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durée : 00:11:05 - L'invité de 7h50 - par : Nicolas Demorand - Les séismes qui ont touché la Syrie et la Turquie le 6 février ont fait plus de 52 000 morts et des centaines de milliers de blessés. Delphine Minoui, correspondante du Figaro à Istanbul et Karine Meaux, responsable des urgences à la Fondation de France évoquent la situation sur place.
Débat entre Blaise Duvernay, responsable du domaine "séismes" à l'Office fédéral de l'environnement, Alain Rossier, directeur de l'Association des établissements cantonaux d'assurance, et François Pointet, conseiller national vert'libéral vaudois.
durée : 00:15:57 - Journal de 8 h - Un mois après le séisme en Turquie, le pays organise une Présidentielle. Mais est-ce possible ?
durée : 00:42:03 - Un jour dans le monde - Le 6 février dernier, la Turquie et la Syrie étaient frappées par un séisme de magnitude 7,8. Un mois plus tard, le bilan s'élève à 52 000 morts. Près d'un sixième de la population turque a été affectée, laissant monter leur colère face à un gouvernement jugé en partie responsable.
durée : 00:42:03 - Un jour dans le monde - Le 6 février dernier, la Turquie et la Syrie étaient frappées par un séisme de magnitude 7,8. Un mois plus tard, le bilan s'élève à 52 000 morts. Près d'un sixième de la population turque a été affectée, laissant monter leur colère face à un gouvernement jugé en partie responsable.
durée : 00:58:15 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Le 6 février dernier, la terre a tremblé à Idlib dans le nord-ouest syrien, une zone administrée par le groupe Hayat Tharir al-Sham (HTS). Pour ces djihadistes héritiers du Font Al-Nosra, le séisme est une occasion de gagner en crédibilité auprès des acteurs internationaux investis dans la région. - invités : Arthur Quesnay Docteur en science politique affilié à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Thomas Pierret Chercheur à l'institut de recherches et d'études sur les Mondes arabes et Musulmans, laboratoire du CNRS et de l'université d'Aix Marseille
Claire is joined by Neil McDonnell, Chief Executive with ISME and Labour Party spokesperson on employment affairs, Senator Marie Sherlock.
durée : 00:57:54 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Le 6 février 2023, quelques heures après un séisme meurtrier en Turquie, des promesses de soutiens affluent des chancelleries du monde entier. Une démonstration de la position incontournable que s'est taillée Ankara dans les relations internationales depuis une dizaine d'années. - invités : Aurélien Denizeau Docteur de l'Inalco en Sciences politiques et Relations internationales; Jana Jabbour Spécialiste de la diplomatie turque au Moyen-Orient et enseignante en Relations internationales à Sciences-Po Paris.; Marc Pierini Ancien ambassadeur de l'Union Européenne en Turquie, de 2006 à 2011, chercheur à Carnegie Europe à Bruxelles.
durée : 00:58:08 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Le séisme du 6 février n'est pas seulement turc, mais aussi syrien. Le bilan, très incertain, s'élève au moins à 3 700 morts dans ces régions du nord qui ont souffert de la guerre civile. Pour Damas, c'est l'occasion de réapparaître sur la scène internationale pour demander la levée des sanctions. - invités : Ziad Majed Chercheur et politiste franco-libanais, professeur à l'Université américaine de Paris; Jihad Yazigi Rédacteur en chef de The Syria Report; Fatiha Dazi-Héni Chercheuse spécialiste des monarchies de la péninsule arabique à l'Institut de recherche stratégique de l'école militaire (IRSEM)
durée : 00:03:37 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Trois semaines après le tremblement de terre qui a dévasté le sud de la Turquie, de plus en plus de voix s'élèvent pour critiquer publiquement les autorités. Un vent de contestation qui menace désormais directement le président Erdogan, candidat à sa réélection en mai prochain.
