Podcasts about vaccins

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The Trueman Show
De Natuur, MRNA vaccins en turbokankers bij jongeren met Coen de Mooy | #225

The Trueman Show

Play Episode Listen Later May 22, 2025 116:08


Lieve vrienden,    Piet Grasspriet is deze week te gast in The Trueman Show! En nee, dat is niet zijn echte naam, maar een pseudoniem van Coen de Mooy. Maak je klaar voor een mooi gesprek over de kosmos!

Priorité santé
La rougeole: une maladie très contagieuse et pourtant évitable

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 21, 2025 48:29


Maladie virale très contagieuse, la rougeole se transmet par voie aérienne. Cette maladie, qui touche principalement les enfants de moins de 5 ans, peut être fatale ou entraîner de graves séquelles. Elle est pourtant évitable grâce à deux doses de vaccin. Ainsi, entre 2000 et 2023, l'OMS estime que ce vaccin a permis d'éviter plus de 60 millions de décès. Comment expliquer que, malgré la vaccination, la maladie continue de sévir dans certaines régions du monde et qu'elle connaisse un rebond dans des pays qui semblaient à l'abri de la maladie ? Comment se manifeste la rougeole ? Comment lutter contre les fausses informations qui font reculer la couverture vaccinale ?   Dr Nicolas Winter, praticien hospitalier aux Urgences pédiatriques du Centre hospitalier de Valenciennes, France et auteur de « Urgences or not Urgences », aux éditions First. Sur les réseaux sociaux, il anime la page To be or not toubib dédiée à l'éducation pédiatrique.   Guillaume Naudin, envoyé spécial permanent de RFI à Washington, alors que les États-Unis enregistrent 1.000 cas avérés et 3 décès.   Pr Tandakha Ndiaye Dieye, chef du service d'Immunologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, spécialiste en Vaccinologie et membre de la Commission de vérification de l'élimination de la rougeole et de la rubéole pour l'OMS en Afrique, membre du Groupe consultatif sur la vaccination « CCVS » ou National Technical Advisory Group « NITAG » du Sénégal ; directeur des cours avancés de vaccinologie AFRO ADVAC et PVAC (Polio).   ► En fin d'émission, nous retrouvons la chronique sport du Dr Jean Marc Sène, médecin du sport et auteur de Le sport : je me lance, aux éditions In Press.   Programmation musicale : ► Bad Bunny – Kloufrens ► Minyo crusaders – Kaigara bushi.

Priorité santé
La rougeole: une maladie très contagieuse et pourtant évitable

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 21, 2025 48:29


Maladie virale très contagieuse, la rougeole se transmet par voie aérienne. Cette maladie, qui touche principalement les enfants de moins de 5 ans, peut être fatale ou entraîner de graves séquelles. Elle est pourtant évitable grâce à deux doses de vaccin. Ainsi, entre 2000 et 2023, l'OMS estime que ce vaccin a permis d'éviter plus de 60 millions de décès. Comment expliquer que, malgré la vaccination, la maladie continue de sévir dans certaines régions du monde et qu'elle connaisse un rebond dans des pays qui semblaient à l'abri de la maladie ? Comment se manifeste la rougeole ? Comment lutter contre les fausses informations qui font reculer la couverture vaccinale ?   Dr Nicolas Winter, praticien hospitalier aux Urgences pédiatriques du Centre hospitalier de Valenciennes, France et auteur de « Urgences or not Urgences », aux éditions First. Sur les réseaux sociaux, il anime la page To be or not toubib dédiée à l'éducation pédiatrique.   Guillaume Naudin, envoyé spécial permanent de RFI à Washington, alors que les États-Unis enregistrent 1.000 cas avérés et 3 décès.   Pr Tandakha Ndiaye Dieye, chef du service d'Immunologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, spécialiste en Vaccinologie et membre de la Commission de vérification de l'élimination de la rougeole et de la rubéole pour l'OMS en Afrique, membre du Groupe consultatif sur la vaccination « CCVS » ou National Technical Advisory Group « NITAG » du Sénégal ; directeur des cours avancés de vaccinologie AFRO ADVAC et PVAC (Polio).   ► En fin d'émission, nous retrouvons la chronique sport du Dr Jean Marc Sène, médecin du sport et auteur de Le sport : je me lance, aux éditions In Press.   Programmation musicale : ► Bad Bunny – Kloufrens ► Minyo crusaders – Kaigara bushi.

Le Conseil Santé
Maladies infectieuses émergentes et virus: quelles recherches de vaccins sont menées actuellement?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later May 9, 2025 2:18


Mpox, Ebola, VIH, fièvre de Lassa... Nous faisons un point sur les maladies infectieuses émergentes au niveau mondial et sur les défis de la recherche internationale. Quels sont aujourd'hui les virus et maladies infectieuses qui font l'objet d'études dans le cadre de recherches de nouveaux vaccins ? Certaines études lancées ont-elles concrètement permis de contenir des épidémies ? Dr Eric D'Ortenzio, médecin, épidémiologiste, Inserm / ANRS Maladies infectieuses émergentes Retrouvez l'émission en entier ici : Maladies infectieuses émergentes : les défis de la recherche internationale

RARE à l'écoute
Maladie rare – Prendre en charge une maladie de Willebrand

RARE à l'écoute

Play Episode Listen Later May 6, 2025 8:11


4éme épisode / 5, de la série sur la maladie de Willebrand. Episode 4 : Maladie rare – Prendre en charge une maladie de Willebrand Invité : Pr Antoine Rauch, PU-PH au sein de l'Institut d'hématologie et transfusion au CHU de Lille, clinicien du centre de référence coordonnateur de la maladie de Willebrand de la filière MHEMO et membre du groupe de rédacteurs du PNDS sur la maladie de Willebrand. https://biologiepathologie.chu-lille.fr/instituthematologie/  https://mhemo.fr/   1️⃣   Quels sont les enjeux de la prise en charge de la maladie de Willebrand ? [0'30 – 1'15]  ✔️ Une prise en charge par des professionnels des centres experts dédiés à la maladie. ✔️ Traitement personnalisé et adapté à la sévérité des symptômes en raison de l'hétérogénéité de la maladie.  Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/maladie-de-willebrand/ 2️⃣   Quels centres sont impliqués ? [1'16 – 2'38]  ✔️ Filière MHEMO regroupant les centres spécialisés pour les maladies hémorragiques rares. ✔️ Centres de référence, pôles d'expertise, assurant un rôle de recours et d'innovation. ✔️ Centres de compétences, structures de proximité pour le suivi des patients. 3️⃣   Quelle prise en charge proposer ? [2'39 -4'22]  ✔️ Traitement ponctuel pour stopper ou prévenir un saignement (chirurgie, accouchement). ✔️ Prévention des saignements graves par un traitement régulier, principalement pour les formes sévères (type 3). ✔️ Gestion spécifique de certains saignements (règles abondantes, hémorragies digestives) avec des traitements adjuvants. 4️⃣   Quels conseils et quels accompagnements préconiser pour les patients ? [4'22 – 5'06]  ✔️ Dépistage de l'anémie et d'une carence en fer. ✔️ AINS contre-indiqués. ✔️ Vaccins selon calendrier vaccinal, avec précautions  ✔️ Activité physique évaluée au cas par cas. 5️⃣   Quel suivi leur proposer ? [5'07 – 6'19]  ✔️ Adaptation du suivi en fonction de la sévérité clinique et de l'évolution du profil hémorragique. ✔️ Réévaluer périodiquement la sévérité du phénotype hémorragique, surtout pour les types 1 et 2. ✔️ Préparation pour les situations à risque (chirurgies, grossesses) afin d'assurer une prise en charge adaptée. 6️⃣   Quels sont les besoins non couverts et les perspectives de recherche dans la maladie de Willebrand ? [6'19 – 7'42]  ✔️ Faible recours à la prophylaxie en raison de l'hétérogénéité de la maladie et de la sous-estimation de son impact sur la qualité de vie. ✔️ Options thérapeutiques actuelles bien connues. ✔️ Développement de nouveaux traitements prophylactiques.   L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom ***************************************** À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu : 

Vandaag
Het malariaonderzoek dat levens kan redden (áls de VS meewerken)

Vandaag

Play Episode Listen Later Apr 29, 2025 19:55


Malaria bedreigt al jarenlang het leven van tientallen miljoenen mensen in Afrika. Maar er is hoop, want er is een vaccin. Correspondent Eva Oude Elferink volgde epidemioloog Alassane Dicko. Hij kwam in Mali tot sensationele resultaten waardoor de levens van miljoenen kinderen gered kunnen worden. Maar sinds het aantreden van Donald Trump is alles onzeker geworden. Gast: Eva Oude ElferinkPresentatie: Bram EndedijkRedactie: Esmee DirksMontage: Michiel van Poelgeest & Bas van WinEindredactie: Nina van HattumCoördinatie: Elze van DrielProductie: Andrea HuntjensHeb je vragen, suggesties of ideeën over onze journalistiek? Mail dan naar onze redactie via podcast@nrc.nl.Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Librairie Mollat
ECHO - Lise Barnéoud - Immunisés ? : une autre manière de penser les vaccins

Librairie Mollat

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 54:28


"Immunisés ? : une autre manière de penser les vaccins" aux éditions Premier Parallèle. Entretien avec Raphaël Dupin.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Bruno dans la radio
Le Blind Test de Pino du 18 avril - Les vaccins

Bruno dans la radio

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 4:04


Pino nous fait deviner l'actualité en chanson, mais pas forcement de façon juste...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les dessous de l'infox
Comment l'administration Trump alimente le complotisme sur les vaccins

