Notre table ronde d'invités passe en revue les événements qui ont marqué l'actualité internationale et française de la semaine. Le vendredi à 19 h 10.
Recep Tayyip Erdogan a été réélu président de la Turquie. Pour son rival Kemal Kilicdaroglu, il s'agit de "l'un des scrutins les plus injustes de l'histoire du pays". La guerre des drones s'intensifie entre l'Ukraine et la Russie et plusieurs appareils se sont abattus sur des immeubles à Moscou. La Communauté politique européenne s'est réunie en Moldavie contre la Russie. Au Sénégal, la condamnation d'Ousmane Sonko a provoqué des heurts meurtriers. Des forces armées ont été déployées dans Dakar.
L'Ukraine a été la cible vendredi de salves de missiles russes. Dans la ville de Dnipro, dans le sud-est, une clinique a été touchée et au moins deux personnes ont été tuées. La Russie, de son côté, a rapporté pour la cinquième journée consécutive des bombardements ukrainiens sur la région de Belgorod, théâtre en début de semaine d'une incursion de combattants venus d'Ukraine. Une attaque qui est revendiquée par deux groupes se disant russes.
Le président syrien Bachar al-Assad se trouve à Jeddah en Arabie Saoudite, où il participe au sommet de la Ligue arabe, signe d'un début de retour de la Syrie sur la scène moyen-orientale. Un sommet au cours duquel Volodymyr Zelensky a créé la surprise en se rendant sur place. Le président ukrainien doit aussi se rendre au Japon pour le G7, alors que la Chine organise de son côté un sommet avec les pays d'Asie centrale. Une semaine chargée sur le front diplomatique.
Cette semaine en Turquie, Recep Tayyip Erdogan pourrait perdre la présidentielle face à son sérieux rival Kemal Kilicdaroglu. En Russie, Vladimir Poutine a célébré, le 9 mai, le jour de la Victoire. Au même moment à Kiev, Volodymyr Zelensky recevait Ursula von der Leyen pour la journée de l'Europe. Toujours en Ukraine, le chef du groupe Wagner accuse de nouveau l'armée russe de fuir le front de Bakhmout. Enfin, après 11 ans de rupture, l'Arabie Saoudite rétablit ses relations avec la Syrie.
Cette semaine dans le monde, le chef du groupe paramilitaire Wagner Evgueni Prigojine hausse le ton face au Kremlin. Il accuse désormais l'état-major russe d'être responsable de dizaines de milliers de morts et de blessés en Ukraine. Au Soudan, les combats entre l'armée et les Forces de sécurité rapide (FSR) durent depuis 21 jours. Malgré les trêves, aucun des deux camps n'entend lâcher. Enfin le couronnement à Londres du roi Charles III et de la reine Camilla.
Cette semaine, les combats violents se poursuivent au Soudan malgré une prolongation de la trêve entre l'armée et les forces paramilitaires FSR.À Mayotte, l'opération d'évacuation des bidonvilles continue, en dépit de l'arrêt des rotations maritimes entre l'île française et sa voisine comorienne d'Anjouan.Aux États-Unis, Joe Biden annonce sa candidature pour la présidentielle de 2024.Enfin en Chine, le retour du panda Yaya prêté aux États-Unis illustre les tensions entre les deux pays.
Cette semaine au Soudan, deux généraux rivaux ont entamé un conflit violent et 10 000 à 20 000 personnes ont déjà fui au Tchad. En Tunisie, le chef du parti islamo-conservateur Ennahda a été placé sous mandat de dépôt et une vingtaine de personnalités ont été arrêtées depuis deux mois. Aux États-Unis, la chaîne conservatrice Fox News évite un procès pour diffamation grâce à un accord financier avec Dominion. Enfin, en France, Emmanuel Macron s'est donné 100 jours pour agir au service du pays.
