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Estados Unidos está recortando en áreas claves para la ayuda al desarrollo o la salud. Hemos visto como su administración ha reducido drásticamente el número de empleados de USAID o ha reducido mucho el dinero destinado a la ayuda sanitaria. Hablamos con Marisol Touraine, presidenta del Consejo Ejecutivo de Unitaid y exministra de Salud de Francia.Escuchar audio
Portrait-robot du mois sans tabac Nom : Moi(s) sans tabacNaissance : 1er novembre 2016Mes parents : Santé public France et l'Assurance MaladieMon grand frère : Tabac Info ServiceDéclic : Marisol Touraine, Ministre des Affaires Sociales et de la SantéDéfis : 30 jours sans tabacInfos wtf : je distribue des pochettes surprises gratuites en pharmacie Voici l'une des 5 personnes que j'ai micro-interviewée.Les 5 interviews seront réunies en un épisode le dernier lundi de ce mois Abonnez-vous pour être notifié de la prochaine, il y en aura plusieurs pendant ce Mois Sans Tabac. Et savez-vous pourquoi c'est le mois sans tabacet pas le JOUR sans tabacou la SEMAINE sans tabac ?parce qu'Ils ont fait des statistiques :Lorsqu'on franchit le cap des 30 jours sans fumer, on multiplie par 5 ses chances de succès pour arrêter définitivement.C'est encourageant quand même ! Bon sevrage ! Freddie Seng | montage et mixage | https://www.instagram.com/freddie.seng/profilecard/?igsh=ZXBiNzQwYTM1Zml3 Eugénie Florentin | Lanterne Digitale, Sociale Media Manager | https://www.instagram.com/lanterne.digitale?igsh=dW80YTliYzM1MzZq_____Musique | IA+Astridou____Insta | @tumanquespasdair www.instagram.com/tumanquespasdair/Livre | « Apprivoiser son impérieuse envie de fumer », Astrid Malone, éditions Eyrolles.Facebook | Tu manques pas d'airYouTube | Tu manques pas d'airLinkedIn | Astrid MaloneMail : tumanquespasdairpodcast@gmail.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le scandale du Levothyrox reste incontestablement comme un exemple parfait d'une crise de l'information dans le domaine de la santé. La nouvelle composition du médicament commercialisée en mars 2017 va entraîner la condamnation du laboratoire Merck pour préjudice moral et une mise en examen pour tromperie aggravée. L'Agence Nationale de Sécurité du Médicament est également mise en examen en décembre 2022 pour tromperie. Et bientôt un procès pénal devrait se tenir. Comment en est-on arrivé là ? Quelles sont les responsabilités des médias, des réseaux sociaux, du laboratoire et des autorités de santé ? Eléments de réponse dans ce nouveau podcast. Animation et écriture : Jean-Yves MairéExperts : Me Christophe Hénin, avocat au barreau de Paris, Dr Martine Pérez Journaliste médicale Invité : Dr Gérald Kierzek, médecin urgentiste, chroniqueur médical et coauteur du rapport (juin 2018) demandé par la ministre de la santé Marisol Touraine « sur l'amélioration de l'information des usagers et des professionnels de santé sur le médicament ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, ESE donne la parole à la présidente du Conseil National Professionnel des IPA, Julie Devictor. Au moment où la PPL Rist sur l'accès direct à un professionnel de santé est sur le point d'arriver au Sénat, il est essentiel de bien comprendre quel est le périmètre d'activité et le rôle des infirmiers en pratique avancée (IPA) dans la prise en charge des patients. Mis en avant dans le cadre de loi de transformation du système de santé porté par Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, les IPA étaient appelés à jouer un rôle majeur dans la prise en charge et le suivi des patients, notamment ceux atteints d'une pathologie chronique. Le tout en coordination avec une structure de soins articulée autour du médecins traitant. Si tel était l'ambition originelle, le dispositif a malgré tout connu un démarrage poussif. La PPL Rist, actuellement en discussion dans l'hémicycle, a vocation à repositionner les IPA tout en étoffant leurs missions en vue de répondre à la problématique d'accès aux soins. Au travers de ce podcast, la présidente du CNP-IPA nous présente les défis et obstacles auxquels cette profession est confrontée dans sa pratique au quotidien. Julie Devictor revient également sur la PPL Rist et la façon dont ce texte pourrait faire évoluer le champ des compétences des IPA tout en facilitant leur accès aux patients. Bonne écoute à tous !
durée : 00:23:37 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'ancien ministre Marisol Touraine s'oppose fermement à la réforme des retraites. Selon elle, cette loi "risque de se transformer en passport pour le populisme d'extrême droite".
durée : 02:29:04 - Le 7/9.30 - Président du Prix du livre Inter, Marisol Touraine, ancienne ministre des Affaires sociales et de la Santé, présidente d'Unitaid, et le Professeur Guillaume Canaud, de l'unité de Médecine translationnelle et thérapies ciblées de l'hôpital Necker – Enfants malades, sont les invités de la matinale.
À une semaine de l'annonce officielle de la réforme des retraites, le terrain semble miné et le sujet, explosif. Gouvernement et syndicats campent sur leurs positions, avec toutefois quelques ouvertures. « Élisabeth Borne a endossé le rôle de démineur, relève Le Monde. Interrogée avant-hier [le 3 janvier, NDLR], la Première ministre a fixé trois jalons : le départ à 65 ans n'est pas un totem ; la durée de cotisation pour obtenir la retraite à taux plein n'excédera pas les 43 ans prévus dans la précédente réforme engagée par la socialiste Marisol Touraine ; et l'âge d'annulation de la décote restera fixé à 67 ans. » Objectif, pointe le quotidien du soir : « se frayer un étroit passage pour faire aboutir la réforme la plus hasardeuse du second quinquennat d'Emmanuel Macron. Depuis que le président de la République a annoncé son intention de relever l'âge du départ à la retraite de 62 ans à 65 ans dans le cadre de sa campagne de réélection, le gouvernement n'est pas parvenu à obtenir le moindre consensus sur le sujet. » Souple comme le roseau… Et « rien ne garantit, relève encore Le Monde, que les gestes d'Élisabeth Borne empêcheront une nouvelle éruption sociale. Le pays oscille entre colère et résignation, et les partis et les organisations syndicales sont dépassés. C'est précisément parce qu'elle est consciente de cette très grande fragilité que la Première ministre a pris l'exact contre-pied de ce qu'avait incarné l'un de ses prédécesseurs, Alain Juppé, lorsqu'il avait engagé en 1995 la réforme de la Sécurité sociale. Au lieu d'être droite dans ses bottes, Élisabeth Borne se montre souple comme le roseau. C'est, par les temps qui courent, estime Le Monde, la posture la plus sage. » Interrogé par Le Parisien, le ministre du Travail, Olivier Dussopt, joue également l'apaisement… « Personne ne souhaite un blocage, affirme-t-il. Tout le monde serait très heureux de ne pas avoir à travailler deux ans de plus pour faire valoir ses droits mais tout le monde tient aussi à ce système de retraite par répartition et à l'amélioration des pensions. » Un test pour la gauche… Pour l'opposition de gauche, « cette réforme des retraites va être un test décisif, relève Libération. Les différents chefs de partis (PS, EE-LV, LFI, PCF) vont-ils présenter un front uni contre ce projet que la majorité des Français et la quasi-totalité des électeurs de gauche rejettent ? La décision de LFI de soutenir une marche le 21 janvier à Paris sans attendre les syndicats peut laisser planer un doute. Mais Olivier Faure, le patron du PS, assure que l'ensemble des formations de la Nupes travaille sur un projet commun. Acceptons-en (pour l'heure) l'augure, s'exclame le journal. Un terrain d'entente et une stratégie partagée seraient à coup sûr, estime Libération, un signal fort envoyé à tous ceux et toutes celles qui doutent de la solidité de la Nupes et de sa capacité à présenter un candidat commun à la présidentielle de 2027. Et surtout crédible. » L'Ukraine engagée dans une course contre-la-montre À la Une également : « La stratégie de l'Ukraine pour étendre ses frappes en Russie », c'est le grand titre du Figaro. « L'armée ukrainienne veut montrer qu'elle est aussi capable de faire mal à la Russie. En l'espace de quelques jours, les forces de Volodymyr Zelensky ont frappé la base aérienne d'Engels en Russie, où sont positionnés des bombardiers stratégiques. Elles ont infligé des pertes sévères - peut-être plusieurs centaines d'hommes - lors du bombardement de Makiivka, dans la banlieue de Donetsk. L'artillerie ukrainienne bombarde aussi les Républiques autoproclamées du Donbass, provoquant sans doute des pertes humaines. "C'est œil pour œil, note une source militaire française. Les Ukrainiens doivent prendre des risques parce