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Le 20 janvier, Donald Trump sera de retour à la Maison Blanche, et sa promesse de lancer dès le premier jour de son mandat une vaste opération d'expulsions de « sans-papiers » pourrait toucher des millions de personnes. La Californie et Los Angeles, la plus grande ville de l'État, ont déjà prévenu qu'elle n'assisterait pas le nouveau président américain dans sa tâche et qu'elles feraient de leur mieux pour protéger les quelque 1,8 million de « sans-papiers » qui vivent dans le Golden State. De notre correspondant à Los Angeles,Maria garde un œil sur son adorable petit-fils de 2 ans, elle fait partie des « abuelitas », ces grand-mères, « sans-papiers » et « sans histoire », loin du stéréotype du « dangereux migrant » véhiculé par certains politiques. Et quand Donald Trump parle d'expulsions de masse, il ne cible pas que les criminels endurcis. « Je n'ai jamais eu de problèmes avec la loi, affirme Maria. J'ai toujours essayé de bien me comporter justement pour les éviter. »Arrivée il y a 31 ans du Chili avec un visa touriste, Maria attend sa régularisation. La procédure est bien enclenchée, mais la fermeté affichée par Trump sur l'immigration pourrait tout changer. Il n'exclut pas d'expulser des familles entières. « Il dit tellement de choses qu'on ne sait plus que croire. Il dit que oui, il va expulser tout le monde, puis non. Donc, on vit dans l'incertitude. Qu'est-ce qu'il va se passer ?, s'inquiète Maria. Est-ce qu'il va faire tout ce qu'il annonce ? Est-ce qu'il aura le pouvoir de faire tout ce qu'il annonce ? On vit tous avec ces doutes. »La fille de Maria, Jennifer, est une « Dreamer », une protection spéciale créée par l'administration Obama pour les « sans-papiers » entrés enfants aux États-Unis. Un statut lui aussi incertain. « Il n'y a rien de nouveau avec ce statut. On le renouvelle encore et encore, mais on ne sait pas jusqu'à quand on pourra le faire, explique Jennifer. Trump veut apparemment s'en débarrasser, mais ce serait pour nous trouver une solution permanente. On n'a pas vraiment plus de détails, donc on attend de voir ce qui va se décider. »À lire aussiÉtats-Unis: la Cour suprême valide le statut de 700 000 «dreamers»La Californie, un bastion de la résistance anti-TrumpDans leur situation, la chance de Maria et Jennifer, c'est qu'elles vivent en Californie, un bastion de la résistance anti-Trump. Mi-décembre, des centaines de personnes ont défilé dans le centre de Los Angeles avec des pancartes clamant, en espagnol : « Les immigrés sont bienvenus ». Le Conseil municipal a formalisé le statut de ville-sanctuaire de Los Angeles.« On ne peut pas ignorer les menaces de Trump. Elles ont pour but de faire peur. Ce qu'une ville-sanctuaire veut dire, c'est que Los Angeles ne mettra pas d'argent, de personnel ou de ressources à disposition des agents fédéraux pour mener leurs expulsions, indique Jorge-Mario Cabrera, qui travaille avec Chirla, une association d'aide aux migrants. C'est très simple, mais ça aidera à éviter, ou en tout cas aidera à ralentir, le travail de ces agents à Los Angeles. »Roxanne Hoge, porte-parole du Parti républicain de Los Angeles, dénonce de vaines gesticulations : « L'immigration relève de la compétence du gouvernement, pas d'un Conseil municipal. Est-ce qu'on vit dans un État de droit ou pas ?, interroge-t-elle. C'est très décevant de voir des élus censés défendre la loi faire exactement le contraire. Ils préfèrent qu'on parle d'eux pour montrer qu'ils s'opposent à Donald Trump. »En 2024, l'administration Biden a expulsé 270 000 personnes. Donald Trump vise cinq fois plus chaque année.À écouter dans Grand reportageTrump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoire
Le 20 janvier, Donald Trump sera de retour à la Maison Blanche, et sa promesse de lancer dès le premier jour de son mandat une vaste opération d'expulsions de « sans-papiers » pourrait toucher des millions de personnes. La Californie et Los Angeles, la plus grande ville de l'État, ont déjà prévenu qu'elle n'assisterait pas le nouveau président américain dans sa tâche et qu'elles feraient de leur mieux pour protéger les quelque 1,8 million de « sans-papiers » qui vivent dans le Golden State. De notre correspondant à Los Angeles,Maria garde un œil sur son adorable petit-fils de 2 ans, elle fait partie des « abuelitas », ces grand-mères, « sans-papiers » et « sans histoire », loin du stéréotype du « dangereux migrant » véhiculé par certains politiques. Et quand Donald Trump parle d'expulsions de masse, il ne cible pas que les criminels endurcis. « Je n'ai jamais eu de problèmes avec la loi, affirme Maria. J'ai toujours essayé de bien me comporter justement pour les éviter. »Arrivée il y a 31 ans du Chili avec un visa touriste, Maria attend sa régularisation. La procédure est bien enclenchée, mais la fermeté affichée par Trump sur l'immigration pourrait tout changer. Il n'exclut pas d'expulser des familles entières. « Il dit tellement de choses qu'on ne sait plus que croire. Il dit que oui, il va expulser tout le monde, puis non. Donc, on vit dans l'incertitude. Qu'est-ce qu'il va se passer ?, s'inquiète Maria. Est-ce qu'il va faire tout ce qu'il annonce ? Est-ce qu'il aura le pouvoir de faire tout ce qu'il annonce ? On vit tous avec ces doutes. »La fille de Maria, Jennifer, est une « Dreamer », une protection spéciale créée par l'administration Obama pour les « sans-papiers » entrés enfants aux États-Unis. Un statut lui aussi incertain. « Il n'y a rien de nouveau avec ce statut. On le renouvelle encore et encore, mais on ne sait pas jusqu'à quand on pourra le faire, explique Jennifer. Trump veut apparemment s'en débarrasser, mais ce serait pour nous trouver une solution permanente. On n'a pas vraiment plus de détails, donc on attend de voir ce qui va se décider. »À lire aussiÉtats-Unis: la Cour suprême valide le statut de 700 000 «dreamers»La Californie, un bastion de la résistance anti-TrumpDans leur situation, la chance de Maria et Jennifer, c'est qu'elles vivent en Californie, un bastion de la résistance anti-Trump. Mi-décembre, des centaines de personnes ont défilé dans le centre de Los Angeles avec des pancartes clamant, en espagnol : « Les immigrés sont bienvenus ». Le Conseil municipal a formalisé le statut de ville-sanctuaire de Los Angeles.« On ne peut pas ignorer les menaces de Trump. Elles ont pour but de faire peur. Ce qu'une ville-sanctuaire veut dire, c'est que Los Angeles ne mettra pas d'argent, de personnel ou de ressources à disposition des agents fédéraux pour mener leurs expulsions, indique Jorge-Mario Cabrera, qui travaille avec Chirla, une association d'aide aux migrants. C'est très simple, mais ça aidera à éviter, ou en tout cas aidera à ralentir, le travail de ces agents à Los Angeles. »Roxanne Hoge, porte-parole du Parti républicain de Los Angeles, dénonce de vaines gesticulations : « L'immigration relève de la compétence du gouvernement, pas d'un Conseil municipal. Est-ce qu'on vit dans un État de droit ou pas ?, interroge-t-elle. C'est très décevant de voir des élus censés défendre la loi faire exactement le contraire. Ils préfèrent qu'on parle d'eux pour montrer qu'ils s'opposent à Donald Trump. »En 2024, l'administration Biden a expulsé 270 000 personnes. Donald Trump vise cinq fois plus chaque année.À écouter dans Grand reportageTrump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoire
La Californie connaît régulièrement des incendies. Pour lutter contre ces derniers, elle a remis au goût du jour une méthode ancestrale : le feu contrôlé. Explication. Ecoutez La pluie et le beau temps avec Marina Giraudeau du 16 janvier 2025.
Des incendies dévastateurs ravagent la région de Los Angeles depuis début janvier. Au moins 25 personnes ont perdu la vie et des dizaines de milliers ont dû évacuer. Quels sont les facteurs météorologiques ou urbanistiques qui favorisent ces feux hors normes ? Davide Faranda, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de l'attribution des phénomènes extrêmes au changement climatique nous éclaire dans Le Point J. Journaliste: Jessica Vial Réalisation: Luana Biadici >> Pour aller plus loin: - L'étude menée par Davide Faranda et son équipe: https://www.climameter.org/20250107-08-california-wildfires - Eric Guevara-Frey, "L'étalement urbain de Los Angeles joue un rôle dans la propagation des incendies", dans l'émission Tout un monde, vendredi 11 janvier (sur Play RTS ou RTSinfo.ch) Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
(00:00:42) La Californie se bat sur deux fronts: les incendies et la politique (00:05:09) "Une guerre civile: Elizabethtown, USA", l'histoire locale qui raconte les divisions fondamentales de tout un pays (00:15:34) Le groupe Etat islamique n'a plus de territoire mais son idéologie continue de séduire
durée : 00:12:41 - la Californie face aux incendies
#MmeChantalGate : elle est de retour! Les premiers ministres des provinces iront à Washington. La Californie, proie des flammes. La rencontre Dubé-Dutrizac avec Alexandre Dubé et Benoit Dutrizac. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'année 2024 se termine dans une spirale de violence persistante en Haïti, marquée par des massacres à travers le pays et des incidents quotidiens à Port-au-Prince. Avec le politologue haïtien Jacques Nesi, politologue à l'Université des Antilles et chercheur associé au Laboratoire caribéen de sciences sociales, nous passons en revue les principaux évènements qui ont marqué le pays en 2024. Jacques Nesi souligne une absence de volonté politique claire pour endiguer la montée en puissance des gangs. Cette situation est exacerbée par l'indifférence de la communauté internationale, notamment des États-Unis, dont l'attention est détournée par leur propre transition politique. L'État haïtien, quant à lui, semble incapable d'élaborer une réponse efficace face à la crise sécuritaire.Malgré les déclarations des autorités et les tentatives de la police de reprendre certains territoires, la situation reste chaotique. Selon Jacques Nesi, il s'agit davantage d'une bataille de communication qu'une réelle avancée sur le terrain. Le Conseil présidentiel de transition, mis en place pour stabiliser le pays, se montre impuissant et inefficace, ce qui alimente l'impression d'un effondrement complet de l'État. Les priorités des dirigeants semblent plus orientées vers l'organisation des élections et la répartition des postes de pouvoir que vers la résolution des problèmes de sécurité.La dimension politique de la crise sécuritaireLa Mission multinationale d'appui à la sécurité (MMAS), soutenue par les États-Unis, affiche un bilan « médiocre », souligne Jacques Nesi. Le politologue critique le manque de moyens de la MMAS et son incapacité à lutter contre les gangs. Des infrastructures vitales, comme le plus grand hôpital privé de Port-au-Prince, ont été incendiées malgré la présence de la police. Cette mission, loin d'apporter des solutions durables, semble surtout retarder la confrontation directe avec la réalité d'une économie criminelle qui dépasse largement les frontières haïtiennes.Jacques Nesi évoque aussi la dimension politique de cette crise sécuritaire. Les gangs, qui étaient initialement des outils de répression et d'influence électorale pour certaines forces politiques, affichent désormais des ambitions de pouvoir. Le Conseil présidentiel de transition, issu d'un accord en avril dernier, est miné par des luttes internes et une corruption généralisée, rendant toute perspective d'élections crédibles en 2025 peu réaliste. La priorité, selon Jacques Nesi, devrait être de rétablir la sécurité avant d'envisager des élections, mais l'indifférence de la communauté internationale, notamment des États-Unis, complique encore davantage une issue à la crise.La presse panaméenne réagit aux propos de Donald Trump qui menace de reprendre le contrôle du canal de PanamaSelonLa Prensa : « La récente menace surprise de Donald Trump de récupérer le canal de Panama – d'un pays qui a été un allié stratégique des États-Unis est extrêmement grave ». Cette déclaration ouvre la porte à une « dangereuse tentative de la prochaine administration américaine de faire revivre, au XXIe siècle, la doctrine Monroe, obsolète et aberrante ». Cette doctrine anticolonialiste datant de 1823 était censée dissuader les Européens d'intervenir aux Amériques, mais a été utilisé plus tard pour justifier des opérations nord-américaines en Amérique centrale et en Amérique latine. Le journal La Estrella de Panama cite l'ancien administrateur du canal de Panama, Alberto Alemán Zubieta, qui a qualifié les déclarations de Donald Trump de « malheureuses », soulignant les décennies d'administration efficace et sûre de la voie navigable entre les mains des Panaméens. La Prensa dénonce des propos anachroniques et délirants qui méritent « d'être rejetés avec force et vigueur non seulement par le gouvernement panaméen du président José Raúl Mulino, l'Assemblée nationale et tous les secteurs unis dans la défense de la souveraineté nationale, mais aussi par l'ensemble de l'Amérique latine ».La Californie se prépare à la présidence TrumpDonald Trump provoque des remous en Amérique Centrale, mais aux États-Unis, sa nouvelle présidence inquiète aussi, notamment les bastions démocrates comme la Californie. « La Californie se prépare à la résistance », titre le site d'information Politico. Mais elle sera différente de celle de 2016, lorsque Donald Trump a été élu pour la première à la Maison-Blanche. Après cette nouvelle victoire du républicain, des groupes progressistes en Californie comme le Irvine Democratic Club préfèrent désormais la thérapie de groupe aux manifestations de masse. Selon Politico, cette nouvelle approche reflète une Californie où l'on privilégie la réflexion et la résilience émotionnelle plutôt que l'activisme de rue. Cependant, souligne Politico, derrière ces séances de gestion du stress, se cache une prise de conscience : la Californie, bastion progressiste, montre des signes d'évolution politique, et l'influence conservatrice y gagne du terrain.Journal de la 1ère Les députés Jean-Philippe Nilor, Marcellin Nadeau et Jean-Victor Castor en visite à la prison de Ducos.
durée : 00:06:08 - La Revue de presse internationale - par : Mélanie Kuszelewicz - Aux États-Unis, la Californie fait face à un énième incendie dévastateur, alors que Donald Trump menace de couper l'aide fédérale dédiée à la lutte contre les feux de forêt dans l'État. - invités : Mélanie Kuszelewicz Journaliste à Radio France
durée : 00:02:55 - Bientôt chez vous - En Californie, même si très peu d'entreprises ou d'administrations le reconnaissent, le permis de conduire numérique est désormais disponible. Il n'est pas nécessaire sans même télécharger d'application.
Jérôme Colin et Miguel Allo traversent les États-Unis d'Est en Ouest. De New York à Los Angeles. Une quinzaine d'états à parcourir pour prendre la température de ce pays plus divisé que jamais. Musique, littérature, road trip semé de rencontres, ils rendront compte chaque jour en radio et sur le web de l'ambiance américaine à quelques jours seulement du scrutin du 5 novembre 2024. Chaque état traversé sera l'occasion pour eux de pointer un grand roman américain se déroulant dans la région. Dixième étape : La Californie : « Les Raisins de la colère » de John Steinbeck. En 1939, John Steinbeck publiait son chef-d'œuvre qui lui vaudra le Prix Pulitzer en 1940 : « Les raisins de la colère », qui raconte le voyage vers l'ouest de la famille Joad. Une famille de fermiers pauvres de l'Oklahoma qui suite à deux évènements concomitants (la grande dépression de 1929 et le dust bowl) va entreprendre un long voyage vers la Californie dans l'espoir de meilleures opportunités de vie. Après que leur ferme a été saisie par les banques en raison de la crise économique et des tempêtes de poussière qui ont ravagé les cultures, la famille Joad quitte donc l'Oklahoma. Ils ont entendu parler d'emplois possibles en Californie. Ils prennent donc la direction de l'ouest. Dans la famille, il y a la matriarche, Ma Joad. Mais aussi et surtout le fils : Tom, qui vient de sortir de prison et tente de tenir la famille durant le voyage. Un sublime personnage de roman auquel Bruce Springsteen a consacré l'une de ses plus belles chansons : The Ghost of Tom Joad. En route, les Joad vont réaliser qu'ils ne sont pas les seuls damnés du rêve américain et que la situation est désespérée pour de nombreuses autres familles en route vers la Californie. A l'arrivée, ils comprendront que la réalité n'est pas à la hauteur de la promesse. Les emplois sont rares, les salaires sont bas et les conditions de vie dans les camps de migrants (car c'est bien de cela qu'il s'agit) sont misérables. Tom Joad va donc être le témoin direct des injustices et des abus des grandes compagnies agricoles envers les travailleurs migrants. Il va alors ouvrir les yeux sur le monde. Il faudra lutter pour les droits des travailleurs et lutter contre les patrons abusifs. Pour cela, il faudra que chacun apprenne cette chose, que nous, êtres humains sommes capables de produire et qui est peut-être la plus belle d'entre toutes nos capacités : la solidarité. Aujourd'hui, il faut relire "Les raisins de la colère". Les conditions de travail des migrants ou des travailleurs saisonniers pour qui la Californie reste une destination idéalisée sont toujours abusives. On continue de souiller la terre et d'immenses sécheresses et feux de forêt continuent, un siècle après, de frapper la Californie. Crise du logement, énormes disparités sociales entre les dollars de Hollywood et de la Silicon Valley, conditions de vie précaires dans les zones de terres agricoles ou les quartiers défavorisés des grandes villes : l'élastique continue de se tendre. Nous avons donc encore à apprendre des Joad. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...)
La Californie s'engage dans la régulation de l'intelligence artificielle avec la loi SB 1047, mais les entreprises du secteur s'y opposent. Portée par le sénateur démocrate Scott Wiener, le texte vise à encadrer les grands modèles d'IA générative, tels que ChatGPT, en raison des risques qu'ils posent, notamment la création d'armes cybernétiques ou chimiques. La loi prévoit des tests de sécurité stricts et des sanctions pour les entreprises en cas de non-respect. Malgré le soutien d'Elon Musk et de chercheurs comme Geoffrey Hinton, les géants de la tech, tels que Google et OpenAI, critiquent cette initiative, craignant des conséquences économiques négatives pour la Californie. Le texte, déjà amendé, doit être voté cette semaine et pourrait inspirer d'autres États américains à adopter des régulations similaires.-----------♥️ Soutenez Monde Numérique : https://donorbox.org/monde-numerique
Si le duel présidentiel Biden-Trump qui s'annonce enflamme déjà les esprits des américains, leurs corps aussi sont mis à rude épreuve… « Nous ne sommes qu'en juin et une vague de chaleur précoce s'abat sur une grande partie des États-Unis », constate le New York Times. « À Chicago, les plages étaient bondées hier dès le milieu de la matinée et, coup de chance, c'était le premier jour où des centaines de piscines municipales et de centres aquatiques ouvraient leurs portes pour l'été. (…) Dans tout le Midwest, poursuit le journal, les personnes travaillant à l'extérieur ont déjà dû s'adapter à cette vague de chaleur relativement précoce qui, selon les météorologues, pourrait s'étendre sur plusieurs jours et même plus. » Les prévisionnistes annoncent un été brûlant…Même situation un peu plus au nord : « Une “énorme bulle de chaleur“ s'installe sur une bonne partie du Québec cette semaine », annonce Le Devoir.La Californie sous la menace des flammes…En Californie, il fait très chaud également. Et les feux de forêts ont fait leur apparition… « La crainte d'une catastrophe », s'exclame à des milliers de kilomètres de là le Süddeutsche Zeitung. Nous regardons de nouveau, impuissants, « ces images post-apocalyptiques, soupire le quotidien allemand. (…) 1.200 visiteurs ont dû fuir les flammes du Hungry Valley Park, une destination populaire pour les randonneurs et les motards située à environ deux heures de route au nord-ouest de Los Angeles, à mi-chemin des arbres majestueux du parc national de Sequoia. Depuis samedi après-midi, le Post Fire (c'est le nom donné à cet incendie) s'est étendu sur plus de 6.000 hectares. Hier après-midi, il n'était circonscrit qu'à huit pour cent. Jusqu'à présent, c'est le plus grand incendie de forêt de Californie de cette année. »Le Figaro à Paris précise que « selon les scientifiques, ces vagues de chaleur à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et sont appelées à se multiplier, à durer plus longtemps et à s'intensifier. Les spécialistes estiment également que des températures anormalement élevées en période pré-estivale peuvent être annonciatrices d'un été suffocant. »On suffoque en Inde ou encore en Grèce…Et il n'y a pas que les Etats-Unis… On assiste à « des scènes de chaleur extrême dans le monde entier », pointe le Washington Post. « Des dizaines de décès dus à la chaleur ont été signalés en Inde, où les températures ont atteint près de 50 degrés. En Grèce, les autorités s'inquiètent de la disparition de touristes en raison des températures élevées qui sévissent dans le pays. »Aux Philippines, note encore le Washington Post, « la chaleur extrême fait des ravages dans les prisons surpeuplées » : dans certains établissements, les détenus ont même été autorisés à dormir sur les toits.Déluge dans le sud du Brésil…A l'inverse, c'est le déluge dans d'autres parties du monde… Le Wall Street Journal nous propose un reportage photo saisissant au Brésil. « Le Brésil se croyait à l'abri des catastrophes naturelles. Puis ce fut l'inondation », s'exclame le journal. C'était le mois dernier : « pendant 250 ans, commerçants et agriculteurs ont travaillé sur les rives du fleuve Taquari, dans le sud prospère du pays, transformant cette petite communauté en un centre de production de maïs et de tabac. Mais en l'espace de quelques jours, la ville de Mariante et ses quelque 600 maisons ont été réduites à un amas de décombres boueux, rayées de la carte comme des dizaines d'autres villes au Brésil par des inondations catastrophiques qui ont fait au moins 175 morts. Plus de 650.000 personnes ont été évacuées. Il s'agit du plus grand déplacement de population jamais enregistré dans le pays. Les écologistes estiment que cette catastrophe est le signe avant-coureur des désastres à venir, le changement climatique déracinant de plus en plus de familles dans le monde. »Et en effet, ça n'est sans doute pas terminé… Dans le quotidien brésilien O Globo, le gouverneur de l'Etat de Rio grande do Sul, Eduardo Leite, « met en garde contre les risques d'inondations et de glissements de terrain liés aux nouvelles intempéries. (…) De fortes pluies sont prévues jusqu'à demain mercredi. »Et le fleuve Taquari, encore une fois, devrait sortir de son lit, de même que d'autres cours d'eau de la région. « Il est recommandé, précise encore O Globo, aux personnes vivant dans des zones ayant déjà subi des inondations de s'abriter dans un endroit sûr. »
La dynamique des premières années d'ouverture du marché du cannabis s'est essoufflée. Depuis deux ans, le marché plafonne et les grandes sociétés du secteur ont vu leur valeur s'effondrer. Mais le marché reste prometteur, selon les experts qui parient sur le long terme. Elles s'appellent Canopy Growth, Truelieve Cannabis, Tilray Brands ou encore Curaleaf et ont en commun d'avoir cru démesurément à l'explosion du marché du cannabis. Que ce soit dans l'euphorie post-Covid, ou en espérant que Joe Biden changerait la donne, « ces sociétés ont levé de l'argent en pariant sur une évolution règlementaire rapide », explique Ludovic Rachou président de l'UIVEC le syndicat des acteurs du cannabis médical et du CBD en France et en Europe. Or, la législation, que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe, évolue encore lentement, en raison notamment de la difficulté du marché à sortir de la législation sur les stupéfiants.Une offre qui dépasse largement la demandeLa valorisation de ces sociétés a été maximale jusqu'en 2021, comme le montre les données compilées par le Financial Times, et même démesurée par rapport à la réalité du marché. De fait, les États américains qui ont légalisé le cannabis n'ont toujours pas le droit de commercer entre eux. Certaines de ces sociétés dont la cotation s'est effondrée, payent aussi de mauvais choix stratégiques, tels que le financement de capacités de production énormes qui par endroit ont dû être revendues pour une bouchée de pain. « La Californie et l'Oregon en sont l'exemple : la surproduction a atteint jusqu'à 5 à 6 fois la demande locale, faisant inévitablement dégringoler les cours et ravivant la concurrence entre acteurs légaux et illégaux du cannabis » explique Ivana Obradovic directrice adjointe de l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives, qui a étudié la mise en œuvre concrète de la légalisation du cannabis en Amérique du Nord.Parmi celles qui ont déchanté, on trouve notamment les entreprises canadiennes qui produisaient du cannabis médical -premier pays à légaliser l'usage en 2001- et qui ont été les premières à se positionner sur le marché légal du cannabis récréatif en 2018, ajoute la directrice adjointe de l'OFDT. Mais la taille du marché canadien a très vite montré ses limites et là aussi une partie des stocks produits ont dû être détruits.Un marché qui se stabilise en attendant mieuxLa valeur de ces « majors » du cannabis a atteint un point bas il y a un an. « Il y a depuis un réalignement de la bourse et des fondamentaux du marché » analyse Ludovic Rachou, pour qui ces sociétés ont maintenant atteint leur juste valorisation. Ce retour sur terre ne s'est pas fait sans victimes, puisque certaines ont dû fermer des sites, ou licencier pendant que d'autres ont survécu en se regroupant.Ces acteurs ne représentent cependant que la partie émergée de l'Iceberg. Car ceux qui s'en sont le mieux sorti ne sont pas les acteurs cotés en bourse. L'avancée des législations dans plusieurs États américains a notamment profité à de nombreux petits acteurs privés. Et cela devrait se poursuivre. La croissance du secteur est « inévitable » selon nos interlocuteurs. Rien qu'en Europe ce marché pourrait plus que tripler entre 2027 et 2032 selon les prévisions de la banque d'investissement Bryan, Garnier & Co.
Aujourd'hui dans les trouvailles du midi, Frédéricke nous parle de la CalifornieSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Il y a les grands empires coloniaux : la France et le Royaume-Uni avec leur emprise planétaire de l'Afrique à l'Asie mais il y a aussi des colonisations plus discrètes, invisibles au regard européen. Avec Emmanuelle Perez-Tisserant, historienne et autrice de "Nuestra California : une histoire politique de la Californie mexicaine de Zorro à la ruée vers l'or" (PUR, 2023).
Infomaniak partage les valeurs de Tech Café : éthique, écologie et respect de la vie privée. Découvrez les services de notre partenaire sur Infomaniak.comGuillaume Vendé a testé Airchat. Pire que Clubhouse ? On fait surtout le tour des infos tech du moment avec les grandes illusions et les bonnes nouvelles. ❤️ Patreon
durée : 00:02:53 - Bientôt chez vous - La Californie a lancé, début avril, une loterie un peu particulière. Le but est de faciliter l'accès à la propriété dans un des marchés les plus tendus des États-Unis.
La Californie se prépare à sa pire récolte d'avocats depuis plus de quinze ans. Et ce après une saison précédente déjà décevante. En cause, le changement climatique qui accélère la réduction des surfaces cultivables dans le sud du Golden State. Les producteurs appellent le gouvernement fédéral à l'aide. Un peu moins de 100 000 tonnes d'avocats californiens contre 150 à 170 000 en moyenne habituelle, il faut remonter à la saison 2008-2009 pour trouver une récolte aussi faible. Il y a d'abord une cause immédiate : les pluies diluviennes qui ont frappé la Californie cette année. Ces événements climatiques extrêmes ont fortement perturbé la nouaison et la floraison, deux étapes-clé dans la culture des avocats.Une situation en apparence paradoxale, car c'est justement du manque d'eau dont souffrent les agriculteurs de la région de façon structurelle. « La problématique de fond dans le sud de la Californie, c'est la raréfaction de la ressource hydrique, aggravée par le changement climatique », explique Éric Imbert, agro économiste au Cirad et spécialiste des marchés fruitiers internationaux. Une eau plus rare et donc plus chère rend la culture de l'avocat moins rentable.Résultat, de plus en plus de vergers sont tout simplement abandonnés par leurs exploitants. C'est ce que les spécialistes comme Éric Imbert appellent l'érosion des vergers. Autour de San Diego, la surface cultivée est ainsi passée de 8 300 hectares en 2012 à 5 400 en 2022. Mais cela ne devrait pas affecter outre mesure le marché américain, nuance l'expert, car les avocats californiens ne représentent que 10% de l'approvisionnement général du pays. « Aux États-Unis, le marché est complètement mexicanisé, explique Éric Imbert. Il fonctionne presque uniquement avec les fruits venus de la région du Michoacán au Mexique, première zone de production d'avocat au monde ».
Dans ce nouvel épisode des Voies de l'histoire, Virginie Adane accueille Emmanuelle Perez-Tisserant, historienne contemporanéiste à l'université de Toulouse Jean-Jaurès. Elle est spécialiste de la Californie et de la zone frontalière Mexique/États-Unis au XIXe siècle. Son livre intitulé "Nuestra California. Une histoire politique de la Californie Mexicaine, de Zorro à la ruée vers l'or" est sorti le 20 septembre 2023,
C'est l'état le plus peuplé des Etats-Unis, celui qui compte le plus de franchises NBA. Pendant plusieurs décennies, c'était l'état des Lakers et des Warriors. Mais à mi-saison, ses franchises les plus brillantes sont les Clippers et les Kings. Comment en est-on arrivé là ?
Souriez, voici l'actu qui redonne foi en l'humanité. La Californie, l'Illinois, le Colorado et Washington viennent de mettre en vigueur des lois afin d'encadrer l'achat ou l'utilisation des armes à feu. En Californie par exemple, les habitants n'ont plus le droit de porter d'armes dissimulées dans la plupart des lieux publics. Un changement de philosophie au pays de Terminator et Rambo ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le milliardaire, chef de file de l'extrême droite américaine, ne figurera pas sur les bulletins de la primaire du Parti républicain dans l'État du Maine, censée désigner le candidat des conservateurs en vue de l'élection présidentielle de l'an prochain aux États-Unis. Le New York Times rapporte comment la secrétaire de l'État du Nord-Est du pays en est venue à cette décision : elle estime que Donald Trump ne peut être « qualifié » en raison de son rôle dans l'insurrection de centaines de ses partisans le 6 janvier 2021 au Capitole.Le Maine rejoint donc le Colorado. La Cour suprême de l'État avait décidé d'empêcher Trump de participer à la primaire républicaine sur la base des événements d'il y a bientôt trois ans. Donald Trump va sans doute faire appel de ces décisions, mais selon le quotidien new-yorkais, ces exclusions soulignent tout de même les tensions dans le pays au sujet de la démocratie, de l'État de droit et de l'accès aux élections.Ainsi, dans deux autres États, le Minnesota et le Michigan, les tribunaux ont décidé que les autorités en charge des élections ne peuvent pas empêcher Donald Trump de participer aux primaires. La Californie vient quant à elle de décider de garder le 45ᵉ président des États-Unis sur la liste de la primaire républicaine. Selon les comptes du Washington Post, un autre État va décider d'inclure ou non Donald Trump dans la primaire républicaine : l'État de l'Oregon, dans le Nord-Ouest des États-Unis. Mais des demandes d'exclusion ont également été déposées dans une trentaine d'États ces dernières semaines, rappelle le New York Times.Le Congrès argentin, nouveau rempart contre Javier MileiEl Pais estime que les partis d'opposition qui contrôlent le Parlement argentin ne veulent pas accorder plus de pouvoirs au nouveau président du pays. Javier Milei y a déposé une loi omnibus de plus de 660 articles qui pourraient lui octroyer des pouvoirs législatifs accrus en cas d'adoption.Le journal espagnol pose la question : « Les parlementaires pourront-ils résister au chef d'État élu avec 55 % des voix au second tour le 19 novembre dernier ? » Mais pour le journal argentin La Nacion, le temps joue en faveur de l'opposition. El Pais et La Nacion donnent la parole aux formations opposée à Javier Milei : aucune d'entre elles ne dit vouloir voter le texte. Mais du côté de la présidence, on estime au contraire que ceux qui ne voteront pas le texte seront « contre les Argentins qui ont choisi le changement ».Le « pire crime environnemental » de l'histoire de Suède ?Le journal britannique The Guardian relate ainsi comment 11 cadres de la société NMT Think Pink ont été arrêtés, et sont désormais poursuivis dans le pays réputé à la pointe de la planification écologique. NMT Think Pink a longtemps été célébrée en Suède pour sa gestion des ordures, raconte The Guardian. Elle est aujourd'hui accusée d'avoir enfoui illégalement des dizaines, voire des centaines de milliers de tonnes de déchets dans une vingtaine de sites dans tout le pays, et d'avoir ainsi mis en danger les riverains, installés près de réserve toxique d'arsenic, de plomb, de zinc. Les dirigeants de NMT ThinkPink contestent ces accusations, au premier rang desquels sa fondatrice, la femme d'affaires Bella Nilsson. Cette dernière s'était autrefois autoproclamée « reine des ordures ».Le bateau chinois qui « doit ouvrir la porte des Enfers »Le South China Morning Post lève le voile sur le Meng Xiang (« rêve » en mandarin). Ce navire de forage, encore à l'essai, est censé être capable de creuser la croûte terrestre et d'accéder au Moho, la première des six couches qui nous sépare du noyau interne de notre planète. Pour cela, le Meng Xiang est équipé d'une gigantesque perceuse capable de racler l'écorce de la Terre à plus de 11 000 mètres sous la surface de la mer.L'agence officielle Xinhua s'enthousiasme : cet outil va permettre de faire avancer la recherche scientifique et peut-être de découvrir des formes de vie encore inconnues à ces profondeurs et à des températures extrêmes. Un voyage au centre de la Terre que n'aurait pas renié Jules Verne.
durée : 00:02:56 - Bientôt chez vous - À partir du 1er janvier 2024, les écoles californiennes, de la primaire jusqu'au lycée, auront l'obligation de mettre en place une éducation aux médias, avec l'ambition d'aider les élèves à reconnaître les fake news et à ne pas se laisser happer par la désinformation.
Nous sommes le 15 janvier 1850. Dans « La Revue des Deux Mondes », revue de littérature et d'idées française, fondée une vingtaine d'années plus tôt, on trouve un article intitulé « La Californie dans les derniers mois de 1849 », sous la plume de Patrice Dillon, premier consul de France aux Etas-Unis, on peut y lire : « A San Francisco, où on ne rencontrait, il y a quinze mois, qu'une demi-douzaines de cabanes grossières, on trouve aujourd'hui une bourse, un théâtre, des églises pour tous les cultes chrétiens, et un grand nombre de maisons d'assez belle apparence (…) Des deux côtés de la ville, en suivant la plage, se prolongent des rangées de tentes à pertes de vues, formant une ville d'un nouveau genre, qui ne manque pas d'une certaine originalité (…). La population de San Francisco se grossit chaque jour des émigrants qui arrivent par mer de toutes les parties du monde (…) . Tous ces éléments hétérogènes sont venus se fondre successivement dans la grande masse des travailleurs (…). Lorsque l'on évoque l'histoire de l'Ouest américain, on imagine immédiatement les affrontements entre cowboys et Indiens, les ruées vers l'or et les étendues désertiques à conquérir. Un récit dont les mythes ont été forgés par un discours nationaliste et une culture western diffusés par le cinéma et la bande dessinée. Depuis quelques années, de nombreux historiens et historiennes donnent un nouvel éclairage sur cette histoire. Revenons, aujourd'hui, sur quelques légendes de ce Far West … Sujets traités : Ouest, Californie, Patrice Dillon, San Francisco , Amérique, Western, Far West Avec nous : Soazig Villerbu, professeure en histoire contemporaine à l'Université de Limoges. « Nouvelle histoire de l'Ouest – Canada, Etats-Unis, Mexique » ; éd. Passés/Composés. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 15h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Alors qu'elle vit dans les Alpes et qu'elle exerce en tant qu'infirmière, Estelle vit un quotidien qui lui plait : passionnant et au contact de la nature. Son futur, c'est sûr : il sera là !Sauf que un jour elle rencontre quelqu'un d'extraordinaire. Un français qui vit en Californie et qui est de retour pour les fêtes de fin d'années en France et tout à coup son futur change : quelques mois plus tard, un 1er avril ça ne s'invente pas, Estelle et l'heureux élu se marient et la voilà qui commence une nouvelle vie aux Etats-Unis.Peu de temps après, les jeunes tourtereaux attendent leur premier bébé. La Californie leur plait, bref la vie est belle. Jusqu'au jour où son mari est diagnostiqué d'une grave maladie : alors tout change. Cette grossesse tant désirée n'est plus la priorité. Il faut à tout prix soigner son mari, l'accompagner et se concentrer sur son futur. Alors arrive ce sentiment étrange et cette impression de s'être fait voler sa grossesse par la maladie.Une fois le bébé arrivé, Estelle se dit que ce lien qu'elle aurait aimé développer pendant qu'elle était enceinte, elle pourrait le développer par le biais de l'allaitement de son nourrisson : mais cela s'avère bien plus compliqué que prévu, elle se sent seule.Cette première grossesse et ce premier postpartum vont allumer un feu en Estelle, une irrépressible envie : celle de mettre son savoir médical avec la douceur d'un accompagnement individuel au service des familles désireuses d'emprunter le chemin de l'allaitement. Et au cours des années suivantes, elle va se former et accompagner des centaines de familles.Aujourd'hui maman de 2 enfants, et aux côtés de son mari - guéri - Estelle a fondé son entreprise et vient en aide des familles francophones de la Bay de San Francisco.Retrouvez le French Baby Guide in San Francisco juste ici : https://www.thefrenchbabyguide.com/French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Stéphanie nous propose un livre pour découvrir son corps dans la chronique La Ninja de l'usagé, on jase avec Marc Bouchard sous le soleil de la Californie du salon de l'auto de Los Angeles et on rend hommage à Karl Tremblay des Cowboys Fringants avec des témoignages de Sébastien Noël des Grandes Fêtes TELUS et Mike Gauthier
Cet été, l'actualité américaine s'est focalisée sur les incendies... 97 morts à Hawaï, mais aussi les 18 millions d'hectares de forêts partis en fumée au Canada, des fumées que tous les États-Unis ont vues et senties… Des incendies qui témoignent de l'accélération de la crise climatique. Même en Californie, État le plus en pointe dans la lutte contre le réchauffement, on s'interroge. À un an de l'élection présidentielle aux États-Unis, est-ce que la question du climat va-t-elle peser sur les votes ? « Comment la Californie veut imposer la question du climat dans la campagne présidentielle », un Grand reportage de Thomas Harms. Réalisation : Guillaume Buffet.
Mercredi 25 octobre, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste à BFM Business, Didier Sanz, journaliste spécialisé en informatique. Ils sont revenus sur la suspension des taxis autonomes de la société Cruise de General Motors par les gendarmes des véhicules motorisés de la Californie, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
La Californie poursuit en justice des géants du pétrole. Ces compagnies pétrolières auraient « intentionnellement minimisé les risques posés par les énergies fossiles à la population ». Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Quelles sont les faiblesses des Niners? Sont-ils meilleurs que les Eagles de l'an passé? Plusieurs questions du public!Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Du sable, des palmiers des grands espaces, de la tech, de la politique, malheureusement aussi du dérèglement climatique, cap semaine sur la Californie : le "Golden State", l'Etat en or, mais aussi L'Etat de l'or. Car ce surnom remonte à la ruée vers l'or, événement marquant de l'histoire américaine. Et de la conquête du territoire. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
Episode 414 avec Sebastien B. et Stuff.La revue de presse :• C comme Californie (00:04:05) : Encore un nouveau Repair Act aux US. La Californie se dotte d'un nouveau repair act pour permettre aux consommateurs de réparer leur matériel. (Source : androidcentral.com) • L comme Linux (00:15:18) : Le LTS du Kernel Linux sera limité à 2 ans. Le long term support - LTS - du noyau Linux sera limité à 2 ans. (Source : zdnet.com) • N comme Nintendo (00:23:40) : Nintendo serait dans le viseur de Microsoft. Microsoft intéressé par un rachat de Nintendo. (Source : frandroid.com) • T comme Téléscope (00:29:17) : Les téléscopes sous le feu... de pirates. Les téléscopes spaciaux seraient les dernières victimes de cyberattaques. (Source : undernews.fr) • X comme Xwitter (00:34:42) : X valide maintenant les identités digitales . X valide maintenant les identités digitales . (Source : techcrunch.com) Dossier : Apple Vision Pro et visionOS (00:41:31)• Conversation avec Manu @stuffmc Carrasco Molina, senior SwiftUI et (actuellement) junior visionOS développeur. Retrouvez toutes nos informations, liens, versions du podcast via notre site : LesTechnos.be
Du sable, des palmiers des grands espaces, de la tech, de la politique, malheureusement aussi du dérèglement climatique, cap semaine sur la Californie : le "Golden State", l'Etat en or, mais aussi L'Etat de l'or. Car ce surnom remonte à la ruée vers l'or, événement marquant de l'histoire américaine. Et de la conquête du territoire. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:57:57 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - En Californie et au Chili, c'est l'arbitrage du marché qui définit l'accès à l'eau, une ressource de plus en plus rare et convoitée. Ce mécanisme est censé conduire les acteurs à utiliser la ressource avec plus de parcimonie mais fait craindre des risques de spéculation et une flambée des prix. - invités : Olivier Petit Maître de conférences en économie à l'Université d'Artois et chercheur au Clersé (CNRS-Université de Lille); Charles Regnacq Chercheur postdoctoral à PSAE (INRAE-AgroParisTech); Chloé Nicolas-Artero Chercheuse postdoctoral au Politecnico di Milano, chercheuse associée au Centre de recherche et de documentation sur les Amériques (CNRS)
durée : 00:03:12 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Pour dédommager des décennies de discrimination envers les Noirs californiens, une commission officielle a demandé à des experts de chiffrer les réparations dues. Ces derniers ont rendu leur verdict : ce sera 800 milliards de dollars !
durée : 00:03:12 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Pour dédommager des décennies de discrimination envers les Noirs californiens, une commission officielle a demandé à des experts de chiffrer les réparations dues. Ces derniers ont rendu leur verdict : ce sera 800 milliards de dollars !
Bonjour et bienvenue sur Wine Challenge,Au programme de ce 80ème épisode, partons direction Vertus, à la rencontre de Pierre Larmandier :01:06' : Le domaine Larmandier Bernier03:03' : Son arrivée sur le domaine familial04:20' : Le tournant vers la bio et la biodynamie05:32' : Du bon sens et des échanges vignerons07:12' : Une transmission père-fils écourtée08:08' : Une transmission mère-fils engagée08:45' : Les conseils d'une mère09:06' : Envisager sa propre transmission10:23' : La relève est assurée…11:05' : Sa vision de la biodynamie12:17' : L'impact des changements climatiques13:15' : Les évolutions du métier de vigneron 14:23' : Bon Champagne VS Grand Champagne… 14:51' : Son parcours de formation15:53' : Apprendre à manager une équipe en place16:30' : Quelques conseils16:59' : Faire face aux challenges et aux difficultés 18:14' : L'exigence de Sophie Larmandier18:55' : Savoir être audacieux19:37' : La Californie…20:17' : L'avenir de la Champagne selon lui20:45' : Souvenirs de dégustation… Belle écoute à toutes et à tous !Crédit Photo : Pierre Larmandier – The Champagne Club by Richard Juhlin Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:13 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - La Cour d'appel a confirmé le non-lieu en faveur de Gérald Darmanin, accusé de viol, la France a rapatrié 15 femmes et 32 enfants détenus dans des camps de prisonniers djihadistes en Syrie, et une double fusillade dans des exploitations agricoles en Californie, c'est l'actu du jour !
durée : 00:15:18 - Les Enjeux internationaux - par : Baptiste Muckensturm - Depuis trois semaines, le Golden State est à la merci de violentes tempêtes aux conséquences dévastatrices. Une région qui subit chaque saison les affres du climat, alors même qu'il fait figure de précurseur à l'échelle des États-Unis dans l'adoption de politiques environnementales... - invités : Christophe Roncato Maitre de conférences en études américaines à l'Université Grenoble Alpes, spécialiste d'histoire environnementale et d'écologie industrielle. Il consacre une partie sa recherche aux enjeux liés à la transition énergétique à l'échelle californienne.
Une autre rivière atmosphérique frappe la Californie. Les fortes pluies devraient se poursuivre aujourd'hui dans des régions où le sol est déjà saturé d'eau. Joe Biden a déclaré l'état d'urgence dans certaines régions. Et la NASA a recours à une nouvelle fusée révolutionnaire pour renvoyer des astronautes sur la lune.
Depuis vendredi dans l'ouest des États-Unis, les températures dépassent les 50 degrés dans certaines villes. Cette vague de chaleur "extrême" met à mal le réseau électrique californien, réputé pour sa fragilité. Seule solution : réduire sa consommation d'électricité, alors que l'état vient d'interdire la vente de voitures à essence.
Depuis vendredi dans l'ouest des États-Unis, les températures dépassent les 50 degrés dans certaines villes. Cette vague de chaleur "extrême" met à mal le réseau électrique californien, réputé pour sa fragilité. Seule solution : réduire sa consommation d'électricité, alors que l'état vient d'interdire la vente de voitures à essence.
Flavien Neuvy, directeur de l'observatoire Cetelem.
Du Texas au Kentucky, leurs ancêtres ont perdu leurs terres. De plus en plus de Noirs contestent aujourd'hui la manière dont le gouvernement américain les a préemptés et ils réclament réparation. La Californie est le premier État à enclencher le processus. Pour la première fois dans l'histoire du pays, il vient de rendre un terrain saisi, il y a près d'un siècle, à un couple d'afro-américains. C'est aussi le premier État à mettre en place un groupe d'experts dont le premier rapport doit sortir début juin 2022 : qui doit être indemnisé et comment ? Un débat qui donne espoir à des centaines de familles à travers le pays. « Rendez-nous nos terres : quand l'Amérique noire réclame réparation », un grand reportage d'Anne Lamotte. (Rediffusion du 26 février 2022)
Cette année, pour les deux épisodes d'été hors-série de New Deal, nous avons choisi d'illustrer la grande division politique de l'Amérique en vous proposant une immersion dans deux États emblématiques de cette fracture américaine. Le mois dernier, nous parlions du Texas, État conservateur; en ce mois d'août, nous abordons la Californie, État démocrate. Pour ce deuxième et dernier épisode de l'été, nous sommes donc en Californie, un État censé représenter –et même accomplir– l'idéal progressiste de la politique et de la société américaine. Cependant, ce dernier connaît bien des problèmes, qui mettent en exergue la difficulté d'orchestrer des politiques libérales dans tous les sens du terme: libéralisme économique et libéralisme des valeurs. Qu'entend-on par «valeurs californiennes»? Sur quelle histoire se sont-elles composées? Quel rôle politique la Californie joue-t-elle aujourd'hui dans l'équilibre politique national? New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate.fr en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI) sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours. Montage et réalisation: Mona Delahais Prise de son: Aurélie Rodrigues Musique: «Cutting It Close», DJ Freedem Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.
La journaliste Isabelle Burgun nous dit pourquoi il n'est pas bon de s'endormir avec la radio; l'orthophoniste Agathe Tupula Kabola se penche sur les difficultés à exprimer nos idées lorsqu'on est stressé; l'enseignante en biologie Jade-Anais Généreux-Gamache fait le point sur l'intestin grêle qui peut mesurer jusqu'à 20 pieds de long; et le professeur au département de géographie Frédéric Lasserre nous explique comment le Québec exporte de l'eau vers la Californie.
Anne Baecher présente, en bref, les dernières nouvelles du monde de la science et de la santé. Au programme : "Le nombre de cas de rougeole a augmenté de 79% entre 2021 et 2022", "La Californie ouvre une vaste enquête visant les entreprises de l'industrie pétrochimique" et "3 mesures simples qui pourraient limiter le risque de cancer chez les séniors".