Le Conseil constitutionnel a rendu sa décision, le 14 avril, sur la conformité du texte de la réforme des retraites en France. Le président brésilien Lula a rencontré son homologue chinois Xi Jinping, pendant que les tensions entre la Chine et Taïwan se multiplient avec des exercices militaires d'encerclement de l'île par l'armée chinoise. Le militaire Jack Teixeira a été inculpé par la justice fédérale américaine pour l'une des plus grandes fuites de documents confidentiels aux États-Unis.
C'est le dernier jour du voyage d'Emmanuel Macron en Chine. Le président français a fait de la guerre en Ukraine le sujet principal de cette visite, appelant la Chine à "ramener la Russie à la raison". Xi Jinping s'est dit par ailleurs prêt à appeler Zelensky a-t-on assuré côté français. Mais le président chinois ne s'est pas engagé à ne pas livrer d'armes à l'Ukraine.
Le tribunal de New York a voté en faveur de l'inculpation de Donald Trump qui devra se présenter au parquet de Manhattan le 4 avril. La question du nucléaire inquiète en Ukraine avec l'annonce du président Poutine du transfert d'armes nucléaires tactiques en Biélorussie. En Israël, le Premier ministre Benjamin Netanyahu reporte la réforme judiciaire. Au Sénégal, l'opposant Ousmane Sonko a été condamné à 2 mois de prison avec sursis pour diffamation.
En France, la contestation se durcit après le recours à l'article 49.3 pour faire passer la réforme des retraites : 3,5 millions de manifestants étaient, jeudi, dans les rues françaises. À Bruxelles, la guerre en Ukraine était au cœur des discussions du sommet européen. Une guerre où la Chine tente de jouer les rôles de médiateurs. En visite à Moscou, Xi Jinping a multiplié les gestes de soutien envers Vladimir Poutine. Enfin en Israël, la contestation contre la réforme judiciaire se poursuit.
Cette semaine, la Cour pénale internationale a émis un mandat d'arrêt contre Vladimir Poutine pour crime de guerre en Ukraine. Outre-Atlantique, les États-Unis, l'Australie et le Royaume-Uni ont signé un partenariat pour produire des sous-marins nucléaires. En Afrique, le secrétaire d'État américain Antony Blinken était en visite en Éthiopie et au Niger. Enfin, en France, le gouvernement engage l'article 49.3 afin de faire adopter sa réforme des retraites sans vote à l'Assemblée nationale.
L'Ukraine se relève doucement après les bombardements russes sur 10 régions du pays. Les forces russes ont utilisé six missiles hypersoniques Kinjal, des armes impossibles à intercepter pour les Ukrainiens. Ces frappes massives ont privé d'électricité pendant plusieurs heures la centrale nucléaire de Zaporijjia. De leur côté, les Ukrainiens se préparent pour une contre-offensive.
Cette semaine en Ukraine, l'étau se resserre autour de la ville de Bakhmout, désormais pratiquement encerclée selon Evgueni Prigojine. Dans l'actualité également, Emmanuel Macron poursuit son voyage en Afrique centrale. Après le Gabon, l'Angola et le Congo, le président français sera en RD Congo. Toujours en Afrique, le Nigeria a un nouveau chef d'État. Le candidat de la majorité Bola Tinubu succède à Muhammadu Buhari. En France, Noël Le Graët a démissionné de son poste de président de la FFF.
À l'occasion du triste premier anniversaire de l'invasion russe en Ukraine, nous allons revenir sur ce conflit. Un an après le déclenchement de ce que Moscou qualifie toujours d'opération spéciale, les combats se poursuivent à l'est de l'Ukraine, notamment dans la région de Bakhmout. Côté diplomatique, l'assemblée générale de l'ONU a adopté une résolution pour réclamer le retrait immédiat et sans condition des troupes russes. Kiev a salué un puissant signal de solidarité avec l'Ukraine.
Le bilan s'est encore alourdi en Turquie et en Syrie. Il dépasse désormais les 41 000 morts et les chances de retrouver des survivants s'amenuisent d'heures en heures. Malgré tout, quelques miracles ont eu lieu ces dernières heures et trois nouveaux rescapés ont pu être sortis des décombres. Également au sommaire de ce débat : la guerre en Ukraine, les tensions en Israël et la réforme des retraites en France.
