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durée : 00:30:57 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - L'Océan, un orchestre polyphonique, bien loin du monde silencieux attendu. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Laurent Chauvaud Directeur de recherche au CNRS, océanographe à l'Observatoire marin de Brest
Nous sommes le 24 février 2025, à Vanne, dans le Morbihan. Un procès hors-norme s'ouvre. Celui de Joël Le Scouarnec. Un chirurgien retraité de 74 ans, accusé d'être un sordide pédocriminel à l'impunité sans égal dans l'histoire judiciaire française. 299 victimes âgées en moyenne de 11 ans au moment des faits. Pendant plus de 30 ans, cet homme a violé et agressé des enfants. Et ce... sans jamais être inquiété. Qui est vraiment ce médecin ? Comment cet homme a-t-il pu commettre l'impensable si longtemps ? Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rejoignez la communauté iWeek et soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 240 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast avec ses chapitres !Tim Cook bientôt poussé vers la sortie au profit d'un nouveau CEO plus orienté produits ?Enregistré mercredi 16 juillet 2025 à 18h30, enregistrement accessible en direct sur X, YouTube, et LinkedIn Live. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Gilles Dounès (ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de “iPod backstage“ chez Dunod) et Fabrice Neuman(consultant auprès des petites entreprises et contributeur à "Comment ça marche“).Au sommaire de cet épisode 240 : Tim Cook vit-il ses derniers mois, voire ses dernières semaines, à la tête d'Apple ? Face au retard pris par Apple Intelligence et après plusieurs ratés dont l'Apple Car, deux premiers analystes estiment qu'il serait désormais dans l'intérêt d'Apple que Tim Cook cède son fauteuil à un nouveau CEO davantage orienté produits. On en discute et c'est évidemment l'info de la semaine.L'événement de la semaine a eu lieu à Paris, lors du défilé du 14 juillet dernier. Derrière le président de la République, dans le Command Car à bord duquel il a descendu les Champs-Élysées puis en tribune présidentielle sur la place de la Concorde, deux caméras URSA Cine Immersive de Blackmagic Design dédiées au Vision Pro n'ont rien raté et le résultat dépasse toutes les attentes des deux producteurs d'Immersive Flashback qui ont su convaincre l'Élysée de leur confier cette première mondiale au format immersif : Sixtine Rose et Frank-David Cohen raconte à Benjamin Vincent la vision d'Apple "qui a tout compris" et qui a pris “10 ans d'avance“ sur tout le monde dans le domaine de l'immersif. Une interview à retrouver sur près d'une heure dans le podcast “Les Voix de la Tech".Dans notre "retour sur", suite des rumeurs autour de l'iPhone pliant : Samsung Display aiderait Apple à aboutir à la charnière invisible de ses rêves. Et puis, dans le JT de la semaine, nous évoquons la date probable de sortie des beta publiques des futurs OS Apple, la date probable de la keynote Google pour les nouveaux Pixel 10 et le bad buzz à propos de WeTransfer qui a tenté d'imposer l'accord de ses utilisateurs pour entrainer ses IA sur leurs données personnelles.Enfin, le bonus hebdo exclusif réservé à nos soutiens sur patreon.com/iweek : Apple lorgnerait sur Mistral AI pour l'aider à combler son retard avec Apple Intelligence. Une acquisition est-elle envisageable (ou pas) ?À mardi prochain, 29 juillet 2025, pour l'épisode 242, le dernier de la saison, dont l'enregistrement sera à suivre en direct sur X, YouTube et LinkedIn Live à partir de 18h30.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand l'art permet de sublimer, de dépasser une grande souffrance : c'est le cas d'un film qui sort en salles ce mercredi 16 juillet en France, après avoir été distingué au festival de Locarno l'an dernier. Il s'agit de Kouté Vwa de Maxime Jean-Baptiste. Le cinéaste est retourné en Guyane, plus de dix ans après la mort de son cousin, Lucas Diomar, assassiné en 2012 à l'âge de 18 ans. Explorant les notions de vengeance et de pardon, il livre un film hybride entre fiction et documentaire.
Quand l'art permet de sublimer, de dépasser une grande souffrance : c'est le cas d'un film qui sort en salles ce mercredi 16 juillet en France, après avoir été distingué au festival de Locarno l'an dernier. Il s'agit de Kouté Vwa de Maxime Jean-Baptiste. Le cinéaste est retourné en Guyane, plus de dix ans après la mort de son cousin, Lucas Diomar, assassiné en 2012 à l'âge de 18 ans. Explorant les notions de vengeance et de pardon, il livre un film hybride entre fiction et documentaire.
