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Aujourd'hui l'économie
Les réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale s'ouvrent avec l'ombre de Donald Trump

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Apr 21, 2025 3:29


Les Réunions de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale commence ce lundi à Washington. Durant cet événement notamment, les acteurs de l'économie de tous les pays se réunissent pour parler de l'état de l'économie mondiale. Sans surprise, cette édition va être marquée par la politique commerciale de Donald Trump. Décryptage. Depuis son retour à la Maison Blanche il y a moins de 100 jours, c'était le 20 janvier, Donald Trump a relancé la guerre commerciale contre pratiquement tous les pays du globe. On le rappelle, tous les produits qui entrent aux États-Unis sont taxés à hauteur de 10%. Cela monte jusqu'à 145% sur certaines importations chinoises. Pékin ne s'est pas fait attendre pour répondre avec une taxation de 125% sur les produits américains. Bref, cette escalade entre les deux premières économies mondiales a des conséquences pour la planète toute entière, ce qui inquiète et le Fonds monétaire international, et la Banque mondiale. Croissance mondiale affectée  La directrice générale du FMI l'explique elle-même mais elle reste modérée. Kristalina Georgieva estime aujourd'hui que l'incertitude sur les politiques commerciales mondiales est "hors norme”. Selon plusieurs études du FMI justement, le taux effectif moyen des droits de douane américains atteint désormais environ 20%. Et les conséquences sont très concrètes. Par exemple. le dollar s'affaiblit alors qu'il est perçu comme une valeur refuge. Et puis la croissance américaine en souffre. D'après le Peterson Institute, elle devrait tomber à 0,1% cette année. C'est loin de ce qui était envisagé il y a encore quelques semaines, à savoir 2,5%. Une tendance qui va irrémédiablement avoir un impact sur la croissance mondiale.  À lire aussiLe coût des mesures douanières de Donald Trump à l'échelle mondialeToujours d'après la directrice du FMI, il faut se préparer à revoir sa copie car l'institution financière prévoit désormais une révision à la baisse des perspectives économiques mondiales. Le rapport devrait justement être publié cette semaine. Si en janvier, avant l'investiture de Donald Trump, la croissance mondiale pour 2025-2026 était estimée à 3,3%, elle devrait diminuer. Ce chiffre semble aujourd'hui optimiste voire irréaliste car la croissance de la planète aurait dû être stimulée par celle des États-Unis. Or, on l'a dit, elle devrait être pratiquement atone. Un multilatéralisme mis à mal Ce n'est presque plus à prouver, Donald Trump a une vision assez personnelle du multilatéralisme. Le problème, c'est que les États-Unis sont les premiers actionnaires du FMI. Le pays est aussi essentiel dans le fonctionnement de la Banque mondiale puisqu'il y est représenté via 17% des capitaux de l'institution. Et lorsque l'administration Trump remet en cause son rôle dans l'activité de ces deux instances, c'est en effet tout un pan de l'économie mondiale qui est en sursis. À lire aussiSur la piste d'une machine à café pour comprendre les effets des taxes douanières de TrumpL'aide au développement est un secteur très affecté. D'après l'OCDE, elle a diminué de 7% l'an passé. Cette année, elle devrait encore baisser, entre -9 et -17%. Concrètement ce sont des dizaines de milliards d'euros en moins. Les patrons du FMI et de la Banque mondiale appellent ainsi à des réformes profondes de l'économie, plus équilibrée, plus résiliente, avec une priorité: continuer à dialoguer avec toutes les parties, même les États-Unis. Mais pour échanger, il faut être deux, et Donald Trump ne compte visiblement pas faire partie de la discussion.

Pagella Politica Podcast
Il bilancio dell'incontro tra Trump e Meloni

Pagella Politica Podcast

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 17:30


Questa settimana Giorgia Meloni ha incontrato alla Casa Bianca, a Washington, il presidente degli Stati Uniti Donald Trump. L'incontro tra la presidente del Consiglio e Trump era molto atteso, soprattutto perché i due leader hanno parlato della questione dei dazi.  Che cosa si sono detti Meloni e Trump? Com'è andato l'incontro tra i due? E quali errori hanno commesso nelle loro dichiarazioni? Tutte le risposte nella nuova puntata del nostro podcast. Seguiteci sui nostri siti Pagella Politica e Facta sui nostri profili Facebook, Instagram, X, Telegram, Threads, TikTok e Bluesky. Episodio scritto da Davide Leo e Federico Gonzato, prodotto da Jessica Mariana Masucci Link utili: Com'è andato l'incontro tra Meloni e Trump  Il fact-checking dell'incontro tra Meloni e Trump L'altra faccia dell'export verso gli Stati Uniti riserva sorprese CREDIT BRANI “Right on target” di Lemonmusicstudio  “Slow piano blues” di JuliusH

Le brief éco
Face à l'offensive Trump, l'industrie chimique européenne lance un message d'alerte

Le brief éco

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 2:18


durée : 00:02:18 - Le brief éco - Prises en étau entre les États-Unis et la Chine, de nombreuses usines risquent en effet de fermer. Les industriels demandent un plan d'urgence.

Corriere Daily
Meloni da Trump. L'Ue e i Paesi sicuri. Chi è una donna e chi no

Corriere Daily

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 20:44


Monica Guerzoni parla del viaggio della presidente del Consiglio a Washington, in piena crisi dei dazi. Francesca Basso analizza la prima lista della Commissione Ue dei Paesi ai quali sarà possibile applicare la procedura accelerata di rimpatrio prevista dal nuovo Patto per la migrazione. Luigi Ippolito spiega la sentenza della Corte suprema britannica per la quale il concetto di sesso è solo binario (e cosa significa per le trans).I link di corriere.it:Meloni negli Usa parlerà con Trump (anche) di gas e NatoImmigrazione, ecco la lista Ue dei Paesi sicuri: ci sono anche Egitto, Marocco, Tunisia«Le persone trans non hanno diritto a essere tutelate come donne »: la decisione della Corte suprema britannica

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Caroline Loyer : Bukele/Trump, l'alliance controversée - 15/04

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 3:51


Ce mardi 15 avril, la visite que le président salvadorien Nayib Bukele a rendue à Donald Trump et l'alliance parfaite entre les deux États pour mettre en œuvre la politique migratoire de l'administration Trump ont été abordées par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Le Média
Guerre économique : la gauche a-t-elle la solution face à Trump ? L'avis tranché de porcher

Le Média

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 29:08


Encore un revirement pour Donald Trump qui joue avec l'économie mondiale.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :

C dans l'air
Poutine, Chine... qui écoute encore Trump ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 64:43


C dans l'air du 14 avril 2025 - Poutine, Chine... qui écoute encore Trump ?Les négociations pour la paix en Ukraine étaient déjà mal embarquées. Une frappe russe a fait 34 morts et des dizaines de blessés dimanche sur la ville ukrainienne de Soumy, provoquant une vive émotion dans le pays. "Sans une pression vraiment forte, sans un soutien adéquat de l'Ukraine, la Russie continuera à faire durer cette guerre", a réagi le président ukrainien Zelensky. Le 4 avril dernier, une autre frappe russe avait tué 20 personnes, dont 9 enfants, à Kryvy Rih, ville natale de Zelensky. Les premières semaines de son mandat, Donald Trump avait promis d'arrêter le conflit en 24h. Sous sa dynamique, des pourparlers ont été engagés à Riyad, et un début d'accord interdisant les frappes sur les infrastructures énergétiques avait été mis en place. Mais il n'a jamais été respecté. Pire, les observateurs de l'ONU ont constaté une augmentation significative des attaques contre les centres urbains du pays.En Ukraine, les députés observent avec inquiétude, et parfois consternation, l'impasse des négociations pour la paix. "Nous n'avons jamais cru à un quelconque cessez-le-feu, mais terroriser le pays en tuant des civils et des enfants, c'est juste insupportable", a réagi auprès du Monde la députée ukrainienne d'opposition Solomiia Bobrovska. Malgré la condamnation unanime des dirigeants européens, Donald Trump a refusé de prendre parti après ce nouveau drame : "Je pense que c'est terrible. Et l'on m'a dit qu'ils avaient fait une erreur", s'est-il contenté de réagir, là où son envoyé spécial en Ukraine Keith Kellogg a eu des mots plus forts, évoquant une attaque "inacceptable" qui "dépasse les limites de la décence".Au Moyen-Orient, les négociations de paix entre Israël et le Hamas, elles aussi encadrées par l'administration américaine, ont déjà échoué. Depuis le 18 mars, le gouvernement israélien a repris les combats à Gaza, notamment les bombardements qui ont fait au moins 1 500 morts chez les Palestiniens. Officiellement, Israël explique vouloir isoler les groupes du Hamas les uns des autres et susciter une contestation locale. Mais sur le terrain, c'est plutôt une nouvelle invasion de l'enclave à laquelle assistent les Gazaouis, forcés à de nouveaux déplacements incessants. L'élimination du Hamas, qui était l'objectif premier du gouvernement israélien, n'a jamais été atteinte. Selon le journal israélien Haaretz, le Hamas, bien qu'affaibli par un an et demi de combats, aurait même reconstitué ses forces et compterait à nouveau 40 000 combattants. De son côté, Donald Trump pousse pour qu'Israël et le Hamas parviennent à un accord sur le retour des derniers otages. 24 seraient toujours en vie, et 35 sont présumés morts.La frappe russe sur Soumy marque-t-elle un tournant dans les négociations de paix en Ukraine ? Comment les Ukrainiens réagissent-ils au mépris de l'administration américaine ? Et que devient le plan de Donald Trump pour Gaza ?Les experts :- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste - Ouest-France- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie - Le Monde- Guillaume LAGANE - Spécialiste des questions de défense, maître de conférences à sciences Po

Effetto notte le notizie in 60 minuti
Ucraina, Trump: “L'errore è stato far iniziare la guerra”

Effetto notte le notizie in 60 minuti

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025


Non c’è tregua in Ucraina, neanche la domenica delle Palme: a Sumy, città del nord est del Paese, un raid russo ha portato a decine di morti. Ne parliamo con Riccardo Alcaro, coordinatore delle ricerche e responsabile del programma "Attori globali" dell'Istituto Affari Internazionali.Commentiamo poi la giornata della politica italiana insieme a Lina Palmerini, quirinalista e commentatrice politica de Il Sole 24 Ore.Meta addestrerà i suoi modelli di Intelligenza Artificiale con i contenuti pubblici degli utenti. Ne capiamo di più insieme a Vincenzo Cosenza, divulgatore, esperto di intelligenza artificiale e innovazione. Il suo blog è Vincos.itSerie A, in campo Napoli-Empoli. Tutti gli aggiornamenti dal nostro Dario Ricci.

C dans l'air
Droits de Douane : peut-on encore se fier à Trump ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 64:12


C dans l'air du 11 avril 2025 - Droits de Douane : peut-on encore se fier à Trump ?Depuis quelques jours, ce sont les bourses qui donnent le tempo des relations internationales. Après un net rebond hier, les bourses européennes ont de nouveau dégringolé à leur ouverture, après l'annonce de Pékin d'une hausse à 125 % de ses droits de douane sur les produits américains. S'il a suspendu pour 90 jours les droits de douane pour 75 pays, Donald Trump compte bien poursuivre sa guerre commerciale initiée avec la Chine, sous l'impulsion de son conseiller commercial Peter Navarro. Dans cette optique, les Européens observent avec consternation leur allié s'éloigner, chaque jour, un peu plus d'eux. Symbole d'une défiance grandissante, les conservateurs allemands réfléchissent à rapatrier leur or stocké Etats-Unis. Pire, le marché de la dette américaine, considéré comme l'actif le plus sûr, connaît depuis peu un retrait des investisseurs. Pendant que l'économie mondiale vacille, l'administration Trump poursuit sa guerre contre les immigrés en situation d'illégalité. Il y a quelques jours, la Cour suprême des Etats-Unis a autorisé l'expulsion vers le Salvador de plus de 200 personnes présentées comme des membres présumés du gang Tren de Aragua, déclaré "organisation terroriste" par le gouvernement américain. Si la justice a déjà reconnu avoir expulsé par erreur un de ces hommes, nombreux sont les descendants d'immigrés à valider cette méthode brutale. À Brownsville, au Texas, 94% de la population est d'origine latino, et certains considèrent que l'immigration est incontrôlée et appauvrit le pays. Près de 55 % d'entre eux avaient voté Trump au scrutin présidentiel de novembre.En France, la question de la souveraineté vis-à-vis des Etats-Unis se joue aussi au niveau local. À Glomel, en Bretagne, la mine d'Andalousite, concentre depuis quelques mois d'intenses débats entre les écologistes et la multinationale Imerys qui souhaite étendre l'exploitation. Seule carrière d'Andalousite d'Europe, la mine fournit un matériau connu pour sa résistance aux chocs thermiques et utilisé dans la sidérurgie, la fonderie ou encore la cimenterie. Mais les habitants locaux l'accusent aussi d'impacts négatif sur l'eau, l'air, et la biodiversité, sans compter les désagréments sonores. Côté Imerys, on assure que l'arrêt de la mine entraînerait notamment la suppression de 120 emplois locaux. Peut-on encore faire confiance à Donald Trump ? Comment le Texas est-il devenu une ville symbole des expulsions de migrants américaines ? Et la France doit-elle continuer à exploiter ses minerais rares ?Les experts :- Élie COHEN - Économiste - Chercheur au CNRS- Anne-Elisabeth MOUTET - Éditorialiste - The New York Post- Laurence NARDON - Chercheure - Responsable du programme Amériques de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI)- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle

Corriere Daily
Ironizzare su Trump: l'Ammazzacaffè di Gramellini

Corriere Daily

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 9:11


Nuovo appuntamento con il sabato di «Giorno per giorno»: l'editorialista torna sugli argomenti di cui ha scritto durante la settimana nella sua rubrica «Il Caffè», integrandoli con i commenti nel frattempo ricevuti dai lettori.I link di corriere.it:Che cosa farà Roberto Mancini nel suo ritorno alla SampdoriaLa grande finanza Usa fiuta la recessione e abbandona Trump: «I dazi? Mai visto niente di simile»Ma Trump pagherà un prezzo politico per i dazi? I timori e i malumori nel partito repubblicano

Nghien cuu Quoc te
Nước Mỹ dưới thời Trump là cuộc thử nghiệm lớn của chủ nghĩa hiện thực

Nghien cuu Quoc te

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 11:22


Chính quyền này sẽ để lại dấu ấn không thể phai mờ trong cách giảng dạy quan hệ quốc tế cho thế hệ tương lai.Xem thêm.

Börsenradio to go Marktbericht
Börsenradio Schlussbericht, Do., 10.04.2025 - Trump lässt die Zölle 90 Tage ruhen, Börsen feiern Party. DAX +4,6 %

Börsenradio to go Marktbericht

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 23:34


Der DAX springt um starke 4,6 % auf 20.566 Punkte. Auslöser: Donald Trump setzt überraschend seine Zölle für 90 Tage aus. Die Wall Street schloss in der Folge am Dienstagnacht durch die Decke: Dow +7,9 %, S&P 500 +9,5 %, Nasdaq sogar +12 %. Auch die EU zieht nach und stoppt ihre Gegenzölle. An den Märkten verfliegt die Angst vor einem Zollkrieg - vorerst. Gold klettert auf 3.128 Dollar je Feinunze. Öl gibt dagegen nach - Brent und WTI verlieren je rund 2,5 %. VW meldet im Q1 einen Gewinneinbruch: Operativer Gewinn sinkt auf 2,8 Mrd. Euro, trotz leichtem Umsatzplus auf 78 Mrd. Euro. Intel-Chef Tan steht wegen China-Beteiligungen unter Druck. STMicro will 2.800 Stellen streichen. CureVac glänzt mit 535 Mio. Euro Umsatz und 178 Mio. Euro Gewinn dank GSK-Deal. BMW kämpft in China – Absatz dort -17,2 %. Nordex legt bei Bestellungen zu. Prada übernimmt Versace für 1,25 Mrd. Euro. Louis Vuitton hat Probleme in US-Produktion. Delta verschiebt Airbus-Lieferungen wegen Zollunsicherheit. Börsenweisheit des Tages: "Panik ist keine Anlagestrategie." - Peter Lynch. Jetzt anhören im "Börsenradio to go"-Podcast!

Lenglet-Co
FRANÇOIS LENGLET - En réponse à Trump, l'Allemagne envisage de rapatrier son stock d'or des USA

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 3:01


Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 09 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Entrez sans frapper
Les droits de douane de Trump/L'avenir de Cora/Jugement pour l'enseignant de l'UCLouvain/Manipulation génétique au Texas/Le virus du Chikungunya

Entrez sans frapper

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 8:01


Les droits de douane de Donald Trump sont entrés en vigueur, la guerre commerciale est lancée 84 pourcents de surtaxe de la Chine sur les produits américains L'avenir de Cora Jugement : 5 ans de prison pour l'homme qui enseignait à l'UCLouvain et qui est reconnu coupable de viol sur deux étudiantes Cérémonie à Chièvres en hommage à Émilie Dequenne Une entreprise texane a ressuscité un loup disparu par manipulation génétique Île de la Réunion : Des moustiques qui transmettent le virus du Chikungunya Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal en français facile
Peter Navarro, le «monsieur taxes» de Trump / L'Ukraine capture des soldats chinois / Macron en Égypte

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 10:00


Le Journal en français facile du mardi 8 avril, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BZCw.A

C dans l'air
La chute des bourses peut-elle faire reculer Trump? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 63:43


C dans l'air du 4 avril 2025 - La chute des bourses peut-elle faire reculer Trump?L'onde de choc du virage protectionniste radical opéré par les États-Unis est ressentie dans le monde entier, et affole les marchés mondiaux. De Tokyo à Paris, les grands indices boursiers ont plongé. La bourse de New York a bouclé jeudi sa pire séance depuis mars 2020, en pleine pandémie de Covid. Un jeudi noir qui a de quoi donner des sueurs froides aux Américains qui sont trois foyers sur cinq à détenir des actions, et en particulier les retraités dont les pensions sont en partie indexées sur les marchés.Mercredi, depuis les jardins de la Maison Blanche, Donald Trump muni d'un tableau a détaillé par le menu les taxes douanières qu'il entend imposer sur tous les produits importés aux Etats-Unis, allant de 10 % à 50 % selon les pays d'origine au nom de sa "déclaration d'indépendance économique". La Chine et l'Union européenne sont parmi les plus lourdement sanctionnés, la première écopant de 34 %, et l'UE de 20 %. Ce à quoi Pékin a choisi de répliquer très vite en annonçant, ce vendredi, des taxes de 34 % sur tous les produits américains arrivant en Chine. Parallèlement, 16 entreprises américaines ont été placées sur une liste noire qui les empêchera de s'approvisionner en Chine. Le ministère chinois du Commerce a aussi annoncé des contrôles à l'exportation sur sept éléments de terres rares, y compris le gadolinium, utilisé notamment pour les IRM, et l'yttrium, dans l'électronique grand public.Cette décision a, une nouvelle fois, plongé les marchés boursiers et économiques dans le rouge. En Europe, à la mi-journée la Bourse de Francfort chutait de 5,61 %, Paris de 4,66 % et Londres de 4,24 %. Zurich s'enfonçait de 5,57 %, Milan dégringolait de 7,74 % et Madrid de 6,29% alors que l'Union européenne prépare la riposte, tout en privilégiant encore la négociation. Les nouvelles taxes annoncées par le président américain sont "un coup dur" pour l'économie mondiale, a souligné ce jeudi, la présidente de la Commission européenne. Cependant, "il n'est pas trop tard pour répondre aux préoccupations par les négociations", a déclaré Ursula von der Leyen, soulignant que le commissaire européen au Commerce, Maros Sefcovic, était "en contact permanent" avec ses homologues américains.En France, Emmanuel Macron a réuni dans la journée les "représentants des filières impactées" à l'Elysée et a appelé les entreprises françaises à suspendre tous leurs projets d'investissements aux Etats-Unis jusqu'à ce que l'annonce sur une hausse massive des droits de douane à l'encontre de l'Union européenne soit "clarifiée". En Allemagne, le chancelier allemand Olaf Scholz et son ministre de l'Economie se sont montrés alarmistes sur les conséquences de la hausse des droits de douane décidée par Donald Trump, appelant l'Europe à montrer "ses muscles", tout en évitant de riposter comme une "tête brulée".Alors quelle forme prendra cette riposte européenne ? Quels secteurs sont concernés ? Avec quelles conséquences ? Nos journalistes se sont rendus en Allemagne où les entreprises sont plus dépendantes encore des États-Unis que lors du premier mandat de Donald Trump. Le pays a écoulé l'année dernière pour 161 milliards d'euros de marchandise sur le marché américain, soit plus de 10 % du commerce extérieur contre 8,5 % en 2016. Premier secteur impacté : l'automobile. Nous sommes également allés à Brownsville au Texas où Elon Musk y a installé sa base SpaceX.Les experts :- Dominique SEUX - Editorialiste - Les Echos - Lucie ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction – La Tribune dimanche , La Tribune - Sylvie MATELLY - Economiste et directrice de l'Institut Jacques Delors- Florentin COLLOMP - Journaliste spécialiste des questions européennes Le Figaro

Revue de presse internationale
À la Une: les droits de douane imposés par Donald Trump, l'onde de choc

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 3:49


Les droits de douane imposés par Donald Trump mettent le monde en ébullition. « Les tarifs douaniers font chuter les marchés et attisent les craintes de récession » titre le Washington Post, qui pour le moins, s'inquiète : « La vague de nouvelles taxes à l'importation, devrait coûter aux consommateurs et aux entreprises américaines des centaines de milliards de dollars, modifiant radicalement les perspectives économiques ». Le quotidien américain parle d'une « guerre commerciale... qui a entraîné hier les marchés financiers dans leurs plus fortes baisses en une journée, depuis 2020 ».Le Wall Street Journal, de son côté, annonce que les Américains « se ruent vers les téléviseurs et la sauce soja ». Certains stockent même les produits importés. C'est en tout cas ce que conseille le milliardaire Mark Cuban, qui soutient les Démocrates, et qui suggère à ses abonnés sur Bluesky de « stocker du dentifrice ou du savon, tout ce qui peut être stocké avant le réapprovisionnement ». « Même si c'est fabriqué aux États-Unis », assure le milliardaire, « ils augmenteront les prix et imputeront la faute aux droits de douane ».L'Union européenne elle aussi s'inquiète. C'est El País qui nous explique la situation. « L'Union européenne, nous dit le quotidien espagnol, redoute une avalanche de produits asiatiques qui ne seront pas vendus aux États-Unis ». « La Chine, le Vietnam et d'autres pays de la région sont parmi les plus durement touchés par les hausses de tarifs douaniers de Trump et pourraient chercher des débouchés pour leurs exportations sur d'autres marchés ».Des effets imprévusEt l'onde de choc Trump, qui ne date pas d'hier, a des effets imprévus. C'est ainsi qu'au Canada, le journal Le Devoir nous apprend que se pose la question « des voyages scolaires au pays de Trump ». Le quotidien nous explique que « le voyage à New York d'une centaine d'élèves a été annulé ».  « Ils iront plutôt à Toronto ». « Pas question d'encourager le pays de Donald Trump qui a juré de détruire l'économie du Canada, pour faire de ce dernier le 51ème État américain ».  L'idée est « d'éviter autant que possible les achats de produits et de services américain ».  « À l'approche des congés de fin d'année », nous dit le Devoir, « les dirigeants du réseau scolaire québécois s'interrogent sur la pertinence de boycotter les États-Unis ». Certains maintiennent toutefois leur séjour aux USA, « ne serait-ce que parce que tout est payé à l'avance ».Rester groupésEnfin, en France, les journaux reviennent sur les propos tenus hier soir par Emmanuel Macron. « Face aux droits de douane de Donald Trump, Emmanuel Macron bat le rappel des industriels français », titre le Monde. « Le chef de l'État a réuni à l'Elysée les secteurs les plus exposés », ajoute le quotidien français ; « il souhaite une suspension des investissements aux États-Unis, le temps de la négociation ». Pour Libération, « Emmanuel Macron engage le bras de fer ». « Le président se dit décidé « à ne pas laisser faire, à nous défendre et nous protéger ». Mais « pour tenir le rapport », remarque Libération, « encore faut-il rester groupés ». « Les plus gros auront tendance à jouer solo », a dit Emmanuel Macron, « Si la réponse c'est de faire des concessions immédiates et d'annoncer des investissements pour négocier des exemptions, c'est une très mauvaise idée », a également déclaré le chef de l'État. « Présent à l'Elysée », remarque le Monde, « Rodolphe Saadé, le PDG du géant français du transport maritime CMA CGM, n'a pas cillé », lui qui, début mars, « avait promis à Donald Trump, d'investir 20 milliards de dollars, aux États-Unis. Un moment immortalisé par les caméras dans le bureau Ovale de la Maison Blanche ». Rodolphe Saadé « qui n'est pas revenu sur sa promesse en sortant de l'Elysée » précise le quotidien français.

C dans l'air
Dominique Carlac'h - Trump: l'ultimatum aux entreprises françaises

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 10:39


C dans l'air l'invitée du 1er avril 2025 : Dominique Carlac'h, membre du conseil exécutif du MEDEF et présidente de D&Consultants.L'administration américaine a demandé à de grands groupes français d'effacer leurs politiques en faveur de la diversité et de l'inclusion. Après la France, des entreprises italiennes, belges et espagnoles ont déclaré avoir reçu une lettre de l'ambassade américaine leur demandant si elles mettaient en place des programmes internes de lutte contre les discriminations.Est-ce une nouvelle provocation de Donald Trump ?Notre invitée reviendra sur cette dernière crise diplomatique entre la France et les États-Unis et sur les réponses possibles.

Le débat
Avec Donald Trump : l'économie mondiale en danger ?

Le débat

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 41:30


C'est aujourd'hui que Donald Trump impose des droits de douanes sans précédents pour "se libérer du joug du reste du monde". Selon le président américain, c'est un "Jour de libération". La Maison Blanche a préparé plusieurs scénarios : soit un taux universel, soit des secteurs plus ciblés. Les pays partenaires comme l'Union européenne ou le Canada ripostent. Ursula Von der Leyen affirme que l'Union européenne a un plan solide. Les marchés de leurs côtés sont fébriles.

Aujourd'hui l'économie
Le coût des mesures douanières de Donald Trump à l'échelle mondiale

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 3:03


Le président américain le promet : mercredi 2 avril, c'est « Jour de libération ». Donald Trump va annoncer de nouveaux droits de douane et personne ne semble épargné. Il s'agit là d'un nouveau tournant dans sa guerre commerciale qui pourrait très cher à l'économie mondiale. Le montant peut donner le tournis : 1 400 milliards de dollars, voilà le coût à l'échelle internationale des différentes mesures de Donald Trump et notamment sa volonté d'imposer à hauteur de 25 % toute importation sur le sol américain. D'après cette étude menée par l'Université d'Aston au Royaume-Uni, ce scénario frapperait dans un premier temps de plein fouet les États-Unis.Mais les partenaires économiques des Américains seraient aussi durement touchés. C'est d'ailleurs toute l'ambition de Donald Trump, frapper au portefeuille les économies avec lesquelles les États-Unis ont un déficit commercial. Si cette escalade protectionniste permettrait à certaines industries locales américaines de voir une hausse de leur production à court terme, la contrepartie, ce sont bien les représailles des partenaires commerciaux clés. Le Mexique, le Canada et l'Union européenne, pour ne citer qu'eux, ne comptent pas rester sans réponse.Résultat, toujours d'après l'étude de l'université d'Aston, cela provoquerait une chute des exportations américaines pouvant dépasser les 43 %.À lire aussiDroits de douane, barrières non tarifaires, mesures de rétorsion: les mots du protectionnismeLe consommateur américain en première ligneMais qui dit guerre commerciale dit mécaniquement une hausse des prix sur les produits importés, y compris les biens de consommation courante. Côté entreprises, mêmes causes, mêmes effets. Elles pourraient voir leurs chaines d'approvisionnement perturbées avec une hausse du coût de production. Certaines ne pourraient pas faire face et celles qui tiendront le coup augmenteront mécaniquement leurs prix. Bref, la spirale inflationniste tournerait à plein et les premières victimes de ces mesures seraient les Américains eux-mêmes.Pourtant, c'est tout ce que Donald Trump ne veut pas. Mais le président américain l'expliquait à son arrivée à la Maison Blanche, il y aurait « des perturbations » mais que « cela ne durerait pas ». Pour le moment, la dynamique semble lui donner tort.Le monde financier s'inquièteL'activité boursière est directement touchée, elle aussi, par les mesures, ou du moins les plans, de Donald Trump. L'indice des 500 plus grandes entreprises américaines, le S&P 500 vient de connaitre l'un de ses pires trimestres en trois ans. Le risque de récession, à savoir un ralentissement du rythme de la croissance, est de plus en plus important d'après la banque d'affaire Goldman Sachs. Baisse de la croissance et inflation pourraient ainsi motiver la banque centrale américaine de revoir ses taux d'intérêt pour tenter d'endiguer la crise, sans garantie de succès.En jouant la carte de l'Amérique d'abord, Donald Trump met certes un coup de pied dans le système, mais beaucoup de spécialistes considèrent qu'il se met aussi des œillères. Car au jeu de l'escalade de représailles, aucune économie ne sort gagnante, pas même celle qui a initié la guerre commerciale. La question est donc toujours celle-ci : jusqu'où ira Donald Trump dans ses mesures à l'égard des partenaires historiques des États-Unis sans que les Américains en subissent de plein fouet les conséquences ?À lire aussiComment les multinationales ont anticipé les droits de douane américains

Prima Pagina
2 aprile: Dazi day, il piano di Trump; L'ha uccisa perché respinto; Calcio e coca all'Olimpico. Di Italo Carmignani

Prima Pagina

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 24:41


Oggi il commento di Mario Ajello è sulla giornata dei dazi che oggi segna l'America e il mondo al quale si aggiunge l'analisi di Angelo Paura su come il giorno dei dazi sia diventato un reality show intercontinentale, ancora dall'America Anna Guaita commenta la richiesta di pena di morte per l'assassino di un manager delle assicurazioni sanitarie, con Lorenzo Vita andiamo in Francia per un'analisi della condanna a Marine Le Pen, quindi torniamo in Italia con l'inviata Camilla Mozzetti e la vicenda di sei ultrà indagati per spaccio di cocaina nei bagni dell'Olimpico, e oggi la pagina dello spettacolo è particolare perché Gloria Satta commenta un nuovo film che affronta il tema dell'autismo di cui oggi ricorre la giornata mondiale

La variante Parenzo
Le Pen condannata, Rassemblement National al centro della scena - Dazi, per Trump l'unico modo di governare

La variante Parenzo

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025


Le Pen condannata, Rassemblement National al centro della scena - Dazi, per Trump l'unico modo di governare

Corriere Daily
Le Pen condannata. Il terzo mandato di Trump. L'Italia invecchia ancora

Corriere Daily

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 18:12


Stefano Montefiori parla della sentenza che ha inflitto 4 anni di prigione alla leader dell'estrema destra francese (per appropriazione indebita di fondi Ue) e che la rende ineleggibile per 5 anni. Viviana Mazza spiega sulla base di che cosa il presidente degli Stati Uniti non ha negato di volersi fare rieleggere, anche se la Costituzione lo vieta. Alessia Conzonato descrive la fotografia del nostro Paese che emerge dagli indicatori demografici Istat.I link di corriere.it:Marine Le Pen condannata all'ineleggibilità per 5 anniTrump, offensiva contro l'America: lacci ai sindacati, tagli, intimidazioni a giudici e studi legaliIstat, sale la speranza di vita: nel 2027 andremo in pensione tre mesi dopo, ecco perché

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : "Un Le Pen ne meurt jamais", "Le «rendons l'argent» du PDG de Total" et "Trump, l'Asie lui tourne le dos"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 23:02


Marine Le Pen, condamnée à quatre ans de prison dont deux avec bracelet électronique et cinq ans d'inéligibilité pour détournement de fonds européens, défie toujours la scène politique. Son départ théâtral du tribunal rappelle son image de candidate "invincible", analyse Ruth Elkrief. Avec 42 % à la dernière présidentielle, elle reste une figure majeure, malgré la mise en lumière d'un "système organisé" au sein du Parlement européen. Patrick Pouyanné, PDG de Total Energies, plaide pour que les entreprises remboursent les aides publiques perçues si elles affichent aujourd'hui d'importants bénéfices. "C'est l'argent des Français", souligne-t-il. Mais François Lenglet rappelle la complexité d'évaluer l'efficacité de ces dispositifs. Le débat reste vif entre économistes et politiques. Donald Trump veut isoler la Chine par des taxes douanières, mais Pékin, Tokyo et Séoul accélèrent leurs discussions pour un accord de libre-échange. Abnousse Shalmani note que la stratégie américaine pousse ses alliés à se rapprocher de Pékin, inversant l'effet recherché. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Che film guardo stasera?
The Apprentice – Alle origini di Trump: l'ascesa del tycoon candidata agli Oscar

Che film guardo stasera?

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 4:56


“Un film falso e privo di stile, diffamatorio e politicamente disgustoso. Spero che sia un flop”. Lo ha commentato così Donald Trump, dopo essersi visto portato in scena da Sebastian Stan in questo biopic sull'ascesa del tycoon e attuale Presidente degli Stati Uniti d'America. Al fianco dell'attore protagonista, c'è Jeremy Strong nei panni di Roy Cohn, mentore di Trump. Un film di Ali Abbasi, candidato nel 2025 a due Premi Oscar.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Dans la presse
Taxes sur l'automobile aux États-Unis : "Trump l'auto-tamponneur"

Dans la presse

Play Episode Listen Later Mar 28, 2025 5:54


A la Une ce vendredi 28 mars, le séisme provoqué par l'annonce de taxes douanières sur l'importation d'automobiles aux Etats-Unis, la guerre sans fin au Soudan, et l'image cosmique du jour. 

C dans l'air
La méthode de Trump à l'épreuve de... Poutine - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 4:53


C dans l'air du 19 mars 2025 - La méthode de Trump à l'épreuve de... PoutineLes experts :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne, auteur de "La guerre des mondes" aux éditions Alpha- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Lucie ROBEQUAIN - Directrice des rédactions de La Tribune et la Tribune dimanche, ancienne correspondante aux Etats-Unis- Philippe DESSERTINE - Professeur à l'Université IAE Paris panthéon sorbonne, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement", publié chez Robert Laffont

C dans l'air
La méthode de Trump à l'épreuve de... Poutine - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 63:42


C dans l'air du 19 mars 2025 - La méthode de Trump à l'épreuve de... PoutineÀ l'issue de plus de deux heures d'entretien avec Donald Trump, Vladimir Poutine ne s'est finalement dit prêt qu'à une trêve partielle sur les installations énergétiques, dont les contours demeurent flous, et a accepté la poursuite des négociations. Russes et Américains doivent se retrouver dimanche en Arabie saoudite. Très optimiste, le locataire de la maison Blanche a indiqué sur son réseau Truth Social s'être entendu avec son homologue russe sur le fait d'arriver rapidement à un "cessez-le-feu total et, au bout du compte, à la FIN de cette guerre vraiment horrible". Mais si des promesses sur les infrastructures énergétiques ont été formulées par Moscou, le maître du Kremlin a également posé ses conditions pour la suite, notamment la fin de l'aide occidentale à l'Ukraine, renseignements compris. Ensemble à Berlin, Emmanuel Macron et le chancelier allemand sortant Olaf Scholz ont immédiatement affirmé qu'ils continueraient à aider Kiev. Le président de la République a également exigé que le cessez-le-feu soit "vérifiable" sur le terrain et que l'Ukraine soit invitée à la table des négociations. De son côté, le président ukrainien a estimé que les conditions posées par son homologue russe visent à "affaiblir" l'Ukraine et montrent qu'il n'est pas prêt "à mettre fin" à la guerre. Volodymyr Zelensky doit s'entretenir ce mercredi après-midi avec Donald Trump. Alors que se sont dit Vladimir Poutine et Donald Trump lors de leur appel ? Jusqu'où le président américain est-il prêt à céder pour obtenir un succès diplomatique ? Donald Trump veut à tout prix et rapidement un accord de cessez-le-feu en Ukraine pour redorer son bilan, au moment où aux Etats-Unis sa politique suscite des doutes et inquiétudes notamment sur le "front" économique. Consommateurs, investisseurs et marchés financiers baignent dans l'incertitude depuis son retour à la Maison Blanche avec le lancement d'une guerre commerciale et monétaire qui ravive le spectre d'une récession. La banque JPMorgan, qui estimait cette probabilité à 30 % début janvier, l'a désormais portée à 40 %. Donald Trump lui-même a reconnu il y a quelques jours qu'il n'excluait pas ce risque. Mais à défaut d'une récession, beaucoup d'économistes s'attendent à un ralentissement de la croissance et à une accélération de l'inflation. Thème qui était au coeur de la campagne de Donald Trump. Critiqué sur sa politique économique, le président des Etats-Unis vient également d'être rappeler à l'ordre par le président de la Cour suprême américaine, après que ce dernier a appelé à "destituer" un juge ayant ordonné la suspension d'opérations d'expulsion massives de migrants. "Depuis plus de deux siècles, il est établi que la destitution n'est pas une réponse appropriée à un désaccord concernant une décision judiciaire", a déclaré John Roberts dans un communiqué. L'attaque de Donald Trump visait un juge fédéral de Washington qui avait ordonné samedi la suspension pendant 14 jours de toute expulsion de migrants, et en particulier exigé d'interrompre une opération particulièrement spectaculaire vers le Salvador, concernant quelque 200 membres suspectés d'appartenir à un gang vénézuélien.Pendant ce temps, face à la menace russe et au désengagement américain, les Européens pressent le pas pour tenter d'assurer eux-mêmes leur défense. En Allemagne ces dernières heures les députés ont dit oui à une petite révolution, le "bazooka" budgétaire du futur chancelier allemand. Il s'agit d'un plan d'investissements géants de Friedrich Merz pour moderniser le pays mais aussi augmenter considérablement les dépenses militaires allemandes. Et ce mercredi à Bruxelles, c'est le Livre blanc sur l'avenir de la défense européenne qui est présenté par la Commission. On y retrouve les grandes lignes du plan dévoilé il y a deux semaines par Ursula von der Leyen avec un objectif affiché de 800 milliards d'euros pour mettre l'Europe de la défense en ordre de marche. Un montant ambitieux, mais dont la mise en œuvre dépend surtout de la bonne volonté des Etats membres de l'UE, soulignent des diplomates à Bruxelles. Pour les y aider, la Commission européenne veut notamment permettre aux États membres de consacrer jusqu'à 1,5 % de leur Produit intérieur brut (PIB) pendant quatre ans à des dépenses militaires, sans crainte d'enfreindre les règles budgétaires qui encadrent les déficits publics. L'idée étant d'acheter "davantage européen", au moment où la très grande majorité des investissements en matière de défense se fait en dehors de l'Union européenne.Les experts :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne, auteur de "La guerre des mondes" aux éditions Alpha- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Lucie ROBEQUAIN - Directrice des rédactions de La Tribune et la Tribune dimanche, ancienne correspondante aux Etats-Unis- Philippe DESSERTINE - Professeur à l'Université IAE Paris panthéon sorbonne, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement", publié chez Robert Laffont

Journal de l'Afrique
Accusé de "haïr Donald Trump", l'ambassadeur sud-africain expulsé des États-Unis

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 17:40


L'ambassadeur sud-africain aux États-Unis, Ibrahim Rassoul, a 72 heures pour quitter le pays. Il a été déclaré persona non grata à cause de ses critiques envers le président américain. L'Afrique du sud juge cette expulsion sans précédent, tandis que l'opposition de gauche radicale compare Trump a un leader du Ku Klux Klan.

Le débat africain
Gabon, Guinée-Bissau et Donald Trump… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Mar 7, 2025 39:00


Au sommaire : Au Gabon, alors qu'il avait promis de rendre le pouvoir au civil, le général Oligui, président de la transition, se présente finalement à l'élection présidentielle du 12 avril 2025. Qui pour le défier dans les urnes ? Autre candidature, celle du président sortant Umaro Sissoco Embalo en Guinée-Bissau qui brigue un second mandat malgré la crise politique que traverse son pays. Enfin entre guerre commerciale et tentations impériales, quelle opposition à Donald Trump ? Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : - Wuldath Mama, consultante spécialisée dans les questions internationales pour la Société de radio et de télévision du Bénin- Karine Oriot, éditorialiste au Cameroun- Dié Maty Fall, journaliste au Sénégal.

Altri Orienti
EP.114 - Trump, l'Ucraina e l'Asia

Altri Orienti

Play Episode Listen Later Mar 7, 2025 22:18


Il cambiamento radicale della posizione statunitense sul conflitto in Ucraina, finisce per avere delle ripercussioni anche per l'Asia. Un continente che proprio dall'invasione russa in Ucraina si era assestato su una serie di alleanze, in parte alimentate anche dal confronto tra Cina e Stati Uniti. Alleanze che ora rischiano, tutte, di saltare. Gli inserti audio di questa puntata sono tratti da: Trump, Zelensky meeting turns to shouting match, canale YouTube Fox4, 28 febbraio 2025; 石破総理「やや意外な展開になった」 トランプ・ゼレンスキー会談が“口論”で決裂, AnnNews, 1 marzo 2025; Chinese Foreign Minister Wang Yi Speaks on "China in the World" at Munich Security Conference, canale Youtube First Post, 17 febbraio 2025. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Les informés de France Info
Discours de Donald Trump, l'Ukraine et les Mirage 2000, le ton montre entre la France et la Russie ...Les informés de franceinfo du vendredi 07 mars 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Mar 7, 2025 55:06


durée : 00:55:06 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce vendredi autour de Victor Matet.

Ana Francisca Vega
'Claudia Sheinbaum sabe hablar con Donald Trump, él la respeta': Rafael Fernández de Castro

Ana Francisca Vega

Play Episode Listen Later Mar 7, 2025 8:48


En entrevista para MVS Noticias con Ana Francisca Vega, Rafael Fernández de Castro, director del Centro de Estudios México-EU, habló sobre que Claudia Sheinbaum prevé que México quede prácticamente sin aranceles ante tarifas recíprocas de EU. See omnystudio.com/listener for privacy information.

La variante Parenzo
Zelensky ci ripensa e si “rimette” a Trump - L'arresto di Stefania Nobile: accuse di spaccio e prostituzione

La variante Parenzo

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025


Zelensky ci ripensa e si “rimette” a Trump - L'arresto di Stefania Nobile: accuse di spaccio e prostituzione

C dans l'air
Trump lâche l'Ukraine, Poutine jubile - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 63:13


C dans l'air du 4 mars 2025 - Ukraine : Trump suspend l'aide militaireForcer la paix en Ukraine et accentuer la guerre commerciale. Après la rencontre de vendredi à la Maison-Blanche, qui a tourné en affrontement verbal, devant les caméras du monde entier, entre Volodymyr Zelensky, Donald Trump et JD Vance, les États-Unis ont décidé de resserrer encore l'étau sur le dirigeant ukrainien, en décidant cette nuit de la suspension de l'aide militaire cruciale à Kiev. "Ce gars ne veut pas de paix tant qu'il a le soutien des États-Unis", a écrit hier Donald Trump sur son réseau social. Le président américain a ordonné une "pause" dans les livraisons d'armes et de munitions, accordées par son prédécesseur aux Ukrainiens en guerre contre la Russie.Le vice-président américain JD Vance a, de son côté, estimé sur Fox News que le président ukrainien avait "montré un refus clair de s'engager dans le processus de paix". "Il n'y était pas encore, et je pense, franchement, qu'il n'y est toujours pas, mais je pense que nous finirons par y arriver. Il le faut", a-t-il dit.Avec ce gel de l'aide militaire, l'administration Trump entend contraindre le dirigeant ukrainien à accepter un cessez-le-feu sans conditions. Obtenir des garanties de sécurité américaines est "d'une importance existentielle" pour Kiev, mais aussi pour l'Union européenne, a martelé ce mardi le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal, lors d'une conférence de presse. L'Ukraine s'est dit "déterminée à poursuivre sa coopération" avec Washington et prête à signer "à tout moment" l'accord-cadre sur l'exploitation de ses ressources naturelles par les États-Unis, mais elle ne fera pas de concessions territoriales. Kiev a également indiqué "discuter" avec les Européens de la possibilité de remplacer l'aide militaire américaine.L'UE, par la voix de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a dans la matinée dévoilé un plan pour "réarmer l'Europe" qui doit lui permettre de mobiliser près de 800 milliards d'euros pour sa défense, et fournir une aide immédiate à l'Ukraine, alors que la décision américaine se fait déjà ressentir dans le principal centre logistique en Pologne. La situation est "très grave" a déclaré le porte-parole du ministère polonais des Affaires étrangères, soulignant que cette décision américaine "d'une grande importance politique" a été prise "sans aucune information ni consultation" des alliés de l'OTAN. Dans une interview à CNN, le président finlandais Alexander Stubb a proposé de son côté que l'Ukraine devienne automatiquement membre de l'OTAN si la Russie venait à rompre un cessez-le-feu, se faisant l'écho d'une suggestion émise par un sénateur américain proche de Donald Trump. Mais le président américain, lui, exclut l'idée d'une adhésion de l'Ukraine à l'OTAN - ligne rouge pour Moscou - et le vice-président américain s'en est encore pris aux Européens, les appelant à être "réalistes", plaidant le fait que "cette guerre ne peut pas durer indéfiniment." Déjà à la mi-février, l'ex-sénateur de l'Ohio avait stupéfié les responsables européens en se lançant dans une violente attaque contre les démocraties européennes et en les appelant à rompre le "cordon sanitaire" avec l'extrême droite. L'altercation avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 28 février dans le Bureau ovale, a illustré le poids prédominant qu'il occupe désormais à la Maison-Blanche et son souhait de radicaliser la politique étrangère américaine.Parallèlement, le président américain a décidé d'intensifier sa guerre commerciale. Depuis ce matin, les produits canadiens et mexicains qui entrent sur le sol américain sont taxés à 25 %, et les droits de douane sur les produits chinois sont passés à 20 %. En réponse, le Canada et la Chine ont décidé d'imposer des taxes sur les produits américains.Les experts :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, auteur de La guerre des mondes- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de "Qui est vraiment Donald Trump ?"- Antoine VITKINE - Journaliste, réalisateur du documentaire "Opération Trump : les espions russes à la conquête de l'Amérique"- Anastasia FOMITCHOVA (en duplex de Kiev) - Docteur en sciences politiques rattachée à la chaire d'études ukrainienne de l'université d'Ottawa.

Le 13/14
Donald Trump, l'homme de Moscou avec Régis Genté

Le 13/14

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 15:46


durée : 00:15:46 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Donald Trump, l'homme de Moscou avec Régis Genté

Le 13/14
Donald Trump, l'homme de Moscou avec Régis Genté

Le 13/14

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 59:05


durée : 00:59:05 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Correspondant pour RFI depuis près de 20 ans en Géorgie, Régis Genté a publié à l'automne dernier une enquête consacrée à Donald Trump et aux relations qu'il entretient avec la Russie et son président Poutine. A partir de 13h30 il apporte son analyse sur les dernières déclarations du président US.

La Revue de Presse
Face à Trump, l'Europe est seule face à son destin

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Mar 3, 2025 7:05


Forcés de reprendre le flambeau dans la guerre en Ukraine, les Européens sont-ils prêts aux efforts et aux sacrifices ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le sept neuf
Le monde selon Trump : "L'Otan n'a jamais traversé une crise aussi grave"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 27:21


durée : 00:27:21 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Alors que le président américain règne déjà d'une main de fer sur son pays, allant jusqu'à effrayer les traditionnels alliés de son pays, nous vous proposons un Grand Entretien spécial pour décrypter sa vision de la géopolitique.

Les interviews d'Inter
Le monde selon Trump : "L'Otan n'a jamais traversé une crise aussi grave"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 27:21


durée : 00:27:21 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Alors que le président américain règne déjà d'une main de fer sur son pays, allant jusqu'à effrayer les traditionnels alliés de son pays, nous vous proposons un Grand Entretien spécial pour décrypter sa vision de la géopolitique.

Pascal Praud et vous
Paix en Ukraine, les relations entre Emmanuel Macron et Donald Trump : L'Heure des Pros du 25/02/2025

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 22:27


Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce mardi, il revient sur la visite d'Emmanuel Macron à Washington pour négocier la paix en Ukraine avec Donald Trump. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.

C dans l'air
Défendre l'Ukraine… sans Trump ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 24, 2025 63:36


C dans l'air du 24 février 2025 - Défendre l'Ukraine… sans Trump ? Emmanuel Macron est en visite officielle à Washington, ce lundi 24 février, où il va rencontrer Donald Trump pour aborder la guerre en Ukraine qui a débuté il y a tout juste trois ans. L'objectif du président de la République est clair : peser dans le jeu diplomatique et défendre les intérêts des Européens, sur fond de rapprochement accéléré entre les Etats-Unis et la Russie. L'Ukraine comme les membres de l'UE craignent d'être sacrifiés dans ces négociations qui se déroulent pour l'instant sans eux. Le chef de l'Etat va donc tenter de changer la donne ce soir. "Je vais lui dire : 'Au fond, tu ne peux pas être faible face au président Poutine. Ce n'est pas toi, pas ta marque de fabrique, pas ton intérêt'", a -t-il affirmé jeudi lors d'un échange sur les réseaux sociaux. Le président de la République espère démontrer à son homologue américain qu'en cédant trop à la Russie, il encouragerait son adversaire numéro un, la Chine, à pousser son avantage à Taïwan. "Toi qui veux que la Chine ne vienne pas contester Taïwan, comment expliquer que la Chine n'a pas le droit d'envahir Taïwan et que la Russie aurait le droit d'envahir l'Ukraine ?" a expliqué Emmanuel Macron. Le chef de l'Etat entend aussi jouer la carte économique alors que Donald Trump a fait de la "diplomatie transactionnelle" sa marque de fabrique depuis son retour à la Maison-Blanche.De son côté le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé à une "paix réelle et durable" en 2025, ce lundi, lors d'un sommet organisé à Kiev avec treize dirigeants européens dont la présidente de la Commission européenne. "Nous sommes à Kiev aujourd'hui, parce que l'Ukraine, c'est l'Europe. Dans cette lutte pour la survie, ce n'est pas seulement le destin de l'Ukraine qui est en jeu. C'est le destin de l'Europe", a déclaré Ursula von der Leyen avant d'annoncer qu'une nouvelle aide de 3,5 milliards d'euros pour l'Ukraine "arrivera dès le mois de mars".Que peuvent espérer la France et les Européens de cette rencontre à Washington ? Quels en sont les enjeux pour l'Ukraine et le Vieux continent ? Assiste-t-on au réveil des Européens ? Quelle défense européenne ? Vainqueur des élections législatives allemandes ce dimanche 23 février, le chef du parti conservateur Friedrich Merz a reconnu que ses "priorités absolues" était désormais le renforcement de la défense européenne afin que l'Europe atteigne "progressivement l'indépendance vis-à-vis des Etats-Unis". Face au gouvernement américain qui "se montre largement indifférent au sort de l'Europe", celui qui est appelé à former le prochain gouvernement allemand a évoqué "une capacité de défense européenne autonome" comme alternative à "l'Otan dans sa forme actuelle". Vendredi, veille du scrutin, il avait estimé que la garantie de sécurité américaine n'était plus assurée, et qu'il allait se rapprocher de la France et du Royaume-Uni pour voir comment leur "parapluie" nucléaire pouvait s'étendre à l'Allemagne. Des propos qui marque un changement de cap historique à Berlin, et en particulier au sein de la CDU, fervente partisane depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale de la doctrine de sécurité transatlantique, alors que l'histoire s'accélère et que Vladimir Poutine n'a jamais semblé aussi près de gagner sa guerre en Ukraine, trois ans après avoir débuté l'invasion du pays.Après trois ans de combats acharnés qui ont fait des centaines de milliers de victimes des deux côtés, pour le maître du Kremlin, la promesse de négociations est un premier pas vers une fin de la guerre aux conditions russes. Un scénario du pire pour l'Europe et les Ukrainiens qui n'ont néanmoins pas dit leur dernier mot. Car si dans la population ukrainienne il y a une forme de lassitude et une division entre ceux qui se battent et ceux qui ne se battent pas, il y a également de l'espoir et beaucoup de résistance. Nos journalistes se sont rendus dans le pays et ont rencontré des couples qui ont décidé d'avoir un enfant malgré tout. Donner la vie est vécu pour certains d'entre eux comme un acte patriotique de résistance, mais c'est surtout une façon de se projeter dans un pays en paix.Les experts :- Général Jean-Paul PALOMÉROS - Ancien chef d'état-major, ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Marion VAN RENTERGHEM- Grand reporter, chroniqueuse - L'Express - Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationaleUniversité Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
Allemagne : un nouveau chancelier... Face à Trump - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 21, 2025 64:29


C dans l'air du 21 février 2025 - Allemagne : un nouveau chancelier... Face à TrumpJ-2 avant les élections. Les Allemands sont appelés aux urnes ce dimanche pour élire leurs 630 représentants au Bundestag lors des élections législatives anticipées. Le Parti social-démocrate (SPD) du chancelier sortant Olaf Scholz s'achemine vers une débâcle, crédité de seulement 15 % des intentions de vote. Face à lui, les conservateurs de la CDU-CSU font largement la course en tête. Sûrs de leur victoire, ils sont donnés à 30% dans les sondages. Leur chef de file, Friedrich Merz, ancien rival d'Angela Merkel, appelle les Allemands à lui donner un mandat fort. Objectif : un score sans appel pour imposer leur ligne dure sur l'immigration. Car derrière les conservateurs, l'extrême droite d'Alternative pour l'Allemagne (AfD) est en embuscade. Le parti emmené par Alice Weidel est en pleine ascension. Il compte 20% d'intentions de vote, soit le double de son score obtenu quatre ans plus tôt seulement. Et il est désormais soutenu par l'entourage du président américain, Donald Trump. Depuis décembre, le milliardaire Elon Musk s'implique personnellement dans la campagne. L'homme le plus riche du monde multiplie les appels à voter pour le parti d'Alice Weidel, à base de messages sur son réseau social X, de tribunes dans la presse et de déclarations polémiques. Le vice-président américain J. D. Vance lui-même a lancé un appel implicite en faveur du parti. Lors de son intervention à la Conférence sur la sécurité à Munich, il a en effet enjoint les dirigeants européens à travailler avec l'extrême droite.Mais le très probable futur chancelier Friedrich Merz a, à plusieurs reprises, exclu tout scénario de coalition avec l'AfD après les élections, au nom de la doctrine du cordon sanitaire qui prévaut en Allemagne depuis l'après-guerre.Quelque soit le résultat du scrutin, la montée de l'AfD en sera très probablement l'un des faits marquants. Le parti d'extrême droite promet notamment la "fermeture des frontières" et l'expulsion de milliers d'immigrés.Un programme qui inquiète fortement les entreprises outre-Rhin. Celles-ci sont confrontées à un problème majeur : le vieillissement de la population. Le déclin démographique allemand entraine une pénurie de main-d'œuvre, qui constitue le plus grand défi du pays, selon le ministre de l'Economie Robert Habeck. Or, ce manque est aujourd'hui largement compensé par l'immigration de travail. Pas moins de 14 millions d'étrangers travaillent aujourd'hui en Allemagne. Mais malgré cela, les entreprises peinent à recruter. Dans une profession sur six, il y a une pénurie de travailleurs qualifiés. Selon l'IAB, l'institut de recherche pour le travail et l'emploi, 2 millions de postes sont vacants, un record absolu dans l'histoire du pays.L'agence pour l'emploi estime à 400 000 arrivées par an le besoin d'immigration. Certaines entreprises se mobilisent et sont ainsi entrées en campagne contre l'AfD, qui menace, selon elles, l'économie du pays.L'économie est déjà dégradée, après deux ans de récession. Un secteur symbolise les difficultés actuelles de l'Allemagne : l'industrie, qui pèse près d'un quart du PIB. C'est notamment l'avenir de l'automobile, secteur numéro un du pays, qui inquiète. Il se heurte aujourd'hui au risque de délocalisations massives.En quelques années, les dirigeants des groupes automobiles allemands se sont en effet retrouvés brutalement concurrencés par les géants des logiciels, côté américain, et par les spécialistes des batteries, côté asiatique. Ils n'étaient pas préparés. Le constructeur Volkswagen va ainsi supprimer 35 000 emplois d'ici à 2030 outre-Rhin, soit près d'un tiers de ses effectifs. Son concurrent Mercedes-Benz a vu ses bénéfices fondre l'an passé et s'attend à une année 2025 également difficile. De son côté, l'équipementier pneumatique Continental a annoncé le 30 janvier dernier la fermeture de cinq usines en Allemagne, avec 580 nouveaux emplois menacés, en raison de la faiblesse du secteur.Quel sera le verdict des urnes en Allemagne ?Le programme de l'AfD s'oppose-t-il aux intérêts de l'industrie allemande ?Le secteur automobile allemand peut-il remonter la pente ?Les experts :- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV - Spécialiste des questions internationales- RICHARD WERLY - Journaliste - Correspondant à Paris du média suisse Blick.ch- BERTRAND GALLICHER - Grand reporter – Ancien correspondant à Berlin- GERALDINE SCHWARZ - Journaliste Franco-Allemande - Auteure de « D'où nous venons, ce qui nous unit, ce qui nous divise »

Aujourd'hui l'économie
Face à Donald Trump, l'Union européenne recherche de nouvelles alliances

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Feb 13, 2025 3:10


L'Union européenne se montre à la manœuvre pour faire face à l'avalanche de décisions prises par Donald Trump. La présidente de la Commission entend répondre frontalement au président américain. Mais en parallèle, l'exécutif européen s'active pour sceller de nouveaux partenariats. Décryptage. C'est un invité de marque qui est arrivé à Bruxelles ce mercredi 12 février 2025, le Premier ministre canadien Justin Trudeau. Son pays est dans le viseur de Donald Trump, en sursis pour encore trois semaines de droits de douanes de 25% notamment. Une visite dans l'intérêt et des Européens et des Canadiens, avec un objectif : resserrer leurs liens commerciaux déjà bien noués avec le Ceta.Parce qu'on le rappelle, Donald Trump veut s'en prendre à l'UE. L'une des mesures phare qu'il entend imposer, et pas qu'aux Européens d'ailleurs, c'est l'entrée en vigueur de nouveaux droits de douane de 25% sur l'acier et l'aluminium. Et si le président américain en a après l'UE, c'est parce que les États-Unis importent plus qu'ils n'exportent vers le continent européen. Ce déficit commercial au détriment de Washington est d'ailleurs estimé à environ 180 milliards d'euros.À lire aussiLe Canada et l'Union européenne se serrent les coudes face aux droits de douane américainsDes discussions tous azimuts C'est vrai que Bruxelles est déjà signataire de bon nombre d'accords commerciaux, une quarantaine couvrant plus de 70 pays. Mais le bloc européen, malgré les messages de fermeté, s'inquiète des conséquences que pourraient avoir les mesures de Donald Trump. Mi-décembre, la Commission européenne a scellé l'accord de libre-échange avec les pays d'Amérique latine membres du Mercosur. Et à la veille de l'investiture du président américain, c'est avec le Mexique qu'il y a eu entente. Les négociations n'avançaient pratiquement plus, l'actualité nord-américaine a donc eu l'effet d'un électrochoc. À lire aussiDroits de douane contre le Mexique et le Canada : les raisons du renoncement de Donald TrumpLe commissaire européen au Commerce, de son propre aveu, l'affirme, il y a « un énorme intérêt à accélérer les négociations de libre-échange avec l'UE ». L'exécutif européen a justement repris les discussions avec la Malaisie autour d'un accord de ce type alors qu'elles étaient à l'arrêt depuis dix ans. On peut retenir aussi l'intérêt croissant de Bruxelles pour l'Inde. Le pays sera d'ailleurs la destination du premier voyage officiel du second mandat de la présidente de la commission. Et puis en début de semaine, l'Afrique du Sud, cible également de Donald Trump, a émis le souhait de renforcer son partenariat avec les Européens. Encore faut-il s'entendre Si l'on veut conclure, tout pourrait bien se passer pour l'Union européenne. Mais il faut relativiser, tout n'est pas si simple. Déjà parce qu'en concluant des accords à la hâte, il y a de fortes chances qu'ils soient moins ambitieux que s'ils aient été minutieusement négociés. Ils pourraient donc être moins opportuns pour les Européens.Et puis surtout, c'est le grand sujet finalement. Il faut que les pays membres parlent d'une seule et même voix et on le constate, ce n'est pas le cas. Il y a de profondes divergences au sein du continent, notamment entre les deux leaders que sont la France et l'Allemagne. Quoi qu'il en soit, la politique commerciale de Donald Trump tend à faciliter les nouvelles alliances entre l'Union européenne et d'autres pays. L'enjeu maintenant, c'est que les Européens fassent front uni et s'intègrent dans cette dynamique ! 

InterNational
Donald Trump : l'homme qui trolle la planète

InterNational

Play Episode Listen Later Feb 5, 2025 36:07


durée : 00:36:07 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Depuis son investiture, Donald Trump multiplie les annonces choc : dizaines de décrets, lancement d'une guerre commerciale rapidement avortée et, aujourd'hui, entre autres, la proposition de transformer Gaza en zone balnéaire. Jusqu'où ira cette stratégie de la sidération ? - réalisé par : Thomas Lenglain

C dans l'air
Groenland : Trump à l'assaut… l'Europe en panique - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 28, 2025 63:51


C dans l'air du 28 janvier 2025 - Groenland : Trump à l'assaut… l'Europe en paniqueDonald Trump accentue sa pression sur le Groenland. Début janvier, le président américain avait refusé d'exclure une intervention militaire sur ce territoire autonome du Danemark. Après l'échange téléphonique tendu du 15 janvier avec la Première ministre danoise, lors duquel Trump a menacé d'augmenter les tarifs douaniers sur les exportations aux Etats-Unis (premier marché extérieur danois), c'est au tour du Danemark d'hausser le ton. "Le niveau de menace dans l'Arctique et l'Atlantique Nord s'est aggravé. Nous devons donc renforcer de manière significative la présence de la défense dans ces régions", a alerté le ministre danois de la Défense, Troels Lund Poulsen. Le Danemark vient d'annoncer 2 milliards d'euros d'investissement militaire dans la région permettant d'acquérir notamment trois navires supplémentaires et des drones à "longue portée". Copenhague avait déjà adopté cette stratégie en 2021, lorsque Donald Trump avait formulé pour la première fois son intention de racheter l'île. Mais les investissements danois au Groenland ne se sont pas complètement matérialisés, notamment à cause de coupes dans le budget de la défense depuis l'invasion en Ukraine. Côté Groenland, on temporise : l'île n'est pas à vendre, a répété son Premier ministre Mute Egede, mais il est "ouvert aux affaires". Pendant ce temps, la Première ministre danoise a entamé une tournée européenne, de Berlin à Paris en passant par Bruxelles, pour obtenir le soutien de ses homologues.Une chose est sûre, les Européens ne seront pas épargnés par Donald Trump. Ni par son fidèle allié et milliardaire Elon Musk. Après avoir affirmé son soutien à la dirigeante du parti d'extrême droite allemand AfD, Alice Weidel, début janvier, voilà que le fondateur de Tesla s'est trouvé une nouvelle coqueluche au Parlement européen : le député chypriote Fidias Panayiotou. "Fidias comme président de l'UE !!", a-t-il même tweeté fin novembre alors que le jeune Youtuber au 2,7 millions d'abonnés se présentait aux élections européennes sans aucune expérience politique. Les deux hommes s'étaient rencontrés en 2023 à l'occasion d'une vidéo de Fidias Panayiotou. Depuis, ils entretiennent une relation étroite. Le jeune chypriote ne cache pas son admiration pour le milliardaire américain, lui qui voit la plateforme X comme un outil de "démocratie directe". Il y publie régulièrement des sondages, au relents populistes, à ses 174 000 abonnés, demandant par exemple s'il faut "virer 80 % des bureaucrates de l'UE". Elon Musk avait d'ailleurs liké cette publication.Aux Etats-Unis, c'est l'annonce du lancement de DeepSeek, l'IA générative chinoise qui veut concurrencer Chat GPT, qui suscite l'inquiétude du secteur de la tech. Les ingénieurs chinois auraient-ils réussi à faire mieux que les Américains avec beaucoup moins de moyens ? Une chose est sûre, l'engouement autour de la start-up chinoise est réel. Ce week-end, DeepSeek est devenue l'application gratuite la plus téléchargée sur l'App Store américain d'Apple, dépassant ChatGPT. Sam Altman, le patron d'OpenAI, a lui-même qualifié sur X le rendu d'"impressionnant (…) "Surtout étant donné ce qu'ils sont capables de fournir pour le prix". Résultat, certaines entreprises américaines de la tech ont plongé hier en bourse, à l'image d'Nvidia qui a perdu près de 590 milliards de dollars de capitalisation boursière. Le succès au lancement de DeepSeek vient aussi contrecarrer le méga-projet d'intelligence artificiel "Star Gate" de Donald Trump. La semaine dernière, le président américain avait annoncé des investissements d'au moins 500 milliards de dollars dans des infrastructures de data centers géants aux États-Unis.Comment l'Union européenne peut-elle aider le Danemark face aux ambitions expansionnistes de Donald Tump au Groenland ? Pourquoi Elon Musk s'est passionné pour un jeune député européen chypriote ? Et le lancement de DeepSeek peut-il rebattre les cartes de la course à l'intelligence artificielle ?Les experts :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste et spécialiste des questions internationales - France Info TV- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter - Chroniqueuse - L'Express- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale à l'Université catholique de Lille

C dans l'air
Groenland : Trump à l'assaut… l'Europe en panique - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 28, 2025 5:02


C dans l'air du 28 janvier 2025 - Groenland : Trump à l'assaut… l'Europe en paniqueLes experts :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste et spécialiste des questions internationales - France Info TV- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter - Chroniqueuse - L'Express- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale à l'Université catholique de Lille

Les matins
L'évêque Mariann Budde contre Trump / L'Europe : un moment polonais / Voyou à l'Hyper Weekend Festival

Les matins

Play Episode Listen Later Jan 25, 2025 119:52


durée : 01:59:52 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du Samedi, on s'intéresse à l'opposition chrétienne à Donald Trump aux Etats-Unis, à un moment Polonais au sein de l'Europe et au dernier album de Voyou. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Blandine Chelini-Pont Professeure d'histoire contemporaine et de relations internationales à l'Université Aix-Marseille; Isabelle Davion Maîtresse de conférences en histoire contemporaine à Sorbonne Université. Spécialiste de l'Europe centre-orientale.; Jérôme Heurtaux Politiste, ancien directeur du CEFRES à Prague, maître de conférences en science politique à l'Université Paris-Dauphine; Voyou Musicien français, trompettiste de formation, multi-instrumentaliste, auteur, compositeur

LARB Radio Hour
Trump L'Oeil: Spectacle in the Age of Trump

LARB Radio Hour

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 56:10


In this week's episode, Medaya Ocher, Kate Wolf, and Eric Newman are joined by LARB contributor Gideon Jacobs for a discussion about the power of images in the era of Trump. Recorded in the hours after Trump's inauguration, Gideon and the hosts talk about how Trump and his associates use images and spectacle, the flattening and coarsening of our politics, and the possibilities for counter-imaging in dark times. You can read Gideon's essay, “Trump L'Oeil,” here at the Los Angeles Review of Books.

Géopolitique
Donald Trump, l'apprenti-sorcier qui veut changer l'ordre mondial

Géopolitique

Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 3:17


durée : 00:03:17 - Géopolitique - Donald Trump annonce un changement de l'ordre mondial hérité de 1945 : il privilégie la force au droit, et ne croit pas au multilatéralisme. Cela signifie un choc pour le reste du monde, et en particulier pour les alliés de l'Amérique, à commencer par les Européens fragilisés.