Le podcast qui donne de la voix, de la couleur et de la matière à l’invisible dans monde des affaires. Un regard unique sur la création et l'innovation Dans chaque épisode, Céline Boura, chamane corporate, CEO & Fondatrice de La terre, le ciel & nous, invite une personnalité entrepreneuriale à parta…
Il est des rencontres qui changent le cours d'une vie, parce qu'elles ont déjà eu lieu dans d'autres vies et qu'elles reviennent pour nous (r)amener… à l'origine. Au point zéro de qui l'on est, et de ce pourquoi on s'est incarné. Le vortex à partir duquel… tout peut co-exister. C'est l'histoire de l'œuvre que je m'apprête à mettre au monde dans deux jours : le 2.2.2022, celineboura.com verra le jour. Bien plus qu'un site... une libération dans tous ses dimensions. Dans l'épisode de mon podcast aujourd'hui, le 31ème, je vous partage la genèse et le processus de création qui m'ont permis de pouvoir vous offrir cette expérience digitale immersive à 360°. Revenir à l'origine du monde. À l'origine des mondes. Bon voyage ! ~ Lien vers la playlist Spotify conçue pour cet épisode :Revenir à l'origine ~ Première minute de l'épisode : conversation extraite du film "A star is born" entre les personnages de Bradley Cooper et Lady Gaga ~ celineboura.com
Créer les futurs. Oui, parce qu'il y a autant de futurs possibles que d'individus sur Terre, et il ne s'agit pas de prédire ces futurs, ni de les subir… mais bien de les créer. Avec l'entièreté de ce qu'on est. C'est là que l'Histoire peut rencontrer l'innovation, au sens le plus pur du terme : créer ce qui n'a pas encore existé, mais qui est déjà présent dans l'air du temps, sur d'autres plans. Comment développer notre capacité à capter, imaginer, produire et traduire ? Dans ce nouvel épisode, je vous partage ma propre expérience, et la façon dont la Création déploie tout mon business model depuis 11 ans. Bon voyage :) -- Petite nouveauté créative : j'accompagne désormais chaque épisode de podcast d'une playlist que vous pouvez découvrir sur Spotify, sur mon compte @celineboura. Mes 4 derniers épisodes et celui-ci ont donc chacun leur playlist, avec 11 titres éclectiques à découvrir à chaque fois. Une façon de prolonger l'expérience sonore par d'autres biais… Playlist Réinitialiser le système Playlist Épouser son corps Playlist Passer du travail à l'œuvre Playlist Recevoir mieux que prévu Playlist Créer les futurs Retrouvez-moi sur mon site laterrelecieletnous.com
Dans l'épisode d'aujourd'hui, je voulais initialement aborder les notions d'abondance et de croissance. Et puis ces mots sont tellement entendus, j'ai donc envie de vous amener à ces sujets par un angle plus subtil : l'art de savoir recevoir. Je le constate au quotidien, je suis face à des personnes extrêmement douées qui savent donner, donner, donner… ET qui ne savent pas ou peu recevoir. Ce qui leur bloque l'accès à beaucoup de choses : l'argent mais aussi les opportunités, les ressources, les bonnes rencontres au bon moment… Et quand on y met du « mieux que prévu », alors là on entre dans une sphère souvent inconnue. Recevoir au-delà de l'imaginable s'apprend, et c'est un art. Celui de faire co-exister le féminin et le masculin. Bon voyage ! Retrouvez l'ensemble de mes ressources sur laterrelecieletnous.com
Passer de : à quoi ça sert ? À : qu'est-ce que ça sert ? De : à quoi je sers ? À : qu'est-ce que je sers ? On parle beaucoup de bonheur et bien-être au travail. Vous savez quoi ? Moi je n'y crois pas. Le bonheur et le bien-être ne sont pas des fins en soi. Et surtout ce sont des états passagers, finalement très tournés vers une idéalisation de la réalité. Quand on parle d'œuvre, on parle de s'inscrire dans quelque chose de bien plus grand que notre petit confort ou nos critères de réussite matérielle et psychologique. Ça ne veut pas dire aller à l'encontre de soi, bien au contraire. Pour moi ça veut dire : Au service de quoi je me mets ? Pour quel monde j'ai envie de donner mon temps, mon énergie, mon argent ? C'est l'objet de ce nouvel épisode de podcast. Bon voyage ! Retrouvez-moi sur mon site www.laterrelecieletnous.com
L'âme se sert du corps pour nous parler. Le corps, c'est le réceptacle de toutes les énergies et informations qui passent en nous. À travers nous. Pour être redistribuées au monde. Alors on s'en fiche qu'il soit beau ou moche, Grand ou petit, Tonique ou flasque, Ici mon sujet ne sera pas esthétique, mais holistique. Parce que l'important c'est de ne pas oublier qu'on a qu'un corps et qu'il n'y a que lui qui nous accompagne du début à la fin de notre vie. Alors autant en prendre soin, et je vous propose même de pousser les curseurs plus loin : autant l'épouser. Pour en faire un véritable GPS et allié, dans nos processus de décision, de création et d'innovation. C'est le voyage que je vous propose aujourd'hui à travers ce nouvel épisode de mon podcast. Bonne écoute ! Retrouvez-moi sur mon site www.laterrelecieletnous.com
11 septembre. 20 ans plus tard. Et 10 mois après le dernier épisode… mon podcast est de retour sur les ondes. Version « nude » désormais : sans graphisme, sans générique, sans invité, sans filet. J'accepte d'habiter intégralement cet espace, du premier au dernier souffle, pour vous offrir de nouvelles mises en perspectives radicales. Étymologie du mot radical : qui revient à la racine. Créer à l'état pur. Rentrer dans des sujets aussi improbables qu'indispensables. Décoder. Réencoder. Pour faire bouger les lignes intimes et collectives… encore plus fort. Réinitialisons le système. De fond en comble
Ce vingt-cinquième épisode a une saveur particulière puisque je passe aujourd’hui de l’autre côté du micro, en étant interviewée sur un thème qui m’est très cher : « Honorer son art ». Épisode conçu sur "Somewhere only we know" de Keane Et c’est à Catherine Cianci que j’ai confié la mission de concevoir et animer cet épisode, à partir du thème que je lui ai proposé. Femme de médias, créatrice du Sommet des Entrepreneurs du Sensible, cliente de La terre, le ciel & nous depuis 2 ans, elle me semblait la personne la plus apte à capter et retranscrire la nouvelle étape que je rends publique aujourd’hui. « Mettre la création au centre, En faire une arme de construction massive, Ouvrir les portes de mon intimité et de mon processus de création » En effet, le 11 novembre prochain sortira 39 décembre, le voyage digital que j’ai créé, conçu et produit, et pour lequel je me suis littéralement mise à nu en tant que femme et artiste. Bien au-delà de la facette entrepreneuriale à travers laquelle je communique depuis 10 ans maintenant. « 39 décembre » est une expérience inédite à la frontière entre le visible et l’invisible, entre la sphère privée et la sphère publique, entre le ciel et la terre. Un voyage onirique et prospectif à destination d’un monde prêt à entendre le beau, parler l’humain et honorer le vivant. C’était initialement mon 3ème livre, écrit pendant le confinement. Un récit vécu dans la chair de mon histoire, aussi intime que sa portée est universelle. Pour aller au bout de mon dépouillement, et donc de mon processus créatif, j’ai choisi de le produire sous forme de voyage digital. Un voyage intérieur en mots, en images, en musiques, en voix, en émotions, en vibrations. « J’accepte maintenant que mon art a tout autant de valeur que ce que je peux faire avec mes clients. » Dans cet épisode, on parle ensemble de : La genèse de 39 décembre Le sens de ce titre (Re)mettre la création au centre : pourquoi c’est vital pour moi La façon dont je donne accès à mon expertise d’une autre façon L’impact sur mon écosystème Le fondu du polarités entre le gratuit et le haut de gamme Faire bouger les lignes du marketing en ligne Innover en devenant encore plus soi-même Monnayer mon art : un vrai changement de paradigmes Repousser les frontières entre le digital et le réel L’importance d’honorer ses élans et intuitions « Mettre à plat ma vision prospective du monde : ce que je souhaite dire et transmettre au-delà de l’entrepreneure que je suis. » Je remercie vivement Catherine pour cet épisode qui, je l’espère, vous éclairera davantage sur les innombrables passerelles à créer entre les monde invisible, artistique et économique. Pour réserver votre place pour 39 décembre, qui se déroulera du 11 novembre au 11 décembre 2020, c’est ici ! Bon Voyage !
« 39 décembre » est un voyage onirique et prospectif à destination d’un monde prêt à entendre le beau, parler l’humain et honorer le vivant. C’était initialement mon 3ème livre, écrit pendant le confinement. Un récit vécu dans la chair de mon histoire, aussi intime que sa portée est universelle. Pour aller au bout de mon dépouillement, et donc de mon processus créatif, j’ai choisi de le produire sous forme de voyage digital. Pourquoi ? La profondeur de champ est indissociable de ce que je suis, fais et transmets. Mes mots tous seuls ne suffisent pas à retranscrire l'étendue de ce que j’ai à partager au monde. À l’heure où les frontières extérieures se referment à nouveau, je vous invite plonger à plonger ensemble dans un voyage intérieur en mots, en images, en musiques, en voix, en émotions, en vibrations. Ce trailer met en scène et en relief des personnes-clés dans mon univers, intime et/ou public, qui m’ont permis chacune à leur façon de prendre ma place en embra(s)sant mon art. Chacune des voix fait partie intégrante du voyage digital, je les remercie vivement de leur contribution. « 39 décembre » est une expérience inédite à la frontière entre le visible et l’invisible, entre la sphère privée et la sphère publique, entre le ciel et la terre. À partir du 11 novembre, sur le site dédié, 11 chapitres sous formes d’escales seront progressivement dévoilés, jusqu’au 11 décembre. Il sera question de mémoire du futur, d’héritage, de transmission, de deuil, de (re)naissance, de responsabilité… Il sera surtout question d’Amour. D’accepter d’entrer en vulnérabilité. Pour plus d’humanité partagée. Et parce que continuer à rêver demain quand tout devient incertain est peut-être notre seule issue : je vous invite réserver votre place dès aujourd’hui sur le site 39 décembre • Le voyage digital • Céline Boura Bon Voyage ! Sur une musique d'Alicia Keys, "Good job"...