Le 28 mai 2025, le chirurgien Joël Le Scouarnec est condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour des faits d'agressions sexuelles et de viols commis sur 299 victimes dans le cadre de ses fonctions. Il s'agit du plus grand procès de la pédocriminalité en France. Trois mois pendant lesquels la cour criminelle du Morbihan s'est plongée dans 30 ans d'omerta. Omerta familiale d'abord, puisque Joël Le Squarnec a commis ses premiers viols au sein de sa famille. Puis omerta dans son monde professionnel, car le médecin avait été condamné en 2005 : quatre mois de prison avec sursis pour détention d'images pédopornographiques à la suite d'un vaste coup de filet piloté par le FBI. Mais ni l'ordre des médecins, ni la direction de l'hôpital où le prédateur exerçait, pourtant mis au courant, n'avaient alors jugé bon de prendre des mesures particulières. Comment Joël Le Scouarnec a-t-il pu sévir autant de temps dans l'impunité ? Quelles séquelles laisse-t-il chez ses petites victimes ? La voix du crime de cet épisode c'est Gabriel Trouvé, victime du chirurgien pédocriminel lorsqu'il était âgé de 6 ans. Il raconte, au micro de Plana Radenovic, comment il a vécu cette affaire, de l'annonce explosive des faits dont il a été victime au verdict de la cour criminelle.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 14 mai 2024, un peu avant 11h, le fourgon pénitentiaire qui ramène le narcotrafiquant Mohamed Amra d'une audition au tribunal de Rouen est attaqué par un commando lourdement armé au péage d'un carville sur l'autoroute de Normandie. Deux surveillants sont froidement abattus, criblés de balles. Les trois autres sont gravement blessés. Le commando extrait le détenu du fourgon et prend la fuite. Mohamed Amra, surnommé "La Mouche" dans le milieu, passe du statut de "petit caïd normand" à celui d'ennemi public numéro un. La voix du crime de cet épisode hors-série, c'est Christian Sainte, directeur national de la police judiciaire. Il raconte la traque de 284 jours qui a suivi l'évasion de Mohamed Amra, jusqu'à son arrestation en Roumanie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 14 mai 2024 au Sud de Rouen. Il est un peu plus de 11 heures du matin, au péage d'Incarville, sur l'A13. Un fourgon pénitentiaire transportant un détenu ralentit à l'approche de la barrière. Soudain, un commando surgit. Les coups de feu éclatent. Deux agents pénitentiaires sont abattus. Trois autres grièvement blessés. Et le prisonnier s'évade. Ce détenu s'appelle Mohamed Amra, 30 ans. Un nom jusqu'alors inconnu du grand public. Mais déjà tristement célèbre dans les fichiers de la justice. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:09 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Deux avocats racontent les cas de conscience auxquels ils ont été confrontés et les conséquences que ces affaires ont eues sur leur vie personnelle. - réalisation : Delphine Lemer
durée : 00:29:09 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Deux avocats racontent les cas de conscience auxquels ils ont été confrontés et les conséquences que ces affaires ont eues sur leur vie personnelle. - réalisation : Delphine Lemer
durée : 00:28:47 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Olivia Müller - Des avocats et magistrats décident de s'insurger contre un juge qui préside les comparutions immédiates. Une réalité qu'ils tentent de dévoiler au grand jour, malgré une solide omerta... Un récit signé Olivia Muller. - réalisation : Somaya Dabbech
durée : 00:28:47 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Olivia Müller - Des avocats et magistrats décident de s'insurger contre un juge qui préside les comparutions immédiates. Une réalité qu'ils tentent de dévoiler au grand jour, malgré une solide omerta... Un récit signé Olivia Muller. - réalisation : Somaya Dabbech
durée : 00:28:45 - Les Pieds sur terre - par : Emilie Chaudet - Parce qu'ils ont estimé que la justice prenait trop de temps, n'allait pas dans la bonne direction, Frieda et Thierry ont épluché des dossiers, suivi des traces, trouvé des indices... Pour le fils de l'une et le père de l'autre, ils ont mené leur propre enquête. - réalisation : François Caunac, Marie Plaçais
REDIFF - On la voyait souvent sur la plage de Ghjunchitu, un endroit qu'elle adorait, sable blanc, eau turquoise, le maquis tout autour. Elle cherchait ce petit coquillage emblématique de la Corse : l'oeil de Sainte Lucie, tout blanc avec une spirale au centre. Julie en faisait des bijoux qu'elle vendait au marché. L'œil de Sainte Lucie, ça porte bonheur, parait il. La Corse, c'était sa terre d'adoption, son coup de cœur. C'est là que la famille a passé ses vacances, bien souvent. C'est là que Julie a fait ses premiers pas. C'est là qu'elle rendra son dernier soupir, mais comment l'imaginer ? Dans chaque épisode, "Les Voix du crime" donne la parole à un témoin clé d'une affaire criminelle... Mais qui sont celles et ceux qu'ils ont côtoyés ? Celles et ceux qui trouvent leur place dans leur récit ? Isabelle Choquet dresse le portrait d'une figure incontournable de ces crimes qui ont marqué l'histoire judiciaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:45 - Les Pieds sur terre - par : Emilie Chaudet - Parce qu'ils ont estimé que la justice prenait trop de temps, n'allait pas dans la bonne direction, Frieda et Thierry ont épluché des dossiers, suivi des traces, trouvé des indices... Pour le fils de l'une et le père de l'autre, ils ont mené leur propre enquête. - réalisation : François Caunac, Marie Plaçais
REDIFF - On la voyait souvent sur la plage de Ghjunchitu, un endroit qu'elle adorait, sable blanc, eau turquoise, le maquis tout autour. Elle cherchait ce petit coquillage emblématique de la Corse : l'oeil de Sainte Lucie, tout blanc avec une spirale au centre. Julie en faisait des bijoux qu'elle vendait au marché. L'œil de Sainte Lucie, ça porte bonheur, parait il. La Corse, c'était sa terre d'adoption, son coup de cœur. C'est là que la famille a passé ses vacances, bien souvent. C'est là que Julie a fait ses premiers pas. C'est là qu'elle rendra son dernier soupir, mais comment l'imaginer ? Dans chaque épisode, "Les Voix du crime" donne la parole à un témoin clé d'une affaire criminelle... Mais qui sont celles et ceux qu'ils ont côtoyés ? Celles et ceux qui trouvent leur place dans leur récit ? Isabelle Choquet dresse le portrait d'une figure incontournable de ces crimes qui ont marqué l'histoire judiciaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:24 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Leila Djitli - Au moment où l'actualité fait état d'un engouement des citoyens à faire justice eux-mêmes, une procureure nous raconte le quotidien judiciaire d'un tribunal de grande instance dans une ville moyenne du sud de la France. - réalisation : Clémence Gross
durée : 00:28:24 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Leila Djitli - Au moment où l'actualité fait état d'un engouement des citoyens à faire justice eux-mêmes, une procureure nous raconte le quotidien judiciaire d'un tribunal de grande instance dans une ville moyenne du sud de la France. - réalisation : Clémence Gross
durée : 00:30:18 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Leila Djitli - Les grenouilles d'Annie et Michel Pecheras coassent dans une mare en Dordogne. Le coq de Corinne Fesseau chante tous les matins une demi-heure sur l'île d'Oléron ? Les deux animaux et leur propriétaire sont convoqués devant un juge pour nuisances sonores ! - réalisation : Anne-Laure Chanel
1 300 blogs, 28 000 articles publiés et 90 pays représentés, la plateforme Mondoblog lancée par RFI rassemble, depuis 2010, toute une communauté de blogueurs francophones. À la fois média et projet de formation, elle a permis à des jeunes de s'exprimer sur leur quotidien ou sur des sujets qui les touchent. Des taxis qui carburent au butane en Côte d'Ivoire, la cuisine des feuilles de Nkui au Cameroun, l'accueil réservé à la communauté haïtienne à Montréal... Autant de billets de blog, de réflexions, de prises de position et de récits personnels que les lecteurs et auditeurs de 8 milliards de voisins ont pu découvrir. Une manière différente de comprendre le monde sous la plume de blogueurs amateurs ou professionnels, au-delà des médias traditionnels. Retour sur 15 ans d'écriture avec l'équipe de Mondoblog et une aventure qui se termine. Le blogging connaît moins de succès aujourd'hui, mais se réinvente-t-il par la voix du podcast ? En ouverture : • Philippe Couve, ancien journaliste à RFI, il a imaginé le projet Mondoblog aux côtés du journaliste Cédric Kalonji. • Ziad Maalouf, ancien journaliste à RFI et ancien présentateur de l'émission l'Atelier des médias. Il a initié et développé le projet Mondoblog. Et avec : • Simon Decreuze, réalisateur, coordinateur de production des podcasts natifs de RFI. Il a initié et développé le projet Mondoblog • Alaa Kzham, journaliste, responsable de la plateforme Mondoblog •Inès Emprin, journaliste alternante pour Mondoblog Sans oublier les voix de Mondoblog : des notes vocales, des archives sonores. • Les messages des blogueurs et blogueuses : • Les archives de Mondoblog audio : Programmation musicale : ► Le bus – Wallace Cleaver
1 300 blogs, 28 000 articles publiés et 90 pays représentés, la plateforme Mondoblog lancée par RFI rassemble, depuis 2010, toute une communauté de blogueurs francophones. À la fois média et projet de formation, elle a permis à des jeunes de s'exprimer sur leur quotidien ou sur des sujets qui les touchent. Des taxis qui carburent au butane en Côte d'Ivoire, la cuisine des feuilles de Nkui au Cameroun, l'accueil réservé à la communauté haïtienne à Montréal... Autant de billets de blog, de réflexions, de prises de position et de récits personnels que les lecteurs et auditeurs de 8 milliards de voisins ont pu découvrir. Une manière différente de comprendre le monde sous la plume de blogueurs amateurs ou professionnels, au-delà des médias traditionnels. Retour sur 15 ans d'écriture avec l'équipe de Mondoblog et une aventure qui se termine. Le blogging connaît moins de succès aujourd'hui, mais se réinvente-t-il par la voix du podcast ? En ouverture : • Philippe Couve, ancien journaliste à RFI, il a imaginé le projet Mondoblog aux côtés du journaliste Cédric Kalonji. • Ziad Maalouf, ancien journaliste à RFI et ancien présentateur de l'émission l'Atelier des médias. Il a initié et développé le projet Mondoblog. Et avec : • Simon Decreuze, réalisateur, coordinateur de production des podcasts natifs de RFI. Il a initié et développé le projet Mondoblog • Alaa Kzham, journaliste, responsable de la plateforme Mondoblog •Inès Emprin, journaliste alternante pour Mondoblog Sans oublier les voix de Mondoblog : des notes vocales, des archives sonores. • Les messages des blogueurs et blogueuses : • Les archives de Mondoblog audio : Programmation musicale : ► Le bus – Wallace Cleaver
durée : 00:30:18 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Leila Djitli - Les grenouilles d'Annie et Michel Pecheras coassent dans une mare en Dordogne. Le coq de Corinne Fesseau chante tous les matins une demi-heure sur l'île d'Oléron ? Les deux animaux et leur propriétaire sont convoqués devant un juge pour nuisances sonores ! - réalisation : Anne-Laure Chanel
durée : 00:28:39 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - Camille a été violée par un metteur en scène alors qu'elle étudiait au conservatoire. Huit ans après, elle mène l'enquête pour retrouver d'autres victimes. Marie a été victime du violeur récidiviste Florian Varin condamné en 2021. Dans le bureau de la juge, elle rencontre plusieurs co-victimes. - réalisation : Étienne Gratianette
