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La classe politique française est secouée cette semaine par la déflagration née de la condamnation de Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires européens. Condamnée à cinq ans d'inéligibilité avec exécution immédiate, la double finaliste à la présidentielle entend rester candidate pour 2027, mais sans certitude de l'être. La question d'un plan B se pose inéluctablement. Dès lundi après la condamnation de Marine Le Pen, qui lui laisse désormais très peu de chances d'être dans la course à l'Élysée en 2027, le nom de Jordan Bardella pour la remplacer semblait relever de l'évidence. Une rumeur allait même jusqu'à suggérer un inversement du ticket, avec Marine Le Pen comme présidente et Jordan Bardella comme Premier ministre. Cependant, cette hypothèse a été rapidement écartée par le Rassemblement national (RN).En interne, un député va jusqu'à assurer que le parti n'a « même pas » à réfléchir à un plan de secours, car, selon lui, « Marine Le Pen est innocente ». Pourtant, rien n'indique que la Cour d'appel la relaxera à l'été 2026, ni même qu'elle bénéficiera d'un jugement moins sévère, notamment débarrassé de la fameuse « exécution provisoire ».Si Jordan Bardella lui-même affirme qu'il est de son devoir de se tenir « prêt », d'autres estiment qu'il doit encore « travailler ».Jordan Bardella ne fait pas l'unanimité au sein du partiEn effet, Marine Le Pen bénéficie d'un avantage certain : elle est un leader incontesté dans un parti historiquement contrôlé par sa famille de manière très verticale. Elle décide, et les autres exécutent, comme cela a toujours été le cas. Jordan Bardella l'a bien compris, même s'il est président du RN depuis deux ans et demi. Sa présidence, d'ailleurs, n'est pas de tout repos.Si les sondages montrent que l'eurodéputé de 29 ans est populaire et que sa campagne des européennes l'an dernier a été électoralement convaincante, des tensions avec des membres de la garde rapprochée de Marine Le Pen ont été rapportées dans la presse. Certains, en off, n'hésitent pas à souligner ses maladresses dans les médias ou son manque d'expérience. Ces dissensions se sont notamment révélées en novembre 2024, lorsque Jordan Bardella, lors d'une réunion de groupe, a violemment recadré le député Sébastien Chenu, lui reprochant ses médisances relayées dans la presse.Une guerre interne pourrait-elle donc éclater au RN ?On n'en est pas encore là, mais le parti joue gros avec l'affaire Le Pen. La prochaine étape, à l'été 2026, marquera le début d'une campagne électorale où aucune imprécision ne sera tolérée. Le déroulement du procès et la stratégie de défense choisie par Marine Le Pen pourraient alimenter des spéculations, aiguiser des appétits ou même favoriser la formation de clans. Marion Maréchal, par exemple, apparaît dans les sondages comme une alternative possible à Jordan Bardella. Bref, au-delà de la bataille de l'opinion engagée par le RN autour du cas Le Pen, une autre lutte pourrait rapidement émerger, ce que les adversaires du parti ne manqueront pas de suivre, voire d'attiser.Cela conduit un élu mariniste à résumer la situation ainsi pour l'été 2026 : « C'est soit Marine Le Pen, soit Marine Le Pen ».À lire aussiCondamnation de Marine Le Pen: le RN organise un rassemblement à Paris
Marine Le Pen pourrait être écartée de la présidentielle dans deux ans, après sa condamnation cette semaine à quatre ans de prison et cinq ans d'inéligibilité, avec application immédiate. Elle dénonce une décision « politique », parle de « tyrannie des juges » et de « profonde injustice », se posant en victime du système. Pour en parler, nous recevons Jean-Yves Camus, politologue, co-directeur de l'Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès et chercheur associé à l'Iris. Auteur de nombreux ouvrages, dont les Droites extrêmes en Europe avec Nicolas Lebourg, au Seuil. À lire aussiMarine Le Pen potentiellement empêchée en 2027, Bardella en plan B?
Jordan Bardella, présenté à tort ou à raison comme le plan B du RN, va devoir lui-aussi répondre à des accusations de détournement de fonds publics et recel, faux et usage ainsi qu'escroquerie.▶ Soutenez Le Média :
Alexis Brézet analyse la situation délicate de Marine Le Pen, candidate du Rassemblement National, face à la justice. Alors que la procédure judiciaire pourrait l'empêcher de se présenter en 2027, Marine Le Pen a choisi de rester candidate coûte que coûte. Cependant, cette décision implique une cohabitation complexe avec Jordan Bardella, son dauphin désigné. Les journalistes, les sondages et les rivalités internes risquent de mettre à rude épreuve ce tandem. L'avenir du parti dépendra de sa capacité à surmonter ces défis et à éviter la division.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la cour d'appel promet de juger à l'été 2026, Marine Le Pen persiste à se présenter en « candidate naturelle « du RN pour la prochaine présidentielle. Pense-t-elle pouvoir faire ainsi fi du jugement de lundi qui la condamne à l'inéligibilité ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 2 avril 2025 - Le Pen/ Bardella : ce qu'ils préparent...La cour d'appel de Paris va se dépêcher et Marine Le Pen va avoir droit à des délais plus courts que la moyenne pour être rejugée puisqu'elle envisage un nouveau procès dès l'an prochain avec "une décision à l'été 2026", soit bien avant la présidentielle de 2027. "C'est une très bonne nouvelle" a réagi la cheffe de file des députés RN au lendemain de sa condamnation pour détournement de fonds publics à 4 ans de prison, dont 2 ferme sous bracelet électronique, 100 000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité avec application immédiate, dans l'affaire des assistants parlementaires du Front national (devenu Rassemblement national).Un peu plus tôt, lors d'une session de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le ministre de la Justice avait fait savoir qu'il souhaitait "personnellement" que le procès en appel de Marine Le Pen, soit organisé dans le délai "le plus raisonnable possible". "Il appartiendra à la cour d'appel de Paris, parfaitement indépendante dans son organisation, de fixer la date de cet appel", avait ajouté Gérald Darmanin. De son côté le Premier ministre a fait part de ses "interrogations" quant à l'application immédiate de l'inéligibilité à laquelle Marine Le Pen a été condamnée. "Il se trouve que le seul point de l'exécution provisoire fait que des décisions lourdes et graves ne sont pas susceptibles de recours", a affirmé François Bayrou, disant toutefois ne "pas avoir le droit" de critiquer une décision de justice et soutenir, de manière "inconditionnelle", les magistrats. Il a aussi considéré qu'une "réflexion" devait "être conduite" par les parlementaires à propos de cette exécution provisoire de l'inéligibilité.S'engageant dans la même voie, le député Eric Ciotti (Union des droites), allié du Rassemblement national depuis les dernières législatives, a annoncé que son groupe présentera, lors de sa niche parlementaire de juin, une proposition de loi pour supprimer l'exécution provisoire des peines d'inéligibilité, qui installe, selon lui, une "peine de mort politique". "La loi à partir de laquelle les juges ont pris leur décision a été votée par le Parlement" et "c'est le Parlement qui décidera si, oui ou non, il convient de toucher à l'écriture de la loi", lui a répondu François Bayrou. De son côté, Marine Le Pen a réagi à cette annonce dans un entretien accordé au Parisien, indiquant avoir un faible "espoir". "Si on écoute leurs propos récents, il y a toute une série de groupes qui devraient le voter. Maintenant, il peut y avoir beaucoup d'absents…", a-t-elle souligné annonçant dans le même temps qu'elle allait saisir en référé la Cour européenne des droits de l'homme. Parallèlement, le président du RN Jordan Bardella a appelé les militants et sympathisants à se rendre à Paris dimanche prochain pour manifester. Mais contre qui ? Contre quoi ? Après deux jours d'attaques contre la "tyrannie des juges" dans la foulée de la condamnation de Marine Le Pen et du RN, Emmanuel Macron est sorti de son silence ce mercredi 2 avril. Se posant en "garant des institutions", il a notamment "rappelé", en Conseil des ministres, "que l'autorité judiciaire est indépendante" et "que les magistrats doivent être protégés et ont le droit d'être respectés".Des magistrats qui s'inquiètent des attaques répétées contre la justice, et observent une dérive en France comme dans d'autres pays. Dans les colonnes du Monde, le professeur de droit constitutionnel Dominique Rousseau soulignait il y a quelques jours la gravité de l'époque : "Nous sommes dans un moment historique où il y a une tension entre deux formes d'Etat : l'Etat de droit, où être élu par le peuple ne suffit pas ; l'Etat brutal, comme on le voit avec Trump, où l'élection est censée donner tous les droits". Et la France n'est pas à l'abri alertent des hauts magistrats du Conseil d'Etat et de la Cour de cassation.Les déclarations les plus frappantes, ces derniers mois, sont notamment venues du ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau : "L'Etat de droit, ça n'est pas intangible, ni sacré", a déclaré l'ancien sénateur LR de Vendée, dans un entretien au Journal du dimanche (JDD), à l'automne 2024. "L'Etat de droit a été dévoyé au point que la règle de droit ne protège plus la société française mais désarme l'Etat régalien. Quand une règle ne protège plus les Français, il faut en changer", a insisté le ministre en février, toujours dans Le JDD. Une position partagée par Laurent Wauquiez qui avait dénoncé un "coup d'État de droit" après la large censure du Conseil constitutionnel de la loi immigration. Il a également indiqué lorsqu'il présidait la région Auvergne-Rhône-Alpes qu'elle ne respecterait le dispositif de la loi "climat et résilience" sur la non-artificialisation des sols, avant finalement de faire machine arrière. Le président du groupe LR à l'Assemblée nationale appelle par ailleurs depuis plusieurs semaines à dissoudre l' Office français de la biodiversité (OFB), après avoir décrit ses agents comme "une coalition d'idéologues". Lors d'une audition devant la commission du développement durable de l'Assemblée nationale, le directeur général de l'OFB, Olivier Thibault, avait rappelé en janvier dernier, que ses agents avaient pour mission (entre autres) d'assurer la police de l'environnement. "Il s'agit de faire appliquer la législation que vous avez vous-même validée, au nom de notre cadre de vie", a-t-il expliqué aux députés. "Des gens me disent que le droit de l'environnement n'est pas aussi important que le 'vrai droit'. C'est choquant !"Les experts :- Benjamin MOREL - constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Paris 2 Panthéon-Assas, auteur de "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", publié aux éditions Passés composés - Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point - Nathalie MAURET - reporter politique pour le groupe de presse régionale Ebra - Bernard SANANèS - Politologue, président du cabinet d'études et de conseil Elabe
C dans l'air du 2 avril 2025 - Le Pen/ Bardella : ce qu'ils préparent...Les experts :- Benjamin MOREL - constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Paris 2 Panthéon-Assas, auteur de "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", publié aux éditions Passés composés - Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point - Nathalie MAURET - reporter politique pour le groupe de presse régionale Ebra - Bernard SANANèS - Politologue, président du cabinet d'études et de conseil Elabe
Francijas tiesa notiesā nacionālistu līderi Lepēnu. Trampa izteikumi ietekmē globālo ekonomiku. Gazas joslā atsākusies kara darbība. Aktualitātes pasaulē analizē atvaļināts vēstnieks un lektors Latvijas Universitātē un Juridiskajā augstskolā Gints Jegermanis un Latvijas Radio Ziņu dienesta ārzemju ziņu korespondents Rustams Šukurovs. Gaza – kurp bruģēts ceļš ar šāviņiem? Saskaņā ar sākotnējo Izraēlas un „Hamas” ugunspārtraukšanas vienošanos 1. martā bija jāsākas procesa otrajai fāzei, kurā Izraēla atvilktu savus militāros spēkus no Gazas joslas. Tomēr, februārim tuvojoties beigām, kļuva skaidrs, ka sarunas nonākušas strupceļā. Izraēla lika priekšā pirmās fāzes pagarināšanu par piecdesmit dienām, turpinot sagūstīto izraēliešu atbrīvošanu apmaiņā pret Izraēlas ieslodzījuma vietās turētajiem palestīniešiem, kam „Hamas” nepiekrita. Tiek lēsts, ka šobrīd palestīniešu teroristu rokās vēl varētu būt 24 dzīvi izraēlieši un 35 gūstekņu mirstīgās atliekas. 4. martā arābu valstu vadītāji nāca klajā ar plānu izveidot Gazā pagaidu pārvaldes komiteju Palestīniešu pašpārvaldes virsvadībā, kam pēc dažām dienām pauda atbalstu arī Lielbritānija, Francija, Vācija un Itālija. Izraēlas valdībā risinājums neguva piekrišanu. 2. martā tika bloķēta humānās palīdzības piegāde Gazas joslai, 9. martā pārtraukta elektroenerģijas padeve, bet 18. martā Izraēla atsāka karadarbību, vēršot pret Gazas joslu aviācijas un artilērijas triecienus. Gazas pārvaldes institūcijas jau pirmajā uguns atsākšanas dienā ziņoja par simtiem bojāgājušo, kam, kā līdz šim, nav iespējams gūt neatkarīgu apstiprinājumu. Ir droši zināms, ka līdz šim Izraēlas triecienos nogalināti vairāki „Hamas” komandieri, tai skaitā faktiskais Gazas valdības galva Isams al Dāliss. Plašu starptautisku rezonansi izraisījusi uguns atklāšana pa automašīnu kolonu, kurā bija attiecīgi apzīmēti medicīniskās palīdzības, ugunsdzēsības un Apvienoto Nāciju transportlīdzekļi, nogalinot piecpadsmit palestīniešu mediķus. Tikām 25. martā Gazas joslā aizsākās iedzīvotāju protesti pret „Hamas” varu, pieprasot tās aiziešanu un kara izbeigšanu, tomēr nav šaubu, ka atbalsts joslu pārvaldošajai teroristiskajai organizācijai iedzīvotāju vidū joprojām ir augsts. Tiek atzīmēts fakts, ka 18. martā – dienā, kad Izraēla atsāka uguni, – premjerministram Netanjahu bija paredzēts liecināt tiesā viņa korupcijas lietā, bet sakarā ar drošības situāciju tiesas sēde tika atlikta. Izraēlas premjerministrs ir nepārprotams taktisks ieguvējs no karadarbības atsākšanās, un tūlītējs tās rezultāts bija radikāli cionistiskās partijas „Ebreju spēks” atjaunotais atbalsts viņa valdībai, kuru šī partija atsauca pēc ugunspārtraukšanas vienošanās noslēgšanas 19. janvārī. Taču nav skaidrs, kāds ir premjerministra Netanjahu un viņa valdības stratēģiskais redzējums par Gazas joslas nākotni. Katrā ziņā šķiet, ka tas saistās ar pilnīgu joslas okupāciju un militārās pārvaldes ieviešanu uz ilgāku laiku. Tāpat nav šaubu, ka gan Netanjahu, gan viņa radikāli nacionālistiskajiem partneriem iedvesmojoša šķiet ASV prezidenta Donalda Trampa ideja par visu palestīniešu aizvākšanu no Gazas joslas. „Brīvības dienas” apmācies rīts Šodiena, 2. aprīlis, ir prezidenta Donalda Trampa nodēvēta par „Amerikas atbrīvošanas dienu”. Šodien jātiek izsludinātiem ievedmuitas tarifiem, kuri, kā pērnās nedēļas nogalē izteicās Baltā nama saimnieks, tikšot attiecināti uz importu no pilnīgi visām pasaules valstīm. Līdz brīdim trešdienas rītā, kad top šis teksts un Vašingtonā vēl ir pusnakts, nav skaidrs, kādas varētu būt jaunieviešamo tarifu likmes un kā tās korelēs ar jau līdz šim ieviestajām tērauda, alumīnija, automobiļu un dažu citu preču importam. Tiek gan piesaukta to valstu grupa, kuras eksportē uz Savienotajām Valstīm visvairāk, pie tam piemērojot savus ievedmuitas tarifus amerikāņu precēm, un, tātad, visdrīzāk dabūs just Trampa „atbrīvošanu” uz savas ekonomiskās ādas. Tās ir praktiski visas pasaules valstis ar nozīmīgāko ekonomikas apjomu, tai skaitā arī Eiropas Savienība kā veselums. Eiropas Komisijas prezidente Urzula fon der Leiena, vakar uzstājoties Eiroparlamentā, paziņoja, ka savienība ir jau sagatavojusi spēcīgu atbildes plānu. Konkrēti tarifi jau ir ieplānoti, atbildot uz līdz šim Vašingtonas ieviestajiem, taču to iedarbināšanu Brisele atlikusi līdz aprīļa vidum. Ja starp Savienotajām Valstīm un to tirdzniecības partneriem sāksies tarifu karš, tas draud globālajai ekonomikai ar recesiju, lai gan, kā norāda ekonomisti, pagaidām tās pazīmes vēl nav nepārprotamas. Savienoto Valstu sakarā piesauc vēl vienu, vēl potenciāli negatīvāku scenāriju – stagflāciju, respektīvi, izaugsmes apsīkumu savienojumā ar joprojām augstu dzīves dārdzību. Uz šādām perspektīvām pēdējās dienās nervozi reaģē vērtspapīru tirgi. Pirmdien akciju indeksi Japānā uzrādīja četru procentu kritumu, Dienvidkorejā – trīs procentu, apmēram procenta līdz pusotram procentam – Eiropas valstīs. Var piebilst, ka arī iepriekšējais mēnesis, pateicoties Donalda Trampa jau līdz šim ieviestajiem tarifiem, pasaules akciju tirgū bija ar 4,5% kritumu un negatīvākais kopš 2022. gada septembra. Toties eiro kurss piedzīvojis straujāko kāpumu pret ASV dolāru kopš 2022. gada novembra, ko iespaidojusi pieteiktā Eiropas Savienības aizsardzības izdevumu programma un Vācijas valsts aizņēmuma reforma. Tāpat rekordaugsta ir zelta cena, investoriem steidzoties apmainīt vērtību zaudējošos vērtspapīrus pret pārbaudīti drošu kapitāla glabāšanas līdzekli. Lepēnu diskvalificē 31. martā pirmās instances tiesa Parīzē atzina franču galēji labējās politiķes Marinas Lepēnas un divdesmit četru viņas partijas biedru vainu Eiropas Savienības līdzekļu nelikumīgā izlietošanā. Kā konstatēja izmeklēšana, no Eiroparlamenta piešķirtā finansējuma apmaksāti „Nacionālās apvienības” biedri, kuri teju nekad nav parādījušies Briselē vai Strasbūrā. Šādi divpadsmit gadu laikā „neceļos” aizgājuši apmēram četri miljoni eiro, un „Nacionālās apvienības” līdere personīgi ir atbildīga par 474 000 no šīs naudas. Spriedums ir bargs: Lepēnai piespriests četru gadu cietumsods, no kuriem divi gan piespriesti nosacīti, savukārt vēl divi – mājas arestā, un vēl aizliegums nākamos piecus gadus kandidēt uz politiskiem amatiem. Spriedums, protams, tiks pārsūdzēts, taču ir liela iespēja, ka daļā par politiskās darbības aizliegumu tas paliks spēkā un, tātad, politiķei būs liegta iespēja startēt 2027. gada Francijas prezidenta vēlēšanās. Līdz šim viņai bija visaugstākie reitingi, un kā visnotaļ reāla tika uzlūkota iespēja, ka pēc pāris gadiem Elizejas pilī saimniekos galēji labēja prezidente. Tiesa, izskan viedokļi, ka partijas popularitāti šis lēmums varot pat palielināt, un līdz ar to cerības uz uzvaru saglabājot Lepēnas protežē un domājamais funkciju pārņēmējs Žordans Bardella. Ir gan šaubas par divdesmit deviņus gadus vecā politiķa pieredzes trūkumu šādā politikās cīņas līmenī. Tiesas lēmumu jau kritizējuši Eiropas galēji labējo līderi, tādi kā Ungārijas premjerministrs Viktors Orbans un Itālijas vicepremjers Mateo Salvini. Tomēr par spriedumu neesot sajūsmā arī daudzi pašreizējā prezidenta partijas pārstāvji, kuriem nepatīk tā politiskais iekrāsojums. Kā izteicies Francijas tieslietu ministrs Žeralds Darmanēns, „Lepena būtu jāsakauj pie vēlēšanu urnām, ne ar citādiem līdzekļiem.” Sagatavoja Eduards Liniņš.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Marine Le Pen déclarée inéligible : injuste ?" et "Bardella, l'homme de la situation ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
Pour débuter l'émission de ce mardi 1er avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Didier Giraud, agriculteur, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent du sujet du jour : "Bardella, l'homme de la situation ?".
La condamnation de Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires européens a également un impact politique sur le statut de Jordan Bardella. Pour Ruth Elkrief, c'est l'enfant sacrifié de l'affaire parce que, de fait, il n'y a pas réellement de plan B comme Bardella. Elle se dit frappée par l'annonce de Marine Le Pen au JT 20H de TF1, qui a écarté la mise sur orbite à sa place de son dauphin. Même si Jordan Bardella ne possède pas la même expérience que Marine Le Pen, elle affirme que les électeurs sont déjà intégrés qu'il est un remplaçant possible, 35 à 36 % des intentions de vote pour le 1er tour. François Lenglet a évoqué une étude qui montre que la France est redevenue un pays d'héritiers. La part de la fortune héritée dans le patrimoine total est passée de 35 % dans les années 70 à 60 % aujourd'hui. D'après lui, cette fortune se concentre surtout sur les tranches d'âge les plus âgées. Les héritages passent des très vieux au vieux. Cela a été rendu possible grâce à la paix. La longue période de paix qui a suivi fige les statuts sociaux. La croissance des inégalités de patrimoine, c'est le résultat de nombreuses forces très difficile à contrer par la seule augmentation de la fiscalité sur l'héritage, conclut-il. Abnousse Shalmani est revenue sur la nomination de Hind Kabawat, l'opposante historique à Bachar Al-Assad, au poste de ministre des Affaires sociales et du Travail du nouveau gouvernement syrien samedi soir. C'est non seulement la seule femme du gouvernement, mais aussi la seule chrétienne. Elle incarne une Syrie inclusive qui pourrait offrir une réelle opportunité de bâtir une nouvelle Syrie. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Barbier et Cécile Cornudet réagissent à la condamnation de Marine Le Pen, mais aussi à la reprise du dialogue entre les présidents français et algérien Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Élise Goldfarb, entrepreneure. Périco Legasse, journaliste, chroniqueur gastronomique à Marianne. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Dans son zapping, Dimitri Vernet revient sur les évènements du jour sur Europe 1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
PRESS REVIEW – Tuesday, April 1: We bring you all the reactions from the French and international press after French far-right leader Marine Le Pen was found guilty of embezzlement and banned from running for public office. The immediate ban means she'll likely be ineligible for the 2027 French presidential elections. The international press, meanwhile, turn their attention to Jordan Bardella, the president of the National Rally and Le Pen's likely successor. We also look at reactions from the European far right. There's plenty of press reaction to Le Pen's conviction for embezzlement and her immediate, five-year ban on running for public office. One word from the French paper La Croix sums it up: "Ineligible". The paper says this court ruling is a huge shock for the far-right National Rally party and will throw the 2027 presidential election into disarray. La Croix hails what it sees as an inherently "legal decision", even if it has political ramifications. It adds that the ruling is based on laws and texts voted years ago. The paper expresses alarm at the response by the party's leader Jordan Bardella, who has decried the "execution" of French democracy. La Croix reminds readers that the justice system is for everyone, without exception.In the leftwing press, Libération says GUILTY in big, bold print on its front page. The communist paper, L'Humanité, revisits a slogan from the Front National, the previous name of the National Rally. The slogan was "clean hands, heads held high." It's corrected by L'Humanité to read: "dirty hands, heads hanging low". The editor of L'Humanité calls Le Pen's conviction a victory for democracy and the state of law and slams the reactions from the far right and the "Bolloré media". This is a reference to media magnate Vincent Bolloré, who is close to the far right. The latter have denounced a conspiracy against them.Speaking of the conservative media, Le Journal du Dimanche, a weekly paper that is owned by Vincent Bolloré, calls Monday's court ruling the day that destroyed Le Pen's presidential destiny. The paper laments what it sees as 20 years of her career being "annihilated" by one legal decision. The right-wing paper L'Opinion, meanwhile, calls it a political earthquake. Kak, the cartoonist, sees Le Pen hanging from a hook with the hammer of justice ready to nail her in. The paper's editor warns of "a huge moment of democratic danger" and says the court decision will paradoxically serve to feed populism. Le Parisien says it could transform Le Pen's right-hand man Bardella into a valued asset of the party.There is also lots of focus on Bardella in the international press. Politico notes that he has weathered nearly a decade in politics without losing his lustre. He is "polished, composed to a fault, with boy-next-door good looks and a carefully practiced smile". Bardella is a TikTok sensation and the only politician on the list of 50 most popular personalities in France compiled by a French newspaper. His popularity and the rise of the far right represent a "potential sea change in European politics", Politico says.For The Telegraph, the far right will survive this court ruling. It points to Bardella as a likely successor. He is "slavishly loyal" to her and recently published a bestselling memoir about growing up in an urban slum. However, his youth could be a hindrance. If one day he makes it to the Élysee palace, the irony would be that the anti-immigrant party's first president is ... the son of immigrants.In any case, far-right figures from Europe have rushed to Le Pen's defence. Italy's Matteo Salvini and the Netherlands' Geert Wilders have been quick to defend her and condemn the ruling with the slogan Je Suis Marine, which spreading on social media, according to a report from our FRANCE 24 web team. Hungary's Viktor Orban also used the slogan on social media to express his support for Le Pen. Paolo Lombardi, an Italian cartoonist, has reimagined Orban as Le Pen. Finally, Marten Wolterink, a Dutch illustrator, evokes the hypocrisy of the far right: Vive L'Europe as long as the money keeps coming in, embezzling funds but otherwise inherently Eurosceptic.
1) Marine Le Pen è stata condannata. La leader del partito di estrema destra francese Rassemblement National sarà ineleggibile per 5 anni. Il presidente del partito, Bardella, chiama una mobilitazione popolare. (Francesco Giorgini) 2) La rivoluzione globale di Trump. L'amministrazione statunitense, chiedendo alle aziende europee di cancellare i programmi di inclusione, punta alla conquista culturale del vecchio continente. (Martino Mazzonis - americanista) 3) Gaza, mille morti in 2 settimane. Israele continua a bombardare la striscia anche durante la festa per la fine del ramadan e ordina l'evacuazione della città di Rafah. Decine di migliaia di persone ancora in fuga. (Sami Abuomar) 4) In Myanmar le vittime del terremoto sono più di duemila. Si continua a scavare tra le macerie, mentre la distribuzione degli aiuti è complicata dal conflitto in corso. (Nicolò Tassoni Estense di Castelvecchio - Ambasciatore italiano in Myanmar) 5) A Madrid oggi un altro incontro sulla difesa europea: il G5+. I vertici si moltiplicano ma le decisione concrete scarseggiano. (Giulio Maria Piantadosi) 6) Turchia, dopo la grande manifestazione anti governativa del week end, ora per i manifestanti e l'opposizione di Erdogan è il momento della resistenza. (Serena Tarabini)
Condamnée à cinq ans d'inéligibilité, Marine Le Pen ne devrait pas pouvoir se présenter à la présidentielle de 2027. Au RN, on se prépare déjà à cette éventualité et on ne voit pas d'autre plan B que le plan Bardella. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le président du RN, Jordan Bardella est reçu en Israël ce mardi, invité par Benjamin Netanyahou, pour participer à une conférence internationale contre l'antisémitisme.▶ Soutenez Le Média :
Partagez votre opinion avec la rédactionDans cet épisode explosif, plongez au cœur de la controverse politique franco-israélienne avec Caroline Yadan, députée Renaissance des Français de l'étranger. Notre invitée décrypte l'invitation surprise de Jordan Bardella, président du Rassemblement National, à un colloque sur l'antisémitisme en Israël.Au programme :Les dessous de l'opération de séduction du RN envers la communauté juiveLe double jeu du parti d'extrême-droite face à l'islamismeLes liens troublants entre le RN et la RussieLa menace croissante de l'extrême-gauche pour les Juifs d'EuropeCaroline Yadan n'hésite pas à affirmer : "Jordan Bardella ne sera jamais un rempart pour les Juifs". Un podcast qui promet de faire réagir et de lever le voile sur les enjeux complexes de la lutte contre l'antisémitisme en France et à l'international.Support the show
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est une visite très polémique, y compris au sein même de la communauté juive : le président du Rassemblement national Jordan Bardella est en visite pour deux jours en Israël, à l'invitation du gouvernement de Benyamin Netanyahu. Et c'est une première : jamais un leader d'un parti d'extrême droite français n'avait été reçu en Israël. Écoutez l'analyse de Boaz Bismuth, député israélien, membre du Likoud, soutien du Premier ministre Netanyahu, et l'avocat français Patrick Klugman, coordinateur du collectif Freethem. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"On a rompu avec ce qu'a pu être le Front national" a lancé Jordan Bardella, invité en Israël pour participer à une conférence contre l'antisémitisme. Est-ce que cette ligne est bien suivie par tous les militants ? Écoutez Franck Allisio, député Rassemblement national des Bouches-du-Rhône. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Vincent Parizot du 26 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une visite très polémique, y compris au sein même de la communauté juive : le président du Rassemblement national Jordan Bardella est en visite pour deux jours en Israël, à l'invitation du gouvernement de Benyamin Netanyahu. Et c'est une première : jamais un leader d'un parti d'extrême droite français n'avait été reçu en Israël. Écoutez l'analyse de Boaz Bismuth, député israélien, membre du Likoud, soutien du Premier ministre Netanyahu, et l'avocat français Patrick Klugman, coordinateur du collectif Freethem. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"On a rompu avec ce qu'a pu être le Front national" a lancé Jordan Bardella, invité en Israël pour participer à une conférence contre l'antisémitisme. Est-ce que cette ligne est bien suivie par tous les militants ? Écoutez Franck Allisio, député Rassemblement national des Bouches-du-Rhône. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Vincent Parizot du 26 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Au programme : Bardella en Israël : le RN a-t-il tourné la page du FN ? // Comme plus de la moitié des Français, allez-vous boycotter les produits américains ?
durée : 00:55:02 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Bardella en Israël, de la récupération politique ?
durée : 00:04:09 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - En Israël, le Rassemblement national est maintenant bienvenu. Parce qu'il dénonce l'antisémitisme ? Ou parce qu'il soutient sans réserve Benjamin Netanyahu ?
Jordan Bardella et Marion Maréchal sont attendus en Israël ce mercredi. Tous deux sont invités par le gouvernement de Benyamin Netanyahou à participer à une conférence internationale sur la lutte contre l'antisémitisme. Méfiance, dit Ruth Elkrief. Le RN reste un parti populiste qui surfe sur les émotions. Pour elle, la position de méfiance des institutions juives de France, hostile à cette invitation, paraît totalement justifiée. Tesla est dépassé la Chine, en l'occurrence BYD, premier constructeur chinois. La Chine est en train de prendre l'ascendant dans la voiture électrique. En 2024, près de 4 millions de véhicules BYD ont été vendus, dont 1,8 million de véhicules électriques. François Lenglet reconnaît avance technologique spectaculaire de la Chine, et le fait que le marché chinois est aujourd'hui à 50 % détenu par l'électrique. Des dizaines de milliers de personnes manifestent tous les jours en Turquie. Pourtant, Abnousse Shalmani affirme que Erdogan a toutes les chances de gagner cette bataille. De plus, il bénéficie une sorte d'impunité après avoir arrêté son principal opposant. D'après Abnousse Shalmani, il est impératif de couper les subventions européennes accordées à la Turquie, de la retirer définitivement de la liste des pays candidats à l'Union européenne, de rayer l'idée de la voir participer à la sécurité européenne et de voter un moratoire sur sa présence dans l'Otan. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 31 mars, on saura. Si la décision de justice dans l'affaire des assistants parlementaires du RN, va redistribuer les cartes. Le Pen Marine: condamnée, jusqu'à l'inéligibilité? Comment peut elle réagir, et le parti, et le jeune loup Bardella, dont on dit que sa place commence à prendre trop de place. Avec nous, la fine fleur de la recherche et du journalisme sur les extrêmes droites: Sylvain Crépon, politiste, Université de Tours, qui suit le parti depuis la fin des années 1990; Samuel Tanner, politiste, de la belle Université de Montréal, qui travaille actuellement sur la radicalisation masculiniste sur TikTok ; et Michel Deléan, de la maison Mediapart, qui a suivi tout le procès. En seconde partie: notre club de la presse et le tour express de l'actualité de l'Extrême droite mondiale. Deux heures en direct, sur Mediapart et Au Poste (ici et sur Youtube) Après une saison 100% Au Poste, la S02 d'Extrêmorama signe la rencontre entre Au Poste et la maison… Médiapart. Un sainte et modeste alliance d'indés contre le péril facho. Toujours, et plus que jamais co-animé par l'historien Nicolas Lebourg et David Dufresne.
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 19 mars 2025 : Bardella face aux GG, le débrief, avec Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant, et Didier Giraud, éleveur de bovins.
Bienvenue dans le 84ème épisode de "Chez Kevin Razy". Avec mon pote sociologue Dr. Hamza, on se réunit pour parler de ce qui se passe dans la vie comme dans un groupe WhatsApp. Entre humour et sociologie, on ne s'interdit aucun sujet.Pour soutenir notre podcast :https://fr.tipeee.com/ckr-podcast/Rejoins notre canal Telegram :https://t.me/CKRnews▬▬▬▬▬▬ DANS CET EPISODE ▬▬▬▬▬▬▬On lit vos commentaires !HMD : 1 euro pour soutenirLe cas Christine KellyNotre épargne pour la guerreUn documentaire sur l'Algérie mis de côté par France TVNo comment : Aurore Bergé, Bardella, Israel, VSS, Cyril Hanouna et l'affiche de LFI▬▬▬▬▬▬▬ ON EN A PARLE ▬▬▬▬▬▬▬▬Livres :"Fake news: Évite de tomber dans le piège !" Kevin Razy, Hamza Garrush : https://amzn.to/3S9rOSz▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LA TEAM ▬▬▬▬▬▬▬▬▬Host : Kevin RazyGuest: Dr HamzaRéalisation & Montage : Gaëlle Cany Canian Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 02:58:26 - Le 7/10 - Jordan Bardella, président du RN, Jean-Marc Daniel, économiste, Boris Cyrulnik, neuropsychiatre, auteur de Quand on tombe amoureux, on se relève attaché (Odile Jacob), et l'actrice Juliette Gasquet, sont les invités du 7/10 de France Inter.
durée : 00:22:34 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le président du Rassemblement national Jordan Bardella s'oppose à une "Europe de la défense" qui reposerait sur "la spoliation des moyens de la France". Concernant l'Ukraine, il estime que "2025 doit être l'année de la paix".
durée : 00:22:34 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le président du Rassemblement national Jordan Bardella s'oppose à une "Europe de la défense" qui reposerait sur "la spoliation des moyens de la France". Concernant l'Ukraine, il estime que "2025 doit être l'année de la paix".
« Ce soir, notre Shiri est rentrée à la maison ». Ces mots de la famille de Shiri Bibas, sont à la Une du quotidien israélien Haaretz. « L'Institut national de médecine légale a confirmé que Shiri avait été assassinée en captivité et que sa dépouille se trouve désormais en Israël. » La famille de l'otage israélienne, accablée, a espéré jusqu'au bout pour Shiri et ses deux enfants. « Malgré nos craintes, nous continuions à espérer pouvoir les serrer dans nos bras. Et maintenant nous souffrons et nous sommes brisés », disent-ils.Hier, les dépouilles des deux petits garçons avaient été ramenées dans l'État hébreu, ainsi qu'un 3ᵉ corps qui s'était avéré ne pas être celui de la mère de famille israélienne. Cette fois-ci, il n'y a plus de doute, le 4ᵉ corps délivré par le Hamas est bien celui de Shiri Bibas. Haaretz publie la réaction du Forum des otages et des familles disparues, qui fait part de sa « grande douleur ». Les journaux israéliens insistent sur le fait que Shiri Bibas a été « assassinée en captivité », et non pas tuée par un bombardement israélien, comme l'affirme le Hamas.Geste provocateurÀ la Une également, un nouveau salut, interprété comme un salut nazi, aux États-Unis. Après Elon Musk, c'est cette fois-ci Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump qui a fait ce geste, bras droit tendu devant lui. Le New York Times précise que Bannon dément toutefois qu'il s'agissait d'un salut nazi. Dans un message, il assure « qu'il a salué comme d'habitude, le mouvement MAGA, Make America Great Again ». Les faits se sont déroulés lors de la Conférence d'Action Politique Conservatrice à Washington, à laquelle assistait le Français Jordan Bardella, le président du Rassemblement National (l'extrême droite française), qui a préféré, précise le New York Times, annuler son intervention, après le geste de Steve Bannon, expliquant « qu'un des intervenants avait fait un geste provocateur faisant référence à l'idéologie nazie ». Steve Bannon a aussitôt répliqué, en qualifiant Jordan Bardella de « joli garçon » « trop faible pour gouverner la France ». En Italie, le Corriere Della Serra, publie la photo de Steve Bannon le bras tendu, et cite Antonio Giordano, de Fratelli d'Italia, l'extrême droite italienne, selon lequel la salle devant laquelle s'exprimait Steve Bannon était « pleine de gens portant des kippas ». « Pensez-vous qu'il ait pu faire un salut nazi ? » ajoute Antonio Giordano. « Ne plaisantons pas » dit-il. « Je crois que Bardella s'en est tenu à un compte-rendu superficiel ».Radio à pilesL'actualité internationale, particulièrement anxiogène ces dernières semaines, inquiète semble-t-il l'armée belge. La question est en Une du quotidien belge Le Soir : « Cash, eau, médicaments, faut-il vraiment préparer un stock de guerre ? » « Le chef de la défense, Frederik Vansina », explique le journal, « a appelé les belges à se préparer à la guerre, en stockant de l'argent et des vivres », notamment au cas où « les réseaux bancaires ou d'approvisionnement en vivres seraient paralysés par des cyberattaques ». « Il pense bien sûr, nous dit le Soir, à une guerre hybride, mais la liste des menaces est longue. »La Commission européenne a d'ailleurs commandé un rapport sur ce sujet. L'accent est mis sur la communication à destination de la population, qu'on incite à se poser plusieurs questions comme celles-ci : « mes enfants connaissent-ils le numéro 112 ? (le numéro d'appel au secours), ai-je des copies de mes papiers d'identité ? est-ce que je sais comment couper le gaz et l'électricité rapidement ? » « Il n'est pas prévu toutefois d'envoyer une brochure d'information à tous les citoyens », « ce qui risquerait d'affoler la population » estime le Centre de crise belge, qui assure travailler prioritairement sur la « sensibilisation » « pour que la population apprenne à développer les bons réflexes ». Il est notamment question « d'un kit d'urgence », dans lequel on trouverait « une radio à piles », parce « qu'en cas de problème au niveau du réseau de télécommunication, la radio pourrait être un moyen de transmettre des messages à la population ».
REDIFF - Dans le procès des assistants parlementaires du RN, le parquet a requis contre Marine Le Pen, une peine de cinq ans d'inéligibilité. Pour celle qui vise l'élection présidentielle, c'est une mauvaise nouvelle. Mais comme toujours en politique, il existe un plan B, B comme Bardella. Il n'y a pas que le Rassemblement national qui est confronté à la question de l'avenir et des prochaines échéances politiques. Emmanuel Macron, Anne Hidalgo et Jean-Luc Mélenchon aussi doivent trancher la question de leur succession. Pour succéder en politique, faut-il forcément trahir ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Virginie Martin, politologue et professeure de sciences politiques à Kedge Business School. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
REDIFF - Dans le procès des assistants parlementaires du RN, le parquet a requis contre Marine Le Pen, une peine de cinq ans d'inéligibilité. Pour celle qui vise l'élection présidentielle, c'est une mauvaise nouvelle. Mais comme toujours en politique, il existe un plan B, B comme Bardella. Il n'y a pas que le Rassemblement national qui est confronté à la question de l'avenir et des prochaines échéances politiques. Emmanuel Macron, Anne Hidalgo et Jean-Luc Mélenchon aussi doivent trancher la question de leur succession. Pour succéder en politique, faut-il forcément trahir ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Virginie Martin, politologue et professeure de sciences politiques à Kedge Business School. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
REDIFF - Dans le procès des assistants parlementaires du RN, le parquet a requis contre Marine Le Pen, une peine de cinq ans d'inéligibilité. Pour celle qui vise l'élection présidentielle, c'est une mauvaise nouvelle. Mais comme toujours en politique, il existe un plan B, B comme Bardella. Il n'y a pas que le Rassemblement national qui est confronté à la question de l'avenir et des prochaines échéances politiques. Emmanuel Macron, Anne Hidalgo et Jean-Luc Mélenchon aussi doivent trancher la question de leur succession. Pour succéder en politique, faut-il forcément trahir ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Virginie Martin, politologue et professeure de sciences politiques à Kedge Business School. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Edouard Philippe, Jean-François Coppé, Manuel Bombard et Jordan Bardella.
A 10h45, ce lundi 6 janvier 2025, les GG : Zohra Bitan, fonctionnaire, Charles Consigny, avocat, et Frédéric Farah, économiste, débattent de : Bardella et Le Pen, personnalités politiques préférées.
Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 6 janvier 2025 : "La Coordination rurale bloquée par les forces de l'ordre", "Stop fraude, nouveau dispositif de la RATP et de la SNCF" et "Bardella et Le Pen, personnalités politiques préférées", avec Zohra Bitan, fonctionnaire, Charles Consigny, avocat, et Frédéric Farah, économiste.
À l'occasion de la sortie de son livre, Ce que je cherche, aux éditions Fayard, le président du Rassemblement Nation a accepté de revenir, pour VA+, sur les moments les plus importants de l'année 2024. L'occasion d'évoquer la crise des agriculteurs, la campagne européenne, législative et les Jeux Olympiques.
durée : 02:58:54 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - RISS, Jordan Bardella, Anne Levade, Dominique Rousseau, SCH et Inès Besbes sont les invités de ce mercredi. - invités : Jordan Bardella, Anne LEVADE, Dominique ROUSSEAU - Riss : Dessinateur de presse et caricaturiste français, Jordan Bardella : Président du Rassemblement national et député européen, Anne Levade : Professeure de droit public à l'université Paris I panthéon-Sorbonne, présidente de l'Association française de droit constitutionnel, Dominique Rousseau : Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006., SCH : Rappeur