Dans ce vingt-quatrième épisode, je suis ravie de recevoir à mon micro Inès Leonarduzzi, CEO de Digital For The Planet, pionnière de l’écologie numérique, pour parler ensemble d’Incarner sa liberté. Episode conçu sur The Way • Macy Gray Cet épisode a un goût particulier pour moi car le jour où j’ai lancé mon podcast, le 1er octobre 2019, j’ai posé l’intention d’avoir Inès comme invitée à mon micro. 24 épisodes plus tard, nous y voilà ! Pionnière de l’écologie numérique et tellement plus, je suis très heureuse de vous faire rencontrer aujourd’hui cette femme qui ne rentre dans aucune case, très en avance sur son temps, jamais là où on l’attend. « Le chemin le plus rapide ce n’est pas changer la société, c’est de s’affranchir soi-même » : le message d’espoir qu’elle porte et insuffle me paraît tellement essentiel à l’heure actuelle. J’aime son ambition, son humilité, le fait qu’elle ne s’excuse jamais d’exister, tout en étant d’une grande accessibilité. « Très tôt je me suis affranchie du regard des autres et j’ai cessé de m’excuser d’exister. » L’étymologie du mot incarner en latin, c’est in-carnarer, soit mettre dans la chair, et la façon dont elle pose son regard sur le monde et y prend sa place se résume en un mot que nous prônons chacune à notre façon : la liberté. Si vous ne la connaissez pas, ou peu, voici les grandes lignes de son parcours : Double cursus langues étrangères et lettres classiques DU en chinois mandarin Certificat Art Business à New York chez Christie’s Education Start up à Hong Kong dans l’événementiel et l’art École de management à Lyon Stratégie retail digitale chez LVMH Talent management Europe chez Kering Création d’une méthode de management agile prônant un rapport décomplexé à l’erreur Créatrice d’un salon de thé clandestin parisien, initialement ouvert à ses amis puis la presse s’est emparée du phénomène, devenu un spot pour les voyageurs, artistes et parisiens en tout genre Depuis 2017, CEO de Digital for the Planet, qui est à la fois une ONG et un cabinet de conseil qui accompagne les entreprises et les gouvernements à réduire leur impact carbone généré par leurs activités numériques, et qui sensibilise les citoyens à mieux comprendre ces enjeux d’un point de vue intellectuel et sociétal Fondatrice de The Wit, devenue tout récemment Preserve, un réseau en ligne qui enseigne à travers des masterclasses l’art de vivre bien et mieux. « Ce n’est pas tout de créer de nouvelles choses, moi ce qui m’intéresse c’est pourquoi on crée de nouvelles choses, est-ce qu’elles ont un sens ? C’est comme ça que je mène toute ma vie. » Dans cet épisode, on parle ensemble de légitimité, d’intuition, d’éducation, d’élégance relationnelle, d’Instagram, d’art, de poésie, de beau, de sens… de ne pas faire semblant pour ne pas oublier qui on est, et savoir dans quel monde on veut avancer. « Je n’ai pas appris à faire semblant et ça a contribué certainement au fait que je sais de quel côté je me trouve. » Bon Voyage !
Dans ce vingt-troisième épisode, j’ai le plaisir d’accueillir Mathieu Thomé, co-fondateur de Corporate Chaman, société qui a pour vocation d’apporter du soin en entreprise en éclairant l’invisible. Un programme de transformation global pour être acteurs du changement et révéler l'importance de la connexion à nos parts émotionnelle et spirituelle en entreprise. Episode conçu sur We sing in time • Faada Freddy Quand une chamane corporate rencontre un corporate chaman, leurs chemins ne peuvent que s’intriquer pour offrir au monde un épisode de podcast à saveur particulière, qui explore autrement les notions de sens, de croissance et de performance en entreprise. « Créer un terreau propice à de nouvelles façons de faire et de voir, basées sur nos 4 dimensions : physique, mental, émotionnel et spirituel. » Ou comment faire revenir l’entreprise à ses fondamentaux, à son moteur, à sa raison d’être, en permettant aux individus qui la composent de s’y relier par 4 dimensions : le physique, le mental, l’émotionnel et le spirituel. Avec deux approches très différentes et une sensibilité commune, j’ai souhaité inviter Mathieu pour qu’il nous partage comment il voit et incarne la nécessité d’un chamanisme contemporain en entreprise. Issu du milieu du conseil, des starts-ups et de la gestion d’influence, son expérience aux antipodes de la mienne est passionnante. Le fil d’or que l’on déroule aujourd’hui : L’invisible : un nouveau mode de relation qui inclut les émotions, les sensations, le symbolique Se délester de son armure : pourquoi, comment ? La notion centrale de prendre soin : l’importance de se (re)connecter à nos dimensions émotionnelle et spirituelle dans l’environnement professionnel Aller à la rencontre d’un Soi plus authentique, intègre et responsable « L’une des clés pour intégrer la notion de responsabilité, c’est d’accepter que ça prenne du temps de concilier le temps humain et le temps de l’entreprise. » Dans cet épisode, on parle ensemble de sa carrière commerciale, de son travail intérieur depuis une vingtaine d’années, d’engagement à relier des mondes et des dimensions « à priori » opposés, de remettre du sens, de l’unité et de l’humanité dans l’entreprise, d’animaux totem, de KPI, de magie, de rentabilité…et d’être à chaque instant le créateur de sa réalité. Bon Voyage ! { Les paroles au début de l’épisode sont un extrait du discours de Steve Jobs à l’Université de Stanford en 2005. Voici leur traduction } « Votre travail va remplir une grande partie de votre vie, et la seule façon d'être pleinement satisfait est de faire quelque chose que vous estimez important. Et le seul moyen de faire quelque chose d'important est d'aimer ce que vous faites. Si vous n'avez pas encore trouvé, continuez à chercher. Ne vous arrêtez pas. C'est comme l'amour, vous saurez quand vous le trouverez. Et, comme dans toutes les formidables relations, ça ne fait que s'améliorer au fur et à mesure des années. Alors continuez à chercher jusqu'à ce que vous trouviez. Ne vous arrêtez pas. »
Dans ce vingt deuxième épisode, je suis touchée et honorée de recevoir à mon micro Malek Boukerchi, philosophe, conteur, anthropologue, ultra marathonien, pour aborder un sujet qui me semble essentiel dans la construction de demain : relier les extrêmes. Épisode conçu sur "Voyage" • Rivière Monk « Relier les extrêmes, c’est accepter d’être dans l’entre deux : cette capacité à basculer entre le confort et l’effort, à comprendre que l’incertitude est notre habitat certain. » Malek Boukerchi est un être hybride, d’une grande lucidité et humilité, que j’ai rencontré grâce à l’Institut des Futurs souhaitables. Spécialiste en intelligence relationnelle, il parcourt le monde, les mondes avec ses pieds, au nom d’une cause qui le dépasse. « Guetteur-tisseur de rêves » comme il se surnomme, c’est aussi un ultra-marathonien : il court des marathons allant jusqu’à 1 500 km dans des contextes extrêmes (déserts, glaciers…). Cette pratique l'emmène jusqu'aux confins du monde pour explorer les limites du possible et du dépassement de soi. C’est surtout un homme au grand cœur qui manie avec une aisance rare des concepts que j’ai souhaité qu’il nous rende accessibles : la relation au corps, à l’impermanence, aux mots et à l’humanité pour ouvrir nos consciences et amplifier nos actions à transformer la société. Apporter du fond, du sens et du liant, c’est ce qui nous relie tous les deux et cet épisode est une partition à 4 mains pour porter nos messages encore plus loin. En espérant que chaque mot trouve sa juste place dans vos réflexions – et réflections – actuelles. « Raconter des histoires, en ces temps de désagrégation du réel, c’est ce qui nous unit encore le plus, on a besoin de ça. » Dans cet épisode, on parle ensemble de courage, de vulnérabilité, de douceur, de résilience, d’impermanence, d’invisible, d’amour, de transmission, d’émerveillement, de ténacité… et que tout est toujours une question de regard : l’égard que l’on a vis-à-vis de l’autre. « Rien ne dure, Tout est entre deux, L’incertitude c’est l’état brut de la vie. » Bon Voyage !
Bienvenue dans ce vingt et unième épisode de Transmissions du futur, je suis très heureuse de vous accueillir en cette rentrée pour vous parler de… Devenir qui l’on est. Thème ô combien philosophique et pragmatique, parce qu’au vu de la mutation géante dans laquelle nous sommes tous, il me semble primordial de regarder en face ce que ça signifie, de le traverser ensemble. « J'avance un pas après l'autre avec une forme de confiance. Je ne sais pas où je vais... mais j'y vais." L’une des ressources qui m’aident à prendre des décisions et à grandir, c’est de m’écrire des lettres et/ou de m’enregistrer des audios de moi... à Moi. Je le fais en flux instinctif, sans préparation, sans filtre, sans relecture ni réécoute. Je laisse agir... et j’y reviens quelques semaines ou mois plus tard. Pour constater le chemin parcouru. Et celui qu’il reste à parcourir. Ce qui me stupéfait à chaque fois, c’est à quel point ces propos sont intemporels... et universels. Il y a un an, à la veille de changer de vie, je m’étais enregistrée un audio pour laisser derrière moi ce qui n’avait plus lieu d’exister, et ouvrir la porte à tout ce qui n’avait pas été prévu, et encore moins imaginé. En le réécoutant cet été, je me suis dit que je ne pouvais pas faire l’économie de le partager publiquement. Parce que je crois que la vocation de l’intime, c’est justement est de devenir intemporelle et universelle. Je l’ai réenregistré quasiment mot pour mot, 13 mois après, pour vous offrir un accès à la façon dont j’apprends à devenir qui je suis. Chaque jour, un mot après l’autre, un pas après l’autre, une forme de discipline d’introspection et de capacité à accueillir autre chose que ce que mon mental avait prévu ou imaginé. "Je crois qu'en fait c'est ça le Next Step : Garde de la place dans ton coeur pour l'inimaginable" Dans cet épisode, je parle de ce que mes 4 ans et demi au Cap Ferret puis à Bordeaux m’ont appris, de mon changement de vie vers Paris, de mes renoncements, mes affirmations, mes doutes, la façon dont j’apprends à faire corps avec ma peur, de sécurité intérieure, de foi, de reconnaissance, d’humilité… et de vivre chaque jour avec la conscience que je suis encore et toujours là… et que je me dois d’en faire quelque chose. Bon Voyage ! { Les paroles du début sont extraites de « Bohemian Rhapsody », le film sur la vie de Freddy Mercury – le film culte de ma fille – et celles de la fin sont les mêmes en VO }
Bienvenue dans ce vingtième épisode de Transmissions du futur, aujourd’hui seule au micro pour vous parler de : « L’âme dans sa réalité la plus concrète : la façon dont elle nous aide à faire des choix, et donc, à nous engager. » Épisode conçu sur « Bloodflow » • Live Grandbrother S'engager avec le Vivant. S’engager à ne pas se laisser dépérir. À ne pas détruire ce qui nous entoure. À ne pas se laisser embarquer dans des choses, des situations qui ne sont pas honorables. Et parce que je m’engage à ça, Et parce que nous nous engageons à ça, Dans nos sphères les plus intimes, Ça nous engage publiquement. Ça nous engage avec nos clients. Avec nos proches. Avec nos projets… Ça m’engage, ça vous engage à ne pas trahir ce qu’on est venus faire, et vivre ici. Et aujourd'hui, ça devient fondamental, parce que c'est pas parce qu'on est pleinement dans la vie qu'on a à vivre, qu'on peut permettre à d'autres de faire de même, que ce soit à un enfant, un client ou un ami. Dans cet épisode, je parle de création, de vérité, de fulgurance, d’écouter ce que la vie est en train de nous dire, d’habiter son centre de gravité, d’accepter d’être en mouvement, d’exigence, de non-attente de validation extérieure, d’énergie de maître… et de pouvoir naviguer avec tout ça dans le flux instable et incertain du monde dans lequel on vit. Bon Voyage ! { Les paroles du début sont extraites de la série Netflix LGBT « Les chroniques de San Francisco » – j’adore – et le livre dont je parle à la fin est « Les familles d’âmes » de Marie Lise Labonté }
Dans ce dix-neuvième épisode, je vous amène à réfléchir sur comment vivre avec la mort, en recevant à mon micro Jean-Luc Verreaux, co-fondateur de l'Institut des Futurs souhaitables, l’école de la réinvention à Paris. Épisode conçu sur « Juste Après (Live) » Fredericks, Goldman, Jones « La question ce n’est pas de savoir ce qu’il y a au bout du chemin, c’est de savoir ce qu’on fait du chemin. » Je suis très fière et très émue de pouvoir porter publiquement ce sujet qui me tient à cœur, et qui me semble incontournable au vu des récents évènements que nous avons tous traversés. Face à l’impuissance de la finitude, comment ouvrir le champ de futurs souhaitables ? Pour en parler, j’avais envie d’une voix, d’un vécu et d’une réflexion d’homme qui nous amène à envisager la mort sous un angle philosophique et socio-économique. Actuellement en formation Innovation, Prospective & Transformation des organisations au sein l’Institut des Futurs souhaitables, il m’a semblé évident d’aller connecter l’information à la source et vous la partager. Jean-Luc Verreaux a co-fondé l’Institut il y a 10 ans, avec Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, pour « imaginer demain à l’aune de ce qu’il pourrait être de mieux » . Formations, conférences, outils et ateliers y sont proposés pour s’évader en conscience vers un 2040 réussi. Ils sont dingues. J’adore. Psychologue de formation, après un parcours de DRH, Jean-Luc y assure aujourd’hui le management général, anime les dynamiques de groupe et valorise l’apprentissage d’un vivre ensemble riche des désaccords de chacun. Œil de lynx et parole précise, son regard sur la mort nous éclaire sur nos limites, et sur notre capacité à les transformer pour un meilleur à être et à devenir ensemble. « Regarder en face les limites du système, nos propres limites & imaginer ensemble des futurs souhaitables. » Dans cet épisode, on parle ensemble tout azimut de repenser nos modèles de développement, de croissance infinie dans un monde fini, de stratégies d’évitement du vide, de reconnexion au vivant, de contribuer collectivement à quelque chose qui nous dépasse, d’alignement avec ses valeurs, de qualité de relation à l’autre, de sortir de nos rythmes de vie effrénés, de regarder en face nos zones d’ombre… conditions sine qua none pour intégrer la mort dans la vie, et prendre conscience de sa préciosité. « Ce n’est pas de la morbidité de se connecter à sa propre mort, c’est au contraire une opportunité de dingue de pouvoir choisir sa vie et de la vivre pleinement. » Bon voyage ! ( La voix que vous entendez au début et à la fin du podcast est celle de Lambert Wilson, dans un extrait du film "L'Odyssée" où il tient le rôle de Jean-Jacques Cousteau. ) (( Cet épisode est dédié à Sylvie Estrade, une femme chère à mon cœur dont j'ai appris le décès au moment où je finissais de monter cet épisode. ))
Pour ce dix-huitième épisode, je vous emmène explorer le thème "Habiter l'espace" en compagnie d'Anna Dubessy, designer corps & objet. Épisode conçu sur « You’re the one that I want » • Lo Fang « Développer une posture critique et créative pour dépasser la forme, l’apparence, s’interroger sur l’usage, questionner la norme sociale pour cultiver l’art de vivre et d’habiter » Anna est une auditrice de mon podcast, que j’ai découverte grâce à Édouard Malbois, invité de l’épisode 3 sur le thème Chaos & Utopie. Elle avait rédigé avec lui sur LinkedIn une tribune sur sa façon d’introduire l’utopie en entreprise, à travers son métier qu’elle qualifie d’alchimiste de l’ordinaire. J’ai adoré la profondeur et la puissance de ses mots, son regard de designer et de poète qui réinterroge toutes nos habitudes, nos croyances et nos conditionnements, pour nous amener à vivre la notion d’espace comme des prolongements de notre Soi. Car l’espace n’est pas seulement le lieu : c’est aussi notre corps, c’est le monde qui nous entoure, dans la lignée du « ma », concept spatio-temporel japonais, qui désigne à la fois l'intervalle, la durée, le temps qui ne sépare pas, mais qui au contraire relie deux polarités. À l’heure du confinement puis du déconfinement, j’ai trouvé nécessaire d’interroger notre façon d’habiter l’espace qui, par la force des choses, a été pulvérisée et nous oblige à repenser notre habitat, notre temps, notre lieu et notre lien au travail, aux enfants, au quotidien. « Cultiver l’approche poétique d’une vie qui n’est plus prosaïque mais qui devient une vie de choix. » Quel regard, quelle émotion, quelle direction souhaitons-nous donner à notre espace du dedans et du dehors ? À notre environnement ? Pourquoi y mettre son âme est essentiel ? Comment quitter la norme sociale pour habiter sa justesse ? Et cultiver l’écologie, au sens le plus large du terme ? Ce sont les fils d’or de notre échange du jour. Bon voyage ! « A-t-on vraiment besoin de plus, quand on est dirigeant, que le vide pour réfléchir, décider et faire les 100 pas pour pouvoir se concentrer ? » Georges Perrec
Dans ce dix-septième épisode, Céline Boura reçoit Corinne Rocca, artisane de la voix et de la scène, sur le thème "Faire entendre sa voie". Épisode conçu sur “A change is gonna come » de Brian Owens & Michael McDonald. « Envisager son corpscomme un instrument de musique,un ensemble et une organisationsubtile et délicate qui va fairequ’à un moment,on va sonner juste. » Pour ce dix-septième épisode, je vous emmène découvrir Corinne Rocca, artisane de la voix et de la scène, sur le thème « Faire entendre sa voie ». J’insiste sur le e à voie parce que bien plus que de voix, nous parlons ici d’incarner son identité, de porter ses messages et de créer une vibration collective pour accompagner la métamorphose du monde – et notamment celle des entreprises. Corinne est d’abord une chanteuse et musicienne qui a vécu mille vies. Depuis 2007, elle met son art au service des ouvertures de voix et voies auprès de hauts dirigeants et équipes managériales, qui font confiance à son excellence autant technique que relationnelle. C’est la raison pour laquelle je lui fais confiance depuis 2012, depuis ce jour où elle m’a contactée par le biais de mon blog pour me dire qu’elle était interpellée par la musicalité de mes mots. Il n’en fallait pas plus pour créer une puissante connexionentre nous, qui grandit et s’étoffe avec le temps puisque j’ai fait appel à elle à plusieurs reprises : · Mes premières prises de parole en public en 2012 · La célébration des 2 ans de mon entreprise cette même année où j’ai chanté face à mes 40 invités · Ma conférence TEDx « Faites confiance à votre intuition » en 2017 · Ce confinement et les cours de chant qui ont libéré un nouvel espace de création en moi – je vous en offre la quintessence dans cet épisode « Au commencement il y aune énergie, un feeling, un mood.Tout ce qui se construit autourc’est du sur-mesure.On ne va pas apprendre,on va d’abord respirer. » Dans cet épisode, on parle de : · L’importance de sentir à sa place à l’intérieur de soi · Et d’avoir une intention généreuse pour dire les bons mots · Ne pas chercher à faire de l’effet face à un public · Mais d’oser être dans son authenticité · La façon dont nous avons co-construit mon TEDx talk · L'impact de ses influences musicales nord-américaines dans son travail · Puiser sa singularité dans son parcours de vie · Apporter cette ouverture en entreprise… véritable levier pour plus de richesses partagées Bon voyage ! « On arrête le mentalet on va chercher le tripal ! »
« Que voit-on quand on voit l’invisible ? Et comment peut-il nous aider dans la métamorphose du monde qui nous est demandée ? » Épisode conçu sur la BO du film "J'ai perdu mon corps" • César 2020 du meilleur film d'animation et de la meilleure musique Pour ce seizième épisode de « Transmissions du futur », je vous emmène avec moi en voyage dans l’espace entre, à travers et au-delà des mots et du tangible : l’invisible. Curieux mot qui regroupe tant de notions, et se recoupent toutes autour du même noyau : l’Amour. Mais quel intérêt de faire cohabiter l’Amour avec toutes les préoccupations dans lesquelles nous sommes plongés en ce moment ? Et bien justement. Au fil de mes mots, je vous invite à développer votre regard, votre écoute, votre ressenti pour vous ouvrir à des dimensions subtiles mais essentielles pour dénouer toute situation. On parle de se (re)connecter à sa fréquence originelle et de son impact concret sur tous vos actes, vos décisions, jusqu’à votre contribution à la grande marche du monde, qui a plus que jamais besoin de notre co-opération pour se réinventer. « En étant pleinement à son âme, On fait mieux fonctionner l’âme du monde. » Je lève le voile sur la façon dont moi je vis et vois l’invisible, comment j’aide mes clients à l’intégrer dans leur réalité entrepreneuriale, comment vous pouvez en faire un levier de transformation et de transmission, sans tout changer… simplement à vous branchant à ce qui vous rend vivant. Belle odyssée !
Dans ce quinzième épisode, Céline Boura reçoit Anouk & Vanessa Engels, deux clientes qui partagent leur expérience du processus Amour & Argent. Épisode conçu sur Makambo • Geoffrey Oryema « Ce que j’ai appris et intégré dans mes cellules m’a fait avancer de façon spectaculaire. Chaque ouverture de porte est une fabuleuse opportunité de grandir et de traverser ses peurs. » Aujourd’hui je vous propose un partage intimiste à vocation universelle, pour rassembler deux polarités aussi opposées que l’Amour et l’Argent. Comment mettre l’une au service de l’autre pour en faire un vecteur d’expansion ? C’est la question que je me suis posée il y a 9 mois, sentant l’impératif d’agir sur des sujets-clés d’évolution de société, et à laquelle j’ai voulu activement apporter des réponses. J’ai donc créé un format de transformation collective sur ce thème, pour accompagner des entrepreneurs (femmes et hommes) à se réapproprier ces deux pouvoirs et à en faire une réelle arme de construction massive. J’ai fait 3 éditions à Paris, 1 à Montréal, puis 2 groupes suivis sur la durée. Avec des résultats détonants à chaque fois. C’est ce que je vous partage dans cet épisode, en invitant deux entrepreneures qui ont vécu le processus de l’intérieur à nous raconter leur (r)évolution face à l’Amour et à l’Argent. Et l’impact concret que ça a eu dans leur vie, leur entreprise, leur contribution aux mondes. « J’ai surtout appris à accepter qui je suis, à accepter ma puissance, accepter mon côté maternel, accepter de faire de la place à l’homme, accepter ma mission et ma révolution... accepter de recevoir de l’amour et de l’argent. » À 30 ans, Anouk est entrepreneure depuis 7 ans déjà, et accompagne le développement de ses clients par ses talents d’écriture, de photographie et par la création d’une école pour apprendre à devenir soi-même. Quand je lui ai demandé de m’épeler son nom de famille, elle m’a dit « Moi c’est Anouk uniquement. Comme Beyoncé. » :) Derrière sa caparace d’introvertie surdouée, se cache une artiste avant-gardiste qui s’est complètement révélée en s’autorisant à investir dans Amour & Argent. Portée par l’énergie du groupe (nous avons travaillé à 5 pendant 6 mois), elle a ouvert une toute autre dimension de sa transmission. "Je n’ai plus de choix à faire entre Amour et Argent. Les rencontres, les évidences, les synchronicités me portent vers moi, ce qui m'ouvre des portes inattendues dans le milieu de la finance…" Vanessa Engels est créatrice de la communication respiratoire, concept né pendant de ce processus ensemble. Elle développe depuis 15 ans une approche pour aider les gens à libérer leur respiration et ainsi à libérer leur vie. Elle a souhaité prendre part à Amour & Argent pour connecter sa puissance visionnaire et l’intégrer concrètement à la croissance de son entreprise. Aujourd’hui son ambition est de faire respirer la planète entière. Et c’est plus que jamais le moment. Notre travail toutes ensemble, démarré le 12 septembre dernier, a pris fin le 12 mars et s’est clôturé par l’enregistrement de cet épisode. Juste avant que la moitié du monde entier ne soit appelée à se confiner. Mieux respirer, mieux vivre, mieux aimer, mieux donner et recevoir… C’est tout le sens de notre épisode à 3 voix. Bon Voyage !
Dans cet épisode spécial, Céline Boura, chamane corporate et créatrice du podcast, prend son micro pour partager sa vision et son expérience de l’incertitude. Épisode conçu sur Quelques mots d'amour • Michel Berger « Le superflu m’embarrasse Hier nous en débarrasse Demain devient vertigineux Alors dans cet entre deux Je nous donne la latitude D’explorer toutes nos incertitudes. » Je vous souhaite la bienvenue dans ce deuxième épisode spécial où je prends mon micro seule, après avoir reçu dans ce podcast 18 personnes – 14 épisodes, deux dans le premier épisode, deux dans le prochain ! En ces temps d’incertitudes, c’est plus que jamais le moment de se réinventer, en proposant du fond, des ouvertures de conscience et des pistes de réflexion pour construire l’entre-deux mondes. Un grand merci pour vos retours très encourageants suite à mon épisode Traverser le vide, publié il y a 15 jours en tout début de confinement. Je poursuis aujourd’hui avec un thème totalement complémentaire : embrasser l’incertitude, embraser l’incertitude. Vous comprendrez à l’écoute de cet épisode que le choix de ces deux mots ensemble a une signification très particulière pour moi, et que c’est encore une façon de rassembler mes polarités. Nos polarités. « Les choses ne se passent jamais comme prévues. » Alors sur quoi s’appuyer pour transformer au mieux ce que nous sommes tous en train de traverser ? Comment rendre vivable et fertile cette page blanche qui se présente à nous, ne nous laissant pas d’autre choix que de l’accepter ? Dans cet épisode spécial again, je vous parle de l’importance de « surrender », d’arrêter de chercher des coupables, de prendre ses responsabilités, de repenser son rapport au monde, de libérer la parole , de colère et d’impuissance à mettre au service de la création, d’être exigeant avec soi, de toucher son non-négociable… et de l’infuser, plus que jamais, dans nos foyers, nos entreprises et nos gouvernements. Bon voyage !
Dans ce quatorzième épisode, Céline Boura reçoit Marylin Rebelo, accompagnante et célébrante en cérémonies laïques, sur le thème Valeur & Humilité. Épisode conçu sur “Wish you were here” • Wyclef Jean « Asseoir sa valeur, ce n’est pas une démarche d’égo. C’est s’ouvrir à la vulnérabilité et donc à l’humilité. Et c’est essentiel pour se construire, soi et le monde de demain. » Ma rencontre avec Marylin remonte à février 2018. Le lendemain de la mise en ligne de ma conférence TEDx sur l’intuition, elle est l’une des premières à m’envoyer un mail, sobrement intitulé : « Mon intuition : vous écrire ce soir ;-) ». La puissance et la justesse de ses mots me laissaient présager qu’elle allait être une Rencontre importante. Ça l’a été. Officiante et célébrante en cérémonies laïques, son activité de niche et de pointe, créée à Lausanne en 2015, était en pleine success story. Oui mais… elle ressentait qu’à continuer dans cette frénésie, elle emmenait son entreprise droit dans le mur. Elle a souhaité que je l’accompagne pendant un an pour dépouiller, amplifier et structurer la suite de son développement. L’une de ses problématiques, faisant finalement effet domino sur tout le reste : elle se sentait coupée de son intuition, ne parvenant plus à discerner les choix justes pour elle, ses clients, sa société et son entourage. Nous avons alors entrepris un profond voyage de l’âme pour renouer avec sa juste fréquence. Et recréer un environnement propice à la suite de son éclosion. C’était sans compter les vides et renoncements qu’il lui a fallu traverser… et la renaissance qui s’en suivie. Une bulle de paix et de sérénité chèrement conquise. « Mon métier n’est pas forcément celui que je croyais, il se base désormais sur quelque chose de plus profond et subtil. C’est la part d’invisible que j’ai intégrée et que j’assume aujourd’hui. » Avec elle, j’ai souhaité revenir sur l’aventure que nous avons partagée ensemble pendant un an, puis comment elle a continué la route seule depuis un an. À la différence de l’épisode 9 avec mon client Alexandre Antoine, chef d’entreprise dans le bâtiment, qui a été enregistré le jour de la fin du travail ensemble, je trouvais intéressant d’avoir le témoignage de Marylin avec le recul d’une année, et la profonde transformation que ça lui a permis d’opérer – dans tous les aspects de sa vie. Cet épisode 14 a été enregistré le 18 février, et la caisse de résonance qu’il nous offre au regard de l’actualité est saisissante : vide, mort, renaissance, dépouillement, accès à plus de vérité, d’authenticité, d’humilité… un partage d’expérience puissant qui fera écho à ce que nombre d’entrepreneurs se voient aujourd’hui obligés de traverser. La bonne nouvelle, c’est l’espoir qui jaillit derrière tout ça :) « Le vide et le silence, c’est véritablement là que tout peut commencer, que tout se crée, c’est là qu’on plante les graines d’un très beau jardin. » Dans cet épisode, on parle d’amour, de couple, de mariage, de prendre du temps pour soi, du vide et du plein qu’il contient, d’intuition, de chamanisme, de rites de passages, de contrat d’âmes avec les clients, de garder confiance en la vie qui travaille pour nous… et de s’engager pour quelque chose de plus grand que soi, la clé qui ouvre toutes les portes. Bon voyage !
Dans cet épisode spécial, Céline Boura, chamane corporate et créatrice du podcast, prend son micro pour partager son regard sur le vide actuel imposé. Épisode conçu sur "Thinking of a place" • The war on drugs. « Personne n’est préparé ni outillé à vivre ce qu’on vit. Ça nous oblige à revenir à ce qu’il y a de plus profond et de plus fragile en nous : notre part d’humanité » Aujourd’hui s’impose à moi l’élan de prendre mon micro seule, pour aborder un sujet extrêmement polarisé car plus que jamais d’actualité : ce vide qui nous est imposé à tous les étages… on en fait quoi ? Je n’ai pas aucune réponse toute faite, mais c’est un sujet sur lequel j’accompagne de plus en plus mes clients dirigeants et chefs d’entreprise ces derniers mois. Le fameux « espace entre ». Aussi redoutable qu’inconfortable. Et nécessaire. Ce vide qui nous terrorise et qui pourtant ne nous laisse pas d’autre choix que de le traverser… et le laisser nous traverser. Comme si tout ça était en préparation souterraine depuis longtemps… avant le tsunami qui est en train de déferler sur nos vies. À ce stade, il devient nécessaire d’avoir, non plus une compréhension mentale du vide dans lequel nous sommes propulsés, mais une grille de lecture énergétique et spirituelle. « Le vide ça ne se fuit pas, sinon il revient. Ça ne se contourne pas, sinon il nous emprisonne. Ça se regarde en face, et ça se traverse. » Dans cet épisode spécial, je vous parle de ce que signifie être à l'intersection entre le monde de l’invisible et le monde des affaires, de la confrontation avec l’épreuve de la mort et ce qu’elle change dans nos perceptions, d’instinct de survie, de risque, d’incertitude, de vulnérabilité… toile sous-jacente d’une question qui me hante depuis toujours et qui se faufile à grands pas dans nos réalités : « Que reste-il quand il ne reste plus rien ? ». Bon voyage, avec amour et courage.
Dans ce treizième épisode, Céline Boura reçoit Jimmy Jarnet, wellness designer, masseur et coach sportif, sur le thème Luxe & Prospérité. Épisode conçu sur Airwaves • Ray LaMontagne « Pendant longtemps je pensais avoir une bonne étoile. Je ne me sens pas guidé mais hyper connecté avec le monde dans lequel je vis et hyper à l’écoute de ce qu’il y a autour de moi. » Ma première rencontre virtuelle avec Jimmy s’est faite il y a un an et demi, à l’occasion d’un reportage sur M6 sur la rénovation de l’Hôtel Lutetia, où il était filmé en train de masser la directrice du spa qui testait son protocole. « Lui il a vraiment un truc à part… j’aimerais le rencontrer » me suis-je dit. À ce moment-là, il ne me connaît pas. L’été dernier, je reviens vivre sur Paris, dans le quartier du Lutetia. Je lance mon podcast et suite à l’épisode 7 avec Christelle Graillot, agent de comédiens et réalisateurs qu’il connaît bien, il m’envoie un chaleureux message de remerciements. Je ne loupe pas l’occasion d’entrer en connexion. Vœu exaucé. Jimmy a créé sa profession de wellness designeril y a 10 ans, à son image. Coach sportif, masseur, consultant bien-être, il créé des univers, des protocoles, une philosophie de massagepour des établissements de luxe en France et à l’étranger, notamment Four Seasons, Spa Balmain, Lutetia, Evok Hôtel Collections.... En 2016, il est élu meilleur masseur français. Ce qui m’intrigue et m’interpelle chez lui, c’est la façon dont il intègre une dimension spirituelle à son métier tout en évoluant dans les sphères du luxe. Il n’a pas besoin de le dire, il le respire. Sa façon de parler, d’occuper l’espace, de regarder, d’écouter, de toucher, car oui j’ai eu le luxe de tester son massage, est suffisamment extra-ordinaire pour que je l’invite à en parler aujourd’hui. « J’ai intégré l’écoute du corps et de l’énergie. Je suis un très bon récepteur, j’ai appris à transmettre et échanger avec chacun. Je n’ai pas un don, Je fais du transfert d’énergie. » Bien plus qu’un massage ou un soin, ce qu’il propose est une œuvre d’art conçue sur-mesureavec chacun de ses clients, et ce niveau d’excellence me pousse à l’interroger sur la façon dont il a développé à la fois son expertiseet sa relation avec l’invisible. Car c’est bien de ça dont il s’agit : intégrer l’invisible au cœur du monde des affaires, c’est (ré)intégrer sa part d’humanité, développer une vraie écoute et considération pour le subtil, le détail, les flux d’énergies, les messages émis par le corps et par le cœur. Au-delà des outils et des techniques. Son choix d’apporter cette dimension dans l’univers du luxe me créé l’occasion de relier ces deux polarités qui me semblent avoir de plus en plus d’intérêt à se rapprocher :le luxe au service de la spiritualité. Et inversement. « La spiritualité, c’est une prise de conscience de qui on est et de ce qu’on peut apporter au monde. » Dans cet épisode, on parle de la distinction entre spiritualité et religieux, des luxes simples du quotidien, de prendre le temps, de la colère face à la mort qui devient un électrochoc pour diffuser de l’amour, de l’intérêt de comprendre l’état vibratoire de ses clients, de galères financières, de travailler avec des stars, d’arrêter de se comparer, des passerelles entre nos deux métiers… et de, plus que tout, continuer à croire en l’humain et en l’humanité. Bon voyage !
Heureuse de vous présenter la b.o de mon podcast, réalisée par Pierre-Marie Altidor Cespedes, un artiste interdisciplinaire basé à Montréal, plus connu sous le nom de Padexpli. Ancien basketteur professionnel, il se tourne désormais principalement vers la peinture et la production musicale pour « laisser voir et entendre l’invisible ». Nous étions raccord pour donner à mon podcast une identité musicale onirique et intemporelle. Il a travaillé ma voix et celle de ma fille pour transmettre ma vision full HD, tous deux inspirés par la musique du film « Drive », A Real Hero. Une ode à la beauté de la vulnérabilité, retranscrite en sons et en vibrations… Bon voyage dans cette nouvelle odyssée :)
Dans ce douxième épisode, Céline Boura reçoit Lyvia Cairo, chef d'entreprise et écrivain, sur le thème Sexe & Prospérité. Épisode conçu sur « Sauver l’amour » • M, Fatoumata Diawara « Je ne tolère que le meilleur Je ne fais pas de compromis. On se retient beaucoup, Moi je suis anti-tabou. » Lyvia est de ces personnalités publiques qui prennent de la place, ont des choses importantes à dire et n’attendent rien ni personne pour tracer leur voie. À seulement 32 ans, elle a à son actif 7 années d’entrepreneuriat, après une brillante carrière dans la finance à Londres. Après s’être cassée de son dernier job où elle ne se sentait plus exister, elle a créé un premier site jemecasse.fr pour aider un maximum de personnes à faire de même. Vif succès. Nous nous rencontrons à cette période, en 2015. En 2016, elle rejoint l’un de mes formats de travail en groupe : On récolte ce qu’on s’aime { Business growing with love }. On travaille pendant 9 mois sur la transformation de sa marque et l’incarnation de sa nouvelle identité, au-delà du fait de se « casser ». Et après s’être cassés on fait quoi ? On construit. Depuis, elle s’empare de sujets forts sur lesquels elle partage sans filtre ses expériences (le couple, l’amour, le sexe, l’argent), écrit ses premiers livres, monte des programmes en ligne, développe sa communauté et sa notoriété de façon spectaculaire, avec pour mot d’ordre cette phrase que je lui avais soufflée dès notre premier rdv : « Être toi suffit ». « Là où mon travail prend son sens : Sortir de la transaction Amour Vs Argent. Comment on se positionne ? Comment on créé ses standards, ses limites, le respect de soi ? » Échangeant beaucoup en off sur tous ces sujets, j’ai eu envie de pousser la conversation plus loin au micro avec elle pour s’interroger ensemble sur ce sujet de société : comment concilier de façon consciente et apaisée deux polarités aussi brûlantes que le sexe et la prospérité ? Pour que chacun.e reprenne sa juste place, ses responsabilités, et sorte d’une vision de l’Amour idyllico-romantico-Netflix pour se réapproprier son véritable pouvoir : la vulnérabilité. La capacité à entrer en relation vraie avec l’Autre, les autres. « Une belle relation sexuelle, ce n’est pas de la technique ni de la performance, c’est essentiellement de l’écoute, de la bienveillance, de l’accueil. Il faut sortir du sexe mécanique pour aller dans quelque chose de plus fin, plus spirituel, plus invisible. » Cette descente dans l’intime, comment ça impacte concrètement le tissu économique ? Dans cet épisode, on parle d’Amour de soi, la base de tout. De comment dépasser la honte, sortir des rapports de pouvoir, de la frontière ténue entre harcèlement et consentement, de retrouver du plaisir pour s’ouvrir au flux de l’argent, de la puissance du pardon, d’apprendre à rester intègre… et de joie, élément numéro 1 de la prospérité. Bon voyage !
Dans ce onzième épisode, Céline Boura reçoit Stéphanie Allerme, alias Ma Demoiselle Pierre, productrice d'inspirations, sur le thème Influence & Élégance. Épisode conçu sur Troisième Sexe (acoustique) d'Indochine. « Je ne suis pas très stratégique, je mets toute mon énergie et mon âme dans ma communication, un cercle vertueux se crée, une forme d’influence se met en place. » Ma Demoiselle Pierre, c’est Stéphanie Allerme, ou inversement. À 36 ans elle a déjà vécu mille vies : dans la presse féminine, la décoration d’intérieur, en tant que journaliste, attachée de presse, créatrice de sa marque de bijoux, de sa boutique, de son agence de com, à Paris. Ma Demoiselle Pierre était le nom de sa marque de bijoux créée en 2010, puis de sa boutique ouverte en 2012, un hymne à la dualité, au non genre, à l’exploration des polarités. Un lieu qu’elle a transformé en quelques années en une plateforme évènementielle rassemblant artistes, designers, influenceurs. Parallèlement, elle est devenue un label et un studio de création qui a produit des campagnes publicitaires, des clips, des collections de vêtements, de maroquinerie, de mobilier, et des évènements sur-mesure avec des marques telles que Reebok, Frichti, Birchbox, You Make Fashion, André, San Marina… L’influence est devenue son métier, et pourtant… Début 2019, elle lâche tout, ou presque, pour démarrer une nouvelle vie à Arles, où elle est en train de créer un lieu hybride, une véritable aventure philosophique & holistique, associé à un programme de curation & d’accompagnement de jeunes talents et designers. « J’ai déporté mon centre de gravité à Arles, je n’ai pas de titre en particulier, je vais là où me porte mon cœur. Mon intention est de chérir cette reconnexion et permettre à d’autres de le faire. » Stéphanie m’a découverte par ma conférence TEDx sur l’intuition – j’en profite pour adresser un grand merci à toutes les personnes qui sont entrées dans ma trajectoire par ce biais. Au-delà de l’aspect business, ce sont des connexions qui valent leur pesant d’or, et me permettent de créer des passerelles avec des univers d’une incroyable richesse, notamment par ce podcast. Mises en contact via Instagram, je découvre son monde magnétique : un œil pointu, une qualité d’écriture indéniable, et surtout du fond, de la densité, de la consistance. On sent un dépouillement chez cette femme qui fait écho à ma façon d’avancer dans la vie, une exigence et une élégance de vérité qui n’est jamais simulée. Sa façon de relier le beau et l’invisible m’inspire au point de traverser la France pour aller la rencontrer à Arles en juillet dernier, au détour des Rencontres de la Photographie. Aucun but à cette rencontre, si ce n’est que 7 mois après nous voici réunies à mon micro pour échanger sur un thème tout à fait d’actualité : l’alliance de l’influence et de l’élégance. « On ne choisit pas d’être influent. Plus j’avance dans ma propre vérité, plus ça fait bouger les lignes autour de moi… » Dans cet épisode, on parle de sa façon très spécifique d’utiliser Instagram comme laboratoire de sa propre transformation, de l’importance de son double créatif et comment elle a fusionné ses deux identités, de processus de reconstruction en sortant des sentiers battus, de l’impact du un-schooling dans sa trajectoire, de laisser émerger la vie, la créativité, l’amour, la famille, le travail au même endroit… et de vivre sa liberté avec élégance : ne pas en faire trop, ne rien imposer à personne. Bon voyage ! --- Ma Demoiselle Pierre nous honorera de son expérience et expertise au sein de mon nouveau format de transmission collective, Innovation & Vulnérabilité, qui démarre le 31 mars à Paris. Elle sera présente lors de la première journée, et la dernière le 23 juin, qui aura lieu dans son fief, à Arles. Pour participer à cette immersion de 4 mois, contactez-moi : bienvenue@laterrelecieletnous.com.
Dans ce dixième épisode, Céline Boura reçoit Grégory Pouy, analyste culturel, fondateur du podcast Vlan, sur le thème Racines & Libertés. « J’ai surtout œuvré à m’émanciper. Je voulais être un blanc comme les autres. » Grégory Pouy est analyste culturel, artisan du marketing et fondateur de l’incontournable podcast Vlan, qui interroge l’évolution de la société moderne à travers le lien, à soi, aux autres, à notre environnement. Considéré comme un influenceur dans son secteur d’activité, ce qui m’intéresse chez lui c’est la matrice qui se cache derrière. Et la façon dont son cheminement intérieur influence aujourd’hui sa vision du monde, et donc son métier. Les gens qui le connaissent voient un blanc, ceux qui ne le connaissent pas voient un noir. Grégory est né « entre deux », entre deux couleurs et deux mondes. Nous avons ce même point de départ, avec toute la complexité et la singularité que ça engendre. .eComment le fait d’être né.e métis structure une personnalité, un métier, une façon de penser la société ? Et plus globalement, comment s’appuyer sur ses racines pour avancer vers plus de libertés ? On a démarré cette discussion en off il y a un an et demi. J’ai eu envie de la poursuivre publiquement, après avoir chacun maturé le sujet, parce qu’elle me paraît… juste essentielle pour faire bouger les lignes, à la fois intimement et collectivement. Je voulais comprendre comment ses prises de conscience personnelles, que l’on sent de plus en plus prégnantes dans son podcast, l’amènent aujourd’hui à prendre un tournant dans son métier de marketeur. « Au fur et à mesure où j’ai fait bouger mon podcast, Mon associé m’a donné l’autorisation d’aller vers ce que j’étais. Plus j’y vais, plus je prends mes aises, Plus je me sens en décalage par rapport à mon métier, Plus je prends la mesure des problématiques dans lesquelles on est, Plus je me dis mon métier, là où j’ai envie de mettre de l’énergie, c’est pas de faire des followers sur Instagram ou de vendre plus de produits… » Mieux comprendre ses racines lui permet aujourd’hui de prendre de nouvelles libertés pour faire bouger les consciences en entreprise, en résonance avec sa compréhension des enjeux majeurs de notre époque. Selon lui, les marques ont une responsabilité importante et un rôle essentiel à jouer dans cette transformation, en redéfinissant ce qu’est la croissance, la performance, et de manière plus générale ce que c’est de vivre au 21ème siècle. « Moi ce que j’ai envie c’est d’avoir un impact positif à mon niveau sur la manière dont la société va évoluer. » Dans cet épisode, on parle de métissage, d’esclavage, d’ayahuasca, d’amour, d’empathie, de féminin assumé, de Burning Man, de la liberté (ou pas) que procure le « succès », de sortir d’une vision du monde binaire pour ouvrir les possibles, d’agir chacun à son échelle, même et surtout en entreprise, de remettre en cause le capitalisme en évoluant sur le fond, le sens, la spiritualité… et d’apprendre à s’écouter, la base de tout et du Tout. Bon voyage !
Dans ce neuvième épisode, Céline Boura reçoit Alexandre Antoine, chef d'entreprise dans le bâtiment, sur le thème Bâtir & Ressentir. « Avant j’étais un chef d’entreprise beaucoup trop orienté sur le factuel, l’opérationnel. Aujourd’hui j’écoute, j’interprète, je fais attention à mes intuitions, J’intègre l’environnement dans mes décisions quotidiennes, J’intègre dans mes décisions le côté invisible. » Alexandre vit au Luxembourg, gère depuis 10 ans une entreprise dans le secteur du bâtiment, qui emploie 16 salariés et génère un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros. Il m’a connue il y a un an par le biais de l’école de management hôtelier Savignac, dont il a été l’un de élèves et dont j’avais interviewé en 2010 l’ex-directeur de la formation, un pionnier en France qui développait dès les années 1990 une pédagogie basée sur l’amour et l’humain au cœur des affaires. Fort de ce background et de sa personnalité atypique dans un secteur à priori classique, Alexandre m’a sollicitée il y a un an pour repenser sa vision d’entreprise, sa stratégie et son management. Ayant rapidement atteint ses limites avec le business coaching, pour lui qui va très vite et très loin en très peu de temps, il a tout de suite perçu l’intérêt de faire entrer le monde invisible dans sa gestion et son développement d’affaires. « Ta personnalité, ton approche, ta manière de faire les choses ont fait que j’ai eu en permanence l’impression d’apprendre et de me questionner. » Ensemble, nous avons co-cheminé autour de 3 axes qui étaient les 3 objectifs définis contractuellement, sur lesquels il a accepté de se livrer en toute transparence : Revenir au centre de sa vie : retrouver son axe de cohérence, redonner du sens à ses actions, définir un nouveau cap pour ses activités professionnelles Se déprogrammer de la notion de « dette » qui pèse sur tout le système qu’il a construit, pour se dégager du temps et de l’énergie pour ce qui compte vraiment Assumer son positionnement singulier et précurseur pour développer son entreprise autrement, au-delà de la peur de perdre, en osant défricher de nouveaux territoires de commercialisation et de communication « Il n’y a pas d’outil ni de méthode. Et sans outil ni méthode, on se rend compte qu’on commence à avoir des réflexes, à mieux voir et sentir l’invisible et à l’intégrer dans son quotidien. » Dans cet épisode, nous parlons de l’importance du non-rationnel pour être encore plus pragmatique, de comprendre son environnement en décodant l’invisible, d’amélioration de service client en intégrant ces dimensions, de réévaluation de politique tarifaire grâce à l’intuition, d’assumer des partis pris singuliers sur un marché très concurrentiel, de savoir laisser partir ce qui nous encombre, de réguler ses dettes par flux énergétiques… et de comment travailler sur ces notions dans sa propre entreprise permet de faire évoluer les autres sphères de sa vie, y compris son couple. Bon voyage !
Dans ce huitième épisode, Céline Boura reçoit Alice Debernard, inspiratrice de l'amour créateur d'une nouvelle conscience, sur le thème Sauvage & Sacré. « Incarner par mon corps, par ma voix, Permettre, transmettre, Montrer de quoi je suis faite. » Un jour j'ai dit à Alice "Tu n'es pas une thérapeute, tu es un croisement entre une artiste et une bâtisseuse, et c'est parce que tu es entre ces mondes-là que j'ai envie d’avancer avec toi". Elle a été ma cliente en 2018, puis j'ai été la sienne, chacune permettant à l'autre de s'expanser en tant que Femmes dans toutes nos dimensions. Son approche visionnaire de l'alliance du féminin et du masculin mérite à elle seule un épisode dans mon podcast, parce qu'elle est un retour aux êtres que nous sommes originellement. Un appel à la création et à la transmission, pour une transformation sociétale de fond. La reconnexion à notre matrice utérine, la nature cyclique de notre créativité, la relation de couple qui honore et respecte le lien entre le corps et la terre : autant de notions qui peuvent paraître abstraites et qui deviennent très concrètes à son contact. « Moi je traçais ma route de femme indépendante. Quand j’ai arrêté la chimie dans mon corpsj’ai découvert un autre monde, j’ai fait le lien avec la terre, les saisons, le jour, la nuit... » Dans cet épisode, les polarités Sauvage & Sacré sont abordées autour de 3 axes : le corps, le couple, la contribution. Chacun découlant du précédent. L'innovation du travail d'Alice fait référence à des fondements très ancestraux finalement : le rapport au corps commeespace sacré de la fertilité et de la création. Puis le rapport au couple comme vecteur à partir duquel tout peut se créer, s’amplifier et se diffuser. Qui, de par l'alliance féminin + masculin (en soi et avec l’autre), contribue à une oeuvre sociétale où chacun (re)prend sa juste place, et permet de faire grandir des projets porteurs de plus d'humanité. « Il y a autre chose dans le couple, que le couple. Un appel à retransmettre parce que c’est la forme originelle de la création. » Dans cet épisode, nous parlons de la dimension artistique dans le business, des études de commerce qui remplissent la tête et coupent du corps, de la peau comme jonction entre le monde et soi, de faire tomber les carapaces dans la rencontre avec l'Autre, d'ovaires, d'utérus, de cycles vie-mort-vie, de faire confiance au "vide plein" qui contient les informations dont nous avons besoin pour créer... et de redistribuer son énergie individuelle et celle du couple pour une élévation collective des consciences. Bon Voyage !
Dans ce septième épisode, Céline Boura reçoit Christelle Graillot, agent de comédiens, auteurs et réalisateurs, sur le thème Âme & Notoriété. « Les artistes dont je m’occupe me ressemblent dans ma spiritualité, dans mon ancrage, dans ma folie, dans mon humour ! » Anciennement Directrice de la Cellule Repérages chez Canal+, puis du Talent Management chez Vivendi, Christelle Graillot accompagne désormais la carrière de superbes comédiens, réalisateurs et scénaristes avec sa structure L’Amepresario au sein de l’agence artistique Artmedia, qu’elle a rejoint début 2019. Sa marque de fabrique, c’est son Œil pour repérer et révéler le talent au plus grand nombre. Convaincue que ce sont les artistes qui vont changer le monde, elle engage tout son être pour faire bouger les lignes du métier et permettre de nouveaux accès à la culture et au divertissement. Elle choisit d’accompagner la carrière d’artistes qu’elle aime profondément, moteur indispensable pour les propulser vers leur plein potentiel. Très ancrée au milieu du tourbillon de l’audiovisuel et du cinéma français, elle leur transmet la sagesse et la folie de rester pleinement eux-mêmes… whatever happens. « Remettre les choses à leur juste place, Se recaler au bon endroit, Prendre de la hauteur, Garder la vision juste, Se détacher de soi. » N’oubliant jamais qui elle est, ni d’où elle vient, ni là où on finira tous, son regard sur la vie avec le sentiment d’être là où on doit être à chaque instant apporte un fond et un sens précieux dans le monde du spectacle, et plus largement dans le monde des affaires. Agir à partir de sa vérité, ne rien prendre pour acquis, être toujours dans la gratitude sont des piliers essentiels qu’elle place quotidiennement au cœur de sa relation avec les artistes et les médias. Quand l’invisible devient concret et palpable, alors de nouvelles voies s’ouvrent pour réconcilier ces deux polarités : Âme & Notoriété. « Je n’ai jamais été carriériste. C’est important d’être à ma juste place à chaque instant pour créer le meilleur futur. » Dans cet épisode, Céline et Christelle parlent de la nécessité de savoir faire des pas de côté pour prendre sa place, de faire confiance à son intuition tout en sachant l’argumenter, de l’investissement et la responsabilité à accompagner la carrière d’un artiste, notamment celle de Zahia, de désir, de labeur, d’humilité, du rapport à l’argent et au vide, de ne pas se perdre dans l’émotionnel… et faire du mieux qu’on peut sans jamais se prendre trop au sérieux. Bon voyage !
Dans ce sixième épisode, Céline Boura reçoit Laurent Lecoeur, agent général prévoyance et patrimoine, sur le thème Risque & Sérénité. « L’âme est partout, et permet d’amener au mercantile de la profondeur, du recul, une autre dimension, un autre braqué, un changement de paradigme » Le nom de famille de Laurent, Lecoeur, en dit déjà long sur sa personnalité. La façon dont ils se sont tous les deux rencontrés aussi. Sur la route de l’un et de l’autre depuis 2007, ils ont été témoins de leurs évolutions personnelles et entrepreneuriales, entre choix, doutes, renoncements et dépouillements successifs. En 2007, Laurent remportait le 1er prix de l’innovation commerciale pour son concept de restauration rapide à base de brochettes du monde. Une aventure hors norme qui l’a fait côtoyer de près la notion de risque à tous les étages, dont il s’est extrait pour se lancer ensuite dans le développement d’une start up. Premier client historique de Céline en 2010. L’impression d’être inadapté à ce monde capitaliste le rattrape. Un accident avec déconnexion cérébrale en 2014 lui fait toucher du doigt l’essentiel, et commence alors sa profonde quête de sens, qu’il qualifie de « passage du futile vers l’utile, ou autrement dit du mercantile vers le spirituel et l’éthique. » En 2015, il créé son cabinet de protection sociale, financière et patrimoniale, parce qu’il ne sait que trop que quand la vie peut basculer, il est indispensable d’avoir pensé à protéger les siens, et ce qu’on a mis des années à construire. « Je ne m’inscris définitivement pas dans une relation acheteur – vendeur mais de quelqu’un qui guide l’autre pour la recherche de plus de sérénité dans un monde très réglementé. » Son Big Why est tellement puissant qu’il amène ses clients à envisager la notion de risque avec beaucoup d’humanité… Son engagement entrepreneurial est désormais basé sur l’intégrité et s’inscrit uniquement sur la durée. Céline est l’une de ses premières clientes historiques. Donnant donnant. Homme moderne de plus en plus à l’aise avec ses émotions et ses intuitions, il aime partager et transmettre son regard singulier sur le vivant et la façon dont nous avons à faire corps avec la Nature – dans tous les sens du terme. « Plus on transmet, plus on s’épaule, plus on coopère, plus le monde est rempli d’Amour. Pas de vivant, pas d’Amour. » Dans cet épisode, ils parlent de comment intégrer le cœur, le lien et la confiance dans une réalité économique et patrimoniale, de notre responsabilité à protéger ceux qu’on aime, de faire avec les règles pour se concentrer sur l’essentiel, de construire des relations sur le long terme, de la différence entre le risque et le danger, de comment se créer des bulles de sérénité… et de rester en ligne avec soi-même, whatever happens. Bon voyage !
Dans ce cinquième épisode, Céline Boura reçoit Anne Uriot, visionnaire pour lieux inspirants et futuristes, sur le thème Héritage & Modernité. « Nous ne sommes que de passage, c’est court et très intense à la fois cette vie qui nous est donnée chaque jour à vivre. Cette conscience aigüe permet de faire un pont d’humilité entre passé et futur. » Les polarités Héritage & Modernité sont l’écrin du métier d’Anne, à la croisée du feng shui, du design d’espace, de la création graphique et de la prospective. Avec un background en histoire, histoire de l’art et marketing, rien ne la laissait imaginer exercer son métier d’aujourd’hui, et en même temps tout l’y a préparée. Depuis 15 ans, elle en-quête avec ses clients pour créer et transformer leur intérieur : leur Lieu de vie et/ou de travail, socle de déploiement à leur mission de vie et à leur contribution au monde. D’abord dans une approche plus « classique » autour des outils de la décoration et du feng shui, Céline l’a accompagnée à l’automne 2018 à assumer et intégrer sa dimension chamanique pour propulser son expertise vers l’innovation sociétale. « L’évidence, elle est dans mon corps, animale, instinctive. J’ai mis du temps à l’apprivoiser, à en faire mon baromètre, ma boussole de navigation, un outil majeur » Convaincue de la pertinence de sa démarche, Céline fait ensuite appel à ses services en avril 2019 pour mettre sur orbite son projet de longue date : la maison de création des futurs. C’est donc ensemble qu’elles sont parties explorer la mémoire de son futur, projet de fin d’études de design de Céline à l’appui, pour en extraire l’emplacement géographique, le concept créatif et la vision stratégique de son futur-lieu-déjà-présent-dans-le-passé. 3 mois et demi plus tard, elle y emménageait. « Va chercher dans le passé ce que je sais être mon futur » 17 ans de trajectoire invisible désormais incarnée dans la matière, pour bâtir des ponts d’humilité entre passé et futur, entre un monde qui perd ses repères et celui qui doit se réinventer par la seule force de son humanité. C’est grâce à un travail minutieux sur l’ADN que les matrices d’Anne et de Céline se sont superposées pour faire émerger leurs dimensions cachées, et ainsi permettre à d'autres des stratégies d’entreprises où l'humain devient la clé à activer pour déverrouiller des systèmes jusque-là cadenassés. « Inventer des nouvelles règles du jeu business grâce à l’information cellulaire » Dans cet épisode, elles parlent de transformation individuelle et collective grâce à l’énergie des lieux, de capter l’évidence d’un parcours à travers l’écoute et l’observation, de l’impact du métissage, d’intégrer sa part sauvage au cœur de son activité, de développer cette dimension extra-sensorielle pour élargir la notion de prospective… et de notre rôle à transmettre aux plus jeunes cette conscience et cette liberté. Bon voyage !
Dans ce quatrième épisode, Céline Boura reçoit Céline Boura reçoit Mai Hua, color designer, réalisatrice, auteur du blog éponyme, sur le thème Égo & Créativité. « Si tu veux être au service d’un message, si t’as pas d’ego, tu restes dans ta grotte. » Mai est une artiste qui a démarré son parcours de façon très « cerveau gauche » avec une carrière prestigieuse en marketing chez L’Oréal, pour progressivement ouvrir son champ de création à un travail pointu autour de la couleur, de l’écriture, de la vidéo et de la réalisation de films. En 2011, elle lance son blog éponyme pour explorer le sujet de la beauté sous toutes ses formes, en parallèle d’un métier qu’elle crée de toute pièce : color designer. Au fil de ses découvertes, ses écrits et ses vidéos la mènent à explorer l’intime, la faille, le spirituel. En 2016, sa rencontre avec son amoureux Jerry Hyde, thérapeute, la bouscule de l’intérieur et la propulse dans de nouvelles dimensions créatives, devenant presque au-delà d’elle metteuse en scène d’une évolution sociétale, où le féminin et le masculin s’imbriquent dans une vision de l’amour co-créateur. « Je pense qu’on croise beaucoup de gens dans sa vie. Le moment où on capte que c’est une chance d’avoir croisé cette personne-là, à ce moment-là et qu’il faut la saisir, il faut avoir lâcher beaucoup de choses et être dans un état de réceptivité. » Céline suit de près le travail de Mai depuis 2011, et l’avait déjà sollicitée pour une interview pour son propre blog en 2014. Les rencontres se faisant toujours au moment où on est prêt, et pas au moment où on l’a décidé, c’est finalement la réalisation de leurs films respectifs (Les Rivières pour Mai, Le Pas Sage pour Céline) qui les amènent à connecter IRL. La quête du plus grand que soi et la contribution qui en découle étant au cœur de leurs approches, il était évident pour Céline d’aller chercher Mai sur un sujet dont on parle peu et qui pourtant est le carburant de toute réalisation : l’égo et la créativité, et comment l’alliance de ces deux polarités permet d’exploser les frontières entre l’amour, la création et le business. « L’égo, quand il est mis à la bonne place, c’est ce qui permet de projeter cette puissance qu’on a tous et toutes en nous. » Dans cet épisode, elles parlent d’Amour, d’attente des autres, d’héritage familial, d’écoute de soi et de son environnement, de créer et quêter en même temps, de loyauté, de compétition, de réinvention de la masculinité… et de comment on respecte et vocalise sa place, son intimité, sa transmission, dans une ère post-#metoo. Bon voyage !
Dans ce troisième épisode, Céline Boura reçoit Édouard Malbois, CEO & co-fondateur d'Utopia Hackers, sur le thème Chaos & Utopie. « Être un éclaireur, un détecteur de dysfonctionnements, toujours en quête de vérité, d'universalité, de meilleur pour les autres. Ne pas se contenter... » Édouard est un électron libre comme il en existe peu : après une brillante carrière chez Tag Heuer / LVMH, Coca Cola, Euro RSCG, il fonde en 2002 Enivrance, une agence de design et prospective sur la modernité alimentaire, qui accompagne des grands groupes, des chefs, des marques à imaginer et prototyper le futur de l’alimentation. En 2019, il élargit son prisme pour co-fonder Utopia Hackers, agence d'innovation qui replace l'utopie au cœur de la création de valeur économique, avec pour point de départ le réenchantement du domaine de l’alimentaire, qu’il connaît bien. Un pari audacieux, sous forme d’urgence à ne pas se laisser aspirer par le chaos ambiant. À proposer un regard radical pour réconcilier les marques, les consommateurs et la société. « Pour se transformer, les entreprises doivent se transformer au plus profond, repartir des grandes aspirations consommateurs et les mettre au centre. » C’est dès le lancement d’Enivrance que Céline le repère, s’inspire de son travail pour son projet de fin d’études en école de design et marketing de la création : un espace de vie dédié au rêve et à l’imaginaire à New York-post 11 septembre. Son questionnement existentiel et créatif d’alors : comment traverser le chaos en se reconnectant à ce que nous avons au plus profond de nous – nos rêves et notre imaginaire ? Toile de fond de tous les sujets qu’elle développe depuis, avec ses clients, à travers ses livres, son film, sa conférence TEDx… jusqu’à ce que la trajectoire d’Édouard et la sienne se croisent « pour de vrai » fin 2018. Transformer le chaos en utopie devient une évidence à co-réaliser. « Le chaos est permanent. C'est en étant ami avec cet état de nudité et de simplicité qu'on se donne des repères et qu'on reconnaît ses repères. » Dans cet épisode, ils parlent de vulnérabilité, de page blanche, d’être en vérité pour créer de l’universalité, du 11 septembre 2001, d’avoir un projet de société inédit, de conscience du vivant, de retour aux fondamentaux, de traduire ces aspirations dans le monde de l’entreprise… et de vivre dans un monde où « chaque blessure peut devenir un élan infini à aller vers le sublime ». Bon voyage !
Dans ce deuxième épisode, Céline Boura reçoit Youmna Tarazi, experte en cohérence identitaire, pour évoquer l’alliance des polarités Corps & Identité. « Relier le corps et l’identité, c’est prendre racine à l’intérieur. Je dis toujours que la forme de mon corps m’indique mes racines intérieures et en m’y connectant je suis partout chez moi. » Elles se sont connues juste avant la conférence TEDx de Céline, pour laquelle Youmna, qui avait fait un TEDx 6 mois avant, lui a conseillé : « Ne cherche pas tes mots. Cherche l’expérience avec ton public ». Point de départ qui a nourri leur collaboration et leurs affinités. Céline a ensuite accompagné Youmna dans l’expansion de son entreprise en 2018, et c’est son expérience et son regard pointus sur les thématiques liées à l’image, au vêtement et à l’âme qu’elle souhaite vous partager aujourd’hui. Des clés pour intégrer ces différentes dimensions dans l'expansion de votre activité. Youmna accompagne depuis 2013 les entrepreneurs du changement et les artistes qui ont une longueur d’avance sur leur temps. Elle a fondé l’approche S’habiller vrai® qui s’appuie sur les enseignements qu'elle a intégrés, son expérience créative, son évolution en tant que femme d'affaires et sa posture en gestalt-thérapie. Son TEDx talk intitulé S'habiller vrai. « Quand je sais exactement qui je suis, je me préoccupe beaucoup moins de moi et je peux me mettre au service des autres. » Elles parlent de prise de parole en public, d’impact, de nécessité de transmission, de questionnement identitaire, de rapport entre le corps et l’espace, de comment trouver sa place dans le monde, des archétypes de Jung, de fluidité, de structurer sa croissance entrepreneuriale pour se déployer dans toute sa vérité… et bien d’autres ! Bon voyage !
Dans ce premier épisode, Céline Boura reçoit ses deux co-équipières, Krystal Turcan, Responsable des Relations Publiques & Creative Officer, et Laure Nuiaouët, Coordinatrice Partenariats et Déploiement International. Ensemble, elles évoquent comment elles déploient et honorent le thème central de leur engagement commun à travers La terre, le ciel & nous : Love & Business. « L’amour n’est pas l’affect. C’est une énergie d’ouverture, d’acceptation, de contribution. Comment on la met à profit d’un business viable, pérenne, rentable ? » Elles parlent de l’évidence de leur rencontre, de la façon dont ça leur a permis d’assumer leur valeur, d’engagement viscéral, d'être au service de plus grand que soi, de contrat d’âmes, de racines, d’égo, d’humilité et du rôle que nous avons tous à incarner pour développer des entreprises vertueuses, humainement et économiquement. Bon voyage !