durée : 00:58:18 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Deux semaines après la terrible nuit du 6 février 2023, le bilan du tremblement de terre qui a frappé le sud de la Turquie et le nord-ouest de la Syrie, dépasse les 50 000 morts. La douleur est immense dans la population et la colère monte contre le président Erdogan et les promoteurs immobiliers. - invités : Gülçin Erdi Chargée de recherche CNRS en mobilité à l'IFEA; Yoann Morvan anthropologue, chargé de recherche au CNRS, chercheur au laboratoire "Mesopolhis", le centre méditerranéen de sociologie, de science politique et d'histoire de Aix-Marseille Université/CNRS/Sciences Po Aix.; Nouran Gad Doctorante en sciences politiques au laboratoire "Mesopolhis", le centre méditerranéen de sociologie, de science politique et d'histoire de Aix-Marseille Université/CNRS/Sciences Po Aix
durée : 00:03:37 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Trois semaines après le tremblement de terre qui a dévasté le sud de la Turquie, de plus en plus de voix s'élèvent pour critiquer publiquement les autorités. Un vent de contestation qui menace désormais directement le président Erdogan, candidat à sa réélection en mai prochain.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frN°286 / 26 février 2023Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 février 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. LA TURQUIE APRÈS LE SÉISMELe 6 février, deux séismes de magnitude de 7,8 et de 7,5 ont secoué le sud de la Turquie et une partie de la Syrie voisine. Si on recense aujourd'hui plus de 45.000 morts, leur nombre pourrait être de 100.000. A la croisée de trois plaques tectoniques, la Turquie a connu depuis 1900, dix-huit tremblements de terre d'une magnitude égale ou supérieure à 7 sur l'échelle de Richter. 7 habitants sur 10 vivent dans une zone sismique, soit 60 millions de personnes (sur 86 millions). L'Organisation mondiale de la santé déclare que 5 millions de personnes sont en situation de vulnérabilité et craint le développement d'épidémies. Le 20 février, deux nouvelles répliques de forte puissance (6,4 et 5,8) ont eu lieu dans la province turque d'Hatay au sud du pays déjà fortement touché.La « diplomatie du séisme » - activée pour la première fois après les tremblements de terre successifs qui ont frappé la Grèce et la Turquie à l'été 1999 et ont conduit à une amélioration des relations gréco-turques - a été réactivée après ce nouveau séisme. Non seulement la Grèce, mais également Israël et l'Arménie, des pays qui ont en commun d'entretenir des relations plus ou moins tendues avec la Turquie, ont été parmi les premiers à avoir proposé leur aide.En Turquie, devant la montée des critiques publiées sur les réseaux sociaux, accompagnées des appels à l'aide de familles dont les proches étaient coincés sous les décombres, le gouvernement a choisi le 8 février de couper l'accès au réseau Twitter grâce auquel les survivants communiquaient et ... critiquaient le pouvoir. Des voix s'élèvent pour dénoncer vingt années de politique urbanistique désastreuse, de négligence, de corruption, de clientélisme, de népotisme et de stratégies électoralistes. La plupart des habitations turques ne sont pas construites aux normes antisismiques, malgré une loi votée en 2007, peu appliquée en raison de la corruption. Les sinistrés critiquent le manque de préparation des autorités, le retard des secours, l'absence de l'armée, seule en Turquie à posséder les moyens d'agir dans un tel chaos. Si le président turc Recep Tayyip Erdogan a reconnu des « lacunes » dans la réponse apportée, il a cependant assuré qu'« il est impossible d'être préparé à un tel désastre ».D'aucuns rappellent que la gestion hasardeuse du tremblement de terre de 1999, près d'Istanbul, par les autorités d'alors, avait favorisé l'ascension du Parti de la justice et du développement (AKP) d'Erdogan et favorisé son élection en 2003. En difficulté aujourd'hui dans les sondages, la popularité du chef de l'État turc est déjà mise à mal par sa politique monétaire, ayant plongé le pays dans une profonde crise économique. Alors que la chasse aux sorcières contre les promoteurs immobiliers a commencé, au vu de l'ampleur de la catastrophe, la tenue des élections législatives et présidentielle, prévues pour le 14 mai pourrait être reportée.