que le temps joue contre eux". » En effet, analyse Le Figaro, « tandis que la Russie s'installe dans une course de lenteur, mobilisant son économie pour l'effort de guerre et sa société pour un conflit de civilisation, l'Ukraine se trouve engagée dans une course contre-la-montre. C'est pour présenter ces sabliers inversés aux dirigeants américains que le président Zelensky a fait le voyage de Washington fin décembre. C'est aussi pour bousculer l'adversaire, le pousser à la faute ou lui insuffler un sentiment de vulnérabilité que Kiev multiplie les attaques en profondeur sur le territoire russe. Les Occidentaux redoutent que des provocations ukrainiennes conduisent Poutine à une escalade incontrôlable. Les stratèges ukrainiens font le calcul inverse, pointe Le Figaro : exhiber les faiblesses de la Russie devrait enhardir leurs alliés, afin qu'ils livrent sans attendre des armements capables de renverser le mastodonte russe. Parce que les Ukrainiens voient le piège de l'enlisement, le temps est devenu leur ennemi. » ► À lire aussi : Guerre en Ukraine: à Kiev, les coupures de courant font désormais partie du quotidien
Martine Aubry, Alain Juppé, Jean-François Mattéi, François Hollande, Marisol Touraine, Agnès Buzyn, Olivier Véran… Les coupables de la crise que traverse l'hôpital sont nombreux et de tous bords. Critiques et solutions, cette semaine dans Marianne.Le magazine Marianne est en kiosques et en ligne chaque jeudi."Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti". Albert CamusMarianne TV : https://tv.marianne.net/Marianne.net : https://www.marianne.net/ Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Interview de Marisol Touraine, présidente du Conseil d'administration d'Unitaid.
He ahí el dilema del sector cultural en Francia en tiempos de pandemia. Ese será el tema de un debate que organiza el Théâtre 14 de París. El festival Cinelatino de Toulouse sigue su curso pero de forma virtual; conversamos sobre esta experiencia con la directora chilena Marcela Said. En nuestra crónica musical, escucharemos el nuevo disco de los “Feu! Chatterton”, un vistoso quinteto masculino francés. Francia cumplió ya un año viviendo al ritmo de los confinamientos, las cuarentenas y los toques de queda por causa de covid. Los teatros, cines, salas de concierto y espectáculos en todo el territorio francés se han mantenido cerrados desde hace varios meses, a pesar del clamor popular para que se reactive la actividad cultural como sucede en otros países europeos. El debate se ha colado en los medios de comunicación, en redes sociales, en las pocas ceremonias que se han realizado como la entrega de los premios César. ¿La cultura es un bien esencial o no? Ese es el tema del debate que organiza el Teatro 14 de París con diversos actores del sector. “ Por supuesto que la cultura es esencial. Y más en este país donde la cultura está vinculada a la noción de 'excepción francesa'. El modelo francés se piensa no solo como un modelo poñítico sino también como un modelo cultural", explicó Marisol Touraine, presidenta de la asociación Théâtre 14 y ex ministra de la salud francesa. Cinelatino en modo “resistencia” Mientras los teatros y cines siguen cerrados, algunos festivales se han desplazado al mundo virtual para sobrevivir a la pandemia. Es el caso de Cinelatino de Toulouse, festival que este año se ha volcado a la difusión en línea, lo que significa que el jurado debe también ver y examinar las películas de la competencia por Internet. “Por supuesto que no es lo mismo. Es mucho mejor ir a Toulouse, ver las películas en pantalla grande, compartir con los otros miembros del jurado. Pero mantener el festival aunque sea en modo virtual es casi un acto de resistencia. Todos esperamos superar esta pandemia para regresar lo antes posible a las salas de cine”, clamó la directora de cine chilena Marcela Said, ante los micrófonos de RFI. Feu! Chatterton, un quinteto masculino con personalidad Los cinco integrantes de este grupo se han colado en la actualidad musical francesa, con la salida de su más reciente disco, “Palais d’argile” (Palacio de arcilla), donde describen a una sociedad enferma y adicta a las pantallas. Todo esto con textos y poemas inspirados por Jacques Prévert, Charles Baudelaire o Guillaume Apollinaire, y con una base musical rockera y toques de música electro.
En pleine crise sanitaire due au COVID 19, les instituts de recherche et les laboratoires pharmaceutiques se mobilisent pour trouver un traitement contre ce virus. La question du prix de vente de ce futur traitement, est au coeur des débats. Cette crise nous rappelle que la santé est, elle aussi, soumise à des logiques économiques et financières. En France, le prix d'un nouveau médicament est principalement lié à sa « valeur ajoutée thérapeutique ».Cette dernière est reflétée par deux notes, qui sont attribuées par la Commission de transparence de la Haute autorité de santé.La première note, le “service médical rendu”, apprécie l'efficacité intrinsèque du médicament.La seconde “l'amélioration du service rendu”, évalue l'intérêt de la molécule par rapport aux traitements existants.La Commission médico-économique de la Haute autorité de santé donne en parallèle un avis d'efficience. Cet avis prend la forme d'un ratio coût-efficacité du produit. A partir de ces éléments, le Comité économique des produits de santé (CEPS) négocie avec les laboratoires pharmaceutiques un prix de vente. Chaque année, le CEPS révise aussi le prix de nombreux médicaments en tenant compte d'éléments nouveaux, comme l'arrivée d'un générique. Ce système semble donc bien organisé et l'intervention des pouvoirs publics devrait pouvoir garantir que les médicaments soient mis sur le marché à un coût raisonnable et de nature à garantir une accessibilité égale pour tous les patients. Or, il apparaît que ce n'est malheureusement pas tout à fait le cas. En effet, certains traitements, en raison de leur coût exorbitant, ne sont pas toujours accessibles à tous. Des associations dénoncent l'existence d'une importante opacité dans la négociation entre les laboratoires et les autorités publiques lorsque le prix d'un médicament est fixé. De l'autre côté, les laboratoires plaident pour être suffisamment rémunérés afin de couvrir les coûts et les investissements liés à la recherche et à la production des traitements. Ils considèrent parfois que les ASMR sont mal attribuées en raison d'un manque d'expertise et de transparence de la part des autorités. On peut alors se demander comment faire pour encourager l'innovation tout en garantissant un égal accès au traitement ? Quels sont les avantages et les limites du système actuel ? Est-il suffisamment transparent ? Le rôle joué par les pouvoirs publics est-il suffisant ? Quelles améliorations pourrait-on envisager ? C'est à ces questions que nous tenterons de répondre en interpellant des députés aux abords de l'Assemblée nationale. En seconde partie d'émission, nous aurons le plaisir d'échanger avec Marisol Touraine, ancienne ministre de la Santé et actuelle présidente d'UNITAID.Texte & voixLéa ChamboncelMusique originale & réalisationJulien Montcouquiol Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 01:59:08 - Le 7/9 - A 7h50, Léa Salamé recevra le Ministre de l'éducation, Jean-Michel Blanquer. A 8H20, Léa Salamé et Ali Baddou recoivent Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à La Pitié-Salpêtrière et Marisol Touraine, Présidente d'UNITAID, ancienne ministre de la Santé, sont les invités du grand entretien.
durée : 00:24:47 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Léa Salamé et Ali Baddou recoivent Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à La Pitié-Salpêtrière et Marisol Touraine, Présidente d'UNITAID, ancienne ministre de la Santé, sont les invités du grand entretien.
Invitée : Marisol Touraine, présidente de l'organisation de santé Unitaid, ex-ministre française des Affaires sociales et de la Santé. À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars et à l'heure où l'inquiétude grandit face au coronavirus, Marisol Touraine, ex-ministre française de la Santé, est l'invitée d'« Internationales ». Nous évoquerons son parcours de femme politique à la présidence de l'organisation internationale Unitaid, qui milite pour la baisse du prix des médicaments contre le VIH, le paludisme et la tuberculose. Présentation : Dominique Laresche (TV5MONDE), Paul Benkimoun (« Le Monde »).
In closing of the first session on SDGs and international development, a panel discussion and a session to answer and raise new questions is being held. Roopa Dhatt, Chair of the first session, moderates the discussion, while accompanied by Detlev Ganten, Alex Harris, Randolph Nesse, Mujaheed Shaikh and Marisol Touraine. As an introduction, the latter, who is on the Executive Board of Unitaid in Geneva, gives a speech and raises attention to the fact that although we are facing progress regarding global health, still, half of the world's population does not have access to full health coverage. Even in developed countries, one can experience a lack of primary health care centres, which is why SDG and good health for all will gain importance for the present and future. Den Originalbeitrag und mehr finden Sie bitte hier: https://lisa.gerda-henkel-stiftung.de/panel_discussion_questions_answers?nav_id=8887
In closing of the first session on SDGs and international development, a panel discussion and a session to answer and raise new questions is being held. Roopa Dhatt, Chair of the first session, moderates the discussion, while accompanied by Detlev Ganten, Alex Harris, Randolph Nesse, Mujaheed Shaikh and Marisol Touraine. As an introduction, the latter, who is on the Executive Board of Unitaid in Geneva, gives a speech and raises attention to the fact that although we are facing progress regarding global health, still, half of the world's population does not have access to full health coverage. Even in developed countries, one can experience a lack of primary health care centres, which is why SDG and good health for all will gain importance for the present and future. Den Originalbeitrag und mehr finden Sie bitte hier: https://lisa.gerda-henkel-stiftung.de/panel_discussion_questions_answers?nav_id=8887
durée : 00:23:25 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Marisol Touraine, ancienne ministre des Affaires sociales et de la Santé, présidente d'Unitaid, est l'invitée du Grand entretien de France Inter à 8h20.
Vous la trouviez froide ? Marisol Touraine est une Ministre qui ne vous racontera pas d’histoires : « j’ai en moi l’envie de donner l’image d’une femme en totale maîtrise, en politique c’était ma façon à moi d’être inatteignable, de me protéger ». Elle vous dit ça les yeux dans les yeux, sans esquive, sans naïveté. Le ton est donné. Rien de ce qui touche les droits des femmes ne lui est étranger. Elle parle de féminicide, de l’incompréhension des mécanismes de la violence faite aux femmes. Elle rappelle : « la manière d’écrire et de nommer est profondément politique. Notre grammaire est l’expression d’un rapport de force, d’une domination qui est masculine ». Pour en finir avec la candeur effarouchée des traditionalistes du langage. En vous remerciant. Le plus frappant, avec Marisol Touraine, c’est l’alliance d’une souveraine maîtrise d’elle-même et d’une sincérité sans crainte. Elle vous parle de ses choix. Elle ne renie rien de l’engagement, du plaisir, de la conquête. « Il y a autant de manière d’être une femme que de femmes. Je me sens femme jusqu’à la dernière des fibres qui me composent et ça a quelque chose à voir avec la liberté ». Pas l’ombre d’un cliché. Il est des formes de froideur qui vous ouvrent l’horizon.
Sujet du Jour : Le secourisme, un devoir citoyen - Un Quizz, Les bons gestes pour sauver des vies, les formations pour devenir secouriste - En 2eme Partie > LES ACTUS > En Politique : Bilan Amnesty International 2015, Le chomage en nette baisse, Journee Intern des maladies rares, la Belgique remet les frontieres > En LGBT : Des etudiants homosexuels en Tunisie condamnés, Meurtre d une trans à Rouen, La banque mondiale ne veut plus aider les pays anti LGBT, Marisol Touraine en faveur des retraites LGBT, la marche de Paris repoussée, Un couple de boulangers gays victimes d homophobie, Des nouvelles en Italie et en Suisse
A ministra da Saúde da França, Marisol Touraine, anunciou na última quarta-feira que os homossexuais masculinos poderão doar sangue na França a partir de 2016. Os gays estavam proibidos de realizar a prática desde 1983, quando houve uma forte incidência de infecção por HIV nessa população. Porém as severas restrições da nova medida dividem opiniões entre o movimento gay. Enquanto algumas entidades as consideram estigmatizantes e discriminatórias, outras apóiam. Em um primeiro momento, segundo a ministra, os homossexuais apenas poderão doar sangue se não tiverem feito sexo nos últimos doze meses. No caso da doação apenas do plasma, o tempo de abstinência cai para quatro meses. Os heterossexuais apenas têm restrições caso tenham trocado de parceira ou tenham tido relações sem preservativo - quando terão que ficar quatro meses em abstinêcia antes de doar. As associações de defesa dos direitos dos homossexuais SOS Homophobie, Fédération LGBT e Act-up Paris condenaram a estigmatização dos gays. Anthony Roux, vice-presidente do SOS Homophobie, considera a medida hipócrita. "Essa medida vai permitir reinserir no sistema de doação de sangue os homens que tiveram relações sexuais com outros homens ao longo da vida. Mas nós não achamos que isso seja suficiente, pois passamos de uma proibição permanente a uma condição de abstinência sexual de doze meses. E, evidentemente, a maioria dos gays não fica abstinente por 12 meses. Então essa medida é relativamente hipócrita e, no final, não vai permitir aos homossexuais doar seu sangue como anunciado pela ministra da saúde." Para Anthony, as restrições aplicadas aos gays são uma forma de homofobia. ""Devemos ser claros. Doar sangue não é um direito, mas, por outro lado, é um dever cívico. E, quando excluímos toda uma parte da população unicamente se baseando em uma de suas características, como neste caso a orientação sexual, há uma verdadeira estigmatização. É também uma forma de homofobia legitimada pelo poder público. Isso provoca um impacto sobre a sociedade. O que nós pedimos é que as restrições para a doação de sangue não sejam mais baseadas no critério de população de risco, mas de comportamento de risco. E que todas as contra-indicações à doação sejam baseadas nas práticas sexuais das pessoas, e não simplesmente na orientação sexual." Passo importante Já outros grupos, como Inter-LGBT e Aides, são menos críticos. Michel Mangin, responsável pelas questões de saúde do Inter-LGBT, participou das discussões no Ministério da Saúde que levaram à recente autorização. Ele vê a medida como uma passo importante. "Na verdade, chegamos a essa decisão colocando em primeiro lugar a segurança da transfusão de sangue, que é um elemento muito importante para nós. Efetivamente os critérios são muito rígidos para os homens que têm relações sexuais com outros homens. Mas, por enquanto, é uma boa etapa, que deve evoluir, segundo a ministra. Esperamos novos dados científicos, que serão coletados durante o primeiro ano da medida, que deverão permitir a redução desse critério." Michel explica por que acha que as restrições são justificáveis: "Sabemos que toda a população é afetada. Mas a prevalência entre os homossexuais é muito elevada, chegando a 17%. Enquanto que, na população em geral, o índice é de 1%. Para reduzir o critério de doze meses de abstinência, é necessário combater a epidemia de HIV, trabalhar os meios de prevenção, fazer campanha para a realização do teste. Devemos, antes de tudo, combater a epidemia". Regras brasileiras No Brasil, as regras para os gays são parecidas com as da França, como explica Gustavo Torres, do departamento de comunicação da Fundação Pró-Sangue, de São Paulo. "A portaria que define as regras para a doação de sangue, 2.712, de 12 de novembro de 2013, define que homens que tiveram relações sexuais com outros homens devem ficar 12 meses em abstinência para doar". O diretor da Associação Brasileira de Hematologia, Hemoterapia e Terapia Celular, Dante Langhi Jr., explica o porquê da restrição no Brasil. "A explicação técnica diz que é um caso em que há um aumento no risco de transmissão de doenças", diz. Os heterossexuais, tanto homens quanto mulheres, também devem ficar 12 meses em abstinência no Brasil caso tenham se relacionado com várias pessoas ou se tiverem tido relações sexuais sem proteção.
Ministre des Affaires sociales et de la Santé