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Abandonné par sa mère à l'âge de 7 ans, Noa Khamallah a grandi dans un ghetto du nord de la France. Ado rebelle et instable, il quitte les bancs de l'école à 16 ans. S'ensuivent alors des aventures aussi désastreuses qu'improbables : prison, expulsion de pays, cavale… Mais des années après, il décide de se ressaisir sans laisser ces paramètres lui mettre des bâtons dans les roues. Il refuse que ce déterminisme social lui impose un chemin de vie tout tracé et se bat pour être le seul architecte de sa vie future, le seul maître de son destin. Sans diplôme, sans réseau, il parvient malgré tout à trouver un emploi. Par la suite, il rentre dans le secteur très hype de la mobilité en travaillant pour la startup Lime, cofonde Charge en 2019 ainsi que la marque suédoise Vassla en 2021. Le temps d'une pause, cet amoureux du chaos et du voyage est avec nous pour nous raconter son parcours de vie unique. Un épisode où galère, pauvreté, succès, échecs, risques, s'entremêlent pour donner un cocktail de vie explosif…
Le témoignage que nous allons écouter est une ode à la différence. Sonia, abandonnée à la naissance, a été adoptée par une famille aimante, ce qui ne l'a pas empêchée de vouloir retrouver la trace de ses parents biologiques. L'acceptation de sa différence n'a pas été facile, mais elle a finalement trouvé la force de s'affirmer dans ses choix, et aujourd'hui elle attend un bébé. Dr Romain Dugravier, pédopsychiatre au Centre psychopathologie périnatale à l'Institut Paris Brune et au centre hospitalier Saint Anne, répond à nos questions.
Son père belge le reconnait du bout des lèvres. Sa mère débordée le confie à sa tante qui, elle-même, l'emmène dans une pension à Londres. Là, il rencontre un père de substitution, Lee Ketcham. Jean-Philippe forme un trio avec des cousines, les Hallidays, et devient un enfant de la balle.
Bienvenue dans La Leçon, le podcast sur l'art d'échouer ! Cette semaine, je suis ravie de recevoir Leslie Medina. Actrice, vous avez déjà dû la voir dans Camping où elle joue la fille de Gérard Jugnot, bientôt à l'affiche de la série FIASCO (tiens tiens ce nom me dit quelque chose) aux côtés de Pierre Niney et François Civil, on a hâte… Leslie ne se contente pas de jouer la comédie, elle chante aussi ! Elle a sorti son premier EP en 2022 mais vous allez le voir, tout ne s'est pas passé comme prévu… Episode pépite en perspective : bonne écoute les amis
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Surprise, le HomePod est de retour ! Abandonnée, il y a deux ans, l'enceinte d'Apple revient dans une version 2 qui - à première vue - est identique à son aîné. A-t-elle corrigé les défauts de jeunesse de la première version ? Le rendu audio a-t-il progressé ? Est-elle taillée pour le Home Cinéma ? Siri a-t-il enfin gagné en intelligence ? Le Homepod 2 demeure-t-il toujours aussi facile à installer ? Quels sont ses manques face à la concurrence ? Débats ! Avec Stéphane Zibi, Christophe Degraeve, Didier Pulicani, Laurent Pantanacce & Olivier Frigara Rendez-vous chaque vendredi sur YouTube pour découvrir une nouvelle émission ! #HomePod2 #ORLM #Apple #Siri #ORLMac Notre boutique en ligne enfin ouverte ! orlmtv.myspreadshop.fr Rejoignez le Club ORLM pour bénéficier d'avantages exclusifs : https://www.youtube.com/channel/UCUanZckNyJODHBdqtMzYMpA/join Les coups de cœur : Zibi : Le site Trottinons Mieux : https://www.trottinonsmieux.com/ Didier : Ecoflow River 2 Pro : https://fr.ecoflow.com/ Christophe : La Hot Toys Delorean de retour vers le futur 2 : https://youtu.be/bdQ3zh6qnFk Laurent : eve motion : https://www.evehome.com/en/eve-motion Olivier : Belkin iPhone Mount with MagSafe for Mac Desktops and display : https://amzn.to/3JDT0Gn
Suite à une enfance difficile, Sylviane a grandi avec des carences affectives. Elle a toujours eu du mal à construire une vie sentimentale. Elle a toujours peur de souffrir d'abandon dans ses relations. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Ce vendredi 6 janvier, Philippe Caverivière s'adresse à l'avocate de Seine-Saint-Denis Clarisse Serre, et réagit au plan d'action pour la justice annoncé par Éric Dupond-Moretti.
Ce vendredi 6 janvier, Philippe Caverivière s'adresse à l'avocate de Seine-Saint-Denis Clarisse Serre, et réagit au plan d'action pour la justice annoncé par Éric Dupond-Moretti.
Olivier Delacroix partage l'histoire de Guaedique, abandonné par sa famille. Sa mère n'a que 19 ans lorsqu'elle lui donne naissance. Elle confie son enfant à une nourrice en promettant de revenir le week-end, mais disparait dans la nature au bout d'un mois. C'est cette nourrice qui va donc élever Guaedique et devenir sa "mère adoptive", jusqu'au jour où on annonce à Gaedique que sa mère biologique va venir la récupérer. La gendarmerie, qui la recherchent depuis quatre ans, viennent de la retrouver… Dans ce nouvel épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" adapté par Europe 1 Studio, Guaedique confie son histoire à Olivier Delacroix. Elle raconte comment elle a cherché à combler le vide laissé par ses parents, et se livre sur les conséquences qu'ont eu cet abandon dans son adolescence.
durée : 00:02:37 - C'est mon boulot - par : Philippe DUPORT - Pendant ces deux semaines de fin d'année, on s'intéresse à "la grande démission". Vendredi 30 novembre, Malika Aït Ali qui a choisi de quitter son entreprise pour créer la sienne.
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Cuisine - Nctrnm / freearchivemusic.org (cc by 4.0) Photo d'illustration : Pixabay
Avec : Barbara Lefebvre, enseignante en reconversion. Bruno Pomart, maire de Belflou, ex-policier du Raid. Et Mehdi Ghezzar, chef d'entreprise. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Peut-être que tu as déjà vécu l'expérience : Tu visites une boutique en ligne, tu mets des articles dans le panier, mais tu ne le valide pas. Soit tu te dis que tu le valideras plus tard, soit tu n'es finalement plus certaine de vouloir le valider. Mais, sur le moment en tout cas, tu ne paies pas. En revanche, tu avais déjà peut-être la page internet ouverte avec ce panier en attente. Ou tu étais peut-être déjà connectée à ton compte client ou renseigné ton adresse email. Dans ce cas, tu as certainement déjà reçu des mails de rappels du style : “vous avez oublié quelque chose” ou encore “votre panier vous attend". C'est ce qu'on appelle une relance de panier abandonné. Parfois, ces relances sont totalement inutiles, on est d'accord. Toutefois, elles peuvent également nous rappeler que l'on voulait vraiment acheter ces articles. On retrouve majoritairement cette pratique dans le domaine du e-commerce. Mais, même si tu n'as pas de boutique en ligne, tu peux imaginer un système du même style. Que tu sois coach, formatrice ou prestataire de service, tu peux créer la même chose dans ton business.
