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durée : 00:24:42 - Bienvenue chez vous, les spécialistes - Installé à Handschuheim, Jean-Michel Obrecht est un passionné de la terre. Spécialiste de " Bienvenue chez vous", il a partagé ses conseils pour protéger son jardin – et ses plantes d'intérieur – en période de fortes chaleurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : - Jean-Michel Salvator, communiquant et chroniqueur politique - Paul Melun, écrivain et essayiste Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, vendredi 4 juillet avec Jean-Michel et Megan : Sonia Cordeau nous parle de la saison 2 de Inspirez, Expirer. Discussion sur la FOMO des festivals. Comment on fait pour choisir quels spectacles on veut voir ce weekend ? Jade Laplante de Noovo Info présente son quiz musical sur l’actualité.
Un an près la « parenthèse enchantée » des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 20204, la ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie Associative, Marie Barsacq a déclaré, le 24 juin juin 2025, en amont de l'adoption du projet de loi des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver 2030 dans les Alpes françaises : « La France a le pouvoir de se projeter vers un nouveau projet exceptionnel l'organisation des Alpes 2030. » Ces Jeux seront organisés pour la première fois non pas sur une ville mais sur deux régions : Auvergne Rhône-Alpes (AURA) et Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) et avec cinq villages olympiques prévus ; Briançon, Nice, Bozel, La Plagne et La Clusaz. Porté par la ministre des Sports, le projet de loi a été examiné et adopté à la quasi unanimité au Sénat, le 24 juin. Seul le groupe écologiste s'y est opposé relayant l'inquiétude d'associations environnementales, de quelques élus de collectifs citoyens. Les 37 articles du texte repartiront à l'Assemblée nationale dès octobre prochain pour une potentielle adoption de la loi d'ici au 31 décembre 2025. Dérogations aux procédures d'urbanisme, expropriations facilitées. « L'un des objectifs est de pouvoir accélérer des constructions, comme celles d'un village olympique et d'une patinoire à Nice (Alpes-Maritimes) ou la transformation de grande envergure des 17 bâtiments du fort des Têtes à Briançon (Hautes-Alpes) », rappelle le rapporteur du projet de loi en charge de l'examen des articles à la Chambre haute, Jean-Michel Arnaud, sénateur centriste des Hautes-Alpes (PACA). C'est un site classé au patrimoine mondial de l'Unesco où près de 160 logements seront entièrement rénovés dans l'optique d'accueillir aux alentours de de 1 000 athlètes en 2030. À la tête de la Solideo à Marseille depuis mars dernier, Damien Robert, l'ancien patron d'Inli, filiale d'Action Logement a ainsi la lourde tâche de garantir et préparer l'héritage des villages olympiques afin de développer tout à la fois les capacités de l'hébergement touristique, de logements des travailleurs saisonniers et de logements abordables pour répondre aux besoins des populations locales. Le sénateur centriste des Hautes-Alpes (144 000 habitants) Jean-Michel Arnaud de profession exploitant agricole et président de l'association des maires de France (AMF) des Hautes-Alpes explique à Radio.Immo quelles sont les sont les grandes avancées du projet de loi sur les volets de l'urbanisme, l'héritage, environnemental ou budgétaire.
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Ce matin, jeudi 3 juillet avec Jean-Michel et Megan : Performance musicale de Megan On parle de la routine parfaite de soins pour la peau. Entrevue avec Francis Degrandpré pour son passage à Jonquière en musique ce soir !
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Ce matin, mercredi 2 juillet avec Jean-Michel et Megan : Phil Roy fait une rotation de sa vaisselle… Comment vous gérez votre vaisselle, faites-vous ça ? Les commerces veulent maintenant ouvrir jusqu’à 20h les fins de semaine, au lieu de 17h. Aimez-vous cette idée ? À gagner dans la question impossible : Votre forfait dégustation au Festival bières du monde
durée : 01:58:35 - Retour de plage du mardi 01 juillet 2025 - par : Thierry Jousse - Pour ce premier Retour de Plage intégralement français, retour sur l'art d'un grand arrangeur, Jean-Michel Defaye, disparu au début de l'année 2025. Il avait travaillé avec Juliette Gréco, Zizi Jeanmaire et surtout Léo Ferré… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Ce matin, lundi 30 juin avec Jean-Michel et Megan : On parle de déménagements en vue du 1er juillet. Marie-Christine Bergeron et Michel Bherer sont en visite au Saguenay-Lac-Saint-Jean pour un bulletin de nouvelles spécial ! Un serpent de 1,5 mètre à été trouvé en liberté à Vancouver. Quel animal de compagnie t’aurais jamais ?
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
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Ce matin, vendredi 27 juin avec Jean-Michel et Megan : Qu’est-ce que vous procrastinez toujours ? Les fans sont mécontents que Pedro Pascal incarne le rôle de Monsieur Fantastique. Est-ce que l’âge vous importe ? Jade Laplante de Noovo Info nous présente son quiz sur l’actualité de la semaine On joue à Ding Ding spécial FESTIVAL !
