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durée : 00:04:03 - Philosophie - par : Thibaut de Saint-Maurice - Fusées, Lune, Mars... La conquête spatiale fait rêver. Mais est-elle un progrès pour l'humanité ou une fuite loin de la Terre ? Thibaut de Saint Maurice interroge le sens de cette aventure entre idéal d'exploration et risque de déracinement.
durée : 00:01:51 - Bientôt chez vous - Des chercheurs japonais développent une micro-batterie nucléaire capable de fonctionner pendant plus d'un siècle sans recharge. Si elle pourrait révolutionner l'usage des objets du quotidien, cette technologie est d'abord pensée pour l'exploration spatiale, dans des zones où l'énergie solaire devient inutilisable.
Il n'y a pas assez de microbes dans la station spatiale...
durée : 00:34:52 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - La Protection Planétaire est née de l'idée qu'il fallait préserver l'intégrité des corps célestes, dont notre propre Terre, lors des missions d'exploration. Un cadre essentiel dans le contexte actuel pour ne pas que les prochaines découvertes soient celles de traces de missions passées. - invités : Athena Coustenis - Athéna Coustenis : Astrophysicienne à l'Observatoire de Paris-PSL, directrice de recherche CNRS au Laboratoire de Recherches Spatiales et d'Instrumentation en Astrophysique (LESIA) - réalisé par : Jérôme BOULET
La menace spatiale! Shamelessplug Hackfest Swag Join Hackfest/La French Connection Discord Join Hackfest us on Mastodon Nouvelles La menace spatiale! Explosion d ‘emploi en cybersécurité, une vraie farce CVE will live on DOGE Whistle blower DOGE via NPR SSH exploit Deepfake et ingénierie sociale….seriez-vous différencier le vrai du faux avec vos proches SuperCard X Android Malware Enables Contactless ATM and PoS Fraud via NFC Relay Attacks Piratage et demande de rançon à la MRC de Maskinongé Dossier santé numérique: un conflit d'intérêts comme dans le fiasco SAAQclic? Publier une simple photo peut vous mettre en DANGER Crew Patrick Mathieu Steve Waterhouse Francis Coats Jacques Sauvé Richer Dinelle Crédits Montage audio par Hackfest Communication Music par Ecometric – TransPlants - Beatroots - Sailor (Ecometric Renavigation) Locaux virtuels par Streamyard
Cette semaine, Pierre Brassard reçoit Sophie Faucher, Pénélope McQuade et Yves P. Pelletier, qui doivent répondre à des questions sur : le perroquet malpoli, les Ch'tis à la mâchoire cassée, la retraite de Cate Blanchett, le trophée brisé, le vol de Katy Perry, l'eau bénite contaminée, le poulet au cinéma et le doctorat honoris causa de Voïvoid.
Vous avez peut-être vu récemment les images spectaculaires d'une fusée qui s'est abîmée en mer dans une énorme explosion, 30 secondes après son décollage, lancée d'une base spatiale norvégienne dans l'Arctique.Une fusée qui explose en vol, c'est un échec…. Et pourtant, selon les spécialistes de l'industrie spatiale, comme l'Agence spatiale européenne, ce lancement est une avancée. Spectrum est la première fusée orbitale lancée depuis l'Europe continentale, hors Russie. Elle a été développée par une start up allemande, symbole d'un nouvel écosystème européen centré sur les lanceurs légers. Dans cet épisode, on vous explique pourquoi les acteurs historiques se réjouissent de l'arrivée de jeunes pousses comme Spectrum. Invités : Tony Tolker-Nielsen, directeur du transport spatial à l'Agence Spatiale EuropéennePierre Lionnet, directeur de recherche à Eurospace, association qui représente les entreprises du secteur.Réalisation : Emmanuelle BaillonSons : AFPTVVoix doublage : Maxime Mamet, Luca MatteucciSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Samedi 5 avril: En Ouzbékistan, la Présidente de la Commission européenne annonce un nouveau partenariat stratégique avec les cinq pays de l'Asie centrale. Le premier sommet avec cette région du monde s'achève par la signature d'un investissement important. 12 milliards d'euros pour faire avancer le corridor de transport à travers une route commerciale qui reliera l'Union européenne à l'Asie, sans passer par la Russie. Avec ce projet, Ursula Von der Leyen souligne la différence d'approche dans le traitement des minerais permettant de créer une valeur ajoutée locale. L'autonomie de l'Europe concernant les matières premières, pour la Défense et les nouvelles technologies, c'est une priorité depuis la guerre en Ukraine et la nouvelle politique extérieure américaine. Faire de Bruxelles une référence dans le domaine du spatial, c'est le souhait de l'ESA, l'Agence Spatiale Européenne. Pour ce faire, elle s'est associée pour lancer un programme dédié aux nouvelles entreprises dans le domaine spatial dans le but de faire naître 24 startups belges.
