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Découvrez la bande-annonce d'un épisode inédit réservé aux abonnés de Transfert Club, l'offre premium de Transfert. Deux fois par mois, vous aurez accès à du contenu exclusif, des histoires inédites et aux coulisses de vos épisodes préférés sur slate.fr/transfertclub et toutes les plateformes de podcast! Avoir son bac. Faire des études. Rencontrer l'homme de sa vie. Rentrer dans la vie active. Faire des enfants. Un chemin classique, celui que la société nous enjoint de suivre. Mais quand des obstacles se présentent, les aléas de la vie font qu'il faut s'adapter. Changer de plan. Prendre une autre route. Khadija a toujours su que son chemin serait un peu différent. Ça ne l'a pas empêchée de le suivre, et de vivre sa vie comme elle l'entendait. Transfert est un podcast produit et réalisé par Slate.fr. Direction éditoriale: Christophe Carron Direction de la production: Sarah Koskievic Direction artistique et habillage musical: Benjamin Saeptem Hours Production éditoriale: Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem Hours Chargée de pré-production: Astrid Verdun Dérushage: Ilona Cathelin et Yann Besson Prise de son et réalisation: Victor Benhamou Musique: Arnaud Denzler L'introduction a été écrite par Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem Hours. Elle est lue par Aurélie Rodrigues. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Transfert). Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook. Pour participer au podcast: transfert@slate.fr.
Ousmane Sonko a pris la parole, le 24 mai, à Ziguinchor, ville de Casamance dont il est maire. Il s'est adressé à une foule de partisans, alors que le tribunal de Dakar a rendu les réquisitions de son procès : 10 ans de prison pour viols et 1 an pour "menaces de morts". Ousmane Sonko a annoncé son retour à Dakar à la tête d'un convoi, comme l'explique Sarah Sakho, correspondante de France 24.
Dans cet épisode, je reçois Julie Mamoumani, alias Mamouz. Issue d'une famille éclectique et biculturelle, Julie est élevée avec ses deux frères par des parents à la fois "farfelus et sérieux". Julie nous parle des années de scoutisme qui seront pour elle structurantes et de ses débuts dans le journalisme, milieu pas toujours très tendre. Pendant plusieurs années, Julie évoluera dans l'"infotainement", travaillant pour différentes rédactions comme Elle, TF1, France 5, M6 en tant que journaliste et rédactrice en chef. En 2015, elle postule pour un rôle de rédactrice en chef d'instagram, qu'elle n'obtiendra pas mais qui lui donnera l'idée et l'impulsion de créer Mamouz Prod en 2018, société de production audiovisuelle positive et innovante, puis, son fameux compte instagram "Mamouz" qui explosera durant le confinement de la crise Covid. Au delà de ses activités, Mamouz est une femme engagée dans différentes associations caritatives comme la Maison des Femmes, le Mémorial de la Shoah ou encore les Amis de la Terre. Nous avons aussi bien sur parlé du rire, si cher à Julie qui a d'ailleurs sorti, le 7 mai dernier un livre co-écrit avec Jessica Cymerman alias the serial mother: "Petit éloge du rire" aux Editions Leduc. Il a aussi été question du rapport de Julie, cette passionnée qui tente de gérer au mieux son énergie débordante, à la maternité, qui s'est révélé être, pour cette maman de deux grands enfants maintenant, une forme d'accomplissement. Je ne vous en dit pas plus et vous laisse en compagnie de mon invitée du jour, pour démarrer cette saison 10: Julie Mamoumani Belle écoute !
Il n'est pas très tard quand nous sortons, Caroline et moi, de l'Opéra. Nous reprenons la ligne 1 pour rejoindre la ligne 14 à Châtelet. Un métro à Châtelet nous passe sous le nez à Châtelet. Par automatisme, mes yeux se lèvent sur l'écran qui indique le temps d'attente jusqu'au prochain métro, c'est bizarre parce que l'écran est vide. www.onethinginafrenchday.com
Les épisodes intitulés Ask Me Anything seront des épisodes courts où Kelly répondra aux questions laissées par les auditrices de façon anonyme. Des questions sur la vie, sur l'expatriation ou des questions fun, tu peux lui demander ce que tu veux ! Dans cet épisode, Kelly répond à la question suivante : Reviendrais-tu vivre en France ? Pour quelles raisons ? Si tu souhaiterais que Kelly réponde à une de tes questions, deux options se présentent à toi pour lui poser :
durée : 00:04:05 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Après le vote sur les motions de censure, ce lundi, le chef de l'État espère que le climat politique et social sera plus serein. Un pari audacieux.
Présentation de l'invitée : Des couleurs vibrantes et oniriques, des personnages emprunts de mélancolie et des paysages denses dans lesquels on aimerait se perdre, chaque dessin de Beya Rebaï est une invitation au voyage et à la contemplation. Après avoir étudié l'illustration à Bruxelles, puis à Paris, Beya décide à quelques mois du diplôme de tout arrêter et de se lancer en tant qu'illustratrice. Une décision audacieuse, mais qui s'est avérée payante, lorsque l'on voit ses nombreuses collaborations avec The Guardian, le NY Times, les Échos ou encore Nike pour ne citer qu'eux. Dans cet épisode en partenariat avec Squarespace, Beya revient sur tout son parcours, ce qu'elle retient de ses études à Bruxelles puis à Paris, ses débuts dans l'illustration de presse, son amour pour le mouvement Nabis et les pastels à la cire, ses collaborations, comment trouver sa patte sans pour autant s'y enfermer ou encore la nécessité d'allier business et créativité pour réussir. « Dans les milieux artistiques, on a besoin de moment de blanc : c'est dans l'ennui et dans la contemplation que viennent les idées. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Beya se présente Ses études d'illustration à Bruxelles puis à Paris Ce qu'elle retient de ses études Pourquoi elle a décidé d'arrêter ses études Ses influences Trouver sa patte et son médium Ses premiers projets et collaborations Rentrer en agence Gérer ses revenus en tant que free-lance Sa collaboration avec Caran d'Ache Savoir s'arrêter pour retrouver le goût du dessin Comment elle structure ses journées de travail Ses projets futurs Comment elle gère ses réseaux sociaux Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast Comment fixer ses prix et ne pas se vendre au rabais « Dès toute petite, mes parents me lâchaient dans le musée : ils avaient prévu un carnet et des crayons et je devais choisir un tableau du musée à dessiner. » « Dans le dessin de presse, tu complètes les mots par l'image: tu ne dois pas venir répéter ce que dit le texte, mais apporter quelque chose en plus, une vision personnelle du sujet. » « Une école ne va pas forcément t'apprendre le métier, mais elle va te permettre d'expérimenter beaucoup de choses et de trouver ta voie. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : Beya Rebaï : https://www.beyarebai.com/ Son compte Instagram : https://www.instagram.com/beya_rebai/ EPSAA : https://epsaa.fr/ateliers-preparatoires ESA Saint-Luc Bruxelles : http://www.stluc-bruxelles-esa.be/ École de Condé : https://ecoles-conde.com/formation/illustration-animation/ Ateliers du Carrousel : https://madparis.fr/ateliers-du-carrousel Klin d'oeil : https://www.klindoeil.com/ Andrea Serio : https://www.instagram.com/andreaserio73/?hl=fr Lorenzo Mattotti : https://www.instagram.com/lorenzomattotti/?hl=fr Beya Rebaï x Caran d'Ache : https://www.carandache.com/ch/fr/beya-rebai-x-caran-d-ache La Slow Galerie : https://www.slowgalerie.com/fr/ Jean-Philippe Delhomme : https://www.instagram.com/jeanphilippedelhomme/?hl=fr JSR agency : https://www.jsragency.com/ La Slow : https://www.laslow.fr/ L'obstacle est le chemin - Ryan Holiday : https://www.babelio.com/livres/Holiday-Lobstacle-est-le-chemin/1120727 Alexandre Benjamin Navet : http://alexandrebenjaminnavet.com/ David Hockney : https://www.hockney.com/home
Présentation de l'invitée : Des couleurs vibrantes et oniriques, des personnages emprunts de mélancolie et des paysages denses dans lesquels on aimerait se perdre, chaque dessin de Beya Rebaï est une invitation au voyage et à la contemplation. Après avoir étudié l'illustration à Bruxelles, puis à Paris, Beya décide à quelques mois du diplôme de tout arrêter et de se lancer en tant qu'illustratrice. Une décision audacieuse, mais qui s'est avérée payante, lorsque l'on voit ses nombreuses collaborations avec The Guardian, le NY Times, les Échos ou encore Nike pour ne citer qu'eux. Dans cet épisode en partenariat avec Squarespace, Beya revient sur tout son parcours, ce qu'elle retient de ses études à Bruxelles puis à Paris, ses débuts dans l'illustration de presse, son amour pour le mouvement Nabis et les pastels à la cire, ses collaborations, comment trouver sa patte sans pour autant s'y enfermer ou encore la nécessité d'allier business et créativité pour réussir. « Dans les milieux artistiques, on a besoin de moment de blanc : c'est dans l'ennui et dans la contemplation que viennent les idées. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Beya se présente Ses études d'illustration à Bruxelles puis à Paris Ce qu'elle retient de ses études Pourquoi elle a décidé d'arrêter ses études Ses influences Trouver sa patte et son médium Ses premiers projets et collaborations Rentrer en agence Gérer ses revenus en tant que free-lance Sa collaboration avec Caran d'Ache Savoir s'arrêter pour retrouver le goût du dessin Comment elle structure ses journées de travail Ses projets futurs Comment elle gère ses réseaux sociaux Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast Comment fixer ses prix et ne pas se vendre au rabais « Dès toute petite, mes parents me lâchaient dans le musée : ils avaient prévu un carnet et des crayons et je devais choisir un tableau du musée à dessiner. » « Dans le dessin de presse, tu complètes les mots par l'image: tu ne dois pas venir répéter ce que dit le texte, mais apporter quelque chose en plus, une vision personnelle du sujet. » « Une école ne va pas forcément t'apprendre le métier, mais elle va te permettre d'expérimenter beaucoup de choses et de trouver ta voie. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : Beya Rebaï : https://www.beyarebai.com/ Son compte Instagram : https://www.instagram.com/beya_rebai/ EPSAA : https://epsaa.fr/ateliers-preparatoires ESA Saint-Luc Bruxelles : http://www.stluc-bruxelles-esa.be/ École de Condé : https://ecoles-conde.com/formation/illustration-animation/ Ateliers du Carrousel : https://madparis.fr/ateliers-du-carrousel Klin d'oeil : https://www.klindoeil.com/ Andrea Serio : https://www.instagram.com/andreaserio73/?hl=fr Lorenzo Mattotti : https://www.instagram.com/lorenzomattotti/?hl=fr Beya Rebaï x Caran d'Ache : https://www.carandache.com/ch/fr/beya-rebai-x-caran-d-ache La Slow Galerie : https://www.slowgalerie.com/fr/ Jean-Philippe Delhomme : https://www.instagram.com/jeanphilippedelhomme/?hl=fr JSR agency : https://www.jsragency.com/ La Slow : https://www.laslow.fr/ L'obstacle est le chemin - Ryan Holiday : https://www.babelio.com/livres/Holiday-Lobstacle-est-le-chemin/1120727 Alexandre Benjamin Navet : http://alexandrebenjaminnavet.com/ David Hockney : https://www.hockney.com/home
Présentation de l'invitée : Des couleurs vibrantes et oniriques, des personnages emprunts de mélancolie et des paysages denses dans lesquels on aimerait se perdre, chaque dessin de Beya Rebaï est une invitation au voyage et à la contemplation. Après avoir étudié l'illustration à Bruxelles, puis à Paris, Beya décide à quelques mois du diplôme de tout arrêter et de se lancer en tant qu'illustratrice. Une décision audacieuse, mais qui s'est avérée payante, lorsque l'on voit ses nombreuses collaborations avec The Guardian, le NY Times, les Échos ou encore Nike pour ne citer qu'eux. Dans cet épisode en partenariat avec Squarespace, Beya revient sur tout son parcours, ce qu'elle retient de ses études à Bruxelles puis à Paris, ses débuts dans l'illustration de presse, son amour pour le mouvement Nabis et les pastels à la cire, ses collaborations, comment trouver sa patte sans pour autant s'y enfermer ou encore la nécessité d'allier business et créativité pour réussir. « Dans les milieux artistiques, on a besoin de moment de blanc : c'est dans l'ennui et dans la contemplation que viennent les idées. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Beya se présente Ses études d'illustration à Bruxelles puis à Paris Ce qu'elle retient de ses études Pourquoi elle a décidé d'arrêter ses études Ses influences Trouver sa patte et son médium Ses premiers projets et collaborations Rentrer en agence Gérer ses revenus en tant que free-lance Sa collaboration avec Caran d'Ache Savoir s'arrêter pour retrouver le goût du dessin Comment elle structure ses journées de travail Ses projets futurs Comment elle gère ses réseaux sociaux Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast Comment fixer ses prix et ne pas se vendre au rabais « Dès toute petite, mes parents me lâchaient dans le musée : ils avaient prévu un carnet et des crayons et je devais choisir un tableau du musée à dessiner. » « Dans le dessin de presse, tu complètes les mots par l'image: tu ne dois pas venir répéter ce que dit le texte, mais apporter quelque chose en plus, une vision personnelle du sujet. » « Une école ne va pas forcément t'apprendre le métier, mais elle va te permettre d'expérimenter beaucoup de choses et de trouver ta voie. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : Beya Rebaï : https://www.beyarebai.com/ Son compte Instagram : https://www.instagram.com/beya_rebai/ EPSAA : https://epsaa.fr/ateliers-preparatoires ESA Saint-Luc Bruxelles : http://www.stluc-bruxelles-esa.be/ École de Condé : https://ecoles-conde.com/formation/illustration-animation/ Ateliers du Carrousel : https://madparis.fr/ateliers-du-carrousel Klin d'oeil : https://www.klindoeil.com/ Andrea Serio : https://www.instagram.com/andreaserio73/?hl=fr Lorenzo Mattotti : https://www.instagram.com/lorenzomattotti/?hl=fr Beya Rebaï x Caran d'Ache : https://www.carandache.com/ch/fr/beya-rebai-x-caran-d-ache La Slow Galerie : https://www.slowgalerie.com/fr/ Jean-Philippe Delhomme : https://www.instagram.com/jeanphilippedelhomme/?hl=fr JSR agency : https://www.jsragency.com/ La Slow : https://www.laslow.fr/ L'obstacle est le chemin - Ryan Holiday : https://www.babelio.com/livres/Holiday-Lobstacle-est-le-chemin/1120727 Alexandre Benjamin Navet : http://alexandrebenjaminnavet.com/ David Hockney : https://www.hockney.com/home
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Nouveauté dans l'émission : découvrez le top 5 de Niko !
Un an de guerre, un an d'exil pour beaucoup d'Ukrainiens et d'Ukrainiennes. Ils sont près de 8 millions à avoir fui la guerre, et 1,5 million d'entre eux ont choisi de se réfugier en Pologne. Un pays qui a fait de nombreux efforts pour les accueillir. Mais après un an, la cicatrice de l'exil et du déracinement n'a toujours pas commencé à guérir. De notre correspondant à Varsovie, En mai dernier Sofia a quitté l'Ukraine avec sa fille et son petit-fils. À 70 ans elle a dû rester à Przemysl, à quelques kilomètres de la frontière, côté polonais, à cause de ses problèmes de santé. Le souvenir de son pays est encore intact. « Je me souviens de Kiev, cette si jolie ville. Je me souviens des couleurs de Kiev. Je me souviens du Dniepr, des gens qui habitent là-bas, de mes amis et de mon travail à l'université », raconte Sofia. Loin de tout cela, elle a toujours du mal à accepter son exil en Pologne et sa vie ici, à cause de la guerre. « Maintenant, je suis âgée, mais je ne comprends toujours pas pourquoi je ne peux pas vivre dans mon pays… Mon esprit sait pourquoi, mais dans mon cœur, je ne peux pas le comprendre », se résout-elle Toute cette famille a dû s'adapter à sa nouvelle vie. Vitalii a 17 ans. En Ukraine, il était en passe de devenir volleyeur professionnel : « J'aimerais travailler dans l'informatique maintenant. Mon projet, c'est d'étudier ici, et dans quelque temps retourner en Ukraine. Kiev, c'est ma ville, je suis né là-bas, je suis allé à l'école, j'ai mes amis… », explique l'adolescent. ► À lire aussi : Réfugiés ukrainiens: la Pologne va faire payer les centres d'hébergement « Je souhaite de tout mon cœur pouvoir y retourner » Ania, sa mère, quant à elle, cherche encore du travail. Elle ne parle pas encore polonais et se faire embaucher sans ça s'avère compliqué. « J'essaye d'apprendre le polonais, mais à 40 ans, c'est difficile, mais j'essaye », dit-elle. « Avant, j'étais dans l'immobilier, j'avais ma propre société. J'ai essayé de travailler à distance, mais c'était compliqué, donc je cherche ici à Przemysl. On fait de notre mieux pour aider ma mère à aller mieux. » Après un an d'exil, cette famille s'appuie sur la forte communauté ukrainienne dans cette ville frontalière. Tous les trois tentent de penser à la suite. Vitalii veut poursuivre ses études en Pologne et Ania espère trouver du travail rapidement pour aider sa mère à aller mieux. Les larmes montent aux yeux de Sofia quand elle évoque son vœu le plus cher. « J'ai vécu à Kherson pendant de nombreuses années. J'ai travaillé à l'université là-bas. Il y avait toutes les nationalités à Kherson », explique Sofia. « C'est une ville historique, mais maintenant, elle est juste en train d'être détruite. Je suis tellement triste pour cette ville. Et je souhaite de tout mon cœur pouvoir y retourner. J'ai un appartement là-bas, tout y est resté. Il y a mes amis, il y a le souvenir de toutes mes années de travail, d'études. Mais je me rends compte que c'est presque impossible. » Au fond de son cœur, Sofia est persuadée qu'elle retournera bientôt en Ukraine. Elle a l'intuition que dans 4 mois, la guerre sera terminée.
Laurent Kretz rencontre Aymeric Grange, le cofondateur de 900.care, la marque qui libère nos salles de bain des emballages à usage unique. Il revient avec nous sur la genèse de son entreprise à mission ainsi que sur ses choix audacieux. 900.care a décidé de sortir de la grande distribution pour se concentrer sur la vente en ligne et explose depuis tous les records en matière d'abonnements et de conversion. Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour : Retirer les freins à l'adoption d'alternatives écologiques en misant sur l'aspect sensoriel, le prix et la distribution de ses produits [05”05] ; Internaliser sa formulation & production et comment l'optimiser au maximum [23”50] ; Battre tous les records en crowdfunding en misant sur la communauté et l'échantillonnage [31”20] ; Rentrer dans la grande distribution pour mieux en sortir [40”35] ; Multiplier son nombre d'abonnés par 20 en proposant un kit d'essai et en montant sa propre Content Factory [48”45] ; Booster sa conversion mobile et desktop grâce à une solution headless (qui dissocie le front et le back end) [1”01”50] ; Pour en savoir plus sur les références abordées dans l'épisode : #198 - Zeta Shoes : Créer des baskets en raisin pour monter les marches à Cannes Catch-Up #15 - Jonak : Mettre en place un commerce unifié en restant droit dans ses bottes, avec Lisa Nakam #124 - EmailClub : Si tu fais pas 30% de ton CA par e-mail, t'es une buse ! avec Thomas Pedegaye Naker Omi.So Nextstore Klaviyo Gorgias pour les relations client Inga Pour consulter le baromètre 2023 des auditeurs du Panier, rendez-vous sur lepanier.io/baromètre2023 ! Inscrivez- vous à la newsletter sur lepanier.io pour ne rater aucun conseil des invités du Panier et cartonner en e-comm ! Pour découvrir tout ça, c'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, par là si vous préférez Spotify ou encore ici si vous préférez Podcast Addict. Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un commentaire sympa sur Apple Podcasts si l'épisode vous a plu. Le Panier est un podcast du label Orso Media, produit par CosaVostra.
Dans cet épisode, les paillettes ont pu se procurer les clés de l'appartement de Ginger pendant son voyage à la Réunion.Ils vont faire l'émission depuis l'appart de la Ging sans l'avertir…et sûrement tomber sur des trucs insolites ?! On en saura certainement plus sur la vie de Ginger après cet épisode…et quand elle découvre où les paillettes se trouvent, c'est magique ☺️ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Michèle Maizeroi Eugène raconte son retour au pays et ses conséquences sur son métier d'avocate.
La Chine et une partie de l'Asie célèbrent ce samedi 21 janvier l'entrée dans la Nouvelle année lunaire. Pour la première fois depuis 3 ans, des centaines de millions de Chinois ont pu rejoindre cette année leur famille à la campagne, sans barrières sanitaires. Malgré cette liberté retrouvée, certains restent travailler dans les mégalopoles chinoises. De notre correspondant à Pékin, avec Louise May du bureau de Pékin, Des palettes de colis tirés dans des camions, des employés qui surveillent les robots chargés de dispatcher les commandes en fonction des zones à distribuer – le Grand Pékin et sa région et jusqu'en Mongolie intérieure –, nous sommes à la périphérie de la capitale chinoise, dans les entrepôts de Jingdong, l'un des géants du commerce en ligne en Chine. Ici, les travailleurs ne chôment pas pendant les vacances de la fête du printemps, souligne Wang Yuahuan, du département international de JD.com. « Cette année, nous voulons promouvoir l'idée que les gens peuvent rentrer chez eux les mains vides pour le Nouvel An chinois. Vous commandez des produits de la fête du printemps via notre plateforme et vous pouvez partir tranquille, sans avoir à trimballer d'énormes sacs pendant le voyage. La livraison arrivera dans votre village. » Des colis à livrer alors que le pouls des mégalopoles s'arrête de battre pendant ces grandes vacances chinoises. Une grosse semaine, parfois dix jours quand l'employeur est conciliant. Du travail en plus pour les chauffeurs de taxi Par la fenêtre du taxi : des commerces et des institutions fermés et des clients qui trépignent dans le froid en attendant une voiture. La plupart des chauffeurs de taxis et de VTC sont rentrés, mais pas celui que nous avons rencontré. « En ce moment, il y a beaucoup de commandes et ce sont les chauffeurs qui choisissent », explique le chauffeur. « On avait des passagers avant qui annulaient les courses, car on n'arrivait pas assez vite. Aujourd'hui, c'est nous qui faisons défiler les clients sur le téléphone et on décide qui on prend. Vous voyez les gens au bord de la route. S'ils tapent du pied, s'ils se frottent les mains, c'est qu'ils attendent depuis plus de 20 minutes. » Pour la première fois cette année, il est possible de rentrer dans sa province pour passer les fêtes en Chine sans avoir à faire de quarantaine en arrivant et surtout en revenant à Pékin. Malgré cela, ce jeune livreur n'est pas parti, fatigué de la pesanteur des traditions familiales, dit-il. « Rentrer à la maison à un âge comme le mien, c'est juste pas possible ! Cela ne peut que mal tourner », redoute le livreur. « Vous avez 10 parents qui vous entourent et vous bombardent de questions : “Tu veux qu'on te présente quelqu'un ? Comment va le travail ? Combien tu gagnes ? Il faut te marier voyons !” Non vraiment, pour moi, c'est trop fatigant. » Des primes d'activité qui ne compensent pas la solitude Se marier ou rester travailler en ville, avec un bonus. « Nos livraisons couvrent 366 villes et plus de 1 700 districts et comtés à travers le pays. L'épidémie ne nous arrête pas », assure Wang Yuahuan, du département international de JD.com. « À Pékin par exemple, le pic des contaminations, c'était mi-décembre, on a eu recours à plus de 1 000 de nos coursiers venus d'autres provinces. C'est sur la base du volontariat et d'incitations internes. » Des primes qui consolent, mais ne compensent pas la solitude d'une partie de ces forçats de la route sans vacances. « Je travaille depuis cinq mois », nous a confié un de ces jeunes livreurs. Seuls ceux qui travaillent à la livraison des tours de bureaux peuvent faire une pause le week-end.
Recrutés dans les anciennes colonies, les tirailleurs sénégalais vont pouvoir rentrer chez eux sans perdre le minimum vieillesse, annonce le gouvernement français. La mesure concerne 22 anciens combattants. Ces hommes devaient impérativement passer au moins six mois de l'année en France pour percevoir leur pension. Ils menaient depuis plusieurs années une bataille administrative pour en finir avec cette obligation. Mamadou Koné, historien à Dakar, spécialiste des forces armées, est notre invité.
C'est bientôt les fêtes de fin d'année avec son lot de cadeaux et de journées en famille pour la majorité d'entre nous... mais pas pour tout le monde. Cette année, le Boxing Day version Top 14 a programmé deux journées de championnat les 22-24 décembre et les 30-31décembre-1er janvier. Pas de jour de répit pour les rugbymen qui s'apprêtent à passer les fêtes sur les routes de France, en bus ou en voiture comme notre invité de la semaine, Baptiste Pesenti.Le deuxième ligne du Stade Français, passé une saison par le Racing 92 l'an passé, s'apprête à jouer son premier derby parisien le 24 décembre après-midi à Jean-Bouin, avant de filer avec frère et père pour rentrer du côté de Saint-Calude dans le Jura après 500 kilomètres de route. Il fait escale cette semaine dans Poulain Raffûte pour parler de ce match particulier, de cette période particulière et de cette passion qui le met toujours vent debout.Bienvenue et bonne écoute !Emission concoctée par Raphaël Poulain, raffûteur en chef, et Arnaud Beurdeley, journaliste reporter au Midi-Olympique, et réalisée par Sébastien Petit, journaliste pour Eurosport. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Partir en Erasmus seul à l'étranger demande beaucoup de courage, mais ce qui est encore plus éprouvant c'est de rentrer. Ça s'appelle le syndrome post-erasmus et c'est notre sujet du jour. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:10:00 - L'invité de 7h50 - par : Alexandra Bensaid - Amélie Oudéa-Castera, ministre des Sports et des Jeux Olympiques et paralympiques, est l'invitée du 7h50 pour parler de la défaite de la France face à l'Argentine en finale de la Coupe du monde de football. Elle annonce la présence des Bleus place de la Concorde à Paris ce lundi soir.
durée : 00:10:00 - L'invité de 7h50 - par : Alexandra Bensaid - Amélie Oudéa-Castera, ministre des Sports et des Jeux Olympiques et paralympiques, est l'invitée du 7h50 pour parler de la défaite de la France face à l'Argentine en finale de la Coupe du monde de football. Elle annonce la présence des Bleus place de la Concorde à Paris ce lundi soir.
Les inondations dans la capitale tchadienne à partir de fin septembre ont obligé près de 150 000 personnes à quitter leurs maisons. Ces dernières semaines, les eaux ont commencé à se retirer, mais selon les experts, il est encore trop tôt pour que les sinistrés rentrent chez eux. De notre correspondant à Ndjaména, Assis devant sa tente au milieu de ses enfants et petits-enfants, Philippe, 60 ans, rabote sur un morceau de bois. Dans le camp de Toukra où il a été relogé suite aux inondations qui l'ont obligé à partir de chez de lui, il ne supporte pas la promiscuité et dit n'attendre que le retrait des eaux pour repartir chez lui, bien que sa concession soit située en zone inondable. Coumakoye, lui aussi, sait qu'il habite en zone inondable, mais il n'a pas vraiment le choix. « Il faudrait que Dieu nous trouve une solution, parce qu'à notre niveau, nous ne sommes que des êtres humains. Comment on va faire ? », se demande-t-il. ► À lire aussi : Inondations au Tchad : des conditions de vie difficiles pour les sinistrés « Désormais, le problème, ce n'est plus de combattre l'eau, mais apprendre à vivre avec » Obligés de dormir dans des conditions inconfortables, parfois séparés de leurs familles, la plupart des sinistrés n'attendent que le retrait des eaux pour rentrer chez eux. Mais c'est risqué, le gouvernement ne devrait pas les laisser faire, prévient l'architecte Merlin Totinon. « Pendant deux mois, une crue a envahi toute la zone, explique-t-il. Toutes les ordures qui étaient dans les rues, les latrines sèches qui ont aussi été inondées, ont dû rejeter toutes les matières fécales dans cette eau-là, qui a certainement envahi toutes les cours et toutes les maisons. Donc, même si l'eau se retirait, il y aura une situation sanitaire qu'il faudra d'abord traiter. » Ensuite, il faudra revoir les conditions pour construire à Ndjaména, surtout dans le 9e arrondissement qui est entre deux fleuves, conseille l'expert. « Avec le changement climatique, les crues vont être permanentes, avertit l'architecte. Pour le moment, on dit que c'est cyclique et que ce n'est pas grave. Mais ces crues reviennent tous les deux ans ! Quand un citoyen prend ses économies pour aller construire quelque part, il espère que ce soit un logement durable, il ne veut pas évacuer tous les deux ans et revenir ensuite. Je crois que désormais, le problème, ce n'est pas de combattre l'eau, mais apprendre à vivre avec. » Les ordres des architectes et des ingénieurs doivent être associés à la réflexion, pour mieux faire face à la situation. ► À lire aussi :Tchad: la difficile scolarisation des enfants victimes des inondations
« Quand le rythme des tam-tam change, il faut changer la manière de danser », affirme l'opposant ivoirien Charles Blé Goudé. Près de deux ans après son acquittement par la justice internationale, l'ancien ministre de Laurent Gbagbo doit rentrer après-demain, samedi, à Abidjan. Il affirme que le temps de la confrontation est terminée. Risque-t-il la prison à son retour ? Rentre-t-il comme un allié ou comme un adversaire de Laurent Gbagbo ? En ligne de la Haye, aux Pays-Bas, Charles Blé Goudé se confie au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Votre entourage annonce que votre retour sera sobre, or vous n'avez pas toujours fait dans la sobriété, on se souvient de vos discours enflammés, est-ce que vous avez changé ? Charles Blé Goudé : On va dire que sortir de prison, avec toutes ces douleurs, toutes ces expériences, j'en ai tiré des leçons, et on va dire que j'ai mûri. Et quand le rythme des tam-tams change, il faut changer la manière de danser. J'ai décidé de rentrer dans la sobriété en respect de la mémoire de toutes les victimes, sans distinction, de la crise au nom de laquelle j'ai été transféré à la CPI [Cour pénale internationale, NDLR]. C'est ma manière à moi de compatir, et je pense qu'elles ont besoin de compassion. Alors c'est vrai que, pendant la crise meurtrière de 2010-2011, vous avez été l'un des grands orateurs du camp Gbagbo, qu'est-ce que vous dites aujourd'hui aux familles des 3 000 Ivoiriens qui sont morts à cette époque ? Il y en a certainement eu plus que ça. J'ai un message, non seulement pour les victimes, mais j'ai un message pour la classe politique et les Ivoiriens aussi, que je veux leur livrer à partir de l'aéroport, dès que je foulerai le sol ivoirien. Est-ce que vous avez des regrets par rapport à tout ce que vous avez fait, tout ce que vous avez dit à l'époque ? Écoutez, je suis venu ici, j'ai fait l'objet d'un procès. Aujourd'hui, le plus important, c'est comment nous tournons cette page-là. La Côte d'Ivoire a connu une crise, le plus important, ce sont les leçons qu'on en tire, les enseignements qu'on en tire. Si nous voulons bâtir une communauté de destins, nous allons donc avancer dans le respect de nos différences. Est-ce que j'ai des regrets ? Oui, ce que j'ai fait quand j'avais 28 ans, quand j'avais 30 ans, ce n'est pas ce que je ferais à 50 ans, je suis maintenant un monsieur, je ne suis plus un jeune homme. Je pense que, dans ma posture, que dans ma démarche, dans mes propos, je dirais les choses autrement que je ne les ai dites hier, parce que les besoins ont changé, les mentalités, la situation elle-même, nous aussi nous devons changer. Vous avez peut-être été trop impétueux à l'époque ? Oui, j'étais jeune, et la situation qui était là était une situation de guerre, il y avait une rébellion. Aujourd'hui, il s'agit de faire en sorte que les institutions puissent marcher et que les Ivoiriens puissent se parler à nouveau en regardant dans la même direction, c'est-à-dire consolider la Côte d'Ivoire. Le moment fort de ce samedi, ce sera, vous l'avez dit, votre rencontre avec vos partisans à Yopougon, vous direz quelques mots, que direz-vous justement ? Je pense que ce n'est pas un meeting que je ferai, non. C'est un moment dont mes partisans, et beaucoup d'Ivoiriens aussi qui ont partagé ma cause, ont beaucoup rêvé. Ce moment est arrivé. Et c'est important pour moi que je les voie, qu'ils me voient, qu'on se touche, mais j'allais dire le moment le plus important pour moi, ce sera mon message depuis l'aéroport, mon message aux Ivoiriens, le message à la classe politique, le message aux victimes. Mais la sobriété par laquelle je rentre est déjà un message. Alors en votre absence, Charles Blé Goudé, vous avez été condamné par la justice ivoirienne à vingt ans de prison, est-ce que vous avez eu l'assurance écrite des autorités ivoiriennes que vous n'irez pas en prison ? Écoutez, on peut même vous écrire l'assurance, on peut vous donner tous les documents que vous voulez, et puis à l'arrivée, on peut vous arrêter, mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit aujourd'hui. Les autorités ivoiriennes sont dans une logique de tourner cette page-là, et d'apaiser la situation socio-politique. C'est dans ce cadre-là que le chef de l'État a autorisé que je rentre en Côte d'Ivoire en homme libre. Je respecte les institutions de mon pays et je suis à la disposition des autorités, mais je crois qu'en rentrant en Côte d'Ivoire, c'est un pas qui est encore posé, et cette étape-là, c'est de tourner la page de la crise ivoirienne, c'est dans ce contexte-là que je rentre en Côte d'Ivoire. Donc vous avez un accord tacite des autorités ivoiriennes pour que vous n'alliez pas en prison à votre retour… En tout cas, telles que les choses se passent et de ce que je sais, il n'est pas question d'emprisonnement. Le président de la République, en me demandant de rentrer en Côte d'Ivoire, n'est pas du tout dans cette logique. D'autres personnalités avant moi sont rentrées et étaient pourtant condamnées à vingt ans, et ces personnalités jouissent jusqu'à aujourd'hui de leur liberté en Côte d'Ivoire, et ce sera très certainement la même chose pour moi. Vous pensez bien sûr à Laurent Gbagbo. Sur le plan juridique, Charles Blé Goudé, est-ce que vous souhaitez une grâce présidentielle ou une amnistie ? Je ne suis pas pressé d'aborder cette question. Le plus important pour le moment, ce n'est pas ma personne, des Ivoiriens sont morts, nous allons parler de tout cela, et enfin, nous parlerons de moi. Entre Laurent Gbagbo et vous, Charles Blé Goudé, les relations sont fortes, vous l'appelez même votre père. Mais aujourd'hui, les liens semblent distendus, est-ce qu'il est vrai que vous ne vous êtes pas parlés au téléphone depuis plus d'un an ? Les gens parlent beaucoup des relations entre Laurent Gbagbo et moi, d'autres annoncent même un divorce d'un mariage auquel ils n'ont pas participé. Je n'ai pas de problème du tout avec le président Laurent Gbagbo et on aura l'occasion de se parler, vous avez dit que je l'appelle père, on ne parle pas des relations avec un père sur des antennes. Monsieur, regardez et écoutez le procès qui a lieu en Guinée, quand vous avez fini d'écouter Monsieur Toumba, de ce qu'il fait de son ancien patron [Dadis Camara, NDLR], et que vous mettez cela en parallèle avec la posture de Blé Goudé à la CPI, je pense que les partisans de Laurent Gbagbo devraient simplement me dire merci. Alors justement, ce n'est pas le cas en ce moment, Charles Blé Goudé, ils ont plutôt tendance à vous considérer, vous parliez de Toumba Diakité, comme un traitre, depuis que vous avez créé formellement votre parti politique, le COJEP, et que vous avez refusé de rentrer dans celui de Laurent Gbagbo, le PPA-CI. L'État-major de ce dernier parti affirme que vous êtes un adversaire politique de Laurent Gbagbo… Mais pour moi, tous les partisans du président Laurent Gbagbo, ses collaborateurs et moi, nous avons partagé des douleurs, les douleurs de la crise, les douleurs de l'exil, les douleurs de la prison. Je ne crois pas qu'un parti politique soit au-dessus de ces moments que nous avons partagés. Je crois que nous aurons le temps de parler, moi je les considère comme mes frères, je les considère comme mes camarades, la Côte d'Ivoire n'a plus besoin de confrontations. Je serai présent là où on parlera d'amour. Donc vous n'êtes pas l'adversaire politique de Laurent Gbagbo ? Je ne serai jamais l'adversaire politique du président Laurent Gbagbo, quelqu'un avec qui j'ai tout appris, quelqu'un avec qui j'ai partagé la douleur de la prison. Mais tout de même, Charles Blé Goudé, il y a la logique de la politique, vous ne cachez pas votre ambition de devenir un jour président, Laurent Gbagbo semble de plus en plus tenté de revenir lui aussi comme président de la Côte d'Ivoire. Si vous êtes candidats tous les deux à la présidentielle de 2025, est-ce que vous ne serez pas naturellement des adversaires politiques ? Nous sommes en 2022. En politique, ce qui est vrai aujourd'hui ne sera pas forcément vrai demain, et je pense qu'il ne faut pas être pressé, le temps nous dira le reste. Mais moi, je ne suis pas un adversaire de Laurent Gbagbo, voilà. Et c'est pour ça que vous voulez le rencontrer à votre retour, pour trouver un modus vivendi entre vous deux ? Non, je rencontrerai tout le monde, y compris le président Laurent Gbagbo. Mais lui, vu la particularité de ce que nous avons vécu ensemble, et de ce que nous avons partagé ensemble, je pense qu'il est important que je le rencontre pour qu'on discute. Mais le plus important pour moi, c'est d'abord de pleurer mes parents que j'ai perdus quand j'étais ici, mon père est mort derrière moi, tous mes frères ont disparu derrière moi, quand j'aurai fini tout ce deuil-là, j'aurai l'occasion de parler politique. L'un de vos émissaires a déjà demandé audience pour vous auprès de l'ancien président Laurent Gbagbo, est-ce qu'un rendez-vous est déjà convenu ? Pas encore, tout comme j'ai aussi demandé un rendez-vous au président Alassane Ouattara. Il ne faut pas forcer le calendrier des uns et des autres, les agendas des uns et des autres. Que répondez-vous à ceux qui disent que le président Ouattara favorise votre retour pour affaiblir le camp de Laurent Gbagbo et celui de la gauche ivoirienne ? Et quand il a favorisé le retour du président Laurent Gbagbo, le retour d'Akossi Bendjo, le retour de Koné Katinan et de Damana Pickass, et de tous les autres, c'était pour affaiblir qui ? Personne n'a pris son bagage lui-même pour aller en Côte d'Ivoire, et c'est plutôt en négociant, en discutant avec les autorités en place, que tout ce monde-là est rentré en Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, c'est mon tour, pourquoi on veut interpréter ça autrement ? Et aujourd'hui, est-ce votre tour d'être candidat à la prochaine présidentielle ? (Rires). Ne soyez pas pressé. Je rentre en Côte d'Ivoire et j'ai un parti politique qui va se réunir, et les décisions qui en découleront seront appliquées.
Lorsque l'on quitte son pays d'origine, nous sommes nombreux à prendre la résolution suivante : je suis français (ou française), oui, mais je ne veux surtout pas rencontrer d'autres français, je veux m'immerger dans la culture, apprendre la langue et rencontrer des locaux. Sauf que ça, c'est la théorie. Aujourd'hui je vous invite à la rencontre de Delphine Carlile, maman française basée entre Denver et Boulder dans le Colorado depuis plus de 20 ans. Après quelques années à Denver, alors qu'elle découvre la maternité, Delphine veut se rapprocher de sa famille : la voilà qui embarque son mari et son fils aîné pour vivre à Paris. Un choc culturel de taille, l'impression d'avoir tout abandonné d'une vie où tout allait bien et surtout la plongée dans une vie un peu morose ... Delphine et son mari reprennent un billet retour au bout de quelques mois à Paris. À son retour dans le Colorado, Delphine est accueillie à bras grands ouverts par la communauté française qui l'aide à se réinstaller. Quinze ans plus tard, Delphine est l'un des moteurs de la communauté française du Colorado : elle rassemble celles et ceux qui sont loins de chez eux, et avec eux a réussi à recréer la famille qu'elle recherchait loin de la sienne.Retrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
Notre Torah sans les lois ne vaut rien (2/2)- L'interdit de rentrer dans une église by Rav David Touitou
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 07 novembre 2022
durée : 00:17:47 - L'invité du week-end - par : Carine BECARD, Eric Delvaux - Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, et le Professeur Stéphane Dauger, chef de service de réanimation pédiatrique à l'hôpital Robert Debré à Paris, membre du collectif inter-hôpitaux, étaient les invités du week-end de France Inter ce samedi.
L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi.
Alors que la guerre en Ukraine s'enlise, pour des millions de réfugiés en Europe se pose la question difficile de s'installer dans leur pays d'exil ou de rentrer. En France, ils sont 100 000 environ à avoir trouvé refuge dans l'hexagone. Dans tout le pays, de nombreuses associations se sont créés pour simplifier l'installation de ces Ukrainiens. L'une d'entre elle se trouve dans les Pyrénées-Atlantiques. Le reportage de Leo Vidal-Giraud. Chronique Europe du net Pour les Européens, l'une des conséquences de la guerre en Ukraine ce sont les prix de l'énergie qui s'envolent. Les Allemands, les Belges, mais aussi les Anglais sont particulièrement concernés. Dès cet automne, leur facture de gaz et d'électricité pourrait atteindre, en moyenne, 350 euros par mois. Dans ce contexte, la toute nouvelle Première ministre Liz Truss a annoncé un plan d'aide massif pour les ménages face à l'envolée des coûts de l'énergie. Un gel des factures jugé insuffisant par des milliers de Britanniques membres du mouvement « Don't pay UK », né sur les réseaux sociaux pour se rebeller : C'est la chronique l'Europe du Net de Clémence Pénard. C'est un peu l'histoire de David contre Goliath En Suède, voilà 50 ans qu'une chaîne locale de fast food fait de la résistance face au géant mondial du burger. Pari risqué, mais ça marche. La chaîne suédoise Max compte plus de 180 établissements dans le pays et va même en ouvrir un dans le centre de Stockholm à l'endroit même où Mac Donald's avait inauguré son premier restaurant en 1973. Le reportage de Frédéric Faux. En Italie, le pari semblait ambitieux Vouloir imposer une pizza américaine dans le pays de naissance des pizzerias. Le géant américain Domino's Pizza arrivé en 2015 dans la botte vient d'en faire les frais. Au mois d'août, il a annoncé son départ et la fermeture de tous ses magasins italiens. Une déconvenue qui n'est pas sans rappeler l'aventure malheureuse d'autres enseignes américaines dans le pays. Cécile Debarge.
Dans l'épisode 83 de Shine, je reçois Sandie Boulanger pour échanger sur les liens que nous cultivons avec les personnes autour de nous et sur l'importance de la corporalité dans la création de ce lien.Sandie est sexothérapeute, relaxologue somato-thérapeute. Elle est la co-fondatrice de 15fevrier.com, une plateforme pour relancer, entretenir ou approfondir sa relation de couple.Elle est aussi l'autrice du roman Remets ton slip* en place paru en juillet 2021. Une des devises de Sandie est : Etre bien dans son slip pour être bien dans ses pompes ! Elle anime des conférences sur la sexualité pour les personnes vivant avec des maladies chroniques, des jeunes avec un spectre autistique asperger. Sandie aime parler de sexualité et de deuil. C'est un point commun que nous avons et que je me réjouis d'explorer avec elle dans cet épiosde.Ensemble, nous abordons :Comment faire évoluer sa carrière pour lui donner du sensComment déterminer sa valeur quand on se met à son compteLa place du TOUCHER dans les liens que nous tissons avec les autresComment être présente lorsque nous visitons une personne maladePourquoi la sexualité est importante pour les personnes en bonne santé - mais aussi les personnes malades ?Comment la sexualité peut s'exprimer en dehors des zones génitalesPourquoi nous résistons autant le fait de vivre notre sexualitéLe point de départ de nos désirsS'il y a un lien entre la sexualité et la mortComment créer un espace respectueux de la sexualité des personnes âgées en maison de retraite
Youpi ! C'est la rentrée... mais eu fait, rentrer, est-ce la même chose qu'entrer ? Pourquoi y aurait-il deux mots différents, alors ? Parfois, un R de plus ou de moins fait toute la différence, explique Muriel Gilbert, la correctrice du journal Le Monde et de RTL.
Youpi ! C'est la rentrée... mais eu fait, rentrer, est-ce la même chose qu'entrer ? Pourquoi y aurait-il deux mots différents, alors ? Parfois, un R de plus ou de moins fait toute la différence, explique Muriel Gilbert, la correctrice du journal Le Monde et de RTL.
Maître Alexandre Silva est avocat au Barreau de Paris depuis 2013. Diplômé en droit des affaires, sa fonction de Secrétaire de la Conférence obtenue en 2014 lui a également ouvert les portes du droit pénal et de la plaidoirie. Alexandre est un avocat qui tient à son équilibre, qu'il entretient avec le concours de sa femme, également avocate. Tous deux indépendants, ils se soutiennent pourtant dans l'exercice de leur profession tout comme dans la gestion de leur temps de travail. Dans cet épisode, on parle donc de l'importance de ne pas rester isolé dans l'exercice du métier d'avocat. Références : Le site de l'EFB Interview avec Charles Haroche Le guide du jeune avocat Sœur, roman d'Abel Quentin Pour contacter Alexandre, voici le lien vers son site et son mail : avocat@silva-lex.com Merci à François-Xavier Tessier pour la recommandation et bonne écoute ! Lilas Louise
Bonjour et bienvenue à tous. Comme vous le savez, nous avons pris quelques jours de congés mais nous revenons dès septembre avec des épisodes exclusifs. Nous avons pensé à vous, vous pouvez débloquer en moins de cinq minutes des dizaines d'épisodes inédits tout de suite sur notre site lecoinducrime.com. Rentrer le code de réduction CRIMINEL - C-R-I-M-I-N-E-L pour profiter du premier mois offert, et du renouvellement moitié prix garantie à vie. La promotion est active seulement jusqu'à la fin du mois et nous vous remercions infiniment.... Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au sommaire : Jika, Deez, Ianoo et Hoopy sont dans un Thalys et racontent ce qu'ils attendent de la Gamescom 2022.
L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
C'est quoi rentrer de voyage ? Une question posée aux enfants à l'occasion du Paris Podcast Festival. Des réponses rafraichissantes, spontanées et toujours pertinentes. une question de Bloom la radio des enfants
Cours vidéo de 30 minutes donné par Rav Eytan TOUITOU.
durée : 00:15:03 - Journal de 18h - Emmanuel Macron se rendra ce jeudi en Gironde, pour apporter son soutien aux pompier qui lutent contre les incendies depuis une semaine. La pluie arrivera-t-elle avant le président, dès ce mardi soir ? C'est l'espoir des riverains évacués.
durée : 00:15:03 - Journal de 18h - Emmanuel Macron se rendra ce jeudi en Gironde, pour apporter son soutien aux pompier qui lutent contre les incendies depuis une semaine. La pluie arrivera-t-elle avant le président, dès ce mardi soir ? C'est l'espoir des riverains évacués.
Gilles Platret, maire de Chalon-sur-Saône et vice-président des Républicains, est, ce vendredi 8 juillet 2022, l'invité du matin de RFI. Actualité politique au Royaume-Uni, politique française, mesures de lutte contre l'inflation annoncées par la Première ministre Elisabeth Borne, positionnement du parti Les Républicains au cours de ce second mandant d'Emmanuel Macron... Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Tous les samedis et dimanches à 18h17, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir Aurélien Taché, député NUPES et écologiste du Val d'Oise, co-président des Nouveaux démocrates.
durée : 00:26:57 - Teresa Berganza, mezzo-soprano (2/5) - par : Judith Chaine - La mezzo-soprano Teresa Berganza nous a quittés à l'âge de 89 ans. Elle avait fait ses débuts à l'opéra au Festival d'Aix en Provence dans Cosi fan Tutte de Mozart puis à La Scala de Milan. Grande interprète de Mozart et Rossini, la chanteuse s'était confiée en mars 2018 au micro de Judith Chaine. - réalisé par : Marie Grout
Maître Alexandre Silva est avocat au Barreau de Paris depuis 2013. Diplômé en droit des affaires, sa fonction de Secrétaire de la Conférence obtenue en 2014 lui a également ouvert les portes du droit pénal et de la plaidoirie. Alexandre est un avocat qui tient à son équilibre, qu'il entretient avec le concours de sa femme, également avocate. Tous deux indépendants, ils se soutiennent pourtant dans l'exercice de leur profession tout comme dans la gestion de leur temps de travail. Dans cet épisode, on parle donc de l'importance de ne pas rester isolé dans l'exercice du métier d'avocat. Références : Le site de l'EFB Interview avec Charles Haroche Le guide du jeune avocat Sœur, roman d'Abel Quentin Pour contacter Alexandre, voici le lien vers son site et son mail : avocat@silva-lex.com Merci à François-Xavier Tessier pour la recommandation et bonne écoute ! Lilas Louise
Comment avoir plus de vues, plus d'abonnés sur Youtube ? À quelle fréquence faut-il poster ? Quels contenus pour plaire à l'algorithme ? Raphaël Bernier, spécialiste Youtube et SEO, nous révèle sa méthode facile pour hacker Google grâce à Youtube ! Plus de vues, plus d'abonnés, plus de kiffance : les 18 minutes les mieux investies de votre journée ! LES 10 HACKS : 1. Utiliser les Widgets Youtube 2. Se tenir informé des mises à jour 3. Hacker ses scores grâce à la Playlist 4. Bien utiliser les Hashtags 5. Optimiser ses sous-titres 6. Uploader sa vidéo en privé 7. Utiliser les underscores 8. Façonner une bonne accroche 9. Rentrer ses contacts réseaux sociaux et son lien d'abonnements 10. L'astuce secrète de Raphaël PS : Vous saurez pourquoi il faut mettre sa chaîne en privé quand on upload sa vidéo
L'heure du retour au pays a sonné pour toi ? Ou tu as peut-être autour de toi plusieurs groupes d'amis qui rentrent, qui ont décidé de mettre fin à leur aventure d'expatriés. Et tu te demandes: et nous quand-est-ce qu'on rentre...! Avec Virginie de Réalise Coaching, nous allons discuter les raisons qui nous poussent à rentrer au pays et pourquoi c'est si difficile de prendre cette décision. Comme dit le proverbe: on sait ce qu'on quitte mais on ne sait pas ce qu'on gagne... Est-ce qu'il y a une check-list magique pour prendre cette décision ? Est-ce qu'il y a un meilleur moment pour rentrer ? Comment se préparer au retour ? Parce qu'une fois la décision prise, on le sait, outre les aspects administratifs, il va falloir nous réadapter culturellement à un pays qu'on a connu mais qui a changé, comme nous. Professionnellement, il va falloir apprendre à valoriser son expérience professionnelle et à réactiver son réseau professionnel et amical. Ecoute cet épisode pour te préparer à un atterrissage en douceur dans ton pays d'origine !
L'exode des Ukrainiens fuyant l'invasion russe en Ukraine continue. Plus d'un demi-million de personnes ont rejoint la Pologne voisine. Mais si les arrivées sont très nombreuses côté polonais, plusieurs dizaines de milliers d'Ukrainiens ont, eux, fait le trajet inverse pour repartir dans leur pays aider ou se battre. Au poste-frontière de Medyka, coté polonais, un bus avec à bord une quinzaine d'hommes vient d'arriver. Parmi les voyageurs, Dimitri Marchenko tire derrière lui sa valise. À 24 ans, cet Ukrainien qui travaille en Pologne a décidé de tout quitter pour rentrer dans son pays natal. « D'un côté, c'était une décision difficile. J'ai une bonne partie de ma vie en Pologne déjà, j'ai tout ici, un appartement, un travail. En Ukraine, je n'ai plus rien, je ne sais même pas quand je vais pouvoir revenir en Pologne, explique Dimitri. En Ukraine, on a des brigades de défense territoriale et j'aimerais pouvoir m'enrôler dans l'unité de ma région. Ma mère m'a dit de ne pas rentrer et d'attendre, ajoute le jeune homme. Évidemment que toute mère n'a pas envie que son fils aille à la guerre. Mais pourquoi attendre ? Cela fait huit ans qu'il y a la guerre. Ce n'est pas que j'espère gagner, je suis sûr qu'on va gagner. L'avenir de l'Ukraine est du côté de l'Europe, pas de la Russie. Chaque Ukrainien sait que c'est notre territoire et que la vérité est de notre côté. » Si la majorité des Ukrainiens sur le chemin du retour sont des hommes, on voit également quelques femmes qui ont pris la décision de repartir. Nous nous rendons dans un des centres d'accueil temporaire pour les réfugiés dans la ville de Przemysl, installé dans une école primaire. Dans le gymnase, Ivana Tatchiova fait ses adieux, en larmes, à sa fille de 14 ans, la serrant dans ses bras. Elle l'a emmenée en Pologne pour que sa fille soit en sécurité, mais elle s'apprête désormais à faire le trajet inverse, pour retourner en Ukraine. ► À suivre également : notre direct sur la guerre en Ukraine « Se battre pour notre terre » « Je comprends que les familles avec des bébés d'un mois, deux mois, veulent fuir, mais si tout le monde part, s'il n'y a plus d'Ukrainiens, alors il n'y aura plus d'Ukraine, ce sera fini. Donc, si vous avez la possibilité, il faut revenir, estime Ivana. C'est notre devoir en tant qu'Ukrainiens de nous battre pour notre terre, pour notre pays natal. Si tout le monde fuit, alors il n'y a plus de raisons de combattre. » « Moi, je ne veux pas être héroïque, je veux juste aider comme je peux », confie cette Ukrainienne qui réfléchit à s'engager comme infirmière ou bénévole à l'arrière, pour organiser l'aide. L'Ukraine a également fait appel aux volontaires étrangers pour constituer une légion internationale de défense. « Je viens de Suède et j'ai décidé de rejoindre la Légion étrangère pour prendre les armes contre Vladimir Poutine », témoigne un jeune Suédois de 25 ans rencontré dans un hôtel près de la gare de Przemysl. L'air un peu perdu, il tient à ses pieds un sac de randonnée, sur lequel on aperçoit un tapis de sol. Il est arrivé en Pologne en train depuis la Suède, après un détour par l'Allemagne. « C'est évident pourquoi c'est important d'aller combattre. C'est important, parce qu'on ne peut pas laisser un dictateur, une personne terrible, prendre le contrôle d'un pays. Et le plus important, ce n'est pas : "Je vais réussir à changer les choses", mais plutôt, "si ce n'est pas moi qui y vais, alors qui peut y aller ?”, affirme le jeune homme. Personne n'a de meilleur profil que moi. » Selon le président ukrainien, 16 000 étrangers se sont déjà portés volontaires pour combattre aux côtés de l'Ukraine.