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Ce matin, jeudi 26 juin avec Jean-Michel et Megan : La dernière p’tite vite de notre sexologue Michel Martel Quelle est votre activité nautique préférée ? Notre expert Survivor Québec, Simon Paradis-Lacroix, nous explique comment faire une bonne vidéo d’audition pour la prochaine saison. On joue à la question impossible. à gagner : votre accès au site de la Nouvelle-France
Pourquoi devenir pasteur? Malgré le déclin de l'Église chrétienne en Occident, plusieurs hommes et femmes choisissent encore de devenir pasteurs. Vocation ou métier atypique? Servir ou être servi par sa communauté? Chacun et chacune doivent trouver leur voie. Dans cet épisode Joan et Stéphane reçoivent Quentin Beck, pasteur suffragant de l'Église réformée évangélique du canton de Neuchâtel. Ensemble, ils réfléchissent sur les raisons qui les ont conduits vers le ministère et les attentes envers les pasteurs de nos jours. Site internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Marek Studzinski, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, pourquoi devenir pasteur? Bonjour Stéphane. Bonjour, Joan, bonjour à toutes les personnes qui nous écoutent. Aujourd'hui, nous accueillons Quentin Beck. Quentin est un apprenti pasteur, comme moi un petit peu encore. Bonjour. Bonjour, Joan, bonjour Stéphane. Bonjour aux auditeurs et auditrices. Quentin, tu nous viens de Neuchâtel et tu nous raconteras un petit peu plus tard pourquoi devenir pasteur. Exactement, c'est ça. J'ai 27 ans et depuis peu, j'exerce le ministère. Est-ce que les femmes pasteures existent? Comme anecdote pour débuter, j'aimerais dire que je viens d'une région en Alsace où il y a encore une petite prégnance de luthéranisme, un petit peu aussi, bien sûr, de communautés réformées, mais essentiellement des communautés luthériennes. Généralement, lorsqu'on est en paroisse et qu'on est pasteur, les jeunes savent de quoi il s'agit. Ils ont l'habitude, ils ont déjà rencontré des pasteurs ou ils ont entendu parler de ça, notamment des femmes pasteurs. Ça fait quand même un moment qu'il y a des femmes pasteurs. Et j'ai eu la surprise en arrivant dans le canton de Vaud, où le catéchisme est sectorisé, c'est-à-dire que certains professionnels de l'Église s'en occupent et plus nécessairement tous les pasteurs, je suis allée à la rencontre de jeunes dans un camp et j'ai dit que j'étais pasteur. Là, j'ai vu qu'ils me regardaient d'un drôle d'air. Il y en a un qui me dit « Mais finalement, si les femmes peuvent être pasteurs, (visiblement, c'était un petit peu nouveau pour lui, mais il avait l'air tout à fait OK) pourquoi on ne dit pas pasteuresse? La raison derrière la volonté de devenir pasteur C'est très intéressant, ces questions, parce que souvent, on suit une voie et pour la majorité des gens, on n'y pense pas trop. On prend une profession parce qu'on aime quelque chose, on a eu quelqu'un qui nous a influencés. Mais pour être pasteur, mon expérience est que j'ai eu à expliquer, je ne sais pas combien de centaines de fois, mon appel au ministère, pourquoi je voulais être pasteur, au point où je me disais, est-ce qu'il y a quelque chose que je n'ai pas encore compris? On ne veut pas avoir n'importe qui. Mais toujours cette question, au point où, une fois, j'ai googlé « Pourquoi devenir pasteur? » Et la première réponse que j'ai eue, c'est « Comment devenir riche? » Je n'exagère pas là. Donc, j'avais ma réponse. C'était pour le pognon. Et toi, Quentin, pourquoi es-tu devenu pasteur? Pour l'argent aussi, exclusivement. Ah, c'est bon! Impeccable! Un parcours de foi C'est aussi une question qu'on me pose souvent. C'est vrai que les gens s'interrogent quand on dit qu'on est pasteur, surtout que j'ai 27 ans et je n'ai pas forcément la tête à laquelle les gens s'attendent lorsqu'ils s'imaginent un pasteur. C'est une question à laquelle j'ai aussi dû répondre maintes et maintes fois. Mais voilà, je crois que j'ai voulu devenir pasteur parce que lors de mon catéchisme, j'ai vu autour de moi des gens qui avaient une foi forte, qui vivaient des choses avec Dieu et je voyais des gens qui changeaient dans leur comportement, dans leur façon d'être. Je venais d'une famille pas forcément très pratiquante où la foi n'avait pas une grande place. Et du coup, je me sentais un peu à part là-dedans. Je ne comprenais pas trop et en même temps, j'étais attiré, ça me posait des questions. Et je me suis dit, il faut que je grandisse dans ma foi, et pour ça je me suis lancé dans les études de théologie. Si quelqu'un se pose des questions, je ne sais pas si c'est la meilleure chose à faire de se lancer dans des études de théologie, mais c'est ce que j'ai décidé de faire. Et voilà, donc ma rentrée dans le monde de la théologie ne se faisait pas en vue du ministère, mais en vue de grandir dans ma foi. Je suis passé par la faculté catholique de Fribourg. Durant ce bachelor en théologie, on a beaucoup parlé de l'incarnation de Dieu, d'un Dieu qui se fait homme, qui se fait être humain et qui vient vers nous, qui vit des émotions, qui rigole, qui pleure, qui mange, qui meurt aussi. Il y a tout cet aspect-là. C'est quelque chose où je me suis dit: ce Dieu qui se fait proche de nous, qui nous comprend, qui nous ressemble, c'est quelque chose dont j'ai envie de témoigner autour de moi. Je dirais que c'est là qu'il y a eu le début de cette vocation, le commencement de cette vocation pour le ministère. Après, il y avait plein d'autres choses qui me retenaient. Je suis quelqu'un d'assez timide, d'assez introverti. Il m'a fallu passer par-dessus certaines choses. Je me retrouve un peu dans