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REDIFF - On la voyait souvent sur la plage de Ghjunchitu, un endroit qu'elle adorait, sable blanc, eau turquoise, le maquis tout autour. Elle cherchait ce petit coquillage emblématique de la Corse : l'oeil de Sainte Lucie, tout blanc avec une spirale au centre. Julie en faisait des bijoux qu'elle vendait au marché. L'œil de Sainte Lucie, ça porte bonheur, parait il. La Corse, c'était sa terre d'adoption, son coup de cœur. C'est là que la famille a passé ses vacances, bien souvent. C'est là que Julie a fait ses premiers pas. C'est là qu'elle rendra son dernier soupir, mais comment l'imaginer ? Dans chaque épisode, "Les Voix du crime" donne la parole à un témoin clé d'une affaire criminelle... Mais qui sont celles et ceux qu'ils ont côtoyés ? Celles et ceux qui trouvent leur place dans leur récit ? Isabelle Choquet dresse le portrait d'une figure incontournable de ces crimes qui ont marqué l'histoire judiciaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - On la voyait souvent sur la plage de Ghjunchitu, un endroit qu'elle adorait, sable blanc, eau turquoise, le maquis tout autour. Elle cherchait ce petit coquillage emblématique de la Corse : l'oeil de Sainte Lucie, tout blanc avec une spirale au centre. Julie en faisait des bijoux qu'elle vendait au marché. L'œil de Sainte Lucie, ça porte bonheur, parait il. La Corse, c'était sa terre d'adoption, son coup de cœur. C'est là que la famille a passé ses vacances, bien souvent. C'est là que Julie a fait ses premiers pas. C'est là qu'elle rendra son dernier soupir, mais comment l'imaginer ? Dans chaque épisode, "Les Voix du crime" donne la parole à un témoin clé d'une affaire criminelle... Mais qui sont celles et ceux qu'ils ont côtoyés ? Celles et ceux qui trouvent leur place dans leur récit ? Isabelle Choquet dresse le portrait d'une figure incontournable de ces crimes qui ont marqué l'histoire judiciaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:24 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Leila Djitli - Au moment où l'actualité fait état d'un engouement des citoyens à faire justice eux-mêmes, une procureure nous raconte le quotidien judiciaire d'un tribunal de grande instance dans une ville moyenne du sud de la France. - réalisation : Clémence Gross
durée : 00:30:18 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Leila Djitli - Les grenouilles d'Annie et Michel Pecheras coassent dans une mare en Dordogne. Le coq de Corinne Fesseau chante tous les matins une demi-heure sur l'île d'Oléron ? Les deux animaux et leur propriétaire sont convoqués devant un juge pour nuisances sonores ! - réalisation : Anne-Laure Chanel
durée : 00:28:39 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - Camille a été violée par un metteur en scène alors qu'elle étudiait au conservatoire. Huit ans après, elle mène l'enquête pour retrouver d'autres victimes. Marie a été victime du violeur récidiviste Florian Varin condamné en 2021. Dans le bureau de la juge, elle rencontre plusieurs co-victimes. - réalisation : Étienne Gratianette
Émission spéciale pour clôturer la saison de Rendez-vous en terre digitale !Depuis l'Astrolabe l'école des métiers de la pédagogie de Flowbow, nos deux singes embarquent dans une arche de Noé pédagogique haute en couleurs.Dans ce podcast rempli d'animaux, chaque animal (
Le 10 juin 2025, 37 ans après l'assassinat de Dulcie September à Paris, c'est la douche froide pour les proches de la militante anti-apartheid. La justice vient de les débouter : selon elle, l'État n'a pas commis de faute dans l'enquête sur son assassinat. Cette procédure était l'ultime chance pour les proches de Dulcie, dont son neveu Michael, de faire reconnaître la responsabilité de l'État français dans cette affaire qui reste non-élucidée. Pourtant, avec la chute du régime d'Apartheid, le nom d'un suspect a émergé : celui d'un mercenaire appelé Jean-Paul Guerrier. Personne ne l'a jamais cherché. De même, l'avocat de la famille Me Yves Laurin a eu accès à des mètres d'archives sur l'assassinat de Dulcie et des zones d'ombre demeurent... La voix du crime de ce second épisode sur l'affaire Dulcie September, c'est toujours Jacqueline Dérens, collaboratrice et amie de la militante. Elle raconte comment elle entretient aujourd'hui la mémoire de sa camarade. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous voici pour les interviexs de PodRennes pour l'éddtion 2025.J'ai pris mon temps, pardon si vous vouliez que ça sorte vite, mais la vie à fait que je n'y ai pas consacré autant de temps que d'habitude et ce n'était pas une raison pour faire un épisode bâclé.PodRennes est un festival auquel je tiens comme la majorité d'entre vous.PodRennes c'est Badgeek qui organise mais c'est pour vous, avec vous et surtout grâce à vous.https://www.badgeek.fr/don/
Nous sommes le 29 mars 1988, à Paris. Il est un peu moins de dix heures du matin. Rue des Petites-Écuries, dans le Xe arrondissement, une femme s'apprête à ouvrir la porte des bureaux de l'ANC, le Congrès national africain. C'est là, sur le palier qu'elle est abattue soudainement de cinq balles dans la tête. Tirées à bout portant. Avec un silencieux. Elle s'appelle Dulcie September. Elle est Sud-africaine. Elle a 52 ans. C'est une militante contre l'Apartheid qu'on vient d'abattre. Une femme surveillée. Menacée. Et une victime, surtout, d'un crime politique... resté impuni. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 29 mars 1988, Dulcie September est assassinée au 28 rue des Petites Ecuries dans le Xe arrondissement de Paris. C'est à cette adresse qu'elle militait contre l'apartheid qui sévissait dans son pays d'origine, l'Afrique du Sud. Depuis son arrivée en France, elle enquêtait aussi sur les liens entre les deux pays, en plein embargo militaire décrété par les Nations Unies contre le régime de Pretoria. Dulcie September savait que son travail dérangeait. Elle se sentait surveillée, menacée. L'enquête ouverte pour assassinat est rapidement classée. Et encore aujourd'hui, son crime n'a jamais été élucidé. Au grand dam de ses proches et de sa famille. La voix du crime de ce premier épisode sur l'assassinat de Dulcie September, c'est Jacqueline Dérens, amie et collaboratrice de la militante anti-apartheid dans les années 80. Elle raconte au micro de Marie Zafimehy "le choc terrible" qu'a été la mort de Dulcie September, et les débuts de la première enquête ouverte par la justice française.