durée : 00:28:39 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - Camille a été violée par un metteur en scène alors qu'elle étudiait au conservatoire. Huit ans après, elle mène l'enquête pour retrouver d'autres victimes. Marie a été victime du violeur récidiviste Florian Varin condamné en 2021. Dans le bureau de la juge, elle rencontre plusieurs co-victimes. - réalisation : Étienne Gratianette
Émission spéciale pour clôturer la saison de Rendez-vous en terre digitale !Depuis l'Astrolabe l'école des métiers de la pédagogie de Flowbow, nos deux singes embarquent dans une arche de Noé pédagogique haute en couleurs.Dans ce podcast rempli d'animaux, chaque animal (
Les Voix des Livres est un podcast de la galaxie savoureuse Galaxie Pop, rejoignez nous sur discord https://discord.gg/9VbAgcT2TwVous pouvez retrouver toutes nos productions à cette adresse !Envie de nous laisser un petit mot audio sur cette épisode : vous pouvez le faire à cette adresse Voici venu la seconde édition du salon Livresse qui a eu lieu le 22 juin à Ancy-Dornot sous la Halle des FenottesUn salon à taille humaine, tellement chaleureux que le soleil s'est invité sur toute la journée !L'affiche est réalisée par Pierre 1er Au menu de ces rencontres (avec le régional de l'étape https://bsky.app/profile/causmicbeast.bsky.social) Marylène Bergmann : grande voix et visage de Télé Luxembourg, RTL Télévision, Mirabelle TV. Aujourd'hui peintre et poétesse mais aussiSon youtube Interlude : Marylène Bergmann : SolitaireSebastien Paci, que nous avions déja croisé à Jouy aux Arts dans un podcast disponible à cette adresse… tendez bien l'oreille, on y découvre son livre à venir mais chuuuuuuuuuuttttttt ! Interlude : My Chemical Romance : Blood Traducteur, écrivain mais surtout une super rencontre avec Paul Couturiau et à la carrière immense … Et oui , lui et moi, on aime Metz !!! Interlude : Roxy Music - More Than This (présent dans la BO de Lost in Translation) Un brin de causette avec Evelyne, la libraire de la petite librairie d'Ars , Pascal “qui vous attend à la bibliothèque d'Ancy Dornot tous les mardis de 16h à 18h” bientôt rejoints par Agnès Ledig, marraine du salon vous pouvez suivre sa vie d'auteuricultrice à cette adresse Interlude : Anna Karina - Sous le soleil exactement (Bande originale de la comédie musicale télévisée Anna) Solenn… qui a fait plus de 1000 kilomètres pour faire d'authentiques crêpes bretonnes !!!Vous la croiserez bien sur un chemin, ici ou ailleurs, mais jamais où vous l'attendez !!! Interlude : Les vengeurs masqués of Paris Les crêpes Suzette Véronique Presle s'est prêtée au jeu de l'interview sur un soleil de plomb et “on ne dira pas que c'est un accident pour nous parler de son roman à la fois social, poignant et efficace Interlude : Talk Talk - It's My Life Séverine Baaziz avec déja 5 livres de la fantaisie, de l'humour, un poil de fantastique et des romans attachants Interlude : Suzanne Vega - Book Of Dreams Thael Boost … la vie, la mémoire, des moments, des bons moments, c'est aussi un second moment où on invite un peintre que tout le monde croit connaitre… jusqu'à Saturation ? Deux objets littéraires à dévorer Interlude : Barbara Streisand Memory A l'année prochaine !
Le 10 juin 2025, 37 ans après l'assassinat de Dulcie September à Paris, c'est la douche froide pour les proches de la militante anti-apartheid. La justice vient de les débouter : selon elle, l'État n'a pas commis de faute dans l'enquête sur son assassinat. Cette procédure était l'ultime chance pour les proches de Dulcie, dont son neveu Michael, de faire reconnaître la responsabilité de l'État français dans cette affaire qui reste non-élucidée. Pourtant, avec la chute du régime d'Apartheid, le nom d'un suspect a émergé : celui d'un mercenaire appelé Jean-Paul Guerrier. Personne ne l'a jamais cherché. De même, l'avocat de la famille Me Yves Laurin a eu accès à des mètres d'archives sur l'assassinat de Dulcie et des zones d'ombre demeurent... La voix du crime de ce second épisode sur l'affaire Dulcie September, c'est toujours Jacqueline Dérens, collaboratrice et amie de la militante. Elle raconte comment elle entretient aujourd'hui la mémoire de sa camarade. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous voici pour les interviexs de PodRennes pour l'éddtion 2025.J'ai pris mon temps, pardon si vous vouliez que ça sorte vite, mais la vie à fait que je n'y ai pas consacré autant de temps que d'habitude et ce n'était pas une raison pour faire un épisode bâclé.PodRennes est un festival auquel je tiens comme la majorité d'entre vous.PodRennes c'est Badgeek qui organise mais c'est pour vous, avec vous et surtout grâce à vous.https://www.badgeek.fr/don/
Nous sommes le 29 mars 1988, à Paris. Il est un peu moins de dix heures du matin. Rue des Petites-Écuries, dans le Xe arrondissement, une femme s'apprête à ouvrir la porte des bureaux de l'ANC, le Congrès national africain. C'est là, sur le palier qu'elle est abattue soudainement de cinq balles dans la tête. Tirées à bout portant. Avec un silencieux. Elle s'appelle Dulcie September. Elle est Sud-africaine. Elle a 52 ans. C'est une militante contre l'Apartheid qu'on vient d'abattre. Une femme surveillée. Menacée. Et une victime, surtout, d'un crime politique... resté impuni. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 29 mars 1988, Dulcie September est assassinée au 28 rue des Petites Ecuries dans le Xe arrondissement de Paris. C'est à cette adresse qu'elle militait contre l'apartheid qui sévissait dans son pays d'origine, l'Afrique du Sud. Depuis son arrivée en France, elle enquêtait aussi sur les liens entre les deux pays, en plein embargo militaire décrété par les Nations Unies contre le régime de Pretoria. Dulcie September savait que son travail dérangeait. Elle se sentait surveillée, menacée. L'enquête ouverte pour assassinat est rapidement classée. Et encore aujourd'hui, son crime n'a jamais été élucidé. Au grand dam de ses proches et de sa famille. La voix du crime de ce premier épisode sur l'assassinat de Dulcie September, c'est Jacqueline Dérens, amie et collaboratrice de la militante anti-apartheid dans les années 80. Elle raconte au micro de Marie Zafimehy "le choc terrible" qu'a été la mort de Dulcie September, et les débuts de la première enquête ouverte par la justice française.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En écho à la Fête de la radio, L'atelier des médias reçoit la fondatrice de Radio Begum, produite par et pour les femmes en Afghanistan. Hamida Aman raconte le défi quotidien de cette radio qui diffuse des cours aux filles privées d'enseignement et apporte conseils et soutien psychologique. Depuis le retour des talibans au pouvoir à Kaboul le 15 août 2021, la vie des femmes afghanes est faite d'interdictions. Face à cette situation, un média unique offre un espace de vie, d'éducation et de soutien : Radio Begum, pensée et faite par et pour les femmes afghanes.Lancée le 8 mars 2021, Radio Begum diffuse en FM via 18 antennes relais couvrant 20 provinces. Elle est aussi disponible par satellite et sur Internet.Au micro de L'atelier des médias, sa fondatrice Hamida Aman commence par rappeler l'importance du média radio en Afghanistan (« le média le plus accessible, le plus répandu ») puis raconte le contexte de violence et de déscolarisation dans lequel elle a lancé Radio Begum.La grille des programmes de cette radio est centrée sur l'éducation, avec 6 heures de cours radiophoniques par jour (3h en dari, 3h en pachto). Cette initiative, inspirée par le projet australien School of the Air, a pris tout son sens avec la fermeture des écoles secondaires pour filles. Des cours, enregistrés en studio, sont écoutés dans des « écoles secrètes » ou souvent par des groupes de sœurs, offrant une « fenêtre sur l'extérieur » et un espoir d'échapper au mariage précoce.Radio Begum est aussi une « caisse de résonance » du mal-être des femmes afghanes. Elle propose des programmes de soutien psychologique où des psychologues répondent aux appels de femmes exprimant leur détresse. Dans un pays où l'accès aux soins est difficile, les appels concernant la santé sont également nombreux. Les autorités talibanes, notamment le ministère de la Culture et le ministère des Vices et des vertus, surveillent la station et émettent des avertissements sur des sujets sensibles, comme la contraception.Radio Begum a récemment été suspendue suite à l'arrestation de deux employés accusés de collaborer avec des médias étrangers, en l'occurrence Begum TV. Lancée depuis Paris, Begum TV diffuse des contenus similaires, notamment des vidéos des cours scolaires, disponibles aussi sur une plateforme digitale et l'application Begum Academy. L'objectif est d'offrir un certificat reconnu par certaines universités étrangères, donnant une perspective d'études en ligne aux filles.Financée par des entités comme l'ONU, le ministère français des Affaires étrangères, l'Union européenne et par des dons privés, Radio Begum « se substitue en fait à l'État » en fournissant des services essentiels, explique Hamida Aman avant d'exprimer son admiration pour les femmes afghanes.
C'est un principe indiscutable, presque une évidence en travail social. L'accompagnement des personnes nécessite du temps et de la continuité. Et donc, de la part des professionnels, de l'engagement et de la stabilité.Or, ces dernières années, les professionnels se font rares, difficiles à recruter. Le turnover s'aggrave et le recours au CDD et à l'intérim est progressivement, mais sûrement, devenu la norme dans les structures, avec toutes les difficultés qui l'entraînent.La faute à qui ? Sans aucun doute aux conditions de travail qui se dégradent, aux salaires insuffisants, et à l'absence de reconnaissance.Cela tient-il aussi à l'immaturité de professionnels entrés trop jeunes dans le métier, ou encore aux attentes supposées de cette génération qu'on appelle la " Gen' Z ", dont le rapport au travail serait différent ? Peut-être. Le fait est que l'engagement sur le long terme n'est plus l'évidence qu'il a pu être dans le social.Élisa, éducatrice spécialisée - actuellement en cours de VAE pour obtenir un diplôme qu'elle n'a pu décrocher en fin d'études - a fait ce choix pour le moment de n'exercer que dans le cadre de remplacements, plus ou moins long. À 24 ans, c'est la pratique qui lui convient, pour plusieurs raisons. Elle a bien voulu nous expliquer lesquelles, avec le souci de déconstruire les préjugés et de montrer que l'engagement au travail n'est pas toujours là où on le croit et peut prendre diverses formes au cours de la vie professionnelle.➡️Si vous souhaitez à votre tour participer au podcast Les Voix du Social, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante : lemediasocial@lefebvre-dalloz.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 6 mai 2012, à Échirolles, dans l'Isère. Ce matin-là, Malik Boutvillain, 32 ans, sort faire son jogging. Sans téléphone. Sans papiers. Sans argent. Juste ses clés. Mais ce jour-là, il ne reviendra pas. C'est le début d'un mystère long de plus d'une décennie. Une affaire où les hypothèses se heurtent à l'indifférence. Où la justice semble avoir démissionné. Et où une mère, deux sœurs et leur avocat refusent d'abandonner. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueDans cet épisode spécial, je (Marine Lefort, l'hôte de ce podcast) passe de l'autre côté du micro. Interviewée par mon compagnon Florian, je reviens sur mon parcours, les projets que je mène en France et au Japon, et l'accompagnement que je propose aux photographes.Je parle aussi de l'évolution du podcast, de mon travail éditorial avec Gallimard, Fisheye, The Eyes, et de mes expériences à la résidence Villa Kujoyama, le festival Kyotographie, l'école des Gobelins ou à les Rencontres de la Photographie à Arles.J'espère que cet échange sincère vous permettra d'en savoir plus sur mes projets à côté de mon podcast Les Voix de la Photo.Bonne écoute !00:00:34 - Introduction de l'épisode spécial avec Florian00:02:51 - Le parcours de Marine jusqu'à un départ au Japon en 202200:04:03 - Travail au Japon : à la résidence Villa Kujoyama (Institut Français) et au festival Kyotographie à Kyoto00:04:40 - Retour en France et nouveaux projets00:05:39 - Collaboration avec des éditeurs (Gallimard, Fisheye et The Eyes) et des photographes00:07:41 - Accompagnements et projets avec des photographes00:12:38 - L'avenir du podcast Les Voix de la PhotoCrédit photo : Samuel KirszenbaumMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:30:57 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - L'Océan, un orchestre polyphonique, bien loin du monde silencieux attendu. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Laurent Chauvaud Directeur de recherche au CNRS, océanographe à l'Observatoire marin de Brest
durée : 00:58:21 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Fidèle au centralisme démocratique et aligné sur le modèle soviétique, le PCF surveille attentivement ses membres et sanctionne celles et ceux qui s'éloignent un peu trop de la ligne du parti… - réalisation : Anne Fleury
durée : 00:58:09 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Le PCF rassemble moins de voix que le FN lors du premier tour des élections présidentielles de 1988. Ce résultat est un choc annonciateur d'une période de déclin des idéaux communistes, sur le plan national et international. - réalisation : Anne Fleury
durée : 00:58:15 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Ces enregistrements éclairent la trajectoire politique du PCF, mais plus encore, ils ressuscitent une atmosphère. Manières de parler, d'interrompre, de se comporter : ces archives révèlent les codes et les habitudes qui font la vie du parti. - réalisation : Anne Fleury
durée : 00:58:19 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Fils de fer, bobines ou cassettes, les supports des enregistrements évoluent, et représentent aujourd'hui un véritable défi pour les archivistes. Comment inventorier, protéger et valoriser les archives sonores du PCF ? - réalisation : Anne Fleury
Avec Maël Maurin et François Dhin, interviewés par Raphaëlle de Barmon Podcast "Les Voix de l'Eglise" : https://www.youtube.com/@lesvoixdeleglisepodcast/podcasts Compte Instagram "Prière d'un jeune" : https://www.instagram.com/prieredunjeune/
Soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 228 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast.Le Vision Pro 2 ou un Vision Air, le 9 juin à la WWDC25 ?Enregistré mardi 15 avril 2025 à 17h45, enregistrement accessible en direct sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Fabrice Neuman, consultant auprès des petites entreprises et contributeur sur "Comment ça marche", Gilles Dounès, ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de "iPod Backstage" et Baptiste Dajon, chef de compte Apple et évangéliste Technologie chez Décathlon.Au sommaire de cet épisode 228 : le retour des rumeurs autour des projets d'Apple en ce qui concerne les masques qui vont succéder au Vision Pro, 1ère génération : le Vision Pro 2 et un Vision Air pourraient être présentés à la WWDC 2025, le 9 juin. Quelles seraient les caractéristiques et leur prix ? Comment se distingueraient-ils du masque XR que s'apprêtent à sortir Samsung et Google ?Notre "retour sur", cette semaine, est consacrée à l'exemption (provisoire) de droits de douane dont profitent finalement les smartphones (dont l'iPhone), les ordinateurs (dont les Mac), le semiconducteurs et autres produits électroniques. Apple s'en sort bien mais ce répit n'est pas définitif. Alors, que réserve l'avenir au-delà de ces 90 jours ?Et puis, quel printemps et quelle suite d'année pour Apple TV+ après le coup de boost apporté par Severance depuis la fin janvier ? Quelle sont les séries et les films prévus par Apple pour maintenir l'intérêt pour sa plateforme de streaming pour la suite de 2025 ? Ne manquez pas l'extrait de notre autre podcast, "Les Voix de la Tech", dans lequel Thierry Frémaux, le délégué général du Festival de Cannes, raconte la venue de Tim Cook à Cannes en 2023.Exceptionnellement, pas de bonus exclusif Patreon. Veuillez nous en excuser. Nous espérons reprendre avec l'épisode 229 ! Merci de votre fidélité et de votre compréhension.À mardi prochain, 15 avril 2025, pour l'épisode 228 dont l'enregistrement sera à suivre en direct à partir de 17h30 sur sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Qui écoutes-tu ? Le discernement dans un monde de voixDans un monde où les voix et les conseils sont nombreux, il est crucial d'avoir le discernement nécessaire pour savoir qui écouter. Dans cet épisode, je parle de l'importance de ne pas se laisser influencer par tout ce qu'on nous dit, mais de se rappeler que ce que Dieu dit sur nous est bien plus important que les paroles humaines. Tous les conseils ne sont pas bons à prendre. Il est essentiel de cultiver une écoute attentive et réfléchie, afin de rester fidèle à ce que Dieu a pour nous. Au-delà des conseils : Écoute ce que Dieu dit sur toiÉcoute, réfléchis et choisis bien qui tu laisses parler dans ta vie.
Candidate à la présidence du Comité international olympique, à l'occasion de la 144ᵉ session à Costa Navarino (Grèce) le 20 mars, la Zimbabwéenne de 41 ans, double championne olympique du 200 m dos en 2004 et 2008, membre de la Commission exécutive du CIO et ministre des Sports depuis 2018, détaille à RFI ses positions sur les grands enjeux auxquels l'institution est confrontée. RFI : Vous êtes la plus jeune candidate à cette élection, la seule femme et la première représentante d'Afrique à briguer la présidence du CIO. Êtes-vous le meilleur symbole de ce que devrait être le CIO au XXIe siècle ? Kirsty Coventry : J'espère que c'est ce que ressentent les membres du Comité, mais je veux aussi être la meilleure personne pour le poste, pas seulement en raison de mon genre ou de mon origine. Je veux que les membres sentent qu'ils peuvent avoir confiance en moi et qu'ils pensent que je serai la meilleure pour diriger notre incroyable organisation, en particulier dans cet avenir qui change si rapidement.En tant qu'ancienne sportive de haut niveau et ex-présidente de la commission des athlètes du CIO, vous êtes consciente des défis auxquels sont confrontés les athlètes, en particulier en Afrique, pour atteindre le plus haut niveau international. Quelle devrait être la priorité pour accroître leurs chances ?En tant qu'ancienne athlète, la partie la plus difficile de mon parcours a été de devenir championne olympique. C'est là que je pense que nous devrions concentrer un peu plus les programmes dédiés du CIO. Je veux également m'assurer que les voix des athlètes soient toujours entendues, car c'est ainsi que nous savons ce qu'ils attendent de nous, par le biais de la commission des athlètes, en veillant à ce que nous écoutions précisément ce dont les athlètes ont besoin, et comment nous pouvons travailler à leur protection et à leur soutien. En revanche, je ne crois pas aux primes [versées aux médaillés en athlétisme lors des JO de Paris 2024, une mesure annoncée par World Athletics, présidée par Sebastian Coe, autre candidat à la présidence du CIO, NDLR]. Encore une fois, en regardant mon parcours et en parlant aux athlètes autour de moi, la partie la plus difficile, c'est toujours avant de devenir champion olympique ou avant d'être célèbre. Une fois que vous l'êtes ou que vous avez gagné des médailles, beaucoup plus d'opportunités s'offrent à vous. La question est donc de savoir comment nous pouvons aider davantage d'athlètes à devenir champions ou finalistes olympiques. C'est comme ça que nous pourrons concerner davantage d'athlètes.À lire aussiLes sportifs de la solidarité olympique qualifiés pour les JO 2024Vous êtes très sensible à la place du sport féminin et à la représentation des athlètes féminines dans les médias. Quelle serait la première mesure que vous mettriez en œuvre dans ce domaine si vous étiez élue ?Au sein du mouvement olympique, nous avons déjà réussi à faire du bon travail pour la promotion de l'égalité des sexes. Il faut maintenant l'étendre. Nous avons besoin d'une meilleure représentation des femmes dans les fédérations internationales et dans les comités nationaux olympiques. On doit voir davantage d'opportunités pour les femmes entraîneurs et l'entourage des athlètes. Au lancement d'un programme ou lorsqu'on essaie de faire avancer quelque chose, les quotas jouent certainement un rôle parce qu'ils aident à changer la culture. Une fois que les gens ont adhéré à cette culture et qu'ils voient la véritable valeur d'avoir plus de diversité autour de la table, et que cela devient vraiment ancré dans la culture d'une organisation, alors les systèmes de quotas peuvent être supprimés. Donc, je pense vraiment qu'ils servent un objectif au début.La question des athlètes transgenres ou des personnes concernées par une différence de développement sexuel, comme la boxeuse algérienne Imane Khelif, médaillée d'or à Paris 2024, mais visée par des messages haineux sur les réseaux sociaux, reste controversée. Quel est votre avis à ce sujet ?Je veux m'assurer que nous protégeons la catégorie féminine et je crois que nous devons trouver une voie à suivre en le faisant collectivement avec les fédérations internationales. Le CIO doit jouer un rôle de premier plan et nous devons nous assurer, là encore, que nous protégeons et servons les athlètes. Ce que j'entends par « protéger les athlètes », c'est que lorsque l'une d'elles vit quelque chose comme ce qu'il s'est passé à Paris, ou si vous regardez le cas des athlètes à différence de développement sexuel, comme le cas bien connu de Caster Semenya, ça n'est pas géré avec sensibilité. Nous devrions faire beaucoup mieux, nous devons trouver une voie collective qui ne mette pas un athlète en danger.À lire aussiLa boxeuse algérienne Imane Khelif dénonce l'offensive judiciaire de la Fédération internationale de boxeLes Jeux olympiques de Paris 2024 ont été un grand succès populaire et financier pour le CIO. Est-ce désormais le modèle à suivre et comment ce succès peut-il être mis à profit pour engager la jeune génération dans un paysage médiatique en constante évolution ?Paris 2024 était exactement ce dont le monde avait besoin, surtout après le COVID. C'étaient des Jeux incroyables et extrêmement réussis, et nous devons utiliser cette plateforme en ce moment où tout le monde en parle encore. Le Comité d'organisation de Paris 2024 et Tony Estanguet ont fait un travail incroyable à travers le pays en engageant les jeunes, les écoliers, et en les impliquant dans le sport, et c'est la mission du CIO de construire un monde meilleur grâce au sport. Donc, la question est de savoir comment on peut utiliser ce qui a été fait à Paris 2024 et le répandre à travers le monde.Les JO devraient-ils être diffusés sur des plateformes telles que Netflix ?À mesure que nous allons vers l'avenir, Netflix, Apple TV, YouTube, ces entreprises de streaming en ligne, ne font que se renforcer. Et quand on regarde l'Afrique par exemple, dans quelques années, vous aurez plus d'un demi-milliard de jeunes de moins de 35 ans et la plupart d'entre eux auront des smartphones. Donc, si nous ne trouvons pas des moyens créatifs de nous connecter avec eux sur ces plateformes en ligne, ça sera vraiment une occasion manquée.Êtes-vous favorable au retour des athlètes russes et biélorusses aux Jeux olympiques, à commencer par Milan Cortina l'année prochaine, et sous quelles conditions ?Malheureusement, dans le monde d'aujourd'hui, nous allons surtout devoir faire face à la question de savoir comment protéger et soutenir les athlètes dans toutes les zones de conflit. Nous constatons de plus en plus de conflits en Afrique, vous en avez en Europe et au Moyen-Orient. Pour moi, nous devons créer un groupe de travail qui élaborera un cadre qui permettra de protéger et de soutenir les athlètes de toutes ces zones de conflit afin de les aider à participer aux Jeux. Au bout du compte, nous devons également nous assurer que tous les athlètes présents aux Jeux seront protégés. Donc, il pourrait être nécessaire de mettre en place différentes réglementations pour garantir que tous les athlètes sont soutenus et qu'il n'y en ait pas qui soient davantage protégés que d'autres.À lire aussiJO 2024: les Russes et Biélorusses ne défileront pas à la cérémonie d'ouverture à ParisVous êtes actuellement la présidente de la commission de coordination des Jeux olympiques de la jeunesse de Dakar 2026. Le succès de ces Jeux sera-t-il crucial pour la crédibilité de l'Afrique à accueillir un jour les Jeux olympiques ?Oui, à 100 %. C'est la première fois que le mouvement olympique vient en Afrique et peut découvrir notre enthousiasme, notre énergie, notre culture, et cette opportunité nous excite. Mais cela s'accompagne de beaucoup de responsabilités. Nous travaillons en étroite collaboration avec Dakar 2026 pour nous assurer de donner cette tribune au Sénégal, mais aussi à l'Afrique, pour montrer au monde ce que nous pouvons faire.En général, pensez-vous que les intérêts du sport africain sont suffisamment représentés au sommet du mouvement olympique et que feriez-vous pour améliorer les choses ?Il y a toujours des points que nous pouvons améliorer pour nous en assurer. L'une des grandes choses dont j'ai parlé aux membres du CIO serait d'essayer de trouver des moyens innovants de combler le fossé entre les comités nationaux olympiques qui sont très bien soutenus et bien gérés et ceux qui ont besoin de beaucoup plus de soutien, car encore en développement. L'utilisation de la technologie et de l'intelligence artificielle en particulier sera très importante pour combler ce fossé, car une fois qu'il sera un peu comblé, les pays en développement pourront consacrer plus de temps et d'argent à soutenir leurs athlètes, et nous pourrons alors voir plus de médailles gagnées dans le monde entier.Apprendrez-vous le français si vous êtes élue au CIO ?Oui (elle le dit en français, et en riant)… C'est une promesse que j'ai faite aux membres du CIO. C'est quelque chose que je prendrai très au sérieux. Nous avons une école française au Zimbabwe et j'ai déjà fait quelques démarches (rires). Ce serait certainement un grand honneur pour moi de pouvoir parler la langue de notre fondateur, Pierre de Coubertin !À lire aussiSur les traces des Jeux olympiques de 1924, à Paris et ailleurs
durée : 00:28:50 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1972, quatre militantes du MLF accompagnées de Monique Wittig et Delphine Seyrig expliquent la genèse et les objectifs du Mouvement de Libération des Femmes, tordant le cou au passage à l'idée d'une figure figée de la femme. Bien au contraire, les femmes existent dans leur diversité. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Delphine Seyrig Actrice; Monique Wittig
durée : 00:04:07 - Une semaine dans leurs vies - Suite et fin de notre série sur les voix du doublage. Nous retrouvons la comédienne qui double Julia Roberts : Céline Monsarrat. Est-elle une voix officielle ou Julia Roberts peut-elle, du jour au lendemain, changer de voix dans les versions françaises ?
durée : 00:04:06 - Une semaine dans leurs vies - De grandes voix nous accompagnent toute cette semaine : suite de notre série sur les comédiens de doublage. Nous retrouvons aujourd'hui Jean-Pierre Michaël, voix française de Brad Pitt et Keanu Reeves, entre autres. Avec lui nous nous interrogeons sur l'avenir du métier, menacé par l'IA.
durée : 00:04:10 - Une semaine dans leurs vies - De nouvelles stars dans le troisième épisode de notre série consacrée aux comédiens de doublage. Aujourd'hui : Jean-Pierre Michaël, incontournable dans la profession. Il a plus d'une corde vocale à son arc.
durée : 00:04:11 - Une semaine dans leurs vies - Nous passons la semaine avec des voix-stars. Deuxième épisode avec la comédienne Céline Monsarrat, qui prête sa voix à Julia Roberts dans les versions françaises de ses films et de ses séries. Vous entendez également sa voix dans des documentaires et des publicités.
durée : 00:04:32 - Une semaine dans leurs vies - Le 13-14 donne la parole cette semaine à de grandes voix françaises. Des comédiens qui doublent des acteurs étrangers dans les films et les séries, et nous permettent de les regarder en VF. Pour commencer, l'une des plus célèbres : Céline Monsarrat.
durée : 00:25:12 - Isabelle Aboulker, compositrice (5/5) - par : Judith Chaine - Dernier volet de nos entretiens avec Isabelle Aboulker dans lequel elle évoque quelques rencontres importantes qui ont marqué sa carrière musicale : Didier Grosjman et le CREA, Toni Ramon pour la Maitrise de Radio France ou encore Mstislav Rostropovitch. - réalisé par : Lionel Quantin