l'histoire de Moïse en Exode IV, qui n'a pas envie d'aller parler aux autres parce qu'il a de la peine à s'exprimer. Je m'identifiais aussi là-dedans. En Église, j'ai eu des moments, des espaces où on m'a permis de m'exprimer, où on m'a écouté, on m'a permis d'être moi-même, et où j'ai aussi pu expérimenter, parler devant les gens, témoigner de qui j'étais, de ce que je croyais, de ma foi. C'est quelque chose que j'ai envie de pouvoir permettre aussi aux autres, et je dirais que c'est un peu ces éléments-là qui ont fait qu'après mes études en théologie, je me lance dans le ministère pastoral. Les pasteurs qui nous influencent durant notre jeunesse J'aime bien ce témoignage, notamment cette idée que l'Église est un lieu où on peut être soi-même. Et je trouve que c'est plutôt encourageant. Moi, de mon côté, j'ai cette certitude en moi depuis que j'ai l'âge de 10 ans. Je me rappelle que j'étais en train de faire un jeu, et puis je me disais, mais au fait, qu'est-ce que je vais devenir plus tard? Enfin, je me vois dans quoi? J'avais deux parents travailleurs sociaux, très à gauche, très engagés pour le monde. Et je voulais aussi un métier qui fasse sens, et où on soit là au nom d'une cause supérieure, et finalement, où on serve les autres. Et je connaissais le mari de ma marraine, qui était un pasteur totalement engagé dans le travail social auprès des jeunes dans la rue. Et je me suis dit, moi, je vais faire le travail que fait Jean-Michel. Ce n'est qu'après que j'ai découvert que c'était très, très, très anecdotique, qu'il n'y en avait vraiment pas beaucoup. En fait, mon modèle à moi, hyper à gauche, hyper punk, hyper avec les marges. En plus, ce qui est un petit peu dommage, a posteriori je regrette un peu, c'est que je me suis dit je vais devenir pasteur parce que je ne savais pas qu'il y avait d'autres métiers d'Église. Après, j'ai expérimenté tous les autres métiers d'Église : catéchète, diacre, dans la sphère missionnaire, etc., et je me suis vraiment éclatée aussi. Je suis contente que maintenant cette diversité des ministères existe et qu'on en parle beaucoup plus aux jeunes. Sinon, il y a un risque de cléricalisme, de pastora-centré, qui n'est pas bénéfique pour l'Église, en fait, et qui limite aussi, en termes de projection, les lieux où on se sent à l'aise pour exercer un ministère. Un ministère pour tous et toutes Lorsque les gens pensent à quelqu'un qui travaille pour l'Église, on pense à un pasteur parce que je crois qu'il y a cette idée justement du pasteur masculin, le prêtre qui est en avant, qui parle avec sa grosse voix grave et enseigne les bonnes réponses. Et pourtant, le ministère, c'est tellement plus large. Moi, je suis de ceux qui croient que nous sommes tous et toutes appelés au ministère. Le défi, c'est de trouver le bon ministère qui nous correspond. Il y a des gens qui ont une facilité de parler en public, comme moi. Il y a des gens qui font de la musique. Il y a des gens qui accompagnent des personnes malades. Ce sont tous des ministères. On pourrait quasiment dire tous des pasteurs. Je sais que ça peut choquer un peu parce qu'on a l'impression que « pasteur », ce n'est pas une appellation d'origine contrôlée. Mais je me demande dans les yeux de Dieu, les titres… j'ai l'impression que ce n'est pas si important. C'est le ministère qu'on fait. Je pense qu'on a justement cet appel-là de trouver ce qu'on peut faire avec tous les dons, tous les talents qu'on a reçus de l'Esprit. Suivre son appel Moi, cette idée de ministère qui s'adresse à tout le monde me parle beaucoup. Pour l'examen de consécration que j'ai passé il y a deux semaines, j'ai dû préalablement envoyer une lettre qui exprimait mes envies et justement les raisons de mon engagement. Et j'ai insisté sur le fait que c'est avant tout mon ministère à la suite du Christ, en tant que chrétien qui se place dans ce ministère pastoral, mais ce qui est à la source, c'est ce ministère baptismal, ou ce ministère qui nous vient de notre envie de nous mettre à la suite du Christ. Voilà le ministère pastoral dans lequel je m'engage actuellement, un ministère assez traditionnel, où justement je suis un peu ce pasteur masculin, alors j'essaye de pas trop enseigner, de ne pas être trop moralisant. Mais c'est la forme à laquelle je me sens appelé et il y a une diversité des ministères et une complémentarité des ministères aussi. Je pense que c'est aussi important de dire que tout seul je ne m'en sortirai pas non plus. Si je reprends un peu l'exemple de Moïse avec ses difficultés à s'exprimer en public, Dieu lui donne aussi Aaron pour qu'il aide et je crois que c'est important de le dire. En tout cas, à mes yeux, si on place le pasteur tout seul, on ne fait pas grand-chose. Le manque de modèle pour les femmes J'ai deux choses à dire. La première, c'est que finalement, c'est difficile pour une femme pasteure d'avoir des femmes comme modèle. Non pas qu'il n'y ait pas d'autres femmes pasteurs, il y en a, il y en a même beaucoup et de plus en plus et je trouve ça très bien. D'ailleurs souvent on me dit, il n'y a pas longtemps, j'étais dans un groupe et un homme assez âgé a dit « de toute façon maintenant, il n'y a plus que des femmes pasteurs ». Alors je lui ai dit « ah bon, mais où ? Ça m'intéresse beaucoup ». Il a dit « En Suisse, il n'y a plus que des femmes pasteurs ». Je lui ai dit « ben statistiquement ce n'est pas vrai ». Bref, on a souvent des remarques qui n'ont pas l'air si contentes qu'il y ait plus de femmes pasteurs. Et pour moi qui vais avoir 45 ans, finalement, je n'ai pas tellement de femmes comme modèles. Et quand je parle de femmes modèles, je parle de