L'espace est devenu en quelques années un champ de bataille de souveraineté, avec des implications militaires. Le rôle vital joué par Starlink, le réseau de communication par Internet du milliardaire américain Elon Musk, dans la défense de l'Ukraine interroge les Européens sur leurs propres capacités.
Ian Carnelli, responsable du projet Hera à l'ESA (Agence Spatiale Européenne), était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 20 mars. Il s'est penché sur la mission de défense planétaire Hera, la sonde Hera qui étudie un astéroï
L'intelligence visuelle et spatiale, selon Howard Gardner, est une aptitude à manipuler et comprendre des formes, des espaces et des relations spatiales, ce qui permet de visualiser des objets en trois dimensions et de créer des images mentales détaillées. Elle oriente les jeunes vers des métiers dans des domaines comme l'architecture, le design, ou les arts visuels, où la perception et la manipulation des formes sont essentielles.✅ DANS CET ÉPISODE NOUS ABORDONS :Comment détecter l'intelligence visuelle et spatiale chez un enfant ou un adolescent, à travers son amour pour le dessin, sa capacité à se repérer dans l'espace, et son attention aux détails.Comment développer cette intelligence en utilisant des techniques comme les croquis, les maquettes, et les jeux de construction, ainsi que des outils comme les cartes mentales.Les métiers où l'intelligence visuelle et spatiale s'épanouit, tels qu'architecte, designer, sculpteur, photographe, ou pilote.
Émission du 19 Mars 2025, les pieds sur terre, la tête dans les étoiles- Ojectif Mayday ! Un dialogue de Luigi- Des fusées nazies aux astrocapitalistes du new-space, une rencontre avec Irénée Régnauld, rencontre de Namé, Luigi aux ciseaux*- Les nazes et les nazis – entretien d'embauche par Namé feat le Frigo- « A tous les DDO attention au départ ! », dialogue de Luigi- Brasser du vide, une astro-capsule de Namé- New colonialism, projection martienne de LuigiMUSIQUESPortishead – Wandering starRien Virgule – Les intrus du cosmosIppon – Space MajorAvec les voix, les stylos et les souris du Frigo, de Luigi et de Namé* auteur d'un ouvrage publié à la Fabrique : https://lafabrique.fr/une-histoire-de-la-conquete-spatiale/Image : 1950, premier lancement d'une fusée à Cap Canaveral en Floride
Après plusieurs reports, la fusée Ariane 6 a enfin décollé pour sa première mission commerciale. Ce lancement symbolise la souveraineté retrouvée de l'Europe dans le domaine spatial. Traduction:After several delays, the Ariane 6 rocket finally took off on its first commercial mission. This launch symbolizes Europe's regained sovereignty in space. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De l'histoire de l'aérospatiale américaine, nous connaissons les missions Apollo de NASA à partir de 1961, Neil Armstrong, le premier homme sur la Lune en 1969. Mais histoire a commencé bien avant, dans les années 30-40, lorsqu'un groupe d'inventeurs visionnaires ont posé les bases des vols à propulsion et de l'exploration spatiale. Ewen Chardronnet retrace, dans «Mojave Epiphanie » (Ed Inculte) l'histoire de ces pionniers de l'aérospatiale, de leurs engagements politiques, leurs goûts pour l'ésotérisme, la science-fiction, l'utopie et l'art, qui en font de parfaits anti-héros, et les grands absents de l'histoire officielle. L'invité de Nicolas Bogaerts , Ewen Chardronnet est l'auteur "Mojave épiphanie". Une histoire secrète du programme spatial américain" paru chez Ed Incultes. Sujets traités : Spatiale, américain, Apollo, Neil Armstrong, Lune, NASA, Mojave, aérospatiale, utopie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Et si l'accès à Internet ne connaissait plus de frontières ? La start-up française Constellation Technologies & Operations (CTO) pourrait bien ouvrir une nouvelle ère pour les télécommunications. Ce vendredi 28 février, l'entreprise a dévoilé une innovation qui pourrait transformer la connectivité spatiale : la première charge utile régénérative 5G millimétrique.Baptisée « Early Test », cette technologie utilise pour la première fois le spectre 5G mmWave depuis l'espace. Concrètement, elle permettrait d'offrir un accès à Internet ultra-rapide et à faible latence, même dans les