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En écho à la Fête de la radio, L'atelier des médias reçoit la fondatrice de Radio Begum, produite par et pour les femmes en Afghanistan. Hamida Aman raconte le défi quotidien de cette radio qui diffuse des cours aux filles privées d'enseignement et apporte conseils et soutien psychologique. Depuis le retour des talibans au pouvoir à Kaboul le 15 août 2021, la vie des femmes afghanes est faite d'interdictions. Face à cette situation, un média unique offre un espace de vie, d'éducation et de soutien : Radio Begum, pensée et faite par et pour les femmes afghanes.Lancée le 8 mars 2021, Radio Begum diffuse en FM via 18 antennes relais couvrant 20 provinces. Elle est aussi disponible par satellite et sur Internet.Au micro de L'atelier des médias, sa fondatrice Hamida Aman commence par rappeler l'importance du média radio en Afghanistan (« le média le plus accessible, le plus répandu ») puis raconte le contexte de violence et de déscolarisation dans lequel elle a lancé Radio Begum.La grille des programmes de cette radio est centrée sur l'éducation, avec 6 heures de cours radiophoniques par jour (3h en dari, 3h en pachto). Cette initiative, inspirée par le projet australien School of the Air, a pris tout son sens avec la fermeture des écoles secondaires pour filles. Des cours, enregistrés en studio, sont écoutés dans des « écoles secrètes » ou souvent par des groupes de sœurs, offrant une « fenêtre sur l'extérieur » et un espoir d'échapper au mariage précoce.Radio Begum est aussi une « caisse de résonance » du mal-être des femmes afghanes. Elle propose des programmes de soutien psychologique où des psychologues répondent aux appels de femmes exprimant leur détresse. Dans un pays où l'accès aux soins est difficile, les appels concernant la santé sont également nombreux. Les autorités talibanes, notamment le ministère de la Culture et le ministère des Vices et des vertus, surveillent la station et émettent des avertissements sur des sujets sensibles, comme la contraception.Radio Begum a récemment été suspendue suite à l'arrestation de deux employés accusés de collaborer avec des médias étrangers, en l'occurrence Begum TV. Lancée depuis Paris, Begum TV diffuse des contenus similaires, notamment des vidéos des cours scolaires, disponibles aussi sur une plateforme digitale et l'application Begum Academy. L'objectif est d'offrir un certificat reconnu par certaines universités étrangères, donnant une perspective d'études en ligne aux filles.Financée par des entités comme l'ONU, le ministère français des Affaires étrangères, l'Union européenne et par des dons privés, Radio Begum « se substitue en fait à l'État » en fournissant des services essentiels, explique Hamida Aman avant d'exprimer son admiration pour les femmes afghanes.
C'est un principe indiscutable, presque une évidence en travail social. L'accompagnement des personnes nécessite du temps et de la continuité. Et donc, de la part des professionnels, de l'engagement et de la stabilité.Or, ces dernières années, les professionnels se font rares, difficiles à recruter. Le turnover s'aggrave et le recours au CDD et à l'intérim est progressivement, mais sûrement, devenu la norme dans les structures, avec toutes les difficultés qui l'entraînent.La faute à qui ? Sans aucun doute aux conditions de travail qui se dégradent, aux salaires insuffisants, et à l'absence de reconnaissance.Cela tient-il aussi à l'immaturité de professionnels entrés trop jeunes dans le métier, ou encore aux attentes supposées de cette génération qu'on appelle la " Gen' Z ", dont le rapport au travail serait différent ? Peut-être. Le fait est que l'engagement sur le long terme n'est plus l'évidence qu'il a pu être dans le social.Élisa, éducatrice spécialisée - actuellement en cours de VAE pour obtenir un diplôme qu'elle n'a pu décrocher en fin d'études - a fait ce choix pour le moment de n'exercer que dans le cadre de remplacements, plus ou moins long. À 24 ans, c'est la pratique qui lui convient, pour plusieurs raisons. Elle a bien voulu nous expliquer lesquelles, avec le souci de déconstruire les préjugés et de montrer que l'engagement au travail n'est pas toujours là où on le croit et peut prendre diverses formes au cours de la vie professionnelle.➡️Si vous souhaitez à votre tour participer au podcast Les Voix du Social, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante : lemediasocial@lefebvre-dalloz.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 6 mai 2012, à Échirolles, dans l'Isère. Ce matin-là, Malik Boutvillain, 32 ans, sort faire son jogging. Sans téléphone. Sans papiers. Sans argent. Juste ses clés. Mais ce jour-là, il ne reviendra pas. C'est le début d'un mystère long de plus d'une décennie. Une affaire où les hypothèses se heurtent à l'indifférence. Où la justice semble avoir démissionné. Et où une mère, deux sœurs et leur avocat refusent d'abandonner. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