Les dessous de l'infox

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 27:59


Des chiffres alarmants sur l'autisme aux États-Unis ont donné lieu ces derniers jours à des déclarations exubérantes au plus haut sommet de l'état, et c'est la machine à désinformer qui s'emballe, avec le retour de vieilles théories conspirationnistes sur les vaccins. Les allusions à des causes de l'autisme non validées par la recherche aggravent les risques liés à la désinformation sur les réseaux sociaux, avec faux remèdes, régimes dangereux, et le risque d'un recul vaccinal à la clef. Les annonces de Donald Trump et de son ministre de la Santé Robert Kennedy Jr sèment le trouble dans la communauté scientifique. Ce dernier se dit en mesure de révéler dès le mois de septembre 2025 les causes de ce qu'il appelle une « épidémie d'autisme ». Certains observateurs y voient un signal clair que le ministre a l'intention de produire des recherches biaisées, de nature à confirmer certaines théories liant autisme et vaccination, des thèses pourtant invalidées de longue date par les travaux scientifiques. Sans attendre le résultat de l'étude commanditée par Robert Kennedy Jr, un flot d'infox se propage sur les réseaux sociaux, avec des recommandations de traitements fantaisistes, des escroqueries et des allégations sans fondements sur les causes du syndrome. Les publications antivax prolifèrent, à partir de déclarations de RK Jr antérieures à sa prise de fonction, concernant d'autres vaccins. Ces infox sont relayées dans les milieux complotistes à destination de différents publics, notamment en Afrique.Le spécialiste des virus et des vaccins, Frédéric Tangy de l'Institut Pasteur, nous aide à faire le point sur ce sujet aussi complexe que sensible.Frédéric Tangy est ancien directeur du Laboratoire d'innovation vaccinale de l'Institut Pasteur, directeur scientifique de la société Oncovita, professeur et directeur de recherche au CNRS. Il est notamment l'auteur de nombreux ouvrages, dont L'homme façonné par les virus (Odile Jacob, 2021) et Les vaccins pour les nuls, avec Jean-Nicolas Tournier.À lire aussiAutisme : plus d'1% de la population mondiale serait concernéeLa chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Non, l'armée malienne ne vient pas d'acquérir des chasseurs F-35 et Soukhoï-35

Les dessous de l'infox
Comment l'administration Trump alimente le complotisme sur les vaccins

Les dessous de l'infox

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 27:59


Des chiffres alarmants sur l'autisme aux États-Unis ont donné lieu ces derniers jours à des déclarations exubérantes au plus haut sommet de l'état, et c'est la machine à désinformer qui s'emballe, avec le retour de vieilles théories conspirationnistes sur les vaccins. Les allusions à des causes de l'autisme non validées par la recherche aggravent les risques liés à la désinformation sur les réseaux sociaux, avec faux remèdes, régimes dangereux, et le risque d'un recul vaccinal à la clef. Les annonces de Donald Trump et de son ministre de la Santé Robert Kennedy Jr sèment le trouble dans la communauté scientifique. Ce dernier se dit en mesure de révéler dès le mois de septembre 2025 les causes de ce qu'il appelle une « épidémie d'autisme ». Certains observateurs y voient un signal clair que le ministre a l'intention de produire des recherches biaisées, de nature à confirmer certaines théories liant autisme et vaccination, des thèses pourtant invalidées de longue date par les travaux scientifiques. Sans attendre le résultat de l'étude commanditée par Robert Kennedy Jr, un flot d'infox se propage sur les réseaux sociaux, avec des recommandations de traitements fantaisistes, des escroqueries et des allégations sans fondements sur les causes du syndrome. Les publications antivax prolifèrent, à partir de déclarations de RK Jr antérieures à sa prise de fonction, concernant d'autres vaccins. Ces infox sont relayées dans les milieux complotistes à destination de différents publics, notamment en Afrique.Le spécialiste des virus et des vaccins, Frédéric Tangy de l'Institut Pasteur, nous aide à faire le point sur ce sujet aussi complexe que sensible.Frédéric Tangy est ancien directeur du Laboratoire d'innovation vaccinale de l'Institut Pasteur, directeur scientifique de la société Oncovita, professeur et directeur de recherche au CNRS. Il est notamment l'auteur de nombreux ouvrages, dont L'homme façonné par les virus (Odile Jacob, 2021) et Les vaccins pour les nuls, avec Jean-Nicolas Tournier.À lire aussiAutisme : plus d'1% de la population mondiale serait concernéeLa chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Non, l'armée malienne ne vient pas d'acquérir des chasseurs F-35 et Soukhoï-35

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 15/04 : que se passe-t-il au Royaume-Uni ? Les explications d'Aldo Sterone

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 133:49


Retrouvez la matinale Tocsin du 15 Avril avec Clémence Houdiakova :2:30 Israël empêche des chrétiens d'accéder au St Sépulcre pour le dimanche des Rameaux et s'emparent de pans entiers de Gaza

De Nieuwe Wereld
Vaccinatieschade: "niemand wil het weten" | #1913 Jan Bonte

De Nieuwe Wereld

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 76:42


Marlies Dekkers in gesprek met Jan Bonte over vaccinatieschade en meer. "Vaccins zijn een uitstekende medische techniek, maar je moet het niet in handen geven van de verkeerde mensen."--Steun DNW en word patroon op http://www.petjeaf.com/denieuwewereld.Liever direct overmaken? Maak dan uw gift over naar NL61 RABO 0357 5828 61 t.n.v. Stichting De Nieuwe Wereld. Crypto's doneren kan via https://commerce.coinbase.com/pay/79870e0f-f817-463e-bde7-a5a8cb08c09f-- Bronnen en links bij deze uitzending: - Het vorige gesprek tussen Marlies en Jan Bonte, over de oorsprong van corona: https://www.youtube.com/watch?v=OV3XC7GE6Uc- Marlies in gesprek met Arno Wellens: https://www.youtube.com/watch?v=GtKcx-ldQco- Marlies in gesprek met Hester Bais: https://www.youtube.com/watch?v=948rgaGD05I- 'De Hommel vertelt - De Wuhan Trilogie', theatercollege van Jan Bonte: https://vimeo.com/ondemand/dehommelvertelt- Spurious correlations: https://www.tylervigen.com/spurious-correlations- Post-vaccination IgG4 and IgG2 class switch associates with increased risk of SARS-CoV-2 infections: https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(25)00067-2/fulltext- Expression of SARS-CoV-2 spike protein in cerebral Arteries: Implications for hemorrhagic stroke Post-mRNA vaccination: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40184822/--00:00 Introductie00:50 Oorsprong van het coronavirus8:41 Van corona-angst naar Poetinangst13:48 "Mijn kinderen hebben hier geen toekomst meer"16:28 "Grootste medische schandaal van de eeuw"32:01 DNA in vaccins?39:09 Meer ontvankelijk voor virus door vaccin?51:25 Enkele casussen1:06:18 Kan er nu nog wat aan gedaan worden?1:15:00 Afronding--De Nieuwe Wereld TV is een platform dat mensen uit verschillende disciplines bij elkaar brengt om na te denken over grote veranderingen die op komst zijn door een combinatie van snelle technologische ontwikkelingen en globalisering. Het is een initiatief van filosoof Ad Verbrugge in samenwerking met anchors Jelle van Baardewijk en Marlies Dekkers. De Nieuwe Wereld TV wordt gemaakt in samenwerking met de Filosofische School Nederland. Onze website: https://denieuwewereld.tv/ DNW heeft ook een Substack. Meld je hier aan: https://denieuwewereld.substack.com/

CQFD - La 1ere
Des vaccins, des os et la liberté de la science

CQFD - La 1ere

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 56:25


Des vaccins au lieu d'antibiotiques? Les brèves du jour Ce que nous disent les vieux os "L'Ambassadeur de Galilée", un livre qui défend une science libre

Kan en Français
Les corps sous contrôle : santé, virus, vaccins et 5G

Kan en Français

Play Episode Listen Later Apr 6, 2025 31:49


Théories du complot, deuxième épisode.Et si nos corps devenaient le théâtre de toutes les angoisses contemporaines ? De la 5G aux vaccins, en passant par les laboratoires secrets et Big Pharma, nous plongeons dans un monde de fantasmes…

Zen & en bonne santé
Santé : les vaccins recommandés pour les bébés

Zen & en bonne santé

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 1:54


Santé : les vaccins recommandés pour les bébésDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Beurswatch | BNR
Nvidia-topman slooft zich 2 uur lang uit: voor niks

Beurswatch | BNR

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 21:41


Het was een lange zit, en achteraf kwamen beleggers ook nog van een koude kermis thuis. Topman Jensen Huang gooide van alles in de strijd maar praatte uiteindelijk alleen maar het aandeel van zijn Nvidia omlaag. Nieuwe AI-chips, een samenwerking met General Motors, een robot, zelfs het belachelijk maken van zijn eigen oudere generatie chips... Niks kon beleggers blij maken. Waarom werd niemand enthousiast van al die pogingen van Huang? Dat zoeken we deze aflevering voor je uit. Dan hebben we het ook over Philips. Dat dacht een vriend aan boord te halen met investeerder Exor Holdings. Met één voorwaarde: Exor zou nooit meer dan een vijfde van de aandelen van Philips in handen krijgen. Nou, daar komt Exor nu toch akelig dichtbij. Verder gaat het over een uitglijder van de beurs in Turkije. Het vertrouwen van beleggers is daar ver zoek nadat de grootste tegenstander van president Erdogan uit het niks werd opgepakt. En over hommeles bij de ijsjestak van Unilever. De topman van Ben & Jerry's wordt daar de laan uit gestuurd vanwege z'n politieke activisme. En dat terwijl die ijsjestak binnenkort naar de beurs moet. Als dat maar goed gaat.See omnystudio.com/listener for privacy information.