régions les plus isolées, sans nécessiter d'infrastructures terrestres coûteuses. La 5G millimétrique (mmWave), qui exploite des fréquences élevées (24-100 GHz), est déjà reconnue pour ses débits exceptionnels et sa réactivité, idéale pour les usages intensifs en données. Jusqu'ici limitée aux zones denses à cause de sa faible portée et de sa sensibilité aux obstacles, cette technologie pourrait, grâce à CTO, s'affranchir des contraintes géographiques en passant par l'espace.Testée dans des conditions réelles, la charge utile de CTO a été intégrée avec succès à la plateforme ION de D-Orbit. Son lancement est prévu pour juin prochain, marquant une étape décisive dans la conquête de la connectivité universelle. L'ambition de CTO ne s'arrête pas là : devenir un acteur clé des services de connectivité spatiale et renforcer l'autonomie européenne dans ce secteur stratégique. Pour financer son développement, la start-up a levé plusieurs millions d'euros en moins de six mois et s'appuie sur une équipe de 30 experts issus du spatial et des télécoms.Contrairement aux constellations massives développées par certains acteurs, CTO mise sur un modèle collaboratif. Son infrastructure spatiale sera partagée avec les opérateurs télécoms, qui pourront ainsi étendre leur couverture sans lourds investissements. Une solution particulièrement adaptée aux zones rurales et isolées, où les réseaux terrestres restent difficiles à rentabiliser. Charles Delfieux, CEO de CTO, insiste sur l'importance de cette avancée : « C'est une brique fondamentale pour bâtir une infrastructure spatiale de télécommunications de nouvelle génération ». Avec cette innovation, la France pourrait bien s'imposer comme un pionnier d'un Internet sans frontières, accessible partout sur la planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, les animateurs discutent du record de la plus longue durée passée dans l'espace par l'astronaute américaine Sunita Williams, qui a passé 8 mois dans l'espace et effectué de nombreuses sorties extravéhiculaires.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Près de 50 ans après avoir marché sur la Lune, les humains veulent y retourner. La Chine s'y prépare et veut y poser pied avant 2030. Les États-Uniens et leurs partenaires européens et japonais voudraient bien faire la même chose, si possible avant, dans le cadre du programme Artemis. RFI a visité une partie de la future station spatiale qu'ils construisent et veulent envoyer en orbite autour de la Lune à partir de 2027. De notre envoyée spéciale à Turin,Sous la verrière d'un grand hangar en banlieue de Turin se construit la majeure partie de l'ossature d'une future station spatiale autour de la Lune, sous le regard de Roberto Angelini, directeur de l'ingénierie ici pour Thales Alenia Space. « Ces anneaux et ces cylindres sont soudés ensemble pour former la structure principale », montre-t-il. Plusieurs centaines de personnes travaillent ici sur le projet Gateway, du nom de la future station spatiale qui doit être placée en orbite autour de la Lune. « Cette partie, par exemple, sera entièrement remplie de matériel informatique et de provisions pour la station — plus de 5 tonnes en tout. Ce module va s'amarrer à la station et les astronautes vont y récupérer les outils informatiques pour les apporter à l'intérieur », poursuit-il. À lire aussiUn condensé d'humanité sur la LuneDes modules assemblés comme des Legos dans l'espaceL'entreprise franco-italienne a remporté une série de contrats pour plus de 800 millions d'euros en tout pour construire plusieurs modules de la future station spatiale. Ces tubes en aluminium font 3 mètres de diamètre, contre 4,5 mètres dans l'ISS, la station spatiale internationale (qui est en orbite autour de la Terre).Les éléments seront assemblés dans l'espace, un peu comme des Legos programmés et commandés à distance. L'un de ces modules, HALO (pour Habitation and Logistics Outpost, module d'habitation et avant-poste logistique) s'apprête à partir, courant mars, pour les États-Unis pour finir d'être équipé. Jusqu'à quatre personnes à la fois pourront y séjourner et y mèneront des expériences scientifiques notamment.Des salariés vérifient un par un le serrage des boulons du futur