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durée : 00:04:26 - Le Grand reportage de France Inter - Donald Trump poursuit sa tournée en Asie. Il doit s'entretenir cette semaine avec Xi Jinping. Au menu des discussions : la guerre commerciale. Chine et Etats-Unis se rendent coup pour coup sur les droits de douane, si bien que Pékin n'achète presque plus de soja américain. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
On ignore toujours la position de Marine Le Pen sur les retraites. Le RN semble embarrassé, selon Ruth Elkrief, car la suspension de la réforme par le Premier ministre PS, qu'on l'approuve ou non, est une nouvelle épine pour le parti. Le RN réclamait instamment l'abrogation de cette loi, désormais suspendue, ce qui oblige à interroger ses prises de position. Il n'y a pas d'apocalypse concernant les conséquences des tarifs douaniers de Donald Trump, confirme François Lenglet. Les économistes prévoyaient un ralentissement des exportations chinoises frappées par les taxes américaines, et la montée de l'inflation. Or, ce n'est pas ce qui se produit : les exportations chinoises rebondissent (+ 8,6 % vers les États-Unis, + 8,3 % à l'échelle mondiale) et l'inflation américaine n'a augmenté que très modérément. La « méthode russe » de Viktor Orban selon Marion Van Renterghem. Une enquête d'un collectif d'investigation aboutit à la conclusion que Viktor Orban avait déployé un réseau d'agents secrets pour infiltrer les institutions européennes entre 2012 et 2018. C'est un nouveau rebondissement dans cette relation d'amour, de haine et de trahison entre Orban et l'Union européenne. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 13 octobre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Accusant l'Inde d'être trop protectionniste et de financer la guerre en Ukraine par l'achat de pétrole russe, Donald Trump lui a infligé 50% de barrières douanières. Depuis, les relations entre l'Inde et les États-Unis ne cessent de se tendre. Notre reporter s'est rendu à Tirupur, dans le sud de l'Inde, appelée la capitale du textile indien. On y trouve 10 000 petites usines textiles qui emploient au moins 600 000 ouvriers. Toute la métropole dépend du textile, dont une bonne partie à l'export vers les États-Unis. Enfin, jusqu'à il y a peu… De notre envoyé spécial à Tirupur, Sur les trois étages de VPR Textiles, seuls quelques ouvriers s'affairent encore à la découpe. « Cinquante pour cent de taxes, c'est terrible pour Tirupur. Depuis quelques semaines, nous n'avons plus aucune commande, car 80% de nos clients venaient des États-Unis. Ils ont annulé. Moi, je fais 10% de marge, il m'est impossible de compenser ! », s'inquiète Ponnusamy, propriétaire de l'atelier. « Il y a soixante ouvriers ici. Je ne veux pas les licencier. Mais d'ici quelques semaines, je n'aurai pas d'autre choix. » Avec un chiffre d'affaires annuel de près de 8 milliards d'euros à l'export, Tirupur est une réussite industrielle. Si les portes du marché américain se ferment définitivement, la ville saura rebondir, assure le président de la Tirupur Export Association : « Sur 5 milliards d'euros d'exportations dans les usines de Tirupur, 1,6 milliard vont aux États-Unis en moyenne, soit un tiers. Pour l'instant, seuls 5% des emplois sont menacés. Et nous allons nous tourner vers de nouveaux marchés. Ça ne se fera pas en un jour, mais c'est l'affaire de six mois. » Entre incertitudes diplomatiques et espoirs européens Alors que les échanges continuent entre Donald Trump et le Premier ministre indien Narendra Modi, certains espèrent un accord commercial plus arrangeant. Au local du Parti communiste indien, bien implanté dans cette ville ouvrière, l'inquiétude est plus marquée : « 30 % du marché qui s'évapore, cela ne va pas être compensé du jour au lendemain. Ce sont des dizaines de milliers d'emplois menacés à Tirupur. Les patrons disent qu'il y a peu de licenciements, mais c'est parce qu'ils renvoient les migrants pauvres venus du nord qui travaillent au noir et ne sont pas comptabilisés. » C'est l'Union européenne qui est dans tous les esprits, après la conclusion d'un accord de libre-échange entre l'Inde et le Royaume-Uni. Le patron d'Esstee Exports, un des plus grands exportateurs de Tirupur, se veut confiant : « Si un accord de libre-échange est signé avec l'Union européenne, on doublera nos exportations là-bas et ça compensera les risques liés à nos relations troublées avec les États-Unis. » Reste le risque que toutes ces négociations échouent. Tirupur compenserait alors difficilement avec le marché intérieur indien, immense mais bien moins riche.