En septembre 2020, Martine a signé un devis de 10.900€ pour la rénovation de sa toiture et autres aménagements. Elle a versé 8000€. Problème: depuis 2 ans, elle attend désespérément que la société revienne car les travaux présentent quelques malfaçons et surtout: ils ne sont pas terminés ! Martine en a marre des infiltrations et des chauves-souris qui s'invitent dans son grenier ! Mais malgré trois courriers recommandés, l'entreprise ne donne aucune nouvelle... Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur.
durée : 00:14:58 - Journal de 8 h - C'est la fin des restrictions sanitaires en Chine, après trois ans de mesures drastiques. Elle est annoncée ce mercredi matin. Les détails dans ce journal.
durée : 00:14:58 - Journal de 8 h - C'est la fin des restrictions sanitaires en Chine, après trois ans de mesures drastiques. Elle est annoncée ce mercredi matin. Les détails dans ce journal.
Quelques jours avant la sortie du documentaire Netflix «L'Évadé : L'étrange affaire Carlos Ghosn» qui s'annonce à charge contre l'ancien homme d'affaire, VA + publie un entretien exceptionnel réalisé au Liban avec Carole et Carlos Ghosn. Au cours de cet entretien, tourné dans l'université Kaslik située à Jounieh au Liban, Carlos Ghosn revient notamment sur les conditions de son évasion rocambolesque du Japon, et le "complot" dont il affirme avoir été victime de la part du système judiciaire japonais. Il s'exprime aussi sur le manque de soutien de la part de la France dont il estime avoir été victime, mais aussi sur les grandes difficultés rencontrées par son pays d'exil, le Liban.
Sami Nouri a cinq ans lorsqu'il doit fuir l'Afghanistan et le régime des talibans avec sa famille. C'était en 2001. Après un passage en Iran, où il apprend la couture avec son père, puis en Turquie, c'est seul à 14 ans qu'il rejoint la France avec l'aide d'un passeur. Abandonné dans un pays qu'il ne connaît pas et dont il ne parle pas la langue, il découvre les services sociaux, les foyers pour mineurs et bientôt les cours de couture, domaine où il excelle. Très vite repéré par les grandes maisons de couture, Sami Nouri devient styliste et crée son propre atelier de couture à Paris. De l'exil à l'obtention de la nationalité française, le parcours atypique de ce jeune Afghan fait écho à beaucoup d'autres qui, comme lui, ont dû quitter leur pays. Une réussite qui montre aussi l'apport et le savoir-faire des réfugiés en France et en Europe. Cette émission est une rediffusion du 16 septembre 2022. Avec : - Sami Nouri, couturier, styliste et auteur avec Olivia Karam de La machine à coudre – de l'Afghanistan aux défilés de Haute couture (Robert Laffont, 2022) - Inès Mesmar, fondatrice de La fabrique Nomade, une association qui favorise l'insertion professionnelle des artisans d'art migrants et réfugiés en France. Programmation musicale : ► Dustet Darum - Zahra Elham ► Home – Romane.
Sami Nouri a cinq ans lorsqu'il doit fuir l'Afghanistan et le régime des talibans avec sa famille. C'était en 2001. Après un passage en Iran, où il apprend la couture avec son père, puis en Turquie, c'est seul à 14 ans qu'il rejoint la France avec l'aide d'un passeur. Abandonné dans un pays qu'il ne connaît pas et dont il ne parle pas la langue, il découvre les services sociaux, les foyers pour mineurs et bientôt les cours de couture, domaine où il excelle. Très vite repéré par les grandes maisons de couture, Sami Nouri devient styliste et crée son propre atelier de couture à Paris. De l'exil à l'obtention de la nationalité française, le parcours atypique de ce jeune Afghan fait écho à beaucoup d'autres qui, comme lui, ont dû quitter leur pays. Une réussite qui montre aussi l'apport et le savoir-faire des réfugiés en France et en Europe. Cette émission est une rediffusion du 16 septembre 2022. Avec : - Sami Nouri, couturier, styliste et auteur avec Olivia Karam de La machine à coudre – de l'Afghanistan aux défilés de Haute couture (Robert Laffont, 2022) - Inès Mesmar, fondatrice de La fabrique Nomade, une association qui favorise l'insertion professionnelle des artisans d'art migrants et réfugiés en France. Programmation musicale : ► Dustet Darum - Zahra Elham ► Home – Romane.
Les Népalais sont appelés à renouveler leur Parlement ce 20 novembre, et l'un des thèmes de campagne tourne autour de la réforme de la citoyenneté. Plusieurs millions d'habitants de ce pays sont en effet apatrides aujourd'hui, à cause d'une application patriarcale de la loi, qui freine la transmission de la citoyenneté par la mère. Les populations des plaines, ethniquement proche des Indiens, souffrent également d'une discrimination de la part des autorités, qui refusent de leur attribuer la nationalité. Pour ces millions de jeunes, cette vie comme apatrides est un enfer. De notre envoyé spécial dans la région, Suraj Chaudhari est apatride dans son propre pays. Cet homme est né il y a 22 ans dans la province du Madhesh, au sud du Népal. Sa mère est Népalaise, mais l'administration refuse de lui accorder la citoyenneté, car son père est indien. Suraj n'a donc pas de papiers, et donc aucun droit. « Je ne peux pas hériter du commerce ou des terres de mes parents, je ne peux pas avoir de carte SIM ou de compte en banque à mon nom et je ne peux pas occuper un travail légalement », explique Suraj. « La seule chose que je peux faire, c'est être ouvrier illégal pour 40 euros par mois. Je ne peux donc pas avoir une vie indépendante. C'est déprimant, et j'ai parfois envie de me suicider », souffle-t-il. Discrimination de l'administration Comme Suraj, entre 5 et 7 millions d'habitants n'ont pas de certificat de citoyenneté au Népal, soit plus d'une personne sur 4. La première raison est la mentalité patriarcale de la loi népalaise, qui favorise la transmission de la nationalité par le père. À cela s'ajoute la discrimination de l'administration envers ces résidents des plaines du Madhesh, qui sont soupçonnés d'être Indiens, car ils leur ressemblent. Arjun Kumar Sah, un apatride de 32 ans qui vit dans cette province, en a souffert. « Quand je suis allé réclamer ma citoyenneté, le fonctionnaire m'a renvoyé en disant : “vous les Indiens, vous essayez d'envahir notre pays pour nous remplacer”. Et le même jour, une autre personne avec le même dossier, mais qui vient de l'ethnie des montagnes, a obtenu la nationalité. » Une réforme épineuse Le gouvernement dément ces discriminations, mais officieusement, un haut fonctionnaire nous admet qu'elles sont courantes. Une loi, adoptée en juillet par le Parlement, devait clarifier la situation et donc régler une partie de ces problèmes, mais la présidente vient de refuser de la signer. Bhim Rawal, député du Parti maoïste léniniste, explique pourquoi cette réforme est épineuse pour ce pays frontalier de l'Inde et de la Chine. « Si une Népalaise épouse un étranger, elle prend généralement la nationalité de son mari, et ses enfants l'auront aussi. Mais ils ne pourront pas être Népalais en plus. Le Népal est entouré des deux pays les plus peuplés du monde, nous devons donc faire attention à cette question démographique. » Il faudra maintenant des mois, voire des années, avant que les nouveaux députés adoptent une loi sur le sujet. Et en attendant, le problème grandit - car chaque enfant d'apatride devient, lui aussi, apatride.
Vivre de sa passion, se lever tous les matins avec le sourire à l'idée de faire LA chose qui te fait vibrer ! Ça sonne plutôt bien à l'oreille pas vrai ? Et c'est un peu le rêve de tous. Mais quand on y pense vraiment, est-ce qu'une passion reste une passion quand elle devient ton travail ? Quand le stress des dépenses quotidienne entre en jeu, quand les statistiques et le jugement extérieur prennent une place de plus en plus importante ? C'est de ca qu'on discute aujourd'hui. Je vous partage mon experience dans le monde de la musique et de l'art, la raison pour laquelle j'ai abandonné pendant de nombreuses années et pourquoi aujourd'hui je n'ai plus envie de faire de ma passion mon travail. Tu peux me retrouver sur YouTube juste ici : https://www.youtube.com/channel/UCELnGqT6oDc7Gk6lb5ejByg Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 27 ans, Cassandre a l'impression d'être bloquée. Abandonnée par sa mère biologique à l'âge de 2 ans, elle a l'impression que cette douleur persiste. Malgré l'amour de sa famille adoptive, elle est toujours en quête de réponses sur ses origines. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Laetitia a réagi suite au témoignage de Cassandre car elle a presque vécu la même histoire. Abandonnée par sa mère à l'âge de 13 mois, elle a été par la suite rejetée par sa belle-mère. Elle a réussi à aller mieux grâce à une psychothérapie. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Un Européen sur 4 se dit en situation de précarité. C'est le résultat d'une enquête du Secours populaire, réalisée dans 5 pays de l'Union européenne et le Royaume-Uni. La flambée des prix de l'énergie et des biens de consommation, fragilise l'ensemble des ménages européens. Au Portugal, par exemple, deux personnes sur dix sont désormais sous le seuil de pauvreté, fixé à 554 euros par mois. Avec les prix qui ne cessent de grimper, les associations et les instituions d'aide sont extrêmement sollicités. Le reportage de Marie-Line Darcy, dans le centre de Lisbonne. Avec un nouveau record en octobre à plus de 10% et demi d'inflation pour la zone euro, réapparaît dans le débat public la question d'indexer les salaires à l'inflation. Abandonné en France, au début des années 80, sauf pour le revenu minimum, le système est en place dans plusieurs pays européens comme Chypre, le Danemark, l'Espagne, l'Italie, le Luxembourg, Malte ou encore la Belgique. Comment ça marche ? Les explications à Bruxelles de Jean-Jacques Héry. En Turquie, la hausse moyenne des prix est de plus de 85% sur un an. Et ce n'est que le taux officiel, contesté par des économistes indépendants. Des dizaines de millions de Turcs rognent donc sur toutes leurs dépenses pour ne pas sombrer dans la pauvreté. Mais cette dernière progresse, et frappe les plus vulnérables, notamment les enfants. Des ONG et l'opposition alertent sur l'alimentation insuffisante d'une partie des écoliers turcs. À Istanbul, les explications d'Anne Andlauer. Le Listenbourg, c'est l'histoire d'un canular devenu viral, et c'est la chronique l'Europe du Net de Clémence Penard. Il a suffi de deux romans, «Conversations entre amis» et «Normal People», adaptés en séries pour propulser Sally Rooney.star des lettres anglo-saxonnes.et faire souffler un vent de renouveau sur la scène littéraire irlandaise. Sally Rooney vient de publier son troisième roman, « Où es-tu, monde admirable ? », déjà un succès de librairie. Son portrait signé Laura Taouchanov.
Sortie de l'album d'Oumou Sangaré Timbuktu (Oumsang/World Circuit/BMG), le 29 avril 2022. Nous l'avons rencontrée début février 2022 à Issy. Concerts : - 15 mai : Cigale (Paris) - 6 juin : Sakifo Musik Festival / La Réunion - 7 juillet : Nuits du Sud / Vence - 15 juillet 2022 : Les Suds / Arles. Oumou, son histoire par Francis Dordor. (Rediffusion) Depuis Moussolou, son premier album sorti en 1989, la vie de la chanteuse malienne Oumou Sangaré n'a connu aucun répit. De ce riche et trépidant voyage, on retient notamment des enregistrements parmi les plus décisifs de la musique africaine contemporaine, tous produits par le label World Circuit : Ko Sira en 1993, Worotan en 1996 et Seya nominé dans la catégorie Meilleur Album de World Music des Grammy Awards en 2009. De nombreuses tournées internationales et la consécration obtenue sur les scènes prestigieuses que sont l'Opéra de Sydney, le Queen Elizabeth Hall de Londres ou le Nippon Budokan de Tokyo, complètent ce tableau d'honneur. Timbuktu, première production de son label Oumsang constitue le nouvel acte de cette épopée musicale sans équivalent à laquelle World Circuit est à nouveau associée. Il consacre cette artiste issue des quartiers pauvres de Bamako devenue une superstar mondiale, ainsi qu'une icône féministe unanimement admirée. D'une aura puissante comparable à celle d'une Grace Jones, icone noire transgressive par excellence, Oumou a depuis longtemps franchi les barrières séparant genres musicaux et continents. Hier invitée par Alicia Keys pour un duo télévisé, elle est désormais citée en exemple par des artistes aussi considérables qu'Aya Nakamura, qui lui a dédié la chanson Oumou Sangaré en 2017, ou Beyoncé, qui a samplé l'une de ses plus célèbres créations, Diaraby Néné, pour le titre Mood 4 Eva tiré de la bande originale du film The Lion King : The Gift en 2019. Sa carrière menée tambour battant sans la moindre pause a pourtant connu une interruption avec la crise sanitaire en 2020. En mars de cette année-là (2020), suite au FIWA (Festival International du Wassoulou), événement qu'elle a créé en 2016 pour promouvoir sa région d'origine du sud Mali, elle se rend aux États-Unis. Initialement prévu pour durer deux semaines, son séjour se prolonge en raison du confinement. D'abord à New York, puis à Baltimore où elle trouve rapidement ses marques. "Quelque chose m'a immédiatement attirée dans cette ville. Je m'y suis sentie si bien que j'ai voulu acquérir une maison." Une fois installée là, elle occupe ses journées à composer avec une ancienne connaissance, Mamadou Sidibé, qui fut le premier joueur de kamele n'goni (le luth traditionnel) à l'accompagner à ses débuts. À la faveur de cette réclusion forcée, vont naître dix des onze chansons constituant Timbuktu, recueil qui noue d'intimes correspondances sonores entre les instruments traditionnels ouest-africains et ceux liés à l'histoire du blues. Notamment entre le kamele n'goni et ces lointains héritiers que sont la guitare dobro et la guitare slide, jouées ici par Pascal Danaë, co-réalisateur de l'album avec Nicolas Quéré. De cette séquence particulière du confinement, où le temps s'est pour ainsi dire arrêté, où l'artiste comme la femme d'affaires se sont trouvées dans une situation inédite d'isolement, loin du tumulte et des sollicitations incessantes, Oumou a tiré le meilleur. "Depuis 1990, je n'avais jamais eu la possibilité de me couper du monde de la sorte pour me consacrer exclusivement à la musique. De ce point de vue, le confinement a été une chance pour moi car il m'a permis de rester concentrée sur le travail de composition. Je pense que la musique s'en ressent mais aussi les textes qui sont le fruit de moments où j'ai pu me retirer en moi même pour méditer." Jamais ses paroles n'ont en effet accédé à une telle qualité poétique, une telle profondeur. Jamais ne l'a t-on trouvé aussi inspirée à livrer ses réflexions sur les indéchiffrables mystères de l'existence, la situation périlleuse que traverse son pays ou sur la condition des femmes africaines, preuve que même devenue puissante, elle n'a rien renié de ses engagements de jeunesse. Entre l'introspection de Degui N'Kelena, la langueur amoureuse exprimée dans Kanou, la compassion dans Demissimw, l'exaspération dans Kêlê Magni ou la fierté dans Wassulu Don, beaucoup d'états d'âme nourrissent ce disque. Trouvant dans l'habillage sonore réalisé par Danaë et Quéré, qui à la dynamique des rythmes traditionnels du Wassoulou additionne celle propre au langage musical contemporain, une probante mise en valeur, Timbuktu s'impose ainsi comme le plus ambitieux et abouti d'une discographie déjà émérite. Si le titre Timbuktu renvoie à l'actualité politique du Mali, pays menacé de désintégration et cherchant dans son histoire, dont cette ville du nord-est le plus puissant symbole, des motifs d'espérer, beaucoup de chansons renvoient à l'expérience singulière de la chanteuse. Quand dans Sira (littéralement "le baobab" en bambara), elle évoque la progéniture de familles érudites et aisées qui, malgré cela, verse dans la délinquance et gâche un avenir prometteur, c'est presque inconsciemment pour souligner par contraste l'exemplarité de sa propre trajectoire… Née à Bamako, le 2 février 1968, Oumou Sangaré est la fille cadette d'une famille appartenant à l'ethnie peule du Wassoulou. Sa mère, Aminata Diakité, est chanteuse comme le fut sa propre mère Noumouténé. Oumou a très peu connu son père, Diari Sangaré, qui a quitté le foyer familial lorsqu'elle avait deux ans. Abandonnée, Aminata se fait alors commerçante pour faire vivre ses quatre enfants. Oumou lui vient en aide en vendant des sachets d'eau dans la rue. Ayant pris l'habitude de suivre sa mère dans les "soumous" (cérémonies nuptiales ou baptismales) que celle-ci anime, elle s'octroie déjà une part de prestige par la clarté et la puissance d'une voix qui, jaillissant d'un corps d'enfant, éblouit l'auditoire. Elle ne tarde d'ailleurs pas à s'accaparer toute la gloire à l'occasion d'un concours interscolaire où elle fait gagner son école du quartier de Douadabougou en chantant devant 3 000 personnes réunies dans le Stade omnisports de Bamako. Passée par l'Ensemble National du Mali et le groupe Djoliba, Oumou a déjà une longue carrière professionnelle derrière elle quand à 18 ans, elle s'apprête à enregistrer à Abidjan sa première cassette produite par Abdoulaye Samassa (qui a dû lui offrir sa propre voiture pour la convaincre d'entrer en studio). Rééditée en CD et vinyle par World Circuit en 2016, la cassette intitulée Moussolou ("les femmes" en bambara) se vend à l'époque à plus de 250 000 exemplaires, un record resté inégalé en Afrique de l'Ouest. Si la musique très dansante caractéristique du Wassoulou l'explique en partie, la raison de ce succès tient beaucoup aux textes chantés, parfois rugit, par cette jeune lionne qui, depuis son plus jeune âge, a dû se battre pour survivre. Se dressant avec fougue contre les abus de la tradition patriarcale, qui autorise la polygamie, le mariage forcé et l'excision, Oumou devient du jour au lendemain l'égérie d'une cause féministe qui n'a aucune assise véritable dans cette partie du monde. Sa carrière et ses enregistrements restent ainsi marqués comme au fer rouge par cette double dimension : être une femme et avoir une origine sociale qui l'a rendue singulièrement sensible à toutes les formes d'injustices. Timbuktu ne fait pas exception. Ainsi Gniani Sara (littéralement "la récompense de la souffrance") renvoie-t-il à son combat de toujours en faveur de la condition féminine. "J'ai osé aborder ce sujet avant tout le monde et même risqué ma vie en le faisant dit elle aujourd'hui. Ma récompense c'est d'avoir réussi à éveiller les consciences. Surtout au sein de la jeune génération. Voir Aya Nakamura ou Beyoncé me prendre en exemple vaut tous les prix et toutes les distinctions du monde". Pourtant, devenir la plus grande et la plus influente chanteuse africaine vivante ne lui a pas suffi. Depuis trente ans, Oumou s'est aussi illustrée dans le domaine économique et l'action sociale. À la tête de plusieurs entreprises touchant à l'hôtellerie, l'agriculture ou au négoce d'automobiles à travers sa marque Oum Sang, elle emploie actuellement près de 200 personnes à temps plein. Quant à la fondation Oumou Sangaré, créée il y a dix ans pour venir en aide aux femmes et aux enfants en situation difficile, elle parachève pour ainsi dire une œuvre artistique jamais éloignée de convictions humanistes. Élevée au grade de Commandeur de l'Ordre National du Mali, faite Chevalier des Arts et des Lettres de la République Française, Oumou est devenue Ambassadrice de bonne volonté de la F.A.O. (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) en 2003, après avoir reçu le prix de l'UNESCO deux ans plus tôt. Mais cette réussite, Oumou doit la payer au prix fort. Après avoir subi les blessures de l'enfance parmi les plus cruelles- l'abandon, l'extrême misère- elle doit aujourd'hui se protéger des maux que la notoriété lui attire, la jalousie, la calomnie, la trahison. Autant d'atteintes qu'elle expose dans Sarama, et qu'elle s'encourage à dépasser dans Dily Oumou. En découle la solitude évoquée dans Degui N'Kelena, autour de laquelle se cristallise le thème de la séparation et de la perte qu'elle entend affronter à la manière stoïcienne, accueillant chaque événement avec une lucidité agissante. Une force qu'elle tire intégralement de la musique elle-même, dont la puissance renvoie à celle des chasseurs du Wassoulou qui en sont les inventeurs. En effet, la confrérie de ceux qu'on appelle "Donsow" ("Donso" au singulier) est à l'origine des rythmes utilisés par toutes les chanteuses modernes, elles-mêmes baptisées "kònò" (oiseau). Instrument emblématique de ce répertoire le donso-ngoni, modernisé en kamel n'goni (la harpe des jeunes) dans les années 1950, reste à la base de toutes les compositions d'Oumou. Tel un guide chant, celui de Mamadou Sidibé structure l'ensemble des compositions de Timbuktu, comme il attire par sa tonalité pentatonique les superbes développements à la guitare de Pascal Danaë. En utilisant une Harmony Stratotone sur Wassulu Don (littéralement "la culture du Wassoulou"), un dobro resonator sur Degui N'Kelena et Sarama, ou la technique du bottleneck sur Sira, le musicien semble à chaque fois renvoyer à la sonorité métallique caractéristique du kamel n'gnoni, nouant ainsi une enivrante complicité élective entre les genres musicaux et les continents. Que surmonter la souffrance et faire face à toutes les adversités traverse l'ensemble du répertoire d'Oumou Sangaré n'est pas un hasard compte tenu de son passé. Cette dominante n'est probablement pas étrangère non plus au fait que lors de cérémonies qui leur sont propres, certains chasseurs s'infligent des sévices pour mieux les dépasser, vont jusqu'à avaler des tisons ardents ou se larder de coups de poignards tout en dansant, tandis que les chanteurs invoquent des forces relevant de la surnature. C'est à cette confiance intraitable que fait référence Wassulu Don. C'est cette culture aux fondements telluriques, à la portée universelle que célèbre ici sa plus célèbre représentante, une chanteuse qui à la manière des plus grandes, Aretha Franklin ou Nina Simone, sublime la douleur et, plus que jamais, éclaire de son génie propre la musique, toute la musique, et pas seulement africaine. "La musique est en moi !", proclame Oumou. "Sans elle je ne suis rien, et rien ne peut me l'enlever ! Dans ce disque j'ai mis ma vie, toute ma vie, cette vie où j'ai connu la faim, l'humiliation de la pauvreté, la peur et dont je tire aujourd'hui la gloire." Titres diffusés extraits de l'album Timbuktu - Wassulu Don voir le clip - Sira - Degui N'Kelena - Timbuktu Voir le clip Sarama.
