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Le thème : faire de l'histoire au Canada à l'ère TrumpL'invité : Eric Jennings, professeur à l'université de TorontoLes émissions mentionnées :152. La filière martiniquaise pour fuir Vichy, avec Eric Jennings243. Faire de l'histoire en Belgique, avec Pieter Lagrou et Amandine LauroPrécommandez le livre "Guerres oubliées" : https://fr.ulule.com/conflits/ Un podcast créé, animé et produit par André Loez et distribué par Binge Audio. Contact pub : project@binge.audioHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
VOV1 - Tổng thống Mỹ Donald Trump tối 24/10 (theo giờ Washington) đã lên đường công du 3 nước châu Á là Malaysia, Nhật Bản và Hàn Quốc. Đây là chuyến đi đầu tiên của ông tới châu Á kể từ khi quay trở lại Nhà Trắng.
Raith, Anne www.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9
Raith, Anne www.deutschlandfunk.de, Informationen am Mittag
Une autre vague de suppression d'emplois a été annoncée par le fabricant de camions Paccar de Sainte-Thérèse. Ces 300 congédiements s'ajoutent aux 500 annoncés plus tôt en raison des tarifs américains de Donald Trump. Cette politique tarifaire a un impact dévastateur au Canada.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
C dans l'air du 18 octobre 2025 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky repart bredouille de son voyage américain. En visite hier à Washington, il espérait obtenir de Donald Trump des missiles de longue portée Tomahawk pour lutter plus efficacement contre la Russie. Mais le président des Etats-Unis lui a opposé une fin de non-recevoir et a exhorté Kiev et Moscou à trouver un accord pour mettre fin à la guerre.Le locataire de la Maison-Blanche a en effet clairement indiqué que sa priorité était désormais la diplomatie, et craint que la fourniture de Tomahawk ne puisse la compromettre. Auréolé par la réussite de la première phase de son plan à Gaza, Donald Trump ambitionne la réalisation d'un scénario similaire en Ukraine. Cette pause dans son soutien à l'Ukraine représente un revers pour Zelensky, qui espérait des engagements concrets de la première puissance mondiale. Si le président américain souhaite la paix en Ukraine, il mène des opérations militaires dans la mer des Caraïbes. Depuis septembre, plusieurs bateaux sont pris pour cible par l'armée américaine au large du Vénézuela. Pour justifier ces frappes, Washington accuse ces embarcations d'être celles de narcotrafiquants important de la drogue sur le sol américain. Ces opérations ont fait plusieurs dizaines de morts et soulèvent des questions quant à leur légalité.Le président du Vénézuela Nicolas Maduro dénonce le mépris du droit international par les Etats-Unis. Pour Trump, tout semble permis, au nom de la lutte contre le narcotrafic mais aussi de celle contre l'immigration illégale dans son pays.Le locataire de la Maison-Blanche bafoue les règles en vigueur, y compris sur son propre sol. Pour mener à bien sa promesse d'expulsions par millions, les arrestations sont massives dans de nombreuses villes américaines. Les migrants hispaniques sont particulièrement visés. Certains sont interpellés jusque sur leurs lieux de travail.Quand des villes tentent de s'opposer à sa politique, Donald Trump n'hésite pas à envoyer la Garde nationale. Et lorsque la justice le désavoue sur bienfondé juridique de son action, le milliardaire ne baisse pas les bras. Il menace désormais Boston et Los Angeles de se voir retirer l'accueil de la Coupe du Monde de football l'an prochain si ces municipalités faisaient, selon lui, “du mauvais travail”. Les migrants ne sont pas la seule population ciblée par le président américain. Les personnes transgenres sont, elles aussi, dans son viseur. Une équipe de C dans l'air a rencontré Myles et Michaela, un jeune couple du Michigan. Myles était une femme, et a transitionné à l'âge de 23 ans pour devenir un homme. Le couple raconte son quotidien, dans la peur, au fil des attaques répétées depuis le retour de Donald Trump au pouvoir. Myles et Michaela envisagent de quitter le pays si la pression devient trop forte. Pour l'heure, ils essaient de ne pas trop penser au lendemain. LES EXPERTS :Anthony Bellanger - Editorialiste FranceinfoTV - spécialiste des questions internationalesCorentin Sellin - Vous êtes historien, spécialiste des Etats-UnisIsabelle Lasserre - Correspondante diplomatie au FigaroKéthévane Gorjestani - Chroniqueuse internationale à France 24
Les États-Unis s'apprêtent à vivre la journée de contestation la plus dense depuis le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier. Plus de 2 700 rassemblements sont prévus aujourd'hui, un peu partout dans le pays, à l'appel du mouvement « No Kings », « pas de roi » en français. Le président américain est omniprésent sur la scène internationale, mais sa politique soulève de plus en plus de critiques dans son propre pays. Analyse de ce phénomène avec Romuald Sciora, directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis de l'Iris. Et auteur de L'Amérique éclatée, plongée au cœur d'une nation en déliquescence chez Armand Colin. À lire aussiGaza: au début de la deuxième phase de négociations, Israël maintient la pression sur le Hamas À lire aussiDonald Trump annonce qu'il reverra Vladimir Poutine à Budapest
TRUMP - l'oeil - MAZZUCCO live - Puntata 349Con Massimo MazzuccoDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/border-nights--654467/support.