Volodymyr Zelensky a été acclamé jeudi à Bruxelles par les eurodéputés. « L'Europe c'est notre maison » a lancé le président ukrainien. Accueilli en héros, Zelensky n'a pourtant pas obtenu les avions de chasse qu'il souhaitait. Emmanuel Macron veut privilégier des armes « plus utiles » et « plus rapides » ! Les européens sont-ils prêts à se dire que la guerre entre l'Ukraine et la Russie est aussi leur guerre ?
C'est un signe d'un soutien fort à Kiev. Ursula von der Leyen et d'une quinzaine de commissaires sont dans la capitale ukrainienne pour un sommet européen. Le Conseil européen va débloquer 500 millions d'euros d'aide militaire et 45 millions d'euros pour la formation de soldats.
L'Allemagne et les États Unis ont donné leur feu vert pour la livraison de chars à Kiev. 31 Abrams seront envoyés en Ukraine. Les chars allemands Leopard 2 devraient arriver en Ukraine dans 3 mois. La France prend acte du retrait des forces spéciales du Burkina Faso et rappelle son ambassadeur. L'élection présidentielle en Turquie aura lieu le 14 mai. Recep Tayyip Erdogan a avancé la date du scrutin d'un mois.
Les pays occidentaux se sont rassemblés le 20 janvier à Ramstein, en Allemagne, pour discuter de l'aide militaire à apporter à l'Ukraine. Le Royaume-Uni a promis 14 chars Challengers, mais aucun accord global n'a été obtenu entre les alliés. Le bombardement russe d'un immeuble à Dnipro a fait 45 morts et au moins 14 personnes ont perdu la vie dans un accident d'hélicoptère, dont le ministre de l'Intérieur ukrainien.
Soledar et Bakhmout sont devenues les symboles de la guerre en Ukraine et révèlent les rivalités au sein du pouvoir russe. Au Brésil, quelques jours après l'assaut contre les lieux de pouvoir, Lula dénonce les complicités au palais. Les enquêteurs travaillent à identifier les responsables, ceux qui ont œuvré en coulisse pour financer et organiser l'insurrection.
Malgré le cessez-le-feu déclaré unilatéralement par le président russe Vladimir Poutine pour le Noël orthodoxe, des frappes russes ont eu lieu à Kramatorsk. Il s'agit, selon les Ukrainiens, d'un cessez-le-feu hypocrite.
Les bombardements continuent dans plusieurs villes ukrainiennes dont Kiev, Kherson et Kharkiv, les privant d'électricité. Des combats se poursuivent dans la région de Donetsk. En parallèle, une conférence organisée à Paris pour l'Ukraine a permis de lever un milliard d'euros de dons.
Une joueuse de basket américaine, contre un dangereux trafiquant d'armes russe, l'asymétrie de cet échange de prisonniers est totale. En Iran, la mobilisation dure depuis 84 jours : plus de 450 personne ont été tuées et un homme a été exécuté. La répression continue. La Chine connait aussi un mouvement de contestation inédit. Épuisée par une politique sanitaire trop stricte, la population a investi les rues de plusieurs grandes villes. Le gouvernement a fini par alléger les règles.
Cette semaine, Emmanuel Macron est aux États-Unis où il a reçu un accueil chaleureux de Joe Biden. Les présidents français et américain ont affiché un soutien commun à l'Ukraine. Une Ukraine qui entre dans son 10e mois de guerre. Kiev affirme avoir perdu 13 000 soldats depuis le début du conflit. En Chine, le pouvoir lâche un peu de lest sur sa politique "zéro Covid", après une semaine de protestations. Enfin, en France, le gouvernement a présenté un plan de coupures d'électricité pour l'hiver.
Cette semaine dans l'actualité internationale : l'Ukraine dans le noir, après des bombardements russes contre des infrastructures électriques. En Iran, le gouvernement réprime les contestations, y compris dans la région kurde du pays en la bombardant. En France, la loi en faveur de l'IVG pourrait faire son entrée dans la Constitution. Et en Chine, Foxconn, plus grande usine d'assemblage d'Iphone, a présenté ses excuses à ses salariés, après des affrontements inédits avec les forces de l'ordre.