gens comme Martin Luther King, de gens comme Albert Schweitzer, je parle de gens dont on parle tout le temps et qui ont une figure tutélaire dans la société. Ce qui est intéressant, c'est que j'ai un peu réfléchi à ma paroisse d'origine, et je me suis rendu compte que de temps à autre il y a eu quelques stagiaires femmes, mais il n'y a pas encore eu de femmes pasteurs titulaires dans cette paroisse. Et ça donne à réfléchir quand même, parce qu'on est en 2025 et c'est une paroisse qui a été plantée lors de la Réforme, il y a cinq siècles. Donc finalement, quand on a l'impression qu'il y a peut-être beaucoup de femmes pasteurs, il y a beaucoup de femmes pasteures, beaucoup de femmes qui sont au service, beaucoup de femmes ministres, diacres, animatrices d'Église, mais pas de femmes dans les lieux où il y a une certaine densité historique ou des lieux auxquels on puisse se référer, comme la paroisse qu'a plantée Calvin à Strasbourg, qui est ma paroisse d'origine. Les attentes envers les pasteures? Et puis la deuxième chose à laquelle je pense, c'est que c'est encore une découverte progressive et qui n'est pas terminée sur ce qui est attendu d'une femme pasteur. C'est-à-dire qu'il y a dix ou quinze ans, il y avait des articles, notamment dans le journal Réforme en France, qui n'est pas le Réformes en Suisse, sur la plus-value. Figurez-vous qu'avoir des femmes pasteurs, c'était quand même bien, ça amenait une plus-value parce qu'on était à l'écoute, on s'occupait bien des enfants. Les femmes peut-être se sentaient un peu plus en confiance, mais les hommes aussi, parce qu'on était dans le « care », on était plus maternantes. Enfin voilà, toutes choses qui ne faisaient aucun sens pour moi. Et je crois qu'on est encore en train d'essayer de se dire, mais c'est qui, c'est quoi une femme pasteure? Et moi, pour avoir succédé pendant presque une année à un homme très compétent dans son domaine, très connu et du cru du lieu, j'ai bien vu qu'en fait, il y a des gens pour qui c'était un changement qui était bénéfique. Ils en étaient contents, contentes, notamment des jeunes femmes qui sont venues me raconter beaucoup de choses, comme c'est toujours le cas quand il y a une femme pasteur qui succède à un homme. Mais il y avait aussi beaucoup de gens qui étaient complètement dubitatifs. À se dire, attends, ça fait beaucoup, non? C'est une femme et puis elle est étrangère. Comment on va faire? Comment va-t-elle s'en sortir? On ne va pas trop l'aider quand même. Voilà, donc je vous apporte ma touche féminine à la conversation. Pasteur : vocation ou travail? Mon commentaire est purement empirique, je n'ai pas fait de recherche. J'ai remarqué avec la féminisation du clergé au Canada, on parle de plus en plus de vocation. En soi, ce n'est pas une mauvaise chose, mais ce que ça sous-tend lorsqu'on a une vocation, c'est qu'on se donne sans compter. Lorsqu'on a une profession, on est professionnel, on fait nos heures, lorsqu'on a un travail, on a un horaire de travail. Mais lorsqu'on a une vocation, c'est sûr que tu vas travailler 50-60 heures par semaine sans être payé pour tes heures supplémentaires. C'est sûr que tu vas faire de l'extra. C'est une vocation. Et j'ai arrêté d'utiliser ce mot-là justement pour dire ma profession, c'est pasteur. J'ai eu un appel, mais j'ai un travail qui est, bon, peut-être atypique par rapport à des amis qui travaillent dans un bureau, qui travaillent pour le gouvernement. Mais j'essaye d'utiliser le moins possible cette idée de vocation. Je ne crois pas que mon travail, ce soit d'être un martyr. Je crois que mon travail c'est d'être là pour les gens d'une communauté ou d'une région, puis d'essayer de les faire grandir dans la foi, sans nécessairement me tuer à la tâche. Trouver un équilibre dans la vie de pasteur En tout cas, pour moi qui débute dans le ministère, c'est vrai que c'est une question qui prend beaucoup de place; comment jongler, comment équilibrer vie professionnelle et vie privée, comment réussir à forger un ministère qui me ressemble et qui n'est pas non plus seulement basé sur les attentes des paroissiens ou des paroissiennes. Justement, j'ai changé de paroisse entre mon stage et ma suffragance dans laquelle je suis actuellement, et j'ai vu que les attentes étaient totalement différentes et que le statut qu'on me donnait était très différent. Voilà, c'est un défi pour moi, clairement, de réussir à faire un équilibre entre ces deux choses. Et c'est le titre de l'épisode « Pourquoi devenir pasteur? » ça m'a fait rire que vous m'invitiez pour ce podcast-là parce qu'il y a quelques fois quand même ou en regardant mes semaines ou quand je raconte ce que je fais avec certaines personnes, on me demande pourquoi est-ce que tu es devenu pasteur ? Puis il y a quelques fois où je réponds « je ne sais pas ». Et c'est vrai que c'est un peu cette remise en question de « waouh, comment est-ce que je vais pouvoir tenir ça et tenir ça à long terme, aussi pour ne pas me brûler tout de suite ? » « Comment ça tu ne sais pas? On a dit que c'est pour l'argent. » « Exactement, c'est ça. Mais voilà, je dois avouer que je ne suis pas dans le bon canton pour l'argent. » Les différents termes pour définir un ministère Alors, on parle beaucoup de pasteur, c'est le titre de l'épisode, mais je suis passée par une étape comme diacre, alors c'était purement économique, là, de nouveau, tiens, on revient vers ça. C'est aussi parce que la paroisse qui m'employait n'avait pas vraiment les finances pour employer deux pasteurs. Ça m'arrangeait d'être diacre à cette période de ma vie, un, par curiosité pour ce ministère-là. Et deux, parce que du