Violemment décriée il y a quatre ans après l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, l'Arabie saoudite est aujourd'hui plus que jamais courtisée. La manne qu'elle tire de son pétrole lui autorise tous les excès. Le dernier en date : organiser les Jeux asiatiques d'hiver de 2029. Vingt-quatre milliards de dollars d'excédent budgétaire cette année, 26,5 milliards prévus en 2023, l'économie saoudienne se porte plutôt très bien en ces temps de crise. L'agence Standard & Poor's a récemment évalué à 7,5% la croissance du PIB en 2022, à un moment où la récession s'installe un peu partout dans le monde. Et l'inflation, qui pèse sur de nombreuses économies, dépassera à peine les 2,5% cette année, selon le ministère saoudien des Finances. Une performance notable quand on sait que le royaume revient de loin. La pandémie avait asséché ses deux principales sources de revenus, à savoir le pétrole et le tourisme religieux. Aujourd'hui, cette période n'est plus qu'un lointain souvenir. Le hadj et les omra, le grand et les petits pèlerinages font le plein et les cours du pétrole dépasse les 90 dollars le baril, là où ils étaient passés sous les 10 dollars pendant la pandémie. L'actuelle crise énergétique devrait profiter encore plus au pays La décision prise le 5 octobre par l'Opep+, dont l'Arabie saoudite est l'un des membres les plus influents, de réduire drastiquement ses quotas de production de pétrole – une première depuis le début de la pandémie – va probablement doper les cours, pour le plus grand bénéfice des pays producteurs de pétrole et donc des finances saoudiennes. Reflet de cette opulence, le Fonds d'investissement public – pas moins de 606 milliards de dollars d'actifs en juin – que les autorités saoudiennes ambitionnent de porter à 1 000 milliards d'ici à trois ans, soit l'équivalent de ce que pèse actuellement le fonds souverain norvégien, le plus gros au monde. À la tête de ce fonds, l'homme fort du pays, le prince héritier Mohammed ben Salman qui en a fait un instrument clé de la modernisation et de la diversification de l'économie saoudienne, mais surtout de sa réussite personnelle. Les projets les plus fous peuvent voir le jour Comme ces jeux asiatiques d'hiver que l'Arabie saoudite s'apprête à organiser en plein désert. Abandonnés en 2017, car jugés trop coûteux et sans intérêt, ils pourraient se tenir en 2029 à Neom, un autre projet fou, une mégalopole futuriste, inspiré du film de super-héros Les gardiens de la galaxie, dont Mohammed ben Salman est un grand fan. Neom, qu'il veut ériger dans le nord-ouest du pays, n'est toujours pas sortie de terre. Mais 500 milliards de dollars sont déjà mobilisés pour sa construction, auxquels il faudra désormais ajouter le coût d'une station avec des pistes de ski, un lac artificiel d'eau douce, des chalets et des hôtels de luxe. Car les jeux d'hiver, ce sont 28 épreuves sur neige et 19 sur glace, que l'Arabie saoudite veut organiser dans une région où il ne pleut que très rarement, sans même parler de neige... Mais le paradoxe de tout ça, c'est que Neom est vendue comme une ville « zéro carbone », respectueuse de l'environnement alors que le royaume reste l'un des premiers producteurs et exportateurs de pétrole de la planète. Cette pluie de pétrodollars a tout de même permis d'engager une diversification de l'économie saoudienne La fameuse vision 2030 portée par Mohammed ben Salman avec des secteurs prioritaires comme les infrastructures, l'aérospatiale, la voiture électrique, le jeu vidéo ou les énergies renouvelables. Le fonds souverain saoudien vient, pas plus tard que la semaine dernière, de mandater plusieurs grandes banques pour l'émission d'une obligation verte destinée à financer des projets environnementaux. Il compte consacrer plus de 10 milliards de dollars d'ici à 2026 aux énergies renouvelables, au transport décarboné ou à la gestion durable de la fourniture d'eau. Mais parallèlement, le royaume, l'un des premiers producteurs de pétrole au monde, vient de lancer un grand plan d'investissements dans les infrastructures de production et de transport d'hydrocarbures, tout en se fixant pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2060. Le pays, on le voit, n'en est pas une contradiction près. Depuis l'annonce de l'Opep+, le cours du baril de brut s'est renchéri... la manne des pétrodollars n'est pas près de se tarir.
Il n'existe pas beaucoup de parcours de vie comme celui d'Aline Peugeot. Fille adoptive de la célèbre famille de constructeurs de véhicules motorisés, elle a connu la rue, la prostitution, l'alcoolisme pour finir coach et conférencière TEDx. Abandonnée par sa mère biologique à l'âge de 2 ans, AdelinePeugeot connait alors l'orphelinat pendant 3 ans, elle a été adoptée par lepetit-fils de l'industriel Henri Peugeot à l'âge de 6 ans. « Quand je suis arrivée chez eux,j'avais déjà développé un énorme manque affectif, un énorme besoin d'amour. Onpeut penser que ça changerai […] mais non, ça n'a été que la continuité d'unecarence affective ». Si aujourd'hui elle est en bons termesavec sa famille adoptive, cela n'a pas toujours été le cas, surtout au début deleur relation. « Cette famille était beaucoupaccès sur les compétences, les affaires, réussir dans la vie, gagner del'argent tout en estimant l'affection comme une faiblesse, j'ai vraiment étéélevée à la militaire. J'ai eu beaucoup de mal à trouver ma place ».A 17 ans, Adeline quitte le foyer familial des Peugeot pour vivre chez sonpetit ami de l'époque. C'est pendant cette période qu'elle a son premierenfant, un fils avec qui, malheureusement, elle n'a plus de contactaujourd'hui, à cause de son père biologique.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sami Nouri a cinq ans lorsqu'il doit fuir l'Afghanistan et le régime des talibans avec sa famille. C'était en 2001. Après un passage en Iran, où il apprend la couture avec son père, puis en Turquie, c'est seul, à 14 ans qu'il rejoint la France avec l'aide d'un passeur. Abandonné dans un pays qu'il ne connaît pas et dont il ne parle pas la langue, il découvre les services sociaux, les foyers pour mineurs et bientôt les cours de couture, domaine où il excelle. Très vite repéré par les grandes maisons de couture, Sami Nouri devient styliste et crée son propre atelier de couture à Paris. De l'exil à l'obtention de la nationalité française, le parcours atypique de ce jeune Afghan fait écho à beaucoup d'autres qui, comme lui, ont dû quitter leur pays. Une réussite qui montre aussi l'apport et le savoir-faire des réfugiés en France et en Europe. Avec : - Sami Nouri, couturier, styliste et auteur avec Olivia Karam de La machine à coudre – de l'Afghanistan aux défilés de Haute couture (Robert Laffont, 2022) - Inès Mesmar, fondatrice de La fabrique Nomade, une association qui favorise l'insertion professionnelle des artisans d'art migrants et réfugiés en France. Programmation musicale : ► Dustet Darum - Zahra Elham ► Home – Romane
Sami Nouri a cinq ans lorsqu'il doit fuir l'Afghanistan et le régime des talibans avec sa famille. C'était en 2001. Après un passage en Iran, où il apprend la couture avec son père, puis en Turquie, c'est seul, à 14 ans qu'il rejoint la France avec l'aide d'un passeur. Abandonné dans un pays qu'il ne connaît pas et dont il ne parle pas la langue, il découvre les services sociaux, les foyers pour mineurs et bientôt les cours de couture, domaine où il excelle. Très vite repéré par les grandes maisons de couture, Sami Nouri devient styliste et crée son propre atelier de couture à Paris. De l'exil à l'obtention de la nationalité française, le parcours atypique de ce jeune Afghan fait écho à beaucoup d'autres qui, comme lui, ont dû quitter leur pays. Une réussite qui montre aussi l'apport et le savoir-faire des réfugiés en France et en Europe. Avec : - Sami Nouri, couturier, styliste et auteur avec Olivia Karam de La machine à coudre – de l'Afghanistan aux défilés de Haute couture (Robert Laffont, 2022) - Inès Mesmar, fondatrice de La fabrique Nomade, une association qui favorise l'insertion professionnelle des artisans d'art migrants et réfugiés en France. Programmation musicale : ► Dustet Darum - Zahra Elham ► Home – Romane
Rubrique:nouvelles Auteur: francois-coppee Lecture: Daniel LuttringerDurée: 20min Fichier: 14 Mo Résumé du livre audio: Une nouvelle d'amour tirée du recueil Longues et brèves de François Coppée (1842-1908). Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Catherine a été abandonnée par sa mère lorsqu'elle avait 5 ans et a été élevée par son père. Étant adulte, Catherine a fait des recherches pour retrouver sa mère et a réussi à renouer les liens, mais leur relation reste compliquée. Catherine ne comprend pas pourquoi elle a encore besoin de celle qui l'a tant faite souffrir. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Chaque soir, Olivier Delacroix vous ouvre la Libre antenne. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Chaque soir, Olivier Delacroix vous ouvre la Libre antenne. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Pascal Denault - Mt 27.45-50 DESCRIPTION : Ce récit nous décrit les derniers instants de Jésus avant de mourir. La mort du Christ est centrale à l’histoire de la rédemption; tout en étant symbolique, elle est radicalement historique. Nous nous attarderons sur chaque détail rapporté en réfléchissant au sens de sa mort. PLAN A. Les ténèbres B. L’abandon C. Le vinaigre D. La mort
Le 29 avril 2022, Oumou Sangaré a sorti son album Timbuktu (Oumsang/World Circuit/BMG). Nous l'avons rencontrée début février 2022 à Issy. Oumou, son histoire par Francis Dordor Depuis Moussolou, son premier album sorti en 1989, la vie de la chanteuse malienne Oumou Sangaré n'a connu aucun répit. De ce riche et trépidant voyage, on retient notamment des enregistrements parmi les plus décisifs de la musique africaine contemporaine, tous produits par le label World Circuit : Ko Sira en 1993, Worotan en 1996 et Seya nominé dans la catégorie Meilleur album de World Music des Grammy Awards en 2009. De nombreuses tournées internationales et la consécration obtenue sur les scènes prestigieuses que sont l'Opéra de Sydney, le Queen Elizabeth Hall de Londres ou le Nippon Budokan de Tokyo, complètent ce tableau d'honneur. Timbuktu, première production de son label Oumsang constitue le nouvel acte de cette épopée musicale sans équivalent à laquelle World Circuit est à nouveau associée. Il consacre cette artiste issue des quartiers pauvres de Bamako devenue une superstar mondiale, ainsi qu'une icône féministe unanimement admirée. D'une aura puissante comparable à celle d'une Grace Jones, icone noire transgressive par excellence, Oumou a depuis longtemps franchi les barrières séparant genres musicaux et continents. Hier, invitée par Alicia Keys pour un duo télévisé, elle est désormais citée en exemple par des artistes aussi considérables qu'Aya Nakamura, qui lui a dédié la chanson Oumou Sangaré en 2017, ou Beyoncé, qui a samplé l'une de ses plus célèbres créations, Diaraby Néné, pour le titre Mood 4 Eva tiré de la bande originale du film The Lion King : The Gift en 2019. ►Oumou Sangaré sur RFI musiques Sa carrière menée tambour battant sans la moindre pause a pourtant connu une interruption avec la crise sanitaire en 2020. En mars de cette année-là (2020), suite au FIWA (Festival International du Wassoulou), événement qu'elle a créé en 2016 pour promouvoir sa région d'origine du sud Mali, elle se rend aux États-Unis. Initialement prévu pour durer deux semaines, son séjour se prolonge en raison du confinement. D'abord à New York, puis à Baltimore où elle trouve rapidement ses marques. "Quelque chose m'a immédiatement attirée dans cette ville. Je m'y suis sentie si bien que j'ai voulu acquérir une maison." Une fois installée là, elle occupe ses journées à composer avec une ancienne connaissance, Mamadou Sidibé, qui fut le premier joueur de kamele n'goni (le luth traditionnel) à l'accompagner à ses débuts. À la faveur de cette réclusion forcée, vont naître dix des onze chansons constituant Timbuktu, recueil qui noue d'intimes correspondances sonores entre les instruments traditionnels ouest-africains et ceux liés à l'histoire du blues. Notamment entre le kamele n'goni et ces lointains héritiers que sont la guitare dobro et la guitare slide, jouées ici par Pascal Danaë, co-réalisateur de l'album avec Nicolas Quéré. De cette séquence particulière du confinement, où le temps s'est pour ainsi dire arrêté, où l'artiste comme la femme d'affaires se sont trouvées dans une situation inédite d'isolement, loin du tumulte et des sollicitations incessantes, Oumou a tiré le meilleur. "Depuis 1990, je n'avais jamais eu la possibilité de me couper du monde de la sorte pour me consacrer exclusivement à la musique. De ce point de vue, le confinement a été une chance pour moi car il m'a permis de rester concentrée sur le travail de composition. Je pense que la musique s'en ressent, mais aussi les textes qui sont le fruit de moments où j'ai pu me retirer en moi même pour méditer." Jamais ses paroles n'ont en effet accédé à une telle qualité poétique, une telle profondeur. Jamais ne l'a t-on trouvé aussi inspirée à livrer ses réflexions sur les indéchiffrables mystères de l'existence, la situation périlleuse que traverse son pays ou sur la condition des femmes africaines, preuve que même devenue puissante, elle n'a rien renié de ses engagements de jeunesse. Entre l'introspection de Degui N'Kelena, la langueur amoureuse exprimée dans Kanou, la compassion dans Demissimw, l'exaspération dans Kêlê Magni ou la fierté dans Wassulu Don, beaucoup d'états d'âme nourrissent ce disque. Trouvant dans l'habillage sonore réalisé par Danaë et Quéré, qui à la dynamique des rythmes traditionnels du Wassoulou additionne celle propre au langage musical contemporain, une probante mise en valeur, Timbuktu s'impose ainsi comme le plus ambitieux et abouti d'une discographie déjà émérite. Si le titre Timbuktu renvoie à l'actualité politique du Mali, pays menacé de désintégration et cherchant dans son histoire, dont cette ville du nord-est le plus puissant symbole, des motifs d'espérer, beaucoup de chansons renvoient à l'expérience singulière de la chanteuse. Quand dans Sira (littéralement "le baobab" en bambara), elle évoque la progéniture de familles érudites et aisées qui, malgré cela, verse dans la délinquance et gâche un avenir prometteur, c'est presque inconsciemment pour souligner par contraste l'exemplarité de sa propre trajectoire… Née à Bamako, le 2 février 1968, Oumou Sangaré est la fille cadette d'une famille appartenant à l'ethnie peule du Wassoulou. Sa mère, Aminata Diakité, est chanteuse comme le fut sa propre mère Noumouténé. Oumou a très peu connu son père, Diari Sangaré, qui a quitté le foyer familial lorsqu'elle avait deux ans. Abandonnée, Aminata se fait alors commerçante pour faire vivre ses quatre enfants. Oumou lui vient en aide en vendant des sachets d'eau dans la rue. Ayant pris l'habitude de suivre sa mère dans les "soumous" (cérémonies nuptiales ou baptismales) que celle-ci anime, elle s'octroie déjà une part de prestige par la clarté et la puissance d'une voix qui, jaillissant d'un corps d'enfant, éblouit l'auditoire. Elle ne tarde d'ailleurs pas à s'accaparer toute la gloire à l'occasion d'un concours interscolaire où elle fait gagner son école du quartier de Douadabougou en chantant devant 3 000 personnes réunies dans le Stade omnisports de Bamako. Passée par l'Ensemble National du Mali et le groupe Djoliba, Oumou a déjà une longue carrière professionnelle derrière elle quand à 18 ans, elle s'apprête à enregistrer à Abidjan sa première cassette produite par Abdoulaye Samassa (qui a dû lui offrir sa propre voiture pour la convaincre d'entrer en studio). Rééditée en CD et vinyle par World Circuit en 2016, la cassette intitulée Moussolou ("les femmes" en bambara) se vend à l'époque à plus de 250 000 exemplaires, un record resté inégalé en Afrique de l'Ouest. Si la musique très dansante caractéristique du Wassoulou l'explique en partie, la raison de ce succès tient beaucoup aux textes chantés, parfois rugit, par cette jeune lionne qui, depuis son plus jeune âge, a dû se battre pour survivre. Se dressant avec fougue contre les abus de la tradition patriarcale, qui autorise la polygamie, le mariage forcé et l'excision, Oumou devient du jour au lendemain l'égérie d'une cause féministe qui n'a aucune assise véritable dans cette partie du monde. Sa carrière et ses enregistrements restent ainsi marqués comme au fer rouge par cette double dimension : être une femme et avoir une origine sociale qui l'a rendue singulièrement sensible à toutes les formes d'injustices. Timbuktu ne fait pas exception. Ainsi Gniani Sara (littéralement "la récompense de la souffrance") renvoie-t-il à son combat de toujours en faveur de la condition féminine. "J'ai osé aborder ce sujet avant tout le monde et même risqué ma vie en le faisant dit elle aujourd'hui. Ma récompense c'est d'avoir réussi à éveiller les consciences. Surtout au sein de la jeune génération. Voir Aya Nakamura ou Beyoncé me prendre en exemple vaut tous les prix et toutes les distinctions du monde". ► Biographie Pourtant, devenir la plus grande et la plus influente chanteuse africaine vivante ne lui a pas suffi. Depuis trente ans, Oumou s'est aussi illustrée dans le domaine économique et l'action sociale. À la tête de plusieurs entreprises touchant à l'hôtellerie, l'agriculture ou au négoce d'automobiles à travers sa marque Oum Sang, elle emploie actuellement près de 200 personnes à temps plein. Quant à la fondation Oumou Sangaré, créée il y a dix ans pour venir en aide aux femmes et aux enfants en situation difficile, elle parachève pour ainsi dire une œuvre artistique jamais éloignée de convictions humanistes. Élevée au grade de Commandeur de l'Ordre National du Mali, faite Chevalier des Arts et des Lettres de la République Française, Oumou est devenue Ambassadrice de bonne volonté de la F.A.O. (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) en 2003, après avoir reçu le prix de l'UNESCO deux ans plus tôt. Mais cette réussite, Oumou doit la payer au prix fort. Après avoir subi les blessures de l'enfance parmi les plus cruelles- l'abandon, l'extrême misère- elle doit aujourd'hui se protéger des maux que la notoriété lui attire, la jalousie, la calomnie, la trahison. Autant d'atteintes qu'elle expose dans Sarama, et qu'elle s'encourage à dépasser dans Dily Oumou. En découle la solitude évoquée dans Degui N'Kelena, autour de laquelle se cristallise le thème de la séparation et de la perte qu'elle entend affronter à la manière stoïcienne, accueillant chaque événement avec une lucidité agissante. Une force qu'elle tire intégralement de la musique elle-même, dont la puissance renvoie à celle des chasseurs du Wassoulou qui en sont les inventeurs. En effet, la confrérie de ceux qu'on appelle "Donsow" ("Donso" au singulier) est à l'origine des rythmes utilisés par toutes les chanteuses modernes, elles-mêmes baptisées "kònò" (oiseau). Instrument emblématique de ce répertoire le donso-ngoni, modernisé en kamel n'goni (la harpe des jeunes) dans les années 1950, reste à la base de toutes les compositions d'Oumou. Tel un guide chant, celui de Mamadou Sidibé structure l'ensemble des compositions de Timbuktu, comme il attire par sa tonalité pentatonique les superbes développements à la guitare de Pascal Danaë. En utilisant une Harmony Stratotone sur Wassulu Don (littéralement "la culture du Wassoulou"), un dobro resonator sur Degui N'Kelena et Sarama, ou la technique du bottleneck sur Sira, le musicien semble à chaque fois renvoyer à la sonorité métallique caractéristique du kamel n'gnoni, nouant ainsi une enivrante complicité élective entre les genres musicaux et les continents. Que surmonter la souffrance et faire face à toutes les adversités traverse l'ensemble du répertoire d'Oumou Sangaré n'est pas un hasard compte tenu de son passé. Cette dominante n'est probablement pas étrangère non plus au fait que lors de cérémonies qui leur sont propres, certains chasseurs s'infligent des sévices pour mieux les dépasser, vont jusqu'à avaler des tisons ardents ou se larder de coups de poignards tout en dansant, tandis que les chanteurs invoquent des forces relevant de la surnature. C'est à cette confiance intraitable que fait référence Wassulu Don. C'est cette culture aux fondements telluriques, à la portée universelle que célèbre ici sa plus célèbre représentante, une chanteuse qui à la manière des plus grandes, Aretha Franklin ou Nina Simone, sublime la douleur et, plus que jamais, éclaire de son génie propre la musique, toute la musique, et pas seulement africaine. "La musique est en moi !", proclame Oumou. "Sans elle je ne suis rien, et rien ne peut me l'enlever ! Dans ce disque j'ai mis ma vie, toute ma vie, cette vie où j'ai connu la faim, l'humiliation de la pauvreté, la peur et dont je tire aujourd'hui la gloire." (Rediffusion du 17 avril 2022) Titres diffusés extraits de l'album Timbuktu - Wassulu Don voir le clip - Sira - Degui N'Kelena - Timbuktu Voir le clip Sarama
Lista de Espera | Instagram Fluency TV Francês | Playlist Fluency News Francês Neste episódio, você vai entender mais sobre a famosa mulher da casa abandonada que mobilizou o Brasil e como sua mansão em Higienópolis virou ponto turístico em São Paulo. Também vamos falar sobre as vendas de animais de estimação serem proibidas em Nova Iorque, e o que a Kylie Jenner achou das mudanças do Instagram. On y va ? Material de Apoio
Avec : Jacques-Charles Fombonne, président de la SPA. - Chaque matin, RMC reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent aux questions sans détour du journaliste. Chaque jour, Apolline de Malherbe accompagnée de Charles Magnien, donne rendez-vous aux auditeurs RMC et téléspectateurs de RMC Story pour une matinale d'information, de débat et d'opinion unique. Avec une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Les auditeurs et téléspectateurs sont plus que jamais au cœur des échanges. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Découvrez la suite de l'histoire de Marie-Sophie en Bavière, la "reine soldat" du royaume des Deux-Siciles. Soeur oubliée de Sissi l'Impératrice, Marie-Sophie a pourtant joué un rôle capital dans la lutte acharnée du royaume contre les troupes du révolutionnaire Giuseppe Garibaldi. Abandonnés par les souverains d'Europe, François II et Marie-Sophie quittent la forteresse en ruine de Gaète et partent en exil à Rome. Dans les États Pontificaux, Marie-Sophie trouve de nouveaux fidèles. Malgré la défaite écrasante, elle est entrée dans la légende en héroïne grâce à son courage dans les remparts. Mais son répit ne sera que de courte durée… Dans cette seconde partie d'épisode produite par Europe 1 Studio, Clémentine Portier-Kaltenbach poursuit le récit de la vie romanesque de Marie-Sophie en Bavière.
Le week end, les Grandes Gueules du sport renouvellent le débat d'opinion 100% sport, sur RMC.
Chaque année rien qu'en France : 100 000 animaux sont abandonnés 2 millions sont utilisés pour l'expérimentation 30 à 40 millions sont tués par les chasseurs, pour le plaisir, pas pour survivre 1.2 milliards sont élevés et tués dans des conditions indignes, pour être mangés (soit 3,2 millions par jour) Le changement est - quoiqu'on en pense - nécessaire (ne serait-ce que pour le climat), inéluctable, mais trop lent. Avec ce livre malin, Yolaine de La Bigne donne à chacun.e des clés simples et pratiques pour nous impliquer au quotidien et agir concrètement contre la souffrance animale. Dans ce 3e épisode, le point sur Les animaux abandonnés, ceux exhibés pour frimer et l'animal-gibier. _______ Découvrez les autres épisodes avec Yolaine, les 12 Sagesses animales : https://bit.ly/yolaine1_BSG https://bit.ly/yolaine2_BSG https://bit.ly/yolaine3_BSG https://bit.ly/yolaine4_BSG Sur le rapport homme Nature avec le philosophe Gilles Vervisch : https://bit.ly/homme-nature1_BSG https://bit.ly/homme-nature2_BSG https://bit.ly/homme-nature3_BSG _______
durée : 00:25:07 - Musicopolis - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur la création de l'opéra culte de Giacomo Puccini (1858-1924) : "Mme Butterfly" ! - réalisé par : Philippe Petit
Ce vendredi 10 juin, les enjeux de PAAW dans le but d'offrir un "marketplace" aux refuges pour faciliter les adoptions d'animaux de compagnie ont été abordés par Lorraine Goumot et Chloé Fabiani, fondatrice de PAAW, dans la chronique La pépite dans l'émission Good morning business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Sabine Marin. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Monique a fait un AVC il y a 8 ans. Son mari l'a fait intégrer une maison de retraite et ne vient plus du tout la voir. Il ne lui donne même plus d'argent pour qu'elle puisse s'acheter un peu de nourriture. Même ses enfants ne viennent plus la voir car il n'en peuvent plus des disputes du couple. Monique se sent bien seule. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr .
suite à une intoxication alimentaire, j'ai passé la nuit aux toilettes, et je me suis réveillé sans énergie. Et pourtant une étape m'attend. Vais je aller au bout? Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est drôle la vie. Je me demandai ce que je pourrais bien faire pour "marquer le coup" du 100ème épisode de ce podcast. Et Aline est arrivée à moi, comme par magie. Magie car cet épisode est une révélation. Un coup de poing aussi. Par la force du témoignage qu'Aline propose, par ses propos qui s'écoulent avec une densité et une cohérence rares et par la lumière de son regard, chez celle qui a pourtant vu et vécu le pire mais qui ne dégage pourtant que de l'espoir, de la beauté et de la gentillesse. Alors, dans de centième épisode, je reçois Aline Peugeot
durée : 00:16:58 - "Dans les petits patelins, on est abandonnés" : à la rencontre de la jeunesse rurale tentée par le vote RN - Pourquoi Marine Le Pen a-t-elle autant de succès chez les électeurs de moins de 35 ans ? Le Quart d'Heure vous emmène à la rencontre des habitants de Hirson, dans l'Aisne, qui a voté à 43% pour le Rassemblement National au premier tour, pour entendre les aspirations et les problèmes des jeunes tentés par le RN. On vous raconte aussi le débat télévisé entre les deux candidats, où l'écologie s'est fait une (petite) place. Enfin, on vous raconte la guerre du streaming : Netflix perd des abonnés, et les autres plateformes de vidéo en ligne sont en embuscade.