***LA DROITE FRANÇAISE POURRA-T-ELLE SURVIVRE À LA RÉFORME DES RETRAITES ?Après la défaite de sa candidate à l'Élysée, battue avec moins de 5 % des voix, suivie par la perte d'un tiers de ses députés après les élections législatives, le parti Les Républicains connait de nouveaux déboires. Mi-janvier, son nouveau président Éric Ciotti dévoile l'organigramme des Républicains. A la surprise générale, il nomme deux vice-présidents exécutifs : Aurélien Pradié, député du Lot, qui, au premier tour a recueilli près du quart des suffrages des militants et François-Xavier Bellamy, qui soutien de et soutenu par Bruno Retailleau, finaliste de cette élection. Le député du Lot n'a pas tardé à faire savoir qu'il n'appréciait pas de ne pas être l'unique numéro deux du parti.Alors que les rancœurs nées de l'organigramme ne sont pas dissipées, LR doit trouver une position commune sur la réforme des retraites. Le 12 janvier, le Éric Ciotti s'est mis d'accord avec le gouvernement sur un texte qu'il se flatte d'avoir substantiellement orienté : report à 64 ans au lieu de 65 de l'âge légal de départ à la retraite, et accélération de la hausse de la durée de cotisation. Or, si, d'un côté, la direction du parti défend une ligne de « responsabilité » en s'engageant à soutenir le texte du gouvernement qui a accepté ses exigences, de l'autre, les soutiens du député du Lot ne souhaitent pas endosser l'impopularité de la réforme. Pour eux, il faut avant tout reparler aux catégories populaires et s'opposer à tout texte porté par la macronie. Aurélien Pradié dénonce notamment l'absence de prise en compte des carrières longues et réclame que personne n'ait à cotiser plus de quarante-trois ans pour partir à taux plein. Bruno Retailleau dénonce une dérive « socialisante » chez l'élu du Lot.Le 14 février, 38 députés Les Républicains sur 62 ont voté contre l'« index seniors », avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale et le Rassemblement national. Le17 février Aurélien Pradié est vivement applaudi par les députés de la Nupes sur les carrières longues dans l'Hémicycle. C'en est trop pour Éric Ciotti et nombre de députés LR. La sanction tombe le lendemain. Le patron des Républicains démet Aurélien Pradié de ses fonctions de vice-président exécutif car « ses prises de position répétées n'étaient plus conformes avec les valeurs de cohérence, d'unité et de rassemblement qui doivent guider la droite républicaine ». « Je refuserai toujours que la droite devienne peu à peu la béquille conciliante de la macronie », répond Aurélien Pradié.Le texte sur les retraites qui n'a pas pu être voté à l'Assemblée nationale le 17 février, doit arriver le 28 février en commission des Affaires sociales au Sénat, où les Républicains et les centristes disposent de la majorité. Les sénateurs LR devraient eux aussi poser leurs conditions, mais dans le sens d'un durcissement de la réforme pour le cas des régimes spéciaux.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Le 6 février 2023, un tremblement de terre ébranlait le sud-est de la Turquie et le nord-ouest de la Syrie. Deux semaines plus tard, il y a quelques jours, de nouvelles secousses et répliques sismiques se faisaient à nouveau sentir. Le bilan humain ne cesse de progresser. Des milliers de personnes restent coincées sous les décombres avec désormais peu de chances de survie. Et des millions de personnes se trouvent dans une situation d'urgence extrême… sans toit, sans chauffage, sans eau potable et sans services vitaux, dans un contexte climatique particulièrement difficile avec des températures négatives en cette période hivernale. Le bilan humain est très différent selon que l'on se trouve en Syrie ou en Turquie, la région syrienne touchée étant assez peu peuplée. Quelles conséquences politiques et géopolitiques ce séisme aura-t-il ? La question se pose alors que Bachar al-Assad se cherche une légitimité tandis que Recep Erdogan et son gouvernement sont pointés du doigt en raison de leur immense responsabilité dans l'ampleur des pertes humaines et matérielles, résultat de 20 années de gouvernance de l'AKP. Invités : - Dorothée Schmid, responsable du programme Turquie contemporaine et Moyen-Orient de l'IFRI. « La Turquie en 100 questions » à paraitre en avril 2023 - Ziad Majed, politologue, professeur à l'Université Américaine de Paris. « Syrie, la révolution orpheline », Actes sud 2014.
13 morts. C'est le dernier bilan des victimes marocaines du tremblement de terre en Turquie. Pendant ce temps, l'aide aux survivants se poursuit, y compris l'aide aux Marocains. Comment s'organise cette aide ? Et comment les Marocains s'entraident ? Dans Le Scan, le podcast actu de TelQuel, paroles à des associatifs marocains présents sur place. L'équipe "Le Scan" par TelQuel Média : Présentation, écriture : Landry Benoit Interview : Imane Essaidi Montage, réalisation : Adam El Harchaoui Soutenez un média indépendant. Abonnez-vous à Telquel : https://telquel.ma/abonnement/
Le bilan s'est encore alourdi en Turquie et en Syrie. Il dépasse désormais les 41 000 morts et les chances de retrouver des survivants s'amenuisent d'heures en heures. Malgré tout, quelques miracles ont eu lieu ces dernières heures et trois nouveaux rescapés ont pu être sortis des décombres. Également au sommaire de ce débat : la guerre en Ukraine, les tensions en Israël et la réforme des retraites en France.
Désorganisation, corruption, le séisme met à nu une réalité de l'Etat turc qui pourrait avoir des conséquences politiques pour Erdogan à trois mois des élections. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Timour Ostürk témoigne au micro de Pierrick Fay de la situation depuis la Turquie.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en février 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Timour Öztürk (correspondant des « Echos » en Turquie). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : REUTERS/Dilara Senkaya. Sons : Euronews, BFM TV, France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:56 - Journal de 22h - Des milliers de Syriens ont fui la guerre civile dans leur pays en allant en Turquie : le séisme du 6 février 2023 laisse leur terre d'accueil en ruines. - invités : Chloé Delaporte Sociologue en économie du cinéma et de l'audiovisuel
durée : 00:25:36 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Raphaël Pitti, médecin humanitaire, responsable formation de l'ONG Mehad-France, Dorothée Schmid, responsable du programme Turquie et Moyen-Orient à l'IFRI et Ziad Majed, politologue, spécialiste de la Syrie, sont les invités du 8h20 pour évoquer le séisme qui a touché la Syrie et la Turquie.
durée : 00:15:55 - Journal de 8 h - Une semaine après le séisme en Turquie et en Syrie, comment s'organise la vie chez les survivants qui ont tout perdu ? Retour également sur les conséquences politiques en Turquie de ce tremblement de terre.
durée : 00:20:27 - Journal de 18h - Alors que la phase de sauvetage touche à sa fin, une semaine après le séisme, il y a encore des miracles dans le sud-est de la Turquie. Marie-Pierre Vérot, notre envoyée spéciale à Adiyaman, a vu des secouristes sortir une fillette vivante des décombres.
C'est un bilan incroyablement lourd : au moins 30 000 morts selon un dernier bilan. Et cinq jours après le séisme qui a dévasté le sud-est de la Turquie et le nord de la Syrie, de nouveaux corps sont encore sortis des décombres. Des millions de sinistrés sont sans toit et les nombreuses ONG sont déployées dans la région pour leur venir en aide. Avec nos envoyés spéciaux à Ousmaniye, dans le sud de la Turquie Sur un parking devant un parc d'attraction aujourd'hui fermé, des tentes serrées les unes contre les autres. Dès les premières heures qui ont suivi le séisme, l'endroit a servi de lieu d'accueil pour les rescapés, témoigne Feride Yigit, venue avec son mari et ses deux enfants : « Nous sommes arrivés ici lundi, tôt dans la matinée. Notre immeuble était fissuré et trop endommagé pour que nous y restions. » Plus de 5 000 personnes ont trouvé refuge ici. Et au fil des jours, le camp s'agrandit. Les rescapés sont souvent venus sans rien et à Ousmaniye, l'aide s'est vite organisée, estime Özlan Acel Türk, mariée et mère de cinq enfants. « Nous avons reçu de la nourriture, des couvertures et de la nourriture pour les enfants. Ils nous ont donnés des vêtements. » Elle désigne l'épais blouson que porte le dernier de ses fils, un bébé dans les bras de son père. « Normalement, c'est un garçon, mais là, il porte du rose », lance-t-elle, amusée. ► À écouter aussi : Séisme: dans le sud de la Turquie, chercher puis prendre en charge les survivants Sous des tentes avec zéro degré la nuit Mais les conditions de vie demeurent difficiles. Chaque tente accueille plusieurs familles. Et les températures peuvent tomber sous zéro degré la nuit. « C'est très dur de vivre sous une tente avec ce froid, poursuit Özlan Acel Türk. Et on ne peut pas prendre de douche. Nous devons faire la queue pendant une ou deux heures pour aller aux toilettes. » Différentes organisations interviennent dans ce camp comme l'Afad, l'Agence gouvernementale en charge de la gestion des catastrophes naturelles et le Croissant Rouge. Ramazan Cetin est son représentant à Ousmaniye : « Le Croissant Rouge est en charge des distributions de nourriture et de thé chaud. Nous servons 20 000 plats chauds pour chaque repas de la journée. » « On ne pourra pas rentrez chez nous » Le Croissant-Rouge sert les résidents du camp, mais aussi d'autres sinistrés vivant ailleurs. Et la situation pourrait durer longtemps. Pour beaucoup, comme Özlan Acel Türk, les dégâts sur leurs immeubles sont trop importants pour envisager un retour : « Nous ne savons pas pour le moment ce que nous allons faire, mais on sait qu'on ne pourra pas rentrer chez nous. » Pour l'heure, l'avenir reste difficile à envisager. D'autant que le mari d'Özlan Acel Türk, qui travaillait dans un garage, a perdu son emploi. Ce père de famille prend donc chaque jour, l'un après l'autre. Avec une seule priorité : « Il fait très froid, surtout la nuit : notre premier devoir est de protéger nos enfants du froid. » ► À lire aussi : Séismes: la solidité des bâtiments questionnée en Turquie, premières arrestations dans le secteur
durée : 00:10:37 - Journal de 18h - 30 000 morts désormais en Turquie et en Syrie après le séisme, et les têtes qui commencent à tomber en Turquie dans le secteur du bâtiment avec les dizaines de milliers d'immeubles effondrés. La question de la responsabilité du pouvoir turc se pose aussi.
Moins d'une semaine après le très violent séisme qui a frappé la Turquie et la Syrie, les critiques fusent contre le gouvernement turc pour la désorganisation des secours. Sur le terrain le désespoir grandit alors que les chances de retrouver des survivants s'amenuisent. Le bilan jeudi 9 au soir s'établissait à plus de 20.000 morts en Turquie, et en Syrie: 17.406 en Turquie et 3.377 en Syrie. C'est déjà l'un des dix séismes les plus meurtriers du XXIème siècle. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, qui joue sa réélection lors d'élections pour l'instant prévues mi-mai multiplie ses déplacements dans les zones sinistrées du sud-est du pays. Décryptage avec la cheffe du bureau de l'AFP en Turquie, Anne Chaon. Réalisation: Michaëla Cancela-Kieffer Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
20.000 morts et 60.000 bléssés. C'est le bilan provisoire du trembement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie ce lundi 6 février 2023. Ce drame nous rappelle que les séismes sont des phénomènes imprévisibles qui peuvent aussi toucher le Maroc. Sommes-nous menacé ? A quel point ? Et sommes-nous préparés ? Dans Le Scan, le podcast actu de TelQueln témoignage d'une marocaine en Turquie et interview de Lahcen Aït Brahim, expert en sismologie à l'Université Mohammed V de Rabat. L'équipe "Le Scan" par TelQuel Média : Présentation, écriture : Landry Benoit Interviews, doublage : Imane Essaidi Montage, réalisation : Adam El Harchaoui Soutenez un média indépendant. Abonnez-vous à Telquel : https://telquel.ma/abonnement/
durée : 01:58:48 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Face à l'urgence humanitaire, plusieurs pays ont déjà annoncé l'envoi d'une aide financière, matérielle et humaine en Turquie, mais la Syrie de Bachar Al-Assad souffre de son isolement sur la scène internationale. L'Occident doit-il lever ses sanctions contre Damas ? - invités : Manon-Nour Tannous Politologue, maître de conférences à l'Université de Reims, enseignante à Sciences Po et chercheure associée au Centre Thucydide (Université Paris II) et au Collège de France (chaire d'histoire contemporaine du monde arabe); Dorothée Schmid Chercheuse, responsable du programme Turquie contemporaine et Moyen-Orient de l'IFRI; Marie-Pierre Vérot Journaliste à la rédaction internationale de Radio France
durée : 00:03:56 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - 4 jours après le tremblement de terre en Turquie et en Syrie, le bilan continue de s'alourdir : près de 20.000 morts. Cette tragédie intervient à 3 mois des élections générales en Turquie, prévues le 14 mai. Elle rebat les cartes en vue du scrutin : l'avenir d'Erdogan se joue sans doute maintenant.
REPORTAGE - Le dernier bilan du séisme en Turquie et en Syrie s'élève à plus de 16.000 morts. En Turquie, les enterrements se font à la chaîne, comme l'a constaté notre envoyé spécial à Iskenderun. Dans le petit cimetière de Çankaya, sur les hauteurs, une femme se lamente, malade de chagrin. Sa voix se mêle au bruit permanent des sirènes qui s'élèvent de la ville. L'allée du cimetière est pleine de véhicules apportant des corps. Certains gisent à même le sol dans de simples couvertures. Mohamed les accompagne dans leurs prières. Cet imam de l'ouest de la Turquie a été mobilisé pour faire face au nombre stupéfiant d'enterrements. "Vraiment je ne sais pas combien nous avons célébré de funérailles.. 300 ? 400 ?", explique-t-il. "Un peu plus tôt, nous avons enterré toute une famille, 15 personnes." Mohamed ne sait pas jusqu'à quand il restera à Iskenderun. Sans doute tant que les proches des personnes mortes dans le séisme auront besoin de son aide.
durée : 00:15:05 - Journal de 22h - Le bilan ne cesse de monter en Turquie et en Syrie, après le puissant tremblement de terre de ce lundi : il dépasse désormais les 20 000 morts. Six camions de l'Onu seulement ont réussi à rejoindre la province syrienne touchée par la catastrophe. - invités : Marie Dumoulin directrice du programme Wider Europe au sein du think tank European Council on Foreign Relations
durée : 00:03:56 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - 4 jours après le tremblement de terre en Turquie et en Syrie, le bilan continue de s'alourdir : près de 20.000 morts. Cette tragédie intervient à 3 mois des élections générales en Turquie, prévues le 14 mai. Elle rebat les cartes en vue du scrutin : l'avenir d'Erdogan se joue sans doute maintenant.
durée : 00:04:08 - Le zoom de la rédaction - La Turquie, deux jours après le tremblement de terre qui a coûté la vie à plus de 5 000 personnes dans le Sud-Est du pays. Un bilan provisoire car les recherches continuent dans des villes dévastées autour de Gaziantep comme Islahiye.
durée : 00:03:11 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les barrières politiques restent en place malgré le désastre humanitaire au lendemain du séisme : les 4,5 millions d'habitants de la région d'Idlib (nord-ouest syrien), qui échappent toujours au contrôle de Damas, sont privés d'aide internationale car celle-ci ne peut plus venir de Turquie.
durée : 00:03:11 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les barrières politiques restent en place malgré le désastre humanitaire au lendemain du séisme : les 4,5 millions d'habitants de la région d'Idlib (nord-ouest syrien), qui échappent toujours au contrôle de Damas, sont privés d'aide internationale car celle-ci ne peut plus venir de Turquie.
durée : 00:03:00 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - Cette tragédie intervient dans un contexte particulier à l'approche de l'élection présidentielle, prévue pour le 15 mai. En difficulté, le président Erdogan risque d'affronter les critiques de l'opposition et la colère de la population traumatisée.