coup j'avais moins de responsabilités administratives. Étant donné que c'était en Suisse alémanique, je dois reconnaître que j'étais assez contente de ne pas avoir trop de responsabilités. Du coup, il m'est arrivé l'une ou l'autre fois d'aller en Afrique terminer des dossiers pour mon ancien mandat où ils avaient encore besoin d'un petit coup de main. Et j'expliquais à mes collègues, écoutez, maintenant je suis diacre. Ils me regardaient comme ça avec des grands yeux. Ils se disaient, mais comment a-t-elle fait, elle qui a un doctorat en ontologie, qui est pasteur, en tout cas j'ai mon certificat de pasteur, comment a-t-elle fait pour devenir diacre? Jusqu'à ce que je comprenne que, dans ce contexte-là, « diacre », ça veut dire « sacristine ». Ils étaient polis, ils n'osaient rien dire, mais ils me regardaient vraiment tous les uns après les autres, genre… Mais qu'est-ce qui se passe? Voilà, c'est marrant parce qu'en fait, il y a tous ces mots qui sont interchangeables. « vicar » ne veut pas dire « vicaire ». Et puis, « diacre » ne veut pas dire la même chose ailleurs. « Sacristine » peut-être pas non plus, je n'en sais rien. « Suffragant », en tout cas, ça ne veut pas dire la même chose partout. Toi, tu es un révérend, n'est-ce pas, Stéphane? Oui, en anglais, je suis un révérend. En français, je suis un pasteur. Vouloir devenir le pasteur cool J'ai grandi catholique romain. C'était l'époque post-Vatican II, donc les prêtres « cool » avec leur guitare, les cheveux longs. On les tutoyait. Bon, on ne se pose pas trop de questions. J'arrive dans l'Église Unie du Canada. En formation, c'était assez cool entre francophones. Et là, le choc. À ma première paroisse anglophone, j'avais un titre. J'avais des privilèges. Lorsqu'il y avait un repas de paroisse, je devais me servir en premier. On m'appelait révérend tout le temps. Quand les dames de la paroisse ont su comment j'aimais mon café, je n'avais pas à lever le petit doigt. Le café arrivait comme je l'aimais et ça m'énervait. Il y a cette notion, justement, comment les gens nous perçoivent. Ce n'est pas juste nous qui, parfois, recherchons le prestige. Il y a les gens, il y a le passé, il y a le titre, il y a toutes ces choses-là qui influencent la relation qu'on peut avoir avec des paroissiens, des paroissiennes, ou même les gens de la communauté. « Ah, c'est monsieur le pasteur de telle paroisse. » Ah, bon, là, on fait attention. Des fois, j'ai juste le goût de dire « je suis Stéphane ». Pour moi, c'est quasiment un carcan de dire qu'il faut que je fasse attention pour correspondre à une certaine vision. Et ça, c'est le côté que je n'avais pas vu venir lorsque j'ai fait ma formation, puis lorsque j'ai débuté, puis pourquoi je voulais être pasteur. Je voulais être le pasteur cool, puis ça n'a pas été ça nécessairement. Répondre aux attentes des autres Moi, à part en Afrique, je n'ai jamais connu cette aura de la pasteure. Déjà parce que quand tu es une femme, c'est hyper rare d'avoir de l'aura dans ce genre de job. Je crois que j'ai déjà raconté dans un autre épisode, mais il t'arrive plutôt des trucs du style: tu arrives pour un service funèbre, tu te présentes, puis quelqu'un me dit « Oh, vous parlez bien le français, c'est formidable! » Et puis j'ai dit « Ah ben écoutez, je suis contente que vous soyez contente. » Tu ne sais pas trop quoi répondre dans ces cas-là. Elle m'a dit « Oui, parce que j'ai vu votre nom de famille là, Charras-Sancho. » Et je me suis dit « Elle va avoir un accent effroyable, on va rien comprendre. » Comme toujours quand c'est des femmes étrangères. Il m'arrive plutôt des choses un peu comme ça, des petites vexations, des micro-agressions. Mais pas toujours, mais s'il m'arrive des choses, c'est plutôt de ce registre. Et puis, quand tu es en Afrique et que tu dis que tu es ou docteur en théologie, ou diacre, ou missionnaire, ou pasteur ou quoi, effectivement, là, il y a plus de différences. Mais il peut arriver aussi des choses un peu gênantes, comme la fois où quelqu'un est venu toquer à ma porte et m'a demandé si j'avais des culottes pour qu'on me les lave. J'ai dit non, non, c'est bon, merci beaucoup, je n'y tiens pas plus que ça, c'est gentil. J'étais sur un campus protestant et puis ils m'ont envoyé quelqu'un pour me laver mes culottes. C'est aimable, mais j'ai dit non. C'est vrai que je trouve que c'est marrant parce qu'on m'a beaucoup parlé de la stature des pasteurs et il y a des personnes âgées qui sont très déçues qu'on ne soit pas des hommes en costume cravate. Je me rends compte que c'est une déception pour ces personnes. J'essaye de me mettre vraiment à leur place, mais il n'y a rien que je puisse faire pour répondre à cette attente-là. Je ne peux être que moi-même et finalement, je crois que ça rejoint un petit peu ce que tu nous disais, Quentin. C'est important que dans ces Églises on puisse être soi-même. Entre le moment où moi j'ai commencé le ministère en 2009, le moment où Stéphane a commencé dix ans avant, le moment où toi tu commences, Quentin, on est presque déjà sur trois générations différentes. Quelles attentes est-ce que tu sens toi, Quentin? Trouver sa place dans une communauté en tant que pasteur Justement, l'anecdote du café de Stéphane m'a fait assez rire, parce que dans la paroisse dans laquelle je suis arrivé en septembre, il y a justement ce rituel du café après le culte. Dans ma vision du ministère, il y a une position de service. Je me verrais plutôt à servir les cafés pendant ces moments-là, plutôt que de me faire servir mon café. Donc voilà, il y a aussi ce malaise que la communauté est là pour servir le pasteur avec laquelle