Accusant l'Inde d'être trop protectionniste et de financer la guerre en Ukraine par l'achat de pétrole russe, Donald Trump lui a infligé 50% de barrières douanières. Depuis, les relations entre l'Inde et les États-Unis ne cessent de se tendre. Notre reporter s'est rendu à Tirupur, dans le sud de l'Inde, appelée la capitale du textile indien. On y trouve 10 000 petites usines textiles qui emploient au moins 600 000 ouvriers. Toute la métropole dépend du textile, dont une bonne partie à l'export vers les États-Unis. Enfin, jusqu'à il y a peu… De notre envoyé spécial à Tirupur, Sur les trois étages de VPR Textiles, seuls quelques ouvriers s'affairent encore à la découpe. « Cinquante pour cent de taxes, c'est terrible pour Tirupur. Depuis quelques semaines, nous n'avons plus aucune commande, car 80% de nos clients venaient des États-Unis. Ils ont annulé. Moi, je fais 10% de marge, il m'est impossible de compenser ! », s'inquiète Ponnusamy, propriétaire de l'atelier. « Il y a soixante ouvriers ici. Je ne veux pas les licencier. Mais d'ici quelques semaines, je n'aurai pas d'autre choix. » Avec un chiffre d'affaires annuel de près de 8 milliards d'euros à l'export, Tirupur est une réussite industrielle. Si les portes du marché américain se ferment définitivement, la ville saura rebondir, assure le président de la Tirupur Export Association : « Sur 5 milliards d'euros d'exportations dans les usines de Tirupur, 1,6 milliard vont aux États-Unis en moyenne, soit un tiers. Pour l'instant, seuls 5% des emplois sont menacés. Et nous allons nous tourner vers de nouveaux marchés. Ça ne se fera pas en un jour, mais c'est l'affaire de six mois. » Entre incertitudes diplomatiques et espoirs européens Alors que les échanges continuent entre Donald Trump et le Premier ministre indien Narendra Modi, certains espèrent un accord commercial plus arrangeant. Au local du Parti communiste indien, bien implanté dans cette ville ouvrière, l'inquiétude est plus marquée : « 30 % du marché qui s'évapore, cela ne va pas être compensé du jour au lendemain. Ce sont des dizaines de milliers d'emplois menacés à Tirupur. Les patrons disent qu'il y a peu de licenciements, mais c'est parce qu'ils renvoient les migrants pauvres venus du nord qui travaillent au noir et ne sont pas comptabilisés. » C'est l'Union européenne qui est dans tous les esprits, après la conclusion d'un accord de libre-échange entre l'Inde et le Royaume-Uni. Le patron d'Esstee Exports, un des plus grands exportateurs de Tirupur, se veut confiant : « Si un accord de libre-échange est signé avec l'Union européenne, on doublera nos exportations là-bas et ça compensera les risques liés à nos relations troublées avec les États-Unis. » Reste le risque que toutes ces négociations échouent. Tirupur compenserait alors difficilement avec le marché intérieur indien, immense mais bien moins riche.
Notes du Hors série : Pourquoi la frénésie commerciale Octobre Rose me dérange ? Lien vers le site de l'association pour les cancers Tête et cou :https://corasso.org/ Lien vers le dossier sur le site de l'assurance maladie :https://www.ameli.fr/hauts-de-seine/assure/sante/themes/perturbateurs-endocriniens-sante Lien vers le site des 1000 premiers jourshttps://www.1000-premiers-jours.fr/fr/agir-sur-son-environnement Merci à toute l'équipe de GalaxiePop pour son soutien.Merci à XP78 pour le montage !Venez discuter avec moi sur Bluesky : @circe592.bsky.social Sources pour le montage : En introduction, extrait de l'émission du 23/10/2024 de France Culture « Cancer du sein : nouveaux traitements et combats des patientes » https://www.youtube.com/watch?v=DrJxk6zLFQA La chanson de fin est : « N'Importe Qui - N'Importe Quand » https://www.youtube.com/watch?v=CuBB-eACSjQ par Christ'Her https://www.youtube.com/@ChristEr-57 N'hésitez pas à les soutenir et a vous y abonner. Tous leurs textes sonnent juste. Rejoignez nous sur discordhttps://discord.gg/AGAeePNPeV Lien vers le flux indépendant de l'Odyssée de Circé :https://lodysseedecirce.lepodcast.fr/ Le lien pour connaître toutes les productions Galaxie Pop :https://linktr.ee/galaxiepop Et maintenant NOUVEAU un répondeur:vos réactions (si vous le souhaitez on peut les diffuser et en gazette et y répondre !)C'est là (attention c'est court)https://www.speakpipe.com/Galaxiepop
Adopté il y a 25 ans, l'Agoa permet à 32 pays africains d'exporter des milliers de produits vers les États-Unis sans droits de douane. Mais il expire ce 30 septembre à minuit, sauf prolongation de dernière minute. Un bilan contrasté pour un accord crucial à la fois économique et géopolitique. En 2000, sous Bill Clinton, l'Agoa (African Growth and Opportunity Act) voit le jour avec un objectif clair : renforcer les relations commerciales entre les États-Unis et l'Afrique subsaharienne. Aujourd'hui, cet accord permet à 32 pays africains d'exporter plus de 6 000 produits sans droits de douane : biens manufacturés, textile, voitures sud-africaines, produits agricoles ou encore ressources minières. En contrepartie, ces pays doivent respecter certains critères : économie de marché, progrès en matière de gouvernance, de démocratie et de droits humains. C'est pourquoi la liste des membres évolue régulièrement. En 2023, les exportations africaines vers les États-Unis dans ce cadre ont atteint 10 milliards de dollars. Des résultats visibles, mais concentrés dans quelques pays Depuis son entrée en vigueur, l'Agoa a permis aux exportations africaines vers les États-Unis de progresser de 37% entre 2001 et 2021. Mais les bénéfices sont très inégalement répartis. L'Afrique du Sud en tire le plus grand profit avec ses voitures, ses agrumes et son vin. Viennent ensuite le Kenya et le Lesotho grâce au textile, ainsi que Madagascar dans une moindre mesure. Pour la majorité des autres pays, l'impact reste marginal. Pourtant, une fin brutale de l'Agoa aurait des conséquences lourdes, comme une perte de compétitivité, un recul des investissements et menaces sur des centaines de milliers d'emplois. Un avenir incertain face au retour du protectionnisme américain Au Kenya, 300 000 emplois du secteur textile sont menacés. Au Lesotho, l'Agoa a permis de bâtir la première industrie du pays, le vêtement, où se fournissent encore de grandes marques américaines. En Afrique du Sud, déjà frappée par un chômage supérieur à 30%, des dizaines de milliers d'emplois pourraient disparaître. Pour ces pays, l'Agoa est indéniablement une réussite, mais ses bénéfices restent concentrés. De leur côté, les investisseurs américains ont aussi profité de cette dynamique. Reste que Washington, à l'heure du protectionnisme et des droits de douane, revoit sa politique commerciale. Et si les États-Unis se retiraient un peu plus du terrain africain, un vide se créerait. Un vide que ne manquerait pas de combler la Chine, devenue paradoxalement l'ennemi numéro 1 de Donald Trump et le premier partenaire commercial de la majorité des pays du continent.