De nombreux Ukrainiens sont de nouveau plongés dans le noir en raison de bombardements russes en Ukraine. La plupart des membres du G20, réunis à Bali, condamnent la guerre en Ukraine. Xi Jinping, omniprésent au sommet, est appelé à faire pression sur la Russie. Le sommet de la francophonie se tient du 19 au 20 novembre en Tunisie. Aux États Unis, les républicains gagnent la chambre des représentants mais pas le Sénat. Enfin, la Coupe du monde au Qatar démarre dimanche, sur fond de controverse.
Cette semaine a été marquée par le départ de bateaux de céréales d'Ukraine vers la Turquie après la volte-face du maître du Kremlin. Mais également, par le retour au pouvoir du leader de la gauche brésilienne, Lula, avec 50,9 % des voix contre Jair Bolsonaro qui a tardé à reconnaître sa défaite. En Israël, Benyamin Netanyahu a lui aussi fait son retour à la tête du gouvernement. Enfin, aux États-Unis, l'ombre de Donald Trump plane sur les élections de mi-mandat qui auront lieu le 8 novembre.
La guerre en Ukraine est entrée dans son 9ème mois. Poutine accuse Kiev de vouloir utiliser une « bombe sale ». Rishi Sunak, le plus jeune premier ministre depuis 2 décennies, a déclaré vouloir « réparer les erreurs de Liz Truss ». Emmanuel Macron et Olaf Scholz ont eu une réunion "constructive" selon Paris qui cache mal les tensions entre les 2 pays. Au Brésil, le 2nd tour de la présidentielle c'est dimanche. Le duel Lula-Bolsonaro est serré même si Lula a l'avantage dans les derniers sondages.
L'armée ukrainienne poursuit sa contre-offensive et se concentre sur la région de Kherson pendant que Moscou continue de bombarder le pays grâce à l'aide de drones de fabrication iranienne. La Chine poursuit son vingtième congrès : Xi Jinping devrait être reconduit à la tête du pays pour un troisième mandat d'au moins cinq ans. Au Royaume-Uni, la démission de Liz Truss plonge le pays dans la crise. Enfin, en France, les conséquences de la guerre en Ukraine pèsent sur le climat politique et social.
Au Royaume-Uni, Liz Truss limoge son ministre des Finances un mois après sa prise de fonction. En cause, son plan de croissance qui a semé la panique sur les marchés. Cette semaine également, la contre-offensive ukrainienne se poursuit dans le sud du pays. Le G7 et l'Otan tentent d'afficher un front uni. En Iran, les manifestations contre le régime se poursuivent depuis un mois malgré une répression féroce. Enfin en France, la grève est reconduite dans plusieurs raffineries.
Cette semaine en Iran, la révolte des femmes continue malgré la répression. En Ukraine, la contre-offensive menée par Kiev se poursuit dans le sud et l'est du pays. En Asie, la Corée du Nord a lancé deux nouveaux missiles balistiques après un premier projectile qui a survolé le Japon en début de semaine. Au Royaume-Uni, la Première ministre Liz Truss a tenté de reprendre la main devant le parti conservateur après son revirement sur la baisse des impôts. Enfin, le mouvement #MeToo fête ses 5 ans.
Cette semaine d'actualités internationales a été rythmée par le débat présidentiel au Brésil qui a opposé le président sortant Jair Bolsonaro et l'ancien président de gauche Lula da Silva. En Russie, Vladimir Poutine a officialisé l'annexion de 4 régions ukrainiennes, après les référendums jugés illégitimes par l'Occident. Enfin, les italiens ont une nouvelle Première ministre: Giorgia Meloni, cheffe du Parti d'extrême-droite Fratteli d'Italia, tandis que les manifestations en Iran continuent.