j'ai beaucoup de peine et je dois apprendre les moments où me laisser servir aussi, ce qui est compliqué pour moi. Il faut essayer de trouver cet équilibre entre quand est-ce que je ne me laisse pas faire et je pose mes limites en disant ben non là; si je veux aider pour ça, j'aide et quand est-ce que j'accepte que tout d'un coup on me serve mon café. Mais voilà, ces attentes-là, je me rends compte qu'elles peuvent vraiment varier d'un lieu à l'autre. Et je réfléchis aussi, il y a un peu deux aspects. Il y a l'aspect homme, qui est très valorisé, et en même temps, il y a l'aspect jeune, où les remarques sont souvent pleines de bonne volonté, mais on peut aussi être un peu le petit gamin avec des comportements infantilisants qu'on peut percevoir. De nouveau là, il sagit de trouver quand est-ce que les gens en paroisse ont l'âge d'être mes grands-parents, quand est-ce que j'accepte qu'ils voient un peu en moi leur petit-fils, qu'ils auraient peut-être souhaité voir devenir pasteur, et puis quand est-ce que non, je m'affirme comme un adulte et que je prends ma place aussi. Voilà, c'est un défi, peut-être en tant qu'être un peu timide et introverti des fois, de vraiment prendre ma place et oser poser mes limites. Un appel qui change avec le temps Il y a quelques années, je suis allé à une conférence de prédication. Il y avait un prédicateur américain qui nous a parlé de 1 Rois 19. Le prophète Élie doit se sauver dans le désert pendant une dépression profonde et il veut mourir. Il rencontre le Seigneur et il reçoit une nouvelle mission. Et le prédicateur nous expliquait que la raison qui nous a conduits à devenir pasteurs n'est peut-être pas la même que celle qu'on a aujourd'hui. Moi, j'ai eu à vivre ça. J'ai été pasteur de paroisse pendant longtemps et je croyais que c'était ça. J'étais fait pour être pasteur de paroisse, rien d'autre. Et plusieurs choses sont arrivées et la vie m'a mené ailleurs. Je pense que c'est OK aussi. Parce que ce n'est pas nécessairement un métier facile. Il y a les critiques et parfois on se demande, un peu comme m'a dit Quentin, mais qu'est-ce que je fais là? Pourquoi j'ai dit oui à ça? Et parfois, je me suis dit, est-ce que je serais plus heureux ailleurs? Probablement pas. Être pasteur, dans un contexte en 2025 où, en Occident, l'Église chrétienne, on va être honnête, est en déclin, c'est un choix qui se renouvelle. Être pasteure est une passion Servir en Église, plus encore qu'être pasteur, c'est vraiment une passion. C'est un métier passion. J'aime la théologie, j'aime la réflexion, j'aime le contact avec les gens, j'aime les retours qu'on fait, j'aime pouvoir inventer des nouvelles façons de célébrer Dieu. Donc je suis assez reconnaissante de vivre de ma passion. Et pour avoir pas mal voyagé en Afrique, à Madagascar, j'étais toujours hyper émue de voir qu'il y avait des instituts de formation de pasteurs où il y avait parfois des volets de plus de 100 pasteurs, mais qui n'avaient aucune idée comment réussir à en vivre. Et moi, j'ai souvent ça dans un coin de ma tête quand c'est un peu difficile ou quand je me lamente un petit peu sur mon sort. Je me dis, bon, à part ça, pour l'instant, le salaire est assuré, on revient à l'argent et je peux vivre de ma passion. C'est quand même formidable. Être payé pour vivre des moments spéciaux C'est vrai qu'il y a ces moments où on se demande qu'est-ce qu'on fait là, puis il y a aussi d'autres moments où on se dit, « C'est vraiment mon métier, je suis vraiment payé pour vivre ce moment parce qu'il y a des moments tellement beaux. » Je bosse beaucoup avec les adolescents, puis il y a des moments de camps qui sont juste incroyables. Puis je me dis, mais c'est incroyable de pouvoir être payé pour ça. On rigole beaucoup avec l'argent, mais de vraiment pouvoir être présent dans ces moments-là, c'est un ministère; en tout cas le mien est encore très généralisé et du coup je mes retrouve à accompagner des gens dans toutes les étapes de leur vie et on est parfois tellement privilégié de ce que les gens nous partagent, nous laissent entrer dans une certaine intimité qui est très précieuse. Je dirais que c'est souvent dans ces moments-là que je suis le plus reconnaissant du ministère que je peux vivre. Donc voilà, c'est ça, il y a les côtés qui parfois sont lourds, où il y a plein de soucis et aussi quand on regarde vers l'avenir, c'est parfois difficile d'être optimiste, mais il y a ces moments-là qui, moi, viennent me rappeler aussi pourquoi je me suis lancé là-dedans. Conclusion Merci, Quentin, d'avoir participé depuis l'Église réformée neuchâteloise, que nous saluons. Et merci Stéphane aussi pour cette discussion ouverte sur les différents aspects de notre ministère. Nous n'oublions pas les autres ministères en église et nous n'oublions pas non plus que dans certaines églises les pasteurs seront bientôt la part congrue des salariés. Je formule le vœu que chacun, chacune qui se sent appelée à un ministère, quel qu'il soit en Église, se sente fortifiée, accompagnée et renouvelée pour ce beau service. Merci beaucoup. Si vous voulez nous partager vos expériences en tant que pasteur, vos expériences de ministère dans le sens très large, si vous avez des questions, si vous avez des suggestions pour la prochaine saison, parce qu'on arrive à la fin de cette saison-ci, la saison 3, écrivez-nous questiondecroire@gmail.com. Je veux aussi remercier notre commanditaire, l'Église unie du Canada. Merci beaucoup, Quentin. J'espère que les prochaines semaines seront bonnes pour ton ministère. Merci Stéphane, merci Joan. Oui, tout de bon dans vos ministères respectifs aussi. Au revoir.