Dopo poco più di due anni di conflitto è avvenuto l'atteso ritorno degli ostaggi israeliani rapiti da Hamas. A Gaza sono invece arrivati poco meno di 2mila detenuti palestinesi. Per il Presidente statunitense è "l'alba di un nuovo Medio Oriente", come ha affermato dinanzi alla Knesset. Dopo la tappa in Israele, Trump è voluto a Sharm el Sheikh per il vertice della pace. Presente anche la Presidente del Consiglio Giorgia Meloni.Commentiamo tutte queste notizie insieme a Valentina Furlanetto, inviata di Radio 24 a Tel Aviv e poi Giuseppe Dentice, analista OSMED (Osservatorio Mediterraneo) dell'Istituto di Studi Politici S. Pio V. La Toscana (ri)sceglie Giani. Con noi per parlarne Emilia Patta, commentatrice politica de Il Sole 24 Ore. Dopo l'omicidio in pieno centro dell'altra sera, si torna a parlare della questione sicurezza legata alla città di Palermo. Ci facciamo raccontare la situazione da Fabio Geraci, giornalista de Il Giornale di Sicilia.
VOV1 - Trong một tuyên bố quan trọng trước thềm hội nghị thượng đỉnh hoà bình tại Ai Cập, Tổng thống Mỹ Donald Trump hôm qua tuyên bố cuộc chiến ở Dải Gaza “đã kết thúc”. Ông đồng thời kêu gọi các nhà lãnh đạo Ả Rập nắm bắt thời cơ để kiến tạo một nền hòa bình lâu dài trong khu vực.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce lundi, il revient sur la libérations des otages israéliens détenus depouis 737 jours à Gaza et sur l'accueil en héros de Donald Trump. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la libération des otages israéliens détenus à Gaza depuis deux ans avec un Donald Trump accueilli en héros et le nouveau gouvernement Lecornu qui est déjà menacé de censure. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 10/10/2025 Ce vendredi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Catherine Tricot, directrice de la revue "Regards", Antoine Buéno essayiste et Richard Werly correspondant à Paris du quotidien suisse "Blick", ainsi que la dessinatrice de presse Marie Morelle. Tour de vis autoritaire aux États-Unis : la démocratie américaine en péril ?Le 47e président des États-Unis, Donald Trump, a déclaré ce mercredi vouloir l'emprisonnement du maire de Chicago, Brandon Johnson, ainsi que le gouverneur de l'Illinois, J.B. Pritzker. Il accuse ces deux démocrates de ne pas protéger les membres de la police de l'immigration (ICE) et de les empêcher de faire leur travail. Le président américain avait demandé le déploiement de 700 gardes nationaux à Chicago ce week-end, ville démocrate qu'il juge violente et dangereuse pour ses habitants. L'opposition démocrate a contesté la légalité du décret devant les tribunaux, et ce jeudi 9 octobre, une juge fédérale a suspendu ce déploiement justifiant qu'il n'y a aucune preuve crédible quant à un danger de “rébellion". La mouvance antifa est dans le viseur de Donald Trump qu'il désigne comme "terroriste" ainsi que l'immigration. Mais, beaucoup considèrent ces actions comme des actes politiques afin de nuire directement à ses opposants. La dérive autoritaire est-elle déjà bien présente aux États-Unis ?Un nouveau Premier ministre à Matignon : reculer pour mieux sauter ?Après la démission de Sébastien Lecornu, lundi 6 octobre, l'Élysée a déclaré deux jours plus tard que le nouveau premier ministre sera annoncé d'ici 48 heures par le président Emmanuel Macron. Le Rassemblement national, ce matin, s'est dit ouvert à un "accord de gouvernement" avec la droite dans l'hypothèse d'une nouvelle dissolution, une première. Objectif : une majorité absolue à l'Assemblée. Pour rappel, le futur premier ministre a jusqu'au lundi 13 octobre pour présenter au Conseil des ministres son budget. Nous recevons, Corentin de Chatelperron, qui publie "L'appart du Futur" aux éditions Actes Sud. En plein cœur du Grand Paris, accompagné de Caroline Pultz, ils ont imaginé ensemble un logement low-tech pour limiter au maximum les émissions de CO2 et l'utilisation des ressources avec, par exemple, l'utilisation d'une douche champignonnière. Le livre s'accompagne d'une série documentaire du même nom disponible à partir du 15 octobre sur arte, ainsi qu'une exposition le 11 octobre à Boulogne-Billancourt.Le second tour de l'élection législative partielle dans le Tarn-et-Garonne aura lieu ce dimanche. Cette élection aurait dû, a priori, passer inaperçue puisque, quel que soit le résultat, les équilibres à l'Assemblée nationale ne seront pas changés. C'était sans compter la consigne de vote de Bruno Retailleau, patron des Républicains, qui a déclaré sur CNews : "Pas une seule voix pour la gauche”, alors que s'affronteront Cathie Bourdoncle, socialiste, et Pierre-Henri Carbonnel, candidat UDR/RN. Autrement dit, mieux vaut une victoire du RN qu'une victoire du PS, selon le chef de file des LR. C'est le duel de la semaine de Valérie Brochard. Le Parlement européen a voté mercredi 8 octobre l'interdiction de l'association de termes liés à la viande à des produits ne contenant que des matières végétales. Si elle doit encore être négociée avec les 27 États européens, cette mesure s'inscrit dans une bataille qui fait rage notamment sur les réseaux sociaux entre influenceurs convaincus des bienfaits du mode de vie viandards et végétariens sensibles au bien-être animal. C'est le Point Com de Marjorie Adelson.Depuis deux semaines, le procès, dans le Tarn, de Cédric Jubillar, accusé d'avoir assassiné son épouse Delphine, disparue en décembre 2020, passionne le pays. Mercredi, la mère de l'accusé comparaissait pour parler de son fils, de ses regrets de ne pas s'en être suffisamment occupé enfant et de ses remords pour ne pas être intervenue quand sa relation avec Delphine a commencé à se détériorer. C'est l'Histoire de la semaine de Frédéric Pommier. Enfin, ne manquez pas notre Une internationale à propos de l'accord de paix pour Gaza, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi qu'une question très intéressante de David Castello-Lopes : peut-on faire pousser du blé avec du pipi ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 octobre 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Mettez-vous un instant dans la tête de Vladimir Poutine : quelle satisfaction de voir la France, co-leader, avec le Royaume Uni, de la « coalition des volontaires » formée en soutien à l'Ukraine, s'enfoncer dans la crise politique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Mettez-vous un instant dans la tête de Vladimir Poutine : quelle satisfaction de voir la France, co-leader, avec le Royaume Uni, de la « coalition des volontaires » formée en soutien à l'Ukraine, s'enfoncer dans la crise politique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'émission 28 minutes du 26/09/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Isabelle Saporta, essayiste et éditorialiste, Nesrine Slaoui, écrivaine et journaliste, et Philippe Manière, essayiste et Président-confondateur de Vae Solis Communications, ainsi que le dessinateur de presse Pascal Gros. Faut-il priver de droits civiques les grandes fortunes qui fuiraient la France ? Les mesures budgétaires du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, dont le gouvernement n'est pour l'heure pas encore formé, sont très attendues, notamment sur la question de la taxation des ultra-riches. Cette problématique est au cœur du débat fiscal depuis la proposition de l'économiste Gabriel Zucman de mettre en place un impôt plancher de 2 % sur les patrimoines de plus de 100 millions d'euros. Derrière la taxe Zucman, se cache un autre débat : que faire face aux menaces de départ du territoire national des grandes fortunes françaises ? Le député de la Somme, François Ruffin, a évoqué cette semaine sur RMC la possibilité d'une “privation des droits civiques" de ceux qui quitteraient la France. L'économiste Thomas Piketty est, lui aussi, allé dans le sens de mesures coercitives, dans une interview pour l'agence de presse “Bloomberg” : “Si vous ne payez pas, vous vous mettez dans la même situation que toute personne qui décide de ne pas payer ses impôts. Vos avoirs peuvent être gelés, vous pouvez être arrêté à l'aéroport. C'est la vie des gens normaux.”5 ans ferme pour Nicolas Sarkozy : État de droit protecteur ou oppresseur ? Jeudi 25 septembre, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy a été condamné à 5 ans de prison ferme pour “association de malfaiteurs” dans le procès sur le financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Cette condamnation est assortie d'un mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire, impliquant son incarcération prochaine. Nicolas Sarkozy sera donc convoqué le 13 octobre devant le Parquet national financier pour connaître les modalités de son incarcération. À la sortie du tribunal, l'ancien chef de l'État a fustigé cette décision, qu'il qualifie d'“une gravité extrême pour l'État de droit”. “S'ils veulent absolument que je dorme en prison, je dormirai en prison. Mais la tête haute. Je suis innocent”, a-t-il ajouté. Ce serait la première fois dans l'histoire de la Cinquième République qu'un président est emprisonné. Nous recevons l'historien et écrivain Bruno Fuligni qui publie “Voyage en France australe”, aux éditions Allary. Bruno Fuligni embarque le lecteur à la découverte de ces terres lointaines dont la simple évocation fait rêver : les îles Crozet, Kerguelen, Amsterdam, Saint-Paul, ou encore leurs cousines tropicales les îles Éparses. Ce voyage s'opère aussi dans le temps car Bruno Fuligni est le premier à avoir pu consulter les archives historiques de ces territoires. “La plus grande arnaque jamais menée contre le monde.” Voici les mots choisis par Donald Trump pour qualifier le changement climatique, à la tribune des Nations unies. Lors d'un discours prononcé mercredi soir par visioconférence, Xi Jinping, le président chinois a pris le contre-pied du président américain en affirmant, lui, que la Chine réduirait ses émissions nettes de gaz à effet de serre de 7 à 10 % d'ici 2035. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. C'est l'histoire d'une panne d'escalator devenue un incident diplomatique. Avant de prononcer son discours à l'Assemblée générale de l'ONU, l'escalier mécanique emprunté par Donald Trump et son épouse Melania Trump s'est arrêté, déclenchant la colère du président américain. La Maison Blanche a dénoncé un sabotage. C'est le point com de Marjorie Adelson.Enfin, ne manquez pas la Une de l'hebdomadaire italien “L'Espresso” sur Vladimir Poutine, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Le Monde des choses, la nouvelle chronique de David Castello-Lopes !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 septembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
C dans l'air du 24 septembre 2025 - Face à Poutine, l'incroyable volte-face de TrumpUne volte-face spectaculaire. Alors qu'il avait opéré un rapprochement ces derniers mois avec Vladimir Poutine et qu'il poussait les Ukrainiens à faire des concessions territoriales, Donald Trump a estimé cette nuit, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, que Kiev pourrait « regagner son territoire dans sa forme originelle, et peut-être même aller plus loin » face à la Russie. Volodymyr Zelensky a immédiatement salué un « grand tournant ». Lui qui, en février dernier, était malmené dans le Bureau ovale devant les caméras du monde entier, est désormais qualifié par le président des États-Unis d'« homme courageux qui se bat comme un beau diable » — et pourrait bien, selon lui, gagner la guerre.« Cela fait trois ans et demi que la Russie mène, sans direction claire, une guerre qu'une vraie puissance militaire aurait remportée en moins d'une semaine », a écrit Donald Trump sur son réseau Truth Social, comparant le pays de Vladimir Poutine à « un tigre de papier ».« La Russie n'est pas un tigre. La Russie est davantage associée à un ours. Et les ours de papier n'existent pas », a rétorqué ce mercredi le porte-parole du Kremlin. « Nous poursuivons notre opération militaire spéciale pour assurer nos intérêts et atteindre les objectifs fixés par Vladimir Poutine », a-t-il déclaré, alors que les attaques de drones s'intensifient en Ukraine : plus de 1 500 engins auraient été tirés en une semaine sur le territoire ukrainien.Parallèlement, plusieurs drones et avions russes ont violé l'espace aérien de la Pologne, de l'Estonie ou encore de la Norvège, plaçant l'OTAN en état d'alerte.Dans ce contexte, Donald Trump a affirmé hier, dans une autre déclaration, que les pays de l'OTAN devraient abattre les avions russes pénétrant dans leur espace aérien.Emmanuel Macron a, de son côté, décidé d'envoyer trois Rafale ces derniers jours pour protéger la Pologne, après l'incursion de drones russes. Nos journalistes ont pu exceptionnellement les accompagner dans leur mission.Ils ont également pu rencontrer des proches de Laurent Vinatier, de plus en plus inquiets. Ce chercheur français, qui purge une peine de trois ans dans une prison russe, fait désormais l'objet d'une enquête pour espionnage. Une accusation très grave en Russie, où ce crime est passible d'une peine pouvant aller jusqu'à vingt ans de prison. Le journaliste américain Evan Gershkovich a, lui, été condamné à seize ans pour des accusations similaires.LES EXPERTS :- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de Qui est vraiment Donald Trump ? - Élise VINCENT - Journaliste chargée des questions de défense Le Monde - Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale - Université catholique de Lille
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 24 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:54 - L'invité d'un jour dans le monde - Comment parler aux Etats-Unis aujourd'hui ? Comment parler à ce président au discours décousu. Comment font les chefs d'Etat, les diplomates ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 24 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce mercredi, il revient sur le discours de Donald Trump à la tribune de l'ONU. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Brèche de sécurité à la Banque Royale du Canada. Retour sur Trump à l’ONU. Bilan du jour deux de la grève à la STM. Lino Zambito songe à se lancer dans la course à la mairie de Montréal! 5e journée du témoignage de Karl Malenfant. La démission du président du Collège des médecins réclamée. Jimmy Kimmel est de retour ! Fraude Ginette Reno. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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Beaucoup de malchances à l’ONU pour Trump | Les données bancaires de Mark Carney compromises | Olivier Primeau estime que le Québec ne manquera pas d’eau | Adolescent abattu à Longueuil: le SPVM lancera une enquête parallèle | L’ancienne cycliste de haut niveau Geneviève Jeanson brise aujourd’hui le silence sur les abus que son entraîneur lui a fait subir dès le début de sa carrière Dans cet épisode intégral du 24 septembre, en entrevue : Bruno Guglielminetti, analyste, conférencier et animateur du balado d’actualité numérique « Mon Carnet ». Félicia Harvey, vice-présidente de la Fédération médicale étudiante du Québec. Olivier Primeau, homme d’affaires, entrepreneur et influenceur. Fernando Belton, avocat de la famille de Nooran Rezayi. Kathryne Lamontagne, journaliste au bureau d’Enquête de Québecor. Geneviève Jeanson, ex-cycliste. Une production QUB Septembre 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
À la Une de la presse, mercredi 24 septembre, les réactions à l'intervention de Donald Trump à l'Assemblée générale des Nations unies. Un discours destiné avant tout à sa base électorale, selon plusieurs quotidiens. L'inquiétude du Danemark face à une possible guerre hybride venue de Russie. La mort de Claudia Cardinale. Et la fin du monde annoncée pour hier...ou aujourd'hui.
Sabotage à l’ONU? Une force impressionnante… Une opération de sauvetage impressionnante. As-tu vu ça? avec Alexandre Dubé. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le président américain a déconseillé hier la prise de médicaments qui contiennent de l'acétaminophène aux femmes enceintes, en l'associant à un risque d'autisme élevé pour les enfants, une déclaration démentie par la communauté scientifique.
durée : 00:59:13 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Le 23 septembre, Donald Trump prendra la parole à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York. Sur fond des débats autour de la reconnaissance de l'État de Palestine, renforcera-t-il la rupture entre Washington et l'organisation, régulièrement prise pour cible ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Gérard Araud Diplomate français; Thomas Gomart Historien des relations internationales, directeur de l'Institut français des relations internationales (IFRI).; Muriel Domenach ancienne ambassadrice de la France à l'OTAN
NESTA EDIÇÃO. Em momento de tensão com os EUA, governo brasileiro reitera intenção de integração energética com a Venezuela. Relatório da reforma tributária muda tributação da nafta para conter fraudes no mercado de combustíveis. Financiamento climático por bancos multilaterais de desenvolvimento bate recorde em 2024, com US$ 137 bilhões. Governo trabalha para construir consenso com o Congresso Nacional em torno da política para minerais críticos. Enquanto isso, autorizações para pesquisa em terras raras tem um salto no Brasil.
Confrontée à des droits de douane punitifs de 50% imposés par les États-Unis sous l'impulsion de Donald Trump, l'Inde a choisi de ne pas riposter frontalement. Le gouvernement de Narendra Modi déploie une stratégie intérieure : alléger la fiscalité pour soutenir la consommation et amortir le choc sur la croissance. Les nouvelles taxes américaines résonnent comme une onde de choc pour les industriels indiens. 50% sur chaque produit importé d'Inde. Ces surtaxes douanières menacent les exportations, avec à la clé des risques de baisse de la production, de suppressions d'emplois et, en bout de chaîne, d'un ralentissement de la croissance. Déjà en repli par rapport à 6,5% l'an dernier, celle-ci pourrait s'affaiblir encore. Face à cette pression, New Delhi cherche à rassurer à la fois les entreprises et les consommateurs. Une réforme fiscale pour redonner du pouvoir d'achat La réponse de Narendra Modi passe par une refonte de la taxe sur les biens et services (GST). Actuellement structurée en quatre tranches – 5%, 12%, 18% et 28% – et jugée lourde administrativement, elle serait simplifiée en deux paliers : 5% pour les biens essentiels et 18% pour la majorité des autres produits. Avec moins de paperasse pour les entreprises et des prix allégés pour les ménages, le gouvernement espère un effet de relance rapide. Les économistes estiment que cette réforme pourrait ajouter 0,6% au PIB, soit plusieurs dizaines de milliards de dollars. Mais elle priverait l'État d'au moins 16 milliards de dollars de recettes fiscales annuelles, selon HSBC. Un pari fiscal et diplomatique risqué Ce manque à gagner inquiète particulièrement les États indiens, qui en supporteraient plus de 70% et réclament des compensations. Pour équilibrer la réforme, le gouvernement prévoit un taux de 40% sur les produits de luxe et de « péché » tels que le tabac ou les voitures haut de gamme. Au-delà de la relance interne, cette politique vise aussi à attirer des investissements étrangers indispensables au développement du pays. Reste que ce pari fiscal est risqué : il engage l'équilibre budgétaire, institutionnel et diplomatique de l'Inde, et pourrait influencer sa place sur la scène mondiale dans les années à venir. À lire aussiDroits de douane: les produits indiens désormais taxés à 50% à leur entrée aux États-Unis
Kế hoạch bố trí quân đội liên bang đến các thành phố do đảng Dân chủ lãnh đạo của Tổng thống Hoa Kỳ Donald Trump, đã vấp phải sự phản đối dữ dội và lan rộng, làm dấy lên những lo ngại về pháp lý, Hiến pháp và quyền công dân trên toàn quốc. Sự việc diễn ra sau khi một thẩm phán California phán quyết rằng, việc chính quyền Trump gởi quân đội đến California, để hỗ trợ các nhân viên di trú và thực thi pháp luật là bất hợp pháp.
US-Präsident Donald Trump hat angekündigt, bundeseigene Museen in den USA überprüfen zu lassen. Experten sollen mögliche ideologische Verzerrungen aufspüren. Ziel ist eine Rückkehr zu einer positiven Darstellung von Geschichte, Kultur und amerikanischen Idealen – besonders im Hinblick auf das 250. Jubiläum der Unabhängigkeit im Jahr 2026.
La Mesa de Análisis internacional - Martes 19.08.2025 - ¿Qué dejó el encuentro en la Casa Blanca entre Trump, líderes europeos y Zelenski? by En Perspectiva
L'émission 28 minutes du 18/08/2025 Aux côtés de Zelensky face à Trump : l'Europe peut-elle sauver l'Ukraine ? Après le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska, vendredi 15 août, plusieurs dirigeants européens dont Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Giorgia Meloni, Keir Starmer, Alexander Stubb, Mark Rutte, et Ursula von der Leyen, accompagnent Volodymyr Zelensky, pour sa rencontre avec son homologue américain à la Maison-Blanche, ce lundi 18 août. Précédée de nouvelles frappes russes meurtrières sur plusieurs villes ukrainiennes, cette entrevue doit permettre de discuter de possibles concessions territoriales et de garanties de sécurité, pour mettre fin au conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Mais dans quelles conditions ? "Pas question” pour Kiev de récupérer le contrôle de la Crimée annexée par Moscou en 2014, ni d'entrer dans l'OTAN, a averti Donald Trump sur son réseau Truth Social. La délégation européenne parviendra-t-elle à arracher un accord avec le milliardaire américain, alors que celui-ci n'a toujours pas annoncé les “conséquences très graves” à l'égard de Moscou pourtant promises, en juillet, si Vladimir Poutine ne mettait pas fin à la guerre ?On en débat avec Sylvie Kauffmann, éditorialiste internationale au Monde, Nicolas Tenzer, enseignant à Sciences Po, politologue spécialiste des relations internationales, et Lauric Henneton, maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin spécialiste des États-Unis.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 18 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Vestas vender stort underskud til overskud, men kæmper hårdt i USA. Nykredit lander milliardoverskud, men opkøb af Spar Nord giver fyringer. Venstre fastholder holdning til Ørsted-salg. Bekymring for om Novo-nedtur er Danmarks "Nokia-moment". Også dyrt at handle i Sverige og Tyskland. Merz optimist inden Trumps møde med Putin. Vært: Lasse Ladefoged (lasse.ladefoged@borsen.dk)
Simon, Doris www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit
Kühntopp, Carsten www.deutschlandfunk.de, Interviews
C dans l'air du 1er août 2025 : Droits de douane : l'onde de choc mondialeLe début d'un nouvel ordre commercial international ? Le président américain Donald Trump a signé hier soir le décret instaurant les nouveaux droits de douane qui toucheront les produits des partenaires commerciaux des États-Unis. Ce geste vise à "restructurer le commerce mondial au bénéfice des salariés américains", selon un document publié par la Maison-Blanche. Ils prendront effet le 7 août, et non dès aujourd'hui, comme initialement attendu. L'Union européenne, le Japon ou la Corée du Sud verront ainsi leurs produits être taxés à hauteur de 15 %, le Royaume-Uni de 10 %.Ces taux amendent ceux qui avaient été annoncés le 2 avril dernier avant d'être suspendus en raison de la débâcle que cette annonce avait provoquée sur les marchés financiers.Faute d'être parvenus à un accord avec Donald Trump, la Suisse ou encore le Canada se sont vus imposer des droits de douane particulièrement élevés sur leurs produits exportés aux États-Unis. Ces deux pays, taxés respectivement à hauteur de 39% et de 35%, comptent parmi les grands perdants de l'opération commerciale américaine. Le Brésil est également très durement touché, avec des taxes à 50 %. L'administration Trump utilise sa politique tarifaire pour s'opposer aux équipes du président Lula et à la justice brésilienne, qui poursuit l'ancien président d'extrême droite, Jair Bolsonaro.Les deux géants asiatiques ne sont pas épargnés. L'Inde sera taxée à 25 % et la Chine à 55 %, en tenant compte des hausses intervenues lors du premier mandat de Trump.Au regard de ses concurrents internationaux, l'Union européenne ne semble donc finalement pas s'en tirer à si mauvais compte.Mais en France des critiques contre l'accord signé entre Bruxelles et Washington se sont fait entendre au plus haut sommet de l'Etat. Le manque de combativité européenne dans ce dossier fait réagir. La France a "été un peu seule" à se battre, selon le Premier ministre François Bayrou. Emmanuel Macron estime que l'UE n'a pas été assez "crainte" par les Etats-Unis et affirme que la France "n'en restera pas là". Le président souhaite obtenir de "nouvelles exemptions", notamment pour le secteur des alcools et spiritueux.Si le secteur aéronautique a évité la foudre et apparaît sauvegardé, le luxe, fleuron français, sera touché par cette nouvelle donne. Bernard Arnaud, à la tête de LVMH, le numéro un mondial du secteur, va ouvrir une usine au Etats-Unis. Kering, numéro trois mondial, a de son côté annoncé l'arrivée de l'Italien Luca Di Meo à la tête de l'entreprise. L'ancien dirigeant de Renault devrait toucher 20 millions d'euros lors de la signature, et ce malgré les difficultés du groupe.De l'autre côté du Rhin, l'automobile allemande va aussi pâtir de ces droits de douanes réévalués. D'autant que des plans sociaux étaient déjà annoncés avant même la politique américaine. Les constructeurs sont en effet frappés par la forte concurrence des véhicules électriques chinois.Ces nouveaux droits de douane sont censés attirer les investissements étrangers pour une production sur le sol américain, et relacencer, dans le même temps, l'industrie américaine. Mais le pouvoir d'achat des ménages américains va aussi en ressentir les effets : le budget Lab de Yale estime à 2400 dollars par famille en moyenne le coût des droits de douane la première année.Grands gagnants de cette nouvelle donne - et de l'appauvrissement des ménages américains privés de leurs importations chinoises à bas coûts - les entreprises de réparation et de reconditionnement. Une équipe de C dans l'air a rencontré le dirigeant de Back Market, une entreprise française de reconditionnement et de commerce d'appareils électriques et électroniques. Il explique que son groupe, implanté aux Etats-Unis, a vu ses ventes multipliées par trois lors des premières annonces de Trump survenues en avril dernier. Selon lui, un changement des habitudes de consommation est en train de s'opérer. Faute de pouvoir acheter des produits en provenance de l'étranger, les clients vont se recentrer sur le local. Pour le plus grand profit de son entreprise. Bien malgré lui, Donald Trump sera ainsi, selon lui, un artisan de l'écologie, grâce à la diminution des flux de commerces internationaux que sa politique pourrait entrainer.LES EXPERTS :- Jean-Marc DANIEL - Économiste , professeur émérite à l'ESCP business school- Isabelle RAYMOND - Cheffe du service économie et social - France info- Philippe MABILLE - Directeur éditorial - la Tribune et la Tribune Dimanche- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - le Parisien Frédéric DABI - Directeur Général Opinion de l'Ifop
C dans l'air du 17 juillet 2025 : Epstein, Poutine, droits de douane… Trump lâché par les siens ? Emission présentée par LORRAIN SÉNÉCHALLES EXPERTS : - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV/ Spécialiste des questions internationales- Georgina WRIGHT - Conseillère spéciale, spécialiste des questions transatlantiques/ German Marshall Fund- Lauric HENNETON- Spécialiste des États-Unis - Maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin- Marie-Cécile NAVES - Politologue, directrice de recherche - IRIS, spécialiste des États-Unis
C dans l'air du 17 juillet 2025 : Epstein, Poutine, droits de douane… Trump lâché par les siens ? Emission présentée par LORRAIN SÉNÉCHALLa base électorale de Donald Trump est-elle en train de le lâcher ? Depuis quelques semaines, certains partisans du président des États-Unis lui reprochent le bombardement de l'Iran ou l'envoi d'armes supplémentaires à l'Ukraine. D'autres critiquent sa grande loi budgétaire et sa politique migratoire. Mais aucun sujet n'a provoqué autant de divisions au sein de la sphère "MAGA" (Make America Great Again) que le dossier Jeffrey Epstein, depuis la publication par les autorités, le 7 juillet dernier, d'un mémorandum concluant à l'absence d'éléments susceptibles de relancer l'enquête.Jeffrey Epstein, financier américain accusé d'avoir exploité sexuellement des mineures pendant des années, avait été retrouvé pendu dans sa cellule à New York en 2019, avant d'être jugé. Depuis, l'affaire alimente de nombreuses théories complotistes. Donald Trump avait promis de faire toute la lumière sur ce qu'il qualifiait de dossier "répugnant", s'il revenait à la Maison-Blanche. Mais l'annonce récente de la justice affirmant qu'"aucune liste de clients" secrète n'existe a été perçue par une partie de ses soutiens comme une trahison.Sur les réseaux sociaux, certains internautes vont jusqu'à se filmer en train de brûler leur casquette rouge "Make America Great Again". Des photos d'Epstein aux côtés de Trump refont surface et sont largement partagées. La gêne gagne même certains élus républicains, tandis que la polémique enfle.Face aux critiques, Donald Trump accuse les démocrates de manipuler l'opinion publique et s'en prend à ses anciens soutiens qui s'écartent de sa ligne. "Laissez ces mauviettes faire le jeu des démocrates (…) je ne veux plus de leur soutien !", a-t-il lancé. "Ils sont stupides", a-t-il insisté mercredi depuis le Bureau ovale.Dans le même temps, le président a relancé la guerre commerciale, menaçant d'imposer des taxes supplémentaires de 30 % sur les biens en provenance de l'Union européenne et du Mexique à partir du 1er août, à défaut d'accord commercial d'ici là. Donald Trump a également annoncé avoir lancé un ultimatum à Vladimir Poutine, donnant 50 jours à la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine, sous peine de sanctions économiques sévères.LES EXPERTS : - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV/ Spécialiste des questions internationales- Georgina WRIGHT - Conseillère spéciale, spécialiste des questions transatlantiques/ German Marshall Fund- Lauric HENNETON- Spécialiste des États-Unis - Maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin- Marie-Cécile NAVES - Politologue, directrice de recherche - IRIS, spécialiste des États-Unis
Der US-Präsident stellt dem Land Waffen in Aussicht und droht Russland mit hohen Zöllen. Hilft das der Ukraine?
durée : 00:39:54 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - En mettant de côté les alliances internationales et en affaiblissant le rôle des contre-pouvoirs aux États-Unis, Donald Trump mène une politique intérieure et extérieure qui met en lumière la force de son autorité. - réalisation : Félicie Faugère - invités : François Heisbourg Conseiller spécial à l'ISS (International Institute for Strategic Studies), conseiller spécial du président de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS); Tara Varma Chercheuse invitée à la Brookings Institution, Washington; Anne Deysine Juriste et américaniste, professeure émérite de l'université Paris-Nanterre.
durée : 02:00:20 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Maria Malagardis Grand reporter au journal Libération; François Heisbourg Conseiller spécial à l'ISS (International Institute for Strategic Studies), conseiller spécial du président de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS); Tara Varma Chercheuse invitée à la Brookings Institution, Washington; Anne Deysine Juriste et américaniste, professeure émérite de l'université Paris-Nanterre.; Chiara Parisi Directrice du Centre Pompidou-Metz
C dans l'air du 2 juillet 2025 - Trump lâche l'Ukraine, Poutine avance ses pions - LES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Nicole BACHARAN - historienne, spécialiste des Etats-Unis et également éditorialiste chez Ouest France- Isabelle LASSERRE - correspondante diplomatique pour Le Figaro- Général Jean-Paul PALOMÉROS - ancien chef d'état-major et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN
C dans l'air du 2 juillet 2025 - Trump lâche l'Ukraine, Poutine avance ses pions - Alors que Donald Trump reste, depuis des semaines, ambivalent sur l'avenir de l'aide militaire à l'Ukraine, la Maison-Blanche a annoncé mardi avoir suspendu la livraison de certaines armes à Kiev. Une décision motivée, selon plusieurs médias américains, par les inquiétudes du Pentagone concernant le niveau des stocks de munitions de l'armée américaine.Parmi les équipements concernés figurent les systèmes de défense aérienne Patriot, l'artillerie de précision et les missiles Hellfire. Cette décision intervient alors que la Russie intensifie ses frappes. Rien que le week-end dernier, plus de 530 drones et missiles se sont abattus sur le territoire ukrainien. La défense antiaérienne en a intercepté la moitié. Les autres ont visé plusieurs villes, dont Kiev.L'Ukraine a déclaré mercredi ne pas avoir reçu de notification officielle de la part des États-Unis. "Nous sommes en train de clarifier la situation", a précisé Dmytro Lytvyne, conseiller de Volodymyr Zelensky. Il a assuré que les discussions avec Washington se poursuivent "à tous les niveaux".Le Kremlin, lui, a salué cette annonce. "Moins il y a d'armes livrées à l'Ukraine, plus proche est la fin de l'opération militaire spéciale", a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole de Vladimir Poutine.Sur un autre front, Donald Trump a affirmé mardi sur son réseau social que l'État d'Israël a accepté un cessez-le-feu de 60 jours dans la bande de Gaza. Il espère "travailler avec toutes les parties pour mettre fin à la guerre" et met la pression sur le Hamas pour qu'il accepte cet accord, déclarant : "La situation ne s'améliorera pas — ELLE NE FERA QU'EMPIRER". Cette déclaration intervient alors que le ministre israélien des Affaires stratégiques, Ron Dermer, était en visite à Washington, en amont de la venue du Premier ministre Benyamin Netanyahou prévue lundi. Trump a aussi mentionné une rencontre bilatérale imminente avec l'Iran, sans en dévoiler les détails. Pendant ce temps, les interrogations persistent sur l'impact réel des récentes frappes américaines contre les installations nucléaires iraniennes.Selon le Washington Post, des échanges interceptés entre responsables iraniens laisseraient entendre que les dommages sont limités. De son côté, Donald Trump affirme que le programme nucléaire iranien a été "complètement anéanti". Les responsables américains se veulent plus prudents : l'évaluation complète des dégâts prendra du temps. D'autant plus que Téhéran a suspendu toute coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui n'a désormais plus accès aux sites nucléaires du pays. Selon l'agence onusienne, l'Iran pourrait relancer son programme d'enrichissement d'uranium d'ici à "quelques mois".En parallèle, Donald Trump s'est livré à une nouvelle attaque verbale contre Elon Musk, n'excluant pas d'expulser du pays le patron de Tesla, naturalisé américain en 2002, et le renvoyer vers son pays d'origine : l'Afrique du Sud. Il a aussi évoqué la possibilité que la Commission pour l'efficacité gouvernementale (DOGE) – créée par et pour Elon Musk afin de réduire les dépenses fédérales – puisse se retourner contre son ex-directeur et remettre en question les fonds publics investis dans ses entreprises, notamment dans le domaine spatial.LES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Nicole BACHARAN - historienne, spécialiste des Etats-Unis et également éditorialiste chez Ouest France- Isabelle LASSERRE - correspondante diplomatique pour Le Figaro- Général Jean-Paul PALOMÉROS - ancien chef d'état-major et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN
Le Journal en français facile du mardi 24 juin 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BmrQ.A
C dans l'air du 23 juin 2025 - Opération "Midnight hammer" : le coup de force de Trump... -Pas de désescalade en vue. L'armée israélienne frappe Téhéran "d'une puissance sans précédent contre des cibles du régime et des organes de répression gouvernementaux", a indiqué lundi le ministre de la Défense de l'État hébreu, Israël Katz. Les bombardements israéliens interviennent après les premières frappes américaines, dans la nuit de samedi à dimanche, sur trois sites nucléaires iranien : Fordo, Natanz et Ispahan. Après 18 heures de vol, sept bombardiers furtifs B-2, appuyés par des avions de chasses et des missiles tomahawk tirés depuis des sous-marins, ont largué des bombes GBU-57, capables de perforer le sol jusqu'à 60 mètres de profondeur avant d'exploser. Si les images satellites montrent bien les cratères en surface, il est encore impossible de mesurer la portée des dégâts souterrains, comme l'a indiqué le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Raphael Grossi : "Compte tenu de la charge explosive utilisée et de l'extrême sensibilité des centrifugeuses aux vibrations, on s'attend à ce que des dégâts très importants aient été causés". Mais "personne n'est en mesure, à l'heure actuelle, de les évaluer pleinement". De son côté, Donald Trump s'est félicité de l'opération américaine "Midgnight Hammer" dans un style bien à lui : "Les dégâts les plus importants ont été causés bien en dessous du niveau du sol. En plein dans le mille !!!". Pour Benjamin Netanyahu il ne fait pas aucun doute que cette "décision audacieuse" "changera l'Histoire".Plus de 24 heures après l'attaque américaine contre ses sites nucléaires, la réponse iranienne tarde à intervenir. Affaiblis par plusieurs jours de combats et d'infiltrations sur son sol, l'Iran ne dispose plus de toutes ses capacités militaires et son stock de 2 000 à 3 000 missiles balistiques a en partie été détruit. Mais la république islamique dispose encore de plusieurs options de riposte. La plus probable serait de bloquer le détroit d'Ormuz où transite 20 % du pétrole mondial, ce qui ferait exploser les prix de l'or noir. L'Iran peut aussi décider de frapper les bases américaines au Moyen-Orient, comme celle d'al-Uleid, au Qatar, qui abrite 10 000 soldats américains, ou la base navale US au Barhrein. Reste enfin la possibilité d'une attaque terroriste. Selon la télévision américaine NBC news, quelques jours avant l'attaque américaine, l'Iran avait menacé les Etats-Unis d'activer des cellules terroristes dormantes à l'intérieur des États-Unis s'il était attaqué. Dans un communiqué publié aujourd'hui, le Département de la sécurité intérieure a averti que le risque d'attentats terroristes sur le territoire américain pourrait augmenter. Selon le vice-président américain JD Vance, la situation est suivie de très près à la Maison Blanche.En attendant une possible riposte iranienne, le guide suprême Ali Khamenei se cache depuis plusieurs jours. Selon le New York Times, le dirigent iranien de 86 ans, conscient d'être une cible prioritaire, serait réfugié dans un bunker où il préparerait sa succession. Plusieurs noms sont évoqués dont son fils Mojtaba, proche des Gardiens de la révolution islamique, ou encore l'ancien président modéré Hassan Rohani. En cas d'assassinat de l'ayatollah Khamenei, le processus de désignation, qui prend en temps normal plusieurs mois, serait accéléré. Le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi doit rencontrer ce lundi le président Vladimir Poutine, pays allié de l'Iran, et a dit s'attendre à des consultations d'"une grande importance" à Moscou. Dans une interview à ABC news la semaine dernière, le Premier ministre israélien Netanyahu n'a pas caché ses ambitions et a affirmé que tuer Khamenei "ne provoquerait pas une escalade, ça mettrait fin au conflit".Les frappes américaines sur les sites nucléaires iraniens ont-elles rempli leurs objectifs ? Quelles options l'Iran dispose-t-il pour riposter ? Et où se cache le guide suprême iranien Ali Khamenei depuis le début de la guerre ?LES EXPERTS :- Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse - Laurence HAÏM - Journaliste -Spécialiste des Etat-Unis- Philippe GELIE - Directeur adjoint de la rédaction - Le Figaro- Jean-Dominique MERCHET - Éditorialiste - L'Opinion, spécialiste des questions de défense et diplomatie