Cette semaine, le président russe Vladimir Poutine organise en urgence des référendums dans les territoires occupés en Ukraine. La guerre en Ukraine, il en a été question à la tribune de l'assemblée générale des Nations unies, où les condamnations se sont multipliées. En Iran, des contestations secouent le pays depuis une semaine. Des manifestations réprimées dans le sang par les autorités. Enfin au Royaume-Uni, les funérailles de la reine Elizabeth II ont été suivies dans le monde entier.
Cette semaine, le Royaume-Uni se prépare aux funérailles de la reine qui auront lieu lundi à Londres. En Ukraine, la contre-offensive menée par Kiev a permis la reprise de plusieurs villes dans la région de Kharkiv. Côté européen, Ursula von der Leyen a affiché son soutien à l'Ukraine et a annoncé un plan pour faire face à la crise énergétique. En Ouzbékistan, Vladimir Poutine et Xi Jinping ont affiché leur solidarité réciproque. Et puis en Suède, l'extrême droite arrive aux portes du pouvoir.
En Ukraine, les expert de l'AIEA ont commencé leur inspection à Zaporijjia. L'intégrité physique de la centrale nucléaire a été violée selon le directeur de l'agence. En Russie, le dernier dirigeant de l'URSS Mikhaïl Gorbatchev s'est éteint à l'âge de 91 ans. Dans l'actualité également, la France et les États-Unis appellent la Chine à rendre des comptes après la publication du rapport de l'ONU sur les Ouïghours. Enfin au Pakistan, les inondations ont provoqué la mort de plus de 1100 personnes.
Le sommet de l'OTAN, dans la foulée du G7, s'est tenu cette semaine à Madrid pendant 3 jours. Présenté comme un "tournant" en pleine guerre en Ukraine, ce sommet a concrétisé la rupture des alliés avec Moscou. L'OTAN s'est mis d'accord sur un nouveau concept stratégique qui désigne la Russie comme principale menace. La Chine est également pointée du doigt.
Aux États-Unis, la Cour suprême a révoqué le droit à l'avortement. Une victoire pour les républicains et les religieux conservateurs. En France, Emmanuel Macron perd la majorité absolue à l'Assemblée nationale. Dans l'actualité également, l'Ukraine et la Moldavie obtiennent le statut de candidat à l'adhésion à l'Union européenne. Enfin, en Turquie, le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane a été reçu par le président Recep Tayyip Erdogan, quatre ans après l'assassinat de Jamal Khashoggi.
C'est l'image de la semaine : Emmanuel Macron, Olaf Scholz, Mario Draghi dans le train pour Kiev rejoints par le pst Roumain Klaus Iohannis. 4 chefs d'Etat et de gouvernement européen auprès de Volodymyr Zelensky dans la capitale ukrainienne ! Tous les 4 soutiennent le statut de candidat immédiat à l'adhésion de Kiev à l'Union Européenne. Une visite alors que Moscou concentre ses forces dans le Donbass et notamment à Serevodonetsk.
L'impact du conflit en Ukraine sur les exportations de blé fait craindre une crise alimentaire notamment dans les pays d'Afrique. Le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov est allé en Turquie rencontrer son homologue pour discuter de la mise en place de « corridors sécurisés ». La Russie exerce un blocus autour des ports ukrainiens de la Mer Noire.
Cette semaine, un adolescent a tué 21 personnes dont 19 enfants dans une école primaire au Texas, État où se tient ce vendredi la convention annuelle de la NRA. En Chine, 100 000 fichiers informatiques de la police ont été piratés. Des preuves vertigineuses de la répression des Ouïghours par Pékin. En Ukraine, la Russie concentre son offensive dans le Donbass. Et puis en France, le ministre des Solidarités fraîchement nommé fait face à des accusations de viols et de violences sexuelles.
Le nouveau gouvernement d'Elisabeth Borne a été nommé, avec 17 ministres, 6 ministres délégués et 4 secrétaires d'État. Amélie de Montchalin est nommé ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique. Catherine Colonna prend le portefeuille des Affaires étrangères. Pap Ndiaye devient ministre de l'Éducation nationale et Rima Abdul Malak est la nouvelle ministre de la Culture.