jeu est déjà joué avec Biya et son rouleau compresseur électoral, le RDPC ! En effet, poursuit le quotidien burkinabé, la carte électorale camerounaise montre que si l'opposition a du répondant, les leaders sont des barons de fiefs, mais sans envergure nationale. (…) C'est dire que cette décision du Conseil constitutionnel inhibe le caractère inclusif du scrutin, enlève donc sa représentativité et cela devrait se ressentir dans le taux de participation. Kamto était arrivé second à la dernière présidentielle. Il aurait préféré endosser le semblant de maillot du Poulidor camerounais plutôt que d'être absent. Cette présidentielle, conclut Aujourd'hui, risque d'être donc une copie conforme des précédentes : sans enjeu… Après Biya c'est Biya forever ! » « Votons massivement le 12 octobre ! » Et puis quelques réactions de sympathisants de l'opposition à lire sur le site Actu Cameroun : « en politique tout est possible, affirme l'un d'eux, et des cas à travers le monde (Nelson Mandela en Afrique du Sud, Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, Uhuru Kenyatta au Kenya, Ousmane Sonko au Sénégal, etc.) montrent que l'on peut être victime d'une injustice et devenir président de la République. Le peuple souverain reste maître en démocratie. Vérifions notre inscription sur les listes électorales et votons massivement le 12 octobre ». Autre réaction : « nous qui voulions le changement incarné par Maurice Kamto, nous venons de perdre une bataille, mais pas la guerre. Dès demain, Kamto, Anicet et Nitcheu, avec le candidat le plus à même de nous débarrasser du clan Biya, doivent se mettre ensemble et nous donner des consignes : l'objectif ultime est encore à portée de mains ». Enfin, cette dernière réaction : « Kamto fait peur à ce régime qui a mis des stratagèmes de type mafieux pour écarter sa candidature. On a eu le sentiment hier au Conseil constitutionnel que les juges étaient impatients de l'écarter. Mais comme le dit Maurice Kamto lui-même : "le jour finit toujours par se lever" ».
« Maurice Kamto perd devant le Conseil constitutionnel », constate le Journal du Cameroun. « La décision définitive et irrévocable tant redoutée par une bonne partie de l'opinion est tombée. Le Conseil constitutionnel a (donc) rejeté la candidature de l'opposant au terme d'une audience qui s'est déroulée avant-hier et dont le délibéré a été renvoyé à hier mardi. L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 se fera sans Maurice Kamto, ancien président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, militant du Manidem (et qui était en seconde position lors de la dernière présidentielle). Il a été déclaré non fondé dans sa requête ». « La candidature de l'opposant avait été écartée, le 26 juillet, rappelle Le Monde Afrique, par EleCam, Elections Cameroon, l'organe chargé de l'organisation des élections, en raison d'une "pluralité d'investitures" du Manidem. En effet, un ancien militant de cette formation avait également soumis une candidature. Maurice Kamto avait alors déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, le 28 juillet, pour contester sa disqualification de la liste provisoire des candidats retenus à l'élection présidentielle du 12 octobre ». Peine perdue… Place nette… Pour Le Pays à Ouagadougou, c'est clair : « le Conseil constitutionnel n'a fait qu'exprimer la volonté du prince régnant… En l'occurrence, Paul Biya qui, n'étant pas sûr de son fait, ne veut pas prendre de risques. Tirant leçon de la dernière présidentielle, il préfère faire place nette en écartant toute candidature gênante comme celle de Maurice Kamto qui, on le sait, ne compte pas pour du beurre. En fait, ce qui se passe au Cameroun s'inscrit dans l'ordre normal des choses, affirme encore Le Pays. Il n'y a rien d'étonnant. Il fallait, du reste, faire montre de naïveté pour croire que le locataire du palais d'Etoudi donnerait la moindre chance à son principal challenger qui, en 2018, lui avait taillé des croupières. Et pour ce faire, il pouvait compter sur des juges acquis à sa cause pour faire le sale boulot ». Copie conforme… « Quelle saveur aura une telle élection sans Kamto ? », s'interroge pour sa part Aujourd'hui, toujours à Ouaga. « Bien qu'il faille compter avec tous les ténors d'une opposition pugnace, mais divisée, le jeu est déjà joué avec Biya et son rouleau compresseur électoral, le RDPC ! En effet, poursuit le quotidien burkinabé, la carte électorale camerounaise montre que si l'opposition a du répondant, les leaders sont des barons de fiefs, mais sans envergure nationale. (…) C'est dire que cette décision du Conseil constitutionnel inhibe le caractère inclusif du scrutin, enlève donc sa représentativité et cela devrait se ressentir dans le taux de participation. Kamto était arrivé second à la dernière présidentielle. Il aurait préféré endosser le semblant de maillot du Poulidor camerounais plutôt que d'être absent. Cette présidentielle, conclut Aujourd'hui, risque d'être donc une copie conforme des précédentes : sans enjeu… Après Biya c'est Biya forever ! » « Votons massivement le 12 octobre ! » Et puis quelques réactions de sympathisants de l'opposition à lire sur le site Actu Cameroun : « en politique tout est possible, affirme l'un d'eux, et des cas à travers le monde (Nelson Mandela en Afrique du Sud, Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, Uhuru Kenyatta au Kenya, Ousmane Sonko au Sénégal, etc.) montrent que l'on peut être victime d'une injustice et devenir président de la République. Le peuple souverain reste maître en démocratie. Vérifions notre inscription sur les listes électorales et votons massivement le 12 octobre ». Autre réaction : « nous qui voulions le changement incarné par Maurice Kamto, nous venons de perdre une bataille, mais pas la guerre. Dès demain, Kamto, Anicet et Nitcheu, avec le candidat le plus à même de nous débarrasser du clan Biya, doivent se mettre ensemble et nous donner des consignes : l'objectif ultime est encore à portée de mains ». Enfin, cette dernière réaction : « Kamto fait peur à ce régime qui a mis des stratagèmes de type mafieux pour écarter sa candidature. On a eu le sentiment hier au Conseil constitutionnel que les juges étaient impatients de l'écarter. Mais comme le dit Maurice Kamto lui-même : "le jour finit toujours par se lever" ».
Auditeurs : - À 60 ans, Marie peine à retrouver un emploi - Alain reste marqué par une enfance difficile - Annick vit avec des problèmes de santé Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Sana Blanger. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 50 ans, Camille peine à accepter la ménopause. Elle ressent des symptômes qui affectent sa vie professionnelle et familiale. Frustrée par cette période qui la renvoie à la vieillesse, elle craint que son mari la trouve moins désirable. Isabelle a réagi au témoignage de Camille pour la rassurer concernant la sexualité d'un couple pendant la ménopause. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée : - Le mari de Nadia vient d'entrer en Ehpad. Une séparation douloureuse qu'elle peine à accepter. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Maroc a infléchi sa politique d'importation et d'exportation pour favoriser la consommation de produits locaux. Une réforme déjà engagée en 2019 et renforcée après la crise du Covid. Mais pour l'heure, la dépendance vis-à-vis de l'extérieur demeure en produits manufacturés, y compris pour une partie des matières premières agricoles. Le Maroc a souhaité freiner les importations pour réduire son déficit commercial en mettant en place, comme d'autres pays, des conditions sur les importations et des droits de douane protectionnistes. Ce qu'il fait traditionnellement, par exemple, sur les céréales, en fermant son marché à l'importation pour protéger l'offre locale. Cependant, les épisodes de sécheresses ont fait chuter de 40 % la production de blé tendre, de blé dur et d'orge. Et le pays s'est retrouvé contraint d'importer massivement, et même de subventionner les importations de blé tendre. Pendant de cette stratégie, le contrôle de l'exportation comme dans la filière olive. Utilisées pour la cuisine ou pour embellir la peau et les cheveux, l'huile d'olive et les olives de tables sont très prisées localement, mais également à l'étranger. Le Maroc est classé dans le top 10 des producteurs d'huile d'olive. Cependant, il est nécessaire pour Rabat de maintenir sa disponibilité et à un prix correct sur son marché. Il y a deux ans par exemple, les autorités, anticipant une mauvaise récolte, ont décidé de limiter les exportations en les soumettant à des licences. Une mesure renouvelée l'année dernière à la demande de l'interprofession. L'objectif, explique son président : servir le marché national en priorité et réguler les prix. Avec plus ou moins de réussite, convient-il. Des restrictions qui devraient être levée cette année, les prévisions de récolte sont au vert. Dans le même esprit, en février, les ventes de tomates, oignons et pommes de terre vers l'Afrique de l'Ouest ont été temporairement stoppées pour contrer la flambée des prix. Mais ce qui démarque le plus le Royaume chérifien dans ce domaine, c'est la création en 2020 d'une banque dédiée aux projets de substitution aux importations. Une « war room » a même été mise en place pour accompagner les porteurs de projets. Plus de 1 900 projets industriels ont été identifiés dans le cadre de ce programme, dont près de 500 dans l'alimentaire qui peuvent influencer les matières premières locales. Par exemple, le Maroc est l'un des leaders mondiaux de l'agrume. Des records de production et d'exportation ont été atteints lors de la dernière saison. Pourtant, pour sa consommation locale, le Maroc importe massivement des concentrés de l'étranger. Les raisons : une production locale peu adaptée pour les jus, et un coût à l'importation moins élevé que la production locale. À lire aussiMaroc: la pluie, don du ciel pour l'agriculture et le pouvoir d'achat
durée : 00:40:03 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Prisons saturées, cellules surpeuplées, matelas à même le sol : le système pénitentiaire est à bout de souffle. Face à la surpopulation carcérale, une question ressurgit avec force : à quoi sert vraiment la peine ? La prison remplit-elle encore sa mission aujourd'hui ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Coach Lee & Coach Sim reçoivent Francis Allard, IFBB pro, entraîneur fondateur de Allard Training System et ancien policier.Dans cet épisode, on discute de:- Comment il a géré ses preps à travers des shifts en étant policier- La différence entre une obsession saine et malsaine- L'obsession avec l'équilibre- Comment se préparer pour une première compétition- La différence entre une première compé et les suivantes- Bien plus!Bonne écoute!Pour nous suivre:Francis: @francis_allard_coach & @allard_training_systemCoach Lee: @coach.lee__ Coach Sim: @coachsim.lat Utilisez le code "WUACV10" pour économiser 10% sur votre commande NIH sur le site https://nihsupp.com/ Utilisez le code "WUACV10" pour économiser 10% sur votre commande MACHINE sur le site https://project-machine.com/
Auditeurs : - Baptiste a récemment ouvert une librairie solidaire, un lieu engagé mêlant culture et entraide. - Le mari de Nadia vient d'entrer en Ehpad. Une séparation douloureuse qu'elle peine à accepter. - Emmanuel confie son trouble, il est attiré par une femme qui se définit comme homosexuelle. - Emmanuelle revient sur le deuil de son animal de compagnie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Processus de Kimberley a levé son dernier embargo sur le diamant en Centrafrique en novembre 2024 (après une levée partielle en 2016). Une victoire politique pour les autorités de Bangui qui dénonçaient une restriction injuste sur des ressources importantes pour le pays. Si la levée de l'embargo devrait permettre cette année de dépasser les 112 000 carats produits l'an passé, affirment les autorités. Cependant, un récent rapport de l'International Peace Information Service (IPIS) souligne que la levée des restrictions ne signifie pas nécessairement une reprise massive du secteur. Difficile dans le secteur de trouver des interlocuteurs qui acceptent de parler au micro. Ce revendeur de diamants a accepté de témoigner de manière anonyme. Il explique comment l'embargo a affecté ses activités. « Nous nous étions tout réorganisés dans le travail de l'or. La levée de l'embargo a permis la reprise de nos activités de diamant dans toutes les zones, sauf que le prix actuel du marché et le manque de financement direct auprès des artisans par les bureaux d'achat de diamants démotive les artisans. Il faut aussi reconnaître que la présence des troupes de Wagner donne peur aux financiers de nous accompagner. Aujourd'hui, il est nécessaire de relancer le secteur par l'entremise des bureaux d'achat qui doivent accompagner les collecteurs et les artisans miniers », partage-t-il avec nous. Avec l'embargo, les artisans miniers ont été contraints de travailler avec les groupes armés ou les réseaux illicites, soit de se tourner vers d'autres activités comme la production de l'or. Faute de mesures incitatives et des prix sur le marché au plus bas, le diamant aujourd'hui peine à retrouver de son brillant. « On a vu que les acteurs formels dans le commerce de diamants ont eu beaucoup de difficultés à entrer en compétition avec ces réseaux illicites qui ont beaucoup d'avantages comparés à eux. Ils ne doivent pas payer de taxes, ils ont aussi des connexions, des réseaux logistiques qui ont été très bien établis », explique Hans Merket chercheur à l'IPIS et auteur de ce rapport. « Et donc on voit encore aujourd'hui que même avec la levée de l'embargo, cela reste encore très compliqué et difficile pour les acteurs licites dans le commerce de rattraper et de trouver des opportunités sur le marché », affirme-t-il encore. À lire aussiCentrafrique: la levée totale de l'embargo sur les diamants décidée par le Processus de Kimberley « L'État travaille pour pouvoir soutenir ce secteur » Les autorités se disent conscientes de cette problématique et cherchent à relancer le secteur. « Pour ramener les gens dans le diamant, c'est un peu plus difficile. Nous avons prévu d'ici le mois d'août, si tout se passe bien, d'organiser une semaine de l'artisanat minier. Nous comptons, au niveau de l'État, mobiliser des ressources, mais aussi intéresser le secteur privé. Non seulement nous travaillons à l'industrialisation du secteur, mais vous savez que l'artisanat minier fait vivre 500 à 800 000 personnes. Et donc l'État travaille pour pouvoir soutenir ce secteur-là. Donc, cette activité permettra à l'État de mettre quelques moyens matériels, quelques équipements à la disposition de ces artisans miniers-là, ce qui permettrait, à n'en point douter, de relancer la production », assure le ministre centrafricain des Mines, Rufin Benam Beltoungou. Les autorités disent également étudier l'attribution de permis d'exploitation semi-industriels. Mais l'IPIS souligne des opérations de contrebande « profondément enracinées, soutenues par la collusion des élites de l'État ». Il faudra donc une bonne dose de volonté politique, note l'institut de recherche, pour que les carats du diamant bénéficient de nouveau à l'économie du pays. À lire aussiCentrafrique: Bangui présente l'un des plus gros diamants jamais découverts dans le pays
VW-Konzern hat Verbrenner-Werk in China geschlossen Tante-Emma-Laden 2.0 in Braunschweig erfüllt Kundenwünsche Fahrtraining begeistert 84jährige Autofahrerin in Peine
Au menu de la troisième heure des GG du lundi 7 juillet 2025 : À peine ouverte, la Seine déjà interdite à la baignade... ; avec Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat.
Les deux Français sont détenus en Iran depuis plus de trois ans. Désormais accusés par la justice d'être des espions du Mossad, l'enseignante alsacienne Cécile Kohler et son compagnon Jacques Paris risquent la peine de mort. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on parle de l'événement clé du jour : le NFP. Un chiffre qui change tout dans les anticipations de baisse de taux de la Fed. Sur les cryptos ? Ça veut… mais ça n'y arrive pas. Et la frustration monte.Mais justement : voir la réalité en face, c'est la base pour progresser.
durée : 00:03:23 - Reportage dans une école de Toulouse qui reste ouverte malgré la canicule - Les températures ne cessent de grimper en Haute-Garonne, alors que le département est en vigilance orange canicule. Dans le centre-ville de Toulouse, l'école Fourtanier incite les parents à garder leurs enfants à la maison. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En déclarant qu'Israël faisait « le sale boulot pour nous tous », le chancelier allemand Merz a choqué, et jeté une ombre ambigüe sur la position de l'Europe dans la guerre. Là où l'Europe devrait défendre le droit, il a semblé s'aligner sur Israël et les États-Unis qui ne jurent que par la force.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En déclarant qu'Israël faisait « le sale boulot pour nous tous », le chancelier allemand Merz a choqué, et jeté une ombre ambigüe sur la position de l'Europe dans la guerre. Là où l'Europe devrait défendre le droit, il a semblé s'aligner sur Israël et les États-Unis qui ne jurent que par la force.
D'un commun accord, Marie a récemment divorcé après 45 ans de mariage. Cependant, elle éprouve une colère face à l'attitude de ses proches, qui continuent de fréquenter son ex-mari, tandis qu'elle se sent rejetée par la famille de ce dernier. Cette saison, Joseph Agostini accueille les auditeurs le dimanche soir de 23h à 1h sur RTL au 09 69 39 10 11.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des surveillants pénitentiaires pris pour cible, des centres de détention surchargés... Les prisons françaises traversent une crise sans précédent. Si les problématiques sont anciennes, l'ampleur du malaise est inédite. Dans ces trois épisodes, nous décortiquons le système de détention français et ses échecs. Comment en est-on arrivé là ? Les multiples annonces politiques récentes peuvent-elles apporter des solutions durables ? Dans ce dernier épisode, Céline Delbecque, journaliste au service Société de L'Express, analyse l'échec de la réinsertion en France. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture : Solène Alifat Montage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : CNews, Le Parisien, Elysée, BFMTV Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Des surveillants pénitentiaires pris pour cible, des centres de détention surchargés… Les prisons françaises traversent une crise sans précédent. Si les problématiques sont anciennes, l'ampleur du malaise est inédite. Dans ces trois épisodes, nous décortiquons le système de détention français et ses échecs. Comment en est-on arrivé là ? Les multiples annonces politiques récentes peuvent-elles apporter des solutions durables ? Dans ce deuxième épisode, Céline Delbecque, journaliste au service Société de L'Express, nous raconte le poids croissant du narcotrafic dans les prisons françaisesRetrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture : Solène Alifat Montage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : TF1, BFMTV, France Info, INA, RTLMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Des surveillants pénitentiaires pris pour cible, des centres de détention surchargés… Les prisons françaises traversent une crise sans précédent. Si les problématiques sont anciennes, l'ampleur du malaise est inédite. Dans ces trois épisodes, nous décortiquons le système de détention français et ses échecs. Comment en est-on arrivé là ? Les multiples annonces politiques récentes peuvent-elles apporter des solutions durables ? Dans ce premier épisode, Céline Delbecque, journaliste au service Société de L'Express, décrypte l'éternel fléau de la surpopulation carcérale en France. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture : Solène Alifat Montage et réalisation : Jules KrotCrédits : INA, France Info, France Inter, Euronews, Europe 1, BFMTV, CNews, Le Parisien Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du lancement de la nouvelle chaîne de télévision sur la TNT.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:00 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Dans ce pays manufacturier où le secteur textile emploie plus de 400 000 personnes, la production locale alimentait la plupart de la consommation textile des Thaïlandais et Thaïlandaises. Mais la concurrence des marques chinoises se fait de plus en plus ressentir.
C'est un territoire aussi grand que la République démocratique du Congo, mais peuplé de seulement 57 000 habitants. Convoité par le président américain Donald Trump pour ses minerais, le Groenland souffre d'un manque de main d'œuvre et fait appel à des travailleurs immigrés De notre envoyée spéciale de retour de Nuuk,Dans les hôtels, les cafés, les restaurants de Nuuk, de nombreux travailleurs viennent de Thaïlande ou des Philippines. Mais pour discuter avec eux, il faut aller sur les hauteurs de la ville, sur une colline enneigée. Dans l'église catholique du Christ-Roi, une des rares églises catholiques de la ville, la communauté philippine se retrouve le dimanche en fin d'après-midi. La messe a lieu en anglais avec quelques chants philippins. « Il y a beaucoup de Philippins là où je travaille. L'entreprise aime bien salarier des gens de notre communauté, car nous ne ratons pas un jour de travail. On répond toujours présent et on travaille dur », témoigne cette jeune femme, venue directement du travail. Elle est caissière dans un supermarché du centre-ville et porte encore son uniforme. Elle met de côté systématiquement une partie de son salaire pour l'envoyer à ses parents qui s'occupent de sa fille de quatorze ans restée aux Philippines. Elle ne cache pas les difficultés que peuvent rencontrer les migrants au Groenland : « Sans connaître déjà quelqu'un ici, c'est difficile de trouver un emploi au début et un employeur qui puisse aider à obtenir un permis de travail. »Des Philippins et des Thaïlandais ont commencé à s'installer au Groenland il y a plus d'une dizaine d'années déjà. Ils représentent 3 à 4% de la population. Le patronat aimerait avoir plus d'autonomie pour faire venir des travailleurs étrangers. « Nous n'avons pas de chômage ici. Nous avons besoin d'étrangers », explique ainsi Christian Keldsen, directeur de l'Association des entreprises du Groenland, qui estime qu'il y a à peu près mille postes à pourvoir sur cette île qui compte moins de 60 000 habitants. Parmi les raisons, les difficultés d'accès des Groenlandais à l'enseignement supérieur, mais pas seulement : « 50% de jeunes qui vont au Danemark pour étudier à l'université ne reviennent pas. »Le Groenland manque de travailleurs dans les services à la personne, le commerce. À cause de cette fuite des cerveaux, il manque aussi d'infirmiers et d'infirmières, de médecins, de comptables ou d'avocats pour les étrangers qui veulent pourvoir ces postes-là. Obtenir un permis de travail reste toutefois fastidieux. Une antenne locale de l'Agence danoise de l'immigration va ouvrir ses portes à Nuuk en octobre, ce qui devrait faciliter les démarches des travailleurs étrangers et des entreprises.À lire aussiLa pêche, quel avenir pour la mer nourricière du Groenland?
Voilà, c'est fait. Toute cette histoire de tarifs est en train de passer à l'as et nous sommes occupés à nous construire une conviction comme quoi tout va bien se passer. Que dis-je ? TOUT VA TRÈS BIEN SE PASSER. Pour l'instant les tensions entre la Chine et les USA sont tendues comme un string, … Continued
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Même quand il n'a plus de réseau, votre iPhone peut en retrouver ! Depuis quelques années, les iPhone récents bénéficient d'une connexion satellitaire qui peut vous tirer d'affaire dans une zone blanche. C'est une super fonction, sauf qu'Apple ne saurait plus trop comment la faire évoluer. Quelle est la bonne trajectoire à suivre pour les ambitions satellitaires d'Apple ? On en discute dans cette émission.Au programme également, WhatsApp dispose enfin d'une application pour iPad, Donald Trump tourne le dos à Tim Cook et Siri retarde un tout nouveau produit.___Vous aimez ce podcast ? Mettez-lui ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ ! Soutenez votre site préféré et bénéficiez d'une version sans pub ! https://plus.acast.com/s/sortie-de-veille-un-podcast-de-macgeneration. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - L'ex-chirurgien pédocriminel Joël Le Scouarnec a été condamné à la peine maximale de 20 ans de prison, dont deux tiers de période de sûreté, pour viols et agressions sexuelles sur près de 300 victimes, la plupart des patients mineurs au moment des faits.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - L'ex-chirurgien pédocriminel Joël Le Scouarnec a été condamné à la peine maximale de 20 ans de prison, dont deux tiers de période de sûreté, pour viols et agressions sexuelles sur près de 300 victimes, la plupart des patients mineurs au moment des faits.
Benjamin Biolay était l'invité du Double Expresso RTL2 ce vendredi 23 mai. Le chanteur est venu présenter en avant-première son nouveau single "Juste avant de tomber", dévoilé la veille. Ce titre marque le premier extrait de son double album "Disque Bleu", attendu pour octobre 2025. Il a interprété ce morceau en direct des studios de la matinale de RTL2, ainsi que son maintenant classique "Comment est ta peine". Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du sondage qui fait bondir Bruno Retailleau à 17%. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si se fijan en la cabeza de Putin, en su peinado de poco pelo, verán que es la típica cabeza del hombre que lleva un peine en la cartera
Si se fijan en la cabeza de Putin, en su peinado de poco pelo, verán que es la típica cabeza del hombre que lleva un peine en la cartera
Ce vendredi 16 mai, l'attractivité économique des USA par rapport à celle de l'Europe a été abordée par Xavier Jaravel, professeur à la London School of Economics, Jean-Pierre Petit, président des Cahiers Verts de l'économie, et Christian Saint-Étienne, professeur au CNAM et membre du Cercle des Économistes, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
James a vécu une séparation douloureuse qui affecte sa relation actuelle. Il ressent des regrets pour des paroles prononcées dans le passé. Depuis, il envisage de faire une thérapie pour améliorer sa communication émotionnelle. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Joachim Peiper était l'un des plus jeunes colonels SS décoré par Adolph Hitler en personne. Il était aussi un criminel de guerre, jugé et condamné à mort en 1946. Peine capitale commuée en prison. On va alors perdre la trace de l'officier nazi qui va resurgir trente ans plus tard, au fin fond d'un village de la Haute-Saône. Assassiné en pleine nuit à la faveur des feux d'artifice du 14 juillet 1976. Pour les enquêteurs va alors commencer l'insondable mystère Peiper.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conférence : "L'Utopie de Thomas More : les coulisses de la fabrique d'un livre". Peine de mort, exode rural, propriété privée, éducation citoyenne, dialogue interreligieux …dans son ouvrage « l'Utopie », Thomas More aborde tous les thèmes qui fondent le « vivre ensemble ». Le livre paraît à Louvain, en 1516, il s'agit de l'un des textes majeurs de la pensée moderne. Quelles raisons expliquent le choix de ce lieu d'impression ? Quels réseaux le diplomate anglais a-t-il activé pour faire paraître son livre ? Quel fut le succès de l'œuvre de cet homme qui paya de sa vie son intransigeance à l'égard d'Henri VIII ? Dans le cadre du cycle de conférences "Un livre, une histoire". Avec les Lumières de Renaud Adam, chargé de mission à l'Université de Liège. Conférence : "L'Utopie de Thomas More : les coulisses de la fabrique d'un livre". Dans le cadre du cycle de conférences "Un livre, une histoire". Quand? Jeudi 15 mai 2025, de 17h30 à 19h Où? Presses Universitaires de Liège (Galerie Opéra), Place de la République française, 35 à 4000 Liège Entrée gratuite, mais inscription obligatoire : geoffrey.grandjean@uliege.be Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:39:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Claude Gueux, court roman de Victor Hugo paru en 1834, est un véritable réquisitoire contre la peine de mort. France Culture en propose une adaptation radiophonique en 1967, dans l'émission "Anthologie sonore du conte", les rôles principaux sont interprétés par Jean Topart et Bernard Noël. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Topart Comédien français (1922-2012)
Depuis l'attentat qui a fait 26 morts dans le Cachemire Indien le 22 avril, la tension entre l'Inde et le Pakistan est à son comble. Après l'escalade diplomatique, les deux pays sont au bord de l'affrontement militaire. Les Cachemiriens, eux, font les frais de cet affrontement. Des maisons sont rasées et des familles déchirées au nom de la lutte contre le terrorisme et le Pakistan. Un silence lourd règne à Pulwama, au sud du Cachemire. Le 26 avril, les forces de sécurité indiennes sont intervenues dans ce village, où un habitant est soupçonné d'être lié à l'attentat. De nombreuses maisons y ont été dynamitées et depuis leurs occupants vivent dans les ruines. « L'armée est arrivée ici à sept heures du matin. Ils nous ont demandé d'évacuer la maison et nous ont conduits à la mosquée. Ils nous ont laissés partir à midi et lorsque nous sommes revenus les maisons étaient en ruine. S'il y avait un militant impliqué, pourquoi s'en prendre à tous les voisins ? », se demande Abdul Rashid. L'homme de 68 ans a tout perdu lors de cette opération de représailles indiscriminée, une méthode courante en Inde, bien qu'en dehors de tout cadre légal. « Ils ont fait exploser notre maison. C'était énorme, même la mosquée tremblait. On a eu très peur, certains habitants se sont évanouis. Il a fallu de l'eau pour les ranimer. Ils se sont tous mis à pleurer », se souvient-il.Depuis que l'Inde a désigné le Pakistan comme responsable de la tuerie du 22 avril, beaucoup d'Indiens jugent que la priorité est de punir leur voisin. Les Cachemiriens, eux, voient revenir dans l'indifférence leur pire cauchemar : être pris entre les feux des exactions des groupes militants et de la répression de l'armée indienne. « Le mariage de mon frère était prévu dans dix jours, mais ils ont tout détruit. On nous a juste ordonné de quitter la maison. S'ils nous avaient prévenus, on aurait peut-être pu sauver certaines choses. Ils transforment cet endroit en Palestine. C'est une injustice totale », se désole Haseena, mère de famille de 42 ans.Dans l'escalade des sanctions, les deux pays ont décidé du renvoi mutuel de leurs ressortissants. Bien que rares, les familles mixtes Indo-Pakistanais se retrouvent aujourd'hui écartelées. « J'étais sorti pour mon travail et j'ai reçu un appel de ma famille. Ils avaient reçu une notification de la police demandant à ma femme et mes deux filles de quitter le pays », raconte Bachir. Il est Pakistanais et vit dans le Cachemire Indien. Avec sa femme, ils ont trois enfants dont deux sont nés au Pakistan et l'un en Inde. Bachir et sa famille refusent d'être séparés et sont depuis terrés chez eux dans l'angoisse. « Cette séparation est insupportable. Qu'ils nous tuent, ce serait mieux, ce serait fini. Comment peuvent-ils séparer un fils de 10 ans de sa mère ? Que va devenir mon fils tout seul en Inde ? », s'inquiète-t-il. L'embrasement renforce la suspicion contre les musulmans indiens, soupçonnés de sympathie avec la cause indépendantiste du Cachemire, le seul État à majorité musulmane du pays. De nombreux cas de harcèlement par la police ou des groupes extrémistes hindous sont signalés. À lire aussi«Les habitants stockent des vivres»: les Cachemiriens se préparent à un potentiel conflit entre l'Inde et le Pakistan À écouter aussiDécryptage: Inde et Pakistan, un regain de tensions particulièrement inquiétant
Aujourd'hui dans «Punchline», Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'attaque au couteau menée par un élève de seconde au sein même de son établissement scolaire tuant une lycéenne de 17 ans et blessant trois autres lycéens.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans «Punchline», Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'attaque au couteau menée par un élève de seconde au sein même de son établissement scolaire tuant une lycéenne de 17 ans et blessant trois autres lycéens.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
I've already done a Lententide episode devoted to contraltos singing the music of Bach, but it seemed to me that in the upheaval of today's vengeful and war-hungry world, we could use another contemplative episode to provide us with meditative (and even tuneful!) music to calm our spirits. The tunefulness comes especially from recordings of favorite religious music by Gounod, Franck, and other 19th-century French composers sung by Camille Maurane, Marcel Journet, Richard Verreau, and Françoise Pollet. Also included are a live excerpt from Parsifal with Jon Vickers and Hans Knappertsbusch; the miraculous yet voiceless Hugues Cuénod performing an excerpt from the first of Couperin's Leçons de Ténèbres; the unsung German-British soprano Ilse Wolf in a live performance of the Bach Johannes-Passion conducted by Pablo Casals; Gundula Janowitz in a searing but brief aria from Mendelssohn's Paulus; excerpts from settings of the Stabat Maters of Haydn and Dvorák, sung by Alfreda Hodgson, Sena Jurinac, and Heinz Hoppe; the original version of Hendrik Andriessen's exquisite Miroir de Peine cycle for voice and organ featuring our beloved Elly Ameling; and Jennie Tourel in an excerpt from her ultra-rare recording of Hindemith's Das Marienleben preceded by Lotte Lehmanns's recitation of the same Rilke poem. The episode begins and ends with realizations by Benjamin Britten and Michael Tippett of Baroque masters Henry Purcell and Pelham Humfrey sung, respectively, by Peter Pears and John Shirley-Quirk. Countermelody is a podcast devoted to the glory and the power of the human voice raised in song. Singer and vocal aficionado Daniel Gundlach explores great singers of the past and present focusing in particular on those who are less well-remembered today than they should be. Daniel's lifetime in music as a professional countertenor, pianist, vocal coach, voice teacher, and journalist yields an exciting array of anecdotes, impressions, and “inside stories.” At Countermelody's core is the celebration of great singers of all stripes, their instruments, and the connection they make to the words they sing. By clicking on the following link (https://linktr.ee/CountermelodyPodcast) you can find the dedicated Countermelody website which contains additional content including artist photos and episode setlists. The link will also take you to Countermelody's Patreon page, where you can pledge your monthly or yearly support at whatever level you can afford.