AEX Factor | BNR
Nvidia-topman slooft zich 2 uur lang uit: voor niks

AEX Factor | BNR

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 21:41


Het was een lange zit, en achteraf kwamen beleggers ook nog van een koude kermis thuis. Topman Jensen Huang gooide van alles in de strijd maar praatte uiteindelijk alleen maar het aandeel van zijn Nvidia omlaag. Nieuwe AI-chips, een samenwerking met General Motors, een robot, zelfs het belachelijk maken van zijn eigen oudere generatie chips... Niks kon beleggers blij maken. Waarom werd niemand enthousiast van al die pogingen van Huang? Dat zoeken we deze aflevering voor je uit. Dan hebben we het ook over Philips. Dat dacht een vriend aan boord te halen met investeerder Exor Holdings. Met één voorwaarde: Exor zou nooit meer dan een vijfde van de aandelen van Philips in handen krijgen. Nou, daar komt Exor nu toch akelig dichtbij. Verder gaat het over een uitglijder van de beurs in Turkije. Het vertrouwen van beleggers is daar ver zoek nadat de grootste tegenstander van president Erdogan uit het niks werd opgepakt. En over hommeles bij de ijsjestak van Unilever. De topman van Ben & Jerry's wordt daar de laan uit gestuurd vanwege z'n politieke activisme. En dat terwijl die ijsjestak binnenkort naar de beurs moet. Als dat maar goed gaat.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Les matins
Fausses informations : des formations "vaccins" pour s'en prémunir

Les matins

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 5:11


durée : 00:05:11 - Avec sciences - par : Alexandre Morales - Dans une publication parue dans Nature Communications, les scientifiques proposent d'exposer le public aux stratégies de désinformation pour les y préparer. Ils montrent que faires des rappels de ces "vaccins informationnels" sont important pour que les bienfaits persistent.

La Commission Normandeau-Ferrandez
«Les maladies qu'on prévient avec les vaccins s'attaquent le plus aux bébés»

La Commission Normandeau-Ferrandez

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 63:59


Voici l’essentiel de l’épisode du 28 février pour l’émission La commission: Êtes-vous pour ou contre l’interdiction du port du niqab pour les élèves en classe et à l’école? Saviez vous que la vaccination est l’intervention en santé publique qui a sauvé le plus de vie d’enfant après l’accès à l’eau potable? Depuis le 1er janvier 2025, la collecte sélective au Québec est beaucoup plus simple grâce à une réforme qui unifie les règles à travers la province. Concrètement, nous pouvons désormais recycler tous les contenants, emballages et imprimés, sans se soucier des codes plastiques. La mauvaise foi de la ville de Rivière-des-Prairies dans le dossier Sanimax. Dès que le gouvernement a annoncé un médiateur, la Ville s’est empressée d’envoyer une mise en demeure à l’entreprise. Ce que veut la Ville, c’est la fermeture de Sanimax. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Bercoff dans tous ses états
Bercoff dans tous ses états - Bercoff dans tous ses états du 3 février avec un face à face sur les "Victimes des vaccins Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels"

Bercoff dans tous ses états

Play Episode Listen Later Feb 3, 2025


Au programme : Justice à géométrie variable et discours de Jean-Luc Mélenchon... à gauche, tout passe, à droite, tout casse. / La politique douanière de Trump / Face à face : "Victimes des vaccins Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels"

French With Panache
#56 Pourquoi les Français sont-ils si méfiants à l'égard des vaccins ?

French With Panache

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 38:23


De Dag
#1777 - MKZ: wel vaccins, niet inenten

De Dag

Play Episode Listen Later Jan 14, 2025 22:46


Mond-en-klauwzeer bestaat in Nederland al heel lang. En een vaccin ertegen ook. Toch blijven er uitbraken ontstaan, met desastreuze gevolgen voor dieren én boeren. 'Uiteindelijk is het geld dat bepaalt.' Dit weekend werd het zeer besmettelijke mond-en-klauwzeer vastgesteld bij waterbuffels in Duitsland, in een gebied waar ook veel Nederlandse boeren zitten. In Nederland zelf worden nu ook maatregelen genomen. Maar vaccins worden niet gebruikt. Boer Jan Jelmer Dijkstra woont vlakbij de plek in Duitsland waar waterbuffels met MKZ zijn aangetroffen. Hij vertelt in de podcast hoe hij en ook andere Nederlandse boeren in de omgeving de adem inhouden. Allen hebben de crisis van 2001 vers in het geheugen. Toen werden honderdduizenden gezonde dieren uit voorzorg geruimd. 'Dat had toen niet gehoeven,' zegt vee-arts Peter Egberink die destijds in Friesland de eerste gevallen van MKZ in Friesland constateerde en verschillende boeren bijstond die hun bedrijf moesten ruimen. Hij is kritisch op het vaccinatie-beleid en legt uit welke financiële afwegingen daarbij meespelen.  Aanvulling: Het ministerie van landbouw laat in een reactie op de podcast weten dat er inmiddels wel een vaccin is waarmee achteraf te onderscheiden is of dieren zijn ingeënt tegen MKZ of dat ze de ziekte zelf hebben doorgemaakt. Meer informatie daarover is hier te vinden: https://www.woah.org/fileadmin/Home/eng/Media_Center/docs/pdf/Disease_cards/Q_A-FMD-EN.pdf  Reageren? Mail dedag@nos.nl Presentatie en montage: Elisabeth Steinz Redactie: Rosanne Sies 

Ah ouais ?
AH OUAIS ? - 796. Pourquoi on ne fait pas de vaccins contre la grippe sans casser des œufs

Ah ouais ?

Play Episode Listen Later Jan 13, 2025 2:15


Alors que le "Plan Blanc" a été déclenché pour faire face à l'épidémie de grippe, Florian Gazan vous explique pourquoi on ne fait pas de vaccins contre la grippe sans casser des œufs. Et ce n'est pas une expression... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.

Reportage Afrique
Mpox en RDC: la sensibilisation pour enrayer le virus à Miti-Murhesa, foyer de l'épidémie [1/3]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 17, 2024 2:19


Cette infection virale qui s'est d'abord transmise des animaux aux hommes, se transmet aujourd'hui d'une personne à l'autre, principalement par contact étroit. Dans la province du Sud-Kivu, dans l'est de la RDC, la province où les cas de Mpox sont les plus nombreux, des progrès pour combattre la maladie ont été faits. Mais elle est toujours là et parfois les réticences à se faire soigner aussi. Alors pour une victoire totale contre le Mpox, le combat continue contre les rumeurs et la stigmatisation qui peuvent retarder les consultations. De notre envoyée spéciale à Miti-Murhesa,Sous une pluie battante, des relais communautaires font du porte-à-porte. Mabintou a intégré l'équipe il y a quelques semaines. Depuis qu'elle est sortie de l'hôpital où elle avait été admise, atteinte du Mpox. Son rôle ? Convaincre les membres de sa communauté, les Pygmés, de se soigner ou se vacciner. « Auparavant, aucun Pygmé pouvait se faire vacciner. Peut-être à cause de coutumes et nos traditions. Mais aujourd'hui, grâce à la sensibilisation, nous allons nous faire vacciner. »La jeune femme est accompagnée d'Elias Baraka Mugareka qui affirme qu'en venant toquer aux portes des habitants de Miti-Murhesa : « Nous voulons stopper cette épidémie de Mpox qui fait encore des ravages dans notre communauté. » Lorsque l'épidémie a flambé dans la région, à la fin de l'été 2024, les rumeurs allaient bon train. « Certaines personnes faisaient courir toutes sortes de rumeurs concernant le vaccin Mpox, que c'était un mauvais un vaccin, qu'on l'avait introduit pour exterminer les Congolais et plus particulièrement les jeunes et qu'ils pourraient devenir stériles », explique Elias Baraka MugarekaFaire de la prévention Il faut dire que dès le départ, la maladie avait mauvaise réputation. C'est à Kamituga, une localité à environ 300 km de Miti-Murhesa, que le virus a été repéré pour la première fois. Il s'est rapidement propagé, notamment dans les nombreuses maisons de passe de cette cité minière. Et puis, avec le déplacement de populations, la maladie est ensuite arrivée à Miti-Muhresa, où elle a explosé, jusqu'à faire de la zone le principal foyer de l'épidémie.Alors pour y remédier, certaines ONG axent leur soutien sur la prévention, notamment avec des spots pour la radio. « Actuellement, nous utilisons 37 radios à travers toute la province, explique Robert Kahumula, chargé de la lutte contre la Mpox pour ReMeD, une ONG congolaise soutenu par Unicef. Nous organisons également des campagnes auprès de "groupes-cible", par exemple les professionnels du sexe, nous utilisons des dialogues communautaires ainsi que des tribunes d'expression populaires. »Dans cette zone de santé, les réticences sur la maladie ont diminué, tout comme le nombre de cas, Mais elle est toujours là, rappellent les autorités médicales.À lire aussiRDC: la maladie Mpox en recul dans le Sud-Kivu

Reportage Afrique
Cent ans après son ouverture et de multiples découvertes, l'institut Pasteur de Dakar poursuit ses avancées

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 15, 2024 2:42


L'institut s'est démarqué, il y a un siècle, avec la fabrication du vaccin contre la fièvre jaune à Dakar, au Sénégal. Aujourd'hui, le centre de recherche se lance dans la fabrication d'autres vaccins : contre le Covid-19, mais aussi contre la maladie infantile de la rougeole et de la rubéole et plaide pour une plus grande autonomie vaccinale du continent. De notre correspondante à Dakar,Badge et accès sécurisé, bienvenue sur la plateforme de développement du vaccin de la rougeole et de la rubéole de l'Institut Pasteur. Dans l'espace vitré, deux bioréacteurs, l'un pas plus gros qu'un robot de cuisine avec des pipettes à l'intérieur. Neima Remba, coordonne la fabrication du vaccin : « Une fois que l'on a assez de cellules, on infecte et cette infection permet aux cellules de produire le virus atténué. »Virus atténué qui devient ensuite le vaccin.1,8 million de doses peuvent être produites dans cette machine en six heures. Et pour la première fois, le vaccin contre la rougeole et la rubéole va être entièrement fabriqué au Sénégal. « Ce n'est pas seulement le vaccin en tant que tel, mais aussi les personnes qui sont impliquées. Tout est également fait de façon locale », se félicité Naima Remba.La cinquantaine de chercheurs qui développent l'antidote contre la rougeole viennent toutes du continent. Mais des essais sont également en cours pour mieux adapter ce vaccin aux contraintes africaines, comme l'explique le Dr Marie-Angélique Sene, responsable du centre de développement des vaccins à l'Institut Pasteur. « C'est parfois quelque chose de tout bête, comme utiliser des réactifs en poudre qui peuvent être transportés et n'ont pas besoin de cette chaine de froid et que l'on peut reconstituer sur site », dit-elle.Favoriser la coopérationPour l'heure, Dakar n'en est pas encore là. Les premières doses fabriquées par l'Institut Pasteur seront accessibles début 2027. Car si la fabrication du vaccin a commencé, il faut encore faire les tests cliniques. Mais pour le Dr Marie-Angélique Sene, il y a urgence à fabriquer les vaccins sur le continent. « En dehors du vaccin covid, il y a beaucoup de vaccins difficiles d'accès, dont celui de la rougeole-rubéole. Il est principalement produit en Inde et on a eu pas mal d'épidémies dans différents pays, elles ont tué des dizaines de milliers d'enfants », dit-elle.L'Institut Pasteur compte donc aussi fabriquer des vaccins de type ARN-message contre le Covid-19 et travaille à créer un vaccin pour lutter contre la fièvre de la vallée du Rift, maladie spécifiquement africaine. Amadou Sall, virologue et directeur de l'Institut Pasteur se réjouit de cette évolution : « Il y a un peu plus de 100 ans, on a trouvé la fièvre jaune ici, pour moi, c'est ça la coopération réussie. »À ce jour, 5 à 8 millions de doses de vaccins contre la fièvre jaune sont produites chaque année par l'Institut Pasteur. Elles devraient être multipliées par six dans les prochaines années. Une fabrication sur le continent africain qui doit également aider à lutter contre la méfiance et l'hostilité grandissante face aux vaccins.À lire aussiMpox: l'Institut Pasteur de Dakar mobilise ses chercheurs pour éviter la propagation de la maladie

Grand reportage
« Le supplément du samedi » du 14 décembre 2024

Grand reportage

Play Episode Listen Later Dec 14, 2024 48:30


Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end nous emmène en première partie en Sierra Leone qui a vécu, il y a une dizaine d'années, une importante épidémie d'Ebola qui a fait plus de 11 000 victimes en Afrique de l'Ouest, dont 4 000 en Sierra Leone. Grâce à une campagne de vaccination, le pays est sorti du cauchemar... En deuxième partie, direction la Corée du Sud, où une communauté d'origine chinoise a du mal à s'intégrer. Souvent mal considérés, ces Chinois sont voués à des tâches ingrates, tels que des emplois dans des usines de batteries.  Sierra Leone : l'espoir face au spectre d'Ebola Il y a dix ans, la Sierra Leone vivait un cauchemar, balayée par l'une des épidémies les plus meurtrières de notre époque. Ebola a fauché plus de 11 000 vies en Afrique de l'Ouest, dont près de 4 000 en Sierra Leone, semant la terreur au-delà des frontières. Si le virus semble endormi, la résurgence de cas en Guinée en 2021 a ravivé les craintes. Aujourd'hui, alors qu'une campagne de vaccination préventive vise à protéger les travailleurs en première ligne, le souvenir de cette tragédie reste vif, porté par des survivants comme Daddy Hassan Kamara et Victoria Yillia, dont les récits résonnent encore. Entre mémoire collective et espoir scientifique, la Sierra Leone cherche à se relever, tout en veillant à ce que l'histoire ne se répète pas.Un Grand reportage de Christina Okello qui s'entretient avec Jacques Allix.Corée du Sud : ces Coréens venus de Chine, en mal d'intégrationLe gigantesque incendie dans une usine de batteries en Corée du Sud en juin 2024 a entraîné dans la mort une vingtaine d'ouvriers. Les victimes sont majoritairement des Chinois d'origine coréenne. Une communauté tout à fait particulière en Corée du Sud. Bien que Chinois sur leur passeport, on les catégorise globalement comme ethniquement Coréens et pourtant, ils sont marginalisés dans une société qui met l'accent sur l'homogénéité. Jugés non suffisamment coréens pour être intégrés, ils ont une image de criminels et sont relayés aux métiers difficiles et ingrats comme les usines de batteries.Un Grand reportage de Célio Fioretti qui s'entretient avec Jacques Allix. 

Ça va Beaucoup Mieux
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Grippe, Covid : pourquoi les vaccins ne vous attirent plus

Ça va Beaucoup Mieux

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 2:10


À deux semaines des fêtes de Noël, les autorités de santé appellent à nouveau les plus fragiles à se vacciner contre la grippe et le Covid. Depuis le démarrage de la campagne vaccinale, le 15 octobre, seuls 50% des plus fragiles ont reçu le vaccin grippe, et 12%, celui contre le Covid. On fait le point sur la situation et sur les raisons de ce désamour avec Agathe Landais, journaliste santé à RTL. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Agathe Landais du 10 décembre 2024.

RTL Matin
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Grippe, Covid : pourquoi les vaccins ne vous attirent plus

RTL Matin

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 2:10


À deux semaines des fêtes de Noël, les autorités de santé appellent à nouveau les plus fragiles à se vacciner contre la grippe et le Covid. Depuis le démarrage de la campagne vaccinale, le 15 octobre, seuls 50% des plus fragiles ont reçu le vaccin grippe, et 12%, celui contre le Covid. On fait le point sur la situation et sur les raisons de ce désamour avec Agathe Landais, journaliste santé à RTL. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Agathe Landais du 10 décembre 2024.

Grand reportage
Ebola en Sierra Leone : un vaccin pour panser les plaies

Grand reportage

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 19:30


Il y a dix ans, la Sierra Leone vivait un cauchemar, balayée par l'une des épidémies les plus meurtrières de notre époque. Ebola a fauché plus de 11 000 vies en Afrique de l'Ouest, dont près de 4 000 en Sierra Leone, semant la terreur au-delà des frontières. Si le virus semble endormi, la résurgence de cas en Guinée en 2021 a ravivé les craintes. Aujourd'hui, alors qu'une campagne de vaccination préventive vise à protéger les travailleurs en première ligne, le souvenir de cette tragédie reste vif, porté par des survivants comme Daddy Hassan Kamara et Victoria Yillia, dont les récits résonnent encore. Entre mémoire collective et espoir scientifique, la Sierra Leone cherche à se relever, tout en veillant à ce que l'histoire ne se répète pas. Dans l'arrière-cour d'une petite maison à Masiaka, petite ville nichée à une heure de Freetown, Daddy Hassan Kamara fait défiler les portraits de ses proches disparus. « Voici ma mère, elle a été la première infectée par le virus après un mauvais diagnostic du médecin », raconte ce survivant d'Ebola, le regard perdu dans ses souvenirs. Ignorant qu'elle souffrait d'Ebola, il l'a soignée à mains nues, sans protection, contractant le virus à son tour.« Un jour, des gens sont venus me voir. Ils m'ont dit : "Tu as perdu ton fils, ton père, ta belle-mère et ta femme." Ce mois de novembre, j'ai perdu neuf membres de ma famille. » Ces mots, Daddy Hassan les prononce avec une douleur contenue. Comme lui, des milliers d'autres Sierra-Léonais ont été fauchés par le virus ou ont vu leurs familles décimées.Vaccination préventive : une course contre-la-montre« Ce n'est qu'une question de temps avant que nous enregistrions une nouvelle épidémie d'Ebola », alerte le Dr Desmond Maada Kangbai, chargé de vaccination au sein du ministère de la Santé.Face à cette menace persistante, la Sierra Leone a lancé, le 30 novembre 2024, une campagne de vaccination préventive destinée aux soignants et travailleurs de première ligne. Avec le vaccin Ervebo, administré en une seule dose, les autorités espèrent éviter une répétition de la tragédie de 2014.« Les soignants sont le premier rempart contre Ebola. S'ils ne sont pas protégés, nous risquons de revivre l'enfer d'il y a dix ans », insiste le Dr Kangbai.La campagne, financée par l'Alliance mondiale des vaccins, Gavi, vise à vacciner 20 000 travailleurs de santé et autres acteurs communautaires. Destinée à couvrir les 16 districts du pays, elle bénéficie d'une logistique optimisée : bien qu'exigeant une conservation à -80°C au niveau national, le vaccin peut être stocké entre 2 et 8°C dans les districts, simplifiant ainsi sa distribution.À écouter aussiDix ans après Ebola, la Sierra Leone mise sur la vaccination préventive [1/2]Un hommage aux héros disparus« À Kailahun, j'ai perdu environ 40 de mes collègues », se souvient le Dr James Sylvester Spire, directeur de la surveillance électronique à l'Agence nationale de santé publique, créée après l'épidémie. Cet ancien chef médical régional du district de Kailahun a gardé intact le souvenir des premières heures de l'épidémie.« Lorsque le virus Ebola a commencé à sévir, personne ne voulait aller travailler à Kailahun. L'endroit était extrêmement silencieux ; si on laissait tomber une épingle, on pouvait l'entendre. Tout le monde avait fui les lieux, les gens s'étaient réfugiés dans la brousse ou ailleurs. Moi, j'étais souvent en contact avec les patients, car lors des supervisions, si vous voyez un patient malade, en tant que professionnel de santé, vous devez le soigner. Et c'est ainsi que la plupart des membres du personnel ont été infectés. »Plus loin, à Kenema, troisième plus grande ville de la Sierra-Leone, le docteur Donald Grant se tient devant une grande pierre tombale, sur un terrain poussiéreux. Les noms gravés racontent une tragédie collective : celle des travailleurs de santé tombés au front lors de l'épidémie.« Voici une liste de 40 agents de santé », indique l'ancien responsable médical du district de Kenema, en caressant la pierre du bout des doigts. « Mais ce n'est que pour Kenema. Le bilan national est bien plus lourd. »Sa voix se brise un instant. « Tous, je les connaissais tous. Chaque nom ici représente un collègue, un ami, une perte irréparable. »En 2014, tout commence lorsqu'un individu infecté en Guinée traverse la frontière pour consulter un guérisseur traditionnel en Sierra Leone. La guérisseuse succombe rapidement au virus et ses funérailles, réunissant des centaines de personnes, deviennent un foyer de contagion incontrôlable. À partir de là, la diffusion de la maladie explose.À écouter aussiSierra Leone : reconstruire la santé dix ans après Ebola [2/2]Victoria Yillia : une survivante marquée à jamaisVictoria Yillia est devenue, bien malgré elle, un symbole de la lutte contre Ebola. Elle était le « premier cas confirmé » de la Sierra Leone, diagnostiqué dans le district de Kailahun en 2014.« J'ai attrapé la maladie d'une femme enceinte soignée par la même infirmière qui s'occupait de moi », raconte-t-elle. Transférée à l'hôpital de Kenema, pendant des semaines, Victoria a traversé un véritable calvaire : la fièvre, les douleurs insoutenables et surtout la peur. « Chaque fois qu'on essayait de poser une aiguille pour une perfusion, je saignais abondamment. »Elle a survécu, mais au prix de terribles pertes. « Quand je suis sortie de l'hôpital, mes parents étaient morts. Je ne trouvais que leurs tombes. J'ai perdu environ 21 proches à cause d'Ebola. »Le legs du Dr Sheikh Umar KhanÀ cette époque, la riposte contre Ebola est dirigée par le Dr Sheikh Umar Khan, expert en fièvres hémorragiques et seul virologue du pays.Écartant le diagnostic de la fièvre de Lassa, le Dr Khan met en place des protocoles stricts pour tenter de contenir la maladie. Mais la pression sur le personnel est immense. Beaucoup tombent malades, lui y compris.Le 29 juin 2014, le Dr Khan succombe au virus, laissant un pays en deuil.« C'était comme perdre un général en pleine bataille, se remémore le Dr Donald Grant. Tout le monde était désemparé, pensant que la guerre était déjà perdue. »Une résilience fragileDix ans après, les échos de la tragédie d'Ebola résonnent toujours dans les esprits. Si des progrès ont été réalisés, comme l'établissement de l'Agence nationale de santé publique et la modernisation des infrastructures sanitaires, beaucoup restent à faire.« L'assainissement reste un problème. Les choses les plus basiques n'ont pas encore été réglées. Avoir de l'eau courante relève encore du rêve pour beaucoup. Si vous ne vous attaquez pas à l'assainissement, les maladies comme Ebola continueront d'émerger », avertit le journaliste Umaru Fofana.Pourtant, l'espoir persiste. « Le Dr Khan m'a enseigné à toujours servir l'humanité, quelles que soient les circonstances, conclut le Dr Grant. Nous devons transmettre cette ardeur aux générations futures pour qu'elles poursuivent ce combat. »À écouter aussiEbola : le virus est-il encore une menace ?Ce reportage a été réalisé avec le concours de l'Alliance mondiale des vaccins, Gavi, financée par la fondation Bill and Melinda Gates. 

Biomécanique
#258 Dr. Stéphane Résimont - Effondrement hormonal : nos corps en dangers

Biomécanique

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 120:50


Stéphane Résimont est docteur en médecine fonctionnelle et anti-âge, spécialisé en ORL/chirurgie cervico-faciale, et pionnier dans l'optimisation de la santé et de la longévité.https://www.docteur-resimont.be/https://www.instagram.com/docteur_resimont/?hl=en/https://www.youtube.com/@docteurresimont1961*Chapitres*0:25 Introduction4:16 Approche Holistique de la Santé6:45 Importance de la Nutrition7:47 Perturbateurs Endocriniens et Santé10:01 Rôle de la Testostérone12:25 Comportements Genrés et Hormones15:39 Dysfonctionnement des Récepteurs18:14 Optimisation de la Testostérone22:12 Essai Thérapeutique et Évaluation Clinique25:35 Vaccins et Effets Secondaires29:40 Traitement du Covid et Médecine Préventive35:56 Impacts à Long Terme de la Vaccination39:36 Médecine Fonctionnelle et Pratiques Médicales43:22 Normes et Références en Médecine46:13 L'Évolution des Connaissances Médicales52:53 La DHEA et son Rôle55:01 Avenir de la Médecine Fonctionnelle1:00:03 Différences entre médecine fonctionnelle et anti-âge1:02:56 Vieillissement et hormones1:11:15 Évolution et espérance de vie1:14:59 Impact des hormones et santé1:27:55 Perturbateurs endocriniens et environnement1:32:45 Dopage et santé des sportifs1:37:00 Risques des anabolisants1:40:41 Théories sur le vieillissement et hormones1:57:43 Conclusion et recommandations de lecture*Épisodes Recommandés*#225 Vincent Foulonneau - Comment ralentir le vieillissement#230 Denis Riché - Pourquoi notre espérance de vie diminue ?#244 Dr. Georges Mouton - Les vraies causes des maladies modernes#256 Dr. Louis Fouché - Le plus grand scandale sanitaire du 21e siècle ?*Biomécanique Liens et Site*Instagram : https://www.instagram.com/biomecaniquepodcast/Facebook : https://www.facebook.com/BiomecaniquePodcast/Tiktok : https://www.tiktok.com/@biomecaniquepodcastDiscord : https://discord.gg/EAe8aKRJ9NSite : https://biomecaniquepodcast.comNewsletter : https://biomecaniquepodcast.com/Lettre Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage Afrique
À Madagascar, des drones cargo permettent de livrer des médicaments dans les régions isolées de l'île

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 8, 2024 2:25


C'est un segment ultra innovant et dans lequel Madagascar fait figure de pionnier sur le continent. Vaccins, tests de dépistage du paludisme ou du VIH, médicaments, contraceptifs. Aujourd'hui, tous ces intrants de santé peuvent être livrés dans les zones les plus inaccessibles de l'île, par drone cargo. Des engins volants conçus et fabriqués à Madagascar même et qui sont utilisés quotidiennement et exclusivement pour la livraison de médicaments. De notre correspondante à Antananarivo,« Zone de décollage, dégagée. Prêt à décoller. Décollage accordé ! ». En à peine quelques secondes, l'immense oiseau blanc en carbone s'élève à la verticale et disparait du champ de vision des équipes du site d'opération de Tamatave. Direction, le centre de santé de base enclavé de Sahambala, à 50 km à vol d'oiseau.Les yeux rivés sur son écran de contrôle, Nambiniaina Rakotondrasolo, le pilote du drone cargo explique : « On va livrer des médicaments et aussi des vaccins contre la polio, avec tous les accessoires nécessaires pour procéder à la vaccination. D'ici 45 minutes, le drone arrivera à destination. Et il va larguer le colis à 120m d'altitude, avec un parachute qui se déploiera automatiquement. »Au sol, le chef du centre de santé qui a été prévenu par téléphone au moment de l'envol pourra alors réceptionner le colis. Puis Nambiniaina pilotera alors le drone pour le faire revenir au point de décollage et enchainer avec un second vol pour livrer cette fois des préservatifs et des pilules contraceptives.L'engin volant peut transporter jusqu'à 10 kilos de charge et se déplace dans un rayon d'action jusqu'à 120 km de sa base. « C'est sa capacité à effectuer des largages dans des endroits très reculés qui a convaincu l'ONG PSI en 2019 », explique Daniel Crapper, le représentant résident de l'organisation américaine à Madagascar. « Il y a des endroits où le chef d'un centre de santé, s'il veut retourner au niveau du district pour récupérer des intrants de santé, peut marcher trois jours aller et trois jours retour. Et pendant cette période, le centre de santé reste fermé et la population est coupée de toute possibilité de soins. Nous, avec un drone, on peut faire le va-et-vient en 1h et livrer toute une gamme de produits qui sont vraiment essentiels pour la communauté. »Depuis, l'ONG PSI a ordonné plus de 6 000 livraisons d'intrants à travers l'île, de quoi élargir la chaîne d'approvisionnement du ministère de la Santé. Avec un bémol, toutefois : « C'est vrai qu'aujourd'hui le coût d'un vol reste assez élevé. Parfois ça peut même dépasser la valeur des médicaments qu'on transporte. Mais notre rêve, c'est vraiment d'étendre les activités et c'est comme ça qu'on peut arriver à obtenir des économies d'échelle et réduire d'une façon significative le prix d'un vol. »Aller là où personne ne va plusSi le drone ne peut résoudre à lui seul les immenses problèmes d'approvisionnement en matière d'intrants disponibles dans le pays, il permet cependant, souligne Pierre-Loup Lesage, PDG d'AerialMetric - l'entreprise qui fabrique et vend les services de livraisons par drone -, d'aller là où personne ne va plus. « L'idée, ce n'est pas de remplacer tous les 4x4 ou les camions de Madagascar par des drones. L'idée, c'est que le drone vient permettre de faire de la logistique et d'apporter des médicaments là où il n'y a pas de route, et là où il n'y aura jamais de route probablement, précise le PDG. Même si on ne transporte que quelques kilos à chaque fois, on est capable de combler les trous dans la raquette, très rapidement. Et de sauver des vies, là où des gens n'auraient pas eu de médicaments. Donc c'est ça l'idée : apporter un service même à 100 dollars le vol, qui peut paraitre cher, mais que personne d'autre ne peut proposer. »Prochain objectif : développer la collecte d'échantillons, de sang par exemple. Un défi technologique et humain qui implique un atterrissage à distance dans des zones si enclavées que la vue même d'un drone pourrait effrayer la population.À lire aussiMadagascar: une start-up se spécialise dans la fabrication de drones cargo

blckbx.tv
blckbx today: Poetin's nieuwe wapen | 'Klimaatschade' fonds COP29 | Verband vaccins & kanker

blckbx.tv

Play Episode Listen Later Nov 26, 2024 87:56


De volledige uitzending van blckbx today #352, maandag 25 november 2024, is te bekijken via: https://www.blckbx.tv/livestreams/blckbx-today-2024-11-25Maandag 25 november 2024- Poetin waarschuwt het Westen met nieuwe hypersonische raket- COP29: 'Klimaatschade' fonds goedgekeurd, wat nu?- Vaccinatieschade en kanker: Is er een verband?Aan de desk: Politicoloog Kees van der Pijl, blckbx-journalist Laura Oorschot en moleculair bioloog en publicist Maarten Fornerod. Belt in: Ronald van Amelrooij, auteur van de CO2 mist. Presentatie: Erwin TaamsSupport the showWaardeer je deze video('s)? Like deze video, abonneer je op ons kanaal en steun de onafhankelijke journalistiek van blckbx met een donatieWil je op de hoogte blijven?Telegram - https://t.me/blckbxtvTwitter - / blckbxnews Facebook - / blckbx.tv Instagram - ...

Beter | BNR
Nederland is gierig met vaccins

Beter | BNR

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 20:24


Engeland had 15 jaar eerder een vaccin voor het rota-virus dan Nederland. 15 jaar! Waar dat verschil door komt, dat bespreekt Nina van den Dungen met gezondheidseconoom Maarten Postma (RUG) en infectioloog Eric van Gorp (Erasmus MC).  Is Nederland voorzichtig of gierig? 'Toch wel gierig', zegt Postma. 'Maar ook voorzichtig, eigenlijk is beide een goede samenvatting'.  Nederland wil namelijk uit en te na weten of een vaccin veilig en effectief is. Daarbij varen wij op andere landen die vaccins veel sneller invoeren. Want zo hebben we niet alleen kennis uit de klinische setting, maar ook real life data. Oftewel wij voeren het pas in als andere landen al hebben bewezen wat een vaccin in de werkelijkheid te weeg brengt bij de bevolking.  En levert dat ons iets op? 'Erg weinig', stelt Postma wederom. Hij rekent voor dat elke euro die je als land uitgeeft aan een vaccin negen euro oplevert.  Ouderen mensen Een laatste argument dan: veel vaccins zijn bedoeld voor ouderen, 65-plussers. Die werken vaak niet meer. Hoeveel levert vaccineren daar dan nog op? En als het over echt oude mensen gaat, 80-plussers, zou je ook kunnen zeggen: je moet toch érgens aan dood gaan?  'Natuurlijk'. Van Gorp is realistisch. 'Het gaat erom hoe ga je dood?' Met een vaccinatie wordt de kans kleiner dat je na een infectie heel lang doorleeft met een verminderde kwaliteit van leven. Donderdag 21 november debatteert de Tweede Kamercommisise voor Volksgezondheid, Welzijn en Sport over vaccins en breder over medische preventie. Zou zij ook een heldere kosten-baten analyse maken? See omnystudio.com/listener for privacy information.

C dans l'air
Pr Anne-Claude Crémieux - Vaccins: les français méfiants depuis le Covid?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 17, 2024 10:26


C dans l'air l'invitée du 16 novembre : Pr Anne-Claude Crémieux, infectiologue et présidente de la Commission technique des vaccinations à la Haute Autorité de Santé (HAS)La campagne saisonnière de vaccination contre la grippe a débuté il y a un mois. 5,9 millions de vaccins ont été délivrés par les pharmacies depuis le début de cette campagne, contre 6,7 millions à la même période l'année dernière, selon les données IQVIA Pharmastat, citées par Le Parisien. La vaccination contre la grippe accuse donc un retard certain, alors même que la vaccination le même jour contre le Covid-19 est conseillée. La vaccination contre la grippe saisonnière, qui se déroule jusqu'au 31 janvier, est conseillée pour les personnes âgées de 65 ans et plus, et les publics à risques, comme les femmes enceintes ou les personnes souffrant d'obésité. Elle est aussi recommandée aux professionnels de santé, ou aux personnes en contact avec des nourrissons et des jeunes enfants.Si les Français sont favorables à plus de 80% aux vaccins, ils ne se font pas forcément vacciner lorsqu'ils y sont invités, même lorsque le vaccin est pris en charge à 100%. Ils sont aussi 2% à être totalement antivax. La défiance vis-à-vis du vaccin est de plus en plus constatée chez les jeunes parents, alors même que 11 vaccins sont désormais obligatoires pour les 0-2 ans.Le Pr. Anne-Claude Crémieux, infectiologue, et présidente de la Commission technique des vaccinations à la Haute Autorité de Santé, analysera avec nous le rapport des Francais aux vaccins. Pourquoi la vaccination contre la grippe et le Covid-19 accuse un retard cette année, alors que la pandémie de Covid-19 aurait pu sensibiliser les Français les plus fragiles aux risques liés aux maladies infectieuses ? Elle donnera également son point de vue sur la tendance antivax, qui est très minoritaire mais active sur les réseaux sociaux, et dans le domaine de l'édition. Le président Donald Trump a d'ailleurs annoncé la nomination de Robert F. Kennedy, un antivax, au poste de ministre de la Santé. Un choix qui suscite une vague de réactions à travers le monde.

Les informés de France Info
Un Kennedy au sommet des Etats-Unis: Robert Kennedy Junior a été promu au poste de ministre de la Santé dans l'équipe de Donald Trump. Le neveu du président assassiné, anti vaccins et complotistes, qui est le nouveau ministre de la santé de Trump

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Nov 15, 2024 12:05


durée : 00:12:05 - Un Kennedy au sommet des Etats-Unis: Robert Kennedy Junior a été promu au poste de ministre de la Santé dans l'équipe de Donald Trump. Le neveu du président assassiné, anti vaccins et complotistes, qui est le nouveau ministre de la santé de Trump ?

blckbx.tv
blckbx today: Hoe kon 7 oktober gebeuren? | Grens biometrische data EU | Japan's nieuwe mRNA vaccins

blckbx.tv

Play Episode Listen Later Oct 9, 2024 74:09


De volledige uitzending van blckbx today #338, maandag 7 oktober 2024, is te bekijken via: https://www.blckbx.tv/livestreams/blckbx-today-2024-10-07Maandag 7 oktober 2024– Hoe heeft 7 oktober plaats kunnen vinden? – Biometrische gegevens verplicht bij bezoek aan Schengenlanden – Japanse mRNA vaccins met snellere eiwitspikes Gasten: auteur en journalist Ab Gietelink, blckbx-journaliste Laura Oorschot en emeritus hoogleraar Pierre Capel.Presentatie: Erwin TaamsSupport the showWaardeer je deze video('s)? Like deze video, abonneer je op ons kanaal en steun de onafhankelijke journalistiek van blckbx met een donatieWil je op de hoogte blijven?Telegram - https://t.me/blckbxtvTwitter - / blckbxnews Facebook - / blckbx.tv Instagram - ...

Beurswatch | BNR
JIJ bent de reden dat BP duurzaamheid haat

Beurswatch | BNR

Play Episode Listen Later Oct 7, 2024 21:50


BP was ooit van plan om de olie- en gasproductie in de komende jaren met 40 procent te verlagen. Maar van dat plan is nu niks meer over. Sterker nog: het bedrijf gaat investeren in nieuwe olie- en gasvelden. Volgens BP is hun beurskoers dramatisch achtergebleven en is het daarom hard nodig om te productie toch weer op te schroeven.  BP wil wél nog steeds klimaatneutraal zijn tegen 2050. Maar of dat ambitieuze doel ook stand houdt, dat hoor je in deze aflevering. Daarin hebben we het ook over Shell. Daar vallen geen duurzaamheidsdoelen meer te sneuvelen, want dat deden ze al. Maar daar waarschuwen ze beleggers wel voor een tegenvaller bij de cijfers later deze maand: de marge op hun olieraffinaderijen is flink gekrompen. We kijken ook nog naar de AEX. Dat doen we iedere dag maar nu even extra kritisch, want het is de enige beurs in Europa die nog steeds niet hersteld is van de correcties afgelopen zomer. Terwijl bedrijven als Philips, Adyen en Prosus nog proberen de index omhoog te duwen, zijn het de chip-aandelen die er een potje van maken. Die daalden in het derde kwartaal tot wel 30 procent.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Ça va Beaucoup Mieux
INFO OU INTOX - Les vaccins sont utiles contre la coqueluche

Ça va Beaucoup Mieux

Play Episode Listen Later Sep 21, 2024 1:28


Face à la recrudescence de coqueluche, la Haute Autorité de Santé, renforce les recommandations vaccinales ! Mais est-ce bien utile ? C'est "le vrai ou faux ?" de la semaine ! Tous les samedis, retrouvez Flavie Flament en compagnie de Jimmy Mohamed dans l'émission "Ça va beaucoup mieux", votre magazine santé et bien-être.

Priorité santé
Vaccination et maladies infantiles

Priorité santé

Play Episode Listen Later Sep 9, 2024 48:30


En 2023, l'OMS et l'Unicef constataient une stagnation de la couverture vaccinale infantile dans le monde, entraînant une recrudescence de certaines maladies, comme la rougeole. Pourtant, les jeunes enfants sont davantage exposés aux risques de complications de ces maladies, la majeure partie des décès liés à la rougeole recensés en 2022, concernaient ainsi des enfants de moins de 5 ans.  Pourquoi le vaccin reste un moyen de prévention essentiel contre les maladies infantiles ? Quelles sont les barrières à cette vaccination ? Comment mieux sensibiliser et approvisionner les populations ?  Dr Mamady Traore, responsable du Pôle de réponses aux épidémies et référent vaccination pour Médecins sans frontières. Pr Madeleine Folquet Amorissani, chef de service de pédiatrie du CHU de Cocody à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Chef du département Mère Enfant à l'Unité de formation et de recherche (UFR) des Sciences médicales de l'Université Université Félix Houphouët-Boigny. Présidente de la Société ivoirienne de pédiatrie.  Dr Nicolas Winter, praticien hospitalier aux Urgences pédiatriques du Centre hospitalier de Valenciennes en France et auteur du livre Le bisou magique existe-t-il ? Un guide pour trier le vrai du faux en pédiatrie, aux éditions First. Sur les réseaux sociaux, il anime la page To be or not toubib dédiée à l'éducation pédiatrique ► En fin d'émission, nous parlons du 7e congrès de la Société ivoirienne d'hématologie-immunologie oncologie-transfusion sanguine qui se tiendra du 11 au 13 septembre à Bassam, en Côte d'Ivoire et qui abordera les avancées diagnostiques et thérapeutiques. Interview du Pr Liliane Kouabla Siransy, maitre de conférences agrégée en immunologie-allergologie à l'UFR Sciences médicales de l'Université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan. Présidente de la SIHIO-TS. Coordinatrice nationale des laboratoires des centres de transfusion de Côte d'Ivoire. Programmation musicale :► Marina P, Dumis9ne – Everything► Yüma – Elli Fet 

Priorité santé
Vaccination et maladies infantiles

Priorité santé

Play Episode Listen Later Sep 9, 2024 48:30


En 2023, l'OMS et l'Unicef constataient une stagnation de la couverture vaccinale infantile dans le monde, entraînant une recrudescence de certaines maladies, comme la rougeole. Pourtant, les jeunes enfants sont davantage exposés aux risques de complications de ces maladies, la majeure partie des décès liés à la rougeole recensés en 2022, concernaient ainsi des enfants de moins de 5 ans.  Pourquoi le vaccin reste un moyen de prévention essentiel contre les maladies infantiles ? Quelles sont les barrières à cette vaccination ? Comment mieux sensibiliser et approvisionner les populations ?  Dr Mamady Traore, responsable du Pôle de réponses aux épidémies et référent vaccination pour Médecins sans frontières. Pr Madeleine Folquet Amorissani, chef de service de pédiatrie du CHU de Cocody à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Chef du département Mère Enfant à l'Unité de formation et de recherche (UFR) des Sciences médicales de l'Université Université Félix Houphouët-Boigny. Présidente de la Société ivoirienne de pédiatrie.  Dr Nicolas Winter, praticien hospitalier aux Urgences pédiatriques du Centre hospitalier de Valenciennes en France et auteur du livre Le bisou magique existe-t-il ? Un guide pour trier le vrai du faux en pédiatrie, aux éditions First. Sur les réseaux sociaux, il anime la page To be or not toubib dédiée à l'éducation pédiatrique ► En fin d'émission, nous parlons du 7e congrès de la Société ivoirienne d'hématologie-immunologie oncologie-transfusion sanguine qui se tiendra du 11 au 13 septembre à Bassam, en Côte d'Ivoire et qui abordera les avancées diagnostiques et thérapeutiques. Interview du Pr Liliane Kouabla Siransy, maitre de conférences agrégée en immunologie-allergologie à l'UFR Sciences médicales de l'Université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan. Présidente de la SIHIO-TS. Coordinatrice nationale des laboratoires des centres de transfusion de Côte d'Ivoire. Programmation musicale :► Marina P, Dumis9ne – Everything► Yüma – Elli Fet 

Ça va Beaucoup Mieux
VACCINS - Qui doit se faire vacciner ou revacciner ?

Ça va Beaucoup Mieux

Play Episode Listen Later Sep 9, 2024 3:00


La rentrée scolaire est peut-être le moment idéal pour refaire un point sur ses vaccins. Petite piqûre de rappel pour savoir qui doit se faire vacciner ou revacciner ? Ecoutez Ca va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed avec Jimmy Mohamed du 09 septembre 2024.

Journal de l'Afrique
MPOX : premières livraison de vaccins en RDC

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Sep 5, 2024 14:03


Dans cette édition, nous revenons sur l'acheminement de 100 000 doses de vaccins contre le Mpox en RDC. Il s'agit de la première livraison depuis le début de l'épidémie. Le pays doit recevoir 200 000 doses au total. Nous avons eu par téléphone le Dr. Abdou Salam Gueye, directeur régional des urgences à l'OMS.

Journal en français facile
Sahara : pluies torrentielles / RDC : les vaccins contre le Mpox arrivent / R-U : Keir Starmer s'excuse...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Sep 4, 2024 10:00


Le Journal en français facile du mercredi 4 septembre 2024, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Avm6.A

Invité Afrique
Jean Kaseya, directeur général d'Africa CDC: «les premières doses des vaccins vont atterrir la semaine prochaine»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 29, 2024 4:38


Quinze jours après que l'OMS a déclenché son plus haut degré d'alerte face à la résurgence des cas de Mpox en Afrique, l'épidémie continue de progresser sur le continent. La RDC reste de loin le pays le plus touché, mais l'épidémie s'étend. Treize autres pays présentent désormais des cas suspects. Plusieurs États ont promis d'envoyer prochainement des doses de vaccins. Quand ces doses seront-elles livrées ? En quelles quantités ? À quand la fabrication de vaccins sur le continent ? Entretien avec Jean Kaseya, le directeur général d'Africa CDC, le Centre de contrôle et de prévention des maladies de l'Union africaine. RFI : le Mpox poursuit sa progression sur le continent. L'Africa CDC fait état de près de 23 000 cas suspects détectés au 27 août et plus de 600 décès. Est-ce que ces chiffres vous inquiètent ?Jean Kaseya : Ces chiffres m'inquiètent au plus haut point, puisque ça prouve ce que nous disons tous les jours, que nous avons plusieurs épidémies Mpox en une. Pourquoi nous le disons, c'est puisque nous avons quatre variants qui se côtoient aujourd'hui en Afrique et qui ont des épidémiologies différentes, qui ont des symptomatologies qui se présentent dans les différents groupes d'âges et qui aujourd'hui n'ont pas suffisamment de recul en termes de médicaments et en termes de mesures applicables comme les vaccins et autres. Donc, ça m'inquiète au plus haut point.La RDC reste, et de loin, le pays le plus touché. Est-ce que c'est là où la progression est la plus forte ces derniers jours ?La progression est forte dans plusieurs provinces de la RDC. Mais la progression, on la voit aussi dans d'autres pays africains comme le Burundi, comme la RCA. Mais je dois dire, ce qui m'inquiète le plus, c'est que nous avons des pays qui sont non endémiques, mais qui ont rapporté pour la première fois des cas de Mpox comme le Gabon. Le ministre de la Sierra Leone m'informait aujourd'hui [mercredi 28 août], qu'il a eu un cas qui lui semble patent pour Mpox. Mais comme la Sierra Leone n'a pas de laboratoire fiable, il ne peut pas confirmer cela. Et donc moi, je considère, sur base de la symptomatologie, sur base de l'histoire de la maladie, que c'est un cas suspect de Mpox. Et je classe la Sierra Leone maintenant comme un nouveau pays qui est le 14e pays affecté par le Mpox.Plusieurs pays ont promis d'envoyer des doses de vaccin au continent. Quelle sera l'ampleur de ces livraisons ?Je voudrais reconnaître l'effort que les partenaires d'Afrique ont fait pour jusque-là, sécuriser les vaccins que nous avons. Nous avons d'abord, avec la branche humanitaire de l'Union européenne, sécurisé 215 000 doses. À cela s'ajoute les 100 000 doses que la France vient de donner par le même mécanisme de l'Union européenne et Africa CDC. En plus, nous avons 100 000 doses qui viendront de l'Allemagne. Mais je dois saluer le gouvernement espagnol, puisque l'Espagne donne 500 000 doses de vaccins. À ces doses-là qui représentent à peu près 1 million de doses, nous savons que Gavi est aussi en train de travailler avec nous, pour disponibiliser autour de 500 000 doses. Donc, nous pouvons dire qu'à ce stade, nous partons déjà autour de 1,5 ou 1,6 million de doses, sur les 10 millions que nous voulons avoir.À quelle échéance ces doses seront-elles livrées au continent ?Les vaccins que nous avons déjà eus, par exemple les 215 000 doses sont disponibles même à partir de demain. Ce que nous voulons, avant que les vaccins arrivent aux pays, c'est qu'il y ait une bonne logistique qui soit en place. Donc, je suis en train d'espérer et de travailler, comme je pense que le niveau de préparation des pays est assez optimal, que la semaine prochaine, les premières doses des vaccins sécurisés par Africa CDC, dans le mécanisme que nous avons mis en place, vont atterrir dans les différents pays.Mais combien de doses, précisément, pourraient arriver dès la semaine prochaine ?Nous allons commencer graduellement, et ça, c'est important que la population africaine le sache : nous avons décidé, à Africa CDC, de faire en sorte que ce qui s'est passé avec le Covid n'arrive plus. Donc, l'accord que nous avons avec la société Bavarian Nordic qui produit ces vaccins, c'est que cette année, ils vont nous donner 3 millions de doses. Mais ils vont aussi faire le transfert des technologies pour que ce vaccin soit produit sur le continent africain, par les compagnies africaines. Nous avons déjà un accord et nous avons déjà sélectionné la société qui pourrait faire cette production. Nous pensons que d'ici février, la société africaine qui a été sélectionnée sera en mesure d'inonder le marché africain avec le vaccin Mpox.À lire aussiMpox: pourquoi l'accès aux vaccins est problématique en Afrique?

Les matins
Préjugé ! "Les vaccins sont dangereux pour la santé"

Les matins

Play Episode Listen Later Aug 13, 2024 3:32


durée : 00:03:32 - Histoire des préjugés - par : Jeanne Guérout, Xavier Mauduit - "Le vaccin est dangereux", "il provoque d'autres maladies", "on ne sait pas ce qu'il y a là-dedans"... Depuis les débuts de la vaccination au 18e siècle, les arguments à son encontre ne varient pas.

Le Cours de l'histoire
Préjugé ! "Les vaccins sont dangereux pour la santé"

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Aug 13, 2024 3:32


durée : 00:03:32 - Histoire des préjugés - par : Jeanne Guérout, Xavier Mauduit - "Le vaccin est dangereux", "il provoque d'autres maladies", "on ne sait pas ce qu'il y a là-dedans"... Depuis les débuts de la vaccination au 18e siècle, les arguments à son encontre ne varient pas.

Choses à Savoir SANTE
Quels sont les vaccins indispensables pour voyager à l'étranger ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Jul 30, 2024 2:58


Mieux vaut se renseigner à l'avance lorsque l'on part à l'étranger : certains pays exigent que les voyageurs soient vaccinés contre certaines maladies endémiques ou particulièrement graves et contagieuses. L'entrée dans le pays peut être refusée au voyageur si le carnet de vaccination n'est pas à jour.Les vaccins obligatoires pour tous les individus en FranceL'obligation vaccinale en France a été mise à jour le 1er juin 2018, et comporte désormais 11 vaccins indispensables, prodigués aux enfants dès le plus jeune âge. Il est important de s'assurer que les rappels ont bien été faits avant de voyager, que ce soit sur le territoire français ou ailleurs, car cette obligation a une valeur légale. Bien que la ministre de la Santé Agnès Buzyn ait retiré en 2017 les sanctions pénales prévues en cas de manquement, chaque individu français doit agir en cause et conscience pour le bien commun. En cas de voyage dans un pays où l'une des maladies concernées est présente, les risques de contracter la maladie ou de la propager sont bien réels si le calendrier vaccinal n'est pas tenu à jour.Les vaccins obligatoires en France sont : la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'haemophilus influenzae de type B, l'hépatite B, le pneumocoque, la méningocoque C, la rougeole, les oreillons et la rubéole. Le vaccin contre la grippe saisonnière peut être conseillé aux personnes à risque.Les vaccins essentiels pour voyager dans certains paysDans certains pays d'Afrique et d'Amérique du Sud, le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire. C'est notamment le cas du Brésil, du Ghana, du Gabon et de l'Argentine. Le vaccin doit être refait tous les 10 ans.Le vaccin contre l'encéphalite japonaise est fortement conseillé pour les voyageurs qui se rendent dans des pays d'Asie ou d'Europe dans lesquels le virus circule. En 2022, la liste comprenait par exemple le Japon, l'Australie, la Chine et la Corée du Sud. Les risques de transmission sont accrus en zone rurale.Le vaccin contre l'encéphalite à tiques concerne quant à lui les voyageurs passant par l'Allemagne, l'Autriche, la Pologne et d'autres pays d'Europe de l'Est.Pour finir, les vaccins contre l'hépatite A et l'hépatite B sont souvent recommandés aux voyageurs internationaux, notamment en cas de séjour dans des régions où l'eau et la nourriture seraient susceptible d'être contaminés.Les recommandations vaccinales varient selon les périodesÀ l'instar du Covid-19 qui a entrainé des conditions vaccinales très strictes pour les voyageurs se rendant dans la plupart des pays touchés, les épidémies et maladies fluctuantes font évoluer les recommandations vaccinales. Des cas de rage dans une région vont par exemple induire la recommandation du vaccin rabique aux voyageurs qui se rendent sur place.Pour savoir quels vaccins effectuer avant un départ à l'étranger, vous pouvez consulter le site du Centre de contrôle et de prévention des maladies, celui de l'OMS ou celui de vaccination-info-service qui vous renseigneront sur les dispositions en vigueur lors de votre voyage. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Invité Afrique
Mokgweetsi Masisi, président du Botswana: «Nous allons tout faire pour devenir des fabricants de vaccins, responsables et éthiques»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 21, 2024 5:07


Plus d'un milliard de dollars pour accélérer la production de vaccins sur le continent africain. C'est l'une des annonces faites le jeudi 20 juin lors du Forum mondial pour la souveraineté et l'innovation vaccinales, qui s'est tenu à Paris. Un sommet pour faciliter l'accès aux vaccins et à leur fabrication en Afrique. La question de l'inégalité de l'accès aux vaccins sur le continent africain a été mise en lumière par la pandémie de Covid-19. Aujourd'hui encore, le continent est confronté à une pénurie de vaccins contre le choléra. Parmi les présidents africains présents lors de ce sommet : celui du Sénégal, du Ghana, du Rwanda et du Botswana. Le président botswanais Mokgweetsi Masisi est notre invité ce matin. Il répond aux questions d'Alexandra Brangeon. RFI : Monsieur le Président, pourquoi cette question de fabrication locale de vaccin est importante pour le Botswana ?Mokgweetsi Masisi : C'est très important pour le Botswana de pouvoir accéder à des vaccins et de pouvoir les produire localement, parce que notre expérience avec la dernière pandémie de Covid a été très brutale. Notre pays a une économie sobre, frugale. Nous avions mis de l'argent de côté, en cas de besoin, et nous avons été obligés d'utiliser ces économies pour essayer de sauver notre population, en achetant des vaccins, tout en essayant d'en obtenir via l'organisation vaccinale Gavi. Nous avons payé, attendu, attendu encore et les gens sont morts. C'était un moment très difficile. Les pays producteurs, où les vaccins étaient manufacturés, ont sauté sur les vaccins, en en prenant parfois trois fois plus que ce dont ils avaient réellement besoin. Alors que nous – qui avions payé pour ces vaccins – nous regardions nos citoyens tomber comme des mouches. Nous avons alors décidé que, quoi qu'il arrive, nous allions tout faire pour devenir des fabricants de vaccin, responsables et éthiques... Pas seulement pour nous même, mais une consommation globale. Car jamais, jamais, nous n'aurons une politique comme celle adoptée par les fabricants de vaccins à l'époque.De quoi avez-vous besoin aujourd'hui pour y arriver ?Nous avons besoin de technologie, de finance, de capital intellectuel. Nous devons discuter de partenariat, d'assistance. C'est pour cela que je suis ici, en France, pour demander de l'aide et rencontrer des gens qui souhaitent la même chose.Avez-vous eu des discussions avec la France pour obtenir des financements et trouver des financements ? Vous savez, l'argent n'est pas le principal obstacle. Là où il y a une volonté et un projet solide, les financements suivent. L'obstacle principal est d'obtenir l'accord de ceux qui ont la technologie, les brevets. Nous ne demandons que ces brevets soient levés, nous demandons des partenariats. Mais au-delà de tout cela, nous voulons pouvoir construire nos propres capacités de production.Alors parlons de diamants : votre le pays en est le premier producteur africain. Récemment, avec l'Angola et la Namibie, vous avez écrit aux leaders du G7 pour protester contre une de leurs décisions, qui vous oblige à envoyer vos diamants – exportés dans ces pays du G7 – en Belgique pour y être certifiés. Une mesure imposée par ces leaders du G7 pour limiter l'importation de diamants russes, qu'ils estiment financer le conflit en Ukraine. Est-ce une mauvaise mesure ?C'est une décision scandaleuse, car nous n'avons pas été consultés et c'est une attaque envers notre souveraineté. Aussi louable soit la raison derrière cette décision, elle se fait au détriment de notre développement. Elle fait du mal à notre économie. Et nous ne pouvons prendre le risque qu'elle ait un impact sur l'emploi dans notre pays, sur le financement de nos systèmes de santé, d'éducation, d'infrastructure. Toute notre économie est affectée par cette décision. Je suis certain que ce n'était pas leur intention, mais cette décision fait du mal à des économies comme la nôtre, et nous sommes extrêmement dépendants de notre production de diamants.Parlons d'environnement : vous avez environ 130 000 éléphants sur votre territoire. Et récemment vous vous êtes énervé contre l'Allemagne qui critiquait votre politique de chasse aux trophées. Vous avez même menacé Berlin de leur envoyer 20 000 éléphants. Pourquoi ?Une fois de plus, je voudrais plaider auprès de nos amis européens, qu'ils prennent le temps de nous parler, de comprendre nos préoccupations. Mais, surtout, plus que tout, j'aimerais qu'ils acceptent une fois pour toute que nous sommes un pays indépendant et souverain, responsable de la façon dont nous gérons nos ressources, notre environnement. Le Botswana a le nombre le plus élevé d'éléphants au monde : nous sommes leaders dans la conservation de la faune et de la flore, y compris des espèces sauvages. Nous avons mis de côté un pourcentage conséquent de notre territoire pour la protection des espèces sauvages. Nous faisons bien plus en termes de conservation que certains pays qui, de façon condescendante, prétendent savoir mieux que nous ce qui est bon pour nous. Je vous le demande : que sont devenus vos éléphants en Europe ? Et je propose de vous en donner 20 000. Même 25 000, cette fois-ci !Mais la critique des Allemands était sur l'utilisation de la chasse, que vous avez légalisé il y a quelques années comme moyen de gérer cette population d'éléphants…La chasse n'est qu'un aspect de notre politique de conservation, tout comme le tourisme photos, et un certain nombre d'autres mesures. Cette chasse aux éléphants est encadrée, elle est légale, régulée, quantifiée, calculée dans le temps, tout en prenant compte du comportement des espèces.Parlons de politique, maintenant : le Botswana organise des élections générales dans quelques mois. Vous êtes candidat à votre succession. On assiste ces dernières années à une tendance, qui est de vouloir modifier la Constitution pour rester au pouvoir. Qu'est-ce que vous en pensez ?Je suis horrifié par cela. Et je suis impatient que mes deux mandats prennent fin. Après cela, je m'en irai.Vous ne chercherez pas à rester ?  Non je ne resterai pas et je n'essaierai pas non plus de revenir plus tard. Car la Constitution du Botswana est très claire : un leader qui a déjà servi son pays deux fois ne doit et ne peut pas se représenter.

Journal en français facile
L'Afrique veut produire ses vaccins, France: le monde de la culture se mobilise, La Louisiane impose les «Dix commandements» dans les écoles...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Jun 20, 2024 10:00


Le Journal en français facile du jeudi 20 juin 2024, 18h00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AiAM.A

Ça s'explique
Vaccins : l'avenir de la lutte contre le cancer?

Ça s'explique

Play Episode Listen Later May 10, 2024 19:10


Avec les vaccins thérapeutiques, un nouveau front s'est ouvert dans la lutte contre le cancer. Grâce à la technologie de l'ARN messager, un vaccin potentiel contre le mélanome vient de franchir une étape importante. Le journaliste Renaud Manuguerra-Gagné explique en quoi ces vaccins sont prometteurs.