80 % des femmes de ménage en France sont issues de l'immigration et une grande partie d'entre elles travaille dans des conditions précaires, avec des horaires décalés et des rémunérations bien en dessous de la moyenne. Ces femmes, souvent invisibilisées, nettoient nos espaces, prennent soin de nos aînés, et effectuent des tâches indispensables à notre société, tout en étant rarement valorisées ou écoutées. Elles travaillent dans des emplois essentiels mais sous-valorisés, où leur quotidien reflète une double oppression, à la croisée du genre et de leur couleur de peau et/ou origine. Pendant des décennies, les féministes occidentales ont revendiqué leur rôle de guides et de sauveuses pour les femmes du Sud, imposant leurs propres visions de l'égalité sans toujours écouter celles qu'elles prétendent défendre. Mais cette posture, souvent empreinte de paternalisme, n'est-elle pas une nouvelle forme de colonialisme ? Comment peut-on prétendre lutter pour l'émancipation tout en perpétuant les logiques de domination ? Aujourd'hui, nous explorons ces contradictions et donnons la parole à des voix qui dénoncent et déconstruisent ce féminisme hégémonique pour imaginer des luttes véritablement inclusives et solidaires.Dans cet épisode, nous cherchons à comprendre ce qu'est le féminisme décolonial, ce qu'il tend à mettre en avant et comment nous pouvons être des alliées pour toutes les femmes et lutter contre le féminisme civilisationnel. Pour cela, nous échangeons avec Françoise Vergès : autrice, militante, curatrice indépendante. Françoise Verges est une historienne et politologue féministe, antiraciste et décoloniale., membre émérite de Sarah Parker Remond Center for the Study of Race and Racialization, UCL Londres. Françoise Vergès est aussi l'autrice du livre Un féminisme décolonial, publié en 2019 aux éditions La Fabrique. Suivez-moi sur instagram : @atouslesniveaux Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 6 mai 2012, Malik Boutvillain, 32 ans, prévoit d'aller voter au second tour de l'élection présidentielle. Il en profitera pour déjeuner avec sa mère assesseure d'un bureau de vote à Echirolles, près de Grenoble. Mais avant ça, Malik se prépare pour un footing. Comme d'habitude, il ira courir à la Frange Verte, le parc près de chez lui. Les heures passent et sa mère l'attend. Malik ne se présente pas à leur rendez-vous. Il ne répond pas au téléphone, ne donne aucun signe de vie. Le grand gaillard d'1m87 s'est tout simplement volatilisé... Commence une quête de vérité qui dure depuis 13 ans. Où est passé Malik ? Est-il vivant ? La voix du crime de cet épisode, c'est Dalila Boutvillain, la grande sœur de Malik. Elle raconte au micro de Marie Zafimehy son combat pour que la disparition de son frère soit prise au sérieux par les autorités. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueDans cet épisode spécial, je (Marine Lefort, l'hôte de ce podcast) passe de l'autre côté du micro. Interviewée par mon compagnon Florian, je reviens sur mon parcours, les projets que je mène en France et au Japon, et l'accompagnement que je propose aux photographes.Je parle aussi de l'évolution du podcast, de mon travail éditorial avec Gallimard, Fisheye, The Eyes, et de mes expériences à la résidence Villa Kujoyama, le festival Kyotographie, l'école des Gobelins ou à les Rencontres de la Photographie à Arles.J'espère que cet échange sincère vous permettra d'en savoir plus sur mes projets à côté de mon podcast Les Voix de la Photo.Bonne écoute !00:00:34 - Introduction de l'épisode spécial avec Florian00:02:51 - Le parcours de Marine jusqu'à un départ au Japon en 202200:04:03 - Travail au Japon : à la résidence Villa Kujoyama (Institut Français) et au festival Kyotographie à Kyoto00:04:40 - Retour en France et nouveaux projets00:05:39 - Collaboration avec des éditeurs (Gallimard, Fisheye et The Eyes) et des photographes00:07:41 - Accompagnements et projets avec des photographes00:12:38 - L'avenir du podcast Les Voix de la PhotoCrédit photo : Samuel KirszenbaumMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Envie de rendre la formation plus fun et efficace ? Découvrez la gamification avec Flowbow !Vous vous demandez comment le jeu peut vraiment transformer l'apprentissage ? Ne manquez pas le nouvel épisode des " Voix du Digital Learning" ! Cette fois, Clément et Olivier s'attaquent à la gamification, et pour en parler, ils ont invité du lourd : Willem Rodier et Jonathan Piarrat, les co-fondateurs de Flowbow. Flowbow, c'est leur bébé : une entreprise qui crée des formations sur mesure et qui utilisent des jeux pédagogiques qu'ils conçoivent et produisent pour leurs clients. Leur duo est atypique : Jonathan est psychologue cognitiviste et Willem, un pro de la formation et des RH; et ils ont uni leurs expertises pour fonder leur "société à mission" où l'humain et l'efficacité de l'apprentissage sont au cœur de Flowbow.Au menu de cette discussion :
Nous sommes le 11 juin 1999, à Paris, dans le XIIIᵉ arrondissement. Ce jour-là, une femme de 56 ans, Michèle Gaboriau, mère de deux enfants, ne se présente pas à son déjeuner prévu avec une amie. Cette ancienne salariée d'Air France avait aussi un rendez-vous médical dans la matinée. Mais là encore, personne ne l'a vue. En quelques heures, Michèle Gaboriau a disparu. Sans un mot, ni bagage. Pas de traces non plus de sa voiture. La dernière personne à l'avoir vue est son mari, qui tient une maison de la presse dans le quartier. Le couple a d'ailleurs diné ensemble la veille au soir... Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:30:57 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - L'Océan, un orchestre polyphonique, bien loin du monde silencieux attendu. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Laurent Chauvaud Directeur de recherche au CNRS, océanographe à l'Observatoire marin de Brest
Le 11 juin 1999 à midi, Jean-Michel Gaborieau appelle sa fille Céline pour se plaindre : sa mère, Michèle, n'est pas venu le remplacer dans sa boutique pour le déjeuner. Le couple est en train de se séparer, et il n'a aucune nouvelle d'elle depuis la veille et leur dîner en tête à tête. Céline, elle, a dormi chez sa grand-mère et s'est rendue au lycée où elle se prépare à passer le bac.Tout ce qu'elle sait c'est que sa mère avait rendez-vous avec une ancienne collègue. Un jour passe, puis deux, puis trois... Céline cherche sa mère partout, et se met à douter : Jean-Michel ne lui semble pas très inquiet. Son propre père est-il impliqué dans toute cette histoire ? Qu'est-il arrivé à Michèle, sa mère ? La voix du crime de cet épisode présenté par Marie Zafimehy, c'est Céline Gaborieau, la fille de Michèle, la disparue. Elle raconte ses 25 ans de recherches et son intime conviction : sa mère n'a pas simplement disparu, elle a été tuée... et son père est impliqué.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:19 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Fils de fer, bobines ou cassettes, les supports des enregistrements évoluent, et représentent aujourd'hui un véritable défi pour les archivistes. Comment inventorier, protéger et valoriser les archives sonores du PCF ? - réalisation : Anne Fleury
durée : 00:58:15 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Ces enregistrements éclairent la trajectoire politique du PCF, mais plus encore, ils ressuscitent une atmosphère. Manières de parler, d'interrompre, de se comporter : ces archives révèlent les codes et les habitudes qui font la vie du parti. - réalisation : Anne Fleury
durée : 00:58:21 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Fidèle au centralisme démocratique et aligné sur le modèle soviétique, le PCF surveille attentivement ses membres et sanctionne celles et ceux qui s'éloignent un peu trop de la ligne du parti… - réalisation : Anne Fleury
durée : 00:58:09 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Le PCF rassemble moins de voix que le FN lors du premier tour des élections présidentielles de 1988. Ce résultat est un choc annonciateur d'une période de déclin des idéaux communistes, sur le plan national et international. - réalisation : Anne Fleury
Aurélien Caillaux et Benoit Bories ont enregistré, sur quatre saisons, tous les gestes et savoir-faire des habitant.es et paysann.es des Hautes-Corbières. Ensemble, ils esquissent ce que pourrait signifier « habiter avec attention ». Ce qui passe par la Terre est le récit sonore, documentaire et musical de ce lien quotidien qui se tisse entre différentes personnes et leur pays. Réalisation Aurélien Caillaux et Benoit Bories, coproduction Reconnexions Département de l'Aude / RTBF La Première / Les Voix de Traverse / Faïdos Sonore Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
5 février 2018, à la Cour d'assises de Douai, dans le Nord. Comparaît Rudy Sauvage, 32 ans, un tatoueur de Denain, près de Valenciennes.bFace à lui, trois femmes, victimes d'agressions sexuelles et de violence. L'une d'elle s'appelle Tiphanie Bel. Pendant presque un an, cette aide-soignante a été détruite méthodiquement par l'emprise de Rudy Sauvage. Ce jour-là, à côté de Tiphanie, une autre femme est debout. Sobre. Silencieuse. Mais ô combien présente : Maître Hélène Galluet. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'été 2014, Tiphanie Bel, aide-soignante dans le Nord, se rend au commissariat pour déposer plainte contre Rudy Sauvage, un homme qu'elle a rencontré par l'intermédiaire d'une collègue. Au bout de quelques semaines de relation, le trentenaire se montre particulièrement violent et agressif avec la jeune femme. Tout a commencé un soir, où elle avait cédé aux avances sexuelles de Rudy, qui va peu à peu en profiter pour refermer son emprise sur cette femme isolée... jusqu'à la séquestrer chez lui pendant plusieurs semaines. La voix du crime de cet épisode c'est Tiphanie Bel elle-même, autrice du livre "Vivante !" aux éditions Michalon (2024). Elle confie son histoire à Plana Radenovic.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Maël Maurin et François Dhin, interviewés par Raphaëlle de Barmon Podcast "Les Voix de l'Eglise" : https://www.youtube.com/@lesvoixdeleglisepodcast/podcasts Compte Instagram "Prière d'un jeune" : https://www.instagram.com/prieredunjeune/
Soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 228 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast.Le Vision Pro 2 ou un Vision Air, le 9 juin à la WWDC25 ?Enregistré mardi 15 avril 2025 à 17h45, enregistrement accessible en direct sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Fabrice Neuman, consultant auprès des petites entreprises et contributeur sur "Comment ça marche", Gilles Dounès, ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de "iPod Backstage" et Baptiste Dajon, chef de compte Apple et évangéliste Technologie chez Décathlon.Au sommaire de cet épisode 228 : le retour des rumeurs autour des projets d'Apple en ce qui concerne les masques qui vont succéder au Vision Pro, 1ère génération : le Vision Pro 2 et un Vision Air pourraient être présentés à la WWDC 2025, le 9 juin. Quelles seraient les caractéristiques et leur prix ? Comment se distingueraient-ils du masque XR que s'apprêtent à sortir Samsung et Google ?Notre "retour sur", cette semaine, est consacrée à l'exemption (provisoire) de droits de douane dont profitent finalement les smartphones (dont l'iPhone), les ordinateurs (dont les Mac), le semiconducteurs et autres produits électroniques. Apple s'en sort bien mais ce répit n'est pas définitif. Alors, que réserve l'avenir au-delà de ces 90 jours ?Et puis, quel printemps et quelle suite d'année pour Apple TV+ après le coup de boost apporté par Severance depuis la fin janvier ? Quelle sont les séries et les films prévus par Apple pour maintenir l'intérêt pour sa plateforme de streaming pour la suite de 2025 ? Ne manquez pas l'extrait de notre autre podcast, "Les Voix de la Tech", dans lequel Thierry Frémaux, le délégué général du Festival de Cannes, raconte la venue de Tim Cook à Cannes en 2023.Exceptionnellement, pas de bonus exclusif Patreon. Veuillez nous en excuser. Nous espérons reprendre avec l'épisode 229 ! Merci de votre fidélité et de votre compréhension.À mardi prochain, 15 avril 2025, pour l'épisode 228 dont l'enregistrement sera à suivre en direct à partir de 17h30 sur sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Qui écoutes-tu ? Le discernement dans un monde de voixDans un monde où les voix et les conseils sont nombreux, il est crucial d'avoir le discernement nécessaire pour savoir qui écouter. Dans cet épisode, je parle de l'importance de ne pas se laisser influencer par tout ce qu'on nous dit, mais de se rappeler que ce que Dieu dit sur nous est bien plus important que les paroles humaines. Tous les conseils ne sont pas bons à prendre. Il est essentiel de cultiver une écoute attentive et réfléchie, afin de rester fidèle à ce que Dieu a pour nous. Au-delà des conseils : Écoute ce que Dieu dit sur toiÉcoute, réfléchis et choisis bien qui tu laisses parler dans ta vie.
Candidate à la présidence du Comité international olympique, à l'occasion de la 144ᵉ session à Costa Navarino (Grèce) le 20 mars, la Zimbabwéenne de 41 ans, double championne olympique du 200 m dos en 2004 et 2008, membre de la Commission exécutive du CIO et ministre des Sports depuis 2018, détaille à RFI ses positions sur les grands enjeux auxquels l'institution est confrontée. RFI : Vous êtes la plus jeune candidate à cette élection, la seule femme et la première représentante d'Afrique à briguer la présidence du CIO. Êtes-vous le meilleur symbole de ce que devrait être le CIO au XXIe siècle ? Kirsty Coventry : J'espère que c'est ce que ressentent les membres du Comité, mais je veux aussi être la meilleure personne pour le poste, pas seulement en raison de mon genre ou de mon origine. Je veux que les membres sentent qu'ils peuvent avoir confiance en moi et qu'ils pensent que je serai la meilleure pour diriger notre incroyable organisation, en particulier dans cet avenir qui change si rapidement.En tant qu'ancienne sportive de haut niveau et ex-présidente de la commission des athlètes du CIO, vous êtes consciente des défis auxquels sont confrontés les athlètes, en particulier en Afrique, pour atteindre le plus haut niveau international. Quelle devrait être la priorité pour accroître leurs chances ?En tant qu'ancienne athlète, la partie la plus difficile de mon parcours a été de devenir championne olympique. C'est là que je pense que nous devrions concentrer un peu plus les programmes dédiés du CIO. Je veux également m'assurer que les voix des athlètes soient toujours entendues, car c'est ainsi que nous savons ce qu'ils attendent de nous, par le biais de la commission des athlètes, en veillant à ce que nous écoutions précisément ce dont les athlètes ont besoin, et comment nous pouvons travailler à leur protection et à leur soutien. En revanche, je ne crois pas aux primes [versées aux médaillés en athlétisme lors des JO de Paris 2024, une mesure annoncée par World Athletics, présidée par Sebastian Coe, autre candidat à la présidence du CIO, NDLR]. Encore une fois, en regardant mon parcours et en parlant aux athlètes autour de moi, la partie la plus difficile, c'est toujours avant de devenir champion olympique ou avant d'être célèbre. Une fois que vous l'êtes ou que vous avez gagné des médailles, beaucoup plus d'opportunités s'offrent à vous. La question est donc de savoir comment nous pouvons aider davantage d'athlètes à devenir champions ou finalistes olympiques. C'est comme ça que nous pourrons concerner davantage d'athlètes.À lire aussiLes sportifs de la solidarité olympique qualifiés pour les JO 2024Vous êtes très sensible à la place du sport féminin et à la représentation des athlètes féminines dans les médias. Quelle serait la première mesure que vous mettriez en œuvre dans ce domaine si vous étiez élue ?Au sein du mouvement olympique, nous avons déjà réussi à faire du bon travail pour la promotion de l'égalité des sexes. Il faut maintenant l'étendre. Nous avons besoin d'une meilleure représentation des femmes dans les fédérations internationales et dans les comités nationaux olympiques. On doit voir davantage d'opportunités pour les femmes entraîneurs et l'entourage des athlètes. Au lancement d'un programme ou lorsqu'on essaie de faire avancer quelque chose, les quotas jouent certainement un rôle parce qu'ils aident à changer la culture. Une fois que les gens ont adhéré à cette culture et qu'ils voient la véritable valeur d'avoir plus de diversité autour de la table, et que cela devient vraiment ancré dans la culture d'une organisation, alors les systèmes de quotas peuvent être supprimés. Donc, je pense vraiment qu'ils servent un objectif au début.La question des athlètes transgenres ou des personnes concernées par une différence de développement sexuel, comme la boxeuse algérienne Imane Khelif, médaillée d'or à Paris 2024, mais visée par des messages haineux sur les réseaux sociaux, reste controversée. Quel est votre avis à ce sujet ?Je veux m'assurer que nous protégeons la catégorie féminine et je crois que nous devons trouver une voie à suivre en le faisant collectivement avec les fédérations internationales. Le CIO doit jouer un rôle de premier plan et nous devons nous assurer, là encore, que nous protégeons et servons les athlètes. Ce que j'entends par « protéger les athlètes », c'est que lorsque l'une d'elles vit quelque chose comme ce qu'il s'est passé à Paris, ou si vous regardez le cas des athlètes à différence de développement sexuel, comme le cas bien connu de Caster Semenya, ça n'est pas géré avec sensibilité. Nous devrions faire beaucoup mieux, nous devons trouver une voie collective qui ne mette pas un athlète en danger.À lire aussiLa boxeuse algérienne Imane Khelif dénonce l'offensive judiciaire de la Fédération internationale de boxeLes Jeux olympiques de Paris 2024 ont été un grand succès populaire et financier pour le CIO. Est-ce désormais le modèle à suivre et comment ce succès peut-il être mis à profit pour engager la jeune génération dans un paysage médiatique en constante évolution ?Paris 2024 était exactement ce dont le monde avait besoin, surtout après le COVID. C'étaient des Jeux incroyables et extrêmement réussis, et nous devons utiliser cette plateforme en ce moment où tout le monde en parle encore. Le Comité d'organisation de Paris 2024 et Tony Estanguet ont fait un travail incroyable à travers le pays en engageant les jeunes, les écoliers, et en les impliquant dans le sport, et c'est la mission du CIO de construire un monde meilleur grâce au sport. Donc, la question est de savoir comment on peut utiliser ce qui a été fait à Paris 2024 et le répandre à travers le monde.Les JO devraient-ils être diffusés sur des plateformes telles que Netflix ?À mesure que nous allons vers l'avenir, Netflix, Apple TV, YouTube, ces entreprises de streaming en ligne, ne font que se renforcer. Et quand on regarde l'Afrique par exemple, dans quelques années, vous aurez plus d'un demi-milliard de jeunes de moins de 35 ans et la plupart d'entre eux auront des smartphones. Donc, si nous ne trouvons pas des moyens créatifs de nous connecter avec eux sur ces plateformes en ligne, ça sera vraiment une occasion manquée.Êtes-vous favorable au retour des athlètes russes et biélorusses aux Jeux olympiques, à commencer par Milan Cortina l'année prochaine, et sous quelles conditions ?Malheureusement, dans le monde d'aujourd'hui, nous allons surtout devoir faire face à la question de savoir comment protéger et soutenir les athlètes dans toutes les zones de conflit. Nous constatons de plus en plus de conflits en Afrique, vous en avez en Europe et au Moyen-Orient. Pour moi, nous devons créer un groupe de travail qui élaborera un cadre qui permettra de protéger et de soutenir les athlètes de toutes ces zones de conflit afin de les aider à participer aux Jeux. Au bout du compte, nous devons également nous assurer que tous les athlètes présents aux Jeux seront protégés. Donc, il pourrait être nécessaire de mettre en place différentes réglementations pour garantir que tous les athlètes sont soutenus et qu'il n'y en ait pas qui soient davantage protégés que d'autres.À lire aussiJO 2024: les Russes et Biélorusses ne défileront pas à la cérémonie d'ouverture à ParisVous êtes actuellement la présidente de la commission de coordination des Jeux olympiques de la jeunesse de Dakar 2026. Le succès de ces Jeux sera-t-il crucial pour la crédibilité de l'Afrique à accueillir un jour les Jeux olympiques ?Oui, à 100 %. C'est la première fois que le mouvement olympique vient en Afrique et peut découvrir notre enthousiasme, notre énergie, notre culture, et cette opportunité nous excite. Mais cela s'accompagne de beaucoup de responsabilités. Nous travaillons en étroite collaboration avec Dakar 2026 pour nous assurer de donner cette tribune au Sénégal, mais aussi à l'Afrique, pour montrer au monde ce que nous pouvons faire.En général, pensez-vous que les intérêts du sport africain sont suffisamment représentés au sommet du mouvement olympique et que feriez-vous pour améliorer les choses ?Il y a toujours des points que nous pouvons améliorer pour nous en assurer. L'une des grandes choses dont j'ai parlé aux membres du CIO serait d'essayer de trouver des moyens innovants de combler le fossé entre les comités nationaux olympiques qui sont très bien soutenus et bien gérés et ceux qui ont besoin de beaucoup plus de soutien, car encore en développement. L'utilisation de la technologie et de l'intelligence artificielle en particulier sera très importante pour combler ce fossé, car une fois qu'il sera un peu comblé, les pays en développement pourront consacrer plus de temps et d'argent à soutenir leurs athlètes, et nous pourrons alors voir plus de médailles gagnées dans le monde entier.Apprendrez-vous le français si vous êtes élue au CIO ?Oui (elle le dit en français, et en riant)… C'est une promesse que j'ai faite aux membres du CIO. C'est quelque chose que je prendrai très au sérieux. Nous avons une école française au Zimbabwe et j'ai déjà fait quelques démarches (rires). Ce serait certainement un grand honneur pour moi de pouvoir parler la langue de notre fondateur, Pierre de Coubertin !À lire aussiSur les traces des Jeux olympiques de 1924, à Paris et ailleurs
durée : 00:28:50 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1972, quatre militantes du MLF accompagnées de Monique Wittig et Delphine Seyrig expliquent la genèse et les objectifs du Mouvement de Libération des Femmes, tordant le cou au passage à l'idée d'une figure figée de la femme. Bien au contraire, les femmes existent dans leur diversité. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Delphine Seyrig Actrice; Monique Wittig
durée : 00:04:07 - Une semaine dans leurs vies - Suite et fin de notre série sur les voix du doublage. Nous retrouvons la comédienne qui double Julia Roberts : Céline Monsarrat. Est-elle une voix officielle ou Julia Roberts peut-elle, du jour au lendemain, changer de voix dans les versions françaises ?
durée : 00:04:06 - Une semaine dans leurs vies - De grandes voix nous accompagnent toute cette semaine : suite de notre série sur les comédiens de doublage. Nous retrouvons aujourd'hui Jean-Pierre Michaël, voix française de Brad Pitt et Keanu Reeves, entre autres. Avec lui nous nous interrogeons sur l'avenir du métier, menacé par l'IA.
durée : 00:04:10 - Une semaine dans leurs vies - De nouvelles stars dans le troisième épisode de notre série consacrée aux comédiens de doublage. Aujourd'hui : Jean-Pierre Michaël, incontournable dans la profession. Il a plus d'une corde vocale à son arc.
durée : 00:04:11 - Une semaine dans leurs vies - Nous passons la semaine avec des voix-stars. Deuxième épisode avec la comédienne Céline Monsarrat, qui prête sa voix à Julia Roberts dans les versions françaises de ses films et de ses séries. Vous entendez également sa voix dans des documentaires et des publicités.
durée : 00:04:32 - Une semaine dans leurs vies - Le 13-14 donne la parole cette semaine à de grandes voix françaises. Des comédiens qui doublent des acteurs étrangers dans les films et les séries, et nous permettent de les regarder en VF. Pour commencer, l'une des plus célèbres : Céline Monsarrat.
durée : 00:25:12 - Isabelle Aboulker, compositrice (5/5) - par : Judith Chaine - Dernier volet de nos entretiens avec Isabelle Aboulker dans lequel elle évoque quelques rencontres importantes qui ont marqué sa carrière musicale : Didier Grosjman et le CREA, Toni Ramon pour la Maitrise de Radio France ou encore Mstislav Rostropovitch. - réalisé par : Lionel Quantin
durée : 00:30:07 - Jazz Collection - par : Alex Dutilh - Les voix buissonnières, ce sont des voix hors des sentiers battus, à l'écart des clichés attendus des chanteuses ou des chanteurs de jazz. Dans cet épisode : Youn Sun Nah, Elina Duni, Leon Thomas, Norma Winston, Leïla Martial, André Minvielle, Cécile McLorin Salvant, Dhafer Youssef... - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:30:26 - Jazz Collection - par : Alex Dutilh - Les voix buissonnières, ce sont des voix hors des sentiers battus, à l'écart des clichés attendus des chanteuses ou des chanteurs de jazz. Dans cet épisode : Les Double Six, Manhattan Transfer, The Boswell Sisters, The Andrew Sisters, Les Blue Stars, Lambert, Hendrikcs & Ross, Duchess... - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:30:12 - Jazz Collection - par : Alex Dutilh - Les voix buissonnières, ce sont des voix hors des sentiers battus, à l'écart des clichés attendus des chanteuses ou des chanteurs de jazz. Dans cet épisode : Jeanne Lee, Bobby McFerrin, Betty Carter, Carmen McRae, Mark Murphy, Shirley Horn, Helen Merrill, Monica Zetterlund, Susanne Abbuehl... - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:30:02 - Jazz Collection - par : Alex Dutilh - Les voix buissonnières, ce sont des voix hors des sentiers battus, à l'écart des clichés attendus des chanteuses ou des chanteurs de jazz. Dans cet épisode, Blossom Dearie, Maxine Sullivan, Rose Murphy, Jimmy Scott, Chet Baker, Lisa Ekdahl, Kat Edmonson, Cyrille Aimée, Ken Nordine. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:54:47 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Ce soir, ultime évocation d'un étrange magicien disparu. J'aimerais bien qu'il puisse entendre ça, là où il est. - réalisé par : Stéphane Ronxin
durée : 00:54:41 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Ce soir, Michka Assayas nous entraîne dans un rêve, mais un de ces rêves dont on ne sait trop s'ils sont heureux ou si c'est tout le contraire. - réalisé par : Stéphane Ronxin
durée : 00:00:38 - Découvrez Les voix buissonnières, la nouvelle Jazz Collection d'Alex Dutilh - Que serait le jazz sans la voix ? Alex Dutilh nous embarque dans un voyage vocal : de Blossom Dearie à Jimmy Scott, Jeanne Lee à David Linx ou encore Bobby McFerrin, Shirley Horn, Betty Carter, Youn Sun Nah, Dhafer Youssef, Gregory Porter, Cécile McLorin Salvant...
Il était une fois de jeunes Algériens venus en France pour tenter leur chance et vivre une vie meilleure. L'histoire se déroule entre 1945 et 1962, juste après la Seconde Guerre mondiale et juste avant l'indépendance de leur pays. Mais plusieurs centaines d'entre eux vont voir stoppé net leur désir de découverte et d'émancipation. Arrêtés pour vagabondage ou petits délits, ils se retrouvent placés par un juge dans un drôle de centre d'observation où éducateurs, assistantes sociales et psychologues les passent au crible de questions plus inquisitrices les unes que les autres. Des milliers d'archives sont ainsi constituées et retrouvées des années après par l'historien Mathias Gardet. Des archives qui racontent un pan méconnu de l'histoire de l'immigration et de la justice des mineurs en situation coloniale… avec les voix de RFI pour incarner les voix de la jeunesse algérienne exhumées par Mathias Gardet dans son livre Nous sommes venus en France publié aux éditions Anamosa.► Programmation musicale : Idir - Né quelque part (version kabyle) Mazouni - 20 ans en France Rachid Taha - Minouche
Contrairement aux engagements qu'avait pris Conakry, l'année 2024 ne marquera pas la fin de la transition en Guinée. Le glissement du calendrier de la transition au delà de la date butoire du 31 décembre est source d'inquiétudes et la plateforme des Forces Vives, qui regroupe l'opposition et des organisations de la société civile a déjà annoncé qu'elle ne reconnaîtrait plus les autorités de transition à compter de ce mardi...Trois ans après la prise de pouvoir par les militaires - le 5 septembre 2021 - quelle est le bilan de la transition à ce jour ? Éléments de réponse avec Alseny Sall, chargé de communication pour l'organisation guineenne de défense des droits de l'homme et du citoyen, l'OGDH. Il est l'invité de Liza Fabbian. RFI : Cette prolongation de la transition au-delà du 31 décembre 2024 en Guinée, qu'est-ce que ça vous inspire ?Alseny Sall : Écoutez, pour nous, ce n'est pas une surprise. La durée de la transition devait être fixée de commun accord entre les Forces vives de la nation et le CNRD. Et malheureusement, vous le savez, que le CNRD l'a établi lui-même avec la Cédéao. Donc, c'est un accord qui a été fait sur le dos du peuple de Guinée, sur le dos des Forces vives. D'ailleurs, en Guinée, on ne parle plus de « transition », on parle plutôt de « refondation ». Et tout ça en violation de la Charte de la transition qui a été élaboré et promulgué par le CNRD, sans concertation avec le peuple. Donc, si le CNRD lui-même ne respecte pas ses engagements, ce n'est pas une surprise dans la mesure où il n'y a jamais eu une volonté de dialoguer au niveau national pour trouver un consensus sur le calendrier de la transition.Malheureusement, cela place notre pays dans une situation incertaine à partir de janvier.Le Président Doumbouya, au lendemain de sa prise de pouvoir, avait indiqué que « la justice serait la boussole de la transition ». Effectivement, il y a eu un procès du massacre du stade du 28 septembre 2009, ce verdict est-il une promesse tenue selon vous ?Quand même, il faut le reconnaître, c'est la première fois dans l'histoire de toute l'Afrique, qu'une juridiction nationale africaine juge des hauts dignitaires de l'État pour des crimes contre l'humanité, et les condamne pour leurs responsabilités sur des crimes de masse. Donc pour nous, c'est un point très positif, ça crée un précédent très très positif. Même si aujourd'hui, nous avons l'impression que la junte qui a organisé ce procès, n'en tire par les leçons elle-même. La situation générale des droits de l'Homme contraste avec ce procès. On a commencé par une interdiction systématique du droit de manifestation, parce qu'il n'y avait pas la volonté de dialoguer. Et deuxièmement, on a commencé à censurer les médias. Et de la censure, on est allé jusqu'à fermer les médias qui étaient jugés critiques ou qui donnaient la parole aux voix dissidentes. Aujourd'hui, nous assistons à des nouvelles formes de violation de droits de l'Homme, des kidnappings et des détentions dans des lieux secrets qui sont contraires aux engagements du 5 septembre.Oui, on a vu ces derniers mois une multiplication des disparitions forcées, notamment celles des leaders du FNDC Foniké Menguè et Billo Bah, il y a bientôt 6 mois ou juste la semaine dernière, celle de Aliou Bah. Peut-on parler d'un tour de vis répressif en Guinée ?Pour nous aujourd'hui, il y a une volonté systématique de taire toutes les voix dissonantes. Aliou, qui a été arrêté en dernier, faisait partie des voix les plus critiques de la transition. Mais il le faisait dans le respect des règles et des principes républicains, et donc il a été arrêté de manière irrégulière et jusqu'ici il reste en détention prolongée en dépit des protestations que nous avons faites pour dénoncer cette situation. En plus de Aliou Bah, il y a aussi évidemment les cas Foniké Menguè. Il y a le cas Saadou Nimaga, il y a le cas Habib Marouane Camara, et la justice aujourd'hui, elle est absente. Par exemple, Foniké Menguè et Billo Bah ont été arrêtés par des hommes en uniforme, mais jusqu'à présent, la justice dit qu'elle ne sait pas où se trouvent ces personnes. Et celles qui dénoncent aujourd'hui cette situation sont aussi poursuivies ou harcelées ou même kidnappées. La justice doit travailler non seulement à empêcher les violations des droits de l'Homme, mais aussi veiller à la protection des droits de tous les citoyens.Il y a un mois, la Guinée a été endeuillée par une bousculade mortelle au sein du stade de Nzérékoré. Mais pour l'instant, il n'y a aucune communication officielle sur les avancées de l'enquête, comment l'expliquez-vous ?Cette bousculade est intervenue à l'occasion d'une propagande politique dans le cadre des préparatifs d'une candidature du chef de la junte au pouvoir. Mamadi Doumbouya nous avait promis de lutter contre le culte de la personnalité, mais son système est en train de l'ériger en mode de gouvernance. Malheureusement, cet incident de Nzérékoré s'est passé à l'occasion d'une finale d'un tournoi qui a été organisé en son nom. On parle de plus d'une centaine de morts quand même. Mais jusqu'ici, il n'a pas fait une déclaration par rapport à cette situation. Le ministre de la Justice, dans sa dernière sortie, a dit que la Guinée n'est pas le seul pays qui a connu ce genre de drame. Il n'y a pas de volonté politique de travailler pour que des enquêtes sérieuses soient menées pour situer les responsabilités par rapport à ces événements.Et tout ça dans un contexte économique particulier, notamment depuis l'explosion du dépôt d'hydrocarbures de Kaloum et l'arrêt de certaines activités minières en Guinée, comment évaluez-vous aujourd'hui la situation économique des Guinéens ?On nous parle de refondation, on nous parle de progrès, mais je pense que le panier de la ménagère n'a pas du tout évolué en Guinée. Aujourd'hui à Conakry, il y a une pénurie de carburant. Les gens ont du mal à se déplacer. Donc dans un contexte de précarité, tout ça augure d'un avenir bien incertain. Ça crée un sentiment de peur, un sentiment d'insécurité dans un contexte de troubles. Malheureusement, tout ça, ce n'est pas rassurant pour l'avenir de ce pays.À lire aussiEn Guinée, ce 31 décembre 2024 marque symboliquement la non-fin pourtant attendue de la transition
Le 17 juin 2012, deux femmes gendarmes sont abattues lors d'une intervention à Collobrières (Var). Comment le crime s'est-il exactement déroulé ? Hervé Daudigny est expert en modélisation 3D à l'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN), il raconte comment il a reconstitué la scène de crime au micro de Nathalie Renoux. Un jeudi sur deux, retrouvez dans "Les Voix du crime" un épisode des "Coulisses du crime" consacré à une affaire qui a été résolue par la science. Réalisation : Vincent Leger-Virginie Hénaff
durée : 00:18:28 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Pendant le soulèvement "Femme, vie, liberté" en Iran, Shooresh Afkari a filmé le quotidien. Et recueilli les témoignages de celles et ceux que la République islamique veut faire taire et réprime. Des récits qui sont devenus un documentaire coréalisé avec Virginie Plaut. - réalisation : Margot Page - invités : Virginie Plaut Journaliste et réalisatrice indépendante
En 2011, Tony Meilhon avoue le meurtre de Laëtitia Perrais. Qu'a-t-il fait du corps de la jeune fille ? L'adjudant Frank Nolot est expert en anthropologie à l'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN), il raconte au micro de Nathalie Renoux comment son équipe a travaillé sur les affaires Maëlys et Laëtitia Perrais. Un jeudi sur deux, retrouvez dans "Les Voix du crime" un épisode des "Coulisses du crime" consacré à une affaire qui a été résolue par la science. Réalisation : Vincent Leger-Virginie Hénaff.