En Turquie, après le séisme qui a fait, selon un bilan encore provisoire, 9 500 morts, l'aide internationale s'organise. La France y envoie une centaine de secouristes. Parmi eux, le Groupe de secours catastrophe français (GSCF) composé d'une dizaine de pompiers volontaires, arrivés par un avion affrété sur l'épicentre très tôt mardi matin 7 février. Il y a quelques heures seulement, cette équipe de secours a réussi à sortir quelqu'un vivant des décombres. Témoignage sur place de Thierry Velu, pompier et directeur du GSCF. Thierry Velu : On a réussi à localiser une personne qui était coincée entre son canapé et un mur, et on a mis trois heures à la sortir des décombres. C'est un monsieur d'environ cinquante ans qui a malheureusement perdu sa femme étant donné qu'on a dû dégager sa femme avant de le sortir. RFI : Dans quel état de santé était-il quand vous l'avez sorti ? Actuellement, son état de santé est plutôt bon par rapport à ce qu'il a vécu. Il a malheureusement deux jambes cassées, un bras cassé. Mais sinon, au niveau vital, il va s'en sortir et c'est le principal. Et comment s'est déroulée cette opération ? Vous nous avez dit qu'elle avait duré plus de trois heures ? C'est ça, exactement ça. On a mis trois heures à le dégager parce qu'actuellement on a énormément de répliques, et on devait faire attention en déblayant, afin que les débris de pierre, le plafond, ne tombent pas sur lui ni sur les sauveteurs qui entrent dans les excavations. Quel matériel avez-vous utilisé pour détecter sa présence ? Le matériel qu'on utilise pour localiser les victimes est du matériel d'écoute, des capteurs, qui nous permettent de localiser très rapidement des personnes et de déterminer à quelques centimètres près où la victime pourrait se trouver. Qu'est-ce que l'on ressent, quel sentiment vous a parcouru quand vous vous êtes rendu compte qu'il y avait quelqu'un de vivant sous les décombres et que vous avez réussi à le sortir de cet enfer ? Le sentiment, c'est un sentiment de fierté, une lueur d'espoir pour les prochaines heures qui passent, parce qu'il faut savoir que les températures actuellement sont très, très basses, et on se dit que les chances sont un petit peu en train de s'amenuiser. C'est une course contre-la-montre donc on se dit qu'il y a encore de l'espoir. Et on va tout faire pour essayer de retrouver d'autres personnes. Là où vous vous trouvez, à côté de l'épicentre, est-ce que vous êtes avec d'autres équipes de secours ? On est uniquement avec les équipes turques, mais là où on se trouve, on était la seule équipe internationale sur les lieux. Et comment est-ce que vous vous répartissez la tâche avec les Turcs ? Est-ce que ce sont eux qui vous ont défini une zone ? Est-ce que ce sont des familles qui vous ont appelé pour venir fouiller des décombres ? Comment ça se passe ? Actuellement, les équipes turques qui sont avec nous ne disposent pas du matériel que nous avons, le matériel d'écoute. Donc elles nous demandent d'intervenir avec eux et on travaille en collaboration. Et elles nous amènent dans les endroits où elles pensent qu'il y a encore des victimes sous les décombres. Pour aller plus loin : Pour aider les pompiers du GSCF et les survivants turcs, rendez-vous sur le site du Groupe de secours catastrophe français.
durée : 00:03:00 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - Cette tragédie intervient dans un contexte particulier à l'approche de l'élection présidentielle, prévue pour le 15 mai. En difficulté, le président Erdogan risque d'affronter les critiques de l'opposition et la colère de la population traumatisée.
durée : 00:15:02 - Journal de 8 h - L'aide internationale arrivera ce mardi en Turquie pour aider à retrouver les victimes du séisme qui a touché le pays. Le bilan frôle les 3 500 morts en Turquie et plus d'un millier en Syrie. Les opérations de secours sont très compliquées dans un pays engluées dans une guerre civile.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - La Turquie lance un appel à l'aide internationale. Un séisme a touché le pays - et la Syrie voisine - durant la nuit de dimanche à lundi. Il y a des centaines de morts.
Le procès en appel d'Alexandre Benalla s'ouvre demain au Tribunal de Paris. Jugé à l'automne 2021, l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron avait été condamné à un an de prison ferme. Au cœur du procès, les violences du 1er mai 2018 : "l'affaire de la Contrescarpe", celle qui a fait connaître aux yeux du public Alexandre Benalla. Le 18 juillet 2018, révélation du journal Le Monde : ses journalistes ont identifié un certain Alexandre Benalla sur des vidéos prises pendant la manifestation houleuse du 1er mai. Place de la Contrescarpe en plein Paris, on voit l'homme interpeller deux jeunes très violemment ...
Happy New Year!!! For our first episode of 2023, we have the honor of welcoming Floresca Isme to the show. She is an entrepreneur that is so open to sharing her experiences creating her brand ETANA New York. She has a beautiful handbag collection and a home fragrance series. Floresca was extremely generous and shared her process and inspiration for the lines which was enlightening. It was our perfect start to the new year.Follow Floresca:https://www.instagram.com/florescaisme/Follow Floresca:https://www.instagram.com/florescaisme/Follow ETANA New York for updates:https://www.instagram.com/etananyc/https://etananyc.comJQ's Picks!I purchased a candle and a clutch during ETANA New York's Pop Up shop in Manhattan and purchased these stunning products!Neema Marble Clutch Baghttps://etananyc.com/products/neema-marble-clutch-bagDry Gin Cypress + Christmas Hearth Candlehttps://etananyc.com/products/dry-gin-cypress-christmas-hearth-10-oz-candleTime Stamps:Floresca Isme Interview: 00:04:15 ETANA New York: 00:06:45 “Be honest with yourself”: 00:08:10The Experience: 00:12:03Work Ethic: 00:16:30 Fragrance Series: 00:18:04Functionality of purse design: 00:26:44Packaging: 00:30:20Ethically Sourced: 00:33:46Social Media Marketing: 00:36:47Instilling Culture in everything you do 00:41:35How do you and your partner support each other?: 00:43:36What's Next?: 00:52:45 Song of the Day: 00:57:19: bb. by Naika (https://music.apple.com/us/playlist/the-jq-pete-show-playist/pl.u-YeqqfPABpEJ)Follow us for new episodes and updates!https://linktr.ee/JQandPeteShow
Colette Bennett, Economic and Social Analyst Social Justice Ireland, and Neil McDonnell, Chief Executive of ISME
It's claimed small and medium businesses in Clare and elsewhere will be under significant pressure in the coming year, without real Government action on the rising cost of living. That's despite growing optimism that Ireland will continue to experience high levels of employment into the future. Clare's ISME representative, Siobhan Ni Ghairbith and Joe Robbins from Careerwise Recruitment in Shannon have been speaking to Clare FM's Morning Focus.
IBEC had a warning today that firms are going to expect lower profits going into 2023 due to rising energy costs. Are more energy supports needed? Emmet Oliver was joined by Neil McDonnell, chief executive of ISME and Barbara Ennis, principal of Alexandra College, because private schools are having to raise their prices by up to 15%...
A new report from the OECD says that strides within Irish healthcare across recent decades mean life expectancy in this country is now amongst the best in Europe. The report also takes a somewhat favourable assessment of the Irish economy at large heading into 2023. And although it warns against increased spending, the OECD says Ireland is coping well with the impacts of Covid, and the ongoing war in Ukraine. Emmet Oliver was joined by Brian Turner, Health Economist at UCC and Neil McDonnell, Chief Executive of ISME…
Neil McDonnell, ISME, Marie Sherlock, Labour Party Senator
C'est l'expérimentation faite en Californie. Grâce aux smartphones, des chercheurs de Berkeley ont mis au point un dispositif d'alerte qui pourrait sauver des milliers de vies. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
A Clare member of ISME's National Council is warning that businesses could collapse unless customers shop local this Christmas. Siobhan Ni Ghairbith of St. Tola's Goat and Cheese farm in Ennistymon says small businesses often rely on the seasonal period to generate up to 30% of their annual income.
A Clare small businesses representative meanwhile says increasing commerical rates next year would be to the detriment of local businesses. It comes amid fears that rates in Clare could be increased by 2.5 percent next year, having risen by 3.8 percent in 2022. Local representatives will gather on November 25th to vote on the Budget and on suggestions to raise the tax. Siobhan Ni Ghairbith of St. Tola's Goat and Cheese farm in Ennistymon, and a member of ISME's National Council, says any rise at a time when bills are soaring could cripple businesses.
Bienvenue à l'épisode #277 de Coram Deo, l'émission qui porte un regard chrétien sur le monde. Ce podcast vous est présenté en partenariat avec Logos, un logiciel d'étude de la Bible utilisé par plusieurs centaines de milliers de personnes dans le monde. Plus d'informations : https://fr.logos.com/ Dans cet épisode, vous deux humbles animateurs discutent à partir du chapitre 2 de la Deuxième confession de foi baptiste de Londres de 1689: Dieu et la sainte Trinité. Nous réfléchirons à ce qu'est le théisme chrétien classique, sa résurgence contemporaine et son importance souveraine. Table des matières 00:00 - Intro 02:09 - Par où commencer pour étudier la doctrine de Dieu? 06:37 - Les controverses récentes parmi les évangéliques 11:16 - Le théisme classique 17:50 - La Bible et les déductions nécessaires dans ce débat 20:02 - La simplicité divine 24:53 - La beauté divine comme attribut de Dieu 26:05 - De la doctrine de Dieu à l'adoration de Dieu 30:11 - Hors-propos 35:01 - Bêtisier