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Nou mesos despr
durée : 00:17:47 - Les premières radios, des astronautes libérés et alerte sur les jeux dangereux - Au programme, l'histoire de la radio, des astronautes revenus sur Terre et de la prévention contre les défis dangereux : c'est à écouter dans le nouvel épisode de "Salut l'info !"
durée : 00:07:09 - L'invité de 6h20 - Lionel Suchet, président du Cnes (Centre national d'études spatiales), était l'invité de France Inter ce mercredi, après le retour des deux astronautes américains sur Terre. - invités : Lionel SUCHET - Lionel Suchet : Directeur général délégué du Centre national d'études spatiales (CNES)
On commence avec l'appel tant attendu entre Donald Trump et Vladimir Poutine, hier après midi, pendant près 3 heures
On commence avec l'appel tant attendu entre Donald Trump et Vladimir Poutine, hier après midi, pendant près 3 heures
Rencontre avec celle qui a entraîné Thomas Pesquet et Sophie Adenot ! Laura André-Boyet est instructrice d'astronautes à l'Agence Spatiale Européenne et elle nous fait partager l'envers du décor. Dans les coulisses de l'espace, les défis ne sont pas toujours ceux que l'on croit... Retrouvons-nous en apesanteur pour une émission spéciale et spatiale qui va nous entraîner dans les coulisses de la formation des astronautes, grâce à la seule femme française instructrice d'astronautes au Centre européen de formation d'astronautes de l'ESA (l'Agence Spatiale Européenne) : Laura André Boyet. Elle partage avec nous son étonnante trajectoire spatiale. Loin de l'image romantique, la préparation titanesque de ceux et celles qui s'apprêtent à partir en mission l'aventure spatiale implique non seulement un entraînement physique particulièrement rigoureux, une préparation à la survie dans les milieux les plus hostiles, un moral d'acier mais aussi des aptitudes scientifiques et techniques, sans oublier la préparation aux expériences en physiologie et neurosciences...Avec Laura André-Boyet, instructrice d'astronautes à l'agence spatiale européenne pour son livre Open Space : ma trajectoire spatiale paru chez FayardÀ écouter le podcast de Jules Grandsire : Elles font l'espace.Et notre chronique mensuelle Ciel d'Afrique en partenariat avec l'Astronomie Afrique, présentée par le planétologue Sylvain Bouley.
Rencontre avec celle qui a entrainé Thomas Pesquet et Sophie Adenot ! Laura André-Boyet est instructrice d'astronautes à l'Agence Spatiale Européenne et elle nous fait partager l'envers du décor. Dans les coulisses de l'espace, les défis ne sont pas toujours ceux que l'on croit... Retrouvons-nous en apesanteur pour une émission spéciale et spatiale qui va nous entrainer dans les coulisses de la formation des astronautes, grâce à la seule femme française instructrice d'astronautes au centre européen de formation d'astronautes de l'ESA (l'Agence Spatiale Européenne) : Laura André Boyet. Elle partage avec nous son étonnante trajectoire spatiale. Loin de l'image romantique, la préparation titanesque de ceux et celles qui s'apprêtent a partir en mission l'aventure spatiale implique non seulement un entrainement physique particulièrement rigoureux, une préparation à la survie dans les milieux les plus hostiles, un moral d'acier mais aussi des aptitudes scientifiques et techniques, sans oublier la préparation aux expériences en physiologie et neurosciences...Avec Laura André-Boyet, instructrice d'astronautes à l'agence spatiale européenne pour son livre Open Space : ma trajectoire spatiale paru chez FayardA écouter le podcast de Jules Grandsire : Elles font l'espace Et notre chronique mensuelle Ciel d'Afrique en partenariat avec l'Astronomie Afrique, présentée par le planétologue Sylvain Bouley
Après plus de 9 mois passés dans l'espace, ça y est. Les deux astronautes restés coincés dans l'ISS devraient revenir sur terre. Mais quels sont les conséquences physiques de cette mission de si longue durée ? On en parle avec Sarah BAATOUT, directrice adjointe de l'Institut des applications médicales nucléaires au Centre belge de recherche nucléaire à Mol. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gaza : les bombardements ont repris Toujours pas de Gouvernement bruxellois Hongrie : Loi pour l'interdiction de la Marche des fiertés Coup de téléphone entre Trump et Poutine Thibaut Courtois redevient le gardien des Diables rouges Le Téléphone rouge, la ligne directe entre les USA et la Russie Les astronautes coincés dans l'espace depuis 8 mois devraient amerrir ce soir Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:14 - Le billet sciences - Butch Wilmore et Suni Williams bloqués dans la Station spatiale internationale sont , sauf contre ordre, attendus sur Terre mardi. S'ils ont l'un et l'autre assuré qu'ils s'adaptaient bien à leur séjour prolongé, un voyage dans l'espace n'est pas neutre pour le corps humain.
Bloqués depuis plus de neuf mois dans la Station Spatiale Internationale, Suni Williams et Butch Wilmore ne devaient rester sur place que quelques jours. Mais ce samedi, la fusée Falcon 9 de Space X a été lancée pour ramener les deux astronautes sur Terre.
Ils devraient être de retour sur terre ce dimanche grâce à l'intervention d'une fusée Space X d'Elon Musk
Ils devraient être de retour sur terre ce dimanche grâce à l'intervention d'une fusée Space X d'Elon Musk
durée : 00:05:56 - franceinfo junior - Alors qu'une mission doit rapatrier les astronautes coincés dans la Station spatiale internationale (ISS), franceinfo junior répond aux questions des enfants sur le sujet.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 04/03/2025, il reçoit l'instructrice d'astronautes à l'Agence spatiale européenne, Laura André-Boyet pour évoquer le processus de recrutement des astronautes. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Tous les matins, à 6h45, un récit d'actualité, contextualisé et raconté avec toute l'expérience journalistique de Matthieu Belliard
durée : 00:03:26 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - .
durée : 00:03:26 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - .
Les astronautes ne peuvent pas manger de pain dans l'espace en raison des conditions uniques de microgravité qui rendent les miettes de pain dangereuses et gênantes. Voici les principales raisons : 1. Les miettes flottantesDans l'espace, l'absence de gravité empêche les miettes de pain de tomber au sol comme sur Terre. Ces miettes flottent librement dans l'habitacle, ce qui pose plusieurs problèmes : - Danger pour les équipements : Les miettes peuvent s'introduire dans les instruments électroniques sensibles, causant des dysfonctionnements ou des pannes. - Risque pour la santé des astronautes : Si une miette est inhalée par inadvertance, elle peut obstruer les voies respiratoires et provoquer des difficultés respiratoires. 2. Durée de conservationLe pain frais a une durée de vie relativement courte et peut rapidement moisir. Dans un environnement spatial où le ravitaillement est limité et où la fraîcheur des aliments est cruciale, le pain n'est pas pratique. 3. Problèmes d'hygièneLes miettes flottantes peuvent atterrir sur les vêtements, les surfaces ou dans les zones difficiles à nettoyer, compromettant ainsi l'hygiène et la propreté de l'environnement confiné. Alternatives au pain dans l'espacePour éviter ces problèmes, les astronautes consomment des substituts comme les tortillas. Les tortillas ont plusieurs avantages : - Pas de miettes : Contrairement au pain, elles ne se désagrègent pas facilement. - Longue conservation : Elles peuvent être fabriquées avec des conservateurs pour durer plusieurs mois sans se détériorer. - Facilité d'utilisation : Elles sont flexibles et peuvent envelopper divers aliments sans s'effriter. En résumé, le pain est inadapté à l'espace en raison des miettes flottantes, des risques pour les équipements et la santé, et de sa faible durée de conservation. Les tortillas, plus pratiques, ont remplacé le pain pour les repas en apesanteur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retour sur l'explosion de la navette spatiale Challenger le 28 janvier 1986, un échec tragique pour la NASA qui a coûté la vie à 7 astronautes, dont une institutrice devant donner des cours aux enfants depuis l'espace.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.En 2025, Europe 1 célèbre ses 70 ans. 70 ans d'histoire, de rires, de partages et d'émotions.Pour marquer cet anniversaire, découvrez une collection inédite de podcasts : "70 ans d'Europe 1".
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Ils devaient être rapatriés en février par une fusée Space X . On a appris que leur retour allait être encore décalé de plusieurs semaines
Ils devaient être rapatriés en février par une fusée Space X . On a appris que leur retour allait être encore décalé de plusieurs semaines
Remontez le temps avec nous jusqu'en 1972 et découvrez les derniers instants de la conquête de la Lune ! Après six missions Apollo, la NASA s'apprête à clôturer son programme lunaire avec la mission Apollo 17.
Retour sur la mission Apollo 12, qui a vu les astronautes américains Alan Bean et Pete Conrad devenir les premiers hommes à se promener librement à la surface de la Lune, quatre mois seulement après le célèbre premier pas de Neil Armstrong.Dans cet épisode passionnant, nous revivons les moments clés de cette nouvelle étape dans la conquête de l'espace. Après le succès historique de la mission Apollo 11, la NASA avait à cœur de poursuivre son programme ambitieux et d'envoyer de nouveaux équipages explorer notre satellite naturel.Le 19 novembre 1969, c'est donc une nouvelle équipe qui s'élance depuis Cap Kennedy en Floride à bord d'Apollo 12. À leur arrivée sur la Lune, les astronautes Alan Bean et Pete Conrad peuvent enfin quitter leur module lunaire et se promener librement à la surface, une première depuis les missions précédentes.
Préparez-vous à un voyage hors du commun ! Dans cet épisode de "C'était dans l'actu", nous plongeons dans les coulisses d'un partenariat étonnant entre la prestigieuse maison de luxe italienne Prada et l'exploration spatiale.
Où l'on parle de théories du complot, mais aussi de nourriture réconfortante.⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️Discord / s'abonner / envoyer un vocal / nos bouilles sur YouTube⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️00:00:00 : Teasing00:00:15 : Mariachis00:06:04 : Follow-ups00:28:19 : Hot take00:36:40 : Les bails00:56:38 : La reco01:19:06 : Les feels01:34:15 : Le rire01:56:18 : Boule noire02:06:40 Mars & Vénus02:30:00 : La FabMymylia♻️ FOLLOW-UPS• Mymy a confondu Naomie Ackie et Betty Gabriel, SORRY• Couper les ponts avec les parents, c'est parfois très OK• Tout Simplement Noir est dispo sur Arte jusqu'en janvier !• Eva Rami est de retour sur scène à Paris, allez la voir• L'âge est-il une « excuse » pour les oeillères d'Inoxtag ?• Mymy est une dealeuse de crack et Balatro est sur mobile
On se demande parfois comment les astronautes accomplissent les gestes de la vie quotidienne dans l'espace. Comment s'y prennent-ils, par exemple, pour laver leur linge ? En principe, ils devraient faire leur lessive assez souvent. En effet, ils doivent faire des exercices réguliers, pour compenser tout le temps passé en apesanteur et conserver leur vigueur musculaire. Il leur faut donc changer régulièrement de vêtements. Et pourtant, ces habits ne sont pas lavés. Les cosmonautes les chargent dans des cargos ravitailleurs en fin de mission, qui jouent alors le rôle de poubelles spatiales. Ces vaisseaux finissent ensuite par brûler au contact de l'atmosphère terrestre.Cette solution a été adoptée faute de mieux, mais elle n'est pas satisfaisante. Elle entraîne un véritable gaspillage et oblige à prévoir près de 70 kilos de vêtements pour les astronautes de la Station spatiale internationale (ISS). Mais, pour l'instant, la question du lavage du linge dans l'espace n'est pas résolue. Pour cela, il faudrait d'abord prévoir une quantité supplémentaire d'eau. Or celle-ci est déjà une denrée rare dans la station spatiale. Pour répondre aux besoins des astronautes, on est même amené, en effet, à recycler la vapeur d'eau et l'urine des cosmonautes. Transporter à bord l'eau nécessaire au fonctionnement d'une machine à laver poserait donc un véritable problème. Sans parler de l'encombrement et du poids d'un tel appareil. Or la place est comptée à bord de la station spatiale, et chaque cm2 est déjà utilisé. Et comme l'eau est rare, il n'est pas non plus question de douche pour les astronautes, qui auraient pu laver leurs vêtements en faisant leurs ablutions. En fait, ils utilisent des lingettes pour faire leur toilette. La lessive dans l'espace fait partie de ces questions d'intendance qui peuvent faire sourire. Elles ont pourtant leur importance dans le cadre des bases permanentes sur la Lune ou sur Mars qui verront peut-être le jour dans un avenir prochain. C'est pourquoi les chercheurs de la NASA travaillent d'arrache-pied à une technique permettant aux astronautes de laver et de réutiliser leur linge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ils devaient partir huit jours, ils y resteront huit mois : les deux astronautes parvenus à la Station spatiale internationale à bord du vaisseau Starliner de Boeing ne rentreront sur Terre qu'en février avec le concurrent SpaceX. Un revirement de situation inédit auquel la NASA doit s'ajuster en vitesse. Olivier Hernandez, directeur du Planétarium de Montréal, analyse cette saga et ses conséquences pour l'agence spatiale américaine.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:11:26 - L'invité de 7h50 - par : Alexis Morel - À 400 km au-dessus de nous, deux astronautes américains pourraient rester bloqués bien plus longtemps que prévu dans l'ISS. Ils ne devaient y passer qu'une semaine, ils pourraient y rester jusqu'en février 2025. Car leur vaisseau avec lequel ils sont arrivés a connu de sérieuses avaries. - invités : Jean François CLERVOY - Jean-François Clervoy : Astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA) et fondateur d'Air Zéro G.
durée : 00:11:26 - L'invité de 7h50 - par : Alexis Morel - À 400 km au-dessus de nous, deux astronautes américains pourraient rester bloqués bien plus longtemps que prévu dans l'ISS. Ils ne devaient y passer qu'une semaine, ils pourraient y rester jusqu'en février 2025. Car leur vaisseau avec lequel ils sont arrivés a connu de sérieuses avaries. - invités : Jean François CLERVOY - Jean-François Clervoy : Astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA) et fondateur d'Air Zéro G.
durée : 01:59:18 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon - .
Mickaël Dorian revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, Michel Chevalet, journaliste et expert scientifique, revient sur l'histoire de deux astronautes qui peuvent rester coincés dans la station spatiale internationale jusqu'en février prochain. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
ISS : Des problèmes techniques, notamment des fuites d'hélium et une défaillance au niveau des propulseurs empêchent les deux astronautes américains Butch Wilmore et Suni Williams de préparer leur vol retour. Michel Tognini, astronaute et ancien chef du centre des astronautes européens, nous explique et nous rassure sur la situation. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Vincent Derosier du 08 août 2024.
ISS : Des problèmes techniques, notamment des fuites d'hélium et une défaillance au niveau des propulseurs empêchent les deux astronautes américains Butch Wilmore et Suni Williams de préparer leur vol retour. Michel Tognini, astronaute et ancien chef du centre des astronautes européens, nous explique et nous rassure sur la situation. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Vincent Derosier du 08 août 2024.
RediffusionLors de leurs missions dans l'espace, et à bord de leurs vaisseaux, les astronautes ont souvent l'occasion de prendre des notes, notamment pour consigner les résultats de leurs observations.Mais avec quoi devaient-ils écrire ? Il s'agit d'un de ces petits détails de la vie quotidienne qui, dans l'espace, revêtent un aspect différent. La NASA a essayé des moyens classiques, comme le crayon à papier. Mais on s'est vite aperçu que ce n'était pas une bonne solution. En effet, comme on le sait, il n'y a pas de gravité dans l'espace.Aussi les mines de graphite des crayons se sont mises à flotter dans la cabine.Or, ce n'est pas sans danger. Ces éléments, très conducteurs, peuvent en effet s'infiltrer dans les circuits et provoquer des incidents. Toutes les parties du crayon sont d'ailleurs inflammables, et peuvent être à l'origine d'incendies aux conséquences fatales.Quant aux stylos-billes, ce n'était guère mieux. Ils résistaient mal aux conditions de pression régnant dans les vaisseaux. Et ils avaient aussi tendance à fuir, l'encre restant alors en suspension dans la cabine.Une société privée a donc eu l'idée d'élaborer un stylo spécialement conçu pour écrire dans l'espace. Plusieurs agences spatiales, dont la NASA , se sont aussitôt portées acquéreurs. Ce qui a d'ailleurs fait naître une polémique sur le coût supposé de ces stylos.De fait, l'entreprise qui les a conçus a dépensé près d'un million de dollars pour les mettre au point. Mais le prix payé par la NASA, notamment, n'aurait rien eu d'exorbitant. Aussi ne se serait-elle pas ruinée, comme on le lui a parfois reproché, pour équiper, dès 1968, ses divers équipages.Ces « space pens », comme on les a baptisés, présentaient des caractères spécifiques, qui les rendaient aptes à l'écriture dans l'espace. En premier lieu, ils étaient équipés d'une sorte de résine, qui limitait les fuites d'encre.Ils étaient par ailleurs conçus pour pouvoir écrire dans des conditions de température extrêmes. Et d'autres améliorations, depuis, ont rendu l'emploi du graphite des crayons à papier moins dangereux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:49 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Parce que c'est bien connu : "Dans l'espace, personne ne vous entendra crier". Le jeune Killiann, 7 ans et demi, a peut-être raison de s'inquiéter. - invités : Thomas Pesquet - Thomas Pesquet : Astronaute à l'agence spatiale européenne - réalisé par : Stéphanie TEXIER
durée : 00:04:41 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - A partir d'échantillons biologiques collectés au cours de différentes missions spatiales, la NASA révèle la parution de la plus grande base de données médicales d'astronautes et de 44 études associées.
Les astronautes prêts à partir en mission peuvent emporter des livres, des photos et d'autres effets personnels. Mais ils n'ont pas le droit de prendre des timbres. Pourquoi une telle interdiction ?Pour la comprendre, il faut remonter à une affaire qui, en 1971, ternit quelque peu l'image de la NASA. Elle concerne certains des astronautes participant à la mission Apollo 15.Les cosmonautes impliqués partent avec 400 enveloppes, qui ont été timbrées le jour du lancement de la fusée, le 26 juillet 1971. Elles se trouvent donc à bord du module lunaire, le temps de la mission. Et, au retour des astronautes, le 7 août, les timbres apposés sur les enveloppes sont oblitérés.Si les choses en étaient restées là, il ne se serait sans doute rien passé. Mais le scandale éclate quand on apprend que certains cosmonautes ont retiré de substantiels profits de la revente d'une partie de ces enveloppes timbrées.En effet, 100 enveloppes sont vendues par les soins d'une société philatélique allemande, "Hermann Ernst Sieger GmbH". D'où le nom d'enveloppes "Sieger" qui leur est donné. L'opération aurait rapporté environ 7 000 dollars de l'époque à chacun des cosmonautes concernés.Si la NASA autorise les astronautes à emmener des objets personnels dans l'espace, elle n'admet pas qu'ils en fassent commerce.Dans un premier temps, les cosmonautes impliqués reçoivent donc un blâme de leurs supérieurs. Ils sont ensuite invités à rendre l'argent qu'ils ont touché, ce qu'ils font. Par ailleurs, ils sont écartés des missions spatiales et affectés à d'autres emplois.Mais ces mesures n'ont pas suffi à éteindre la polémique. En effet, une enquête a été ouverte et les astronautes ont été entendus par une Commission du Sénat américain.Il a même été question d'interdire aux cosmonautes d'emporter des objets personnels dans l'espace. On s'est finalement contenté de limiter le nombre d'effets personnels à 12 et de proscrire certains d'entre eux, comme les timbres, on s'en doute, ou tout ce qui pourrait être timbré avant le vol, comme des enveloppes ou des cartes postales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avoir un crayon sous la main pour écrire est assez banal, mais on a fait beaucoup de chemin depuis les roches utilisées pour faire des gravures dans les cavernes et sur des tablettes d'argile. Le stylo a eu plusieurs formes pendant les derniers siècles, et chaque nouvelle innovation a changé notre rapport à l'écriture. Avec Sophie Croteau et Charles Trahan Une production QUB, Mai 2024Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
On le sait, les séjours dans l'espace peuvent affecter l'organisme. Une récente étude vient d'en apporter une nouvelle preuve : les astronautes auraient des maux de tête fréquents.Les scientifiques ont notamment recueilli les déclarations de cosmonautes de l'Agence spatiale européenne et de la Nasa qui, de 2011 à 2018, avaient eu l'occasion de séjourner dans la Station spatiale internationale.Certains d'entre eux avaient déjà eu mal à la tête au cours de l'année précédente, d'autres n'ayant par contre jamais souffert de migraines. Mais aucun d'entre eux n'avait eu à subir de maux de tête récurrents.Or, 22 astronautes ont déclaré avoir ressenti des maux de tête, une ou plusieurs fois, après des séjours dans l'espace. En tout, près de 380 maux de tête ont été signalés à l'occasion de cette étude.Rien d'étonnant à cela d'après les auteurs de l'étude. En effet, les modifications de la gravité impactent le cerveau. Et perturbent le système vestibulaire, responsable de notre équilibre et de notre aptitude à nous repérer dans l'espace.Notre cerveau serait pris, en quelque sorte, dans un conflit entre les perceptions qu'il s'attend à ressentir, dans un environnement normal, et celles qui lui parviennent réellement.C'est ce conflit qui provoquerait le mal de l'espace éprouvé par les cosmonautes. Or celui-ci provoque, entre autres désagréments, des maux de tête et même des migraines.D'une manière générale, le cerveau est mis à rude épreuve dans l'espace. Selon les scientifiques, il lui faudrait même environ trois ans pour retrouver son état normal. Entre autres effets de ces voyages dans l'espace, le cerveau se dilaterait, ce qui entraînerait des maux de tête.Et ce problème de santé n'est pas anecdotique. En effet, plus de 90 % des astronautes en souffriraient. Très gênants, ces maux de tête rendent les cosmonautes moins performants et risquent de compromettre leur mission.Avant de mettre au point des méthodes de soin, propres à les soulager, d'autres recherches sont nécessaires. Elles permettront de mieux cerner l'ensemble des causes de ce phénomène. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Les sorties dans l'espace ne sont pas sans conséquences sur le corps humain. Les cosmonautes peuvent souffrir, en effet, d'une certaine congestion de la tête, d'une perte de la masse musculaire ou encore d'une fragilisation des os.S'y ajoute un autre désagrément possible, la perte des ongles. En retirant leurs gants, après une sortie dans l'espace ou un entraînement intensif sur terre, certains astronautes ont les mains en sang. Ils s'aperçoivent alors que leurs ongles sont tombés.Comment expliquer cette onycholyse, le nom scientifique de la perte des ongles ?Si les ongles peuvent tomber, au cours d'une sortie dans l'espace, c'est à cause de la faible pression atmosphérique qui règne alors. Pour rendre la sortie possible malgré tout, il faut revêtir une combinaison pressurisée.Cet équipement, très lourd et incommode, gêne les mouvements, notamment au niveau des mains. L'utilisation des gants, pressurisés comme le reste de la combinaison, entraîne une forte pression et de nombreux frottements.Cette friction du bout des doigts contre la matière assez rude du gant, ajoutée à la transpiration et à une forte chaleur, finit parfois par provoquer le détachement des ongles. Et ce d'autant plus que la sortie ou l'exercice se prolongent.Le majeur, doigt plus allongé, est plus souvent concerné par ce type de blessures. De même, les femmes, qui ont souvent des ongles plus longs, les perdent plus volontiers que leurs collègues masculins.Après avoir étudié, entre autres blessures, de nombreux cas d'onycholyse chez les cosmonautes, des chercheurs ont signalé les problèmes posés par les gants dont ils sont équipés. Si ce n'est pas la seule cause de ce douloureux désagrément, ces gants mal étudiés y contribueraient de manière notable.Ils notent que ces gants sont rigides et souvent mal adaptés à la largeur des doigts. Ils ralentissent donc la circulation sanguine, ce qui augmente les risques de blessures, et notamment celui de perdre ses ongles.Cependant, les agences spatiales réfléchiraient d'ores et déjà à la conception d'équipements plus appropriés. Ils devraient être prêts pour la mission Artémis, qui devrait ramener des astronautes sur la Lune dès 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les sorties dans l'espace ne sont pas sans conséquences sur le corps humain. Les cosmonautes peuvent souffrir, en effet, d'une certaine congestion de la tête, d'une perte de la masse musculaire ou encore d'une fragilisation des os. S'y ajoute un autre désagrément possible, la perte des ongles. En retirant leurs gants, après une sortie dans l'espace ou un entraînement intensif sur terre, certains astronautes ont les mains en sang. Ils s'aperçoivent alors que leurs ongles sont tombés. Comment expliquer cette onycholyse, le nom scientifique de la perte des ongles ? Si les ongles peuvent tomber, au cours d'une sortie dans l'espace, c'est à cause de la faible pression atmosphérique qui règne alors. Pour rendre la sortie possible malgré tout, il faut revêtir une combinaison pressurisée. Cet équipement, très lourd et incommode, gêne les mouvements, notamment au niveau des mains. L'utilisation des gants, pressurisés comme le reste de la combinaison, entraîne une forte pression et de nombreux frottements. Cette friction du bout des doigts contre la matière assez rude du gant, ajoutée à la transpiration et à une forte chaleur, finit parfois par provoquer le détachement des ongles. Et ce d'autant plus que la sortie ou l'exercice se prolongent. Le majeur, doigt plus allongé, est plus souvent concerné par ce type de blessures. De même, les femmes, qui ont souvent des ongles plus longs, les perdent plus volontiers que leurs collègues masculins. Après avoir étudié, entre autres blessures, de nombreux cas d'onycholyse chez les cosmonautes, des chercheurs ont signalé les problèmes posés par les gants dont ils sont équipés. Si ce n'est pas la seule cause de ce douloureux désagrément, ces gants mal étudiés y contribueraient de manière notable. Ils notent que ces gants sont rigides et souvent mal adaptés à la largeur des doigts. Ils ralentissent donc la circulation sanguine, ce qui augmente les risques de blessures, et notamment celui de perdre ses ongles. Cependant, les agences spatiales réfléchiraient d'ores et déjà à la conception d'équipements plus appropriés. Ils devraient être prêts pour la mission Artémis, qui devrait ramener des astronautes sur la Lune dès 2025. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Avant d'être embauchés, les astronautes, et notamment ceux de l'Agence spatiale européenne (ESA), sont soumis à des tests de sélection très rigoureux. Ils portent autant sur leurs compétences et leurs réflexes que sur leur état de santé. Dans l'espace, en effet, le corps est soumis à rude épreuve. C'est pourquoi les cosmonautes doivent être en parfaite condition physique. Leur santé fait donc l'objet d'un examen minutieux, auquel la dentition n'échappe pas. À cet égard, les astronautes doivent respecter une condition sur laquelle l'Agence spatiale ne transige pas : ils ne doivent pas avoir de caries. Mieux vaut donc avoir des dents saines pour pouvoir partir dans l'espace. Attention aux plombages Pourquoi porter une telle attention aux caries ? Si le dentiste pense, vu l'état des dents d'un cosmonaute, que des caries pourraient se former à brève échéance, on évitera de l'inclure dans une mission prochaine. En effet, si, une fois dans l'espace, une carie se forme, le cosmonauté éprouvera de vives douleurs. Or, sur place, rien n'est prévu pour le soigner. Dès lors, la mission ne peut que pâtir d'une telle détérioration de l'état de santé de l'un de ses membres. Mais le vrai problème, en fait, ce pas pas tant la carie elle-même que les plombages mis en place pour les soigner. Dans l'espace, en effet, une dépressurisation de la cabine n'est pas à exclure. Un trou dans la coque suffit à provoquer un tel phénomène. Et, dans ce cas, la pression sur le corps humain est si forte que les plombages pourraient tout simplement se décrocher et sauter hors de la bouche du cosmonaute ! Si on a soigné vos caries par des plombages, il est donc inutile de vous présenter aux tests de sélection de l'ESA. Il vous faudra envisager une autre carrière, sauf si le dentiste a utilisé une autre méthode pour traiter les caries. Pour éviter tout problème, l'hygiène dentaire doit être parfaite à bord du vaisseau spatial. C'est pourquoi les astronautes se lavent régulièrement les dents. Pour ce faire, ils utilisent de préférence un dentifrice comestible, afin d'économiser l'eau. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Avant d'être embauchés, les astronautes, et notamment ceux de l'Agence spatiale européenne (ESA), sont soumis à des tests de sélection très rigoureux. Ils portent autant sur leurs compétences et leurs réflexes que sur leur état de santé.Dans l'espace, en effet, le corps est soumis à rude épreuve. C'est pourquoi les cosmonautes doivent être en parfaite condition physique. Leur santé fait donc l'objet d'un examen minutieux, auquel la dentition n'échappe pas.À cet égard, les astronautes doivent respecter une condition sur laquelle l'Agence spatiale ne transige pas : ils ne doivent pas avoir de caries. Mieux vaut donc avoir des dents saines pour pouvoir partir dans l'espace.Attention aux plombagesPourquoi porter une telle attention aux caries ? Si le dentiste pense, vu l'état des dents d'un cosmonaute, que des caries pourraient se former à brève échéance, on évitera de l'inclure dans une mission prochaine.En effet, si, une fois dans l'espace, une carie se forme, le cosmonauté éprouvera de vives douleurs. Or, sur place, rien n'est prévu pour le soigner. Dès lors, la mission ne peut que pâtir d'une telle détérioration de l'état de santé de l'un de ses membres.Mais le vrai problème, en fait, ce pas pas tant la carie elle-même que les plombages mis en place pour les soigner. Dans l'espace, en effet, une dépressurisation de la cabine n'est pas à exclure. Un trou dans la coque suffit à provoquer un tel phénomène.Et, dans ce cas, la pression sur le corps humain est si forte que les plombages pourraient tout simplement se décrocher et sauter hors de la bouche du cosmonaute !Si on a soigné vos caries par des plombages, il est donc inutile de vous présenter aux tests de sélection de l'ESA. Il vous faudra envisager une autre carrière, sauf si le dentiste a utilisé une autre méthode pour traiter les caries.Pour éviter tout problème, l'hygiène dentaire doit être parfaite à bord du vaisseau spatial. C'est pourquoi les astronautes se lavent régulièrement les dents. Pour ce faire, ils utilisent de préférence un dentifrice comestible, afin d'économiser l'eau. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:02 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Sybile, 7 ans et demi, s'interroge : quand les astronautes sont dans l'espace, comment font-il pour manger, lorsqu'ils ne sont pas dans la fusée ? Il y a en effet des sorties extravéhiculaires qui peuvent durer des heures. - invités : Thomas Pesquet - Thomas Pesquet : Astronaute à l'agence spatiale européenne - réalisé par : Stéphanie TEXIER
durée : 00:03:49 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Parce que c'est bien connu : "Dans l'espace, personne ne vous entendra crier". Le jeune Killiann, 7 ans et demi, a peut-être raison de s'inquiéter. - invités : Thomas Pesquet - Thomas Pesquet : Astronaute à l'agence spatiale européenne - réalisé par : Stéphanie TEXIER