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, mercredi 25 juin avec Jean-Michel et Megan : C’est le retour pas tant attendu des… BARBEAUX Qu’est-ce que ça te prend pour bien dormir ? On joue à la question impossible. à gagner : votre accès au site de la Nouvelle-France
Albin has left the stage, and the Dondins are on their way!! What can Georges and Jean-Michel do to patch this up and get Anne's family to love them? Well, a lot of shenanigans and the realization Jean-Michel is a terrible person. We're finishing up La Cage! Strap on your highest heels and join us! We are what we are!!
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, lundi avec Jean-Michel et Megan : Quiz sur la survie en forêt. Combien de temps survivrez-vous ? Êtes-vous compétitif ? Vos artistes québécois préférés que vous avez vus en spectacle ! Votre agenda d’activités pour la St-Jean au Saguenay-Lac-Saint-Jean On joue à la question impossible : à gagner cette semaine votre forfait pour le site de la Nouvelle-France
En couple, au travail, en amitié : nous ressentons tous, un jour ou l'autre, de la jalousie. C'est parfois une immense souffrance. Comment s'en libérer ? On en parle dans ce Dialogue avec Jean-Michel Oughourlian. Le livre de Jean-Michel : https://www.lisez.com/livres/jalousie-et-rivalite/9782266349956 Mon site : https://www.fabricemidal.comFacebook Fabrice Midal : https://www.facebook.com/FabriceMidalFacebook du podcast Dialogues : https://www.facebook.com/dialogues.fmInstagram Fabrice Midal : https://www.instagram.com/fabricemidalInstagram du podcast Dialogues : https://www.instagram.com/fabricemidal_dialogues/Tiktok : https://www.tiktok.com/@fabricemidal Mes trois chaînes YouTube :Mes vidéos : https://www.youtube.com/@fabricemidal1Les Dialogues : https://www.youtube.com/@dialoguesfmLes méditations guidées : https://www.youtube.com/@mediteravecfabricemidal Mots clé : Jean-Michel Oughourlian nous aide à comprendre les fondations neuroscientifique de nos désirs pour préserver nos relations amoureuses.Pourquoi sommes-nous parfois jaloux ?Pourquoi la jalousie nous aveugle-t-elle si souvent et parfois, nous fait même reconsidérer l'être qui partage notre vie ? En voyant celui que nous aimons être désiré par un autre, nous réalisons à quel point nous tenons à lui.Tout cela pourrait sembler incompréhensible sans les éclairages du professeur Jean-Michel Oughourlian, spécialiste mondial de la question. En s'appuyant sur des recherches révolutionnaires en neurosciences, il révèle les mécanismes méconnus du désir et de la rivalité.Libérez-vous des schémas délétères et redécouvrez le bonheur de relations saines et épanouies !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, vendredi avec Jean-Michel et Megan : On se rappelle les jeux d’enfants qu’on faisait à la récréation. Quels sont vos plans pour l’été ? On parle de la fréquentation des cinémas qui a diminué dans les dernières années. On joue à la question impossible : à gagner cette semaine votre forfait pour le Festival des vins de Saguenay
Cette semaine, on est choyé de recevoir une ICÔNE de la scène québécoise. Humoriste, animateur et acteur, Jean-Michel Anctil.
« Tue et prends la voile ». Cette devise des commandos marine, notre invité du jour la connais bien. Premier défenseur de la LPM 2024-2030, Jean-Michel Jacques a servit pendant 23 ans dans la Marine, dont 17 dans les forces spéciales. Engagé en 1988, à 20 ans, il a obtenu le béret vert et intégré, tour à tour, le Commando Jaubert puis le Commando Trépel, pour, ensuite, servir dans l'escouade de contre-terrorisme et de libération d'otages. En 2005, il ira même jusqu'à arrêter l'opérationnel pour intégrer le Service de santé des sapeurs-pompiers volontaires du Morbihan en tant qu'officier. En 2014, tout change ! Il devient maire de Brandérion puis député en 2017. Exit la Marine, direction l'hémicycle, un écosystème bien différent de l'environnement marin. Jean-Michel Jacques est élu rapporteur du projet de loi de programmation militaire en 2023, et depuis 2024,est président de la commission de défense nationale et des forces armées. C'est un sacré parcours auquel nous nous intéressons aujourd'hui, et l'idée va être de comprendre la manière dont on passe de marin à civil. Quels enseignements tirer d'une vie de commando marine ? Et qu'amène la militarité dans un écosystème politique ? On en parle, aujourd'hui, avec Jean-Michel Jacques,ancien commando marine, actuellement député de la 6e circonscription du Morbihan et Président de la commission de la défense nationale et des forces armées.Bonne écoute !Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégique de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des ArméesN'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, jeudi avec Jean-Michel et Megan : On parle des amours d’été ! La St-Jean approche, quelle est votre chanson québécoise préférée ? On joue à la question impossible : à gagner cette semaine votre forfait pour le Festival des vins de Saguenay
durée : 00:48:12 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'artiste plasticien Jean-Michel Othoniel, connu pour son "Kiosque des Noctambules" sur la place Colette à Paris, présente à partir du 28 juin prochain une exposition poétique exceptionnelle, "Cosmos", qui se déploie sur plus de 10 sites emblématiques dans la cité avignonnaise.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Protéger, surveiller, accompagner, placer : ce sont les missions quotidiennes de Françoise Mainil, juge au tribunal de la famille et de la jeunesse. Elle se pose une question essentielle : comment peut-elle vraiment aider ces milliers de jeunes qui passent aujourd'hui sous les radars de la protection de la jeunesse?"Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Jean-Michel et Alain Vaessen.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Protéger, surveiller, accompagner, placer : ce sont les missions quotidiennes de Françoise Mainil, juge au tribunal de la famille et de la jeunesse. Elle se pose une question essentielle : comment peut-elle vraiment aider ces milliers de jeunes qui passent aujourd'hui sous les radars de la protection de la jeunesse?"Devoir d'enquête" est un podcast d'Initial Studio adapté de la série éponyme produite par la RTBF. Cet épisode a été réalisé par Jean-Michel et Alain Vaessen.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg, assistées de Marine BoudalierMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuel Rehbinder Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Jean-Michel fait appel à un carreleur en 2023 grâce à une annonce sur un site spécialisé. Ensemble, ils signent un devis pour faire du carrelage autour d'une piscine. Jean-Michel verse 1.844€ mais le carreleur ne vient qu'une fois et ne fait pas le carrelage. Depuis il demande le remboursement, mais l'artisan ne lui donne que des excuses loufoques. Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 12 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
durée : 00:53:27 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Ils partagent l'amour de la nature et des créations qui révèlent sa beauté. Le sculpteur Jean-Michel Othoniel habille Avignon de ses œuvres cette année, et en face de lui, Catherine Deneuve nous fait l'honneur de sa présence. Elle est animée par la vie des jardins depuis longtemps. - invités : Jean Michel OTHONIEL, Catherine Deneuve - Jean-Michel Othoniel : Artiste plasticien, Catherine Deneuve : Actrice française - réalisé par : Lucie Lemarchand
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Obtenez 15% de rabais et la livraison gratuite avec le code WARD15 sur https://ca.manscaped.com/frPour cet épisode de Sous Écoute, Mike reçoit Jean-Michel Elie et Jacob Ospian pour parler de Tesla et de parentalité.---------Pour vous procurer la Ward Vodka - http://wardvodka.ca/Pour vous procurer des billets du spectacle Modeste - https://mikeward.ca/fr--------Patreon - http://Patreon.com/sousecouteTwitter - http://twitter.com/sousecouteFacebook - https://www.facebook.com/sousecoute/instagram - https://www.instagram.com/sousecouteTwitch - https://www.twitch.tv/sousecouteDiscord - https://discord.gg/6yE63Uk Obtenez 15% de rabais et la livraison gratuite avec le code WARD15 sur https://ca.manscaped.com/fr ★ Support this podcast on Patreon ★
Nous sommes le 11 juin 1999, à Paris, dans le XIIIᵉ arrondissement. Ce jour-là, une femme de 56 ans, Michèle Gaboriau, mère de deux enfants, ne se présente pas à son déjeuner prévu avec une amie. Cette ancienne salariée d'Air France avait aussi un rendez-vous médical dans la matinée. Mais là encore, personne ne l'a vue. En quelques heures, Michèle Gaboriau a disparu. Sans un mot, ni bagage. Pas de traces non plus de sa voiture. La dernière personne à l'avoir vue est son mari, qui tient une maison de la presse dans le quartier. Le couple a d'ailleurs diné ensemble la veille au soir... Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Jean-Michel Larqué : "L'année prochaine en Ligue 2, tu ne sais pas si tu seras devant, au milieu ou derrière."
Pablo Longoria est-il en train de se perdre ? Captain Larqué s'interroge sur la forme : "Il y a un peu de parano. Il y a des règles en diplomatie : pour faire avancer les choses, il faut se faire discret.
Le 11 juin 1999 à midi, Jean-Michel Gaborieau appelle sa fille Céline pour se plaindre : sa mère, Michèle, n'est pas venu le remplacer dans sa boutique pour le déjeuner. Le couple est en train de se séparer, et il n'a aucune nouvelle d'elle depuis la veille et leur dîner en tête à tête. Céline, elle, a dormi chez sa grand-mère et s'est rendue au lycée où elle se prépare à passer le bac.Tout ce qu'elle sait c'est que sa mère avait rendez-vous avec une ancienne collègue. Un jour passe, puis deux, puis trois... Céline cherche sa mère partout, et se met à douter : Jean-Michel ne lui semble pas très inquiet. Son propre père est-il impliqué dans toute cette histoire ? Qu'est-il arrivé à Michèle, sa mère ? La voix du crime de cet épisode présenté par Marie Zafimehy, c'est Céline Gaborieau, la fille de Michèle, la disparue. Elle raconte ses 25 ans de recherches et son intime conviction : sa mère n'a pas simplement disparu, elle a été tuée... et son père est impliqué.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Joëlle Dago-Serry et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Entourée des journalistes de la rédaction d'Europe 1 et de ses invités, Pascale de La Tour du Pin analyse, mène les débats et remet en perspective les dernières actualités. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !