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Pendant douze semaines, Eric Woerth, Brice Hortefeux, Claude Guéant et Nicolas Sarkozy se sont succédé à la barre du tribunal correctionnel de Paris.Ces quatre hommes politiques français sont accusés d'avoir fomenté « un pacte de corruption » décrit comme « inconcevable, inouï et indécent » dans le réquisitoire prononcé par les procureurs du Parquet national financier, le 25 mars.Cet accord aurait été noué avec Mouammar Kadhafi dans le but de financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. De fait, les liens, y compris financiers, entre l'entourage du dictateur libyen et celui de l'ancien président de la République ont été attestés et décortiqués pendant les dix années de l'instruction.Sur quels éléments de preuve les juges vont-ils s'appuyer pour déterminer s'il y a bien eu pacte de corruption ? Pourquoi les réquisitions sont-elles si lourdes contre ces quatre hommes politiques ? Nicolas Sarkozy peut-il être incarcéré dans les prochains mois ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Franck Johannès, qui a assisté à toutes les audiences pour Le Monde, revient sur les moments les plus marquants du procès, ainsi que sur ses conséquences politiques.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits de reportages diffusés lors du journal de 20 heures de la Cinq, le 20 septembre 1989, du journal de 12 heures de France 2, le 21 octobre 2011, du journal de 12 heures de France 3, le 19 mars 2011.Cet épisode a été publié le 1er avril 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Ce pourrait être l'un des scandales les plus retentissants de la Vᵉ République : celui d'un potentiel « pacte de corruption » qu'aurait scellé Nicolas Sarkozy avec le dictateur libyen Mouammar Khadafi, pour financer sa campagne électorale de 2007. L'ancien président de la République est jugé, depuis le 6 janvier, pour « corruption passive, financement illégal de campagne électorale, association de malfaiteurs et recel de détournement de fonds publics libyens ».Après de premières révélations chez nos confrères de Mediapart, en 2011, puis des années d'enquête et de rebondissements, Nicolas Sarkozy, qui a toujours clamé son innocence, s'explique devant le tribunal correctionnel de Paris. Il encourt jusqu'à dix ans de prison et 375 000 euros d'amende. Parmi les douze autres prévenus de cette affaire figurent trois anciens ministres : Brice Hortefeux, Claude Guéant et Eric Woerth, ainsi qu'un ex-dignitaire libyen et les hommes d'affaires Ziad Takieddine et Alexandre Djouhri.Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Maxime Vaudano, responsable du service des « Décodeurs » au Monde, revient aux origines de cette affaire et nous explique les enjeux du procès, qui doit prendre fin le 10 avril.Un épisode de Claire Leys, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Musiques originales : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extrait de l'interview donnée par Nicolas Sarkozy au JT de TF1, le 22 mars 2018 ; de l'annonce des résultats du second tour de la présidentielle de 2007 sur France 2 ; d'un reportage en Libye diffusé au JT de France 2, le 23 février 2011 ; d'un reportage sur la visite de Mouammar Kadhafi à Paris diffusé au JT de France 2, le 10 décembre 2007.Cet épisode a été publié le 21 janvier 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 15/01/2025, il est question avec Philippe Ballard, député de l'Oise et porte-parole du RN sur la déclaration de politique générale de François Bayrou qui remet la réforme des retraites en chantier. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.
Les députés examinent ce jeudi la proposition de loi des Insoumis pour revenir sur l'âge de départ à 64 ans. Les députés "socle commun ont déposé près de 1.000 amendements pour empêcher l'adoption de la proposition de loi avant minuit. De son côté Michel Barnier, menacé de censure par le Rassemblement national, a annoncé, dans un grand entretien au "Figaro", "une baisse des prix de l'électricité de 14%", une exigence de Marine Le Pen que le Premier ministre s'apprête donc à satisfaire. Àcoutez le point de vue de Eric Woerth, député (EPR) de l'Oise, ancien ministre du Budget. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 28 novembre 2024.
Les pensions de retraite, qui devaient être gelées, seront bien revalorisées au 1er janvier mais de la moitié seulement de l'inflation, a annoncé lundi Laurent Wauquiez, dévoilant un compromis trouvé avec Michel Barnier. Une manière de faire qui fait grincer des dents au sein du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale. Eric Woerth, député EPR de l'Oise, ancien ministre du Budget, des comptes publics et de la fonction publique, est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi avec Yves Calvi du 12 novembre 2024.
Les pensions de retraite, qui devaient être gelées, seront bien revalorisées au 1er janvier mais de la moitié seulement de l'inflation, a annoncé lundi Laurent Wauquiez, dévoilant un compromis trouvé avec Michel Barnier. Une manière de faire qui fait grincer des dents au sein du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale. Eric Woerth, député EPR de l'Oise, ancien ministre du Budget, des comptes publics et de la fonction publique, est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi avec Yves Calvi du 12 novembre 2024.
Alors que le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025 commence à être examiné aujourd'hui à l'Assemblée, le gouvernement entend durcir les règles des arrêts maladies dans le public. L'augmentation des jours de carence, qui passeraient à 3 jours, contre un jour actuellement dans la fonction publique. Pour en parler avec nous Eric Woerth, député Ensemble pour la République de l'Oise, ancien ministre du Budget et ex-président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 28 octobre 2024.
Alors que le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025 commence à être examiné aujourd'hui à l'Assemblée, le gouvernement entend durcir les règles des arrêts maladies dans le public. L'augmentation des jours de carence, qui passeraient à 3 jours, contre un jour actuellement dans la fonction publique. Pour en parler avec nous Eric Woerth, député Ensemble pour la République de l'Oise, ancien ministre du Budget et ex-président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 28 octobre 2024.
Tue, 22 Oct 2024 09:25:50 GMTRadioJRadioJnonofull13:49
durée : 00:11:37 - L'INVITE franceinfo soir - Le gouvernement veut économiser 5 milliards d'euros d'ici 2027, avec une revue des dépenses publiques.
Ce sera donc ceinture et bretelle puisqu'il faut trouver 60 milliards d'euros : le Premier ministre Michel Barnier a prévenu qu'il y aura de nouveaux prélèvements mais surtout des économies à faire. 40 milliards de moins à dépenser pour l'Etat, c'est l'objectif. Pour en parler Eric Woerth, député Ensemble, ancien ministre du Budget, membre de la Commission finances. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 octobre 2024.
Ce sera donc ceinture et bretelle puisqu'il faut trouver 60 milliards d'euros : le Premier ministre Michel Barnier a prévenu qu'il y aura de nouveaux prélèvements mais surtout des économies à faire. 40 milliards de moins à dépenser pour l'Etat, c'est l'objectif. Pour en parler Eric Woerth, député Ensemble, ancien ministre du Budget, membre de la Commission finances. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 octobre 2024.
durée : 00:13:37 - L'INVITE franceinfo soir - A la veille du discours de politique générale du Premier ministre, le député et ancien ministre du Budget ne pense pas que de nouvelles contributions temporaires puissent améliorer les finances de l'Etat. Il demande des mesures structurelles.
Plus de 10 jours après la nomination de Michel Barnier à Matignon, la composition du nouveau gouvernement se fait attendre. Et les rumeurs vont bon train. David Lisnard, Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez… Les ténors de la droite ne cachent pas leurs ambitions. « Il y a toujours plein de rumeurs dans ce domaine là », souligne Eric Woerth qui assure de son côté que « personne ne l'a contacté ». Invité des 4 Vérités ce mardi 17 octobre sur France 2, le député Ensemble pour la République de l'Oise se dit favorable à un gouvernement « assez large et équilibré ». L'ancien ministre des Finances et du budget pourrait-il faire son retour à Bercy ? Son nom circule en tout cas parmi les prétendants. « Aujourd'hui il faut passer à l'opérationnel », affirme l'ancien ministre qui « regrette le refus des socialistes de discuter sur certains sujets ».Selon les prévisions, le déficit public pourrait atteindre les 5,6 % du PIB en fin d'année, très loin des prévisions initiales. Un défi de taille attend donc le prochain gouvernement. « La crise est passée par là mais l'économie est repartie. On est sur un bon chemin dans le domaine de l'économie, la réindustrialisation et de l'emploi », explique l'élu. « Le pays doit se transformer et cela passe notamment par l'investissement tout en maîtrisant la dette ». Selon lui, cela passe ainsi par la maîtrise de la « dépense publique ». « On a plein de pistes mais il faut passer à l'acte », assure-t-il. « Ce n'est jamais simple ». Sur la réforme des retraites qui prévoit le départ de l'âge légal à 64 ans, Michel Barnier a dit qu'il était prêt à rouvrir le débat. « Il fallait le faire. Il y a eu beaucoup d'efforts pour faire ça. Mais il faut faire très attention à conserver une trajectoire de carrière et de formation », souligne Eric Woerth.Gouvernement : la droite fait monter les enchèresLundi 16 septembre, le nouveau Premier ministre a reçu trois ténors des Républicains : Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez et Gérard Larcher. Avec seulement 47 députés élus aux dernières élections législatives, les Républicains pourraient bien prendre les rênes du futur gouvernement. « LR a toute sa place au gouvernement et il aurait dû l'avoir depuis deux ans. C'est un parti charnière. Il joue un rôle fondamental. S'il n'y pas LR, il n'y a pas de coalition », affirme le député, qui souhaite des « gens d'expériences qui soient capables de faire fonctionner leur ministère tout de suite, et être capables d'arbitrer les projets suffisamment transformateurs et bien pour les Français ».
Le jeudi 30 mai, un rapport sur la décentralisation de la France est remis par le député Renaissance de l'Oise, Eric Woerth. Dans ce rapport de 160 pages, il propose notamment de nationaliser le périphérique de Paris, aujourd'hui géré par la Ville de Paris, mais sur lequel L'Etat a le droit d'émettre des prescriptions. Cela fait plusieurs années que le périph' fait l'objet de débats. La maire de Paris, Anne Hidalgo, souhaite abaisser la vitesse maximale autorisée à 50 km/h et réserver l'une des voies de circulation à certains véhicules seulement. De son côté, l'Etat cherche à faire valoir le statut particulier de cette route pour s'opposer à ce projet.Cet épisode est raconté par trois journalistes du Parisien : Marie-Anne Gairaud et Benoît Hasse de la cellule Transports, et Pauline Darvey de l'édition de Paris.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Production : Barbara Gouy, Clara Garnier Amouroux et Camille Ruiz - Réalisation et mixage : Benoît Gillon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : INA, Mairie de Paris. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion de l'édition spéciale au lendemain des élections européennes et de l'annonce surprise de la dissolution de l'Assemblée nationale, Dimitri Pavlenko reçoit Eric Woerth, député de l'Oise et questeur de l'Assemblée nationale.
À l'occasion de l'édition spéciale au lendemain des élections européennes et de l'annonce surprise de la dissolution de l'Assemblée nationale, Dimitri Pavlenko reçoit Eric Woerth, député de l'Oise et questeur de l'Assemblée nationale.
Tous les samedis et dimanches soir, Sébastien le Belzic reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 18h30 à 19h00.
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Même le week-end, retrouvez la plume de Gaspard Proust, maître dans l'art de l'humour, pour une dose d'impertinence, d'ironie et de franc-parler !
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Chaque mardi, mercredi et jeudi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Gaspard Proust livre son regard sur l'actualité.
Nicolas Sarkozy encore dans la tourmente… L'ancien président de la République est renvoyé devant la Justice pour corruption passive, financement illégal de campagne électorale et recel de fonds publics libyens dans le cadre de sa campagne présidentielle en 2007. C'est une demande du parquet national financier, dit PNF, Jean-François Bohnert datant du 10 mai 2023. Il met en cause 13 personnes dont les anciens ministres de Nicolas Sarkozy comme Brice Hortefeux, Claude Guéant ou encore Eric Woerth. Ce réquisitoire définitif intervient après 10 ans d'enquête qui commence par la mise en ligne d'un document compromettant par Mediapart en 2012. Que reproche-t-on exactement à Nicolas Sarkozy ? Pourquoi les Libyens ont-ils fait de telles accusations ? Qu'encourt l'ancien Président de la République ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce que l'affaire des attentats de la rue Copernic ? Qu'est-ce que l'affaire des "story killers", l'un des plus gros scandales de désinformation ? Qu'est-ce que l'affaire du mediator, l'un des plus gros scandales sanitaires français ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Eric Woerth, questeur de l'Assemblée nationale, député Renaissance de l'Oise et ancien ministre du Budget, répond aux questions de Dimitri Pavlenko au sujet de la réforme des retraites et du conseil constitutionnel.
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Eric Woerth, député de l'Oise et questeur de l'Assemblée Nationale.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
L'interview politique est présentée par Adrien Gindre du lundi au vendredi de 8h30 à 9h. Il reçoit un invité au cœur des enjeux politiques ou membre de la société civile.
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Eric Woerth, questeur de l'assemblée nationale, député Renaissance de l'Oise et ancien ministre du budget, répond aux questions de Sonia Mabrouk.
Eric Woerth, questeur de l'assemblée nationale, député Renaissance de l'Oise et ancien ministre du budget, répond aux questions de Sonia Mabrouk.
durée : 00:06:54 - 18h20 franceinfo - Le député Renaissance déplore l'annonce d'une grève des contrôleurs à la SNCF de vendredi à dimanche. L'entreprise doit annuler 60% de ses TGV et Intercités prévus ce week-end.
Avec Eric Woerth, député Renaissance de l'Oise
Le projet de loi de finances et celui du financement de la sécurité sociale (PLFSS), dans lequel pourrait figurer la réforme des retraites, sont présentés ce lundi 26 septembre en Conseil des ministres. Deux sujets épineux, pour lesquels le gouvernement, qui ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée nationale, n'exclut pas le recours au 49.3. La réforme des retraites sera-t-elle intégrée au PLFSS ? Pour l'heure, l'exécutif reste encore flou. « Il y aura une réunion de concertation dans la semaine, les choix seront faits à ce moment-là », explique le député Renaissance, de la 4ème circonscription de l'Oise, Éric Woerth, invité des 4 vérités, sur France 2. « Il y a urgence à changer le réglage du système par répartition. Cela passe par l'âge de départ à la retraite », alerte-t-il, déplorant l'immobilisme de l'opposition. S'il figure pourtant parmi les proches soutiens d'Emmanuel Macron, François Bayrou a mis en garde le président de la République, dans un entretien au journal Le Parisien, publié le 17 septembre dernier, se disant opposé à un « passage en force ». « Il n'y a aucune brutalité à commencer à prendre des décisions aujourd'hui qui vont prendre du temps à se mettre en place », déclare Éric Woerth, tout en restant flou sur l'échéance à venir. Il évoque la possibilité d'un passage en deux temps. « Le régime des retraites représente une grande partie de la sécurité sociale, ce serait donc le bon timing. Il serait possible d'intégrer son financement au sein du PLFSS, notamment en ce qui concerne l'âge du départ à retraites. Il pourrait aussi y avoir un texte, un petit peu plus tard, dans lequel on pourrait intégrer la pénibilité. Il faut évidemment améliorer les choses », explique l'élu, qui alerte sur l'urgence de cette réforme, alors que la majorité des Français s'y disent opposés. Autre question épineuse de ce projet de loi budgétaire ? La taxation, ou non, des superprofits de certaines grandes entreprises. « Je n'y suis pas favorable. S'il y a une réforme européenne, je la soutiendrai, sinon, nous pourrons nous mettre autour de la table avec les grands groupes et engager un dialogue avec Bercy, afin qu'ils investissent la transition écologique », précise Éric Woerth, qui veut rendre les grandes entreprises partie prenante de l'écologie. « Il faut aller plus loin », affirme-t-il, estimant que le quinquennat qui arrive doit être celui des réformes. « Ne tardons pas », martèle-t-il. Après la Suède, c'est au tour de l'Italie de basculer dans l'extrême-droite avec l'élection de Giorgia Meloni, ce lundi 26 septembre à l'issue des élections législatives. « Je ne veux pas faire de procès d'intention, mais cela pose un certain nombre de questions. Mario Draghi était quelqu'un d'extrêmement sérieux et efficace, pour aider l'Italie, qui est un pays surendété. C'est un partenaire incontournable en Europe. C'est un vrai sujet. On verra bien ce que cela donne. Cela traduit un certain sentiment d'échec de la population », estime Eric Woerth. En France, il craint que les « non-choix » de son ancienne famille politique, Les Républicains. « Son affaiblissement le rend opérable par le Rassemblement national ou toute forme d'extrémisme de droite », conclut l'élu.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Eric Woerth, député Renaissance de l'Oise, ancien ministre du Budget et du Travail et ancien président de la commission des Finances à l'Assemblée nationale, répond aux questions de Sonia Mabrouk.
Eric Woerth, député Renaissance de l'Oise, ancien ministre du Budget et du Travail et ancien président de la commission des Finances à l'Assemblée nationale, répond aux questions de Sonia Mabrouk.
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Eric Woerth, questeur de l'Assemblée Nationale
Le député Renaissance de l'Oise, Eric Woerth, était l'invité de Laurence Ferrari dans #LaMatinale sur CNEWS. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec Eric Woerth, député Renaissance de l'Oise et questeur de l'Assemblée Nationale
Éric Woerth, député Renaissance de l'Oise et ancien Président de la Commission des Finances, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la très convoitée présidence de la commission des Finances et du pouvoir d'achat.
On continue de se pencher sur le vocabulaire de l'Assemblée nationale. On a déjà vu hier les notions demotion de censure, de dissolution et de vote de confiance. On va commencer par le terme perchoir, cela désigne le poste de président de l'Assemblée. Un rôle important qui sera décidé le 28 juin prochain. En plus de diriger les débats, il nomme trois des neuf membres du Conseil constitutionnel et deux des six personnalités extérieures du Conseil supérieur de la magistrature (à égalité avec le président de la République et le président du Sénat); il doit être consulté par le président de la République avant que celui-ci n'exerce certains de ses pouvoirs constitutionnels (commela dissolution ou concernant les pleins pouvoirs en période de crise). Pour être élu, il doit obtenir la majorité absolue des suffrages soit au premier ou au deuxième tour, lors d'un scrutin à bulletins secrets. Si une majorité absolue ne se dégage pas aux deux tours. Cette élection se déroule sous l'égide d'un « bureau d'âge » constitué du doyen de l'Assemblée et des six plus jeunes députés. Plusieurs ont candidaté pour remplacer Richard Ferrand, : Yaël Braun Pivet, ministre des outres mers, Sophie Errante, députée dans la 10e circonscription du vignoble, Joël Giraud, député des Hautes-Alpes, Roland Lescure, député de la première circonscription des Français établis hors de France, Barbara Pompili, députée de la somme et Eric Woerth député de l'Oise. Autre rôle important, celui du président de la commission des finances. C'est une place très convoitée et au cœur de l'actualité car revendiquée par le Rassemblement National et la Nouvelle Union Ecologique et Sociale. Le président de la commission des finances fait partie des 8 commissions permanentes de l'Assemblée. La commission des Finances contrôle les comptes de l'État, elle peut en contester la sincérité et elle a également accès à des informations financières confidentielles. Selon l'article 39 de la constitution il n'y a qu'un membre de l'opposition qui peut prétendre à ce rôle et cela depuis 2009. Depuis 15 ans, il revient au premier parti d'opposition. Pour ce nouveau mandat, la majorité présidentielle pourrait choisir à nouveau un député LR ou de l'UDI pour occuper ce poste, de manière à ce que ni l'extrême droite, ni ce qu'elle considère comme l'extrême gauche aient le contrôle de cette commission très stratégique.
durée : 00:54:09 - Questions politiques - par : Thomas Snégaroff - Éric Woerth, député LREM de l'Oise, président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, est l'invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Thomas Snegaroff avec Carine Bécard (France Inter), Jeff Wittenberg (France TV), Françoise Fressoz (Le Monde). - invités : Eric WOERTH - Éric Woerth : Homme politique
durée : 00:54:09 - Questions politiques - par : Thomas Snégaroff - Éric Woerth, député LREM de l'Oise, président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, est l'invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Thomas Snegaroff avec Carine Bécard (France Inter), Jeff Wittenberg (France TV), Françoise Fressoz (Le Monde). - invités : Eric WOERTH - Éric Woerth : Homme politique
Elizabeth Martichoux poursuit son aventure à LCI et conserve les commandes de l'Interview Politique de 8H30. Avec son long format, Elizabeth Martichoux recevra, du lundi au vendredi, un invité au coeur des enjeux de la présidentielle, politique ou membre de la société civile.
Législatives : l'heure des grandes manœuvres LES INVITÉ.ES : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - JEAN VIARD - Sociologue - Directeur de recherche associé à Sciences-Po - SOPHIE DE RAVINEL - Grand reporter politique - « Le Figaro » - NATHALIE SEGAUNES - Journaliste politique - « l'Opinion » Les grandes manœuvres ont débuté. L'élection présidentielle ayant rendu son verdict, ce sont désormais les législatives qui sont au centre des attentions. A gauche, les plaques tectoniques sont en train de bouger. Après des années d'échec des multiples tentatives d'union, 2022 pourrait être la bonne. Jean-Luc Mélenchon, candidat LFI et troisième homme de la présidentielle, rêve à voix haute de réussir ce tour de force, alors que les discussions sont en cours avec ses partenaires. Après plusieurs jours de tractation, le Parti socialiste annonçait hier matin dans un communiqué avoir trouvé un accord sur de nombreuses questions épineuses avec les Insoumis. Mais le midi, il décidait de suspendre les négociations. Simple retardement de la signature d'un accord ou volte-face ? Car chez certains socialistes, la pilule avait du mal à passer en interne. Jeudi, François Hollande était persuadé qu'un accord ne serait pas accepté car, s'il le signe « le Parti socialiste aura décidé de disparaître ». Un avis partagé par de nombreux éléphants, et élus locaux de grandes métropoles, qui s'en sont ouverts dans la presse. Julien Dray, ancien député du PS, évoquant par exemple une « capitulation politique en rase campagne ». Les tractations ont également cours avec EELV et le PCF, sans qu'un accord ne soit pour l'heure annoncé. Dans une interview au Journal du dimanche, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, a lui appelé les autres formations de gauche à sortir de « la culture permanente de la défaite » pour trouver un accord en prévision des élections législatives. Il regrette que les partis de gauche avec lesquels des négociations sont engagées « se laissent absorber par leurs enjeux internes ». De l'autre côté de l'échiquier politique, Les Républicains risquent l'implosion. Le parti, déjà ébranlé il y a cinq ans par la non-qualification de François Fillon au second tour de la présidentielle est aujourd'hui très affaibli après le score catastrophique de Valérie Pécresse. Des cadres, dont Damien Abad, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, sont tentés par un rapprochement avec LREM. D'autres, comme l'ancien ministre de sarkozyste Eric Woerth, n'ont même pas attendu la réélection du président pour le rallier. Les électeurs de droite, eux, assument totalement leur vote Macron. A l'extrême-droite, l'entente semble impossible entre le nouveau venu Reconquête ! et le très installé Rassemblement National. Le premier sort abimé du scrutin présidentiel après n'avoir récolté qu'à peine plus de 7% des suffrages au premier tour. Le Parti de Marine Le Pen, malgré sa défaite, a obtenu un résultat historiquement élevé. En position de force, il choisit pour l'heure d'ignorer la main tendue par Eric Zemmour. Ce dernier, comme Marion Maréchal, ne sera pas candidat aux législatives et craint qu'une victoire soit impossible en cas de désunion. Entre divergences stratégiques et haine personnelle, le torchon brûle donc entre les deux formations et à quelques exceptions près, aucun accord n'aura lieu. Le bloc nationaliste s'avance donc divisé vers le scrutin à venir. Jean-Luc Mélenchon peut-il parvenir à faire l'union de la gauche ? Les Républicains parviendront-ils à éviter l'explosion ? Que peut espérer le bloc national divisé pour le scrutin législatif ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Eric Woerth, député et soutien d'Emmanuel Macron, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce jeudi 21 avril. Il est revenu sur le débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, ainsi que sur les programmes économiques prônées par Emmanuel Macron, notamment en termes de pouvoir d'achat, de dette et de retraites, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le jeudi 17 mars à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, Emmanuel Macron organise une grande conférence de presse pour présenter son programme électoral. Il parle du passage de l'âge de départ à la retraite à 65 ans et il promet de durcir les conditions d'accès au RSA, le revenu de solidarité active. Des promesses de campagne qui sont également dans le programme de la candidate les Républicains Valérie Pécresse. Le président candidat a aussi réussi à attirer plusieurs personnalités de droite, comme l'ancien ministre Eric Woerth, qui a rallié sa campagne au mois de février. Valérie Pécresse accuse Emmanuel Macron de siphonner son programme, et affirme même dans une interview au Parisien que “La campagne de Macron, c'est débauchage et pâle copie”. Cet épisode de Code source est raconté par Pauline Théveniaud et Quentin Laurent, journalistes au service politique du Parisien.Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Marion Bothorel, Sarah Hamny, Thibault Lambert et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Benoît Gillon - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : BFMTV, AFP, LCI, Huffpost. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le 13 février, des milliers de personnes sont réunies au Zénith de Paris pour assister au premier meeting de Valérie Pécresse, la candidate des Républicains à l'élection présidentielle. Ce rendez-vous était censé donner un coup d'accélérateur à la campagne de la candidate mais sa prestation n'a pas convaincu, ni sur la forme ni sur le fond.Depuis quelques semaines, la campagne de Valérie Pécresse divise au sein du parti LR. Le 9 février, Eric Woerth, membre de la famille LR depuis 40 ans, l'a accusée de courir derrière l'extrême droite et s'est rallié à Emmanuel Macron. Le lendemain, sur France Info, Rachida Dati, maire du 7ème arrondissement de Paris, n'a pas hésité à souligner ses points de désaccord avec Valérie Pécresse et son équipe de campagne. Valérie Pécresse doit aussi conjuguer avec le silence de Nicolas Sarkozy, qui refuse toujours de la soutenir publiquement.Cet épisode de Code source est raconté par Alexandre Sulzer, journaliste au service politique du Parisien. Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Animation : Thibault Lambert - Reporter : Ambre Rosala - Production : Thomas Valognes, Clara Garnier-Amouroux, Sarah Hamny et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : France 24, LCI, BFMTV, Les Républicains, Franceinfo. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Elizabeth Martichoux poursuit son aventure à LCI et conserve les commandes de l'Interview Politique de 8H30. Avec son long format, Elizabeth Martichoux recevra, du lundi au vendredi, un invité au coeur des enjeux de la présidentielle, politique ou membre de la société civile.
Premier meeting de Valérie Pécresse, ralliement d'Eric Woerth à Emmanuel Macron : Jean-Christophe Fromantin, maire de Neuilly-sur-Seine, était l'invité de l'émission Ecorama du 14 février 2022, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com
Valérie Pécresse entend stopper le film de la recomposition politique lancé par Emmanuel Macron en 2017. Si la droite traditionnelle a mieux résisté que les socialistes à l'assaut du « en même temps », le parti Les Républicains sait que pour survivre, il vaudrait mieux que sa candidate atteigne le second tour en 2022. Pour ce faire, Valérie Pécresse doit convaincre un espace électoral suffisamment large en repoussant les deux murs qui la menacent, l'un à l'extrême droite et l'autre au centre. Mais l'étau semble se resserrer. Depuis sa désignation, ses équipes martèlent qu'elle est « au barycentre » des différentes droites et qu'elle peut parler tant aux électeurs tentés par le candidat d'extrême droite Éric Zemmour qu'à ceux partis en 2017 chez Emmanuel Macron. Mais l'opération est difficile. Et à force de donner des gages aux uns et aux autres, le résultat est mitigé. Après deux mois de campagne, les sondages patinent. À sa droite, on lui reproche d'être trop macron-compatible, et à sa gauche, d'avoir « extrême-droitisé » son discours. Les défections récentes le démontrent. L'ancien numéro deux de LR, Guillaume Peltier, est parti chez Zemmour parce qu'elle était trop centriste. Et cette semaine le sarkozyste Eric Woerth a rejoint le camp Macron accusant LR d'être « obnubilé par l'islamisme radical ». Deux preuves de la porosité qui existe aux frontières extérieures de la Pécressie. Minimiser et décrédibiliser les extrêmes Face à cette situation, les soutiens de la candidate LR minimisent. Peltier et Woerth partis, « c'est un point partout, balle au centre », ironise le député Éric Pauget. Surtout, ils font le pari que ces départs n'emmèneront pas d'électeurs avec eux. « Woerth c'est un techno, mes militants ne le connaissent pas », assure une présidente de comité de soutien en Ile-de-France. Deuxièmement, le camp Pécresse ne retient plus ses coups contre les deux candidats d'extrême droite. Marine Le Pen est dépeinte en dépensière déraisonnée alors que l'Etat français s'est déjà beaucoup endetté lors de la crise Covid. Et Éric Zemmour est décrit comme « un phénomène de foire » qui serait dangereux à la tête de l'État, dixit Vincent Jeanbrun, orateur de la candidate. L'équipe Pécresse a d'ailleurs rédigé et fait circuler un document sur « les sympathies nazies » de l'ancien polémiste. Une fois dans l'isoloir, les électeurs choisiront quelqu'un capable de gouverner, se rassurent-ils. Le défi de récupérer les fillonistes En ce qui concerne les électeurs partis chez Emmanuel Macron, la droite compte aller les chercher en démontrant que Valérie Pécresse va faire les réformes que le chef de l'État n'a pas faites, comme celle des retraites. À titre d'exemple, d'après les enquêtes d'opinion, la candidate LR n'attire les faveurs que de 50% des électeurs qui avaient voté François Fillon en 2017. « En leur parlant dette et comportement du président, on va récupérer les autres ». C'est ce qu'assure, en tout cas, une proche de Valérie Pécresse.
PÉCRESSE, LE PEN : TRAHISONS EN FAMILLE – 12/02/22 Invités YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » FRÉDÉRIC DABI Directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La fracture » La trahison est une question de dates dit l'adage. En politique surtout. A deux mois seulement du premier tour de la présidentielle, les déloyautés se multiplient. Àdroite et à l'extrême-droite notamment, où les désertions s'enchaînent chez les Républicains comme au Rassemblement national. Avec le ralliement de l'ancien ministre sarkozyste Eric Woerth à Emmanuel Macron cette semaine, la campagne de Valérie Pécresse patine un peu plus encore, alors qu'elle s'apprête à faire son premier grand meeting demain à Paris. Et Woerth n'est pas le seul à quitter le navire LR, Natacha Bouchart, la maire de Calais, rejoint elle-aussi le Président de la République. De son côté, Nicolas Sarkozy laisse toujours planer le doute sur son soutien à Valérie Pécresse. Malgré une rencontre ce vendredi avec la candidate de la droite, aucune annonce n'a été faite du côté de l'ancien président. Enfin, les petites phrases... Celles dont la présidente de la région Ile-de-France se passerait bien au vu de sa stagnation dans les sondages. Celles de Rachida Dati notamment, qui parle de « losers » et « déserteurs » en évoquant Patrick Stefanini, le directeur de la campagne de Valérie Pécresse, qui avait lâché François Fillon en plein PénélopeGate. Mais les Républicains ne sont pas les seuls à se déchirer. Au RN, Marine Le Pen doit elle aussi faire face aux défections. Après Gilbert Collard et Jérôme Rivière récemment, c'est le sénateur Stéphane Ravier qui vient à présent de quitter les instances du parti avant de probablement rejoindre Eric Zemmour à son tour. Marion Maréchal enfin, joue à l'équilibriste en ne cachant pas sa préférence pour le candidat de Reconquête, sans toutefois abandonner sa tante, pour le moment. Pendant ce temps, Jean-Luc Mélenchon est en tête des sondages à gauche, crédité de 8 à 13% des intentions de vote selon les sondages, il devance de loin les autres candidats de ce côté de l'échiquier politique. Mais alors que des tractations auraient lieu entre Jadot et Taubira, le candidat de l'Union populaire ne veut pas de rassemblement d'étiquettes, misant ainsi sur la radicalité de son programme social et écologiste. Alors, comment Valérie Pécresse peut-elle relancer sa campagne ? Comment Marine Le Pen peut-elle faire face aux désertions dans son camps ? Jean-Luc Mélenchon a t-il des chances de l'emporter ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ecoutez L'Edito Politique avec Olivier Bost du 10 février 2022
Dans un entretien accordé au journal Le Parisien, mardi 8 février, le président de la la Commission des finances de l'Assemblée, Éric Woerth, a décidé d'apporter son soutien à Emmanuel Macron. « Je pense qu'il est le mieux à même de défendre l'intérêt de la France et des Français », a-t-il déclaré à nos confrères. L'ancien ministre sous Nicolas Sarkozy, baron du parti LR, dit ne plus adhérer au « discours » LR, d'une « France nostalgique, recroquevillée sur elle-même», évoquant même une dérive sur les sujets sécuritaires et l'Islam radical. A cinq jours de son grand meeting de campagne, prévu dimanche 13 février, au Zénith de Paris, Valérie Pécresse, la candidate Les Républicains, perd ainsi un poids lourd de sa famille politique. De son côté, le président des Républicains, Christian Jacob a demandé le départ d'Éric Woerth du parti LR. « C'est un choix personnel qu'il a fait. Et je le regrette », a affirmé Michel Barnier, conseiller de Valérie Pécresse, invité des 4 Vérités, jeudi 10 février, sur France 2. Selon lui, « le débauchage individuel » représente « l'ancien monde » est « n'intéresse pas les Français ». Faut-il s'attendre à d'autres débauchages ? « Je ne crois pas qu'il y en aura beaucoup d'autres, mais cela ne m'intéresse pas », a déclaré l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy. Ce dimanche, Valérie Pécresse présentera ainsi son grand meeting de campagne, au Zénith de Paris. Un moment clé pour la candidate qui espère ainsi relancer sa campagne et incarner la seule alternative possible à Emmanuel Macron. « Valérie Pécresse est une femme d'autorité, une femme moderne, qui veut changer les choses, comme elle l'a fait en Île-de-France. Elle ne fait pas de communication, elle dit les choses. Ce serait un honneur pour notre famille politique, de porter pour la première fois une femme à la présidence de la République », a soutenu Michel Barnier, au micro de Caroline Roux. D'autre part, en raison d'un agenda trop chargé, Emmanuel Macron, n'annoncera pas sa candidature avant le 19 février prochain, a confirmé un proche du président de la République, auprès de RTL. « Il est en campagne depuis des mois déjà, il distribue des chèques à tout le monde. Il n'échappera pas à son bilan », a estimé l'ancien député européen. Crise ukrainienne : Emmanuel Macron a-t-il réussi à entamer une désescalade ? Lundi 7 février Emmanuel Macron était à Moscou et, mardi 8 février, à Kiev, en vue d'entamer une désescalade dans la crise ukrainienne. Sans vouloir « critiquer cette visite », soulignant « l'importance de dialoguer », Michel Barnier estime qu'elle intervient « trop tard » et que cette démarche est trop « solitaire ». « Notre voix est singulière et souvent arrogante. La France n'est pas grande quand elle est arrogante », précise-t-il. Sur les Jeux Olympiques, qui se déroulent actuellement à Pékin, en pleine crise sanitaire et diplomatique ? L'élu préfère « penser aux sportifs » avant tout.
Eric Woerth passe dans le camp Macron Le député LR et ex-ministre ne soutient pas Valérie Pécresse. Réalisé par Valentin Alves Lourenco
WOERTH RALLIE MACRON, PÉCRESSE DANS LES CORDES – 09/02/22 Invités ROLAND CAYROL Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) BRUNO JEUDY Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » NEILA LATROUS Journaliste politique - « France Info » CAROLINE VIGOUREUX Journaliste - « l'Opinion » Auteure de « Le mystère Taubira » Dimanche 6 février, les équipes de Yannick Jadot et de Christiane Taubira se sont rencontrées à la mairie de Romainville en Seine-Saint-Denis. Objectif ? Présenter sa vision de la situation et surtout convaincre l'autre camp de le rallier. Dans l'espoir de parvenir à l'union, l'équipe verte aurait soumis l'idée de confier à l'ancienne garde des Sceaux la présidence d'une assemblée constituante ou de l'Assemblée nationale. « Ça montre que les Verts ont très envie de Christiane Taubira », s'est félicité Guillaume Lacroix patron du PRG présent lors de l'entrevue. Néanmoins l'offre a été balayée par les équipes de la principale intéressée et aucune date pour un éventuel nouvel échange n'aurait été fixée. Pourtant, à soixante jours du premier jour du scrutin, la gauche a bien de la peine à peser dans les sondages. D'après une dernière enquête réalisée par l'institut Cluster17 pour Marianne, Jean-Luc Mélenchon (13 %) demeurerait en tête à gauche, mais encore à bonne distance d'une accession au second tour. Derrière l'Insoumis, en revanche, les choses bougeraient : Christiane Taubira perdrait 3 points pour se retrouver à 3 %, Yannick Jadot resterait bloqué à 5 %, Anne Hidalgo, la maire de Paris PS s'effondrait (1,5 %, -0,5). Seul le communiste Fabien Roussel connaitrait une dynamique positive (3,5 % soit +1,5 %). Avec un quart des intentions de vote, la famille de gauche apparaît plus que jamais divisée et affaiblie. Et le reproche récurrent qui lui est fait par les sympathisants est le trop grand nombre de candidats. En ce sens, une alliance pourrait raviver l'espoir d'une présence de la gauche au second tour de la présidentielle en avril prochain. Mais entre petites manœuvres, tentatives feintes d'union et ombre de François Hollande, les candidats assument toujours la dispersion, et la confusion règne alors qu'à La République en Marche et chez Les Républicains les ralliements se multiplient. Ainsi l'ancien porte-parole du PS Edouardo Rihan-Cypel vient d'annoncer qu'il rejoignait Emmanuel Macron. Claude Bartolone pourrait le suivre. A droite, Eric Woerth vient d'indiquer qu'il soutenait la candidature du chef de l'Etat. A l'inverse certains élus « Macron-compatibles » signataires en juin 2019 d'une tribune dans le JDD, affirmant « vouloir la réussite du président de la République » se détournent désormais du chef de l'Etat au profit de Valérie Pécresse. En meeting au Zénith à Paris, dimanche prochain, la candidate LR espère relancer sa campagne et incarner la seule alternative viable à Emmanuel Macron. Alors une union à gauche est-elle encore possible ? Ralliements et débauchages en série, quelles conséquences pour la République en Marche et les Républicains ? Enfin quelles sont les préoccupations des Français à deux mois du scrutin ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - Eric Woerth, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, se rallie à Emmanuel Macron et se met en congé de son parti. Les réactions sont sévères chez Les Républicains.
durée : 00:02:15 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Restez avec nous, Eric Woerth, Charline a choisi de parler de la désignation du candidat LR pour la présidentielle...
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Avec: Eric Woerth, député LR de l'Oise, président de la Commission des Finances de l'Assemblée. - L'invité de l'actu, tous les jours dans Apolline Matin sur RMC. Apolline de Malherbe donne rendez-vous aux auditeurs de RMC et téléspectateurs de RMC Découverte pour une nouvelle matinale info avec « Apolline matin ». Accompagnée d'une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information avec des débats et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
Eric Woerth, député et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale, était l'invité de Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mardi 22 juin. Ils sont revenus sur les risques engendrés par la dette sur l'économie française sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Invité: Eric Woerth, Président de la commission des finances à l'Assemblée Nationale.
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Durant plusieurs semaines, la rédaction de La Croix vous a proposé la deuxième saison de Place des religions, le podcast sur l’actualité des religions dans la société. Au fil des épisodes, nous avons rencontré des personnalités de tous horizons pour qu’elles nous éclairent sur les relations entre la politique et la religion, à partir de leur expérience de terrain. Avec Najat Vallaud-Belkacem, il a été question du rôle de l’école face à la montée de l’islamisme. Vous avez également entendu Cécile Duflot à propos l’encyclique du pape François Laudato Si, ou encore le maire évangélique Franck Meyer, qui est revenu sur les questions de bioéthique. Plusieurs personnalités politiques se sont également confiées sur leur rapport intime à la religion. Marlène Schiappa nous a parlé l’importance qu’elle accorde aux traditions catholiques, Éric Piolle de son besoin de spiritualité, et Éric Woerth, passionné d’alpinisme, nous a livré son émotion à la vue de la statue de la Vierge en haut des sommets. Retrouvez l’ensemble des épisodes de cette saison 2 sur toutes les plateformes de podcast, le site et l’appli La Croix. Nous vous donnons rendez-vous en février pour une nouvelle saison de Place des religions, pleine de surprises. ► Vos contributions : Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : placedesreligions@bayard-presse.com CRÉDITS : Responsable éditorial : Christophe de Galzain. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Montage : Flavien Edenne et Clémence Maret. Mixage : Emmanuel Viau. Création musicale : Arnaud Forest. Voix : Malo Tresca. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Septembre 2020
Monseigneur Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, théologien et essayiste, a été l’aumônier des parlementaires pendant huit ans. Dans ce dernier épisode de la saison 2 de Place des religions, il évoque la nécessité de réconcilier foi et politique, dans le contexte de la crise sanitaire. ► Saison 2, épisode 13 – L’essentiel de l’épisode : Monseigneur Matthieu Rougé fait parti de ces évêques qui connaissent très bien le monde politique. L’ancien aumônier des parlementaires, aujourd’hui évêque de Nanterre, se méfie des débats superficiels. Les différences de vues à propos de la reprise des cultes lors du déconfinement montrent selon lui la nécessité d’instaurer un dialogue profond, libre et serein. Si certaines crispations entre l’État et les religions peuvent naitre selon d’un "anticléricalisme ordinaire, qui fait partie de la tradition politique française", il estime que la responsabilité politique est un terrain propice à l’interrogation spirituelle. Pour clore la saison 2 de ce podcast, Monseigneur Rougé a accepté de réagir aux propos de différentes personnalités politiques invitées de Place des religions. Il revient sur l’encyclique Laudato Si, évoquée par Cécile Duflot ; sur le revenu universel prôné par la pape François et questionné par Eric Woerth ; ou encore sur le rapport au religieux de la nouvelle génération politique, autour du témoignage surprenant de Marlène Schiappa. ► A lire sur le site et l'application du journal La Croix : LES FAITS. L’évêque de Nanterre propose de relire "la sainte quarantaine" ANALYSE. L’Église en état d’urgence : le droit canonique à l’épreuve du Covid-19 LES FAITS. Des messes de Noël en comité restreint ► Un podcast hebdomadaire : Tous les mercredis à partir du 30 septembre jusqu’au 23 décembre 2020, dans la deuxième saison du podcast Place des religions, les journalistes du quotidien La Croix invitent des personnalités de tous horizons à nous éclairer sur les relations entre la politique et les religions à partir de leur expérience sur le terrain. Le temps d’une conversation, elles nous dévoilent leurs convictions à la source de leur action. ► Parmi les autres personnalités politiques invitées : Marlène Schiappa, ministre déléguée en charge de la citoyenneté ; Jean-Pierre Raffarin, ancien premier ministre ; Eric Piolle, maire EELV de Grenoble ; François-Xavier Bellamy, député européen Les Républicains ; Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre de l’éducation nationale ; Éric Woerth, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale ; Cécile Duflot, ex-ministre du Logement et de l'Égalité des territoires, directrice générale de l'ONG Oxfam France ; Bernard Cazeneuve, ex-ministre de l’intérieur, en charge des cultes ; Franck Meyer, maire évangélique de Sotteville-sous-le-Val ; Hubert Wulfranc, ex-maire de Saint-Étienne du Rouvray ; Jean-Philippe Duval, moine à l’abbaye de Solesmes et conseiller municipal ; Enrico Letta, directeur de l’institut Jacques-Delors… ► Vos contributions : Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : placedesreligions@bayard-presse.com CRÉDITS : Responsable éditorial : Christophe de Galzain. Interview : Gauthier Vaillant. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Montage : Flavien Edenne. Mixage : Charlie Marcelet. Création musicale : Arnaud Forest. Voix : Malo Tresca. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Archive : interview KTO, 26 novembre 2020. Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Septembre 2020
L’ancien premier ministre de Jacques Chirac était à Matignon quand fut adoptée la dernière grande loi sur la laïcité. En 2004, le port ostensible de signes religieux était prohibé dans les établissements scolaires. Dans cet épisode de notre podcast, Jean-Pierre Raffarin revient sur le contexte de l’époque, sur l’évolution de la France depuis seize ans. Catholique pratiquant, il lance un appel aux jeunes chrétiens à s’engager en politique. ► Saison 2, épisode 11 – L’essentiel de l’épisode : Jean-Pierre Raffarin rappelle que c’est avec la plus grande prudence et au terme d’un processus qui permit d’obtenir un consensus politique que Jacques Chirac fit adopter la loi sur les signes religieux à l’école en 2004. Alors qu’Emmanuel Macron engage, seize ans plus tard, une réforme législative pour renforcer la république face à la menace islamiste, Jean-Pierre Raffarin revient sur le terrorisme islamiste qui "a pris l’islam en otage". La lutte contre l’islamisme n’est pas selon lui un combat religieux mais politique. À l’aise de vivre dans une société multiculturelle, ce catholique de conviction témoigne de l’importance de sa foi dans sa vie personnelle et son engagement politique. À 72 ans, Jean-Pierre Raffarin encourage les jeunes chrétiens a s’épanouir dans la politique. ► A lire sur le site et l'application du journal La Croix : ANALYSE – Séparatisme, les catholiques veulent rester vigilants REPORTAGE – Ces jeunes catholiques qui ne veulent pas déserter la politique ANALYSE – Séparatisme, derrière un mot, des problématiques très diverses ► Un podcast hebdomadaire : Tous les mercredis à partir du 30 septembre jusqu’au 23 décembre 2020, dans la deuxième saison du podcast Place des religions, les journalistes du quotidien La Croix invitent des personnalités de tous horizons à nous éclairer sur les relations entre la politique et les religions à partir de leur expérience sur le terrain. Le temps d’une conversation, elles nous dévoilent leurs convictions à la source de leur action. ► Parmi les autres personnalités politiques invitées : Marlène Schiappa, ministre déléguée en charge de la citoyenneté ; Eric Piolle, maire EELV de Grenoble ; François-Xavier Bellamy, député européen Les Républicains ; Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre de l’éducation nationale ; Eric Woerth, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale ; Bernard Cazeneuve, ex-ministre de l’intérieur, en charge des cultes ; Franck Meyer, maire évangélique de Sotteville-sous-le-Val ; Hubert Wulfranc, ex-maire de Saint-Étienne du Rouvray ; Jean-Philippe Duval, moine à l’abbaye de Solesmes et conseiller municipal… La deuxième saison du podcast Place des religions est à écouter sur le site et l'application du journal La Croix, et sur toutes les plateformes de podcast. ► Vos contributions : Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : placedesreligions@bayard-presse.com CRÉDITS : Responsable éditorial : Christophe de Galzain. Suivi de production : Célestine Albert-Steward. Interview : Bernard Gorce . Montage : Clémence Maret. Mixage : Charlie Marcelet. Création musicale : Arnaud Forest. Voix : Malo Tresca. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Archive : Discours du Premier Ministre à la Grande mosquée de Paris le 17 octobre 2003. Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Septembre 2020
durée : 00:54:23 - Questions politiques - Eric Woerth, président LR de la commission des finances à l'Assemblée, député de l’Oise, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine bécard (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
durée : 00:07:52 - 18h50 franceinfo - Le président de la Commission des finances à l'Assemblée nationale estime que le gouvernement n'a pas de "projet pour la France". "Le seul projet que nous ayons c'est de sortir du terrorisme et du Covid".
Eric Woerth, président de la commission des finances, député Les Républicains de l’Oise était ce mardi 15 septembre, l'invité du matin de RFI. Coronavirus, confinement, plan de relance de l'économie française... Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Deux heures d’actualité avec toute la rédaction d’Europe 1 autour de Julian Bugier. Des invités mais aussi des débats d'actualité, notamment à 18h30 avec les Grandes voix d'Europe 1 et à 19h15 autour de Julian Bugier et d'un invité.
Eric Woerth, président de la Commission des Finances - Plan de relance
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouvent les chroniques de Nicolas Barré, Vincent Hervouët, Nicolas Beytout, Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Anicet Mbida.La « Revue de presque » de l'infatigable Nicolas Canteloup, accompagné de Julie, apporte une touche d'humour. Information, convivialité et proximité rythmeront cette matinale !
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Eric WOERTH, Député LR de l'Oise, président de la commission des finances et ancien Ministre
durée : 00:03:16 - Le billet de Tanguy Pastureau - par : Tanguy Pastureau - Les naturistes sont supérieurs, ils ne perdent pas de temps chaque jour à se demander « qu’est-ce que je vais me mettre ? », la réponse est « rien », pareil qu’à la question « que devient Eric Woerth ? ». Du coup, ça fait 7 minutes de gagnées par jour, de quoi sur un an écouter une interview entière de Fabrice Luchini.
Maintenant que le déconfinement a démarré, comment faire repartir l'économie ? Dans quelles conditions ? Retrouver le monde d'avant ? En construire un nouveau ? En tout cas, ça va être dur... pronostique Le Figaro : « L'épidémie de Covid-19, tombée comme la foudre sur l’ensemble de la planète, est en train de provoquer une crise économique comme on en voit passer une par siècle. Aucun pays au monde n’en sortira indemne. Pour chacun d’entre eux, la convalescence s’annonce longue, pénible, coûteuse. Mais à l’heure des premiers comptes, il apparaît que la France paiera un tribut particulièrement lourd à cette calamité, affirme Le Figaro. D’où qu’elles viennent, les prévisions les plus sérieuses nous promettent une récession plus sévère qu’ailleurs, un chômage plus massif, des comptes publics plus dégradés. (…) Depuis deux jours, les pouvoirs publics desserrent à pas comptés le confinement, mais nos concurrents sont déjà repartis à plein régime, pointe le journal. Le prix final de cette épreuve s’annonce faramineux : entrés désargentés dans la crise, nous en sortirons totalement essorés, avec un taux d’endettement une fois et demie supérieur à celui de l’Allemagne. » En effet, il y a des « risques de déclassement économique », s'inquiète Le Monde. « Si le "monde d’après" fait l’objet d’intenses débats, les entreprises françaises vont se concentrer dans les prochaines semaines sur des préoccupations plus prosaïques : leur survie à plus ou moins brève échéance. La publication, hier, par la Banque de France de statistiques alarmantes sur l’ampleur du choc provoqué par la pandémie de covid-19 confirme ce qui se dessinait jusqu’alors en pointillé. Le risque de déclassement de notre économie, qui a davantage reculé que d’autres en Europe, n’est pas à prendre à la légère et nécessitera la mobilisation de tous. » Alors, préconise Le Monde, « pour faire face au choc économique, la France, dont la perte de compétitivité ne date pas de la pandémie, doit mettre en place une stratégie de long terme en stimulant la consommation et en misant sur la transition écologique. » La relance, tout de suite ! Pour le député LR Eric Woerth, interrogé par Le Parisien, « le plan de relance promis par le gouvernement ne peut pas attendre septembre. (…) Avant toute chose, il faut rétablir d’urgence la confiance en France, sans laquelle il n’y aura pas de reprise durable, affirme Eric Woerth. Il faut basculer dès maintenant du soutien pur et simple de l’économie à sa relance. Le chômage partiel est une bonne mesure mais ne doit pas devenir l’antichambre de plans sociaux au moment de la reprise : elle n’incite pas les entreprises à reprendre leurs salariés ni ces derniers à retourner au travail. Je propose, affirme le président de la commission des Finances de l'Assemblée, de transformer environ la moitié des crédits gigantesques consacrés aujourd’hui au chômage partiel en baisse de charges patronales. » Il faut aussi relancer la consommation, préconise Eric Woerth : « Pour cela, je propose de baisser la TVA sur certains produits dans des secteurs à déterminer. Je propose de reprendre, pour l’automobile, le dispositif de prime à la casse. Et que les magasins puissent, pendant une période donnée, ouvrir le dimanche très librement, quels qu’ils soient. » Plus de solidarité ! Pour sa part, La Croix, estime qu'il est certes nécéssaire de faire repartir la machine, mais à deux conditions : « La première est de ne pas repartir exactement comme avant. La situation que nous sommes en train de vivre a au moins l’intérêt de nous faire réfléchir sur les excès du système dans lequel nous nous trouvions avant l’épidémie. Le fractionnement et l’éparpillement géographique des chaînes de production ont sans doute permis de réduire les coûts, mais cela revient cher en termes d’impact sur l’environnement et de dépendance internationale. C’est une trajectoire qu’il faut modifier. » Et puis, la deuxième condition, pointe La Croix, « relève de la solidarité. Il est clair que la sortie de crise va demander à tous beaucoup d’efforts en termes de travail. Ils ne seront produits que si chacun a le sentiment d’un poids équitablement réparti. Les dernières décennies ont été beaucoup plus favorables aux détenteurs de capitaux qu’à ceux qui travaillent. Une contribution accentuée des plus fortunés apparaît aujourd’hui comme absolument nécessaire à une juste reprise. » Enfin, condition indispensable à toute reprise, la confiance... « Les Français ont de la ressource et de la gnaque, constate Sud-Ouest. Mais le rebond suppose des planètes bien alignées : la décrue du virus, la perspective d’un vaccin, des plans de relance nationaux et européens musclés, des choix économiques judicieux. Et de la chance. Mais pour provoquer celle-ci, il faut donc de la confiance, affirme Sud-Ouest, ce facteur mystérieux aux effets psychologiques mais aussi matériels. Car on le sait, la monnaie et, in fine, l’économie, reposent sur lui. Pour que l’indispensable redémarrage du pays réussisse, on a donc envie de dire : Françaises et Français, faites-vous confiance ! »
durée : 00:54:15 - Questions politiques - Eric Woerth, député LR de l’Oise, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale et Pascal Canfin, député européen LREM, sont les invités de Questions Politiques avec Ali Baddou, Carine Bécard et Françoise Fressoz.
durée : 00:54:15 - Questions politiques - Eric Woerth, député LR de l’Oise, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale et Pascal Canfin, député européen LREM, sont les invités de Questions Politiques avec Ali Baddou, Carine Bécard et Françoise Fressoz.
Ce samedi, Bernard Poirette reçoit Eric Woerth, député Les Républicains et Président de la commission des finances à l'Assemblée Nationale, après le vote dans la nuit du nouveau budget de crise par les parlementaires du Palais Bourbon.
Parce que l'actualité ne s'arrête jamais, Bernard Poirette, nouvelle voix de la station, informe avec rigueur et dans la bonne humeur les auditeurs dans “Toute l’info du week-end”. Au programme de ces deux heures d'antenne, des interviews menées par Bernard Poirette, la politique vue par Nicolas Beytout, le journal des sports et la culture avec les journalistes de la station. Sans oublier les sciences avec Alain Cirou, les questions environnementales par Allain Bougrain-Dubourg, les balades gourmandes de Vanessa Zha et Marion Sauveur et la météo de Valérie Darmon!
Ce mercredi, Aurélie Herbemont reçoit Eric Woerth, député LR de l'Oise et président de la commission des finances de l'Assemblée. Il fait partie des quelques députés qui siégeront demain, au Palais Bourbon, pour voter les mesures d'urgence en réponse à la crise du coronavirus.
Ce mardi, Aurélie Herbemont reçoit Eric Woerth, Député LR de l’Oise, pour évoquer notamment les motions de censure après le 49.3 décidé sur la réforme des retraites, mais aussi le coronavirus.
durée : 00:09:48 - Journal de 18h - L'exécutif fera passer aux forceps la réforme des retraites. Le gouvernement engage sa responsabilité devant les députés. Les groupes socialiste et communiste ont annoncé le dépôt d'une motion de censure. Motion à laquelle ne se rallieront pas Les Républicains, annonce Eric Woerth.
durée : 00:10:26 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Eric Woerth, député LR de l'Oise, est l'invité de Léa Salamé à 7h50.
Vous avez zappé les infos ? 20 Minutes vous a concocté un récap' audio de la mi-journée. « Minute Papillon ! », c’est deux minutes à écouter sur les supports de 20 Minutes (desktop, site et application mobile) et les réseaux sociaux. Vous pouvez aussi l’écouter sur iTunes, Deezer, Pippa, Soundcloud et sur les applications de podcast, iOS et Android. Au programme ce soir: -Ce matin, à Liège, en Belgique, un homme a tué deux policières et le passager d’une voiture. Il a pris une otage une femme avant d’être abattu par les forces de l’ordre. Une enquête pour terrorisme a été ouverte.- Fini l’appli SAIP. Le gouvernement français a décidé de mettre fin à ce système qui relayait des messages en cas de danger majeur, comme des attentats. Il devrait être remplacé par les réseaux sociaux.-Le corps sans vie et dénudé d’un enfant de 9 ans a été retrouvé lundi soir dans l’Aisne, quelques heures après sa disparition. Un homme de 27 ans est actuellement en garde à vue.-Le feuilleton de l’affaire libyenne se poursuit. Eric Woerth vient d’être mis en examen pour complicité de financement illégal de la campagne présidentielle en 2007.-Un million de Français ont arrêté de fumer en un an. Une baisse historique qui ravit François Bourdillon, car elle concerne principalement les catégories les plus défavorisées.Julie Bossart Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Cahuzac, Thévenoud, les Balkany ... Tous les scandales touchant les hommes et femmes politiques françaises sont-ils une coïncidence ? Ou sont-ils le résultat d'un apprentissage inhérent au système politique français ? L'école de la délinquance de nos élus, c'est ce dont parle Nicolas Tavernier dans son livre "Un village sous influence". "Au fil du temps j'ai vu que dans la communauté de communes d'Eric Woerth, il se faisait des choses absolument pas catholiques. On les a dénoncées, mais quand on est 1 ou 2 contre 40, c'est dur de s'opposer à un baron local." On ne parle pas que de politique dans la Matinale et heureusement ! En deuxième partie d'émission on parle du festival Paris en toutes lettres organisé par la Mairie de Paris et la Maison de la Poésie. Ce festival met à l'honneur la littérature, et toutes ses hybridations. Lectures, rencontres, siestes acoustiques ... voici ce qui vous attend au festival Paris en toutes lettres qui aura lieu du 9 au 20 novembre dans divers lieux culturels de la capitale. "Les publics sont différents d'une rencontre à l'autre, mais j'espère surtout décloisonner et les mélanger tous." Côté reportages, Arthur et Mélissa ont pris le pouls de ceux qu'on pourrait appeler "les nouveaux parisiens" : qu'ont-ils ressenti lors de leur arrivée à Paris ? Et comme tous les mardis, Jacques nous livre sa sélection des actus étudiantes de la semaine ! Présentation : Philippine R / Co-interviews : Mahaut de Butler et Dario Moreal / Chroniques : Mélissa Della Valle, Arthur Jean et Jacques Bouillié / Web : Nina Beltram / Réalisation : Tiffany Battistel / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard
Le Monde selon Edwy Plenel, tous les jeudi matin sur France Culture.
Le procès Bettencourt s'est refermé jeudi, le tribunal correctionnel de Bordeaux a prononcé la relaxe pour Eric Woerth, pour qui le cauchemar se termine enfin.
[...] Pour cette émission hommage à Eric Woerth, mort pour la France, la Salle 101 parle du fantôme d’Élizabeth Badinter (qui, oui, écrit elle aussi de la SF) et de Cleer, dernier roman de LL. Kloetzer. Avec humilité. « Faut vraiment que j’améliore mes cadrages », se lamente Yann-Arthus B.
[…] Pour cette émission hommage à Eric Woerth, mort pour la France, la Salle 101 parle du fantôme d'Élizabeth Badinter (qui, oui, écrit elle aussi de la SF) et de Cleer, dernier roman de LL. Kloetzer. Avec humilité. « Faut vraiment que j'améliore mes cadrages », se lamente Yann-Arthus B.
Bernard Mabille un coup de sang allant de Brice Hortefeux, Hervé Morin, Wauquiez et Copé, le déremboursement des médicaments, Eric Woerth à Jacques Chirac. RTL - Les grosses têtes de Philippe Bouvard tous les jours de 16h à 18h - Saison3 - réalisation: Éric Laverdin. Création et gestion du podcast: Pascal Mabille
Ce mercredi 20 janvier, Eric Woerth, ancien ministre, député LR de l'Oise et président de la commission des finances à l'Assemblée nationale, est revenu sur le déficit de l'Etat français, et dans On Refait L'Éco, Anne-Elisabeth Moutet, éditorialiste au Daily Telegraph et Thomas Philippon, économiste et professeur de finance à la Stern Business School de New-York, sont revenus sur les défis qui attendent Joe Biden, dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Hedwige Chevrillon.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Ce mercredi 20 janvier, Sylvie Matelly, économiste et directrice adjointe de l'IRIS, Jean-Christophe Repon, président de la Capeb, Gontran Thüring, délégué général du Conseil National des centres commerciaux , Laurent Milchior, co-gérant et président du groupe Etam, Eric Woerth, ancien ministre, député LR de l'Oise et président de la commission des finances à l'Assemblée nationale, et dans On Refait L'Éco, Anne-Elisabeth Moutet, éditorialiste au Daily Telegraph et Thomas Philippon, économiste et professeur de finance à la Stern Business School de New-York, sont revenus sur les défis qui attendent Joe Biden, étaient les invités dans l'émission Le Grand Journal de l'Éco présentée par Hedwige Chevrillon.Support this podcast at — https://redcircle.com/le-grand-journal-de-leco/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy