Podcasts about Kigali

Capital of Rwanda

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Kigali

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Histoires de sport
(1/5) Cyclisme et le projet Africa 2025 : "Les emmener aux mondiaux de Kigali", Jacques Landry, à l'origine du projet

Histoires de sport

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 1:59


durée : 00:01:59 - Esprit sport - On parle cyclisme toute cette semaine dans Esprit Sport en s'intéressant au projet Africa 2025 qui doit mener treize cyclistes africains au départ des premiers mondiaux sur route de l'histoire en Afrique, prévus en septembre prochain. Premier épisode avec Jacques Landry, à l'origine du projet.

Le club RFI
Le Club RFI Kigali (Rwanda) et la bibliothèque Le Phare lancent un défi oratoire pour les jeunes

Le club RFI

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 19:30


Le Club RFI Kigali (Rwanda), en partenariat avec la bibliothèque Le Phare, a organisé la première édition du Mindful Minds Debate Challenge 2025. Cette compétition de débats a réuni plus de 18 écoles de la région. Les finalistes ont échangé autour de thématiques d'actualité telles que le recyclage comme solution environnementale ou encore la responsabilité dans la prévention des grossesses précoces.  Invitée/cousine : Sandra Maria Bossio, responsable de la bibliothèque, Le Phare. Musique : Ariel Wayz, Wose Gusa.    

Invité Afrique
Burundi: malgré un quasi plébiscite aux législatives, «le pouvoir est de plus en plus contesté»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 6:44


Au Burundi, les résultats des législatives du 5 juin sont sans surprise. Le parti au pouvoir CNDD-FDD est crédité de 96% des voix et rafle la totalité des 100 sièges de la nouvelle Assemblée nationale. Le président Évariste Ndayishimiye consolide donc son pouvoir au moment où la population s'inquiète de plus en plus de voir partir des soldats burundais au Congo, au risque de leur vie. Le Burundi risque-t-il d'être le grand oublié d'un éventuel accord entre le Rwanda et la RDC ? L'avocat congolais Reagan Miviri est chercheur sur les conflits à l'institut Ebuteli. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le pouvoir burundais voulait faire de ces législatives un plébiscite en sa faveur. Officiellement, c'est réussi. Mais qu'en est-il en réalité ? Reagan Miviri : En réalité, c'est un pouvoir qui est de plus en plus contesté, qui est confronté à une situation économique désastreuse et à une méfiance venant d'une population qui ne comprend pas l'implication militaire en RDC alors même qu'il y a de graves problèmes au Burundi, surtout des problèmes économiques. Le principal opposant, Agathon Rwasa, n'a pas pu présenter de candidat à ces élections. Est-ce le signe que le pouvoir se méfie encore de son poids politique ? On peut le dire ainsi. Je pense que le pouvoir, surtout dans ces moments de crise économique, se rassure de ne pas avoir une autre menace de plus. Et surtout toute personne qui peut mobiliser contre le régime est écartée. La société civile burundaise accuse le président Ndayishimiye de brandir exagérément la menace militaire du Rwanda et du M23 pour justifier une répression accrue contre les opposants. Mais n'y a-t-il tout de même pas une offensive des troupes rwandaises et du M23 depuis quelques mois ? Oui, bien sûr. Je pense que la question sécuritaire est réelle. Les M23, soutenus par l'armée rwandaise, sont maintenant dans la plaine de la Ruzizi et ils se rapprochent beaucoup plus de la frontière burundaise, ce qui peut vraiment inquiéter le Burundi. Depuis l'accord de coopération militaire d'août 2023, il y a eu jusqu'à 10 000 soldats burundais qui ont combattu au côté de l'armée congolaise au Nord et au Sud-Kivu. Mais depuis la bataille de Ngungu en décembre dernier face aux troupes du Rwanda et du M23, est-ce qu'on a une idée des pertes subies par l'armée burundaise ? C'est difficile d'avoir des chiffres exacts mais les pertes pourraient aller jusqu'à des centaines, voire même peut-être un millier. Quand il y a des pertes, ça rajoute encore du mécontentement au point que le pouvoir, voyant les élections approcher, a vu qu'il fallait réduire un peu sa présence et son empreinte en RDC. Il y a eu aussi quelques contacts entre les sécurocrates burundais et rwandais. D'ailleurs à un moment, on parlait d'une sorte de pacte de non-agression et c'est depuis ces temps-là que l'on voit que dans la plaine de la Ruzizi, alors même qu'il y a encore des affrontements entre les M23 et les Wazalendo, les militaires burundais qui sont souvent dans les mêmes zones ne sont pas impliqués dans ces affrontements. À lire aussiLa RDC et le Burundi signent un accord de coopération sécuritaire Donc Gitega et Kigali se sont parlés pour ne pas s'agresser directement ? En tout cas, on peut confirmer qu'il y a eu des pourparlers. Depuis plusieurs semaines, le Rwanda et le Congo-Kinshasa sont fortement encouragés par les médiateurs à négocier en vue d'un accord à la fois politique et commercial. Est-ce que le Burundi ne risque pas d'être le grand oublié de cet éventuel accord à venir ? Oui, je pense. Si ça continue toujours dans le format Doha et Washington, il me semble que le Burundi – et pas que le Burundi d'ailleurs, il y a aussi l'Ouganda de l'autre côté – risquent d'être des parties qui vont se sentir un peu oubliées. Et je pense que ça, c'est un risque de ne pas avoir un accord durable parce que ça serait très difficile d'avoir un accord avec le Rwanda sans l'avoir avec le Burundi et l'Ouganda. Et c'est pour cela que beaucoup de voix s'élèvent, pour que les processus internationaux soient les plus inclusifs possibles. Si on n'a pas cette question sur la table et si elle n'est pas gérée, il y a risque que l'on résolve peut-être le conflit dans une partie du Congo, par exemple dans le Nord-Kivu, mais que les tensions continuent par exemple dans la plaine de la Ruzizi. Le Burundi possède des terres rares, donc si demain le Rwanda et la RDC sont autorisés à exporter plus de richesses minières vers les États-Unis, le Burundi voudra aussi y trouver son compte, c'est ça ? Oui. Je pense que, dans un deal sur le minerai, il faut prendre en compte tous les acteurs en tant que pays de production mais aussi de traitement, de transit, parce qu'on peut aussi parler par exemple de l'or du Sud-Kivu qui passait par le Burundi. Et qui maintenant passe par le Rwanda ? Oui, et ça, c'est quelque chose qui doit inquiéter le Burundi. Et le Burundi voudrait quand même aussi avoir sa part dans tous ces différents deals miniers. À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée

On Call with Insignia Ventures with Yinglan Tan and Paulo Joquino
FinTech Without Borders | GFTN's Pat Patel on the Global Corridors Shaping AI & Digital Finance

On Call with Insignia Ventures with Yinglan Tan and Paulo Joquino

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 38:17


In this episode of On Call with Insignia, we go on a world tour of fintech innovation with Pat Patel, Co-CEO of GFTN Forums & CEO of USA, LATAM, MEA at the Global Finance and Technology Network (GFTN), the non-profit behind the Singapore FinTech Festival.Over the past decade, Pat has been at the intersection of tech, finance, and policy—shaping ecosystems from London to Kigali, Tokyo to Perth. Drawing from his deep experience building corridors between regulators, founders, and investors, Pat gives us a first-hand look at how fintech markets are evolving worldwide.We cover everything from programmable banking and AI-native fintech stacks to unlocking corridors between Japan, Africa, Australia, and Southeast Asia. Pat also shares what's next for Singapore as it marks a decade of the FinTech Festival and what the next wave of fintech disruption might look like.Whether you're a founder expanding globally, a regulator exploring innovation, or an investor scouting cross-border opportunities—this episode is your field guide.Timestamps(00:00) Intro to Pat Patel and GFTN's global footprint(02:00) Three frontier technologies redefining fintech: AI, tokenization, quantum(04:30) The rise of programmable banking and agent-stablecoin integration(06:30) Key stablecoin use cases: e-commerce, supply chains, cross-border B2B(08:00) Japan's fintech evolution and why it's now open for global startups(10:30) Working with the JFSA and navigating Japan's regulatory shift(12:30) Building corridors between Japan and Southeast Asia(14:00) Tips for founders entering Japan: long lead times, local trust(16:00) What makes Australia's fintech scene unique—and what to watch(18:00) Why GFTN chose Perth: green energy, academia, and real Black Swans(20:00) Preparing for the next Black Swan through tech-academic collaboration(21:00) How Southeast Asia startups can scale into Africa(22:30) Corridors and harmonization: Rwanda, Ghana, and Project 54(24:30) Africa's “Singapore”: Why Rwanda could lead in fintech governance(26:00) What advantages SEA fintechs have in African markets(28:00) Opportunities in payments, banking infrastructure, and open finance(29:00) What SEA fintechs can learn from Europe's consumer UX game(31:00) The next decade of Singapore's FinTech evolution(33:00) GFTN's strategy: from forums to advisory to fund(35:00) The three foundational techs of Web3: AI, quantum, decentralized networks(36:00) Where competitive advantage lies: regulator relationships and AI-native stacks(37:00) Why legacy fintechs must reinvent—or be disruptedFollow us on LinkedIn for more updatesSubscribe to our monthly newsletter for all the news and resourcesDirected by Paulo JoquiñoProduced by Paulo JoquiñoThe content of this podcast is for informational purposes only, should not be taken as legal, tax, or business advice or be used to evaluate any investment or security, and is not directed at any investors or potential investors in any ⁠⁠⁠⁠⁠⁠Insignia Ventures⁠⁠⁠⁠⁠⁠ fund. Any and all opinions shared in this episode are solely personal thoughts and reflections of the guest and the host.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Mali : face aux attaques jihadistes, l'armée a quitté Boulkessi

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'affaire des bébés volés au Chili, le déploiement de la Garde nationale à Los Angeles et le retrait du Rwanda de la CEEAC. Mali : face aux attaques jihadistes, l'armée a quitté Boulkessi  Après deux attaques jihadistes meurtrières, l'armée malienne s'est retirée du camp militaire de Boulkessi, dans le centre du pays. Pourquoi a-t-elle décidé de se désengager de cette localité stratégique au lieu d'envoyer des renforts ? Ce retrait signifie-t-il que la ville est désormais sous le contrôle des jihadistes ?Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel.Chili : le scandale des 20 000 enfants volés  La justice chilienne a ordonné la détention provisoire de cinq personnes accusées d'avoir participé à un vaste réseau d'enfants volés pour être revendus entre 1950 et 1990. Comment un tel trafic a-t-il pu durer autant d'années sans être découvert ? Qui sont les personnes inculpées dans cette affaire ?Avec Théo Conscience, journaliste au service international de RFI.États-Unis : Trump déploie la Garde nationale à Los Angeles Alors que Los Angeles est secouée par des manifestations contre sa politique migratoire, Donald Trump a annoncé l'envoi de 4 000 soldats de la Garde nationale pour « rétablir l'ordre » malgré l'opposition des autorités locales. Le président américain respecte-t-il la Constitution américaine en agissant ainsi ? Ce déploiement ne risque-t-il pas d'empirer la situation dans la mégalopole californienne ? Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en rhétorique présidentielle.   Rwanda : quelles conséquences après le retrait de Kigali de la CEEAC ? Le Rwanda a annoncé son départ de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale en déplorant « l'instrumentalisation de l'organisation par la République démocratique du Congo, avec le soutien de certains États membres ». Quelles pourraient être les conséquences diplomatiques et économiques de l'isolement de Kigali au sein de la région ?Avec Onesphore Sematumba, analyste pour la région des Grands Lacs pour International Crisis Group. 

Afrique Économie
Congo-B: le gouvernement annonce la fin des contrats de cession des terres au Rwanda

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 2:26


Au Congo-Brazzaville, le gouvernement a annoncé la fin d'une mesure controversée : la mise à disposition de terres notamment pour des projets agricoles à des entreprises rwandaises. Des accords avaient été signés en 2022, mais ils avaient provoqué un tollé dans une partie de l'opinion. Aujourd'hui, les conventions sont déclarées caduques. C'est une déclaration qui a fait grand bruit jeudi dernier lors de la conférence de presse de la « quinzaine du gouvernement » congolais. « Vous vous rappelez la polémique sur la fameuse histoire des terres rwandaises, la salive, l'encre que tout cela a fait couler, interroge le porte-parole du gouvernement Thierry Moungalla s'adressant aux journalistes. Mais pourquoi vous ne vous êtes pas demandés quelle a été la suite ? Pourquoi on n'en parle plus ? Parce que tout simplement, le dossier est terminé. »Dossier terminé même si aucun document officiel sur cette résiliation n'a été fourni. Les entreprises titulaires d'un bail sur ces terres auraient été notifiées. Le conglomérat rwandais Crystal Ventures au cœur du dossierCe que rapporte le porte-parole du gouvernement congolais, Thierry Moungalla, c'est qu'une clause dans les contrats initiaux prévoyait que si aucun projet n'avait été réalisé 8 décembre 2024 sur les zones, l'accord devenait caduc. « Figurez-vous que le 8 décembre, n'ayant pas eu de retour positif eu en tout cas, pas de retour cohérent des entreprises concernées, le ministre d'État Mabiala, ministre des Affaires foncières, qui avait délivré au nom du gouvernement les autorisations, a informé les partenaires que c'était annulé », explique Thierry Moungalla.Pourtant, les zones d'ombre restent immenses dans ce dossier. On trouve trace dans le Journal officiel congolais du 18 mai 2022 de la mise à disposition de 12 000 hectares à la société Eleveco Congo pour une durée de 20 ans dans le département de la Bouenza. Il s'agit d'une filiale du conglomérat Crystal Ventures, propriété du FPR, le parti au pouvoir au Rwanda.Des accords critiqués au Congo-BCe qui inquiétait Kinshasa, c'étaient surtout les accords concernant la zone économique spéciale (ZES) de Maloukou. Des terres à 70 km de Brazzaville, au bord du fleuve Congo, juste en face de la RDC, dont la gestion avait été confiée à la holding rwandaise.Le Congo-Brazzaville s'est toujours justifié sur ce rapprochement avec Kigali. « Dans un premier temps, les autorités congolaises ont fait prévaloir le principe de coopération Sud-Sud à travers ces accords. Ce que nous constatons, c'est qu'il y a comme une espèce de reculade du côté de Brazzaville. Par conséquent, est-ce qu'elles n'ont pas cédé à la pression populaire ? », se demande le journaliste économique indépendant Alphonse Ndongo. « Ces accords ont été critiqués par l'essentiel du peuple congolais, qu'il s'agisse des hommes politiques de l'opposition et même parfois de manière confidentielle, par ceux qui sont au pouvoir ». Ce dossier est-il vraiment clos ? Le ministre rwandais des Affaires étrangères assurait ce mardi n'avoir reçu aucune information n'allant dans le sens d'une résiliation des contrats.À lire aussiLe Congo-Brazzaville stoppe la mise à disposition de terres à des entreprises et entrepreneurs rwandais

Journal de l'Afrique
Le Rwanda se retire de la CEEAC et parle d'une organisation "instrumentalisée" par la RD Congo

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 13:59


Le Rwanda s'est retiré de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC), dénonçant une organisation "instrumentalisée" par la République démocratique du Congo (RDC), sur fond de conflit dans l'est de ce pays. La décision a été prise samedi lors de la conférence des dirigeants de la CEEAC, à Malabo, en Guinée équatoriale. Cette session extraordinaire a prolongé d'une année supplémentaire  le mandat du président équatoguinéen à la tête de l'organisation, alors que Kigali devait en prendre la tête.

The Long  Form with Sanny Ntayombya
Rashad Bilal & Troy Millings Bring Earn Your Leisure to Rwanda: Africa, Wealth & Black Legacy

The Long Form with Sanny Ntayombya

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 53:01


For the first time ever, Earn Your Leisure comes to Rwanda. In this landmark episode of The Long Form Podcast, I sit down with Rashad Bilal and Troy Millings, the creators of Earn Your Leisure — a global movement redefining what Black wealth looks like.We talk about their first impressions of Rwanda, why Africa is a rising frontier for Black investment, and how financial literacy connects communities from Harlem to Kigali. This episode goes beyond business — it's a deep conversation about identity, ownership, Pan-Africanism, and what Africans and African-Americans can learn from each other in the fight for economic freedom.Whether you're in New York, Nairobi, or Nyabugogo — this is the financial and cultural conversation you've been waiting for.#EarnYourLeisure #RashadBilal #TroyMillings #TheLongFormPodcast #BlackWealth #PanAfricanism #InvestInAfrica #RwandaBusiness #RwandanDiaspora #AfricanAmericanInvestors #GlobalBlackExcellence #KigaliConversationsListen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Apple Podcasts https://podcasts.apple.com/rw/podcast/the-long-form-with-sanny-ntayombya/id1669879621Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Spotify: https://open.spotify.com/show/7HkkUi4bUyIeYktQhWOljcFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/TheLongFormRwFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Instagram: https://www.instagram.com/thelongformrw/Follow Long Form with Sanny Ntayombya on TikTok: https://www.tiktok.com/@longformrwFollow Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/SannyNtayombya About Long Form with Sanny Ntayombya:The Long Form with Sanny Ntayombya is a weekly podcast intent on keeping you up to date with current affairs in Rwanda. The topics discussed range from politics, business, sports to entertainment. If you want to share your thoughts on the topics I discuss use the hashtag #LongFormRw on Twitter and follow us on Twitter and Instagram on our handle @TheLongFormRwBe a part of the conversation.

Le club RFI
Le Club RFI Kigali (Rwanda) et la bibliothèque Le Phare lancent un défi oratoire pour les jeunes

Le club RFI

Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 19:30


Le Club RFI Kigali (Rwanda), en partenariat avec la bibliothèque Le Phare, a organisé la première édition du Mindful Minds Debate Challenge 2025. Cette compétition de débats a réuni plus de 18 écoles de la région. Les finalistes ont échangé autour de thématiques d'actualité telles que le recyclage comme solution environnementale ou encore la responsabilité dans la prévention des grossesses précoces. Invitée/cousine : Sandra Maria Bossio, responsable de la bibliothèque, Le Phare.Musique : Ariel Wayz, Wose Gusa. 

The Long  Form with Sanny Ntayombya
From Ugandan Village Life to $10M Tech CEO: Why Davis Nteziryayo is Building His Empire in Rwanda

The Long Form with Sanny Ntayombya

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 100:38


From a small village to running a multi-million-dollar tech company—this is the story of Davis Nteziryayo.In this episode of The Long Form Podcast, I sit down with the Founder and CEO of Huza, a Rwandan HR fintech now valued at over $10 million, with operations across East and West Africa. We explore his journey as a software engineer turned CEO, the role of Kigali's tech hubs like Norrsken, and whether Rwanda is on the brink of producing its first billion-dollar startup.We also dive into the future of jobs, AI, blockchain disruption, and what advice Davis has for young Africans dreaming of launching their own ventures. This conversation is a masterclass in ambition, strategy, and staying rooted in your purpose.#AfricanTech #RwandaStartups #DavisNteziryayo #TheLongFormPodcast #KigaliInnovation #TechInAfrica #AIinAfrica #HuzaTech #NorrskenKigali #YouthEmpowerment #RwandanDiaspora #DigitalAfrica #BlockchainAfricaListen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Apple Podcasts https://podcasts.apple.com/rw/podcast/the-long-form-with-sanny-ntayombya/id1669879621Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Spotify: https://open.spotify.com/show/7HkkUi4bUyIeYktQhWOljcFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/TheLongFormRwFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Instagram: https://www.instagram.com/thelongformrw/Follow Long Form with Sanny Ntayombya on TikTok: https://www.tiktok.com/@longformrwFollow Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/SannyNtayombya About Long Form with Sanny Ntayombya:The Long Form with Sanny Ntayombya is a weekly podcast intent on keeping you up to date with current affairs in Rwanda. The topics discussed range from politics, business, sports to entertainment. If you want to share your thoughts on the topics I discuss use the hashtag #LongFormRw on Twitter and follow us on Twitter and Instagram on our handle @TheLongFormRwBe a part of the conversation.

I Would Prefer Not To
MASS Design Group

I Would Prefer Not To

Play Episode Listen Later May 29, 2025 69:34


In this episode, host Ana Miljački speaks with Christian Benimana, Patricia Gruits, and Alan Ricks, co-executive directors of MASS Design Group, about philanthropy in the design process, the political economy of building, and what is possible across different global contexts. MASS was founded in 2008 as a 501(c)(3) not-for-profit organization. More than 15 years later, this global, multidisciplinary collective has over 200 members with offices in Boston; in Kigali, Rwanda; Poughkeepsie, New York; and Santa Fe, New Mexico.

Revue de presse Afrique
À la Une : Kabila à Goma

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 27, 2025 4:09


Le feuilleton Kabila s'accélère. Après avoir ouvertement critiqué vendredi dernier la personne et l'action de son successeur à la tête de la RDC, Félix Tshisekedi, Joseph Kabila, s'est rendu dans la foulée à Goma. Sa présence sur place a été confirmée lundi.« Joseph Kabila déjà à Goma », s'exclame 7 sur 7. « Goma, sous le contrôle de la rébellion AFC/M23, soutenue par le Rwanda, rappelle le site congolais. Des sources proches de l'ancien président précisent que cette visite s'inscrit dans le cadre de la promesse faite lors de son dernier discours à la population et à la classe sociopolitique congolaise. Les dirigeants de la rébellion AFC/M23 ont également confirmé son arrivée, lui souhaitant un “agréable séjour dans les zones libérées“. »Le vrai patron du M23 ?Pour Le Maximum, autre site congolais, les choses sont claires : « Kabila a franchi le Rubicon : Joseph Kabila a regagné le pays par la ville de Goma, sous occupation rwandaise, après une escale à Kigali. Une transgression irréversible, délibérée et hasardeuse qui laisse sans voix plus d'un observateur, s'exclame Le Maximum. Accusé récemment par son successeur à la tête de l'État d'être “le véritable patron du mouvement rebelle AFC/M23“, il conforte ainsi les spéculations de ceux qui le soupçonnent de complicité dans les incessantes agressions rwandaises du pays de Lumumba. »Et « dans l'opinion, poursuit Le Maximum, nombreux sont les Congolais qui estiment qu'à Goma, Joseph Kabila a purement et simplement rejoint les rangs des supplétifs de l'armée rwandaise, pour en prendre la tête, quoique prétendent ses partisans. Sur les réseaux sociaux, des commentaires vont bon train dans ce sens, certains allant jusqu'à affirmer que sa présence dans les régions sous occupation vise la revitalisation des troupes d'invasion et devrait relancer les hostilités de plus belle. » Avec comme objectif :« retrouver un pouvoir qu'il semble regretter avoir perdu fin 2018. »Une « déclaration de guerre »La presse ouest-africaine partage cette analyse. « Kabila à Goma : un voyage qui vaut déclaration de guerre », affirme L'Observateur Paalga à Ouagadougou qui poursuit : « avec cette visite, les masques sont tombés, et Kinshasa n'a pas d'autres choix que de le traiter comme un ennemi de la République. »« Kabila à Goma : Le pouvoir, y compris par la guerre ! », renchérit Aujourd'hui. « En voulant se présenter sous les oripeaux du sauveur et en voulant biffer d'un trait de plume ses 18 années sanguinolentes au pouvoir, pire, en faisant de moins en moins mystère de ses accointances avec l'AFC-M23, Kabila présente un visage de pyromane et non de faiseur de paix. Surfant sur la guerre à Goma, allumer ce brûlot pour qu'il serve de tremplin pour se remettre dans le jeu politique est d'un cynisme aigu. C'est la marque de fabrique d'un Néron tropical ! »La diplomatie en berne…Et par voie de conséquence, le conflit dans l'est de la RDC n'est pas près de se régler. C'est ce que constate Le Monde Afrique : « la présence de Kabila à Goma, dans le cœur battant d'une rébellion soutenue par le Rwanda, voisin élevé au rang d'ennemi numéro 1 par Kinshasa, augure mal de la tenue d'un large dialogue destiné à régler le conflit dans l'est du pays. Il y a quelques mois, le président Tshisekedi appelait pourtant l'opposition politique à l'union nationale. Cela ne semble plus d'actualité. (…) Sans option politique interne à son pays, le chef de l'État congolais semble également à court de solution diplomatique internationale, pointe encore Le Monde Afrique. “Les différents processus [Luanda, Nairobi, Washington, Doha…] menés en parallèle apportent plus de confusion qu'ils ne participent à ce jour à la recherche d'une solution durable“, confie, sceptique, un diplomate européen. »Quant à « la rencontre surprise des présidents congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame mi-avril à Doha, elle a fait long feu. »Alors, reste l'option militaire. Mais, précise Le Monde Afrique, « rien n'indique non plus que Kinshasa soit en mesure de reprendre la main dans les deux provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. (…) Rien n'indique que les FARDC, chassées sans gloire des positions qu'elles tenaient, soient en mesure de reprendre le terrain perdu. (…) Pourtant, s'étonne un diplomate occidental, “malgré ses échecs militaires cuisants, Félix Tshisekedi semble toujours parier sur une solution de force“. »

Revue de presse Afrique
À la Une : Kabila à Goma

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 27, 2025 4:09


Le feuilleton Kabila s'accélère. Après avoir ouvertement critiqué vendredi dernier la personne et l'action de son successeur à la tête de la RDC, Félix Tshisekedi, Joseph Kabila, s'est rendu dans la foulée à Goma. Sa présence sur place a été confirmée lundi.« Joseph Kabila déjà à Goma », s'exclame 7 sur 7. « Goma, sous le contrôle de la rébellion AFC/M23, soutenue par le Rwanda, rappelle le site congolais. Des sources proches de l'ancien président précisent que cette visite s'inscrit dans le cadre de la promesse faite lors de son dernier discours à la population et à la classe sociopolitique congolaise. Les dirigeants de la rébellion AFC/M23 ont également confirmé son arrivée, lui souhaitant un “agréable séjour dans les zones libérées“. »Le vrai patron du M23 ?Pour Le Maximum, autre site congolais, les choses sont claires : « Kabila a franchi le Rubicon : Joseph Kabila a regagné le pays par la ville de Goma, sous occupation rwandaise, après une escale à Kigali. Une transgression irréversible, délibérée et hasardeuse qui laisse sans voix plus d'un observateur, s'exclame Le Maximum. Accusé récemment par son successeur à la tête de l'État d'être “le véritable patron du mouvement rebelle AFC/M23“, il conforte ainsi les spéculations de ceux qui le soupçonnent de complicité dans les incessantes agressions rwandaises du pays de Lumumba. »Et « dans l'opinion, poursuit Le Maximum, nombreux sont les Congolais qui estiment qu'à Goma, Joseph Kabila a purement et simplement rejoint les rangs des supplétifs de l'armée rwandaise, pour en prendre la tête, quoique prétendent ses partisans. Sur les réseaux sociaux, des commentaires vont bon train dans ce sens, certains allant jusqu'à affirmer que sa présence dans les régions sous occupation vise la revitalisation des troupes d'invasion et devrait relancer les hostilités de plus belle. » Avec comme objectif :« retrouver un pouvoir qu'il semble regretter avoir perdu fin 2018. »Une « déclaration de guerre »La presse ouest-africaine partage cette analyse. « Kabila à Goma : un voyage qui vaut déclaration de guerre », affirme L'Observateur Paalga à Ouagadougou qui poursuit : « avec cette visite, les masques sont tombés, et Kinshasa n'a pas d'autres choix que de le traiter comme un ennemi de la République. »« Kabila à Goma : Le pouvoir, y compris par la guerre ! », renchérit Aujourd'hui. « En voulant se présenter sous les oripeaux du sauveur et en voulant biffer d'un trait de plume ses 18 années sanguinolentes au pouvoir, pire, en faisant de moins en moins mystère de ses accointances avec l'AFC-M23, Kabila présente un visage de pyromane et non de faiseur de paix. Surfant sur la guerre à Goma, allumer ce brûlot pour qu'il serve de tremplin pour se remettre dans le jeu politique est d'un cynisme aigu. C'est la marque de fabrique d'un Néron tropical ! »La diplomatie en berne…Et par voie de conséquence, le conflit dans l'est de la RDC n'est pas près de se régler. C'est ce que constate Le Monde Afrique : « la présence de Kabila à Goma, dans le cœur battant d'une rébellion soutenue par le Rwanda, voisin élevé au rang d'ennemi numéro 1 par Kinshasa, augure mal de la tenue d'un large dialogue destiné à régler le conflit dans l'est du pays. Il y a quelques mois, le président Tshisekedi appelait pourtant l'opposition politique à l'union nationale. Cela ne semble plus d'actualité. (…) Sans option politique interne à son pays, le chef de l'État congolais semble également à court de solution diplomatique internationale, pointe encore Le Monde Afrique. “Les différents processus [Luanda, Nairobi, Washington, Doha…] menés en parallèle apportent plus de confusion qu'ils ne participent à ce jour à la recherche d'une solution durable“, confie, sceptique, un diplomate européen. »Quant à « la rencontre surprise des présidents congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame mi-avril à Doha, elle a fait long feu. »Alors, reste l'option militaire. Mais, précise Le Monde Afrique, « rien n'indique non plus que Kinshasa soit en mesure de reprendre la main dans les deux provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. (…) Rien n'indique que les FARDC, chassées sans gloire des positions qu'elles tenaient, soient en mesure de reprendre le terrain perdu. (…) Pourtant, s'étonne un diplomate occidental, “malgré ses échecs militaires cuisants, Félix Tshisekedi semble toujours parier sur une solution de force“. »

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Le Sénégal mise sur les prochains Jeux olympiques de la Jeunesse pour doper le tourisme

Afrique Économie

Play Episode Listen Later May 26, 2025 2:11


Dans moins de deux ans, le Sénégal accueillera les Jeux olympiques de la Jeunesse 2026, une première en Afrique. À Dakar, les chantiers s'accélèrent en vue de cet événement sportif planétaire, qui a également de grands enjeux économiques, en particulier touristiques. De notre correspondante à Dakar,Des milliers de visiteurs sont attendus au Sénégal pour les Jeux olympiques de la Jeunesse de 2026. Une opportunité unique pour faire rayonner la destination Sénégal et miser sur le tourisme comme moteur de développement économique. « Tous les projecteurs seront braqués sur Dakar, se réjouit Adama Ndiaye, le directeur de l'Agence sénégalaise pour la promotion du tourisme. C'est l'occasion de montrer ce que nous avons de meilleur, culturellement, sportivement… C'est une opportunité unique pour vendre notre cachet artistique à travers le sport, en particulier le sport traditionnel comme la lutte sénégalaise. »Lier hébergements et équipementsEn 2018, à Buenos Aires, plus d'un million de spectateurs ont assisté aux JOJ, dont plus de 200 000 rien que pour la cérémonie d'ouverture. Le Sénégal s'attend donc à une affluence historique. Pour accueillir cette vague, l'offre touristique se renforce, avec des dizaines d'hôtels en construction, des pôles de sport et de tourisme en plein essor, notamment à Diamniadio, autour de la nouvelle Arena multisports et du stade de football.« Un des constats majeurs a été l'importance de raisonner en consortiums pour que les projets aient un maximum d'impact, souligne Nelson Camara, le fondateur de Sport Impact, une agence qui utilise le sport comme un levier de développement. Quand vous construisez un grand centre de conférence ou un grand stade, comme le stade Abdoulaye-Wade, il faut des réceptifs hôteliers autour, sinon les évènements ne viennent pas et on ne pérennise pas les infrastructures sur une longue période. »À lire aussiLe Sénégal inaugure en grande pompe son nouveau stade national Abdoulaye-WadeBesoin de former les jeunesL'événement devrait aussi créer des emplois. « On va recevoir beaucoup de monde, souligne Cheikh Gaye, du syndicat des agences de voyage. Il va falloir penser à employer des jeunes parce que ces infrastructures en auront besoin. Donc, sur le plan socio-économique, c'est très important. » Le comité d'organisation des JOJ prévoit justement de former des jeunes à l'accueil des visiteurs, avec l'ambition de pérenniser ces emplois.Au-delà des JOJ, le Sénégal veut capitaliser sur le sport à long terme, à l'image de la Basketball Africa League, une compétition portée par la NBA qui attire des foules sur le continent, y compris à Dakar. « Il faut que l'Afrique montre qu'elle est capable d'organiser des grands évènements sportifs avec des standards internationaux, souligne Cheikh Gaye, du syndicat des agences de voyage. Je pense que ça a été le cas, on le voit à travers les différentes compétitions. On a des mondiaux de cyclisme qui arrivent très prochainement à Kigali. » Nelson Camara plaide désormais pour qu'une prochaine CAN ait lieu à Dakar.À écouter aussiDakar 2026 fait le pari de l'investissement privé pour ses JO de la Jeunesse

Habari RFI-Ki
Mazungumzo ya Kigali na Washington kuhusu Rwanda kuwapokea wahamiaji kutoka Marekani

Habari RFI-Ki

Play Episode Listen Later May 22, 2025 10:01


Leo hii tunaangazia Mazungumzo kati ya nchi ya Rwanda na Marekani kuhusu Kigali kuwapokea wahamiaji haramu watakaofukuzwa kutoka Washington. Unazungumziaje mazungumzo haya sawia na kauli ya mashirika ya Kimataifa ya kutetea haki za binadamu yakiongozwa na Amnesty International, yanayosema mpango huo utakiuka haki za wakimbizi?Skiliza kauli mbalimbali katika makala ya leo.

Habari RFI-Ki
Mazungumzo ya Kigali na Washington kuhusu Rwanda kuwapokea wahamiaji kutoka Marekani

Habari RFI-Ki

Play Episode Listen Later May 22, 2025 10:01


Leo hii tunaangazia Mazungumzo kati ya nchi ya Rwanda na Marekani kuhusu Kigali kuwapokea wahamiaji haramu watakaofukuzwa kutoka Washington. Unazungumziaje mazungumzo haya sawia na kauli ya mashirika ya Kimataifa ya kutetea haki za binadamu yakiongozwa na Amnesty International, yanayosema mpango huo utakiuka haki za wakimbizi?Skiliza kauli mbalimbali katika makala ya leo.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] RDC : nouvel appel d'offres pour les blocs pétroliers

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 19, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la condamnation de l'ancien président mauritanien, des propos polémiques du président William Ruto et le rapprochement entre les États-Unis et le Rwanda. RDC : nouvel appel d'offres pour les blocs pétroliers  Après l'échec de l'appel d'offres lancé en 2022, le gouvernement congolais vient d'ouvrir à l'exploration de 55 nouveaux blocs pétroliers. À l'époque, pourquoi les investisseurs avaient-ils été réticents ? Que proposent les autorités pour concilier exploitation pétrolière et prise en compte des enjeux environnementaux ?Avec Paulina Zidi, correspondante de RFI à Kinshasa.Mauritanie : 15 ans de prison pour l'ancien président  Condamné en première instance à cinq ans de prison ferme pour enrichissement illicite, l'ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a vu sa peine s'alourdir à quinze ans de prison lors de son procès en appel. Comment expliquer ce verdict plus sévère ? Quelles sont les chances que la peine soit réduite en cassation ?  Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar.Kenya : polémique après les déclarations du président sur les enlèvements politiques  William Ruto affirme que les militants enlevés lors des manifestations antigouvernementales de ces derniers mois ont été rendus à leurs familles. Lors de la mobilisation contre la loi de finance, des dizaines de personnes avaient disparu dans des circonstances mystérieuses. Y a-t-il des preuves qui confirment les propos du chef de l'État ? Comment expliquer ces disparitions alors que William Ruto avait promis de mettre fin aux enlèvements politiques ? Avec Gaëlle Laleix, correspondante permanente de RFI à Nairobi.États-Unis/Rwanda : signature d'un accord inédit sur l'étain  Le groupe minier Trinity Metals a signé une lettre d'intention avec la société américaine Nathan Trotter afin de créer une chaîne d'approvisionnement d'étain vers les États-Unis. Pourtant, Donald Trump a appelé le gouvernement rwandais à cesser tout soutien aux rebelles du M23. Comment expliquer ce rapprochement entre Washington et Kigali ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège. 

The Long  Form with Sanny Ntayombya
The Mind Doctor: The ALARMING Crisis Rwandan Men Face & Kigali's Addiction Emergency

The Long Form with Sanny Ntayombya

Play Episode Listen Later May 19, 2025 125:09


In this deeply personal and important conversation, we speak with Dr. Celestin Mutuyimana, psychotherapist and founder of Baho Smile Institute, about:· Rwanda as a "traumatized, low-trust society"· Why depression and PTSD are rising· Why women suffer more, and men are dying in silence· The truth behind alcohol & drug abuse among youth· The unseen dangers of social media· What healing looks like—individually and nationallyThis episode is a must-watch for anyone who cares about youth, family, and mental health in Rwanda and across Africa. The full episode will be available wherever you listen to podcasts at 6am and on YouTube at 3pm Kigali time tomorrow! LINK IN BIO #MentalHealthLeadership #AfricanHealing #TraumaInformedCare #Rwanda #YouthMentalHealth #TheLongFormPodcastListen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Apple Podcasts https://podcasts.apple.com/rw/podcast/the-long-form-with-sanny-ntayombya/id1669879621Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Spotify: https://open.spotify.com/show/7HkkUi4bUyIeYktQhWOljcFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/TheLongFormRwFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Instagram: https://www.instagram.com/thelongformrw/Follow Long Form with Sanny Ntayombya on TikTok: https://www.tiktok.com/@longformrwFollow Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/SannyNtayombya About Long Form with Sanny Ntayombya:The Long Form with Sanny Ntayombya is a weekly podcast intent on keeping you up to date with current affairs in Rwanda. The topics discussed range from politics, business, sports to entertainment. If you want to share your thoughts on the topics I discuss use the hashtag #LongFormRw on Twitter and follow us on Twitter and Instagram on our handle @TheLongFormRwBe a part of the conversation.

Unlocking Africa
Generational Wealth: How African Families Are Navigating Wealth, Succession and Investment Across Africa with Faizal Bhana and Claire Machin

Unlocking Africa

Play Episode Listen Later May 12, 2025 38:06


Episode 174 with Faizal Bhana and Claire Machin, who are recognised voices in global finance and private wealth, working at the forefront of family governance, cross-border investment, and wealth structuring. Faizal serves as the director for the Middle East, Africa, and India at Jersey Finance, while Claire is the group director and head of private wealth at Suntera Global. Together, they bring extensive experience advising families, corporates and institutions on how to build, manage and preserve wealth across generations.In this episode, Faizal and Claire discuss how African family businesses are evolving in their approach to investment and succession. They explore the growing interest in establishing formal family office structures, the increasing influence of the next generation, and the rise of alternative financing methods, including Sharia-compliant finance, green finance and tokenisation.Drawing on their deep understanding of markets across East and West Africa, they examine how improved governance, enhanced regulatory frameworks and international financial centres such as Jersey and Kigali are supporting the ambitions of African families.Faizal and Claire's shared vision is to help African families navigate complexity with confidence and unlock economic opportunity that creates value not just for themselves but for communities and economies across the continent.What We Discuss With Faizal and ClaireWhy Africa's next generation is reshaping how family wealth is structured, governed and invested globally.How African families are building their own family offices to take control of investment strategy and succession planning.The growing appeal of Sharia compliant and green finance as mainstream investment tools for African family businesses.How international financial centres like Jersey and Kigali are helping African families unlock global markets and manage cross border wealth. Why corporate governance is becoming essential for African families seeking to grow and professionalise their businesses. Did you miss my previous episode where I discus Africa's Biodiversity Economy: Transforming Conservation Into Economic Growth and Sustainable Development? Make sure to check it out!Like this show? Please leave us a review here -- even one sentence helps!Connect with Terser:LinkedIn - Terser AdamuInstagram - unlockingafricaTwitter (X) - @TerserAdamuConnect with Faizal:LinkedIn - Faizal BhanaTwitter - @jerseyfinanceConnect with Claire:LinkedIn - Claire MachinTwitter - @sunteraglobalDo you want to do business in Africa? Explore the vast business opportunities in African markets and increase your success with ETK Group. Connect with us at www.etkgroup.co.uk or reach out via email at info@etkgroup.co.ukSubscribe to our newsletter for exclusive content, behind-the-scenes insights, and bonus material - Unlocking Africa Newsletter

The Long  Form with Sanny Ntayombya
Kigali Real Estate Market: Boom or Bubble? Charles Haba Drops Real Estate Truths I THE LONG FORM

The Long Form with Sanny Ntayombya

Play Episode Listen Later May 12, 2025 85:47


In this hard-hitting episode of The Long Form Podcast, I sit down with Charles Haba, founder and Managing Director of Century Real Estate, to unpack the forces reshaping Rwanda's real estate market. From skyrocketing property prices and rising rents to the lack of affordable housing and the influx of foreign buyers, we explore whether Kigali is headed for a property bubble—and what it means for ordinary Rwandans. Charles offers sharp insights on wealth creation through property, financing options for first-time buyers, and where smart investors should be looking in 2025. A must-watch for anyone interested in Rwandan real estate, youth investment strategies, and Africa's urban future.#CharlesHaba #RwandaRealEstate #KigaliHousingCrisis #AfricanPropertyMarket #TheLongFormPodcast #AffordableHousing #DiasporaInvestment #Kigali #YouthAndWealthListen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Apple Podcasts https://podcasts.apple.com/rw/podcast/the-long-form-with-sanny-ntayombya/id1669879621Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Spotify: https://open.spotify.com/show/7HkkUi4bUyIeYktQhWOljcFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/TheLongFormRwFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Instagram: https://www.instagram.com/thelongformrw/Follow Long Form with Sanny Ntayombya on TikTok: https://www.tiktok.com/@longformrwFollow Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/SannyNtayombya About Long Form with Sanny Ntayombya:The Long Form with Sanny Ntayombya is a weekly podcast intent on keeping you up to date with current affairs in Rwanda. The topics discussed range from politics, business, sports to entertainment. If you want to share your thoughts on the topics I discuss use the hashtag #LongFormRw on Twitter and follow us on Twitter and Instagram on our handle @TheLongFormRwBe a part of the conversation.

Revue de presse française
À la Une: le Premier ministre François Bayrou face à une échéance cruciale

Revue de presse française

Play Episode Listen Later May 11, 2025 5:00


« François Bayrou au pied du mur de l'affaire Bétharram », titre le Parisien-Dimanche. « Le Premier ministre a préparé en cercle restreint un rendez-vous crucial : son audition, mercredi, par la Commission d'enquête sur les violences dans les établissements scolaires. L'enjeu est considérable », remarque le journal.Bétharram, c'est cette école privée catholique qui fait face à de nombreuses plaintes et accusations pour violences et agressions sexuelles à partir des années 1980 et 1990. Le Parisien-Dimanche rappelle le contexte : « François Bayrou était ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997 et parent d'élèves scolarisés dans cet établissement où son épouse enseignait le catéchisme. Il aura d'autant moins le droit à l'erreur qu'il s'exprimera sous serment ». Le Nouvel Obs, qui consacre sa Une à l'affaire Bétharram et au Premier ministre, dit la même chose, mais plus crûment : ce sera pour François Bayrou, « l'occasion de livrer ses vérités. Espérons qu'il ait la décence de la saisir, alors qu'il s'est jusqu'ici enferré dans le déni et le mensonge ». « Le 11 février, à l'Assemblée nationale, rappelle le Parisien-Dimanche, François Bayrou a d'abord nié en bloc, assurant n'être au courant de rien, avant de changer de version par la suite. » Les plaintes s'accumulentLe Nouvel Obs, de son côté, a décidé d'élargir le sujet. Pour l'hebdomadaire, « l'affaire Bétharram est une bombe à fragmentation ». Elle nous oblige, nous dit-on, « à regarder en face le caractère endémique des violences faites aux enfants, dans les familles, mais pas seulement »car « l'école n'est pas toujours un sanctuaire pour nos enfants ».Et le Nouvel Obs dresse ce constat : « l'enseignement catholique est au cœur des dernières révélations. Pratiques déviantes, faiblesse des contrôles de l'état, voire protection de l'institution par des élites qui en sont souvent issues ». L'hebdomadaire parle donc de « bombe à fragmentation » et précise encore que « depuis février, de nouveaux cas d'établissements déviants apparaissent chaque semaine, des plaintes s'accumulent – pas moins de 200 pour Bétharram – et des affaires tues pendant des décennies font la Une des journaux. » « Aucun responsable politique local ne décroche son téléphone »De son côté, la Tribune-Dimanche a rencontré l'une des victimes de Bétharram, leur porte-parole Alain Esquerre. Il est l'auteur du livre Le Silence de Bétharram et il est, nous dit le journal, « le visage de tous ceux qui ont souffert dans ce qui s'apparente aujourd'hui à l'un des plus grands scandales de pédophilie de l'histoire de l'éducation française ». C'est lui qui a recueilli sur un groupe Facebook des dizaines de témoignages.« Aux appels d'anciens élèves, raconte la Tribune-Dimanche, succèdent ceux de la presse régionale qui commence à relater le scandale. Dans les familles, chacun découvre ce que son père, son frère, son mari a vécu dans son enfance », sans avoir jamais osé le raconter. Malgré ces témoignages, « aucun responsable politique local, tous bords politiques confondus, ne décroche son téléphone ». « On est seul, tout le monde s'en fout », constate Alain Esquerre, jusqu'à ce que le premier ministre lui-même décroche son téléphone. « Je le sens dépassé », dit-il. « Il est sincère, mais il est le reflet d'une époque qui ne comprend pas (…) Pour lui, c'est une histoire de gifles et de punitions qui ne font pas de mal aux enfants ».Des « creuseurs » des mines payés 5 dollars par jour en RDCDans la presse hebdomadaire également cette semaine, un long reportage du Point sur la République démocratique du Congo, plus précisément dans le Nord-Kivu, où les envoyés spéciaux du magazine Guillaume Perrier et Vivien Latour ont rencontré des « creuseurs » des mines de Rubaya. « Sommairement équipés, ils descendent en escalier, armés de pioches, ils font ensuite remonter le sable et le minerai en se passant des sacs de main en main. Les visages sont juvéniles (…) les éboulements sont leur hantise. »  Un travail harassant « payé 5 dollars par jour ».La région est riche en minerai et notamment en coltan, et elle est depuis longtemps la cible de nombreuses convoitises, qui se concrétisent par des affrontements armés. « Le président de la RDC, Félix Tshisékédi, rappelle le Point, accuse le M23 de chercher à s'approprier les ressources du Kivu : 150 tonnes de coltan seraient, selon lui, détournées vers le Rwanda chaque mois. Kigali dément ».Calme relatifÀ Goma, le Point a rencontré Corneille Nangaa, le chef de l'Alliance Fleuve Congo, coalition formée autour du M23. « Il incarne le nouveau pouvoir », explique le magazine. Et lui aussi accuse : « Il avait acquis des titres miniers sur le gisement d'or de Zani-Kodo, en Ituri. Des proches du président Tshisekedi l'en auraient spolié après 2021 », explique le Point, qui décrit ainsi la situation depuis la fin des combats : « Goma reprend vie. Le port sur le lac Kivu retrouve son agitation vespérale (…) mais les combats de la fin janvier ont laissé des traces. Les violences ont fait entre 3 000 et 8 000 morts, selon les estimations. »Et la sérénité n'est pas vraiment à l'ordre du jour. Certains habitants se plaignent d'être « rackettés par des membres de l'armée gouvernementale en civil ». « La guerre n'est pas terminée », regrette l'un de ces habitants.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Rwanda/États-Unis : vers la signature d'un accord migratoire ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 7, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur de nouveaux systèmes de défense envoyés à l'Ukraine, un rapport sur la provenance des armes des groupes jihadistes et la volonté de Donald Trump de rouvrir la prison d'Alcatraz. Rwanda/États-Unis : vers la signature d'un accord migratoire ?Après l'abandon de l'accord migratoire par Londres l'année dernière, Kigali est désormais en discussion avec l'administration Trump pour accueillir des migrants expulsés des États-Unis. Quel intérêt le Rwanda a-t-il à recevoir ces migrants ? Comment la population rwandaise perçoit-elle ce potentiel accord ?Avec Lucie Mouillaud, correspondante de RFI à Kigali.Guerre en Ukraine : le système de défense « Patriot », un tournant dans la guerre ?L'Ukraine devrait recevoir dans les prochains mois deux systèmes de défense anti-aérienne américains pour se protéger des missiles balistiques russes. Quel est l'intérêt pour les États-Unis de livrer ce matériel militaire alors qu'ils sont au cœur des négociations pour un arrêt définitif de la guerre ? Ces armes pourraient-elles permettre à l'armée ukrainienne de bénéficier d'un avantage sur le terrain ?Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI.Sahel : d'où proviennent les armes des groupes jihadistes ?Un rapport de l'ONG Conflict Armament Research (CAR) retrace la provenance des armes utilisées par les deux plus influents groupes jihadistes au Sahel, le Jnim (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans) et l'État islamique au Sahel. Comment cette enquête a-t-elle été réalisée ? Comment expliquer que la majorité de leur armement provienne des armées nationales de la région ?Avec Léo Jarry, enquêteur principal à l'ONG Conflict Armament Research (CAR).États-Unis : pourquoi Donald Trump veut-il rouvrir la prison d'Alcatraz ?Le président américain a ordonné la réouverture de la célèbre prison d'Alcatraz, située sur la baie de San Francisco. Comment Donald Trump justifie-t-il sa décision alors que le centre pénitentiaire a été fermé en 1963 en raison de son entretien très coûteux ? Sa réouverture est-elle réellement utile ?Avec Françoise Coste, historienne et professeur d'études américaines à l'Université de Toulouse Jean-Jaurès.

Revue de presse Afrique
À la Une: parti en Russie pour devenir pharmacien, il finit par combattre pour Moscou en Ukraine

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 6, 2025 4:01


Le journal Le Monde, à Paris, nous raconte l'histoire de Dosseh. Un jeune togolais de 27 ans, originaire d'un village proche d'Aného. Elève brillant, il obtient une licence d'histoire à l'université de Lomé, cherche ensuite à partir pour gagner plus de sous. Il tente sa chance au Canada, puis en France, mais aucun pays ne l'accepte.Aucun, sauf la Russie ! Il part donc étudier à l'Université d'État de Saratov, mais en février, plus de nouvelles. Sa famille s'inquiète et ce n'est qu'un mois après qu'il réapparait dans une vidéo YouTube, interviewé par un ukrainien. « Il porte une combinaison bleu marine et se contente de hocher la tête pour signifier qu'il comprend son interlocuteur », décrit le quotidien français.Il raconte les derniers mois : ces policiers qui lui font signer un contrat en russe, langue qu'il ne sait pas lire, avant d'être conduit dans un camp à Donetsk pour y suivre une formation militaire et ensuite être envoyé sur le front où il sera capturé.Le Monde n'a pas réussi à s'entretenir avec Dosseh, mais son frère Michel l'assure, il n'est pas allé faire la guerre volontairement : « Même quand il était au Togo, on lui a proposé de rejoindre l'armée et il a dit non. Dosseh n'est pas un militaire. Alors pourquoi là-bas il accepterait ? À quel prix ? ». Le prix, on le connaît pour les jeunes hommes recrutés : 200 000 roubles, soit plus de 2130 euros pour se battre pour un pays qui n'est pas le sien et risquer sa vie sur le champ de bataille.Facebook et Instagram, peut-être bientôt fermés au Nigéria…« La confrontation vient de prendre une tournure critique » écrit le Financial Afrik. Alors que Méta, la maison mère des deux réseaux sociaux s'est vue infliger une amende de près de 290 millions de dollars et menace maintenant de les fermer dans le pays. Un bras de fer qui « soulève des questions fondamentales sur la souveraineté numérique, la régulation des entreprises technologiques globales et la protection des consommateurs dans les économies émergentes », selon le journal.Le Nigéria compte 30 millions d'utilisateurs Facebook, 12 millions 600 mille pour Instagram et 51 millions pour WhatsApp ! Alors qui gagnera ce combat qui implique d'un côté, un pays qui insiste sur le respect des lois et de l'autre, un géant du web qui menace de perturber des millions de personnes et de petites entreprises ? Une chose est sûre dit le Financial Afrik : « L'issue de ce bras de fer façonnera inévitablement le paysage de la régulation numérique pour les années à venir ».À la veille du début du conclave, à Rome, pour élire un nouveau Pape, à Kigali, le New Times se félicite de la présence d'un cardinal rwandaisAntoine Kambanda, 66 ans, archevêque de Kigali. C'est la première fois que cela arrive. « Cette inclusion est plus que symbolique », affirme le journal, « elle témoigne de la diversité croissante de l'Église catholique et du rôle essentiel que joue l'Afrique dans l'avenir de la foi », ajoute-t-il, tout en plaidant pour l'élection d'un Pape réformateur, audacieux, qui s'attaquera aux abus, à la corruption et qui fera entendre la voix du Sud.Le New Times attend donc beaucoup du futur souverain pontife et conclut : « L'Église – et le monde – méritent un pape pour demain, et non pour hier ».« God Protect Ibrahim Traoré »Ce serait le nom de la dernière chanson de Beyoncé, publiée il y a peu sur internet.Problème, c'est faux ! La chanteuse, actuellement en tournée, ne l'a jamais chantée, et pour cause, c'est une intelligence artificielle qui l'a créé. C'est ce que nous rapporte Jeune Afrique : la naissance de vraies-fausses chansons à la gloire de ! « Ainsi a-t-on vu fleurir les titres "Victory" d'un avatar de Gims et même un prétendu duo entre Drake et Shakira : "Tribute to Burkina Faso & Captain Ibrahim Traoré officiel 2025" ».Ce qui effraie le plus sans doute, c'est la crédulité de certains internautes : « brave fille d'Afrique et d'Amérique » commente l'un… « Hommage bien mérité à notre capitaine » réagit un second… Mais, comme le dit Jeune Afrique : « difficile de savoir si ces posts ne sont pas eux-mêmes rédigés par des manipulateurs » avant de conclure « un outil artificiel qui profite à un camp finit par servir l'autre ». 

Daily News Brief by TRT World

Gaza's health system nears collapse as UNRWA issues urgent alarm Gaza's healthcare is on the brink, warns the UN Relief and Works Agency for Palestine Refugees. The agency says one-third of vital medical supplies are gone, with another third vanishing fast—blaming Israel's siege and relentless bombardment. Commissioner-General Philippe Lazzarini grimly cautions that the blockade risks silently killing more women and children beyond the bombs. Israel's military invasion in Gaza has killed over fifty-two thousand four hundred Palestinians since October 2023, while Tel Aviv faces genocide charges at the International Court of Justice. Yemeni Houthis target Tel Aviv airport with hypersonic missile strike Yemeni Houthis said they have launched a hypersonic ballistic missile targeting Ben Gurion Airport in Tel Aviv, warning international airlines of the airport's unsafe conditions. Houthi spokesman Yahya Saree confirmed the missile hit the target, and another struck Ashkelon. Israeli authorities suspended flights at the airport after a missile landed near Terminal 3, injuring six people. Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu vowed retaliation against the Houthis and their Iranian backers. In response, US warplanes conducted airstrikes on Houthi positions in Yemen. Romania's presidential election heads to a second round Romania will proceed to a second round of presidential elections on May 18, following the failure of any candidate to secure the required 50+1 percent majority in the first round. Far-right George Simion led with over 40.2 percent of the vote, based on results from over 98 percent of ballots. He was followed by Bucharest Mayor Nicusor Dan, who garnered 20.8 percent, and Crin Antonescu of the Social Democratic Party, who earned nearly 20.5 percent. The first-round victory of pro-Russian candidate Calin Gorgescu was annulled in November 2024 following allegations of electoral violations and Russian interference, which Moscow has denied. Simion emerged to replace Gorgescu after his ban from the new race. Fighting in eastern DRC escalates as rebels take key town M23 rebels and allies seized Lunyasenge, a strategic fishing town on Lake Edward's west coast in eastern Democratic Republic of Congo, after deadly clashes with the army that left 17 dead, including seven soldiers. The Congolese military condemned the assault as a blatant ceasefire violation. As rebels advance in North Kivu, Kinshasa warns of retaliation. Rwanda faces renewed accusations of backing M23, amid ongoing peace talks in Doha and Washington. Kigali denies any involvement. Trump imposes full tariff on non-US movies President Donald Trump has announced plans to impose a 100 percent tariff on foreign-made films, claiming Hollywood of being ""devastated"" as US filmmakers turn to other countries for production incentives. The decision, shared via Truth Social media platform, follows criticism of his aggressive trade policies. While the full impact on the movie industry remains unclear, Trump insists it's a matter of national security. Meanwhile, talks with China and other nations on trade deals continue, with potential agreements on the horizon.

The Long  Form with Sanny Ntayombya
"She ONCE WASTED Her Money"?!" Nathalie Munyampenda on Life, Politics, Sports & Rethinking Education

The Long Form with Sanny Ntayombya

Play Episode Listen Later May 5, 2025 79:04


In this episode of The Long Form, I sit down with Nathalie Munyampenda—CEO of Kepler and one of Rwanda's most influential voices in education, sports and strategic communications. We dive deep into her journey from Kinshasa to Kigali, her bold leadership at Kepler University, and her insights on AI's role in reshaping African education. Nathalie also opens up about her experience on the RPF Disciplinary Committee, the impact of the DRC crisis on international fundraising, and her unique take on politics, sports, and youth employment in Rwanda. A must-listen for anyone interested in African education, women in leadership, Rwandan politics, and the continent's future.Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Apple Podcasts https://podcasts.apple.com/rw/podcast/the-long-form-with-sanny-ntayombya/id1669879621Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Spotify: https://open.spotify.com/show/7HkkUi4bUyIeYktQhWOljcFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/TheLongFormRwFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Instagram: https://www.instagram.com/thelongformrw/Follow Long Form with Sanny Ntayombya on TikTok: https://www.tiktok.com/@longformrwFollow Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/SannyNtayombya About Long Form with Sanny Ntayombya:The Long Form with Sanny Ntayombya is a weekly podcast intent on keeping you up to date with current affairs in Rwanda. The topics discussed range from politics, business, sports to entertainment. If you want to share your thoughts on the topics I discuss use the hashtag #LongFormRw on Twitter and follow us on Twitter and Instagram on our handle @TheLongFormRwBe a part of the conversation.

Journal de l'Afrique
RD Congo : quel accord de paix ?

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Apr 29, 2025 16:13


La mission militaire des pays d'Afrique australe, la SADEC, a commencé mardi à évacuer Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo. Ses soldats y étaient bloqués depuis l'offensive éclair du groupe armé M23 en janvier. Ce retrait avait été acté lors d'un sommet mi-mars, après la mort de 17 militaires alors que le M23 s'était emparé de Goma et Bukavu. D'intenses combats opposent ces jours-ci les forces de Kinshasa au groupe armé M23, soutenu par Kigali. Dans le même temps, les processus de paix se multiplient. Patrick Muyaya, ministre de la Communication de la RD Congo, est l'invité du Journal de l'Afrique. 

Revue de presse Afrique
À la Une: vers une pax americana en RDC

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 4:23


« Donald Trump bombe le torse », s'exclame le site d'information congolais Objectif Infos. « C'est une victoire sans précédent », a en effet déclaré hier le président américain, après la signature d'une déclaration de principe, vendredi à Washington, qui pose les bases d'un accord de paix entre la RDC et le Rwanda qui devrait être signé au plus tard en fin de semaine.« Dans ce document publié par le département d'État américain, précise Objectif Infos, les deux parties, congolaise et rwandaise, se sont engagées à respecter la souveraineté et les frontières établies ; à soutenir l'intégration économique régionale, notamment en renforçant la transparence dans les chaînes d'approvisionnement des minerais critiques ; et à faciliter le retour des réfugiés et des déplacés internes ».Commentaire du site congolais : « on peut dire que le chef de file des Républicains a réussi en 3 mois ce que son prédécesseur, Joe Biden, n'a pas réussi à faire lors de ses deux dernières années de mandat ».La diplomatie-business« Ceux qui pensaient que les États-Unis de Donald Trump resteraient en dehors du conflit congolais en seront pour leurs frais, relève pour sa part Afrikarabia. En difficulté sur Gaza et l'Ukraine, et inaudible en Afrique de l'Ouest, le président américain a semblé chercher un succès diplomatique rapide en se penchant sur le dossier congolais, pointe le site spécialisé sur la RDC. La visite de l'envoyé spécial de Donald Trump, Massad Boulos, à Kinshasa puis à Kigali, a fini d'acter la position américaine, qui n'est pas très éloignée (finalement) de celle de Joe Biden. Premier résultat : le M23 s'est retiré de la zone de Walikale, où se trouve la mine d'Étain de Bisie, propriété d'Alphamin, une entreprise minière à forts capitaux américains ». Il faut dire, poursuit Afrikarabia, que le futur accord de paix congolo-rwandais associe autour de la table « les autorités et le secteur privé américain. Dans ce deal entre États, ce sera business contre territoires ».La question centrale des mineraisEn effet, pointe L'Observateur Paalga à Ouagadougou, « la signature de cette déclaration de principe intervient alors qu'un accord, entre la RDC et les États-Unis, sur les minerais stratégiques est en cours de négociation. Un accord qui vise à permettre aux entreprises américaines d'accéder de manière privilégiée aux ressources minières de la RDC, telles que le cobalt, le coltan et le lithium, en échange d'une assistance sécuritaire pour lutter contre les groupes armés. En s'impliquant ainsi, Donald Trump se fait d'abord le VRP des sociétés américaines pour le contrôle des minerais stratégiques congolais, et dans ce deal, le Rwanda devrait aussi avoir sa dîme minière. Mais, relève L'Observateur, si c'est le prix à payer pour le Congo pour qu'on lui fiche la paix, pourquoi pas ? »Finalement, « peut-être qu'enfin, les mines congolaises vont servir à quelque chose d'utile pour tout le monde ! », renchérit Ledjely en Guinée. Les richesses minières de la RDC sont (donc) au cœur de l'accord de paix qui pourrait être conclu prochainement, entre Kinshasa et Kigali, sous l'égide des États-Unis de Donald Trump. En effet, c'est bien parce que le sous-sol congolais est riche en toutes sortes de minerais stratégiques que le président américain, plutôt porté sur la diplomatie transactionnelle, a consenti à s'intéresser enfin aux massacres et autres atrocités que les populations de l'est de la RDC endurent depuis trop longtemps. Nord et Sud-Kivu, pourraient donc renouer avec la paix et la stabilité. La diplomatie africaine en berneMalheureusement, relève encore Ledjely, l'Afrique n'y aura joué aucun rôle ou presque. (…) Aucun processus n'a réussi à s'imposer. Ni Luanda, ni Nairobi. Pourtant, entre les médiateurs et les facilitateurs, les acteurs africains n'ont pas manqué ».C'est vrai, déplore Le Pays au Burkina, « Washington semble engranger des points là où les organisations africaines sous-régionales, en l'occurrence la Sadec, le Communauté de développement d'Afrique australe, et la CEAC, la Communauté des États d'Afrique de l'Est, ont échoué. Certes, elles ont permis, sous la médiation du président angolais Joao Lourenço, d'arracher quelques cessez-le-feu, mais ceux-ci n'ont jamais été respectés. Preuve, s'il en est, conclut Le Pays, que l'Afrique peine toujours à trouver elle-même des solutions à ses propres problèmes ».

Toast Hawaii
Anna Dushime

Toast Hawaii

Play Episode Listen Later Apr 26, 2025 55:19


Uns verbindet ganz eindeutig die Freude am Essen. Und auch die aufrichtige Liebe zu Spaghetti-Eis. Auf anderer Ebene sind dann aber gravierende Unterschiede zu entdecken, denn die Moderatorin, Journalistin und Podcasterin Anna Dushime hat stets ein Fläschchen Kefir in ihrer Handtasche, soll ja sehr gesund sein, aber schon wenn ich es schreibe, zieht sich mein Mund zusammen. Anna kann wunderbar erzählen, hat einen schnellen und schönen Humor und ein gutes Gedächtnis, denn sie kann sich noch an viel von dem erinnern, was lange zurückliegt. „Toast Hawaii“ ist nicht der Podcast, in dem wir diesbezüglich näher ins Detail gehen werden, aber zu Annas Leben gehört nicht nur das ziemlich erfolgreiche und sicherlich angenehme Hier und Jetzt, sondern auch eine Zeit, die extrem gefährlich und herausfordernd war, um dieses verhältnismäßig nüchterne Wort zu benutzen. Sie kam 1988 in Kigali, der Hauptstadt Ruandas, zur Welt. Ihr Vater wird ermordet, die Mutter flieht 1994 mit den Kindern vorm Völkermord über Uganda nach England, 4 Jahre später lebt die Familie in Deutschland. Anna studiert Marketing in den Niederlanden und in Ungarn, es klingt nach einem Leben in Bewegung und vielleicht erklärt das ihren gegenwärtigen Hang zum „Drinnie“-Sein. Zu Hause! Gemütlich! Ihr Schönstes. Und so sprechen wir nicht nur über ihre früheste Kindheit in Ruanda mit Sonntagsbraten und gebratenen Heuschrecken, sondern auch über Spontan-Käufe im Internet, Mi-Nudeln mit Curry, das sogenannte „Marry me“-Chicken und einen Berg Nutella-Toasts, die man natürlich am besten vorm Fernseher isst. *** WERBUNG Toast Hawaii wird unterstützt von dmBio, die Bio-Lebensmittelmarke von dm-drogerie markt. Ganz nach dem Motto „Natürlich lecker erleben“ bietet dmBio mit mehr als 550 Produkten eine vielfältige Auswahl – von leckeren Snacks für zwischendurch bis hin zu original italienischen Tomatensaucen. Haben auch Sie eine dmBio-Geschichte, die im Podcast erzählt werden soll? Dann schreiben Sie uns gerne unter rustberlin@icloud.com ÖKO-Kontrollstelle: DE-ÖKO-007

Moments to Movements
Season 2: Shaking the Table from Kigali

Moments to Movements

Play Episode Listen Later Apr 25, 2025 1:03


Welcome to Season 2 of Moments to Movements, the podcast dedicated to amplifying bold, authentic conversations with young changemakers around the globe! This season, we're shifting our storytelling hub to Kigali, Rwanda, guided by our dynamic new host, Vivi Ndaya, a vibrant storyteller and musician whose African heritage fuels her passion for culture, creativity, and social impact.Together, we'll explore provocative topics like financial dependency versus foreign aid, accountability in the age of cancel culture, the real-world impact of influencer activism, and the hidden costs of changemaking. Expect deep conversations on overcoming imposter syndrome, managing relationships as a changemaker, and an interactive live listener Q&A finale.Join us, starting May 23, as we celebrate diverse voices, spark meaningful dialogue, and uncover powerful stories that inspire action and connection. This season promises authenticity, inspiration, and the tools to help you turn your moments into movements. Let's create change, one story at a time.Moments to Movements is presented by Peace First.It is executive produced by Isaac Cudjoe and Nadia Posada. Researched with help from Zachary Tombo.

Planet Sport Football Africa
25 April - Arsenal Africa Fan Festival - CAF African Schools Football Championship - race for UEFA Champions League places

Planet Sport Football Africa

Play Episode Listen Later Apr 24, 2025 29:31


This week we have a special report from the Arsenal Africa Fan Festival in Kigali, Rwanda, as Gunners fans from around the continent got together.We take a look at the CAF African Schools Football Championship 2025, taking place in Ghana.And with Liverpool likely to be crowned EPL champions this weekend, we look at the race for the Champions League places.

The Long  Form with Sanny Ntayombya
Is Rwanda Cooking the Numbers? | Ivan Murenzi on Poverty, Progress & Statistics | THE LONG FORM

The Long Form with Sanny Ntayombya

Play Episode Listen Later Apr 21, 2025 103:18


This week on The Long Form, Sanny Ntayombya sits down with Ivan Murenzi, the Director General of the National Institute of Statistics of Rwanda (NISR), for an unfiltered conversation on data, development, and the truth behind Rwanda's numbers.

Revue de presse Afrique
À la Une : Kabila le paria

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Apr 21, 2025 4:22


Les autorités congolaises tirent à boulets rouge sur l'ancien président.Kinshasa annonce en effet, relève le site Actualité CD, « l'ouverture de poursuites judiciaires contre Joseph Kabila, accusé de “participation directe à l'agression menée par le Rwanda à travers le mouvement terroriste AFC-M23“. Kinshasa ordonne aussi la saisie de l'ensemble de ses biens mobiliers et immobiliers. Des mesures de restriction de mouvement ont été prises à l'encontre de ses collaborateurs, présumés impliqués dans ce que les autorités qualifient d'“affaire de haute trahison à l'égard de la Nation“. Enfin, le ministère de l'Intérieur a pour sa part suspendu les activités du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (le PPRD), formation dirigée par Joseph Kabila. »Le cerveau du M23 ?« Coup de tonnerre sur la scène politique congolaise ! », s'exclame Afrik.com. Il s'agit là d'un « basculement inédit dans l'histoire récente de la RDC, poursuit le site panafricain. Joseph Kabila, président de 2001 à 2019 et aujourd'hui sénateur à vie, était jusqu'à récemment resté en retrait de la vie politique active. Mais son retour et les accusations portées contre lui pourraient bien faire voler en éclats l'équilibre fragile issu de la transition démocratique. À Kinshasa, pointe encore Afrik.com, certains hauts responsables vont plus loin encore, désignant ouvertement Kabila comme le cerveau de la résurgence du M23 sous l'étiquette AFC. Une accusation grave, lourde de conséquences, qui risque d'aggraver les tensions politiques alors que l'est du pays reste en proie à de violents affrontements et à une crise humanitaire persistante. La question maintenant est de savoir, s'interroge Afrik.com, si la RDC a besoin d'un tel scénario à ce moment précis. Les mesures que s'apprête à prendre le pouvoir contre l'ancien dirigeant ne risquent-elles pas de créer plus de problèmes que d'en résoudre ? »Quel rôle ?Ce qui a mis le feu aux poudres, c'est la présence de Joseph Kabila à Goma, ville occupée par le M23. D'après plusieurs sites d'informations congolais, l'ancien président est dans la capitale du Nord-Kivu depuis vendredi. D'après l'un de ses proches, interrogé par 7 sur 7, « Joseph Kabila est venu à Goma comme ambassadeur de la paix et non pour adhérer à une opposition armée. (…) C'est le début d'un marathon dans plusieurs parties du pays. »Il n'empêche, analyse Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, « le retour d'exil de Joseph Kabila à Goma, après un crochet par Kigali, qui soutient les rebelles, est un pari risqué qui semble confirmer la thèse de Kinshasa qui associe l'ancien président au M23 et au Rwanda. »Afrikarabia qui s'interroge : « quel rôle peut désormais jouer Joseph Kabila ? (…) L'ancien président est-il revenu pour initier une médiation dans le conflit à l'Est ? (…) Souhaite-t-il consulter l'ensemble des forces politiques pour un dialogue interne ? Pour quelles finalités ? Peut-il rejoindre l'initiative des Églises catholiques et protestantes ? (…) Dans l'incertitude politique créée par le chaos sécuritaire à l'Est, un espace politique existe bien entre le M23 et Félix Tshisekedi. Joseph Kabila espère (peut-être) pouvoir s'y glisser, dans le rôle du rassembleur. »Reste, pointe encore Afrikarabia qu'au « sein de la société civile, on garde un bien mauvais souvenir des années Kabila : tripatouillage électoral, répression sanglante, corruption et prédation… L'ancien maître du Congo, qui a gouverné 18 ans sans partage, ferait davantage partie du problème que de la solution. »À quand l'union sacrée ?La presse ouest-africaine s'interroge également : « que compte faire Kabila au juste ?, se demande le quotidien Aujourd'hui à Ouagadougou. Quel est son poids réel sur le mouvement AFC-M23 ? Que prépare Félix Tshisekedi contre lui ? Va-t-il le faire inculper ou même embastiller ? » Ledjely à Conakry se demande si les mesures prises par Kinshasa contre Kabila « ne sont pas de nature à isoler davantage le pouvoir congolais qui a pourtant besoin d'un minimum de consensus pour faire face à la crise politico-sécuritaire. »« On le voit bien, conclut L'Observateur Paalga, la RDC n'a pas mal qu'à sa rébellion à l'est. Elle est aussi malade de la rupture d'alliance entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila. Plus généralement, les politiques congolais peinent à trouver le plus petit dénominateur commun indispensable pour une vraie union sacrée du pays afin de gérer les multiples crises qui l'assaillent et dont la guerre à l'est n'est que le mouvement le plus visible du dandinement inquiétant de ce géant aux pieds d'argile. »

Invité Afrique
Conflit dans l'est de la RDC: «Le M23 a montré que son contrôle de la situation n'était pas total»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 9:48


Pour essayer de résoudre le conflit meurtrier dans l'est de la RDC, l'Union africaine va chercher aujourd'hui un médiateur qui vient d'un pays très éloigné du théâtre des opérations. Il s'agit de Faure Gnassingbé, le président du Togo. Pourquoi ce choix ? A-t-il plus de chances de réussir que son prédécesseur, l'Angolais Joao Lourenço ? Pour l'Institut Ebuteli, Pierre Boisselet est responsable des recherches sur les violences en République Démocratique du Congo. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.   RFI :  L'attaque des quartiers ouest de Goma le week-end dernier est-elle le signe que le M23 ne contrôle pas la totalité du territoire qu'il a conquis ces trois derniers mois dans l'est du Congo ?  Pierre Boisselet : Oui, en tout cas, c'est certainement le signe que leM23 n'est pas totalement en mesure d'assurer la paix et la sécurité dans le territoire sous son contrôle. Alors les événements du week-end dernier sont probablement les plus spectaculaires qui ont eu lieu, au moins depuis que le M23 a pris les villes de Goma et Bukavu, au début de l'année… Mais il y en a eu d'autres. On pense notamment aux explosions qui ont eu lieu à Bukavu peu après la conquête de cette ville, en marge d'un meeting de Corneille Nangaa. Il y a aussi eu ces derniers jours des incursions de miliciens wazalendo aux abords de la localité de Kavumu, au Sud-Kivu, où l'on trouve le principal aéroport de cette province du Sud-Kivu. Donc, on voit que, à plusieurs endroits et à plusieurs moments, le M23 a montré que son contrôle de la situation n'était pas total.Il y a un mois, le M23 s'est emparé aussi de la ville de Walikale, sur la route de Kisangani. Et puis, quelques jours plus tard, le mouvement rebelle s'est retiré de cette position importante. Est-ce un retrait stratégique ou politique ? Alors, c'est probablement un peu des deux. Ce qu'on peut dire, c'est qu'on a constaté que le M23 avait beaucoup de difficultés à maintenir ses lignes logistiques jusqu'à cette localité de Walikale qu'il venait de conquérir, notamment la route entre Masisi et Walikale n'était pas du tout sécurisée et les convois étaient à la merci d'attaques de harcèlement. Mais par ailleurs, ce retrait est aussi intervenu au moment où les discussions étaient relancées par le Qatar. Une des conséquences de la prise de Walikale, ça a été la fermeture de la mine d'Alphamin qui est contrôlée par des capitaux américains. Et donc voilà, le fait qu'il se soit retiré, ça a permis l'annonce au moins de la reprise de la production dans cette mine. Donc on peut imaginer qu'il y a pu aussi avoir des pressions politiques qui ont abouti à ce retrait.Et le retrait du M23 de Walikale a coïncidé avec la visite d'un émissaire américain à Kigali ?Tout à fait, Monsieur Boulos, qui d'ailleurs a lui-même annoncé la reprise des activités d'Alphamin dont je parlais à l'instant. Donc voilà, on peut imaginer qu'il y a eu un message de passé à cette occasion.Y a-t-il eu un deal entre messieurs Trump et Kagame ?Alors… Là, je ne saurais m'avancer jusque-là. Ce qu'on sait, c'est qu'il y a eu des discussions. Alors en réalité, surtout entre le gouvernement congolais et le gouvernement américain sur l'accès aux immenses ressources minérales congolaises. Alors est-ce qu'il y a eu d'autres négociations parallèles ? Ça, je ne le sais pas.Du côté des médiations internationales, le Qatar a réussi un joli coup, c'était le 18 mars dernier, quand il a réuni les présidents Tshisekedi et Kagame à Doha. Mais est-ce que cela n'a pas été un succès sans lendemain ? Alors c'est peut-être un tout petit peu tôt pour l'affirmer, mais c'est vrai que ça n'a pas forcément embrayé avec un processus très convaincant, je dirais. On sait que, depuis ce 18 mars, il y a eu des délégations du M23 et du gouvernement congolais qui devaient se rencontrer à Doha pour poursuivre sur la lancée du sommet. Mais à ce stade, il y a vraiment peu d'écho. Il semblerait qu'il y ait assez peu d'avancées dans ces discussions qui ont donc suivi le sommet.Dernière surprise, c'était le week-end dernier :  l'Union africaine a désigné le président togolais Faure Gnassingbé comme nouveau médiateur à la place de l'Angolais João Lourenço. Est-ce que João Lourenço se heurtait à la méfiance de Paul Kagame ? Ce qui n'est peut-être pas le cas du nouveau médiateur togolais ? Alors ce qui est certain, c'est que le Togo entretient de très bonnes relations avec le Rwanda. Ce qui était peut-être un peu moins le cas de João Lourenço. Donc ça, ça peut être un point positif.Faure Gnassingbé s'entend bien aussi avec Felix Tshisekedi ?Oui, il semblerait. Et donc, l'arrivée fracassante du Qatar dans cette médiation n'avait pas forcément été anticipée par l'Union africaine et l'a quelque peu marginalisée. Donc probablement qu'il s'agit aussi, au moins en partie, de replacer l'Union africaine dans cette médiation.En allant chercher un pays en Afrique de l'Ouest, très loin du théâtre des opérations ?Oui, notamment. Alors c'est vrai que, contrairement à João Lourenço d'ailleurs, le président togolais ne siège dans aucune de ces deux organisations que sont la SADEC et l'EAC, dont on connaît les tensions. Et donc ça pourrait lui donner un avantage en termes de neutralité. Mais peut-être que la difficulté, par contre, ça sera pour le président togolais d'arriver à convaincre les deux présidents d'arriver à un compromis. On ne voit pas forcément de quel moyen de pression, il dispose pour leur tordre le bras et y arriver.À lire aussiConflit dans l'est de la RDC: le président togolais désigné médiateur par l'Union africaine

Africalink | Deutsche Welle
Rwanda commemorates the 1994 genocide against the Tutsi

Africalink | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 25:22


Rwandans have been remembering victims of the 1994 genocide against the Tutsi in which more than a million people, mainly Tutsi, were massacred by Hutu militias. This year's anniversary comes as Rwanda faces accusations of backing M23 rebels in eastern DRC. DW talks to Freddy Mutanguha CEO of the Aegis Trust, an international organization working to prevent genocide and Alex Ngarambe in Kigali.

Reportage Afrique
Au Rwanda, des drones distribuent les soins et produits vétérinaires aux éleveurs éloignés

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Apr 12, 2025 2:20


Au Rwanda, comment les nouvelles technologies permettent-elles de faciliter le travail des vétérinaires et des éleveurs ? L'entreprise Zipline, connue pour son service de livraison par drones de poches de sang et de médicaments dans les centres de santé du pays, a lancé un nouveau programme depuis 2022, cette fois-ci dans le secteur animal. Les drones sont utilisés pour distribuer aux vétérinaires les vaccins et inséminations pour les élevages bovins et porcins. De notre envoyée spéciale à Muhanga,Dans la pharmacie de Zipline, les commandes de vétérinaires et éleveurs arrivent presque en continu. « C'est quelqu'un qui demande l'insémination artificielle pour une race sud-africaine », explique Pierre Kayitana, le directeur de l'entreprise au Rwanda.En quelques instants, tout le matériel est placé dans un carton doté d'un parachute. Les préparateurs sonnent une cloche. À l'extérieur, le pilote récupère le colis. « Il va scanner le code QR sur le paquet, comme cela le drone sait où aller. Nos drones sont autonomes, c'est beaucoup d'intelligence artificielle aussi parce que quand le drone quitte Muhanga, il doit arriver le plus tôt possible. Au retour, il doit faire des manœuvres pour se retrouver à la maison », selon lui.Des drones, aux allures d'avions miniatures, sont lancés quasiment chaque minute. Avec une vitesse de plus de 100km/h, ils atteignent les centres les plus reculés du pays bien plus rapidement que n'importe quel convoi. « Le point le plus éloigné de notre Zipline c'est Mibirizi. Par exemple, quitter Kigali et aller à Mibirizi, cela prend de 7h à 8h de route. Mais nous, on quitte ici Muhanga et on leur fournit des produits en moins de 40 minutes », détaille le directeur.À quelques kilomètres, dans son élevage porcin, Ernestine Muhawenimana marche le long des enclos vers sa dernière portée née il y a quelques semaines. « Quand on voit qu'une femelle est en chaleur, on passe une commande pour que les produits arrivent avec Zipline. On peut même choisir la race », s'enthousiasme-t-elle.Les drones lâchent désormais leurs colis à proximité, permettant d'éviter les retards ou les trajets posant le risque de dégradation des produits par la rupture de la chaîne du froid. « On inséminait parfois une femelle après sa période de fertilité à cause des retards. Cela ne marchait pas ou on avait des morts nés. Maintenant, on est livré à temps, les truies sont inséminées au bon moment, et nous n'avons ces problèmes comme avant », raconte-t-elle.Au Rwanda, près de 40 % des activités de Zipline concerne les services vétérinaires. Depuis 2022, l'entreprise estime avoir contribué à la naissance de près 70 000 porcelets.À lire aussiRwanda: les agriculteurs s'inquiètent de l'accès aux terres agricoles [3/3]

Informal Economy Podast: Social Protection
#43 Workers-led Delivery of Child Care in Markets

Informal Economy Podast: Social Protection

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 34:22


In this episode, we start a new building block of our social protection solar system with the first part of the topic on delivery and provision of social protection. We will be looking at the innovations in the delivery of services and cash grants, focusing on informal workers and on the role that informal workers organizations might have in improving access to these workers by facilitating the last mile delivery of services or benefits. To open this block, we will turn to Africa and look into three cases of provision of child care services. First, we go to South Africa, to talk to Richard Dobson about the pop-up child care facility in the Warwick Junction market, in Durban. Richard is an architect and co-founder of the NGO Asiye eTafuleni. Next, we move to Accra, in Ghana, to talk to Dorcas Ansah, WIEGO's Accra Focal city coordinator. We discussed the guidelines for implementing child care facilities in the Ghanaian capital markets and the plans for expanding the initiative. We finish our tour in Rwanda, where the market vendors association SITRIECY is also implementing child care facilities in the Kigali markets. We talked to SITRIECY's secretary-general and StreetNet International treasurer Jeanette Nyiramassengesho. She explained their approach to combine provision of child care for informal workers' children in markets with the creation of a community savings group. *** Learn more - WIEGO: Child Care in Markets: An E-Book https://www.wiego.org/research-library-publications/child-care-in-markets/ - Working in Warwick: Including Street Traders in Urban Plans https://www.wiego.org/research-library-publications/working-warwick-including-street-traders-urban-plans/ - WIEGO - Child Care in Markets project: https://www.wiego.org/project/child-care-markets/ - Guidelines and Standards for Day-Care Centres in and around Markets in Ghana, by Susan Sabaa, Dela Quarshie-Twum https://www.wiego.org/advocacy-worker-education-resources/guidelines-and-standards-day-care-centres-and-around-markets-ghana/ - Webinar: https://www.youtube.com/watch?v=wn9niHLL8vI - About Asiye eTafuleni https://aet.org.za/about-asiye-etafuleni/our-story/

Appels sur l'actualité
[Vos questions] RDC/Rwanda : un nouveau médiateur ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur la loi sur la chefferie traditionnelle au Bénin et les négociations entre Washington et Téhéran sur le nucléaire. RDC/Rwanda : un nouveau médiateur ?Le président angolais à la tête de l'Union africaine, également ancien médiateur entre Kinshasa et Kigali, a proposé le nom de Faure Gnassingbé pour poursuivre la médiation. Pourquoi le choix de João Lourenço s'est-il porté sur son homologue togolais ? Quelles relations Faure Gnassingbé entretient-il avec les deux parties ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Bénin : les chefs traditionnels réduits au silence politique ?Les députés ont adopté une loi visant « à clarifier et structurer » la chefferie traditionnelle au Bénin. Le texte interdit désormais aux rois et chefs traditionnels de s'impliquer dans la vie politique du pays sous peine de sanctions. Comment expliquer cette nouvelle disposition ? Comment les principaux concernés réagissent-ils ?Avec Jean-Luc Aplogan, correspondant de RFI à Cotonou.Iran/États-Unis : des discussions en cours sur le nucléaireAlors que Washington et Téhéran n'ont plus de relations diplomatiques depuis 45 ans, Donald Trump a annoncé des discussions « directes » sur le nucléaire iranien. Quelle est la position de l'Iran concernant ces négociations ? Pourquoi reprendre le contact maintenant alors que Donald Trump avait, lors de son premier mandat, retiré les États-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien ?Avec Thierry Coville, chercheur à l'Iris (Institut de relations internationales et stratégiques), spécialiste de l'Iran. 

Journal de l'Afrique
Rwanda : le conseiller de Donald Trump s'est entretenu avec Paul Kagamé

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 12:04


Massad Boulos, conseiller spécial pour l'Afrique du président américain Donald Trump, termine une tournée d'une semaine sur le continent africain. Lors de sa dernière escale, à Kigali, il s'est entretenu avec le président rwandais Paul Kagamé. Les discussions ont porté sur le renforcement de la coopération économique mais aussi sur la question de la paix dans la région des Grands lacs.

Habari za UN
08 APRILI 2025

Habari za UN

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 11:50


Hii leo jaridani tunakuletea mada kwa kina inayomulika shughuli za shirika lisilo la kiserikali la KINNAPA Development Programme la huko nchini Tanzania katika kutekeleza Malengo ya Maendeleo Endelevu likijikita zaidi katika usawa wa kijinsia. Pia tunakuletea muhtasari wa habari na mashinani:Uganda, ambayo tayari ni mwenyeji wa wakimbizi wengi zaidi barani Afrika, inakabiliwa na shinikizo kubwa baada ya wakimbizi zaidi ya 41,000 kutoka Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo DRC kuingia nchini humo tangu Januari mwaka huu, wakikimbia machafuko mapya mashariki mwa nchi yao limesema leo Shirika la Umoja wa Mataifa la kuhudumia wakimbizi UNHCR. UNHCR imesema watu walioko katika mazingira hatarishi wanatambuliwa kwa msaada maalum, huku familia zilizotengana zikisaidiwa kuunganishwa tena.Siku kumi baada ya matetemeko ya ardhi ya kutisha yaliyoitikisa Myanmar tarehe 28 Machi, idadi ya vifo inaendelea kuongezeka. Titon Mitra, Mwakilishi wa Kikanda wa Shirika la Umoja wa Mataifa la Mpango wa Maendeleo UNDP nchini humo, akiripoti leo akiwa katika jiji liloharibiwa sana la Mandalay, kwa njia ya video ameripoti kwa waandishi wa habari jijini Geneva, Uswisi akisema, “idadi ya vifo ya hivi karibuni imepita watu 3,500 na “inaweza kuendelea kuongezeka.”Kenya, Uganda na Rwanda zitanufaika na mpango wa mlo shuleni baada ya leo Shirika la Umoja wa Mataifa la Mpango wa Chakula Duniani (WFP) kutangaza kuwa linaendeleza ushirikiano wake na Taasisi ya Novo Nordisk, kupitia ushirikiano wa kihistoria kati ya sekta binafsi na ya umma unaojumuisha Wizara ya Mambo ya Nje ya Denmark na Taasisi ya Grundfos, ili kupanua mpango wa mlo shuleni kutokana na chakula kinachozalishwa ndani ya nchi husika. Ushirikiano huu utajenga mfumo wa msaada unaohakikisha uendelevu wa muda mrefu wa mpango huu.Na mashinani mashinani jana tarehe 7 Aprili hapa Umoja wa Mataifa kumefanyika kumbukizi ya miaka 31 ya mauaji ya kimbari nchini Rwanda ambapo mmoja wa wazungumzaji alikuwa Germaine Tuyisenge Müller, manusura wa mauaji hayo na wakati huo alikuwa na umri wa miaka 9 wakiishi mji mkuu Kigali.Mwenyeji wako ni Leah Mushi, karibu!

Platform Chats
Building Bridges (Literally) with Bridges to Prosperity

Platform Chats

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 43:59


Ditch the desk job—this Platform Chats episode takes us to Rwanda, where engineers swapped spreadsheets for socket wrenches and the cubicle for Kigali. Host Walt Blesser talks with Jim Costigan, PE, Senior Engineer – Field Services, Modjeski and Masters, and Erin O'Malley, PE, Bridge Engineer, HDR Engineering, about building a suspension bridge by hand with the local community through the organization Bridges to Prosperity.The featured keynote at the AREMA 2025 Railroad Bridge Symposium, Bridges to Prosperity, is a nonprofit organization that envisions a world without poverty caused by rural isolation and is dedicated to ending it one trail bridge at a time. From jet lag to hauling cables with no cranes in sight, they share how a simple bridge can transform lives and careers. If you think your job has challenges, wait until you hear this.Tune in for laughs, insights, and a reminder that real impact often happens off the tracks. For more information about Bridges to Prosperity, visit https://bridgestoprosperity.org/.

Journal de l'Afrique
Le président burundais affirme que le Rwanda a un plan pour l'attaquer, "regrettable" selon Kigali

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 14:20


Le président burundais Evariste Ndayishimiye a accusé son homologue rwandais Paul Kagame d'avoir "un plan pour attaquer" son pays, des propos que Kigali a aussitôt dénoncés et jugés "regrettables". Kigali soutient le groupe armé M23, qui s'est emparé avec l'appui de soldats rwandais de vastes régions de l'est du Congo au cours des derniers mois, notamment le long des frontières avec le Rwanda et le Burundi.

The Clement Manyathela Show
#702Openline: DRC, Rwanda peace talks & Gautrain

The Clement Manyathela Show

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 41:31


Clement Manyathela and the listeners share their thoughts on Qatar taking a step to mediate for peace between Rwanda and the DRC; and the decline of Gautrain passengersSee omnystudio.com/listener for privacy information.

Invité Afrique
Le Qatar «a longtemps voulu jouer un rôle dans la médiation entre la RDC et le Rwanda»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 4:14


Coup de théâtre au Qatar, où le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagame se sont rencontrés secrètement hier. Les deux chefs d'État ont décidé de « poursuivre les discussions entamées hier pour établir les bases solides d'une paix durable », dit le communiqué final. Jusqu'à présent, on croyait que l'Angola faisait médiation entre les deux pays en guerre. Mais après la rencontre d'hier, tout est en train de changer. Trésor Kibangula est analyste politique l'Institut congolais de recherches sur la politique, la gouvernance et la violence. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que vous êtes surpris par cette rencontre au Qatar ? Trésor Kibangula : Oui, comme tout le monde. C'était une grande surprise, en tout cas dans la forme, mais pas totalement dans le fond. Parce qu'on sait que Doha a longtemps voulu jouer un rôle dans la médiation entre la RDC et le Rwanda. On se souvient encore d'une tentative en 2023 déjà, mais jusqu'ici, Kinshasa s'y montrait toujours réticent, notamment parce que le Qatar est perçu par les autorités congolaises comme proche de Kigali, notamment avec des investissements au Rwanda et la construction d'un aéroport au Rwanda. Mais au regard des blocages dans les autres formes de médiation, je pense que cette rencontre offre quand même un progrès sur un point essentiel : elle permet aujourd'hui aux deux chefs d'État de se parler directement. Et c'est la première fois depuis des mois que Tshisekedi et Kagame se retrouvent face à face dans un cadre, où ils peuvent discuter sans intermédiaires régionaux.Il y a trois mois, une rencontre entre les deux présidents était déjà prévue, c'était à Luanda, mais à la dernière minute, Paul Kagame avait renoncé à y aller. Pourquoi ça a marché hier ? Plusieurs éléments ont évolué depuis décembre. Les contextes militaires et diplomatiques ont basculé. En décembre, Kinshasa refusait encore totalement l'idée de négocier avec le M23. Kigali, de son côté, a posé comme condition sine qua non des négociations directes entre le gouvernement congolais et les M23, ce que Tshisekedi refusait. Donc beaucoup de choses ont évolué. Les rapports de forces ont changé sur le terrain. Fin janvier, le M23 a pris le contrôle de Goma. Puis en février, Bukavu est tombé aussi. L'armée congolaise n'a pas réussi à reprendre l'initiative et, aujourd'hui, le M23 continue à consolider ses positions. Et sur le plan diplomatique, Kinshasa a finalement accepté l'idée de ce dialogue direct avec le M23. Et de l'autre côté, on voit aussi toutes ces sanctions qui tombent sur le Rwanda. Donc, je pense que, face à cette situation, les deux parties avaient finalement plus d'intérêt à parler aujourd'hui qu'en décembre.Dans le communiqué final d'hier soir, les deux chefs d'État insistent sur le processus conjoint, le processus fusionné, que l'organisation EAC des pays d'Afrique de l'Est et l'organisation SADEC des pays d'Afrique australe ont mis en place le mois dernier à Dar es Salam en faveur de la paix au Congo. Pourquoi cette attention particulière ? Je pense que l'initiative de Luanda n'avait pas vraiment réussi à avoir la confiance de Kigali. Elle était portée par l'Angola de manière plus ou moins isolée. Et aujourd'hui, Doha ne cherche pas à créer un énième format parallèle de médiation. Parce que, lorsqu'on lit les communiqués qataris, on voit très bien effectivement que ce sont les discussions sous l'égide de l'EAC et de la SADEC qui sont encouragées, ce qu'on appelle aujourd'hui les processus fusionnés. Je pense que ces choix peuvent s'expliquer par plusieurs facteurs parce que, un : il correspond aux préférences de Kigali qui a toujours misé sur ces processus fusionnés pour gérer la crise, parce que Kigali a une certaine influence sur l'EAC. Deuxième chose, c'est que ce choix de Doha de préférer les processus fusionnés permettent d'éviter un affrontement entre plusieurs initiatives concurrentes. Parce qu'on était un peu dans une cacophonie d'initiatives de médiation. Avec Doha, maintenant, on essaie de proposer une ligne et c'est le choix des processus fusionnés.Est-ce à dire que les premières négociations directes entre le gouvernement congolais et le M23 n'auront pas lieu à Luanda sous l'égide de l'Angola, mais quelque part ailleurs en Afrique, sous l'égide de ce processus fusionné entre l'EAC et la SADEC ?Ça devient vraiment très difficile d'envisager que la médiation angolaise puisse reprendre la main, à cause de ce déficit de confiance, surtout du côté du M23 et de Kigali. Mais comme les deux parties doivent se parler et qu'il y a eu un progrès avec la rencontre de Paul Kagame et de Félix Tshisekedi à Doha, on pense que le processus pourrait continuer, peut-être en marge des discussions EAC/SADEC qui se tiennent dans le cadre de ces processus fusionnés.À lire aussiTrésor Kibangula: «Doha a longtemps voulu jouer un rôle dans la médiation entre la RDC et le Rwanda»

Revue de presse Afrique
À la Une: rendez-vous manqué à Luanda

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 4:19


Revirement de dernière minute… La délégation de l'AFC-M23 ne se rendra pas ce mardi dans la capitale angolaise pour parler de la paix dans l'est de la RDC.La rébellion justifie cette annulation, précise Jeune Afrique, « par l'annonce, hier, de nouvelles sanctions imposées par l'Union européenne. Ces mesures visent plusieurs membres du M23, dont le président de sa branche politique, Bertrand Bisimwa, qui avait été officiellement invité par l'Angola à participer au dialogue. Outre des officiers rwandais sanctionnés pour leur soutien aux rebelles, ces mesures ciblent aussi différents cadres du mouvement, dont le “colonel“ John Imani Nzenze, chargé du renseignement au sein du M23, ou encore John Musanga Bahati, alias “Erasto“, nommé “gouverneur“ du Nord-Kivu après la prise de Goma ». « Sabotage ! »« L'AFC-M23 évoque (donc) un sabotage du processus de paix, pointe le site congolais Actualité CD. Le groupe rebelle estime que ces décisions (notamment les sanctions européennes) renforcent la position du président Félix Tshisekedi, qu'il accuse de poursuivre une politique belliciste. L'AFC-M23 affirme également que les forces congolaises et leurs alliés poursuivent leurs offensives sur plusieurs fronts, notamment par des bombardements aériens et l'utilisation de drones de combat CH-4. Selon le mouvement, ces attaques rendent toute négociation impossible ».« Presque simultanément aux sanctions européennes, relève pour sa part Le Monde Afrique, le Rwanda a décidé de “rompre les relations diplomatiques avec effet immédiat“ avec la Belgique. Kigali accuse l'ex-puissance coloniale d'avoir “pris parti [pour Kinshasa] bien avant et pendant le conflit en cours [en RDC]“ ».Le M23 en position de force…Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC s'interroge : « le choix de l'Union européenne d'annoncer des sanctions contre le M23 et le Rwanda la veille de négociations à Luanda était-il vraiment judicieux ? Et est-ce que l'annulation de la rencontre entre le M23 et le gouvernement congolais n'arrange finalement pas tout le monde ? Sur le carambolage de calendrier entre l'annonce de l'Union européenne et les négociations de Luanda, on peut clairement dire qu'il s'agit d'une erreur, estime Afrikarabia, permettant d'offrir, sur un plateau, un prétexte idéal au M23 pour claquer la porte. D'autant que les Européens planchent sur ces sanctions depuis plusieurs semaines. On peut également se demander, pointe encore le site, si les rebelles et Kinshasa avaient vraiment envie de cette rencontre surprise, organisée dans la précipitation par João Lourenço ? Le M23 est dans une telle position de force militaire qu'il peut tout se permettre en restant maître du jeu et des horloges ».En effet, « gagner du temps est plutôt favorable aux rebelles, qui continuent d'avancer sur le terrain, notamment en progressant vers la ville de Walikale. Face à une armée congolaise qui n'est plus offensive, le M23 peut espérer s'emparer de nouveaux territoires, au Nord, à l'Ouest et au Sud, laissant ainsi Kinshasa avec des marges de manœuvre de plus en plus limitées lorsqu'il sera venu le temps de négocier. Quant au pouvoir congolais, relève encore Afrikarabia, on sait que le président Tshisekedi, qui a répété à l'envi pendant de longs mois qu'il ne négocierait jamais avec le M23, semble vouloir retarder le moment fatal où il sera bientôt obligé de s'asseoir en face de la rébellion ».Responsable…Pour Ledjely en Guinée, « le M23 porte l'entière responsabilité de cette autre occasion manquée. Si les autorités congolaises avaient réussi à surmonter leurs réticences à dialoguer directement avec les rebelles, ce sont finalement ces derniers qui ont opté pour le boycott et la chaise vide. Ce choix du M23 est d'autant plus condamnable qu'il révèle le manque d'intérêt du mouvement rebelle pour le rétablissement de la paix et de la tranquillité. En particulier, se cacher derrière les sanctions adoptées hier par l'Union européenne pour refuser de participer aux négociations relève d'un chantage malsain ».Qui sera le « bon sapeur-pompier » ?Alors « et maintenant ? », s'interroge WakatSéra au Burkina Faso. « Que vaudra la “feuille de route“ accouchée par les ministres des Affaires étrangères de la Communauté de l'Afrique de l'Est et de la Communauté de développement d'Afrique australe, au cours de leur rencontre conjointe d'Harare, hier, sur la base des recommandations des chefs d'état-major des deux régions ? Luanda reviendra-t-il encore à l'ordre du jour, avec les sanctions prises et celles en vue, et que l'AFC-M23 pointe du doigt comme un frein à la marche vers la sortie de conflit ? (…) Pour le moment, soupire WakatSéra, la RDC attend toujours le bon sapeur-pompier, alors que les ingrédients s'accumulent dans la marmite et la rendent davantage explosive ! »

Tennis Legend Podcast
10 VICTOIRES d'affilée au Rwanda: L'épopée de Valentin Royer

Tennis Legend Podcast

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 40:34


Valentin nous raconte ses 2 titres consécutifs en challenger au Rwanda, à Kigali. 10 victoires épiques et beaucoup de tie breaks qui tournent en la faveur du français qui nous explique comment et pourquoi.

Chip & Charge – meinsportpodcast.de
Österreichische Meisterschaften in Rwanda

Chip & Charge – meinsportpodcast.de

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 72:35


Der Tennissport expandiert zunehmend in neue Märkte, und Afrika rückt dabei immer stärker in den Fokus. Mit dem Rwanda Challenger in Kigali findet bereits zum zweiten Mal ein ATP Challenger-Turnier in Zentralafrika statt. Das 14-tägige Event ist ein wichtiger Schritt für die Entwicklung des Tennissports auf dem afrikanischen Kontinent, der bisher nur wenige hochklassige Turniere beheimatet. Kigali, die Hauptstadt und größte Metropole Ruandas mit etwa 1,7 Millionen Einwohnern, gilt als eine lebendige und sich rasch entwickelnde Metropole im Herzen des afrikanischen Kontinents. Sie liegt im zentralen Teil Ruandas und ist nicht nur politisches und wirtschaftliches Zentrum des Landes, sondern auch ein kultureller ... WERBUNG 10 Euro gratis bei NEO.bet Sichert euch 10 Euro gratis beim Wettanbieter NEObet, ganz ohne Einzahlung. Einfach den Promotion-Code tennis10 bei der Registrierung auf neobet.de eingeben und sofort mit den 10 Euro loswetten. Link zur NEObet-Registrierung: https://neobet.de/de/Sportwetten#account/Account Du möchtest deinen Podcast auch kostenlos hosten und damit Geld verdienen? Dann schaue auf www.kostenlos-hosten.de und informiere dich. Dort erhältst du alle Informationen zu unseren kostenlosen Podcast-Hosting-Angeboten. kostenlos-hosten.de ist ein Produkt der Podcastbude.Gern unterstützen wir dich bei deiner Podcast-Produktion.

Africa Today
Mozambique: New deal does not include main opposition

Africa Today

Play Episode Listen Later Mar 10, 2025 35:34


Mozambique's President Daniel Chapo has started a dialogue with opposition parties on ending post-electoral tensions and reaching a political compromise. But his main political opponent was not included. Can there be a compromise deal without the participation of Venancio Mondlane? Why do so many African women die of breast cancer? It is now one of the top causes of cancer deaths on the continent. Cancer specialists met in the Rwandan capital, Kigali, to discuss how to bring the numbers down. And why has a move towards a royal divorce caused a scandal in the Zulu kingdom?Presenter: Audrey Brown Technical Producer: Jonathan Greer Producers: Sunita Nahar and Nyasha Michelle in London Senior Journalist: Patricia Whitehorne Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi

The Long  Form with Sanny Ntayombya
NFL Star Josh Doctson: Why he RETIRED from the NFL, FLED the US & moved his WHOLE family to RWANDA

The Long Form with Sanny Ntayombya

Play Episode Listen Later Mar 10, 2025 162:19


Our guest this week on The Long Form podcast is Josh Doctson. A former NFL star, Josh relocated his entire family to Rwanda and now plans to open the first ever high-end vegan restaurant in Kigali.We shall discuss his early life and sports career, the challenges he faced managing the millions of dollars he earned from the NFL, why he chose to leave the US permanently and settle in Kigali and also why he believes that veganism can work in Rwanda.Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Apple Podcasts https://podcasts.apple.com/rw/podcast/the-long-form-with-sanny-ntayombya/id1669879621Listen to the Long Form with Sanny Ntayombya podcast on Spotify: https://open.spotify.com/show/7HkkUi4bUyIeYktQhWOljcFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/TheLongFormRwFollow Long Form with Sanny Ntayombya on Instagram: https://www.instagram.com/thelongformrw/Follow Long Form with Sanny Ntayombya on TikTok: https://www.tiktok.com/@longformrwFollow Sanny Ntayombya on Twitter: https://x.com/SannyNtayombya About Long Form with Sanny Ntayombya:The Long Form with Sanny Ntayombya is a weekly podcast intent on keeping you up to date with current affairs in Rwanda. The topics discussed range from politics, business, sports to entertainment. If you want to share your thoughts on the topics I discuss use the hashtag #LongFormRw on Twitter and follow us on Twitter and Instagram on our handle @TheLongFormRwBe a part of the conversation.

The Shortwave Radio Audio Archive
Deutsche Welle (Kigali, Rwanda Relay): Circa 1971

The Shortwave Radio Audio Archive

Play Episode Listen Later Feb 17, 2025


Many thanks to SRAA contributor Dan Greenall, who shares the following recording and notes:Broadcaster: Deutsche Welle, Kigali, Rwanda relay 1971Frequency: 11.965 MHzReception location: Ancaster, Ontario, CanadaReceiver and antenna: Hallicrafters S-52 using a longwire antennaNotes: When this recording was made in 1971, the easiest way to add Rwanda to your "countries heard" totals was to log the Deutsche Welle (Voice of Germany) relay in Kigali. The station could be heard quite well here in southern Ontario, Canada even though broadcasts were not directed to eastern North America. My QSL card has them using 11965 kHz, however I am not fluent in German and this recording could possibly have been made on a different frequency. This relay station was closed down in 2015 after 50 years of operation.

Newshour
The Democratic Republic of Congo accuses Rwanda of "declaring war"

Newshour

Play Episode Listen Later Jan 26, 2025 47:28


Rwanda has sent troops across the border to the Democratic Republic of Congo to support the rebel M23 groups, triggering the Congolese foreign minister to call for international sanctions against Kigali. We speak to the UN force supporting the DRC national forces and a local journalist in Goma to find out the latest. Also on the programme: President Trump has said Palestinians should move from Gaza to neighbouring Arab countries, we speak to Richard Haass, President Emeritus of the Council on Foreign Relations; and the latest on the Presidential election in Belarus which EU leaders have labelled a farce.(Image: Internally displaced people who fled from various camps following fighting between M23 rebels and the Armed Forces of the Democratic Republic of the Congo, gather outside Saint Esprit parish in Goma, eastern Democratic Republic of Congo on January 26, 2025. Credit: Arlette Bashizi for Reuters)