sas d'entrée. D'ici à quelques années, Matthias Maurer, astronaute allemand de l'Agence spatiale européenne (ESA), espère y séjourner. « Tous les astronautes à Cologne (où se trouve le centre d'entraînement des astronautes européens) rêvent de faire partie du groupe sélectionné pour voler vers la Lune », s'enthousiasme-t-il.Ressources lunairesLa station doit être envoyée dans l'espace, module par module, à partir de fin 2027 au plus tôt. Elle doit notamment servir de base arrière aux astronautes qui poseront pied sur le pôle sud de la Lune, où se trouve de la glace. « Quand on trouve cette eau, on peut la boire, mais aussi la transformer pour en faire de l'hydrogène et de l'oxygène. Des ressources lunaires qu'on pourrait utiliser pour continuer le voyage vers Mars. Car une fois arrivés sur Mars, il faudra savoir comment utiliser les ressources qu'on y trouve : tout apporter depuis la Terre coûterait trop cher », souligne Matthias Maurer. Toutefois, un seul Européen par mission est prévu pour l'instant et seuls les astronautes états-uniens devraient alunir dans un premier temps.En attendant une éventuelle mission habitée vers Mars, le programme lunaire Artemis, chapeauté par les Américains, a pris du retard. Les dates de lancement prévues ont été plusieurs fois repoussées et l'incertitude politique plane autour du projet depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Tandis que la Chine, elle, semble suivre son calendrier et pourrait bien poser pied sur la Lune dès 2029. Avant le retour des Occidentaux ?À lire aussiLa Chine pourrait être le prochain pays à poser le pied sur la Lune en devançant les États-Unis
Près de 50 ans après avoir marché sur la Lune, les humains veulent y retourner. La Chine s'y prépare et veut y poser pied avant 2030. Les États-Uniens et leurs partenaires européens et japonais voudraient bien faire la même chose, si possible avant, dans le cadre du programme Artemis. RFI a visité une partie de la future station spatiale qu'ils construisent et veulent envoyer en orbite autour de la Lune à partir de 2027. De notre envoyée spéciale à Turin,Sous la verrière d'un grand hangar en banlieue de Turin se construit la majeure partie de l'ossature d'une future station spatiale autour de la Lune, sous le regard de Roberto Angelini, directeur de l'ingénierie ici pour Thales Alenia Space. « Ces anneaux et ces cylindres sont soudés ensemble pour former la structure principale », montre-t-il. Plusieurs centaines de personnes travaillent ici sur le projet Gateway, du nom de la future station spatiale qui doit être placée en orbite autour de la Lune. « Cette partie, par exemple, sera entièrement remplie de matériel informatique et de provisions pour la station — plus de 5 tonnes en tout. Ce module va s'amarrer à la station et les astronautes vont y récupérer les outils informatiques pour les apporter à l'intérieur », poursuit-il. À lire aussiUn condensé d'humanité sur la LuneDes modules assemblés comme des Legos dans l'espaceL'entreprise franco-italienne a remporté une série de contrats pour plus de 800 millions d'euros en tout pour construire plusieurs modules de la future station spatiale. Ces tubes en aluminium font 3 mètres de diamètre, contre 4,5 mètres dans l'ISS, la station spatiale internationale (qui est en orbite autour de la Terre).Les éléments seront assemblés dans l'espace, un peu comme des Legos programmés et commandés à distance. L'un de ces modules, HALO (pour Habitation and Logistics Outpost, module d'habitation et avant-poste logistique) s'apprête à partir, courant mars, pour les États-Unis pour finir d'être équipé. Jusqu'à quatre personnes à la fois pourront y séjourner et y mèneront des expériences scientifiques notamment.Des salariés vérifient un par un le serrage des boulons du futur sas d'entrée. D'ici à quelques années, Matthias Maurer, astronaute allemand de l'Agence spatiale européenne (ESA), espère y séjourner. « Tous les astronautes à Cologne (où se trouve le centre d'entraînement des astronautes européens) rêvent de faire partie du groupe sélectionné pour voler vers la Lune », s'enthousiasme-t-il.Ressources lunairesLa station doit être envoyée dans l'espace, module par module, à partir de fin 2027 au plus tôt. Elle doit notamment servir de base arrière aux astronautes qui poseront pied sur le pôle sud de la Lune, où se trouve de la glace. « Quand on trouve cette eau, on peut la boire, mais aussi la transformer pour en faire de l'hydrogène et de l'oxygène. Des ressources lunaires qu'on pourrait utiliser pour continuer le voyage vers Mars. Car une fois arrivés sur Mars, il faudra savoir comment utiliser les ressources qu'on y trouve : tout apporter depuis la Terre coûterait trop cher », souligne Matthias Maurer. Toutefois, un seul Européen par mission est prévu pour l'instant et seuls les astronautes états-uniens devraient alunir dans un premier temps.En attendant une éventuelle mission habitée vers Mars, le programme lunaire Artemis, chapeauté par les Américains, a pris du retard. Les dates de lancement prévues ont été plusieurs fois repoussées et l'incertitude politique plane autour du projet depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Tandis que la Chine, elle, semble suivre son calendrier et pourrait bien poser pied sur la Lune dès 2029. Avant le retour des Occidentaux ?À lire aussiLa Chine pourrait être le prochain pays à poser le pied sur la Lune en devançant les États-Unis
durée : 00:37:19 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Objectif Mars. C'est sur la planète rouge que les Etats-Unis de D.Trump veulent planter leur drapeau, via un programme spatial dopé aux technologies de Space X. Face à cette concurrence, l'Europe a modernisé ses lanceurs avec Ariane 6 et Vega C. Peut-elle tirer son épingle du jeu grâce à ces fusées? - réalisation : François Richer - invités : Paul Wohrer Chercheur, responsable du programme Espace de l'IFRI; Alban Guyomarc'h Chercheur en droit de l'espace à l'université Panthéon-Assas et au Collège de France, il coordonne également le Groupe Objectif Lune de l'Association Nationale de la Recherche et de la Technologie (ANRT)
durée : 00:37:19 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Objectif Mars. C'est sur la planète rouge que les Etats-Unis de D.Trump veulent planter leur drapeau, via un programme spatial dopé aux technologies de Space X. Face à cette concurrence, l'Europe a modernisé ses lanceurs avec Ariane 6 et Vega C. Peut-elle tirer son épingle du jeu grâce à ces fusées? - réalisation : François Richer - invités : Paul Wohrer Chercheur, responsable du programme Espace de l'IFRI; Alban Guyomarc'h Chercheur en droit de l'espace à l'université Panthéon-Assas et au Collège de France, il coordonne également le Groupe Objectif Lune de l'Association Nationale de la Recherche et de la Technologie (ANRT)
C'est quoi l'empreinte carbone d'une fusée ? Peut-on faire des satellites bio-sourcés ? Est-ce que l'on peut étudier l'univers et ses mystères de façon durable ? Impossible aujourd'hui de séparer l'espace de la bonne santé de notre Terre. L'urgence du dérèglement climatique s'invite dans les discussions et la question se pose : quel est le réel impact écologique de la recherche spatiale ? Avec notre invité Jürgen Knödlseder, directeur de recherche CNRS à l'institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP), nous allons faire un état des lieux de l'impact carbone de la recherche, mais aussi évoquer les différentes pistes de décarbonation, sans oublier les lacunes et les points non résolus de ce sujet encore nouveau dans la recherche scientifique. Une émission préparée, animée et réalisée par Sophie Podevin Ressources: Publications de Jürgen Knödlseder Life cycle assessment of the Athena X-ray integral field unit Minimiser l'impact environnemental des projets spatiaux scientifiques: contribution émanant de la communauté scientifique au séminaire de prospective du CNES 2024 sur la thématique “Empreinte environnementale des activités scientifiques spatiales” L'empreinte carbone de la recherche spatiale (angl) L'empreinte carbone de l'IRAP (angl) Extrait d'actualité de la radio ICI
Imaginez un instant qu'une simple collision dans l'espace puisse déclencher une réaction en chaîne si catastrophique qu'elle rende l'orbite terrestre inutilisable pendant des décennies, voire des siècles. Ce scénario apocalyptique, c'est le syndrome de Kessler, une hypothèse avancée en 1978 par Donald J. Kessler, un scientifique de la NASA. Le principe est simple mais redoutable. Lorsque deux objets en orbite — comme des satellites ou des débris spatiaux — entrent en collision, ils se fragmentent en une multitude de morceaux. Ces débris deviennent alors des projectiles, susceptibles de heurter d'autres satellites, générant encore plus de débris. Cette cascade d'événements pourrait transformer l'orbite terrestre en un champ de débris tellement dense qu'il deviendrait dangereux, voire impossible, de lancer de nouvelles missions spatiales. Ce scénario n'est pas une simple théorie. Les experts estiment qu'il existe déjà plus de 130 millions de fragments de débris de moins d'un centimètre en orbite, aux côtés de dizaines de milliers de débris plus gros. Chaque fragment, même minuscule, voyage à des vitesses pouvant atteindre 28 000 km/h, assez pour percer des panneaux solaires ou endommager des satellites critiques. De plus, des incidents isolés, comme la destruction volontaire de satellites lors de tests militaires, ont augmenté significativement la densité de ces débris. Les conséquences d'un syndrome de Kessler seraient gravissimes. Les satellites de communication, d'observation de la Terre ou encore les systèmes GPS deviendraient inopérants, perturbant des secteurs entiers de l'économie mondiale. Les vols habités, comme ceux prévus pour coloniser la Lune ou Mars, seraient repoussés indéfiniment. En clair, l'humanité serait temporairement emprisonnée sur Terre. Alors, que faire pour prévenir cette catastrophe ? Des solutions existent, comme la mise en place de satellites nettoyeurs capables de capturer les débris, ou des mesures internationales pour limiter la génération de nouveaux déchets spatiaux. Mais la coopération mondiale reste essentielle pour éviter un point de non-retour. En conclusion, le syndrome de Kessler est un rappel des conséquences de nos activités dans l'espace. Si nous ne prenons pas au sérieux ce danger, il pourrait bien marquer la fin de l'exploration spatiale telle que nous la connaissons. Une perspective qui pousse à réfléchir à la responsabilité de l'humanité, même au-delà de notre planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un vortex polaire s’en vient sur le Québec. Valérie Roberts responsable de l’éviction de Tammy à Big Brother Célébrités. La Trappe à Max - Maxim a reçu un conseil qui a changé sa carrière. Joanie n’aura plus jamais de CCR dans sa “playlist”. La Semaine sans Tabac a commencé hier et c'est la chose dont Martin est le plus fier. Debout les Caves - Vos meilleures jokes du jour À quoi s’attendre avec l’investiture de Donald Trump, on a parlé avec Valérie Beaudoin. L'équipe de quart de siècle du Canadiens ne fait pas l'unanimité. La Guerre des Crampes Que vous l'admettiez ou non, les parents ont un enfant préféré. Une grenouille a voyagé de la Californie à Montréal à bord d’un céleri. Débat du Jour: Dormir avec un toutou quand on est un adulte: oui ou non ? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donnent des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
durée : 00:54:26 - Affaires sensibles - par : Christophe Barreyre, Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, l'histoire de la fusée Ariane. - réalisé par : Frédéric Milano
Le 10 novembre dernier, des dizaines de solitaires ont pris le départ de la 10e édition du Vendée Globe. Une course emblématique mais dangereuse ! En effet, pendant la compétition, les marins naviguent près de l'Antarctique, une zone bondée d'icebergs. Et c'est ici qu'intervient CLS, filiale du CNES et de la CNP qui cartographie les glaces à l'aide de satellites pour anticiper les trajectoires des icebergs. Retour sur cette entreprise, partenaire de la première heure du Vendée Globe qui a été chargée de la surveillance des icebergs menaçant la route des skippers.-----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Aujourd'hui grâce à Voyage dans l'espace vous n'êtes plus un habitant de la Terre comme un autre. Vous êtes Thomas Pesquet ou David Saint-Jacques ! Claude s'entretient, en effet, avec Mark Read, un des commissaire de l'exposition "Mission spatiale" à découvrir à la Cité des sciences et de l'industrie de la Vilette à Paris... Enfilez votre EMU et c'est parti !!!
Le professeur Xavier Maldague explique comment se fait la recherche de pièces cachées dans la pyramide de Kheops; Farah Alibay, ingénieure en aérospatiale, présente les divers scénarios de fin de vie de la Station spatiale internationale; on regarde avec la professeure Madeleine Goubau si la fibre de phragmite peut être transformée en textile; et Daria Marchenko tente de savoir si Chat GPT a une empreinte environnementale plus importante que Google.
durée : 00:48:41 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles : conquête spatiale, l'ISS en héritage. - réalisé par : Frédéric Milano
Bienvenue dans un nouvel épisode de "C'était dans l'actu" ! Aujourd'hui, Albert Spano nous plonge dans une histoire fascinante sur un satellite d'un nouveau genre qui va être envoyé dans l'espace.
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
Suite et fin de l'entrevue entre Claude Lafleur et Philippe Garneau évoquant la mission du frère de Philippe, Marc Garneau, le premier Québécois de l'Espace !
Aujourd'hui à Voyage dans l'espace... Et bien tout est dans le titre !!!
Pour écouter l'épisode en entier tapez "#417 - Stanislas Maximin - Latitude - L'autodidacte de 25 ans qui va envoyer des fusées dans l'espace" sur votre plateforme d'écoute.
Le journal en français facile du jeudi 12 septembre 2024, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Ax9D.A
Deux des quatre membres de la mission Polaris Dawn effectuent une sortie dans l'espace. Première sortie spatiale dans la courte histoire des vols commerciaux : c'est la première fois que des astronautes civils vont s'aventurer dans le vide de l'espace.
La sonde Juice entame une manœuvre vers Jupiter. Olivier Sanguy, le responsable de l'actualité spatiale à la Cité de l'espace de Toulouse, nous en parle sur RTL Bonsoir.
La sonde Juice entame une manœuvre vers Jupiter. Olivier Sanguy, le responsable de l'actualité spatiale à la Cité de l'espace de Toulouse, nous en parle sur RTL Bonsoir.
durée : 00:11:26 - L'invité de 7h50 - par : Alexis Morel - À 400 km au-dessus de nous, deux astronautes américains pourraient rester bloqués bien plus longtemps que prévu dans l'ISS. Ils ne devaient y passer qu'une semaine, ils pourraient y rester jusqu'en février 2025. Car leur vaisseau avec lequel ils sont arrivés a connu de sérieuses avaries. - invités : Jean François CLERVOY - Jean-François Clervoy : Astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA) et fondateur d'Air Zéro G.
durée : 00:11:26 - L'invité de 7h50 - par : Alexis Morel - À 400 km au-dessus de nous, deux astronautes américains pourraient rester bloqués bien plus longtemps que prévu dans l'ISS. Ils ne devaient y passer qu'une semaine, ils pourraient y rester jusqu'en février 2025. Car leur vaisseau avec lequel ils sont arrivés a connu de sérieuses avaries. - invités : Jean François CLERVOY - Jean-François Clervoy : Astronaute de l'Agence spatiale européenne (ESA) et fondateur d'Air Zéro G.
Tu veux que je te raconte l'histoire de la capsule spatiale des neiges? Ok mais par contre moi, je ne raconte mes histoires qu'aux enfants qui se lavent les dents. Donc attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et tu frottes, jusqu'à ce que l'histoire soit terminée!
