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Juin 1963, si les Britanniques commencent à se méconduire quand elles voient leurs nouvelles idoles, les Beatles ne sont pas encore arrivés en France. La jeunesse parisienne vit encore à l'heure américaine grâce à Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Dick Rivers. On les appelle les Yéyés et il en pousse quinze nouveaux par mois dont presque tous disparaissent aussitôt qu'ils sont arrivés. Il faut dire que les firmes de disques signent tout ce qui passe, enregistrent et abandonnent aussi sec si le premier single, pressé à 200 exemplaires, ne marche pas.Heureusement pour Michel Berger, 16 ans, son disque est le « Chouchou de la semaine » de l'émission Salut les Copains sur Europe 1. Michel a donc droit à un passage au début et à la fin de l'émission, écoutée par un million de paires d'oreilles, au moins, et article dans le magazine pour lequel Jean-Marie Périer fait le déplacement jusqu'à la maison de vacances de la nouvelle vedette. Pour l'occasion, la jeune Première Marlène Jobert pose avec lui sur les photos du reportage. Elle n'est pas là par hasard : Marlène est une amie de sa sœur aînée, Franka, et elle est aussi courtisée par son frère Bernard.Contrairement à Eddy, Johnny et Dick, Michel ne change rien à son quotidien qui se résume en dehors de la promotion et des galas, aux cours et aux devoirs. L'argent ne change rien puisqu'il n'en a jamais manqué à la maison. Bien sûr qu'il a le trac lors de sa première télé. Il ne remarque d'ailleurs pas une débutante comme lui qui vient y chanter son premier tube. Oui, à part quelques mauvaises expériences comme la huée du public de l'Olympia alors qu'il assure la première partie des Kinks (c'était pas vraiment une bonne idée, pas le même public), Michel Berger est un Yéyé à succès. Les sept disques qu'il publie ont plutôt bien marché, sans casser la baraque, hein, et même si pour s'en défendre, Michel dira plus tard : ça ne veut rien dire, tout marchait à l'époque. Une politesse de plus car cela est faux, bien évidemment.Et pourtant, alors que le 12 avril 1966, il pose avec tous les Copains yéyés pour ce qu'on appellera un jour la photo du siècle, devant l'objectif de Jean-Marie Périer, Michel Berger décide d'arrêter les frais. En effet, en cette année où les Américains et surtout les Anglais comme les Beatles, Rolling Stones et Bob Dylan publient chef d'œuvre sur chef d'œuvre, Michel dit qu'ils ont pris trop d'avance : les Français ne peuvent plus les suivre sur leur terrain. Michel arrête la chanson, passe son bac et rentre à la Fac. Oui, après un bac philo, il entame une maîtrise de Philosophie, dit-il, parce son voisin est un passionné, ce dont Jacques Attali, le voisin, c'était lui, a eu l'occasion depuis de démentir : Michel était modeste, il avait de solides bases en philo, et pas que. D'ailleurs les examinateurs de sa maîtrise ne sont pas près d'en oublier le thème : L'esthétique de la musique pop, dans laquelle il se lance dans l'exégèse de deux albums de Jimi Hendrix.Car si Michel a quitté le monde de la chanson en tant qu'interprète, il a accepté de sa maison de disques un rôle de directeur artistique. Alors qu'il est toujours étudiant, vous le croyez ça. Bon, on est dans les années 60, alors c'est vrai, pour tous ces gars qui gèrent la carrière d'Edith Piaf ou des Compagnons de la Chanson, qui mieux qu'un Yéyé de bonne famille pour dénicher et s'occuper d'autres yéyés.
“Il n'y a pas de hasard”. Une phrase qu'on entend régulièrement aujourd'hui dans la conversation. Et qui convient admirablement à propos de l'union artistique et amoureuse de Michel Berger et Véronique Sanson. Est-ce un hasard si leurs deux pères se sont rencontrés, avant leur naissance, dans la résistance, sans pour autant nouer de liens. L'affaire aurait dû rester sans suite mais voilà que les deux mamans aussi se connaissent, et se fréquentent. Mais alors qu'on pourrait croire qu'à l'occasion des dîners qu'elles organisent ou des goûters d'anniversaire de leurs enfants, les deux jeunes ont commencé à se fréquenter, et bien, non, à nouveau pas du tout. Il ne se passe rien durant leur enfance ni adolescence.Ce n'est que, alors qu'il fréquente les bancs de l'université, Michel Berger se retrouve dans un pool de directeurs artistiques chez Pathé Marconi qui entre parenthèses deviendront tous riches et célèbres comme Gérard Manset (et oui, c'est lui), ou Claude Michel Schönberg, le compositeur de la fameuse comédie musicale Misérables, que Michel Berger est convié par Madame Colette Sanson à un goûter où elle a demandé à ses deux filles d'interpréter leur répertoire. Violaine et Véronique forment en effet avec un certain François Bernheim un trio qu'elles ont nommé les Roche Martin.Oui, il a fallu attendre ce jour-là, pour que Michel Berger accompagné de Schönberg, semble enfin voir Véronique Sanson et sa sœur pour la première fois. Il n'a d'yeux désormais que pour elles, l'affaire est entendue : Schönberg et lui vont s'occuper d'elles. La suite on la connaît. Le travail en commun débouche sur une histoire commune. Puis vient la révélation de la chanteuse Véronique Sanson mais aussi du style Berger. Ainsi quand France Gall entend pour la première fois à la radio un extrait du premier album de Michel Berger et file l'acheter chez un disquaire pour l'écouter. Elle est tellement frappée par la ressemblance avec Véronique Sanson qu'elle en vient à croire qu'il imite, et imagine même casser le 33 Tours, avant d'apprendre que Michel est à la base de sa carrière. Un Michel Berger n'est plus le garçon réservé qu'il a été. C'est un homme meurtri par un amour malheureux et le terrible choc d'un abandon brutal. Partie acheter des cigarettes et jamais revenue. Véronique s'envole pour les Etats-Unis, suivant une rockstar américaine, sans crier gare, sans une explication. Michel est dévasté, il se retrouve une fois de plus, une fois de trop dans la situation de l'abandonné, comme quand son père a déclaré ne plus le reconnaître et a coupé les ponts pour refaire sa vie ailleurs.Michel se révèle inflexible, il ne veut pas travailler avec France Gall et le lui dit sans ménagement. Mais France ne lâche rien, fait le siège de la forteresse, jusqu'à ce que l'opportunité de faire une voix sur l'album de Michel se présente. Berger est alors frappé par ce qu'il entend, loin du souvenir qu'il avait gardé de celle qu'il avait bien évidemment croisée du temps des yéyés et qui n'est plus une ado à présent, comme lui après tout, même si elle en a toujours le physique et les traits. Alors, à l'heure où Berger remet la carrière de Françoise Hardy en selle, il reprend aussi celle de France Gall, qui a dit “à corps perdu”.
On garde de Michel Berger, de très nombreuses mélodies et un son, celui du piano, son compagnon depuis la tendre enfance. Une enfance qui entre un père, héritier d'une dynastie d'antiquaires d'Amsterdam et une mère, fille de bijoutiers et amie de Francis Poulenc, l'immense compositeur du Paris de l'âge d'or, une enfance donc qui aurait dû être heureuse. Mais il n'en a rien été.Car quand est né Michel Berger ? En 1947, sous le nom de Michel-Jean Hamburger ? Ou plutôt ce terrible jour de 1954 quand il rend visite à son père qui a subi une terrible opération chirurgicale où il a failli rester. Que faites-vous là ? Qui êtes-vous ?, s'exclame-t-il depuis son lit en le désignant avec sa mère, son frère et sa sœur. Infirmière, pouvez-vous demander à ces gens de partir ? Je ne les connais pas et ils me fatiguent. Votre papa est devenu amnésique. Il ne nous reconnaît plus mais ne vous inquiétez pas, la mémoire lui reviendra.Annette, la maman, écrit donc une lettre à son mari chaque lundi pour lui donner des nouvelles, espérant l'aider à retrouver la mémoire. Elle va le faire durant près de quarante ans sans jamais obtenir de réponse. Amnésie étrange car Jean Hamburger, brillant académicien, philosophe et médecin, n'a par contre rien oublié de ses immenses connaissances et va continuer à faire progresser la médecine à l'échelle planétaire. Avec les années, il reverra son fils, lors de déjeuners occasionnels, extrêmement froids et distants. Le personnage public qu'il est, admet admirer ce que son fils est devenu lors d'interviews à la télé et la radio. Mais il se montre irrité quand on lui demande s'il est le père de Michel Berger ? Michel, comme sa sœur cadette Franka, pas dupes, ont abandonné la première syllabe du nom de cet homme qui les a, lui, abandonnés pour vivre libre entre guillemets, de la manière la plus lâche qui soit. Alors oui, la musique de Michel, d'une éternelle mélancolie, sa façon singulière de jouer du piano et de composer trouvent sûrement, aux côtés d'une passion pour le rock anglo-saxon, son origine dans ce drame de l'abandon précoce et de l'absence de réponse.Car pour le reste, Michel et sa famille ne sont heureusement pas dans le besoin. Michel a grandi dans un monde aisé marqué par la culture française de l'entre-deux-guerres, le paradis blanc du grand salon familial où brillent un Steinway et un Pleyel. Signe du destin ? Son père Jean Hamburger est parti quelques mois avant lui, en février 1992. Présents à la lecture du testament, Michel et sa sœur découvrent que leur père ne les y cite même pas : il les a déshérités sachant pertinemment que la loi le lui interdisait. Et pourtant, en vidant l'appartement paternel, découvrant enfin son univers, Franka découvre une grande valise contenant toutes les lettres que sa mère a écrites à son père. Le plus étrange est qu'elles ont toutes été ouvertes, lues et relues. Un nouveau mystère qui restera sans réponse. On ne s'étonnera donc pas que Michel se soit si jeune créé un univers dans lequel il a trouvé refuge toute sa vie : la musique. Mais écoutez bien les paroles de Quelques mots d'amour ...
Ce n'est un secret pour personne, il y a dans la musique de Michel Berger et les histoires qu'il raconte, une infinie mélancolie. Et tous ceux de sa génération qui l'ont vu évoluer et parler à la télé ont ressenti que malgré la réussite artistique et la vie du couple idéalisé qu'il formait avec France Gall, cet homme n'a pas été heureux. Il a connu des joies, nombreuses, mais il n'a pas réussi à se construire un monde achevé, encore moins parfait dans sa tête. Sans doute est-ce ce qui nous a touché le plus dans sa musique.Bien sûr, je vous ai parlé du drame de sa vie avec un père célèbre qui prétexte l'amnésie pour abandonner sa famille. Mais il y a bien plus encore. Regardez Michel jouer du piano : il a tout du concertiste, n'est-ce pas ? Il a sûrement fait le conservatoire. Et bien pas du tout. Non, Michel, quand il suit les cours de piano, à domicile, a bien du mal à se concentrer sur Chopin et Beethoven. Il faut dire que les professeurs ennuyeux ont du mal à rivaliser en cette fin des années cinquante avec cette musique qui vient des Etats-Unis, le rock'n'roll.Pour Michel, comme pour la plupart des jeunes de sa génération, cette musique occupe toute la place dans sa vie. Il passe ainsi des heures à écouter le single What'd I Say de Ray Charles. Et que dire du grand Jerry Lee Lewis qui, lui, a trouvé comment jouer du piano d'une manière intéressante. Mais voilà, jamais dans sa famille qui vit dans un hôtel particulier avec personnel de maison, où on doit toujours bien se tenir y compris le dimanche, il ne pourrait pas ôter sa cravate, ni monter sur son piano et encore moins, en jouer debout. Non, lui, le seul truc rythmé qu'on l'autorise à jouer, c'est du Gershwin. Mais Michel ne se révolte pas : pas assez de force ni de soutien pour briser la couche formée par les convenances de la haute société et le drame qui pèse sur le noyau familial, autant qu'il ne l'a soudé.Même quand Michel commence à jouer du rock avec deux copains de lycée, aussi guindés que lui, il demeure un Hamburger ou un Haas-Guggenheim selon qu'on lui trouve une ressemblance avec son père ou sa mère.Alors quand avec ses comparses, il se rend à l'audition des disques Pathé-Marconi annoncée par le journal France Soir, Michel a du mal de jouer à être un autre que lui-même. Difficile. Impossible, coincé dans l'uniforme de son école, de faire comme Dick Rivers des Chats Sauvages, ce Niçois de 16 ans, un an de plus que lui, devenu une star et découvert par Jacques Scingland, l'homme devant lequel Michel se tient. Et quand il entend dire cet homme à qui il faut plaire lors de cette audition des idoles de demain : C'est bien, ça, Petit, ce que vous venez de jouer. Tu t'appelles comment ?, Michel n'en croit pas ses oreilles. Comment a-t-il pu déceler dans le jeune bourge qu'il est, qui est loin d'avoir l'insolence d'Eddy Mitchell ni le charisme de Johnny Hallyday, l'attraction qu'il va exercer sur le public et le métier de la chanson ? C'est vrai, quand on vous dit ça, c'est qu'on va vous engager. Mais quelle était sa question déjà ? Ah oui, tu t'appelles comment.Et là, Michel, qui en a assez qu'on lui parle de pommes frites à cause du nom de ce père qu'il ne connaît pas, répond : Berger, Monsieur, je m'appelle Michel Berger.
Merci à Sarah !Sarah sur Twitch et sur YouTubeSon nouvel album We are Incandescent et sur toutes les plateformes (scrollez en bas)Allez voir Sarah sur scène le 4/10 à Paris
durée : 01:28:51 - En pistes ! du mardi 23 septembre 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - De ses premiers disques au piano, à ses premiers pas en tant que chef d'orchestre, retour sur une carrière hors norme avec un coffret Erato réunissant ses enregistrements de 1988 à 2001. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:15:52 - Le Disque classique du jour du vendredi 19 septembre 2025 - Pianiste, interprète remarquable, compositrice, la jeune Arielle Beck fascine. Pour composer son tout premier album, elle a choisi de s'abreuver à la source du romantisme allemand. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 01:58:43 - Oscar Peterson, pianiste et centenaire - par : Thierry Jousse, Laurent Valero - Retour de Plage célèbre le centenaire d'un pianiste légendaire, Oscar Peterson. En trio, en solo, avec des cordes, mais également en accompagnateur parfait de chanteuses et de chanteurs... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:21:33 - Disques de légende du mardi 02 septembre 2025 - Exceptionnellement choisi par notre estimée collègue Aurélie Moreau, ce “Disque de légende” réunit deux grandes figures : le pianiste Krystian Zimerman et le chef Seiji Ozawa, dans une version magistrale des deux premiers Concertos de Rachmaninov, parue en 2004 chez Deutsche Grammophon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:18:51 - Disques de légende du lundi 01 septembre 2025 - L'intégrale des concertos pour piano de Mozart par Robert Levin au pianoforte avec l'Academy of Ancient Music est un projet ambitieux entamé en 1994 sous la direction de Christopher Hogwood. Huit albums ont ainsi été publiés jusqu'en 2001, couvrant une vingtaine de concertos. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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AU DIAPASON présenté par Frédéric Hutman
durée : 00:16:02 - Disques de légende du jeudi 28 août 2025 - Grande figure du piano en Grande-Bretagne, Myra Hess fut l'âme musicale de Londres pendant la seconde guerre mondiale avec ses concerts à la National Gallery. Ses Bach enregistrés, portés par un toucher d'une délicatesse miraculeuse, gardent une intensité intemporelle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Pianiste, chanteuse, Twitcheuse et maintenant rôliste (!!!), Andy St-Louis est bien reconnu dans la sphère ludique québécois. Sans grande surprise, son arrivée dans l'univers du jeu de rôle s'est fait avec enthousiasme, humour et créativité. Dans une entrevue tout en humour, P.P. questionne Andy sur ses débuts et ses découvertes dans cette nouvelle passion qui mélange improvisation et créativité ! Bonne écoute
durée : 00:27:50 - Lise de la Salle, pianiste - Elle n'avait pas enregistré Liszt depuis près de quinze ans. Avec son nouvel album "Phantasmagoria", Lise de la Salle revient à ses premières amours avec l'un de ses compositeurs fétiches. Également au Festival de Rocamadour en cette fin d'été, elle sera en tournée dans toute l'Europe à la rentrée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:34 - Musique matin été du mercredi 20 août 2025 - par : Gabrielle Oliveira-Guyon - Elle n'avait pas enregistré Liszt depuis près de quinze ans. Avec son nouvel album "Phantasmagoria", Lise de la Salle revient à ses premières amours avec l'un de ses compositeurs fétiches. Également au Festival de Rocamadour en cette fin d'été, elle sera en tournée dans toute l'Europe à la rentrée. - réalisé par : Delphine Keravec Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Hoy quiero presentarles al extraordinario pianista, arreglador y compositor Nicolas Ledesma que acaba de cumplir 60 años y casi 50 años de vida profesional. Desde su niñez sigue dedicándose y desarrollando a este estilo musical con todo su ser. Nicolas nació el 14 de junio 1965 en General Pico, una localidad del noreste de la provincia de La Pampa, a unos 600 kilómetros de Buenos Aires. Creció con el tango, ya que su padre tocaba el bandoneón. Desde los cinco años, el pequeño Nicolás acompañaba a su padre primero con la guitarra y luego con el piano como autodidacta hasta que tomó clases con Erberto Benuzzi. A partir de los 11 años, tocó en una Orquesta Típica de General Pico. A los 15, Nicolas conoció a Horacio Salgán y le pidió poder seguir sus estudios con él. Salgan le aceptó como alumno y Nicolás viajó a Buenos Aires cada quince días para estudiar con el gran maestro. A los 18 años Nicolas se traslada a Buenos Aires, donde prosigue sus estudios con Guillermo Iscla y recibe clases de composición de Manolo Juárez y Juan Carlos Cirigliano. Nicolas tocó con todos los grandes maestros del tango: con Leopoldo Federico, Juan de Dios Filiberto, Fernando Suárez Paz, Rubén Juárez, Julio Pane y tantos otros. En 2001 grabó su primer disco solista „Sueño de tango“ con tangos clásicos y composiciones propias. Con su cuarteto grabó el álbum „De Tango Somos“, que fue nominado a los Grammy. En la Nochevieja de 2006 interpretó música de tango sinfónico con Leopoldo Federico y la orquesta del Teatro Colón bajo la dirección de Daniel Barenboim. Nicolas también enseña piano en el Conservatorio Manuel de Falla de Buenos Aires. Desde que estuve viajando a partir de 1993 todos los años a Buenos Aires para aprender a tocar el bandoneón, he seguido la carrera musical de este pianista fascinante. Conocí personalmente a Nicolas Ledesma en 2003 en París, cuando el actuó en el festival de tango del Teatro Chaillot dirigiendo la orquesta Tango Via. En nuestra conversación, Nicolas confirmó lo que yo ya sospechaba. Me dijo: soy tanguero antes que músico. Y siguió: el tango tiene mucho futuro. Para mi es una de las musicas mas importantes del mundo! Escuchen ustedes mismos todo lo que este extraordinario pianista y compositor me comentó en el vestíbulo del Teatro Chaillot, en una tarde de verano en julio de 2003, hace mas de 20 años.
durée : 00:07:18 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Tout l'été, nous explorons le nouveau paysage des musiques populaires en France. Aujourd'hui, un musicien formé au Conservatoire devenu une star en rompant les amarres de la musique classique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bu bölümde eksiğin eksik olduğu yapıyı, yani psikozu Michael Haneke'nin La Pianiste filmi üzerinden okumaya başladık. Babasal işlev, annenin arzusu, jouissance, cinsellik gibi konuları söz konusu filmin ışığında ele aldık.Keyifli dinlemeler!Instagram: https://www.instagram.com/psikanalizsohbetleri/ Twitter: https://twitter.com/PsikanalizS https://www.oguzhannacak.com/
durée : 01:27:55 - Marc-André Hamelin, compositeur et pianiste au répertoire très étendu - par : Aurélie Moreau - Marc-André Hamelin est connu dans le monde entier pour sa musicalité accomplie et sa maîtrise du piano, celle d'un « interprète aux prouesses techniques quasi surhumaines ». (New York Times). Aujourd'hui : Albéniz, Strauss/Godowsky, Haydn, Schubert… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:13 - Jean-Paul Gasparian, le panache d'un pianiste accompli - par : Aurélie Moreau - Après Debussy, Rachmaninov et Chopin, le pianiste Jean-Paul Gasparian a consacré son récent disque à des compositeurs arméniens: "mon rêve serait que ce projet donne envie aux mélomanes d'explorer plus avant les trésors de ce répertoire". (Diapason) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:07:27 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Après la mort du géant Alfred Brendel, écoutons comment les artistes de la chanson admirent et détestent tout à la fois l'instrument-roi de la musique classique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:24 - En pistes ! du lundi 23 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Le pianiste italien nous accompagne toute cette semaine grâce à un grand coffret retraçant sa large discographie de plus d'une centaine de disques. Nous écouterons les plus célèbres mais surtout les plus rares ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:58:13 - Invité : Philippe Beaudoin pianiste, historien du jazz, enseignant - par : Laurent Valero - "Chaque fin de saison je reçois un invité et c'est au tour de Philippe Baudoin personnalité bien connue du monde du Jazz, tour à tour pianiste, musicologue et collectionneur, ce musicien a enseigné durant 15 ans l'histoire du jazz à La Sorbonne et est l'auteur de plusieurs ouvrages." Laurent Valero Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:04:30 - Classic & Co - par : Anna Sigalevitch - Ce matin, Anna Sigalevitch rend hommage à l'un des plus grands pianistes de la seconde moitié du XXème siècle : Alfred Brendel est mort mardi, il avait 94 ans. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:25:13 - Jonas Vitaud, pianiste (1/5) - par : Arnaud Merlin - Pianiste reconnu, formé au CNSM de Paris, Jonas Vitaud excelle en récital, en musique de chambre et dans le répertoire contemporain, notamment avec Dutilleux et Kurtág. Un entretien riche sur son parcours, ses choix artistiques et sa vision de la musique au micro de Judith Chaine. - réalisé par : Adrien Roch
durée : 00:25:05 - Jonas Vitaud, pianiste (2/5) - par : Arnaud Merlin - Pianiste reconnu, formé au CNSM de Paris, Jonas Vitaud excelle en récital, en musique de chambre et dans le répertoire contemporain, notamment avec Dutilleux et Kurtág. Un entretien riche sur son parcours, ses choix artistiques et sa vision de la musique au micro de Judith Chaine. - réalisé par : Adrien Roch
durée : 00:25:00 - Jonas Vitaud, pianiste (5/5) - par : Judith Chaine - Pianiste reconnu, formé au CNSM de Paris, Jonas Vitaud excelle en récital, en musique de chambre et dans le répertoire contemporain, notamment avec Dutilleux et Kurtág. Un entretien riche sur son parcours, ses choix artistiques et sa vision de la musique au micro de Judith Chaine. - réalisé par : Adrien Roch
durée : 00:20:25 - Lectures du soir - "Au loin, la lueur verdâtre d'un réverbère éclairait les toits des voitures en stationnement, formant une sorte de flaque claire sur les pavés, un écran miroitant pour les ombres mouvantes… "
durée : 00:25:04 - Beatrice Rana, pianiste (3/5) - par : Judith Chaine - Dans ce troisième épisode de notre grand entretien, la pianiste partage son amour pour Jean-Sébastien Bach, rend hommage aux grands pianistes italiens, revient sur sa rencontre décisive avec Arie Vardi et sur sa victoire au Concours musical international de Montréal. - réalisé par : Arnaud Chappatte
durée : 00:25:13 - Beatrice Rana, pianiste (5/5) - par : Judith Chaine - Dernier volet de notre Grand Entretien avec la pianiste Béatrice Rana : son retour en Italie, la naissance de son festival à Lecce en 2017, son engagement pour la création contemporaine et le partage de son art à travers des master classes. - réalisé par : Arnaud Chappatte
durée : 00:25:10 - Beatrice Rana, pianiste (4/5) - par : Judith Chaine - La pianiste Beatrice Rana évoque sa formation à Hanovre avec Arie Vardi, sa victoire au Concours Van Cliburn — début d'une carrière intense — et sa découverte d'un univers inédit : l'enregistrement en studio. - réalisé par : Arnaud Chappatte
durée : 00:25:08 - Beatrice Rana, pianiste (1/5) - par : Judith Chaine - Beatrice Rana, élève de Benedetto Lupo à Monopoli puis d'Arie Vardi à Hanovre, s'est révélée au grand public après sa victoire au Concours international de Montréal. Son enregistrement remarqué des Variations Goldberg en 2016 marque un tournant dans une carrière désormais internationale. - réalisé par : Arnaud Chappatte
durée : 00:25:16 - Beatrice Rana, pianiste (2/5) - par : Judith Chaine - Beatrice Rana, formée auprès de Benedetto Lupo à Monopoli puis d'Arie Vardi à Hanovre, s'est révélée au grand public après sa victoire au Concours international de Montréal. Son enregistrement remarqué des Variations Goldberg en 2016 marque un tournant dans une carrière désormais internationale. - réalisé par : Arnaud Chappatte
durée : 01:58:49 - Le pianiste américain Julius Katchen (1926-1969) - par : Philippe Cassard - Où l'on retrouve le célèbre pianiste américain (1926-1969) dans des interprétations “live” de Beethoven et de Brahms, ainsi qu'en duo avec clarinette et violon. - réalisé par : Philippe Petit
Dans le ghetto de Varsovie, les habitants sont raflés et entassés dans des trains direction les camps de concentration et d'extermination. Wladyslaw est sauvé in extremis par un garde. Seul, il doit se cacher… Récit tiré du livre « Le pianiste » de Wladyslaw Szpilman (Editions Robert Laffont).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Wladyslaw a 18 ans en 1939. Il est pianiste à la radio polonaise et se retrouve enfermé avec sa famille dans le ghetto de Varsovie. Récit tiré du livre « Le pianiste » de Wladyslaw Szpilman (Editions Robert Laffont).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Wladyslaw a 18 ans en 1939. Il est pianiste à la radio polonaise et se retrouve enfermé avec sa famille dans le ghetto de Varsovie. Récit tiré du livre « Le pianiste » de Wladyslaw Szpilman (Editions Robert Laffont).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:07 - Jean Marie Machado, pianiste jazz et compositeur (1/5) - par : Anne Montaron - Pianiste de jazz mais aussi compositeur, Jean-Marie Machado tient de son enfance au Maroc et de ses rencontres multiples le goût des ailleurs. Entre deux représentations de son opéra La Falaise des Lendemains, il se raconte au micro d'Anne Montaron. - réalisé par : Béatrice Trichet
durée : 00:25:07 - Jean Marie Machado, pianiste jazz et compositeur (5/5) - par : Anne Montaron - Pianiste de jazz mais aussi compositeur, Jean-Marie Machado tient de son enfance au Maroc et de ses rencontres multiples le goût des ailleurs. Entre deux représentations de son opéra La Falaise des Lendemains, il se raconte au micro d'Anne Montaron. - réalisé par : Béatrice Trichet
durée : 00:59:11 - "Aquarela do Brasil" (Ary Barroso) (1939) - par : Laurent Valero - "Ary Barroso étudia très tôt le piano et joua vite dans les théâtres comme accompagnateur. Si la musique fut le point cardinal de sa vie, ce juriste de formation, mena plusieurs activités : animateur radio et télévision, humoriste, écrivain, producteur, commentateur de football ..." Laurent Valero