Sous l'effet de la guerre commerciale menée par Donald Trump, Pékin réoriente ses exportations. Si les flux vers les États-Unis s'effondrent, l'Europe, l'Asie et même l'Afrique deviennent des débouchés privilégiés. Les chiffres d'août 2025 confirment un tournant pour la deuxième économie mondiale. Si les exportations chinoises progressent encore par rapport à l'été 2024, leur croissance ralentit fortement. Surtout, les ventes vers les États-Unis se contractent brutalement : -12% en un mois, soit environ 5 milliards de dollars en moins. En cause, les surtaxes de 30% imposées par Washington sur l'ensemble des produits chinois. Mais Pékin ne se contente pas d'encaisser le choc. La Chine redéploie sa production vers d'autres marchés. L'Europe en première ligne du redéploiement Le continent européen s'impose comme la principale alternative pour les exportateurs chinois. Au premier semestre 2025, il a absorbé 16% des exportations chinoises, une proportion en hausse constante. Tous les secteurs sont concernés : électronique, chimie, textile, jouets, pharmaceutique, acier et surtout automobile électrique. Si certains y voient une opportunité — prix plus compétitifs et accès à des innovations technologiques — d'autres redoutent un « nouveau choc chinois » entraînant une désindustrialisation accélérée. L'Asie et l'Afrique, nouveaux relais de croissance La stratégie dite du « China+1 » illustre cette diversification. Pékin maintient sa base industrielle tout en s'appuyant sur ses voisins de l'Asean (+22% d'exportations vers la région) pour la production et la réexportation, du Vietnam à la Thaïlande. L'Asie centrale bénéficie également des Nouvelles Routes de la Soie, tandis que l'Inde et l'Afrique voient affluer des produits chinois. Pour accompagner ce basculement, la Chine a ouvert 117 nouvelles lignes de fret aérien au premier semestre. Derrière cette intensification logistique, une stratégie claire : compenser le recul du marché américain, renforcer son influence régionale et rappeler qu'elle reste un acteur incontournable du commerce mondial.
Vos colis en provenance de Chine pourraient bien mettre bien plus de temps pour arriver jusqu'à chez vous ? La faute à des conflits géopolitiques qui font du libre-échange mondialisé une relique du passé. Pour François Lenglet, la Terre n'est plus plate. Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 18 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vos colis en provenance de Chine pourraient bien mettre bien plus de temps pour arriver jusqu'à chez vous ? La faute à des conflits géopolitiques qui font du libre-échange mondialisé une relique du passé. Pour François Lenglet, la Terre n'est plus plate. Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 18 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'invité de Stéphane Pedrazzi dirige le Centre d'études prospectives et d'informations internationales, et à ce titre, il a livré son analyse de l'accord sur les tarifs douaniers entre les Etats-Unis et l'UE. Il approuve l'analyse d'Ursula von den Leyen, la présidente de la Commission européenne : sans accord, ça aurait été le chaos. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Didier Giraud et Bruno Poncet, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Réunis à Roland-Garros pour la Rencontre des Entrepreneurs de France (REF), les dirigeants d'entreprises ont partagé leurs inquiétudes : dette publique, compétitivité, innovation, transition écologique… Dans un contexte de rentrée sociale tendue, l'émission Eco d'ici Eco d'ailleurs donne la parole aux chefs d'entreprise et à deux économistes de premier plan.
Dernier épisode (pour l'instant) de notre mini série sur le parcours client ! Aujourd'hui, je m'arrête sur deux étapes pas toujours confortables : la proposition et la conversion. Comment tu présentes tes offres ? Et surtout : comment tu fais pour transformer un “intéressé·e” en “client·e” ? Je t'aide à analyser ce qui coince… et à affiner ton parcours. Et toi : – Tu sais ce qui freine tes prospects à ce moment-là ? – Est-ce que tu as relevé des objections qui reviennent régulièrement ? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
Réunis à Roland-Garros pour la Rencontre des Entrepreneurs de France (REF), les dirigeants d'entreprises ont partagé leurs inquiétudes : dette publique, compétitivité, innovation, transition écologique… Dans un contexte de rentrée sociale tendue, l'émission Eco d'ici Eco d'ailleurs donne la parole aux chefs d'entreprise et à deux économistes de premier plan.
Episodio doveroso dopo aver visionato STANS, l'ultimo documentario su Eminem. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Le 2 avril 2025 sera à jamais gravé dans les mémoires comme le jour de la renaissance de l'industrie américaine, le jour de la reconquête du destin de l'Amérique, et le jour où nous avons commencé à rendre sa richesse à l'Amérique », avait déclaré Donald Trump lors de son « jour de la libération », quand le président américain avait provoqué un chaos mondial en annonçant des droits de douane massifs sur tous les pays commerçant avec les Etats-Unis. Avant de renoncer à les appliquer quelques jours plus tard, sauf pour les échanges avec la Chine.Les assauts du président américain ne sont pas restés sans réponse de Pékin. Le président chinois, Xi Jinping, a répliqué en appliquant des droits de douane similaires contre les produits américains. Une escalade qui aboutit aujourd'hui à des chiffres prohibitifs : 145 % de droits de douane imposés aux produits chinois qui entrent aux Etats-Unis, 125 % sur les produits américains qui entrent en Chine. Autrement dit : un coup d'arrêt massif et brutal sur les échanges entre ces deux pays.Pourquoi Donald Trump est-il à ce point décidé à faire couler la Chine ? Combien de temps l'économie chinoise peut-elle tenir ? Le dragon chinois est-il de taille face à l'aigle américain ? Et quelles conséquences pour le reste du monde, notamment l'Europe ? Harold Thibault, correspondant du Monde à Pékin, répond à ces questions dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d'un discours de Donald Trump, le 2 avril 2025 ; extrait d'une émission de LCI, le 11 avril 2025.Cet épisode a été initialement publié le 25 avril 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Donald Trump ha firmato un nuovo decreto che riapre la guerra commerciale globale. I dazi saranno applicati dal 7 agosto su beni da 69 paesi, con aliquote tra il 15% e il 41%. L’Unione Europea è colpita con un dazio fisso del 15%, mentre il Brasile arriva al 50%. Alcuni settori, come l’automotive, sono temporaneamente esentati. Il decreto include anche misure anti-triangolazione commerciale. L’Italia rischia fino a 22,6 miliardi di euro di danni potenziali, con i settori meccanica, chimico-farmaceutico, moda e lusso tra i più esposti. Marco Valsania, Il Sole 24 Ore.ANIMA Confindustria: «I termini dell’accordo sui dazi creano un clima di incertezza che mette a rischio l’export delle nostre aziende»Il settore meccanico italiano, rappresentato da ANIMA Confindustria, esprime forte preoccupazione per l’accordo USA-UE sui dazi, che rischia di colpire l’export verso il principale mercato di riferimento. Nel 2024, le esportazioni verso gli USA sono valse 4,37 miliardi, ma il nuovo scenario, con possibili dazi su acciaio e alluminio, rende incerto il futuro. Almici sottolinea la necessità di diversificare i mercati e chiede strumenti concreti per tutelare la competitività delle imprese italiane, già sotto pressione per concorrenza asiatica e incertezza normativa. Pietro Almici, Presidente di ANIMA Confindustria.Moda, Capasa: "Serve una legge per tutelare la filiera sana e sostegno contro l’incognita dazi"Il comparto moda italiano è sotto pressione per calo delle vendite, reputazione danneggiata da casi di lavoro irregolare e incertezza legata ai nuovi dazi USA. Capasa chiede una legge per certificare la filiera e controlli più rigorosi. Il settore, con 600.000 addetti, teme effetti indiretti della guerra commerciale, mentre in Europa avanzano normative ambientali che richiederanno ulteriori investimenti. L’export regge, ma il fatturato 2024 è in calo del 3,6%. Capasa rilancia la necessità di aiuti per affrontare la concorrenza cinese e difendere il valore del Made in Italy. Carlo Capasa, Presidente della Camera Nazionale della Moda Italiana.Il lusso tra incertezza e trasformazioneIl settore del lusso vive un rallentamento negli USA: nel primo semestre 2025 i ricavi dei grandi gruppi sono in calo (-4%), con utili in discesa del 22%. Il nuovo dazio del 15% sulle importazioni UE pesa in particolare sul segmento gioielli. Tuttavia, emergono aree di tenuta come il lusso accessibile e quello esperienziale. Il mercato immobiliare di fascia alta continua a crescere. Il comparto è in transizione, tra costi in aumento e domanda più selettiva, ma resta strategico e ricco di opportunità per chi saprà adattarsi senza snaturare la propria identità. Alberto Milani, presidente di Piazza Italia Market e coordinatore delle camere di commercio dell'aria NAFTAIntervista con il presidente INPS Gabriele Fava
Grâce à la signature d'un décret imposant des surtaxes à plusieurs dizaines de pays, Donald Trump s'affiche en vainqueur d'une guerre commerciale qu'il a lui-même déclenchée. Mais derrière cette démonstration de force, les effets réels restent à nuancer, notamment pour les Américains eux-mêmes. Donald Trump a de nouveau frappé fort. Le président américain a signé, le 1er août, un décret imposant de nouveaux droits de douane sur les exportations de dizaines de pays vers les États-Unis. Parmi les plus touchés : l'Union européenne et le Japon, avec une surtaxe de 15%, le Canada avec 35% et même jusqu'à 39% pour la Suisse. Cette victoire a été préparée depuis janvier dernier, lorsque Trump évoquait des hausses de droits allant jusqu'à 60%. Une stratégie de rapport de force assumée : menacer fort pour mieux obtenir un accord – et surtout, à l'avantage des États-Unis. Résultat : les principaux partenaires commerciaux ont cédé, signant des engagements économiques massifs, comme 750 milliards de dollars d'achats d'hydrocarbures par l'Union européenne ou des commandes militaires japonaises. À lire aussiQuels pays ont trouvé un accord avec Donald Trump sur les droits de douane? Des marchés rassurés, des alliés résignés Malgré la brutalité apparente de cette annonce, les marchés ont bien réagi. À Tokyo, la Bourse est restée stable. Signe que ces nouveaux droits de douane ont été accueillis comme un moindre mal, un compromis acceptable au regard de ce qui aurait pu être une guerre commerciale ouverte. Et c'est aussi ce que revendique la Maison Blanche : « Restructurer le commerce mondial au bénéfice des salariés américains ». Mais au-delà de la communication politique, cette nouvelle donne fragilise durablement les équilibres commerciaux internationaux, et consacre un virage vers un protectionnisme assumé par Washington. À lire aussiDroits de douane, barrières non tarifaires, mesures de rétorsion: les mots du protectionnisme Une victoire économique en trompe-l'œil ? À court terme, ces taxes douanières représentent une manne fiscale importante pour les États-Unis. Elles remplissent les caisses de l'État et renforcent l'image d'un président défenseur des intérêts nationaux. Mais sur le moyen et long terme, le tableau s'assombrit. Des études montrent que les consommateurs américains paieront l'addition : les produits importés deviendront mécaniquement plus chers, alimentant une inflation déjà tendue. Contrairement aux affirmations de Trump, ce ne sont pas les exportateurs étrangers qui paient, mais bien les ménages américains, qui verront leurs dépenses augmenter. Les économistes évoquent déjà un effet boomerang possible, tant sur l'inflation que sur la croissance. La victoire affichée aujourd'hui pourrait bien se transformer, dans quelques mois, en revers économique. À lire aussiDroits de douane: Donald Trump annonce 25% sur les produits indiens à compter du 1er août
Meloni plaude all'accordo, 'escalation commerciale devastante'.
Avec : Bernard Cohen-Hadad, président de la CPME Paris-Ile-de-France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Invités : - Philippe Chalmin, économiste, professeur à Paris-Dauphine et Fondateur du cercle Cyclope Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Washington et Tokyo ont scellé, mardi 22 juillet, un nouvel accord commercial qui réduit les taxes douanières sur certains produits japonais, notamment les automobiles. Si les marchés saluent cette avancée, des tensions persistent sur l'acier, l'aluminium et le riz. L'annonce a été faite dans la nuit : les États-Unis et le Japon ont signé un accord commercial qualifié d'« énorme » par Donald Trump. En jeu : la réduction des droits de douane imposés aux produits japonais, notamment automobiles, qui passent de 25% à 15%. Une bouffée d'oxygène pour le Japon, quatrième économie mondiale, très dépendant de ses exportations vers les États-Unis. Washington, de son côté, consolide un partenariat avec un allié clé en Asie. Ce compromis était crucial pour les deux parties, tant les échanges commerciaux entre les deux pays sont fondamentaux à leur équilibre économique respectif. Pour Washington, il s'agit aussi de corriger une balance commerciale déficitaire. À lire aussiLe Japon pris en étau entre les États-Unis et la Chine L'automobile japonaise en tête des bénéficiaires Au cœur de l'accord : l'industrie automobile. Un tiers des exportations japonaises vers les États-Unis concerne ce secteur. La baisse de 10 points de taxe douanière est une excellente nouvelle pour les constructeurs nippons. Les marchés ne s'y sont pas trompés : la Bourse de Tokyo a bondi à l'ouverture, et les actions de Toyota, Honda ou Nissan sont toutes orientées à la hausse. Toyota enregistre même une progression de 15% depuis l'annonce. Cette décision permet aux constructeurs japonais de conserver leur compétitivité sur le marché américain, où chaque point de taxe représente plusieurs milliers de dollars par véhicule. Un soulagement important dans un contexte mondial incertain. Riz américain et tensions persistantes À lire aussiDroits de douane: entre le Japon et les États-Unis, des «progrès» mais pas encore d'accord Mais tout n'est pas réglé. Si le riz américain pourrait désormais pénétrer le marché japonais pour pallier une production nationale insuffisante, ce sujet reste sensible. Le riz est un symbole culturel et économique fort au Japon, et l'idée d'importer des produits étrangers inquiète les producteurs locaux. Autre sujet d'achoppement : l'acier et l'aluminium. Ces deux matières premières restent taxées à hauteur de 50%, preuve que l'accord commercial n'est que partiel. Enfin, ce compromis survient à un moment politiquement délicat au Japon : affaibli par des pertes électorales, le Premier ministre aurait utilisé la conclusion de l'accord comme ultime carte avant d'annoncer sa démission. Cet accord, fruit de la méthode musclée de Donald Trump, marque une nouvelle étape dans sa stratégie commerciale. Après le Japon, Washington poursuit ses négociations avec l'Union européenne et la Chine.
// Sur YouTube https://www.youtube.com/channel/UC0cT8BZdFUmC0vgr1XS7aPA// Présentatrice du journal Le Fil d'Actu
C'est la grosse annonce du week-end en provenance des Etats-Unis : les droits de douane passeront à 30% pour l'Union Européenne au premier aout. Les 27 misent sur la négociation pour protéger nos petites entreprises. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 14 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la grosse annonce du week-end en provenance des Etats-Unis : les droits de douane passeront à 30% pour l'Union Européenne au premier aout. Les 27 misent sur la négociation pour protéger nos petites entreprises. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 14 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:41:36 - Le Débat de midi - par : Camille Crosnier, Thomas CHAUVINEAU - Alors que les petits colis venus de Chine déferlent par milliards en Europe, la France et l'Union européenne réfléchissent à des taxes. Les États-Unis, eux, ont franchi l'étape avec les droits de douane du super-protectionniste Donald Trump. Mais quid du pouvoir d'achat ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Rendez-vous le 3 Juillet à 18h30 à Paris 17 pour le GDI-Live #10: Comment faire une croissance à deux chiffres avec ses clients existants ?Inscriptions: https://live.gdiy.fr/L'une des femmes les plus impressionnantes de la tech en France. Elle a séduit Mistral, Groq.ai et Laravel… sans aucun commercial.Anh-Tho vient du monde “corporate” : Orange, Millicom, McKinsey. Mais c'est chez Qonto qu'elle bascule dans l'arène startup.Elle en devient la première employée aux côtés d'Alexandre Prot, quand personne ne pariait vraiment sur eux.En 2021, elle décide de se lancer. Son idée ? Pas la plus sexy sur le papier : la facturation complexe. Un sujet que tout le monde fuit… sauf elle.Grâce à ses premières expériences, Anh-Tho découvre un besoin universel, crucial pour toutes les entreprises, mais ignoré : comment gérer des modèles de pricing complexes quand les offres varient selon l'usage, surtout avec l'explosion de l'IA.Personne n'en veut, elle s'y attaque.Elle est convaincue : la facturation, c'est la pierre angulaire de toute entreprise, “la donnée la plus pure”.Les SaaS traditionnels ne suivent plus, Anh-Tho tient une pépite.Et les investisseurs l'ont bien compris. Lago rejoint Y Combinator puis lève 22 millions de dollars en série A avec seulement 9 collaborateurs.Anh-Tho nous dévoile sa méthode assez inhabituelle pour attirer les clients via son projet open source pour ne recourir à aucun commercial. Comment convaincre talents de rejoindre l'aventure. Savoir tirer parti de la vague de l'IA et survivre à la mort du SEO.Un épisode tranchant et sans langue de bois pour celles et ceux qui veulent se lancer là où personne n'ose aller.TIMELINE:00:00:00 : “Le secret” en langage startup, personne ne s'en occupe mais tout le monde en a besoin00:18:52 : Les secteurs clefs pour le calcul dynamique du prix00:25:38 : De Kinshasa pour Millicom aux US avec Y Combinator00:37:19 : La stratégie de Lago : pas de sales mais tout sur l'open source et la documentation00:47:41 : L'IA va enterrer le SEO01:02:45 : La facturation comme pierre angulaire d'une entreprise : rendre le billing sexy01:14:07 : Les plus gros défis de Lago et les femmes dans la tech01:23:52 : La nouvelle vague des angel investors en France01:34:47 : Les pire inconvénients des US01:45:20 : La fuite, puis “le retour des cerveaux”01:54:35 : Comment utiliser l'IA pour gagner du temps01:58:30 : Les secrets de la réussite de Qonto02:04:32 : Pourquoi investir dans un coach et dans l'infodivertissementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #456 - Alexandre Prot - Qonto - Bousculer l'écosystème bancaire et s'imposer en référence européenne#106 Jean de la Rochebrochard - Kima Ventures- Human machine#429 - Nicolas Dessaigne - Y Combinator - Le berceau des futurs géants de la tech#473 - VO - Brian Chesky - Airbnb - « We're just getting started »#467 - Christel Heydemann - Orange - Garder le cap pour réussir dans un marché en rupture permanente#183 - Sacha Poignonnec - Jumia - Là où il y a une volonté, il y a un chemin#418 - Clément Delangue - Hugging Face - 4,5 milliards de valo avec un produit gratuit à 99%#420 - Stanislas Niox-Chateau - Doctolib : derrière la plus grosse marque de la French tech#380 - Paul Lê -La Belle Vie - Le Son Gokû de la FoodTech qui rachète Frichti@#117 Riadh Alimi - FinFrog - Réussir l'impossible : être recommandé par les clients que tu refuses#431 - Sean Rad - Tinder - How the swipe fever took over the world#297 - Adrien Labastire - Kessel - Faire 7 années d'études supérieures, puis percer sur YouTubeNous avons parlé de :LagoQontoMistralMillicomMailjetMCP : model context protocolLaravelFinFrogOVNI CapitalTogether AIDocumentaire USCursorAcquiredThe InformationSubstackLes recommandations de lecture :La vie heureuseVous pouvez contacter Anh-Tho sur Linkedin.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La guerre commerciale et le protectionnisme ralentissent l'économie mondiale. La banque mondiale revoit à la baisse la croissance, notamment dans les pays en voie de développement et dans les pays pauvres. C'est la Doze bonus de la semaine.
Ce mercredi 11 juin, l'impact du ralentissement de la croissance mondiale sur les pays émergents et en développement a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La guerre commerciale imposée au monde et à l'Europe par Donald Trump. Les revirements du principal intéressé, et les freins imposés aussi par la justice américaine, ont créé un climat d'instabilité mondiale... et un engouement pour les valeurs refuges comme l'or. La Suisse est une plaque tournante de ce marché. Les deux-tiers de ce métal précieux échangé dans le monde transite ici via quatre usines de transformation. Les exportations de lingots vers les États-Unis n'ont jamais été aussi florissantes... 20 fois plus que les précédentes années pour certains mois, alors que le cours de l'or atteint des sommets. Jérémie Lanche a pu visiter une de ces usines. À Prague, le ministre, les bitcoins et la drogue C'est une tempête qui n'a pas fini de secouer le monde de la politique tchèque à quelques mois des élections législatives... L'épicentre de l'affaire se trouve au ministère de la Justice. Une nouvelle garde des Sceaux Eva Decroix a été nommée à la hâte hier (10 juin 2025) pour prendre la place du démissionnaire Pavel Blazek, embourbé dans un scandale politico-financier mêlant cryptomonnaie et trafic de drogue. À Prague, Alexis Rosenzweig. Le macareux moine victime du réchauffement des océans C'est une des victimes collatérales du dérèglement climatique et du réchauffement des océans. En plein sommet de l'ONU sur les océans à Nice, les naturalistes irlandais tirent la sonnette d'alarme, pour un oiseau emblématique des côtes celtiques... le macareux moine. Un petit oiseau marin reconnaissable à son bec coloré, qui est désormais sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature. Il pourrait disparaitre d'ici moins de 100 ans. Clémence Pénard est allée en mer pour comprendre pourquoi. La chronique musique de Vincent Théval L'artiste suisse Lea Maria Fries.
Ce mercredi 4 juin, le moral économique des Français qui est au plus bas, aggravé par la dissolution, les bénéfices des Américains dans la guerre commerciale, et la loi fast fashion qui est en discussion au Sénat, ont été abordés par Christian Saint-Étienne, professeur au CNAM, membre du Cercle des Économistes, Stéphane Van Huffel, fondateur de SVH Conseil, et Gaël Sliman, président et cofondateur d'Odoxa, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 3 juin, les bienfaits et les inconvénients de la guerre commerciale sur l'économie américaine, ainsi que les enjeux des droits de douane pour l'Europe, ont été abordés par Denis Ferrand, directeur général de Rexecode, Emmanuel Combe, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business School, et Isabelle Mateos y Lago, cheffe économiste chez BNP Paribas, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 27 mai, la guerre commerciale lancée par Donald Trump et ses volte-face à répétition ont été abordés par François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, et Stéphanie Villers, économiste et conseillère économique chez PwC France, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C dans l'air l'invité du 22 mai 2025 avec Jean Cassegrain, PDG de Longchamp.L'annonce par Donald Trump de mesures douanières inquiète les patrons. Selon le président du Medef Patrick Martin, "des centaines de milliers d'emplois" seraient menacés en France, notamment dans les secteurs aéronautique et automobile. Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, a annoncé que 28.000 entreprises françaises seraient impactées par les décisions du président américain.Dans ce contexte, Jean Cassegrain, PDG de Longchamp et petit-fils du fondateur, est notre invité. Il nous donnera sa vision du contexte commercial mondial, et nous expliquera comment son entreprise est impactée. Dans le secteur du luxe, beaucoup d'entreprises souffrent, en particulier en raison de la morosité de la consommation chinoise. L'an dernier, la marque Chanel a notamment vu ses ventes reculer de 4% et son résultat opérationnel chuter de 30 %.Il réagira aussi sur la façon dont le gouvernement français a réagi aux mesures annoncées par les États-Unis. Le président de la République avait demandé du "patriotisme" aux chefs d'entreprise, les incitant à suspendre leurs investissements aux Etats-Unis. Une demande qui a fait vivement réagir Bernard Arnault, PDG du groupe LVMH, entendu hier en commission au Sénat. "Il est très mauvais pour l'État de se mêler de la gestion des entreprises privées, ça mène à la catastrophe" a-t-il affirmé, ajoutant qu'il fallait que l'Europe négocie avec les États-Unis.Pour lui, la clé réside dans l'innovation, et l'investissement massif dans l'humain, les circuits courts, tout en proposant un modèle duplicable et universel. Il rejette également les solutions à l'ancienne, souvent proposées en Occident. "L'Occident doit intégrer que son modèle économique est complètement disqualifié", affirme-t-il, le symbole de tout cela étant la politique économique de Donald Trump, et la volonté de réindustrialisation à tout prix.
Le due superpotenze hanno concordato di ridurre drasticamente le tariffe imposte reciprocamente sulle merci per 90 giorni.
Pechino e Washington sospenderanno per novanta giorni alcuni dei dazi imposti sulle merci provenienti dai rispettivi paesi. Con Alessandro Lubello, editor di economia di Internazionale.Il presidente ucraino Volodymyr Zelenskyj ha offerto al presidente russo Vlamidir Putin di tenere il loro primo faccia a faccia a Istanbul il 15 maggio. Con Davide Maria De Luca, giornalista, da Kiev.Oggi parliamo anche di:Corpo e mente • “Non è sempre colpa del glutine” di Cécile Thiberthttps://www.internazionale.it/magazine/cecile-thibert/2025/05/08/non-e-sempre-colpa-del-glutineSerie tv • The studio su Apple Tv+Ci piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti
Le Journal en français facile du lundi 12 mai 2025, 18 h 00 à Paris. ► EXERCICEComprendre un extrait du journal | Gaza, Turquie, Chine/États-Unis, France : les titres du 12 mai 2025 | niveau B1 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BfAF.A
C dans l'air l'invitée du 6 mai 2025 : Julia Cagé, économiste, professeure d'économie à Sciences Po Paris, Prix du meilleur économiste européenAprès un peu plus de cent jours de deuxième présidence Trump, le commerce mondial est suspendu aux décisions erratiques du président américain en matière de droits de douane. Les conséquences s'en font sentir pour les entreprises françaises, qui tentent de se projeter dans un monde instable et incertain.Donald Trump ouvre un nouveau front dans sa guerre commerciale. Le président américain a annoncé dimanche 4 mai "entamer immédiatement le processus d'instauration de droits de douane de 100%" sur les films diffusés aux Etats-Unis mais produits à l'étranger. "L'industrie cinématographique américaine est en train de mourir très rapidement (...) Hollywood et de nombreuses autres régions des Etats-Unis sont dévastées", a-t-il justifié sur son réseau Truth Social."D'autres pays offrent toutes sortes d'incitations pour attirer nos cinéastes et nos studios loin des Etats-Unis", a-t-il assuré. Parallèlement, à l'occasion du sommet “Choose Europe for science”, lundi 5 mai, à La Sorbonne, Ursula von der Leyen a annoncé une "nouvelle enveloppe de 500 millions d'euros" pour attirer les chercheurs américains, menacés par la politique de Donald Trump
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les États-Unis multiplient les restrictions à l'accès de la Chine à la technologie occidentale, mais le résultat est qu'ils ont poussé Pékin à accélérer un découplage déjà engagé. Huawei incarne cette réponse chinoise au défi américain : Donald Trump a peut-être sous-estimé son adversaire.
durée : 00:06:20 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La guerre commerciale lancée par Donald Trump contre la Chine semble être une aubaine pour les producteurs de soja brésiliens : ils espèrent supplanter leurs rivaux aux Etats-Unis, dans les échanges avec la Chine.
Fidèle à ses promesses de campagne, Donald Trump a annoncé, dès le début de son second mandat, une augmentation de 25 % des droits de douane sur les importations en provenance du Mexique et du Canada. Des mesures similaires concernant l'Europe et la Chine sont envisagées. Cette politique protectionniste, récurrente dans l'histoire américaine, trouve ses racines dans le passé colonial du pays. Avec Bertrand Van Ruymbeke, professeur de civilisation américaine à l'Université Paris 8, spécialiste de l'histoire des Treize Colonies et de la Révolution américaine, auteur de L'Amérique avant les États-Unis (Flammarion, 2016) et Histoire des États-Unis (Tallandier, 2018).
durée : 00:37:27 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Alors que les États-Unis ont décidé d'entrer dans un rapport de force avec leurs partenaires commerciaux, les pays ciblés semblent démunis. Pourtant, il existe des leviers pour résister à la pression, à commencer par le dollar. Comment le système financier peut-il limiter la casse ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Éric Monnet Économiste, professeur à la Paris School of Economics (PSE) et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS); Christian de Boissieu Professeur d'économie à l'université Paris 1 et au Collège d'Europe à Bruges, Président du Conseil d'analyse économique (CAE)
Le Journal en français facile du vendredi 18 avril 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bb02.A
To get 55% OFF the Lingopie annual plan:https://learn.lingopie.com/FrenchPod---------------------Le président américain Donald Trump impose de nouveaux tarifs douaniers, atteignant des niveaux inégalés depuis un siècle, exacerbant les tensions commerciales internationales.Traduction:U.S. President Donald Trump imposes new tariffs, reaching levels unseen in a century, exacerbating international trade tensions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.