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Stéphane Gigou, président du directoire de Trigano, était l'invité de l'émission Ecorama du 2 décembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la publication des résultats financiers, l'évolution des ventes de camping-cars et caravanes, les effets de déstockage qui marquent 2025 comme une année de transition, la solidité de la génération de trésorerie ainsi que les perspectives de reprise de l'activité à partir de 2026. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on s'intéresse à une question que beaucoup se posent encore.Laisser son smartphone branché toute la nuit abîme-t-il vraiment la batterie ?Il est devenu impossible de surcharger un smartphone modernePremièrement, les fabricants sont unanimes. Il est devenu impossible de surcharger un smartphone moderne.Les iPhones comme les smartphones sous Android coupent automatiquement l'alimentation quand la batterie de votre téléphones est rechargée à 100%.Mais cela ne veut pas dire que laisser brancher votre smartphone au secteur toute la nuit c'est idéal pour sa longévité.Maintenir branché une batterie lithium-ion à pleine charge crée une tension élevée, ce qui accélère l'usure chimique au fil du temps. Mais le vrai danger, c'est surtout la chaleur générée pendant la recharge, un facteur reconnu comme l'ennemi numéro un de la durée de vie des batteries.Des protections intelligentesLe second point c'est que Apple et Samsung ont à présent intégré à leurs appareils des protections intelligentes pour limiter ces effets.Côté Apple, l'iPhone utilise l'Optimized Battery Charging, qui bloque la charge autour de 80% jusqu'au moment où vous avez l'habitude de débrancher l'appareil. La marque rappelle également que ses batteries fonctionnent idéalement entre 0 et 35 degrés Celsius, et recommande de retirer certains étuis si l'appareil chauffe en charge.Chez Samsung, la fonction Battery Protect limite la charge à 85% pour réduire le stress lié aux longues sessions sur secteur.Et d'autres constructeurs comme Google, OnePlus ou Xiaomi proposent des systèmes comparables, souvent basés sur l'apprentissage de vos habitudes.Certains usages peuvent accélérer l'usureMais il n'en demeure pas moins que certains usages peuvent malgré tout accélérer l'usure.L'exemple le plus parlant est la charge en situation de forte chaleur, que ce soit en plein soleil, dans une voiture ou sous un oreiller.Et l'utilisation intensive pendant la recharge, comme les jeux, le streaming, le montage vidéo, augmente aussi la température interne.Enfin, les câbles et adaptateurs bas de gamme peuvent envoyer un courant instable, source supplémentaire de stress pour des batteries déjà sensibles car déjà vieillissantes.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le chef militaire du Hezbollah, Haitam Ali Tabatabaï, a été abattu dimanche 24 novembre par une frappe qui visait la banlieue sud de Beyrouth. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a affirmé qu'Israël ne permettra pas au mouvement chiite de reconstruire son pouvoir, alors qu'un cessez-le-feu est pourtant toujours en vigueur depuis un an entre les deux partis. Entretien avec Anthony Samrani, rédacteur en chef du quotidien libanais L'Orient le Jour. À lire aussiLiban: le Hezbollah confirme la mort du chef militaire Ali Tabatabaï dans une frappe israélienne
Le nouveau podcast football du FC Copains
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Les autorités guinéennes ont, en août 2025, créé une société à capitaux publics, Nimba Mining Company (NMC), pour reprendre une mine de bauxite à la société émirienne Guinea Alumina Corporation (GAC). La raison ? Elle n'avait pas construit d'usines de transformation après 20 années d'activité. Alors que GAC employait beaucoup de cadres étrangers, NMC se veut une entreprise avec presque 100% de travailleurs guinéens. Ce qui pose un grand défi, et les observateurs s'interrogent : la mine de bauxite pourra-t-elle maintenir son niveau de performances, sans ces cadres étrangers ? Lors de la cérémonie de chargement de la première cargaison de bauxite de Nimba Mining, début novembre en Guinée, le ministre des Mines, Bouna Sylla, affichait des objectifs ambitieux à atteindre, avec un maximum de cadres et d'ingénieurs guinéens. « Notre pays, qui dispose d'une part déterminante des réserves mondiales de bauxite, doit maîtriser la chaîne de valeur, déclarait-il. C'est l'ambition que porte NMC [Nimba Mining Company] : faire de la bauxite guinéenne un moteur de souveraineté, d'industrialisation et d'emplois qualifiés. Cette ambition repose sur des fondamentaux clairs. » Parmi ces fondamentaux, détaillait-il : le « renforcement du contenu local, avec des emplois qualifiés, de la sous-traitance, de la formation et la montée en compétence des jeunes Guinéennes et Guinéennes ». Maintenir un standard élevé Oumar Totiya Barry, directeur de l'Observatoire guinéen des mines et des métaux (OGMM), s'inquiète du départ des cadres étrangers de GAC. Cette perte de compétences pourrait avoir des effets négatifs à court et moyen terme. « L'ancienne société GAC était réputée être très performante en termes de pratiques sociales et environnementales et en termes de management industriel. Avec la nationalisation, l'expérience peut nous amener à nous interroger sur la capacité de la nouvelle société à maintenir ce standard très élevé en termes de pratiques sociales et environnementales », analyse-t-il. Pôle de compétences et formation Le directeur de Nimba Mining, le Français Patrice L'Huillier, se veut rassurant. Un « pôle de compétences » doit voir le jour prochainement, où cadres et ingénieurs guinéens pourront parfaire leur formation et travailler dans différentes sociétés minières du pays. « Dans l'électronique industrielle, dans l'automatisme, dans la planification minière, détaille-t-il, dans les sujets très pointus techniquement où on peut former de jeunes cadres et ingénieurs guinéens, dans l'utilisation des technologies où, actuellement, on est obligé de faire appel à des expatriés, des étrangers, alors qu'on a le potentiel pour former des jeunes Guinéens et Guinéennes qui sont tout à fait capables de faire le travail. » L'objectif est de remplacer tous les cadres étrangers par des nationaux bien formés, sans nuire à l'efficacité de l'entreprise. À lire aussiGuinée: les autorités inaugurent le méga-projet minier de Simandou
Rallye contre la réforme des pensions : Front Komin La Voix Lepep promet de maintenir la pression durant les 4 prochaines années by TOPFM MAURITIUS
NOUVEAU : programme audio (ultra accessible) pour anticiper les étapes clés pour concilier grossesse & entrepreneuriat sans sacrifier ni l'un, ni l'autre !Et merci à Tiime qui sponsorise ce podcast !✨Bienvenue sur Grossesses d'Entrepreneuses✨En ce mois de novembre 2025, je vous propose de découvrir les meilleurs épisodes dédiés à la santé mentale : Burnout, dépression, transparence psychique… mes invitées lèvent le voile sur les difficultés qu'elles ont traversées avec courage et résilience. Parce que la santé mentale reste un TABOU, et qu'elle est pourtant si importante pour sa vie pro comme perso, vous en retirerez certainement des enseignements qui j'espère, vous seront utiles. Vous découvrirez aussi ce mois-ci en BONUS un épisode où je passe de l'autre côté du micro, pour le podcast Bien dans ma Boite.Dans cet épisode, j'ai le plaisir d'accueillir Marion, hypnothérapeute pour qui la grossesse s'est très bien passée… et le post-partum pas du tout ! Alors comment fait-on pour remonter la pente ? Quelle place prend son activité entrepreneuriale lorsqu'on vit une dépression post partum ?C'est ce que va nous confier Marion, que je remercie au passage, pour sa transparence et son authenticité !Bonne écoute !
Invités : - Hadrien Clouet, député LFI de Haute-Garonne - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles - Antonin André, chef du service politique du JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce webinar, Johann Yang-Ting (fondateur de Flowtasking™) montre comment prioriser quand tout semble urgent et important et où concentrer vos efforts pour un ROI maximal — sans épuiser vos équipes ni vous-même.Vous verrez pourquoi les méthodes classiques (matrice urgent/important, time-blocking rigide…) échouent en contexte instable, et comment les profils Flowtasking™ (Flow Styles & Taskers) rendent la priorisation opérationnelle, humaine et durable.Ce que vous allez apprendre• Identifier les vrais leviers de performance quand tout paraît urgent.• Définir des priorités stratégiques dans l'incertitude (impact x énergie).• Protéger votre temps et votre attention (dire non avec assertivité).• Maintenir la fluidité dans le chaos (gouvernance, rituels, décisions).• Utiliser les profils Taskers pour une priorisation qui colle au réel.• Les 7 leviers de performance fluide pour 2026 (pilotage, organisation, énergie, ROI humain, leadership lucide, adaptabilité, lucidité attentionnelle).
Les tables rondes se termineront avec un échange sur les collections patrimoniales, souvent fragiles car déconnectées de l'actualité littéraire immédiate, de 15h30 à 16h50. Alice Déon (La Petite Vermillon – La Table ronde), Claire Dô Serro (Pavillons Poche) et Éric Lahirgoyen (Libretto – Phébus) réfléchiront aux moyens de soutien et de mise en avant de ces fonds, à l'heure où Pavillons Poche célèbre ses 20 ans. Le débat sera modéré par Bertrand Mirande-Iriberry. Journée professionnelle Lire en Poche 2025
Invité : Éric Anceau, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Lorraine et spécialiste du Second Empire et de Napoléon III Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Pascal Perri, économiste et auteur de "Ces présidents qui nous ont fait tant de mal" aux éditions Plon - Véronique Jacquier, journaliste politique à Cnews - Michel Fayad, analyste politique et géopolitique Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Aujourd'hui 13 Octobre 2025 c'est la Journée Nationale de la Résilience, le savais-tu ? Et j'ai décidé de te partager une réflexion essentielle : accompagner un proche en fin de vie, c'est bien plus que gérer soins et médicaments. Prendre soin, c'est aussi préserver les petites joies du quotidien, comme le goût d'un plat aimé ou une odeur familière. Ces détails nourrissent la mémoire, l'identité, la dignité. Je t'invite à oser glisser un petit plaisir gustatif lors des visites, car offrir une saveur, c'est offrir un souvenir. Voici 3 enseignements à retenir :
Cet été, je me suis mise un peu par hasard à Duolingo, cette appli pour apprendre les langues. J'ai choisi le chinois, sans objectif précis — juste pour voir. Et contre toute attente, j'ai accroché ! Je me suis demandé pourquoi cette appli réussit à nous garder dedans, même quand on n'a pas de vraie raison d'y revenir. Notifications, classements, petites récompenses, compliments… tout est pensé pour entretenir l'envie de continuer. Et je me dis qu'on pourrait peut-être piquer deux ou trois idées à Duolingo pour maintenir l'engagement de nos clients, surtout sur les projets B2B où leur participation est essentielle. Toi, t'en penses quoi ? Ces petites mécaniques de motivation, tu crois qu'elles pourraient marcher avec nos clients ? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
Parce que… c'est l'épisode 0x641! Shameless plug 12 au 17 octobre 2025 - Objective by the sea v8 14 et 15 octobre 2025 - ATT&CKcon 6.0 14 et 15 octobre 2025 - Forum inCyber Canada Code rabais de 30% - CA25KDUX92 4 et 5 novembre 2025 - FAIRCON 2025 8 et 9 novembre 2025 - DEATHcon 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 Description Dans cet épisode, trois experts en cybersécurité partagent leur expérience pour démystifier l'idée reçue selon laquelle la sécurité informatique serait financièrement hors de portée pour les petites et moyennes entreprises. Nicholas Milot, cofondateur de Yack et spécialiste des tests d'intrusion, Cyndie Feltz, également cofondatrice de Yack avec une expertise en gestion exécutive, et Dominique Derrier, RSSI chez Neotrust, apportent un éclairage pragmatique sur cette question cruciale. Le mythe du coût prohibitif L'un des principaux obstacles psychologiques pour les PME est la perception que la cybersécurité nécessite des budgets comparables à ceux des grandes entreprises comme Desjardins. Cette croyance est renforcée par l'abondance de solutions coûteuses sur le marché, souvent assorties de minimums d'utilisateurs qui peuvent rapidement faire grimper la facture à des centaines de milliers de dollars. Face à ces chiffres, de nombreuses PME concluent que la sécurité n'est tout simplement pas à leur portée et abandonnent l'idée d'investir dans ce domaine. Pourtant, cette vision est fondamentalement erronée. Comme le souligne Cyndie Feltz à travers une analogie pertinente avec la santé, la cybersécurité s'apparente davantage à une bonne hygiène de vie qu'à un traitement de luxe. Certes, on peut dépenser des sommes importantes pour des coachs sportifs personnalisés et des programmes d'entraînement sophistiqués, mais les bases d'une bonne santé reposent simplement sur une alimentation équilibrée, une paire de chaussures de course et de la régularité. La cybersécurité fonctionne selon le même principe : il s'agit d'adopter de bonnes pratiques quotidiennes plutôt que d'accumuler des solutions technologiques onéreuses. Le piège du “buffet de cybersécurité” Le marché propose environ 300 types de produits différents en matière de sécurité informatique. Face à ce buffet gargantuesque où tout semble briller et attirer l'attention, il est facile pour une PME de se sentir dépassée et de faire des choix inadaptés à ses besoins réels. Le problème ne réside pas uniquement dans le coût d'acquisition de ces solutions, mais aussi dans les ressources nécessaires pour les administrer correctement. Les experts constatent régulièrement que les PME acquièrent des outils sophistiqués qu'elles n'ont ni le temps ni les compétences d'utiliser efficacement. Une solution non configurée ou mal administrée n'apporte aucune valeur, quelle que soit sa qualité intrinsèque. De plus, les vendeurs, naturellement motivés par leurs objectifs commerciaux, peuvent convaincre les entreprises d'acheter des produits performants mais inadaptés à leur contexte spécifique. Nicolas Milot observe dans ses tests d'intrusion que les entreprises compromises disposent souvent de solutions de sécurité en place, mais que celles-ci ne sont pas correctement exploitées. Le manque de temps pour se “mettre les mains dedans” et maintenir ces outils à jour rend les investissements initiaux largement inefficaces. Les fondamentaux accessibles Avant même de considérer l'achat de nouvelles solutions, les PME peuvent mettre en place des mesures de base à faible coût. Dominique Derrier suggère de commencer simplement par des politiques internes et des mémos, même si leur efficacité reste limitée. L'important est de ne pas se cacher derrière l'excuse du coût pour ne rien faire du tout. Une approche progressive, étape par étape, permet d'avancer sans dépenses excessives. Les experts s'accordent sur quatre piliers fondamentaux que toute PME devrait prioriser : L'authentification multifacteur (MFA) : Protéger l'identification des utilisateurs avec des mots de passe robustes et le MFA représente un investissement minimal avec un impact sécuritaire maximal. Ces outils sont souvent déjà disponibles dans les licences Microsoft ou Google que les entreprises possèdent. Les mises à jour régulières : Nicolas souligne avec humour qu'il profite justement des entreprises négligentes en matière de mises à jour pour démontrer la facilité avec laquelle on peut compromettre leurs systèmes. Maintenir ses logiciels à jour ne coûte rien, mais sauve beaucoup de problèmes. Les antivirus et solutions de détection (EDR/XDR) : Même Windows Defender, bien que pas optimal, vaut mieux que rien et est souvent déjà inclus dans les licences existantes. L'essentiel est de le configurer correctement et de surveiller les alertes. Les sauvegardes (backups) : Point crucial soulevé par tous les intervenants, les backups devraient relever de l'opérationnel TI plutôt que de la sécurité. Ils doivent être correctement configurés, testés régulièrement, et surtout ne jamais être joints au domaine Active Directory, une erreur courante aux conséquences désastreuses. Les pièges à éviter Les experts mettent en garde contre plusieurs écueils. L'utilisation de l'intelligence artificielle comme argument de vente pour les PME constitue un signal d'alarme : ces entreprises n'ont pas besoin de ce type de fonctionnalités sophistiquées, même si certaines formes d'analyse comportementale existent depuis longtemps dans les outils de sécurité sous d'autres appellations. Un bon conseiller ne cherchera pas à vendre de nouvelles solutions, mais plutôt à optimiser l'existant. La configuration correcte de Microsoft ou Google, dont les paramètres par défaut laissent souvent à désirer, peut transformer radicalement la posture de sécurité sans investissement supplémentaire. Conclusion Le message est clair : mieux vaut faire peu de choses mais les faire bien, plutôt que de multiplier les outils partiellement déployés. La question fondamentale pour chaque PME devrait être : “Que se passerait-il si nous perdions toutes nos données ?” Cette réflexion sur ce qui est véritablement précieux permet d'orienter les investissements de manière pragmatique. La cybersécurité n'est pas une question de budget illimité, mais de choix judicieux et d'utilisation optimale des ressources disponibles. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Cyndie Feltz Nicholas Milot Dominique Derrier Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm
À Kharkiv, en Ukraine, l'opéra vient de fêter ses cent ans. La ville a beau être située à une trentaine de kilomètres du front, l'institution continue ses spectacles, au sous-sol de cet immense bâtiment. Et si la scène est trois fois plus petite, si plus de la moitié des danseurs et chanteurs sont partis, les représentations font salle comble et pas question pour la troupe d'arrêter. Des portés majestueux, des danseurs qui virevoltent. En cette fin d'après-midi, le ballet de Kharkiv donne une représentation de Corsaire, inspirée d'un poème de Lord Byron. On est bien dans l'opéra de la ville, mais au sous-sol. Plus exactement, dans un abri anti-bombes, transformé depuis un an en salle de spectacle. Ici, l'orchestre joue à quelques centimètres des spectateurs. Les quatre cents sièges de la salle ont davantage l'air de chaises de bureau que de confortables sièges de velours, mais tous les regards sont rivés sur les danseurs qui multiplient les figures aériennes. Olha Charikova, 35 ans, incarne ce soir Gulnare, l'un des rôles principaux. Pour elle, danser à Kharkiv était une évidence : « C'est ma ville natale, mes parents sont ici. Ils ne sont jamais partis. Je veux rester avec eux et faire mon travail. Nous avons l'opportunité de montrer notre art à notre peuple, la guerre est dehors, mais à l'intérieur, nous essayons de leur donner du bonheur et un peu d'espoir pour un futur meilleur. » Il a fallu s'adapter : la scène, trois fois plus petite, ne permet pas d'exécuter toutes les figures, les décors sont simplifiés et certains morceaux ont même dû être retravaillés pour correspondre aux dimensions de la salle. « "Corsaire" se joue maintenant en deux actes au lieu de trois. Par exemple, dans la dernière scène, il y a un grand navire qui vogue sur la scène et coule. Ça ne peut vraiment être montré que sur une grande scène. Aujourd'hui, le ballet se termine avec des jeunes filles en tutu, des fleurs, et une happy end, parce que nous avons déjà assez de tragédies dans nos vies ! », explique Olha Charikova. Maintenir l'opéra à Kharkiv, coûte que coûte Après le 24 février 2022, la troupe est partie deux ans en Europe, accueillie en Lituanie et en Slovaquie. Mais dès que cela fut possible, ceux qui ont pu le faire sont revenus à Kharkiv. Le directeur de l'opéra, Ihor Tuluzov, a tout tenté pour maintenir l'institution : « Durant les premières semaines, c'était vraiment très difficile, parce qu'il y avait des bombardements constants. Notre bâtiment aussi a été touché. » À lire aussiUkraine: «pluie» de drones russes sur la ville de Kharkiv, deux morts et trente blessés De nombreuses fenêtres de cette immense dalle de béton ont par exemple explosé. Dans la ville d'ailleurs, même si les ouvriers travaillent vite pour effacer les stigmates de la guerre, on croise encore des façades éventrées, des trottoirs marqués par des éclats d'obus, ou des fenêtres recouvertes par d'immenses palissades. Après deux ans de fermeture, l'opéra a désormais presque repris une activité normale et propose des spectacles plusieurs fois par semaine : « Pour nous, il est très important de montrer, psychologiquement, que Kharkiv bouillonne », souligne Ihor Tuluzov. « Et puis, nous voulons présenter les exemples les plus éclatants de la culture ukrainienne : l'opéra, le ballet, etc. Ce qui compte aussi, c'est que nous, en tant que troupe professionnelle, nous nous produisions ici, à Kharkiv. La ville avait besoin de notre activité, de notre travail, de nos représentations, de notre soutien », ajoute-t-il. « Je suis vraiment heureuse de voir qu'à Kharkiv, notre ville vit sa vie » Plus de la moitié des danseurs et des musiciens sont partis, certains en Europe, d'autres ailleurs en Ukraine. Et d'autres sont partis sur le front. L'un d'entre eux est mort au combat dans les environs de la ville. Chaque représentation est d'ailleurs précédée de l'hymne ukrainien pour leur rendre hommage. Malgré ces conditions, le directeur de l'opéra se veut optimiste : « Bien sûr, maintenant, nous n'avons plus la possibilité d'accueillir autant de spectateurs. Mais je pense que nous avons aussi gagné un nouveau public : des gens qui n'étaient jamais venus à l'opéra ou au ballet avant la guerre. » Dans cette ville où beaucoup de bars, de musées et de salles de concert ont dû fermer, venir à l'opéra est un luxe rare. À l'entracte, Yulia, 27 ans, invitée par son amie Khrystyna, découvre les lieux et a encore les yeux qui brillent : « Je suis très heureuse d'avoir la possibilité de voir l'opéra et le ballet à Kharkiv. » À côté d'elle, son amie renchérit : « Je suis vraiment heureuse de voir qu'à Kharkiv, notre ville vit sa vie. » À l'extérieur, une alerte aérienne retentit : des drones survolent la région. Mais dans la salle, où la sécurité est maximale, personne ne bouge : le public n'entend que la musique. Et dans cet abri, chaque spectacle devient bien plus qu'un simple divertissement : une parenthèse dans un quotidien d'angoisse. À lire aussiUkraine: rester à Kramatorsk, malgré le danger quotidien des bombes russes
À Kharkiv, en Ukraine, l'opéra vient de fêter ses cent ans. La ville a beau être située à une trentaine de kilomètres du front, l'institution continue ses spectacles, au sous-sol de cet immense bâtiment. Et si la scène est trois fois plus petite, si plus de la moitié des danseurs et chanteurs sont partis, les représentations font salle comble et pas question pour la troupe d'arrêter. Des portés majestueux, des danseurs qui virevoltent. En cette fin d'après-midi, le ballet de Kharkiv donne une représentation de Corsaire, inspirée d'un poème de Lord Byron. On est bien dans l'opéra de la ville, mais au sous-sol. Plus exactement, dans un abri anti-bombes, transformé depuis un an en salle de spectacle. Ici, l'orchestre joue à quelques centimètres des spectateurs. Les quatre cents sièges de la salle ont davantage l'air de chaises de bureau que de confortables sièges de velours, mais tous les regards sont rivés sur les danseurs qui multiplient les figures aériennes. Olha Charikova, 35 ans, incarne ce soir Gulnare, l'un des rôles principaux. Pour elle, danser à Kharkiv était une évidence : « C'est ma ville natale, mes parents sont ici. Ils ne sont jamais partis. Je veux rester avec eux et faire mon travail. Nous avons l'opportunité de montrer notre art à notre peuple, la guerre est dehors, mais à l'intérieur, nous essayons de leur donner du bonheur et un peu d'espoir pour un futur meilleur. » Il a fallu s'adapter : la scène, trois fois plus petite, ne permet pas d'exécuter toutes les figures, les décors sont simplifiés et certains morceaux ont même dû être retravaillés pour correspondre aux dimensions de la salle. « "Corsaire" se joue maintenant en deux actes au lieu de trois. Par exemple, dans la dernière scène, il y a un grand navire qui vogue sur la scène et coule. Ça ne peut vraiment être montré que sur une grande scène. Aujourd'hui, le ballet se termine avec des jeunes filles en tutu, des fleurs, et une happy end, parce que nous avons déjà assez de tragédies dans nos vies ! », explique Olha Charikova. Maintenir l'opéra à Kharkiv, coûte que coûte Après le 24 février 2022, la troupe est partie deux ans en Europe, accueillie en Lituanie et en Slovaquie. Mais dès que cela fut possible, ceux qui ont pu le faire sont revenus à Kharkiv. Le directeur de l'opéra, Ihor Tuluzov, a tout tenté pour maintenir l'institution : « Durant les premières semaines, c'était vraiment très difficile, parce qu'il y avait des bombardements constants. Notre bâtiment aussi a été touché. » À lire aussiUkraine: «pluie» de drones russes sur la ville de Kharkiv, deux morts et trente blessés De nombreuses fenêtres de cette immense dalle de béton ont par exemple explosé. Dans la ville d'ailleurs, même si les ouvriers travaillent vite pour effacer les stigmates de la guerre, on croise encore des façades éventrées, des trottoirs marqués par des éclats d'obus, ou des fenêtres recouvertes par d'immenses palissades. Après deux ans de fermeture, l'opéra a désormais presque repris une activité normale et propose des spectacles plusieurs fois par semaine : « Pour nous, il est très important de montrer, psychologiquement, que Kharkiv bouillonne », souligne Ihor Tuluzov. « Et puis, nous voulons présenter les exemples les plus éclatants de la culture ukrainienne : l'opéra, le ballet, etc. Ce qui compte aussi, c'est que nous, en tant que troupe professionnelle, nous nous produisions ici, à Kharkiv. La ville avait besoin de notre activité, de notre travail, de nos représentations, de notre soutien », ajoute-t-il. « Je suis vraiment heureuse de voir qu'à Kharkiv, notre ville vit sa vie » Plus de la moitié des danseurs et des musiciens sont partis, certains en Europe, d'autres ailleurs en Ukraine. Et d'autres sont partis sur le front. L'un d'entre eux est mort au combat dans les environs de la ville. Chaque représentation est d'ailleurs précédée de l'hymne ukrainien pour leur rendre hommage. Malgré ces conditions, le directeur de l'opéra se veut optimiste : « Bien sûr, maintenant, nous n'avons plus la possibilité d'accueillir autant de spectateurs. Mais je pense que nous avons aussi gagné un nouveau public : des gens qui n'étaient jamais venus à l'opéra ou au ballet avant la guerre. » Dans cette ville où beaucoup de bars, de musées et de salles de concert ont dû fermer, venir à l'opéra est un luxe rare. À l'entracte, Yulia, 27 ans, invitée par son amie Khrystyna, découvre les lieux et a encore les yeux qui brillent : « Je suis très heureuse d'avoir la possibilité de voir l'opéra et le ballet à Kharkiv. » À côté d'elle, son amie renchérit : « Je suis vraiment heureuse de voir qu'à Kharkiv, notre ville vit sa vie. » À l'extérieur, une alerte aérienne retentit : des drones survolent la région. Mais dans la salle, où la sécurité est maximale, personne ne bouge : le public n'entend que la musique. Et dans cet abri, chaque spectacle devient bien plus qu'un simple divertissement : une parenthèse dans un quotidien d'angoisse. À lire aussiUkraine: rester à Kramatorsk, malgré le danger quotidien des bombes russes
Invités : - Ophélie Roque, professeure et journaliste - Jules Torres, journaliste politique au JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment gérer l'anxiété parentale sans la transmettre à vos enfants ? Dans cet épisode captivant de Princesse Montessori, Xénia Troubetzkoï nous éclaire sur la gestion des émotions parentales et leur impact sur le bien-être des enfants. Saviez-vous que les enfants perçoivent le stress différemment des adultes ? Il est donc primordial pour les parents de trouver des moyens de réguler leurs émotions afin de préserver l'harmonie familiale. Xénia s'appuie sur les enseignements d'une conférence enrichissante avec la psychologue Elena Snarskaya pour nous offrir des conseils PRATIQUES et ACCESSIBLES. Elle partage cinq astuces INDISPENSABLES pour aider les parents à rester CALMES et CENTRÉS en période de stress :Réduire la consommation d'informations : Limitez l'exposition aux nouvelles anxiogènes. Utiliser des techniques d'ancrage : Apprenez à vous ancrer dans le moment présent. Maintenir une routine : La stabilité rassure les enfants. Préserver ses ressources : Prenez soin de vous pour mieux prendre soin des autres. Éviter les disputes épuisantes : Créez un environnement serein à la maison. Dans cet épisode de Princesse Montessori, Xénia insiste sur l'importance de préserver son ÉQUILIBRE INTÉRIEUR. Elle nous rappelle que les enfants sont des éponges émotionnelles, captant tout ce qui les entoure. En apprenant à gérer notre stress, nous pouvons leur offrir un environnement plus SÉCURISANT et ÉQUILIBRÉ. À la fin de l'épisode, découvrez des recommandations sur la manière d'aborder les discussions sur l'actualité en famille. Comment parler des événements du monde sans créer de peur ? Xénia vous guide pour instaurer un dialogue SÉREIN et constructif, afin de renforcer les liens familiaux tout en préservant l'innocence des enfants. Ne manquez pas cet épisode essentiel de Princesse Montessori pour tous les parents désireux de mieux gérer leur anxiété et de protéger leurs enfants des effets néfastes du stress. Écoutez dès maintenant et transformez votre approche parentale !
Pourquoi écouter cet épisode ? Anne-Laure Tabet, psychologue du travail, aborde sans tabou un sujet trop souvent minimisé : le retour au travail après un congé maternité. À travers son vécu, ses observations en coaching, et des données choc, elle révèle pourquoi ce moment est bien plus qu'une simple « reprise » : c'est une révolution identitaire, organisationnelle et psychologique.Ce que vous allez découvrir :Le choc invisible : Pourquoi les femmes ne sont plus « les mêmes » après une maternité, entre fatigue physiologique, charge mentale et redistribution des priorités.Les pièges du management : Comment les entreprises, souvent malgré elles, marginalisent les jeunes mamans (perte de responsabilités, remarques blessantes, sentiment d'être remplacée).La culpabilité, cette ennemie : Pourquoi les femmes culpabilisent-elles davantage que les pères ? Comment l'allaitement, les nuits hachées et le « switching cost » (le temps perdu à se reconcentrer après un SMS de la nounou) transforment leur quotidien professionnel.Des solutions concrètes : Pour les mamans (progressivité, externalisation de la charge mentale), pour les managers (préparation en amont, entretien obligatoire au retour, blocage de créneaux sans interruption), et pour les pères (coparentalité réelle).Un appel à l'action : Et si la parentalité était l'affaire de tous ? Comment les entreprises peuvent-elles éviter de faire des jeunes parents — surtout des mères — la variable d'ajustement d'un système qui ne s'adapte pas ?Pourquoi c'est urgent d'en parler ?1 femme sur 2 estime que son entreprise n'a pas été à l'écoute à son retour.50% des femmes réduisent ou interrompent leur activité après une naissance (contre 12% des pères).27% des salariées travaillent à temps partiel pour s'occuper de leurs enfants (contre 8% des hommes).Le message fort d'Anne-Laure : « Ce n'est pas aux mamans de s'adapter à tout prix, c'est à l'organisation de se réinventer. »0:00 Introduction & mise en contexte3:04 Rôle croissant des pères et coparentalité6:07 Maintenir le lien avant/après la reprise9:57 Charge mentale, répartition des rôles et biais de reprise14:50 Pistes concrètes individuelles pour un retour serein18:45 Pistes collectives & rôle du management + conclusionSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Paul Amar, Présentateur qui a été dans le service public - Olivier Benkemoun, défenseur de la corrida - Gervaise Lemeteil, nièce de Bourvil Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Paul Amar, Présentateur qui a été dans le service public - Olivier Benkemoun, défenseur de la corrida - Gervaise Lemeteil, nièce de Bourvil Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avez-vous déjà remarqué que certaines personnes semblent obtenir plus facilement un emploi, une augmentation ou même de la sympathie… simplement parce qu'elles sont considérées comme belles ? Ce phénomène porte un nom : le pretty privilege, littéralement le privilège accordé à la beauté. Et ce n'est pas qu'une impression : la science le mesure, chiffres à l'appui.Le pretty privilege, c'est l'ensemble des avantages sociaux, professionnels ou personnels que reçoivent les individus jugés physiquement attirants. Il repose sur deux grands mécanismes psychologiques :D'abord le stéréotype de l'attractivité, ou l'idée que “beau = bon”.Ensuite, l'effet de halo : une caractéristique positive – ici la beauté – influence l'évaluation d'autres traits comme l'intelligence, la sociabilité ou la compétence.Concrètement, ces biais ont des effets très tangibles. Une étude menée sur plus de 43 000 diplômés de MBA a montré que les personnes considérées comme les plus attirantes touchaient en moyenne 2,4 % de plus par an, soit environ 2 500 dollars. Pour les 10 % les plus beaux, le bonus atteignait 11 %, soit plus de 5 500 dollars annuels.Une autre enquête menée aux États-Unis révèle que ceux qui se jugent “extrêmement attirants” déclarent gagner près de 20 000 dollars de plus par an que les personnes perçues comme peu attirantes. On parle là d'un salaire moyen de 64 000 dollars contre 44 000.Mais le phénomène ne s'arrête pas au monde du travail. À l'école déjà, les élèves jugés beaux sont perçus comme plus intelligents et bénéficient de la bienveillance des enseignants. Et même devant un tribunal, la beauté peut influencer : plusieurs recherches ont montré que les accusés séduisants reçoivent parfois des peines plus légères… sauf si leur délit est directement lié à leur charme, comme une escroquerie sentimentale.Dans la vie quotidienne, être perçu comme attirant facilite aussi les relations. Des études montrent que les visages considérés comme beaux sont plus “centrés” dans les réseaux sociaux : ils ont plus d'amis, plus de soutien, et bénéficient d'une meilleure estime d'eux-mêmes. À l'inverse, les personnes jugées peu attirantes déclarent plus souvent souffrir de détresse psychologique ou de dépression.Attention cependant : ce privilège a un revers. Maintenir certains standards de beauté coûte du temps, de l'argent, et peut nuire à la santé mentale. De plus, les personnes séduisantes peuvent aussi être victimes d'objectification ou de jalousie.Alors, le pretty privilege existe bel et bien, et la science le confirme : la beauté agit comme une monnaie sociale, capable d'influencer nos salaires, nos relations, voire la justice. Mais ce pouvoir n'est pas sans ambiguïtés. Finalement, c'est peut-être notre regard collectif, et nos biais inconscients, qui donnent tant de valeur à la beauté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C dans l'air du 6 septembre 2025 - Après-Bayrou : à quoi s'attendre ?À quarante-huit heures du vote de confiance à l'Assemblée nationale, perdu d'avance pour François Bayrou – les oppositions promettant sa chute –, la suite se prépare au sein des formations politiques et à l'Élysée. Emmanuel Macron a reçu cette semaine les chefs des partis du bloc central afin d'évoquer l'après-8 septembre. Objectif : s'assurer de la mobilisation des troupes lundi, et les enjoindre à travailler avec le PS. Car l'hypothèse d'un socialiste à Matignon est réelle, d'autant que Laurent Wauquiez a affirmé que la droite ne censurerait pas un gouvernement PS. Une position qui n'est pas partagé par le chef des LR, Bruno Retailleau.En coulisses, plusieurs noms circulent, de droite, du centre ou de gauche : Éric Lombard, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin, Bernard Cazeneuve... Tandis que François Bayrou continue d'invoquer l'intérêt national pour sauver sa tête. Sur les marchés, les experts évoquent une nervosité croissante des investisseurs face à la dette française depuis que le Premier ministre a annoncé un vote de confiance sur le budget.Pendant ce temps, en Lorraine, les ouvriers de l'usine Novasco, qui produit de l'acier depuis des décennies, sont inquiets. L'entreprise est en redressement judiciaire pour la quatrième fois en dix ans. Un exemple parmi d'autres du déclin industriel français. En mai 2025, près de 380 plans sociaux avaient été recensés en un an par la CGT, trois fois plus qu'en 2024.Les élus locaux, eux, sont en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Alors, quels sont les scénarios les plus probables pour l'après-Bayrou ? Comment stopper la désindustrialisation en France ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU – Politologue, professeur des Universités à Sciences Po- Eric HEYER – Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision à l'OFCE- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à Challenges- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique à Franceinfo TV
C dans l'air du 23 août 2025 – « Bloquons tout » : la menace qui inquiète BayrouUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes ce lundi 25 août, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, et marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié.La rentrée parlementaire aura lieu le 22. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent houleux. Ce plan de rigueur passe notamment par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réforme une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les Français pourraient donc descendre dans la rue. 70% seraient favorables à une manifestation.Les élus locaux sont aussi en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Les récentes canicules n'ont pas amélioré la situation économique du pays. Les vagues de chaleur et les sécheresses à répétition ont un coût important. Transports et chantiers ralentis, salariés exténués… Les canicules représentent un coût de frein pour l'économie. Une journée avec des températures supérieures à 32 ° serait équivalent à une demi-journée de grève. Dans le monde agricole aussi les conséquences sont nombreuses, entre perte et récoltes prématurées. Alors, Bayrou pourra-t-il faire passer son budget ? Les Français vont-ils suivre le mouvement « Bloquons tout » ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? Comment gérer le coût des aléas climatiques ?LES EXPERTS :Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction à L'Usine NouvelleValérie LECASBLE - Editorialiste politique pour LeJournal.infoAurore MALVAL - Journaliste politique, rédactrice en chef adjointe au web pour le journal MarianneBernard SANANÈS - Politologue et président de l'institut de sondage Elabe
C dans l'air du 23 août 2025 – « Bloquons tout » : la menace qui inquiète BayrouUne conférence de presse avant un automne délicat. François Bayrou répondra aux journalistes ce lundi 25 août, en amont d'une rentrée politique qu'il sait périlleuse, et marquée par la préparation du budget 2026 et les appels à bloquer le pays le 10 septembre – appels soutenus par la gauche et une partie des syndicats. Jean-Luc Mélenchon en appelle à une grève générale. « Nous déposerons la motion de censure pour faire tomber M. Bayrou le 23 septembre » a-t-il déjà planifié.La rentrée parlementaire aura lieu le 22. Les débats autour du budget et de ses quarante-quatre milliards d'économies s'annoncent houleux. Ce plan de rigueur passe notamment par le gel des dépenses de l'Etat et la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre voudrait également réforme une nouvelle fois l'assurance chômage. Des mesures qui font l'unanimité contre elles. Les Français pourraient donc descendre dans la rue. 70% seraient favorables à une manifestation.Les élus locaux sont aussi en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Les récentes canicules n'ont pas amélioré la situation économique du pays. Les vagues de chaleur et les sécheresses à répétition ont un coût important. Transports et chantiers ralentis, salariés exténués… Les canicules représentent un coût de frein pour l'économie. Une journée avec des températures supérieures à 32 ° serait équivalent à une demi-journée de grève. Dans le monde agricole aussi les conséquences sont nombreuses, entre perte et récoltes prématurées. Alors, Bayrou pourra-t-il faire passer son budget ? Les Français vont-ils suivre le mouvement « Bloquons tout » ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? Comment gérer le coût des aléas climatiques ?LES EXPERTS :Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction à L'Usine NouvelleValérie LECASBLE - Editorialiste politique pour LeJournal.infoAurore MALVAL - Journaliste politique, rédactrice en chef adjointe au web pour le journal MarianneBernard SANANÈS - Politologue et président de l'institut de sondage Elabe
REDIFF - Découvrez comment préserver et augmenter votre masse musculaire après 65 ans grâce à une alimentation riche en protéines et une activité physique régulière. Aline Perraudin vous éclaire sur les stratégies efficaces à mener pour vieillir en bonne santé.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:45:48 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - À l'adolescence, les besoins d'autonomie grandissent et la communication se transforme. Comment préserver un lien solide avec son ado sans empiéter sur son indépendance ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les dimanches, toi et moi on papote en Facetime
Dominique Dion a conçu Beedle, un appareil pensé pour maintenir le lien avec des personnes atteintes de troubles cognitifs, comme l'Alzheimer. Inspiré par la maladie de sa mère, il a développé un dispositif simple, personnalisable et sécurisé, doté d'un grand écran tactile et contrôlable à distance par un proche. Actuellement en phase bêta, Beedle reçoit des retours très positifs des familles et vise une commercialisation grand public avant les Fêtes.
On ne choisit pas ses parents. Tout le monde le sait. Mais lorsqu'ils deviennent un poids ou une menace pour notre santé mentale ou physique, que faire ? Maintenir les liens, même s'ils sont toxiques ? Essayer coûte que coûte d'arranger les choses ? Se dire que c'est comme ça et qu'il faut faire avec ? Et s'il fallait franchir un cap : celui de couper les ponts ! C'est la décision qu'a prise Sam, pour son bien-être. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:10:00 - Journal de 9h - Les principaux dirigeants européens ont appelé dimanche à maintenir la pression sur la Russie pour obtenir la paix et réitéré leur soutien à l'Ukraine, avant le sommet annoncé entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le 15 août prochain en Alaska.
durée : 00:43:07 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - La RDC et le Rwanda ont signé un accord de paix le 27 juin dernier, sous l'égide des États-Unis. Peu de temps après, la déclaration dite de Doha, menée sous la coupe du Qatar, a été signée entre le gouvernement congolais et les groupes armés de l'AFC-M23. S'agit-il d'un coup d'éclat diplomatique ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Maria Malagardis Grand reporter au journal Libération; Bob Kabamba Professeur de sciences politiques à l'Université de Liège; Séverine Autesserre Professeure des universités et directrice du département de science politique à la Faculté Barnard de l'université Columbia à New York
durée : 00:43:07 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - La RDC et le Rwanda ont signé un accord de paix le 27 juin dernier, sous l'égide des États-Unis. Peu de temps après, la déclaration dite de Doha, menée sous la coupe du Qatar, a été signée entre le gouvernement congolais et les groupes armés de l'AFC-M23. S'agit-il d'un coup d'éclat diplomatique ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Maria Malagardis Grand reporter au journal Libération; Bob Kabamba Professeur de sciences politiques à l'Université de Liège; Séverine Autesserre Professeure des universités et directrice du département de science politique à la Faculté Barnard de l'université Columbia à New York
Sans surprise, la commission nationale d'investiture LR a choisi l'ex-premier ministre pour mener bataille dans la 2e circonscription. Mais la ministre de la Culture continue de menacer de se lancer face à lui.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Annick souffre de solitude malgré une vie bien remplie et rencontre des difficultés à maintenir des amitiés féminines, souvent à cause de malentendus et de sa franchise perçue comme autoritaire. Elle se questionne sur la nature de ses relations et la possibilité que son comportement soit en partie responsable de ces ruptures amicales. Cette saison, Joseph Agostini accueille les auditeurs le dimanche soir de 23h à 1h sur RTL au 09 69 39 10 11.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Joëlle Dago-Serry et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Alors que Gaza est sous blocus et que les principales infrastructures – électricité, eau potable – sont à terre, comment les Gazaouis réussissent-ils à se connecter à internet ? En grande partie grâce à la solidarité de citoyens du monde entier, qui leur envoient des e-SIMS, des cartes SIM virtuelles. De notre correspondante à Ramallah,Bombardements, témoignages de médecins depuis des hôpitaux dévastés, distributions alimentaires ou choses de la vie quotidienne en temps de guerre. Les témoignages en provenance de Gaza inondent la toile depuis le déclenchement de la guerre. Certains internautes gazaouis comptent même des millions de followers. Un paradoxe, car depuis octobre 2023 et le début de l'offensive militaire, toutes les infrastructures de communication sont à terre.Certains, à l'époque, ont très vite compris que l'enclave palestinienne risquait d'être coupée du monde. C'est le cas de Moaz Mansour, ingénieur en télécommunications égyptien basé sur la côte ouest des États-Unis. « Bien que la connexion soit coupée à Gaza, on peut toujours y capter le réseau égyptien ou encore israélien. On a pris cela en considération. On s'est dit que c'était donc possible de se connecter grâce à un système de roaming », nous explique-t-il en communication via WhatsApp.En clair : Moaz achète en masse des recharges égyptiennes et israéliennes qu'il met gratuitement à la disposition des Gazaouis. Sur son site internet Gaza Online, il reçoit des dons du monde entier. Moaz Mansour dit avoir réussi ainsi à faire parvenir plus de 50 000 recharges Internet à Gaza. « On essaye de pousser les gens à faire des dons réguliers parce que c'est ce qui nous permet de continuer ce que l'on fait. On donne la priorité à la connexion sur place aux personnes qui travaillent dans le secteur médical », détaille-t-il.Comme Moez Mansour, des activistes du monde entier tentent de maintenir Gaza connecté. Jane Shi, une artiste qui vit à Vancouver, au Canada, revendique l'envoi de 18 000 SIM virtuelles vers Gaza. Internet est devenu un besoin élémentaire. « Cela peut être très dangereux de monter sur un toit, d'aller près de la mer ou de se rapprocher de la frontière pour essayer d'avoir une connexion israélienne. Les gens risquent leur vie pour avoir une connexion internet. On a entendu des récits de personnes qui ont été tuées par des bombardements israéliens alors qu'ils essayaient d'avoir un accès à Internet », raconte-t-elle.Maintenir la connexion sur place permet aux Gazaouis de rester en contact avec leurs proches. C'est aussi une façon pour ses militants de garder un œil sur ce qui se passe à Gaza. Une façon de dire aux Israéliens : « On vous voit. » « Quand il y a eu le massacre de l'hôpital Al Shifa, on a envoyé des SIM virtuelles à des journalistes qui étaient sur place », se souvient la militante canadienne. D'après les témoignages recueillis, les opérateurs israéliens tenteraient bien de couper ces connexions sans avoir réussi encore à ce stade à les empêcher complètement.À lire aussiGaza: les sauveteurs de la Défense civile en première ligne face aux victimes des bombardements israéliens
durée : 00:58:08 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le 16 février 2024, l'opposant Alexeï Navalny décéda dans une prison reculée de l'Arctique, où il purgeait une peine de 19 ans « pour extrémisme ». Un décès qui met en lumière le rôle central joué par le système carcéral dans la stratégie de répression des opposants politiques en Russie. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Anne Le Huérou Maîtresse de conférences à l'Université Paris-Ouest-Nanterre, spécialiste de la Russie contemporaine; Luba Jurgenson Vice-présidente de Mémorial France, professeure de littérature russe à Sorbonne-Université, écrivaine; Olga Gille-Belova Maîtresse de conférences à l'université Bordeaux-Montaigne
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Vous avez déjà imaginé transformer votre passion du voyage en véritable métier ? C'est le parcours qu'a choisi Bruno Maltor : il y a 10 ans, peu de personnes croyaient qu'être créateur de contenu voyage (blogueur, YouTubeur, influenceur) pouvait être un métier durable. Aujourd'hui, Bruno vit de ses aventures autour du monde, avec une communauté de + de 2,5 millions de personnes.Dans cet épisode, on parle de : La genèse de son métier : comment Bruno a osé dire non à TF1, se lancer avec 0 abonnés et inventer son propre jobPercer sur YouTube : ses conseils pour structurer ses vidéos, accrocher l'audience et se différencier dans un secteur ultra-concurrentiel.Son oganisation en digital nomad : gérer le rythme effréné des voyages, éviter le FOMO et maintenir un équilibre vie pro/vie perso.La force d'une équipe à distance : recruter ses premiers collaborateurs, faire confiance à la famille ou aux amis, et bâtir une véritable « famille globale ».Gérer le stress et la créativité : ses méthodes anti-burnout, routines pour gérer le stress et astuces pour toujours rester inspiré.Vous découvrirez aussi ses podcasts préférés, ses lectures inspirantes et ses routines d'énergie pour tenir la cadence.
Rendez-vous le jeudi 20 mars à 18h30 pour le prochain GDI-Live sur le thème : "Se lancer plus vite plus fort grâce à l'IA". Inscrivez-vous iciLe Mastige : du prestige pour les “masses”.C'est le positionnement ingénieux qu'ont finalement choisi Quentin Couturier et ses deux associés Xavier Aguera et Charles Brun, pour leur première et unique marque, IZIPIZI, après deux changements de nom.Fondée en 2010, See'Up avait d'abord vocation à apporter des solutions pour les presbytes directement dans des lieux stratégiques tels que les banques ou les hôtels.Un besoin émerge pour les particuliers. See'up fait alors plusieurs pivots jusqu'à devenir IZIPIZI en 2017 avec un objectif : équiper tout le monde (littéralement) pour tous types de lunettes (solaires, de lecture, contre la lumière bleue, pour le sport…).Aujourd'hui ils proposent plus de 1600 références, sont présents sur 90 pays et bénéficient d'un réseau de plus de 7000 revendeurs.Comment ? Grâce à des collaborations finement menées avec des institutions iconiques comme le concept store de Colette à Paris ou MoMa (Musée d'Art Moderne) de New York leur permettant d'inonder le marché.Aujourd'hui Quentin a vendu plus de 16 millions de paires avec une croissance à deux chiffres tous les ans, un record dans un secteur ultra-saturé avec plus de 5000 acteurs.Quentin explique notamment :Maintenir une image de marque tout en proposant des prix ultra-abordables (40 euros la paire contre 150 euros chez Ray-ban ou Persol).Développer sa marque à l'étranger, notamment aux US.Gérer ses stocks et sa logistique à si grande échelleSe faire connaître de tous jusqu'à être porté par la famille royale anglaisePetite masterclass sur le développement d'une marque et comment créer un engouement fort avec un produit simple et utilisé de tous.Pour vous remercier d'avoir écouté l'épisode, Quentin et son équipe ont accepté de nous faire une promotion ultra exclusive (allant même à l'encontre de leurs principes). Avec le code “DOIT” les 500 premiers auditeurs à passer commande sur izipizi.com auront droit à -20%.TIMELINE:00:00:00 : Changer deux fois de nom pour sa marque00:13:37 : Créer un besoin : “On communique par peur de se faire piquer l'idée”00:20:37 : Pourquoi il faut bien sélectionner le premier revendeur00:35:47 : Le positionnement ingénieux d'IZIPIZI et les prochaines innovations00:45:57 : Solaires, presbytes, contre la lumière bleue, polarisées... Des lunettes pour tout le monde00:55:27 : Comment tirer parti au maximum de ses points de vente01:06:34 : Combien ça gagne IZIPIZI01:16:47 : Comment développer une marque aux États-Unis01:24:37 : La stratégie pour se faire financer tout en restant maître à bord01:31:29 : La meilleure manière de faire connaître sa marque : égérie, cadeau, hasard01:42:08 : L'organisation interne et la RSE01:50:47 : La vraie difficulté du secteur retail : la projection et la logistique01:58:45 : Comment rester connecté à la réalité du marché auprès du client02:05:41 : Les meilleurs outils et plateformes pour entreprendre dans le retailLes anciens épisodes de GDIY mentionnés#179 - Geoffroy Guigou - Younited Credit - Prêter plus, plus vite, plus fort, grâce à la tech : objectif milliards#270 - Augustin Paluel-Marmont - Michel et Augustin - Comment réussir sans savoir faire une seule slide ?#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seul#423 - Guillaume Gibault - Le Slip français - Des slips de bobo à la grande conso, la croisade du Made in France#249 - Frédéric Biousse - Experienced Capital - Prendre la vie comme une partie de Monopoly#10 Sébastien Kopp - VEJA - concurrencer Nike et Adidas avec du Développement DurableNous avons parlé de :IZIPIZIMastige : prestige pour les massesOne to One MonacoFairmont Monte-CarloIncubateur Blue Factory ESCPPlastics ValléeSILMO ParisXavier Fontanet (Essilor)Packaging IzipiziRay-Ban MetaRolex vu par AcquieredLe Groupe ManutanTowerBrook CapitalKevin Rolland (Instagram)Kevin Rolland (film Résilience)Izipizi HorizonAdobe site webColibri S&OPLes recommandations de lecture : Les quatre accords toltèquesL'art de la victoireVous pouvez contacter Quentin sur LinkedIn et sur Instagram.La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.