Pierre-José Billotte, coordinateur du collectif des Assises du NewSpace, Geoffroy Lerosey, président et fondateur de Greenerwave, et Pierre Bertrand, président de Skynopy, étaient les invités de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 20 juin 2024. Ils se sont penchés sur la vitrine du New Space français, ainsi que sur l'éventuelle menace pour le climat de Starlink, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Le 20 septembre 1945, l'ingénieur allemand Werner von Braun, concepteur des fusées V2, arrive aux États-Unis dans le cadre de l'Opération Paperclip, qui a permis entre autres la fuite d'une partie des cerveaux du régime nazi. Avec d'autres anciens ingénieurs responsables des camps de travail forcé et d'extermination de Peenemünde et de Dora, il va intégrer et impulser le programme spatial américain. Irénée Régnauld, chercheur associé à l'université de technologie de Compiègne et Arnaud Saint-Martin, sociologue au CNRS en font un des éléments constitutifs de l'adn de la conquête de l'espace. Dans leur livre "Une histoire de la conquête spatiale. Des fusées nazies aux astrocapitalistes de New Space" (La Fabrique), ils déconstruisent les mythes très Disney du voyage de la Terre à la Lune en attendant Mars. Ils remontent aux origines philosophiques et industrielles de cette entreprise, terrain de rivalités Est-Ouest, nourrie d'une vision du monde et de l'humanité aux nombreux accents mystiques. Dans une formidable analyse des enjeux, ils détaillent comment s'est construite la représentation d'une conquête de l'espace consubstantielle à la condition humaine; combien cette narration occupe encore les projets du New Space D'Elon Musk ou Jeff Bezos, et occulte aujourd'hui encore d'autres rapports possibles au cosmos. Une séquence réalisée par Nicolas Bogaerts Sujets traités : Werner von Braun, V2, fusée, conquête, spatiale , Paperclip, nazi, ingénieurs , Terre, Lune, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:59:00 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Devenue elle aussi une grande puissance spatiale, la Chine aujourd'hui conçoit seule des programmes ambitieux pour le futur. Cette autonomie est due en grande partie à sa rivalité avec les États-Unis, qui restreint fortement les collaborations internationales. - invités : Isabelle Sourbès-Verger Géographe, directrice de recherche CNRS (Centre Alexandre Koyré), spécialiste des questions de politique de l'espace; Lucie Sénéchal-Perrouault Doctorante CNRS
Le 20 septembre 1945, l'ingénieur allemand Werner von Braun, concepteur des fusées V2, arrive aux États-Unis dans le cadre de l'Opération Paperclip, qui a permis entre autres la fuite d'une partie des cerveaux du régime nazi. Avec d'autres anciens ingénieurs responsables des camps de travail forcé et d'extermination de Peenemünde et de Dora, il va intégrer et impulser le programme spatial américain. Irénée Régnauld, chercheur associé à l'université de technologie de Compiègne et Arnaud Saint-Martin, sociologue au CNRS en font un des éléments constitutifs de l'adn de la conquête de l'espace. Dans leur livre "Une histoire de la conquête spatiale . Des fusées nazies aux astrocapitalistes de New Space" (La Fabrique), ils déconstruisent les mythes très Disney du voyage de la Terre à la Lune en attendant Mars. Ils remontent aux origines philosophiques et industrielles de cette entreprise, terrain de rivalités Est-Ouest, nourrie d'une vision du monde et de l'humanité aux nombreux accents mystiques. Dans une formidable analyse des enjeux, ils détaillent comment s'est construite la représentation d'une conquête de l'espace consubstantielle à la condition humaine; combien cette narration occupe encore les projets du New Space D'Elon Musk ou Jeff Bezos, et occulte aujourd'hui encore d'autres rapports possibles au cosmos. Une séquence réalisée par Nicolas Bogaerts Sujets traités : Werner von Braun,fusée, nazi, ingénieur, Opération Paperclip, Peenemünde, Dora, conquête spatiale Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Invité: Irénée Regnauld. Les missions vers la Lune, lʹexploration de Mars, la découverte de nouvelles planètes potentiellement habitables: la conquête spatiale est faite rêver. Pourtant, derrière ces missions se cachent généralement des motivations militaires et économiques. Comment repenser lʹusage de lʹespace de manière plus pacifiste et écologique? Pour en parler Tribu reçoit Irénée Regnauld, consultant, essayiste et chercheur associé à lʹUniversité de technologie de Compiègne. Il signe avec Arnaud Saint-Martin, sociologue, chargé de recherche au CNRS lʹouvrage "Une histoire de la conquête spatiale. Des fusées nazies aux astrocapitalistes du New Space", paru aux éditions La fabrique.
durée : 00:48:57 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, l'accident de la navette spatiale Columbia - réalisé par : Stéphane COSME
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
durée : 00:55:22 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Fusées et ingénieurs nazis, "moonwashing", marketing et "dysneylandisation" de la conquête spatiale, tourisme spatial, New Space et méga constellations, pollution du ciel étoilé, nombreuses sont les critiques émissent tout au long de la grande et belle histoire de la conquête spatiale. - réalisé par : Valérie AYESTARAY